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© S.A. IPM 2014. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit. LE NUMÉRIQUE s’invite à l’hôtel L’hôtellerie moderne se connecte au réseau et devient branchée. Smartphones et tablettes permettent aux clients des hôtels 2.0 d’accéder à de nouveaux services. pp. 4 et 5 PHOTONEWS Portrait P. 3 Alain van Houtte mise sur la durabilité au sein de la société belge BoPro. Rendez-vous sur WWW.LOGIC-IMMO.BE En vue P. 2 Un immeuble rénové en mode cradle to cradle, à Genval : l’histoire sans fin. Conjoncture P. 6 Une citerne de récupération des eaux de pluies est amortie en moins de 5 ans. Annonces PP.8-16 Dans ce supplément, 9 pages pour trouver le bien de votre choix. D.R. D.R. EAUDEPLUIE.EU D.R. Supplément à La Libre Belgique - N°258 - Semaine du 23 au 29 octobre 2014

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La LIbre Immo du 23 octobre 2014

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LE NUMÉRIQUEs’invite à l’hôtelL’hôtellerie moderne se connecte au réseau et devientbranchée. Smartphones et tablettes permettent auxclients des hôtels 2.0 d’accéder à de nouveaux services.

pp. 4 et 5

PHOT

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PortraitP.3Alain van Houtte mise surla durabilité au sein de lasociété belge BoPro.

Rendez-vous surWWW.LOGIC-IMMO.BE

En vueP.2

Un immeuble rénové enmode cradle to cradle, àGenval : l’histoire sans fin.

ConjonctureP.6

Une citerne de récupérationdes eaux de pluies estamortie en moins de 5 ans.

AnnoncesPP.8-16

Dans ce supplément,9 pages pour trouverle bien de votre choix.

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Supplément à La Libre Belgique - N°258 - Semaine du 23 au 29 octobre 2014

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2 EN VUE SEMAINE DU 23 AU 29 OCTOBRE 2014 LIBRE IMMO

AgendaSalonCocoon. Organisé, cette année, du 15 au23 novembre, sur le site du Brussels Expo, lesalon Cocoon donne rendez-vous auxamoureux de la maison et de la décoration. Àl’occasion de la 25e édition du salon, quatrepartenaires VIP ont confirmé leur venue. ElvisPompilio, Gauthier Poulain, Didden&Co etGérald Watelet présenteront leurs nouveautésdans un espace exclusif qui leur estentièrement dédié. Autre nouveauté cetteannée : c’est le Designer Gauthier Poulain,lauréat du concours du Jeune designer belgeen 2005, qui a été désigné Directeurartistique de Cocoon 2014.

FormationsBientôt-Vendu. La société Bientôt-Venduorganise trois conférences suivies d’unafterwork, le 4 novembre prochain, à Uccle.La première débute à 17h et sera consacréeaux solutions de crédit hypothécaire en 2015.Présentée par Vincent Reynaerts, elle a pourobjectif de passer en revue les nouveauxenjeux bancaires pour faciliter une venteimmobilière. À 17h30, une secondeconférence abordera la problématique de lapublicité. Les agences sont de plus en plusnombreuses à s’offrir des campagnes depublicité sur Google. Marc Jelenspergers’interrogera sur les bonnes pratiques en lamatière en offrant des conseils pratiquespour une présence rentable avec l’outilGoogle-adwords. Enfin, à 18h, Gilles Carnoyabordera le sujet des offres immobilières ententant de déterminer si une offre acceptéefait encore vente ou non à l’heure actuelle.Il analysera une nouvelle jurisprudence etson implication dans le métier d’agentimmobilier. À 18h30, aura lieu un débat entreles trois intervenants, suivi d’un cocktail.UB19, avenue Van Beever, 19, à 1180 Uccle.Accueil dès 16h30. Tarif : 30 euros HTVA.

Le cradle to cradle,éternelle rénovation

Le Mazerin (Genval) est remisà neuf en mode “cradle to cradle”,via un partenariat public­privé.

UNE RÉNOVATION ? Mieux : une renaissance ! ÀGenval, le Mazerin, un ancien bâtiment des pape­teries Intermills, reprend vie depuis son acquisi­tion, en septembre 2013, par l’Intercommunaledu Brabant Wallon et l’entreprise Bia. De l’exté­rieur, ses briques rouges, ses parements en pierresbleues et ses châssis en aluminium sont préservés,tandis qu’à l’intérieur, les éléments de la cons­truction sont dépiautés, puis triés, avant de con­naître une seconde jeunesse. Le faux plancher,l’isolant, les cloisons de bureau, le tableau électri­que, les câbles, etc. : presque tout est réutilisé pouraménager de nouveaux bureaux. Dans le courantde l’année prochaine, l’intercommunale braban­çonne va y installer, aux deux premiers étages,son troisième centre destiné aux entreprises dé­butantes et, aux deux derniers étages, la sociétéspécialisée en distribution de machines d’ingé­nierie occupera ses propres bureaux.

