images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1873/B315556101...ABONNEMENTS:...

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ABONNEMENTS: TOULOUSE Uu en, 40 f. 6 mois, 21 f. 3 mois, 11 L DEPARTE)1ENTS 50 - 26 - f4 aTRANGER Les frais supplémentaires de pacte eu sus. On tmçuit lea ABONNEMENTS t TOULOUSE Aux Bureaux du Journal, rue Saint-Rome, 44. chez M. Havas, rue J. J. Roussin., 51 ; et APARISt rime MM. Havas, Letfile et place de la bouton, 8, suais Correspondants: Toulouse, 7 Mai. ROURSE DE PARIS du G mai. Au Cournnv. ?,tsars div. 8aara du je.r tour, pré.. E 0/0 34 20 54 15 4 1/2 0/0 78 20 78 50 5 0/0 88 60 88 45 5 0/0 libéré 86 05 86 05 cours .11425 54 40 b 010 d^coure 1452 54 52 5 0/p 8855 88 92 E 0/0 d cours. 88 80 88 83 E 0/0 lta1. 63 60 63 55 Bloqua 4,150 . Foncier 777 50 4,155 760 . Mobilier 407 50 405 . Mab450 .> 428 75 c®ums o. pas. Orléau 792 50 792 50 Nord 9!16 ,. 990 . Lyoo (détaché) 825 855 .. Midi 581 26 5155 n. otrichiens . 785 700/ L Lombard. , .. BOURSE DE TOULOUSE Du 6 mai. Au Commuer: b 0/0 88 75 5 0/0 libéré 86 I/O Our.mar;ons IDneses. Midi 273 h0 Saragosse 192 50 Ilazacle, 6 ./, libéré 301 50 - 302 TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE dans les eliorls u if tait q p our imtitone Paris, R foiré, 6 b. 55 soir. M. go amont ont . Bnlfet a dtné hier chez M. Thiers. détiRépmbliq°iliveunre.eet Ils leal'firmeroul de la leur désir Ou assure les 'ets .. de oncoeJe et de coocilialion et leur que ProI els que le go vernament déposera à entière en M. Thiers. t'ouverlure de la session donneront de 1 prochainement, il aura, à h nues, aF.rieUses garanties conservatrices, mais y qu'ils impliqueront la Itipubliyno com- nue grande réunion de négociams et me la hsrme définitive de guuvmve- duduslriels pour récli er i r pport ment. Ilatit au commerce et l'indastrie. Le Rien Public dément tous les bruits Marché do Paris du 6 mai. il négociations nouvelles autre la F.M. 53 50 à 54 et l'Allemagne pour l'évacuation nnlici- Marseille, G mai. pée do territoire. Marché eu hausse. Arrivages nuls. Derse, G mai. Ventes 24,640 hectolitres, Le séjour de. canton. de l'ouen et du Afrique dur 131/127 à fr. 58,50 sud de la Suisse a été interdit à la du- laie'.lles rouges 130/126 à fe. 45. chasse de Madrid et tout à agent de don Odessa 125/121 à fr. 41,75. Carlos. Purgés 128/123 à fr. 40. FEUILLETON du JOURNAL deTOULOUSE lu sais 'ne je demeure, lorsqu'en den B. 7 Mai 1873, endant de l'omnibus, j'aperçus autre belle mystérieuse. Elle elle c dans la ruqtie Boularnrillrers, quelle suint jus- O à le rue de l'Aasompnon, où elle eu- ira.'pu devines, ma chère Lléonore, que GABft 9ELLE , m''élançsi sur ses traces, en entamant Malhunne, assez wrpnse de ma soudai- ne précipitation. Nous nous fleurés pru- densmenl à distance de celle que nous DE 11 CNn EJ 59I 59% U 1 T N E auivious, sans la perdre .aieois ua lx. Ma chère Éléonore, reprit Mlle de Berg, je l'ai déjà dit que J'avms aperçu Jeux ru troiv fuis, depuis un an, Ga- brielle de Célestange sur le quai de l'as- ey. Eu apparence, te fait n'avait ri a'extraardmaire; aussi n'es-lu jamais an- pr'mé le dés le o pourquoi notro d allait ainsi toute snnlo dan, la 1 t d Auteuil. Mai - seul instant de nue, 3e ai adroïle, si prompte à me dérober, qu'elle dirigea plusmurs coups d'ceil en arriér, et ne me vit pas. Bientôt elte s'allia. devant non parie an seuil de laquelle joukrt une pente Bile de deux ans ai demi à peu prPs, lasaisit deus ses bras et lui prodigua. des baisers ;puis elle es. tri dans l'habitation, où elle dispardt avec l'enfant. Plana de long s'mtereemP peul gr s et pénétrants se avèrent avec une même, je ne - p éooeupnis guère, et 11111`11'1, s de malice féline sur fe visa- l'avoue, quo que j eusse remarqué 1.111 1 go re, dont elle palot vouloir Ion elfe avait le visage c vert d'uen co n lie l'impression. ,aile épais, qu elle emblait vouloir se Mais 5111e dArminges ne sourcilla dérober dans 1 ambra des maisons, et pas Ses traits n annonçaims rien de plus quelle marchait rapidement. Cependant, qne le sentiment hameux dont ill s'é- et y Irais jours envrres, je le neneon- tairai rendus 1°mterprète à la velte irai de nover u se le môme ehemie, et qu'il allait être question de celle quelle gau uagm t s mlmeà une atalmv du quai, et il m'était i'Poseible de sausfaiee une sel' bien n.t.,elle de é "il, p fr le mya- t¢ru des promenades un peu fhll de Gabrielle. Je m'en remis a remis au hall' rd du soin do me procurer une banne occasion) Le ojsoe est si indiscret et si malin ! Aujourd'hui ,'états ait gant gnéo de Malhunne. Après avoir fuit gsein, je ne. pletles dans l'intérieur de Paris, je r0. tournais au hameau Boulainvilliers, rit lih bien I ma chère Flavia, deman- da telle, qu'y a-4i1 de si étrange dans ce que tu vires de me 0051er 050e sup. paees lu donc? Je se te comprends pas. -TU vas me camprendro et t'ivai- Soer dans un instant. Mais, en vérité, je le voyais moins naine; ou plutôt, je l'attribuais plus de clairvoyance dan. les aversion 3 - singulière ?Ta m'apprends que j se rend q elquefois rue de 1'Assumplion, et que lu l'as vue HEURES DES DÉPARTS ET DES ARRIVÉES DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÉANS. et- as a l0R Départ. e Arr véas Maun, (duerq, {1h 15 ML dau3 r3 Matin, fi 30 M t lAgn)0 40 Maun, (Expr), il 9o (R pe) e 45 Soir, 1 33 Soir, 3 35 Soir, Ageq 6 2u Soir, {0 40 aune as car'.. Malin, (direct), 3 40 Matin, (Csm) 8 66 Màtin, e .. MaloRxp 10 30 Madrid 6 mai. La Usuelle contient use circulaire énergique du ministre de la justice et de l'intérieur, meommandant pour les éloc- tiam, aux faoclionnaires, une neutralité absolue et lu sévérité pour en assu- rer la liberté et la sincérité, La Gazette contient aussi des 'astruc- lians pour les commissaires des naeces à Paris et àLo d es. Le Conaeit des m ulcéras, dan. sa réu- nion d'hier, a examiné plusieurs pro- jet. importants de M. Tut.., relatifs aux fitamnes. joud' r Aujourd'hui a lieu une grande réunion de radicaux. Tas Liants. Paris, 3 mai, 9 h. 30 soir. L'idée de proclamer la République conservatrice semble gagner du terrain. 1)1. Thiers insisterait Pour sa procta roation. Les députés de la droite objectent que cette proclamation les mettrait dans l'état de factions, en laissant tante li- berté aux radicaux. Tuutet'ois M. Thiers promettrait des gages coutre Je radicalisme. Des journaux disent que la retraite de M. Jules Simon est presque carmin. Le Soir dit que MM. Itarodet, Latrade, n Pastel, ctc y f ., Gagneur, Du. po y t L p t de l éuuion de la 5a ga h I ubl e 810. Baeodrl, I L cA yt T g y f mt ogalement ça n d la _p I IJpi r, p bl - Ces sept députés publieront en m teste collectif disant qu'il. croient cire les interprètes de leurs électeurs en Promettant tout leur concours à 21, Thiers ' Départe n Arrivée, , lavis DD Faix. al fn, f0 .. soi" 4 Il Dépara r Arrivées e soir' (Exp,), 2 . fi t 4 et S r, 4. 1U S , i0 M loi, 9 M tin, 9 38 Smr, Carc 15 Sou duert 11 55 soi 3 0 S ,r, 5 55 8o, 5 40 Soir, 9 38 an. a6arO - ana. a'oeLaae, M tin, 6 45 aloi. Mont' 9 40 alatm, e 10 Matin, 9 53 .ait. , 40 45 soir, Pau, 1 02 Malin, 10 40 Sou, 3 47 Sir Pan, 2 15 $ai,, Baya..3 50 sou, t 55 Smr, 8 5{ Suit bleu". 6 30 SOI, 9 t5 Soir, 5 t0 Soir, Il 75 lités les demandes de `aubvenSons qui ont été préparées depuis la session d'aoùt MM. les £Aoonéa dont l'ahan 1872. A. cas où elles au vous ..raient flamant a eaplré le 30 avril, #lui n'est pu. fait verser 1. mon tant du renenvellensent de leur abonnement , sont priés de ré. server boa accueil Lia quitta..- tout Ta leur dira présentée. CHRONIQUE LOCALE Uugg circulaire ministérielle vient d'en. joindhe aux administrateurs départemew taux, prétbls, sous-préfets, secrétaires 116 n6nux, ale., de reprendre, dans foutes les cieranslmices officielles, leur uniforme peofessi...el, dont le remplacement pat' des vêtements de fantaisie avait été to léré depuis les évésomenle de 1870. On lit dans lë Noanalliste de Raued r L'Administration des postes avait, depuis quelque temps, prescrit des me- res.eéverra sau sujet de l'affranchisse. y , ca ment des imp imés qui lui rotai remis (fonces peuvent aujourd'hui, dans a sous bandes. boulerions de la loi, le L. er les f V ter Uu cerloiu bandes ne do ive t pas taxi plus du n lire de d« t lit aleeaté à P bers de l'objet afle .chi et hindes lustallalian'3 le soles une partie ne doivent pa dh ne au moy n des d mb u m lit fait par 1'Et.t de limb'e' d'off; I l o d eq I mpsg t n relative à l' garde nationato bon, L iso p ligne des termes de 1 obi a été heureux de venir aile, Cetm loi avait provoqué de nombreuses aussi largement qu'il m'a été possible, 3 réclamations.. Nous apprenons qu'an tous ceux qui avaient appliqué leurs vient d'y renoncer etreq e te agenty, des r eslaidisponibles à des améliora- postes ont reçu l'ord ae ne pas faire l'ion cu' preuve de plus de rigueurs qu'aube. Vous ouvez à l'avance assurer le fois. . P g cwiseil énéraÎ que mon concours ne i La circulaire suivante, sur les subven. flous denlmsdées Pour les isola d'éco- las, a été adressée ans préfets : Monsieur le préfet, Grâce au cuunoura de tontes les auto. cités locales et à votre cèle éclairé, uu progrès réel a été réalisé, depuis l'an- néo dernièra, dans la sitnuliOU matérielle des éc les primaires. Niais, vous le sa. sen, il noua reste beaucoup à faire. Au moment où le conseil général va entrer en session, je vous prie de vouloir bien loi signaler les besoins scolaires 'ai réclament son bienveillant examen, en même temps que lus moyens d'assurer à ces besoins une prompte satisfaction. Voua devez avoir reçu du muaicipd. embrassant là une petite fille de deux ante et demi environ. Que dais je conclu- e de ce fait ? sinon quelle â coutume de visiter dans celte rue une famille quelconque et d'embrasser avec plus ou moine de [tendresse rn enfant qui lui plaît? FI via suunl dédaigneusement Elle tabous amides dents nee po plues et blanc) és,tandis que son lèvres min. ces d paeaissai t se repl ant. Ah ou' dJ s écria-t-ell d un ton rmlleur, oral tout ce que lu unagines ? le ne leu fan pas mon compliment. Dieu merJi! j'aï eu plus de perspicacité que loi. ai roof sitôt d g s upço.s, t j'ai tenu à savoir bits étaient fondée, -Comment fy es-tu prise pour cela)? - 77és simplemcnl. Je me suis ap ro ebéed Ihxbitation ait i,ebriello Pi la p l lu fille ai, nt Ot ées. La porte étant 0100. J'ai pegardé à bayer, la serrure, et J'ai prétb l'oreille aux bruits de. I mté,. rieur. Qu'au-tu uv güvs-lu entend. ? 051 u d abord une m oi cette dans n petit jardin, Pu j aperçu f ebnelle assise sous On mure et tenant s e genoux 1 f t ell mbi it d esses, et q 1 s 1 i e d t àv,.r. 0 s on Piés d Ije set ad me (noce fil u e s .,1o de pay n , qui les J ,rail a n 'oie jeyeax. Ensuite - Ensuite, j'ai retendu des fragments do dialogué qui "cet appris qne la p[ilése nomme fIérmine, sa gardienne CuleHe; et que 'est notre ancienne ompn5ee elle-mOme 9n e,i aconfié à l'une 1, sain d'élever l'autr après avoir ° gé. néreusement fait a.. à cette Colelle de la gentille habilaliou qui rocôleun si bizarro secret. pas encore parven.es, veuillez vous les faire adresser sans retard, et en penvo qque., de le part de votre adminiatralien, étude Immédiate. Ainsi que vous les.. Tex, aux termes des instructions, 5010m. ent de 1. nirénlaire au 30 juillet 1858, les iaspecteurs de l'enseignement pri- maire sont parlieullàesment appelés a saurin. les projets de ponstruclion et d' f,propeiauon d'écu logos point de vue de, dispositions solaires. Les instructions exigent également que le conseil départemental de l'instruction publique et l'inspecteur d'académie don. net un avis, Vous voudrez bien pren- dre les mesures nécessaires pour quau- cune de ces formalités me soit omise. Il importe quele conseil général aiutisous les yeux des dossiers campiele, q lui permettent de classer les demandes dans l'ordre de priorité qu'il "aies devoir adopter. Se suis disposé moi.même à suivre cet ordre pour l'allocation des secours. Ilaisje ne pourrai le faire quau- taulque ces dossier, me seront teaonmia avec toutes les pièces réglementaires n cavent général. A cas pièces doit être joint, peur m'être adressé, un ex- trait de la délibération du conseil, men. fi onaant la qualité de lasubvention at- tribuée, sur les fonds départementaux, à chaque commune. Quant[ aux voies et mo ans tis. les cir f era pas débat aux départements et aux communes qui s'imposeraient des sacri- fices. Recevez, monsieur le préfet, rte. Le reiesisiez de d'insbnction publique, des rudtes et des beaux-arts, Issza Smon. Le miuialre de ta guerre vient de déci- der, par ezception à la disposi0on de l'fusleucliou pour l'admiasiou à l'É- cole spéciale militaire en 1873, qui eæige des candidats l'dge de dix-huit aux au moins au 1 octobre de l'année du coa cours, que ee, candidats seront admis s ïla satisfuut à cette coadition d'âge au 1 décembre prochain. Cette masure eæ- - Est-ee tout? - Non, car je dois ajouté' qu'ayant serials la oorhhide que Gabrielle allait sort r, j'ai cru avait me réfugier 50ec Matlrnnae dmr d e I cfOtm, d'u er. in 3 vendro,.doh j'ai assisté h t,,,,s scène des adieux.. J'ai entendu alors Tentant s'écrier d'une voix distipcte : 'AU revoir, po d te mouton ! J'ai vu ensuite celle à qui dessait cette parole sonore se aura n t t émue, poser sa main sur bourbe et envoyer ou de ces haiiers ftabl 'qui s: mblont â ialeapper du plus profond d'au cocue matnenel... Aa-ho comppris? f:léanore aval[ fini de boutonnes ses ga IsL bvusge I ton do FI a,tui ai ed essor la tél. et regarder son ho- t.l euh iee nées a.e vague expression d'incrédul .Ouf, iéponditelle d'uue voix cal- me j'ai compris. Que penses-tu de cela 1 ie. Je pense qu il y a desprésamplions, i do plus. Il y a u ê-Eto, moisirai, m é 1 lé da g ont Cal 11 de Célesinm g st cri t e d ne . Elle a for. lait à'1 hoeorue, je tels regèle . sa houle tel caché., mai. nous la dimasque- onsl e Mu, d'Arminges ne parut nullement se 'en"' i diapason de l reetueuae co t d Flavia de Berg. Celle-ci a'eu offensa. - Eh ! quoi, reprit.elle ivre une sourde véhémence, voilà l'effet que le produit ma révélatnou? Tu restes i'roide, impassible, à la nouvelle d'une pareille Récourorte? Eu vérité; tu me stupé- fies ! J'étais loin de m'atteudce a uas (elle indifférence dn ta part, air je comp- lais te réjouir eu l'leitiaut au mystère de i la conduite coupable de Gabrielle, dont tu asasoscse somr naptns : A TOULOUSE : A La SOCIÉTÉ GÉNÉMALM des ANNONCES $0, see de. nalaneea r A PARIS: Chea MH, HAVAS, LAVWITE at c 8, pl.- ae 1. sasser TARIF DES ANNONCES Annonces, la ligne, 0 1r. 30 e. Réclames, la ligne, 0 50 Faits divers, la ligne, 1 00 Toulouse. - Typographie Monta96in. cepéounelle ne recevra aucune autre eztentioe. Ceux de ces candidats q ui seront nom- mésélèe,, seront reçus à l'École et'- tracteront leur engagement s volontaire le jour où ils auront accomgli leur dix- huiliéme année. nALmx DE 00000vss. Jtecoueremert6 de ta taxe msnicfllrrsis fur Jaa noise, paadasis Parade 0575, Le plaire de Toulouse a l'honneur de prévenir ses administrés Une le rôle de la taxe municipale sur les chiega pour lau- oée 1873, rendu exécutoire par M. le Préfet de la liante.Garonne; mt entre les mains du Receveur municipal, chargé d'en opérer le recouvrement, et que cha- que contribuable doit acquittera dans les délais fixés par la loi, la somme pour laquelle il est porté audit rôle. Le délai de trois mais accordé pour la présentation des demandes en déchar- ge ou réduction court à complet de ee jour. Ces demandes doivent être sé's à M. le Préfet, accompagnées de l'extrait du rôle et de la quettauce des termes échus; Fait à Toulouse, au Capitale, le 5 mai 1873. Le ivoire Fleuri Eaui,ae. Société ra'u.grioultura da la I[auee-Garonne, Séance du 3 mai 1375. , l résidmus, du M..._ de Pseus. Le procès.verbal de la dernière séance lut adapté, M. le erémire-général l ommunigpe à la Société nul lettre de M. Ba ué né ovian ne offrant t à Tend. n en vente' a viticulteurs. uni engrais qui pouvant être appliqué contra le Phepllosoea penl en meurs temps assurer bonne récolte. Là demande de M. légué ayant n c actére purement commercial, la Société laisse à l'initiative individuelle la sain de faire les essais des engr'vis proposés. 31. le président annonce qua la séa.ee publique de la Oouieté de médecine doit avoir lieu le 11 mai. prochain, rue du Sénéchal ; des places saut spécialemen réservées aux membres de la So4iélé d'Agriculture. Appelé par l'ordre d jour, M. le baron Pigache de Saline Marie Ut nu mémoire ayant pour titre: s La vigne et les gelées blanches. . Les dernières gelées, nous dit M. Pige. che de Sainte Marie, net détruit d'im- mense. ellguobles. Dans beaucoup de cas, le mal est irréparable, car de nombreu- la réputation est désormais entra nos ain.. - Prends garde, ma chère Flavia 1 Les 8pparenees trompent souvent. Peut-étre les-tu ho jouet dune illusion. - A merveille 1 Tu doutes de mon boa ses,. et tu prends la défense de ton ennem e. Ose donc dire, après cela, que tu la lotis. J'eu rirai... Eléonoro feuuça le sourcil; un éclair jouit de sa prunelle ; ses traits réRéçhi relit un .eotiment TindicauL Oui, je la liais, je te l'affirme t àvee ove sombre énergie. L'invincible antipalhil qu'elle " m'inapte. et qui date du couvent s'est accrue en- eme depuis I° jum où tu m'as appris qu'elle s'efforças de me prendre ie cour de Gaston de Villetaneuse, mua ses vignes n'émettront pas de nouveaux bourgouaa. Comme on le sait les gelées sont pro- duilrs par le rayonnement, les nuages; las brouillards, les vents en modéreat ou en empêchent les désastreux. Y ad-il des remèdes préventifs eonire ce redoutable fléau? Le docteur Guyot a préconisé l'emploi de paillassons dont le coùt ,élève h cinq cents francs par lrealare et par an. M. Dubreuil s recommandé l'emploi de toiles qui occasionne une dépense de deux cent cioquantesept francs par ber. tare. La formation de nuages artificiels au moyen de capsules pleines de matières bRumi.euses a été essayée, non saos sucrés et au moyen d'une dépense qui ne s'est élevée qua dix francs par hec- tare; ce dernier moyen offre néanmoins des difficultés pratiques qu'il parait Im- possible de surmonter dans les vlghrobles considérables. Les méthodes du Docteur Guyot et de M. Dubreuil ne sauraient être suivies que dans les vignobles aux rendements les plus élevés. Les moyeux indiqués nous lainent dose désarmés. Yeut-ou atténuer le mai? On a remue. usé avec justesse que les vignes fraîche. ment labourées sont d'autantpias expo- sées aux ravages de In gelée. Il est dont -mpeetant da donnuer les premiers la. bouts avant l'époqé nuisible des gélëes, et les seconds autant que possible après la période critique. L 1 ettre de l'intéressant mémoire de M. le baron Pigache de Ste Marie provo- que quelques ebservalions des divers membres de le Société. M. Lofosse pense que la form non des nuages artificiels offre posai toutes Ira difficultés proti- quesque signale l'auteur de mémoire. L'emploi des matière facilite singulièrement l'opération qui peut s'exécuter rapidement le seir ou le ma- lin à l'aube. Après les ezpérie.ces de M. Barrai nous devons encourager les essais dont le sures, parait probable: M. Pigache dente Marie maintient à ce point de vue le centons de son mémoire et pense eu autre que le moindre vent poussera souvent sur tes propriétés voisi. nes les nuages artificiels. Comment, dit M. de Puybuaque, les labours récents sont-ils faverabigs à la formaliou de la gelée 4 c'est un fait la- 1 ontestable, répond M. de Bte-Marie. Le. vignes récemment labom'ées sont 0ee- preites d'une humidité malsaine qui doit refroidir la température du sol et faciliter par les vapeurs qui se dégagent la rosée qui se cengile sur les bourgeois Yrmetlféres. hl. Mortegouty tour ea se milliards la manièeo de unir de M.' Lafosse de- mande si une nouvelle taille as produit plaida eut un clignement d'yeux plein de malignité. - Alors,dit.elle, tu cousontitasl sut, veiller les ddmo,ué00s de Gabrielle, sur- tout lorsquelle se dirige vers la rue de l'A somption! U. mmrvement dorguei, éclaira. sou- dan la physionomie dq%éou ro, qui ré. pondit d'an Ion presqu sec - Il ne saura t convenir, n ciré. , de me verger a bal. Je ne lais 'pas d'un caractère à dénencre. - Que feras-to donc ? - Je trouverai os' pourYrappee on ennemie, güelgdo moyen éaevgi- que et conforme à la nature de moy lem- péramant. - Est-ce que tu la provoqueras? Peut-0tre. Folle I Elle ne tiendra aucun compte - Gfle net ta rivale,j "en suissùre. Je de ton étrange cartel. ' ' l ai vue tressaillir, lorsqu au soir, chez - C'est roque nous verrons ! elle, je loi ai annoncé que tu allais Comme Mlle d'Arminj;e. àchevait col être prochainement la femme de Cas- I tiols sa femme de chambre eul et lui t n o . - Depuis ce malin, je crois à cette rivalité, reprit Eléonoro en s'animant. J'ai aperçu, en effet, Gabrielle lesleugesue -la-Reine, adu e bras de mon cousin. U. avaient tous deux nu air d'intiraibl qui m'a r ndne furieuse. Je me suis ro tenue néanmoins, mais eu me promenant d avo cette nuit m8- ma, au bal, e xplication avec celui que je considéra àeboa droit comme mon fiancé. - Et si de celte explication il résulte pour toi la certitude que M. de Villeta- xa000 ne songe pila. à t'épouser?... - Alors.... Mile d'Armingea n'acheva pas sa pen- sée, mais une contraction bizarre détrui- ait un instant la brillante harmonie de ses traits. annonça qu ü y avait déjà dos invités durs fes salons. Eléonoro répondit quelle allait desceu. du, et la camèeiele se retira. dit alors Mlle de Berg b sou amie, sons raisoooable. Pas de-co- lére,as d'éclat, si lu veux agir con- tre Gabriella I suffie de la d(- tous,drrrer. , - Non, te diaje I C'est un rôle quo je oe pais remplir. -. Eh bleu I moi, je m'eid elle t répartit Flavia aven un léger de vipère. Émeus ENAULT. (La note d demais) Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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On tmçuit lea ABONNEMENTS tTOULOUSE Aux Bureaux du Journal, rue Saint-Rome, 44.

