Post on 02-Apr-2016
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VALAIS, Suisse
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alrtides rédames non compris, au personne,1 enseignanJt, sur présenJtaition de la ca1rte.
Rédaction:
MICHEL VEUTHEY
Office de l'enseignement
SION
Redaktion:
Prof. ERNST SCHMIDT
Schu1ins pektor
BRIC
Tel. (028) 31516
LJECOLE VALAISANNE REVUE PEDAGOGIQUE
POUR L'EOOLE ET LA FAM(I!LùE
PARAIT CHAQUE MOIS
3me ANNEE· N0 3 · SION, LE 10er J-kNVIE-R 1959
WALLISER SCRULE ZEITSCHRIFT FOR JUGENDHILDUNG
IN SCHULE UND ELTERNHAUS
ERSCHEINT MONATLICH
3. JAHRGANG - Nr. 3 SIT'J1EN, !DEN 1. JANUAR 1959
Der Redaktor wünscht der Leserschaft der WALLISER SCHULE ein frohes und gnadenreiches Neues lahr, wobei dieser Wunsch nicht nur ausgesprochen sei, weil man das, wie aligemein üblich, zum Neuen lahre tut; el' ist vielmehr der Ausdruck herzlicher, aufrichtiger Gesinnung. Wir sind ja in der 1cw'zen Zeit des Bestehens unserer Zeitschrift immer mehr zu einer Gemeinschaft geworden, die miteinander lebt, fühlt und denkt. Das Bewusstsein um dieses geistige Verbundensein soli uns Mut und Freude ins Neue lahr mitgeben, damit wir uns wieder tapfer unserer edlen Erzieheraufgabe widmen und zuversichtlich weiter- und hinarbeiten auf unser christliches Erzieherideal. Mit diesem Wunsch woUen wir den guten Willen zu gegenseitigem Verstiindnis verbinden, das für erspriessliche ZLMammenarbeit unbedingte V oraLMsetzung ~st, und auch die Bitte, der gottliche Kinderfreund moge wvser gemeinsames Bemühen huldvoli
segnen. E. Sch.
8 0 rati~ns ge tJœ~~x à la minute ..
Quand nous envoyons nos cartes de vœux, l'ampleur de ce courrier de fin d'année exige que nous fassions un effort sans cesse renouvelé pour sentir, à chaque adresse que nous écrivons, le souhait particulier que nous des binons à chacun, au-delà et au travers de la formule stéréotypée qui en est le symbole. C'est la seule façon de donner un sens, une valeur
humaine, et donc un intérêt, à cette pratique traditionnelle. Le rédaoteur est pr,ivé de ce plaisir. Il connaît mal ses .lecteurs anonymes dont il ignore le visage _ intérieur et extérieur -, les préoccupatio11JS, les Ipeines et les joies. Ses vœux seront, malgré lui, nécessairement très vagues. .Jl sera même contraint de les confier à la rotative qui les distribuera en rations bien me-surées, avec la froide rég-ularité d'une bonne machine. Que cette banale opposition entre la machine et l'homme serve au moins, en ce début d'année, à rajeunir en nouS cette conscience de notre valeur unique, c011JSta;mment renouvelée au gré des rencontres et des circonstances; qu'elle nous invite à développer toujours mieux, en nous et en ceux qui nous sont confiés, la vie de l'esprit, si gravement menacée par notre civilisation de robots. Quels que soient les é'vénements, cette garantie de notre vie intérieure fera la
réLMsite de cette nouvelle année. M. V.
ORI ENT A T ION
UN LANGAGE MUET Au début de janvier, les auteurs
de méditations nous pro posent sou
vent pour modèle la Sainte Famille de Nazareth. Ils nous disent qu'elle
vivait unie, «sans histoires », discrètement charitable parmi les autres
habitants de la bourgade.
M ais ce silence extérieur, cette
discrétion et cette paix .procédaient, n'en doutons pas, du silence qui bai
gnait -l'âme de chacun. Il est certain qu'un tel état de sérénité dépend de
la nature de chacun, car tous ne sentent pas également la valeur et l'importance de cette paix intérieure.
Elle devrait pourtant se cultiver, moins par théories que par expé
rience vécue. La condition indispen
sable est une ambiance de sérénité, un climat de silence et de tranquillité.
Il ne s'agit pas, certes, d'un silence purement négatif, d'une simple absence de préoccupations. Il s'agit
d'un climat positif, actif, dans lequel les échanges entre les personnes humaines se font plus directement que
par le truchement d'un langage précis.
Voilà bien une des expériences pri
mordiales que la famille, première cellule sociale, devrait procurer à ses
membres, car l' ambiance agitée dans
laquelle nous «vivons» favorise peu ce climat de silence. Seule la famille
peut échap pel', du moins pŒrtiellement, à cette marée du bruit.
Cela suppose une attention particulière, une recherche consciente de cette source de vie : savoir interrom,
pre les flots de la radio, ce « robinet à musique» dont parle un de nos
collaborateurs ; éviter les bruits inu
tiles, les portes claquées, les cris superflus: essayer même, si les exi
gences intérieures de chacun le perl1tettent, de ménager dans l'existence
quotidienne des moments de silence, le matin ou le soir.
Et l'on sera swpris de constater combien cette privation apparente
des échanges entre les personnes renforce au contraire leur union et les rapproche dans leur commun effort
vers une vie plus intense. A condition,
bien sûr, ici comme ailleurs, de ne pas oublier que cette éducation du
silence n'est pas un but en soi, mais un moyen indispensable à l'unité
intérieure de la personne, une source
d'enrichissement pour chacun, un gage de stabilité pour la farnille
elle-même.
JtJ. V.
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Erziehung zur Sparsamkeit
Johann BLOETZER, Pfarr-Rektor
L'économie est une vertu morale qui veille à !a jwste con~servation. e~ à l'us~ge m?~éré d~s biens de ce monde, ces biens subordonnés à l homme et a sa destuwe denuere. ~ eC01!Omte est un résultat de la culture morale et la base de la vie économique et du progres SOCLa.I .. J~ ce titre, elle est un des buts de l'éducation et l'école doit en prendre sa part de res']Jo~lsabl!lte. Bien organiser son budget, se montrer économe en toutes choses, est u~te conduIte. dLgne d'un être humain. Les enfants et les jeunes gens doivent partout. et touJo~Lrs receVOLr une éducation qui puisse développer cette vertu en eux. L'école cultwe, c?nsctemme:",t et CL'vet méthode, ce qui a été commencé dans la famille, grâce à l'exemple du maLtre et de l ed~Lc.ate,-!,~·, et encore grâce à la vie communautaire de la classe. La langue maternell~, le calcu~, l hL~toLl e offrent de fréquentes occasions d'introduire ce thème. Nous devons d'aûleurs. tenu' presente cette idée d'une juste économie dans toutes le's branches du programme. ~L nous demandons à nos jeunes comment, où et quand nous pmwons nmLS montr:1: econome~, nous serons étonnés des trouvailles de leur imagination et de leurs proposltwns concretes.
Man spricht zu Recht vom Geiz ais scheusslichem laster und von der Sparsamkeit ais sittlicher Tugend. Z'War speichert auch der Sparsame wirtschaftliche Güter auf durch Unterlassung ihres gegenwéirtigen Gebrauchs, éihnlich wiel der Geizige. Aber er tut es massvoller und aus ganz anderer Einsicht und Voroussicht. Er sieht den rechten Werl der éiussern Güter, die er ab Gaben Gottes schéitzt, und zwar in rechter Ordnung : nicht zu sehr und nicht zu wenig. Unci er spart nicht aus Begierde nach Besitz, sondern weil er für spéiter eine bessere Verwendungsinoglichke'it sieht. Gewo'hnheitsméissige Sparsamkeit ist also eine wahre sittliche Tu-
gend, die mithilft, den Menschen in rechte Ordnung zum Besitz zu stellen und diesen si ch und seiner ,ses,timmung unterzuordnen. Sparsarnrkeit kann auch für den Reichen eine Tugend sein, weil sie ihn vor nutzloser Verschwendungssucht und sündhaftem luxus, aber auch vor Müssiggang bewahrt.
VVahre Sparsamkeit kann nur Ergebnis hoher, sinlicher Kultur sein. Sie ist aber ouch Grundlage aller wirtsc-haftlichen Kultur und des sozialen tortschrittes. Daher auch e:in überaus wichtiges Ziel der Erziehung, die schon in früher Jugend einsetzen muss, damit sie zur guten Gewohnheit und zur Tugend werde. Dafür ist auch die
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Schule mitverantwortlich, und wir wollen nun versuchen, mit praktische:n Béispielen und Vorschlëigen zu erldéiren, wie die Schule sich in Erziehung zur Sparsamkeit - gleichsinnig mit der Familie - einschalten kann.
Von ieher haben ia die Menschen gespart, gehorte.t und Nahrungsmittel für den Winter in ihren Hohlen zusammengetragen : Von den Indianern wird erzêihlt, dass sie das Fleisc:h erlegter Tiere übers Feuer hëingten, um es durch den Rauch ht1ltbar zu machen. Die Eskimos sollen heufe noch ihre Vorréite in Schnee und Eis vergraben, und die Wüsten-Beduinen trocknen die Datteln. So haben Menschen a uch schon frühzeitig, ais die Geldmünze erfunden war, diese sicher anzulegen versuc'ht. Durch Ausgrabungen in Kleinas,ien hat man Kenntnis von den schon verziert'en Sparhüchsen der Assyrer, 'also schon tausend Jahre vor Chris,tus ! Spéiter stosst man in der Geschichte auf Spartopfe, ouf Geldtruhen, auf Sparstrümpfe, die unter dem Strohsack sorgsam a,ufbewahrt wurden. Wéihrend des Mittelalters gab es schon recht tüchtige Finanzleu'te und seit zweihundert Jahren kennen wir nun ,die sog. Sparkassen.
Diese geschichtliche Erwahnung beweist die Gültigkeit des Wortes von Bundespréisident Heuss, da~ er in seiner Rede zum Welts,partag 1952 aUSa
sprach : « Sparsam sein ist eine mens chi i che Haltung !» Das heisst genauer und ausführlicher: Sparsam sein ist nkht in erster Unie eine volkswirtschaftlich~ Funldion, die Kapital bildet, grosse Unternehmui1Jgen ermoglicht, Investierungen gestattet und Zinsen
bringt. Sparsam sein ist mehr: Sparsam ist ein Kind nicht nur, wenn es Zehner um Zehner in die Sparbüchse wirft, wenn der Schüler Sparmarken klebt oder wenn wir Erwachsene mit dem Sparbuch zur Sparkasse gehen, sparsam sind wir vielmehr und im ursprün'glichen Sinn des Wortes, wenn wir mit Wéische, Kleidern und Schuhen, mit Einrichtungen des privaien Haushalts und der Offentlichkeit a c h t sam u m 9 e h e n, wenn wir nichts, vor allem auch an Nahrungsund Genussmitteln, wegwerfen oder verrkommen lassen. S'parsam sind wir ebenso, wenn wir mit unsern Kréiften und Fëihigkeiten haushalten, wenn wir uns und unsem Mitmenschen alles nicht unbedingt Notwendige an Kummer und :t(rger, Sorgeund leid, Storungen und Geréiuschen bei lag und Nacht ers par en. Sparsam sind wir, wenn wir unsere ganze' tebensführung in einem unsern personlichen Verhéiltnissen, unserm Volk und unserer Zeit geméissen Rahmen halten. Sparsam sind wir, wenn wir Personenund Sachgüter recht verwalten aIs Treuhéinder dessen, der sie in unsere Héinde legte, wenn wir den sachgeméissen ,Gebrauch davon machen, wenn wir immer und überall den richtigen Massstab anlegen und 'hauszuhalten verstehen. Richtig wirtsc,haften lin allem und überall heisst sparsam sein ais eine dem Menschen gemëisse Halltung.
Eine « dem Menschen geméisse Haltung» rnruss erzoge!n werden. Und weil richtig wirtschaften, - sparsam sein - gerade in seiner Wirkung auf den Menschen eine der stéirksten er-
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zieherischen Méichte darstellt, ist die Sparsamkeit für sich, für die Familie und für die A-Ilgemeinheit eines der vordringlichsten Teilziele der Erziehung.
Wie kann dies in der Schule ge-schehen?
Sicher aile sind der Ansicht, dass man duroh Darstellung von Bildungsgütern in den einzelnen Unterrichtsféichern einen Menschen formen kann. Schon ausserhalb der Schule kommt das einzelne Menschenkind in Berührung mit Dingen, Personen, Gemeinschaften, mit Vorgéingen und Verhéiltnissen, die infolge starker Wechselwirkung von Ich- und Umwelt zu formenden Geschehen manoherlei Art führen. Dieses formende Geschehen bewusst zu kultivieren, gehort zu den wesentlichen Aufgaben der Schule. Die B.erührungsmoglichkeiten mit dem leb~n sind: die bildende Wirkung durch den Unterricht, ,die Formung durch die Qualitéiten der Erzieher- und lehrerpersonlichkeit und drittens die Angleichung an das Ethos der Schülergemeinsch.aft und ihrer formenden Wirkung:
lm Alltag des Schullebens.
Durch Arbeitspflichten un,d Aufgab~n wird . in einer Klasse aus den viele.n « Ich» das « Wir » • . Schüler sprechen oft mit Hochachtung von i h r e r Klasse. Alles, was in i'hr geschieht, hat formend~ Wirkung au·f den Einzelnen, die wieder zurückstrahlt in die G~meinschaft. Eine Klasse, die sich verantwortlich fühlt, wird z. B. mit allen Gegenstanden und Einrichtungen i h r e s 1<lassenzimmers achtsam um-
gehen. Wenn der lehrer oder ,die lehrerin es dazu noch versteht, das « Wir» zu pflegen und, zu 'kultivieren, dànn wird ieder einzelne Schüler stolz sein auf « unser Klassenzimmer », auf die Ausschmückung des Klasse.nraumes, damit eine wirkliche Wohnstube daraus wird.
Der tehrer unterstützt sehr das Gemeinschaftsgefühl, wenn er betont, die 9 a n z e KI a s s e schreibt schoner; ich kann uns e re Klasse auch einmal fünf Minuten aUein lassen; w i r helfen einander usw.
ln einer solchen Atmosphéire wird dann auch auf Kle'ines und Kleinstes geachtet, wird behutsam und sparsam mit- der Tinte, mit der Tafelkreide, mit den Fensterscheiben, mit den le·hrmitteln, mit den von ,der Ge'meinde zur VerFügung gestellten Unterrichtsbüchern umgegangen. Brot- und Obstüberreste füllen nic,ht den Papierkorb. Aus sol cher Lebensgemeinschaft gehen sicher wirksamste Impulse aus, und solches Verhalten wird sicher durch die -Héiufigkeit des Tuns, durc,h eine gute Motivierung noch. unterstrichen und verstéindlich gemacht, zu einer Gewohnheit.
lm Deutsch-Unterricht :
ln den einze,lnen Unterrichtsfachern soli eine formende Wirkung von dem dargestellten und d'argebotenen lehrgut ausgehen. Der Deutsch-Unterrioht bietet in allen Schulgattungen und in all~n Alterstufen eine besonc;lers gute Gelegenheit, zu echtem Wirtschaften und Sparen zu erziehen.
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lm mutters.prachlichen Unterricht konnen Wortfamilien zusammengestellt werden wie sparen, Sparmarken, Ersparnisse, Spargeld, absparen, spéirlich usw. Das Wortfeld wird immer wieder erweitert : sparen, haushalten, anlegen, verzinsen, achtsam sein schonen, sammeln, horten, aber auch ihr Gegenteil : verschwenden, vergeuden, verkommen lassen. Spéiter kcmn die Wortetymologie manche Anregung geben, ebenso sprachgeschichtliche Exkurs,ionen, Sammeln von Sprüchen im Volksmund, von Beispielen aus der iliteratur usw. Und warum sollte nicht a·uch einmal beim Diktat der Stoff aus dem Gebiet des Sparens genommen werden ?
lm Rechen-Unterricht: Wirtschaften und Sparen haben
engste Beziehungen zu Zahlen. Sparen léisst sich ia wesentlich 'an Zahlen beleuchten. Bereits auf der Unterstu·fe sind die Kleinen empféinglich für den Umgang mit Geld. Wie heben wir unser Geld gut auf ? Wie konnen wir es vermehren ? Wenn du wochentlich zehn oder fünfzig Rappen in die Sparbüchse wirfst, dann ergibt das bis Weihnachten, bis Ostern, bis zu den SommerFerien ? Wie ist zu erreicheh, dass ich zu einem bestimmten Datum über einen bestimmten Betrag verfügen kann ? Auf der Oberstufe kommt die Zeit für die Zinsrechnungen oder für die Themen : « Spargeld wéichst »,
«Ein Franken wandert» und «Spargeld in der Wirtschaft ».
lm wirl'scha,fts- und sozialkundlichen Unterricht :
Die Unterrichtsfëcher konnen ia an dem Problem des Wirtschaftens und
Sparens nicht vorbeigehen. Hier werden der J'ugend die Entwicklung und die Prinzipien der Wirtschaft im !deinen bis zur Wirtscheift in der Gemeinde, im Kanton und ,im ganzen land deutlich vor Augen geführt. Notwendig ist nur, dass so allgemeine Grundsatze an Gegebenheiten . des Alltags oder an anschaulich gemachten Vorgéingen in Geschichte und im Ausland wirklich veranschaulioht und zum Erlebnis gebracht werden. Je mehr iunge leute spüren, dass es sich ihre ureigenste Angelegenheit, um i h r leben um i h re Existenz, i h re n Kredit, i h; Berufs- und lebensziel handelt, um so mehr werden sie interessiert aufhorchen und wirklich bei der Sache sein.
Einige T,hemen seien nur angedeutet: der Familienhaushalt, der kommunale Haushalt, das Sozialprodukt, lohn und Preis, Kreislauf des Geldes Wahrungsfragen usw. '
ln übrigen Féichern des Unterrichts:
Niemand wird daran denken, aus der Erziehung zur Sparsamkeit ein eigenes Unterrichtsfach zu machen. Sie scheint nur hin und wieder bei sachliohen Gelegenheiten etwas durch. Hier nur ain ,paar ganz kurze H'in-weise.
lm heimatlichen Unterricht liegen die Beziehungen auf der Hand: wie die Kirche, das Schu,lhaus usw. gebaut wurden, wie ihre Finanzierung zustan,de kam.
lm Biologie-Unterricht reiz.t die Behandlung der Biéne, des Hamste.rs, des Eichhornchens und anderer vorsorgender Tiere besonders zu Analogien.
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ln der Men'schenkunde wird man bei der Behandlung des lebensrhythmus, der Vorsorge und der menschlichen Kraft leicht die Brücke schlagen konnen zu unserm Thema.
ln hauswirtschafHichen Stunden wird der sparsame Einkauf, d,ie richtige Verwendu'ng, das Haushalten bis zur Resteverwertung immer wieder besprochen werden konnen.
lm Physik- und Chemie-Un~erricht
kommt ohne weiteres die Sprache auf Energieersparnis, Zeitersparnis, restlose Verwertung und Auswertung.
Nicht zuletzt werden die lebenskundliche Stunde, die Ausspra'chestunde oder auch die Vo'rlesestunde am Samstag für gutes 'Arbeiten der Klasse wëihrend der Woche besonders geeignet sein, unser Thema auch einmal vorzuschlagen. Des Interesses darf man bei der Jugend sicher se'in.
Sehr aufschlussreich ist noch, wenn wir abschliessend erfahren, was Schü-1er selber über das Sparen denken. Dies hat ein Schülerwettbewerb gezeigt, der 1955 durchgeführt wurde und dessen Aufgabe lautete: «Wo haben wir noc,h Moglichl<eiten zum Sparen ?}) Eine kleine Auswa,hl der Aritworten aus dem umfangreic,hen Stoff soli, nach bestimmten leitgedanken geordnet, folgen :
Fremdes Eigen~um: Hëiuser nicht bemalen. Keine Fenster einwerfen. Nicht über eingesëite . ~cker laufen. Obstbéiume in Ruhe lassen ...
Offentliches Eigenfum: Strassenlampen nichl einwerfen. Post, Eisenba,hn usw. nicht beschëidigen. Keinen Wald-
frevel begehen. Waldbrande verhüten ...
Die Sc'hule : Die Bücher in Ordnung halten und schonen. Stühle und Bëinke nicht verschmieren und zerkratzen. BiIder nicht zerreissen. Bleistifte nicht fallen lassen, damit die Minen nichi abbrechen. Die Tinte verschliessen, damit sie nicht eintrocknet und nic,ht verschmutzt. Nicht zu weit auseinanderschreiben, um Raum zu sparen in den Heften. Kre.idereste verbrauchen. ln der Pause Brot essen, staft" Süssigkeiten. Kein Brot, kein Obst wegwerfen ...
Energien im Ha'ushalt: Radio nicht so lange laufen lassen. Keine zu starken Birnen verwenden. Wasser nicht unnotig laufen lassen ...
. Schonung von KI'eidungsstücken: Zum Fussballspielen Fussballschuhe anziehen. Nach der Schule umzie,hen, ëiltere Kleider anziehen. Mit den Schuhen nicht Steine stossen. Keine Nëigel in die Tasche stecken. Seife nicht im Wasser liegen lassen ...
Lebensmittel und Küche : Kein Brot wegwerfen. Ke·ine dicken Kartoffeloder Obstschalen machen. Kein frisches Brot essen ...
Vorsor9'e treffen: Zëihne putzen, damit man nicht so früh zum Zahnarzt gehen muss. Sie nicht durch Süssi[keiten verderben. Sch'uhe pflegen, damit das leder nioht brüchtig wird. Türen nicht zuschlagen, das schadet der Türe und dem Verputz ...
Weitere überlegungen wurden noch gemacht betreffs Auswahl der Geschëiftslëiden, Umgang mit Bargeld, Vergnügungen und kulturellen Bedürfnissen, betreffs Eigenleistungen usw.
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Man muss wirklich staunen über die Erfindungsgabe, die gute Be.obachtung und die zeitnahen Vorschlëige, die diese Jugend von heute bes'itzt. Kommen wir diesem zutiefst menschlichem Drang nach Sparsamkeit nach, und si-
cher wird richtige Erziehung iJhd Gewohnung an Sparsamsein zu einem HerzsfÜck der Personlichkeits- und Gemeinschafiserziehung und den Einzelnen und das Volk innerlich und ëiusserlich wahrhaft frei machen.
La joie , a l'école
par le disque J'o'cques DUBOSSON, profe'sseur, ' Genève
Die Schallplatte wird in den Schulen immer lnehr Verwendung finden. Fonnung der Personlichkeit, notwendige Erziehung zu guter Horaufmerksmnkeit im Zeitalter der « Gerihvschkulissen ». die leichte Verwendbarkeit elektrischer Tongêriite in der Schule und nicht mehr so hohe Anschaffungspreise verlocken .je liinger desto mehr zur Einführung der Schallplatte in den Schulraum. Die Schallplatte hat dem Radio manches voraus : man ist nicht so gebunden an Sendezeit und Stoff ; man kann selber wiihlen. Sodann werden heute zu den Sc1uû-Schallplatten Kommentare ausgearbeitet, die dem Le/u'er die V orbereitung des Untel" richtes mit Schallplatten sehr erleichtem. Besonders gute Dielvste kann die SchÇl.llplatte für die musikalbsche Bildung des Schulkindes leisten. Aber auch die rhythmischen Übungen kann sie fordent. Eine «vorbildliche» Lernhilfe ist sie für die sonst so stiefmütterlich behandelte V ortrags- und Sprecherziehung in der Schule. Aber auch die andern Schulfiichl}r, z. B. die n,aturwissenschaftlichen, sind auf die sem Wege manchmal leichter Z ll behan.deln.
Et voi,là ! (les rtl,oils ,dernie1's n'lOts
de Inon titre In'ülllt If'Mt 'perche, assul'émient, 'qlllelqu1es le:cteurs - ceux,
parr eXieuupiLe, qui ~enseifllt qruë 'l'écoie est un endroit s'éâeux. Ou ,ceux 'P our lesquels ie ,disque ne Irep'rés'enlt'e
qu'rune oocasion 'S'l1'pplénren1Jai11e Ic~e
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heaUlÇloup de: !J.llI~ 'collègues . que Je di,sque est un m'el1veilliJJeux ilIlstlmlIll'ent
ete tr,a!V,a,il, ,soJUJp[e et ,dÎlv:er,s, souvent
fiait sur mesure 'pOUir VlallOiriser une aJOOiiViifé; instrurment qu'd.rl n"est ni
ut O'pŒ qll'e , ni 'lnêlne difficiJlre ,d'introduilre I(lan:s la dasse.
Sans pll,ét:endre, en ces queil:ques
p-ages, t14aitteJr à fond le pTohilème
pèd,agogiqœe et did.a'cit'ique de reim
plloi de ee moy,en d'enselÏgnement, je m'laif1Ja'C!hm·,ai bl'en p~'lltô1:, paT J'a pré
S'entt:aJtion de qll'e~C[lUes ar~um;ents et S'lllitJo~it par ,des e~tm1lp~e:s :r~l,atlartllt des
exrp"é1,ie;nces Ipilrus ou moins ,réussie:s,
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à Ip'l'ÛU'\"ill' lque (lie ,di'sque a .drüit à une 'pl,a'ae légi'time à J'écooe.
ViOlÏJci tüUlt Id'Iahülid d-es largunnents psytohOilügtiques :
La lDusique est ,e~S!en:tilell!emel1!t une expr11BsS'rÜn et un Jrangage. Eilille s'adresse à nütre inteiUiglEm'ce !et ,à nütre sensibhlité, lIll!ails peut-êltl~e p~us tenCüre à no1Jre 'aJffe:otilVité. 01', ,depu:ÏJs ullle généa.~atiün enviI~ün, J'école la tendance à se p:l1éoocuper ,de l':ilntégl~a1tiün affec
tive de ~'leIllIf,ant Idaus le g'l'üupe, à acoorder iLa p~'imauté de Isün effoo:t à dia fü~'matiün de ~a pel'lSünnal1ité de l"enflant let là l'éprunüuisseJ.mIe!Ilt de s'es pOUJVüirs, sans pü'Ul' 10eJla négligeJl' l'acqui:sitiün Ide lSalVüirs, d'une incüntes
table utilité. Pour :parvenir à sün brut, l'école, et tüultJe la péld'a:gogie cüillItem.povaine Ie([l fiailt foi, coonplte et s"alppme ,de p~us en plus S'ill' tl'a psyohülügie .de l' entf ant. On peut di[l'e que l'emplüi ' du disque IdMIS 1es te-chni
ques d'enseignement BS!t le prülüngement nartuœil. de ['Iappl,ioaüün des
m&thüdles ll'ÜUiVlelUes. Alutre largument: depuis plus d'un
qua1'lt Ide sièole, lia 11.1a1diü la ,pénétré,
et même, à certJains é~ards, eD!vaihi nOitre exi,ste.nJce quotJ~dienne - en ait
tJecn:dianlt [le t'OUJr de la télévisiün. Avec la 1IIadiû, lia mUSÏJqwe s'est emp'rurée de 11Iüs viles. JIl f,auldl,a'Îlt même dire «les mu~ÎJqwBS» si ~'ûn veut bien admettl'le qu'hl y ,a la musique qui nûus ,réCtrée 'Ou qui -enrichit nOllJre vie
intértieuœ, et l'a musique... qulÎ est destinée alVanIt roUIt à épooUIVeT lia soJidirté de nütre système nerveux! En urn quart de siècle ulJl:e élduloartiûn des atUdilt'eurs d-ev11ait s'êtlie f,aillte. J'éorti.s
« dew'ait » par:ce que, à en juger parr
les échos que l'éJcoile reCJUei1il.e de ['écoute Il'aJ~'OpihülIlique au fûyer, :hl f,aut bien adm'elttl~e qu'<iiL ~œsrte encüre
des pl'ogrès là 'l'éailis'el', s'jiLg tp:etUvent l'être. Or, [e diS'qtœ pieU/t êltlre un excellelllrt 'antti:dotte. IEn effet, intdligemment emJp~0Y'é à l'Iéoüle, ilI. peurt, ûutre sa Vlertu éldU!0at1 Vie eIt ouhureJl!1Je, assumer urn :l'ÔIle sodall : Il'èap'p1''enldre à l'enf'ant à écouter, là ,cümpœt'er, donc à flO:ral1!er lSon jlUgement eIt à ,oümbattre ~e tl'ülbtiJ1let à \lllJuS'ÏJque qu'est dey,BIlIUIe,
tl'Oip 'Süuvent héll,as, !la raldiü f,amiE!ale. Et \cehle"lci ,cesS'el'a ,d'êtve un ,f1léau püur redievtenir une magie",
TI11oi'sième a11gument: là .J'lUsine, tau bur:eau, à la ferme, des lTIlaJchilIlielS in
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droit-il pas a~derI' [e maîtll1e à l'endTe une leçolIl Ip[U\S WV ante , plus cümpllè'tJe, plus laJotUlellile? Nüs élèves,
mêtme jeUllles, süm 'l'econnaiss!anl1Js et fiea."s dev,ant ~leUors ,camaI1ade.s d'autt'l"es clla'sse:s de ,pta'l,ler dres enregùstl~em'enrts
entendUlS, an ail ysés, güûrtélS. iIlls S'etllftJent le Tooe de liraisün ,que [e tolUrl'!lle~diStqule
r,epil"œenrr:e symbüll:Ï!quemenrt lentre ie mi:Heu ,de['école et 'celui de [la flamiJlle,
ent'11e l'éduoartœün 00 11eur iÏnwHilgence et cei1.ile de \LeUT sens:iJbiil.ité esthétique que !tente J'écoil:e.
Quatrièm'e la'l'gume1llt, pb éoünomilque et soci,aJl :
TI paraît légitime, -après les il'aÎsüns psychülügiques, de discuter le prüblème de l'équipement et ses incideuoos finanoièa."eB puisque c'est ~à un Ides
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a11g111rnenrts 'Séllreux utill'ilsés par ~es
ad'Vle'11sai,res Id.e fremlpJtO'Ï. du disque. Je r,épo:nd11ai d'lalhOll,d que ce n'lest pas un
vélitJatblLe arguml'enlt, mais qu'il est mllancé püur oalmüUifWm' lIa quiétude prO'fe:ssiünnel,le, ou Jla c11aiUltJe du n'Ou
veau. De plus ce n'est pas un prüblème !très i.m'p'Ol1'tanrt. Si ~'ün me demandait CümllneIllt P11üc&del', Je rbpündl~alis Iqu'H y a miliJre et lUne mlanières de f'aire .
D'ahOI'd ~,a pllus simpJ.e : ün urtiJise sün prüpœappaœil si l'ün habite Ja mla~sün Id'écoile.
S'hl .flaut lacheter un éleCttJrOlphûne, ün peuIl, au .drébutt, IlüiliS'er lIe hautpal'leur du pO'ste Idte :l,a;ditO 6t là eUlCüTe la Idépense 'est ,de peu d'impüli1;tance : une Iseptan1Jaiille Ide f!l'runcs IpûUlr un bün apprar-eill. Si ['tOn !tient ,à püsséder deux aplparehls Idi'stinots, il faut o()([l];p.ter de Idleux à trüis 'cents :fil'alJ1cs. (J "ai mê'me vu Técenlrment IUn nouvel apprarei~ d!e qlUJaHté pOfUJr mûins ,de dieux oents d'Il',an0s). Ohaque f ûi's que j'ai cru néoessair,e Id"aJcquéluT un
moyen éducartif qui me pa:1JaissaÏt de VlaJleIWr pOUir la dasse (muilttioOlpieu.l', Ï'illprimlell'ie scOl1aire, é.q u~lpmIl'ent pûlUr ~eIS tl'avaux manu'ell:s, magnétOlphülIle pmr e:x;mnplLe) j'lai 'cherché aViec mes éIlèvles à ra:ssffiIl!hler ,envÎlrün la mûitié
du montant de la f.aoture à 'VlenÏJI' ;
nülUrS la'Vlûns rtrüU!vé de f al'gen'l: p lar urn milIl!aSsalge 'de paJpÎler, par dia ré'dlaotlÎlün d'un Ipetirt IjüUil.'!llM, par t}a Icünfie'ctilOn d'lübj1eitls Iffil cartün, en l1aphia, en
osier, pal' l''O,rganiISiartJ~on d'une il:ütel\i:e, par la 'JtOloat'Ïün Idles Ibr,a:s [es p 'lus 1'0'
bUlSiIles - ceux du maÎ1:I1:e y 'cûmplüs - ,chez un paysan coonpTélh:ensif; d 'iaultres ftOis eIllICüre pair 1''O'l1g.anÏJstarti'OlIl
d'une matinée scoiLaire : prüdu'otiüns œes entan.ts, 'ou ,chanrts a.ccümpagnant un d'illm l'ü,uré là lLa Oent11alle .d1U film à Beu.'[1le et ohaque floos rrrüfUiS aVIons
reÇIU ~'ra1p'P'ui financier relt m0I1al d:es plarents et prat!: vüie de cünséqu'en!ce omui des laurtrolutés munilcÎlparl.es et scolaires. Reste l1e 'problème de ['laJdhat des clirsques. ,Là enOü11e, la ,dépense ne s'emlb\le pas oüns~dé11able püUlr une cOJlTIImune préü'ooulpée du bien des enflants, Si j',a'V1aÎlS à fixel' un chiHre,
cent fl'a.Jl1OS Ipar lan m'e semhlel'ailent déjlà très Întére:ssaJIllts. li ne faUJt p las ouhHeu.' que .}',inflUJence béné.fique de l' é:dlUloatiÜ'lldu ,sens Idu beau se pro.
longe hürs IdlU c'aclre de la classe. P'Ourquüi ne pa,s Iprévüir l'eluploi
d'un éIlectrülJnüne au ser:vÎ'ce :des jeunes pendant leurs loosm',s? li existe bien un peu partüut une ,bi,bliO!thèqu:e cü'lumlU'Ilale üu parûissilale.
Une autre S'OIlultiün mél'ime'l'ait une étude a1:Jtentirve :
Au lieu d'Iarcheter tüus [es ,dàS'qu~s,
ne püuTl'ait-ûn enrvilS'ager ILa 'Ol·éartiün d'urrre discüthèque entre pJusierurs dasses 'Ou écOl1es? III eXIÎste bien un
musée S'oülLaiœ üÙ r ün peut se Pil·Ücurel' ,dilaipüs~rtiv.es, trabil.'eJaux murlaJUx;
une cent'l1alle !du f<iiLm ÜÙ l' ûn p 'eut lüUle!r Ide,s fillm's. P'Üurquüi p!alS une dis oothèque arec ,senni'ce ,cIre prêt? li lc101Îtt 'êt'r.e püssible, en HailS'ün avec h \directiün oanrtüna[e Idle 'l"ens'eignement, de 'oréeT une cüOipél'arbive püUl'
é'1luJdier ce 'In1oblème. Reste mminlten,ant à Icliscute{l' Il'e Iprü
Mème pé:dlagü'gi'que !prüprement . dit. Je pense qure d'eS éléments les pilJus inttéress'anJfJs à discuter sont les suiVlaJIlrts :
-127 -
T'Out d',abord les av-antages du dis
que, ses possihillités d'utilisraJtÎ'On; pU\Îs
la di:cbctlÎ.'Cfue à élarborer p'Our que~
<JUles ty'pes .de ,disques ; il flaJU:ch'a par.r-1er encore du choix des disques à
taJÏ:re entendTe ·aux en~alJ1i'ts sui vi de qUeJlques exe(JJ:lIp~e:s que j'espère Slti
:rnJUiliants 'et enfin nlppeler, en c'Onclusi'On, Joa va~eu:r édUJoartiv-e et ouiltul'elle
du disque à 11'ée'Ole.
Quelques avantages du disque.