En attendant, les travaux de réhabilitation dubâtiment s’inspirent de la démarche “cradle tocradle”, autrement dit la démarche “du berceauau berceau”, qui privilégie, entre autres, la récu­pération des matériaux existants et la pose denouvelles techniques recyclables. Cette philoso­phie est insufflée aux maîtres d’ouvrage par Ste­ven Beckers, cofondateur de Lateral Thinking. Surses conseils, le bâtiment est envisagé comme unarbre parmi la forêt. À terme, il doit apporter plusde choses à son environnement et à ses habitantsqu’il ne leur en coûte. “Dans un premier temps, lestravaux vont minimiser l’impact négatif du bâti­ment sur l’environnement. Ensuite, les techniques etles aménagements vont apporter leur lot d’impactspositifs, en capturant, par exemple, l’eau pure et leCO2, en produisant des énergies renouvelables et enabritant des espaces de bien­être et de confort pourles futurs occupants”, énumère le consultant quiest certifié “cradle to cradle”. Steven Beckers col­labore, en effet, avec le chimiste allemand, Mi­

chael Braungart. C’est lui qui a inventé le concept,devenu, dans les années 1980, le label “c2c”.

Convaincu de la pertinence d’un tel modèle cir­culaire, l’architecte en charge de la rénovation duMazerin distribue les points forts du projet autourd’un double cercle qui représente le cycle de viedu bâtiment. Sebastien Cruyt aimerait que ce do­cument de travail soit complété au fur et à me­sure. En outre, il veut assurer sa longévité jusquedans ses moindres détails. “Je n’ai pas pu récupérerles canalisations d’eau de l’ancien édifice”, témoignel’associé du bureau Synergy. “Mais, pour les tra­vaux de plomberie, nous anticipons déjà les futuresremises à neuf du bâtiment et les conduites serontinstallées de manière à faciliter la modernisation del’ensemble immobilier, qui pourrait changer de vi­sage au fil des prochaines décennies.”

Parmi les éléments qui pourraient aussi survi­vre aux futures transformations du bâtiment, il ya le complexe d’isolation spécialement mis enœuvre par Derbigum. “Il s’agit de liège chauffé à250 degrés”, explique le directeur de l’entrepriseactive dans les revêtements de toiture. “La résinepermet d’assembler les résidus. Nous y ajoutons unrevêtement confectionné par nos soins, une sorte demembrane végétale, qui sert de pare vapeur.” Dansle projet de rénovation du Mazerin, les innova­tions écologiques semblent s’empiler comme descouches de lasagne ou plutôt comme des briquesdans un Lego. Elles ne sont pas destinées à resterfixées avant de filer à la poubelle. Elles peuvent,au contraire, s’assembler selon des dizaines deschémas différents. Et, parmi ces multiples possi­bilités, les maîtres d’ouvrage du Mazerin ontchoisi d’isoler par l’intérieur, un ancien bâtimentadossé à la forêt, dans la rue du Cerf, à Genval,quitte à risquer des problèmes d’humidité dansles vieux murs et des difficultés de régulationthermique dans les pièces. Ils rêvent, sans doute,que l’on rénove cet édifice encore et encore, à tra­vers le temps. Ils espèrent le voir toujours renaîtredu “berceau au berceau”. Mais, finalement, parti­cipent­ils à la concrétisation du mouvement per­pétuel en architecture ou croient­ils en une uto­pie ? Peu importe, direz­vous, si l’important, c’estjustement d’y croire.

Baptiste Erpicum

D.R.

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2 EN VUE SEMAINE DU 23 AU 29 OCTOBRE 2014 LIBRE IMMO 3EN VUEPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

Les multiples sens de la durabilitéLa société BoPro, qu’a ralliée Alain van Houtte au début de l’année, a fêté ses 30ans le 9 octobre dernier. Un anniversaire qui s’accompagne de l’ouverture, enseptembre, d’un bureau au Luxembourg, s’ajoutant à ceux de Gand et Malines.

ALAIN VAN HOUTTE A REJOINTl’équipe de la société belge BoPro enjanvier 2014. Un changement decap que le nouveau Managing Di­rector doit à une rencontre avec Pe­ter Garré, administrateur­déléguéde BoPro depuis 1989, alors qu’ilssiégeaient tous deux à la tête de labranche belgo­luxembourgeoise dela Royal institution of charteredsurveyors (Rics). “Peter a rachetél’ensemble des parts de BoPro en 2004et a décidé de donner une impulsionnouvelle à la société constituée au seindu promoteur immobilier CIP dix ansplus tôt, avant d’être filiale à 50 % deLeasinvest, dans le giron du groupeAckerman&van Haaren”, explique­t­il. “Il m’a proposé de le rejoindreafin de redynamiser nos activités en

Belgique comme à l’international.”C’est que, en la matière, Alain van

Houtte en connaît un rayon. Il a tra­vaillé pendant un peu plus de 18ans dans l’immobilier, principale­ment pour le courtier Jones LangLaSalle (JLL), et ce, surtout à l’inter­national. “J’ai été directeur du boardeuropéen pour toutes les activités liéesau conseil corporate.” Soit une lon­gue expérience de la brique pourcet ingénieur commercial sorti del’Ichec, en 1986. “J’ai commencé macarrière dans le marketing, chez Mas­terfoods, ainsi que dans la publicité,chez DMB&B. En 1994, j’ai eu lechoix : soit j’entrais chez l’Oréal, soitchez JLL. Ma famille étant dans l’im­mobilier, j’ai opté pour le second.” Unevoie nouvelle dans laquelle il sedonne les moyens de réussir en dé­crochant un Executive Master enImmobilier à Columbia (USA) et en

étudiant le management et le lea­dership en cycles courts à l’Insead.

