L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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Page 1: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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Page 2: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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N° 3 - DECEMBRE 1959 IVe ANNEE

Crocus

Une institutrice

E. Claret

E. Claret

L'ÉCOLE VALAISANNE

SOMMAIRE

Solidarité internationale et valeurs chrétiennes

Comment je prépare Noël avec mes petits .

L'Avenir de notre jeunesse et les perspectives actuelles de

l'emploi

Esquisse d'un programme de travaux manuels de janvier

mai

Partie officielle et corporative

Fiches de travail : Problèmes de 1re Année, liste des publio

cations de la Guilde vaudoise de Documentation scolaire,

Bibliographie Nathan

Bibliothèque cantonale: Acquisitions nouvelles .

L'ÉCOLE VALAISA1VNE

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Page 3: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

PUISQUE TOUT ILE MONDE EN PARLE •.•

Solidarité internationale et valeurs chrétiennes

La catastro,phe de Fréjus CI provoqué à travers le monde un élan extraordinaire de

solidarité. Tel fut aussi le cas après les inondations du Pô, Marcinelle, le raz de marée de

Madagœscar, mais jamais, semble-t·il, avec autant d'intensité et d'unanimité. Cela tiendrait à pmuver que notre monde ne va pas si mal. Ces tonnes de vivres et de vêtementJs qu'on achemine rapidement SUl' les lieux du

désastre; ces petits sous grappillés dans les magasins, dans la rue, sur le quai des gares, même dans nos classes, ces petits sous qui, additionnés aux beaux billet des gouvernements

ou des organismes officiels, finiront par faire des millions, tout cela est IJrès bien. J'aurais niauvaise conscience à fermer mon portemonnaie, à émettre un doute sur

l'acheminement des secouns, à ne pas croire qu'ils seront distribués justement AUX PLUS

EPROUVES ET AUX PLUS NECESSITEUX. Je redoute bien un peu la rapacité de certaines pseudo·victimes et le favoritisme

qui ne lllanquera pœs de se camoufleq- çà et là sous le couvert· des meilleures intentions.

C'est humain, n'est-ce pas? C'est sur d 'autres points que je voudrais faire réflexion. Et d'abord la puùssance formidable d€ls techniques de diffusion. Quand la Presse,

la Radio et la Télélvision organisent une action concerlJée, coordomtent leurs moyens pour

créer un état d'esprit, il est bien difficile d'échœpper à leur influence. Combien ont senti l'émotion les gagner devant! le poste familial de radio! Combien

ont détourné la tête pour ne pas laisser voir leurs yeux humides! On a beau afficher pour l'ordinaire lUle carapace d'indifférence; ·dans ces moments-là, on fait comme ,tout le monde: on écrase furtivement une lanne, on martyrise un coin de nappe, un cendrier ou un objet

quelconque pour se donner une contenance. On ne prête même plus attention aux exagéraDions des speaker.s et aux inepties des

JouT1wlistes. « C'est pire que Maroinelle , c'est pire que trois mois de bombardement intensif»

écr~vait la Tribune de Lausanne du dimanche 6 décembre. Cela dépend évidemment du point de vue auquel on se place. Pour ma part, je me

permets d'en douter_ A Marcinelle, l'angoisse fut terrible, parce qu'elle A DURE. Au fond de la mine, les emmuI,és ont luuoé durant des heures, des jours peut-être, et dans quel affolement, avant de succomber à l'asphyxie ... Sur le carreau, les femmes, et les enfants ont v écu dans les transes pendant près d'une semaine, jusqu'à ce que tout espoir soit perdu. Et trois mois de bOlnbardement intensif, cela fait 90 jours et 90 nuits d'angoisse sans cesse

renouvelée, avec de.s destructions pires que celles de Fréjus. Dans sa récente pièce L 'HURLUBERLU, Jean Anouilh analyse finement le cas de

l'émotion collective. A partir de combien de morts faut-il avoir les yeux humides? Cinq? Dix? Trente? A partir de combien, le deuil devient·il national? Les spectateurs rient, parce que le héros ravsonne dans le vide. in abstracto. On ne pe.ut plus rire quand il s'agit d'un cas concret comme celui de Fréjus. Mais on voitJ par là combien la notion de nombre

est relative. Laissons ces chinoiseries. Cette él1wtion suscitée en nous par le journal et la radio, elle me paraît très arti­

ficielle. Elle ne touche vraimelll(; qu'au moment de la lecture ou de l'audition. Comme une pointe qui s'enfonce.rait dans la chair, sans percer la peau. Le monsie.ur qui vient d'écouter le report'flge et qui a mis généreusement 10 fI'. dans le chapeau du petit scout

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quêteur, est le même qui, le soir venu, d épensera 50 fI'. en beuver,ies avec des copains ou passera la nuit avec w maîtresse.

Darvs toute ce·tlJe action généreuse en faveur des victimes et des survivants, comme on se préoccupe peu de l'âme! Solidarité pour les corps, vivres, vêtements, argent, pour re bâtir une maison, pour se refai re une vie . ..

Quel journalistJe soLliciteraitJ de son lectew' une prière pour ceux qui ont été si brusquement saisis par la mort? Nous sommes pourtant là au cœur du problème. Vu sous cet angle, Fréjus est pire en effet que trois mois de bombardement, parce que dans ce dernier cas, la mort devient une perspective familière; on a le temps de Se mettre en règle avec Dieu, tandis qu'un mur de boue et d'eau de 10 mètres de hautJ, qui fonce Sur vous à 70 à l'heure, vous laisse peu de loisirs pour aller au confe.ssional du capucin. - Mademoiselle, vous avez écouté la radio hier soir? - Owi, mon p'tit. - C'est terri,ble, n'est·ce pas? - Oui c'est terrible ... nous allons commencer la dasse en priant pour les morts.

Combien je préfère cette réaction chrétienne de la v ieille institutrice aux émotions fact!ices de la radio et du journal!

Educateurs, rétablissons le juste équilibre entre l'âme et Te corps. Ce couple qui a perdu ses quatre enfants, ce père de famille qui pleure sa femme et

ses dix gosses, il leur sera bien difficile de continuer à vivre, si la détresse de l'âme s'ajoute à la détresse du cOl·PS. Pour ceux·là la prière de nos élèves sera nécessaire. Leur quatre sous ne seront qu'utiles.

Prim,auté de l'âme

Après-midi de juillet 1957, sous l'implacable soleil d'Espagne.

Crocus.

Dans l'express de Madrid, les voyageurs sont soudain tirés de leur somnolence par un freinage aussi subit que désagréable. Après quelque trois cents mètres, le train stoppe, en pleine campagne. Intrigués, les gens mettent le nez à la fenêtre malgré la chaleur. Ils voient alors les deux mécaniciens courir le long du convoi jusqu'à rIa dernière voi~ure, tandis que le chef de tmin passe rapidement d'un wagon à l'autre, demandant s'il y a un prêtre. Il s'en trouve effectivement un dans mon compartiment . ..

Le Sud· Express vient d'écraser une femme, une dése~pérée probablement. Le prêtre donne une dernière absolution et prie auprès du corps broyé et déchiqueté. Les deux gardes civils, passagers obligatoires des trains espagnols, font leur rapport; puis, un à un, les voya· geurs s'approchent de la victime et 'échangent leurs commentaires. Il n'y a bientôt plus personne dans les voitures. Typique Espagne!

Après 20 minutes d'arrêt, les mécaniciens remontent sur la' locomotive, donnent com· plaisamment quelques coups de sifflet pour inviter chacun à regagner sa place, puis le Nain repart.

Je me suis souvent posé la question: chez nous en pareil cas, le train s'arrêterait·il? S'arrêterait· il si longtemps? Nous avon's le respect de l'horaire: un retard doit se rattraper, minute par minute. .

En Espagne, on a toujours le ttemps. Et une âme qui va paraître devant son Créateur vaut bien vingt minutes de retard sur l'horaire.

Qui donc à raison .? Nous, avec notre technique matérialiste dont nous sommes si fiers Olt l'Espagne avec sa culture trœditwnnelle si profondément humaine ?

E. C.

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Page 4: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

Comment je prépare Noël avec mes petits

Chalande et le Père Noël, ces contefaçons laïques de Noël, deviC'nnent de plus en plus envahissants. On lira avec intérêt ce témoignage d'une institutrice de chez nous qui lutte pour rétablir Noël dans sa vérité.

« 'C"est hilentôrt Noë,l ! C''est hilentôt Noël! » T\()IUIS 'Ces p ,etits mi'ocl1re:s vien­nent à ma '1'eIlioon1:.1"e en s·autant SUir un pie:d au l'ythme dies quaJtre mott:s e;nohlanltés qu'Hs Cl'll.'eIllt à ttue-tête.

« Ma 'maÎltl'e8'S'e ... encore combien de [,oi's qu'on doitt al!leT lS'oo'll'ohm' a'V'aIlJt gu"c'est Noel ? » .

ùe ·com'Ptte S'eTaitt 'trop I.on'g et décQiul'agerait leur ~,mp,ati'enee. De l'OPltri-mirsmle : COIlll'P!tOIl1S p.ar semlalÏlllJes· !

«P1rœs qIllle 1Jrois eH:manch .. es ! ... » « Qll'eH·e chance !» Trois dimall1ches, c'!est itleUeJTIlenlt p!lus COUIl' t que 21 nuilts ... pOUir ileurs oinq ans !

«Mla ·maÎitœs'S'e... (ils s'Iemlbroui,uent encol"{~ d.ans le «mlademoŒseUe» d 'Iü<sa'ge !) VOiU'S sa vez ce que je 'c01nm'ande au p 'tit Jésus ? »

Et toc! Nous voilà au cœur du problème. Sans le savoir, ils réveillent ce souoi que le m ,oi,sde 'dlécemhl'e nous T'amène chaque année.

COIll'Inent nous y pl' eIl1rcl l'e , dans nos d lasses die tOUit-petits, pour respectler la vér.ilté .de Noel sans endètrtl,i,l'e le mystèl'e ert la po-é'si;e? Car ce plroblème e:x1Ï,ste. Nouls ne pouvons Ile néglige'l.'.

Dès lia Iienltrée de seprremhre, .la p'remlÎ.èœ 'l'entrée pour mes élève.s, ~Ia néces­sitéd'une sél1i'eIllse mise au point s'e fait senrbiT. A ,l'a pl'emière l,eçon de caté­chi'sme, dès que nous paI,I'011'S de Dileu, lilrS no'us int:wrompem, volubiles :

« Oui ... Ille Bon Dieu qui 'm'a alpp'olmé une bellre p'Oupée à Noël avec un gil·.oS t a<s d'e joulets . . . »

Toutt!e Il'euT nOlÜon Ide Dieu est 1à : un E'tre invi,sHyl,e let ,mystél'1Ï:eux qu'litl ne faut pas méoonrtell1lter si J'·on veut être g'âté à Noël! C',esttassez lamlentable ! D',aultmes 'enfarnlM vont 'eIllCOI1e plurs loûrn :

« M-o'Ï, ma maÎit'l~BS'S'e, je J'lai vu 'l'anné'e passée. n aVlatÏt une ~ral[llde barbe et titI m"a donné un hi'scôn1le ...

Où l ' ,alS~tIU vu ? - Chez Gonset ... il aVlaiit une g-r,and'e robe I10Uig,e ! »

Que IftaJi'l1e ? COlTIl111enrt réagi'r S'au<s tll'OP hOIld-eVle<I·S'e.r <tou.tles Ilem.·s CIl',o)1lances enrtantli'l1!e's? Sur -l'e ,del'niler p'oin!t, du 1l1'mnS, j<e ne tr,ansrige 'Pa's: «ile Pèi'e Noël q'1l!e VOUIS avez VlU sur l,a place dru mar'Clh'é ou dans les ma'ga<srins ... OE N~EIST ,PAS DE BON DŒEU ... OE N'EST PAS L'·EtNFlAJNT JESUS! Dieu est ~eLletrmmt p!lru.s hearu, ilJeiJltemem;t ,meHrletrur ! C'éJtJallit sim'P;}tem,erntt nn mOlfiiSieulr qui n/mllie blÏ'en les enfants et qui a voulu vous f.aiœ 'P'hisi:r ! » ]} f1alUt êltœ 'l1elt. rAllllCU!Il

douite n ie dort subsi'S,t'er clans leu'r esp'l'lit. TolUS ,ce's honrshlo'mmes plus ou morillJS vénérahlers ou ,neIlitœip'O:tentrs n\:>nt l~i'en de 'C-Offin1Un ·aVlec leut' PèTe ~'U criel.

Soyons sans 'Crainte. ills ne s'erom pa.s déçus. Au fUT 'elt ,à me<SUI'e que nous l,euJr .plaI~lOll1s .de Direu eit qu'lÏllS app'renl1'enrt à Le IconnaÎtl'e, ,Hs se IdéltJa,ch:ent de ces oontJl'eiflaç'orr~ auxqll'elll}le8 ils sonlt t 'oiUlt ftÎleŒ de ne plu<s ,c,ro11'e. EIt're, ·comme les gvands, lau ·COUI'ant .de Ilia vér'Ïlté, pellJSiez .d-oDC !