L'empl'Oi du disque eSit multiple et permet une .grande s'Oup[esse, une
g'l'ande adaprtartÏJ'On. P la'l"lnÎ ses qualités, J.'elev'Ons sa disp'Onibilité : au m'Ornent
et ·drans les conditi'Ons particuiJ.!i.ères
lies plus pll'Ü'fÎll:Ja.b~e;s, il est P'l'êrt à l'empil'Oi. li pe'l'1n~ les l'épétit!Ï.'Ons s'Oit
p'Oill1' Ile 'pilailsir d'écourtreT, s'Oit p'OUir les néoessités Ide l'enseignement. Il esrt fti,dèle 'en 'ce sens que J'éduoateur sait ce 'qu'il ,c'Onrtient et pe'Ult c'OU'lpter SUl' la partie qui ~'intéresse 'Ou SUIl' ilra
t'Otalité de ~'enregi,st.'rement. III c'Orn
pIète et iSuppiLanrte même l'a J.1aclio. Sans v,'O~'O·j,r juger let crilti'quer ~es
émiÎssi'Onrs l'adi'O-scoiLaiTes, en eiI.il:es
mê:rll'es s'Oluvent intéress'aIlltes, i~ est b:eaU!c'OlU!p pJus s'Oi(]tp~'e. !La ll.',a,di'O fixe
son he!ll'œ, mênle Isi le :plX>'gl'anlffie
s'ooo,ai,redemande un déiJ.·ari. Elle donne ~'éiIniiSSiiÜ'n une foisp'Our !t'Ou
tes, s·ans p'Ossibilité de s'Ia!l'J,'êltelr, de discuter, ,de 'l.'eprenJdI,e, de Q'èenrtendre.
Le disque ne remrpl1ace J.'Ïen ni peT
s'Onne, mais il 'aprportJe un Mément
rinf'O'l~la:teur 'Clans le dotmaine s'On'Ore d'Ont le l'Me est û'OmpaT,able ,à celui
de riiJ.1lage dans Je dOllliaine visuet li est juste de pail"ler ·aiUSsi ,des Hmi
tes du disque. Le premier p'Oint qu'il
flaUit dis.cu1:'ea.' par,aît êtJre l' 'ObjelCJtJion f'Ond,a:menltlale qu'IOn enrtlend al,ticull:er
par les 'advBllisaÎlies du disque: ce nl!'Oyen Id'en:se:ÎJgnement n'est pas utilli-8'ah~e à l'éc'Ole srpéci'allement plU~oSqu'rÎ.[
supiplime le c'Ontact de r exé'cutant alViec l'/audi'tJeur. Je 'pense que cet rurgu
Iment p'Ose Sitlllrpilement un {'aux PT'Ob'lème : le IrempJacemenrt de l'exécutanrt pral' Je Idisque. Mais je cr 'Ois que,
flaute de m'Oyens 'c'Ompaetrs te/liS que 1''01ioh'esrtre 'Ou 11"aJl~ilslte qualirflié, le
cl!isque permet toute de même un contact bénéfique arvec des œuv,res
inc'Omprwl'a'bles et que, vu S'OUS cet an glle, le rôile du ldisque est légirtime v'Oi,r:e même Ïl~l'ern.pi1aç,able. Pral' le
disque, il' édUJcarteul' est à mê'me de préparea.', d'une mamèTe l·ema;rquable (en p.aT1t'ÏJculier p'ail' ,des écoutes sucCiessi VIeS prép,aTèes il11inl\lJtieusement), }',aJUJdliti'On qUlÎ S'el)a d'Onnée plaa.' 1''0[1.'
ohestre 'Ou le s'O'lÏste réeil.s. P lat' le dis
qu.:e, je puis f'OmneJ.' ,le g'Oût, le jugemenrt de ~'aUiditeU'r, 'ÜréeT en (Lui une
attitUide (l.~éceptive infinlÎlment sup'él"ieure ,à Ic'eliLe quri c'Onsiste~:-a à éc'Ou
ter une œuvre de brut len blanc, alU
millielll d'une f'Oulle p'Our le moiÎ!lls
hétér'Ogène. Si 1"'On veut cl'Onc bien v'Oir -en 'lui ce qq':hl. est IréeiliJ.telnent: un eXlceJileIl!t ins,tl,ulmenrt de Iculwre, rem.pili'Oi du disque n1:e 'pial~aîrt itJ'Ourt à fiaillt
légitime. 1!l est lUne autl'e Jimite, tecihni'qu:e
celle ... là : si d'UJne f'aç'On génér,alle, la
q'uaŒité des enregistrementts est tou
j,'Our.s h'Onne, 'Voil~e Il1lême e:x:cellente
suiVlalllt Œes écliiteu11s, les Iprogrès tech
n~,ques qui se 'l'éa1Ï'senrt enc'Oll:e de nos j'Our,s (ne pa'rile-rt-'On pas ,déjà, au staçle
e:x:p éTimenttal,d'-enregisrl:Jl'emenrfls stJé-
- 128-
réoph'OnlÎques ?) fer'Ont -qu'un jOil.liJ..', n'O's clisqUies n"aur'Ont plus, ·à n'Os yeux, qu'une Vla1leur Ide ttém'Oins d\me techniqUie 'Ou d'une ép'Oque, M:ais p'Our l'ester ·dans le d'01uaine Ide il' éc'O(le, IIl'OS manueil.ls ne 'Û'Ourent-ills Ip'as le mênlle
!rÎs'que ? Et 'p'Ou1l,tant ''On ,distribue cles
livres 'à nos éc'01iers ! Autre difHouŒté: c'Omme du ~:este
1a ,m'anilpuilafti''On Icl'un épildiJasc'Ope 'Ou d'un film, Ile mtalllie~nenrt d'ull1 cHsque
est un peu déliclat, il! sup'p'Ose '~lne
bTève f'O:rmati'On. r]j} e'st Iparf'Ois diirflÎciJe d'isoilel' une pa::t,tJie d'enreg'is·tre
ment si ~'éditeur m'a pas nlléntagé lme
phge ,de r·epélrage. Jre signale ·ces fiairts comme mise ren gal,de SUl'tou1:, p'Our
étvirte<r ,audébutJanrt cles a'Cdden1ls parr
fa~tement inultÎll'es. Et .ceUe ll~eIll'arque ln'Iamène là pal'-
1er d'une limli't)e p~us séTieus:e : 'On ne
p:eUJt, dlaiJ.1's plusieurs cas, p 'as enc'Ore plal''lel' de C''OUe'ctti'Ons d'e di;S'ques pensé·s len fUllIctJÎon des hes'Oins 1clle [,éc'OJe. EnC'011e f>élud::t1a-lt-'Ïtl s'·entendl'e sur lia
flO1l1m'e à d'Onner à ces -enregi.stTements. p l'Our ,m'On IC)'O-inlpte, je pense que ces
di'sques devi''Ont êtJre c'Onçus 'en f'Oncti'On d'un empll''Oi s'colaÎTe, mais en
bralIl!IlJissant de l"en'l'eJg;Îst[l.'ementt t'Out c'OmmentaÏ're quri œste à rua chau:ge de Il' é'clulcail:'eur. En eff'et, si le dis'que n'appoJ.1:e pias et ne pel'ffiet pas au maître rt'Out comme à [''élève une
appréhensi''On et une réfrlrexi'On persoolneJUres, le dilsqure n'a que faÎTe en
cItasse.
Ses possibilités d'emploi,
En me tlimirtant aux expé'l'iences
réa1Ji,sée'S 'et en s'Ongeant spéd:ailement
à l'éc'ale rprÎlll'aire, 'On 'P'e1ltt: admettJ:re
que les p'OssibHités d'emp~'Oi du dis
que s'Ont nombreuses 'eit variées; j'en signale ici quelque's-iUnes: t'Out cl',ahOl,d la musique, 'pU!is Ih rydlmirque; les textes littéTaires 'eit (Ires Ic.ontes; en
fin un ,alsp'ect d'Ü'cumentJah'e, 'p'Our les leç'Ons de sciences 'Ou de gé'O:g11aphie. Aj'Out'Ons quelqures Ic'OmmentJalÎ::t·res à
cette énumél,atti'On Ide secti'Ons. La mll'siqU'e : lIa milrsiqure, à !l'ée'OJe
p11i'maÎTe 'spédail:emenrt, d'Oit êtœ envisagée avant rt;''Out ,connue un stimltllrant
libératertl'l'. Sa vel,tu CJaJl'dlÎJlIaJe n'est
eUe pas une atoti'Ün Isur l'âme Cl'é'atrice de il'en~ant? On peut éc'Outer de Jla mulsique len Id'Onnant un bref
commentaire intr'O:d1l!Cltif SJÏtuant ['œu
v·re ou ,signalant ses oal'arotér.ilStiqtlle:S,
mati,s on Ipeut tt:out aussi bi'en, :d"apTès les n'Om!hreux 'es'Siais f,airts ,dlall1s ce senlS,
f'alÎre éc'Outer slans d'Onnel'de c'OrnmentaÎJ.'e et même s'ans ,d'Oll!l1er rinlÎtia
lem'ent de titre. C~te technruque, '01U1Î-re s'On acti'On SUT l'âme, sUrr la vie intérieure, ,arflf:inte rauditi'On Ide !l'enflant, sa
sensi:billÎrté, S'a maniè11e Id' éC'OlUfteJ.', CiU~
üve Sla mém'OtÏJre, ~',aJlllèll'e mênl'B à êtiJ.'e
oap/ahle de 'c'Omp arer de:s enregistremlents, à ISe flalÎll·e ,d'Onlc u.ne op~ll1i'Ol[l.
Je ·me s'OufVlÎren:s enC'OTe la'VIe!C ét'Onne
ment de l'a justJesse de:s c'OmmeIlltahes d'enfrants de dix ans m'!explioqurant p'Ollll1qUlO1Î irIs p'réfé11a:Ï.!ent ~'jnte'l'lprétJa
Ü'On ,de W1a[tlJffi' IG'Oehr à ,ce~,le d'IAndi:t,é
K'OstJeiLanetz 'avec Ile comm·entaire padé de ClrauJde Da'l]pih~n pour le
« ,Calln'wVlal des Animlaux» de S'aint
Saens'eJt aes nuances qu'Hs sentaient
enif'J1:e l'intte1'p.rétati'On pluis «ldétaiHée»
d'Igoll: Mm'kervitch et cene de W. Goehr «uu rpeu 'p!lus rapilde»et d'uill même élan 'P'Our Je mêmte ·m'Or,(~ea'U.
-129 -
Iii. .faut se garder ,d'ourhllielr que ilJes
enf'amts o.nt une sensi,billilté rdiftf érente
de b nôtTe : là ilJa f'Ois p~ulS v!ÏiV'e et
p ilus bil·ève. Iils o.nt leur imt81'pilié\l:Ja'tion
de ce qnti les to.uche sur le plalll de il!a sellS'Î,bilité et leurs !image,s, leur COln
p'rélhensiom so.nt Iditf érerntes de:s nô
tres. Je me rrwppeHe à ce pro.po'S l'alt
titUld'e s!Ïnguilièrement 'attJ:tentive · des enflall1ts à il'écoute de rpattitiro.ns o.U de
pra'l~ies de c:eililes-ci p[us «llllod'eJ.illes» teiJ/}es ceililes de J'« Oi.'S'eau ,de .fe.u » de
Stl'aiWinsky ou de «PO'l'gy and Bess», o.U enCo.Te de la «Rh,ap,so.dy in B~ue»
de Gershwin. On P'o.JUTl1arÏ!t IdN'e qu'ils
so.nt mo.ins SUII'Plis p·ar Iles disso.nances
que no.us et qu'iUs so.nt s'éduÎt!s pa r
la musique ,conJtempol1aine. J'avairS
déj à eu l'ocoasion de faü'e la même r{~ln:arqU'e lo.r.sque j',aViailS été amené à
traViailler et à Œuém01,iselr 1a sét'ire des
très beJaux No.ëls ,dru co.mpo.SlÏ'teur genevo.is Andlié .. FI,anço.is Mla,resco.tti.
A la deço.n .de rrythmique, le disque
e.st U'Il co.mpll:ém'ent bienvenu. fi peT
Illet une mémorisatio.n pl'éci:se, ~l
co.nm.·/irbrue à la 'dilscirpiline de tl,a'VlaM,
(il do.!ÏJt être obéi ,à la seco.lllde), à
l'éducati'On :de la vOl1o.nté et ,de l"aUen
'bÏ:o.n. n amooe Ide Ila 'Viariété - 100 Ill' est
pla.,s to.ujo.urs le pl"o.,fe'Sseull' qui j'Oue -
et p'ffi'illet à l'enseignement un meil
le.ur co.nrtl'ôle de l'aloquis.
' Dans l'enseignement du fl1anç'alÏ-s,
citto.ns lLe 'rôle intéressant dru disque à
J'a ~eço.n de diction. Il pelunet uille
in~tiatio.n intél'e,sS'ante. Lo.lÏn ,de m'Oi
l'riJdée qu'id rempwace la pTép,al,arti'On
et J'ex:pilicatio.n du po.ème (pal' le m ,aÎ
tre. M,a~s il 'aIppo.l1te une vo.ix eXIpri
TIlJant to'utes les 'lliUanCeS du rteXitle, S'a
chalnt do.sel' ses eUets, pm'Iue'lltJant à
Fenf ant de ,slais:i:r lia mUsÎ>que et Ira Vialleur ,ill1!oan1ialtJo.i,re etu m'o.rt. Le texte
dit 'Oo.mrnle Imo.:dèle d',int:e:rpré1:Jatio.n,
pe'vmet un tra'ViariJl en 'pl'OIfo.ndeur, n'Om
po.ur o.btenir une imitatio.n p 'lus o.U
m'oins rp'élll1f,ailtte de J'.artiste ((HailS pOUll.'
pell'mettre ·à l'ienf'anrt de 'co.nf ro.nter sa sensibilité à une sensibillité évo.
luée.
So.uJlrignol1!s aus'Si >son avantage psy
choJo.giqu:e avec .des lenfrants dès ll'euf~ dix ans; il év.i,tJe Ides po.lLarriSiatio.ns,
des ' tOppo.s~tio.ns iIlco.ns'cientes dOtl1t les racines S'o.nt ,s'OuveTIJt ilJ.llprévrues et
éto.nnantes; de plus, en mertta:rut à la di'spo.siti:o.n ele la ,classe ,des vo.ii.x différentes, m'asouHn:eiS o.U f'ém~nirnes, juvéniles o.U en pleine ma,tulïÏlté de leur
talent, ill f'adlite ,la m'artl.wati'On de la
sensibiJité e-sthértique ·de J'elllf'ant.
Lys 'co.urtes enregistrés so.nt lt'Orulj'Orun.;
hi'e-n;s a'ccueililis pal' les enf'ants ; ceiJ.la
ne veut pas diTequ 'ills l'e'llil' p1,aisent to.us ; là enco.re leur se,n;s,jrbdlité jo.ue
et sélectio.nne en f o.noÜo.n d·e crÏrtères que no.us n"a,mi.v'OIls pas t:o.uj\o.urs à
co.mpJ:end[re, rn/M'gré les ,eXlpHCJatJÏ'Ons
spo.ntanées do.nnées pral' les enf,ants;
du res,ile Hs 'So.nt bien 1!.i,bTes de cho.i
sil', de rbagir !.. Les .dr:i.,sques qud plai
l'o.nlt seTont rlio.'l1jo.ul1S 'Ceux qui o.nlt été
ôn11egi'S,tré;s a'vec 1]?!1ai'sir /P al' IlleJg inter
p.rètes, eXla<otement co.m'me no.us s'Om
me'S to.Uj'OUTS as's'l1ll·é'S d'une éco.utte
atltentÎrV1e l'Ors'que no.us co.ntlOns no.us
mêmes, à co.nd.it1'On de nrous ~a,issB'r
pren:clre aIU jeu lo.rs ,de la pl'épair'aJtio.n.
Là encore le d~sq'l1e-'co.I1Jlle se ju'stifie s'il fiait algir ,l'enfant, s'il. JUli appoa,'II:e
ulll'e «n:o.lllJ:l1.·it>l.u'e» Înltéderure po.ur 8o.n
im'agi'lIatio.m, s,a >sensibilité, >So.n po.ru
vOiÏlr d'expressio.n par le rtex,t:e ou pair
- 130 -
le de:ss,in. Avec des enfants jeunes, ill
f aud.ra ip'l'endll'e g.artde d',arvoiT rune Jlis
to.ire ,à 'peu.',go.nnageJS :J.imii~éJS en nom:bre qulÏ s'expl·j,ment d'une manière vli
V/ante ett t'yp<Î.JqUJe. La' mus11que et les
« hruitages» devro.nt êttr:e discl'ets,
p'l~ésenrts aJViant ,to.ut IpOlur ftaciliteT l 'a
co.mp1réhens:ion .dru. t'eXtte. On deV'J.'a
prendve rgart'/dre, à Il'éco.~e enflantine
spéCli,a'lem:e:nt,à loe que J·e oo.nte ne
so.it ni tro.p ,Co.urt (Ises V'elrtus ffilagi
ques n',arurai:entt pas 'le temps de se
manife-ster) ni rtrop long (il la.s'SeJ.'ait
ma'l'@ré Ito.ut ['ierJ.f'ant). Si l'~drUc'ateur a en mains un loo.nle t,ro.lp lo.(lJ.lg pro.UT
ê,tre éoo.uté ,d'une s'eu!le ,a:uditi'o.m, ill
p'eut f'Ü'l1t Ibiern, av,e:c quelques rp:réCJau
tÎlo.ns, en 'présenter cres divers épisodes
en ·deux 'OIU tl'ois séances pais trop es
paroées les unes des lautl'ie.s.
'L'éco.ute Ides .co.lllrtJes p !ose un p:ro
btlèlne intéressant : f 'aut-ciJI utiliser des ard.a.ptllltio.ns OiU n"alccepte.r 'qu'e l'e tex1:e
originall? étlant hien enttendu que
cette l~em·arque w:se e:slsent,ÏJeUem'ent
le p'adé (,bien qu'à la rémexilOn on
trouve clans le co.mrneTice des rverrsi'Orns
dites Ide Co.nce'l't qurl. rS'OTIJt des so.Ttes d':a,d'arp:tJaJtÏ.o.ns mtUlSÏJcallelS ,de l' œuv.re) .
ùa Il'épo.ns'e se:mbl1e f o.UliIlie pal' il:a
pr:llltÎ'que l'adiOiphonirque: to.uites les f,oi's qu''On peut rutili1ser l'intégl1a1, on
le f,ait. 'Jrl y a des textes qui ne peu
vent être mo.ldrifriés. .on sUpipotrte1'1ait
mal une 'V1eTsi'On lalbl1égée d'un Ip'Oème
o.u du petit chef..:d'ooUJV'1.1e ,de P laru
ATène : «ILes har.iJcOOJs ,d,e PitaJugue»,
o.U encore .de «:L':éliXti'l" Idu Révérend
Pèl'e .Gaucher» 100 ho.lll Daudet; on
ent:erJ.dl1alÎlt sans pllailsilr rune «ISuite
trançari1se» ,de Hadh 'Sans so.n meTIll1'et.
M,ais il taut hien ,ardmettre qure le dis
qu'e a ",a t:eohnruque, Ises exigences qui
SOlU'V1eII1t rédame:rut uille écli.tuTe ireno.U
Vlelée ; oe 'qurÎ impose de [,a part de
l'la,dlaptJantt Ides 'qulalHtés 'l'all'ieJment réu
nies ,en U'Ile mêmJe perso.nne : cuiL'tIUre
~itt.tél'a.ire, mU's]caiLe et 'a'lit'Îls1JÏJque, connaissanoe .de l',e.nf,ant, Ido.n 'd'expres
si'On. :Sll'i'v,ant l'âge let la rouJlture de
l'enflant, o.n l]?o.UI'I'a [ui faire entendre o.U no.n Œœ deux versio.ns : litt'tJél,aiÏre
et du I(lisque, et lui ,f,aiil.'e l~em,aTqu'er
ou recheroher J'es ·d~Uérences. ,L'es
sern-viel, à mon avrilS, est que la p 'ensée
de J'autleUJr s'att Iscl"11lpur1euS'ement r.es
'P'edIJée. }:e .suis par exemp~:e OIppo.'Sé
à tUne te.dhnilque , que rai vu prarti
quer: supprirmer ·cel'1IJains épiso.des o.U ,1a fin ,du disqu.e ,S'o.UIS préJtexte
qu'i1lls ne sero.nt pas co.mprl.'fis des en
flants 'Ou qu'i~rS rÏrsq:uenif: d'ê1n.~e tmauma
rtÎ'Slantrs po.ur certains d'ent.re eJUX. Je
Cl1o.1S :que 'Si l'e d~rSque est biern pré
senté et [e co.mmentla~.re ·de l'édUJoarfJeu,r biJEm adarpté lau ni'V'ealU' ae l'enf am, la versio.n entière est facilement
alCICerptée plar C'e~Uli-oi.
M ,in de ne rp.as aUo.mgeT ces co.m
lJ.uernt·aires, lajouto.ns sim!pleme:nt que,
,dans Œes [lreçons de soÎ'ences ou de géo
gr,aphi.e, :le ,disque sel'a to.u j o.urs utile
si l'éduoateUil' la pu s'assUJrer de sa vaJIe:ur Ido.cumentlaire r(rchants Id~'Oi
seaux, rmusique falkllodque o.U lan
g,a'ge .par exemple). (A suivre)
- 131-
Das Lehrerserninar ln Sitten (Gesèhichtlicher Werdegang, 2. Fortsetzung)
R . . LOIRET AN S. M.
L'Ecole Normale a ouvert ses portes au début de janvier 1876. Après les grandes difficultés qui ont précédé sa fondation, son histoire ne connaît, dans la suite, rien de sensationnel. On peut, par contre, constater un développement con,6nu et 'tranquille, mais d'autant plus fructueux . Sous le directorat de Monsieur Georges Hopfner (1876·1899), l'Ecole Normale et le Collège s'établisseia dans le bâtiment con'stnLÏt pour· eux en 1892, au Nord de la P,lar/!w. Sous le directorat. de Monsieur Antoine Mura (1900·1908) , la dLlirée de l'Ecole Normetle est portée à 3 ans (1903) , disposition qui devient définitive par son introduction dans la loi scolaire de 1907. . .
, . k Uer Anf,au g is,t ·s~hwer. Dies giJlt
auoh fur ,das IJehr.erseanrilJllén .. Ms naoh
bugen un d O'ft fast ausweglO's scheinenden · S ohwi,migkeitten ,die gesertz1Ï
che Gl~unehlage geL~gt und el.as Leh'l'er
semi'nia'r selher eroHhet "Vial'; lmunte diteJses h'UIl smillen Gail1lg .dU11ch. die Ge
sohridhte lantrelten, einen IGang, der, ebs sei zulIn 'VIO'i'nih:e11eiÏn V1enmerk,t, nie
ho'he WieLlen schtlug. Das win ni'ch,t
h'mssen, ebss Idie NO'l'l1l!all'S'oh'llI'e Ï<I11 Lauf'e ,cleT ardht D ezennien ihries Bestlehens nicht ,das Âuf UIlllcl Ab jecler mensohlitohen Ein ri ohtung geJI(jan'l1t
ha,tte. .Wenn wir in ihr.er Gesch10hte
rumwalzencle Erei'gni'S'Se V'el'lllli'ssen, sO' Hisstsi.ch daJfür · eine stet e, Nthige, ainer nm ,gO' Œl1Uchtba'œre WeiJtetentwiokilung beO'ha:c;htJen.
Wie wir - bereitsges'ehen h a,b en,
wal' d.as Hans cle T'0111'enté, in wruohem maJll claiS neue Lelll1el'serninall' untergeiln'ialOl),t hJattJe, a'IlJfmg~,i'c:h noch
zum grossen Te il 'VO'n Miet~eurten be
set z't. N aohclem Idiese irn La'llIf e cles
foilgenden J aihres a.usgez'O'gen waren, edebten Pl'ofreS'sO'ren und Schü~er
mne 'al'g·e EnHall'schung: clie frei
geworclenen Raume wUl1Clen ni'cht der
Norma'l schul'e zur Viel,EüglID1g gesteliLt, sO'11Jdern 'elas Haus l11usste aUich dem
K!0'11e'giul11 Unterkunft IgewaJuen. Für den Augenbl,i,ck mochte cllas aIligehen,
cleun dire beircl<en SohuJ1en zah!lif:ren vel,hahn~smaiSsig wenig ZÜ'gltÏnge. Das
M!i'ssil1Ï'che fur Idas Leihrerseaninar hes,t'and ha'lllpltlsadhilidl il11 Umst and ,
cllasls ehe iIG'aS's'en des KO'Megiurms die beiden 'l11itrleren 6 tlO'ckwe'1'ke ibesertzten, wal1l'encl es .selhe,r mit den oiber
'sten und untle11s1:en GeschO"S'sen 'V!Olrlile'b nte'hmen musste: KÜ1che und
E's.sa:le waren j'm K'eilJlrel'g~s'chO"ss, d ie I(!}-als.senzimmer i'm zwe~ten Sto:ck, eHe Sch.\l'af.s ~ae für ,PrO'fessO'ren un d 'Sohü-
1er irn .DaJchbo:den.
Becleutsame - Erei~nisse tr'a,ten in clen . el'sten }aihren keine eÏn.
. 18082 wUil~ele der zweimO'natige Wie
àerholungslnlilis fur dtÏJe J U!I1gileih l'el', clen cliese wiilhl'eIlid der M'O'naitle Sep
tel11ber urnd OktO'her im Lehrerse
minar aUjahrHoh zn ab'solw'eren hatten, aufgehohen, /Uncl ,das SchulJahr
-132 ~-
konnt e VlO'n nun an i~11 Mon alt Sep temher beginnen, statif. wie bis ,anhin
erst nach Aililerheiligen.
IIl!dessen "",U!chs dri'e Z'ahl del' Schü-1er eles I(,O"Hegiœms und des Lehrerse
l11rina'Œ vO'n J ahr zu J ahr, uncl da<s Be:dJürfni's naloh geraumigeren Blchu[
l O'È:!a'Len für he:iJde Institutt1O'nen lnaoh
te s10h ammer mehr geJ1tencl. D er Staalt entsohlO'ss siloh daher, i,m NO'r
den der P.l'él'Il!ta einen weitùauflÏ!gen Bau zu el1lÜJchten, deI}: aJJeJn AnfO'r
del'ungen gereoht ~u wel'elen verS'pT,élfCh . Al'clütekt J Û'S'eph die Ka'Lber-111latJteu ,entwlal,f die P 'lane. Baild er
l'e~te eine Bauste!ltLe vO'n ' .VJailuIDaJfrt mO'numenrtalen Ausmassen die Neu
giel~d'e der Be'Vo,lk'erung. Da's neue GebauJde, dessen IMaU/eru ûem,},ich rasoh
in di'e Rohe W'lllchS'en, sO'Ute d ,aB iK'O[
loegrium, cl,as rLelhrmo;semina r, die I(,an
tousbiblÏ!O'thek WI1Jd das kan1!O'lllla'loe
A11dhi'V beherbe'l'gen. Dem darn,aligen Ze,i,tlgetist entspl'echend WaIr es eilll
Relp ra s'entJati'V1hau, dessen gew,atltiges mi1:tJler,es 6 titeg,enhaU's Ko:1Jle:giUlm uncl
NO'r.lnall sClhulle vO'neinander trennrte. Der Bau, mit Idem mlan im Fliiihj:ail:u:
Ji8'911 hegonnen hatrte, wtUJl',de im
Herhst 11892 fea:üg erstéLlt, uncl . daB
LehrersemtÏnar be2iO'g IJlIIwerzügWicih clie neuen Rauml'ilchk .. eiÏJten. i))er Di
rekrtJoT, Heu Hopf UN', hattJe IS cJh'On
Z11Ill vO'raJUs heim. Sttaalt die notilgen SlcJhrittJe untel'nmtl1lmen, 'allif ,class rihm
deu: ost'lilche Tei'l ides Geba.ude:s zwge
wiesen we:tde. Ü:ÏJeser 'fieH waJr nam
Hch ,dem Stl'aiSsenilamm weniger UJUS
gesertzt (111892, Wa'S wÜ'l'ide nllan e rs,t heUJ1!e iSrugen !), lalg naher Iheim GaT
ten rund schien rüherharurptt tfür O r:del1's
leute 'we'l lgeelÏg'lleter lalLs Ider westJRohe,
der Bahnihofis,tI'asse zugekcllTt'e Teit Zwar el,hO'b àer Pl'aJekt Icles KIO'1Jle
giU1l11'S EirrspTaJohe gegen die Ansprüohe ,des IDirekrtO'l'S, Ido.ch cler hO'he Sl1aaltsl~a<t haue hereits zu Gunsten des l}ertZtill1l1 entschrioe:den.
E s 's<;dJlrte Her'lin HO'pfner nichtt l an ge V'eligonnt 'sein, im nenen SemiIl!ar 'zn wa,l,ten. AIn 6. Dezember 1899
versohi'ecl e l' lan den 'FO'lgen eines kreth Stall:,tigen HallsgeschwÜtres, na,oh
dem el' trast ein Vrierteljahrhunldert die Laat Ides Üil'ektOirates Igetragen
hiatte. Der hO'chtbegabte, ti effrO''lIllllle ManJl1 'Vlel,hancl ImtÏ,t e iner grO'ssen
K lugh eit einen ausgesplljO'chen PT,ak
tlis.chen Sin n ; Iseine 'eisell:'l1e Entei,gie
p alalite sioh m~t wa,h11er Herzensgi1te.
Der Ch ronist oduTf'1!e darUJlll auah il11it
Fug ullid <Rech t 'VO'n tillIl1, dem Eil'sasser, s,agen, el' vel,bind,e in einer ~luck
Hohen und seltenen Misd:lung die h'esven V O'rziige Icles FaianzO'sen '111it
den wel'Ï'VoHsten E'Ïlgensohaften des Gemn auen. Ohne g'rO'sse 'Schwierig
kteit en h 'aUe silCll Hel'r RO'ipfrrer die vO'Llte Syn1Jp:atJhie unjcl Idas lIDeling~
sohralù~te Ve11traUel1 ,cler Behoilden ul1Jd ,cl es ganz·en Landes 'erwO'rben. Der D irek t O'T ,des ILehrerseminars "",al'
niloht nul' in 'alIr}en F11agen Icler Erme
hung u nd ,de~ Unrtel1l'ichltes sehr 'bewanclell1, el' war 'auch ein Spe2iia'list für Obst- unJcl W1eÏnbau.. ET sprlach nildh1t nul' i n J8O'zu,g'agen laillen Ver
sammllu ngen icle:s ILehrpm'.sona,}s 'Odel'
der Soh uLiuS'pektO'l'oo, 'sO'nc1ern hie1t
2iahlilO'se VO'l'tl'age 'ViO'r clm' Bauernn
salue uncl Iga,b (p'rakrtisohe DenlO'n
st11atiO'lllen im ,PfrOlpfen 'vO'n Obstbau
men uncl ,itm Verecleln cler Rehstocke .. Seine Beeldriogung, Iclie auf ,den 8.
Dezember, IdalS IFest ,der Unbef[.eckiten EmJpfangnis, ,fli.leJl, gestallrtJete siIcih Z'U
emeœ grosS'en Tl1aUe:likulllldg,ehuIl!g. über hundert Lehrer Watl~en troltz der U nbiU Ider J ahresZ'e'ÏJt und ungesoh'eut des weilten Weges - sie roamen, W1Ïe der Ghflon1'st herv'Ûlihebrt, vom Genf ersee his zur ,Flurka, ans dem. Grrund und ans ,den hintersten S'mteIl!tMern - 'el1Schienoo, ulm ihl'em 'V'ersrt'otl.'beIl!en Di'l"ektor Iden letztetn GI'WSS zu entbierten. M.ït iihlHen nahJmen die Bel1ol,den, ganz 6ittoo rund eine zahlœiche Moo'ge ,aus ,der umiliegoordoo Landschatft 'an ,der Heer d~guIl!g teitl. Hen' Hopfner hatte ,dJiese EJuung w<:l\bl 'ver di eIl!t. Er haltte ,dem Lande s'roue ,besrten Krafte geschenkt UTIld sich ein ,bJmhende:s Vel,dienBt an dess'en geistigem und will"ts'chaftllliohem Flortsohrivt m'Worben.
Herr Hopfnel" halHe in Iden flast 2:5 J,ahren lSeines Direktol"a,tels idem. Lehrersemti:naT reine soHde Gr:ulllld[,age g.egeben, ·auf .der seine Na.chf'olger ruhig und s1.tcJhier Wleitel~bauen kon!Il-
ten. Zu seinem iNarohfoiger wUflde HeJrr
Alnton MUfia S. M. he:strimmt. AruJdh el' war ein E!lsa,sser. Ms eihemalHger SchU!lcHrekrtor v'on BI'IÏ.g kiannte el' sioh in lden WaihliseT S:clhul verhaltnissoo SCJhon zi'emlildh .gurtarus. ·Er soi1lte die Geschicke .des Semin'an; 8 J,ahre ~ang ~eitre!Il. ObwoM ihm nriJoht der DYlllamismus seines VOfigaiIllgers zn cigen Wall", führ.te er das Wel~ mi,t Ulllls~cht und El1folg. Wahrend smnes Dil"ektolrates flarnden übrigerns einige einSichnei,dende Anderun'geill in der Schulgesetz'gebung S'taU, und tes wall" 8'eÏIll V'efldierrst, IdalS L~hrel~sermilIlar
den neuen Vel,hiilrtni'Ssoo aIl!gep'asst zu
halben. Am 2'1. NOVIember 1903 -edi-ess der
Grosse Rat ~ne Vel,fügung, laut d'BI" die Dauer ,der N ormallsahuile auf 'clrei }ahl"e el,hoht 'W1H1de. 'I!m Ans'chluss an ,diese V'edan'gelurng InUISste auJCJl1 das StUld1enprograrmm geandel"t werd'en. Die zweite ,Danldesspfla:che, dile Naturwi'ssenschtalften und !die Naturgeschild1t'e W1uliden zu obtl~-ga1;ol'IÏ.,schen
Faloh'etl."Il erklaTt. Ln jerren J,ahren rerWatl'tet'e man im
WiaJlJ1œs mit ,eO.ue!' 'gewissen Sp aiJJ11lUlJl!g die Ergebnisse ,der ,al
'ljMu;1i!chen ,Re
krutenprü.fungoo. Dange Z-eit hindUI1Üh ihlatte siJah Ider K.anton 'gJewohnlid1 mit :elÏ.nem der ~-etz>t!en 'PJattz-e hesoheirden nlÜ'ss'en. NUJIl larher hatlte er sÏJch anm'ahl~c;h vom 24. his zum Il. 'OdeT 1.0., jla mnmlall sogar bis ZIlUTI 6. Ralllig !VIWigea;libeitett. ,1907 ging Domherr ,de Cooa'tll,ix den UI1S'adhen clieses For'tschrittes narch, und lel" stehrt !Ilid1t an, ,das 'Vet;diensrt Idaroh in ers ter Lini'e der Nonma'l's'ohule zUlzuS'chreihoo, ,die es 'V'erstanden ihta1be, den Bi1lldungs'sltJanld :des Jj~hr,pers'ona[,s und ,dami,t auch dlas Niv>reau !des Untel'I,ÏJdlwes UIl!d mJithin das der aMgemeinen Volksbi'Ldung zu heben.