Un solide bagage qu’il complèteen 2010 par un master en durabilitéà Watford (UK). Car, depuis la priseen main des rênes de BoPro par Pe­ter Garré, la société a élargi son offrede services de gestion et de consul­tance en immobilier et en construc­tion par une expertise dans le sec­teur des soins de santé, dès 2006 –un pôle qu’elle entend développerencore à l’avenir, principalement enWallonie et à Bruxelles puisqu’elleest leader en Flandre. Mais aussi, etsurtout, par des conseils en durabi­lité, dès 2007. Un service pour le­quel la société est pionnière en Bel­gique. “Nous aidons nos clients à sepositionner dans une stratégie CSR[Corporate social responsibility,NdlR] puis à définir leur politique degestion de leurs actifs immobiliers en

fonction”, précise Alain van Houtte.Assesseur Breeam agréé depuis2009, BoPro a, en outre, obtenu lecertificat de gestion environne­mentale Iso 14001 en 2011, suivi,l’année suivante, par le certificat degestion de la qualité Iso 9001.

Des engagements que la sociéténe fait pas que prôner auprès de sesclients mais prend aussi elle­même,concrétisant sa démarche en émet­tant son premier rapport CSR, “Aguide to a better world”, en 2012.“Le second vient de paraître, position­nant la durabilité comme un chal­lenge pour le secteur immobilier.” Dé­laissant l’achat et la vente d’immeu­bles à un rythme effréné, le conseilen gestion d’actifs immobilier s’ap­puie, désormais, sur le long terme,misant sur la durabilité dans toutesses acceptations.

Frédérique Masquelier

RÉNOVATION DES TOITURESUne enquête menée auprès d’un échantillon représentatif de 500 ménages belges pour

le compte d’Unilin Division Insulation, société productrice de panneaux isolants etsolutions de toitures, met en lumière la mauvaise isolation générale des toitures en

Belgique. Laquelle serait principalement responsable de l’empreinte écologiqueimportante de notre pays, qui compte parmi les… cinq nations les plus polluantes au

monde selon un dernier rapport de l’association militante WWF. Les résultats del’enquête montrent que 63 % des sondés occupant une habitation plus ancienne

n’envisagent pas d’améliorer l’isolation de leur toiture au cours des cinq prochainesannées, tandis que 21 % des toits du parc résidentiel âgé ne sont même pas isolés. Ce

qui ne veut pas dire que les gensn’ont pas conscience du faitque les grosses déperditionsthermiques se font par le toit.

Les principaux obstacles àl’amélioration de la situationsont les moyens financiers(38 % des sondés déclarentavoir d’autres priorités pourleur budget), et le manque

d’information sur les normesd’isolation et les matériaux

adaptés. (F.Ma.)

JEAN

-LUC

FLÉM

AL

-12%REPLI DES LOYERS EN BELGIQUE

Un comparatif des loyers effectué sur les cinq dernières années par le site Internet de ventesimmobilières Immoweb établit que le prix des loyers sur le marché des maisons a baissé de12 % en Belgique entre le 1er janvier 2009 et le 30 juin 2014. Du côté des appartements, latendance est aussi à la baisse, avec un recul de 1,19 %. Des moyennes à l’échelle nationalequi cachent toutefois de grandes disparités entre les Régions. Le Rassemblement bruxelloispour le droit à l’habitat n’a pas manqué de réagir, pointant une étude de l’Observatoire des

loyers commanditée par la Région de Bruxelles-Capitale montrant qu’entre 2004 et 2013, lesloyers avaient augmenté de… 20% à Bruxelles. Et ce, compte tenu de l’inflation. A noter que

plus d’un million de Belges sont locataires, ce qui représente environ30 % des foyers. À Bruxelles, cette proportion grimpe à 60%

des foyers. (F.Ma., avec Belga)

AXA ACQUIERT EVERE SQUAREC’est l’une des plus grosses transactions de l’année dans le secteur, du moinsen termes de montant, annoncent l’investisseur, Axa Belgium et la société dedéveloppement, Iret Development. Après être passée des mains de Philips àRobelco en 1997, voici que l’entièreté des actions de la société détentrice dusite Evere Square quitte celles d’Iret, à laquelle elles appartiennent depuis

