CCIGinfo no 5 - Mai 2014

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Rejoignez la communauté CCIG sur sa page Facebook ! .pdf .xls .doc © Laurence Herren - Photos : Shutterstock TROP DE PAPIERS EN LIBERTÉ ? CAPTUREZ- LES ! DU COPIEUR À LA GED T. 0848 912 912 www.devillard.ch Bulletin d’information de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève Mai 2014 No 5 MENSUEL www.ccig.ch Conséquences du vote du 9 février 160 millions de pertes directes Lors du 7 e programme-cadre de recherche (FP7) de l’UE (2007-2013), la part de subsides européens obte- nus par les chercheurs suisses a été supérieure à la contribution de la Suisse. Chaque franc investi a rap- porté à la Suisse 1,5 franc par la par- ticipation à plus de 2600 projets, dont deux tiers émanaient des Hautes écoles et un tiers de l’industrie. A noter que l’Université de Genève (UNIGE) totalise 250 participations aux projets de l’UE, dont 19 coordi- nations de projets au niveau suisse et 35 bourses du European Research Council (ERC), un indicateur d’excel- lence au niveau international. Sur la période du FP7, cela correspond à un montant d’environ 160 millions de francs, dont 60 millions pour les bourses ERC, qui ont permis la créa- tion de 220 emplois de chercheurs. « Il faut comprendre que, suite au vote du 9 février, la Suisse n’est plus considérée comme pays associé, comme le sont la Norvège ou l’Islande, mais comme pays tiers industrialisé, comme les Etats-Unis », explique Laure Ognois. « Concrè- tement, cela signifie que, s’agissant des projets collaboratifs, les parte- naires suisses ne sont pas éligibles pour un financement de l’UE dans le cadre d’Horizon 2020 : les parti- cipations suisses acceptées seront en principe financées par la Confédération. Quant aux projets individuels, les participations suisses, notamment La votation du 9 février dernier sur l’immigration remet en question la participation de la Suisse au programme de recherche de l’Union européenne (UE) et à Erasmus+. Ceci aura des conséquences importantes tant en termes d’innovation que de ressources financières. Recherche et formation: pertes financières à prévoir aux bourses d’excellence ERC, sont exclues. Une solution transitoire repose sur l’allocation de bourses de remplacement par le Fonds National Suisse. Mais celles-ci sont de bien moindre importance. En outre, une bourse ERC reste un trophée qui ouvre des portes scienti- fiques et des carrières sans com- mune mesure avec une bourse nationale, aussi bien dotée soit-elle. Dans l’hypothèse où la Suisse ne recouvre pas son statut de pays associé, pour l’UNIGE, cela se tra- duira à terme par trois diminutions. Tout d’abord, une diminution de 40 % du nombre des projets soute- nus, soit de 140 projets FP7 actuels à 85 projets Horizon 2020. Ensuite, une diminution de 60 % des bud- gets des fonds de recherche euro- péens, de 90 millions d’euros actuellement à 37 millions. Enfin, une baisse de 50 % des subsides reçus par l’Université, de 28 millions de francs en 2014 à 14 millions en 2020. » Les chercheurs ont commencé à partir La recherche de haut niveau ne se conçoit aujourd’hui qu’à travers un réseau de collaborations internatio- nales. Un accès limité aux grands programmes internationaux, princi- palement européens, pourrait avoir comme conséquence la mise en péril des groupes de recherche de l’Université, voire l’exil des cher- cheurs de renommée mondiale pour d’autres institutions universitaires leur offrant de meilleures conditions et moyens de recherche. «L’UNIGE Bordier & Cie propose une solution innovante de prévoyance, complémentaire à celle prévue par la LPP. PAGE 7 infoAGENDA infoCHAMBRE Evaluation de risques, développement des affaires et nouvelles technologies sont au menu de quatre séminaires. PAGE 4 et 8 Le CAGI ou comment faciliter la vie des entreprises employant des expatriés à Genève. 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Doté de 80 milliards d’euros de fonds publics disponibles pendant sept ans (2014 à 2020), il vise à soutenir la recherche et l’innovation, facteurs de croissance économique et d’emplois nouveaux sur le territoire de l’UE. Le programme est composé d’une multitude d’appels à projet répartis entre trois grandes thématiques: l’excellence scientifique (accent sur la recherche fondamentale), le leadership industriel (technologies indus- trielles clés telles que les TIC, la nanotechnologie, la biotechnologie et l’espace) et les défis sociétaux (santé, sécurité alimentaire, énergie, trans- port, climat, etc.). Laure Ognois, directrice du Secteur Recherche de l’UNIGE.

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T. 0848 912 912 www.devillard.ch

Bulletin d’information de laChambre de commerce, d’industrieet des services de Genève

Mai 2014 No 5

MENSUEL

www.ccig.ch

Conséquences du vote du 9 février

160 millions de pertes directesLors du 7e programme-cadre derecherche (FP7) de l’UE (2007-2013),la part de subsides européens obte-nus par les chercheurs suisses a étésupérieure à la contribution de laSuisse. Chaque franc investi a rap-porté à la Suisse 1,5 franc par la par-ticipation à plus de 2600 projets,dont deux tiers émanaient des Hautesécoles et un tiers de l’industrie.

A noter que l’Université de Genève(UNIGE) totalise 250 participationsaux projets de l’UE, dont 19 coordi-nations de projets au niveau suisseet 35 bourses du European ResearchCouncil (ERC), un indicateur d’excel-lence au niveau international. Sur lapériode du FP7, cela correspond àun montant d’environ 160 millionsde francs, dont 60 millions pour lesbourses ERC, qui ont permis la créa-tion de 220 emplois de chercheurs.