Das J ahr 19.07 hed'elUJtete übTilgern.s für Idie Entwidclung -des k;anto!llla1'e!Il SchuJl'wesens ,einen nenen S:Chl'IÏ.tt 1V10~r
wairts. Herr IStJaaltl'M .B:urgener, der 1904 Vi()rs't~hJer des E'l"zÏtlmungsdepart!eI1I1entes gelwol,den war, iha,tJte !die No,tweIlldtigkeÏtt teines neuen, ;den 'gealI1lde!l1ten Zeirum·stanJden Ibes:sm" Igel'eCJh!t we:rdenden SdhUiLgesetZ'es er~an'Illt. 1907 legte er Iden Geset'z'esootWrUI,{ 'dem Gr'o'ssen iRJat !Vor, der dlalS
-134 -
albschliedete. Es tl,at (llo,ch im 'gdeiohen ] ahre in Krarft. Die AIl"tJÎk'~l I111,1-
112'5 hefi.llIden über die N'Ûnmal1sd.1ule. A'l"t. 1112 'vel'ankert die Vlel,flÜgUlIlg von 1903, wonach die Baruer Idet" Nor,ma,lIschulle 3 J ahre :betragt. 'Gileidhzeirtig settzt el' Hegmn und IEnde Ides ,Schu[j,ahres lauf ,elie MOJllate Selptelll1he.r un:d Jruni fest. Letzrteres war de facto hereits srot 18'82 deT FarN. Art. 1!1,3 erk~art elie zwmlte ILa Il!de·s sp rad1e und die nraturkundHd1en tFaoher, die sdhon ,vier J a:hr,e ZlU'Vor eingefüJll~t
wOII,den Watl'eIIl, aIs 'Ûib~igatoriB'ch. VO!Il eirn:em Musikuntem."ildht ist ,ahèr no.ch ilnl])ler nilcht die Reel:e. Dod1 J,ass'en g,ewisse Andeultungen in den Annalloo ,des ILehrefiseminrwrs d'arlaUlf
sohtliessen, 'dass 'die'ses F:adl SIP a'Vesrtens serit den Neunzlgel'jtahren des 'voritge<.n J ahl1hunderts wahliSoheiniLi:ch in Forrm em'es Freifaohes regelma'ssig unterrr,j,chtet W1U.lde. 500 wil11d von einem B:lu'der 'berilchtet, der oUJlll [di es es ZelÏ.t von SiUen Hatoh F'reâs'ta<clt in OesrterlieiCJh versetzt wUlide und deI" hiei" Î'm ILehl'et"s:emina,r u. a. a'Ulè:h Mu'sikunterrich:t (Halimoriium und Vlio~ine) er:tei[t haltte. 1903 hatte der SrtJa1ats!rat, arn:lalssli.ch der erwahntlen Utmrgestal'tung des Lehlipl."O'gr,am:mes, einen hesontdel"n Krerditt für die AJlIs,cha:flfung verschiedener 'MU'sikinstl1Umente gewathl't. - Die herdeuttendste Neuet"Uug bflingt jerdoJh Art. 1114, der d,ie SCJhJaffrung !Von zwei Übungshlas,sen vOIrsieht, muer wrusohen und einer delllltS'ohlen, damit in ,ihne<.n die Lehramrtskanditaten ,in Idie Kunst Ides Unterrichttens eingefühl~t Welden kO!Il!Il'eill.
. Auoh das :so'Z'Ï,ar1e Moonoo.t kommt
im neuen Gesleltz wÏe/der zur Spl~a!che.
nerue 6:chulgesetz atm 1. J uni Vlel"-500 lautet ,AT,tikeil. ,1117 : «Die S:ohwe'l', die zum Lehl'erS'etlninar zuge~,assen
w:el,den, e l,h ad 'tien VlOim Stiaat cine
Untel'stJÜJtzung, di'e v'Ûn erinem Driuel bis zu 2/wei Drlt1:!eJ! elles KosltJgeldes gehen kann. Die Hohe diesel' 'Subvention rilchtet si:ch nach de!Il Ergebnissen der Aufnahme- und Schlus'Srpriifung im Zus'amm:enihang mit deIi Jahres!Iloten. Der M,angel lan zei,tili.ohen Gütern kalllll ehenflail~s in Betr.a'cnt gezlo-gen wel1den ». Es wi'l~d
ab eT, wie dlies Bohon ~Im f:t:i.i!heren Gelsetz Ider ,FaU wa'l", d~e ,Berdingung gesteHt, da'ss [die tSchüller, welche ein'e s1Ja.atJliche Umerstützung 'e11hailte!Il, mindes'terrs ,aoht }ralne hindur.ch ilm I(:anton ZlU untten<Ïlchten haiboo. (IArt. 1211). Di'e 'im G.esetz vOI'ge:seihenen Üburngslcla'8S'en W1U'rden arm '213. Oktoh'er 1907 eroffnet. Die ft'anzosische IGasse zi:ühlte 113 Sohüler, Idie deutsche 8. Ms Übungslerl1l1er amtetoo Idie he'Îlden J.\1jalrienhrüder J u1ier ullId .Anll~n.
Bi'e AnJdenlJIllgen irm neuen Schu[geS'etz be:c1illlgten dne Erhoihung der Soh i.i!l'erzahil und eiifl'e Verrnehrru'I1g der · SchuLlstunœen. Die der N ol'rma[schule zugewie:senoo Haumli1chlœ!Ï:tern, die 'anlfangrlirch hinlangHch Pll,atz boIt!en, el'!Wiesffll sirch nun at}·s zu Mein und aJ's zu weni'g ~ahh~roch. Mian m:us'ste auf die 'angrenzen1den Sa~e
Ütbergreifen, ,die hisner dem namlwis-' SlenscihalftJLid1!en M'll'seurm, der' [(Jantonsbiblliiorth-ek und Idem kantonalen ' A!l1Chiiv gedient hauen. Ti'otz dies'er .Annexion befland man sich f'Ûr,tan aber immer in der Enge.
-135 -
Réponse à une question souvent posée
au Département
L'école et le sport P'aul CURDY, inSipeoteur cantonlnl de gymna'stique
Dem Sport wird heute eine aussergewohnliche Bedeutung beigemessen, besonders von seiten der oft «fanatischen Beifallstürmer ». Der Sport an sich ist sicher gut und empfehlenswert, vor allem im Zeitalter des Motors, wo man die physische Betiifjjgung immer mehr verdriingt. Doch, wie auf andem Gebieten, nimmt auch beim Sport die Spezialisierw1Jg immer mehr überhand, macht ihn einseitig und mft beim lugendlichen schon nach entJsprechend ein·seitiger V orbereitung. Diesel' liisst sich leider zu sehr beeinflussen vom ganzen Propagandarwnmel, der auf dem Weg über alle technischen Mittel auch ans Kind herandringt, das selber auch moglichst bald eine gefeierte Sportsgrosse we,rden mochte. - Leider gibt es auch wlter den Erziehern zwei Extreme : ganz gegen oder ganz für den Sport. Und leider begegnen wir auch breit aufgezogenen Pressemeldungen, welche ResuLtate der Sportwettkiimpfe von Schulkindern verkünden. Erzieher und Kinder sollten den Sport aIs das werten, was el' wirklich ist: ein Rilfsmittel für die harmonische Entfaltung des jungen Menschen. Das kann (tber auch ohne offentliche Wettkiimpfe und Presseberichte geschehen. Der Sport darf nicht ein LebenlSzentrum werden, um das alles (tndere zu kreisen hat.
Le sp'Ûrt ! L'un -des 1,ois du monde
ml(}idelne ! La foule dies spOlititfs s'alcCl10Îft sans ,cesse, mailS S1U'l'tOUJt iLa lforu[e
des «sUJpportoors», de ceux qui dis:crutent, 'COlIl!Ine:nte:nt, conseiNlenrt. Com
hien 'de mlÎNions .de <<Johel"s amis sportUs» recens'ffi-ait un j'Ouruaillislte en m'al
de IstatlÎ'StilqU'e ? ·Le mouVlem.ent SpOT
tif 'a P1iÎ..S une tellile 'ampllieur qu'hl nous
paraît utile de mous a'l'rêiter un Ïnsrtant - nous, les res'ponsables de la jeunesse, maîrtres et malltreS'ses, ,autorités
soolaires ·à rtous l,es échelons - pOUl'
oonsildérer du 'point Ide vue de l'éJduoalteul' lles pTolb~ème:s qu'.iŒ nous p'Ose.
Pour l'enflamt, le jeuIl'e (homme, le
SpOT,t est mn e~ce!Uent moyen Ide dév·e-
10ip,pe:r ses ,aptittU:des 'physiqrU'es; 'C'est
en même temps une helle éco[e de
oal'actère, r o'ooasion de 'conllba1tlh'e ses instinots, ses ,co'mp'lexes, de .g'·atfflÏl"mer
dans la Œut1Je. Pour l"alduilrte, dom la vie 'Pli().f'Bssi~nnelle l~édui1t ,toUjiOllH.'S
daViaTIta'ge l'Iaotivité phys~que, c'est Ulle pl'écireuse passihhliité Ide mainteniLr
sOIn :cor.ps en fOl~me, Ide 're"IJarder ['âge du 'vie]]lHsseluent des lal'\tères et des
artimù,aÜons clans un ·conl1Jact sail.utailre avec Ja nature. Et SU1,t'OUt, pOUl'
tous, ct Il' étynwlO'gie mème du mot
SpO'l.1: l'lindique, c'Iest un bain de JO:llM
vence, ra,f'l.'aîchiss·ant, ,pUlu.tfriant, un
mervelÏ~leux ldélassement, 1''b\T\aStÏon ll-ê
vée, la honne s01uÜon au p'liO'bllème
des loisirs.
Le sp0111 est - affillrait être - um
-136 -
r gIianJcl bienf ailtJeur ,de l'homme. En est
ill tOUj01WS ainsi ? Nous vivons rune èl'le de progl'ès ex
t11a'OrdlÎna'Ïtres dans ItouS ,les dom,a:Îues,
Oes prog,rès 'al1l'a,Ï'ent pu améllÎOl'er
p'lus cOllisilcléra1blement le 80.11: de
l'h01l1!me, en f,aire plus 'que Jama'Î.'s le rOii ,de ta nattJurle. Matis ,en réallité, la
teohIl!ique Isolllvenlt ·dépa'sse l'ho,mme, et finit pal' l'asservir, Le S'pOl'lt n'é
oha:p:pe pas Ml ry<l:il1ll11!e eH réné du
P 'l'OgTès. Nous pensoIl'S, bien entenldiU, au lsporrt ,de lla fp'resse et de lia 1~a:dio,
au SpOl11t de speotraloJ.e, à cel lui que
chacun connait et suit, même à son
oorps dé.f.end'anrt.
Dans le SPO'l't ·comme dams les autres don1iaine's, la technique est de plus fen p1U1s p'erf,ectionnée, à rteJ
pOlint que seuil l'e spéciall,iste pe:rut en
core prétend'l'e y jouer un râle. Voyez par exellnple l'e ski : ·il n'y a pas si longtemps, um skie~' de .com·pétition concolwait d,ans qtIlartl-e Idis'CÏpliues :
fond, s,aut, des"centte et sla!loi111. De'V1MlJt
les pl'OgTès de la technique, il flallult se spéciatLiser: concours ,de ski noll.'
diqule, fond et S'alut; COlll'cours de ski ai1p,in, Idesoente et stlaJom. Et se spéoia'mselr 'encore ,dans ohacune ae ces 1
oatégories : llte ühatm p'ion 'de ·saut ser·a rareo.llent 'ohallupion Ide fond, et vlÏ:c'e v,elisa. On ·tl'louve même le spéci.a.Jiste
du sJ'alLom géant et le spéci.a1i:ste du slalom sp écial !
Progrès ,de ~,a techniqu'e !
OeJtte IspécitatH'Sation poussée à ou
tl'ance pemnet ,évriJd'emm'ent une amélioration spectalculaire des pel'f'Oir
Inances, une chuttJe des Il'ecolids SUl' tons les phns, D'autl~es facteurs conc:oU/l.·ent ,d'aiilleurs à cette a'll1éllÏo'l~a-
ti'on des résruil .. t:Jats. Citons en p\assant le pel,fectionnement de .J'équipeiment.
Par exelnp'le, les pisCÏ<rre:s couvel1tes,
les P1artinoires la'ltlfioiehles pemnettent un 'entraÎneJl1lent Ip~US régulier 'et de phllS Jongu'e durée. AutJl'e exemp\Le :
n'Ia-t"'on pas 'pu lire lrêce:mm·el1t qu'un C1haJillpiün cyclriste SUT pis·te gonfl}.ait
les 'boyaux de Bon véJlo ave'c un gaz p~us légeT que l"aiT ... Un ·arutre faeteuT clétm'fJlli'l1'ant .d.ans l'laméli'Ol'latiron dleJS per,fornllan!ces, 'c'esif: l'entl,aÎne:me:nt du
chaulipion pou'Ssé au maximiU'J.n pai'le
p,l'ofessionnaHsm.e, 'avoué 'Ou ritd~'c!U!le
mentcamlOllifilé. P,ar rtousces rnJo J1e:n8 , aJVlec l'Iai'die
d'fllne Pl101pa,gande ,sa'V1aJJ.llJll1'ent ordhes
t11ée, r on est ,p al'V'eIlU à hi'Ss'eil' ~e sport
si haut qu'i'l dépasse ~a taille de l'homme nomDlall. Ici -aussi, souvent,
om 'alss1ste -au ,renJV1el'sement ·d~s Vlalieurs, et c'est Œ'homme ·qui devient le
serviteur du 1'00 Spo.rlt. D'où lIa néoesS'ÏJté de reeoulir par
fois - trop iS'o.UiVIent - au doping pour ma1in'tenlT le 8pÜ'l'ltÏf au niveau voullu! Oui, même dhez nous!
D',où la nécess1,té aussi, p 'Olll' les di-
1l.,Ï'g·earnts ,dru Spol~t, de Il."e'~.ruteil' Itou
jOflllrs .p'IUis jeunes ~es fulturs champlÏrons, afin de leUJ.' pell'lmetrtre d'IassimiJer plus profondément lia tedmigrue à r âge p[,as.ti.qu:e d:e r enf,ance.
Alba,i'S'ser ~'âg'e Id'es «'espoirs», éJl'alJ.'igi!1.'
en 'mème temps ~·es hases du i"e'ill"1ltem·ent : autœmient 'dit, prerndre ptied il réco\l.'e. C'est ·là un impé1,artlif nO(limlal
pour les di,rÎgeanlts cOll'sc~enlts de leuvs
resp'onsa,biHrtés vi.s..là-'VIÎ'S 'de ieur sp'ort. Qui songeJ'lait là le leur l·ep::J.1o'ch~Jl' ?
Oette IÎntl\oldfUio1lÎton du S'pan à l'é·
cole e'st ,d'autant p[us aisée que l'en-
-137 -
faillit, ruu jUlgernenlt insuffisamment
fûrmé, est hien ïp~us ,que 1'Ialduilte v.uiI.nél'ablle à Icette savante rp:rûp,agancle
que nous é'Voqurions plus ihawt, Son
besoin de mÜUiV'enl'entt, ,de lutte, sûn
enthousiasme jlU!vé'niHre le poussent ir
résistibŒleane:rut 'Vers le sp o.rt , Iil. veurt
imJÏ.teT les cbarmpi'O:DIs que lui pll'és:en
tent ,}ta rpresse, !La l1a1dio, le fiihn, lil veut être chrarmpi'ûn, Et ~!e spoo.~ de
Vlient rS'ourvent Jie ce'nJtre de ses l~lV'eS,
la rseule O!CCUlpa1io!Il vaJalbrle pûur ses
lûisirs. Queililie est 1'Iatti,tUlde des éduoateurs
à l'éga'l,d ,de ce müuVlelInen1? Born
nomhl1e ont p'l<tÏ's 'CÛ'lllS'ci:eIlce de rC'er
lJaines eXalgél,at~'oflls du rsporlit, des ,dan
g'ers ,qu'eJl.es pTésenrten1 pûur le COl'PS
~ l'esprit de l'enfiant. Estimant que
les jeunes ftQn!t ,déjà ,assez die sip'orit
sanlS eux, i:ls 'Ont Ialdopté une artrtitude
nég,ative, irnteld:isaTIlt loe sip'Ort à l'éoole,
le ,fil'einant p.ar t'OUIS les mûyens du
rant les Iloisirs, aMant m 'êm:e, ipt3.1~fûis,
jusqu'rà engloher Ila 'gymnaSttilque S'colaÏTe danlS ,C'et o'str.aicisme: ,Mra;Ï,s la pûsition die ,ces per..sonnes n'la pour
Il.~é\sulltat que de les Is~pra\l'ier de lia jeu
nersse ,qui, 'ma~gré erUes, s:ans 'elle's, s'en
Vla verrs Ile 'S,POltt et éiohaiplpe il [erur
infiluence. D',autr88, p raT conJtl~e, s'Ont
l1é's'olument po'Siti,flS. Parr gOllrt p ier..sûn
nerl, ou bien céi&anrt là la p.rtessi'On des
éJlèves elt des m:it1ieux 'SIportifs, iJs Ol'igia
n1sent pûur les enf'ants -des tournû!Îs,
ohampiûnnats régionaux, COUCûllU,'S in
tt:er,s'oohllilrets, mettant ainsi [eur presti
ge lau seI'vi'ce du sp'ovt. Oertains ne
,cl1airgnent p :as de faire appel ,à rla
IpreSlse ,p 'o'llr Idonrner p[rus d"effioaJcilté à
leur actÏron. iN OlUrs iJJi:si'On!S l'hiver p 'as'sé
dans un journall J.o:call le compte- '
,renicltu ,d'un .cûncûucrs de ski. pour en
fanltis - 'ol'gani<..sé nûn pair urn cl1uib, m'ais p a,r l'éoole ! - où l''O!Il puh(]jj:aJÏJt
18\5 noms et les résull1la'1:Js Ides jeunelS
C'OIDOUlTeIlltJs. Elt ce n\~ist 'pas là un fraJÏrt
uni'qrUe. tPlaUer lain'Si Il'amlûur-lpropre
de l'eiliflant, n'e(srt-ce rpas eXfagél'er en
oûre ri'lIlIp'Ol't'a:IlIce déJj à ttrOip Jgl~al1!de
qru'itl aH/alohe au SP'Ol,t ? N\~st..(ce pas
le jeter préma1Jur,éanent ,dans [e tûurr
birHûn de h oom'pé1JÏition, cOIurir le lis
que de le vûir atl'lii'Ver trûp tôt sur le
Mlal~ché 'aux Ve'Clett:te:s ? QUeil doit dOnlc être le rô[e de
l''&co1e ? ,Po'Siüf, cer:te's. QUJe nous le
voulions 'Ou non, nOlUs devûns tenir
comlpte du Sp'O'l1Ï ,clans TIOIlli8 trt3.v,ail
s'cûf1aire, dans l''Ol'g:an'Î.'Sati'On des l'Oi
sirs, Une atrtitUJcle négathre n'est pas
diJgne de J'édwcalt'eur; 'C"88t la làche
pûHtique ,de l"arut'rulcJhe.
MlaitS S'û'll'VeIJlO'IlS-IJlûU'S bi.en que nûtre
rôle n'est 'PaiS Icle pous'ser à ,cette !l'DUe
qu~ toulne ,déjà hi!en vite. N orltre l'Me n'elst p.a.s ,de dbteCilJer ,de jeurres «es
pÛ~l'S», de spélc'ÎlaŒrisel' nûs ,éIlèves, en
'lNl mût, cIte s'ervir la oause du spm.iI:.
Nûus devûns nous servir du spûrt
comme Id'un (mû yen d'la:ccûmpHT nlOtr'e
tâ:che. Ut::Hri:s'er ,eet ratltl,aJÏJt Ide lia 'comp'é
ti'tJion p'OUl' ,ftarill'e jouer, ,fa'Ï're ilJl,avraÏtl-
1er, et par là IdérVleŒopper nos élèves,
mais tûlUS no's élève:s, les faJilb~es plus
enco:œ que [lies fÛl't'S. IDév'eJloipper tûUs
les spûrts, m,ais seuJleInleIl1t dJalllS lia
mesure 'ûù i,Js sont s'llsoeprtribiles de
oorn1ll,ibue'l' à la fOl'imatJÏ.ûn ·de l'enflant
- et nûn pa'S exclusivement le seul
sp'Orlt que ,l'ienfraJnt 'cûll1!I1,aÎt et prartique
clams tous S'es lûisj.l~.
PI,açons au centre de nos p,réo:c:cu
plations l'éduJcalJÎûn 'Stpor,tiVie. o l"g:a ni-
-138 -
r sons des tou'l"l1ûis, ,des 'concûul"s, ceT
tes, mai'S à ['écJhe\Lle de ['enfant, drans
son cel"cle 'l'lestreint, salllS puibŒlÎc ni
prl'e'sS'e; et tâ,dhons pIaT iLà de f ahe de
IlIOS élèves de "'l'lais sp'ortifs, 'arimlant
l'efiftol't, jOUiant pÛu!r le seul p['aisiÏr
de jouer, ,av'etc un eSlpl,it ,üheVlaleres
que, reSlpe:citlant les rèrgleis du jeu, i"e\S
pe:ctJan1 le pral'tenai1"e, l'ad vell 'sa ire,
l'ra'rbitœ, sa'chant sie m raÎtriser en rlJûiu
tes Ciil·'COIl1'S,talJ1Jc:eJS. Et sur,tûut - et lava'Illt tûut - ai
dûns nos élè'Ves ,à l'aJi'sser toujours l'e
SpOTt ,à sa juste p~lace, 'ceJhle d'un dé
lassement, ,d'une ,déJtJente. Si le S'pO'l.it
paJl'vient si ,fra.cHelment à exasrp'é'l'el'
un chaurvtil1'Ï:sme stwpiJde, c'e'St bien
en palitie pal,c'e 'que l"écoiJ.e n'a pas su
r,empHr sa mlissiün. En 'pll-élpar:a'l1't ,aJinsi de vrais Slpû:r
tilfls, équiHhrés 'pihysi'quement et mo
l~a~elnenrt, UOIUIS ,éllooompiLi'l."On8 nûtre
de:Vlû.ir envers l'élève et Ila sO'ciété.
Illidirectement, ]))OUS aurons lau:ssi
l'en,du ser'vice aJU monde sportif plutS justt:eil11tenJt peurt-êltll.·e qu;en ûbériss,ant
aux 'vœux die IcertalÎns diri'geants SpÛl'
flifs qui, ne ,rûuhHonlS p'as, n''Ont ni
les mêmes re:sponsalhillités, ni la mêm:e
mission que nûUlS,
PARTIE PRATIQUE
COURS CO!MPILEMENT<AIRES CENTRALISES
. TRO'ISIEMtE ,PARTIE
HYGI,ENE D,ANS L'ETUDE DU SOIL
ET DES ,ENGRAIS
Leçon 1
1. Les composts favorisent l'hygiène de nos ménages.
lJ1s pel1meUe'l1lt ,d',élianinen.· : a) Les ,dléche.ts d 'e loui'si11Je (O's, pel1uœ,
déchells idti'VICll's) b) Les oendr,es de ho'Ï:s ,c) Les hailaY1lll1eS Id'es COU.liS, des arlIl,é.es,
les rdédhel1S Idu 'j'a:pdiÜl po'~ager 'et d'<a'~l,é·
luenl1s
d) Les 1I.1bsiJdtUls .cl. ',arha,lllial!;le rd 'Ianimaux ,( cl é
poruirl1e, lPorillls, elle.)
e) Les tfioo,ill1e1s IJJl'OJ.it:es pa:J.1semées rd'ans 'l'es
aho11d:s cielS irmmelUtblh~s
f) La 'nei'~e (J.1a1cl1ée. (N. B. - Le m~11eur ,absol'hanlt de ce's
dé.chets leJSt ila Itom.-he).
2. Précautions à prendre lors de l'épandage des engrais et plus s,pécialement de la
cyanamide:
a) Avant Id'e Isenner, ,s'elllduh,e [e's mains
d'un Ip'eu :d'hrui1e
b) Ne 'PalS ,semer [o~l.',sctu''Ûn ,a des piliaoies
O'l.lV'CIl·,IJeS
-139 -
c ) Se iproté~er les )'IBUX (ilun:ettes )
d ) P011ter des vêtBments 'et ,d'e's [chaus&u
l'es se f el'll1ant bien
e ) Ne 'p~s fumer ni COl}'SOmmer d,e-s bois
sons aJlcoo'l iques
f) Epand<J.-e par temps oalme.
3. Précautions à prendre lors des v idanges de fosses à purin : a ) Ne, pas pénétl1er dmls une fo'Sse q ui
vient d'êli1.'e vidlUllgée ([ad d e Ica,riboni
que e t <atllil1es Ipro clUtits ,g'aze ux)
b) AérBr ,as'sez [ ong'u ement
c) S'a1ssU!l'er à Ul1!e c01'fde e t tlJen~r dev ant
,soi rullie b o:u g[Î'e rall1umée
d ) Si [a rtil amme Vlaoillile hruyamment OiU
s'éteinlt, r emonl!er rimm édiMem ent à l,a
,surface.
4. Précautions dans l'emploi des engrais de vidanges (WC) : a ) Ces engrais contiennent d es gellllnes
pathogènes pour Il '[homJ11le (Tib c, oho
lér,a, tyiphus, etc.)
b) Ne pas vid anger 'p a r temp s chaud
(acide lSullfhydriqUle )
c ) Ne pas les u liillÎ[ser 'en couverture (,tou
j OlU1S enf ouir)
d ) Ne j'aluais a,es [em ployer pour ,l es MglU
m es, flJ.·,aises '8ft a s:p ell·,ges
e ) L es (m ettre len 'co:J.TlJpO's:t inc011po:J.·é d~
lIoUl·he 'e t r ecouvllÎr dte Ite11re.
N . B . - 11 f,au t souha<~teIJ.· Ja dispU'l,1Î
tion là ibl'ef d élai Id'e tons l 'es W[C
à vidan ge. En cas Id',bpid[émiJe !ÎIl[S
sont un v,é1'il'aMe Idanger Ipuibltic .
5. Les fumassières ne doivent pas nuire à l'hygiène du village: a) L BS ,étahlIDr ISIŒr rune fosse ,à pm',in, étan
ch e, 'à [l'ombr e, à ['écatit Id 81S mad1s'Ons
d 'hahûta'tÎol1.
h) L es 'enl!asser réglUilièremBl}Jt, Iles (recou
vrir d e ,tertre
c) Le pUll1in ne [do'Îlt 'pas ·s'[écoU!l[Br d lanIS
l es rUBS
d) Les leaux d'e IpiluiJe 'e t d"écO!Uilel11ent
ne 'dO'i[vent pas fOlïll'er d ,es H~ques
'sl'agn[an tes Ipr èJs Ides tfumiièl1es (1l<ÏJe.ux
propi oes à l a p uiHu il'Mion dies m ouch es
Bt mousliiqu 8Is . AiJ.'r ê:lié du ConseiJ
(1'Eta t).
Leçon 2
les engrais minéraux et l'alimentation humaine.
1. Les : 'englJ.·aii:s am éJHolieIJ.1t [et équi1lihl'lenlt
la valeUil' il'l1égul~èl1e Ide nOls sollS et ailrimentent e n Ph, BI1 K ,et len .ca Les ~égtUlIDe6
et flJ:uhs l11éces,salÎl'es à ['ho'l11J11le
2. Us apportBlllt Il es ,éMJlIl1Bnlli'S m runéi',aux né
c~sS'ad'l1e~ à ila conSltri,tultio'l1 IdiU s 'qill'e\lelvre
humalin . (Ca. P ,h . K . 1Re . Si. S. Mg. )
3. L'[ap/port de:s piho!spha,lJe's 'et de la chaux
d liminue ~ ·l e nombre des malaidri.'es os
seu ses (d[éJoalldf'ioation des os, ra0Mti-sme, e tc.) -
4. Les sol1s 'luches e n magnéSlÏe offrent une
p:1us ~1a1'Lde Il' éstÏ!stanoe au dév-eilopip'erment
du 'canceIJ.·
5. L'IBmplloi 1d<e'S 'eng11alÏJs minéraux n'a au
cun:e 'action carllcél1i:gèn:e .
Emploi des engrais a'vec excès .
1. L'atholldal1lce ;d'e 1',azo1Je 'l'errd les l1égumes
e t l es fi'lults molÏins 'savoltmerux et p[iJ.lS
s:en lSihl8ls à 'la pOUtlll'ÏJlJU1'e ('conseIJ.·iV'at>ÏoI1
diIff~cille tant len oav'e qu"en vaSe dos.)
2. La po.tasse [ut1Ïllilsée avec leXlcès donne aux
légumB's deJs Ipl'Oplwél'éJs eX'a'gél'lément ['axa
Ili,nes (,dti'al'i'héJe)
ne ce fai[t :
a) eLle nJllÎ't à Il,a fOll1mation d leJs ;tJÏiS'S:US os
seux
b) eHe m 'Œ:JriJfri'e lIa ICOIIupositl1ion du lalÏJt
qui P'e11Jt d'ev;ellli'l' Ïlmpropf'e:
1. à 11"a11imental'ion des bébés
2. à ~'a ,fa:bl'rcafÏ'on du fromage (gon
t11emernt SOIUlS press.e).
Les engrais minéraux et le cancer.
On enlJend ,somnent l,épéter que ['inquié
tante ,au~m'ellltarl'Îlon ,d,eJs nnclad·Île's oanobroolSes
est ,due ,à 1l'lUitÏJlisa'tion cd"engil-alÎlS minéraux
clans l"agt11outLtm·e. AUOllfl1!e preuve n'a pu
paul' l'lÏl1stant êt>œ IalppOil ~ée . Des 'O'b serva
tiOJ1lS farites à de jour sont pJutôt en f/avoo,r
de l'ulti,J,ilsalli'on il'alti'onn'eJle Id'e!S 'elJ1!grarils miné
l'IaIUX.
La S'Illi'sse ,qui He CO'J1lS0TIlme 'en m'Oyenne que
2,2 IQg ,d,e po'ta'sse à Il'ha de terl1t~JS oUillti'V'é8lS,
a une 1l10rlla[,i:té D'al' oan oer de 173 p 'O!Ur
- 140 -
10.000 hahitants. La BeJ'glÎque qu~ con omme
61 k.g de pOltass'e à l'ha, lU une IlllOl·,taJÜJé
p arr IOaJlIeer ' de 117 p~. 10 000 h ,aibitants., En
F'l1ance, iJ.e s ~'égliol1!S Iles iplLus lalttetÎlntes ip'a[' !Le
eanoe,r , ,S'0111t ilels, r :égionfs ,du 'Oootne elt dlU
Oenlil'e-Est, pail' cOlIl1séqwel1Jt 'p'llIl'l11Ii 'oeale;; qui
C(}l1'somment !lie 1lll0ŒIlI~ die po,lialSise et même
d"engl'a'is dte tOlUltes s'O[·,te.s. Les mineal11s d ie
potalSS'e, ta11lt en F[',anoe qU'len Allilerma gne ,
ne Ipl'éSBl1Jtent Ip'as 'Ull p(}'U'J:oen[talgJe d ie canCié
r,eux S'~péDi[ell'l" aux 'aUltJr,elS rtr,alVla,iill~em1S , !aJlOl'S
m ême 'qu',~Ls ~lJÎVle11l t ,Bn COIJ1l{1a!ct laJVe c J[a pous
sièœ d es ISel1S rpo.ta[SMCj1Ues.
Si le oonOBr s"est pl~olpU'g,é ,à no,tl1"e époque,
.le:s loaUS 8IS les plUIS impOl'taTL~e,s 61ed'a!ÏeI1lt
l e:s 'SlUivantes :
1. Le tOanceIJ.· éta~1It une malhrdl~e dtegtenlS
â~és, J·a ,prOipOilition d 'e.s mO'l1lJs D'al' l'e can-0 811' ',S'(8)st a00l1u e en mêIne t'ell11lpS que l'a ,l011Ig,èvu.té.
2. L'Jl'Ygièl1'e ,géné.l'aiLe ,a flalitt {l,ûmiufUer [es
1'aV<llges [dte J,a ItJUheI'OUllo'Se, maIDs Le ICOillifo:l"tt,
l'e manque d'!eXlercÎJoe Il:,éd'Ulis'ent l'oxylgJé11!a
tion 'pal: un:e Idœrnlinu,tion de b resip[.},·,atÎ'ou
p.rofonde. L~s rtJÎJssus I~ J'[oll',ganisme 1S0nt
ainsi préd'is,posé~ taU o léVlelo:prpemerut 00'11-
céI'eux.
3. L'hygiène anmentaiœ ~t de plus 'Bn plus n1lauVla,ilS e, à me\5ure que Is'[éJève le nQ'Veruu
d'e vi'e:
a) 'excès a.Iimemail'e, faJti~'e du f'oie, d~f
fiou1tés dre Jla oi['oUllati:on dlU lS'an,g
h) aJl~meJ1ltaliÎon i 'J1Isuf.fd,S'ammBnIt 'VaiJ.·.jée engendrant d ies car endes
c) oOllls'ommJatiolJ1 1d"allÎJme11l1is ;dle IJllIa:uvarÎse
qUial1itJé · [corilJena'11Jt 'd l8ls 'g'l·a.ÛS1S8IS pOllitées
à dels tB111D'él'alJUl'8IS ·tJw,p éJe:vées
d) collol'llIllllis syut11lét,iques IOall'Oél1Îgè11les
dans le s hUÎJles, ~l'aJisses, 'cO'J1lSeI'Ves,
confi's:er1es, gbCles, hO'j,ss'Ous , l'ouglels
à l'èVl11es, e1!c.
4. Ahus Ide Ila fumée ,d'e ,tabae (acliitOn ooncélugènedu gOIUJ(h'on, tOaI1hU11e)
5. La f.al!i'gue 11leIJ.1VeUSe c{[réqUienil!e à notIre
~o:qUJe Ide mécanilSll1'e
6. 1I1Ï'~t!a,lii:on pro~o.ngê'e, ICOUp, ,lé\5IÎlOIliS o~~gan~cFt1es peti,vent lS'e 'tl~am~fo'l'Jnm' 'en canlCer.
Leçon 3
La nature du sol influence l'hygiène des habitations.
1. Le lS'OJ let l'holll1!l}1le Isont [intÎlmemle11lt J,iés
2. Le [SOlI iÎnlfJfuence Ja Isallwbnilt!é de iLa nm,is on
d 'habilla,rion
3. Le BOl} Jéger, peIJ.'méable ipe'l'llTIet aux eaux
d'éoOtUtleme11it (d e d'Î'spa'l'al'lJre 'mpid'8fme nt.
Alh0l1ds p1u:s saüllS let Ipl~o:pr,81S, r1a f 'eI'llTIlelJ.lIta
tion miClO'OO'ffl1:n:e s:e f,ruit Itrè's d~H:iciJ18fI11lent 4 . 'Le soJ lU'dITe en maltièJt1es org.aniqUies peut
absOlIDer une gmn:clIe [qtUanlJité d ;leruil. iDan
gBr d'e lfeIJ.'merlll'al!ion m lÎlcl101b:ÎJe.nne in.lJens'e
(ptl1ésffl'we Ide ,pathOlgèl~eJS : l1bc, typhus,
téitaU()ls, Id'ilphlJél'ile, oha'l.mol1, s'rung d 'e !lUte,
pneum'oJlIire)
5. L es 'Soilis cOll11l)Jacli'S oflf:r ent de g,rand'es
d,~f,fiioU'Ltés ·auxinflÎlllil·,ai:ions {l'[eau, pro
tè~Bllt ~'[hahilJartÎon ~ol1ltre Iles 1ÎlJ1fHltl'<at,ions
d "e:au ,d,e f O'sses -cl 'laisa'llCi8ls ,du volÎlsinarg[e,
O'f,flJ.~eni IdieJE (l'ang,eI1S (tproipr,eté dlÎff~'ClÎJe,
fThalqtUles ,d"eau Istagnan~e, hOUle, rel1l'[e ~M6-
sanllie)
6. Oh oilsill' IP0IlÎll- oons.tru.ire iUn so~ 'sa<ÏJn, assé
ché, Jég èJpe ipBnte
7: IMserVier une lpal~lJie du ISO~ pour wmél1a
gel' un Jardin d'agl1éJ11lBnt (f,raÎtcheur, 'tr.an
qui1li'té, mo~ns ~:1<e pouslSière, d1alrme rha
h~1!al!ion)
N. B. - Autl1e ,suj'et à u';ali'lJer : la v~e mi
orobi'81I111'e ;du !S'oil [elJ.l 'colJ.'l,éilation avee
la bactélii010'gie e n gél1Jér,~.
