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© S.A. IPM 2015. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.
KOTS ÉTUDIANTSL’offre s’étoffeLes projets de résidences adaptées aux étudiantsfoisonnent. Mais peut-être pas partout.
pp. 4 à 6
CHRISTOP
HEBO
RTELS
PortraitP.3Christian Terlinden, CEOde Banimmo, multiplieles projets immobiliers.
D.R.
Rendez-vous surWWW.LOGIC-IMMO.BE
MarchéP.7Plus de 45 000 Belgesn’arrivent plus à rembourserleur crédit hypothécaire.
En vueP.2Cofinimmo a annoncé uneprochaine augmentation decapitale titanesque. Analyse.
ZoomPP.8-9
Cette semaine, la communed’Ottignies sous la loupe.
AnnoncesPP.10-2011 pages pour trouverle bien de votre choix.
JEAN
-LUC
FLÉM
AL
Supplément à La Libre Belgique - N°00 - Semaine du 16 au 22 avril 2015
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2 EN VUE SEMAINE DU 16 AU 22 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
AgendaSéance d’informationLe cluster Ecobuild.brussels organise uneséance d’information sur la sous-traitance,formule qui présente de nombreux avantagespour ceux qui y font appel mais aussi desrisques pour les sous-traitants. Quels sont cesrisques et comment y remédier ? Peut-onprévoir des clauses contractuelles poursécuriser les droits et les garanties du sous-traitant ? Autant de questions auxquellesrépondra l’oratrice Marianne Dickstein, deDickstein Lawyers&Mediators.ULe 3mai de 18h à 20h30 à uno.brussels,Chée de Charleroi n° 110 à 1060 Bruxelles.
ConférenceDe passage en ville. L’Agence dedéveloppement territorial (ADT) de Bruxellesa invité l’urbaniste français François Leclercqà partager sa vision de l’architecture et del’urbanisme avec le public belge. Son agenceparisienne est reconnue pour les projetsd’architecture phares que sont la Halle deSports de l’INSEP, le lycée Jean-Baptiste Corotà Savigny-sur-Orge et des logements à Lyon-Confluence. Au rang de ses réalisationsurbanistiques majeures : Paris Nord-Est,l’extension d’EuroMéditerranée à Marseille ouencore la confluence entre Seine et Marne àIvry. François Leclercq a aussi conçu lequartier du Bois habité à Lille dans le cadred’Euralille 2. A Bruxelles, il a pris la directiond’une équipe internationale, retenue par laRégion, la commune de Schaerbeek, la RTBFet la VRT pour concevoir un nouveau quartier,cœur du projet mediapark.brussels. Celui-civerra le jour à Reyers, sur les terrains desdeux médias publics, et accueillera deslogements, des équipements de quartier, descommerces et un pôle d’activités médias.ULe 13mai de 12h à 14h. Entrée gratuite etlunch offert. BIP, rue Royale n° 24 à 1000Bruxelles. RSVP : evenement@adt.irisnet.be
Des ‘sir’ en quêtede joyaux
Entretien Charlotte Mikolajczak
LA SEMAINE DERNIÈRE, COFINIMMO, première société immobilière réglementée (Sir)en taille, a annoncé une prochaine augmentation de capital de 300 millions d’euros. Sansconfier ce qu’elle fera de ce pactole. “Riend’anormal”, commente Herman van der Loos,analyste immobilier chez Petercam. Non sansajouter que ce silence peut être perçu de manière optimiste mais aussi… pessimiste.
Que vous figure l’annonce de Cofinimmo ?Il s’agit d’unmontant énorme, jamais vu, qui ala taille d’autres ‘sir’, commeMontea ouAscencio. Par ailleurs, il ne s’agit encore que d’unepréannonce, dont tous les détails ne sont pasaffichés. Ce qui ne manque toutefois pas desoulever des questions ou commentaires. Lanouvelle stratégie de Cofinimmo, dont le portefeuille tourne autour des 3,2 milliardsd’euros et la capitalisation boursière autour de2 milliards, est de diminuer ses positions enbureaux (moins de 40 % du portefeuille actuel)pour augmenter celles en “health care”. Elles’est délestée de pasmal de bureaux, dont, l’andernier, les tours North Galaxy (occupées parl’administration des Finances, quartier Nord àBruxelles, NdlR). Les désinvestissements nesuffisentils plus ? Cofinimmo compte quelques immeubles vides. Veutelle les garder ? Amoins qu’elle ne puisse les vendre.
Mais, globalement, vous voyez cette augmenta-tion de capital d’un bon œil.On peut envisager deux scénarios à cettepréannonce. Optimiste : Cofinimmo a un projet dans le pipeline qui sortira dans lesmois quiviennent. Pessimiste : elle n’a rien et fait appelaumarché ‘au cas où’. Comme Befimmo qui, ily a quelques années, s’était financée sans véritable objet si ce n’est se désendetter, une obsession du secteur à l’époque.