chez M. Havas, rue J. J. Roussin., 51 ; etAPARISt rime MM. Havas, Letfile et place de la

bouton, 8, suais Correspondants:

Toulouse, 7 Mai.

ROURSE DE PARISdu G mai.

Au Cournnv.?,tsars div. 8aara du je.r tour, pré..E 0/0 34 20 54 154 1/2 0/0 78 20 78 505 0/0 88 60 88 45

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détiRépmbliq°iliveunre.eet

Ilsleal'firmeroul de la

leur désir

Ou assure les 'etsconstitution- .. de oncoeJe et de coocilialion et leur

que ProIels que le go vernament déposera à

entière en M. Thiers.

t'ouverlure de la session donneront de 1 prochainement, il aura, à h nues,aF.rieUses garanties conservatrices, maisyqu'ils impliqueront la Itipubliyno com- nue grande réunion de négociams et

me la hsrme définitive de guuvmve- duduslriels pour récli er i r pportment. Ilatit au commerce et l'indastrie.

Le Rien Public dément tous les bruits Marché do Paris du 6 mai.

il négociations nouvelles autre la F.M. 53 50 à 54et l'Allemagne pour l'évacuation nnlici- Marseille, G mai.pée do territoire. Marché eu hausse.

Arrivages nuls.

Derse, G mai. Ventes 24,640 hectolitres,Le séjour de. canton. de l'ouen et du Afrique dur 131/127 à fr. 58,50

sud de la Suisse a été interdit à la du- laie'.lles rouges 130/126 à fe. 45.chasse de Madrid et tout à agent de don Odessa 125/121 à fr. 41,75.Carlos. Purgés 128/123 à fr. 40.

FEUILLETON du JOURNAL deTOULOUSE lu sais'ne

je demeure, lorsqu'en denB. 7 Mai 1873, endant de l'omnibus, j'aperçus autre

belle mystérieuse. Elle elle c dans laruqtie Boularnrillrers, quelle suint jus-

O à le rue de l'Aasompnon, où elle eu-ira.'pu devines, ma chère Lléonore, que

GABft 9ELLE , m''élançsi sur ses traces, en entamantMalhunne, assez wrpnse de ma soudai-ne précipitation. Nous nous fleurés pru-densmenl à distance de celle que nous

DE11

CNn

EJ 59I 59% U 1T NE auivious, sans la perdre .aieois ua

lx.Ma chère Éléonore, reprit Mlle de

Berg, je l'ai déjà dit que J'avms aperçuJeux ru troiv fuis, depuis un an, Ga-

brielle de Célestange sur le quai de l'as-ey.

Euapparence, te fait n'avait ri

a'extraardmaire; aussi n'es-lu jamais an-

pr'mé le dés le o pourquoi notrod allait ainsi toute

snnlo dan, la 1 t d Auteuil. Mai -

seul instant de nue, 3e ai adroïle, siprompte à me dérober, qu'elle dirigeaplusmurs coups d'ceil en arriér, et neme vit pas. Bientôt elte s'allia. devantnon

parie an seuil de laquelle joukrtune pente Bile de deux ans ai demi àpeu prPs, lasaisit deus ses bras et luiprodigua. des baisers ;puis elle es.tri dans l'habitation, où elle dispardtavec l'enfant.

Plana de long s'mtereemP peulgr s et pénétrants se avèrent avec une

même, je ne - p éooeupnis guère, et11111`11'1,

s de malice féline sur fe visa-l'avoue, quo que j eusse remarqué 1.111 1 go re, dont elle palot vouloirIon elfe avait le visage c vert d'uen co n lie l'impression.,aile épais, qu elle emblait vouloir se Mais 5111e dArminges ne sourcilladérober dans 1 ambra des maisons, et pas Ses traits n annonçaims rien de plusquelle marchait rapidement. Cependant, qne le sentiment hameux dont ill s'é-et y Irais jours envrres, je le neneon- tairai rendus 1°mterprète à la velteirai de nover u se le môme ehemie, et qu'il allait être question de celle quelle

gau uagm t s

mlmeà une atalmv du quai, et ilm'était i'Poseible de sausfaiee une sel'

bien n.t.,elle de é"il, p fr le mya-t¢ru des promenades un

peu fhll deGabrielle. Je m'en

remis aremis au

hall'rd du

soin do me procurer une banne occasion)Le ojsoe est si indiscret et si malin !

Aujourd'hui ,'états ait gant gnéo deMalhunne. Après avoir fuit gsein, je ne.pletles dans l'intérieur de Paris, je r0.tournais au hameau Boulainvilliers, rit

lih bien I ma chère Flavia, deman-da telle, qu'y a-4i1 de si étrange dansce que tu vires de me 0051er 050e sup.paees lu donc? Je se te comprends pas.

-TU vas me camprendro et t'ivai-Soer dans un instant. Mais, en vérité,je le voyais moins naine; ou plutôt, jel'attribuais plus de clairvoyance dan.les aversion 3- singulière ?Ta m'apprendsque j se rend q elquefoisrue de 1'Assumplion, et que lu l'as vue

HEURES DES DÉPARTS ET DES ARRIVÉES DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÉANS.

et- as a l0R

Départ. e Arr véas

Maun, (duerq, {1h 15 ML dau3 r3Matin, fi 30 M t lAgn)0 40Maun, (Expr), il 9o (R pe) e 45Soir, 1 33 Soir, 3 35Soir, Ageq 6 2u Soir, {0 40

aune as car'..

Malin, (direct), 3 40 Matin, (Csm) 8 66Màtin, e .. MaloRxp 10 30

Madrid 6 mai.

