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© S.A. IPM 2015. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit. “LE” RENDEZ-VOUS de la brique à Bruxelles Le salon Realty, dédié aux professionnels de l’immobilier belge, s’annonce du 19 au 21 mai. pp. 4 et 5 D.R./REALTY/EASY FAIRS/ARTEXIS Portrait P. 3 Décorateur d’intérieur : plus qu’un métier, une passion pour Stéphane Goosse. D.R. Rendez-vous sur WWW.LOGIC-IMMO.BE En vue P. 2 Easy Syndic propose un système de gestion adapté aux petites copropriétés. Zoom PP. 8-9 Cette semaine, la commune de Schaerbeek sous la loupe. Annonces PP.10-20 11 pages pour trouver le bien de votre choix. Supplément à La Libre Belgique - N°285 - Semaine du 15 au 20 mai 2015

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La Libre Immo du 15 mai 2015

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“LE” RENDEZ-VOUSde la brique à BruxellesLe salon Realty, dédié aux professionnels del’immobilier belge, s’annonce du 19 au 21 mai.

pp. 4 et 5

D.R./REA

LTY/EA

SYFA

IRS/AR

TEXIS

PortraitP.3Décorateur d’intérieur : plusqu’un métier, une passionpour Stéphane Goosse.

D.R.

Rendez-vous surWWW.LOGIC-IMMO.BE

En vueP.2Easy Syndic propose unsystème de gestion adaptéaux petites copropriétés.

ZoomPP.8-9Cette semaine, la communede Schaerbeek sous la loupe.

AnnoncesPP.10-2011 pages pour trouverle bien de votre choix.

Supplément à La Libre Belgique - N°285 - Semaine du 15 au 20 mai 2015

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2 EN VUE SEMAINE DU 15 AU 20 MAI 2015 LIBRE IMMO

AgendaJournéeChantiers ouverts. Le 31 mai prochain,quelque 170 chantiers ouvriront leurs portesau grand public à l’occasion de la JournéeChantiers ouverts, “événement annuel pharedu secteur de la construction”, précise laConfédération construction dans uncommuniqué. Soit une occasion unique de“mettre en vitrine la grande diversité dusecteur et de ses entreprises”. “Même enpériode de crise, le secteur de la constructionreste aussi un des plus importants employeursdu pays, acquiesce Robert de Mûelenaere,administrateur délégué. La journée Chantiersouverts a ainsi pour objectif de faire naître desvocations, d’attirer de nouvelles forces vives etdes profils hautement qualifiés.” Au rang deschantiers à ne pas manquer, la Confédérationépingle celui du Trésor de la cathédrale Saint-Paul et la réhabilitation d’un bâtiment surl’ancien complexe universitaire du Val Benoît,à Liège; les travaux d’extension de l’Institutsupérieur de musique et de pédagogie et lefutur centre de formation et de conseils enconstruction durable de Greenwal, à Isnes, enprovince de Namur; les futurs locaux de latélévision locale TV Lux, à Libramont, et leprojet d’habitat groupé intergénérationnel“Le Potager”, à Offagne, en terresluxembourgeoises; le chantier de la futurecaserne de pompiers à la forme cylindrique àMarcinelle, dans le Hainaut. À Bruxelles, laConfédération cite la rénovation etl’extension de la piscine Louis Namèche, àMolenbeek. En Flandre, elle pointe larestauration des quais de l’Escaut, à Anvers;le nouvel hôpital AZ Sint Maarten, à Malines;le nouveau tronçon autoroutier A11, àZeebrugge; un tunnel sur le R11 à Mortsel; larestauration de l’hôtel de ville de Diksmuide;le Centre pour les médias et l’information “DeKrook”, à Gand, etc. L’an dernier, l’événementa rassemblé plus de 72 000 visiteurs.ULe 31mai, de 10 à 17h. Accès gratuit.

Les petites copropriétéscomme core businessPROMOTEUR ET MARCHAND de biens depuis2003, Miguel Lamarche s’est lancé dans l’acti­vité de syndic voici un an et demi en rachetantl’Immobilière Vert Chasseur (IVC), basée à Uc­cle (Bruxelles). Soit une entreprise de syndic“traditionnelle”, à la tête d’un portefeuille dequelque 70 immeubles de 20 appartements enmoyenne. Il ajoute désormais une corde à sonarc en développant une offre de services adap­tée aux particularités de la gestion des petitescopropriétés et au… porte­monnaie de ceuxqui en possèdent les murs : Easy Syndic.

Qu’est-ce qui vous a poussé à vous spécialiser dansles petites copropriétés ?Undouble constat.Deun, leparcd’immeubles àappartements, à Bruxelles commedansd’autresgrandes villes du pays, est largement composéde petites copropriétés de moins de 8 loge­ments. De deux, les services des syndics dits“traditionnels” sont pensés et calculés pour êtreappliqués aux grands ensembles de plusieursdizainesde logements. Ils sont surdimensionnéspar rapport aux besoins des petites coproprié­tés. Il y a donc là unmarché à prendre, dans l’in­térêt de tous. Et ce, d’autant que la capitalecompte plus de 30 000 copropriétés…

Il existe une alternative aux syndics profession-nels : les syndics bénévoles, généralement auxcommandes dans les petites copropriétés.Tout à fait. Il s’agit dans la plupart des cas de l’undes copropriétaires. Mais ces bénévoles ont ten­dance à sous­estimer les charges et les responsa­bilités qui les attendent. En effet, les obligationset les missions confiées au syndic sont nom­breuses et prévues par la loi. Elles impliquentune rigueur et une connaissance approfondiedes statuts de l’immeuble et des dispositions lé­gales. Sans oublier qu’elles entraînent la respon­sabilité du syndic au regard de la loi commedescopropriétaires. Cet état de fait génère une ges­tion et un investissement importants, qu’il nefaut pas prendre à la légère. Et pour cause, lesconséquences peuvent s’avérer très graves : dé­gradation du bâtiment, mise à mal des budgetsde la copropriété en cas de carence prolongéed’un copropriétaire dans le paiement de sescharges, non­couverture d’un sinistre si l’assu­rance prise est inadéquate, etc.