« Il faut comprendre que, suite auvote du 9 février, la Suisse n’est plusconsidérée comme pays associé,

comme le sont la Norvège oul’Islande, mais comme pays tiersindustrialisé, comme les Etats-Unis»,explique Laure Ognois. «Concrè -tement, cela signifie que, s’agissantdes projets collaboratifs, les parte-naires suisses ne sont pas éligiblespour un financement de l’UE dansle cadre d’Horizon 2020 : les parti -cipations suisses acceptées seronten principe financées par laConfédération.

Quant aux projets individuels, lesparticipations suisses, notamment

La votation du 9 février dernier sur l’immigration remet en question la participation de la Suisse au programme de recherche de l’Union européenne (UE) et àErasmus+. Ceci aura des conséquences importantes tant en termes d’innovation que de ressources financières.

Recherche et formation:pertes financières à prévoir

aux bourses d’excellence ERC, sontexclues. Une solution transitoirerepose sur l’allocation de bourses deremplacement par le Fonds NationalSuisse. Mais celles-ci sont de bienmoindre importance.

En outre, une bourse ERC reste untrophée qui ouvre des portes scienti-fiques et des carrières sans com-mune mesure avec une boursenationale, aussi bien dotée soit-elle.Dans l’hypothèse où la Suisse nerecouvre pas son statut de paysassocié, pour l’UNIGE, cela se tra-duira à terme par trois diminutions.Tout d’abord, une diminution de40% du nombre des projets soute-nus, soit de 140 projets FP7 actuelsà 85 projets Horizon 2020. Ensuite,une diminution de 60% des bud-gets des fonds de recherche euro-péens, de 90 millions d’eurosactuellement à 37 millions. Enfin,une baisse de 50% des subsidesreçus par l’Université, de 28 millionsde francs en 2014 à 14 millions en2020.»

Les chercheurs ont commencéà partirLa recherche de haut niveau ne seconçoit aujourd’hui qu’à travers unréseau de collaborations internatio-nales. Un accès limité aux grandsprogrammes internationaux, princi-palement européens, pourrait avoir

comme conséquence la mise enpéril des groupes de recherche del’Université, voire l’exil des cher-cheurs de renommée mondiale pourd’autres institutions universitairesleur offrant de meilleures conditionset moyens de recherche. « L’UNIGE

Bordier & Cie propose une solution innovante de prévoyance,complémentaire à celle prévue par la LPP. PAGE 7

infoAGENDAinfoCHAMBREEvaluation de risques, développement des affaires et nouvellestechnologies sont au menu de quatre séminaires. PAGE 4 et 8

Le CAGI ou comment faciliter la vie des entreprisesemployant des expatriés à Genève. PAGE 3

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Horizon 2020, le 8e programme-cadre de recherche et d’innovation del’UE (2014-2020), réunit sous le même toit tous les programmes et initia-tives actuels de l’UE dans le domaine de la recherche et de l’innovation.

Doté de 80 milliards d’euros de fonds publics disponibles pendant septans (2014 à 2020), il vise à soutenir la recherche et l’innovation, facteursde croissance économique et d’emplois nouveaux sur le territoire de l’UE.Le programme est composé d’une multitude d’appels à projet répartisentre trois grandes thématiques : l’excellence scientifique (accent sur larecherche fondamentale), le leadership industriel (technologies indus-trielles clés telles que les TIC, la nanotechnologie, la biotechnologie etl’espace) et les défis sociétaux (santé, sécurité alimentaire, énergie, trans-port, climat, etc.).

Laure Ognois, directrice du Secteur Recher che de l’UNIGE.

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ÉDITORIALA l’Est,

du nouveau !

Nouveau: ma réunion à la gare de Genève Cornavin.Salles de réunion et postes de travail surdemande. À la gare, au cœur de Genève et de Berne. cff.ch/businesspoint

2Mai2014 No5

suite de la page 1

en fait déjà le constat», dit LaureOgnois. «Suite à l’appel à projets del’ERC pour l’attribution de boursespour jeunes chercheurs en mars der-nier, quatre chercheurs sur douzeont quitté l’UNIGE et ont postuléaux ERC starting grants depuis uneautre université européenne.»

«S’agissant des bourses d’excel-lence ERC, à notre connaissance aumoins deux chercheurs étrangersont renoncé à s’installer chez nous,car ils ne pouvaient plus soumettredes projets en vue d’obtenir cesbourses. Enfin, lors des appels àprojets de mars et avril, quatre denos professeurs ont été exclus desconsortia européens, car ils ne pou-vaient pas garantir que Berne pren-drait en charge les frais relatifs àleurs projets. »

Dans le cadre de ces programmes,nombreux sont les projets quimisent sur une collaboration entreHautes écoles et entreprises. La miseà l’écart de la Suisse déploierait ainsides conséquences directes pour letissu industriel et les PME, créantainsi un effet «boule de neige»redoutable pour le système derecherche et d’innovation tantnational que cantonal.

Retombées cantonales Un affaiblissement des institutionsd’enseignement et de recherchegenevois aura également un impactdirect sur le tissu économique local.En 2012, la CCIG s’était déjà pen-chée sur le poids économique dusecteur de la formation à Genève*.La seule formation post-obligatoire(publique et privée) représentait

alors 1,5 milliard de francs dedépenses directes, soit près de3,5% du PIB cantonal. Et c’est unsecteur qui a témoigné d’unconstant développement : entre2005 et 2008, le nombre totald’emplois dans l’enseignement(tous niveaux confondus) a aug-menté de 11,3%, pour s’établir àprès de 20000.