La Usuelle contient use circulaireénergique du ministre de la justice et del'intérieur, meommandant pour les éloc-tiam, aux faoclionnaires, une neutralitéabsolue et lu sévérité pour en assu-rer la liberté et la sincérité,

La Gazette contient aussi des 'astruc-lians pour les commissaires des naecesà Paris et àLo d es.

Le Conaeit des m ulcéras, dan. sa réu-nion d'hier, a examiné plusieurs pro-jet. importants de M. Tut.., relatifsaux fitamnes.joud'r

Aujourd'hui a lieu une grande réunionde radicaux.

Tas Liants.

Paris, 3 mai, 9 h. 30 soir.L'idée de proclamer la République

conservatrice semble gagner du terrain.1)1. Thiers insisterait Pour sa procta

roation.Les députés de la droite objectent

que cette proclamation les mettrait dansl'état de factions, en laissant tante li-berté aux radicaux.

Tuutet'ois M. Thiers promettrait desgages coutre Je radicalisme.

Des journaux disent que la retraite deM. Jules Simon est presque carmin.

Le Soir dit que MM. Itarodet, Latrade,nPastel, ctc y f ., Gagneur, Du.

po y t L p t de l éuuion de la5aga h I ubl e 810. Baeodrl,

I L cA yt T g y f mt ogalement

çan

d la _p I IJpi r, p bl -

Ces sept députés publieront en mteste collectif disant qu'il. croient cireles interprètes de leurs électeurs enPromettant tout leur concours à 21, Thiers

'

Départe n Arrivée, , lavis DD Faix.

al fn, f0 .. soi" 4

Il Dépara r Arrivées esoir' (Exp,), 2 . fi t 4 etS r, 4. 1U S , i0 M loi, 9 M tin, 9 38Smr, Carc 15 Sou duert 11 55

soi 3 0 S ,r, 5 558o, 5 40 Soir, 9 38

an. a6arO -ana. a'oeLaae,

M tin, 6 45 aloi. Mont' 9 40alatm, e 10 Matin, 9 53

.ait. , 40 45 soir, Pau, 1 02 Malin, 10 40 Sou, 3 47Sir Pan, 2 15 $ai,, Baya..3 50 sou, t 55 Smr, 8 5{Suit bleu". 6 30 SOI, 9 t5 Soir, 5 t0 Soir, Il 75

lités les demandes de `aubvenSons quiont été préparées depuis la session d'aoùt

MM. les £Aoonéa dont l'ahan 1872. A. cas où elles au vous ..raientflamant a eaplré le 30 avril,#lui n'est pu. fait verser 1. montant du renenvellensent de leurabonnement , sont priés de ré.server boa accueil Lia quitta..-tout Ta leur dira présentée.

CHRONIQUE LOCALE

Uugg circulaire ministérielle vient d'en.joindhe aux administrateurs départemewtaux, prétbls, sous-préfets, secrétaires 116n6nux, ale., de reprendre, dans foutes lescieranslmices officielles, leur uniformepeofessi...el, dont le remplacement pat'des vêtements de fantaisie avait été toléré depuis les évésomenle de 1870.

On lit dans lë Noanalliste de Raued rL'Administration des postes avait,

depuis quelque temps, prescrit des me-res.eéverra sau sujet de l'affranchisse. y , cament des imp imés qui lui rotai remis (fonces peuvent aujourd'hui, dans asous bandes. boulerions de la loi, le L. er les f V ter Uu cerloiubandes ne do ive t pas taxi plus du n lire de d« t lit aleeaté àP

bers de l'objet afle .chi et hindes lustallalian'3 le soles une partiene doivent pa dh ne au moy n des d mb u m lit fait par 1'Et.t delimb'e' d'off; I l o d eq Impsg t n relative à l' garde nationatobon,

L iso p ligne des termes de1

obi

a été heureux de venir aile,Cetm loi avait provoqué de nombreuses aussi largement qu'il m'a été possible, 3réclamations.. Nous apprenons qu'an tous ceux qui avaient appliqué leursvient d'y renoncer etreq e te agenty, des r eslaidisponibles à des améliora-postes ont reçu l'ord ae ne pas faire l'ion cu'preuve de plus de rigueurs qu'aube. Vous ouvez à l'avance assurer lefois. . P

gcwiseil énéraÎ que mon concours nei

La circulaire suivante, sur les subven.flous denlmsdées Pour les isola d'éco-las, a été adressée ans préfets :

Monsieur le préfet,Grâce au cuunoura de tontes les auto.

cités locales et à votre cèle éclairé, uuprogrès réel a été réalisé, depuis l'an-néo dernièra, dans la sitnuliOU matérielledes éc les primaires. Niais, vous le sa.sen, il noua reste beaucoup à faire.

Au moment où le conseil général vaentrer en session, je vous prie de vouloirbien loi signaler les besoins scolaires 'airéclament son bienveillant examen, enmême temps que lus moyens d'assurer àces besoins une prompte satisfaction.

Voua devez avoir reçu du muaicipd.

embrassant là une petite fille de deuxante et demi environ. Que dais je conclu-e de ce fait ? sinon quelle â coutume

de visiter dans celte rue une famillequelconque et d'embrasser avec plus oumoine de [tendresse rn enfant qui luiplaît?

FI via suunl dédaigneusement Elletabous amides dents nee po plueset blanc) és,tandis que son lèvres min.ces d paeaissai t se repl ant.

Ah ou' dJ s écria-t-ell d un tonrmlleur, oral tout ce que lu unagines ?le ne leu fan pas mon compliment.Dieu merJi! j'aï eu plus de perspicacitéque loi. ai roof sitôt d g s

upço.s, t j'ai tenu à savoir bitsétaient fondée,

-Comment fy es-tu prise pour cela)?- 77és simplemcnl. Je me suis ap ro

ebéed Ihxbitation ait i,ebriello Pi lap l lu fille

ai,nt Ot ées. La porte étant

0100. J'ai pegardé à bayer, la serrure,et J'ai prétb l'oreille aux bruits de. I mté,.rieur.

Qu'au-tu uv güvs-lu entend. ?051 u d abord une m oi cette

dans n petit jardin, Pu j aperçuf ebnelle assise sous On mure et tenants e genoux 1 f t ell mbi itd esses, et q 1 s 1 i e d t àv,.r.0 s on Piés d Ije set ad me (nocefil u e s .,1o de pay n , qui les

J ,rail a n 'oie jeyeax.Ensuite

- Ensuite, j'ai retendu des fragmentsdo dialogué qui "cet appris qne lap[ilése nomme fIérmine, sa gardienneCuleHe; et que 'est notre ancienneompn5ee elle-mOme 9n e,i aconfié à l'une

1, sain d'élever l'autr après avoir ° gé.néreusement fait a.. à cette Colelle dela gentille habilaliou qui rocôleun sibizarro secret.

pas encore parven.es, veuillez vous lesfaire adresser sans retard, et en penvoqque., de le part de votre adminiatralien,

étude Immédiate. Ainsi que vous les..Tex, aux termes des instructions, 5010m.

ent de 1. nirénlaire au 30 juillet 1858,les iaspecteurs de l'enseignement pri-maire sont parlieullàesment appelés asaurin. les projets de ponstruclion et

d' f,propeiauon d'écu logos point de vuede, dispositions solaires.

Lesinstructions

exigent également quele conseil départemental de l'instructionpublique et l'inspecteur d'académie don.net un avis, Vous voudrez bien pren-

dre les mesures nécessaires pour quau-cune de ces formalités me soit omise. Ilimporte quele conseil général aiutisousles yeux des dossiers campiele, q luipermettent de classer les demandes dansl'ordre de priorité qu'il "aies devoiradopter. Se suis disposé moi.même àsuivre cet ordre pour l'allocation dessecours. Ilaisje ne pourrai le faire quau-taulque ces dossier, me seront teaonmiaavec toutes les pièces réglementairesn cavent général. A cas pièces doit

être joint, peur m'être adressé, un ex-trait de la délibération du conseil, men.fi onaant la qualité de lasubvention at-tribuée, sur les fonds départementaux, àchaque commune.

Quant[ aux voies et mo ans tis.les cir

fera pas débat aux départements et auxcommunes qui s'imposeraient des sacri-fices.

Recevez, monsieur le préfet, rte.

Le reiesisiez de d'insbnction publique,des rudtes et des beaux-arts,

Issza Smon.

Le miuialre de ta guerre vient de déci-der, par ezception à la disposi0on del'fusleucliou pour l'admiasiou à l'É-cole spéciale militaire en 1873, qui eæigedes candidats l'dge de dix-huit aux aumoins au 1 octobre de l'année du coacours, que ee, candidats seront admiss ïla satisfuut à cette coadition d'âge au1 décembre prochain. Cette masure eæ-

- Est-ee tout?- Non, car je dois ajouté' qu'ayant

serials la oorhhide que Gabrielle allaitsort r, j'ai cru avait me réfugier 50ecMatlrnnae dmr d e I cfOtm, d'u er.

in 3 vendro,.doh j'ai assisté h t,,,,s scène

des adieux.. J'ai entendu alors Tentants'écrier d'une voix distipcte : 'AU revoir,po d te mouton ! J'ai vu ensuite celle àqui dessait cette parole sonore seaura n t t émue, poser sa main sur

bourbe et envoyer ou de ces haiiersftabl 'qui s: mblont â ialeapper du

plus profond d'au cocue matnenel... Aa-hocomppris?

f:léanore aval[ fini de boutonnes sesga IsL bvusge I ton do FI a,tuiai ed essor la tél. et regarder son ho-

t.l euh iee nées a.e vague expressiond'incrédul

.Ouf, iéponditelle d'uue voix cal-me j'ai compris.

Que penses-tu de cela 1ie.Je pense qu il y a desprésamplions,

i do plus.Il y a u ê-Eto, moisirai, m

é 1 lé da g ont Cal 11 de Célesinmg st cri t e d ne . Elle a for.lait à'1 hoeorue, je tels regèle . sa houletel caché., mai. nous la dimasque-onsle

Mu, d'Arminges ne parut nullement se

'en"'i diapason de l reetueuae co

t d Flavia de Berg.Celle-ci a'eu offensa.

- Eh ! quoi, reprit.elle ivre unesourde véhémence, voilà l'effet que leproduit ma révélatnou? Tu restes i'roide,impassible, à la nouvelle d'une pareilleRécourorte? Eu vérité; tu me stupé-fies ! J'étais loin de m'atteudce a uas(elle indifférence dn ta part, air je comp-lais te réjouir eu l'leitiaut au mystère dei la conduite coupable de Gabrielle, dont

tu asasoscse somr naptns :

A TOULOUSE : A La SOCIÉTÉ GÉNÉMALM des ANNONCES$0, see de. nalaneea r

A PARIS: Chea MH, HAVAS, LAVWITE at c8, pl.- ae 1. sasser

TARIF DES ANNONCESAnnonces, la ligne, 0 1r. 30 e.Réclames, la ligne, 0 50Faits divers, la ligne, 1 00

Toulouse. - Typographie Monta96in.

cepéounelle ne recevra aucune autreeztentioe.

Ceux de ces candidats q ui seront nom-mésélèe,, seront reçus à l'École et'-tracteront leur engagement s volontaire lejour où ils auront accomgli leur dix-huiliéme année.

nALmx DE 00000vss.

Jtecoueremert6 de ta taxe msnicfllrrsis furJaa noise, paadasis Parade 0575,

Le plaire de Toulouse a l'honneur deprévenir ses administrés Une le rôle de lataxe municipale sur les chiega pour lau-oée 1873, rendu exécutoire par M. lePréfet de la liante.Garonne; mt entre lesmains du Receveur municipal, chargéd'en opérer le recouvrement, et que cha-que contribuable doit acquittera dans lesdélais fixés par la loi, la somme pourlaquelle il est porté audit rôle.

Le délai de trois mais accordé pourla présentation des demandes en déchar-ge ou réduction court à complet de eejour. Ces demandes doivent êtresé's à M. le Préfet, accompagnées del'extrait du rôle et de la quettauce destermes échus;

Fait à Toulouse, au Capitale, le 5 mai1873.

Le ivoire Fleuri Eaui,ae.

Société ra'u.grioultura da laI[auee-Garonne,

Séance du 3 mai 1375.

, l résidmus, du M..._ de Pseus.

Le procès.verbal de la dernière séance

lut adapté, M. le erémire-générallommunigpe à la Société nul lettre de

M. Ba ué né ovian ne offrantt à Tend.nen vente' a viticulteurs. uni engraisqui pouvant être appliqué contra lePhepllosoea penl en meurs temps assurer

bonne récolte. Là demande de M.légué ayant n c actére purementcommercial, la Société laisse à l'initiativeindividuelle la sain de faire les essais desengr'vis proposés.

31. le président annonce qua la séa.eepublique de la Oouieté de médecine doitavoir lieu le 11 mai. prochain, rue duSénéchal ; des places saut spécialemenréservées aux membres de la So4iéléd'Agriculture.

Appelé par l'ordre d jour, M. le baronPigache de Saline Marie Ut nu mémoireayant pour titre: s La vigne et les geléesblanches. .

Les dernières gelées, nous dit M. Pige.che de Sainte Marie, net détruit d'im-mense. ellguobles. Dans beaucoup de cas,le mal est irréparable, car de nombreu-

la réputation est désormais entra nosain..- Prends garde, ma chère Flavia 1 Les

8pparenees trompent souvent. Peut-étreles-tu ho jouet dune illusion.

- A merveille 1 Tu doutes de monboa ses,. et tu prends la défense de tonennem e. Ose donc dire, après cela, quetu la lotis. J'eu rirai...

Eléonoro feuuça lesourcil;

un éclairjouit de sa prunelle ; ses traits réRéçhirelit un .eotiment TindicauL

Oui, je la liais, je te l'affirme tàvee ove sombre énergie.

L'invincible antipalhil qu'elle " m'inapte.et qui date du couvent s'est accrue en-eme depuis I° jum où tu m'as apprisqu'elle s'efforças de me prendre iecour de Gaston de Villetaneuse, mua

ses vignes n'émettront pas de nouveauxbourgouaa.

Comme on le sait les gelées sont pro-duilrs par le rayonnement, les nuages;las brouillards, les vents en modéreat ouen empêchent les désastreux.

Y ad-il des remèdes préventifs eonirece redoutable fléau?

Le docteur Guyot a préconisé l'emploide paillassons dont le coùt ,élève hcinq cents francs par lrealare et par an.M. Dubreuil s recommandé l'emploi detoiles qui occasionne une dépense dedeux cent cioquantesept francs par ber.tare.

La formation de nuages artificiels aumoyen de capsules pleines de matièresbRumi.euses a été essayée, non saossucrés et au moyen d'une dépense quine s'est élevée qua dix francs par hec-tare; ce dernier moyen offre néanmoinsdes difficultés pratiques qu'il parait Im-possible de surmonter dans les vlghroblesconsidérables.

Les méthodes du Docteur Guyot et deM. Dubreuil ne sauraient être suiviesque dans les vignobles aux rendementsles plus élevés.

Les moyeux indiqués nous lainentdose désarmés.

Yeut-ou atténuer le mai? On a remue.usé avec justesse que les vignes fraîche.ment labourées sont d'autantpias expo-sées aux ravages de In gelée. Il est dont-mpeetant da donnuer les premiers la.bouts avant l'époqé nuisible des gélëes,et les seconds autant que possible aprèsla période critique.