2001, pour rejoindre le portefeuille d’Axa. Le site, situé entre la chaussée deLouvain et l’avenue Mommaerts, sur la commune bruxelloise d’Evere, comptequelque… 50 000 m² de superficie hors sol, dont 30 000 m² occupés par leseul BMW Group Belux. L’enseigne automobile haut de gamme a installé ses

quartiers dans le pôle d’entreprise everois en 2011, dans le cadre d’uncontrat d’occupation à long terme. Quartiers qu’elle a, récemment,

entièrement reconstruits, faisant appel au bureau FCM Architects etallongeant la somme de 28 millions d’euros. Le site d’Evere Square accueilleégalement les enseignes Krëfel, Cipac, Maserati et RTL Belgium. Il est assortide 665 emplacements de parking. La transaction, qui affiche non moins de

65 millions d’euros au compteur, a été conseillée par Bel Square pour lecompte d’Axa Real Estate. Iret a pour sa part agi sans intermédiaire. (F.Ma.)

D.R.

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4 DOSSIER SEMAINE DU 23 AU 29 OCTOBRE 2014 LIBRE IMMO

Un hôtel branché est un hôtel connectéPlus de rapidité pour lesclients et plus de donnéesmarketing pour lesprofessionnels. Les hôtels seconnectent au réseau et à noshabitudes de consommation.

Dossier Yvan de Smet

COMME D’AUTRES DOMAINES AVANTelle, l’hôtellerie moderne se veut en ligne.À l’image du réseau, parfois intense, par­fois absent, l’hôtel est peu, beaucoup outout à fait connecté. Qu’est­ce qu’un hôtelen ligne ? Éclairage sur la connectivité deshôtels belges.

Une nuit à l’hôtel commence par une ré­servation. La majorité est effectuée en li­gne. Prendre son téléphone pour retenirune chambre semble appartenir au passé.Les sites web de réservation ou ceux deschaînes hôtelières sont généralement lesseuls contacts avant l’arrivée dans un éta­blissement. Un autre comportement pour­rait être amené à disparaître : l’enregistre­ment à la réception de l’hôtel. De plus enplus d’établissements proposent d’effec­tuer les formalités plusieurs heures voirequelques jours avant l’arrivée. “Dès que laréservation est enregistrée ou un peu avant ledébut du séjour, le client reçoit un lien parmail pour effectuer le check in online. Un se­cond lien est envoyé avant le départ, pour lecheck out”, explique Sophie van der Stra­ten, sales and marketing manager au Scan­dic Grand­Place à Bruxelles. L’établisse­ment quatre étoiles a généralisé le systèmedepuis le mois de juillet, après plusieursmois de tests dans les pays nordiques, ter­ritoire historique de la chaîne. “Il est troptôt pour un bilan mais le premier accueil estpositif. Le système fonctionne bien, surtoutchez les clients qui viennent pour affaires etqui n’ont pas de temps à perdre. Un grandavantage, c’est que la facture arrive directe­ment à la bonne personne.” Si le check in on­line se répand dans les hôtels, il reste con­fidentiel auprès des touristes. “C’est unehabitude qui vient de l’avion. Les clients busi­ness et les fans de nouvelles technologies sontles principaux utilisateurs. Les vacanciers fa­vorisent le contact”, constate William vanWassenhove, director of business develop­ment à The Hotel. L’établissement bruxel­lois, rénové en 2013, a pourtant pensé unpas plus loin. “Nos clients ne doivent mêmepas passer par la réception pour prendreleurs clés, ils peuvent ouvrir la porte de leurchambre directement avec leur smartphones’ils ont effectué leurs identifications en li­gne.”

Un smartphone à tout faireNe plus passer par la réception, ne plus

recevoir sa clé et être directement rensei­gné. Cette troisième étape est offerte parles hôtels qui possèdent leurs propres ap­plications. D’abord cantonnées aux com­plexes hôteliers haut de gamme qui comp­tent plusieurs restaurants et proposent demultiples activités, les applis débarquent

dans les hôtels urbains. “L’interface rendcompte des activités de la ville. Les clients ytrouvent les informations sur les restaurants,le shopping ou les expositions”, préciseHenry Halloy, sales&marketing managerau Crowne Plaza de Liège. L’établissementa été le premier hôtel européen de lachaîne à disposer de sa propre application.“La décision a été prise en interne, à la de­mande de nos clients business.” Outre les en­virons de l’établissement, les sorties ou laville, les applications fournissent des infor­mations sur l’hôtel et permettent parfoisd’accéder directement aux services. Unetable ou un transfert à l’aéroport sont ré­servés d’un simple clic dans l’application“The Hotel”. Un véritable service de con­ciergerie en ligne qui ne modifie en rien leshabitudes du personnel. “Il n’y a pas de dé­partement multimédia, nous gardons unestructure classique. Les demandes sont direc­tement transmises aux services. C’est un sim­ple gain de temps, une alternative de pluspour le client”, précise William van Was­senhove. Et d’ajouter, “l’hôtel connecté estune attitude générale. Parfois un clienttweete qu’il a besoin d’une serviette et il estétonné de la recevoir.” Pierre Dorrell, mar­ket director of sales and marketing chezMarriott Hotels of Brussels, ne dit pasautre chose. “Un client qui oublie ses lunettesne va plus téléphoner au concierge, il utiliseles réseaux sociaux. On est content de releverle défi.”