Est-ce parce que c’est le bon moment ?C’est sûr que pour l’instant, l’immobilier belgea un excellent accès au marché des capitaux.Tout le monde est prêt à lui prêter de l’argent.Les banquiers le font sourire aux lèvres. Et enBourse, cela fonctionne bien. Parce que depuisque les ‘sir’, exsicafi, existent (1995), il n’y a jamais eu d’accidents financiers graves tels quefaillites, restructuration de la dette… La plupartdonnent un dividende qui progresse chaque
année. Leur rendementmoyen est à quelque 4à 5 %, ce qui n’est pas rien par les temps quicourent. A titre de comparaison, UnibailRodamco, premier investisseur et développeureuropéen en immobilier commercial, a récemment émis une obligation pour 10 ans à… 1 %seulement ! 1 % brut ! Je suis d’ailleurs étonnéde voir combien les ‘sir’ sont peu connues dugrand public, alors que ce sont des produitsmagnifiques, bardés de tas de gardefous, donton connaît la valeur intrinsèque, etc.
Pensez-vous que d’autres ‘sir’ vont se lancer dansdes augmentations de capital en cash ?La dernière date de l’an dernier : en mars, Ascencio avait levé 81,5 millions d’euros. Je n’envois pas venir d’autres, sauf cas spécifiques. Essentiellement parce que, pour avoir du cash, les‘sir’ ont bien d’autres alternatives, moins lourdes que les augmentations de capital, qui nécessitent la publication d’avis, de prospectus, etc., et ne sont envisagées que pour de trèsgros montants. Parmi ces alternatives, il y al’endettement classique auprès d’une banque.Hormis quelquesunes (Leasinvest, Montea…),elles ont encore de la marge. Il y a aussi le dividende optionnel (soit la possibilité de le distribuer en actions) qui, généralement, donne debons résultats; les actionnaires sont nombreuxà le préférer au cash, même s’il n’est pas,comme en Hollande, favorisé fiscalement. Sansoublier les apports en nature : un immeublecontre des actions, que le vendeur peut garderou directement replacer dans le marché. Unvéritable cercle vertueux : plus grande taille,plus de liquidités, plus d’apports… Avec ceciqu’un apport est plus intéressant : discret, sanscommission d’agent… Non, non, le challenge,aujourd’hui, n’est pas d’avoir de l’argent maisde savoir le dépenser à des rendements raisonnables !
Il n’y a pas grand-chose à vendre ?Si, mais ce n’est pas évident de trouver debeaux objets à des prix corrects. La concurrence sur le terrain est très forte. Les ‘sir’ doivent désormais viser des produits plus exotiques, à tout le moins plus originaux. Les séniories qui, avant, offraient des rendements de7 %, sont aujourd’hui sous la barre des 6 %. Lesbeaux espaces commerciaux sont sous les 4 %.Ou alors, elles doivent aller à l’étranger, commeAedifica en Allemagne, Cofinimmo en Franceet aux PaysBas, Leasinvest en Suisse…
D.R./PETER
CAM
HERMAN VAN DER LOOSEquity analyst sell-side chez Petercam.
Interview express
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2 EN VUE SEMAINE DU 16 AU 22 AVRIL 2015 LIBRE IMMO 3EN VUEPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE
Un impact sur le devenir des villesCEO de la société foncière Banimmo depuis janvier 2014, Christian Terlindenaime surtout le développement de projets, de la feuille blanche à leur impactconcret sur la ville. Parmi ses défis : mener plusieurs projets à la fois.
LA FINANCE : tel était le fil rougede la carrière de Christian Terlinden jusqu’à sa nominationcomme CEO de Banimmo. Licencié en Droit et en Sciences économiques, c’est par un MBA auxEtatsUnis qu’il a complété sa formation. Son premier poste, il ledécroche chez Citibank. “Quandon fait un MBA, on a en généraldeux possibilités. Travailler dans leconseil stratégique – ce dont jen’avais pas très envie – ou dans lafinance. J’ai été recruté aux EtatsUnis par Citibank, mais je n’avaispas de carte verte pour travaillerdans ce pays. J’ai donc commencéau siège de Bruxelles.” Après cinqans, il rejoint Cobepa, où il entrepour la première fois en contact
avec l’immobilier. “Je me suis occupé de deux projets de rénovationdans le centre de Bruxelles : l’ancien immeuble Josi et un bâtimentsitué à côté du Parlement européen.” C’est dans le groupe industriel Sapec et à l’étranger qu’ilpoursuit sa carrière. Pendant dixans, il est basé à Lisbonne pourcouvrir la péninsule ibérique.
En 2005, Christian Terlindenentre chez Banimmo commeCFO. Au sein de cette société foncière spécialisée dans la réhabilitation d’immeubles, il s’est notamment occupé, à côté de projets immobiliers, de gérer lasortie de l’actionnaire australienet l’augmentation de la part dumanagement dans le capital.C’est aussi lui qui a mis sur la table l’idée d’une introduction enBourse (effective en 2007) et en a
assuré le suivi. Quand le CEO deBanimmo, Didrik van Caloen, décide de prendre un peu de distance – il reste actionnaire de lafoncière –, on pense naturellement à Christian Terlinden pourlui succéder.