Reste que la gestion d’une petite copropriété estmoins contraignante que celle d’une grande…Je ne dirais pas moins contraignante, parce

qu’elle est tout autant capitale, mais plus légèreen temps et en énergie. Les petits immeubles nesont d’ordinaire pas équipés de plusieurs ascen­seurs (beaucoup en sont même dépourvus), deconcierge ou de jardin. De même, le nombre defournisseurs est moindre, la comptabilité, moinscomplexe, et lamise enœuvre des décisions pri­ses lors des assemblées générales (AG), moinslente. En prenant en compte l’ensemble de cesparticularités, nous avons mis au point un sys­tèmede gestion adapté et autrementmoins oné­reux que les 2 000 à 3 000 euros annuels exigéspar un syndic traditionnel : Easy Syndic.

Comment votre système est-il organisé ?La prise en charge proposée par Easy Syndic dé­bute par la création de la copropriété. Nous te­nons uneAGextraordinaire afin de procéder à lasignature des contrats, la reprise du compte enbanque, dunumérod’entreprise, des compteurs,des contrats avec les fournisseurs de services, etc.Le tout génère des frais de création uniques de1 035 à 1 285 euros pour la copropriété en fonc­tion de sa taille (3 à 8 logementsmaximum). En­suite, les prestations usuelles recouvrent la tenued’une comptabilité claire, la neutralité dans lesrelations entre les copropriétaires et la gestiondes AG. Elles sont en outre agrémentées d’un ac­cès en ligne à tous les documents constituant laviede l’immeuble (décomptes, budgets, factures,contrats, acte de base…), ce qui évite des frais ad­ministratifs et de poste. Nos honoraires plafon­nent dès lors autour de535 à653 euros annuels,ventilés entre les copropriétaires suivant leursquotités. À cela s’ajoute une offre de prestationscomplémentaires et facultatives, non comprisesdans les honoraires annuels : gestion des sinis­tres, suivi des travaux, tenue d’AG extraordinai­res…Ceci parce que ce genre de services n’est pasaussi récurrent dans les petites copropriétés quedans les grandes. Les tarifs de cesprestations sontfixés au préalable et repris dans notre contrat.

Misez-vous sur cette offre à la carte pour assurer laviabilité financière de vos services ?Absolument pas. Le core business d’Easy Syndicréside dans les prestations usuelles, systémisées.

Votre système doit donc être appliqué à un grandnombre de copropriétés pour être rentable.Nousespérons atteindre100clientsd’ici la findel’année. Et puis ? On peut rêver et viser les30 000 copropriétés bruxelloises…

FrédériqueMasquelier

D.R./EAS

YSY

NDIC

MIGUEL LAMARCHEPromoteur, marchand de biens et syndic, administrateur déléguéd’Easy Syndic.

Interview express

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2 EN VUE SEMAINE DU 15 AU 20 MAI 2015 LIBRE IMMO 3EN VUEPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

“J’ai horreur de la répétition”Depuis dix ans, le décorateur d’intérieur Stéphane Goosse s’évertue à faireen sorte que ses clients se sentent bien chez eux. Soit une constante remiseen question pour celui qui se définit comme profondément esthète.

“PLUS QU’UN MÉTIER, c’est une véri­table passion, prévient StéphaneGoosse. J’espère pouvoir encore conti­nuer à l’exercer à 70 ans parce qu’onne s’y s’ennuie jamais. Chaque projetest une nouvelle histoire qu’il fautécrire avec le client.”

Et dire que ce juriste de formation,installé dans le Brabant wallon de­puis 15 ans, se prédestinait au nota­riat avant d’être rattrapé par le viruset de se lancer en tant que décora­teur d’intérieur en 2005. “J’ai com­mencé avec un showroom à Waterloo.C’était tout de même risqué puisquec’est un sacré investissement. Heureu­sement, les premiers clients sont rapi­dement arrivés, et avec eux, la sensa­tion étrange d’évoluer dans cette acti­vité depuis toujours.”

Rien d’étonnant à cela, quand onsait que l’homme est un passionnéde longue date et s’est intéressé trèstôt “aux détails de volume, de matière,de dialogue entre les objets”. “C’estquelque chose que l’on a en soi”, préci­se­t­il. Autodidacte, StéphaneGoosse n’a jamais intégré d’écoled’art ou de décoration d’intérieur.Un parcours atypique qui fait saforce, selon lui. “Je me rends compteque cela me convient très bien. Je nesuis pas rentré dans le moule d’uneécole ou d’un professeur et j’ai donc pucréer mon identité très tôt sans qu’ellesoit déviée par une quelconque in­fluence académique”, assure­t­il.

Au­delà de son style personnel, ce­lui qui est désormais basé à Bruxel­les, sur l’avenue Louise, est un desseuls du milieu à avoir ouvert sonpropre showroom. Une bonne façonpour lui de présenter sa façon de

faire et ses idées à ses clients, sanspour autant créer d’offre standardi­sée. “Il y a toujours ma base, mon stylemais avec chaque fois différentesnuances adaptées aux souhaits des unset des autres. C’est important de biencerner la sensibilité du client, sa cul­ture, ses affinités. Il faut construire unevraie carte d’identité intime du client”,souligne Stéphane Goosse.