S’agissant spécifiquement de l’Uni -ver sité de Genève, celle-ci occupequelque 4000 personnes, soit autantque Rolex, premier employeur privédu canton. Ses 721 millions defrancs de dépenses, pour l’achat debiens et services et la rémunérationdu personnel, engendrent, dans lecanton, des effets directs et indirectsqui, cumulés, sont à l’origine d’unevaleur ajoutée totale de près de1 milliard de francs.

Etudiants étrangers :des forces vivesIncontestablement, la richesse et lavariété des formations offertes estl’une des grandes forces de Genève.La combinaison, peu connue ail-leurs, de trois éléments : formationsduales ou à plein temps, trois filières(gymnasiale, professionnelle et cul-ture générale) ainsi que nombreusespasserelles existant vers les forma-tions supérieures, est un facteur dusuccès de l’enseignement genevois.

PHILIPPEMEYERmembre de la Direction

A Cointrin, débarquant un après-midi d’avril d’un vol d’Asie,je suis accueilli avec les passagers de deux autres avions dans leterminal gros-porteur... et j’ai honte : honte de la vétusté des ins-tallations de cette partie de l’aéroport ; honte de voir une per-sonne âgée peiner à descendre le raide escalier de la passerelle.

Quel aéroport intercontinental aujourd’hui est encore équipéd’infrastructures aussi obsolètes et si peu accueillantes ? Notreterminal gros-porteur est la porte d’entrée de Genève et de sarégion pour tous ceux qui viennent d’autres continents. Il estindigne du statut de ville internationale auquel prétend Genèveet de la qualité de l’accueil que nous nous devons d’offrir auxvisiteurs, et notamment aux personnes à mobilité réduite.

Le terminal gros-porteur est le dernier maillon des infrastruc-tures aéroportuaires à ne pas avoir été rénové. Il est grandtemps de se mettre à l’ouvrage! Car un projet existe et est prêtà démarrer. Cette rénovation a un nom: l’Aile Est et son abou-tissement rapide est une nécessité.

En effet, les vols long-courriers sont cruciaux pour l’écono-mie genevoise. Le risque de voir des compagnies aériennesopérant de tels vols quitter Cointrin est réel, alors que leur présence est essentielle à la Genève internationale, comprisedans ses dimensions publiques (organisations internationalesgouvernementales ou non) et privées (sociétés multinationalessuisses et étrangères).

Ignorant superbement ce rôle, des opposants au projet avan-cent des arguments à faire faire un looping à un Airbus A380!Ils parlent notamment de mainmise unique au monde d’unecompagnie low-cost sur un aéroport, mainmise qu’il s’agit de freiner en empêchant la construction de l’Aile Est. On croit rêver!

Ce projet de développement qualitatif de notre aéroport faitclairement partie des conditions cadre que la CCIG défend avecvigueur. Alors que, comme l’a relevé un magazine économiquesuisse dans un récent numéro, pas moins de 12 initiatives tou-chant l’économie ont été soumises au peuple ou vont l’êtredans les prochains mois, il est grand temps de cesser de joueravec le feu et de préserver nos atouts.

Collaborations UNIGE – EntreprisesLe programme FP7 a généré de nombreuses collaborations entre l’UNIGEet des entreprises de la place. En voici quelques exemples :

•Q-ESSENCE, recherche sur les interfaces quantiques débouchant surdes applications dans le domaine des technologies de l’information etde la communication, en collaboration avec ID QUANTIQUE SA

•SERVIVE, portant sur la mode en 3D et la customisation de masse, aimpliqué l’une des spin-offs de l’UNIGE, DIGITAL HUMANS S.à r.l.

•OxIDes, dans le domaine des nanotechnologies, a également impliquéune spin-off de l’UNIGE, Phasis S.à r.l.

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3No5 Mai2014

Cela se traduit notamment par uneforte présence d’étudiants étran-gers. En moyenne 55% des étu-diants (tous ordres d’enseignementconfondus) sont étrangers et cetteproportion atteint 80% dans lesHautes écoles spécialisées, qui pro-posent des formations tertiairesuniques à l’échelle régionale.

Plus spécifiquement, les programmesde masters et doctorats permettentd’intéresser à la carrière académiqueet de chercheur les étudiants les plusbrillants. L’émulation et la richessequi résultent d’une population étu-diante d’origine diversifiée garantitla qualité de la formation reconnuecomme telle par l’ensemble desorganismes d’accréditation suisses etinternationaux.

Au niveau du personnel, 32% dupersonnel enseignant et de recherchede l’Université de Genève vient depays étrangers. Le contingentementannoncé à la suite de la votation du9 février dernier risque de limiter l’attractivité de la Suisse pour lesenseignants et professeurs qui fontactuellement la réputation del’Institution genevoise. Or, ce carac-tère international contribue large-

ment à sa vitalité scientifique, qui luivaut aujourd’hui de figurer parmi le1% des meilleures universités dumonde. Il faut espérer que l’accordtrouvé fin avril avec l’Union euro-péenne concernant la Croatie permet-tra rapidement à la Suisse de réinté-grer les programmes de rechercheeuropéens, ainsi qu’Erasmus+, qui adéjà permis à trois millions d’étu-diants de participer à des échangesuniversitaires entre pays.�

A côté des collaborationsentre monde académique etentreprises privées mention-nées plus haut, l’Universitédispose également d’unbureau de transfert de tech-nologies et de compétences,UNITEC. Celui-ci gère plusparticulièrement le processusqui aboutit à la créationd’une spin-off, ainsi que lesquestions de brevets et depropriété intellectuelle inhé-rentes au transfert de tech-nologie. La CCIG est repré-sentée au sein du ConseilUNITEC par Eric Biesel, mem-bre de la Direction.