Quam .à l'Enflanlt Jésus dre 1'001' ,imaginat!Ï'on, ce POUpOIl1 Jésus si mlÎgnon, et si œn.vrarioStemhlaJblle, qui flalÎlt Ile ttJOU:l' des mallso[l'S ... le rs'OO1l' de Noël, \Cie ,ipiOUpO[l Jésl!JS dies -caldreaux . " . que ,flault.qll 'eJIl ·f:ai'l1e ? Si iIlOUS 'émi:O'JlS s-ertlls en c~-e, lia · l~épOnoo !Serait rsinilp'rle. li n'y alll'valÏt qu'à Le ré1tJaibiliir d lans 'sa 'VIécilté preIhiètre qu~

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est si hehl,e. 1L'IEnf,ant Jésus de ala cTèohre il:e 'relJ.ll'p~acel',a avantageusemenJt. iLe.s enfants :sont si pro'ches, à 'Cet âg'e, du mysrtèl'e de Noël. Cet1:ttle m 'agnrifiqrue m<SltrolÎ.tœ est cel.l'e qui surpas's'e toutes les autœ:.s ,à \Leurs Y'ertlx. Combien de .fois lari-je enJtBl1!du : «M,a lnaÎllmesS'e ... sri on esrt sage, vous dite:s enoOl'e une' foi,s Ilia vlia!Ïe histolÏ.lr'e dre Noël? »

Hs ne <s"en la.s'S'eIl1ft j,aJmails. POUlr fbœr Œeur imaganaroi,on, !la crèche est H ... une crèlchre .as'sez gl,ande lau paylsage évocat!euT, laux 'P'e-l~o!l1lJ.l:ag-es simpl'es, fla!il<s de fill die f:er Ielt Ide bolUits d'étoIHers, ma,is qui onrt !}'laVlantage d:e 'Pouvoir adoplteil.' !f'ÜUJtes les a;tJtÏrtudes que JIBS enflaIlJts l'ffill'8 p-rêltent.

T 'Û'uite l<eur puJÏss'ance Id '·amour se pOiW ,a}O'r,s SUT ce petJÏtt Ett'e Corudlé SUtr lia paille .... 'elt qui leIS/t le peltriJt g'arçoll1 du Bon iD!Ï.eu. U S'u.ffÜit largeme'llit il J'eIllI~ rêves dre Noëll, à leur solÏf e1e ffile'l·ve,iHeux. E lt croyez-vou'S qu'r1s admi'l'e<l.10nt mOŒIlllS l'e sapin H~umill1é 'en sa·cha!l1<t qwe ,c'elSt 1',aJl11:()Jur de l'erurs 'Parenlt'S qui Ile leur pro­ClUre? Pourqu1oi ne pais sai\SlÏ'l' 'c'mille 'Ücoaeion de ~es e!Illtendœ di're un ffilm'cri joyeux?

Dans ce dréliüart problème de Noël d ies pe'b:üts, il eXIÏlsrtJe run O'bs1Jacle eS'S'entileil qU!e Isouvenlt nous !ne pouvons f lranchh' : ~'Iavis des 'p'arl'ent<s ! Quels so'l1lt ceux qui ti'enneilit ~e p lllU1S à lia fahle ele Noël ? Biren. ce'lilia:Ïne'l11Jel1lt, iLes pap as et wes m·amarIls. Us s'y 'ClaInp'OIhl1Jent, J'rellJtIiellJieuIl'eJJ.1,t Ielt ~"enjloiliiVlell1it de mriUe détaJilrs 'Ïlllédil:\s e1t saugI1enus (quoi,que chrarmlant<s !) Si s'Ouv:eurt, j'.ati 'entendu ,des mamJal1iS ,aVlOUiel' :

« Que vrQIuœez-vous ... s i Ile p'eItJ~t n'y 'Cl'Oy,aJÏJt 'p1urs ... 1ll10iU!S n"aulr1oil1's p~u'S de p~lali'si;l' ! »

Oet:rte année ,enCO'l'e, alprès avoi'l' !réfJéchi à ,celt ,alspeCit du problème, j'lai dû reconnaÎtll'e 'aVle'C l'e~œ{t, que ItoutJe 11ectifi.cattion de Ina patiit lSolll'lèv,e'l'allit ,des p:ro­lIes1:tatJio'l11S lin,e1i'gnées. Hélas! jedoilS me taire ... 'CIomn1!e tJaIlIt 'el"aultl'es inslttÏJtJwln.'IÎ.,oos d e pelbi<tes classes. Mlais du lTIoins, ne nous hissoIlJS pars ellJtl"aÎUell' à en p:al'rell' nOUtSoffi1êtmes, ,à 'entœlteniT oe cHmait de rtrŒl1perieaiUlssIÏ atlt'l'a)'lant 8'oiit-i1 ! DaillS ma claslse, j'ruJse d'un 1S!tJ.·)artlagèmle. NOillS fêterons aussiÏ Noël. Nous ·aurons notre sapin, il'lwiLLaIlIt :de Jumières ... IJ.Thais là, 'aucun Coul}JTomils !

Dès que h petJiitle Myl,j.'am m'la .ele[l.TIlandé : «Est-oe que 1e P loup.on Jésus passel1a 'aussi ,da'l'lS no'tJre éoole ? », j'ai lJTrÏ<s 1Jeschosles 'au pOlin/t. Bien SÛT l'lEn.f,an1 J éros, à Noël s'ella dia<I1!S notre écol'e ... PARCE QU',]L ISffiRA DANS CHACiUN DE NOS -CÜEtURlS et qu"ens'emhl'e nous noutS prépa'l'ons à le ~'ecevoilJ.·. Il ser,a [à parce que Noël, 'C"eist avanlt t0'l.11 SA FETE, maris ,ce n'lest paIS Luci. qui viendI1a app O'llter Isapin et 'Cadeaux. Il a luis, 'P'rès \eJ',eIllx, des gran1etes personnes qui ~e f'el10nlt à Sa ·pILace. 'C',eslt J.ésurs qui a voru~u que Noël sorirt: 'a'lltSsi Ira fêllJe :cl,e roUIS les enf ant's, 'et el1!semhle noUiS lui 'c1riI11ons un tout grand merci. V ori1à aussi poru!l'qtllori les enfants qui :S'ffi'Onlt gâtés ,à Noël ,doi'Vlenlt 'p 'ense'!' à 'Ceux qui n'ont 'pIus de g,l,andes personnes pOlur l,eul' p 'l,épal'el' des 'SU/l'prises .... et ·c'esrt à eux ,d'y penlS:el' et de pa'l'tager. Voilà du 1l11êtn'l!e ,coup lefflacéJe '0e!tlte 1égBI1de mOill'stnlle'l1se ,d'un ni'eIll qulÎ. ne p'enS'e 'qu',aux l'.Ïdhes et qulÏ ,]]Ié~lige Iles mfaIheureux .

Oe!tJte lannée, ClOn11lllie Jes p11éJcéctell1Jtes, j1e DIe p:0Ulm'ais en 'clille plrrus ... matis je 'sO'uhaiite que C'BS enfants qui laulront üomplü'S ,le v'l'ai s'e11!S lelu Noël de ['école fasisenlt le 'lmpp'l'Io'chem'enlt qui s'imtp'osle ,aVlec ~e Noël tde <la nl'alÏ.'8on.

Je '11eg,a'l,c1ais, tanJtô1t, ,dreViant la 'ûTèdre itHuminé e, U1IeS Q3 go'S'S'es aux yeux bl,iHall'tJs. }e Illes écoutais d1Janbe1.' f,aux ... m'ais de torut 1100'1' cœur et Œle do!Ï.gt s'W.'

les lèvlres Ile ,chant lappl,i'S ,ëLepu1i.'s Feru : « Chut! chut! chut! chut! L'Enfant dort; pas tant de bruit! »

. Je ,suis ir~'SS'l1II'ée. L'Enflantt 'ete ·,1a crèche 'LieSite 'P'o'U1.' feuX, sinon ~e rslelll~, du mOlITS !lle pll'eIl1Jlle'r ! Une 'llliaÎ1:1'esse de cilaJSse enrf,anltine

~ .C;7 -

Page 5: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

POUR LES PARENTS, A L'USAGE DES EDUCATEURS :

L?avertir de 110tre jeunesse

et les perspectives actuelles de l'e111ploi

L'Association des maîtres secondaires du Valais est en plein boum. Lors de son Assem­blée annuelle, le 18 novembre dernier à Sion, sous la présid~nce de Mr., Rémy Zuchuat, le Professeur .P!le1J.'ll'e Jaccar:d, de l'Université de L,ausanne., a faLt une co~terenc,; re":.ar~uable sur les «Perspectives actuelles de l'emploi». Les lLgnes suwantes en sont l echo. Elles s ad, essent à tous ceux - parents et maîtres - que préoccupe l'avenir de notre jeunesse.

L'homme de <la rue fait volontiers la constatation que dans nas in~ustr~es de la Lonza, de la Ciba et de Chippis, C01nme aussi dans nos grands chantiers hydro-electnques, les. cadres sont étrangers. De là à se plaindre et à crie?' à l'i.njustice, il n'y qu',un pas: « le V ~laLsan est tout juste bon conune manœuvre! » A qui .Le .lui repro.cherait, l:emp!?ye~r pourrau prelS,que toujours répondre qu'.il a bien cherché des cadres val~Lsans, m~Ls qu LI n e!t a. pas. trouv~ . . -

Il y a là un fait social qui intéresse le corps enseLgnant, meme au degre pnma~re" s!",' tout au degré primaire, puisque l'orientation professionnelle se fait déjà da,:s nos .classes u,:fer~eures.

Autrefois le Valais n'arrivait! pas à nourrir ses enfants. La terre L1tsuffLs~nte. ~t ~ng1, ate, la for.te natalité, le tourisme inexistant, l'absence d'indust;ries lomles: tout JUJst~flCLLt l exo~e.

Aujourd'hui, bien qu'atténuée, cette nécessité de l'exode demeure. La cessatLon prochame des grands chantiers hydro·électriques la rendra plus impérieuse encore. , .

Vers quoi donc orientJer nos adolescents? Vers le retour à la terre? Non. L agnculture aUJssi se Drallis!orme. La petite propriété finira par disparaître, à moins de génér~liser la f?rmz:le bien valaisanne du paysan·ouvrier, formule qui n'est d'ailleurs pas une panace~. La mecamsa­tion de l'agricLûture diminue ,la main-d'œuvre, tout en augmentant la productwn. Deux b:a~ suffiront demain là où six sont aujourd'hui nécessaires. C'est déjà ~e qui se passe en Amen­que: le rendement d'un farmer équivaut à celui de 3 pays~ns françl1:Ls. Chez n.ous, la paysanne­rie ne représente plus que le 13 % environ de la populatwn uravaLlleuse et û est absolument illusoire d'espérer pour l'avenir une remontée de ce pourcentage.. . , A

Est-ce vers l'industrie qu'il faut orienter nos adolescents? OUI, et non. SI, .c est p,our etr,e de simples manœuvres, des ouvriers non spécialisés, ceux qui sero"!'t .les premLe;s debaz:ches en cas de crise et de chômage, comme le montrent toutes les statLstnques, ce n est vraLln:ent pas la peine. Le manœuvre d'usine deviendra un paria ou disparaîtra p~r s~âte de l'autom.atLo,n, plus encore que celui des chantiers. Aux USA, le 90 % des ampoules d'ecla~rage sont fabnqu,ees par 14 hommes et 14 machines. On s'extasie devant la besogn.e accomplLe par une machme­outil, on reste volontiers une demi-heure à regarder travavller un trax, sans se dem~n~e! combien d 'hommes il faudrait pour un rendement équivalent. Cinq ·de ces m~stodontes dLnges par 5 'spécialistes réalisent aujourd'hui autant que 5000 fellah? en 1880 travaûla"!'t au canal de Suez. En Suisse, la mécanisation des téléphones a économLsé 20000 employes et rap~orte chaque année 100 millions à la Caisse fédéra.le. Bientôt les chèques postaux seront eu;-rr:emes entièrement automatiques. Ces quelque>S exemples montrent suffisamment le sort precaLre de la main-d'œuvre inférieure. Si 1900 a connu la désertion des campagnes, l'an 2000 connaîtra l~ désertion de>S usines, l'automation sL~pprimant le manœuvre. Et l'an 2000, ce n'est pas SI, lointain : tous nos élèves le connaîtront!

C'est donc vers la spécialisation qu'a faut orienter notre jeunesse. En effet, si le travail pthrement physique et mécaniqu~ est afpelé à d.iminuer :?-pide,!!,ent,

le travail intellectuel va croître dans la même proportwn. L automatJwn a deJa cree de nombreux emplois nouveaux, qui tous demandent une préparation technique très p,oussée. L'automation a cela de particulier qu'elle n'atteint jamais sa limite de puissance, contraLren;ent à l'homme qui connaît! vite ses normes. Une invention nouvelle suffit à rendre dém?de un immense parc de machines. Un outillage très coûteux et très perfectionné peut être subz.tement dépassé pal' une découverte. Primauté indiscutable du cerveau! La mac~ine n'écrase qu~ l'homme ignorant et négligent; elle respecte l'homme intelligent et ne sauraLt se passer de luI,. La conclusion est claire: seul l'ouvrier qualifié l'estera demain en activité.