Rapidité et réactivitéUne réponse rapide est encore plus im­

portante lorsque des centaines de person­nes attendent. Ce constat a conduit les hô­tels à créer un nouveau type d’applica­tions, les supports techniques. Un défi etune évidence si Bruxelles veut conserversa place de première ville européenne ennombre de congrès et meeting. “Avant,quand il y avait un problème ou un réglage àfaire, on se mettait à la recherche d’un posteinterne et on ne savait pas qui appeler. Notreapplication pour les séminaires permet de de­mander une intervention. Elle peut aussi gé­rer tous les aspects liés aux boissons et à lanourriture”, précise Pierre Dorrell.

Si les applications et la montée croissantedes procédures en ligne doivent faciliter lavie des clients, les hôtels y trouvent leursintérêts. Les coûts des investissements,parfois amortis contre un meilleur réfé­rencement des adresses renseignées surles applications, permettent de collecterun nombre croissant d’informations.L’usage des applications est d’ailleurs en­couragé par les programmes de fidélité.Les avantages reçus sont directement dis­ponibles dans les interfaces. Le prochainenjeu, c’est l’exploitation des données, ex­plique Pierre Dorrell. L’objectif ? Réaliser leprofil des utilisateurs. “Le défi n’est pas derécolter les données mais de réaliser des mo­dèles pour les exploiter. Avant, nous avionsdes fourchettes limitées. Maintenant, il y a deplus en plus de spécificités. Nous ne voulonsplus simplement répondre aux envies desclients, nous voulons identifier leurs attentes.Si, à chaque séjour, vous demandez un oreillersupplémentaire. L’information sera enregis­trée et vous l’aurez avant de le demander.” DE

MOU

LINBE

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4 DOSSIER SEMAINE DU 23 AU 29 OCTOBRE 2014 LIBRE IMMO 5DOSSIERPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

Un hôtel branché est un hôtel connecté

ALEXIS

HAUL

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Les villages de vacancesadoptent la révolution digitaleEt lancent, entre autres, une série d’applications pour smartphoneset tablettes en vue d’offrir une véritable expérience client.

En véritables pionniers de la connectivité, lesvillages de vacances n’ont rien à envier auxhôtels. À côté de l’application “classique”, quipropose les informations du parc et l’accèsaux services, Center Parcs développe plu­sieurs jeux interactifs. Depuis deux mois,“Troovie” fait son entrée auprès des jeunesvisiteurs, soit une interface pour les enfantsqui transforme chaque lieu en véritable jeude piste. Les cadres naturels deviennent lesthéâtres de grandes aventures. Mais l’innova­tion digitale ne s’arrête pas là. Elle pourraitdevenir une aide à la décision. Le choix desvacances peut s’avérer un casse­tête pour unefamille. Où aller ? À quel prix ? Est­ce que lesenfants vont s’amuser ? Des questions fré­quentes auxquelles une application donneraune réponse dans le futur. C’est la vision deRodolphe Roux, directeur marketing straté­gique chez Pierre&Vacances, qui rêve d’une“application entreprenante qui, après identifi­cation, dévoile des propositions qui vous corres­pondent.” Si le “configurateur idéal de vacances“relève encore de la science­fiction,Pierre&Vacances lance “Planet” au mois dedécembre, son application idéale. “Les gensfont peu d’activités en vacances parce qu’ils neles préparent pas. Planet va les y aider” Outrel’information et la réservation d’activités,l’interface veut faire oublier le coût des va­

cances. “Les gens ont la sensation d’être tou­jours en train de payer, nous allons l’enlever.”Des services additionnels complètent l’appli­cation. Besoin d’un bouquet de fleurs ou d’uncadeau pour un anniversaire ? Pas de pro­blème, les commerces locaux sont référencéset surtout les habitudes globales des vacancesseront enregistrées. “La connaissance client,c’est le Graal”, conclut Rodolphe Roux.

YdS

Geek&hôtellerieHong Kong. Un smartphone (l’Alcatel IdolX, très exactement, en photo ci-contre) àdisposition pendant la durée de votreséjour dans la métropole asiatique. Ceservice, entièrement gratuit, est proposépar l’hôtel Hyatt Regency. Un forfaitillimité de données Internet et d’appelsinternationaux complète le package.

Ibiza. Palladium Hotel Group propose unbracelet connecté à ses clients desBaléares. Le but ? Ouvrir sa chambre,accéder à certaines parties de l’hôtel ou

simplement régler une addition d’un seul coup de poignet. Le “Very Important Bracelet” (VIB, en photoci-dessous) est disponible au Hard Rock Hotel Ibiza et à l’Ushuaïa Ibiza Beach Hotel.

Chicago et Houston. Deux villes et deux hôtels en tests pour lachaîne américaine Holiday Inn. L’ouverture des chambres avecson smartphone (déjà disponible à The Hotel, lire ci-contre) estévaluée avant une éventuelle généralisation à l’ensemble desEtats-Unis.