Pendant de nombreuses années, etconformément à ce qui avait étéconvenu, les prestations offertesn’ont été destinées qu’aux fonction-naires internationaux et aux mem-bres des missions permanentes. Cen’est que depuis 2012 que, grâce aulobbying et au soutien de la CCIG, leCAGI a pu ouvrir ses portes à unecatégorie de nouveaux arrivants, lesexpatriés des multinationales. Cetteextension de son mandat valorise leCAGI et confirme son rôle en tantqu’élément important des conditionscadre de l’économie genevoise.

En répondant aux questions que seposent les collaborateurs expatriésd’entreprises implantées à Genève,le CAGI favorise leur intégration àGenève. En effet, à leur arrivée etdurant tout leur séjour, les expatriéset leur famille sont confrontés à denombreuses formalités administra-tives : permis de séjour, véhicule,assurances, scolarisation, etc. etsouhaitent obtenir des informationsconcernant les loisirs pour pouvoirparticiper à la vie de la cité.

Des kits de bienvenue, conçus à l’ori-gine par la CCIG, sont remis réguliè-rement aux responsables RH des mul-tinationales, qui les distribuent à leursnouveaux collaborateurs expatriés. Laconsultation de son site internet(www.cagi.ch), très complet et mis àjour quotidiennement, est vivement

recommandée. Le CAGI a égalementpour mission de dynamiser lescontacts et échanges entre les expa-triés des multinationales, les fonction-naires internationaux, les membresdes missions permanentes et la popu-lation genevoise. Il a ainsi mis surpied plusieurs programmes favorisantcette intégration, que ce soit pour lesnouveaux arrivants par le biais de sonRéseau d’Accueil (visites, conférences,échanges linguistiques) ou pour tousles résidents de la région qui peuvents’inscrire en ligne à des Afterworkmensuels informels et conviviaux ras-semblant des personnes de cultureet d’origine diverses.

Les multinationales emploientquelque 60000 personnes àGenève, ce qui correspond à envi-ron à un emploi sur trois. A celas’ajoutent les importantes com-mandes qu’elles passent à des sous-traitants dans des domaines écono-miques allant de l’imprimerie à la

infoCHAMBRE

Au cœur d’un réseau agissant…

Le CAGI, facteur d’intégrationdes expatriés

restauration en passant par d’in-nombrables services. Elles consti-tuent donc un acteur prépondérantde l’économie genevoise et les par-tenaires du réseau de la promotionéconomique se doivent de faciliterleur activité et la vie de leurs colla-borateurs. Ce sont là les raisonspour lesquelles la CCIG soutient leCAGI dans son rôle important defacilitateur de la vie des entreprisesemployant des expatriés à Genève.Si tel est le cas de votre société,n’hésitez pas à utiliser les servicesdu CAGI, qui sont gratuits ! �

En 1994, les négociations avec l’OMC pour que son siège soit hébergé à Genève battaient leurplein. L’offre suisse comprenait la création d’un organisme qui faciliterait l’installation des diplo-mates à Genève, constituant un guichet unique pour répondre aux questions des nouveauxarrivants. Cette promesse fut rapidement tenue après la signature de l’accord de siège et leCentre d’Accueil - Genève Internationale (CAGI) commença ses activités dès 1996.

Le CAGI accueille les internationaux dans la Villa La Pastorale, près de la place des Nations.

CAGILa Pastorale106, route de FerneyCP 103 - 1211 Genève 20Tél. + 41 22 546 14 00www.cagi.ch - [email protected]

*«Genève :un pôle de formation tourné vers l’économie?» Etude réalisée en novembre 2012,disponible sur le site web de la CCIG, www.ccig.ch (rubrique Publications).

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4Mai2014 No5

Séminaire

Country Risk –Evaluation des risqueset opportunités dansle monde entier

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Bisnode D&B (anciennement Dun & Bradstreet Suisse SA) aide lesentreprises à prendre de meilleures décisions, à réduire leurs risqueset à maximiser le succès des ventes. Les leçons tirées de la mise enréseau de données facilitent la prise de décision à la fois en ce quiconcerne les questions stratégiques et des opérations commercialesde tous les jours.

La société Bisnode D&B Suisse est basée à Urdorf (ZH) et emploieenviron 110 personnes. En tant que partenaire du D&B WorldwideNetworks, Bisnode D&B Suisse fournit des informations commercialessur les entreprises ainsi que les données d’analyse de marché pour lemonde entier.

Notons que les membres de la CCIG qui souhaitent obtenir un «D&BRating Certificate» bénéficient d’un tarif préférentiel à travers leuraffiliation à Swissfirms (plate-forme de services et d’informations éco-nomiques qui permet de consulter des informations détaillées surtoutes les entreprises membres de Chambres de commerce suisses).

Toute entreprise – quelle quesoit sa taille ou ses activités –qui effectue des opérationstransfrontalières est exposéeaux risques pays, soit les risquesassociés à la performance poli-tique, économique et commer-ciale globale d’un pays.

La gestion du risque pays estl’un des facteurs clés de succèsdans les activités commercialesinternationales.

Aujourd’hui, de nombreuses infor-mations sont disponibles surInternet. Cependant, filtrer les infor-mations pertinentes pour garantirdes affaires saines dans un payspeut prendre beaucoup de temps.

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Ce séminaire, organisé par BisnodeD&B Suisse, entend soutenir ceuxqui sont impliqués dans le com-merce international, les investisse-ments directs étrangers, la gestionglobale de la chaîne d’approvision-nement, en les aidant à trouver des

Depuis cette année, SwitzerlandGlobal Enterprise (S-GE) proposeune nouvelle série d’événementsannuels sur le thème de l’inter-nationalisation : les S-GE ImpulseEvents, dont ce séminaire faitpartie.