- 58 -

Or c'est précisément les ouvriers qualifiés qui manquent chez nous. Dam; le bâtiment par exemple, le départ de miLhiers de spécialistes italiens créerait un grave déséquilibre. Moins apparente dans les usines, la pénurie est tout aussi réelle . Chez Fischer à Schaffhouse, plus de la moitié des ouvriers qualifiés passent chaque jour la frontière! Chez Brown-Boweri à B aden, la moitié des ingénieurs viennent d'Allemagne . En France, d'après des esl!Ïmations officiellement publiées, il manquerait actuellement 10000 ingénieurs et 17 000 ouvrier·s quœli­fiés . Un spécialiste disponible pour quatre nécessaires, tandis que pour les manœuvres, la proportion est exactement l'inverse.

Même les U.S.A. manquent de cadres. Sait-on que le 90 % des physiciens nucléaires formés à Zurich et à Lausanrte partent pour les Etats-Unis où ils sont demandés et engagés immédiatement?

Il n'y a guère que l'URSS à posséder des cadres en rapport avec ses immenses besoins. D'après M. le Professeur Jaccard, la Suisse aura besoin en 1970 de 520000 ouvriers

qualifiés, soit une augmentation de 50 % de l'effectif actuel. Chez les employés de comme1'ce des entreprises industr,ielles, on estime aussi à 50 % l'augmentation nécessaire et à 80 % celle des techniciens.

Si d'autre part, nous jetons un coup d'œil sur les courbes de natalité, nous faisons la cOllistatation paradoxale suivante : c'est durant les années de guerre que la natalité est la plus forte! les années 1942-43 battent le record et c'est pourquoi les établissements d'instruction supérieure - IJechniciennes et collèges - craquent de toutes parts sous la poussée sans cesse grandissante des effectifs. En 1960-61, dix mille jeunes gens de plus que la moyenne de ces dernières décades entreront dans la vie professionnelle. Seuls les militaires ont prévu cette augmentations en agrandissant les casernes. Les civils vont être pris au dépourvu.

En soi, cet afflux nouveau est très heureux: il va permettre de combler partiellement le déficit en spécialistes et en ouvriers qualifiés dont souffrent tous les secteurs de l'économie. A condition, bien entendu, qu'on les forme!

Et c'est ici que le personnel enseignant, ·les conseillers d'orientation, les Autorités à tous les échelons dO'ÏI\~elJ.1t intervenir.

Répétons inlassablement aux parents que tolérer un manœuvre aujourd'hui, c'est préparer un chômeur pour demain.

L'apprentissage est un devoir ·sooiaI. Le gain immédiat dans quelque chantier que ce soit est une duperie, parce que ce gain est sans cesse menacé. C'est sauver notre main-d' œuvre que de la qualifier davantage. Et pour la qualifier davantage, il faut augmenter et approfondir la fonnation scolaire. La France a compris: la scolarité obligatoire vient de passer subitement de 14 à 16 ans eD au moment où l'on parle de compression du budget, de r€lStrictions, de sacri­fices à tous les échelons, seul le budget de l'Education ,nationale s'est vu augmenter de 60 % (144 milliards 'pour 1960). « Investir en hommes» devient un mot d'ordre impérieux. R ude leçon pour les Communes de chez nous qui n'ont pas encore comp";'s la nécessité d'une scolarité prolongée!

Le temps viendra où l'on n'acceptera plus en apprentissage les jeunes gens qui n'auront que l'école primaire!

Agissons donc par persuasion auprès des parents pour qu'ils ne sacrifient pas à un gain immédiat l'avenir réel de leurs enfants. Rappelons aux plus pauvres qu'il y a des bourses eD des prêts d'honneur pour eux.

Tâch0l1lS de convaincre les gars eux-mêmes, souvent moins âpres au gain que leurs parents. Ils nous en seront reconnaissants plus tard.

E.CLARET

NOS PROJETS IL'ECOLE IV ALAISANNE de janvier reproduira la conférence faite aux Institutrices, le

dimanche 6 décembre, à Martigny, pal' Madame FERRIER, de La Chaux-de-Fonds: LA COR­RECTION FRANÇAISE au degré supérieur primaire.

En avril, numéro spéciaJl sur DERBORENCE. En mai, un centre d'intérêt: LE BARRAGE. En juillet: DIX ANS DE CONSTRUCTIONS SCOLAIRES EN V ALAIS. En août, MONTESSORI, pour le 90me anniversaire de sa naissance. Les feuillets pratiques de ce numéro contiennent! un certain nombre de problèmes

pour la première année. Notre intention est de les mettre sur fiches, ainsi que le questionnaire de géographie dont la publication a déjà commencé l'année passée.

Une quinzaine d'autres fiches de français (grammaire, conjugaison, stylistique, homony­mes) sont en ,préparation pour le degré supérieur et sortiront durantJ l'année 1960.

- 59 -

Page 6: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

ESQUISSE D'UiV PROGRAMME DE TRAVAUX MANUELS de janvier à mai pour classes modestes

LBS ~rav,aux mailll\l'elts sont tau progtl"1<lml11'e . .Ge !pi·O,gtJ.1(!'mme œt en Il"éa'bté très schématique, sall:s croqui.s, :sans ilell.l-5'eignenllentts ,pratiques, stans Idétaills taUCtUlll'>. L'illunense majori\té des éCOIles villageoi,s:es n'on:t ni l'Ü-caux adapt~éJs, lIn oUltÙJHage, nlÏ matéll:lieJ. de tlIJ."1<lvaill.

Et les inspecteurs sont là qui vous talonnent en vous rappelant les prescriptions offi-

cielles. Que fail:,e ? Ue jeuilles conè~ues sont venus Ime IlJr'o'Uv,er: «La ,Commune meit à tn'Otœ disposition

100 f.r. par cla,s's,e et p 'M' tannée POtU!l' ·des ,tIl'a'Vtaux 1ib!l.;e.s. Que ,peut-on faÎlœ aV'ec 100 fll' . ? POIUru:i'ez-vous nous ,inditquer 'Une ·esqu1tslS:e d'e pll·.()grill11IlUe pour Ih~s 5 ·ou 6 mo,i,s qui Il:esten:t ? »

V 0[011J~i'e'l.1s . Ma:i,s 'P·ell.ll1lBl1bez-1ll0Ii UJ1Je 'consil.dén.1a:tion financière tto!UJt ,d'abord . .on ne rva p 'as ~oin avec

100 !Ir., tsur'~o'Ut quand 1l'0lU!tiillage d:e base est inex:istant. Sans éJmeIJm:e (les p'DétencioI1s 'exo!l®'tantes, iJ. .f.aud!l·.aiJt 1l111e l5emhle~t.ûll, tau dép<l!l't, !Un pre­

l11'ier ,s·uJhside de fl]:. 150.- Sll1J.u.CJtJemen!t néoessaÎ!l'e POUl]' munir lIa 'Cilasse de !l.'outiol!l'age.,minimum : quelque:s ,éque:nies en II'e'l', des coupeipa,pÎe:r, des ,coupe-ca~l.1ton, des c1seaux, quedques m<l!l'il:earux, pOrnçOI1'S, pillloeaux, lemrpoll'te-pièce, tde .l'a colle, des ISO'lls"mains 'épaiÏ,s pour pro.tégell.' les Itahles.

P.mi's ohaque année, run tStubStidte d 'e 150 ,f'l'. IP<l!l' ,Clla's'se pOUl' Ile l.IUaJtérlÎe:l ,de rtll'WVlruiJl : papi'er, cWll,on, ttoi'be, .rotbin, gOIl11ll1l'e!ttoes, '11lllhan, Illa'Oet, pa'pÎtet.l' ntéta!l.lr1sé, 'e~c., etc.

Ces 150 ,f,l' . ne font jama,ils que 3 lfir. par ,éllève, oe ,qui lest p'eu en Icomp:all.1ruson d,es 15 ou 20 h . que 11epl,éJ5'e:nte 1J.~e.1lemenJt l,a ,dépe.ns'e IÎ!IlIdiwdru'~11e rpOUIJ.' rtJ.'tli'vaux manuels d.a.l1's Les olw5'ses de Lausanllle, de Berne, ,de ZUl'\Îch ou de Sion.

B.l'ef ! ,si la Comm'lll1e oolll10iJe 100 fil'., C"e.Slt ,déjà un jobi geste. En run 'Comm'ence'ln'elJ.1t. EJsls'ayo:ns ,donc de nous 'en 'sO!l1tJiil' 'a'V'ec 100 fr., qu;i:t~es à ,e'Spaoe.r ll'équipement d.e base sur plru'sileU!l"s 'années ou ,à Ipell.'c:evoli1: des éIlètves, '1lllle 1ll10'd'esl!e ,conlll·ibution de 50 'ceIlltimes à l'-occasion ,de telle :réalisa toi on 'phlS coûtbeUJse. Si ,l"objet fahl1iqué ,est joli, Ibien (réussi, l.e.s prurenIts aocep~eron!t 'V 01 on l1Ï"eliS ,de 'paye'!' WIe par~cie 'du m.atbl'\Îd.

Oomma.nd'ez donc chez Ile .spéoi,al:itste (Schubiger, W.ialltell"thm:) [es quelques outils suivan'tls qui vo:us stUf,f,ilJ.~olll't pOUl' CJeltlJe année:

3 équenre:s ,en flet.l, 23 x 40 cm. à fil'. 7.-3 cOUIpe"car~ton (lame .doruhle) ,à fr. 2.-3 coupe-papi'eIl' (Ilame ,SlÎlJ.llPl1e) à -fil'. 2.-

10 petiJts poi'l1çotl1's 532/3 ,à f!r. 0.45 1 kg. col1le 'en palliUetlbe's «UniveliSeJl!lre 45» 2 pinceaux plats étroits (No 900 a) à fr. 1.30

21.-6.-6.-4.50 6.50 2.60

TOltall .ft-. 46.60

Comme IsoUIs~nalin, du 'oaliton d'e fortune; pOUl' 'lia 'col1le, ,deux bo'1s 'ordinaires. Les élèves app o,lil,eJl'o nit chacun une paÏ!le d,e oi.se'aux, ,éventUieUement d'autn:elg outils néoessair-es. Un canif bien ,a iguis'é f'era l'affruiil'e It'rès SOUVet.llt. On pOUl'!l'a même écouomise!l' «SUtr» la cOIHe, eIl1 del.ll1an­clant ·à dl'acun d"appol~t,e,r IU.lI -tube de oéJmenllit.

Quarxt aux ttDavaux à l'éall<ilsell.", voici 'ce que nous p110posons :

JAlNVIER-FEVRIER

A. 4 napperons en papier nOlr sur fond de couleur POU!l' 30 élèv'es on coml1l'andeva : 144 catl1l,és ode papirell' tnotill' gommé No 1526 de 16,5 x 16,5 omo • . • Fil'. 5.-120 carrés suffiraient à 4 napperons par élève; il est bon cependant d'avoir une cetl'taine matl'ge de 8'écuro.té.

- 60-

144 'canl'éls d·e papÎler na\truœ ('s,éTIre 4000) ,die 23 x 23 cm. ..... . . . Fil'. S,--On la'sso,p~il'a Ilets coulleulis, s'oit 4, fteulillle·s 4Ü'11

4 ('eu:it1l'e:s 4,017 4 ,f'e-llliŒl,es 4023

et 'o.n d;emander·a d'enV'oy,ell' aUls's!Ï ,les rognures et les chute·s pOUl' fair'e des ftt'ises en :J.'I'barmheJN'e·s. Dut,é!e td'e ce t'J.';a'V'aIÏ.Q : 3,4 he:ull'les . L'ECOLE VALAISANNE du 15 janvi'eIl' ind!itqllel.l'a la marohre du tlrH'Va.n,

B. Animaux, person,nages et paysages en papLer découpé ou déchiré

P'OUIJ.' 30 ,élèves on cOlUffi,all'de'J.'Ia :

20 ·flettitlllieis de pap,i'el'coi]oré bri:U'aIll't, Ide Œ'a sél'Île 100' soitt 2 f,eui'lles de chaomre des teitll'lleJs SluiV'anltJes 103, 106, 108, 109, 113, 118, 120, 124: 125, 126. . . . . . • Fr. 6,­:Dur,éle ,du :tIlw\"ali,1 : 3-4 h, elt davlanltage. M-a.rche du 'lll'avaiJ 'e't eX'emples dans l'ECOLE V'i\LAISANNE du 15 janvier.

c. Décoration de textes., frises, dessins « en ribambelles»

Comma1nde!z d.es btanlde'S de d ,écheJt elll papier fin co'loré, Im:.ge'l.1tJ: i1111ill'imum 6-7 cm" 'pOfUJl' tplHage «en ll1Îhamhel1es» ' ...,. . . . . . . iF:l.'. Durée: 3-4 heul1ets. DéJ~airls d'a'lll'> ECOLE VALAISANNE du 15 féwTIler.