Bruxelles. Les femmes de chambres de The Hotel sont équipéesd’iPod Touch. Il ne s’agit pas de consulter ses mails durant lespauses mais d’optimiser la disponibilité des chambres. “Avant, ilfallait inscrire les chambres prêtes sur une liste, puis la reporter surun ordinateur. Avec l’iPod, c’est encodé immédiatement”, préciseWilliam van Wassenhove, director of business development à TheHotel. (YdS)

Épinglé

ALCA

TELIDOL

X-D

.R.

HARD

ROCK

CAFÉ

IBIZA-D

.R.

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6 CONJONCTURE SEMAINE DU 23 AU 29 OCTOBRE 2014 LIBRE IMMO

Transformer l’eau en… argent

L’eau de pluie n’est pas rare maiselle coûte cher à la collectivité etdoit être récupérée.

L’URBANISATION A QUELQUES inconvénients,dont l’un au moins qui se rappelle au bon souvenirdes entreprises régionales de traitement des eauxusées… à chaque grosse ondée. Trop d’eau de pluiedéversée trop rapidement dans les égouts, mélan­gée aux eaux usées des ménages, et voilà les cen­trales d’épuration submergées. Résultat : les ges­tionnaires de ces sites sont forcés de laisser débor­der leurs installations, ce qui nuit bien entenduaux performances de ces dernières, des eaux in­suffisamment filtrées étant déversées dans lescours d’eau naturels.

Les sociétés concernées investissent pour parerau plus pressé, ce qui a un coût… répercuté auprèsdes consommateurs. C’est schématique, mais enattendant de réussir à mettre à niveau les immen­ses infrastructures d’acheminement et de traite­ment des eaux usées, il a fallu prendre des mesu­res énergiques. Les Régions imposent donc désor­mais la création de citernes de récupération del’eau de pluie lors de la construction de nouveauxbâtiments. Le but ? Créer des “tampons” locauxpermettant de diminuer la pression sur les centra­les d’épuration en période de fortes précipitations,et d’éviter le mélange intempestif de l’eau de pluieet des eaux usées.

Le cadre varie selon les Régions, tout comme lesaides ou incitants, et il est impératif pour les cons­tructions neuves. Il peut donc n’être perçu quecomme une contrainte et un coût supplémentairepour les professionnels. Mais, pour un particulier,l’approche devrait être plus réfléchie, commenous l’explique Olivier Vander Elst, qui s’est spé­cialisé dans l’installation de systèmes de récupéra­

tion, de filtrage et de stockage d’eau de pluie. Autravers de sa société SFP&S (Separation FiltrationProducts&Services) – facile à retrouver sur le sitewww.eaudepluie.eu –, il propose, en fait, un ser­vice global avec surtout de l’assistance pour s’y re­trouver dans les réglementations et les aides loca­les, et une réalisation technique au travers d’unesérie de partenariats locaux.

Un investissement amorti en moins de 5 ansOlivier Vander Elst, un financier pur jus, va droit

au but en expliquant aux clients potentiels qu’uneinstallation pour une famille moyenne coûte envi­ron 2 500 euros, primes déduites. Et, assortie d’unsystème de filtrage et de pompage permettantl’utilisation de l’eau récoltée, l’installation estamortie en moins de 5 ans (4,3 ans, en fait). Après,c’est tout bénéfice. De quoi séduire le bon père defamille en ces temps de taux d’intérêt au plan­cher ? Oui, nous explique Olivier Vander Elst, quifut aussi un spécialiste des investissements dansune autre vie. “La facture annuelle d’une famille de 4personnes tourne autour de 1 000 euros. Tenantcompte du fait que 57 % de la consommation d’eaupeut être effectuée avec de l’eau de pluie, on a une éco­nomie annuelle de 570 euros. Évidemment, une fa­mille n’est pas l’autre et certains disposent d’une pis­cine qui peut justifier l’installation d’une citerne plusimportante. Enfin, la grandeur de la toiture est unélément qui intervient dans le calcul de la capacitéoptimale de la citerne.”

Et… la pluviométrie ? “Les tendances climatologi­ques devraient inciter à un investissement dans uneinstallation de ce type en Belgique : d’après les obser­vations de l’IRM [Institut royal météorologique,NdlR], le volume de pluie augmente d’année en annéeet nous faisons face à de plus fréquentes et fortes chu­tes de pluie. Sachant qu’une toiture d’une superficiede 150 m² permet de récupérer 100 000 litres d’eaude pluie, le calcul est vite fait…”

Patrick Van Campenhout

Une installation sur-mesureDémystifions : Pour démystifierl’apparente complexité d’une installationde traitement d’eau de pluie, il suffit de ladémonter. Il n’y a, en effet, que quelquespoints importants dans une telleinstallation, à l’exception de la tuyauterie.Pour commencer, une préfiltration, soit unfiltre placé entre les gouttières et la citernepour filtrer les grosses impuretés commeles feuilles, le pollen, les poussières etsuies. Vient ensuite la citerne, qui est lecollecteur central de l’eau de pluie récoltée.On peut parler de “citernes”, au pluriel,puisque, selon les budgets, il peut êtreintéressant de commencer petit puisd’agrandir l’installation en ajoutant desmodules. Suit, dans cette chaîne, unepompe, qui permet de gérer un circuit dedistribution sous pression vers les pointsde consommation. Entre le lieu deconsommation et la citerne, on utilise unfiltre plus complexe pour épurer l’eau (ellen’est pas jugée potable) afin de ne pasdétruire les machines qui utilisent cette eaude récupération. Ces filtres sontgénéralement autonettoyants. Enfin, uneévacuation est prévue en cas d’excédent,vers le système d’égouttage.

