POLITIQUE ET -...

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69' Année. No 292 POLITIQUE ET LITTORAIRE A>lajEasrsRrs TOULOUSE Un au, 40 f. 6 mate, 2f 1. a mole, 1141, L DEPARTKNIM - 60 - 26 - 14 {TRANOEE Leu frais eoppl6ment.ir55 de posta en ace. o. repu Is ASONNEYENTE e TOULOUSE : Aux Bureaux do Journal, rue Saint.Rome, CItea N. novae, nousawa, nia é e. f i n i s : .boa MM. Havas, lafste et place de 1. Matt., (d e t), f ld (Bourse, 8, coule Con spondanb+ Matie, a `Toulouse, 22 Octobre- 'OURSE DE PARIS de 21 Octobre. A. Ceee'euee. soir. du leu 57 70 82 25 !5 35 92 75 A Tantes. 3 010 1" coure 57 00 3 dμ) d.' coin 57 90 5 0/0 95 32 01O d- cour, 93 77 i 0p ital. 6o . Eerque 4520 Poucier 802 50 Molulier 350 '. Mots. P.p 355 75 Matin, Wtiu;((Gro)S. Ils Soir Pr., Matin Eop 10. l0 Sob Bout, ef d'utilité publique, et fixe ea rentes les ami maillons .ommes correspo.dastee aux biens ex- PROCES DU MARÉCHAL BAZAINE. propriéa. Trimoa, 21 octobre, 4 h. 5 soir. l3 octobre. M. Scheeidar, (émois. à déoborge.dé La banque de l'empire élève, à partir pose que M. le maréchal Baaaioe nesol de lundi, son escompte à 7 112 010 et cita auconemeat le commadement en chef 91I2 00. s § a. , d'se I march é sur le Pr t M. Rocher fait use dépo¢itian soute- c..ars oa57 40 Vieaoq 17 octobre, noir. M. le maréchal Canrobert eela[e la 82 95 ereu r d'Allemagne est arrivé à part q il prit aux opérations militaires, L'emp 8.5 20 5 t à Sam411ippoly te principalement le f5 coût. Il fait remar ou es m h t eure 2 illerie dont il i 1)2 -en où il était attendu par l'empereur d'AU- quel sait s seulement de l'art f triche. disposait : seulement 54 canope. Il Io.- 5805 Les deux monarques se sont ambras. serve le champ de bataille. - Le récit ses cordialement ; l'empereur d'Autrt du maréchal Canrobert est très-émou 57 65 clne a tendu la mais à M. de Bismarck ; vent. 95 79 tIn salué la suite de l'empereur Guil- 83 47 60 20 4320 e, 8(0 , .565 , 375 .. camions me legs. OrlMar 810 ue $IS 50 Nord llquid. 40 2 fin 4802 5l. oa 302 L))di 50 Yi 72, 2 e e . 725 25 Autrichiens a jamabscrilà, is COURSE DF. TOULOUSE Du 21 Octobre. ho. ConFesse. tl2 40 50 3 0/0 libéré a 0)0 Morgea Initier coupure 507 10 Onnaev;oap Diraa55. Midi 271 50 Ottemapee (1069) 293 75 Tille de Toulouse 4 112 el0 1007 3011 25 Rouerie, 6 .1. Li00manon ao 31 oirrm;nn. 57 65 5 0/0 b 010 libéré 93 DEPRCHF3 TCLEGRAPRIQUES Genève, i s octobre, 6 h. 40 soir. Le Courrier de Ge.èoe publie le Juste da la amateurs d'interdit lancée par Mgr M.rmitled cendre les trois ... cu- ,es (rien, catholiques) de lapneoiuee de Geova. I: is etallali du nouveau culte dans g l e Saint octobre a été renvoyée b didi,ttmeachu 26 octobre, à cause des lor- moisids à remplir. Les catholiques ru- au ont acheté l'ancien temple des 'teaor maçon., et ils p out transporté le culte qui m ndlébrait auparavmt à l'é- elj>e Suint-Germais. Rome, 18 octobre. T'oeteo le. pMla.dues irfarmations de. journaux sur les projets énaeia'a de M. Miuglietli 5051 au moins préma- 4nrées. La I:exette o/Fmeile publie des dicre[s ordarinant l'expropriation de quelgaes couvealu de Rome pour cause FEUILLE'fONdu JOURNAL da TOULOUSE De 22 octobre 1873. -sa 52 LE CHASSEUR DE RATS xxv aougSlT eeeatsTTS os LA TR000LALe sx Insola a 4 iernovtal. DANS cas ettuOoiOn ...supaeasmunra. IL eu impossible de i imaginer 1,émo- lieu et la joie causées à la par l'arrivée imprévue et si :rite. ment désiree de Mite Ileariette dla Trem- blaye. A le awvette de ce retour qui se r6- pandil des. toute la vile avec la rapidité d'uw te Tuée de poudre, t'enthousiasme de h papuladon (ut si vit qu'il atteignit presgae in . au délire. Pies