CEO depuis janvier 2014, cedernier confie aimer gérer uneéquipe et une entreprise qui a pignon sur rue – “il faut lui donnerune identité, en être l’ambassadeur”–, mais aussi des projets. “Ce quiest amusant dans l’immobilier, c’estqu’on part d’une feuille blanche. Oncrée de la valeur en rénovant unbien ou en concevant un immeubleneuf. Chaque projet est en fait uneentreprise en soi. Ce qui est intéressant aussi c’est que nous avons unimpact sur le devenir des villes.Nous participons à leur développement et à leur transformation.”
Son défi : arriver à mener de frontplusieurs projets complexes à leurterme. Et anticiper. “Un compte de résultats se bâtit 3 à 4 ans à l’avance.”
Actif sur le marché du bureau et ducommerce, Banimmo développeaussi quelques projets résidentielset hôteliers. Dont le Dolce, à laHulpe, “où nous avons redonné vie àun site magnifique qui serait en friche.C’est très valorisant”, explique Christian Terlinden. Et de noter que “lemarché du bureau est en crise depuis2007. L’hôtellerie a plongé en 2009mais a à nouveau le vent en poupe : il ya une demande, sur Bruxelles notamment, pour plus de capacité hôtelière.Des développements se font actuellement dans le résidentiel car on manque de logements. Il existe vraimentdes cycles. C’est pour cela qu’il faut êtrepolyvalent.”
Solange Berger
+10%BOOM DU NOMBRE DE PERMIS DE BÂTIRD’après le SPF Économie, environ 53 800 permis
de bâtir ont été accordés l’an dernier pour laconstruction de maisons unifamiliales et
appartements en Belgique, soit 10 % de plus qu’en2013. C’est la première fois en six ans que le cap
des 50 000 permis est franchi. Les permisaccordés en 2014 concernaient 22 287 maisons
unifamiliales et 31 535 appartements. Le nombrede permis accordés a été particulièrement élevé
durant les premiers mois de l’année, avec un pic àplus de 9 000 permis en avril, lié aux exigencesénergétiques plus strictes entrées en vigueur audébut de l’année 2015 en Flandre. En 2013, le
nombre de permis de bâtir n’avait pas dépassé les49 000 unités. (Belga)PH
OTON
EWS
30LES BELGES N’EMPRUNTENT PLUS SUR 30 ANS
D’après le bureau d’avis spécialisé en crédits logement Immotheker, aucun candidatpropriétaire n’a contracté de prêt sur une durée supérieure à 25 ans au cours des premiers
mois de l’année 2015. Pourtant ce type de prêt, au plus fort de son succès en 2011,intéressait encore 39 % des futurs acquéreurs, rapportent nos confrères du “Standaard” etdu “Nieuwsblad”. Cette baisse s’explique principalement par deux raisons. Premièrement,
les taux d’intérêt extrêmement bas font que les futurs propriétaires ne doivent plusnécessairement emprunter sur une très longue période. Début 2014, ceux qui souhaitaientemprunter 150 000 euros avec une capacité de remboursement mensuelle de 750 eurosdevaient contracter un prêt sur une durée de 30 ans. Aujourd’hui, pour des mensualités etun montant équivalents, il est possible de réduire la durée du prêt à un peu plus de 20 ans.
En second lieu, les banques ne sont plus désireuses de prêter à très longterme, car elles encourent plus de risques. C’est pourquoi leurs
taux d’intérêt sur 30 ans sont moins avantageux. (Belga)
LES COMPÉTENCES BELGES À L’ŒUVRE EN CHAMPAGNELa coopérative d’architectes L’Escaut, dont le fondateur n’est autre que
l’ancien Bouwmeester de la Région de Bruxelles-Capitale, Olivier Bastin, aété sélectionnée voici près de deux ans par la mairie de Reims (France) pourla réhabilitation d’un ancien cellier en pôle culturel. Soit un site hautementsymbolique du territoire rémois, siège social successif de trois Maisons dechampagne et d’une coopérative de vins de Champagne, dont la façade Art
nouveau, classée, est ornée de mosaïques datant de 1898 sur les différentesétapes de l’élaboration du champagne. Inauguré le 4 avril dernier, le projet a
été mené en association avec l’agence d’architecture française Tandem +,basée à Lille. L’objectif poursuivi était de transformer en profondeur le
bâtiment pour l’adapter à son nouveau programme, tout en tirant parti deses espaces singuliers, tels que les caves ou la grande salle, ses matériauxbruts et son hétérogénéité architecturale. Si, à l’extérieur, aucun signe de
transformation ne peut apparaître du fait du classement de la façadeprincipale, l’intérieur fait, lui, l’objet d’une reconfiguration visible, voulue
comme telle et assumant les traces et témoignages des démolitions etreconstructions successives. Cette volonté de sincérité architecturales’apparente à la notion d’“esprit de friche”, une posture architecturalespécifique qui économise les interventions pour préserver les espaces
originels et les couches d’histoire greffées sur leurs murs. Le bâtiment abritedésormais 3 fonctions : le spectacle, l’exposition et la formation. Elles sont
réparties en zones distinctes avec accès indépendants mais s’articulenttoutes autour du foyer, cœur du projet au sens propre et au sens figuré.