Utilisons : Cette eau filtrée peut êtreutilisée pour l’arrosage des jardins, lenettoyage extérieur, les toilettes et lesmachines à laver. À noter qu’une famille de4 personnes consomme annuellement10 000 litres d’eau pour les toilettes. (PVC)

Mode d’emploi

1. L’eau de pluie coule via lagouttière vers la citerne.2. Avant d’arriver dans laciterne, elle est filtrée.3. Sanitaires, machine àlaver et robinets extérieurssont alimentés via unepompe.4. L’excédent est rejeté pouréviter les inondations.5. En périodes sèches, lesystème d’alimentation sebranche sur l’eau de ville.

WWW.EAU

DEPLUIE.EU

/D.R.

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6 CONJONCTURE SEMAINE DU 23 AU 29 OCTOBRE 2014 LIBRE IMMO 7MARCHÉPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

Maison | IxellesLe 30 septembre dernier, une maisond’habitation sise square Robert Goldschmidt,n°33, à Ixelles (Bruxelles) a changé de mainspour la somme de 492 000 euros après avoiratteint celle de 456 200 euros lors d’uneprécédente séance de vente avec faculté desurenchère. Le bien se compose d’un halld’entrée, deux W.-C., un bureau, un dressing, unsalon, une cuisine, trois chambres, une salle debain et une salle de douche. Il est assorti d’unecave, une chaufferie, une buanderie, un garageet un jardin avec une cour basse. Il est équipédu chauffage au mazout. Superficie : 1 a 75 ca.PEB : classe G. Revenu cadastral : 3 366 euros.UVente réalisée par Carole Guillemyn, notaireà Bruxelles (1000).

492 000 euros

FEDN

OT-NVN

Villa |WaterlooLe 22 septembre dernier, le marteau est tombé à375 000 euros pour une villa située avenue desNations Unies, n°51, à Waterloo et adjugée à316 200 euros lors d’une précédente séance devente avec faculté de surenchère. Le bien secompose d’un hall d’entrée avec W.-C. etvestiaire, un salon avec feu ouvert, une salle àmanger, une cuisine équipée, deux chambres,une salle de douche et un bureau au rez-de-chaussée; trois chambres dont une avec salle debain, un W.-C. au 1er étage; un grenier sous lescombles. Il est assorti d’un garage, un jardin etune piscine. Superficie : 6 a 98 ca. PEB noncommuniqué. Revenu cadastral : 3 080 euros.UVente réalisée par OlivierWaterkeyn, notaireàWaterloo.

375 000 euros

FEDN

OT-NVN

Maison | EtterbeekLe 22 septembre dernier, une maisonunifamiliale située rue Louis Hap, n°13, àEtterbeek (Bruxelles), a été adjugée à411 000 euros après avoir atteint la somme de296 200 euros lors d’une précédente séance devente avec faculté de surenchère. La maisoncompte quatre chambres et deux salles de bain.Elle comprend un grenier, un garage et uneterrasse. Elle est équipée du chauffage central etde double vitrage. Le bien était occupé par lepropriétaire au moment de la vente. Superficie :78 ca. PEB : classe G. Émissions annuelles deCO2 : 37 kg/m². Revenu cadastral : 1 957 euros.UVente réalisée par Eric Thibaut de Maisièreset Guy Descamps, notaires associés à Bruxelles(1060).

411 000 euros

FEDN

OT-NVN

Libre Immo - Supplément hebdomadaire à La Libre Belgique. Coordination rédactionnelle: FrédériqueMasquelier. - 02/211.28.28 - [email protected] Illustrations: Etienne Scholasse.Réalisation: IPM Press Print. Administrateur délégué - éditeur responsable: François le Hodey. Directeur général: Denis Pierrard. Rédacteur en chef: Francis Van deWoestyne. Rédacteurs en chef adjoints:Xavier Ducarme, Pierre-François Lovens et Gilles Milecan. Conception graphique: Jean-Pierre Lambert (responsable graphique). Publicité: Véronique Le Clercq - +322/211.27.64 - [email protected]