Plate-forme d’information etd’échange destinée à toute PMEsuisse souhaitant développer sesactivités en Asie, cet événementmettra en lumière les opportunitésd’affaires concrètes qui se font jouren Chine et à Hongkong dans ledomaine des technologies de l’in-formation, de l’e-commerce et desréseaux sociaux. A cette occasion,deux études de marché sur l’indus-

trie ICT en Chine et à Hongkongseront présentées aux participants.Last but not least, l’événement ferale point sur l’accord de libre-échange signé récemment avec laChine.

Enfin, après le séminaire, les conseil-lers Asie de S-GE seront à la disposi-tion des participants pour des entre-tiens-conseils personnalisés.

L’événement sera aussi l’occasion deréseauter. La manifestation est gra-tuite pour les sociétés membres de

S-GE ou d’une Chambre de com-merce et d’industrie cantonale. Surinscription préalable.�

moyens efficaces pour obtenir lesinformations pertinentes pour leursactivités transfrontalières.

Lors du séminaire, l’accent sera missur des questions telles que :

• Que dois-je savoir sur un pays afind’y mener des activités commer-ciales réussies ?

• Comment sécuriser mes placements ou ma chaîne d’ap-provisionnement et réduire lerisque commercial ?

• Comment surveiller les changements pertinents pour lesaffaires en cours dans les paysconcernés?

• Comment identifier les opportuni-tés à venir et les transformer ennouvelles affaires à succès?

L’événement est également destinéà fournir le cadre pour la mise enréseau et l’échange d’expériencesentre les participants au cours dupetit déjeuner organisé dans lecadre du séminaire.�

� PROGRAMME ET INSCRIPTIONS

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“Appuyer votre entreprise

au bon moment par une action

précise, puissante et délicate!”

La Banque Cantonale de Genève a vocation première d’appuyer les entreprises et leurs dirigeants.

Son conseil et ses capacités � nancières

constituent des leviers de force pour soutenir la croissance des fonds de roulement, accélérer l’investissement, optimiser le re� nancement et conforter les fonds propres des compagnies industrielles et de services.

La BCGE personnalise et inscrit dans la durée

ses relations avec les dirigeants et actionnaires pour construire un partenariat durable et ef� cace avec le monde de l’entreprise.

depuis 1816

Claude BagnoudMembre de

la direction générale

Raoul MonnayDirecteur

Entreprises Suisse

Catherine RaphozDirectrice adjointeEntreprises France

Financementde l’exploitation etde l’investissement

Gestion detaux, trésorerie

et devises

Fusions &Acquisitions

Genève Zürich Lausanne Lyon Annecy ParisDubaï Hong Kong

www.bcge.ch/entreprises +41 (0)58 211 21 00

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Mardi 24 juin 2014, de 8h15 à 10h15CCIG, bd du Théâtre 4, Genève

Séminaire

S-GE Impulse: AsiaJeudi 26 juin 2014, de 8h30 à 13h - CCIG, bd du Théâtre 4, Genève

� PROGRAMME ET INSCRIPTIONS

Philippe Meyer, tél. 022 819 91 11 ouwww.s-ge.com/suisse/export/fr/event/s-ge-impulse-asia-0

Page 5: CCIGinfo no 5 - Mai 2014

5No5 Mai2014

Confrontés à différentes atteintes àleur intégrité dans le cadre de leur travail ou l’ayant vécu comme tel, lescollaborateurs sont touchés dans leursanté. Il a été montré en 2002(SECO) que les personnes victimes demobbing présentaient davantaged’atteintes à la santé. Celles-ci peu-vent provoquer différents troubles desanté et des atteintes psychologiques.Les atteintes à l’intégrité ont égale-ment un impact sur le travail et semanifestent par une multiplicationdes absences, du présentéisme, unebaisse de la qualité /performance/moti vation, une dégradation du climatde travail. Ceci a des conséquencesimportantes en termes humains,financiers et d’image pour l’entreprise.Parfois, c’est la non-résolution deconflits au travail qui peut mener àdes situations de harcèlement oumobbing. Il est donc important deréagir rapidement en cas de pro-blèmes au travail et de mettre enplace des structures externesd’écoute et d’information où les per-sonnes peuvent se confier en casd’atteinte à leur intégrité. Cette exi-gence a vu le jour suite à un arrêtfédéral du 9 mai 2012 qui indiqueque le recours à une personne deconfiance est une mesure de préven-tion contre les atteintes à la santépsychique des travailleurs et qu’elleconstitue un moyen adapté à la pré-vention des conflits en entreprise. Lapersonne de confiance doit être unepersonne neutre et doit pouvoiraccueillir la parole des collaborateurs

Selon la loi sur le travail (Art.6), l’em-ployeur est tenu de protéger la santédes employés et de prendre desmesures pour protéger leur intégritépersonnelle, y compris la protectionde leur personnalité. Il doit en effetassurer et améliorer la protection dela santé et garantir la santé physiqueet psychique des travailleurs (OLT3,Art.2). L’employeur doit égalementpréserver autant que possible les tra-vailleurs des dangers menaçant leursanté et du surmenage. Ce qui sous-entend que des mesures de préven-tion de l’épuisement professionneldoivent être mises en place par l’en-treprise. L’Art.5 OLT3 précise quechaque collaborateur doit êtreinformé des risques auxquels il estexposé dans le cadre de son travail.

Le code des obligations exige quel’employeur respecte et protège la per-sonnalité du travailleur (Art. 328). Laprotection de la personnalité concernel’ensemble des valeurs liées à la per-sonne et à son humanité. On parlealors d’intégrité corporelle, de santéphysique et psychique, d’intégritémorale, de sphère privée et de libertéindividuelle. L’employeur a donc undevoir de protection face à ces

atteintes à l’intégrité. On parle d’at-teinte à l’intégrité lorsqu’un comporte-ment, volontaire ou non, transgresseles limites et atteint la personne dansson estime d’elle-même. La discrimina-tion fait donc partie de ces atteintes(Art. 3, 4 et 5 de la loi sur l’égalité etArt. 261Bis du Code Pénal) ainsi quele harcèlement et le mobbing.