·QU'ATRiEME PARTIE
FRANÇÀIS
Lettres en ra'pport avec l'étude du sol et des, engrais . .
1. Vous laVl5Z lpil1éili81vé .des éohallltiilllo'Il'S dans
un 'l!eI1min d l6S!liÎlJ1,é il la [QwllJUre d!e ~a
vÎJgn:e. D lelJ.naJ')id,ez [à l1a Sl'aliÏon f[&)!é1'ailie
d'lB.Ssruirs ./et de !Ol1lÎmÎle Ifl:grioo'l'e à La~sal1Il1e d<e hi'en vowo,i,r arraJ1ysBr lliBS <l'el1l-e;s en
VOY.éBS Ip'ar ,co!làls lSé.pall1és et d ie ViO'llIS 'l'Bn
s:ei,gner BIll1' Je pOIl·te-gl'e:flf,e leit le oépa:ge
les l~IÎIBux adaptés à iLa nature d ie ce sol.
2. VtOfUIS d ,ésiÎll'ez cLMonceIJ.· il iLa pe1ilie méca
ni:que <lil l'el'IJ.~arin leIl piLaiI1!e (ou en cOlte'au)
,de 2500 m 2, DBm~n:d'ez à l'BntJ~eipll,ise
-141 -
Bal'ms, <il GrangJe.s, Ide '\T,OUS [lalhl.'e des offlVes
pOfur '1"eX!éoulIi'Ou ,die ·ce Itravait Donne.z
Les l~tmlS!eign:en1!eIl'''s ~1!(~c;ess'aü:e.s afin que
1'elllu'e'pl1Ï.<s·e IpIUIÏ!s'se fla'Î1œ ,d'es o{fJ.'es sains
équi'voques. 3. ,L"enh',eplûse Id'e ,d,éf,o-l1Jcement A. Ban-as
'VOfUS i 1bpond. E~Le ViOUS donne Je:s condi
liions 'et Ja dalle à [J'a.rlik ,d'e .1aqll'e[~e eNle
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à Matruwaux de Construction, S. A., Sion.
CINQUIEME PARTIE
ARITHMETIQUE
(7 sérœes) 'en ralpp0ll.,t aVietC l'éJtfUde du soo. et
eles el1!grais.
Etude du s'ol 1. Un qU~IJ1l1aJ die bonne l'efl.'i'e compl.'em 60
kg ,de sable, 14 kg d"a'l.'gÏJle e!t 18 k,g de
oa1cail'e . .Le soild,e 'est formé pa!l.' l'hrumUis.
QUl61 lest i1e poids die l'humus conit!enu
danlS b l1e'rr.e Iflertile d'une .seril'e de 4 m
de long, 1,20 m rd'e [arg'e let 0,40 m de
'profiond, 'si rl!e m 3 de Item'e pès'e 1620 kg. ?
2. P.our amélioil1el' un j lall.'din llirop humÏJdle
vous av,ez amené J.O 'oamionrs Ide lSalh[te.
Le pont du oalluiOill Ime&11ll~i,t 2,10 (1.11 sur
4,50 m elt 0,30 111 ,die pimfollld'eur. Que
VOIUS a I COÛl~é 'oell~e 'almérl,jooration ISli we
&ahle n~Itdu 'SIUI.' placeeslt '~aCitUl'lé 15 fr.
rIe m 3 et ISIÏ !},'éJpand'a~e ,a l1éCieS&il'é 2 h. ,de .fr'clX à ,f:J.'. 24 ,l'heure?
3. L"anaJyS'e die Il'a 'l'el'l1e Ide 'VO'tœ Viigne
donne 40 °/0 Idle ,oaloaire, 4/12 d 'e s'aMie,
1/0 de ['ar'gille et Je so1d<e leiSt C'ons,ti'tIué
p 'lU' rd'e rl'huanus. QUe/lie tes.t en [tl'actiolJ1
la qwantité Id 'hfUU1!US 'qUie CO'lltÏ!en!t certre
teI'l'e?
4. POlUr tCll'alrgeI' une w 'g,llle Ide 630 m 2 die 1'0-
ohes \S'chis,tewse5 sur Ui11'eépalÏs'se.w: de
0,30 1111, m la ['ail!1u ICOlnhien de oan1Î:01l'S de
3 tilla?
Amélioration du sol
1. Vous ,R,"eZ ,aJahte~é rune pliO!pl,Lévé d ie 65 m
de long '&11'1' 62 1111 Ide [~"gle ,à fr. 1.40 !!Je m 2•
Vous payez Ipour ItI'a"naJUX de défoiJllce'lllIent
à la peliLe 111lécani'que 37 h. là fr. 27
1'heul'e ,e,t pOUl' Le 1l'iv,eiliJtement 40 h. d'ou
vl1Îer là fI'. 2.50 'l'hoo11e. A 'conwli,en
ViOUSl'eViiellllt 'oe'lIte pr,o:plûétté ?
2. Vous Ipl,éJpal'ez -cebte Ipropl,iété !pOUl' j&'
din. fruitiler et vous I3Ippol're,z le.s am.en
d 'ffiuentJs et 'engJI'la1s ISUiViautS :
40 boues d.etoU!l.'be à fr. 9.15.
200 kg ,de suWfraltte 'd'lamlmol1lÏlaqrure à f,r.32.50
'~es 100 kg.
200 kg Ide 's'ru de pOitaS's'e 58 Ofo il fi'. 25.50
300 kg d 'e 'S'llIpel1Ph.o's!phtare 18 Ofo à fil.'. 24.-
10 kg d ,e bOIJ:,ax là fil'. 63.- rl:es 100 k!g.
A ,oomhien !Vous revlÏenlllent üe\S fumiUtres
s'iJl VOI\IIS ,eslt laCicordé un 1l.1aibaiÎls de 1,5 °/o? 3. ,Collu:bien VOfUl'l 'a coûté la fumure d 'e l m 2
(réipons.e là 1 mi,Uième) ?
4,. Pour 'pay'er 'toUiS les 'achats lCÎ"dessus vous
avez obtenu un prêt h,yrpotJhéoair,e. Que.11e
anllui1té {l,evez'VoUis ip'a')'ier ffi la banque
ViOfllS d,emande 3 01o d'amol',bIssemeIlit et
4,'50 Ofo d'!Ïlllllérêl!s ?
Engrais naturels
1ère série
1. Ulllle tonne Id'e !bon fUJlUier oontient 3 l~g
d'!aJoid'e rpllO'sphor1que, 5 kg. d'azoilJe et
6 l~g de POlt'aJs'se :et 170 kg de mattIières
oiliga'l1!ÏJqu'BS. Le 'sOl1de est d ie ,l'eau.,
-142 -
Quel est 1re pO'Îlds ,d,e ~"eau d:ans Il m 3 de
f'UIl11i'er 'p'~sant 700 'k,g ?
2. Quru est I.e IpoÏJdls ,de il'Iazo,~e 'cuntenru dans
9 oamions Ide 5 m 3 Ide f.UIl11l1er? (Poœds
d'e 1 m 3 de ffUmier ,f!l,ais 600 kg. Trem.eu'l·
en azo'te 0,5 0/0)
3. 3300 ,kg de Ipmùn oonlliiffill1Jent 23,.1 l~g die
,P'OIIJa'5'S'e. TrouVier ILe 0/0. 4. On cOll11lpte 'qu'm1e itêl!e Id,e gro>s bétalill
,fiourrn't 1 m 3 Ide Ifrumliler f:J.1a'Ï!s pail.' mo'Î's.
Quel !VoJrume de tflUim'ier décO!l11polsé pro
dulÏt un t!I."o'llpeaud,e 12 bêl'eis pelldrun't
2 !atns 'e,t Idemâ, Is,i ~'e fUimier IBn se d,é:oom
po,sal1!t IdilmillUle du 1/4 d,e 'son v.o[um'e?
2ème série
1. -A comhien 'l',eViient tIre m 3 de compost
compo's,é d:e
102 'bottJeis 'de :tom,he de 1/3 de m 3 à f'r.
9.50 \La JJ'O!lJte ;
12 oamions Ide mall.'c de ImslÎns de 7 m 3
à fI'. 5.- 1e m 3 ;
14 m 3 de J'umier à ,fI'. 25.- ilte m 3 ;
500 k'g Id,e cya'namlird,e à fil'. 38.- Je'S 100
kg ipOUll' flaJ0ÎlN:t'er il!a ,d,éoompulslÎ.:Iii'on?
La main d' œtU'ViI.'e pOUl' L1.a mœs'e en taiS a
nécessité 30 h. il fI'. 2.50 /l'ihem1e.
2. Une f'oll' te fUiI11!m'e d ie ffulJnilei' demande
60 000 kg à ~'ha. Oomhien de m 3 ,sont né
ceJssah'es Iporur fUI11lle!l.· lVIoltne 3aridlin die 60 m
de ,long sur 4·5 m id'e 'lall:ge, sli J'e m 3 !pèse
700 kg ?
3. ,La tourhe ahsoll'be e'll'vümn 9 fois son
poid.s ,d'Ieau. Oomhi,en pès'er,0l1lt 23 hO,t111es
d'e 63 kg complèl'ement Isratwiées d'eau?
4. P 'OjUr 14750 m 2 ril. a tflruLIu 32450 k'g de
colz.a IseméJs porur teng'11a'Î's ve'l't. Oomh'Îe:n
a-tom [Iarltlu Ide kg Id'e col'z'a pO!U!l' semer
100 m 2 ?
Engrais chimiques
Emploi de l'azote (N)
1. Les uslÏnes d"e!l.1!gr,ais ilii,vr,ent deJS engil.'ruÎ's
aw'lIés Id'os'anlt 18,5 °/0 :e:t 21,6 °/0 d \ l.Z'o,t!e
pur. ,Gomlhli'ell tf,aut·âJ! lache'ter d'leng,r,a:iJs de
18,5 % 'et de 21,5 Ofo pour f.ourlllir 360 k,g
:d'IaJ7.Me pur là IUln l'SolI?
2. Un hra 'die [l'ai!sèralÏ!e demrandle 300 l~g de
nlÎll'aille 'd',ammornliaque. A Icombien l'ewent
l'a ch a,t de 'celt lengrad.:s ,pOtUI.' une ft-ai
SB11aie die 3450 11112 I&i Iles 100 kg cOÛlœnt
30,50 fI'. ?
3. Un ha ,die bilé 'pl,éllèVie au ,soJ 100 kg
d'azo>lIe pur. OOllllbÎlell deViez-Viows bpandœ
de kg Ide l1Ii,tmlie ,de 'Clhaux là 18 Ofo ?
4. La ViÏgne la'hsolm'e 'annue:lJlemelllt 120 kg
de N. Ipar ha. QueM'e est La quantité de
N. aosolbée pail.' IUJll'e vigne de 85 m. d~
long sm: 42,50 m d ie ~a~'ge ?
Emploi de la potasse (K) 1
1. Les ,mill1es Ide p'Ol~a5's'e lîlVl'ent au 'comm.eroe'
-des sels lœe pOI~russ:e dosant 40 Ofo leit 58 oh de K pUll',e. GomblÎlen f.ault.ruI alchell1efl.' de
sels die po.tass,e à 40 Ofo et il 58 Ofo pour:
fournir ,à un sol 360 ,k;g ,d,e pOfl!alSs'e pUi'le ?
2. Un ha {l,e ,fmi'ser,rui'e demande 350 kg de
&U1Lflate de po'ta:ss'e 4,8 0/0. tA comMen ire
, ,,i'ent J',aohat ldie cet engtl',a~s ip'Om: une
fraÏ>ser.a,ie d'e '3450 m 2 si ~'es 100 kg se,
paÏ!ent 34 fI.'. ?
3. Un ha d 'e Mé ,pl,MèVie ,au so~ 92 k 'g de
potas:s:e pUlie. Com:bien dtevez~vous tbpan
dlie d'e kg d :e ISru de pOitals's'e OtoiSanlt 58 0/0?
4. La pomme de IJem',e a,bsorhe ,180 mg die P'O
tasse pU!l."e pm' ha. QUeJl1e :eM la 'qll'anbÏtlé
de Kaib!SOrlhée par Ull'e pllil.1oerlJ~e :de '85 m
d'e long 'Sur 42,50 m de ,1:al'gJe ?
Emploi du phosphate (Ph)
1. NolUIs ldiS!po'sons 'sur ilie ma11c.hé des eng,rais
phoSlpha.lié's dosant 18 % ,les surperpholSpha
l'es ,et ,dosant 4,0 °/0 les S'llIpe11t!1.'iples. Com~
bilen f.ault.JJ1 adl,eller de Jeg. de superphos
phate e!t ,de supe!l.,tripLe pour fournÏlr à un
soi 360 d~g Idle ipllO'spha:te ,pur?
2. Un ha ,de 'tabalc demanlde 30 l\Jg d ie Ph p!Ul~
A comthileu 'l'e,~ient l'.achat de SIUip'erphos
phate 18 Ofo Ipour Ull ùhamlp de taibac de
3450 m 2 si I~es 10 mg cOÛltent 24. fr. ?
3. Uu ha ,die rfromlent pl,MèVie 50 kg de iPh. pur. GOllllWe!l.l devez-'VoIUIs cépan:dll'e d ie
k'g ,de sup'ertrliiplle 40 Ofo ?
4·. La Viigne atbsOlme allnueJLe!l.nôut 145 kg'
,de Ph pal' ha. Quelle ,est ,la quantité d~ PlI ,a'hsolibée pa,r 'll!ll'e Vii'gue d'e 85 m de
1i:mg sur 42,50 die !la~'gJe ? (A '5utivil.',e)
-143 -
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- 144. -
F FICHES DE GEOGRAPHIE
(suite)
Nos lacs
Les lacs où se réfléchissent les monts imma'oU'lés et un ciel d'azur font so'uvent la beauté· d'un paysage. C'est surtout le ca·s de nos la'cs alpestres, qu'ils soient enoadrés de forê~s ou que leU'rs eaux baignent les blocs erratiques épars dans les pâturag,es.
Les lacs de Tanay, de Champex, de Mon,tana ne sont pas le moindre agrément de ces s,tations d'étrangers. Les touristes qui explorent la région de. Zermatt connaissent le tac Noir où se mire le majes'tueux Cervin. Le lac de Matfmark se blottit au fond de la y'a'llée de Salas. Formé par une moraine du glacier d.'Aletslch, le laç 'de Marjelen a maintes fois rompu ses digues. Après avo,ir ~ranohi la Gemmi on atteint le Daubensee. Le lac du Grand St-Bernard a vu 'défiler la foulle des conqué~ants, des pèlerins et de~ ma~chands. Les lalcs de Ferret, le lac d~s Vaux pr~s du Mçmt Gelé, le lac de Lona ne sont que de petits l'aos alpe,s~res. Les lacs de Barberine et de la Dixence, du Mauvoisin, de la Gougra, de la Lienne ont embelli les sites où une place leulr a été assignée par le génie des hommes. Pour les besoins de l'industrie, les ingénieurs ont suréle,vé le nivelau des eaux de l'IIIsee et du loc de Fully. Celui de Derborence est le plus jeune des lalcs suisses oréé.s par la natuTe. 6n hiver, Sédunois et Sierrois s'ébattent sur le's lacs de Montorge et de Géronde.
Forces hydrauliques
Le Valais est certa,inement un des cantons les mieux ~avorisés au point de vue hydraulique. Il produira. bientôt 9 milliards de kWh. (Suisse 20 millia'rds). En été, la neige accumulée sur les hauteurs se dév'erse en torrents abondants jusque ,dans I·a pldine. . Mdhe'U'reusement, il n'en ya de même en hiver; ,alors l'e débit des co'urs d'e'au
·est minime. C'est pourquoi, dans le but d'assu'rer une 'rés,erve sluffisante pour cette saison, on a 'construit des barrages et créé des bassins d'accumulation. t 'es l'a'cs de Barberine, de la Dixence, du Mauvoisin, de la Gougra, de Salanfe, de la Ue'nne, de Fully, de l'IIIsee aHmentent les usines de Châtelard 'et de Vernayaz, de Chandolineprès de Sion, de Chippis, de St-Léonard, de Riddes, de Fionnay, de Fully, d'Oberems et de Tourtemagne. On envis'age enco're l'a construction d'a'utres bas.sins. A l'entrée de toutes les va'llées ont été édifiées des us'ines électriques qui fourni·ssent la force nécessai're aux fabrique,s de Chippis, de V'iège, de Gampel, de Martigny-Bourg et de Martigny-Gare, de Monthey, de Vernayaz et de VouvrYi elles produisent aussi l,a l'umière et la force uti'lisées dans nos viHes et nos villa'ges. Une partie de l'électricité produite en Valais est con'sommée dans le reste de la Suisse. Il y ·a ,encore bien Ides concessions à ·a'ccorder et toutes osll'es qU1i l'ont été ne sont pas exploitées.
-145 -
QUESTIONS
S~'r la carte hydrographique des·sine tous les lacs cités. . Cite des la'cs créés ou surélevés par l'homme. Pourqu'oi a-t-on fait ces
travaux? Cite un ,l'ac près d~ Ze<r1ma,tt i un au,tre dans la vallée de Saas. Monte a l,a Gemmi, quel l'ac vois-tu? Où se dévers:ent s'es e'aux ? Que:1 I,ac a .c?'usé de g.rands. dégâts par la rupture de ses digues? Que.lle 1,00oa'llte de la plaIne qUittes-tu Ipour monter à Tanay? . Monte a Ohampex par une route et reviens par une autre. Tu as fa,it le tour
de que,He montagne? De que'l village d'Hérens pars-tu po'ur te rendre à Lona ? Comment. le loc de DerbO'rence s'est-il fO'rmé ? de quel viHage t'y rendras-tu?
on longe ses riVes pour monter à quell cO'I ? . . De Ve'rbier m~nte au l'alc des Vaux et descends en plaine i tu passes par que'l
vl,IIage haut perche? . Calcu'l'e le tem~'s, que tu mettras a1pproxima,tivement depuis l'a g,are la plus
proche ou une !'oc?lllte connue po'ur 'atteindre quelquels l'a'cs cités. Consul·te bien ta ~al'~he, cherche 1 altitude et rappelle-tO'i que l'on s'élève en moyenne de 350 mètres a eure.
Organ ise une coursé à Tanay, à Champ,ex i consulte l'hora:ire i établis l'itinérai're.
QUESTIONS
Pourquoi le :.'alais est-il riche en forces hydraulique's ? A quelle. saison !e ~~bit des rivi~res 7st-il le plu.s consi~érabrle et pou'rquoi ?
. PourquoI a-t-on cree des ~asslns d a'ccumu'l-ahon? Cites-en que,lques-uns. ~es ,eaux du lac de Barbenne sont utilisées 2 fois. Où? Ce·lles de l'illsee
aussI i ou ? Celles de la Dranse aussi i où ? Combi'e~ '~e ~<Wh le Val'a·is produlira-t-il dans quelques anné,es ? Et la Suisse?
. ~O'urquoi 1 uS"lne du Rh~ne à Chippis donne-t-elle plus de force que celle de la Nlavlz.?nce au meme endro'lt, alors qu'e la 1 ère a 50 mèkes de chute et la seconde 550 rmetres ?
D'après cela gu'~st-lce qui déte'rmine l'a puissance d'une chute? .Indlque les pnnclpalles .usines électriques dru Vallais.
Viè9~e:quelles donnent le courant aux fabriques d:e C~ippis, de Martigny, èJe
Pour combien de temps les conce'ssions sont-elles accordées? Qu,i a'ccorde celles du Rhône, celles. des rivières? A qui les redevances sont-elle:s payées?
De que~le'S concess'lOns nouvelles as-tu entendu ' parler? Collectionne des gravu:res r~pr~sentant les usines électriques du canton. Sur la .oarte hydrog'raphl'que, Indique les oentrales ·électriques. .
. Co~b.len de che~aux defO'rce consomme le moteur du forgeron, du scieur, du menuIsier de ton village?
-146 -
Mines et carrières
On dit que le Valais est riche en mines pauvres. En effet on y trouve presque tous les minéraux, mais en quantité si pe·tite que leur extraction n'est pas rentable, d'autant plus que l'exploitation en est coûteuse et difficile: les filons, peu impo'rtants, cessent brusquement à cause des bouleversements qu'ont subis les couches géologiques lors de l,a formation des montagnes.
Pen'dant la guerre on a cependant explo·ité avec profit les mines d'anthracite de Chandoline, de Grône, de Dorénaz, de Ferden, de Nendaz, etc. Saillon a livré pendant longtemps un marbre ayant les plus belles cOllorations i celui de Co./lombey présente un grain moins fin i quant à ce,lui de Chemin, on le concasse pour en faire du simili. Les carrières de Collombey, de Granges, de Gampel fournissent des matériaux appréciés dans l'industrie chimique .
Vollèges, Saxon, Sembrancher fou·rnissent des dalles, 'Ravoire du granit, Leytron, Hrigue, Zeneggen, Orsières, D-orénaz, Sallvlan, etc., ont des ardoisières. Le gypse est extrait à Granges, à Fing,es, à Charrat, et près de Brigue. Chemin a du fer d'excellente qua·lité. La pi.erre ollaire de Bagne's est appréciée pour la fabrication des fourneaux. Les mines d'or de Gondo, celles d'argent de Bruson et des Trappistes près de Sembrancher ont eu leur période de prospérité. Les mines de plomb de St-Martin, de cuivre à Grimentz, sont aU'jourd'hui ahandonnées.
La grande industrie
l'solé, privé de matiè're's premières, n'ayant ni fer, ni houille en quantité appréciable, le Va,l'ais pa'raiss'ait fermé à la grande industrie. Pourtant, aujo'urd'hui, grâce à la force prodigieuse qui des'cend des glaciers et que le génie de l'ho'mme a transformée, des usines électriques ont été construites à l'entrée de toutes les vallées. Parfois la force est utilisée sur pl'ace, mais souvent le courant fourni par plusieurs centrales est concentré en un s'eul point. C'est le cas de Chippis en particulier où ont été construites les g'randes fabriques d'aluminium qU'i ont produit jusqu'à 60 tonnes de méta'l par jour. Près de Sierre ce métd est transrO'rmé en fil, en barres, 'en tôles, en tubes, etc. Viège es,t aussi un centre industriel qui livre outre les engrais, les produits chimiques les plus divers. Gampel fabrique le carbure~ Martigny fournit aussi des engra'is azotés, de l'aluminium, du magnésium. A Monthey, les usines de la Ciba de Bâle jettent sur le ma'rché les produits ohimiques les plus variés. Dans cette locallité on fabrique des pierres scientifiques pour l'horlogerie; il y a ·auss,i des ateliers mécaniques impo'rtants comme à Sierre d ~ ailleurs. A Gampel on fabrique de puissants explosifs. St-Maurice et Vouvry ont de grandes fabriques de ciment.
Ainsi de nombreux ouvriers trouvent à l'usine un gagne-pain assuré et l'aisance pénètre dans les foyers. M'Olheuf'eusement il y a aussi le re~ers de la médaille.
-147 -
QUESTIONS
Pourquoi peut-on dire avec raison que le Va,lais est riche en mines pauvres? Pour quelles ra'isons' l'exfraCtion du min'e'rai n'est-ellre 'pas rentable? Renseigne-to,i 'et cite toutes les ~in~s et carrière"s ayant été exploitées dans
ta région. Fais une collection des minéraux de ta région. Dessine la aarte ~inièr~ du Valais. , Dans quels districts pl,aces-tu Vollèges; Saxon, Sembrancher, Zenegg'en? Sur quell'e rive du Rhône se trouve Collonges? La pierre ollaire n'est plus guère exploitée i pourquoi? Où a·-t-on exploité l'or, l'argent? Où y a ... t-ir1 des carriè're's de marbre, de dalles, d'ardoises, de gron'it, de
gypse? Quelles mines surtout ont été exploitées pendant la guerre ' i pourquoi? A queHe commune appartient Bruson ? Dans quels districts pl,aces-tu St-M-artin, Grimentz ?
QUESTIONS
Qu'en~end-on par matières premières? LaquetHé appe,lée pain de l'indust.rie manque en Va,lais ? P,ar quoi la houille est-elle remplacée chez nous? Quelle est l'industrie florissante ~n Va'iais ? Pourquoi cette industrie s'est-elle implantée chez nous plutôt quiailleurs? Le Va,la'i,s a la plus grande fabrique d'aluminium de Suisse i où est-eHe ? Cite deux fabriques d'engr'ais azotés, . D'où ces fahriques tirent-elles l'azote? Où y a-t-ii une fabrique de magnésium? d'explosifs? de ciment? Où se trouvent les deux plus grrandes f'ahriques de produits chimiques du
V'alais ? Quels aylan~ag'es la grande industrie a-t-elle apportés au Vallais? ·et que,ls
inconvén ients ? Etabli~ ' la carte des industries en Valais. Consulte ton atlos.
PRAKTISCHER TEl L LEBENDIGE SOHULE
Aufsatz ouf der Oberstufe
ALLGEME/INES :
DraiS Zi'eJ des AUfs-atzes ist schO'n geJP~rag,t
wO'l'IŒen, label' r{!iS Isohte:il1lt m lÏ!r SO' wichti,g,
d,aslS .irch milJ.' ,einJe WIie<d'ea.'llOJlung gesll1artlte.
Wir stœhell in uJ1iser·n. .AJu1isa.tz'srtun:d!en an :
einell ,saichlliichen, einjf'aCihen, ehlùic:hen StÏll
im mündlllÎ:<.·Jhien und sclll'iltliohen AusdlJ.'rUck,
Aurf ,d'el' Ohel'stufe mo:chl'en WIN' gtC11aldie
d1l[oh d'en Alllifis'atzUlnltleI111Î1oht -d,ire jungen
Mrerrsdlen IaIl ,ein 11l1alre's, bestJÏ1l11ml!es o,en·
k1en, Spl'eohen und SolllielÏrben gewohnen,
Ers muss iJ.ab'eIÏ clen v,el1Schlied,ensllen Au{·
galh'en dleJ.s Lebel1!s, IselÏen 'Slie IIH~l'So:niHohel1
oder .ge.schiitf,tlrichen 'Inhralts, 'gedrient sein, Zu seIn sind ""il' nO"ch ,der An\'>Î:oht vterhaJf1tet,
AUif,s'aiIiZ sei l1iur ,dla's, was man ühei' ir,g~ntd
eÎ:n Tihean:a ·sohrl,Mb'e, DaiS is:t M'cht liÏ'ohtig ,
NlÏlcht nUIl' ,dlas geJ.sohni,ooene W'O:rlt hat seiÎfnen
W;elit, un:d - gel,ad'e nridht :di'es'eJs. Wie d ler
Mel1ls'ch spl'Iichlt, SO' schreilit er! DalJ.'um
sO'()Jltle ,41 1U11Isea.m Solruilten besO'ndlel'!S l3.uoh der
mün:d!l.iohe tAm!drlllok Ig,epf1legrt w,elxl~n. rBlit'lIe,
Miohit der mündlliirOlle A'Il's·dlJ.'1l.1Jok Id'ffi' lJehrklJ.'aJft,
sO'n:Œelm Id'er d ies SchUlrel;s, nais gespr.o:ohene
W'O'r.t s:teht an 'ers'tler Sl1ellle, d,aiS gesohlJ."j,Bb~ne
Ï!slt diiJe ·sicihtibaœ Pl'ag:wng. In doer A'lliSdrrucklS.
schu.iJ.ung ihaihen l Vlir dem ges'P1'O':dhenen W O'1',t
ge~enüher vi,eJl dtiJe gross:elie tMoglli.tchk,eJit,
Hiier kO'lli1Jen W'N' 2'lum kilaœn Arusd'l1llCk
2'lwÏ!nglen und Ifollidern ISO' ldal~es, heSl'irfilllllttes
D-e;n}œn IUIltd SohœÏ!b'en, W~IJ.' hekampflen
aruoh Wullst und Ul1wahrhreri.t, lm ver,gan·
glenen Sommer hOlll'e ich einiJl1'ail d-as Ur.teiil
über ,eine sCJhdl~tJstJeJhleris.ohe A'l'1heit: «WIa.>s
der .hier in Sciten sag't, Vet'l111a1g rich in ein
para'l' Sa,tzell rall1!s2'ludlJ.'ü:clœn », In wen!Î.gen
W OJ.',ten Vii el sag.en, d'as soililte Pal'O'['e des
Spl'a'ohunil'el'richl'es S'mil. Treffrendle Tii:tig.
k ei tswor,ter, chara:kltel,isf~sc,hre Beifügungen
zum gegeb:en:en Ha1lJp,twO'lJ.it, g,efasst tÏ!n krurze
lclalie Siitze, dmin J,i'eglt S'a!f.t un:d Kl"aifit
U'll!s'er:er Sprl'aohe, D-aiS müS'sen will' ühen,
SchuilIung ffu1S ,LeJhen rÎ,st gea.ia:de heurte, tÎm
Z eiJta!l ter d,et, HO':chkonjulIlk'lJnr, d 'a\'> .Gege·
bene. Diie Sprache e'l1l11ogr1ioh t d,en Harrdrell
und Vierlœlhi', ,si'e Is'l1eht aberaUich im DlÎ'en'ste d'el' ,l'elÏ.n jp.elisonJ.icben Biilidunrg.
SohO'll dm'ch IdÎ'e W:ahil der Themen g'lieif,en
WN' I:i.n d'Le Denlm'11t und in den Interessen·
l(Jl,eis des Schiiileris un:d V'er&U!chen I\lil11ZU'
fOll.1lTI'en, zu iJrenl~len ultd Idrahrin zn steuern,
WO' für mIS Idie Wle11te ilri.egen,
WAHL DES STOFFES :
Man waMt ,dteshra[b StO'f.fkrlieùs'e und Th.e·
mô n aus c]rem ElllleJhMis'berelÏJoh dier Sohü:ler
Ullld suoht rdiese ans2'lulV'ei,ten und zn fO',r·
men, dralsis ,dile SohÜil'er Id'œda.U1ch hineinlV'ach·
sen in das Denk'el.1, SplieJohten und Tun des
Eln\~alchisel1'ell. D,1e Be'O'tbruohlUll'g und Sohillde·
liImg eirufta'ohet, VO'l1gange, Haltdiliunglen, Ge·
sprrii'ch'e und Elil,elbn'i:slse IsolJ.rlte auch auf der
OheliSliUfle den S~O'U 'bÏreten, 'lNll S'ÎIch ge·
d\anJdl~Clh,s:preohllechntÏJsoh und im sC1hrif.rli·
oh en Ni1ed'etischl1ag zn i'ttben, Dite Anrf<e11t!Î.gUUg
11l11.<alpper, auoh scJhlagwO'r,tal'tlÎger .AJufz.e:ioh·
-149 -
Ilungen 'aus Ge1esenem und Geho·r.tetm J'e'lmt
den Schül'el', Wles'entliches von Unwes'en'tIH
Ch'B111 2'1U 'llIlltlersoln!Jidlen, genau zu denJ.l:,en .
Dell." Haup'takzent 'setz,t Idie Ohe11stuf1e ahell.'
auf6 Bl,ieflsclweiben, das nooh 'eigel1!s he
ha'l1:dletlt 1\W:~il"CI.e1l1 s'On. P,e11sonMche und g,e
sch8lfltlliche Brief'e mil,ss'en au:s~e;führ.f, Fm:
l11u1lal1e von Post und Bahn ,aiUlsg.efüUt Well.·
d'en. DaJs IÎst 'PlialClüsche Sohulul1'g fürs Lehen.
AUFSATZARTEN : Dile's'e lass'etl sÎ'oh in d11eHach'er Sicht ein
~eilen. Del11 1ll'haJlt nach unte'r,soheiden war:
EdeJhllitS-, neohaol1tungs- und Phanf1aSiieauf
sa'tze, B-es'dhreihull'gen und 1nbaJl ts'an!g,ah en.
Charaktell.'ist!ik'en und Ahhan'd[lll1l!gtffil gehol'en
Il!ioht ,in 'dile 'Pl'ill11'arsclliUIlen. Zl\v,ing,e.n wrur
d'en Bohüler nioht zu IUlltei1en !Und' ,zu beur
t!e~l'en, wenn 'Sein GeÎlSit iJ.lo:oh ntic;ht '1:eÎlf
i Sit. Die Bayler,ische Metho'dik kleillll1t in ihrer
AUts:drucklspftl'egie nul' die iEr,ûihlul1!g, dIie
BesdhI1eihull!g, d,ie Schitlch~lllng und den He
l'Ï'dht, w,ie 1Î'0h j'a 'SOhOIl 'daJq~eJl'e:~t ,hahe. 10h
finde tdliese '1nhaJ~ts-EinteiJl'llrng Mail' und
nüchltel'n lwrrd Id!e:sha[h gut.
Uniter ,den El1lehnisauf's,atz f.aUen vor aJl1el11
d'Le Arhe,i,t!sheI1ic.hte. Mit d'en Beohaohtungs
auflgalben 2'1us'alIlll11'en, soilJlJen Is:Î.le tin d:ffl' Àrus
ru1ll01(lS'schu1lung dO'mil1!iel~en. ,GeI1a1d'e dIie tBeo
haohttu'llgsauf,g'ahen ISÏn:d wel~wol1Jlst'e sp,l1a,oh
Heihe SchruIlung. ISie 2'1Wlmgen dern SchüII'er,
seJine Sinne IZ'U offnen und Ida's, wa,s el' waru:
n~n1J1llit, Isp14alcJhiliÎlch Il'kht1Î1g 'zn Ifo!rmru:1i'ell.'en.
Eine Bildh:ett;arohtung k 'ann lein:em heil.f1en,
drus s-pmchllIiche W'achsel1 zu kOll!Sl1atJÏeren.
Man. laS!se lel'st da,s IBilM heschreiben, o:lUl'e
vorherig,e Be:spl'eohung. Hen1:aoh beat·heri,te
man es 'Sys,ttel11'Mis'ch mit Idler Klals'Se und
verlan,ge nO'chl11al1s e'Î.ne BeS'c:ht<eihtmg. An
l:ian:~s- und Sc;h1uS'sheS'ohI4eih:ung 'V'er~liCJhen,
spl;ecJhen e:in d'eu:~lÏJcheis W011t.
Ber FOl1l11 nach s'pDÎ'dht man ehenfla:}jls
von 'ei,ner :BelîÏJchts- und IBe:schl"eihung.sfmm,
von Ta~eb:U'ch, PersonÎlf'ikaJtion, Gespraoh
und Bl'ÏeJf. Eine 'wge11'e FOlll11 1-st 's,icher auch
nO'oh der GeschM,tlsauflsatz. Bile notwendiglSte
und ge,brauchiHohs'te is,t die er,s,fle. Dais T 'a
geJbuch ka11tn ails eig'elleJs K,1a1SiSenheft ge
fülUit wBlidlen. iOtie Bffl'sonLfil~altion muss
s;clLtell Isein. W~,r wo:1l.en aJuf der Obei~SItlufle
das Will'ktltiohe Ulxd ni'dht dlals iPhalJltals,ioomals-
S'1ge betol1!en. Das GeS'prach dient d 'er Vier
ti:ef,ul1g der ~vO'l1111ilchange.führten Rede, Bell"
BrÏJef kommt ,ein Hnd'ermall 2'1ur Spr;alohre. An
den Bi'i'ef s'ch!l,ie:s'st s~cJh Id'er Ge:S'ohiirfts'auJls:albz,
dler 'aus dlen Gegebenhreiten des MJ,tag,s
heraJUlSlwiid1Jst.
Der mell!ho:dtÎlScJhell Behm1!dllung na'ch
spdoht m'an von StJilüblUllgJen, Ailllf,schredb
übungen, Vion Id.em hailhfreiJen und ei~ent
licll'en Au,fs'atz. ner ,ei,genrlIi,c;he Aufls'atz i'Sit
c1JÏJe Fl1uloht 'V'ieter Sip'l"laicMiJc;her Benn<ühungeill.