©FR
ANCO
ISLICH
TLÉ
D.R.
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4 DOSSIER SEMAINE DU 16 AU 22 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
Un marché du kot disparate : so us-offre ici, quasi-suroffre làSur le plan immobilier, Bruxelles et les grandes villesétudiantes wallonnes se ressemblent de moins enmoins. Leur offre est diverse, tantôt répartie dans desmaisons de maître divisées, tantôt dans de véritablesrésidences, avec services et équipements à la clé.S’il ne fallait trouver qu’un point commun, ce seraitl’implication croissante des autorités communales.
Dossier Thibault Balthazar, Bertrand Lodewyckxet Frédérique Masquelier
Bruxelles en passe desortir de la pénurie ?
“On estime qu’il manque près de 8 000 logements étudiants sur le territoire de la Région bruxelloise. Les loyers augmentent et les étudiants quisouhaitent étudier à Bruxelles sont précarisés”, souligne Samuel De Roover, chef de cabinet de Mohamed Ouriaghli, échevin du Logement à laVille de Bruxelles. Un constat partagé par Nathalie Gilson, en chargede l’urbanisme à Ixelles, commune qui accueille deux grands campusuniversitaires. “Plus de 7 000 étudiants de la VUB et de l’ULB font chaqueannée une demande de logement auprès de ces deux universités alors quel’ULB n’a que 1 800 chambres disponibles en propre…” Les chiffres parlent d’euxmêmes. L’offre de logements étudiants est clairement endessous de la demande. Un problème bien assimilé par les communesdu territoire bruxellois, qui tentent d’atteindre un certain équilibresur le marché.
Ainsi, à Ixelles, on facilite l’octroi de permis pour les résidences étudiantes, comme l’explique l’échevine en charge du dossier. “La situation est complexe puisqu’il y a différents types de logements étudiantscomme les chambres chez l’habitant, les colocations, etc. Nous essayons denotre côté de favoriser les projets de résidences étudiantes, explique Nathalie Gilson. Mais il faut bien encadrer ces projets et vérifier que ce nesont pas des immeubles composés de studios mais bien de vraies résidencesétudiantes avec des espaces communs, par exemple. Nous imposons desconditions aux entrepreneurs pour l’octroi des permis et nous faisons également signer des conventions aux universités.” Un travail qui sembleporter ses fruits puisqu’on estime que d’ici fin 2015, près de 2 500chambres étudiantes auront été créées en cinq ans de temps sur le solixellois.
Dans la commune voisine de BruxellesVille, le projet Fontainas,géré par la Régie foncière, prévoit un peu plus de 30 logements étudiants. “Il faudra bien deux ans pour mettre tout en place; nous devonsencore prendre contact avec les écoles supérieures environnantes. C’estune première pour la Régie foncière, mais la volonté est de proposer desloyers moins élevés que ceux du marché. On se rend bien compte qu’il estdifficile pour certains étudiants de loger à Bruxelles et en tant qu’acteurpublic, il est nécessaire de prendre des initiatives pour réguler le marché”,assureton du côté du cabinet de l’échevin en charge du Logementbruxellois.
Enfin, une plateforme du logement étudiant a récemment vu le jourà l’initiative de la plupart des institutions de l’enseignement supérieur bruxellois. Une plateforme qui, à l’instar de ce qui existe déjà enFlandre, aura notamment pour mission de mettre en commun les différentes bases de données de logements étudiants du marché privé,ainsi que d’améliorer l’information sur la qualité des biens. De quoiégalement favoriser le retour à l’équilibre sur le marché du logementétudiant bruxellois.
B.L.
Vers un certain équilibre à Louvain-la-NeuveEncore en relative pénurie il y a quelquesannées, le marché du logement étudianttend à se stabiliser sur le campusnéolouvaniste.
Cité estudiantine par excellence, LouvainlaNeuve ne parvenait pas, il y a seulement quelques années, à combler toutesles demandes de logement des étudiants de l’UCL et desautres hautes écoles présentes dans la commune wallonne.L’université possède pourtant le plus grand parc de logementsétudiants d’Europe. Rien qu’à LouvainlaNeuve, l’UCL propose pas moins de 4 250 kots en propre, en plus de la gestionde 1 250 autres logements appartenant à des propriétairesprivés. Mais ce n’était, il y a peu, pas encore suffisant pour les9 000 à 10 000 étudiants koteurs que compte l’université.