L 1 ettre de l'intéressant mémoire deM. le baron Pigache de Ste Marie provo-que quelques ebservalions des diversmembres de le Société. M. Lofosse penseque la form non des nuages artificiels

offre posai toutes Ira difficultés proti-quesque signale l'auteur de mémoire.L'emploi des matière facilitesingulièrement l'opération qui peuts'exécuter rapidement le seir ou le ma-lin à l'aube. Après les ezpérie.ces de M.Barrai nous devons encourager les essaisdont le sures, parait probable:

M. Pigache dente Marie maintient à cepoint de vue le centons de son mémoireet pense eu autre que le moindre ventpoussera souvent sur tes propriétés voisi.nes les nuages artificiels.

Comment, dit M. de Puybuaque, leslabours récents sont-ils faverabigs à laformaliou de la gelée 4 c'est un fait la-1ontestable, répond M. de Bte-Marie. Le.

vignes récemment labom'ées sont 0ee-preites d'une humidité malsaine quidoit refroidir la température du sol etfaciliter par les vapeurs qui se dégagentla rosée qui se cengile sur les bourgeoisYrmetlféres.

hl. Mortegouty tour ea se milliardsla manièeo de unir de M.' Lafosse de-mande si une nouvelle taille as produit

plaida eut un clignement d'yeux pleinde malignité.

- Alors,dit.elle, tu cousontitasl sut,veiller les ddmo,ué00s de Gabrielle, sur-tout lorsquelle se dirige vers la rue del'A somption!

U. mmrvement dorguei, éclaira. sou-dan la physionomie dq%éou ro, qui ré.pondit d'an Ion presqu sec

- Il ne saura t convenir, n ciré., de me verger a bal. Je ne lais 'pas

d'un caractère à dénencre.- Que feras-to donc ?- Je trouverai

os'pourYrappee

on ennemie, güelgdo moyen éaevgi-que et conforme à la nature de moy lem-péramant.

- Est-ce que tu la provoqueras?Peut-0tre.Folle I Elle ne tiendra aucun compte-Gfle net ta rivale,j "en suissùre. Je de ton étrange cartel.

' 'l ai vue tressaillir, lorsqu au soir, chez - C'est roque nous verrons !elle, je loi ai annoncé que tu allais Comme Mlle d'Arminj;e. àchevait colêtre prochainement la femme de Cas- I

tiols sa femme de chambre eul et luit no .

- Depuis ce malin, je crois à cetterivalité, reprit Eléonoro en s'animant.J'ai aperçu, en effet, Gabriellelesleugesue -la-Reine,

adu e

brasde mon cousin. U. avaient tous deux nuair d'intiraibl qui m'a r ndne furieuse.Je me suis ro tenue néanmoins, maiseu me promenant d avo cette nuit m8-ma, au bal, e xplication avec celuique je considéra àeboa droit comme monfiancé.

- Et si de celte explication il résulte

pour toi la certitude que M. de Villeta-xa000 ne songe

pila.

à t'épouser?...

- Alors....

Mile d'Armingea n'acheva pas sa pen-sée, mais une contraction bizarre détrui-ait un instant la brillante harmonie deses traits.

annonça qu ü y avait déjà dos invitésdurs fes salons.

Eléonoro répondit quelle allait desceu.du, et la camèeiele se retira.

dit alors Mlle de Berg bsou amie, sons raisoooable. Pas de-co-lére,as d'éclat, si lu veux agir con-tre Gabriella I suffie de la d(-tous,drrrer. ,

- Non, te diaje I C'est un rôle quo jeoe pais remplir.

-. Eh bleu I moi, je m'eid elle trépartit Flavia aven un légerde vipère.

Émeus ENAULT.

(La note d demais)

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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pas de bons elfrts sur les vignobles de mirais. bec public.La Coctéi race adopte le premier sys-

geM, Pigache lite.Marie tilt observer que 1 sème.

les bonrgeoos étant gelés la taille ne.rait être coin is r s pour lag u e que, p Voici arrivé le moment des nielléesformation deIqbois.

ryrésms d'oiseaux. C'est [,époque où les petitsobservations, .Après qth. p

aar

r d'vol., membres la mémoire dr. M. marodeurs ae et défo à leur taira nuel'ironie de SI, h'i'le est renvoyR à la guerre cruelle et

déplor

rable, car la des-cummusien do ;.ournal. trucliu des nichées prive nos 'éIres

hl. Gonrdon lit un travail ayant peur de leurs meilleurs gardes C é de iresDes moyeux de combattre le phy1- et livre les plantes à

la

a v aetc de casluxera , innombrables essaimsd'insects, bond-

Jusqu'àe moment les moyens de des- les, altises,pucerons, hau.Chute, verstraction employés contre le phylloxera blancs, podures, elorops, oie.paraissent peu satisfaisants. La destruction des oiseaux, qui seuls

L'i

nsecte se propage oser, une effrayante font une gueereefficace à de si redouta-

rapidité; tee tomettes se multiplient sans bles ennemis, est un acte coup.ble;ausstla présence des m91es qui n'apparaissent croyons nous utile de rappeler aux des.qua in monde la satine parmi les der- tracteurs, petits et grands, qu'il xxiste

nièces progénitures ; les poserons atta des arrêtés préfectoradux et muniicipauxesquent les moines et vont tes dévorer

dans les profondeurs du soliChaque souche occupe envron un mé

'aci-L. cube de terrain, l'application de l

,m sent, sous es Peines a vla chassehasse aux nichées.

ce nos regrets et voyer un dernier bre d'acheteurs et nui considérable-

adieu à celui que nous pleurons. ment aux transactions, qui ont été prrs-

.nine point à cette heure sa- que nuitcalémoilo panégyriques froids oo inté'

coulés oh la mcri sert de piédestal à lavie et qui laissent couler mains ae Isr-mes sincères qu'ils no trahissent de pas-sions es de vanités: pour vaincre cetteeépugnonce et ne point tairece qui m'asi lourent par e profanation, 'j'ai dietrouveras moi une miné sincère, nondouleur vraie, j'ai dA être certain quej'ébats l'écho ému et fidèle de l'afllietiunde tos.

Je vous raconterai pas la vie deFirmin Rendes, je nelesuivrai pas danssa langya odyssée, je et vous dirai pas

salut âigel et

ne aenamlonifiuiljm e

p r ai pan, i g jamaise 'est pas pour cela que nous l'avons

aimé, mais à causejde son caractère et deson moue.

IL avait cependant porté dan. la ma -vine des qualités rares et

nui raient

dû lui assura plus qsi il a obtenudephéoigeeéléve ldépeose à dans mille La dorellon artistiq.. du Cessd Théd nue indomptable énergie, un esprit droit,

ar hectare sans compter la main tre tient àode

finir brillamment uon tetellig ace pratique et love, maisfrancs pd'os Ivre . sa campagne. Lorsque tant de difficultés s-dessus de (Dotes choses, le sentiment

L es expérimevtateors paraissent dé' écrasantes, blet d'obstacles accumulés se de l'honneur est du devoir que rien n'au-bordés ppar l'insecte envahisseur. M. rencontrent duos l'exploitation de taus rait pu faire fléchir. C'était là ses pus.Chartes Aa11ét de Tropes propose le re- les théâtres lyriques de province, il y sïoas, les aeules qui aient conduit sa viennuveilement de la vigne par le prof' aurait de l'joiestsee à ne pas reconnattre et dirigé ss actions. IL 'aimait pue engcage, l'emploi des engrais fortement il 'élu incessant, les efforts c nrageur arrière, tl nous l'a dit bien lourent,azotés qui servent à fumer les provins. de l'Assoeiatten de l'orchestre et d'a elle est devenue si ingrate; m il ee

usagé de la chaux solide ou divisée Ch---, puer maintenir notre scène de remplie, ait les devoirs et en eceeptaitL'peut

être recommandé avec la fleur de Capitole au. rang vraiment supérieur et les périls comme s'il l'usait aimée,' et il

soufre, Le pralinage des plants avec artistique. Eu dehors de ce Ceatiegeet était compté duos aoo arme comme CIl'eau de chaux peut donner d'excellents de midinecitéa, que noue or pouvons pas 1, de. manmuvriers les plus sûrs et us des

résultats. éviter, la liste des vrafsarti.stes pré..eealés ol'Ociere les plus solide,. Les circoustan-Os Pont faire 1. chasse à l'insecte avec

u

u public eut déjà cansirléeuble. Voici, ces d'ailleurs ne lui avaient pas permis dea. cartons poisseux qui l'oeeéteul à son eulement puer le dernier mois et à 1. I doueur, toute la mesure de sa valeur

a sa e fois, hl. Michot, M. Dumestre, M. Ça-l réelle; la vie lui avait été dure; c'est

pM. Lichtenstein de Montpellier a pro. e , M Ituloestre, toua les quatre ap t a ' i l n'était pan te ceux qui surent vi

posé de planter à côté des vieilles souches rPatientait tt'Opéra: ajoutez à ce per-ter to fortune ou le mérite; il tétaitde jeunes plantes qui semblant rucher. 'autel de choix M'+Loyd et M. Cour. pas habile; et trop souvent la faveur,

Ch'*a

par le pbylloxera. lais, et vous aarezun ensemble que bien méme la justice, ne viennent pas rhreM. Louis Faucon recommande la sub- des théâtres nous envieraient. cher ceux qui ne savent pas les sollici.

meraion der es vignesdites

automne, Les représentait..' de la Muette et des ter.soit en h; v. 11 'agit dans ce dernier 77uguenala mot été l'ocession d'eu sucrés .La robuste constitution de Reilhl,système d'asphyxier 1'insecte. Bine ' ri' bruyant pour MM. Michot, Dumestre et soutenue par sou énergie morale, avaitgalion ondmaire ne suffirait point. Il fant Cnoanx. Cou trots oncles, pensionnaires résisté deux ans au climat meurtrier depar conséquent avril à a. disposition un de l'Opéra ont les grandes traditions de la Coehischinc; le terme de sa campagnegrand volume d'easu. -

chant de, cette école nationale de muei- était arrivé, il rentrait en France , un

M. Cou'don dit en terminant que le que ; ils net aussi le style, l'aisance, la ordre le retient enc r- pendant q tee

mal n'est pas bien loin de o s et que vigueur, la Pureté des chanteurs éprou- mois, c'était son arrêt de mort; an eésis-l'on doit persévérer dans les essais et vis, pour qui le trayait a été la loi nu- tance était épuisée. Un autre lot peut-dans tm ci. vos de destruction. préme. Après le duo patriotique de la être sollicité sue rappel, il u préféré res-

M. Gaussé prend la parole pour dire Muette, les applaudi,aC. ors net éclaté ter à sen poste.qui il ne pactege point Ici craintes de NI. de tous les points de la salle jusque lié. 'Il était ai heureux, quoique mortel-Ceredon. Le mal pat confiné on-delà du heauter. Les rappels se succédaient. Pli. louvent frappé, lorsqu'ut est revenu parmi

f oins, que l'insecte n'a jamais froc- rille Pète s'est reproduite à la représen- nous il avait atteint les limites de sonstil, ratio. des Ru"uesete, pendsut et après ambition; il rentrait, pour ne plus la

M. Théron de Montaugé fait observer haque acte. Voilà des serrées qui none quitter, dans sa ville natale qu'il aimaitit en-que vingt commune de la Gironde sont faut oublier fautes les défaillances snévi- par dessus toute chose, il retrouva

envahies par le redeuf.ble insecte. toiles qui se sont produites suc notre coco et pouvait embrasser sa môe muu01. Latente ee.d hommage au ..a,- cône, et que l'Aoeemutian a toujours rapt pleine de jours; rejetant enfin bien

sable travail de M. Gourdoit et croit énergiquement cherché à prévenir.Nous loin de lui et lesespérances déçues et les

qu'on devrait essayer comme insecttetde lot des ns aujou d'hai d'avoir vu, en ce souvenirs si souvent irrésistibles d'unele jus de tabac. temps de crise théâtrale, nmro scène ly- vie avenwreuee, il n avait qti une seule

Le mémoire de M. Gourde. est ra. eiq e revenirà ses grands jours duo- ambition, eue du repos dana une vievoyé à la commission du journal et la flofota. modeste et Il....en au mdieu des sters,séance est levée. Les r.présentatiuns offertes eux Damna h il voulait mourir comme a.. père qui,

Le général du Basset vient de donnern ces ferme. sa démission de membre

du conseil genéral de la Corrèze, dont ilétait le vice.président

Baulieu, 28 avril.Mes chers concitoyens,

Il y a de ans à peine vous m'avezdonné

sponux

tanément la pe,tqu'unanimitéde vos suffrages; aujourd'hui les mêmesélecteurs choisusent M. Latrade pour lesreprésenter à l'Assemblée tionale, etdonnent; par suite, leur adhésion à lapolitique qu il représente dans aotrepaye. Ce chois me proue que je vousai trompés sam. le savoir, il y a deux as,ou que, depuis, ruas avez changé d'opi-nion ; d... taus le. cas, que .eus nous..tendons plus sur les causes de notredécadence et les moyens d'y remédier,

je sais que Ies f..clions de conseillergénéral ras soet pas essentiellement poli.lignes, quoique depuis 1. loi de 1871elles puissent le devenir dues certains

Main j estime qque doua un pays desuffrage universel, d ns l'taléeéldu toua.Il fut à ton. les degrés, entrel'électeur et l'élu, uoe confianceréciproque et uee communion d'idéesau tao ras sur les questions prin-cipales. Ce lieu »'existant plus entrelions, je ne veux pas que mo. mandatsait le résultat d'une surprise et je vousle rends. Je .'e. continuerai pas moinsà servir Ies intérêts locaux dans la limitede mes forces.

Général eu Besson.

vacctrd osa smxtvice nu TOetocss.

Mercredi, 7 mai 4873.Cours de botanique à 4 h, du soir.

Professeur hl. Clos, directeur.

baseripptia du grand groupe des

.mentacée.herborisation Blagnac ;Jeudi malin, à

départ de la Faculté des sciences à Gheure du matin.

Cours de chimie à 7 heures du soir.Professeur, et. Fillrot.

Calcium, chaux. - Sels de chaux.

Jeudi, 8 moi 187:3.Cane de physique, (dorénavant à 2

heures précises).Réflexion de la lumière. - Miroirs,

plana.

La Conférence des avocats stagiaires,so.s la présidence de M Tournayre, bd-to..ter de l'ordre, a discuté la questionsuivante : Le mineur qui demande laaollité d'un contrat qu il a fait sana l'as.dslance de son talent, peut-il fonder a.prétention sur son incapacité ou saule-.snt sur sa lésion I

M'COlcudre a fait le rapport tM. Tourral.. e souten. le premier

système ; -

Le deuxième système a été défendu par

ne s.nt pas les plus brillantes. Nous ne lui aussi, avais glorieusement servi sonsaurions cependant r procher à la dires. pays; une femme, des enfants, quelqueslion de l'orchestre et des chmurs de lut. amis, la campagne eoueiaicnt à son Amefer, par tous Ies moyens, contre les re- aussi simple et aussi tendre dans sa viedoutables coneurreocea du voisinage. Il privée, qu'elle avait été énergiqu1 dansfaut compter avec le goût souvent bizarre, son existence de marin.avec les entraînements inexplicables du e C'était'peur cette récompense qu'ilpublic q ' court h I'impeésu, à l'extraor avait supporté pendant 25 ans les épreu-dtnaies, à (amusement, su bruit, et dé- ses et les dangers de sa carrière. 11 ylaisse le bie. et le beau qu'on lui sert touchait, il commençait à vivre torqueaans apprêt. la mort l'a aaisi : tl l'a va veai, avice

Les obsèques du jeu.e Vert, victime

de l'accident survenu à l'église St-Aubin,ont eu lieu béer soir, à 4 beures. Il yavait beaucoup de monde. Après la cé-rémonie le corps a été porté à Crot.-

Daurade. En sortant de l'église les ca-

marades du défuut n'ont pas vaulolaisser plaine le cercueil sur la voiture;

ile font porté jusqu à l'école vétérteaire,oà je clergé l'a accompagné.