SoN er Ialls wli'l"k'1itell k ll'eine's, 'eri1~el1es Werk
dastehen, Ih11auohtes :eil1 DOiJ.)lpeiltes :
1. 'es lUUS'S enVias vOlnan:den IS'e'ÎlI1, wOl1üher
111lan ISipa.1e;ohen u 'nd schœwhen kann. DlÎ.le
Eefia,lUiu11'g un!d d'aJs Bedül1f'll1lÎ1s, sicJl nl)Î,t
z'uteil'en, :muss da S'ein.
2. FOll1malle Schl\V1i.ell:igk'eihm müss'en duœh
VorühlUng,en heJslei'l'ÏJgt ,V1ffl,dlen. Gesba1tJung.g
moglrÎ'chklelÏllJeill rflηrl1dleill w.i,r 'glenü{;'ellldill
clen ve11s'cJhÎled!enen W'o'rtschaillz- l}Il1!d 8611, ühlUllgen.
Bile ,AUiflS'chr,{~ibühung werden in dlen un
tern Klassen geanleJis~el1t . Aruif der Ohe.I.1S1t1Utfe
b eig,etgnen ~Vlir V:OIl' a!l1e'm dem haillbh,eiiten un:d
eûg.entilichen Awfls'aJtz.
Halhfr,oi ,ÎlSit d'Î'e heste FOIl"illl. UIl's'eœ 5chÜller
müss'en aJucJh im Auf,s·atz eliSit angeœ,glt u!l1d
g:eJleillkt wel'den. Die Lehrlm'alf,t Mlfrt hei
Id'er Stolffwruù, 1Î,l11 'AU'Sldruck und in d,el'
Ge:cl.arnlœno'lidnullig. 80 ffll,~Sltel1ll: rue BerelÎ't
scJhatflt 'zur Nri'eiœen'sohl'i,f,t. lDrem ge!genüheil:
sreht l1un d'er Alulfs·a~z, in 'cl,em ,dler SchüI.e1.·
ganz UtnheJeô.nftUtsSit sei11!e Gedanlœn üher
e:illl von ihm gewahIrtes Theana aruts .. drü'ckt.
Dri'e f.rill.chthaDe AIl'be1t 1,iegt hier in der
gellll'ei'l1.Is'aJJ.lllen Kon1ekltur, in cler g,ef,e11t, ge'
al1del1t, geMa1.·,t wlÎ'l,d. Pll1oflesso'r Ad(rffl1l11anl1
, neti1aug,t in s'eÎne!!: M:eltJho:c1Jik, d'aJS's ,der LeJhœr
T,aklt, EinlfüMungs{;'ah;e und VerSitaI1ldl1lÎls ha
hen 'll1üs:se, wollllie et' dlie 5chüI.er ge11adle im
eigentiLiohen Aufts'altz wirklich ford.ern.
BEISPIELE AUS DER PRAXIS
EINIGE STILMUSTER.
Die Landstrasse lebt. (Lud'wig Thoma)
Von untlen hlÎll.ù(rt di'e Land'stl'as'se, vffl,s'chwin
d'eJt hill)~elr ,den F,clJs:en, kl'ÏJeoht eiÏ.l1!eIl Hüglel
hill1atU1f ,und laui1t clU14Cih elin olfif'enes Tor in
-150 -
dien WiaIld. Sie kommt von wîeÎ.t her und 'g,eht
in di:e w.ei:te WIeJlrt: ll'iil.l'aJU's, Mer in deilll Bt!iJ1I'eill
W,ink,el alb:ffl' l{1ann sile ge'l11a'dhLioh 'tun m1!cl
s'ÏJch über lrue BlÜ:\1en freu'en, 'dre von d 'en
a!ll!eJn A:pi~eJ1hartlill1len in ÏhDen ScJho·ss fiaJ1lJen .
Die RaJS:t mag ihr wolliltlUn, denn sie <Î!Slt aI1t
und hait V1Î1~ g'elsehen in frühern Z'eliite.n, aJl:s 11'0'Oh gl,o:ss'e ' ,Heffl;e ,auf ilhr hirl1.zoglen und
Ge:scJhiitze und Wag,el1 den StaJUh 'aufowlÎr
be/hen.
Aufgaben : WiÎll.: ILeiSeIl œen Te~t und he:spll"e
chen Iihn.. Es IÎ!s't cine P ,ensoTIlilflÎlm,tion.
W'el,c1he W Oll"t~a'lit kenn~eJiohnet dais? WIÎ!J:
he~cJhten d 'en Ühffl'gaJng von cl,er Geig:enwallit
in ure Vlffl·,gan~eil1!heit. Die StIl'als:se IŒnll no'ch
l11ehr ron: Sile 'Siteig,t, ra,lM, winJC1'elt sii'oh,
S'chilarrgleJlt siCJh usw. Wlir S'uchen le:irre Anz'ahl
so'1cher Â.'lllSldrücl(je 'l.md sohre.1!hen \5IÎ.le aurf.
WIÎ.Il· ver,suohen 1lllU11, ,N'ViaiS Xhnr1iohe's da!"
zUiSirclJleIl mit ,eill1em Weg, elÎJnel11 Haoh,
elill1ean Sdhilel1et1JSiliJ1ang, .e;inerm WtaiLd'l~an:d.
Kleine Schilderung von Peter Rosegger ]jc;h INielte hinarus in Id'Île lJÏJohlllHlg. Eill ûlJl'e.rn
d,er Luflllhauoh 11Îeselt mlÎlr ell'tgegen. H:eI11-
grij,I1es HeJidegebÜtsch oot den ro,lfen BlÜl'en
gllo:dk1chen dter Beeren Mer und dfUtnl~el'glan-
21end,e.s J>1l1eiÎ.1sel1h~eierkl'aJut, wie em 1U'ianz im
merg'rül1en LOi"lheffl1s ranzUlschauen. üher dlÎe
S'er dlllf1tenclten lF11ur e11hebt 181.oh cin sohwal:zieJr
Stl1Unll:, l1lÏit dlean gehoh'eII1etl1. AIl1l11 sei'J.1'es
l~al11en AslJeis 1rO't2'1Lg d'e:m HiJmmru dro'hend,
weill dileJser dill'liCh 'emen na'ohtlli1chell lHùl!z
stJ.',ahIl ihm d,as Hauipt ~eJs:p'aLten. Und es
eliheht siloh d'olit 'gr,a'Ues, zerMüfteltes OeJSiteim,
in dleSSel1 SpaJ:lJen sich di1e ,hehell'de i')idechS'e
'bir'gt und ,d,i'e ,S'c:hIiIJ11Jmen1!de Na t'ter, ul1ld an
d'e~S'en Fusse cHe hl<eit!en, ,dur,ohbrocl1!ooen
Bla'tt'm' d er F1a'nùuii'l1lter und d,ie b!laiU~n,
aJ~HOlit g'rill'S's'sohwenkend'en Hül'c:hen der En
mrane wnchenl.
WLir sU'ohen che Eigenschafltis- und Mtittte1wo:r
ter h 'eraus iund sl!el1en 'S'ie dnall1d'ffl' ge'g,en
üb'er. Wler find'et clats W'Ol)t, das wlÎ.le ei'l1
Mittmwort au's's,Le.ht und doch k eiÏlnes itst?
WLi,r hrauchen di'e MitlieJlworter ~n and'ffl"ill
Sii,tzen.
Tf/O ' WOFIIN - WOHER 1. W,ill' hi'ld'elll Sii,t1ze :
10h l11odlJt1e wÎJssen, wo ...
Ldh 'S'uohe aillf d'er Km'lie, wo ...
Der W1egwetÏS'er Z'eÎ'g,t UNIl., 1v,0'h'Ïn
Der B'l1Îelf.slien1Jp·eJl s'agt mtir, woher
2. Wlir iLea.111'en den SOh011JSlJen W'o-Sa'tz d:er
de!uVschen S.prruohe aJusweilldig :
Wo dit- Go,t!lles Sonll'e zUle11st ersohtileIl,
wo chr IdlÎ,e S~erl1e des HÎ'm~11'Clls zuerst
l'euchl!etJen, wo ,j'eine BJ'Îttz:e dk zue14st
seine Arl1m,ftcl1!t offtenlbrur,ten ullId s'ei'ne
St!urmwitl1.d,e dil' mit heilligOO1 Sc1u:ecken
dm'ch IMe Se'eJle hliaus'~en
da ÏJst deJine ,Liebe
d'a is:t deJin ViaJl!erilaJIlld !
(EtIIlSit M011i,tz A'ltrrd,t)
Kall11l'st du etw,aJs Ah11l1iohes auf's'tellilen ?
W 0 - '\\1'0 - WO ... ,da Il.iegt m 'cirn HelÎma'tol't.
Bi.lde Sa:tz'e mM Wo - da, Z. B. Wo die
RJholl'e ,einen schadien WilÙl:lell MM'et, d'a
lite/gt MaiJ.111Înach.
Der Aufsatz in der Haushaltungsschule
A!llbin FRINGELI
Das Sprichwort in der Schulstube
«Eir1ll11a[ Îlst kelÎull11all ». nas IÎtsit d'als veril.'Û
g'enS'l'e illilld sohilimrnStte UIlll!er aMen SPl'LC;h
WOlitern, UlI1!cl w'er 'es geIll'acl1ll: ha.t, der wall'
ein 'SchLelchl!er RiI~CihnlUn~SimeJi,Sl'er oder elÎn
hUSlhaf,ter. Eil1111'a[ i st wenlÎg'steIl'S ei'l1lluall,
und dall'an [a.sst sich l1'ÏJohlIJS alhma,rl(ll!en. W'ell'
eimll'a[ ge<S'tohrllen hat, dffl' k 'ann S'ein Lehen
lang nlmmer 1:11'1t W'ahrhelÎlt lUJJ.1'd mi,t fll'o
hem Her,zen saglen: « ,Gotillloh! ' ioh hahe
mlÎch nie an fr:ell1lfden GUlt Vierg'niffen ». Und
weTIon der DJeb el;hatscht und gdlenkt wlÎ!J:d,
a,l,s:dIffi1l1 ist eimnail nicht kei'll!maL Albe.r d,a.s
its,t 110ch n.j,cht a:HoeJs, soncl.ern man IŒnn m:ei-
-151 -
.;,tens mit W~hdleJiJt salg,en ,: Eitnmall ist z~hrn · ma,l und Ihll.ll1.d'e11t· und tTa'll<S'tmdJmlail. iOenn
wer ,&a,s Bose 'eirn.mail allg'efang:en hatt, cler
s'e:tzt 'e:s g,emein!i.g::Li.'ch auoh fort. W 'er A
ges'agt hat, der s-aglt auoo g,ell1n B, und
allsdlam1 ItJri,tt znilletzt e1Îm Iandlel~eIS Spl"Ï'ohwort
e~n, dlass dler K'l1Ug ISO Langle zum BII.'UI1l1ien
glehe, bis el' hr,Ïloht ».
D~I~s'e ImTZe B'ehiadlllIUrug über ,e.in Sprioh.
wort karnn nUl' von J o'hann p lelier Hehell
stammen. Hat el' uns daml~t nùcht g,eze'Ï.g't,
wlie w'IÎlJ.· eirn Spl"i.lc:hwol',t atls AIU'sg'anlg\Sipunl{jt
vu ei~1Jem Aufs'atz V'erwen:d'en konnen ? Es ilst
s'ellh:s'liVe'llSlta'l1idlli,ch, d-alS!s rWŒ'l' d Je:m SpniclnvÛ'llt
in der Sohu'le nlilchtt eiJ1!en aililzu h11ci:ten
Rlaum \C!i1l1ra'll!n1!en koml'en. Es wal'e aber
verf'ehh, we'l1n wlÎ,r an diÏ'es'er QueUe, an d,e:r
«Wieishe~t d'e'r Glasse », achtlo:s vorüb:erge·
hen wÙl.chm. Dass dais Spl'i'cihwor,t ni'Ciht nn·
mer ins Sohw/a<rZJe tir,iJfft, heweilst schon d1a's
ohen z,itire,rt:e WOl' t: «Einmall ist keÎlnmoo ».
WTir machen U1l!S in dler Re;g'eJl kcine VOl"
s~eilJ1ung, wi,e reich ,d'el' Schatz an Sprich.
wOlte'l'll heiÎ a/Hen Vo,lkern ilst. nais iJm lJetz,ten
Jlalu",hull'd,e'l",t ge;scha'ffiell.1ie Spl'ilchwolI.ltllexlÜlc'Ol1
von W-a[<dler 'tl!l11,flalS'S t fünf Ban<d'e miiil: .eJtw'a
300 000 N'l1!J11lIllet·n.
W'Île hat Hehell dlas Spl'ÎchwOlit «Rom ist
IlÏioht an elin:em T1age el'1)atut wori(h~Jl1» hear·
bcil:'et? Er me.int: «DamlÎt enltsclruldli,g'en
sid1 vieJe f1ahr1la'sls:Îig,e und trage Mellsc:hen,
w,e'lohe ihr G elSIOhafrt ni'ol1!t tl1Bihen und voJ.
l'end:en mogen 'lHtd ,schon müd'e sim, ehe
s,ie m~cllt anlf'ang'en. Mit d'em Rom i9t e;s a1ber
eig'ent1rioh so ~ugeg,angen. Es hahen V'1eI1e
fl<eilSls:i'ge Hande vielle T'age lang yom fl',ühIBn
MO'llglel1 hvs zum ,spa:tJen Ahend unverd'l'os,
sen Jd'aran g,ea'lIDciJtet und ruicht abgJeJ..aJsse'l1,
Ms es f'el' ttig wa'r und dler Hahn a/uf dlem
Kil'ohtll'rm stalld. So ist Rom erutstanidw.
Wia's du zu ltun !ha'st, nmoh',s au'oh S'O ! »
Hebed hat si.oh auoh no:ch dm,'oh and;ere
Sprid1,wor,ter zn kUl'zen Autf<sa~z'en für s'elÏnen
l(Ja1erIlIder am",egen 1aJSls'en. Dile zwei Blei·
spie!le mog,eu U11!S den 'Wieg 'Weils'en, dieu wii'l"
geJle:g:enillilCli1 heschrci~en woffilleJl1.
W'alS lieg,t nalml', ails d'U15'S ,,\"i'l" in der Ham,·
hai1lIUngssdllUle einm.ail jelle Sp11ic:hwo'IJjer be·
tl1ac:hltell, cU'e sioh mit Ider Kochkunst ble.f'as·
S'en? Es ist 'INloht no'tilg, clla'S<s wir alle urn:s:eœ
Hetl1aichlIUngen ni:e;dlel~schl~eIÎ,ben . Nehmen ~vtttl.·
aher eines dl~eSler Spri<chwor,lJer ails Aufsatz.
t~ted, daun w:el'd'en wlÎ.iJ.· erf1athren, i\we vIBr·
sohileid,en c1i'e Aufrga.bre I!)e!lo'st ~Vlet~den kam1.
Phant<asi'eb:eJgab:te SchüJJerÏ<nnen" werden' elÎ.nce
Geschichte el,fin~d'e'll, in d ,el' si'c:h die Wlahtl.··
heirt: - oder Unwalu,hciJt? - d leJS Spl~u:oh~ in anschlaJUllicher Ar,t 'el'iweJi'Slt. And~re W\eIJ.'.
den kurz und tIl·o.olœ~ dien Sinn zu erk~aren ",epS(UJchen.
Üher <las «K:o'ohen i'111 SplwohwOlit» Elin· den wi,r j,m nelUtis'c.hen Splioinvol'tier\l.exiikorn
(1870) foŒget'lde B'elÎrspi:eÎLe:
«Gut g.elco'CJ1il: is't .gesilll'd. - Man mUSs
l~ooben, bevor man anri:chtJet. - WIa!S dia' h'eJÎIln glelwoht wlÎl'id, Isolll aUlClh d'a'h1elÎm ge
geS\Sen Wlel~d,en. - WIaiS llÜt~t siteille:s Kochen,
wenn man ,den Ti,s:ch nicht ,d'eolc't? - W1er
nieht lwchien k'atlln, d'el' MeJihe aUlS's'er dér
Küche. - Sie ko'CIren in eiÎJlliem T'Orpf. -
Man kO'cht nO'Cih 'am Br'ei. - M.an hat's
1anO" O'ekoohlt, halt'Is nul' nicJht kOl1Iuen an
l1iiOl:te~. - Er lco:cht Ml aMen ' KfrCihel~ dUl"oh·
einalllder. - Er IClo'Cht in . fflnller PIf,anne
z\V'eitedei Brei. - W,o mU!n k lOChtt und hriilt,
da raJUoht es Îmm'ei" ».
Wir konnen aUJf I!)anz v,enrchJÏietlen:en WiC!~en
an dlÎ.eJse SpllÎchwo'l·tel' he'11a'llü·e;ten. Wir ,kon,'
nen zn e:in!etll Spl'ichwort ·eÎ'ne Geschlic}ltTe
et1flÎltden, dite d'en BeweilS e'l,h'l'ringt, das's d,el'
S'innspruch heœohbig,t ÎJslt. B:ei 'ge;WIlis'sen
Spric;hwortle11n l~ei~t es vile:lleid1Jt den Auf·
s'astz'solll'eiher daIl1ZJU'slteilllen, ,w,e das Sp'l1i1oh.
WOl,t enrtstJand'ell1 ist: IIJ.'g'end ein Vorfailil
brillgt IdlÎe heobac:hl'erul'en MeIlIschen dlazu,
dli:e FoJg.en einer Handllung in elÎnem kur·
:oen Satz zIUSain~11'enZlUfa'S'S'en. net" Satz 1st
so scharr und üb'eil".z'eJlligiend gle!}Jr,a'g,t, daiS'S
el' v.on MUI1Id :ou MUllJd ,,,,eŒtler,g,eil:'l.1agle'l.1 wird,
zum VoJllcB'gul wlü-d. Wj'l' kOll1uen achet· d:ie Arhe1i!t noch an:dtelis
alltpadœn. Wh et·kJ.aren r,ein s'3'chJ:Li.Jch den
lnil1ailit; v'On dierr D:eutml'g d,es wor.tlichen Sinnes g:ehen wh" üher ~um übertragenen Sinn. ner V'erflats'ser dleJs Auf.saltZ'es ,w,r'<l dlann
im driUlel1 T e.iJl seiner A,Iihei,t se~ne eigene
M einung Im~l.drtIun. Sreht uns ah et· zu wel1lilg Z'eillt zur V;etI.··
fügung, daI1ll 1al5'sen wir dla'S Spni.chwol·'t
tl'O'tz·dem Iùcht noo'en d,elm W'e~e hl'egen. Wrill'
-152 -
'y-ünd'Cln uns in d~,eS!e111 Faililie mit eillelll
1(jUl'zauf'Slé\Il:z hegnügen. Wlertrv01ll ka'lln un'S
d,i'Bse A~·be.iJt l1'iohrt MOiss aus sttiJ1iSitJischen
Gründen seiÎ.n, sondern atUch alU6 N"zieheri·
sohen . AbsiÎ.chven . Auf atlile FaUe werd'en
wir weni~sl;el'l!s mÜllldiliÎ.lch aas Spniohwor,t
hehal1'delln: Wla'S v,et1stehen wu' d,a1.1u11Jt!elJ."?
We'ltche Bedeutiung, W~dm/l1lg, F0l1l11 U1l1cl
wieJl.ohen Geha1lt ha,t ets? J)~le S:chü1erinnen
sollilen üb:e11dTi,eJS iVler,a<nll'as~'t "\o\"erden, Sptl.lÎ'ch.
wortTer ,zu IS'al1l11ll1'elln 'Und zu 011dnen.
\v'er S.p.~Ü'Chwoliter sacrmll'eJ.1t, dlcr wlÎ,rd balld
eJinmail ,fieJsi~\reiltll,?n, d ,aslS /SIilch levl.ilohe Rediens·
al'tJ.ell w.itd'eriSpl1eohen. 'Wioher k 'ommen dii'e:s'e
Un~el'schlie,d'e? Nun, diJe M'eIl1!s'ohen s,in:d 80
Vle_l'S'ome:d:en, d,atS's s,ie llei'Clht in g'e1wissen
Bil1lgell vel\'5'ch~ediener Mcin'Ul1ig selin ko!l1.·
l).e'll. Det· eÏlte rat Ull'S : «Eile mlit W.ei!l!e ! »
Èln DratUf'ganger ' aber n1!eint: «FIWsch ge·
~~~g,t- ÎlSt hatlb g,ewo~men ». Ein Sp'als'slVoge1l
pf.l.iohrtiet heti : «Jla, frœsch glewa'g,t ist hrrulb ge·
wonnen.. . und diJe Trelplpe hilll.ahgestfu:~,t,
ist ' a~ch enrt-l;o'll!nel1!» Er mahtnt: « Wer
1a'llI!)S'a'I~ tut, k0111~TIit auch ans Ziell ».
Gehilldel'e, ellÎJnf'oohie Han:drwlel"l}clel' und BalU'ern
hahen IUII~S dien gross:en Sohail:z d'el' Sprich.
wortler l!)e'sohatHien. Sie hiilden ailJs'O di!ls &·,geb.
n~s e;in'~'l~ 'lml.geu Aa.'be~t. Es spllÎcht ans vtieiLen
d~e si~~Li,Cihie Bi11's'vel1lung -des Merusohen, und
wir begl,elÎifien, d:als,s sile von je11letl.· gtel"il.-re in
d.en . P ,nedig'ten vel'iwerudiet wOlld1en s,ind . Yor
m~11l1.: ~'Î1s hunde~it J,am"en hat Bi~chof J.NI.
Sailer eines Sffl11'er Büch'e'l' hetüeh: «Weris·
h elil auf d er Ga,ss.e, od!e'r Sinll1 Ull.d Gci.st der
Spl1Îchwoder, enl Lehtl.·hwch für uns
De,U1ttS'che, nlÎ't:ul1Jter auch ,elÎne RUlhebank für
GeJlehrte, dire von ihl1en FO'llschungien au,s·
l1uhen mo'dhten ».
l(Jal11 FauSltil11'an'l1 hat 1920 cine vOlI.'Züglioh
g,eordn'eJt1e Spl'iohwor,tslamrn1Jrung unlle,r dlem
T'ÎlteJ. «AiU's tlllef'elll Brul1l1!en» het·~lUsgege·
}Yen t(V1er.lag He11cler, ,Fœ1ilhlwg li. Br.).,
In 1l1'al1'cl1Jem guten VoJJJ.ClSk.rulrendler fin:den
s<Î.ch ,eb:enrtialls SpllÎchworter laIs «RülJlrer ».
WtÎ'r heg'egll1'en Î'lmen Mn wnd wieder auf
d:en Bla;tJtern d'el' Albl~elÎssIŒilender. lm 1eltzten
Jahrhund.ert hat Hans Herzog hei Sauer·
land,er in Aa11atU ein:e SpJ.·iÎchWOJ.·rtsammlung
hel1Uusg'egehen. DtÎleise 1st jedoch V1er'g,riffen.
MogliClherwtei.lSe rist siÎ'e in B'Ïhl'iollhelœn oder
in Anttiqua'l1.i,attien nO'cJhruu,[zlUtIl"'elihen.
Am nachs too LÏ'egen uns in d'el' Schulsfubc
j,eIlie Sprü'che, die s,ich mÎlt clem hüuslidwll
Lehen hesohaftigten. WtÜ· henoitJÏJgen ja nul'
cine kileia'1e ' Sammlung, drue 1.l!l1'8 danu clen
Stoff 'lÎ!efert zu Ull'Sleren mÜl1:cUichen uur1
SChl,i.f,tlichert1 Bem,a(ch~ullgen. Der Erfo~g wil'ù
von V'el,sohieidrenerl1 Pwnk1!en abhangilg S'Biu:
WjohtJig ilS,t sohon die AlUswahl, danil die
Alit d'el: BeJhandilung und hautpllsachllioh die
Aa.lfge:scMolSlSen1reJ.ÏJt dier Schi11er. «EiJJe mit
Wdle ?» NClin, dlitesma,l he1sfSlt es : «Frisch
gewagt i's t hallb I!)ewonnelll ! »
Sprachgebrechlichkeit und Erziehung
Allex BI,6LANDE,R, Logorpad
Bemerkung der Redaktion : In vie'len Schu·
1en hegegl1'en 'Wli'l" ICtin:dlerll rnilt g,rÛ's's'ern o'der
klLeinern SpI~achgebr,echen, hesond'ers sol·
<?hen, dii,e ,sto'tt1el111. Und man hat dlen Ein· d,i
'uck, d'as's manche V'O'l1gesellzten dem zn
,velüg B:eachrung schenken. Wi'l' s'Oilihen
a<her daran -d,el1'lmn, da:S's diieiEle Kind'er see·
li!sch ,se'lll.· ·zn l1eJid'en ih<ahen. Sie mer ken,
das's Ehern und arnlde11e V o.I:,gJesetzite sÎ!dh
vu wternig um sie Iillmmern und &i'e
sehen e1n, da<ss ,e:in lSollohes Ge:b11e1ohen
iihnen auch im sp~i-~et"n FontkOOlunelJ1 S'ehr
rJlach~eiJi,g S'Clin IŒnn. narélJUls konnen Hem·
mUll'gledl en'tsl1eJhen, di,e . n:eue Qualen Vier·
ll'l'S"achen. 10h haib:e pel,sonillÎ1ch meJl'lèmalls
gros' ere ICtinder 'und sog'a<r Gymllia:sialSlten ge·
tr 0 fif,en , denen he1Îm Aufsagen VOl' lauter
HemmlUug,en ,dler Schw1e1Ï,s's hel'Ull'~erra'l1!ll. Und
wi'e o.fit sind ,dd,ese Klin:d'er d'em IGespo'tTt ~threa.·
Mi~schület· awsgesetzt, ",i'clJLeJi'cht sog,a'r det·
-153 ~
Vorgesetz~en! Ve11SeJt7Jen wir uns eÏlml,aJ
selher in die Lage sofcher Kind,er ! Ers ist
sicher eine Pfücht, auch in der Schu1e d,Ï!e
sen Gebrechlhohen im Rahmen des Mog:1i
chen zu hel1f,en, den Sohwla'l.'z't dal'ruuf aillf
merlœmn zu n1'aohen, frull1s ,el' nicht m~t alleu
IGnd.em spl~icht und Id,ie Sprachgebredl'en
nicht f,es~5.l!el,len l\'ann und auch d~,e Eltern
daran zu ,el'Ïlul'el'n, d'aS<s sile moglichst für
eLne fiacharz,llhohe B e;han:dlung sOllcher Kin
d!el' sorgen 'so'11Iien. nie fo[genden Awsfriih
rung,en konnen dem grescha,tzten Lelll~pers'O
na,l Erinb:lrick hieten ,in ,das Debiert dtieses
Spr<acth.gebœoh:ens, 'es ,beohach~en le;}1Jl~en f\l[)jd
hin'WIeisen aurf die P ,f,licht \liU he[rfen.
Hile FIl'ag,e, ob i'q~end,ein von d'el' N OTm ab
Wieioh:encLer s:p,raohilicher Ausdruok mü «Ge
bI1e.ohen» zu bezeiohnen i's,t, wo!1JlJen w~'r
hier nicht zur DtÏJskus:S'ion steililen. W,j,r ma
ohen nul' rd'~e Fle.s~s'liel11wlg, d'as!s trü:tz dler
vielen F 0!l1s,chw1!g'en, d,er neuen Erk'eŒl!lI.tJnlÎ.s'se
un!d der vielen V'eroff'enlihchungen aruf (Lem
Se.l('tor «Spr,achgebr,e;chen» bzw. « Spra'ch
'he;i!1padagogik », der vieJ.e;n Z'll'r Vledügung
Slllehenden A'lliliu[la tOI ien, Son:d,e.rkMllderga'l·-
ten und InlsllÏ.tute, d er speziailiirsÎ'el'ten l(,rafte
CA'l'lite, Logo,pad'en, Spmchh:e;i'lpad1ago:gen,
IG'llc1elrgal'lll1e'1.ÛIl1ll11en) un.d d'el' gut 'enJllw.Îlokeil
ten ther,apeuti!s'chen A'lls'Sliohœn auf E1I1fo[g,
datsS tl'Otz 'all1dem die bffoentiliiohke:irt w.enig
datvoll 'WIIDS'S wld 'sich a'l1ch nilcht besOnlde'l'-s
d'anNlI küm'l11ert. DtÎ.:e B:ed'eUitullig drer Spra
ohe für d1Îe seelllÎosohe EnllwlÎ'ckllwng kraIm
he>1lil'e nidllt m:eh 'l' unlier,soha:tz't wier,d'en. nÏJe
FOlisohungse11gleJbn!Îls's"e der EntwlÎclcl.'IID!gspsy
chollogie und d'el' 'padagogilschen P.sychotlogie
hatben M ·al.' g,ezeti.g.t, d'ass für . rue geiSltÎtg'e
Ell!hVlickILung n'eJben dem AUlfn~eJlmlen g1eJÏJsti
gel' Gütel' und Idem geJisl'igen Al"beitsprozeJSs
ruuch d,rus Sich-AiUJssern von g,l eioher Wichtig
l(le1t tÏ.'s't. VOl' 'alilem hart td,ie He:i'1padagogik dar
au,{ hingewiesen, Ida's's drÏ'e :ÎiIIte:l1el\!lJueHe
Entwrckilung zurüokb!leiht, Wienu die Âus
dl~uclosfahtÎg,keit glestol'it Îst. « SpJ.'aohe i'Slt
ein soûaWeJs Objektgehil1d'e, ein Ge;f>üge von
nciohen hesl'Ï:I11Iluter Ar,t, von ar\tJikwlirer,l'en
Latu!Js'YlInholle;n, œile il1lllelnatlJb einrer Ge
meilllSichaftt laJs V,el1Süind;igung.smi'l1tel cHenen»
(Kainz).
Da sich nun gel'iade h:eulie im mit11lens'ohl1â
chen Kontatmt Mt ailil de'I.1 Erfol~a.el'I1lis5le>ll
dres AUtag·s die Wiohtigrl(le;h dieJS rrichtti'g:en
oSP1'aC!hlichen AUlSdl1uclœ mehr demI je er.g,ibit,
soheint ~s uns ,atl1!gJ(~lJl1a1cht, l\!ul.'z das Wes'ent
Iii ohe hervo<l'Z'urheben. Dabei wollen wir unsel' Augenmerk besonders au! das Stottern richten. Obwoh!l in Id'en iltet7Jten Jtalu',z'ehnl'ell
in de'l.' ganZen W 81t aussea."ol1denlJ1ich Heirs!S!Ï.,g
an der JiJrlf'oJ.'oSohung d'ÎleJs'er sOhWe'l'ell1 wm
haUlf~gen Spra'chlQmlll(lhci,t gleJal'heJil'et W1Ul~dle,
,i's,t IlTItan limrmer nO'ch 'wleJit von der eIidgüll
IlÏlg,en El1l\!euutni,s ,entfle'l.'ill>t. DÎleJs'e Thts'a'C1he
soilil uns aber 'nioht hilld1ern, fül.' dies'eJs Pro
b~e'I.ll g.ro:~s'ea.'les InJtrer~S's;e ~u z'eigen und dlalS
GeJfundlene positiv zu vlerWle<l:llen. Das iM um;:el' AnllÏJeg:oo .
Eis IÏ!st im Rahm'oo eine;s A'l'uikte.1s nichtJs m01g.
11-oh, auoh nul.' eilltigelll11'm~'S:en eine Über
swht ühe'l.' tdlatS pJ.·o:Mem <~Spl,a;chgeJbl1"echiltiJch.
lœlÏJt» zu g,eben. DeSlhailb enlllscJ1I1rœS'en wil'
uns, eine ldein:e ÜberlS~IClht in FOII.1lll von
San1!l11elhegdff'en liU rg,e;b:en. J)al'lunllet' fatltlen:
1. Zentrale EntwickLungshemmungen der Sprache (Ho l'tSitummhci t, Seeilien;l!alUbhieWt,
Stammelln)
2. Sprachstonmgen durch Gehorleiden 3. Storungen der Aussprache bei Veran-
derungen der peripheren Sprechorgane 4. Sprachstonmgen bei Himkrankheiten 5. Konstitutionelle Storungen der Rede. Oirese I\;Jleine AufiSotlei1Jlamg VleJ.',ra!t U!l1'8 d~te
W'eii!t11a,wfoigkrBi,t dies Qelbh~Jt:e:s Spl':a1chgleJbl'lech
lilohlœit. Wi,l' wend/en unIs de'l.' leitz\llen Gl'!U[>ipe
- kon!slJÎ'lJution'eilJJe Stor,ungen der Redle -
zu, unrter drie d'aiS Stotter.n, faihll.
DAS STOTTERN
Man kaun hezügJLich dlel' Mieinuugell1. über
d'aiS Wes'en d·es Stottel1l'ls im aU'g'e'l.uleÎl1Jen
zw:e,i R,i ClhtJull1'gen Ull!tlel's,cheJi,d,en. Hi'e e1n'e
f.aJsst das Le'ÏJden ailis OIl'g'a<IlÎIs'ch : bec1ingt
araf, die anJdeœ als funk.,tioneillÎ.. Bei<d'e lli:oh
tungen verrleg,ell die Ur,salohe in dtas Zeln<tJ.m[
nBl'v<elltSYIS tOOI, OÏJe Vrenf'echtJel' d'el' ,e'l.1s·llen
Gl1Uppe sind 'aber d'lU1cJhaJU!S nIÎ'oilt einer Mci·.
nung, "'Ienn es skh dm',Wffi !1atnœe[lt, dieU
Sittz dre;s Sto~~erns genau:er zn }o!Cla!1irsÏJeren.
H~er soiltlen besondel"S zWeJi Anls1ilch1le'l.I hel'
vorgeho'ben wel~den, ersllens jen'e, w,ellchle die
~ 154 ~
U11Satohe in ,den gl'anen Z'eiliLen des MillteJ
hil'ollls a~1tn.ehl11'en, cllÎ'e untel' d'em HBgriff
« Sh'iatum-PlatL1.iJdUllll» h elmn:nt ,s'il1!d, rund
eill'e zw.ei'te, weJlohe d,aiS St>ollitenn ailis Fo'1ge
eine,r entzüncl[.itohen EdwanklUug d,elS Oehinl!s, lVlelllll aUCih meÎlSt 11!Ur II'eÎohtoer Alli:, he-
1!l1a ch tell. In dlreJs'elm ZUIs'am,menhang mlUlss
e'I.'wahnt wel~dlen, das's h eziigJ.idl der FiJ.'age,
()lb aa,s Sto:ttel'J'e~den ~el1!lil1ail od'eJ.' p'el',ûplrel.'
b edinlgt sei, hoote krarurn no'ch ZWJeiHietl the
s'I!ehren konnlen. Es g,itlt heu'te IQeJinen Alll>tO'l.'
von Rang, cler d,i:e Ansricht vertt.,ûtt, am
Sto,tJtern ,seilen dù'e p el'Ïtphel"en S:pr,acho'l',g,an<e
schu'ld, etwa aie ZUinge, dle'l.' K'eJI1J1koipf o:d'er
d'aiS Gaumensegd. Es giht aber immer no'Cll
Leul!e, a\LI'e'rdings nul' IÎn LaJi'e'l.ùu.eÎlS'oo, d!Î.le
geneig.t s!Î.nd, die p'el,iphteJl"en S:pmoho!l1g'a>n'e
für d'aiS ZusltanJœek011l1l11'en d ies Sl'o'tl!el'nlS V'er
al1rtW<O'l'~lIÎ1Cih zn rnachen.
Se;ÏJt Li!ebmallm g,e'WIÏImt d'Île AI1iSlÏd-rt, d:ass d;ats
StOittern in ersl!el' LinlÎte seet1ÏJsd1.e Ursa'chen
hraihe, immel' mel1ll' an B edeutmng. Da'5.s
drabei eine UI1!l11'enge Threol~ilen el1Jsta'l1!den,
bl'a;wchrt nitoht e11s't Ie>r:wahl1't ~u 'VleJ.'id'en.