Une situation de pénurie qui est également “un frein à la démocratisation des études”, selon Cécile Lecharlier, échevine encharge du Logement de la ville d’OttigniesLouvainlaNeuve.“Il y avait tout simplement un problème d’accès aux études pourles étudiants qui ne trouvaient pas de logement sur place”, poursuitelle. Ce constat a poussé les autorités régionales à agir audébut des années 2010. Et c’est ainsi qu’après une étude dumarché wallon, une enveloppe a été octroyée à la communed’OttigniesLouvainlaNeuve, où le manque d’offre était leplus criant. À elle dès lors de mettre le projet en route. “Notrerôle a été de trouver les personnes pour mettre tout cela en œuvre
À Bruxelles, le manque de logements étudiants afait bondir les prix. Un constat qui a provoqué laréaction des autorités communales et régionales.
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4 DOSSIER SEMAINE DU 16 AU 22 AVRIL 2015 LIBRE IMMO 5DOSSIERPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE
Un marché du kot disparate : so us-offre ici, quasi-suroffre là
CHRISTOP
HEBO
RTELS
Louvain-la-Neuve reste la cité estudiantine par excellence,conçue et pensée par les instances académiques elles-mêmes. Ce qui n’empêche pas les autorités de la communed’Ottignies-Louvain-la-Neuve de prendre la situation dulogement pour étudiants à bras-le-corps.
Vers un certain équilibre à Louvain-la-Neuveet, actuellement, 49 logements sont en train d’être construits pourles étudiants”, explique Cécile Lecharlier.
Depuis trois ans, l’UCL a également construit près de 350kots et poursuit sur sa lancée avec 300 lits supplémentairesprévus d’ici 2016. De quoi combler le vide, jusqu’à créer unequasi… suroffre, qui dérange certains gérants d’agences immobilières, comme Madeleine Van Rutten, de DynamicImmo. “Début 2013, nous avions déjà senti un certain déséquilibre avec la mise sur le marché de nombreuses nouvelles chambrespar l’université. Mais depuis le début de cette année, le problèmeest encore plus flagrant et les anciens bâtiments sont de moins enmoins occupés…, regrettetelle. Cela pousse peutêtre certainspropriétaires privés à rénover leur(s) biens(s) pour être plus compétitifs, mais cela en force aussi pas mal à vendre. Le marché estrevenu à la situation des années 90, lorsqu’il y avait beaucoup delogements étudiants à vendre. Cela mettra certainement cinq àsix ans pour que l’équilibre soit à nouveau atteint.”
Ce qui fâche surtout Madeleine Van Rutten, c’est le manquede concertation entre les différents acteurs du marché du logement étudiant à LouvainlaNeuve, qui empêche un développement cohérent et réfléchi. Une situation à laquelle essaye de remédier la commune, qui fait ce qu’elle peut pouraméliorer la communication entre les différents protagonistes. “Ce qu’il faut savoir, c’est que nous n’avons pas les compétences pour être acteur du marché. Nous avons tout de même créél’Observatoire du logement étudiant, qui tente de rassembler tousles acteurs autour de la table. On essaie de faire avancer les choses”, conclut l’échevine ottintoise.
B.L.
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6 DOSSIER SEMAINE DU 16 AU 22 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
Un marché au diapason à NamurOffre et demande se répondent, c’est globalement la tendance danslaquelle se situe la capitale wallonne. Ce qui n’empêche pas denouveaux projets de sortir de terre.
La pénurie du milieu des années 90 n’est plusqu’un lointain souvenir. Actuellement, sur lesquelque 3 000 kots étudiants disponibles àNamur, environ 450 sont détenus et gérés parles Facultés universitaires NotreDame de laPaix (FUNDP). Pour le reste, l’offre est auxmains de propriétaires privés, qui ont investien masse dans l’aménagement de logementscommunautaires dans les grosses maisons demaître namuroises. La plupart d’entre ellessont situées dans le centreville, derrière lagare de Namur (Bomel, SaintServais) et dansun trio bien connu de “rues à kots” (Salzinne) :la rue Henri Lemaître, la rue Cardinal Mercieret l’avenue Reine Astrid. Côté loyers, les prixoscillent entre 256 et 283 euros pour les kotsdes FUNDP. Dans le privé, il faut compter entre 350 et 450 euros pour un logement communautaire.
La concentration de l’offre de logementsétudiants dans certains quartiers namuroisbien précis pousse l’administration communale à tenter de garantir un équilibre entreétudiants et habitants. “Nous promouvons unemixité sociale et voulons que les maisons de maître soient partagées entre les habitants au rezdechaussée et les étudiants dans les étages supérieurs, soutient Stéphanie Scailquin, échevine(cDH) de l’Urbanisme et du Logement de Namur. Le but de nos mesures est d’empêcher certains quartiers d’être désertés pendant les vacances, phénomène qui est malheureusementcourant.” Mais aussi de préserver l’accès au logement des familles. Avec ceci que cette coha
bitation rapprochée entraîne bien souventdes problèmes de voisinage. Pas toujours résolus, comme le souhaiterait Hubert Bouvier,de l’Immobilière des Tanneries. “Nous déplorons parfois que certains quartiers tendent versl’exclusion des kots, alors que la solution résiderait simplement dans le dialogue.”