Et lorsqu’on lui demande quelssont les projets dont il est le plus fier,le principal intéressé botte en tou­che et préfère rappeler la missionqu’il s’impose pour chaque nouveauprojet. “Je suis autant consulté pourcompléter des aménagements exis­tants que pour faire toute la décora­tion d’une maison. Sincèrement, quelleque soit l’ampleur du projet, ce qui metient à cœur c’est de répondre à la de­mande du client, qu’il se sente bienchez lui, que ce soit en trouvant le ca­

napé qu’il faut ou en décorant touteune pièce. Un des objectifs de mon mé­tier, c’est de rendre les gens heureuxdans leur intérieur, tout simplement.”

Quand bien même les clients ontdes envies et des goûts différents, onpeut s’interroger sur le danger, pourun décorateur d’intérieur, de tom­ber dans la facilité en reproduisantle même genre d’aménagementpour ses divers projets. Mais commeaime le rappeler Stéphane Goosse,c’est là justement l’intérêt du métier.“J’ai horreur de la répétition, c’est dansma personnalité. Je ne mangerai pasdeux fois lamême chose au petit­déjeu­ner, sourit­il. Il faut toujours se remet­tre en question, se dire que l’on peutfaire mieux. Mais au final, les idéesviennent d’elles­mêmes, je suis cons­tamment inspiré par ce qui m’entoureet c’est ce qui fait la beauté dumétier.”

Bertrand Lodewyckx

2 200SUCCÈS POUR LA 4E ÉDITION DE BUILDING HEROES

La semaine passée, non moins de 2 200 élèves de 6e primaire ont répondu présent sur lesite du Fourneau Saint-Michel, à Saint-Hubert, à l’occasion de la 4e édition de “Building

Heroes”, un événement de promotion du secteur de la construction en Wallonie. Lancé en2012 à l’initiative du fonds de formation professionnelle de la construction dans le cadred’EuroSkills à Francorchamps, Building Heroes ambitionne de “combattre les préjugés quiternissent l’image des métiers de la construction et de motiver durablement les jeunes à en

choisir un”. Pour ce faire, l’événement proposait une série de stands et ateliers permettantaux petits visiteurs de s’informer auprès de formateurs et de professionnels, leur offrant lapossibilité de s’essayer à diverses techniques. La démarche s’inscrit dans un contexte de

pénurie de main-d’œuvre qualifiée.En outre, le dumping socialmenacerait quelque 20 000

emplois en Belgique, rappelle laConfédération ConstructionWallonne (CCW), dans un

communiqué. “Il y a urgence. Nosentrepreneurs souhaitent poursuivreleur travail de sensibilisation. Nousdevons nous démarquer par un hautdegré de qualification pour offrir unavantage concurrentiel important au

niveau européen.” (Belga)D.R./BUILD

INGHE

ROES

72,3%PART DES PROPRIÉTAIRES EN BELGIQUE

En 10 ans, la part des Belges qui sont propriétaires de leur habitation est restée stable,écrivent nos confrères du Soir. En 2004, elle était de 72,2 %. Quasiment dix ans plustard, en 2013, cette part est restée stable, à 72,3 %. A noter que plus de la moitié des

propriétaires ont encore un crédit à rembourser. Tandis qu’environ 27 % des Belges sontlocataires, dont les deux tiers payent un loyer conforme au prix du marché et 8,2 % un

prix réduit ou gratuit. Le dernier recensement du SPF Economie, en2011, indiquait que 2,96 millions de logements étaient

occupés par des propriétaires. (Belga)

UNE MINI-BELGIQUE DURABLE ET GOURMANDE À MILANLe pavillon belge présenté à l’Exposition universelle de Milan condense tous

les aspects de la Belgique : l’agriculture, les villes, la gastronomie et lestechnologies innovantes. “Le pavillon se focalise sur le vrai thème de l’Expo :

comment faire pour vivre avec 10 milliards d’êtres humains sur Terre, alors quenous avons déjà du mal avec sept milliards ?”, a expliqué l’architecte du

pavillon, Patrick Genard, lors de son inauguration officielle, samedi dernier.Le thème de l’Exposition est “Nourrir la planète, énergie pour la vie”, et

Patrick Genard a voulu le représenter dans son intégralité dans le pavillon.“Celui-ci est construit selon le principe de la ville idéale, avec des quartiers quientourent le centre-ville, mais de manière espacée pour qu’il y ait de la placepour la lumière et la nature, explique-t-il. Nous avons été très attentifs à la

durabilité de la structure, qui est presque entièrement constituée de verre et debois. Elle est aussi équipée de panneaux solaires de la dernière génération, quifournissent de l’énergie durable.” Le pavillon belge, construit sur une parcellede 2 717 m², est composé de trois espaces : la ferme, la cave et l’atrium. “La

ferme est un hommage à l’agriculture belge”, commente encore PatrickGenard. Elle abrite la Belgique fédérale, les Régions et les Communautés.Dans la cave, les visiteurs peuvent découvrir les solutions étudiées pour

répondre aux défis alimentaires. L’atrium comprend un bar et un restaurant,afin de tester les produits cultivés dans la cave. L’espace sera utilisé pendant90 jours par la Belgique et par d’autres pays pour les jours restants. (Belga)

D.R.

D.R.

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4 DOSSIER SEMAINE DU 15 AU 20 MAI 2015 LIBRE IMMO

A l’aube de sa 7e édition, Realty accepte sa “belgitude”Créé à l’image du Mipim cannois, Realtys’en écarte en proposant un nouveauconcept privilégiant les nouvellestechnologies aux rencontres informelles.