un axait craint puer la jeune fille, plus vil fut heureux de la revoir. Les planteurs chez lesquels, à cause des terrible/ représailles dont ils aveieet été les victimes au commencement de l'insur- rection, la haine instinctive qu ils por- teieet à te une noire étouffait tout. Lu- psgygltj,)S.e} louafentimeet. généreux, nie comprosanat rien sl la conduite alibi. et sléamtéroade du commandant Dalgréu+ PELEGRAPRIE PEIVEE Paris, 21 'etobre, 10 h. matin. Le Munitear oeiuvaol résume ainsi les dispositions principales du la éaolution préparée parla commission des Neuf, devaotaervir de base au rétablissement de la monarchie Egalité absolue do tous citoyens devant la loi Admisaibüilé à toua les emplois civils et militaires Liberté religieuse,sans distinction entre 1 tulles existant. 1de la presse, sous les seules g.raties ricessairesh l'ordre public; Vote annuel de l'impôt par les repeé' eeutauls du pays; . Maintien et orgauisalfe. du sucrage universel. Toutefois, le texte définitif sera arrêté seulement à la dernière houle. agectaienl, dans leur colère insensée, de confondre avec les monstres, et auquel ils refusaient presque l'apparence humaine pour, en farce tsar bête fauve, ne po vaut nier nn fait dont l'évidence lia aurmtécra- aés, ils lot cherchaient des motifs iutéres- aés; sils l'avaienlosé. ils auraient été jus qu'à attribuer cette clémence, ieeam- oréfrenaible peur eux, à uue faiblesse de n.lle de la Tramblaye. Ifaurnneement pour celle-ci, sa répu- tatien oie pureté était ai bien établie, que le serÇ'lat qui aurail essayé d'y mor. dre iy serait brisé les dents; les en- vieux et tee calo?tufateura y aurait per- du leur renia; les eunamts de Delgrés furent contraints, bleu 3 cendre-auur, d'avouer leur impuissance et de recon- nultre tacitement sa généro. Entre tontes les perso..es .charmées du retour de Mil, de la Tremblaye's nous 'terouy en première ligue, le général Ri tf,se. En t depuis le jour oh le corps ex- En effe débarqué h p6dttfonoaire tr avait la peinte à poree, , te le général en chef de- vait eu qu'une seule fois l'occasion de voir et d'entretenir la jeune fille, et et u- core o pu en prdfrter que par ba- sard, devin[ cinq ceuta pe.... s, au milieu d'un basques' nous le feu des regards curieux de la foule incessamment dxés sur toi; il brûlait du désir de cau- ser uns témoins incommodes avec la jeune fille, de lui dire combien il l'aimait et nie o.certer avec; elle sur la marche qu'il devait suivre pour demander sa MEURES DES DÉPARTS ET DES ARRIVEES DES TRAINS DES CHEMINS DE PER DU MIDI ET D'ORLÉANS octobre 1875). si Buissons r Amvée. Lias, sa ...a... Reparla Arrivés. main ',L da .. Soir, (B,Pi), 3 Matin, (direct), -,.a-- M tin direct 3 3i sous. à fe MaDn, 30 Matin (Agen) 8 k8 soit) connu. 6 sa Il Sou lBxprl 4 4a Matin (Eæpr) , . Soir, 1 35 soir, 3 3a tua lus ureglu Les autorités et t'évéque de Saint- I Le maréchal Canrobert déposa avec tlippnlpte étaieol venus a la gare. ors beaucoup d'aisance, de verve et une em e d l Soir, Agm, 4 eu son, lo in ia eux p Après dejeilver, t ar cenaine éloquence militaire mêlée d na. V il s ' uaa n nier,. Malin, . V,. mpeeesion. anr, qui fait ..eh ... m Il dit qu'à Saint-Privas l'infériorité de son artillerie mi valut le mètre dé. oin sont partis pour ires à trois heures 45 mutes. Ils étaient attendra à la gare de Puuzing parle prince impérfsl, lia erahidues et autres pee5000agee princiers. L'empe- reur allemand a salué lordialemant le prince impérial en loi serrant 1. main. Après la présentation des archiducs et de leurs suites, Leurs Majestés sc aut ; reodues au château de sont elles ont été ivement acclamées par nue foule nombreuse. Madrid, 18 octobre. U. aviso anglais arrivé à Alicante an- a coulé 6 ale vapetuet neuegé Fernando Cnmlico. On ignore In cause de cet PsI' ont quelqques jourazuz l'attribuent àI'inhabileté de l'équipage et des offi- ciera; d'autres prétendent qua le Fer- sonda se serait éloigné de:la Numonroe et n'auraitpas obéi aux signaux qui Mai ordoesslent de au rapprocher. 