Une bague en ne, trouvée sur la voiepublique, u été déposée au bureau cen-trai de police.

Deux individus pot été arrêtés pourtapage et coups, et pour vagabondage.

Extrait des obesrvadone météorol.gignes fai-tes per M. Degutn. station à l'exeamuié Sudde le Grande-ARée. Altitude : thé.,

Du G maigberm. cent. maxim. d'hier : + 20.7

id. min. de la nuit : -j 8.7.open. aanaa. aveu o. eu . .

9 h. m. 0°,741 3 - nuug. - SE faible.hlidi, 0°,741 2 - id. - O id.

Le baromètre est descend. au-dessousde pluie ou vent ; le temps est incertain,l'air chaud et humide ; à midi, le ther-momètre marque déjà 20.4 u petitepluie dans la matinée,'ayant donné 2miilini. d'eau; gonfles de pluie d'orage

s midi,' avec tonnerre lointain à

l'osait.

Laveur, 5 mai.Lundi dernier, un nombreux sonneurs

e amis rendait les derniers i Iirs àocre regretté compatriote Firmin Iteil-

haa, lieutenant de vaisseau, enlevé à l'd-ge de 41 ans, par une longue et cruellemaladie dont il avait apporté de lochin-chine le germe mortel. Retenu par sesdevoirs loi. de sa ville natale, il avaitpu néanmoins dans le peu de tempsqui iuei était donné de passera milieude nous, 'prés ses campagnes, faire ap-D.récier de tout le mode des solides qua-lités d'esp it et de corne auxquelles M.de Voieius Lavereiére a rendu un justehommage sur sa tombe en prononçant lediscours suivant :

s Messsieurs,

n Avant que se ferme caltée tombe siprématurément ouverte , au nom deceux qui ('out connu et qui l'ont aimé,

N Blusson ;M sons (8YNain) a conclu eu 9.alité

1 au nom de nos concitoyens qui perdentun des meilleurs d'entre eux. je yeux di.

a tte énergie Iroi0e et elle rémg.abanchritieuue plus diffcile ses un lit dedouleurs et au milieu do tout ce qui ontme que dans le excitations d'un champ

de bntailie. Il a goûté dans la mort l'a-mertume de sas dernières espérancestrompées, mais il lui a été doux et ps-tieoe. Une soute joie lui

uété donnée,

lorsqu'il espérait encore : la croix d'oif.cier de la légion d'honneur allait ré.compenser ses services et ennoblir aa,traite. Lorsqu'il su que a.. heure

était venue, après les déchirements dessipaentiers intimes, il ne lui est plusresté qu'une seule pensée de ce monde,l'amour de sa ville natale, a qui il avoulu laisser le fruit d'une vie de tra-vail et de sagesse.

Po eq oi 'est-il pas resté parminous 1 Il nous eût appris les joies dudevoir accompli avec persévérance et dumérite modeste. Nous lut aurions do.nép.r notre affection et nacre estime laplus douce récompense qu il ait de-mandée hune vie laborieuse et irrépro-chable. Mais puisqu'il plait à Dieu derappeler à lui le, meilleurs et souventles plus heureux, c'est qui il na comptepour rien les récompenses et les bo.-nenen de ce monde, et qüil veut aehâter de payer ceux qu'il aime. Quecelte pensée adoucisse l'amertume aenos regrets. Une dernière fois, Retlhac,vas amis vous disent adieu.

Le conseil de révision commencera aatournée, da.s le département de Tar.-et-Garonne, le mardi 3 juin.

Nous lisons dans l'Ache de Msemande,du eu mai

Nous disions à cette méme place, di-manche denier, que le gelée de la nuitde vendredi à samedi avait cruellementfraPPé les v gnobles de notre Plaine et

e Cr ceau,rob 'a mentaffole'

ceux"""a,

qe

l'on

n avait des intespou,

ur la mati-née de dimanche. Malheureusement, cescraintes se sont réalisées ; nos bassessignes sont entièrement gelées; il nyau a rien, ni v n ni fruits, tout estperdu.

Les ignoble. de notre coteau n'oetpas été plus épargnés que ceux de laplaie, avec un peu moins de mal ce-pendant ; il reste encore quelque chosesur les hauteurs, mais bien peu, saufquelques expositions exceptionnelles.

Au résumé, nos vignes et ..a arbresfruitiers offrent un sport désolant.

Notre foire du premier samedi de main'a p.s d...é, hier, de grands résultatscependant il y avait de magmfques ani-maux ; mais il y avait une grande foireà Miramont, nue autre à ,ams'on' cequia enlevé à la nôtre un grand aom.

Pendant la huitaine qui vient de finir,

le prix du blé a été tenu très ferme surpresque tontes les 'laces de notre rayon,à notre marché d'hier on a page cou-ramment 25 fr. les 80 kilos; tarir ldsimn ras tant

pas

as eu une grandeactivité.

vité.

Ou lit dans la Chronique, de Liboarne :s Les nuits des 25, 26 et 27 avril der-

nier ont été fatales à nos vignobles, quidonnaient, naguère, de est belles espérau-cea. Les polos de la Garonne, de la Dor-dogne et de l'Isle ne présentent plus, à('mil attristé, que l'aspect de l'hiver. Pasun pampre ua échappé h la gelée, dontles effets sua bien plus terribles quen1861, sauf dans quelques rares proprié-tés de le basse Dordogne et de la peinted'Ambés. Gel sables de Saiut Emilion etde Saint Sulpice de Faleyeens, les gravesde Pomerol, de Nés', de la Lande et desRilleaux sont aussi entièrement dévas-tés.

Les coteaux de SIEmilioo, de Suint.Christophe et de Montagne, qui avaienttoujours, jusqüici, été épargnés par lefléau, ont perdu, en moyenne, les quatrecinquièmes de Ivnr récolte. A peine pent-

citer deux on trois heures. proprié-taires, comme M. le comte de Rochefort,u chdteau Lnrngne, et Mme de Mart-

gnmi, (Délaie, qui ont conservé la moi-tié. M. Forsan fin, à Montagne , paraitseul avoir été complètement préservé.

,Dans le Fronsadai,,le Bourgeois et te Blayais, la moitié n i'

n do la récolte dru coteau: a été em-portée; les parties basses ont souffertdavamage, et il n y reste presque plus

te Journal officie! publie un décret,daté du 3U avril, qui déclare d'utilité pu.blique l'acquisition de divers terrains,situés à Tarbn (Hautes Fysésées), etnécessaires peur la couat,uchias d'unnouveau quartier d'artillerie pour l'ex-tension du parc sua fourrages.

Les èsompenaea suivantes set été

décernées dans le concours régional deToulon, peur la région du sud:

hipPi bovine. - Race lare.taise,n prix, M. de btarion Cojz, àGajnçaià lu

e

8elve (Aude). - Races de travailfrases diverses, môles, 2 prix, M.de Marios Blaju, mentir. honorable, M.Bises, à Couac Cabardès (Aude). -Femelles, prix eopplémenlalce, 1011 fr.M. Rives. 2. pris, M. de MarionCaja. - Vaches, 3o pria, le méme.

Constantine, 3 mai.Ouverture des débats d'un nouveau

groupe de cinq personnages accsssés d'or.gamsahon d'insurrection, de commande-

t de bandes, d'assassinat do raidallié et mutilation de sn. cadavre.

ESPAGNE0. écrit de Sure, 3 niai, au Courrier

de Bnyonee:Fnfin ! j'si dent eu le bouheur de

noie défiler devant moi u ecotonne del,troupe régulière espagnole et d'suiste,à un de ces mille combats. qui oai pourcésultaU Mores 0, blessés 0.

C'est par me promenade à Vera queje me suis pavé ce beau spectacle, etvoit; ce quel y ai su, an et entende:

hier, 2 mai, deux compagnies desoldats partirent de Vera dans la direr.fies d'Iran : elles allaient à la rencon-tre de la colonne commandée par Tejada,qui, pa tie de Vera il y a quelque, jeunpour changer so. armement, s'sa re-tournait avec les mêmes fusils,

Cetle troupe arriva à Vers vers dixheures du matin : déjà une bande rue-liate avait pris possession sa haut d'unepetite montagne, située à 2 kilomètresde ce dernier village. Le colonel Tejaday envoyaimmédiatement uu paya.. pourdemander ' ces gens-là ce que sg.ifiaitle drapeau blase qu ire agitaient et quesire voulaiea ae rendre,

il,seraient bien

re <usDites à celui qui vous envoie,

fut-il répondu au pauvre courrier, qu'1nous reste encan quelques bal'et qu'après les avoir bridées, nous

ver.

roua ce qui .eus restera à faire ; .eusl'attendons de pied ferme. ,

Après cette ripera'e; personne nedoutait qu'un combat aérien. allait selivrer devant nos yeux; mais point : lelieutenant de Nouvillas ne Trouva rie. demieux à faire que de mi.e,l. beau ponldeSaint-hlicbel qui e trouve à 200 mètresde Vera, sur la Bidxssoa. Vers 3 heuresde l'après-midi, tl réunit de nouveautous ses hommes, leur fit traverser lepont qui devait sauter, et demi heureaprés ce magnifique ..yoga tombait

ec fracas dans la rivière, glaces aGO kilogrammes de poudre qu an .,aitmi. dedans.

, Pendant que les soldats du génie selivraient à cellefiirent m

ovéralion les carlistesne de uloir descendre de

leurs ositions c'est alors e Te.'adaP ro Jdétacha ch r de v es . ne trou

i

DdeP Ples empêcher de venir. Une centaïne decoups de fusils fut échangée do part etd'outre, pai les soldate rejoignirent laIa.ne, et les carliste. restèrent dans

1. montagne.e Il était quatre heures de j'oprés.

midi; les troupes régulières partirentdans la direction de Le.ce, parla mon.tagne, mais une heure après nous entendions de nanveau le bruit de la fusil-lade, qui cessa au bout d'uneJe ee s.ueuis vous dire quel fut le eésul.fat de ce nouveau combat, mais je pré-sume qu'il . a pas eu plus d'importanceque le premier.

Ilier a fait juste un a. que Dus Car-tus passa sur le plat St-Michel avec satroupe.

Les habitunts du pays disent que gage des journaux qui t'inspirent un.la destruction de cearl pouf est regardée Peu 1l est évident que plus ouavec indilféesuec pes carlistes, est i réfléchit dans les réglons gouvernemen-t d dt ten u que ceux.c pourron pais:r ans,

l'eau quand ils voudront. C'est doncpour les habitants du pays méme quele malheur ara grand attendu qui unebonne partie du village se trouve isoléede sou ccolre ; c est par ce pont que sefaisait aussi te transport du m rai quialimente les fonderies de Vera,

+ On dit aussi que le pont de lacis.,Coud Yi3am à Lasse., et celui d'Yanci,voot sauter aujourd'hui. Vraiment lessoldats de Nouvillas tiennent à se foirepopulaires daos ce malheureux pays.Un dernier mot et je fiais.

La discipline est loin d'être parfairedans l'armée républicaine, et si j'avaisle temps je vous citerais des faits à l'op-pui de ce que avance. Les femmes nepeuvent plus sortir dans les rus deVara sa.. être grossièrement insultées.

PARIS-VERSAILLES(Correspondance pelliculiére.)

Paris, 5 mai 1973.

Il s'est fait un grand calme dans lesrégions officielles depuis deux ou (roisjours. Su y a craint d'abord des chan.gemems ministériels: les ministres euplace n'aiment pue qu'il soit question deleur départ. Aujourdloet le monderesta à son poste, et Dieu me pardonne I

n prétend que le cabinet offre l'imagede la plus complète homogéféfé. Ensuite

e demandait de quel rété hl. Thieravoulait aller : s'il preod'ait lieu, Dit s'ilresterait attaché à la IVpubl,que. Au-jourd'hui encore, sou parti mal pris, Il.Thiers vent le maintien de la Républi-que, et, ni dans les choses, ai dans lespers nes, il ne fera rien qui soit sus-ceptible de la compromettre.

Je vous parlais hier de .égoctalionsengagées entre le centre droit et la gau-che modérée pour arriver à s'entendreue l'éve.lualité d'une proclamation de

la République définitive. Ces négocia-tions marchent, du moins au centredroit elles ae soulèvent pas autant de ré-

vaûs le sas se,sse putageu eu deuer brac-ptehio:,s, la fiausiau de Broglie qui ndittcoerl

,v 80 vain; la feucton O Anf a,quier qui en compte autant et soixaf-te flottants, qui sont avant tout parlï-saus de hl. Thiers: 5151. Calemard deLafayette, Tolle,, Turget, etc. Or, la frac-finn de Broglie est prête à proclamer laRépublique et cela depuis longtemps.Mais on veut des porlefeuiltes, des pré-fectures et eu général tout le petson.eld'un gouvernement enté.radical.

M. le président de la République dé-clare de son côté qu il ne lui répugnepas de se prêter à ces .ooditicue. Cequ'il ne veut pas laisser faire c'esl dé-bruire la Itépubhque. li a promis de luirester fidèle. Or, avant de doueer le pou-voir aux conservateurs, c est ' dire suamosrchistea, il exige qüils deviennentrépublicains.

Q...t.. radical., il ne faut pasespérer les désarmer par este t,un etaisoe. Ils CI, lament la diasolutiou t

des élections générales. Hors de là,fouut

e qui se prépare, tout qui se feraleur importe très pue. ll

esest impossible

die. douta. Ce que je s.abatte, toutefois.,estque la proclamation de la Républiquedéfinitive Ies mette en minorité non-seulement dans la Chambre, mais dans lep.s.

C'est M. le général Leflô qui, en saqualité de doyen du corps diplomatique,s dû présenter à l'empereur d'AllemagneIes représentants des gouvernementsétrangers accrédités à SsiutPétersbourg.Cette cérémonie a été nécessairement unpeu froide, mais enfi. elle s'est bienpassée, et l'empereur Guillaume s'estmontré aussi aimable que possible pourle général Leflb.

On avait parlé de tiraillements surve-nus à Lyoa, au sujet de la candidaturede M. nase et de l'indécision de ce der-nier sur la q tion de savoir s'il devaitaccepter ou décliner définitivement lesoffres des comités radicaux.

Toua les doutes oet disparu aujour-d'hui : la Répubdsque française, per. eematin M. Base, à la députalje. du Iihé-ne, qui sigeife que M. Raet a acceptéles ullrea qui lui oot été envoyées, etcela d'une façon irrévocable.

Le couronnement du a .veau roi deSuède aura lieu à Stochkolm le 17 de cemois. 0..as...C que h1. Thiers s'y fe-ra représenter par le général du Barrait,qai commande nu orps de cavaleriedans l'armée de Paris. Il aeu lieu de fai-re observer que l'envoi d'us représentantapé.ctal pour ces sortes de cérémonie eslde tradition, et que le choix de hl. Thiersne pouvait pas tomber sur un officierplus distingué et plus capable. Je.moi aussi que le colonel Gaillard aété nommé

attaché

militaire à St Péters-bourg, et non chargé, comme on 1'. dit,d'une mission extraordinaire ee Orient.