Dossier Frédérique Masquelier

DU 19 AU 21 MAI PROCHAIN, les professionnels de l’im­mobilier belge sont appelés à se retrouver sur le site deTour&Taxis, à Bruxelles, à l’occasion de la 7e édition dudésormais traditionnel salon Realty, qui leur est exclusi­vement consacré. Un événement qui a bien grandi depuisdes débuts timides. Son succès, tant en nombre d’expo­sants (84 en 2009, 126 en 2013) que de visiteurs (3 050en 2009, 6 300 en 2013), est allé exponentiel avant de sestabiliser… à la baisse l’année passée : 124 exposants pour6 000 visiteurs. Nul doute, donc, qu’Artexis, la société or­

ganisatrice, attend beaucoup de 2015.À noter qu’il est pourtant un public qui se montre, se­

lon Artexis, chaque année plus assidu – toutes propor­tions gardées, du moins –, celui des investisseurs interna­tionaux. Leur nombre a même doublé (!) entre 2013et 2014, de 96 à 200. De là à espérer le voir… tripler cetteannée, il n’y a qu’un pas, joyeusement franchi par l’orga­nisateur lors de la présentation de la 7e édition du salon.

Et pour cause, beaucoup reprochent à Realty son éti­quette un peu trop “belgo­belge”. D’autant plus que le sa­lon suit de deux mois seulement l’un des rendez­vous in­contournables du gratin de l’immobilier mondial, quipèse plus de 20 000 visiteurs issus des quatre coins duglobe et a fêté ses 25 printemps l’année passée : le Mipim,Marché international des professionnels de l’immobilier,qui prend ses quartiers en mars sur la Croisette cannoise.Soit une grand­messe de l’immobilier, à laquelle sepresse, depuis toujours, une importante et fidèle déléga­tion belge.

Que réserve le salon à ses visiteurs en 2015 ? Demandez le programme !Un public métissé, des séminaires etdes événements spéciaux, bien sûr,mais aussi quelques surprises…

Une année charnière. Voilà comment s’annonce2015 pour Artexis, l’organisateur du salon. C’estque Realty est désormais à cheval entre deux con­cepts, le second, novateur, tendant à supplanter lepremier, plus traditionnel, lors de la 8e édition del’événement, en 2016. A l’aube de cette mini­révo­lution, l’opus 7 fait office de (léger) “avant­goût” dece qui attend les visiteurs l’année prochaine. Outre

les stands qui en peuplent les allées et les activitésprogrammées, quelques nouveautés émaillerontces trois jours de salon. Rapide panorama.

1 Unpublic varié.Entre les professionnels actifsdans le développement et la gestion de promo­

tions, l’architecture et l’urbanisme, l’investisse­ment, le financement, la consultance, l’enseigne­ment de troisième cycle, les services facilitaires, lagestion de bâtiments, etc., mais aussi les pouvoirspublics que sont les Régions, les villes, les commu­nes et les intercommunales, tous les secteurs del’immobilier seront représentés ces 19, 20 et21 mai sur le site de Tour&Taxis. Et ce, que ce soiten tant qu’exposant ou simple visiteur. Une multi­

plicité d’acteurs dont les champs d’expertise va­rient par ailleurs entre les différents segments querecouvre la brique belge : le résidentiel, les bu­reaux, le commerce, l’industrie, la logistique et lesstructures de soin, de sport et de loisirs. Artexisépingle également la présence de groupementsd’intérêts tels que l’UPSI, l’Union professionnelledu secteur immobilier, “partenaire structurel depuisle premier jour”, et le Belgian Luxembourg councilof shopping centers (BLSC), “qui a contribué au suc­cès de Realty” par son soutien.

2 Des séminaires et conférences. Plusieursgrands acteurs du marché immobilier belge

profitent de Realty pour organiser des séminaires

6 500VISITEURSLa société organisatrice du salon,Artexis, a fait preuve d’optimismedans ses prévisions. Elle espèrevoir se presser non moins de 6 500visiteurs (500 de plus que l’andernier), dont 300 internationaux,pour 126 exposants.

8 946SURFACE D’EXPOSITIONDepuis deux ou trois éditions, lesexposants se font gourmands,réservant des stands toujours plusgrands. Une tendance qui sevérifie en 2015 : près de 1 000m²ont été grappillés en sus des8 000 occupés l’année passée.

17SÉMINAIRESEn marge de ses allées et stands,et à l’image de son aîné, le Mipimcannois, le salon de l’immobilierbelge mise sur un programme deséminaires et conférences pouréveiller l’intérêt des foules. Ils sontau nombre de 17 cette année.

Realty franchit un cap et revoit son concept2016. L’édition 2015 de Realty n’a même pas encore débuté que son organisateur, Artexis, a déjà fait l’annonce de cequi attend les visiteurs en… 2016 ! S’y prenant bien à temps, il a en effet décidé de repenser son concept actuel,arguant que “7 ans, pour un salon, constitue un cap, un tournant important dont il faut tenir compte”. Et de détailler avecenthousiasme tous les remaniements dont le rendez-vous des professionnels de l’immobilier belge s’apprête à fairel’objet : un changement de format, une modernisation du logo et de l’identité visuelle, l’intégration de technologies depointe, l’organisation d’activités dynamiques et de programmes pertinents, mais, surtout, la sélection rigoureuse degroupes cibles. “Je ne trouvais pas normal qu’un secteur aussi dynamique que l’immobilier se réunisse toujours suivantun concept assez traditionnel, souligne Helen Mortier, la nouvelle responsable du salon au sein d’Artexis.Mon but étaitde proposer un contrepoids au format, en y intégrant les technologies les plus modernes.” Et de s’empresser d’ajouter,tout de même, que “tout ceci ne doit pas bien sûr éclipser la 7e édition” du salon…

Epinglé

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4 DOSSIER SEMAINE DU 15 AU 20 MAI 2015 LIBRE IMMO 5DOSSIERPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

A l’aube de sa 7e édition, Realty accepte sa “belgitude”

D.R./REA

LTY/AR

TEXIS/EA

SYFA

IRS

Que réserve le salon à ses visiteurs en 2015 ? Demandez le programme !et des conférences. Une bonne partie d’entre eux estaccessible uniquement sur invitation, à destination deleurs clients et partenaires, mais certains sont ouvertsà tous les visiteurs. Parmi eux, Artexis pointe le sémi­naire consacré par l’IFMA (International facility ma­nagement association) aux “Intelligents Buildings” lemardi, “Trends and evolutions in real estate : future li­ving, working and playing”, tenu par l’UPSI le mer­credi, “Shopping until 12pm and 7/7 ? An asset forshopping streets and malls ?”, proposé par le BLSC lejeudi et une “Health Care real estate session”, pro­grammée par la Kulak­KU Leuven le jeudi également.