Enstehung:
Gewohnlich entJS!l!eht dlars StOtbe'l.'il1 im drlÏi til!OO
o.de'l.· v:i.etl.1llen ,L'eJbensj'ahr, oft a>uch in cIter
Schu'le, g'ell'eg:ent1ioh in rdler PruJber'ta't und
sôhen im spate'l.'en L eb:en. Ber ElÎm1tllÎlllt fuI d~'e ungmvohnl!e Umwetll!: drer Schruile hedrelllJoot
eben fÜT s0h eue ullid von GŒeidl'aJtriÎ'gen
frühea.' ~er'llIgeJhailtene JGll'der ein el'he.blicheJS
see.Hs'ches Tl,aruma. (Diels'e Form n em1lt matn
En twiclclulligs-s-to'Uerm).
Nach ,eil1Jer Î1l1teressan~ell p'sy;ohollQ~i,s;ohen
11heo'l'.Îe (Johnson) enbSlt'eht d 'aiS StOtllllern
dU110h di'e fal1sohe pii'dra-gogÏ!sche Behand[uug
d'el' im I(,j,ndes'atIter phYlsiotlogils'ohell Lau,t-,
Silhen- und Wor,tw.Ï!ederh01ungen und derlen
BeZ'eÎchuen a,ls St'Ûl'te'l.·u.
Wegen d,el' feS'lien Koor.d~nartion samrtlicher
am Spt'eJc-hen beN.}illigten B eweglUugen von
A lin1IT.lI1g, Sbimmg.eJhung, Lruu l'hûMumg, Mill1'Î!k
und Gesllik @ud gJ1e.j~chzelÎltigle und gJ~eichartige StoroUl1'~e'l1 a[ller dlÎleser F,UIlIklliolle n ru
sehen. Es ergiht sich d,a,he,r dlile NotW'encl~glœi1t, uns lmrz Ibei den SYlmpto'lll'en arwfz'l1hall
ten. Die Bia~l1tose fa'llt ja ll1'eÏlsllel1'S leJic.}lIt,
wenn aals typ.Î!s Cihe, je,cIte'l.·lll1'al111 belmlill'te
Sto't.tern vodÏ!egt. Bei der Vi,e1ge.s~aiLlligkeit
des L eidens sù1d abe'l: besoncltel~e V'BI:1aufs
und Eps'ch:cin u'I1g'sf'Glil11'en nlÎcht 's81ten.
Von d,en drrei A:t.iten d'es Sto:l'ten1lS, dem
Entwicklungs-Stottel'n, lœellu traumatischen und d em hystel'ischen Stottel'lL sol1l in d~es.eun
A11nike.l di'e erste h esp'lioch:en ' Vle'l.',d,en, we:H
uns 'g'erad'e die,se Art im I(,Îlrc1es'aJl~er weÎltailts
am haU'f,i~sten entgeg'entritt.
Die elsten Anzeichen de;s Sto<Uernls Ilu!ll sioh
7Jumeist in Si1lb:euf\<\',i'edlel1ho1lul1!gen klUIlid. Bas
IG'nd wiedrerhoirt eine Si,lhe 50 la11Jg1e, his
ihm de'l.· W'eÎJteœ T.eX!t der Hede an den Sinn
k'ommt. Dabei ri,sot es sich der SpDach!stOiJ.1ung .
ühedlarurpt noch nicht h'ewiU!sst, sellbs,t Wiell111
diese Symp1to'me g:ehü'l1f,t aruf.tJœllell. D~'e:s ist
eÎ!n:e na,tüdruohe IEirscheinlUng, aJml1Îlch wÏJe
die UngeJsohicldiohkci,t beüm Gehen!lerneul.
W,enlll dmm ab er d'aiS Ki'lld gezwlunge'l.l WÜ1d,
unvlel'mÏJtJte'1t zum Spr,echty,p überzugelmll,
kOl11'111t es lüiuf1ig zu Enll'gJleÏJs'llillg,en in cler
eilg.el1'eu Sp-mcJl'e. Es ve'l.1s'l1cht Idanu drire
Stoliung,en mit Kl~af,t zu w)e'I.",V'i11'd:en, was
dlll'liohaus der ldllldl.lkhen Denk'l1ug.sw,ei\Se entspricht.
lndem nlUn ger.ade lru'e Umw;eJllt dùe Aruf-111Ierlœaml('eit 7JU stta1,Jr lauf .dlÎiese Er.schei
I1Iungsf'Ûl1l11Bn leIù('t, Wiü,d aeJ.ll1 Kind drue
F'eMlerha,f,ti.gk,eit h eWlllSslt gemad1Jt. Bas ZlÎieà,
d,ie B ef! eiung dUl'dl die el,ho:htte AnlS<tren
gung, ,\'Vlir;d aber nicht lerr'eioht, rÎ.!lu ,ceg'en-
1.1eÏ'l, di'e Symptol11'e WieIiden nul' uoch auffal
lig.e'I.' und hal'tnackiger. Dillesres StadlÎ.!lull be
d e:u1tJet den HohepUlùc.tt d'el' ausS'e,ren K 'eum
zeichen. E s wirr'd auch vom La,i'en ails S1'O't
tern erk<almt, jeu'el5 Leidren, dars ,in Wi'tz
hlütrern urrd aJUJf d'el' Bühne of,t zur Untel'
halhung g'emü1!sroher und be;sohranl~tJerr Men~) c.hen venVlel1'dleJt wü',d.
Nadh e,il1lÎ:g'er Z'eit he~innt der Stotteœ'l' dœe
ErgeJbnÎlstlOiS!Î'gk'eits'einer Ans lil1el1'gung'en ein
zu~d');ell. Er suoht daher nach nooen Wegen.
mnachst be~illl1t el' d..ie übei trÏ!eh en:en M'ÎJt
h ewe.gung,oo abz.wh'aUJell. Er hdlütlt lm!' solI
ohe bei, di'e WeI1Mg aruJf,fJaihl'en, ihm athea.' _
naoh seiner M1eJÎI1IU11Ig - do oh hef.f1en. Der
Stotte11er baut nun di,e heùeÎlI1S ~tark r edu
ziertJen Mill'bewegungen 7JU e i11!eul1 Sytsllem
atns, bLeitht ,abe,,: in eÎI1lellU llin'los!ha1'en ,Ab
hang,iglœÎltsve"1hiilLtll'its von d'lesem. Ein leti.s"es
-155 -
AIuflsl'ampfen od'er Sohamen m.Ïtt dem F;uss,
eine unauI,faJJ1igte Han:dlbeweg;ul1g, ,ein VIer
legerres KIJ.'latzen, ein Sl'l',eiohoo mj~ der
Han:d übeJI.' den Mund odlel' andere ver
hail,tene Bew,egun:gen lei,tJen di'e Rlede e,in,
In ,dlÎ:esem S~a:c1if\l[}l itS!t d'ars vel"leg1ene W leg
Micken sehr Cha'l1a,ktJeD~stJÏtsch, na'llllÏ.it sind
aher diÎ,e HemmniÎs6'e nrnoht ühellwlunden,
No,oh bilieib'en dIi'e «sClhwÙimiÎlgien» Laute und
Worlter, d'Î'e irg'en:dWiÏe U!l11!g'ang,en werde.n
mÜJsS'en, nalbei kommt diem Stoltter'er d~'e
Reidùlrul,tigkleit UI1>5e-l'er Spl1aJohe zu Hme,
die es ,i,hm ermogt1icht, für dli'e meÏJSltJen WO'l:
ter AuS'drüclœ von glhidJ'en unld ahniliiche'l'
B:eld'eurung zn Vlm1wenden, d,ie die giefürC!htt>e
l'en LaJulJe nrnoht el1'tJhaJJten, A.11eIidiÎng's kommlt
dtann eill1'e S'ehr gteWiul1!dene /Ulnd U!l11standllri:che
SpreooWle'Îls'e zu s,tJande , NUl1'ul'eihr is,t aUich
dli'e tÎnnere Spra.ohe gleJStOl't, und aIs wetÎ,t.ere
Foilge l'liÎln eiu,e «V'el1S'chiÎ'efung» der Log,ik
e ill und es el1tJs~ehen gte,,"Ïts'se Verandm'ull'g:en
der g't-'a~nrl11!lLti;solrell F'OlilU, Dtilese Smme dies
Enltw.itcldung;sto'litel1ns wind ~UI'IueÏtst ruls sen
sOrÎ'soh-aphati:sohes S~acLioUJm hez,eiÎchuet, Bei
a'llteren Sto11ter-e'l'n ill'e:hmel1 die s'og'el1lanntten
Emholophrasi'en eÎ!l1!en bre'Îlten R8IUII1l ein,
z, B, «na ja, hm, ah », Bwsher sjnd so~usag,en nw: dre spr,aClhiltÛohen
Sy1l11,ptome g.esohrilMer,t wOl1dlen, Han:d in
Han,d InrÏ't dm' Vim,stih',I~UI'I1Ig dler spr,aohillÎlCll1len
Sympltlome ,g'ehit di,e abwlegige se'e11Ïts'ohe Enlt
w.iddJul1g d'es StoltlleleI1S VOl' sÎlch ,
IG,]1Ider, dÎ'e ~um StJoUern neigen, weilsen hau
fig seel]sche E1genlheiitell aui, die dlas Sto;t
tern hegü:nJSiti'g'eI1. Sile lsirrd laruiffaiJJl'en:d a l1gtS,t
Hoh, Is,ie zeigen Imue lÜh'er'tl1Îe'biene FUl"oht
VOl' Tienen o:der geWlÏtsls.en P iel'S'o'l1Ien, s,ile
halhen Angtst VOl' denl Al11einsein und VO'1'
d'el' DUl1!k!e1heÎlt, 'sie flal1100 dUl1c:h Zm1sh'eut
h~,t, ,durch Uns'ell!b'S'tanœÎlglœi't be:i dlen ta-glhl
ohel11 Vien1Î1chmng,en lLuf, sÎle' weiol1len glJ.'os
serell Sohw1itel\i'gk~t.en a/UlS und neÏtgten ru Ta'g,ltraumel1 wld Tal1cleJleien, DtieJse IGndJer
zei'g,en aber auoh einen aUtflflaUendel11 Hang
zur Zlllrückg·eZO'g,eIl1<lleit, si'e stind unsicher ~n
ihœm Ben'eJmwn, s,ie ersclmecken le~chtt und
daIS W'eiÎl1'el1 slÏJtzt b:ei iIll!1'fel11 10'ck;er, Darre
ben fÜlodet man ails KOImp'e11'S'altioiJl rühel1'
tliÎleh'enen EJhrg,eiz, Eitfiet1S1ucht, ja sog;afJ: Ha<S's,
hauf~'g au ch Ul1V1ellira,gtl'ÎchlœÎlt und Soha:clel11-
fœuJcle, Dj,es'e Ei'giel1l1sohaJflten fiÏin:den wÎr aher
aUtoh SO]1IS't hei «nellVo's'en» IGndel'11.
Scllon bei <der el1.s<l'el1 StufJe des Soh\\Oel1sitoIt
ten1ls erkennen ,WIJ.' aUSIgedlehllt1e und he
deuts'aJlue VlerM-rdtel11Ul1!g'en in d'el' Seel1e dies
I()indles, DiÎ'e meÎlsll'en StotIJere.r sind un
ent!sohJO's'sel1 un:d ~el1flaJllien, die AIufIm'erk-
9alIllI~eiJt i>St :lierf.aluien U1l1:d ,che I(loll1z,Bnllit1aJtlion
faJ11t schWier, AlJ.1heÏltsU!11ll'U's,t /Ulnd leiClhtles Er
müd'ell ftml1en auf. Das s,ioh 'standj,g Vlel\5talr
k,en:d'e Nalchidenlœin üher die eÏJgtene Sp'l1aJohe
hewtirkt nehen ,den aruflfiiili1:igen s'pra'cihiliiohel1
Sy11111pl'omen Stoll1U1ng;en im SO'zœallen VeIl1hrul
t!eu, Die hiirufti,geu Schocl~Î'el'ungten und di'e
Bla'mngen VOl' d'el' Ul11Igehung füh11en ~ur
AIbl~ehr von der Gemei]1IS!chaflt.
Die El;}('eniJ1!tt11lis, dlalS's .d,er hlie1111'end'e WUil1!s'Oh
l1'ach einer glUltel11lU!nd stol1Ungts.fl1eÎten Spl1U'che
vm"gelblioh 'gewlelS'en i Sit U'l'id dtalSIS aUe AUSln'len
gung·en mTllsonM wa rien , f,ühlJ.1t Z'll einer tie
fIen NIi·eldeJ.1gteschJl.aglenthei't. «!EJs g'eht niÎ'Clht »,
sagt nun Id'er SI'Ü'ltte11er 'immer ,wlÎled'er 'V01·lS<ich.
D~e AhneÎ'glUng ge.gen die ' Ges'eJHschaft, die
jetZit ents'clllie.d'ene Fol'men WlniÎ11l11JI1t, zieht
nOllimendillgerw:eÏJse dlie Is'O:Ii'ffl'Ullg und diÎ\e
f,einldl1iohe Ein!&tleJlJlung gtegenübe\l: d;er Ge
meÎ'nsch a,flt naoh sirlI, Damit heginnt abed:
au oh die Z'erls'etm.mg d'e's Ioh, Elin tJi:efleJS
Mi~n:denV1er,tigtk!ei' l!s;glefühil behm)11scht d:en S:tot
teller Ul))d bewlirkt ·eiùe votlili~g'e Vieran:delllmg
des ChaDaklllers, Es kOl11ll11,t ~u ei11'er krank
haf\tJen Uang'estlallrung d·es Le;beJ1ls&tli!l,es. ner
wei,tere Lebensweg ÎtS!t dU.l"oh SChwiffl,ste Ent
mfUJtJi~ung, dlie hits zn Sellhs,tmoa.~d,g;~dlankten
fii.tlwen lmnn, gel~enn!zeich.n:et. nais Lcid'en
Willd ~u'l11 Hem'l11ls'ohiuh, NiCJht seiliten sllèW1t
es sÎlClh htel'a/UlS, daJs's iilltleœ Leute, Me mten
SOhB11Ischeu, wO'l'tl~al'g ull:d vN,arossen sind,
e;iulS·tmlall.s Sllo'toorm' :W1al1en, aib:er dank ilirer
I~t, dars Le;id,en zu velb:eIigen, f.ast lœlÎJne
Syllulptome mehlJ.' zeig'eŒl. Die aUls'sel'en I()eun
~e~chen sinid nlilol1lt mehr feJst6,tdlbalr, ather
d'Le see1Î'sche ZIel11Ü!litung Îlst g,eh'liÎeben. Er..st
im ISipa,tet'el1 Ather v.erscnwindleJt - mirt AulS
nahmell - da,s Sto'tl'el1n ganz ,
D.i,es hi'er i Sit roue a'11g'em~ne HeschlieihU'l1Ig,
die den VellllatUlf eines StlOIUerers an~uz.elligern
Vier,su:cht. Daisis tdlahei wele Viru1ÎatJÎ'onen mo,g
li'oh ,sind, IÏSlt D'ci d:er IDynamik raUen SeelLen
llBben!s le'uoht vleI1stiin:c1l.i;oh, Oh dieselS otd'e'r
-156 -
j'enes S)'il1l1pitO'l11 eNltl'ifrft ader nÎlClht, ist nLcht
Vion primarer Hed'eAllbung, WlÏ!oh'tIig IÏlS<t, da,ss
""tir dÎle El1llIsthalf.tigkeit des StotJl!erns erken
nen, um joo'en MeIllSohen, di,e Neigung zu
driJesem lJe:iJdlen htahen o'eller die d,etu L~d.'e!l1
scJhon 'V,el'f,aJJ1ell sind, mllt Vim',sltiindn'ÎJs un'el
W'ohl1woH;oo ~u hegegtllen und nÎlClht mi,t
l1ad,eJl und StmfIe, ,we d,i,es noch a!1lzu oflt
der Frulll ilst. Dtie v'eJ.1sc!1JÎledlerl1'en AUisiClhten,
d'Î'e 'sri oh ~uld.em duroh dlÎle vel1s'chioolenen
RlÎchtung'el11 in dm' Psy;ch 0['0 g,Île er'g'ehe.n,
so;11oo niÎchit als A'l'gtull1iel1lt dafür benutQ;lt
wlel1lden, zuel"iSt ahzuwar l'en, b:Îls Î!ln «cige!Jl'oo
HaJUs» Ol,dnung .g.emtaoht Îtst, Es fii.:hœn
a/Ulch hiler Vlel1s'cl1l~eldell'e Wleg.e 11'ach Rom,
b:ei d'em ei'llel1 hiMt dilese Tl1Iemptie me,hr,
heiÎm andlern joel1e,
WiÎle sifeht es nun m~t d.er Ptl'olgnolS'e ? Da die
Ul'sache.n ver-sohiied·oo..ster Natur sron kon
nen - El1Illdeck'UI'Ilgen d'elJ.' mo:d'erll'en PIsydho!Lo'gÎle - mÜJs'S'oo zuer8it di'ese fJetsll'gteS,tleiÎllit
'-vlel~d.en kOlllnell, S'O dals's zu BeglÎfnn d~'r Be
han:dlLung j,edel1ll'ei V OI1:auS's,agle üh'er d:eren
naUier und Erfo'lg unmogIDClh Îs't, Amolld s-agt
hierzu: «Ehel1lsowenug wlie ,ein s:eeJlJŒ;,ch ge
sUI'Ildler, whlilenJsSotJarlœr Mensoh zu stotrern
hBgtÎllmt, W1eIltn er untJer dem Einfhn;ls ciner
vO'l'ooerl'gtehend'en NeriVo's1ilta't herim r~:sohen
Rled,oo sÎlch vel"tSlpliÎloht und Sillihoo eill1lÎ'g,emallie
gep'l1esM w.Î'ed'erhoJlJt, so sohwer ifail:lt es dlem
zum StottJe11l1 Gebo,renoo, aer eÎlnm.ra!l a'llsge
MLdlelten Nmu'ose ~u entgehen, AIllIf Gl'um
zath:ll1eioher umf.aJl1g11e!Î1chter Sta:tli.lStliken und
d'er Erfrahrung ' "et1SdMe'elIene'r Autonen dtad
m'an s'ag'en, :dals!s rein nr:Ï'l'tell der Pa·tIienltlen
gteheilt U11'd ,ein nl1ÏJtJtiel glehe;s>s'er't w1i,rrl. Der
RJest hLeibit bis j'eltzt lleider unhe:erinf'IDsrsbat}:,
Wlas die aUlsser.e Er,s'cheiÏnuug dies s,to,tJt1ea.ns
an g·eht , ImmerhÎn hes'tlehlt heute dri'e Mo'gIliiclh
l~ei\t dUliC!h ther<aipeUltiilSOhe MassUiahmen we-
11Jig,sltens d,i'e se:elillsche Seite einigermatSlSen
im posÏttlhnen Si!Jll11e ~u h'erourf[Ulss,en,
Zum SohlUlS's'e kOll11m'end, sotl1en noch ein
mail kur,z die wichtig'Slten DarlJen f'e<st>g.eha!Lten
,,"enden, \Vü hahen auf che V'et'SchiÎle'el'enen
Theo!J.1Îen v,erûoht-et und hahen in a.hlgemei-
110er Fo.rJu wÎ,chti,g'e F1eslls,ter11u'l1tgten maClhtoo
konJ1len, W.as fülJ.' dlÎ'e Erû'ehung von WlÎchtig
keil Ïtst, h'eruht ,ID la Br Tats'aohe, dass das Stottern ein schweres Leiden ist, wobei die Ursachen verschiedenster Natur sein konnen, na d'el' StaJl1d d,et1: For5ühUll1'g dtUls Prob[.em
Sto'ltt'e.rn n lo'ch nicht Zll oeÎl1lel1' et1idlgtÜhlÎ'g,en
ErkenntJt1ihs ftÜhreu konn'tle, mÜS'S'el1 wir VOIJ.'
laufi'g uns miÎt dem Gegtehenen zuflJ.iÎlerlen
stlelHen, DtÎe T'a'tts'aClhe, dalS>s ein gr'osIS'er T'eill
glehelÎl1t w,er,den k'aJl1Il und d'em al11deJ."IJ.1 TeWl
die Thel'a'piÎe ~UJgu,te kommit UI'I1d herillJend.
wirk,t, so[,l uns el"mUnltern, je~ne s'peÛ'aillÎls>ier
lien KrafJte fll'ii:h~eitJig aJULfzusuohen, W 0 dlÎles
l1'i'cht mogllÏtch 1st, 80'111 V'eI1s·tal1'dnlÎ.:s U111d
W o:hllwoll!l.en vorhel'11schen, Bei der ang'e
meÎlnen .A!uISlbl'eiÎ,rurng dlels FÜ1\5 0r~we:se]1ts
c1üdlel1 wir hOifflen, d,a.s·s aJUch im WlalllŒs bailid
eillle B e:hlLn:d'1U1'1l1gtssta'llion und v'eJ.1s:chied,ene
Almhull'atol'lÎ'en dlllJS frühzeÎllJige Enfals'sen dier
SlpraJClhg dn'eoMud1!el11 K;ind,eJI.' 'm~I,aJUJb t, U!l11 heJ1.f,end wei'lieren &chiid'en lin Idler iEntwÎckllun.g
dler bettt',o'fifJenen IGndler ~u VleJ.'hÜ'1JeIn o:dJer
~u nlÎlld'ern, Soilatl1lgte d'~eIs'e InsttiltJutÎonen im Wlal~Lils nooh .ftehfLen, sind ,wr a.uf d,i:e HIÎJfe
'~0J1 'auswiil'~S ang'Bwli.esen, Da ilst es am he
SIiet11, ,,"enn man skh bei d'el' na,chS'l!en Bür
SOIl'~elSlteJlile or.Ï:e11JtlÏtelit, auoh d,Îte P ,ro Inf,ÎrmlÎ.s
]Œllll AuS'kuuft geben und hillt auch ftinan
zi:elil mit, o:dleIJ.' man 'Vloodle s,ich an dta8
InSllti,tJut fii..r HeJitlpaod-a'gogili und angew, Psy
cho.log'ie eller Unh',ersiltrut Bl'iIburg, 8, rue St,
M~ohU'ei1, W1ue ühea.1aJll, g,iht es ScharI.a'l!ane,
d'i'e Me Umwssenlhei,t der Leme ~u f.inanz-Î,erl
lem Gewlinn aJUsnÜit~en, Es sci hLe,r nad1-
driioki1~oh auf d,Ïtes'e Mog'Lichl(feut Vlel'w.ÏleiSen,
Soulom,nl Fr. 255.- IXI~~~~
1
OFFICE MODERNE· SION Mme E. OLiVIER-ELSIG et MICHEL RUDAZ
--------==-----157 -
COMMUNICATIONS
ENGAGEMENT A NEUCHATEL Contrai'rem'ent aux rpr.évis,io11ls, ['e Canton de
Neuchât~l engag,era, 'chwant Il'é.té 1959, un
nonlb11e td'tins'tÎtu't.eur,s ""all'ais.a'l1s etI'lcore sUJpé
l,i'NID.' à ce'roi ,des ·années pr·éoéclentes.
Toutes ih~JS oÎrrd,icatio!1Js '-u\1iles parvi'end:ro1'1t
très prochainement 'aux intére:ssés.
Département de l'Instruction publique
EXPOSITION INTERNATIONALE La Fond'a1tion Ernesta HeIS'SO, ·à Rom'e, 'cl or
gmlÎtsé ces ,d'ernièl~es .anl1!ée'S pIDsi'em,s expo
sitlÎons lil1JtenuliliiorJIatLes IS'e 'I:ap.p'OT·\1ant aux
prohlèmelS de .p,éclucaltÏJon . La rprüchaill'e
eXlpos,ition .s'el'a coalJsacrée .aux éCOlles ,rurtales.
BIle ·dew·a COll'l'po'rter 'en grm1.d·e ~)al'tile des
photo's tet, .si ,pos'sitblle, tdtes tnavaux d'a,rtlÎs-a
nat, de r,echeroh s ,sm: ['es ,a llIil11laux, J!eoS ansec-te;s, les ,p:1antes, etc.
Les p'eIiSOlllH~S 'ayant la Ipo'ssiihi1iJté ,d'e 11bpon
dre ,à ·cette .dem'arl!d<e formulée Ipar lita ,Fou
d'a,tion Ernesta IBesso tsout instmnanent p11ilées
d'mulOuoer leur corHarbol'aüon JUill DétlJla'l.' te
memt de 'l'instruotion rplllMlirque, ,à Si'O'l1.
COURS DE PATINAGE Les T,éponses nombl~euses à nortre annonc.e
d,e 'cotms Idu ,dernier numéro de l'Ecole valaisanne nous ·enco'lll'aigen't à m:ettr,e sur
piced un ,COUDS d'e Ipaltinlage rréser-vé taux m!e;m
bnes du pel'soJm'BI ,enls'eignant. n aurra Ilti,eu à
la tp'atinolire de Sion, 'sa:mercli ISOIÎ'I.' 10 e't di
manohe ma/tin H j'al'llvi'er 1959. Rendez-vollllS
au Restaurant d ,e la ,pa'tinoh-e iLe 10 jtanvier
1959 ,à 19 h. 45. Olôtur,e ~e 11 j,anvi'er ,à !ll h. In:d'enmités : oaux memblies de l'A.M.G.V.R.:
l'emhotll's:en1'ent des il,a1s de 'Vo)'ia'ge plus une
inch~I1lJl1.i'l'é tel,e nU1i,t.
In:scrwption : juscfU'a'll 8 jamniel' 1959 auprès
de ;p.a,tù C1lasse)', av. de Ja gar,e, S'ion, en
spéôf~a\l't 'si l'or,gani.saf.Îon doi,t s'e cha'l'·g'er
du ,logement le \'; 'amed~ 'soir.
Pour Je Comuté de l'A.M.G.V.R :
P. Glas'sey
MITTEILUNGEN
Un succès international...
L'ENFANT APPRENANT UNE NOUVELLE
MANIERE DE FIGURATION
(Eldrirnb'llrtch & neJ1ling Newls, 6. 2. 1958)
PthlS d'e la moi'tié ,dies lécoles pliÏJmatires d'E
dri'ln'bourg (tEcosse) leXlp.loÏJtent illll1e nouv'elHe
mlévhode ,d "ens elÎgrrrel11'ent d,e 1l"a'lÎIthmtélltÏlque.
Gelllte in,foruTa,tion 'est lannoncée pair de l'ap
pOTt du Comité p'Our le Iprogrès de l'é'dtU!oo
tion ,au Conseill Ide ,la ,nillile ,d'tEdlimboI1ll1g.
La mbthoel'e : iJres Nomb~'es en Icouilieurs, Î!n
,~entéJe rpall: ,Le tpéJdla'gogue C'llÏls:eulaiœ, OiiJ.1e:C
teul' ,ele 1l'lelllselÎgtI'JIeanent rel,e Thuin, HeIlgi.qU'e,
l'évo~ ti 031'11'e fl'letl1!S'ei.gnlem ent 'el,e l',al,itthim ét,i
que. Le 1I.',appoll:t ,eÀ"I})llÎJque qu'une ,eXip:élii'eu'C·e
d,ém'ornstroa,tion d'e ,cette mlétho:de d'leTIlS:eÏlgne
ment de !l',all1Îtihmbti'que 'a ,été frlllil'e, el,arns tUnle
écol1e pl'imair'e, Id'eV'anlt ,tous Jjes 'chefls tel'écot1e,
avôc d es lenl~anifs ,déhull'ams.
«Les ,col1lta,is's'ances ani1Jmnéliiqu1e's ele ûeJS
enCra/nts 'OllJt fai.t :une in1ipll.'e·S!S!Îon teHemell1rt
f'aJvOliaMe que 58 Idle 1l1'O~S 81 éCOOtes ont
a'ocep,té laV'ec ,etI1itJhotU!slÎ'a'sllU'e d',em.pioyer ~a
méth:ocle IdleJs Nonlb'l,es 'en ·colul1eua'·s de Outbse
nalill'e ,durant ~a tp'l.1ésenite année s'coJ'atÎre ». P'al' . la métho:elte rGuisenalÎlie, l'es emilllIl'ts
aJppl1el1l1teJnlt l'es !r,ellJal'ioll1's enm~e les nomhœs
au (moyen tdle 'I..,égilett~s \die 10 dimensiolJ1ls et
couil'e;l1I'S Idli!f,f,éren.Jlieis . H -a été prouf\né que
tOlUS lies enfUl'l1tts at,lIa~ent appll.ïÏ.,s, non s'BuJ'e·
mNlIt Iles é'lélll'etI1itS d ,e ['Iad'ditiolll et de ~a
sotlS!tl'actlÎ'ÜB, !11l'alÎlS aussi (Les tatbiLes d,e mullltlÎ
tp!JÏ!oaüou heaIll!coutp plus l'lliplÎld'ement qu'avec
,les l11éthocl1es oil.·:dtÎtI1'ail'eis.
Ùa ·métho:de Ouils'eJnail'e, POUIl'SWÎIt 1e rapport,
pal'aît êtr,e olliP'aMe Id"amlen:e,r Iles enf'a'l1itoS à
[',i:cl.ée de ,fr.actions tSimtptle's beaucoup tpllll'S ItÔlt
qU'!ÎII n"eslt poss!Ï.b!l:e atV'ec ,les métih0'<1es tira
dliltionneUes.
n 'seml:>,1e cert>a!În Ique Jles Nombll.'-es en
conleUl's cl e ,CUiSeIlatÎ:1.~e mo:dliflÎellllt de f.onJd
en comMe 'l'es métho.dleJs eXlÎtSOOl1'tes . Mi's'e
-158 -
doans l'es mainls de beaucOlu,p d,e maÎltr,es,
ce~l!e l11btho'd'e cond'll~t à un ch a ng'emlent
oatpÜal rloans il'tapptl'o'ohe de d"ensei'gnement
die l'al'Îthmél1ique à tl'télco!1e.
V'Ü'Îloi qute[ques ftte's\1s po!S.és dral1!S Jes é:colles
d'EeltÏm'bollll'g à des ell'flanl's lelte 6-7 ans:
6 + 3; 8 + 5; 7 + 8; 17 - 9; 8 + 6-7 2/3 ,d'e 9; 4fa td'e ,10 - 1/2 die 6
3/4 d'e 16 - 5IG 'cIte 1,2
13 - 7 + 3/S Idte 16; 4 X 4 + 2 X 0 (2/5 d 'e 15) X (2/3 telle 6)
2 X .(3/S de 16); 12 + (3 X ?) = 18
16 - 213 die (17 - 2) = 18 - ? 6 X '3; 18 : 9; 16 : 4; 20 : 5;
5 : 2; 10 : 3; 11 : 4; 13 : 5
Résultats obtenus A'Vec N. Sans N.
en 'cou'1em.1s en couleurs
AJddl~lJi'Ot1']1s 98 Ofo 78 %
Sow;lm,actions 94, Ofo 79 Ofo MU'1tÏtp~tioailions 95 Ofo 610f0
DtÎf\nisions 89 Ofo 64 Ofo FiiadÜons 90 Ofo 25 Ofo Bmbllèmes 810f0 53 %
BIBLIOGRAPHIE ~) BÜCHER
Papst Pius XII zum treuen Gedenken, von P. B:e<at Amlbord.
Besonders in den He'l·,zen :dIBr ErzlÏ·e:her
WÛ'I;d P ,apst Pius XII ,s'e'!. nooh [llil'JIg'e Iron
tI'eues, d 'ank!ha'fle's Geidenken fiindren. Man
chet).' mO'cht'e taus Idem :L'eib.en ,d,j'e8le's gl',Ols'S'eal
PlllJps.teJs und EnzrÎlehrel'ŒIJ.·eundies Nii-h'el'es und
W'es:enttliches WiÏ!ssen, ohne eine UmflafligtI.'ei
ohe Biogrlliphire ~u l'es'en. D:ieJsem W'lll1lsche
entlspl'Iicht nun tetÎ!n'e Schri.f1t, ,d'Le UI1ISer Mit
alibei'tier und LaJJtdlSm'llillli, P. Hea't AmboM
über P ,iws XlI 'VOl' kUl',z'em ve'l'Oflfienclich1: hat.
Si'e tb'es'chl,e;itbt 'I.1JI1'd d 'eUltet ~',e.in P'oll'tlÎftÎloa't
untel' j'enen GesiochJtspunk'l'oo, di'e ,d·ars Wes:e'l1
seiÎner Pte<I1Sonl,~obikJeit U!u:d lS'eiÎnes WIiIJ.'Ilœns
MM: und ansipœch el1c1 b'e!leuohten. (tEr
hiillr1ich in lœ'th. B'tllcliliam:11.ungen zu Fr.
1.20). Ernsit Sc1nllliJd.,t,
Dr. Ailhel't Ruth
Die Entwicklung des Kindes im Volksschulalter, 152 S . DM 6.80 Vier/hg Lud(\v,ig lAuer/
Oatssilaneum Donauwor,th.
D:er V,erf'alsser, lb'ekallu1Jtetl· ,Psyoholotge un!cl
Honorat/professor für lang'ewnnd~e 'P ,syrcholo
g~le an der UnlÎlVlensitiit lMü·nch'en, glitb:t hier
eiÎ'lle f.ein geglHe:detl,te Oalislte'l,l'llng von Ergd)
ntbs's'en lS'eilller Il.angjiihrrigen, wiÎlss~oolScha/f;tllÎ
ohen FOJJs.c1hlllng und œ'eohachtt.lrJ11g tÜbell.· die
ko,npelllliche und tSetilis'ohe Entwirck\lung de'S
IGmdtes 'wQhei el' orci IEntwiick!lul1gsphalSen
untlel's,éh:eÏJdet : K!Înd.heit ,bis ZUl11 5. JJebens
jahr; tKnatb'en- und Ma:dchena1lter Ms (l'Il
] 2 und die Jug·endz'eitt b:Î!s ,00 . 21./25 J:aIUie!ll
hei JUl1'gen und 18 Ibei tMa:dohen. Oie
Un'tertsuohung,en rkhl1en srioh noach bio11'Ü'gi
so'hen, p!sych'O!Lo,gitstdlen Ilutd 'Soz,itaŒen Ers'chei
nung,el1, -'\VIas VOl' ·einseiÎ,tiger lB.eU"Ia:C1htt'Ul1goS
wei'se verschol1't. Dr. Hurh '\V,eits,t kur(l und
l<Jlar 'alltoh hin lauf Id'Île rlti'eishezüg['Îlchoo Theo
rÎten andeœr PSjnchollogletll. Oas lBuch !i'st
mit eI1StffillliIllLi'Cll'er Klalili:ei,t g,eschrieiben und
enthiil,t ,au'! 'VerhiirLtni'smws.s.ig MeiÎnel11 Roaum
ci,ne groslSe, wohtla'UlSg,ewiihl1tJe Stoffii1J.:e. WeI'
wtÎrlclJiJc:h rplml1TIas,sig Illnd vensitiin:clnÎlsvo~11
Ul1'tetl't).1Îoht1el1 und IBliziehoo /lv,ithl, flÎlncI.et in
dtÏ'e:Setll1 Iwer,tvo[['ell IBueh 'erÎn vŒ'zügt1khes
Hillf,smi'ttel. Ernst Schmid t.
Gerte M. Noetzel :
Personlichkeit und Gemeinschaft.
Die iÎlld'Î\>i.iduaJ'e und tSoûallle Ent"vûdd1U'l1'g des M'el1's'cheal.
Erl1ls't RleÎlJ1'hal1d,t Ver:1alg, München/BaoS'ell.