Ol0. prétend quela démission de M.

ga, comme ambassadeur d'Espagneà Paris, est défaitivement acceptée etu'il sera rem lacé ici par M. Castelar

aujourd'hui ministre des affaires é"a',,-ces dont la siuztion est devenue Iréa em.barrassée. On pnd que Ies eiT.,Ia desartistes pour se

rréteendremaître d'uae vil-

le sont près d'aboutir, et qui alors donCarias installera duos le Nord de l'Espa-gue, l'appareil extérieur d'un gouverne-meet, avec des représentants à l'étranger,des Corsés et des fonctionnaires adminis-

ulifa.

Ver.illes, le 5 mai 1873.La politique queutend suivre le gou-

vernement, à la suite des élections ra-dicales de 27 avril, se dessine de plusen plus sinon dans les faits, en qui nepourra avoir lieu qua. retour de l'An.semblée, au .ot.s dans la conversation

fales et las on a'afi'er i -p t dansque le m tde

Hépn

bli qua000esrvalrice. On me cite à e propos lemot suivant qui aurail été dit hier àune des notabilités de la droite: Oui, lasituation est grave ; hé bie , jnignez-vous au gouvernement pour faire de laconservation sur le terrain de la Répu.blique ; là est le saint.

Ces paroles .,.etériseot la situation.Il e t certain que las élections do 27avril net indiqué la nécessité de meu-res conservatrices, ose il n est pas nepersonnes ,osée que

at duraquidicalisme nene dofuûtet

e 1, flde la perted lu République et du pays lui-méme.Il faut domo viser le ndicatisme, mais leplus sûr moyen de l'altrtndee est juste-meai de lui ôter, en proclamant la Ré-publique, toute raison et tant prélat.d'agitations nouvelles.

Cet acte accompli, le gouvernement etl'Assemblée salant infsoiment plusforts pour veiller à ce que la Républi.que oe lombe pas colle les mates despartis et qu'elle soit réellement la chosede tons. Dés que la perspective d'anareslauraoon monarchique sera évanouie,le pouvoir exécutif pourra réaliser biendes réformes, prendre bien des mesuresargentes et légitimes qui tuoj

rat tofailliblement considérées com.meuétant inspirées par uu intérêt mo-darchique. La Dépollua. devant êtreplus que tous les autres régimes le rè-gee,ie la loi, le pouvoir exécutif, ap-

ie droit et le devoirsdétes plus sévère,plus énergide désuedu

que contre tous les fauseun

C'est àc ee

point de vue, me dit on,que se placera le gouvelaemeet dansl'exposé des moll'i's des projets eusatilutionnela qui dais tenir tien de essage,

et c'est à ce point de vue qu'il sMe .raitdéjà placé dans l'élshueaàoo de ces pro-

jets. On espère former une majorité né-e en réunissant autour des deux

centres, tous les éléments nedérés dedroite et de gauche.A-.: A la droite, on demanderait de co.cé-der la proclamation de la république eto. orgauisafi.. légale; à le gauche, on

demanderait de consentir à linstitutiond'une seconde chambre qui serait éluepour dix ans, à la randition de deus osade domicile pune l'electorm, à la sup.pression du aomlin de liste, enfin àtoutes les mesures qui, tout en raout.ra t Ies conservateurs et en protégeantla République elle-méme contre Ies ...-Sentions et Ies excès de ses propres par.t ÿans, oe pourraient pas être suspec.tées de tendre à la destruction du prin-cipe républicain.

Je ne sois si M. Thiers réussira danacette u-none hérissée de ditliculiés, ..laou peut être cerf;. qri ul la tentera, etcomme, en définitive, les tractions m o.

archiques, divisées sur la dynastie àchoisir, sont impuis.ntes à trouver unou plusieurs hommes pour le remplacer,il est permis d'espérer qu'a prés des peri-péties plus ou moins émouvantes, c estencor lui qui se retrouvera dominer lasituation pa Icme.tsier et qui fera pré-valoir n solution, qui est aussi celle del'tnlérét général et du bue sens pu-blic.

Le Président de la République u reçu,hier, la visite de l'es.roi de Naples. I1 estensuite allé assister aux courses au boisde Bourogne.

Le choix de M. Doval pour lu préfeo-'a'. du Rhône, et son remplacement parM. de liératry, à Bordeaux, se confemeaRseulement tl est probable que es deus

ioations ne deviendront officielles

ua le 1 maiq .

Lebaprèsron 1de

Soubeyeaa a en, hier, uoejambe cassée à la autre d'un coup depied de cheval; os espère que cet acci-dent or meRra p., en danger la vie del'honorable député.

Le journal l'Araemblée nationale doitreparaître lr8 mai. Ce n'est pas à lasuite de la sévnce de samedi, à la coin.

ion de paraisneoce, comme il a étédits inexactemeou, mais dés vendredi der-

.le" 'a. Il

cancers as .

vol

éeeie au gouverneur de Paris pour le pr .rd'autoriser la réapparili.. de ce jounal,

voici la lettre écrite p.r M. C. PérierAu Directeur Gérant du Tunes.

Paris, 4 mai 1873.Monsieur,

Eloigué de Paris depuis plusieurs

jours, je n'osais jusqui ici connu qti in-esmplétement la polémique engagéedans quelques journaux et yui ee pour-suit encore sur les intentions et la cu..duite future de la fraction de fées era.blé. nationale qui m'a fait l'honneur dem'appeler à présider ses réunions. Les

sa m'attribuant des idées qui ne s.etps les miennes, des paroles que je n'aipoint prononcées, oet prêté à mes amiset à moi la résolution de changer d'atti-tudeet de nous écarter de la ligne pu.Inique que nous av invariablement

ive depuis deux ans; etpar i eux le Temps, ont emplis que,onséquents avec nous-mêmes, actes ne

trouvions dans l'état des choses et dpartis que des motifs de persévérancesh1,is j'aime trop les situations aetteepour se pas vouloir écarter, e¢ ce quime concerne, fouie possibilité de doute:Je le dois peutétre à des a a absents.

Nous ne fermons pas 1. yens sur lagravilé de, circonstances, et i nouaavons des idlnsiona, ce ne peut être que

r la probabilité de voir nos cmsatctionsdésormais partagées par uu plu. grandnombre de nos collègues.

L'impossibilité de rétablir ras monur.clsle, quelle quelle soit, est évidente,car ce ne sont pas des questions de per-sonnesqui divisent les paeliea.. de lamonarchie, assis de. principes incoe.ciliables. L'accord est, jusqu3 uu cer-tais peint possible dans l'opposttiou,dans la résista.ce à des périls communs;

de nos hommes d'Elal et dans le lac i il aa le serait pas dans l'action politi-

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que et dans le gru r eme, I.Mlgéde 1 tt t m

g lieté tes esp t 1 S i j it d

I Ys redoute 1 I. t1 I J l' I I

,cetIl

a plus 1 ne -

1 qu'elle nd.d d de ii

Lette rnraonté q n pliétienne feraient p t M inclirser, pins

la ommur erre que phl-vers

p b erra direIl

LUbl't

1If1I I d

t. r l q 1

n y a ni vainqueurs a t quipermet à mua de oec,rter huas effortspour préserver c., qui dru Plie préservé,

eo struiru ce qui est ébranlé, mies

g

terifice de conscaeuce de la part de qui

Le paysp rsoelraity donc la fin d'un ,è-ses rue. e préutios da..il appellefiliale

desiinstitutions

nsqui dou

au pays pur solo d'éleclinos générales, et la comme révolutiom,aires, que c'est làt . il brut q re en, ,Ig,agU. une que,.on à étudier. 11 feu i

t ' t t l o t ons pli. marquer qoe 1 professions de f ci -a et ers I av .,plie. cor aléa out lie ,ère thé nique que ce, e

seCela dama d, 4 d I r ,oindraient pas t.ta-

p d t l J 1 a Jtitre immédiatement en :p-

I L i p cee la s I I i n.i sJ niglt eu 1876, le mal u I s, , rf . e p ary e a P n 1

ire-J 1, I d u s bP , Plid lt 't

n

p I in,p

quel conseil les t

.1,

t

eaéont il hùl I, lige,, l lia eau gouverne t I 11 nl ils

il i eum tare aussi difficile . Le ma1 errait ncn de linger le g ont t leu, ils lemuent d'une ç tedesepro-

grast x smpoi tante

t l .t edé p d,a voix

s ; leteedanst les début on uonarcoete 1 puy", i,d'a zd réé titi s leurs bras, àe xq I .'t .`lis P I

l ..ap i alors let P t c t auto t d b' e l P

P'bliaI I' ;1 p P il t ,le je t se,

I,

PMais Il .

reisL , .o,...,.., e :..,,d a .,r,r,,, r Un . i, r des com ro de Lue n nue Pou ré- sac,,,, cOnc,n il- r pue attmGoo à sa blessure, Pou[ePos.

de préumlanee : arro d stem nt un cas effrayant d i ydro a i é bi itf fiuss pro uvera np enI ueeoe aDures la section de législation et le PL be F p os Chats dam l su s d d las n 1 7 ée t et dej 'li de , Jet P P e au nunc a v l ge de Pb G o lu }cet d, tt d a 1 6 d ls

I ne,

c D I s aub `Un

pJ dd7 d lé d LIl y el

tq. t

epu op r l . r", per

dea pe Ilr tl pl fit

Imrs rie, oaldroit & l des d l 1 s 8m J I Io' à la ,om e 1 pq p , y puise I ma in l1 ki toutil époux Le pris a ét d , 1f pr t u ,

n'Ide ss porte, 1 II l i

tPo a, 1 él Iin d' I 'humble desf t 7t.' .,o de g 3 1 f. I J .a une boucliéo de paie qu'elle,

P e dore,te du d, oie Je [ p aga ' o voir oing ;elle lui en p é e [

,nco

s I rmuhsmt a rapldurtersur la Riaier+r I d t edeuoière cà la maiule ch l . de voybe l'exposumn, sot srvse.Sans la s,otto iu morale, sujet re mordit le pouce. Elle .caillou' l propres enfants, soit à ceux de .. o- ps-

posé: De l'utilité do repos bebdoma. son domestique de chasser cet amoral, Lents ou de

'es

ami.datez pour les rnfauLS et les adnhes, au qu'elle avait trouvé cependant si gentil Cettraceli'e de l'expnsitim, comprendtriple point de, vol de la moral,', de la «i qu 'lie avait eu 1 introbm de recueil.

I tout objet qui se rappu,lc a àul tune i,tellertoello et

leIon tuslrie. Ils. "Interne., o l'édueaton de l'ms[u.t

s,,

àLepriz n été partagé mure M. Leloel, Le domestique lui donna, en ebfet, la on J ppemea physique et mlelIeo-chasse, et il disprut. Ce fi femme eu Cl ,asti dpn,e le preu,a^r fige ju,qu'a scu,rat à ta ro dir 'appel de l'arts et M

oh à "ai" vice cea travaux, ont ne noir pona . ae ter en eree .e ,.,a

L'a section nIns[015e evarl proposé au "vu ..,, e' titi , c aun pin, prétendre que l'Assemblée l'antre jonc n. de leurs organes. L'es en- bleues :. L'Hlsl et comparée de la bras et à t'épaule, die cnaeire a du doigt qui

puisse sec séparer 'ans les avoir mure. sentés, ils ne voient pas qû Ils ent n ,blesse en France et en Angleterre.. avait été mm'du, sciez vuul,er quimeut Indices et sérieusement accomplis. ta guerre civile. E, parmi

cprêeuxchqui

Malgré l'aurait du sujet, un seul mé- Persista, etquamulejours apteslamor-l' e d Pe II tr un r e our a ues'I d ed l

neuf au gouvernement la l'ortie dont il a - ord Macaulay écrivait, il y abesoinpour rassurer les fatiréte pur dense

Lans, à eu de ses amis d'Amérique

une politique claire et firme. L'avenir une lettre que le Tendus publiait àinspirera pluw de confiance quand d¢s cotte époque et qui ,lier lie d'être mé-pouvo rs publics m1euz organisés mer litée aujourd'hui peruous. Nousseront plus s àftre mis cirait eosise Lis la traduction au Constitujour eu question, , et qne tout ne parafera ri.unctpas reposer sur la tète d'en homme.

Ayons de.I la coucage de chercher . Votre destinée est écrite, quoi que

dans dies voiesnouvelles ce port de s

lut que la Fronce u vainement cru [rou-x dans des eévotolions ucceeuives,

tournant mujoues dame le mémo cercle.Si ce sont là des ilimarm s - car nous

ne prétendons pas à l'infaillibilité, -du .aime avons-roui le deuil de dire et

us prouvé par notre conduite,comme .ourle prouva,... encore, que

t pointé notre Plage amme quefont défaut la acheté et la franchise. Onpeut

le trouver chimérique ; il n eut paspesxible de lui reprocher l'équivoque etles

Agrées, nsieur, 1'..s...,. de m.considération

la plus distinguée.

mis rem e rsum.

0e lit dans le Bien public :Parmi les locations que .enlève I.

reprise prochaine des débats parlemen-

conjurée peu, le momenl par des e

aie, fortes matérielles. Tort que vues..- une immense étendue de terresfertiles et inoccupées, vos travailleurss root tir

tourneurplus à l'aise que

ceux de l'ancien mande; sous l'empilade enfle culminantes, la politique de fief.-feraoe ale. peu[ êtes sans désastre. mai.le temps viendra où la Nuuvelle-Angle-terre aura nue population ussi denseque la Vaeilie-Angleterre. Chez ,..a lesalaire baissera, soi- les mêmes

'lac-fusil- et Prendra le même caractèreprécaire que eh eu nous. vous oresinévitablement vos Manchester et nosBirmingham, où vos mivri' auront,par -aime, de mille, leurs

jeuours de

chômage. Alors se lèvera pour vos in .

timtiosp le grand jour de l'épreuve. Lad: tresse fond parmut le travailleur rué.-ont, mutin, la proie naturelle del'agitateur qui lui représente combaeuest'juste cette répartition où l'un poesèdedes millionsde dehors, tandis que l'a.-foires, an nombre die Plus discutées

ocret lu mal d léehéa d : t p px de I A.Lit lé a,.t telle. 11 -'s 1 et p f t a la ela

d 'le1 est

semble, au, ce peintu

, e r lait1 e ,n0 ami ,,t Pas le classe gon

e.

dautres, que l'opinion ,,,,,eslgal. - . e nte. ,ilaislorsque les l:taauGais aontmou[

étui,née do part, pies des radicaux b .tri or, ter de per railles épreuves doues le

et de l'exagération des membres de la curant die siècle prochain, peut-étredirtle ,edroite extcénie. SI1 est ez q, dans siérle noms v lett

la libération soit Lin nid laiüimp leile

pas n erreres.vous ?Ja,eu s ssoi

,,ajouterque, g pot unie derao

eumou cru rrnue

lo-

1

précisee

et odur ', à l'heure mémo flan mais ma raisonet mes

nr soont

roi

u il se repnsduira, interrompre , allie peine à s'accorder. Je aie pnnompédt'existence de I Assemblée, les travaux Cher de privoir ce qu'il y

ode

e pli'e. Ildi abll l us in spens es.es ptai plus urgents,

S'il eet sri que Ari"semblesactuelle se

dois.

iveà et elle-o?ma

et dois.vaam pays d'étudier gravement et de réindre l 'questione orgaulgae qui lui

aient p zée., il se l'e t pas sd'ajoute,u'aile se 'IL sa et g o'elle ferait u

intelligent gode aa souveraineté eusage nqmulupbant

inutilement ers Lissa.. et euse perpétuant au-delà des nécessités ne-

gles.el. noue Parait fiers la vérité, e[ qui-

conque s'oballait des préoccupations departis n'envisage pas les choses d'outrefaçon. Le gouvernement Iui.méme nei est jam.is Placé à un autre

Pointje vue,

et s'il presse In préparation des travauxà accomplir, ce n'est pas pour précipiter

n déminaient, mais pour, donner aupuys le plu. tôt possible la stabilité dentIL si besoin.