En bref

Appel d’offresVRT. Un jury de la VRT, assisté pardes experts extérieurs, a retenu cinqmaîtres d’œuvre nationaux etinternationaux sur 66 candidaturespour la construction de son nouveaubâtiment sur le site Reyers, aannoncé la chaîne publiqueflamande. Le maître d’œuvredéfinitif sera connu en mars 2015.Le début des travaux est prévu en2017, pour se terminer en 2019.La VRT devrait dès lors investir lanouvelle implantation dès 2020.Les locaux actuels, à l’exception dela tour, seront démolis. Ces travauxs’inscrivent dans le cadre du projetde développement du site Reyers enpôle métropolitain dédié au secteurdes médias. (Belga)

CommerceBLSC. Le Belgian Luxembourgcouncil of shopping centers (BLSC)publie tous les trimestres le nombrede visiteurs ayant passé la porte des15 principaux centres commerciaux

belges (l’Esplanade, le Wijnegem, laMédiacité, le Waasland, leWoluwe, etc.). Pour le troisièmetrimestre de 2014, celui-ci était de21 834 370 visiteurs. Soit unehausse de 2,02 % par rapport àpareille époque en 2012, mais unebaisse de 1,77 % par rapport à 2013.Depuis le début de l’année, lesditsshopping centers ont comptabiliséplus de 65 millions de visiteurs.

FraudeTravail au noir. En 2013, 2 480personnes ont été concernées parune infraction au travail au noirdans le secteur de la construction,d’après les chiffres des contrôlesmenés par le Service d’informationet de recherche sociale (SIRS). En2011, 1 465 travailleurs avaientcommis de telles infractions et, en2012, ce nombre s’élevait à 2 075.Le nombre de contrôles est lui aussien constante augmentation. En2013, il y en a eu 12 391. Au regarddes chiffres, un travailleur sur cinqexerçait de façon illégale. Dans la

zone Luxembourg, un contrôle surdeux met au jour une tricherie, alorsque les contrôleurs anversois n’endébusquent qu’une fois tous les 16contrôles. (Belga)

DéveloppementQuartier Européen. La Ville deBruxelles a publié la brochure“Towards een multifunctioneleQuartier européen”, destinée àpromouvoir le déploiement deprojets en vue d’accentuer lecaractère multifonctionnel de lazone, longtemps majoritairementaffectée au bureau. Le document,qui résume l’étude de faisabilitéeffectuée par le bureau d’architectesBogdan&Van Broeck, met en avantles projets réalisables en s’appuyantsur diverses activités qui y ont étédéveloppées au cours des dernièresannées : logements, commerces,crèches, et activités culturelles.Pour aider les investisseurs ou lespropriétaires à la mise en œuvre deleurs projets, la Ville de Bruxelles, apar ailleurs mis en place un “service

facilitateur”, via sa Cellule stratégiede développements. (Belga)

AccordAtenor. Le promoteur belge Atenorannonce qu’un accord est intervenuen vue de la cession des actions dela société Air Properties, qui mènele projet de rénovation-extension del’immeuble Air (10 000m² debureaux après travaux, situé dans lequartier de la Cloche d’Or), anciensiège d’ING à Luxembourg. Pourrappel, Atenor, associé auxinvestisseurs luxembourgeois PIGroup, avait acquis cetteparticipation en mai dernier. Lesacquéreurs sont des investisseursinstitutionnels belgo-luxembourgeois regroupant, àl’initiative d’Ethias, l’assureurluxembourgeois Foyer ainsi quel’assureur belge L’Intégrale. Lacession sera effective aprèsl’achèvement des travaux et lalivraison à BDO, cabinet d’auditlocataire du site pour une durée de12 ans, au 1er trimestre 2016.

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8 SÉLECTION DELA SEMAINE

SEMAINE DU 23 AU 29 OCTOBRE 2014 LIBRE IMMO

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10 ANNONCES SEMAINE DU 23 AU 29 OCTOBRE 2014 LIBRE IMMO

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12 ANNONCES SEMAINE DU 23 AU 29 OCTOBRE 2014 LIBRE IMMO

à vendre

MAISONS250.000à500.000€

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à vendre

MAISONS>500.000€

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21-108818218-18

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à vendre

MAISONSnonprécisé

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à vendre

APPARTEMENTS<250.000€

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21-108891402-02

à vendre

APPARTEMENTS250.000à500.000€

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21-108818216-16

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14 ANNONCES SEMAINE DU 23 AU 29 OCTOBRE 2014 LIBRE IMMO

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21-108901005-05

21-108818219-19

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21-108895007-07

21-108895009-09

21-108818205-05

21-108818201-01

21-108895005-05

21-108895006-06

21-108818206-06

21-108818215-15

à vendre

APPARTEMENTS>500.000€

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21-108890905-05

21-108818210-10

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21-108890904-04

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21-108818204-04

21-108818203-03

à vendre

APPARTEMENTSnonprécisé

21-108895104-04

21-108895102-02

21-108895001-01

21-108895101-01

VIAGER

21-106348901-01

21-102311601-01

21-102311602-02

à louer

MAISONS

21-107087701-01

à louer

APPARTEMENTS

21-108877201-01

à vendre

TERRAINS

21-108901401-01

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salle de ventes

BRUXELLES

21-108875501-01

ventes par notaires

AUTRES PROVINCES

21-108781901-01

21-108782001-01

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