232 SeJitlien. Ka lit. tF,r. :l t1.-, LeiÎnen Fr. 13.-.
Wie s~oh d:ie Person!1ichlc'eÏ't ,entw>iclœ:lt und
in die Gemeinschaf,t hineinwiichst, i\vûrd IÏn
dÎ'es'em Buc:h Schl1Î,tIt fiir Sohdtt pSYicholo
gilsoh aufgezeig't,
K 'eJÎn IGnd kommt aiLs 'taburLa irra,sa (lUI'
W'elt oel'er h~ht im einem VaJmum; es
br:ingt sohonganz he:s'ttimmte, indl~viduOOlte,
nUl' ihm zU'gehoDÎ'ge tAnordnUllgen vom tAn
l,agen und iBe'gahungell mi,t, di'e nm' dur'ch
sehr .fein:es psychologilSoh'e'S lund tpiid'agogi
sehes Vtelistiindni's von Eltern und Erûehern
-159 -
]lien.
Am Hano l\Vi<ssen's'ohafltlicher ipsy,ohoiogllischel'
T,a'lisachen und EX!penimenl'e wÜ':d erllaUl1ert,
wne Idie Jler,anwac:hsen:de Prel"lSonil,i,chkeÎlt 'Von
der Umgebung le>inlSOhneidrerrd !he'einrflluisst
und gleprag't wN,d, lS,ich aber delU1:0ch ·zu
einem f,reien, vel'an'tw:ol,rungls- und ~ie1lh'e
W'us'st>en Wlesen lentwickrelrn kann, clIars lS:ffinen
eigeu'en Weg dn Id,er 'WreJlt fdn:det !Und s'eine D.aseinlSarufg;ahe ,erkennt und 'erfüHt. Gleich
zcitig wN,den rahel' rauch aus allIren :plsy.cho
logischen ,ElIDsÏJchllen die nOI1JÏg.en FtOlgerun
gen für di'e Selhst- und rF!I:emderziehung
gezogen.
Das Bach, au.s Volkshochtschui.voil~tra\gen
hel'vorgretg'angen und IÏm hetsten Sinn'e popu
lar-wissenrsohafdich ge'scruieben, well'drert sioo
nich't nUl' lan d'en gebildre:ten Laien, lSondrern
wlÏlxI auch von Strud.ieren'dren Ider PlSyoho1lo
g,ie, Moedi:ûn, Padargügil(, Theologie und
Sozio[ogie mit ·Gewr.Ïl1n ge!lesen weroen,
zumal eine ausgezeichll'elie ,BiMdogJ.1aiphÏ.e
zu 'weJÏ.t'erem Studium mu·egt.
Air, avions, fusées
Nous avons 'd,bjà 'signaJ.é ,dams c:e'S ,co[onnes
l'e lll'emder 'olUvrage publlié 'ÏJI y >a U!l'te année par 1a CoopéDa,~iv,e Id'édd'toiol1's E-dico/pe, dans
sa co:l!leclii'on «L'h0111~l1e let 'son 'avrentupe ».
Oe p'l'Iemiler ruThum, «Feux et flammes », -
r,écit de 'Ia conquête 'et de l'utl,l,ils'a'trion du
feu -, 'est ,aujourd'huri lSuiViÎ. rd'un second,
«Air, avions, fttsées », cOln8'acl1é à la con·
eruêJ1.1e Ide l'el- pa,ce. lrl œ'tl'ace rdams un styile
v'rv:an't tou~e l'histoir:e ,de lIa narV'ig,aliion
a<él"i,enne, Idrepui's les pliécUl1S'eJUiDS jusqu'aux
derrlÎiel's ,sa:vel1i,ves Ide 1958, len pa,s,sant par
~~s Id,i,verses étrlllpeis tdre ["avi'atlion. Si lIa coJ·
leotion 6'.ardres'sre 'en tpDintcipe 'aux jeunets de
9 rà 14 al1!S, Id'e nombreux la:duI.t:es se 'pa6'
sionneron1t pour Jes :gr,and,e:s laverutur,es de
l'rhumanité qu'dIre décl'it cl.alll's 'l1'l1 l5ty11e très
v,h /larn't 'et Itrès 'claM:. Oet 'ouvra.ge d 'e 86 Ipagres,
grand f'omnat, est ll1'agndf,iqlUement iUUS'tl'ré
cn noi.r 'et e n couleurs. Il coûte h. 16,50. (Edieope, P larLs. DrirffrUsioll Bn Sl1l~s,se : M. F.
Rregamey, EscaHeDs de Bi]lle;ls, 5, .Laus'a1'lne).
L'enseignement universitaire en Suisse
(tbroohUrl'e Ide 32 pagres, tiJhlu.stl'l~,e, éditée par
,l'OHi'oe Naltioll'al St]~sse rdu TOU1,i's~11'e, Zul,i'oh, ,eul frrançarits, langlairs let ,Mrleunan1d).
L'Of,fliC'e Nationail SuiS'se du TOIUl,i'sme vient
dre 'publier, sours rce ,liÎtl'e, une nouV'eJ;le éid~·
titon de ISH hrochul'e 'conlsa.Ql,ée 'aux hau:l'elS
bClolLes Id,e notre pays.
Le 'llombœ d ,es é,trud,ianllis ·é'u'ang1e11s quri sui·
vent ['lel1Jseignement d'e nOis unr~ver,süés e/Slt
d'Iannée ren 'année Iplus bl'evé. Sur 16 000 étud'Îrants régur1ièœ,menrt i'mmawicwbs, près
de 5000 (osoi,t 30 % 'environ) sont éU1angeDs,
l'elpl bsel1'tarn'bs Ide p'lus Id'e 40 nations dŒff.é
rentes. Oe failt doit n()IUJ3 'réjourÎt' car jJ
OO1l1S'acre Id'un.e part ,la hautle l1éputa'tion dont
jouirSl3'ent, à l'értl'ang'er, nos insti'R1Jbs d'rerJ1ls'eη gnement ISlllpélii'eur ,et, d'autre part, ,i'! con·
tl'ibue au ,l'a y 0 Ilnement spirituel (lie llotl·,e
pelli't pa)'lS ,dlan<s Ile monde.
Oette brochure, 'ecuri ,,~itenlt ,donc à 60n heure,
donne un lalperçu his,tonique Ide ohacunre de's
runiv.ersités arÎIlISri 'que ,dies ,1~enlSei'gnennents
sur le.s ,dioEfél'enltrel5 di,soiipMnes qui y S'ont
erllls,eirgnées ·et rIes 11ilStes d.es 1nst>iwts, bhora·
,tOlil"es et coJl1e'C'liÎons qu'e,mrelS <comlpoll~I:'e\1it.
Des 11enserignements pl'Rtriq,ues lSur [es ré'l'lld'es
univrel'sita'Ïr,es onl1: été r·éunis dlans un oha·
pirtre Is'péoiaJl Ipermlettœnt à ['ré,tœcliant réllil'an·
gel' ,die Ise Ifrairl'e une IÎIdtée raussi exaclle (IU~
pO'ssiMe dies conditions de vile ~n SUiiSls'e.
Ce't1!e nOill'\neHecontIÎhulii'Q.n de rOffdce Na·
ttio1Hcl Suirss'e du TOIUll,i'sme à rnotl',e 'pl-Olp~'
gande culltur.eHe s'elra, srans 'auoun doul:'e,
bien accueiJhe drau<s tolUS ~'elS m.i.1ileux uni·
V'el'Sil'ait-~ à i' éu,anger 'comm,e en Suisse.
.La profession d'ingénieur-mécanicien et d'ingénieur-électricien
A. lmhof, lÎ:ng. dilpil .
A ',la ISrui1'e Ides ,mprildes pro,~l'èIs die Œla ,te!ch'll.uq'lle
et rde son ,drévetlOipipemenlt cOl1ls,idél,ab'le, tous
les pays ont hesoin ,d'lUn grarnd nombre
d',ingréll'ieur,s; '}'ravenù: leu ,requerra .eulcm·e
d.avantag'e. ILe mbt1j,erd',in~énieur 'oulvt<e non
S'eulement Id,e heUres p 'el'SipectJ1v,es ma1tél'ietl1lles,
~l prooure laussi à Creux qui [',eX'eroont d'ûn·
tenses satils.fa'c.tions . MaiLS on 11~ ISe fait
60'uVient, à son suJet, que de.s i'dées !Î'Il1'P'11é·
-160 -
oÎlS'es . C're:Sit ,la l~.j,son Ipour .Jaqu~Ue rl'Associ,a·
~io,~ 'patronale suitsse des C0111S'h''Uclielms de
maohines e't indurstl~ie!l1S len nliétaŒlurgrie, Il'As·
SO'oilavion ,des anrcirel1s éllèv,es die l'EJP.F r{G.iE :P.)
et rla SO'ciél1Jé Isuis'se Idres ingrérl!Îreru,l'oS et d'es
'li'chi,tec.l'eIS (S.LA.) ont pr'Îls il'lÎnüiat'Îve de
puhl,ier une br'Ûchur·e 'des'liill1ée à é'clalÎr.e'l: a,e
grand ,pUihLic Isur J.a ,pl'of.es,slion d'itngénileur.
·mécanic.i'en ·et ,oClUe d'ingénlieur-lblectl·ioi:en .
L'rauteur en es't M . A. l111hotf, ing'éniIBlu'
dans. l'âme et Idü'eoteur Id'une ,~nh'epl'ÎlS'e !Îln.
dustt,i'eHe. Fait sig'nitf,ilcatif, M. Imhof corn.
mence par l'ele,ner [les heautés du 'Il1é·tÎer
d 'in g,éni:eur, IdlÜ!l1:t .[il f'aut l'echrer,c:her ['ori.
gline dans lIre Idlbsir d,e l'hU1nani,~é de ,S'QISsen:.
v.Îl· [res forces Ide -J.a nature. La .d ClSOl,1prtiOUl
p11éClÎ'se ,et fort 6rug~es jlh',e drrls po'ssibj'lilibé!s
profless-iomlelles qU'OU'Vl e une 'tetlIre ac,biv,ité
oejHe qui se l'aJpporte aux drirffél-enlles fonc:
tions qui ,incombent ,aux ingéllli,ellll1S, ·arrux
mathématiŒiens 'et aux ph)~sic,iens, l'évèl'en t
au ~'eoteur un champ ,d'raction aux dritmlen.
si'Ûrlls étollnanl'es. Les dO'll1'alnes Vrai'i,érs draJ1ls ' lesqUJels Ipeut rs',ex'ercer ,cene I)JlrrOreSlslÎon re.
qurièl',ent ,elre h part des i,n~énireurs Id.es d'Î1s,
posoÎ'l1Îons m lurJ,bÎlplle1s; 'c"erst ,d,il1e que tOUl'ets
les aip1litudes, ,toUiS Iles oa:racltère\S et tempé.
l'aments y troUW!.J1rt leur compte. L'ingéni·e'l.1r
sera :c·ol1s'truoteur 'Ou rca'loulateul', s 'adonnera
à 'la recherohe l.SCÎ'ell lbi,f~q'Ue ou raux tra1\naux
d',étude, tdirrig:era une ·entreprise, <s 'intére.s
seta aux prohlèll11les de vente, 'tm\S qu'1Ï1l s'Ien pr&srente ,d.ans il'~,n:dl]lst,r,ie et pOUl' l es 'll!srirn'ets
électriques, 'pa'!' 'exemple, dépJo,i'era rune ac,tri. v,i'bé ,d'allis tLe lSeoteur ,des trauispol'ts, s'e spé.
oialisera d .ans Ja q'll'es11JÎ01l dres h11evellS le't d'es
H,oenoes, :ferra hrénéfi,CJÎ,er .les en:u·epl'ise..s pu.
Miqureset l'a,dn'1Ïnristl1ation de ISles connalÎs. s'arnces, rp:°ê.lel'a ses Isel'v,ices en [quatIoité d'in.
génieur-ooll'seil rÎlndép'euld,a'l1t ou se vouel~ à
l"enseÏJgnement. Oe'l'te h110chu'!'re ·renseigne de ,f,aço'\1 Id. btar~lllée l!:'Ur [.a marche des èrud:es
d',ingél1!ieur 'et 'sur les arptriltudes que reqUriel~t Le m ,étier. Elle est ,remli'se gmtJud·~errnreJ1t à
lIOIUS les ..il1'llére8's'és. On 'Voudra hien [a cIre.
mander (un'e rOa11te postarle ISrUff:i,t) à l'Asso.
ciation 'pra:tronale suis'se (les COlls'tl'Uctem~ d'e machines e't indust11iels en métaJ:lu11~ire, DrufoUl'stm8'Se l, ZurlÎch 8.
- 161
Stern, Prof. rDl'. El,ich :
Kind, Krankheit und Tod.
24,0 Se!Ïlten. Ern!st Re1rNla'rd,t Vedag, Münohen/illase1l. ,Leinen H·. 12.~.
In relli1e:sem Huohe wÎord dn zwei ilJ.1 si'Ch
geschlos:senen rAtbhtmrc11ungen 'l~eJ:ches Mat'e.
11Îral über daiS Thema <d:(Jind mrd K'I)a!l1khm't»
und «Kill'd und 'Lod» taJusg.ehrlmte't. Es iLieg:t
zmüi.'chslt iWiirlclioh auss'erlharlb !drer 'atLltii!!ilü
ohen Er,zi'ehu:ng.spl"ohJreme und ErûehU:gs
zÏretle, die in Idritese'l11 'Buc.h behand,ellten
BezoiJerhungenz'U :heh1achlien und IÎn irg,end
einer Fro.l'Illl tdrem Kürdre lll'ahezurhrri'l1gen. Und
trotzdem Isehen fS!Îch aililzu rvÏJ~le KlÎl1'de~: aIrler
Allterss'lluten of,t 'Vollig unvo11heœ:itelt Urlld
welll'los rdler el1nrSjtell Kl'1mùQheilt o'dler dem
Tod ,gegreniirherr; die WJrkung kann fül's g'al1Z'e rLeben danet"n.
Da lS'treht 1l1Un Idie IFIl",age raillf : Wdle kann dem
IGnrdte lSee!lri.'sohe ffiJfe gle!l'ed'sillet ·weIl-den, iÎtn
wetloher Art rUIld mM wetlchen prS}'lCJhorlolg,i.
sohen EÎrnwil'lml1g;letl1 kalill doh dem I(dnde
beistehen und ,den Weg zur El1t<SlpannrUng
zeigoo 1Jll1'd f.ühr.en ? El'schütl!ernd Isind vj.e~e ErleJbnilSls'e 'Von IGndem, drie im !ZWfeiÏJlieIJ1
T'eill besc.ru,ieben ilViellid'en; h~s'on:derlS der
kind,làche Se'lhsr!imOl"d odell' Id'er Mord ~n'es JuglendJrichen tarm II(ramer,aden sind aŒs Ta,œra.
chen gesclülde11t, ,di'e ler~:eg,en konnen.
Hra;t mau 11IUr leirne SlJlUlde IÎn rcltÎ'esem lBu.ch gellesen, ISO wJrd Id,i,e Erkenntni'S wœch, da:srs
es mn Geho,t lS'eil1 muss, Id·aoS klianke i[Gn'd
zu ifülll'en ul1:cl Id'em gesun'd:en KÎI-rd eiÎne
ebenlS'o gelSuude tAruffas'sung und Ei1llSlteJJlrul1'g
zum g,tel1hen Il',e'chtzeitig IZU v'el1mdue1ln. Nun
mogten El1ziehel' rUll'd Elltern 'S'e!1brSlt Ul,teÎllen
oh ~ie diese's :ens'te ll1l11f'assen:de W'elk übe:' Kil1:d, Kra,)')IIcltei't und 'rod [es:en und !in
ih11e S'chulritsohe IUnd f'amÎlHal'e Arh'elÏt mi:t
einheziehel1 lSorhllen, bevor ein Unglück ge. schd.eht.
OEUVRE SUISS,E DES LECTU,RES P,OUR LA JEUNESSE
Cinq nouVletl1es tbroOhUl\e;s OSL, rdlelUX !I:é
iUlJpl'essrioll1S et un vo~ume nili.é viel1!llient d'e
sOIl'tilr 'cle lfH1esse. hl ,s"a~it .cl'hÎlstoiœ's <:apilii
vantes qui feront lC'el,tarin'eIlTI'ent la joie d.e
tom Les 'enfants. Les bll'oohUlies OSL sont en
--- '--_ . . --~~------------.. --------~~~~~~~--~----------~~~~~-venlie aupr~s d'eJs Iclbpô'ts 'S'coJ1oore1S OSL lelt du seCl1éM'l'iat (;le Il'OCllIVJ'e ,su~s's'e d,es il'ecrture1s
po,w' Ila j eunes'se (SeefèMst:r,ass'e 8, Ztmich 8), claus loes ~ih:J.a:ir.i'es et 'dans ~'e1S kiosque:s .
Nouveautés
No 629 «Pablito, le petit pêcheur catalan» pal' J eau LAubel' t. Sél'~e : LiJttéliair,e. Ag'e:
d,.,pUlÜS 10 ans.
No 630 «Fleur d'Azur, petite Chinoise » pa,l' V. Nieilis'en-Soul'el'. Séri:e: Pour les
petits. A~e : d<~Uiis 6 ans.
No 631 «Le peloton de ficelle» par Anna
Duc. Sét'Î'e : POUJ' des p 'elÙ!ts. Age : dlepulÎs
8 ans.
No 632 «Barrage et électricité» pa'r ZihJm:ann/Mru1tJin. Sér.i'e: SOÏJen:ces. Ag'e: de.pUlÎIS
12 ans.
No 633 « Geiger, pilote des glaciers », pal' G:eli'ger/Polchon. Série: Bioglraphres.
Ag;e : d'epurirs 12 ans.
Réimpressions No 222 «L'enfant de la roulotte» par Mau
liÎJce Zerma'tten. Sél'Ïe: Litl!éraiil"e, 2ème
éd'itJi'on. A'g!e : de!]Juis 10 ans.
No 4,80 «Tartarin de Tarascon» pail' A[phou'Se Bauld'et. SérIÎJe: ' ,Littéraire, ' 2ème
éd~lrion. Alg'e : d:epUlis 10 al1ls.
BOITE AUX L.ETTRES • BRIEFKASTEN
Dans la mesure du possible, nous répondrons sous cette rubrique aux questions que le personnel enseignant voudra bien nous poser. Ces questions doivent être envoyées avec le nom et l'adresse de leur auteur. D'Qlhtl'e part, elles doivent évidemment se rapporter à des problèmes
entrant dans le cadre de la revue.
In diesel' Rubrik, die wir für unsere Leser beifügen, werden wir im Rahmen des Moglichen Fragen beantworten, die (LllS del/t Leserkreis gestellt werden. Diese Fragen müssen aber unter Nennung des Namens und der Adresse eingereicht werden. Anonymes wird untel' keinen Dmstiinden berücksicht,igt. Ferner dürfen diese Fragen nul' piidagogische Belange betreffen.
leI" lIlocl"te fii,,' die Elte,·", mei",er E,·stklüssle,· eine", Elternabend veraJlstalten. Was soU ici" da aIs Wiclrtigstes besp,·eche",?
lm ,~ahm'en des «Bl1.iefl~as'l'en's» k1aIill IÎch
lhnen d,j'esmoal kawm andlel~s 'MIS IÎn S'ti'olmyor
t,en Bescheid g'elb en, wenn Ikh ,auch nul' d 'as
« Wkhtigste» s-agen 'WHl. VtÏ1elllerioht kOnn1eiJ.l lhnen letwa d~,e foodglenrd1en WlÎn[çe dlÎ;en:lioh
sein:
1. ZuerlSlt wlüJ.'.dte ,jch IdlBll El1tern sllIgen, 'wtÏe
si'e mith:eillhm kounen für telln 'g'Uil'eJS GeiLingen 'Von LErZ'Î1elhullg und Un1tem,ioht ~h'lier
KlI:eliuelI1. nahei IWalle zu melllœn :
a. Gegenseitiges Vertrauen ist notig! Ein
wal'l11'es, limNg'es VierhalhnlÏ!s ~wtÏJsdlen L'elme-
l~in und Krin:d,el1Il w.hld ha'ld ges'ohaHielJ.l selin,
ahe1' es g'eIJ.lügt n.ircht. ni'e Lelhrerin mochl!e
dal'UIIU :d~'e Ell!eiJ.1l1 ~llerzlHch Mnen: « Sie haJbeiJ.l mir ihrle iKinfd,er, Ihnen lWSltbm-.sten
B:eisÏ!t:z ,gebl1l~ch't, hl ing:en Sie ,mir IllUll OOIoh
Lh1' Vertr,auen! M,edue g'anze Kl'alfit und
Li'eb:e gelhOil~t Ilu',en lGnd,m'n ! »
h. Verbindtmg und Fühlungnahme mit der Lehrerin halten! DÎle Sohwe be{l'ootet für dla's Kin:d roue Zi'elnll,rOO g'ross:e Ums'te'IJlJlmg.
IGrn:d'er <sind zu1ull!se ofl!: and'el'lS ails in dler
Sohull1e. Um ,d'em KiIlJd hei S'c'hwierdlgl~ei'l!en
heM,en zu komTen, irst manohmM 'g'egens'elÎt1ge
Aus9pl,aohe no'llig. Mtirs'S<V'el~slta'l1!dnlÎ,ss'e müssen
so l~a'sch taiLs mogilti'ch (beiseiJnigit Wlm"!clen!
C. · Praktische W inke an die Eltern aus gemachten Erfahrungen. Es ,br,auohelJ.l nIÎoht
-162 -
uooe'dingt l!me ,eigenen Elfahmngen zu
s'eÏJll, lS'on:d'ern tauch arl1lgemein 'g'emach~e. (He
SOnc1el1S junge ,Lehrl~raf'l!e ,solMen iSich hÜ:lie'll,
zu oflt iVon der ,e'ig,en:en :EJrfahrwng zu spœ
ohen). Vierilang,en ISie iVOll d,i'esen EMenn he
sond1el's: Gewohnung der K.inde,. an OrdnUllg und Selbstiindigkeit. J)a'S IGnd 1l1JÎocbt
sÏJch lS.elb!st ühellla'S'sen, label' <allOh nioht gan
g,eI111, Isond'e! n ,an1eiten und Überi\V'Rochell!
nÎ'e Eltern ,S'011J1e1J.l d.ars IGlll'd Ischon allhallJen,
den GrlÏflf.el zu &p.Î'tZ'elJ1, Me T'afeJl 'SmID'eiJ.' zu w,ischen, IdrÎle :Schulltarsche û rohtig ei.nzu
rawuell, Ü!herhafllpt Idlals gaIne «W-edciooug»
für Idie Soh'llLe am A:hend !schon ~u üher
prü,flen. Eine 'l1'IIauiE,dlùnrglllÎlche KontroiHe soJlil
j'ed'en Tag IsJl1a'l'liflÏnden. Sagen rue ,den E)l.tm'~l,
dass mta!ll!ohe :StollUngeiJ.l im Un1Jenichit, auch
mang<elhaflte Lwstung<en, ihre UJ.1sacben lin
mauge1haf,ter V011hereiru.ng dm' Schu~'S'aohen
hahen. Um daiS Küid '11echliz.ei'lii'g tan Oriel
nlllng und 'sdbstand'Îlgles A'lllmi't,en zu 'g'e
wohnell, 'soihlte 'es s,ioh ,S't~lb:s't lau!k,1eiJd:en, .cHe
Sohuhe hÜtd'ell, daiS 'l\asohentuch 'etin'SltJe;olœn
usw.
Gewohnung der K.leinen an pünktlichkeit. Da,s Kind Isol~l!!e ,oa 5-10 ,l\Hnuten VOl' Untel'
dchllsbeginn ru Idler :Sc1:1JU'l'e .seli'I1. S-chuilan
fanger Isind rof,t ühereifll.'ig Illnd llJOm~l1'en
vti'ell ,~u fll.'üh. 18't Id<ll'S IGnd leiÏnmM untpüllktl,icJh, Is'olill !{!IS sœoh llliÏJcht ibJel1auIS !J.',e:cl:en wOllilen,
sond,ern heti Id'er W,ahdl'eJlt MeihelJ.l. Die El
!Je'ru ISOrl:lJeIJ.l a<h'er tauch kOII1,u'o:hlier,en, .oh d iRIs
lGnd l'echtzei,tÎ'g h'eimkomm1t oder oh es
k ,gen:dwo herll!Il1JtroI11t. Oeil' Unl!errr.ioot
schlli'esst in der Rleg'ell j,a pÜlùc,tilich.
d; ln Hinsicht aul den DnteroJ'Ïcht: nie
Eltern Isd]lten .EJinlbtlidc thalben in ,dli'e M'e1tJho
d,e 'des leil'S'tell ,Lesel1!s und HJechn:el1's, dra/mi,t
si'e nlÎloht ,aus rfalls cJhem Ehl'g'ei,z fiai1sche HiLf,e
1eils~en . .DaiS galle ' Stof.f für leinen <etig'ene'll
ELlJer:n:ahen.d.
HaJUJplllpfl1ilcht der ,EI,terlJ1 r1.1S'Ï, ;gute VtQ.l·
aUiS'sebz.ung'en ({ÜI.' <Bine lers:pl'u'els,s:Lilche Scihrufl
alIDeûlt zu Ischafflen Idul'ch g<ulle Ord.il1!ung
dabeim IÎn {l,el' LErniihmng 'Ull'd iKll:eiduug.
HeUIiz,ullag,e 'sind die J('in:d-er oflt lVIÎ1el zu W'al'llu
ang'ezog'en. - rDtÏJe EJrl1ern IsoJILell ·auch g'eiJ.1JÜ
gelld HeWiegung tim IFIJ.1eien 'gestatten, mu
einen AusglIreÏJoh 'zu ...,ooaiff'en n:aoh dem ver-
hiilltl1JÎlsmaslS,j,g ~'angen Si'tzlen .in œer Sohule.
Auch mÜrs's'en ldi'e K~ei'l1'en Igenüg'end 6chl'afen kOnneiJ.l, Isie dw,f:en d,arum :n:i:oht zum
~u il'ang'en Auflb<leihen veiJ.l1el~te.t wer,den.
Haus'au,[gahen LlNloht, wi'e ,da's lI11anoluual ge
sohi'eht, 'glekh 'IJlach d ler Schule l1'l!aohell
llll's:sen und rd'a!llll ler,s't lin Idie fll:isohe Lufit
gehell, Isoud,ern 'llmgdœhrt. Ahe,r aui lœ!Ï.
nen FaU ,die Auf g,arhen blÎls zum ~etz.~ell
AugenMi:ck Vler,sohi'ehen. Die ,EJlternsoililten
Alllte:Ï'l neruneiJ.l tan ,d'en fnter,es:sen lund Sor
geu der KJLeiueiJ.l. IsÎ'e 'ern:s't 'IJlelhmeiJ.l auch
in Di!ngen, lille uurwichti'g lel's'ohein:en und IVOI'
aJUem, LlNoht il<achen rübm' IUlÙJeho:lJf'en'e
Sclu'ew-. o'dler Z'eichIllUugSiVer,suohe.
B esolltl'e'l's 's()(li1~en d ,ie EheiJ.'n iVerslucJhell, m!Ï.t
diesen IGelill:en Geduild zu ihaJbell. Joa nie
s'agteu : «Du kannrsit nich<lls ! » Dalll1ü llehm~n
sie Idem iKindle Murt und Freud'e. Die
kinc1lriohe 'Leis'lJUng ,soU, wenn ,si'e es ver
dient, aller~anin:t wrerden. ( 'aUich Wu ider
Schule !) :Bi'e Ehern 'so!Lleu a,her ja ni'oht
vOl'au1sJernren mÏJt den Kindern; .dtaIUli,t
konnten \Sie of.t nul' Vlerw'Ï.r11l111g s chaHIOO.
Dile EJhern ,sOJrllteiJ.l ferner dafJÜ.r Isorglen, dalS'S
d,re Hausaufgarbell re.g~l1ma\Ssig, 'S'auber und
rtÏJchrtig glemacht Iw.eliden. Sie td'w '[,en ,wohl
auf ,FeMer 31uf'l11erlŒam ll11aohen, ah'er n~cht
d,ie Aufg,ah'ell LS'e1her machel1, i'\vleid. es d,eJm KIÎtl'1d zm~ieJI is t.
Auch um Unter,r.ilohts'Sotol·ung'en ;V;oil'zu'h'oo'gen,
solH'lien die El,tern Il11litheJ1fiell. ntie [([Ieill'eu
lnüs's'en gewohnt w.erden, 'schon zu ,Hause
und VOl' Ider Bohulle lautfls ,WC zu gehen.
BeJso:nJd'ers den IBuben 'solrLlie ,dti'e Mutiter ah und ,zu marI relie :SchUll'talscll'e ul1:d talU'ch
dlie Hos'enrsaclœ <kont'l'Oll!1ùer,en. Auch dürf:en
dire IGnd'er J1Ii.chtt zu vieil ,Scihle'Ckerei~n
mrÏ;t wn ,die Sohule nehmen.
Zum SchrlU'Ss Idünfen Sie lSag'en, ({ras'ses ni.cht
HUll' Zlls'ammenarbel't zwiÏ.'5chen SohUile und
Eherllhaus ,brau~ht, Isondern aU'CJh m.it dem
Seg:en GO\l!tlelS, O'hne ,dieu Wiir nilchlls Vler
mO'gen. Und Idann hi tten S ie ,di'e Ehel'!l1,
in 1~ller Of,fenheJilt Fil'agen ,zu ISteil<len oder
au:ch All'11egung'en zu 'mtaohell. n,jes'e sind
of,t 'W'el~livoililer raLs w',h- gl'auheiJ.l. - Und
nun wünsche lioh Buren und lcJ.en EJltm'n der Ideirren SchülizlÏIng,e tb:eJs,tien Erfollg !
Ernst Schm:i:dt.
-163 -
VEREIN KATHOLISCHER LEHRER UND SCHULM~NNER DES OBERWALLIS
Protokoll der ordentlichen GeneralveTSammlung vom 4. Dezember 1958.
DOII1'l:re11S1tag, d en 4. D ezember 1958 hieilt dler
V,el'eilJ.l IŒ,tho~rirscher Lehœr und Soouilrrüill1'
nier in Vi!&P sei~1Je or,denttiLiche Jahl1eJsiVIer·
sammllung pm 1958·59 ah.
Ntadh einem von H . H . Sohu!lin!s:pektor J. M .
SDIHV1ûc1c in der S'liimmtllIl!gsvolliI:en Bl'TUJd'er·
Kil!IiUJsen·Kialp'eJ1le zle:leb11ûe'l~ten Gerliichtnri:s'giot.
tI~S'œilell's'lIe WlUrdle dlile l1!{mle priicihtigle PJiarr·
kiiliClhe b esj'ohtIigt. H. H. ReI!JtOl' Lehiner er·
liiu.tel1te den ganz'en Neulbau unld im he'son·
œel'll die knnslIvolLlen, von Palllll M011lnie'r ge·
soha,ftf e.l1'en GlaiSfte.ll's ter œe'l' IGœhe und die ·
j,eI1'Ï'g'e.n d:er dalillnte'lili:egetrrclen l(.ap'eJl11e.
BllnlIQt 10 Uhr v:e11smnmelhe man sidl im g'e·
riimni gen Ria thiauJs~'aailJe zu.r ErJJeJdigulJ1ig d:es
ge:s'chiifrllÎ<~heIl Tea~es . In Vlerltœ1JUng d'BS l,eri·
der erkratnk!lIen Vim1etÎl1llSlpdisûdlen'llen SlIucky
A'llXliMu'S, lB:etl'en, ileitet.e Vi,zepriisidenl H. H. SOhuiliil1lSip ekto:r J. M. SohwlÎlck mit ViÏlel
Ge/schick un:d Sohll!eÎ!d dile VlerM'mml1ung,
wielDhe œi:e folLg'eI1.d'en T~:aIQlJantd'en zu be·
han!dlelln hatte :
1. Be.grüS'sung
2. Elistel1Jlung der Prii,s'enZiliMe
3. P.rotokolhl dleJ' l e bz,ren Genleo.'ia,Iv:eliS'amm·
lull'g 4. Jaihl~eshe111ohit dies PlI:iiJstiJd:enten
5. K larssa· un:d R eVlÏlsoreooedcht
6 . .F1eSits·et;zung d es Jahr,eSihei,tr,ages
7. Aufnahme neum' Mri,tg1iJe'dler
8. OJ.1i:enti'erung iÜ.b'er IaI!JtueJ'hle Sohullfrlagen
(Lelu:pilml, liehI.ibü.cher)
9. Vler.schÎ'ed'eIlIeJs
H . H. Sdhul1i')1!sp:ektor e.nliholt Gruiss und
WIiiLlkommeIl dem sehr v.er,ooliten Henu Er·
Zli'ehull'gtSDhef, Hel1l~n Sta<al1s'r.a't M'al'cell Gros's
und seJÎIll'eII.ll Aldjunk'ten Hierrn .AldeITher,t
Chalstonay, seinen wel'ten MithrüdleJJ."Jl den
H . H er.t1e'l1. SdluuJM SlP'ektol"en und llIl1idlel'l1
greisti1ichen Herr,en, d'en vJlelen LOO11e11l1 der
SeinllIldar· und PIJÎIl11'al~schuilisltJUlfie sOiWlie dlen
zaihL.·,ei·ch:en SchulLfll~U1lldlen, d,ie ans BeJ'g
uni! Tall zn unB'elJ.1er KOl1!flel~eI1Z gep.hl~el)t
wa.l'en. Ein ~anz h~sOl}Jder,er Gnuss ga,Lt Her,rn
Gemeillld!epriiJ&Ïldlent und Grossralt Acloilf Fux,
ails V'el'tœlter d er gro,s'sen Indusll'ie.gemci:n:de
VlÎlsp, d'em ~u hegegnell wohil j:eder Lelwer
b'el'eli,ts GeIl:egenheli.lt halue, sei ,e:s iaIJ.111iilS/sJich
unls:el~er F.or,~blil1Jdul1~skurse, s'ei es.in ein!em
Vlo,rtmge o:der HOlisQJÏJel o,dler in OOI,em s·edn'ell.·
vlÎle11g1eJleseIl;en Biioheo.·. Lei:dler war H el·lI." Ge· m ei'1l:d!elwii;sÏldlel1't verl1!1ndle11t, an dler lF'le'SIlIver·
saImIl'hmg des NltchmitlJagies ,tetÎllzuneh'men.
Mit ,s'einem G11\llSS 'verban:d Id el' ViQr!S~'tzenrle
herz,m,che DaTlrl elswor~e an lthl'e, die zum
Wohllie œer J.wgend a'rheWten, ob dter E'l'f'olg
sichJllb:ar zw~ag'e H',eten od'er MIÎ!S1.S'el,fIO~.g dlas
E'l'z,Î!eheJrher'z bleidll1ückien mo~e.
Dive auf.~elJJe.g.te Pr,ii's!e:nzr1Ï:we z'e'ÏJglte d're An·
\V'e'senhei,t von m elu' ails 120 L ehl1el11l, 8 SekrUil1.d·al'11ehrern und eirrem DwtZ'end ~ei,slili.
oher U er.œn un:d aJlId'ere.r SohlUiIf.rreunJde .
De r ,Bel,i,cht über dile GeI1!Bl~allvter:samm!llU!ll,g
v,()Im 27. 2. 58 1n der « Lindle » in Na'tlerlS
wrUl1cle vom Scl1.l1i,f'l'fühl1er Vle111Je's:e.n und von
d'eT V'eo.·,s'al11Jn1!lung ohn!e Bem'erJ,mng genleh.
mtÎ!gt.