If vos pas Perdre de vue que les0110 uns générales qui us

sérieuses etetseront à la France, u xiste.Il

d'amant plus calme, qui, les malenten-du. et les hésitations auront été pluscomplètement effacés. Si l'on veut quobec electioirs ne soient pas livrées aas ha-biletés die e dicalisme u aux sugges-tion. de la réaelrar,, al faut au préala-ble avoir bien défini le terrain gouver-

enta, et réglé, avec au sincère libé-

ralisme et dans un sageesprit

de 'au-ovations, les ,tribale- et les candi-

tiers d'existence des pouvoirs.

Les

lois

indiy,tées par la commission

des 'virantene

sont pas de celles qu'unimprovise, et do leur confection

peutdépendre le salut du Pays. La let mea-

est clair comme le jour quo votre ,ou-zni u sera jamais capable de

conten r majorité uffrmte t il-fi ée ; car chez vous cette orrjté estle gouvernement, et les classes "usées,

qui saut en nunorité, lent absolnmantà sa merci.

, Ihl jour viendra dan. l'Elst de Nene.Vrrle où la multitude, entre nue moitiéde déjeuner et la perpective d'une moi.tié de dinar, nommera les législateurs.Esbal possible de concevoir un doute surle genre delégislal cars qui sera nomméeU'ua côté, ne homme d'Emt filé' haut lapatierce, le ,aspect des deuils acquis,l'rbseresncu de la foi publique fi'...airs côté, un démugogne, déeinmaaicontre I. tyrannie du capital et se de.mand.nt pourquoi les uns boivent devin de et se Promènent esoi tu," tandis que faut d'honnête. gensmanquent do né,'eesaire.

, Lequel de ces deux candidats, peu-Illa préférence de la foule t

Jee,ai biensapeur,

""ferez alors de

hoses .prés lesquelles 1. pros-

périté es peut plus reparaître, Alors,ou quelque César, quelque Napoléonprendra d'une main pnissanle les rince

du gouvernement, ou votre Républiqueaussi affreusement pillée et ravagée quel'a été l'empare romain par les barbaresdu cinquième siècle, avec cette différen-es tontefuas que les dévastateurs de l'em-pire romain venaient du dehors, taudisque s timbales seront les propres en-fante de votre pays e[ le détestable plu.doit de vas instieutaons, ,

J q ,e ue, s sconrs, com se '.uvaiuenn«n[ y o re a Pte présenté ; tout en rcu...Ui.-a-t-il qui resteraient à Paris s'il .cri- tant s.. mérite, l'Académie n'a pas cru à l'église de Craxan.es, lorsque les

sait quelque chose t

Nous pu du racle, assucer

qu'aucun représentant des puassau'es

étrangères à l'arts n. été, quoi qu'eudise Lin journal conservateur de Pans,

chargé par son gouvernement d'expri-r au président de la république, le.

aimes que l'élection do M. Barodel au-rait inspirées aux différents cabinets. s

Le Conseil d'Etat s'eut réuni le 2mai 1875, eu séance publique, pour sta-tuer sur diverses affaires contentieusesinscrites à sou ordre du jour. M. le vice-prisidenl Odalos Barrot et M. le conseil-ler d'Elatdu Marleny ont usenessivemeatoccupé le fauteuil de la présidence. M.Laferraére, maiter des requêtes, remplis-sait les fonctions du ministère public,

Après l'ouverture des portes, le secré-taire du Conseil a donné lecture del'arrêt intervenu daas l'affaire do sieurCurd.

Nos lecteurs se rappellent que cet off.'er s'était pouvu coutre une décision de

1. col

n de révision des grades,iuslituée par l'Assemblée Nationale, quil'avait fait descendre du rang de'chef debataillon à celui de capitaine, et cu otreplu sieurs uneltésque M. le ministre de 1.6 a t. u de ,,.i, P ".d" .

{ .I n d ld'so

bat

p e é de p t L ami Ciment. ,,a persistant dune la je i,prudenceFdont il avait préeédemmuot posé lia bu-

s, lors du pourvut formé par le géaé-cal Carrey de Bllemarre, a co,formé-ment aux conclusions de M. ferret, moi-tee des requPies, commisaire du gouven

ment, - e. I que nous a

e io de foi" c t , - déclaré docouvuau que I dé Lia de la com-

' ,a a de ris on jie gru des étaient,dyne ta as lia cas, s uvcrmn , et il a,pur suite, rejeté lu

Parmi les nombreusés alfaarea que leCuesail a eu entoile à -terme', non s

»rasbernerons à signaler la requête

présent6o par M. Pesty Réclamait contreun décision du ministre de la guerre,en date do 18 décembre 1871, qui a re-jeté sa demaodo d'indemnité polir te pré-indice qu'il aurait éprouvé par nuire del'uecppatim, par l'armée française, de supropriété de Purchefontaine, depuis le25 murs jusqu'au 15 mai 1871, au me-

ont de l'ineurreclion de la Commune.Ce race comme tous ceux de cette

"""ce'soulevait, au Point de vue do

droit, des questions parttenlièrementdélicates; nous publierons l'u'rl-t quidoit les tracebe, dés qu'il interviendra.

- Le conseil supérieur de l'instruc-tion publique doit se réunir, à Paris dansles premiers jours du mcis de juin.

Le ministre de l'iuslruclion publiquevient en conséquence d'imprimer, le Con-seil d'Etat, les consistoires de l'Egliseréfoesaée et ceux de la eunfrsaiond'Augsbourg, le consistoire centralisraé-lite, la -or Cassation, l'institut, leCollège de lrance, les Facultés de Droit,de Médecine, des Letn'rs et des Scirueeuet l'Académie de Médecine de celle con-vocation, xfn que ces différeus corpsPuissent

duCmseilla .suoeur don

des

me mbis péreur onlésiecllon leur est attribuée par la loi,conformément à leurs règlement ouusages lotérleura-

Une --mention analogue a étéégalem est adressée par le ministèe del'agriculture et du sommeras un conseilsupérieur des arts et manufactures, auimioleil supérieur duconseil supérieur del'agri ulture.

et au

Un leur côté, les arel,evignes et évé

ques ont été invités à adresser séparé-

ment dama la quinzaine au ministère descultes, cors e envelopp radinée etsans signe extérieur, le bulletin apra-mant leur vote. Ces diverses déplehesseront décachetées et déposées immé.diatement dans une urn ei présenced'une commission composée die m ovairede l'instruction publique et de deux ar-chevêques ou évéques désigné, par lus,

L chargée de procéder au dépoullteme etdu scrutas.

m tdmes de la ra e vieilVernir décerner tapota à son auteur. a7 p g e eslérent

La séance était terminée à quatre Irau- d'nno façon bleu caractérisée. On la -eine, it cher. elle avez tces. (Evénemenl.) ° P de

peine, e[ le docteur Bro,appeléppelé

immé-

ta final, reconnut que faut soM. l'amiral Rigault de Genouilly est

étaitit inutile. Elle expira au milieu.- ces

mort hier à Paris après une longue et souffrances les plus atroces, ,douloureuse aguets.

M. l'amiral Rigault de Genouilly est né - On lit dans le Journal de Genèraà liocbefaet (Charente Inférieure), le 12 du S :avril 1807. Sorti de Moelle polylechni- Une dépêche de la préfecture de paris,que, ü entra dans la marine comme as

, arrivée avanhhier au département depilant, fut nommé enseigne eu 4830, justice et police, signalait un sieur M.fiente oaut eu 1841, capitaine de vaisseau G..-, commis d'agent de change, commele 22 juillet 1858, contre amiral le 2 dé- prévenu d'avoir soustrait 1W,000 fr. àcambre 1854; ommanda les fusiliers son patron, ainsi que de faux ma icri-marinsdevant Sébastopol, fut nommé terre de commerce. L'inculpéavaitdispa-vice a miral es aoùt 1858, et cemmaeda eu de Paris depuis plusieurs jours sansl'e...des d'évolution de la Méditerranée, I qu'on ait pu suivre sa trace.et enfin arriva au grade d'amiral le 27 Il a été arrêté dans an des principauxjanvier 1881- hôtels d notre ville, où il étail desceu-

M. RII'gg.ait de Genouilly était grand du laveielle

seulement.fi

arrivait do. 710-croix data Légion d'honneur. Il avait été .ace après .vair perdu dans l'étasse-appelé au Sénat le 11 juillet 1860. ment de jeux de cette ville des sommes

considérables, qui, ajoutées à de nom.- Hier pralin, M. le général de mon- breuses pertes de Bourse, ont absorbé

'armé, commandant es chef du tir corps In grande partie la produit de .ce dé-dd'armée de Paris, a passé eu ,croc, au (teurnemenls.Champ de Mam , les 510, 58,, 72=,87s de I gue, 1.1 et 2 bataillons de chas. - M. Lanreer ne fait décidément pasaimes è pied. les affaires des ne x ù Marseille.

Voici un extraitd'u'une

co ieepoudance

- Un journal, re7rodnisnnt uns sta- da Jouteur de Geuire que Liane zi.ro-

tisli lie des 6et cents ttdolsorls.q e ces id a" -. q .

v L g iehdaeqp.

ue du à la Présidence,nue nsifflotait hier td duos ce total 1es me-noces de mort adret 6 ss e à M. Thiers fi-gurest poar 20 par jour.

Rien n'est pins Fantaisiste et plue ce-

Le

que cette. statistique, gai peuti sait, 400x 00 maliceqet

bottesde I qu'a niaient batées despe

en

q Litant pars pou ne pas as-s aler à la proclamation do scrutin du27 avnl-

Depuis deux ans il n a pmosan re euales de vingt lettres de enaces, -prés moufta faite, ou a toujours recon-

ci. que c'Efait le chantage un Lino ées-culalion éhontée qui les avait ru q, tête.

- Ni. Fouetter, payeur général de latrésorerie de l'armée, a été nommé calsaie,remplaeemenLPdeihl. Tl,smus

rldécédé

en

v- L'hôtel de Mme de Sévigné, de lavieillerue Sainte.Catherine,

.avertien

musée manici alp ,sera procbainemenCouvert au public.

Le musée Carnavalet aura trois gran-des divisions :

1. Musée lapidaire, comprenant lesfragments d'architecture et de sculptureprovenant des fouilles exédutées sur tousles points de Punis par les ingénieursmunrmpaux (autels et statues otiques,débris de temples, d'arcs de triompheet autres monuments de l'opoque gallo-romaine). Il y a, en outre, une très bellecollection de pièces de céromlque giet

romaines. La partie le plustéer0100te de cette division comprendrales Irente sarcophages renfermant touslia objets qu'on mettait dors la tombed'un mort, découverte dans les nécropo-les gallo.romaines et mérovingiennes duqas eaer Saint-Marcel.

Il. Musée de décoration et d'admirable.ment, composé cet majeure partie d'ob-jets provenant des démolitions d'anciensédifices parisiens, tels qun portes, fené-Ires, puuneana, vieille. enseignes de mé-tiers et corporations, marteaux de por-tes rames oue.ttes et autresp 9;ii dé.[alfa varenuemmre Nmyen-nge et Itenaia-sa[II

tlMusée technologique, rompre.

Lian'outillage et I'aeleaeIlage des di-s classes de la ooeiélé parisienne

pendant le aloyen-Ago et la Remis.sa

Cette collection, ...arc incomplète,cible eepeudant de Icmarquables spé.e e, âurtout du semez de lable, deehaulfsge, de l'éclairage, des jeux, dostravaux de femme, de la joaillerie et dela marqueterie.

nac'pale a uae importance très grande ; Nous lis..a dans la Gazette de Silésieai, par exemple, l'on doit un jour rave. du 3 mai :nie, en ce qui touche la n minalion des

. La France est do tous les PYe s,

essl oes à la légai der 1877 n'estcil

pas indab lia munaci. de,a lui où on est le plus à exagérer

soienttoetut

,,abord'ééréélues en vertu de la tou'le

bienn coma

ale

le..Imal, les brumes

uvelle loi muuacipale que l'Assemblée oi e a com mme les an,ses, les vic-osait appelée à voter t Cette loi est

foires comes droIea oe litdonc n seulement importante, mars lia Jquene

ute,

sn croit pri,

urgente,que que

1.0u d

dm fin

ddroidu Ms .de est proche,

Il o est par besoin de démontrer la Parce que Paris a élu M. Barodel et que

grava vince .litté de la lot de réergunitai ,o° mi-

les élections parslles de la pro

trop d' républicain. 'estlataare ;les débats .ou rofoudis qu'elle ment oler(rop d'honneur à lC'est

ne manquera pas des lever ne serrait matirad'écMe.

pas du temps perdu. hxamiunes un peu les choses : QueNous rappelons pour mémoire la loi demandent, en somme, NI. Barodel etJ.l'iustrucho pelmanea, les budgets,

u qui es cachent derrière son o m PvIe,, etc.U

lis demandent l'amnislir, l'anlfgrité ab.n le vont l'échéance de la di asolu ,taon que les u.s eapproebe.t au gré de tolu. duédisuffrage 'Assemblée

nln dionae.

leurs passions, que les ultras éloigne., 1(fis Immate de l'Assemblationale.

au gré de leurs désirs, est indiquée l'a, Queon enlève les adjectifs que l'on adeux conditions préalables : L'évacuation mie là pour dire quelque chose de plusil,et la sahnôon des questions organtgdes. il In profession de fer de M. de lJému-

sot et l'on verra si les manifnues ne ré-"e eF I t mdtqliée n fixée e..ci t ,d t é it é I

caonen a r a ese peut l'être, et ilserait fâcheux P

P s, lit t , a deux,qu'elle le fût ; c'est en quelque sorti ux désira v eux dut demandent leun grand ordre die jour d'en osescléredemai

l'étatntien aecttue

l des chosel'ordre, desla fil restte ll llié'amet

. Il res-ruerptteuecl que l'Assemblée a 1. cibla matie.suie d'é u rune de v séperrer.p is . En effet, l'amnistie est une belleOn objecte que cela a pour effet delia fit ochose, 9

- lierem minez sprolonger la `Législature, de la m

firs électorale', lors l'ouiajusqu'auz perm,era mous de 1874. Nousbvire-ce Uesoin

ndesdes voix de tous ceux qui la de-n't' contredirons pas ;nous ne discutons mandent, surmnt lorsque lu majorité,ièmc pas ; l'uvmtage ou le déessuetagn yui seulele droit de l'accorder, n'estde celle prolongation; mua conalalons. as du (nul disposée à la voter. En au-PN ' .o.s n votons ,Il passion o m laip .P D tire-IL e er,et le à l'aras I murmurentde uris-ne question IZnfi n M. Paul mont aj an.unré les

- Dosee Javan neP le débat nous commes en prudence es :divalset les cote n ac,'im uelle et me t Tes vontde boule li'9Pu u lie ,uJ'els de concours Pr

bt les six.Posésrprésence d'en a aamenta ris sir l'As- Pg g pris que de savoir ail'a.latin

emourage ! décernés. Ces prix outété obtenus; four train.mblfe, par le gauvern nmeu, ,ace.. liamauvaisespassionsmou

les désarme. I .,ans la section d'économie I tn e bons parle pays; présence de Pu ig e,dnécessité

ne prendrons pas sur nous de M ur cal Maille, dea - On lit dans l'Indépendant, de Sain-huré d h é

reu oserlére,xgsu re ce p'e l mais nous recan iét pl Eal L les :dp rmposent etoivent précéder un apelo'- ottes ouurreal e pu,.mean-aaiesous, axas

noasus

considérer pour ce- vent, pour son livre sur les Asa.ciairons r 11 vient de se produire dans fie ris

- Samedi à deux brutes a e lieu .u,'Institut la séanceà I publique etirceu

es

mo'rales

tde udérnie des tepolitiqitiques,

sous la peésidcuce de M.Paul Joeet

Le président a commencé la séancepar un discours très courl,dans lequel ila dit combien l'Académie était filer, de

mptee dmnsson scie quelques-nns desillnslras membres qui ceapenf a,eegloura les première, l' n tu c lors dclasociété, jusqu'à la i lé les csou

; puis sit pexpcprim

les eetetsque dé

;

e ryouvait de la mort deM.