En ce qui concerne la santé psy-chique, les constats en Suisse(enquête suisse sur la santé 2012),montrent que 60% de la populationactive dit souffrir de stress au travailet que 18% des personnes ont lesentiment d’être vidées émotionnel-lement, ce qui représente un risqueimportant d’épuisement profession-nel. En matière d’atteintes à l’inté-grité personnelle, 30% disent avoirété confrontées à des comporte-ments inappropriés au travail aucours de l’année (Strub & Schär,2008). Selon une étude du SECO,8% des collaborateurs ont été vic-times au travail de mobbing/harcèle-ment moral / intimidations lors des12 derniers mois, 12% ont subi deshumiliations, 15% des traitementsinjustes, 1% des violences physiqueset 36% des tensions au travail.

infoENTREPRISE

Publi-reportage

Atteintes à l’intégrité du collaborateur :devoirs et obligations de l’employeur«La santé psychologique est une affaire privée et ce n’est pas à moi, patron, de me mêler de ça». Phrase entendue souvent et qui traduit la fine barrière entrevie privée et vie professionnelle. Jusqu’où l’employeur peut-il ou doit-il aller en matière d’aide psychologique? Quelle est la frontière entre devoir de protectionet intrusion dans la vie privée?

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intervient en proposant un cadreprécis adapté à la situation vécue parl’entreprise, avec des mesures degroupe ou individuelles. • Suite à des demandes individuellesen lien avec une atteinte à l’intégrité,un lieu d’écoute sans jugement peutêtre mis à disposition des collabora-teurs. Cette Hotline Confiance, géréepar PMSE SA, propose des profes-sionnels de santé experts dans la priseen charge de ces appels de manièreexterne, neutre et confidentielle.�

Pour toute question, vous pouvezvous adresser à :

PMSE SASiège - 12, chemin de la MurailleCH - 1219 Le LignonTél. + 41 22 970 19 06Fax + 41 22 970 19 07www.pmse.ch - [email protected]

confidentiellement Selon Mme Marian -ne Favre Moreillon, spécialiste en droitdu travail, les ressources humaines nepeuvent, en aucun cas, jouer ce rôlecar elles sont souvent trop «impli-quées» dans les situations.

Comment faire alors pour répon-dre à son devoir de protection entant qu’employeur?PMSE SA a développé différentesprestations pour répondre auxbesoins de l’entreprise. Selon les cas : • Suite à un évènement grave eturgent, potentiellement traumati-sant, mettant en souffrance uneéquipe ou une personne (accident dutravail, décès brutal d’un-e collègue),la cellule de crise de PMSE SA peutêtre mise en place, sur demande del’employeur et non sur celle de lapolice comme pour un incident sur lavoie publique. Cette cellule de crise

Cellule de criseA ce jour, la cellule a effectué une vingtaine d’interventions concernantmajoritairement la prise en charge de témoins/victimes d’accident profes-sionnel (48%) et le soutien aux collègues suite à un décès brutal (suicide,accident, maladie grave) (33%). Elle est également intervenue pour destémoins d’évènements violents (11%) ou suite à des agressions (8%).

Hotline ConfianceLa personne qui appelle recevra des informations et pourra être orientéevers les structures adéquates. En cas de besoin et avec l’accord de la per-sonne, des rencontres avec l’entreprise peuvent être organisées afin dedénouer les situations et permettre la recherche de solution dans le res-pect de la personne et de l’entreprise.

Page 6: CCIGinfo no 5 - Mai 2014

2014Sponsors Co-sponsors

6Mai2014 No5

Compte rendu de séminaire

Finance, fiscalité etinformatique : se poser lesbonnes questions

infoCHAMBRE

ments existent mais ils sont souventinsuffisamment maîtrisés. «C’est lecas des ratios clés, tels que la rota-tion des débiteurs», dit NicolasBiderbost, directeur Audit chez PwCGenève. «Calculer le ratio ne signi-fie pas encore que l’entreprise saitanalyser la signification d’un écartpar rapport à l’optimum, ni com-ment y remédier. »

Il apparaît également que les PMEanticipent rarement l’impact deslégislations fiscales suisses et inter-nationales. Le respect des régle-mentations et la manière de bénéfi-cier de la meilleure optimisation

fiscale suscitent une perplexité quise répercute sur la nature de leursactivités et leur structure d’entre-prise. «Des actes commerciauxapparemment anodins peuventavoir de grandes répercussions »,illustre François Burgat, directeurFiscalité chez PwC Genève. «Ainsi,une entreprise suisse qui a donnédes pouvoirs à une personne rési-dant à l’étranger de signer en sonnom des contrats, peut se retrouversoumise à l’impôt à l’étranger et ce,rétroactivement. »

Plus de la moitié des entreprisesinterrogées estiment que l’environ-nement informatique et télécom-munications (IT) génère un coûtélevé. Les logiciels et les frais deconsultants sont les deux domainesoù une réduction des coûts estenvisagée.

50% des entreprises externalisentune part significative de leur IT.«Mais l’outsourcing n’est pas tou-jours la meilleure solution», pré-vient Antoine Wüthrich, directeurRisk Assurance chez PwC Genève.« En regard des coûts, il faut met-tre, par exemple, le degré de confi-dentialité des données utilisées parl’entreprise. Et en cas d’externalisa-tion, toujours inclure un droit d’au-dit et de surveillance dans lescontrats ! », conclut-il.�

Le 8 avril dernier, PricewaterhouseCoopers partageait avec les membres de la CCIG les résultatsd’une étude menée auprès de 120 PME romandes sur leur perception des enjeux financiers, fiscauxet des systèmes d’information et l’influence que celle-ci exerce sur leurs décisions stratégiques.