MARS

Jeu de Dames et jeu du «Moulin» avec étui A connnal1'd'e'!' :

3,-

30-35 C'atJ.1lîés de 'caa.1ton ~ri[S machine No 25 d'e 26 x 26 cm. . . . F'l'. 3.-60-70 oatl1rés d'e !papi'el' à d.essin ordinaire, blanc ou gris de 25 x 25 cm. pour y desStiner les j'eux à l'e11lore .de ·Chiine. (2 carrés pour chaque élèv.e) ·Ce 'P'ap~er ,d'e ,de:ss~n est à prendre sur le sitock de la dass.e. (On p 'eUit laussi a .che·lleir .chez Schubiger les f'euH1es ,de jeu déjà jmprimées : jeu de dame·s No 17. jeu d'e morultin No 16. -GelS jeux !l."evilennenlt à 15 centimes pièce. Mais nous conseillons plutôt de le faire dessiner pair J'élève). De plu's, iJl J'taut tBtnCOlJ.'le command,el.l' : 1 mè1Jl'e de 'toi'le ma't'e ,légère No 630 . . • • • . . . . . , . . . Fil'. 3.50 3 rfieuhlles In~l1es 2707 . . • • • • • • . • . • • . . . . Fr. 1.40 POUIJ.' chaque, éJlè~e, 18 p,io'l1s 'll'OùiS.{bl},anos 25 mm de d,i'amètve, soit environ 600 pions (tmatl'gte :de 's.eCUr11lle co.mpI'itse .• • • . . . . . Fr. 4.-Pour l'étui, on utilisera un matériel de fortune: papier de tapisserie souple et Il'é'Stitstant, éitoffe (fines), p'apier s·ac. ' . L"élmi ne dOlit -pas être pO.l,té en compbe ! nur.ée .~u ttol1aVlail: ItO!U.t lite 1l110its de mar.s, soit 6 8 h., :S'UItout si les deux jeux 'SO'11't ,des's'Înés pa,r l'e:s 'éJlèv:es . néitalûLs d'ans iBCOIJE VALA,ISANNE ,du 15 févXlier.

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Page 7: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

1 AVfUL

Avant Pâques: Motifs décoratifs pour la table pascale Après Pâques: Bortbonrtière pour la Fête des Mères

M·atéJrtileJ là cO'mman:dleiJ.· :

Galrtle moyenne 8602 : 5 fleui[ILes 8617 : 5 [letllilhlies 8622 : 5 fleUliHes 8623 : 5 f'eUliJUes

à couper en d'eux hrunaes de 35 x 70 cm. elt 15 x 70 'om.

..... . ..... Fil'. 9.-

1 ,f.eUlilllle prup'Î'eiJ.· illJl'genJ~é lSur 2 fla'oe5 No 1702 1 f.euri!l.Le Iprupiler dO'Dé ,sur 2 f'aoes No 1705 1 !Sachelt .de illoorettes No 59 len feutrine 2 boîtes d'tagl~afes prulÎos-Î,enn:es No 00 DUl,éJe d ie 0~s I~ravaux : environ 5 heures. DéJtaril ld,alIl!s ECOLE VALAISANNE dies 15 maQ'S et 15 avriL

Ul~ dessous de plat en rotin A ,commandel' :

750 ~r . de 1I.·()Ibm, (l.ilamètne 2 mm. 500 ,~r. Ide 'I.·o'l1in, ,dIÎJamè:~œ 2,5 mm.

Pour Ile Cern!t11i e, .t'ruphila n'-altUlrell, 'queilqule/s brins à appoll'teiJ.· paT ,c:haoun. Modèle let o:rt'aœhe du l1ra'Vlaill ,dailis ILe manuel d,e V,aru1JeiJ.".ÏJe, p. 100. Durée du Itl'availl : 4 'hetl!l1es.

H·. 2.10 • .' Fr. 1.60

iF'Œ". 1.30

.... Fil'. 15.-

ILes ·dlbpeiJ.l!ses 'POUIr f',tms'em:hle d'e 'oe pll',ogrl'1a'mme s'e moll1ltlell1lt à ,environ Fil." 106.50, non Coonpll.1ÎiS ,le Il,aha:ÎJs ,d'e 5 % ,au mlinimum (10 % 'pour ,C'omm'and'e impoll'tantie) 'q'Ue Ilia maision Schuhi~er talccoll·.d,e taU p'elisonJl'eIl ens'eignanJt. Le modie/stJe suhsJd.e 'd,e l,a ICommune n'elSlt d 'OIllC p'a,s dépa'ssé. .

Nous ,enV'er,r'OTl!S ,unex'emp'la'Ïll'e de ['EtoiLe VMœis:anne à La flÎ1l.'lJn:e Sclnihi:ger, de SOil'te qU'e ·Cieux quli fonlt la oommand'e 'Ile/lille qu'/elle ftigur1e ,dans 'cles 'Pages n'Iarutront pas ihesoin de [la l1e1LeVler; il IsuHill1a ,d''ÎndÎ'quJell' «B'elLon p1.'o~r.amme Ecole Valtarilg;annJe du 15 ,d'éoemlme» 1eIl1

s'péoirflÎ'an!t It'olu:~efois ISÎ J''Ûn pl~end - ou non - TeLS jeux iilmpr.imé!s de dames ou de mouLin. Oe 'Pro'g'Da/lTIme leiSt léJtoolhl ,pour le degré moyen e t pour UJn'e 'cJI,ass'e ae 30 élèves., Si Il',on a rdeiS modif.i,cœlliolls de quanllÎl:é ou de i(}U'allÎ!té, ~Œ voa'1.1Jt mÎleux aloo.·s Il,édi'gelr ~lJÎwe­

illien tilla 'CJom'm-ande.

Je 1p!l'o~i,l1e die Il"ooorus'Ïon ,pour <liecommafllder aux .maÎlllries, Iles vollum'es sUli'Vlan'ts, éd:iJréJs par lia sOloiété 'SIlli:S's'e ,die ,lIralV'œi[ ma~1JUJell e't Ide 'r.éfOll:me scoJta,ÎIre : PLIAGE, découpage, tissage (Paul Perrelet) . Fr. 4.90 CARTONNAGE (192 pages, dont 64 pages entières d'illustrations) . Fr. 9.15 VANNERIE (168 pages, illustrations d'une parfaite clarté) . . . Fr. 9.80 ainsi que :La Ir'e'vue 'su!ÎJsS'e \LE TRAVAIL MANUE'L SCOLA!IRE, qui en ,test <à S'a 64ème aII1n'é:e et appol'l!e (chaque mo!is 'qu~q!llle\S It'l."a'WllUX pnltÎqtues. I(Aihonll'emenJtanllueJl Fr. 7.-. CCP VIII 41370, Zwrhili). E. Ol:alf'eil:.

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C OMMUNICATIONS OFFICIELLES

Cotisations aux Sociétés d'instituteul's et d'institutrices

Les cotisations aux diverses associations du personnel enseignant n'ont pas été perçues durant l'année scolaire 1958-1959.

Pour combler ce retard, elles seront donc retenues sur le traitement du mois de décembre 1959.

On retiendra: Aux instituteurs, pour la Société valaisanne d'éducation: 12 fr. Aux institutrices pour la Société des institutrices du Valais romanù 7 fI'.

A tout le personnel, pour la Fédération des employés des services publics 5 fI'.

P. o. Service de la Comptabilité

J:)ARTIE CORJ=)ORATIVE

Chez les Institutrices: Journée Pédagogique du 6 décembre 1959

nimail1ohie6 déoemJbtl1e.rullis d'Ufll'e oenlaÎiI1Ie :d'lil1\s~itIult'ri'C!es <sont 1I.··éunie'S IdanlS ~agl"arrde sa:lle ,de l'HÔ/td ,die Virr~e deMall..lIigny pourr une de ,ce;s RencoIltines Pédago'giques dont e'lle:s sont oO'Ult'1.lll11ièl'CS.

,MUe YVOll1ne GROSS 'préside ,aVlec fUn dyl1'amÎ!sme ,souri.anlt, doublé d'une g'l'ande t&impli­o'Î'lJé. LeCOnJtaCit ,eSlt ,doÎil1BOt. Apl'ès Iles souhai~s de .bienvenue habituels, Il'iassemihlée accepte la p l'OlpolSlÎltion ,d'!UllJe Is'br.ie de 0011lDS pl'atiques consacrés à Q'ANAL":S~. Oelbtle ini~lJitative vient à s'o~ heure et le comité mérite félicitations d'y avoir pensé. Que de dtfferellces, mt'me dans la ternu· nologie de l'analyse grammaticale et logique, non seulement entre le primaire et le classique, malÎ's ISOUiViBlllt 'el1COIl'e .d'ul1Ie olœss·e à ,l'iaulil'e !

n ·est .à 'S.o:urhalÏJttelr 'que CIeS il~éunrions de milSe ,au POIDt ISet'VenJt de barse ilunJe métho'dologte ul1iftiée il ItOUt Il',enseignemenlt pl'Ïmair.e, c8econdaire ~t classique. Une deuxième Pl'OposlÎltlÎon obtint moins d'unanimité: quelques conférences introductives d'INSTRUCTION CIVIQUE à l'usagte des ,fUlttl!res ,éledlil·ioeJs. Car c·eg .d'ames Olllt Je ferme 'espoir - .nous le .p~rtageon:s -que le lSuff.rag-e fémil1lin ,s.era Xléa1ité .d'J1oi quelques années. Le clu:ol1l~ueur cra.mt I?0tl!l' sa pa11t que ce's diffllx OOU 1.'rO'iJs ,oatl!serÎes ai'enlt une ,tournJUIl~e plus <l',evend'icative que d.lda'ctique. Il vea.l1ia~t ,plus voll'0'llluiell1s Ull1 iÜo'Ulf1s de Oivilsme 'vég'u1ièt1enwI1lt 'O'l"g·anisé I(}a'llls ILe oadI'e du COUfl'S Oantoll1!a,l ld'e P 'ffi,fJeCJtÎ-O'I1lnlement, ,ANti,s aux 'o<l'gan!Î!sru~eurs Il'els'ponsables !

Le plœt ,de il'éJsi'stance Jut 'Cen~es fla conférence de Mad'a/lTIe FERRIER, ilTI!aÎllil'es's'e d'une classe primaire supérieure à La Chaux-de-Fonds. Quel plaisir mêlé d'émotion nous avons eu à leJl1!tenldl'e Idette péJd'a<Y0I<Yu1e lM 100lrreotle dans .s.0Il1 ,élooution, si convainoante dans Isa pe11suation, si émouV'anllJe dans Isa ~i~pLiJcité! S'H 'Y a parfois des 'conférenciel's qui éveiUen:t en v,ons le doéJs'Îr d'têJlIr'e là où 'ills ne :BeIl'aieI1lt pas, Mad·ame Foorielr nous f,it plutôt ICeg'l'eitlllea.· de n'-avoor pas été dans sa classe, grandes adolescentes subjuguées et conquises.

,Et pOU'I.'tanlt unie -dtasse de 9me illJl1ll1ée ne do.ilt pas être facile! IComme chez nous a'plrèJs ~'a siriè·me, lets meil~leul'1e'S hi:furqu:ent 'en ICOilTImell,ci.,arle ou en ICIla;ssique. Et [es lais-séets pOlUl' compte sonlt 'glbnéral'emenlt JJes mo1ins lill1ltéll'esSla.nltes.

,Le thème glénéll'alde Mme ,FteJl1l'i'er étailt ~a ICo:J.1J.'eo~ioll1 .FIl.-ançarÏJse. En Iréa:L~lJé leJlll'e no1.lJS l'eilil1aça ItouJlle Isa m 'éthodologtie d 'e la langue maternel:1e, J'emballement .p'our Les betaux I~extes, le rôle de la dictée, les travaux sur les familles de mots (plutôt que ces insipides listes de V'o'oabu'1a~'11e SOUVlenit dénuées de iloUit intérêt), la COI1'jugai'Son, l',analyse, ellc. .E:t r ·audci. to:ill'e ,d'e s',écrier, comme Les giJ.·'andes élèves die Mme Fervaer après une .leçon d'analyse: «,Déjà Il'heu!'e ! Comme Clela 'a pa'S'sé vÎ!te ! ~

,L'ECOLE VALAISANNE .de janv~er publiera [e tex,te de ce'tte oalUSooLe :r CIe nous sera jolÎ!e et profit de ·reJI:Ï:J.'e 'ce que nO'tlis aiVOll1fS ell'toodu.

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Page 8: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

La Confére.nc.e ,fwt su<i\nie d 'un ,{cihn 'SUT Il''EcoILe et l,a Mélllhode DF;ORq~Y, ce. géaI~t Œ;. l,a példag'O'g1ie mod'CIrne, aux inltuiJlÙons ,si gélÜla'les et .si UmVlel'S'e!Uement C'op'lees 'auJourd hUI: L'heure inexorable empêcha une discussion qui eût été nécessaire. Decroly, en effet, SI perspicace sur le plan de nos préoccupations matérielles, a oublié ce lI.ui. pour nO~ls est l'J{~)SlS'enitieil : ILes 'aStpü~atiol1is :r.e1JigÛJeus'es d ie 11'elll[anIt. «Fai,sons clu IDecroJy, 'dIJ8aII't Mgr nevaUid, mais du Decroly chrétien! »

LI Il:eJslt,e <il r ,eme'l,cà'eJr le COll11ilté d,es I:nstlÏitu'llllÏ'oeJs 'elt sa tP'résidenJi'e de oetlt,e lell'J:ichi:ssanrt>e après-Œnlidli. Le's 'holrnm/es n'ru1meJnlt guèil'e l'ecevoib: des. !Leçons dce rr,em.1s, coUè~ets , . en j'l1~Olll . Il Etault laivoUJer pO'tu"llanlt 'que 0eJS d'ames ISont p1u:s -adlJive;s quJe 1ll0UiS. C 'est <tant Pl,S pOUlI: iLeIS m'esSilettLiS !