D.er J.aJweSibellÏcl1lt œes verkÜ11z'llen Veœins ·
jaihll··e·s war von PriisiId'ent Stuck~ schr,irfluLioh
ahg:e>vasS/t 1.lJ1td yom Schœilhell1ld,en V011g1eJlteJs'eo.l
W1old :en . Bie BemrÜrhuil'lge'll d'es ViereUiJ.lJSvor·
S'tande s gi11!glen im ahg,eJ1afUlfe'llelJl Jahre V.Ol·
alU'em um dtÎle S.ohlUllv,e11Iiinge11ulI1g, U'IIl die
Florthill!du11!glsIml's'e, um dile Gesl'aililIU!ng des
neu:en 'LehllpILarres, um die B e/s'CJ!']Ialfung alleJU'm'
Lelul1niuell, um Idli:e RtevdlsilOn dler tRuheg'e
hat1!I1skHIS's'e ld'fSs Le/lu~pe11S'01l'1alls, um kJ.~e Er·
hohlUllig d :er T'eueruug'sZ'1lI1a,gen US1W. ner
VI011&tan:d '\'Ie'l'u',M d ,en Vlercein IÏn dlen lDe~e
g~e11r~nverslarnuml1um.cg'en 'dler Rl.lh:e'glelha\~l1skta'S's!e ,
œes Z'enrn·aJl,,'·m'brandes citers Sliaa<Vsp'ea\5onaiffi,
dle/S IŒ,N:roiLilSClhren rLelmemneJ',eriru; Idler 6'C1l1w,eiz
UlS'W. lm Anlsd.-li1lllss an d en JIah!je~lherrol1lt d 'eJs
Prii'S'.ÎJŒe.nten v,elilars ,œer Arktuar leJÏm!en BimThClht
über e.ine aUSis'erordlent~ÏJche "V:el'salnumlung
d,es Z'ootmiliv,eJ'brall'des d ies iim HielfllS'oo . d ,es
I(;aIl11Jons Waili1i1S ,&tehel1œen P rerîSO'l1!a!l!s vom
-164 -
30. Il. 1958 in Siltten, 'wo das rProb:\tem 'Cl'e'!"
Sohwv erliingeru ng ll1'a:oh atUen Seiten h~!J.1
dl1lrchlel1l:chl1et u n:d IdlÎ.rslrulii:er't n;vunlle. tAillIS
dliiC6:er Ilangml und Isdu ' ll ebha f'l'en B~slpre ·
c1rung tra't tcler ·eindeUl'ige WlÎ!hle zUl1age,
Mittell un:d W.ege zu ' sUDh en, um ,dUl'ch dâ'e
stetiÏgen SohulVlel,liin g'eJ.'ungen in ,ab'Sehba'l"eJ],'
Zerit auoh im W'allis zur Jtahres·sohuiLe zu
gel1ang:~n. lD.er Wleg Id'a]1'Ïn n;VlÎlid w ohil. no ch
eliWials ,don1'Ïg lund Ilang Isein, 'do'oh wo e in
W~lLe, rela ein W'eg ! I~a S'siim', Lel1l'er V og,el, Ullterhacih , elis't,al ttlel~e
den Ka ssahe.l,i:dht 'Lutd g'ab b eklannt, das\3
Uluseœ K,asse 'mn'en rZuwach s von ,F l<anIŒn
1018.65 und Is om~'t ein V1e111110gle.n von lF'Œn·
Iœ n 3852,60 zu 've.rzei ohnen h alhe. L e!hr:<>r
Ga.N'Ien J oS'ef, IBürdh en, h fSantra gte ,a!l!s Rte:oh ·
lliungisr evtÏsor m it L ehrer IBrun n er Jwes,
E1sohol'l, Idlî;e OeI1Je:hmtÏgung Ider Jarln·es~ie:ch·
nung un:d lErn'l1b stung lœeis VlOl1s1!a'l1d'e>s unter
Vlerc1a'lùcung !Cler 'g'eiliei's' lierten A.rrhei,t, w'alS
einhelllitg 'Und ~ern g'ewiihr.t wIUl~d:e .
D el; Jahr,esb eitr'ag wur d'e oIul'e G eg,en anrtl'ag
m.if IFl'alù~en 12.- bzw. 9.- w..i:e bi.sh er
hel~alss'en.
NBU in Id en V'e'l'ein lau~g'enommen W'ur.den
16 Jltmgl~ehœr so",~ile H . H . J8ch UillinsiJ):ektor
Emil 1mb o'd en, Sta1ldlen IUn:d Hem' P ,rofeISlS olr
Jos'etf Ritz, Bûg. Dile übI~iche Toten1ehrung
g'ah unsrer:m unver g'e's'sI1icl:ren grols'sen P ,ai}JMe
Rin.1JS XII, Iclem leJis t kÜ.l,~1ioh 'verstorhel11en
B'Un~de.sr,at M arkllliS iFleilidm an n u n d 'Ul1!serm
Fœu!l1'Clund Ko~'legen L'ehl"e.r Johann Schm rd
von B elHw.alcl, Id,er 'au sserhaJb U'llls'erer K ,an·
tOll'sgl<enze vom Schll'Ï1tter To:d aus ·d er
SchUilSItUib e gel1ufen wurde. R I rP ! Hel~r Cha-s,tonay k d'ellhert rfülU1lle in sedne~' Ol'ientieJl'Ull!g üh er 'arktueŒl e S dhu'lproMeme
·aU's, dalSs 'vor aUem dci'e OrganÎ!s·a.tion d'er
FlOrl'hiJMungiskUl'se ,eÏll'e grüncH~lohe Üher·
prüflUngerf.ah'l·eIl tS oll1te. EJs m U/Sis ,l eœder f est·
ge:s'te~lt w eI den, IdlaisS namenltlich Œm Ober·
w,a lilr~s lein:e gro's's'el<e ZaM von ILehr.per,sonen
duech iihre S Ollllmo rhe'sohafllJigul1!g Id el"mrals,
sen ,gehtllIlcl en sind, das's ihnen .di'e TeH·
llalllue ·an F,ol1lJhiJ1du ngslcu11sen h e.i'l1'aJhe un·
mO gillioh licS,t. Ers ·mü.s'sen dcaher MiHe:l und
\Veg'e ·gesu cht w'eliœen , um au chd.ieJsen Ko~·
legen und Kol~leginnen d'Ï'e Vor\1eille v on
FO'rlJhi\ld!un~skiUr'sen z,u e1111logliirchen. M tan
t'rug,t si0h m i t dem Ged'aillken, etÏUetn KIUi'cS
an èliner Rteihe v,on scl1!UIlfœtÎ'en H al1brta,geIJl
Wahl~el1ld d,es Schlullj alhr,es z,u organilsiereIJ1.
B rese K Ul'se ,S'oH en d en lieI1l1peliS'OUeJll dŒe'je·
!lIigen Ive.nl1 tnilS's'e i n P'sydho~ogi'e, M eltho:clik,
IVIUllJter·s'pr-ach e U/sw. verrnütte'ln, zu Idleren
Er1an~ung ,valllieI1.d d er AUlsh~,lchmg im
Seminar zu , ,,,enJig Z'ei,t z,ur V'erfügul1!g
st'and. Au lS 'cHesem Gl'U11!d i'st an ZulcuTlf,t
eine en geœ Fühl1ungnalhm·e zWlischen der
Kurs1eirung und Id'em :lJe:hrlers'elJllinar vor·
geseh en . Es ,j,Sit alllch die F.lia'ge zu prüfen,
ob uns'er·er Sa'cJhe l1!id1t Ih essrm' gedilel1!t wiil~e,
incl'em 'man HUIS ,d en 'eitglenen R eiheII be·
fahi~te L ehrlp'e11SOJl'en lalLs Kllmsi1e/iteJ' .au!sMI·
d eII würde, IMe mit U11!SerU Vlei'hiiJltlnli,s'sen
v:et'UialUlt 's~ll'd illlld ,cl'e.m'enlisp11eJDheIl,d die
KrlU1se ge's-t1a11tJen w,lll'den.
In k'urZ'eI1. Wlor,lJen 'stl~e'ilfltJe htie1.·auf Ben
OhatS'tonuy d'en n eu ern Ilie'h1J.1p'lan, der im
VO'11entwurf VOl" 'eiuetn Jahr,e ,e.iner -g,ro s·
seru AnZ'ahll von L ehl'p erl5 onall z,ur Prüfun.~
zuges telh 'Wordel1 war. D er j~tzt vonli:e.gende
VOl'entwud steiLLt ein Gemei11lschaftswerk
dlar von ,inl'er,e:ss'Ï'e11ten Kl,eri,sen aiUls d 'em
Oben v;atl,1i,s und Idem UnterwatHis. Bei cIes'ien
AUJsadJ eamng wUl,de VOl' ,œllem die F~'agc
gesrtelHt: « Solhl Isi ch Id'er n~ue Lehrplan
an d~:e 'V'orhan clenen 'L e.hrmiHel anpassen
o.de r iSotlil e.l1 ,die IL eh ll1l111i,ttd d'em n euen Lehr·
plan 'angepa's'st n;ve11cl en? » Die Frage stel·
len, hie.ilSist ,si'e ,aucih g'l'eich he,antwol' ten, da
es j ed ermann einleuDhteIl wü,d, lc1ass die
L ehrmitte.ldem L ehl'plan .anzupassen sein
werclen ,und l1!~dht u ,m g;ek'elwt. Der neue
Lehepllm1 'wlÎllid lin ·d,en ·niidls·~en Tagen <lem
Lehep ersona,l ~ug'eJs lleH.t WerdeIl, 1,,·elches Hm gründli ch ·auf 'seine V erwendhal'keit prüfen
moge.
A11s ,deitten IPuuk,t seiner Ausführungen
,s·treifte illerr .Ghaistonay d·en lielu-·erIJUlall'gel
im Oberwa1llh s. Tiliotzdem ·seit Frühj'ahr 1958 c1IIl'SeilibS,t nioht wenigler !ails ,17 \LBhrp~emonJen
d en Sd1llulJd.i-enM Vleda:ss'en und in der glei.
ch en Z,ei.t 52 Wedh s'ell 'Sl!atttgef.unden hab en,
kamI man mit ,cenugtuung fesl'Sitell~ll, dass
nUIl der HohepulJ.lk,t ,dies Lehrermangels
übet'schrœtten i Sit, und Ida-ss lin 'den nachs,tell
Jahliell dank s,tal,ker Serruinarkla,ssen diesem
Übe,] atbgleho'lf'en sein wÎIld . Tro'tzd'.!111 .aher
-165 -
w'erld'en laU!ch 'LU Zukunfit 'glewisse Gemein·
den mth k'lu'z'er ScJhUJldmller und ungünstigen
to:pog'l~pl1ÏJsc:hen o,d'er 'schu:1Lschen V crhült·
nilssen Mü.he hahen, ~ür ihre Schulen tiich·
ti,mes und Itl'eJU'e;s Lehll'pCIl's'ol1fal :bU rekrutie·
1':'1. Ber Hank Id,es BeJpa1~liem'entes gilt dahcr
heson1d'eI\5 ;denj'enligen Mllern ,Lehl'lClln, 'cllie
d,m'ch dlie Btetl'eUJU'Ilg junge'l' Leh11er, d,ie·se
un'se1'm Lancle 'Und IÎllu'eJl11 .B:CIlmfe zu 'el'.
hailiren 'wIUJS's,lien.lD.i'e neh'ellUug junger Leh1~ell'
d'lll1ch altel'e Kolli1egen ,sol]l lin Zl1l!krunflt noch
eng,er g.e!sta,1tet .Wle1,d,en.
AhscMi'ess.e!l1Jd '8tl'efÎlfrte Herr -Chastonay di'e
Bemühungen mu 'soûall'e BelslS'CIl~slrell,lrunlg des
LeJ1l'Ipersoll'ails "Ivi'e Idri:e AIl1[HUS'SUllg ,der Ge·
hiiltCll' an !drie ':Deru.·el1UI1g ,ah 1. 1. 58, dri'e
Er.hohung ,der rSo'z<Ïia~:bUllalg,en u<nJd d:~e Mehr·
l'eirstungen ,der Ruhegtehalhsimls'Se . Mi,t drem
Danlœ .an Id:en Vm'Sita'nd cl.e's Leh~'erV'ererine:s
filr Idas vers,tiindnrusvlOill1e Zusiammen.arbreritell1
mi,t Id'em D erpa1' temente sehilties'slt el' seinc
inter.ess'anlten A'llis~ühr.ulJ1lgten.
Untel' Trak!l'andullU «Vlerschi:ed'en,es» gibt
der VOl,sitzendJe eÏ.!niÎgte ,En<tlschuldligungen
hekannt, ,so d1ie von HO'CJhw. Hea.·l'n PrO[le'S·
sor ,ErnS:t SchmÏJd't, iBrnig, rd'er rel'!S1 am
NaiOlull'irt'liag anweS'elld Is:mn ,konll'lie; Rorcihw.
Herrn ScIh'lll!i,ns<p'ek,t'Ol' WlerilSSien, Reok1ill'glen;
Herm Na,llionarlmt nr. Leo Stoffel, V~Sip;
Herm Nallionah1a1t Hlené J.acqUlod, SLt~en;
Herm OrO'SS11a't J ols.elf Bli'tlteil, VIÎISIp; iHemill
Dr. Atlex. Theiller, Protf':eJssoll" SirVten; Re.r,rn
Uehœr 6U1p'er,s'axo Otto, Sa:ars ~y.e:e.
D~ iI1Ï'em'anJd Id,i'e nisrkfUlSrsiou ,·",eJJt,er 1<U !he·
nütZ'en fWiÜI1fsoht, 'S'ch1ies'St H. H. SCJhrtI1rinsp'ek.
l'or Sclmllid\: den gteschatf'lliJ.i,ohen T ,eil unse11Cll'
GV mit {Lem tHiimVlrols, die Brücke der
Pianos Harmoniums
Radios
Disques
Brwdlel"hiJ1f.e il11 ',,,e1,meth,1~ten1 M!aslS'e zu llillrer·
stùtzen u:n:d tllÏ'e I:bug,esa'lldrten g,rüJlIen Ze1!Wl
l~echjt f~eilssirg !:bU iheruiitzen.
He'i delm 'Vorzügt1ioh 'S'elwtÏ'er,l1en Mi.tiliage<S'sen
im 1« R 'estaurant ~ur ail'l'en PO'Sit» k'am dem
Vor:sitzeIlld!oo d lÎle Elme 0ute.ill, Her·rn Staa'!iS
l'at Mm'·oeil G110SS, d 'en Chef d res E1'Ziie·
hlUll.gtS'd'epar,temeJultels, (Me JOJreklliion ldiCll' Lon·
zawed\::e Visp tin Idlell Herœu Dr. Si'C1brer will 11l!g'eJIl.iÏ'eiUl' IBürM, Iden Tage1s11efe11enllen He'l'l~n
Br. D'amlU'elJ RJU.olsdh ,So.WIi.e eiJlle 'gl'osrs'el"e Za:}lil
Belhor'd:emi,tlglire'dea.', SCJhulmnii'l1ill'er und L'ehr,er
zu hegrüs'S'en. IM;:ÏJt Idires'er B-e.glmslSfll!ll'g 'VIer·
baIlid Hel'.!' SohU'liuISip'ektor J,M. SohwickdJe;l1
her2'JliicJhs·ten Dank :au ldlÏJe IA'd:r'ess'e der Dil'ek.
tiron ,d,el' LOll.zruw1e.11ke, d,ile s<Ï'cth ~p'olJ.1t,an hel'eilt
e1il&iirte, uns eine Wlelikhe~ichü~mllg rlU
organiJsi rel'en m1!d übeliCl<Ï:es ihœ Syunp'allMe
der iLem,el,schaf,t ge,genüb'er I(htdurtch an
d'en '.Dag Ilelgite, rdass ,sile uns die Tl'lankrs:ame
helim Mrirttalgtes,s'en rspen:diÎJer,te. Aru.ch drie G:e·
meJin:d'e Vrisp 'zeÎ!glte 18ioh IÎhJJe'S 'Be:inamJeIlis
« Vlelspia [l'ObH~s» WÜ11drig, IÎnd'em lSie unis
gW:.SishCll'ûg d 'en J(Jaf:fee I()IHerÜJelite. Ehlie soi}·
obem Tun!
Hen Slla'alflsrat M. GW!SS Ühel1h11acJbt!e in sei·
n'el' ,s:taalismannÎ's,c:hell. A'llISipnl'C'he d'ie Gl~ÜlSiS'C
d:eT tRe~i:el1U1ng an ai'e Oher.waŒlris'er iLehrer
Ul1'd Lehœl.urerllillidle, rruher l3.u:ch !Un Idi'e allllf
s111~eJhell'de Gem'e'Ï.:n:d'e un:d PfJal'l".eri Vtisp, dlile
m1t IdleJl11 wfü,t,S'cha:f,tllichen Arufschrwutng IUIllId
FIOl"tslCJlll'itt 'alUch aw d1em Oelbtiete d'es Schull· w!ese'l1fS SC·h1'itit zu hatlten h 'eJs'h'ebt iÏst. Au[
dle!lll GeblÎreitJe des Seklundla'l's'clhulmVleS!ellS wm'
VlÎJs.p ge11rud'Ct:bu bahl11b11ecJhellid lilll1 Wl3.ilil1is.
Neben leiner [~u1'zen Rüok· ll'n~d iV.oJ.,S'olmu
aruf das 6.chulhVles'en IÎm WallH,s tand. der
Vente • Location • Echange
Réparations • Révisions
Accordage
Tél. (027) 21063 SION
l
-166 -
seIn 'VIer,elwte Herr E1'û ,ei!llUlllgrs'chef IhJe.rzll<i!che
W Ol'te deT _~il1'el,kremliulllg und Id,er Au,fimJUn.
telmng an ,a lll'e , 'dli:e an Ider lEr-:z;;i:ehung und
HiJ1dung Ull!seœr W,alliH,ser JUfg'end Jal,hei,tlen.
Er zeigrte f\llnS ILe'hrenn urrd ,Erû'ehern allif,
'Vias für lei'll'e hohe uud rerhah'e'll'e tAufgab-e
wtir !lU ~l'fÜllllen harhel1, iUJlll di'e UI1fS 13.nrl'er'e b:enet~d,en konnten.
In dem ta~1fS'dhJ1riiels:s'enden IRreflel'a,t ,eathot iHertr
Dr. Samuell RIU'OSdh ,Ql111ISrS unJd WlÎlll1ko:rmnen
vml. !Sei'tell Idler LOll]zaldrir,eJk'l'iol11 und .el,kllal~fe, dras's ,d.:i;e ILo:nz-a mlÎlt IF.reJuld'e m]Set~n Wunrs ch
ent~egrennahm, luns leÎ'i1!lll'all leiIlen EinJb:Iii!ok tin
d'as Geltriebe reJinlers Ig110lsrS'en ([:nrluJstnire.W1erkre;s
zu 'grewahœn I\lill'd uns d.aidur:c:h 'eIÎnen IlJdben.
dri'g'en Alns:c:halUl\lill'gtslMlterridl!t ,z,u 'etiretiJlen .
Herr 0,1'. IRruo'ScJh malc:hJl1e UllIS kfUl'Z rbeI\:!3JJ.1!nt
mit Id'em \Baiu flIIl1/d der En tWtÏJoldunrg Idrer
LonZ'awerrlœ NU w,athl:its m lld 'erMar,re (in
WOl,t und Hilld die <Enl~&te!h\llng un:d Ver.
w:en:drung Ider 'Wricllltiigs,tlCiIl Lonzarpro'd!Uk'l1e .
Di'e tinttel1e.s's:aIllfien A'UI~füihl"unlg,en ides iH·el'J.~n Relf.e1~en1ten mrd Idlie Id:ar,auffrolg,enlde He.silc'h.
lIi'gUI1!g Idres Wrerk'ers Vli,sp Ib:l'.a/ch'te !Unrs IdrBUltJlirch
ZUIl1l HewUlslsts'eJin, ""ÙJe wichtilg und \Uot.
\'Wmfoog der 'te'chn.'is·c;hre iNadhwulchs [Üt' relire
Elihallr~U!nlg fUn'd JdJi'e Wirolter,ell'twlid\!lrum.g relrer
I.nJcl.wstri:e lim W ral.liliÎls ti'Slt Illillld WlaiS tf'ür MO'g
lilOhkleirtJen Is!Îfch IdOl;t Ull'se.œr jun~en Gene-11atrioill tbtilelten.
Mi t gross'em Ill'tCll'eJ&.s'e ili'elss:en sirch Idli.e
LeJu',er, in Idei'lle1ie Gr'UJ}JIlJIen rallfge.tI~illt, :vion
erinri:gen JrunJdtÏg'en HCIl11'en dJCIl' Lonza rcluœh
d'en ·grols·StiBn T ,eril Ides W'erll.:leIS fÛlIl1ien un:d
mi,t ;den OeheiilJllulÎ'SIS'ffi1 ronCll' 'chrelmrisc:hen
F1albritk lin Henü'lmrnllg bl,ingen. IMlalJ1lclhea."
ùehlJel' wÎlid hei fslÎlch 'S'e!IJb~t :g'eda-ch1t htarb:ea.1:
«Haltl~e lÎ'oh ~nlIer 8'0 lklufm'e11k's'amre 8.chiiller,
wÏle les rdrieLclmer heuve W~lr<e'll, so kon:nte
il6h mit d'Olp,p'e!ltCll' H:eude 1llfei.Ïn:en ihethren
Lehre.1metuf .ausühen ». Det, s'Bhr ,ge'eh1~tren Lon~adir,ektiio!l1 ·sleJi lan ,m lels'er Sl'e~lle für ihr ft~eJUnldllÎdhets Entlgegffiù<':01llllJllffi1 mn iher,zM. ' cITes D.an!lmswo.rt aUSig,eS:iprOlCJhen!
lmhash Peter
Gebet Pius XII
Gott, mache aus mir ein Werkzeug des Friedens, Gib, dass da, wo der JI ass wohnt, ich das ,Verzeihen br,inge, wo die Zwietracht trennl, ich zur Eintracht binde, wo der Irrtum herrscht, ich die Wahrheit künde, wo der Zweifel umgeht, ich den Glauben wecke, wo die .v erzweiflung liihmt, ich die Hoffnung belebe, wo die Trauer niederdrückt, ich die Freude hervorhebe.
Herr, gib mir die Gnade, dass ich nicht suche, von andern getrostet zu werden, sondern sie troste,
dass ich nicht suche, verstanden zu werden, sondern mich mühe, die andern ru verstehen,
dass ich nicht suche, geliebt zu werden, sondern von Herzen die andern lie-be. Denn, indem wir geben, empfangen wir, indem wir uns vergessen, finden wir uns, indem wir verzeihen, wird uns verziehen,
indem wil' gottergeben stel'ben, ziehen wir ein in das ewige selige Leben mü Dir, Amen.
-167 -
les Cahiers d'exercices de la
Collection de matérie l d idactique
sont, à tous les niveaux d'études, des auxiliaires indispensables et des instrume·Ms pédagogiques incomparables.
- Leur présentation attrayante stimule le zèle de l'élève.
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Cest à la grande expérience de péda'gogues rompus aux méthodes modernes de l'Ecole active que sont dus les 22 cahi-e·rs P'~IfUS dans la Collection. Ils traitent de l'orthographe, de la I·exicologie, de I~ syntaxe et de la stylistique.
Catalogue gratuit et spécimen à moitié prix sur demande
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AVI Concerne les ca rtes de rabais accordées
1. Aux Cafetiers-Restaurateurs
2. Aux membres du personnel enseignant
3. Aux couturières-lingères
N'ous informons notre aimable c·lientèle que les cartes en circulation ont été annulées au 31 décembre 1958.
Les nouve-Iles cartes seront délivrées sur demande et s'ur présenta'tion d'une pièce de légtimation.
Direction des Grands Magasins
L_' _---A--L-A- PO-R-T-E-.N-E.....:......-U-V-E---SI-O-N---' -168 -
ACQUISITIONS RÉCENTES DE LA BIBLIOTHÈQUE CANTONALE
Les ouvrages signalés ci-dessous peuvent être obtenus gratuitement en prêt. Les cotes indiquées sont celles de la Bibliothèque cantonale.
Z UWA CHS VERZEICHNIS DER W ALLISER KANTONSBIBLIOTHEK
Die nachstehenden Werke konnen unentgeltlich von der Kantonsbibliothek entliehen werden. Die Signaturen (Buchstaben und Nummern) bezeichnen den
Standort der Bücher in der Kantonsbibliothek.
1. LANGUES ET LITTERATURES
SPRACHE UND LITERATUR
BET,Z, Maurice. Rhlke in Fl'ankreich. Eril]1nel1Un~en, Br.iJefe, Dokumente. (Am; dem F'l'anz. über.set2lt von W~1li R eioh.) WI~en, -Le.ûpzilg, Zürioh, H. RJe~ohITer, (1938) ; 8°, 290 S. TA 14.'565
BOOR, Helmut dIe und Ro:swibha W:iJsl1!i,ewski. Mitte!l.ho Cihd'eutsch~ Gr am ma'l1i k. BBl'lin, W. de Gl'U'Y,lJel', 1956; 8°, 141 S. (Samm~lUng GO'S'che~. 1l03,,)
N 567/1108
BORGAL, OI.éme11't. AILa1irn-Foul'l1iel'. P·ari's, Ed. uuhnersi1'a,ÏlI.1e's, (1955) ; 30, 124 p. pOl~tr. (ŒaoSsiques ,du XXe sièo1e. 22.) N 535/22
BROCH, He1il11'ann. Brief·e von 1929 bis 1951. (Hrg. und , eingeleiJtet von Roberrt P~clc) Zü,rioh, Rhein-V,erl., (1957) ; 8°, 457 S. (Oes. Wiel,ke: 8.) TA 12.281/8
CALVET, J[ ean]. Histoire de La :liIttél1ature fr,ançaoise, lPubl. sous ila diœ'ctÏon de J' C'. P.ar,is, dleJ. Duoa de Gigor,d, (955)- TA 14.472
CRAIGNE, Louis. La 1ittératur,e oatho'lique à il"élirang'er. AnJtJllO'l'ogi,e pool. souoS la direction de L'Oh'. Pallû.,s, A:1sailJi'a, (1947) ; 8°, 227 p. TA 91167
DELAY, Jean. La jeul1Jesse d'André .Gide 1869-1895. EPm-is], NRF Ga!lilimarcl, 1956-1957 ; 8°, 2 val. (Vo'caJtJions . 3+7.) TA 14.735
GUILLERMAZ, P,allliicia. La poés,ie ohinoise. (A11J'tho~ogi:e d'es ori'g.ines à nos . jorn's.) [P>a;rÏ1s], ,Ed. Segher,s, (1957) ; 8°, 289 p. TA 14.376
- 169- ,
HAME,LIN, Jeanne. Le théâtre olN1éti'en. Paris, A. Fayta'l~d, (1957); 8°, 122 p. Oe 'sa,ils . Je oro~s. 129.) N 579/[29
HIEBEL, FniedrÏJoh. Ohris:ti'an MOil'genSitern. W'ell'de und Auflbruch unS~l',es
Jahrhunderts. Hern, Fmncke V'elll., (1957) ; 8°, 241 S. PlOl~til:. TA 14.572
KRAHE, Hall'S. Gel'manis,che Sprachwissenlscnaft, 3. * AufI. B'elJ.i1in, W. de Gruyter, 1956-1957 ; 8°, ,2 Bde, (Sammlung Goschen. 238+780,) N 567/238+780
LE HARDOUIN, Maria. Col},ette. P,al'Îs, Ed. univershair.es, {11.956) ; 8°, 129 p. por,til:. (Œas's,iq,ue:s Idu XXe .siècle. ,24.) N 535/24
MUSIL, Rolhert. T,agehiiohelJ.', Apho,r,i'smen, Ess-ays nud Rleden. Hrg. von Ado'lf FrrÎ'sé. HamhUl1g, Rowo.M:t Viel,],., (1955); 8°, 962 S. (Ges. Werkre. 2.)
TA 12.408/2
PüPE-HENNESSY, Una. Cha'l,}.es Dick·eus . Der Mensch . D:er Diohter - Seine Zei't. (Aus d-em Ellgl. Ü'hertJ.1a'~en v,on Sir Ga'l,ahad und ]jlse Lei'si-Gugler.) (Züri'ch), Maness'e Verll., (1951) ; 80, 537 S. Porh'. TA 14.563
PORZIG, WtlÙtel'. Das Wundel' delJ.' Spl'atche. ProM'eme, Methoden tUIld Er'g,ebl1lisse der mo:del'nen Spl.'llichw.i:s'seu:sdhafrt. 2. Aurfl. Hel1l1, Fl'anclœ, (1957) ; 8° 424 S. (Sa'll1mlung nalp.) N 528/71, a
QUEANT, Gilles, Erédéric Towam.jJdd et Aline 'Elmayan. Encyldloipéd.ie du théâlire conltempomill. Vo.l. 1 : 1850-1914. CPa.rÏ!s, LeIS PublicllitiOJ1'S de Fi·,ance, 1957); 4°, 207 p. VI. frig o pOl'tr. TB 1459
SALACROU, Armand. Théâtl1e. [Ed. d!Î:verses]. [lPadsJ, Gahlimal:d, (1943-1957) ; 8°, 7 vol. TA 14.933
SIMON, PÏJe11re·Henil'Î. La 'lilitél'a1tlLne rdu ,péchéet d'e Ja ,grâce. Essai ISur ~a cons· ütUJtÏon d'une littérature 'OlmétielUle d.epuis 1880. P,al1Îs, A. FaY'a,rd, (1957); 8°, 119 p. (Je 'salÎ,s . ]te :crois. l'20.) N 579/120
HÏJstoir,e d'e lira JiUélia'tUr.e f'l:,all1çai\Se au 20e \S,iè:c'l.e 1900-1950. 2e éd. Pa'rtÎs, A. COlllÎtn, 1957 ; 8°, 2 vo:l. (CoU. A . .cOlM. 3:13·314.) N 481/313-3,14
STREHLE, Herirnal1n. Yom .oetheimni.s delJ.' Sprruohe. SpJ.i aohiliohe Au~d'11ucl~Sllehr,e.
Sprachp'sylohologie. MündlIoo/Ba's'el, E. ReÏJnhart1dt, 1956; 8°, 201 S. TA 14.851
VERKAUF, Willy. Dada. Monograpn of -a movement. Monogmphi'e elÎnelJ.' Bewe· gung. Monogrophre d'un mouv'ement. Ed. by W' V'. Teufen, A. Ni,gg'1i, (1957); 4°, 188 S. Tiaf . .Atbh. TB 1470
VOGEL, Tmugott. V,atelllmlcl und Muttel·spra:CJhe. Ein W 0'1.'11: zurn Mund'ailit. ZÜ<l~ich, Artemis-Velll., (1944); 8°, 30 S. n. g~z. Aibb.
-170 -
Pi'.eiiSe d.er PA 8364
II. HISTOIRE - BIOGRAPH.lJES
GESCHICHTE - BIOGRAPHIEN
AUBRY, P,aul V. Monge, le s'avalllt ami de Napoil:éon ,Bonapulit>e 1746.1818. Paris, GautJh!ier·V,iL1ars, 1954; 8°, X +364 p, pl. portr. TA 14.900
AUCLAIR, Ma11ceJ11e. BernarlelltJe tl858-1958). (Baris, Bloud et Gay, 1957); 80, 283 p. f.ig. pil. . TA 14.921
BACH - THAl, Jean. Chrono['Ogie dre:s il-clations inltelJ.'Il1atÎ'ol1'allelS dre 1870 à nos jours, Parws, Ed. ,cIels ThelatioJl.lIS lÎulternatiouaiLes, 1957 ; 80, 275 'P. TA 14.702
B ,as 'e 1. Denksohrilf,t zur Er,i.nnel'uJ1lg an d,ie .vo,r 2000 J ahren el'folg,te Grünclung ,de,,: COlloni'a Raur-ica 44 v. Ohi' .. 1957 n. Ohr. Olten, Bats'eJ, Urs Graf.Vert, (1957); 4°, XII +331 S. Taf. tAhb. 'PQ.l1tr. TB 1463
klhent B é g u ,i n. Etaipes d'une 'p'eJIlsée. Rellicontœs avec AlLbert Béguirn. Neuchâtel, Ed. de !la B'aloollnièl'e, 1957 ; 80, 286 p. /pol'tr. (Es-s-a,is e't témo:ilgna.ges. . Oahri:ers du Rh Ô l1!e. 96.) TA 14.738
BRODR1CK, J'a.mleIS. Saint ,Pien:e Canisius. Tr'a:d. 'et a:dllipté par J[oseph] IBou-langé ·et A[l1ldrl'éJ Noché. Parjjs, -Ed. S,pes, (1956) ; 80, 2 voil. TA il4.903
BUSSMAlNN, Walter. Bars z.eÏJtallter .BÏJsmarcks. Konstanz, A. Ha,ohfielld, (1956) ; 4°, 282 S. (Handlhuch Iderdeutschen Gesch. Bd 3, T. 2.) TB 1452/3,2
C la hie T 's de c1vilis'a·tion méùiéwde 10e-12e siècles. No. 1. Politiers, 1958-NB 51,2
CALLOT, EmHe. rL'ihris'toiœ 'et ila rgéogr,aphie au po,ifl1't de iVlU'e s·oûollog,rque. Paris, Ed. Bèl ger-Le'Vl'ault, 1957; 8°, X +285 p. TA 14.360
CA'l1HERINE II, ,lmpératrioe de Russi,e. Mémoires éCI1Ï'ts pail' -eUe-même ... Texte élla'bli let 'présenté Ipar nomirrüque Mal',oger. ,[lPa'l1Î'sJ, Ha'chreltite, (19-53) ; 80,
302 p. TA 14.905
CERAM, C. W. [PlSoo:d. von Kw,t W. IMa11ek]. GOtter, Ol'a1her und Oelehi,te. R'oman der A~:,chaollog.j-e. HambUl'g, Rowoh'h, (1958) ; 80, 494 S. Abh. Ta!. Kallten. TA 14.930
CHASTENET, J,acques. ElI,is'aibett1h 1ère. ,Ba nÏls , A. Fayapd, (953); 80, 404 p.
TA [1.4.358
OOSSARn, Itailo. Hi,stoŒl1e 'elt g,éogq~phie de ;l,a va'hlée rd'ArO'ste. P.eti:t manuell i1lu5't,ré. 3e ,éd. (A'o,ste, Impr. E. Duc,) 1955 ; 80, 128 p. f,ig. PA 7739
DESAI, M-adhuri. Begegnung mi,t Gandhi. Des Mahatma !Lehen und lJehre, naoh seinen Gesprachen und Som'i,fIJen dargeste'LLt. (Ueberh1ag:en von Hans ,Z,billden.) ,Be.l'll, H. Lang, (1949) ; 8°, 14,2 S. Taf. Por,tr. TA 14.684
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11111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111111 '0 0-
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R. Lon~'tan S.M.
Paul Curdy
Albin 'F:ri'llgdi
At1ex BieJlandler
SOMMAIRE • INHALT
U TL langage muet
Erziehung zur Sparswnkeit
La joie à l'école par le disque
Das Lehrerseminar in Sitten
L'école et le sport
Pa'rti'e pra'tique :
Etude du sol et des engrais (sui'te)
Fiches de géographie (.suite)
Praküscher T eil :
Aufsatz aul der Oberstufe
Der A ufsatz i,n der Haushaltungsschule
Sprachgebrechlichkeit und Erziehung
RENSEIGNEMENTS • HINWEISE
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132
136
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14,5
149
15,1
154
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« L'Ecole valaisanne» paraît à Sion le 1er de chaque mois de nov,emb:re à juin. En été, numéros doubles le 15 juillet e t le 15 septembre.
Die «Walliser Schule» erscheint in Sitten am 1. jedes MOllats. lm Sommer, Doppelnummern am 15. JuH und 15. September. '
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Cpte de chèques II c 12 (Etat du Valais - Sion)
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CAISSE D'ÉPARGNE DU VALAIS Notre établis,sement tra,ite to'utes le'S opéra,tions de banque. Il exerce son activité dans le canton depu'i>s 1876. Il ne povrs'uit pas de buts essenrtierlil'ement lucratifs puisque ses bénéfices, aprè's les prélèvements nécessaires à sa consoHdation financière s'onrt entièrement affectés à des œu'Vre's humanitaires et socia,les.
CAHIERS VALAIS
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