11 aurait été alors coulé à coupa de 'annu. agréaient qu'à Rezouville. Il perdit 5,000 hommes dans la soirée; la gar- de plu.. eue nie jeta sur le 6 corps. On l'arrêts assez bien : 7 à 8000 hom- mes restèrent là ; la garde prussienne y trouva son tombeau. Le maréchal Canrobert mentionne gu'd fui prévenu à midi que la garda impériale allait venir A son aecoura, main ni conforta ai muaitiona ne vinrent. Il prévint M. Bazaine deux fois que des mu. rotions étaient nécessaires. il ajoute qu'il tint jmgüd sept heur les; mois écrasé par les masses de l'or lancées pr.' l'artillerie ennemie, il e retira, mats gains au pas ordinaire la position en arrière. Il ajoute que les aol- date se battirent toute la journée, ti e yant ni manger ni boire. Il dit encore que M. azaiae oe crût jamais que ce fût lA une bataille, il l'ap- pelait toujours; la défense des lignes d'Armanvfilers; il ne se retldsil pas compte des position. Répondant à u. juge, M. Canrobert dit qu'il aurait pu tenir, le 16 Lundi, les pusitionni du Maeu.la-Tour ; il les cela, saur l'ordre exprès de M. Dagaine. M. .obpyuf, L-111.1 pelé pour dépgaer é on m ue oitr a érations mili{airea, raconte la part de and corps à la ba- taille du 15 and[, dada Taque )7 Il revu' Parts unavenmge décisif, mais M. Da- zainelni ordonna de se replier de crainte ons. de manquer dit vivres et de -outil Le général de Ladmtrault dépose qu'il erçut,aeulement le 13 août l'ordre de puiser la Moselle le lendemain Il rend compte de la bataille de Borny et la marche aubséquenle, insistant sur l'on- combrement des routes qui retarda la marche de sou corps. IL rapporte ses opérations heureuses du 16 août et les combat. qui auivierot, Le général affirme la possibilité de pxs- ser le 17, par un effort énergique. I, .e général Bourbaki dépose sur. le même sujet ; il relate ses opérations du 18 août; il dit qu'il .e reçut aucun oe dre de raseciter au aecoura du maréchal main à sou père et prendre hautement devant taus, le titre de son fiancé. Eu la voyant revenir, après avoir si aculeuscment échappé aux aerr s de Delgrès, un rayon dit bonheur inonda le axur do général: il espéra que, n vont sous le même toit, presqueélogecèle hcôte avec la jeuve f Ils, dont un smul le égarerait celle eecaeion que depuis si longtemps il attardait se présenterait eo- h.Gra.de fut La désillusion, profonde sa douleur lorsque ,prés lia premiers épan- chements et les premiers moments don. nés tout au bonheur d'être enfin réunie à so. père, il eute.dil Me- de la Trem- blayr, après av ir rapporté dans les pins miuulieux détaila et avec nue ion. partialité complète tout co qui loi était arrivé depuis son erlévament, témoigner le désir de retourner le plus prompte- ment possible à la Tremblayr, et comme son père lui objectait doucement les I dangers qui la menaceraient encore dans tette hubuatfou qui, un fais déjà, l'a- rail si mal protégée, il la vil retirer de sa cou-les le sauf-conduit que le chef 5 Il 9 4o 9 f0 S 45 Nnt.YOn0. s 3a &ir, Peu, 4 96 6oir,0ayoesa 28 Cule, 9 19 lien, e, vous. DépuLLI ArriNU t Matin, 9 90 Matin, 9 40 finir, 2 50 Soir, a ao Soir, a 20 soir, /40 sang, ioaüa55 .axas-u,n Y.efe, 6 le Matis, 9 sa 7 Matin, 10 e0 Soir, 3$ 4f4 Soir, t a6 Suie, loir, a 10 soir, Pf 2a Canrobert, ajoutant