Enfin, signalons l’amélioration de la qualitédes biens mis sur le marché, ce qui n’a pastoujours été le cas par le passé. Selon les chiffres de la Ville, 95 % des logements seraientaujourd’hui salubres. “L’intérêt d’investisseurstoujours plus nombreux a engendré une pressionsur la qualité du logement étudiant namurois et,in fine, l’élimination de certains taudis”, acquiesce Hubert Bouvier. La Ville a égalementveillé à ce que les mesures de sécurité en vigueur pour les petits logements de moins de28 m², soumis à un permis de location, soientappliquées.
Conclusion ? Namur a trouvé un équilibreplus ou moins stable entre l’offre et la demande sur le marché du logement étudiant.La création d’un nouveau complexe de150 studios verra toutefois le jour prochainement. Une petite révolution. Il s’agira de l’undes premiers complexes exclusivement conçus pour des étudiants. Les résidences serontconstruites près de l’avenue des Croix de Feu,juste avant SaintServais. Le chantier du projet, mené par le groupe Eckelmans Immobilier, se clôturera fin 2016, pour un coût totalde 15 millions d’euros.
Th.B.
Profusion deprojets à LiègeRiche en kots de toutes sortes et detoutes situations, la Cité Ardentefait de l’œil aux promoteurs depuispeu. Quitte à frôler la suroffre ?
A Liège, un peu comme à Namur, le marché du logement étudiant s’est surtout développé au travers d’investissements de petits particuliers.Ceuxci ont acheté des maisons de maître à lapelle, les retapant et les divisant en de multipleskots. Mais, et contrairement à la capitale wallonne, ces réaffectations – parfois sauvages – ontété plus ou moins harmonieusement disperséessur l’ensemble du centreville liégeois. A l’exception, peutêtre, des quartiers d’Outremeuse et deSaintGilles, très prisés des étudiants. Soit, au total, et en comptant les 360 logements que possède et gère l’ULg, quelque 7 000 kots, estimentles observateurs du marché. Un parc aujourd’huien plein essor, quitte à frôler la… suroffre.
“L’offre et la demande se sont longtemps équilibrées à Liège, assureton au Centre J, centre d’information pour les jeunes. Toutefois, cela fait 2 ansmaintenant que certains propriétaires privés rament un peu pour trouver des locataires pour leurskots.” C’est que les promoteurs ont fait à leur tourleur entrée sur le marché du logement étudiantliégeois. “Je dirais que l’on reçoit des marques d’intérêt de leur part depuis 4 ou 5 ans, acquiesce JeanPierre Hupkens, échevin de l’Urbanisme. Et ce,pour des projets de toutes tailles, des plus modestesaux mastodontes de plusieurs centaines d’unités.”L’élu cite en exemple le Student Hotel (boulevardd’Avroy, société City Living, 146 chambres, 2008)et Meuse Campus (place du XX août, groupe Eckelmans Immobilier, 235 logements, 2013), réalisés, mais aussi les dossiers en cours, à tout lemoins en discussions, certaines étant plus avancées que d’autres : l’ancienne gare Jonfosse (ex“Soundstation”, société Student Station, 68 logements), les anciens établissements Sacré (quartierSaintLéonard, promoteur Laurent Minguet, 230logements), etc. “D’autres sont en réflexion autourdu site de Val Benoît et de celui de Bavière, dans le cadre, entre autres, d’ensembles mixtes. Tandis qu’onnous adresse également des demandes pour des projets de plus petite taille, de 15 à 20 logements, qui ciblent SartTilman ou le boulevard de la Sauvenière”,ajoute JeanPierre Hupkens.
Les autorités communales sont en effet très enclines à privilégier les logements de qualité, munis d’équipements collectifs pour les étudiants,bien localisés et intégrés dans le tissu urbain.Autrement dit, tout le contraire des colocations“bricolées” dans les maisons de maître. “Il n’est pasquestion d’exclure l’une ou l’autre typologie de kots,précise l’échevin de l’Urbanisme. Ce qui fait la richesse du parc liégeois, c’est notamment sa diversité.Mais nous souhaitons que l’offre soit avant tout qualitative et à des prix abordables pour les étudiants.”
Georges Habrand, du Service Logement del’ULg, attire, lui, l’attention sur le problème desétudiants Erasmus, dont les séjours courts les empêchent de trouver facilement à se loger dans lesecteur privé, friand de contrats sur 12 mois.L’ULg leur réserve un tiers de son parc, et leur dédie une part importante de son nouveau projet de200 kots et 20 studios au SartTilman, prévu pour2017. De quoi soulager un peu la pénurie de logements adaptés aux contrats de loyers flexibles.
F.Ma.