E. C.

NOS E,DU'OATEURS GYMNASTES A MIARTIGNY

nicmanche 29 novemhœ, la 'Sympall'hiqure c!iitté Id'Oc!lto'dllll1e s'e f'alÎlsaiit un h011ll1oor d'acooeHHII.· les memhres d'e ['A . .M.G.V.R. p'OCUiI: !S'on 'a'ssemMée an11luleŒ'le.

VégJ,i,s'e ipal'od's'SlÏ,aŒ'e IPe~ewilt là 9 heul1es, IinslJÏJtuu'ilces Ie:t instiltcullilmiliS pOUl' [a messe; la m'ess'e dees 'ecnlf'anllts ,afin qUie chacun se s'eIl1lte d 'ams son élénœl1lt. , .•.

A 9 Ih. 45 'l1a'S1S'emhlemecn't Id'ans lIa :s,a!lil'e Ide ,gymnas'tÎ<qu'e Idu rooll,lè'ge. Un peltLt alit' fl'aI'S el1'COUl'age ,LeJs m~ins lel1Ithou&ia,stes. TiroilS équipes 'se ,fmment : les Ipassles 'sont génialees, le ballon r,aremellt Itouche ILe 'sot Bl1elf, lapll.·è;s ,d,eux heur.es Idle 'V'ol1ey-bœlJl m'O!lw.emecnlté, 'gngnanlbs et 1(J'el'dantlS lèvleln:t Lems ve111.1eS à Il,a Is·anlté 'et 'PIl',oispérlÏlté d.e ~eur so'ciété.

üees éduMbeul's ISpOlli~ifrS !s'e l'end,i'l'Bnt 'ecn'su~te à 'l'a s<ane ,à manger d'e 11'hô~eŒ du Gr',and-S~·Herna'rd 10Ù un' 'corpireeux '11epla,s Ihmr recn,di!t 'toutes lBS cailo11ÏJe.s perdueJs. ,

,MoTIs,iem: Paul ,Pianalt tpl,ésildent, 'Üuvl,it la p3Jl'tte a:dminis'tl'albj'v,e en Isa-luan't la pil"êSffi}O'e ,die MM. IP 'i'ellle Cl',eNcex, ~,epl~élse11llaJ)1Jt de 'la commune; Vlictoll.· Duplrrs, p lrésident 'de cl'a ,commis­sion scolaire de Martigny; Marcel Revaz, représentant de la S.V.E. ; M . l'inspecteur ~ouc~rd, l'eJtenu pail' Ison m1nüstèiJ.<e, fOl11TIulJe Iles 'vœux ,les m 'eliUecul1s IPO'l.ll.· Ilia iIéuSSlill'e de c.ette JOUl'llee ; M. Paul Otwdy, en coup de Vlenlt, 1110US ,s'aŒue. Héla,'s, 'On Il'a't!'end,ait arhlleurs !

Tour à ItOUt' Ices .hô'tecs d ie m~wquCiS pliwecn't lla ,poo:ol'e. M. 'Dupuils lI.'appeeUe 11'impOl' IJOOlCe du Sp'Otlit 'comme :mo')'l~ ,die dé,r.eJoppe11l'ent ,d·e Œ"eS'pll.l~t. :M. üliectJ~ex 'eTICOl1'l'3g'e Œes com"S de slm, ltandilS qule M. Revlaz, tJ:e mo'Î1l's 'l'ell1'e-à~ten.'1;e, 's',adlresse ,à 'Cha'cun ,ect Isatisfaîlt '/~ouJt 'lie mOI~'dle. . •

ToujoUilis humol'i'sliiqure, M . Ile ,Ptllésild,enlt velèv:e dans S011 ll'iapp OifTt Ile 'travall f.a1't 'au SmD

de ]a société. Il félicite les nouveaux instructeurs suisses de ski : Mme Spahni, M . Roland Gay-CrO'siler. Il lI.'eemet un S'ouvenir :à M. GeorgeJs CaJl1roz. Les Vêllifioa'l'eurs ,de's 'c'Ompibes sont appllaUldi,s, M . Samuel Deelaloye 11em'erdé pour son Ig,énél'eux tl'fTaVlai,l; ce!ui:ci ~1eC,0IJnma11cle la ipalilÙdipaltion laux cours ,~édét·aux. Malhem.'eurs'em'ent Oill :ellil'egilstre une ,démLS'slon 'lll.'l'evo'cahl~ ; M. Marcel Voutaz cède la place à M. Francis Vernay. A lui toute notre gratitude! Le comIte liBSt13Jnlt ,eJst :rééilu à l'Ul')lall!ÎIlll'Îlté. .

iSaxon {,aulte d 'e p 'lace IN cde peel'sonnlel, ne Ipouv.arnt n 'ous liec:evo'Î!l', Martigny ["a très biJen f.a~t. IlllleStle ,à If,ixer Ilia proohain'e 'a'ss:emlblé'e générale. Avec jOli'e no'lire plJ.'(Ssidenit pt'Olpo·s'e Vouv,ry. ViIJ.1'ÏJIli:a1'1Ïv:e 'elst a,col'amêe.

Quell'e pel,sp:ecith"e ! . . . ma1s en att:CiJ1d'ant, w'VIe [es heililees gnppes de if?i1all1-Gm'Î1sl'etr '! ...

BIBLIOG~AF!)I-IIE

De Belgique, deux excellentes revues d'éducation:

LA NOUVELLE REVUE PEDAGOGIQUE, mensuel1e Directeur : Frère Anselme Abonnement 180 fr . belges (casterman)

M.T.C.e

FAMILLE, COLLEGE ET INS1'lTUT, trait d'union entre parents et maîtres Bimestrielle Directeur: F. Lelotte, S. J. Abonnement 6 fr . suisses, Oeuvre St-Augustin, Fribourg.

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Problèmes pour le degré inferieur, 1ère annee

1. En venant à il'éco'le, Jacques aVa'Lt 3 livres et 2 ca'hÏ'evs dans sa servie'tte. En entrant en classe, 'le maître ilui a donné 5 livres 'et 3 cahier,s. ComlYieal de H'VJ!'es Jac,que<.5 a .,t-j:l maintenant dans sa servie:rte ? nessil1Je ,les oahiel1S qUie }ac,que:s a maintenant_

2. J,acquees .aVi3J~t 4 O1'8yons 'Clt 6 plum:es dans son p 'lumÏJen.·. ltl dOl1lJ1e 1 orayon et 1 plcume chacun de Ises d-eux peti.lis f:rècres. Combilen 11'esfe-tJiil de CII'ayons e:t ,d-e 'Plumes à J.acques ? DesS'ine h~'s onayons qu'ti!l a dorrmés à !Ses p :eJti:15 fil·ères.

3. P 'aulI a 7 .o1'8yons, Jean la 3 CII'iHy"onrs de plus que Paul -ell IDidier a 1 crayolll die moins que Jrean. D.essine Iles Cl'layons d ie chaque garçon et écris [e prénom œe chacun ,à côté d 'e Isa pall·lt.

4. Micheil a m 'angé 12 prunes; IJows a mangé la Y2 de oe nombre et Joseph a mangé autant que Michel 'et Loui,s ensemblle. Combien de prunes LouTs a4.ull mangé? Dessine Jes p!l'unes mangées par Joseph.

5. Jean a len'CO'l"e 8 pl'IUIliBS ap~:ès 'en av'Oir déjà mangé 4. Combien Jiean 'avaJÎ't.lÏ!l de prunes? . nes'sme Iles prunes que Jean a enCOl'e.

6. Louis a 'enCOlle 13 call3m'eJls après en avok déjà Idonné 5 à sa petÏJte sœur. ComhÏJen ILoul~s avai!t·il d'abord de oa'ramels ? nessine le's 'Call10011'eilJ8 que LouÎls a encoœ.

7. Midhiell a eII100re 12 pOmm'es d,am !Son p8lJ1'ier après en avoo,r donné 2 à chacune de ses 3 petites sœurs. Dessine les pommes que Michel a donnéees. ComMen MioheJl 'avait-il ,d,e pommes '8V1antt d'en drishillYuea' ?

8. Mlichrell a 'enCOl1e 7 pomm'elS dans 180n ipanÏ'er après en 'avoilr donné 3 à chacune de ses 2 petites cousineJS. ' Dessine ,les pommes que Milchel a d'onnlées. Com.!b1en ,Michel aVia~t"iJ de pommes 'avant d\m distribuer?

9. MicheŒ a letllC011e 9 p1'1lll1es après ,en avoir donné 5 à 's'on p ,e1!it f,rèœ Clt 3 à son Il}'e~t c3Jmaraclie. Dessine les prunes qlle Micheil. a dOilllées.

. Comb1en Miohel avait.J.l ,d'e Iplmnes avant d'oo dÏJstniibluer ?

10. L0';lis a 16 caram~ls. Il en donne la Y2 à son petit frère et partage le l'este avec SO Il petit amI. '

Combien Le pe:lJ~t ,flrè11e a-'Î~i[ reçu de call.'3meIs ? Dessine la pal;t de ,Lorui,s IeIt 'cel,le die 'son petll1t ami.

11. LI reSltatÏJt lenoore 7 œu1is d 'a?,s !le ,panTeer, hrie'l' 'So'Ïr, après que maman ecut pr6pm1é Ile sO'Uper; p'Our oe ,reepa,s, IlUallll'an avrut fallt une om:eJ1eJliIîe 'p'O,m' 4 pel1SoImeJs, ell~e aVlflii!t compté 2 œufs parp'e'l.1S'omte. DessJinJe ~ees œuf,s qu'il a Î!atllu à maman pour Ja pll'ép'amtion du 180Up'etr. ComMen y aVaJ~t~~1 d'œms d 'ans 11e panier a,v.aIllt que maman prépare ,le lSOUpe'l.' ?

12. n ,re!s'~'~t 'eII1COI'e 5 œuf-s d~ns 1~ pail1'iler Mer soi,t aPll'ès que maman rewt IPr-épa'l~ 1!e s ouper; . pOIUl' ce repas, 'l1mm:aill ,a'valt f«Lt 1lJI1Ie om'eJlelt'te pOUir 3 P eel'S onnes, dUe a,VtalÏlt c'OilTI!pté 2 œms

pail.' ,pensOIl!ll'e. Dessine J'es œu~s qu"ill a f,arIJu à maman pour 'l,a p11ép'aI'I3IlÙon du sOlUper. Combien y ava~t411 d'œuflS dans l'e paulirer avant 'que maman ne prêpaœ ile souper?

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E. V. 15. 12. 59

13. WIÏ'l1ly 18 l'amma'Sé 19 !pl'llnelS. I!l en mange 3 et rpa!l'!t!age Ile reste eD!We se:s 4 petil's fl).'ères. DeslSilI1:e les lJlIl~es :reçue:s par 1 p'etlÏJt fl'èrle.

14. Iil eJBit midL 4 p,etlill!S g,arçon!s il"eitournèŒ1l1: die J',é'co[e 'en pOll'itallllt JJeur S'emniteWLe. 2 de cetS ipetÎlts g'wrçoIllS /S'On't allés Cihea-cher chacun un pel!ÏJt f~'èœ à l'école enfootille. DeiSlSiÏu'e tOlU,S 'Ces c>nfanJ\Js qui retolU'rnent de l'éco:le.

15. Mlaman.a. 11 OlW1'ges elt 7 tbwnan:eIS dlans un compol!i'er. Elle ,dolIll1!e lUne l()lffing,e <elt lUne banane à chacun de 6 'eg IlJroÜ,'8 enf.a11lts. nes'Slirn:e lel.s oranges .elt les baJ.l'atl1Jes que mru.nan a données. Combiien Il1eiSllJe-t-iol d'o!l'a'ngelS 'elt de han<alt1'es dams Je C'oonpo.t1~er ?

16. lDoanls ila ha's'Sie.-cO'Uir d~ PrhtiIJippe, lill y a 16 ,poulles blanohes et 10 'PoUles Irousses. La maman o'e PhiLi:PP'e 'Vend 4 poiUIlleis :M;wnch.ters et ach~te 6 po:u[es !l·ollsses. Gomhien y a~t·il ,dte polUl1e.s Manches ll1laùtllel1'anJt ? Et combien y a·t41 de pouleJs irousses ? Des<Si!llie ~es pouLes qu'!il y a ll1laJintenanlt 'en [es '~rOlUpant 4 plU" 4.

17, J()j'O a Il''3llll8ssé 11 pommes dans son Vierg&. Jutes ena irama:S1s'é 3 de moins que J'Ojo !tandis que Georges en a ramassé autant que Jojo et Jules ensemble. De:sslme Iles pommes i'WlliffiSS'OO.s par chaque ~al'çOl1l1'et en lindiquanlt ,le prénom de ohaqile grwrçOlIlll1lelt il gooc1l1e die ~'a p'wt.