Au chapitre des finances, si troisentreprises sur quatre n’ont pas desouci de trésorerie, elles sont néan-moins peu enthousiastes à l’idéed’acquérir de nouvelles sociétéspour se développer. Les raisons decette prudence sont à chercher dansla conviction d’une majorité desentreprises qu’elles manquent d’ou-tils pour évaluer l’acquisition poten-tielle ou, tout simplement, demoyens financiers.

L’étude examine également le degréde dépendance financière et opéra-tionnelle des entreprises vis-à-vis deleurs partenaires. Différents instru-

Compte rendu

Midi de la Chambredu 10 avril 2014

Un partenaire solide : avec plus d’unmillion de clients privés et entre-prises, Allianz Suisse compte parmiles compagnies d’assurancesmajeures de Suisse. Allianz Suisseest un partenaire fiable pour lespetites et moyennes entreprises enmatière de prévoyance profession-nelle ou de protection du personnelet de l’exploitation. Dans le secteurde la prévoyance professionnelle, lesclients peuvent en outre se fier à sasolidité financière. www.allianz.ch

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Depuis 2009 la société HIPPARCOSS.à r.l. fournit à ses clients des pres-tations de web analytics. En 2013,elle lance la marque 1.31 pour pro-poser trois types de prestations :développement de sites internet,mesure de performance & optimisa-tion et consulting en marketing digi-

tal. 1.31 aide ses clients à mieuxgérer leur présence internet pour entirer le maximum tout en maîtrisantles coûts. www.1point31.com

Cartus est le leader mondial dans ledomaine de la relocation. Avec plusde 20 ans d’expérience en Suisseromande, la société met son exper-tise à disposition afin de faciliter larelocalisation des collaborateurs etde leur famille. Son équipe expéri-mentée leur assure une installationdans les meilleures conditions : permis de travail, coordination dudéménagement, recherche de logement. www.cartus.com

Teamway SA propose des activitésde Team Building aux entreprisespour que l’efficacité de leurs équipesdépasse la somme des énergies indi-viduelles. Ses débriefings permettentaux participants de faire la relationentre l’activité et leur expérience pro-fessionnelle. Qu’ils soient artistiques,stratégiques ou créatifs, ces ateliersstimulent un environnement favora-ble au développement des compé-tences liées au bon fonctionnementd’une équipe. www.teamway.ch

La Maison de l’EconomieDéveloppement est une agencede développement économiqueintervenant dans la partie françaisedu Grand Genève. Elle et ses parte-naires sont au service des entre-prises, de la création à la gestiondes RH, du financement de projetsà la recherche de locaux ou d’infor-mations. Elle propose notammentaux entreprises suisses souhaitant sedévelopper en France de rencontrerdes experts pour élaborer et évaluerleur projet. www.med74.fr

En prélude au séminaire, Philippe Tzaud, associé responsable du siège de PwC Genève,présente les bases de l’étude.

La désormais traditionnelle photo des ora-teurs du Midi.

Page 7: CCIGinfo no 5 - Mai 2014

7No5 Mai2014

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A qui s’adresse cette offre?Elle s’adresse aux cadres dirigeants,chefs de PME et indépendants quitravaillent en Suisse et n’ont pasencore atteint l’âge de la retraite.L’affiliation est réalisée collectivementau niveau de l’entreprise/de l’indé-pendant, en faveur de tout ou partiedu personnel, et non de manière indi-viduelle, contrairement au 3e pilier A.

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définition du plan de prévoyance.Troisièmement, le modèle proposépermet une individualisation maxi-male de la prévoyance, en limitantles mécanismes de redistributionentre les assurés rencontrés dans lescaisses de prévoyance LPP. Enfin,cette solution offre une complètetransparence des coûts (aucun prélè-vement de frais cachés ne vientamputer les rendements obtenus).

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Dorier SA : aux avant-postes de l’audiovisuelresponsableSi Dorier figure aujourd’hui parmiles leaders de la production audio-visuelle pour les grands événe-ments nationaux et internatio-naux, ce n’est pas sans visionéthique et éco-responsable.L’entreprise développe en effetune méthodologie visant à amé-liorer l’impact écologique et socialde ses activités commerciales.

S’inscrivant avec conviction dans leprocessus RSE – ResponsabilitéSociale des Entreprises –, elle met unpoint d’honneur à sensibiliser sesinterlocuteurs aux enjeux sociétauxdu XXIe siècle ; il s’agit d’un tripleinvestissement social, éthique et éco-nomique pouvant s’exprimer par lebiais du mécénat et du sponsoring,mais aussi par une démarche réflé-chie en termes de développementdurable. À ce titre, Dorier est signa-taire de la charte «United NationalGlobal Compact» édictée par l’ONU,qui l’engage dans ses activités auquotidien à respecter des principesuniversels touchant aux droits del’Homme, aux normes du travail ouencore à l’écologie. Dorier investitaussi dans la vie associative en sou-tenant des associations caritativesd’envergure comme des associationssportives locales. Citons par exemplele fameux Bal du Printemps de laFondation IRP, qui récolte des fondsen faveur de la recherche en para-plégie, pour lequel elle fournit béné-volement tout l’équipement audiovi-suel nécessaire ; mais également legala de la Human Rights Watch quise dédie à la défense des droitshumains, ou encore la FondationWomanity, défenderesse des droitsdes femmes dans le monde. Dans

un souci de transparence, Dorier seprête volontiers aux exigences de sesclients qui évaluent l’impact environ-nemental, comme pour le MobileWorld Congress à Barcelone.