D.R./ECK
ELMAN
SIM
MOB
ILIER
Meuse Campus (en photo, avant rénovation)pratique des loyers mensuels de 330 à 440 euros.Il en coûtera entre 480 et 760 euros aux étudiantsciblant le Student Hotel. Les kots des petits privésse situent, eux, autour de 300 à 350 euros. Et ceuxde l’ULg varient de 210 à 310 euros.
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Appartement | ForestLe 19 mars dernier, un appartement inscrit au 4e
étage d’un immeuble (Résidence Jupiter) sisavenue Jupiter n°s 121-125 à Forest (Bruxelles) atrouvé acquéreur à 320 000 euros. Soit la mêmesomme que celle atteinte lors d’une précédenteséance de vente avec faculté de surenchère. Lebien comprend un hall, un W.-C., un salon avecfeu ouvert et terrasse, trois chambres (dont uneavec une salle de bain et un W.-C. séparé), unesalle de bain, un débarras et une cuisine avecterrasse également. Le tout est assorti d’unecave. Superficie de l’immeuble : 7 a 21 ca. PEBnon communiqué. Emissions annuelles de CO2 :52 kg/m². Revenu cadastral : 3 165 euros.UVente réalisée par Jean Didier Gyselinck,notaire à Bruxelles (1050).
320 000 euros
NVN-FEDN
OT
Maison de commerce et derapport |BruxellesLe 15 mars dernier, une maison de commerce etrapport située boulevard d’Anvers n°36 et ruedes Commerçants n°61 à Bruxelles a changé demains pour 1,76 million d’euros. C’est quelque500 000 euros de plus que la somme atteintelors d’une précédente séance de vente avecfaculté de surenchère : 1 291 200 euros. Le biense compose d’un rez-de-chaussée et d’un 1erétage commerciaux (de type bar/restaurant), demême que de 16 logements. Il est assorti parailleurs de diverses caves et emplacements deparking. Superficie du bien : 3 a 25 ca. PEB noncommuniqué. Revenu cadastral : 23 208 euros.UVente réalisée par BernardWillocx, notaire àBruxelles (1040).
1 760000 euros
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Maison |Woluwe-Saint-PierreLe 17 mars dernier, le marteau est tombé à585 000 euros pour une maison sise avenueXavier Henrard n°34 à Woluwe-Saint-Pierre(Bruxelles), et ce, lors d’une séance de ventepublique unique. Le bien comprend un garage etdes caves au sous-sol; un hall d’entrée, un salon,une salle à manger et une cuisine au bel étage;un hall de nuit, trois chambres, une salle debain, un W.-C. et un dressing au 1er étage; et ungrenier. Il est assorti d’une terrasse et un jardin.Superficie du bien et du terrain : 3 a 32 ca. PEB :G. Emissions annuelles de CO2 : 112 kg/m².Revenu cadastral : 2 801 euros.UVente réalisée par BrunoMichaux, notaire àBruxelles (1040).
585 000 euros
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Libre Immo - Supplément hebdomadaire à La Libre Belgique. Coordination rédactionnelle: FrédériqueMasquelier. - 02/211.28.28 - frederique.masquelier@lalibre.be Illustrations: Etienne Scholasse.Réalisation: IPM Press Print. Administrateur délégué - éditeur responsable: François le Hodey. Directeur général: Denis Pierrard. Rédacteur en chef: Francis Van deWoestyne. Rédacteurs en chef adjoints:Xavier Ducarme et Gilles Milecan. Conception graphique: Jean-Pierre Lambert (responsable graphique). Publicité: Véronique Le Clercq - +322/211.27.64 - vero.leclercq@ipmimmo.be
En bref
BouwmeesterFlandre. Le gouvernement flamandest revenu sur sa décision récentede supprimer la fonction deBouwmeester ou maître-architecteattaché à la Région. Finalement, laFlandre se choisira donc bel et bienun nouveau candidat pour reprendrele poste qu’occupait précédemmentPeter Swinnen, licencié en débutd’année à la suite d’un audit,indiquent nos confrères duStandaard et du Nieuwsblad.La Flandre avait décidé en début delégislature de remplacer cettefonction de maître-architecte par ungroupe d’experts. Mais après avoirconsulté tous les acteurs du secteurde la construction, le gouvernementest revenu sur ses pas pour estimerque le Bouwmeester devaitcontinuer à exister, en conservantson indépendance.Sa liberté sera tout de mêmequelque peu limitée, le secteur de laconstruction ayant expriméquelques critiques en rapport avecses responsabilités dansl’attribution de marchés et de
tâches. Le Bouwmeester devraitdésormais être davantage unmanager qu’un décideur outhéoricien. Pour les bâtimentspublics, il devra explicitementprivilégier le rapport qualité-prix.Le groupe d’experts imaginé par legouvernement flamand existeraégalement, mais sera placé sous lesordres du nouveau maître-architecte, lui-même dépendantdirectement du ministre-présidentGeert Bourgeois. (Belga)
TaxeCirculation. Dès 2016, les troisRégions du pays introduiront unprélèvement kilométrique pour lesvéhicules de plus de 3,5 tonnes. Unedécision qui concerne de près lesecteur de la construction,notamment les entreprises de géniecivil. Et qui a incité la ConfédérationConstruction à émettre un certainnombre de recommandations. Ainsidemande-t-elle, dans uncommuniqué, que les recettesrelatives à cette nouvelle taxe soientaffectées exclusivement à l’entretien
et au développement desinfrastructures du pays. Un retour àl’envoyeur, en quelque sorte puisquece sont les infrastructures routièresqui généreront les revenus duditprélèvement kilométrique. Etd’insister aussi pour que la nouvellerecette se substitue aux créditsbudgétaires actuels. En outre,toujours selon la ConfédérationConstruction, il faut éviter que leréseau routier principal, taxé, soitdélaissé au profit des routessecondaires. Dans le cas d’un teldéplacement du trafic, demande estfaite qu’une nouvelle redevanceroutière soit étudiée.Le secteur demande par ailleurs àêtre exonéré de ce prélèvementkilométrique. Son objectif estd’optimiser le transport demarchandises, une notion qui atoutefois été étendue dans lalégislation à la celle d’outils. Et derappeler que les véhicules dechantier de construction sont lesoutils de travail des entreprises. Ilscontiennent tant le matériel que lesmatériaux nécessaires à l’exécutionde sa mission.