qu'il ne prit pas à la lettre la parole de M. Bsaline de dis. pmee de la garde à nia guise ; il ae pou. pas le Paire n Malt. pas eractemest voit ion rcasai v8 sur la situa g t Le général ommette regrette que Coueil nie lui permette pas de se justifier er des reproches mentionnés duos le pape port relativement à Forbach. Il dépose ensuite sur ses opérations jmqu'au 19 lit su t. Le général Jarres dépose sur le même sujet. La séance est levée. AUTaa usstrnx ' Paris, 21 robes, 6 h. 25, soir. La gauche républicaine s'est réunie aujouN'hui sou. la présidence de M. Ju- les Sim.u; uue cuamiae de membres étaient présenta. Le procès.verbal dit que tons lesmem- bre. rapportons des départements l'im- pression que les tentatives de restaura- tion monarchique soulèvent dans le pays une profonde cos. tsdignalfLes proposf- lieus étudiées depuis une quinzaine de jours parle bureau ri le comité de die ont été examinées e[ approuvées le'.... per la réunion, laquelle a c fié A des commiuions spéciales le les résolutions qui oai été prises. La héunien a entendu ensuite avec satisfaction des leuseignements résumant un travail minutieux de son bureau, doit il résulte güune majorité certaine .est acquise contre la monarchie. Cette majorité ne pourrait être déplacée qu'à la double condition, évidemment irréa. lisible, que tous lsa déplltôs actuelle- ment Indécis passeraient dans le camp de la fusion et qu'un certain nombre de ceux qui ont prisdes evgagemente for. mels masqueraient de parole. 11 importe que la majorité acquise augmente encore. devoir du parti républicain est doncLe , devant les pro- cédés de tout ordre employés par les meneur de la fusion , de persévérer dans son attitdde ferme et énergique. faut que l'opinion publique f.s,e clairement entendre sa volontés aux dé pistés qui hésitent encore. La réunion a décidé qu'elle tiendrait tons les joua de. séances pour entendre ençofe les rommissiuna nommées et tee renseignements des bureaux. Aines, oiràcns paria, Si secouru, 7 h. 35, soir. Quelques députés iétonl r ados au- jourd'hui chez le président de Ils Ripu- bliquepourluidemander si les bruits répandus le coocemant étaient exacts, le président s répondu a J'ai déjà eu l'occasion de (ale: ceo- naltre me. mtoaltons à plusieurs de vos 'i colléguee. Si, comme soldat, ja mis tou- jours au service de mes page, comme homme :politique je repousse absolu- ment l'idée que je doive garder le pou- soir quand même, do.. quelque condition qii il me soit oli'ert. J'ai été nommé par le majorité des conaervaleursdoet je as me séparerai pas.. Mercredi, 22 Octobre 1873. sas £10108055 Loa Sapait: l'OULODIR : A L. aoC1hflE d1MYAEALE ds AYNOYds A0, m ds Sul.naea . PARIS: Cbea anse mAMAn. AAPPeT nia a a. somme de 1. TARIF DES ANNONCÉS : Annonces, la ligne, 0 fr. 30 e. Réclames, la ligne, 0 60 Faits divers, la ligne, 1 00 Tnntneus - T5pogesphh Raulubla. Le Journal officiel publier. demain un décret convoquant pour le 16 novembre In collégea électoraux de l'Aube et de la Rome, 21 octobre. Le père Bech, général des Jésuites, décline l'ogre d'habiter le Vatican. Le père Secchi continuera à diriger l'observatoire de home. Les archives des maisons généralisses ont été transportées au Vatican. Les différends entre quelques couvents et la junte liquidatrice concerne seule- mentla propriété de 1. bibliothèque, Aura néeucna. Paris, 22 oetebre, 7 h. 20, malle. Dans le enrnn1 de, Débats, M. Jolis il.. de ne expose que dej,uis1p laerdsépaaitdra. lion de , il 505es ortie la situer faits irés-graves doué est, lion r voluti...aile. Conséquemment, les opinions de beaucoup de députés se sont euclidiens en