18. Noel a IculeûllJlli 7 p'o,i!J)e>8. Géralrd en a oll'eJiU( 5 de plus que Noel tlaIlidlÎ!s que Cm'isl~i'an eIl1 a cueilli 3 de moins que les deux autres ensemble. D:es'Slw'e Iles poi~'es oueillies 'par chaque garçon en lindliiqua'llit [e p11énollll â tlvo:Î1le de 11a ,p'm,t doe chaoon.

19. J'O's'elph comp'be l'raiI.',geilit d ie lS'a iI1h",ilir.e. 1I1 possède 8 {l'., Simon a 3 fr. de plus que Jü<s'erph ; RaymOll1d là Silr. de moins que Iles deux autres ens,emb1e. RJaYllllond VOiU!d'11wiJt acheter Wl'e hoî'lie d'e orayoJllS de couleU1l',s Oaa.~ d'IAche d'e 18 fil'. A-il·jl a>s'Sez d'aIJ.1~nlt ? Explique 1118 lié.poIllS'e.

20. Deux ·petits enfants ramassent des noix avec leur maman. A eux trois, ils ont trouvé 20 noix. 'Chaque emant la ,trouvé 6 n'Oix. DieJ.srsrine :l.e;s n'Oix Il'Wllalss'ées par ~es deux enf'an1JS en]relS d.irsposaIllt 3 par 3. Dessine les n'Oix ramassées par la maman en les gr'Oupant 4 par 4.

21. Jean, Paul et Jules ramassent ensemble 22 noix. Jean ell a tr'Ouvé 6 et Paul 3 de pUas. nelSls<Ïne res notix Ilmnmalsées par Praruil. Oü<mlbien JlUlles la1t-ûl Il'UIIInaJss'é die no!Ïx ?

22. Hier SO~l', JraJcquelS a .cr'O:qué 12 noi:se~feJs ; -'Son p 'eIIliJt fll'è11e n'en a mangé qtl!e Îkl ~ tandis que il.~ fgîl'8nd fil'èrre 'en a fCir'Oqué ile dOiUhle de Jacques. D.eS'S1.Ï!nJe telS 1Il0Ï.slelntBS cl'Ioquées pm' \le petit f,rèr,e elt œl1es (!Iro'quées !p'at" [e g,ranld f!l·èl·,e. Qui la 1CIr.()'qué le ll1l'Oin's de lIlois'ebles ? QUIÎ retl la oro:qué ~e plus ?

23. Noel, Ma11ceil 'et IPalUl lonlt 'oUieilhli ensemble 18 noàlsetlielS. Noëllen a lOueûlli Il'a ~ ; Marcel, ~e lliems et -Raul, !le Tlesl!e. Des'SI.Ïne les n'OlÏrs'eltlœs cueiÏllies par ohaque garçon et éOl~ \lie prénom 80'U!S ,la p'aa.1t de ooaoun.

24. 11 Il'eslle 4 gaufll.1el~tIe's &l.lJl' ~e pilait I8près que LoUli!s len a mangé une et ooacune die ,ses 3 sœl1rlS d~ , DelSlSiirn~ !l;eIS garull.'leIlltes mlall1'gées pail.' Loms elt ses Sœtll\S.

ComMen y <llVlaiÎJt...i1 de 'gaufrr.elttles 1S1lrr Œe plat avanrt: que LOIUIÏLs et !Ses rsœU!l.'s n'en man~ent ?

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25. Aprè.s lavoi,r ,œcihe1Jé 2 % kg. die 'oarflé à 10 f'r. I~e ,kg., 'i!llrets'te enOOll.1e 5 flr. là maman. Coorrbi1en maman '~w:ar~t·~eUe d'all'geaH 'l:l'Vlaillit rd'Ia'c.h~tell.' iJJe tialfé? MaJman p'olSl5'éd'ailt ICleltll1e ISOll11l111e len ,pièO'e~ Ide 5 fil'. ; dessine c.es pièc.es.

26. 4 ,p'ell1i1t1s lentfa,nfts 'l'ama!Srs'eil1it ,dlets polmmes 'aoVle'C !leur lIllal11la!ll. A 'eux rtlou's, licrs on't ramassé 22 Ipommes. Maman a Il'lamalSfsé 6 [pomm'ets. T'O/ll.rs Œles enfaill'ts oot I).'amassé cJhacun le même nombre d 'e poorrmeis. OomhÏien Iles emaillfs 'Ûlut.o.iJJs Il''3l11alSs'é {lIe pommes à .eux 4 ? Oonl'bJi.en ICJhaqu.e 'enf,aJl1Jt a-lt.:iJlll'ama'Sis'é de pommes ? D.essrilll'e les pommelS Mma5S1ées 'l'ail' ilia maman en lies g,roupant 2 p'air 2.

27. Ohez 'R()/bBII~, !dans l'étaMe, on 'Comp\tJe 5 IV'eiaux et 6 va'oheiS. Chez R,aymon.d, IÎ[ y a 3 vaches en plus I~t ,2 Vleaux, en moins que ohez iRoh:elit., OCl111biJelll y a~bil die va'ooels telt de 'V'elaJUX chez Rlaoymond ? DeSisine 1teis COIll1llelS que 1l'r01ll ,comp'te ,d'anls 'l'btaMe de Rolbe1'1t en les ~r.()(Upanit 2 paa' rz.

28. Dans IUlIle 'Pl~a~llù:e, rfai VrU 7 Vla'chers elt 3 'VleJalUX. Baalis oUille taiUll1J.1e, !j'rai 'col11lpll'éi 2 Vla'Clhes de moins et: 4 Velaux de plus. Collll!h'Ïten y ,a'V,~it-:iJl dre Vla'ooets et Idle VielaJUX doaJns ,la 2ème 'Pmi,de ? BeSisiiJ1Je IboUJbelS lets ICO'l1l1'eIS rqu'e j'aJi rvules. IBn 1'~s .disposant 2 ,pal.' Q.

29. Maa10eft a 13 ~18ip'ÎŒ1Is oMalllœ et 7 11a'l'lÎIJ1!S glÛls ldam son dapiell:. TIl~()IiJs ['aipms h,I'8Jl1cS crè!Vle'nlt e t lia maman die Marool tue un I:aplÎll1 ~Ths ipO!Ulr ilJe dîrn~lI: du dimlalJllchle. { OomlbiJen 1l1esve~t.Ql die 'l,aplIn:s rb1alll'c:s ? - de iliaJP'N1S ,~niJs ? Delssine 'lels 'Olrtei.1LelS d,es ilraipjnlS creNlés.

30. M'am1an ,p'allil1age 17 lI1:oix tell 22 noi!Se!~Ves (etn!bl',e ISIe!S 4 en,fœn'tts en '}Ieur d'olJ1!nam il chac.un Je mêm:e alomlbr.e eXiarOt ,de f,11UJÏ1bS. BesSimlie 1}la Ipa'lit Ide nl()~x let d ie l};o'ÏJ~elltles ,qUle 1J.1eOeWa lUifi ei11IfiaJnit. OomJblilen Il'eSlt·elra-t.ji'l ,de nolÏx !el. die 1Il0Iil8'el1l'es il [ra m~man ?

31. Uille mlaaUrarn 'a 20 nolix lett 23 nJÛI~se'tJtes. Elle VOIU:dll,m't d'OlJ1IJ1!etr 6 Illoix et 6 nOlÎs.eltitelS à ohacun dre !SelS 3 el1Jflanl~s. A~t-eilJlJe ISIUlff~S'alml11JeIJ1!t die tfmli1's ? EXiplliqrUJe \lia 1l1éJpOll1ls'e. nelsSÎtllle de lqui lui 'l~e's'tle OIU Cie ,qui tLui manque.

32. ,:M!amlatJl coupe unie 't!aJrItie 100 6 IIllOO'CleialUX ; puIÎls, relUe coupe enOOil1e tOhaOlllll de CIelS moo-ooorux en '2. Gombl1en oella flaift-liJ de mOlide:alUX ?

S'dll y ra 10 1Ï'I1IV.iJtlbs là ,vabl1e le't s1i ooa'oUlll ,p'r!en:d U!l1 mOlr,CIeJaIU, en. l'estera~t~.rl ? Si oui, rdesSlÎll1le 'telS :JllIOOCeialUX ,qui lJ}elSitenJt !Sur le 'l',la'~e1au.

33. Mamlan coupe u'fiIe lmilIe 'eill 4 1I111()!l",Celaux ; 'pulÎrs, e!lile ,palrltlage encOll~ chaoun de ces m~cea'llX en 3. DetSlsirne rtlouibe lia 1t1aIl.'be découpée., Il y la 5 pel's'O!lmels à ,tlalblIJe elt cla:e'S! P'l' eII1Il1IeIl1!\: lohaoune 2 mOtl.·CJea.ux. Dels:s<ill1'e 'l'ra!Slsliette die IdhJaquie 'ConV'i'VIe aVlec sa iplaa1t. DelSisine de ,qu',i!l !p'OlU'l'liaÎlt Il"oeIs,lier SrUll' 'le pl'atealU.·

34. Sbéplhane ,a 8 'po'll'1es Manches eJt 10 'poulets hiDUl1'e~ dlatJls sa h'~sS'e~c()lur. R!aymond la 'ledouibŒle de ip'olUiLeiS blanc:hes elt l,a mOI~tIÎé de ,poules bImllleis. Oomibi'en RI8Jymonld a..t~iJ Otei lpoulLe's h1arl1JCJheis 'e't de p'oruiLes hnIn'es ? Besslilne Itouilles Iles ,p'Oouilets 'enpbQ8Jnt Iles IbllaJ.1ldhes 'pa'r rlangé'e1s de 4 elt Œles hl'UI1Jes 11'a1l.' ,raJngléleJs die 3.

35. MaCl.'c lelt iAllibeDt OInt t1.'appOll'llIé IUIn 'palJ1!ÎJell' die pOlmmieiS mOllJ11lb.éles. «MelVIJez [I8IS phlls helHeis 'd'aJl1JS un ICOIl11Jpotti'ea' ,et dloll'Illez-moti lteJs allJrtlres, j"elJl ip11éparer>M de (La OO'ffipOI~e, dit mama11 ». MllIl'IC eJt Allhoot ont ,fjrOOlvé 'ohraoUiIl 3 ih'eJUesp'omm'els e(t 2 loirs autant de !pommes à cutilre . .oOll11lbioo Maman a-t-e!He p~eŒré de pommeiS ? Des'SlÎIll!e Il'e:s helle!S pOl11ll11e.s dans 11e ,compOII1~er.

36_ Mtam1.Ïroe ta IaIpPoll'lté:un houquet die >d~:a'l1'thè:mtes eIJ1 olœsse. Lels lélèv.es OnJt C'o~lIé 5 IchCl.-yts'aIJ1!tJhèmeis IMaIIlC:s et 7 chr~santhèmes jalUnes. R'ohen <a 'appollité rUn thouqu~t ;droos lLequeil il y a:v,aI~t Ile dOlUble die oh.rysantlhèmes hLalIws elt 3 chrysanithèm:es j-a.Urll'e:s en moins.

Dessine [es :(,lem'iS ialppooclt'ées ip'air obaqlUte enfanlt.

Page 11: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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L'Office de l'Eroseignement s'occupe actuellement de rééditer ou de créer tout un jeu de fiches de développement. La langue maternelle sera la Pl'emière servie. D'autres disciplines suivront. En attendant, l'Ecole Valaisanne est très heureuse de pouvoir vous donner la liste des publications éditées par la Gu'iiLde d:e DO'cumentation scolJ.airte vaudoise qui travaille en relations écrites avec la Société Pédagogique romande et que beaucoup de nos instituteurs connaissent déjà. Mieux encore, ce matériel se trouve dès maintenant à notre Office de l'Enseignement, rue de Conthey, Sion, où on peut le consulter. Nous remercions M. Morier-Genoud de cette très appréciable faveur.

DOCUMENTATION SCOLAIRE M. M'Ol'IÏ.'oc-Genoud, Veytr8JUX-Mootreux

Notre Guilde de Docurnentation poursuit une activité sans cesse accrue. S'y abonner, c'est s'engager à accepter toutes ses publicatJions ; un versement facultatif de 5 francs à fonds perdu donne droit à un escompte de 10 % sur chaque envoi fait à tous les membres lors d'une nou­velle publication. Nous ne faisons pas d'envois à choix. Il n'est pas nécessaire d'être abonné pour commander des publications.

Elle met à votl'e disposition le matériel dont nous donnons la liste: 3. L'Amél'ique du No'rd (réédition), 90 c. 4. Donndur, enfant des cavernes (réédition), 90 c.'"