3 Des événements spéciaux. Le mercredi est tradi­tionnellement la journée des événements et ré­

ceptions, ventilés sur les divers stands. Rien d’éton­nant à ce que ce soit le jour choisi par le courtierCBRE pour inaugurer sa présentation des “Euro­pean Retail Park projects”, offrant une vue généraledes initiatives en matière de retail parks sur le Vieuxcontinent et réunissant à cet effet 15 retail parks in­ternationaux et 300 retailers. Autres rendez­vous àne pas rater : les visites guidées des bureaux passifsde Bruxelles­Environnement, voisins des halls d’ex­position. Des départs groupés auront lieu le mardiet le jeudi. Last but not least, la fort attendue “RealtyNight”, soirée exclusive (sur invitation personnelleuniquement) prévue le mercredi, est le “temps fort”du salon selon Artexis, auquel “la crème de la crèmedu secteur de l’immobilier participe”.

4 Des infrastructures encourageant les rencon­tres informelles. Des endroits stratégiques ont

été pensés pour que les visiteurs se croisent de ma­nière impromptue et échangent en toute quiétude.C’est le cas du “Business Lounge”, réservé aux inves­tisseurs internationaux. Moins restrictif, le “VisitorsLobby” accueille les visiteurs en mal de batterie poury recharger leurs smartphones, portables et tablettesou s’octroyer une pause. Deux “Intelligent MeetingRooms” sont mises à disposition des entreprises quisouhaitent organiser des réunions, tandis que laMaster Lounge, une salle de réunion professionnelle,accueille les cocktails dînatoires des exposants.

F.Ma.

Sur les stands sont exposées une sériede maquettes, reflets d’autant deprojets immobiliers en cours ou àvenir, sur le sol belge comme ailleurs.

3 Questions à

1Sept ans après ses débuts, pensez­vousque Realty a trouvé sa place dans le

calendrier annuel de l’immobilier belge ?L’initiative n’est pas superflue, mais il afallu qu’elle se positionne de manière com­plémentaire à d’autres salons internatio­naux, déjà bien ancrés et plus courus. C’estchose faite à mon sens, puisque cela devientun inconvénient de ne pas y être présent.

2Vous évoquez les autres salons quesont leMipim cannois et l’Expo Real

deMunich. Realty est­il comparable ?

Munich a la réputation d’être porté sur lesfinances et les investissements. On y tra­vaille beaucoup. A Cannes, on se rencontreet on découvre d’autres acteurs et projets depar le monde, dans un cadre festif et…“paillettes”. Realty est plus bon enfant. C’estune sorte de village bruxellois, où l’on revoitla plupart des acteurs de l’immobilier belge.Mais je doute très fort que le salon attirebeaucoup de visiteurs étrangers…

3Pourquoi vous y rendez­vous ?J’y vais pour représenter mon entreprise

et serrer des mains. Ce sera l’affaire d’unedemi­journée. Aucun de mes collaborateursne m’accompagne. Deux mois après leMipim, il leur est impossible de prendre letemps de lever le nez de leurs dossiers pen­dant 3 jours. Et ce, quand bien même lesalon a lieu dans une période plutôt soute­nue, juste avant l’été. Pour tout vous dire, ilsne sont pas demandeurs : ils sont déjà aucourant de tout ce qui se fait sur le marché.

STÉPHANSONNEVILLECEO d’AtenorD.

R./ATENO

R

3 Questions à

1Quel regard portez­vous sur l’évolu­tion du salon Realty ?

Après les balbutiements des débuts, l’événe­ment est devenu incontournable. D’autantplus que les Régions wallonne et flamandey sont plus présentes – cela s’est ressenti lorsde la dernière édition. Le caractère trèsbruxellois des premières années se dissipe.

2Est­ce l’occasion, plus qu’auMipimcannois, de faire se rencontrer acteurs

privés et acteurs publics ?Oui. A Cannes, les opérateurs publics et les

privés qui font le déplacement sont plusdisponibles. Mais l’investissement querequiert une présence auMipim est impor­tant, et pousse donc les visiteurs à optimiserleur temps sur place en y restant plusieursjours d’affilée. Toutefois, et pour la mêmeraison financière, l’éventail d’interlocuteursdifférents y est plus réduit, surtout du côtépublic. Realty est, au contraire, accessible auplus grand nombre, quand bien même lesagendas se libèrent moins facilement.

3Faut­il passer par un salon pour que secroisent les secteurs public et privé ?

Le salon ne peut bien sûr pas se substituer à365 jours d’activité et de contacts, mais, àl’image d’une mission économique, il a uneffet catalyseur et d’émulation. Il n’est pasaussi simple qu’on l’imagine pour un opé­rateur public d’approcher des investisseursprivés, surtout dans un domaine aussimercantile que l’immobilier. Un salonpermet de se parler sans être “demandeur”.

BENJAMINCADRANELAdministrateur

général de Citydev.brusselsD.