La norme ISO 9001, attribuée pourson management de la qualité etson excellence organisationnelle,impacte l’entreprise à chaqueséquence de sa chaîne de valeur. Labonne gestion des déchets, le tri etle recyclage des matériaux, lerecours au bois issu de forêts éco-gérées, l’utilisation de matérield’éclairage, de vidéo et de sonorisa-tion à faible consommation d’éner-gie complètent la liste des engage-ments pris par Dorier. «Nousréalisons une partie significative denotre chiffre d’affaires à l’internatio-nal ; afin de réduire notre trace car-bone et lorsque cela est possible,nous activons des équipes locales,tant pour la fourniture de matérielque pour le montage. Le parfaitdéroulement de la mission imposenéanmoins un pilotage exclusif denos chefs de projet, ici à Genève,souligne Olivier Croset, ManagingDirector chez Dorier. Chacun faisantsa part, nous aurons de meilleureschances de préserver notre planète ;c’est le postulat de Dorier !» �

Dorier SARoute de St-Julien 401227 Carouge – GenèveTél. 022 309 20 00www.dorier.ch

Page 8: CCIGinfo no 5 - Mai 2014

8Mai2014 No5

2014Sponsors Co-sponsors

infoAGENDA

Midis de la ChambreTransition Energétiquedans les Villes8 et 9 décembre 2014Centre International de Conférences de Genève (CICG)rue de Varembé 17 - Genève

La Ville de Genève est depuis longtemps consciente des change-ments à conduire dans le domainedes énergies. La CCIG soutient le« Forum Mondial des Villes duFutur» (World Future Cities Forum),qui vise à rassembler à Genève endécembre prochain les responsables

des parties prenantes (pouvoirspublics, environnement, commerceet industrie) pour qu’ils débattentde la façon d’aborder la transitionen question.�

� INFORMATIONS

www.worldfuturecities.com

IMPRESSUM

Bulletin d’information de la CCIG.Paraît 11 fois par an, 3300 exemplaires

Responsable d’édition:Alexandra RysRédaction:Fabienne Delachaux, Philippe Meyeret Alexandra Rys

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4, boulevard du Théâtre - 1204 Genève

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Jeudi 12 juin 2014 de 12h30 à 14h (accueil dès 12h)CCIG, bd du Théâtre 4, Genève

Venez assister à la présentation des entreprises suivantes :

Mardi 3 juin 2014 de 8h à 10h - CCIG, bd du Théâtre 4, Genève

PORTS FRANCS ET ENTREPÔTSDE GENÈVE SA

CITROËN (SUISSE) SA

ARCHAMPS TECHNOPOLE

DOMINICÉ & COASSET MANAGEMENT

GREENIT CONSULTING

SII SERVICES SUISSE SA

Séminaire

Séminaire

Nouvelles technologiesau service des entreprises :qu’existe-t-il pour fairela différence?

Les marchés suisse et étranger offrentde nombreux outils innovants, quipermettent aux entreprises, quelleque soit leur taille, de gagner en qua-lité, en efficacité et en visibilité.

L’abondance des résultats derecherches internet rend le choixdes services et outils aussi intéres-sant que difficile. L’objectif de ceséminaire organisé par Loyco, encollaboration avec la CCIG, est de

présenter une sélection de 40 outils,qui répondent aux besoins et ten-dances du marché pour tous lesdépartements des entreprises.

La présentation sera illustrée par leschoix réels opérés par Loyco pouraccompagner le très fort développe-ment de ses activités.�

� PROGRAMME ET INSCRIPTIONS

www.ccig.ch (Agenda des événements)

� PROGRAMME ET INSCRIPTIONS www.ccig.ch (Agenda des événements)

Mardi 17 juin 2014 de 7h30 à 10h30Starling Geneva Hotel & Conference Center, route François-Peyrot 34,Le Grand-Saconnex

Performance etHautes Technologies dansla construction

Les choses bougent dans la construc-tion: les bâtiments et infrastructuressont de plus en plus complexes etfont de plus en plus appel aux hautestechnologies dans leur conception,leur construction et leur exploitation.

Losinger Marazzi SA propose, lorsde ce séminaire co-organisé avec laCCIG, de jeter un regard nouveausur l’industrie de la construction, enfaisant partager ou découvrir, avecdifférents intervenants, ces nouvellestechnologies au service de bâtimentstoujours plus performants.

Les participants pourront égalementprendre connaissance d’une autre

approche de l’écosystème urbainavec les écoquartiers ainsi queles infrastructures de demain. Cet événement s’adresse à un publicdésireux d’en savoir plus sur lesnouvelles technologies de laconstruction tout en illustrantles perspectives et les enjeux àdéployer pour le futur.

La participation de différents acteursdu monde de la construction, de lapolitique ou de l’économie offriraun moment propice aux échanges àla fin de cette présentation. �

� PROGRAMME ET INSCRIPTIONS

www.ccig.ch (Agenda des événements)

Save the Dates

Economie et durabilité

G21 Swisstainability forum5 et 6 juin 2014 - Lausanne - Informations : www.g-21.ch

Les membres de la CCIG bénéficient d’un tarif spécial. A l’inscription, sur le site ci-dessus,activer l’onglet «Cliquez ici pour entrer un code promotionnel » et taper «CCIG_Invite ».

Rencontres du Management durable

Petites entreprises et développement durableVendredi 20 juin 2014 de 12h à 14h - CCIG, bd du Théâtre 4, GenèveInformations : www.ccig.ch / rmd