Il. NOts .tru~ts, rU.me ~i.chesse nati'Üuale (r·éédition), 90 c. 12. 'Le sityle haroque, 50 c.* 21. neJs OaVe11Iles aux carthédl'alJ.es, av,ec 16 H'ches de d:es!SÎn, (Il'éédition), 2 for. 50. 24. Anoienne Diète :e't J'Assemblée fédérale, 90 c.* 25. Le cOll'doruri:er (réédÏJ~ion), 90 c. 26. ,Le <sty1le affe'otif, 90 c.* 27. Au temps des cavernes, avec 16 fiches de dessin (réédition), 2 fI'. 5Q. 31. üholix rd'e prohlèmea pou.r g'rands réllèV'es ('réédition), 90 c. 35. La VIle au moyen âge, 90 c. 36. Au temps des JaouJSôIll-es (ll'éédirtJi'on), 90 c. 37. Le -cinque (ll'éédvbion), 1 h'. 20 * 39. Le canton de Bâle (rééldiltion), 90 c. 4,1. Mlli,qlUJe (IJJéédition), 90 c. 42. De a,a pÎ!ro'gue au paquebot (fJ.'ééd,ÏI1iÏ'olll), 90 c. 43. PyIDamides elt désert. L'oasis, 90 c. 44. Le chamO'Îls. L'aig,le royal, 90 c.'" 45. Fjord, 90 c.'" 48. Memento grammatical et œrnet d'oIlthogrnpbe (réédition), 2 ~r. 20. 49. A'liithméliiqll'e, admilS'sion à J'école fi'oll'male de Lausanne (réédri,tion), 90 c. 50. AnallY'se '<Ire teX'lies, degré supérieur (l'Iéédition), 90 c. 51. La p'aix d'A8Il'au, 90 c. 52. !La (technique du Clallcul en 2e année primaire, 90 c. 53. ,La Bellgique, 90 'C.

54. Lels Helvètes, a'Vlec 10 fti:ches de degsin, 2 ft'. 55. Pour mieux connaître les animaux (avec 10 fiches de dessin), 3 fr. 90. 56. PIl'ohlèmes d ie physique, 25 f,i'elles 'aVJeC salurions, 3 frr. 60. 57. Ganton d'es GTii,sons, 90 c. 58. P'rocéd,és de oaloU'la ert problèmes var.iés, 90 c. 59. P.our classer ,la do'oumentla1!i'on, 90 c. 60. Exterdrces die gramma:irre ('IIééd.i,tion), 2 f,r. 40. 61. M'luque du NO'rd, 90 c. 62. Pourr Noë'l, 90 c. 63. V'olca:n. 64. L'A'8ie, 90 c. 65. Observat'Ï'ons (li1e série), 90 c. 66. 10 000 f'ois sans mioroscope, 90 c.

* indique une foin d'édliilïion.

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67. EnlquêJte conf,h"mant la valleur uni,~er,s~L1e ,d'un programme ,d'ol'~hog,nl;phJe :d'usage pour <les écoll'e;s prlÎmaia'e;s. P,rog'l1amme d'Û'l1tho,gil1aplhe d'u,sag'e pour lets 31e 'elt ge années d'é:co~e pl"ÏJ1uaJill'e, 90 c. *

68 . DicJtées pOUl' le degt~ inféllû.'eUll', -.90. 69. OhsleIl'v,a~iol1ls 2e série, 1.20. 70. GélOg,raphie uniVierselle. Répons'e aux qll.1'es'lJiOnna~l1es dn marnuell R-~beatUd, 3.30. 71. Châlteaux 'v'audolÎ!s, 22 ftic.hes, 2.-. 72. Le's maisoIIls :S'llliJsS'BS, 15 .feu:ilHets, ,21 g't'aV'urBS, Il pho.tos, 1.80.

101. Cenlt V'ill1!;lt.jsep,t f,iches po:ur ,l'éwtd,e ,des fll'aclJÏŒ1lS oll,d~n:ait;es (l'éécli~tion), 5 fr. 102. Ütmlt ,quMlr,e-v'in!;lt.:quaIIlDe J',i,ohBScl'01"thog'l'aphie po.U'r les ,d~egrés mO)'len ~t supérieur (tt'éédi.

titon), 4 fil'. 20. ' 103. Dix,huit fiches de conjugaisons (réédition), 50 c. 104. VlÎng,t-quatr,e f'euiIHe!t!s «Educal~eUl1s» pour f'iches d''Oli llhog'l'~phe (clegrés IÏnlfél'ieur, moyen

'elt lS,upéll-i'eIU'!l'), 11f1l·. 106. Vt.ingt-quatrle VlUe's aéüennes, 2e lSéIl-de, 6 ftt'. 50. 108. L'Egfl'Ï1se, 'des p1l'etmier.!; pas au moyen âg'e, quarante fiohes, 2 fil'. 50.

Fiches de géographies de l'UJ.G. : 109. SuiS/s'e (Il), 1 f.1'. ; 1I0. Juol'a (17), l f.r. 70. ; lU. Pla'tJeau (22), 2 fr. ; 112. Ailpes (21), 2 fil'. (lréoo'ÎllJion) ; 113. ,La howiU,e bIlanche (21), 2 k ; 114. Nay;ig1atJion (22), 2 f'1:. ; IlS. La ISuilsse 'en 1Il101~S 'Ûr'o~:sés, 25 gIl'dcriles (Il'éédition), l fil'. 20. H6. NOlUv,eruux motoS croisés \Sco'lali,e;s, 25 g'l'illes (iJ.·éMÎlliion), l fil'. 20. 117. P,rolhlèm:BS !;lfaphiquets pour le de,gré moyen, oinqu,anll'e;six fiches {iJ.,é,ooli,vion), 1 fil'. 50. 118. Pas à pas, p'l'oblèmes pOIllr ,le degr,é moyen, il:,rell'~e ,flkhelS g'l'aduées, 1 fIJ.-. 20. 119. lDiix J'ÎJches ,de 'IJravaux 'pl'8l1JÎques (tt'av. man.), l fl):. a) pO!UiJ.' ,p~IJÎlvs, ib) moy,en-s et c) gran~ts. , l20. ILe maître téduo8Jtem', brochm·e, 90 c.* 129, Numéro de l'Educateur: De can'l:on de Viaud, 50 c.*

T,aMeaux didactiqu'els ,(,fOl-:Ill'a't 84 x 59), à 3 fu-. l'ex. : 131. La dent - 132. L'appareil digestif - 133. Le crâne - 134·. L'œil.

Clichés: 1 fr. pièce monté; 0 fI'. 50 non monté: Gros de Vaud et Jorat: quatre clichés - Vaud: La CÔl~e, huilt clichés - Lavaux, s'ept clichés - Le Nord, ,six olichés - VatHée de Joux, six clichés - Vallée de l'Orbe, six clichés - Lausanne, neuf clichés - Région d'Ailgle, lS'ix clichés - La Venoge, oinq lolichés - PaY'S d'EnhaiUt, cinq c1iohês - La Broye, neuf clichés - RivÎ'eIJ.'a, hU!Îlt clichés. Su~s..se: Luceme, sept clichés - F.rihourg, neuf clichés - Uri·G[aris, Illieuf clichés -Berne, onze clichés - Neuchâtel, six clichés - Tessin, dix clichés - Valais, douze dtichés - Zu l'Ii ch, neuf clichés - Sairrt-GaU/iAppenzeH, noof clichés - Grisons, neui dHchés - Bâle, Imilt 'olichés - Argovie, huit clichés - Schwyz/Zoug, lS!ept clic.hés -Genève, 'qu'aibr,e dichés - So1'eu'1'Ie, sept olichés - Afrique, neuf clichés.

137. La dé dœ champs (pl<an, ca'l' IJe, houSisole, Il4 clichés, 131 exeroices), 4 f.r. 20. 138. Jteux ,die 11e'o1Jure (ke iparttÏ'e rd~e Mon pr;emim' livre), 2 fr. 75, écriture ,v'audOlis~. 139. Jleux ,de 'Lec!JUIl',e (2e rpal,rÏ'e die Mon 111~emier livre), 7 ,[1'., 'caractères d'ül11pmmerie. 140. T'l'elllte"huit tfleuj'l1eJt'S 'OIl,tho'giJaph'e aux Id"e'g,rés inférieur ~t m'0Y'en, 1 fil' . 50. 142. Huit feuiJl1ets problèmes pour élèves avancés de 10 à 12 ans, 50 c. 143. Qua!fTIe-v;iu!;lts Gches pour ens'mgner aa première dizaine, l fiJ.'. 40. 144. Quinze molts èroisés histoire et 'CoÏnq mots croilSés histoire géné:NIIle, 1 fil'. 20. 145. Ga'Pi'f.Œles leu'l'op'éenne!S elt géograph'ie mondi'ale, l fr. 50. 146. Oroqui,s UJ.G. Siilhouelttes caractél'istiqU'es de viIlles suisses, 21 ,f,i'ch'e;s, 2 fI'. 147. Gui,de pour IJ.'-emploi du matéll-ieJ expérimeI1~a.J vaudois, 5 tr. 70. 148. Oroqu·1s ,d'MSitoi,rte ISrusse, 40 f.idhres, 2 k 149. La biMe enS'eignée, ·b'l·ochlwe elt 23 f:ich:~s, 2 [11.' . 20. ISO. Vocabulaire: Animaux, 4·3 fiches-questions, 1 fr. 80. 151. Vocabulaire: Animaux, 43 fiches-réponses, 1 fr. 80. 15'2. A!I!elnlélJud, 36 {d'chels, ,sétîie 2, Ithèmes et vet'ts'Ïons, 1 f ..... 80. 153. ALLetmand, 16 pagles exer.cioœ compléJm. potl1' 3'e année, -.,30. 154. 56 'f.Ïches de oaiJJcu11, 2e .annlé:~, 3.-. Renseignements et commandes: Louis "Morier-Genoud, Vey taux-Montreux, tél. (021) 62631.

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Page 13: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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Page 14: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

E. V. 15. 12. 59

DES COMPLIMENTS POUR LE J~lOUVEL-AN

En ce jour, mes chers parents, Je n'ai qu'un présent à vous faire: C'est mon cœur plein d'amour sincère. Je viens vous l'offrÎt' simplement. Et voilà tout mon compliment.

* Ces quatre petits vers vous disent le bonjour. Ces quatre petits vers vous peignent mon amour. Ces quatre petits vers vous offrent vos étrennes, Ces quatre petits vers vous demandent les miennes.

* Voici le jour de l'An, Avec mon cœur plein de tendresse Je vous apporte la promesse D'être toujours obéissant.

Et pour celui qui sait déjà écrire :

Oui, je vous donne m~ parole De bien travailler à l'école Et d'être aimable et complaisailt. Je veux signer mon -compliment Chers parents, en vous emb,rassant.

* Il est difficile à mon âge De faire un joli compliment. Comme je suis encore un tout petit enfant, Le mien pourrait aller dix fois dans une page. Je vous aime beaucoup et demande au Seigneur Qu'Il vous donne toujours santé, joie et bonheur.

Page 15: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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DES COMPLIMENTS POUR LE NOUVEL-AN

Je voudrais êtt·e un chérubin Pour vous dit·e de belles choses, Mais je suis à peine un bambin

Aux lèvres roses. En ce beau jour pourtant je veux Vous prouver ma tendresse extrême : Mes chers parents , soyez heureux Au moins autant que je vous aime.

* En commençant cette journée

Je viens vous dire: «Bonne Année! » De tout mon petit cœur joyeux, Je vous promets d'être bien sage. Je ne puis donner davantage, Je ne puis rien offrir de mieux.

* Mon bon papa, bonne maman, Voici le joli compliment Que mon petit cœur vous adresse : Je vous chéris avec tendresse, Et pour que vous· soyez heureux, Au ciel, je fais monter mes vœux.

* Dans son nid, sous le toit, la petite hirondelle, Pour fêter et bénir ceux qui s'occupent d'elle,

N'a rien que son gazouillement; Mais pour sa mère, il est toujours charmant.

Moi, je suis comme l'hirondelle, Et je ne sais qu'un compliment,

Un compliment bien c~urt, toujours le même, Et le voici : chers parents, je vous aime!

Page 16: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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LA VIEILLE AU TR ESOR

La vieill e R osali e ? Je l'ai très hi en conllue dans ma petite enfan ce. Elle habitait rue du Lait-Battu , la derni èr e maison , celle dont le pi gnon r egardait les champs en pente vers l'Escaut.

R osali e faisait piti é à voir. Elle marchait, toute courhée, Illpme quand ell e ne portait pas sur son dos un fa got de bois mor t ou un sac de chi ffons ramassés . Elle avait toujouni l'air de ch erch er, dan s l e sable ou sur les pavés, un objet perdu.

Rosali e était une brave femme. Elle avait servi longtemps dans les fermes comme sarcleuse. Maintenant, elle ne pouvai t plus guère travailler, mais ell e avait besoin de si peu pour vivre. A son retou r de la messe de six h eures, elle se versait un bol de café et y trempait sa tar tine de pain de seigle ; à m idi , quelq~es pommes de ter re, avec Illl '~ tranche de lard ou de hareng, lui suffi saient et l e soi r , l es res tes r échauffés du repas de midi.

Sa cabane étai t la plus bass~ du village, mais propre, au dedans comme au dehors.

Rosalie était-elle pauvre ? Tout l e monde le cr oyait ...

Eh bien , non, ell e n 'était point p auvre . Dans l e bahu t de sa petite cui sine, derrière la salièr e, le pot à moutarde, l e flacon d e vinaigre, l e moulin à café, et une. ran gée de pots d 'onguents, elle dissimulait un pot soigneusement couvert d 'un e vessie de porc tendue commp une peau de tambou r et liée par une triple fi celle. Et ce pot-là était plein d'or.

P er sonne ne le savait et nous n e l e saurions pas davanta ge si, après l es événem ents que vous allez ap prendre, elle ne l 'avait r évélé ell e-même.