R./CITYD

EV

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6 URBANISME SEMAINE DU 15 AU 20 MAI 2015 LIBRE IMMO

En bref

Dumping socialLa Confédération Constructionestime que le Bureau fédéral du Planne tient pas compte, dans sesprévisions d’emploi, du dumpingsocial qui sévit actuellement dans lesecteur de la construction, a-t-elleindiqué par voie de communiqué,réagissant à la publication parl’organisme d’études et deprévisions de ses perspectiveséconomiques 2015-2020. Selon leBureau du Plan, plus de 200 000emplois seront créés en Belgique surla période 2015-2020, ce quipermettrait de faire baisser le tauxde chômage en 2020 à son plus basniveau depuis 1991. Pour le seulsecteur de la construction, lacréation de 14 000 emplois estattendue d’ici 2020. Un optimismeque ne partage pas la ConfédérationConstruction, celle-ci estimant quele Bureau du Plan ne tient

“absolument pas compte” duphénomène du dumping social qui aconduit à la perte de 17 000emplois belges dans le secteur cesdernières années. “Si aucune mesuredrastique n’est prise, ce sont 20 000emplois de plus qui disparaîtrontdans la construction d’ici la fin de lalégislature”, souligne l’organisationsectorielle. Si la ConfédérationConstruction table elle aussi sur unecroissance modérée dans le secteur,celle-ci ne suffira pas, selon elle, àcontrer le “tsunami” que représentela main-d’œuvre étrangère. (Belga)

StadeLa Ville de Bruxelles a décidé depoursuivre les négociations en vuede la construction et l’exploitationd’un nouveau stade national sur leparking C du Heysel avec leconsortium BAM-Ghelamco, désigné“candidat privilégié” à l’issue de la

procédure d’appel d’offres qui avaitvu émerger trois projets. Pourrappel, si le choix avait été arrêtésur BAM-Ghelamco le 19 marsdernier, la Ville avait prévu un délaide mise à l’épreuve de celui-cidurant huit semaines autour deplusieurs questions qu’elle jugeaitfondamentales (les équipements, lespartenariats à engager, ou encoreles conséquences économiques et entermes d’emploi) avant de déciderde poursuivre les discussions en vuede la conclusion d’un contratd’emphytéose, toujours prévue pourla fin du mois de juin. (Belga)

TravauxNamur. L’étude d’avant-projetconcernant une passerelle cyclo-piétonne entre Namur et Jambes estterminée et les travaux deconstruction pourraient commenceren 2016 ou début 2017, ont indiqué

mercredi Arnaud Gavroy, échevinnamurois de l’Aménagement duterritoire, et Patricia Grandchamps,échevine de la Mobilité.L’implantation retenue est celle quipart du bord du site du Grognon etaboutit à hauteur de la rue Mazy, àJambes. Longue d’une centaine demètres, la passerelle sera fine etsobre pour bien intégrer le paysageactuel, contribuera à laréappropriation de l’espace fluvialet permettra de meilleuresconnexions vers le réseau RAVeL. Saconstruction nécessitera toutefois ladémolition de six maisons côtéjambois. Son financement est estiméà 6,9 millions d’euros, fraisd’expropriations et d’étudescompris, et dépendra de différentessubventions qui lui seront octroyées(fonds FEDER, subventions de laRégion wallonne ou fonds propresde la Ville). La durée du chantier estprévue entre 1 an et 1,5 an. (Belga)

Alon Amar, directeur-fondateur de la société dedéveloppement Project2, se décrit comme unpromoteur “atypique” parce que “passionnéd’architecture”, “essayant de faire des choses qui ontune âme”. Par les temps qui courent, surtout enRégion bruxelloise, il serait plutôt atypique parcequ’il fait… du beau moyen de gamme, avec unpremier projet à Anderlecht. Et il le fait de manièrevolontariste. “J’ai fait mes classes dans le haut degamme”, dit-il. À Anvers notamment, sur les docks.“Cela m’a permis d’expérimenter différentes offres.Aujourd’hui, je vais vers du plus démocratique*.”Pas par dépit – même s’il reconnaît que le haut degamme est actuellement davantage touché que lemoyen de gamme –, ni par manque d’expérience oude moyens – il a créé sa société en 1991, qui a à sonactif plusieurs dizaines de milliers de mètres carrés.Mais par choix. Et aussi parce que c’est ce qu’exigeaitla localisation choisie : un quartier populaired’Anderlecht, entre la chaussée de Ninove et leboulevard Maurice Herbette, bon enfant, tranquille,aux rues et avenues bien dessinées. “Un quartierexistant, stabilisé, qui mérite d’être découvert”, ajouteGérard Philippson, CEO de Re Invest Real Estate, co-développeur et responsable du project management.Le site est grand (1 hectare) et s’étend entre deuxrues parallèles aux noms peu exaltants del’Orphelinat et de l’Obus. Mais il est compliqué,quasiment en forme de bouteille, dont la partieventrue, heureusement, est en intérieur d’îlot.L’imprimerie qui l’occupait, fermée il y a 15 ans, esten cours de démolition. Les travaux de constructiondébuteront d’ici 4 mois. Les occupants pourrontpendre la crémaillère à partir de septembre 2017.La résidence a été baptisée “Orphée”. “Un nom court,en lien avec la mythologie grecque et qui rappelle qu’onest rue de… l’Orphelinat”, sourit Alon Amar.

Beau moyen de gammeAu vu de son projet anderlechtois, pour faire du beaumoyen de gamme, il faut, selon Project2, conjuguerquatre préceptes : une architecture superbementsignée (par Robbrecht en Daem architecte pourl’Orphée), mais simple; un choix restreint dematériaux, mais nobles et utilisés aussi bien àl’intérieur qu’à l’extérieur (du béton et du bois, ici);un nombre limité de versions de finitions (deux dans

ce cas-ci, l’une plus classique, “city”, avec parquet etplafond blanc, l’autre plus brute, “loft”, avec sols etplafonds en béton); et, surtout, une architecturemodulaire. “Pour avoir des prix compétitifs, il faut unelogique de construction, poursuit Alon Amar. Tous lesappartements sont compacts mais traversants. Unmodule pour les 1-chambre, un module et demi pour les2-chambres et deux modules pour les 3-chambres.”Les 1-chambre font 58 m² (il y en a une quarantaine),les 2-chambres, 85 m² (une cinquantaine) et les 3-chambres, 115 m² (une trentaine). La liste des prix estdonc courte, n’en comptant que trois : respectivement155 000, 220 000 et 260 000 euros HTVA. Pour unproduit qui adopte de manière stricte les normesliées à l’écologie, l’énergie, la sécurité (porte anti-effraction, parlophonie…).