RemboursementCrédit hypothécaire. Selon leschiffres de la Centrale des créditsaux particuliers (arrêtés au 31 mars2015), 45 782 Belges ne parviennentplus à rembourser leur prêthypothécaire. C’est 4,5 % de plusqu’il y a un an, rapportent lesjournaux de Sudpresse. Mêmeobservation du côté du nombre decontrats défaillants : 34 474 (soit5,6 % de plus qu’en mars 2014),pour un montant total de1 338 143 000 euros (+ 10,9 % enun an). À l’Observatoire du crédit etde l’endettement, on tire la sonnetted’alarme. “Attirés par les taux bas,certaines personnes se précipitent,sans calculer combien le prêt pèserasur le budget du ménage”, remarqueDidier Noël, coordinateur àl’Observatoire. L’autre objetd’inquiétude concerne lesouvertures de crédit, que 215 102Belges ne parviennent plus àrembourser. C’est 6,2 % de plusqu’en mars 2014, pour un montantqui s’élève à 489 459 000 euros(+2 % en un an). (Belga)
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8 ZOOM SUR SEMAINE DU DU 16 AU 22 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
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10 SÉLECTION DELA SEMAINE
SEMAINE DU 16 AU 22 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
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12 ANNONCES SEMAINE DU 16 AU 22 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
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14 ANNONCES SEMAINE DU 16 AU 22 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
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16 ANNONCES SEMAINE DU 16 AU 22 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
à vendre
MAISONS250.000à500.000€
21-102121902-02
21-110727618-18
à vendre
MAISONS>500.000€
21-110753707-07
21-110754002-02
21-110727603-03
21-106137901-01
21-110727606-06
21-110728905-05
21-110728903-03
21-110728902-02
21-110727602-02
21-110754010-10
21-110754007-07
21-110753708-08
21-110754005-05
21-110727611-11
21-110728906-06
à vendre
MAISONSnonprécisé
21-110728702-02
21-110755401-01
21-110728701-01
21-110755402-02
21-110755404-04
à vendre
APPARTEMENTS<250.000€
21-110755103-03
21-110755101-01
21-110755107-07
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à vendre
APPARTEMENTS250.000à500.000€
21-102121901-01
21-110754003-03
21-110727609-09
21-110753705-05
21-110753701-01
21-110727613-13
21-110727612-12
21-110753706-06
21-110754001-01
21-110727614-14
21-110728907-07
21-110755110-10
21-110727615-15
21-110727601-01
21-110754009-09
21-110754008-08
21-110727605-05
21-110755108-08
21-110755109-09
21-110727604-04
21-110727616-16
à vendre
APPARTEMENTS>500.000€
21-110728901-01
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18 ANNONCES SEMAINE DU 16 AU 22 AVRIL 2015 LIBRE IMMO
21-110753702-02
21-110753704-04
21-110727617-17
21-110478202-02
21-110727608-08
21-110753703-03
21-110754004-04
21-110727610-10
21-110755106-06
21-110727607-07
21-110755104-04
21-110754006-06
21-110728904-04
21-110755105-05
à vendre
APPARTEMENTSnonprécisé
21-110755403-03
21-110755405-05
VIAGER
21-109768901-01
21-102311601-01
21-102311602-02
IMMEUBLESDE RAPPORT
21-110755102-02
à louer
LITTORAL
21-110163701-01
21-110008701-01
France
VILLÉGIATURE
21-110710101-01
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BRUXELLES
21-110699603-03
21-110647402-02
ventes par notaires
ARRONDISSEMENT DE BRUXELLES
21-110699601-01
ventes par notaires
BRABANT
21-110691901-01
21-110754401-01
21-110671601-01
ventes par notaires
AUTRES PROVINCES
21-110756501-01
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