Orpheline de très bonne h eure, él evée ch ez l es r eligieuses, Rosalie .avait été mise en ser­vice, dès l'âge de seize ans, ch ez une comtesse presque centenaire et très maniaque, dont le château se d élabrait dans un grand bois au bord d 'un fleuve. Avant de mourir, sa maîtresse lui avait r emis un port d e gr ès en lui disant: «Voilà pour te r écompenser de tes bon offices. Ce pot est plein d'or; n'y puise pas tant que tu n'es pas dans l e besoin. »

Rosalie était pieuse, honnê.te et bonne; elle n 'avait que ce vice qu'elle ignorait: l'avarice.

La fin d e d écembre de l'année 1898 fut maussade et boueuse. Après de fortes gelées, étaient venus l e vent d 'ouest et l es pluies abondantes. L e fl euve d ébordé s'était répandu dans les champs et l es pnjir ies, e t au b out de la ru e du Lait-Battu on en voyait luire les eaux grises sous un ciel bas aux nuages gonflés . La nuit d e N oël tomba triste sur le village aux rues vides. Les rumeurs de la veill ée filtraient ave€ des fil ets de lumière brouillée, par les fentes des volets des maisons closes où l e vent ch erchait à entrer .

Rosalie était lri ste ...

Les cloch es se mirent en branle. Aussitôt, Rosalie se leva, revêtit son ample manteau de drap verdi à capuchon de velours élimé, prit sur l'armoire son livre de messe, ' et souffla la lampe. En fermant sa porte à clé, elle vit, sur l eurs seuil s êclairés, les yoi sins qui allaient partir avec elle .

L'église n 'était pas loin: la ru e du Lait-Battu d ébouchait sur la place.

Rosalie trouva l e moyen d e se faufiler jusque devant la crèche, dans la nef latérale gauche r éservée aux fem m es. Elle avait besoin d'être près de cette lumière et de cette douceur, espérant vaguement s'y r échauffer et d 'y blottir sa prière jamais exaucée.

. Duran t la messe de minuit, ell e tint l es yeux fixés SUl' les naïves statuettes. Elle voyait Jésus pauvre, Marie' pauvre, 'Joseph pauvr e et d édaigneux des richesses. Elle voyait les ber­gers qui donnaient leur plùs -b el agneau , l es rois qui dOllnaieJlt leurs plus ri ches trés.ors.

Et un e voix d an s s~n. .âme parl~ ainsi:

- 65.-

Page 17: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

«Toi, Rosalie, que donnes-tu ? Ta foi, ta prière, ton travail ? Ma.is tu ne donn~s pas tout. Ton cœur n'est pas ici tout entier. Que caches-tu dans ton armou'c? PO~ll'qUOI es-tu attachée à cet or ? S'il ne te sert point, pourquoi l'empêches-tu de servir à autrUI? Donne-le à Jésus. Ou à ses pauvres; c'est pareil. »

La lumière entrait en elle, péremptoire. Son vieil attachement se défendait. Mais la lumière insistait.

«C'est vrai pourtant, se disait Rosalie. Si je pouvais arracher de moi ce trésor.' je serais sans doute plus légère et plus heureuse. Le travail et l'infirmité ont courhé mon VIeux corps; mais, c'est plus encore ce malheureux pot de grès qui me tient inclinée vers la terre. »

La lutte se poursuivit dans son âme entre la pauvreté du Christ et son avarice à, e~le. L'enfant de la crèche lui tendait les hras avec une tendresse à laquelle une femme ne resiste point.

En sortant de l'église, Rosalie était convaincue que, pour se délivrer de 'son tourment, elle devait se délivrer de son or.

La nuit était mouillée et noire, et la vieille avançait lentement dans la r~e tortl~euse aux pavés pointus, éclairée d'un seul méchant réverhère et çà et là, de la lueur d UI~ vasIstas, ~ux maisons où l'on commençait à verser le chocolat fumant dans les tasses des Jours de fete.

Avant d'enfoncer la clé dans la serrure, Rosalie s'arrêta un long moment devant sa porte, pour reprendre haleine. Elle était une pauvre loque ouhliée dans un univers somhre et triste.

Lorsqu'elle fut entrée et qu'elle eut allumé la lampe, elle fut saISIe de terreur. Les chaises étaient déplacées, une statuette et son glohe gisaient hrisés sur l'armoire.

Son sang se glaça.

«Les voleurs ! » Elle se précipita sur l'armoire: la serrure en était forcée. Les pots n'étaient plus en

ordre. Il ne lui fallut qu'un regard pour constater que le pot plein d'or avait disparu. Elle s'affaissa en gémissant.

~<' é;~st mieux ainsi, se dit enfin Rosalie. Que cet or ne porte pas malheur à ceux qui me l'ont pris. Moi j'en suis délivrée. Merci, mon Dieu. Je veux vous servir Vous seul. Ayez pitié de moi.»

Elle était vraiment comme on dit sur la paille. Comme le Christ...

Depuis sa jeunesse lointaine, elle ne se souvenait pas d'avoir été plus calme et plus heureuse.

Et ce Noël-là fut le plus beau de sa vie. Camille MELLOY. (Conte de Noël).

Avec la hienveillante autorisation de l'ECOLE, 28 novembre 1959.

LA

FAIT

DES HEUREUX •..

- 66-

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CAIDIN, Martin. Vanguard, ou La naissance d'un béhé lune. (Trad. de Rohert

de Marolles et Edmond Petit.) (Paris), Presses de la Cité, (1958) ; 80, 312

p. pl. TA 15.428

OHAMBADAL, Palul. ILes oen:tlDalLes lluclléa1ill'es P,a'liils A :ColLin (,1957)' 80 188 III . fig. ·grap,h. (Col'}' A. ,c,olilin. 3'21.) . ,. , , N '481/3'2{

DODRING, W'e;rtllier. IV])eohalniik. BCililin, W. ,d:e .(1111)rltler, 1954 ; 8u, 1'19 S. A:bib. (Binf. in cluc theoI11el:1i's'clhe P ,hy,sik. ,B'el 1. - SammO'U!ng Gdschen. 76.)

N 567/76

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et A[rndl,é] ,GaIHchon. Eled.1JI1idité 'irnd'UlsJtonÎlelHe: Maohri~l);eséleohliq'Ules, à

l'r11'3'a~ed'es Ecalles 11'aICio!l1'rul·es pl'o!f'eJslSi'olllllleJHes ... tp'a'Lu1s, neil'agl1l:\'V'e, 1957 ; 80, 328 p. fri.g. (BilbiJ. Id'e il"e.n~eJignreJme'l1 l t IscÎleI1l\1ifli1qule .) TA 15.437/2

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N 567/1078

4. Commerce / Handel

ALBER, Ja.kob. Wli!l'k'Sla'mBr WIell.·JJen. Ein Rel\.1lame-Leittfaldleil1 :für 'De:tai!hliiSl~en und Ge''''ell.·bC'ill1elÎlhende. ZÜl'ttoh, Vielrl. .olîgrani.sa:to:r, [ca 1955] ; 8°, 159 S. Ablb. (Schni:fluenrleühe dClr SclmY!eci.~e!·. F,achtS'chule f. 'den DiCltaii1lhandeI.) TA 14.721

DAE)CHTOLD, Erw\Ïln. 1(t1e1in.es Hal1'dhuch für :dClll Re:is'eNerkauf. 2. Aru:fl. (3. !bris 4. Taus.) ZÜil'.i.eh, Vertl. Org,a.nlisaI~or, [oa. 1956] ; 8°, 136 S. TA 15.452

BLDEAU, P;iem·,e. Voya'gew1s, i1C1pfL"és'entJantlS, lag'elnts, VOIS 'diJ.·oitls, VIOlS ohLig.a'tÎ'oll1's. Genève, EJd. Rada:r, 1953 ; 8°, 229 :p. TA 15.458

Ma'I.'c'ell Ohalpotin, R,o'h:mit DeniJs. '01ÏJea'it-IPoi. IJl.luSltJ.1aJuioLll de Sus. 2'e éd. Genèvle, Ed. d'e Il'Ul1'i'orl1 d,es voyageUlLis ,die C0111'l1l'el'C'e ,de /113 SUIÎ.,g'S'e fl"0Il11aJld'e, (1955) ; 80, 194 p. flig. pl. TA 15.460

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pdise 1I11O'dreril1'e, ,(1958); 80, 138 !p. TA 15.464

F'RANICtEN, F:rlanz. IOeilJ.l'e SchauJ.CI.nster.pmxi"s. 2.* AlUfil . Giessen, Vlel'l. PlfafJ.me· herg, (1957) ; 80, 104 S. A1bb. PA 8846

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OEJSOH, Elll'ill. Dier Mann am S1JeuC!r. F1ÜT jed1en, ,d'er rS'0i'l1 ieJilg.eillle,L' und dlell' Steuennann anderer sein will. 16. Auf1. Thalwil·Zch., E. Oesch, rca 1950]; 811 , 242 S. TA 15.442

PAOKARD, V;ance . La prru'/suas,ion cl},a'llid,estin'e. (Tble h!ÎJeMen pea'sua,cl'ers.) TIl·.aId. cl e il"amléL1i,oa;in pa,r Hé'lè'lle Chû1L1eau. PIa'd ,s, Oalll11'a'lln JLévy, (1958) ; 80, 246 p .

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BAiSSEREJAU, R[lel1'éJ. Le Itialp1BIS'Ïler,déc:olL'aItleiUlL·. Pa:l1is, J.-B. 'BaiH1iè'L'Ie, 1952; 80, 208 p. fig. Ipll. I(NouveŒl'e BiM. 'plL'olf!es'sli'ol1JI1:eI11'e.) PA 8840

Be lr'll of 'e der Zuklunlfrt . IDiie jÜIlig'sll'e GelllJemtJion ,auif .dletrn W~g iflls Joa:hrr 2000,

Lausal1Jne, La Sll'ÎlSisle, SchwleizeJJ:. V'e11hand f . BeruiftshBl'l3lrung und Le!hrli!l1g's­fürsorge, (1958) ; 8°, 73 S. Abb. PA 8733

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DURUZ-NIET,LloSPACH, Ern,a. MleùoSlt,eorwle(l"k ,de.r Küche. Bile zle!i:tg:emalSse K 'o'Coh­

Imll'Si t ,jn W'O'lit .und tlHlcl ... 10.* Aurll. FtI'ei'huo1'g, K!anl~SlÎ.ws.V'er1., (c'op_

1954) ; 80, 528 S. T<af. TA 15.450

GATTEFOSSE, Rr'eJllé ]-M[aUQ,ice] et H. JOl1'CfUliè(l"es. Théû'J:li'e ,,:}oe lia cheiV'ellUil."e.

Pa'rils, OÎll"alr/clolt, 1947 ; 80, 161 op. {,ig. TA 15.419

GISSLER, Andll é. M ·aln'llleli dIC co.~ffur.e ipour dames :et lluelS'si,eUl"s, à l'usage dlels

apprentis. Avec la collaboration de Mesdames Ebner ct Lellba. Lnusanne,

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Ga.stronomic Guûod1e of 'SW1i,tz.eJI"l1allid . (ZüI'i'dh, &etrviœ ,de 'co/l1llirôiIJe de la pro­

pagandle .g'énél'alle p 'OIl1!1' ilte Towr1ilso11'e), 1953 ; 8°, 163 ip. Coal'lies. TA 12.010

HECHT, Er.Il!S't. W.e,lùhes Oeiweobe i'slt ·das ? Stu'lltgall~t, FIl',an:okh'ische Vlel'lagshan.d.

lung, (1956) ; go, 179 S. Abh.+20 Taf. TA 15.444

HEISING, Hern'té\lnn iUllld Erilch RJeJinke. Das KondoÎ'toll"lJuch. Un'ter MiJf1arheilt von

WliŒhle!lim KOOitz 'und OMo PIO'hle. (2. A,uftI.) 'GÜ'tel1sU:oh, oC. Beot'~e;lsJ11lann, (1955) ; 4.0, 528 S. A'bb. T'af. TB 1510

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tection des apprentis, (1958); 81, 81 p. fig . PA 8629

TAILLEFERrR'E, GathelôHle. Cour d'e coupe. Styll.'e «BHe ». Cons'eJÎ11,s pmtsiques de

J. J. B)"lis . Ihlus'br. d,e P[Iet'1Te Simon. (paD1s), A. F ,ayall,d, (1958) ; 80, 155 p .

.fig. 'pt rpallJrolls. ( << Bne ». Encydopédli'e .) TA 15.432

S11ALDER, F,ral1Jce. Te,chno[og,ile pOUl' ·colUlliu'l'ièl1es 'Clt ip1l'of,Bg's'ions CO'llIllCX,e:S. Lau·

.sa1]1ne, Ed. die ['Eco,le 'complémiCll1/t!aI:ll'e p.J.·OIf. d·e ,la S.LC., 1958 ; 8°, 104 p. fig. PA 8842

URBAIN-DUBOIS, Fél1ix et LOIll,i,s Champelauok Borulangerie d'Iarujourd'hui. 2e

éd. 8em1ilile. Pari,s, Ed. JOlimni,Ue, (1950) ; 811 , LX+283 p. rp!l. TA 15421

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Page 22: L'Ecole valaisanne, décembre 1959

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