Trois jardins à partagerLa commercialisation vient de débuter. “On pense quele rapport qualité/prix, par rapport au produit, àl’environnement, aux finitions, à l’architecture, est plusque bon, indique Gérard Philippson. On table sur 25 %d’investisseurs pour 75 % d’acquéreurs occupants – desjeunes couples et des familles qui viseront plutôt les 2et 3-chambres, des primo-accédants pour les 1-chambre.” À l’intention des acquéreurs occupants, il ad’ailleurs conçu un accord-cadre avec Allianz pour le

financement. “Le bancassureur s’est engagé à répondreà toute demande endéans les 5 jours ouvrables. Mêmedans le cas de prêts sur 30 ans et/ou à concurrence de100 % de la valeur du bien HTVA, l’apport des clientsse limitant aux 21 % de TVA.”Les 134 appartements se répartissent en 6immeubles de différentes hauteurs (de rez +2 à rez+4). Leur positionnement sur le terrain crée troisjardins intérieurs. “Ce qui amène de la fluidité, de latransparence sur le site, reprend Alon Amar. Lesespaces verts, chacun ayant son identité propre, sesuccèdent en communication.” Pas de jardins privatifs,donc, mais trois pour tout le monde. Les rez sontd’ailleurs surélevés et les appartements qui y sontsitués profitent, comme leurs voisins, d’une terrasse(5,40 mètres de long sur 2 mètres de profondeur,quelle que soit la taille des appartements). “Et puis,on renoue avec la tradition du concierge sur place”,sourit Alon Amar. Un coût marginal** puisque répartisur 134 unités, mais un atout “énorme”. (C.M.)

*Les prix de son projet Orphée se situent entre 2 260 et2 670 euros/m² HTVA selon la taille de l’appartement.**Les charges s’élèveront à environ 1 euro/m²/mois, lebâtiment étant économe (peu d’ascenseurs…) et lesjardins peu exigeants en entretien (pelouse, buissons,arbres).

D.R./ROB

BREC

HTEN

DAEM

ARCH

ITEC

TEN/PR

OJEC

Le projet de la semaineORPHÉEProject2 - Anderlecht

Le bois naturel se retrouve dans les façades latérales,les inserts, les garde-corps et, à l’intérieur, dansle noyau central et la cuisine.

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6 URBANISME SEMAINE DU 15 AU 20 MAI 2015 LIBRE IMMO 7MARCHÉPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

Les locataires constituent leur dossier en un clicEt les propriétaires enreçoivent le contenu via laplateforme Safety Rent.Un service sûr et gratuit.

ECONOMISER DU TEMPS et del’énergie pour envoyer ses justificatifsou rapidement déterminer si le can­didat convient. Qu’on soit proprié­taire, agent immobilier ou candidatlocataire, le site Internet Safety Rentpropose de gagner en efficacité.Comment ? En encodant, une foispour toutes, tous les documents habi­tuellement demandés pour vérifier laqualité du signataire du bail et s’assu­rer qu’il dispose de ressources suffi­santes.

Avec plus de 900 000 biens propo­sés à la location, la quête du bon loca­taire intéresse tous les propriétaires.La volonté de sécuriser son place­ment immobilier s’est encore accrueavec l’arrivée d’investisseurs bour­siers venus chercher plus de sécuritédans la brique. Résultat ? La signaturedu bail est de plus en plus condition­née à la remise d’un véritable dossier

de location. Outre les coordonnéesclassiques, le candidat locataire doitlivrer des informations sur son travailou la constitution de son ménage.“Une collecte de données qui prend dutemps, surtout si vous êtes à la recherched’un nouveau logement et devez multi­plier les attestations et reproduire cesdémarches à plusieurs reprises, expli­que Bruno Lambotte, responsable dudéveloppement chez Safety Rent.Avec la plateforme, votre dossier est di­rectement prêt, vous envoyez à qui vousle souhaitez un lien sécurisé donnantaccès à vos informations.” Un gain detemps pour les locataires, mais aussipour les propriétaires ou les agentsimmobiliers. “Le lien sécurisé permetde télécharger un fichier qui précise lesinformations qu’il contient. Le locatairechoisit ce qu’il transmet et les informa­tions sont présentées dans une mise enpage spécifique. Le formulaire suit lemodèle établi par l’Institut professionneldes agents immobiliers (IPI) et le Centrepour l’égalité des chances.”

Le concept lancé par la sociétéGreen Point est déjà présent dans lacapitale française sous le nom de BePrem’s. Si, à Paris, la véritable qualitédu candidat locataire est la vitesse, la

logique n’est pas la même en Belgi­que; mais la volonté d’efficacité de­meure. Des options payantes sontaussi proposées. “Nous pouvons con­tacter les locataires pour compléter leurdossier ou, pour les sociétés, leur per­mettre de récupérer facilement les don­nées dans un logiciel de gestion loca­tive.” Safety Rent propose aussi de vé­rifier la validité des renseignementstels que l’employeur. Le candidat lo­cataire y a préalablement marqué sonaccord, une condition obligatoire àl’utilisation de la plateforme. Bruno

Lambotte le confie, “le modèle écono­mique et les options seront progressive­ment revus selon les réactions du mar­ché”. Plusieurs pistes de développe­ment sont déjà à l’étude, notammentla proposition d’assurances aux can­didats locataires. Des sociétés de loge­ments sociaux ont également mar­qué leur intérêt, entre autres pour ladématérialisation de données. L’arri­vée des documents justificatifs sousun seul fichier numérique représenteun gain de temps et de place sans égal.