AmédéedEe

Th Thierrry.

Nl. secrétaire perpétuel, a en-suite lu uae .,île, bus cri,lue s nva Hteet tee r ' de Nf. Charles Dunoyer,

'ti

me,nLed e

dell Académie

- Il y e encore un homme, dit NI.Laurier, qui inspira la plus sainte tor-

or, cést M. de Galiffet. Celui-là ne segéae pas pour dito leurs quatre vérités

a démocrates ; ils le tiennent enhaute estime parce qu'ils savent _qoe cebrave officier ne l q à l p- 1

cas échéant. Il déjà p uvé ce quilsavait r ire.

M. Laurier a passé aussi en relie leshommes de n e démocratie .

laine. Il a comparé M. Labadoéauau

m maiai.

tes de cérémonie que I ce voit dans lesmmreements de premiére classe, poli,

froid, fo l ar glacial. - s Je comeprends, a bit

didit, que le préfet benne

quand il a un tel pes...age'ses

trous-ans. . e portrait, il faut l'avouer, estassez

ressembmut,et tous ceux qui con-

n item le président de notre conseilgénéral, avec sa lace glabre, son attituderigide , ses gestes compassés , ne sau-ro ieetcunLeedire M. Laurier.

fonde de vous rappeler que les frèreset amis u ont eu veut des méchantetéa

fer e cri du Var à leur ul ite j sontleursa.

contre lui. S'ilsolli

cite irmunleurs snffroges, il est sùr de sub!r céchec monumental. Mais il eut twp avivépour cela.

- Ces gros-là sont étonnants, disait ilencert en

parla

lant nss radicaux, ils vousjettent n chat dans les aras e[ ils varsdisent de jouer de la guitare !

ailes, des dossiers, des photographies etdes descripeions de bâtiments, ameuble-ment: et dispositions d'établissementspour les enl'aals sans parents et pourceux qui sent élavés temporairemut ou

tl ru t dehors d l m on pa-t ,' Il C c e Linpoud P maison dee f te tr vs la mà son des

orplie.

1 e , les crèahos, le bains co,nmuas, levjeedics et salles d'asile des enfants, ainsique toutes les places de jeux et jeuxd'enfants communs.

Établissements les plus utiles aux en.farts duos les premières années :

Caisse d'épaeg des eufants, sites etfondations pour élever les enfants pau-vres.

Le Principe admis d'après lequel el -

que Etat reste libre d'arra,ger à songré son exposition, conserve égalementtoute sa valeur touchant cette section

de l'exposition.Mais à elfe de celle liberté accordée à

chaque exposant, et afin de rendre pos-amble le coup'd'ecil général et censorverau tableau une disposition d'ensemble,ln pavillon spécial sera réparti en manombre de vastes alcôves d'un espacesuffisant pour figurer des chambres d'en-fance particulières, syaat chacune dan.l'ameublomenl et l'arrangement sou pro-pre caractère d'unité.

En conséquence de ces dispositions,les xpositievu spéciales pour le pnvil-leu des jeunes enfants, comprénant les

- Pour fini,, un mot du Paris Jour- I objets dont il s été fait mention plusnul: haut, pourront aire anponcées, et l'ex-

lin membre de le droite disait deeniè-ermeol, en parlant de le gauche radi-cale, où l'on parle sans cesse et liberté.

- Il faut que la liberté soit une bienbelle chose peur que ces messieurs veuil.lent avoir la leur et ... la nôtre.

xx eAVILL.nv n.e esesvso A L'axeoe,enns Du

0e lit dans I'Eciio do Porleroe'1l :L'exposition de Vienne ne remplirait

qti imparfmtement sa lâche deexpositle.iverselle, si elic .a comprenait pas

dans son ensemble la plus belle partie dunoode, uu reste du paradis perdu ; etpourrait elle ec nommer universelle , in-ternationale, si elle ezcliait de se. seauinplus aimable des peuples, le mode desanl'ants t Aussi le directeur général del'exposi llou universelle, sur la propoei-lite de l'honorable membre de la com-mission, Nl. .lotes Rlmech, a détaché dit

Le musée Carnavalet, comme le mnsie seaguemeut et à l'instruction, une bru,-de Cluny, sera d'urne grande etilttb pour chi spéciale, où sera eaposé et réuni taitI'étude de l'archéologie parisienne. Son ce gai conc tee l'enfant jusquà so....ci tues aura lieu probablement au entrée à l'école.moaa de juallet prochain. En cela, l'exposition de 1875 à Vienne

lie rétend rien introduire d'absolup meut- Nrne n'avons point cru devoir en-

. remise car les précédentes expositions

graieat I ¢ eg nec; marshalante nos le.cten usDotes choses de c

s d bruits m sté-rarauux que certaaua

rjournauxlas 1il fait rp pool le écrit ddiransusous

n, tasebleaao

udd

or-ruché

et,

réuni ' n-cou N,ul la maison portant te Lin 74 deeD blo parfait, tient ce qui conceroe leta teelad cil quelque facétieux loc.-

utoide des enfants, udraut a si à l'ocilentre s'étude à faire croire doàl PPariti ginétal et facile sur la branche la lu sl'es ri s l'ri

a Ppeur Pl s. Un laino

ombre dep p.rfmfe de l'osaigLiement celles ducurieux uasu

sente suriet

visiter l cepiePo,vu iu h au jeune tige et de lao. éle

é c pointe dans l

n m defeit a .e de son éducatam,

fortce çaptt'-ier a5 .lie sas n

- e Férialdessi

néà

empôchrr les ras. vain[ le regard du vssitour de 'ettn expe-semblemeuls. sillon par l'attrait Leut partmasuer uelle' Ou a beau persuader sen curioux aile emprmte'à la chambre et au

théâtqre

desx de l'eufot.la fable. édns.n Jeudans le au d uu vieil f il, r, ,ara construit pourlard malade a blé grossiepsr la presse : Li celteü C h'C 'ce e ex o , on lie m ét

entrée à I écale.En premiére lige', l'omeublemceb et

l'arrangement de la chambre des eut. retsdama la maison paternelle.

Le dessi n et l'arrangement de la clmm-bce des entants, berceau et bois de lit,linge, vêtements, vaisseaux à boire, pré-caulmns contre lev dangers, surtout peurles cas oh l'absence momentanée des pu-ants laisse l'enfant sans eurve.illance

immédiate; jouets et jeux, considéréssurtout comme moyens de développe-ment des cinq sens, du sens des com-leurs, au sens musical, comme premiéreimpulsion pour l'éveil de l'intelligence;premiers moyens d'instruction, alpha-bets, tableaux à calculer, sentences écrFtes aux parais de la chambre des enfants,chansonnettes, tableaux et modèles ser-esul àla premiére inslruntion ' tnitive,livres de bous genres pour les corsais.

Préservatifs contre le strabisme, lamaoesise tenue du corps, le bégaiementet toute prooonciatinsdéfectueuse ; ap.pareils en dèles et figures, en photo-graphies et dessins peur laver et bai-gner les petits enfmts ; représenta-tions des diverses manières de por-ter les enfants et de les préserver mi eu-yage.

Nourriture perlienliére, aliments etboissons pomr les enfants dans l'âge le

plus tendre et dan. leurs premières an-nées; substances mène ml

etpour

emplacer le laitde

elala mère de la

ur

rite, premiers remèdes domestiqueset drng,ms pharmaceutiques néces-saires rendus gréabl,a au puises del'enfant pur tel uu tel genre de prép.-rotor..

Eu seconde ligne, cette «Purifie.. 1 comprend des représentations, des mu-

groupe 26, destaué à l'édncalion, à l'en-

p s I e. sp cèle , unpavillon die petit enfant, Il offrira sur-font aux persanes du sexe qui visiterontl'exposition, mamotes données iosiesetl-

par la comparaison des modes d'é-ducation rivas de leur développementheu les différents peuples et dans Ire

diverses classes de la société. L'homme

pédeon pourra e ir lieu dé, queles places mrrord étévétablies, à l'effetde veiller à ce que l'ordonnance généraleconserve un caractère d'ensemble à l'ex-position de ce pavillon.

BIBLIOGRAPHIELa Société des gens de lettres a donné

dimanche dernier, au théâtre de la Re-naissance, sa quatrième matinée de Leeetures et Conférences. Le Publ' él'm art

ace car chacun savait yue celleei, devait consacrée à la lectureet à l'i

desnterpeétalaon,

par des artistes dedivers theâlres de Paris , de quelquespilees d'un li ire cuveau Pnffrand,,édité et publié par la Société, a profitdes Alsaciens et des Lorettes restés fran-çais.

La matinée a commmmé par une pra,-face dite pur M: pierre Zaccoaq priaa-dent du Comité, qua a raconté avec ton.sou esprit et son talent ordinaire la for-mati.. de ce livre, auquel tant de maidedévonien, tant de cours généreux ontapporté leur ecv000ra. '

M. Pierre Z: couse a été chaudementlarda et c'était justice cor il sesoit

de plaider merveilleusement, sous uneforme ueigninale, la cause de nos mal-heureux com alriotes.p

Unc niaitù Seirvt Avuld ana é 1m PI -ume M. rb n.,Aubard,de h été lue en-suite

e parM.

. Gerba' du théâtre laRenaissance, quia parfaitement

com

compriset fait comprendre à ses audaleurs ce ré-cit vif et amagé des impeessaous pro-duites au début ae Ix ciaoPagne die1870 sa, s revers.

uniDehay

bayes, die Cbômlet, a ré-cité ensuite avec nu ton couleur,, toutà fait en rapport avec le aujel, les beauxvers de litme Assis Ségalas ayant pour ti-are : L'a, ffamille terrain. Cherque sien'phi était écoutée avec recueillement sitvivement applaudie; mais les applaudis.semants ont surtout éclaté, lorsque l'an.Leur fait parler aauti la pauvrefemmeraim, au moment cil elle va quitter lemaison où elle est née :

Adieu maison chérie;Viens, monfils' puisqu'ils ont déplacer la

patneJ

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1873/B315556101...ABONNEMENTS: TOULOUSE Uu en, 40 f. 6 mois, 21 f. 3 mois, 11 L DEPARTE)1ENTS 50 - 26 - f4 aTRANGER

1

Il faut fuir ce pays natalVoh m, neuve nou9gau

qnti uo

l,.nouavola,

uniantre sait,

Nous pouvons bien marc].,, quand lo fe -tiaro marche.

Faisons elle, et suivons-la.Le Retour; de M. Alfred Assolant, a

été In aussitôt après par M. MauriceSimon, de la Renaissance, et il n'est per-s n , qnl n ait été profondément é:nv àce simple récit, dans lequel on lrcovetontes ici qualités br]]]antes qui dard..puent tes écrits de l'autan, de diurne-mer et des Impeeeeinus de Cadet Rsemi-

,race de .PArd.

C'est Mme Jnlietle Cir Fr

pbi u. u, a côché le Canon l l'C pée. L'artiste, inspirée parte prisse,

a des accents véritablement dramati-ques, IL elle a enlevé les applaudisse.mente unanimes de lu salle quand elle.,est écriée

Oo es'or deahOms la Ip tarsesI . 1 l e s apte soldat qui dmt enr u enlasso

lier pont-étre Tur,nna entantIl état[ difficile do se faire écuelle

après tant de belles choses, et pourtant

M. Paul Clives, de IaRin üsaance a sur se et de irae, taise traités de mainI tl

nu,dt, és eériensement P puappelé,

de maure et ai nés des noms méspublia 11 est vrai qui l a i a t t gde verve que d'mtrar 31 d J dLr'lunann Chaman, L.

Gagneur,ar

Hec-col histoire étrange, ( l p r AI Pa I t Mulot, Elle Berthe[, Aug. Barbier,Féval, o sympathique écr vain dont l ut Edm. About et de bout d'autres que nousle monde convaîé l'inéuisable latent. ublimrs. Tout le mcode sera heureux

I,nfin 1a matine s'espt terminée par une de lire'ce

eue cage qui retrace les dus-poésie Je Victor lingo, dite par M", Cor- leurs de nos malheureux frères arrachésmètre, l'artiste distinguée que nous avons du sol natal, eu forcés de subir le jougentendue jadis à l'Odéon o[ qui n'a rien du vainqueur. Enfin deus toutes les bi-pmdu de sa vigueur et dl. sa orle die bliathèques, en verra bientôt l'Offrandenon Il fallait de reste qu'il en fdt ainsi (I), parle que ce beau livre joint à nupour rendre ces admirables ver dsIet si ssisissaul que entre grand poète (1) L ap'rande forme un b 1 n 8

intitulés Alsace et Lorraine. M ux faites. P , fr.Corné] e les a dits avec foui sou ema E,"" platées d'amateur la, papi . ergs deet elle a été véritablement 1 interprUe ti I1 de. 1

.

r s0 fi.de t'écrivam, q rand Bile a prédit à s

1 t., tes demondea do' t t a casées à-cm.

po qti Is ne' 'sot btenl0[ et a a1 c nue PONT Agent manlalai,e de la Lt

Ida des vlnc,I qu'ils v,amiral d'arra- brame de lu Sociém des (;Cas de Lettres, 5,Pro rue Gcod'roy-liane.

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gon,.a l ocrai embrassera l'ALsx l' embrasserae l.oaeine, ô triomphe ! Il t lie ru rIoe =.era .

LL'n,Etlca ege¢rsaa des chante et du

boées

&IPlus qaUondanis uec ul'om r a ails n r sb e Vt

Vt vAes,

Plus pétries que l'averse en un ni'I oieos,

Viendront, et je verrai ela, moiqCi socs

us 1

l:n résumé, la quatrième matinée deslectures et conférences de la Société des

gens da lettres I,,Ida un véritable succès.

l.es diverses piétas du l'Offrande, quenous venons de citer, ont olé accueillies

senlemeut aven plaira,, mois encoreavec transport, et le publie d'élite quile écoutait na nullement ménagé des

at plaudiasements et les rappels sua sefief a.

Glie journée nous rédt d nt o r outPle livre uu succés d

rontont s'

les Lorrainseféhcues

AI,r,ovsp et

pour a r. Cha-cun voudra eonnaltre ces mmceauz de

folle-enchère après licitation,le jeudi 29 mai 1873, à midiprécis, à l'audience des criéesdu Trïbuual civil de Toulouse,

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387 5013817888 50

271 2g -- otimmaty 1563.

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248 75 - [roman 1869.t ts,600rau .

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18761876

616 Bld5 IJ

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c ,.d` V t d P t 465 15P g I 0'jIi"I d + Gaz, oct 460 il.G gdn de Pu' tout pays

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