Yvan de Smet

D.R./SAF

ETYR

ENT.CO

M

Maison |BeerselLe 5 mars dernier, une maison sise PastoorBolsstraat n°117 à Beersel (Alsemberg), enprovince de Brabant flamand, a été adjugée à205 000 euros après avoir atteint la somme de158 200 euros lors d’une précédente séance devente avec faculté de surenchère. Le bien,construit en 1962, se compose de deux caves ausous-sol; un salon, une cuisine, une salle àmanger et un W.-C. au rez-de-chaussée; troischambres et une salle de bain à l’étage; ainsiqu’un grenier sous les toits. Il est assorti d’unjardin et d’un garage. Superficie au sol du bienet du terrain : 11 a 40 ca. PEB : 460 kWh/m²/an.Revenu cadastral : 1 162 euros.UVente réalisée par Jozef Van Elslande, notaireà Beersel (Alsemberg).

205 000 euros

NVN-FEDN

OT

Maison | IxellesLe 3 mars dernier, lors d’une séance de ventepublique unique, le marteau est tombé à540 000 euros pour une maison unifamilialesituée avenue Guillaume Gilbert n°65 à Ixelles(Bruxelles). Le bien, construit en 1957 et ensituation d’infraction urbanistique, compte descaves au sous-sol; un garage et un local àprovisions au rez-de-chaussée; un logement dedeux chambres au 1er étage; un autre logementde deux chambres au 2e étage; ainsi qu’unechambre et un grenier sous les toits. Superficieau sol : 2 a 27 ca. PEB : F pour le 1er étage, E-pour le 2e. Émissions de CO2 : respectivement 69et 57 kg/m²/an. Revenu cadastral : 2 783 euros.UVente réalisée par HugoMeersman et MarcWilmus, notaires associés à Bruxelles (1040).

540 000 euros

NVN-FEDN

OT

Maison |UccleLe 2 mars dernier, une maison sise chausséed’Alsemberg n° 1292 à Uccle (Bruxelles) achangé de mains pour 310 000 euros. C’est plusque la somme atteinte lors d’une précédenteséance de vente publique avec faculté desurenchère : 196 200 euros. L’annonce notarialede la seconde séance de vente ne donne pas deprécisions quant à la nature des pièces inscritesau sein de la maison, de même que leurdistribution. Il est toutefois précisé que le bienétait libre dans les 6 semaines qui ont suivil’adjudication définitive. Superficie au sol dubien et du terrain : 3 a 10 ca. Résultat PEB noncommuniqué. Revenu cadastral : 1 551 euros.UVente réalisée par Benoît Heymans, notaireà Bruxelles (1180).

310 000 euros

NVN-FEDN

OT

Libre Immo - Supplément hebdomadaire à La Libre Belgique. Coordination rédactionnelle: FrédériqueMasquelier. - 02/211.28.28 - [email protected] Illustrations: Etienne Scholasse.Réalisation: IPM Press Print. Administrateur délégué - éditeur responsable: François le Hodey. Directeur général: Denis Pierrard. Rédacteur en chef: Francis Van deWoestyne. Rédacteurs en chef adjoints:Xavier Ducarme et Gilles Milecan. Conception graphique: Jean-Pierre Lambert (responsable graphique). Publicité: Véronique Le Clercq - +322/211.27.64 - [email protected]

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8 ZOOM SUR SEMAINE DU 15 AU 20 MAI 2015 LIBRE IMMO

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10 SÉLECTION DELA SEMAINE

SEMAINE DU 15 AU 21 MAI 2015 LIBRE IMMO

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12 ANNONCES SEMAINE DU 15 AU 21 MAI 2015 LIBRE IMMO

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13ANNONCESPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

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14 ANNONCES SEMAINE DU 15 AU 21 MAI 2015 LIBRE IMMO

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16 ANNONCES SEMAINE DU 15 AU 21 MAI 2015 LIBRE IMMO

à vendre

MAISONS250.000à500.000€

21-102121902-02

21-111010202-02

21-111016205-05

21-111010905-05

à vendre

MAISONS>500.000€

21-106137901-01

21-111011307-07

21-111010906-06

21-111010902-02

21-111015406-06

21-111015405-05

21-111011308-08

21-111015407-07

21-111010201-01

21-111010209-09

21-111010208-08

21-111010210-10

à vendre

MAISONSnonprécisé

21-110992204-04

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17ANNONCESPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

21-110999501-01

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21-110992202-02

à vendre

APPARTEMENTS<250.000€

21-111011302-02

21-111016210-10

21-111016204-04

à vendre

APPARTEMENTS250.000à500.000€

21-102121901-01

21-111010207-07

21-111015403-03

21-111010206-06

21-111016202-02

21-111016208-08

21-111016201-01

21-111011306-06

21-111010901-01

21-111016207-07

21-111010904-04

21-111016209-09

21-111016206-06

21-111011301-01

21-111010907-07

21-111010205-05

21-111010908-08

21-111010203-03

à vendre

APPARTEMENTS>500.000€

21-111010204-04

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18 ANNONCES SEMAINE DU 15 AU 21 MAI 2015 LIBRE IMMO

21-111015401-01

21-111016203-03

21-111011303-03

21-111011305-05

21-110478202-02

21-111011304-04

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19ANNONCESPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

salle de ventes

BRUXELLES

21-110991601-01

21-110969201-01

21-110969203-03

21-110993101-01

ventes par notaires

AUTRES PROVINCES

21-110969101-01

21-110762201-01

à vendre

APPARTEMENTSnonprécisé

21-111010903-03

21-110992203-03

21-110992201-01

VIAGER

21-109768901-01

21-102311601-01

21-102311602-02

IMMEUBLESDE RAPPORT

21-111015402-02

à louer

LITTORAL

21-110163701-01

21-110008701-01

à vendre

COMMERCES

21-111015404-04

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