faveur de la Monarchie, malgré leur. déclarations antérieures en faveur de la République. Marché de Paris du 21 octobre spiritueux 73 ., à Marseille, 21 octobre. Marché sans chargement. Arrivages 51,262 hectolitres. Ventes 20,320 hectolitres. lnke d'Odessa 1281124 à fr. 45. Trèbizoode blanc 1201121 à %5 , leks d'Azoff 1301126 à Pr. 46 . Burgas 128/123 à fr. 40. CHRONIOOB LOCALE A l'occasion de la prise de possession de ion commandement et en raison des ordres du ministre de I. guerre qui loi psecrivent d'entrer immédisleeveet ont fonctions, Si. de Raliguac - Fénelon, commandent le 17. corp. d'armée et la 12' division militaire, recevra le 22 oc. tobre,' parue d'ove heure de l'après. midi, les Visites des fonctionnaires des dieera'services et de¢,çorps de la g.rni.nn. Un détachement composé de deux of- ciers et de f 24 hommes du 80 de ligne et arrivé lundi à Toulouse et est reparti hier matin pour Tulle. Un autre détachement, composé de 3 officiers et de 76 hommes du 126 do ligue, est arrivé lundi nouant de Lyoa et est reparti hier, pour ae rendre à P Un cas de fécondité remarquable vielu de se produire à Toulouse. éladxme. B..., femme d'un employé do la mairie, de, mourant rue Saint.Antoine-du-T, a mie ao monde, ces jours passés, trois en- Punis, dont deux us saxo masculin et un autre du sexe féminin. La mère et ses trois enfants se portent à ravir. Diverses arrestations est eu lieu pour vagabondage, ivrognerie, mendicité et injures envers les sergents de ville. Lundi, à 3 heures et demie du soir, en grave accident est arrivé à la côte de Lar- dense. Le sommé Labatut conduisait un cheval attelé à une charrette chargée de meubles et sur laquelle il était ontf,. Arrivée près de la côte de laCépiére, sa charrette fut accrochée par un autre véhicule venant en sens inverse. Le sier Labatut est tombé si malheurensemoni que peu d'iustmts après il avait cessé de vivre . Sue la demande de la famille, le corps a été transporté à son domi- cile! Celles. . Une eaquéte est ouverie sur les cou. ses de cet cecsdenl.. Lundi, à 4 heures -douais' la femme Alby, 5gde 54 ans, a été renversée dans la rue .1u1. mps pur une jardiniérc. Cc.lln femme étant sourde ot pr seq., vougle, n'a pu entendre les crin du cuvdm:[enr et est allée se jeter dans Ira jambua dit cheval. Par bonheur elle n'a reçu cure- ne blessure grave. Marseille, 20 octobre. Le général Espivent de la VJlebois- net, commandant l'état de siège à Mar- seille, a pris l'arrêté suivant Vu l'article publié d>nis le Folie Pro-do 19 octobre, conte nant Oct tn- jurés grossi,' ... coutre M. [e eomle de Chambord, considérant que la suppros- eion d'au journal, se pereietlm,t do pu- reille. grossièretés, est une nlesulo de décence publique : Arreso : Lejournal le Petit provenpul est supprimé. VERSAI LLES PARIS (Coreeepondaace particulière). Vermille,, 20 octuble 1873. I.e maréchal do Mac-éfahen est paw aujourd'hui pour t'sris où il recevra à 3 heures, à FElysée, le roi et la reine des liclges reven:mt le liiarri lx. A 4 lierres , le ma,énhal reverra lu .ardisa1 de llo.... hose , -ruant air ]tome. 'Cules le. fractions de la majorité (réunion Pead du Réservoirs ,centre droit et groupe ier), sont convoquées à Ver. ailles pour mercredi à 1 heure. C'em seulement à la suite de ce, réunions qu une décision prise au sujet de, 1a oseocatioa de 1'A..dce. Bien Eue le duc d:Andiffre!-Pasquie, et bon nombre de ses collèCdeo croient qu'il est inutile de se presser et censefl lent de maintenir la date tisée pour la reprise de, travaux paelementeioo'le", a tort lien de croire quo pour aber oe Put-co que d'une semaine, les fdaheu. ses iecer4ludea du pays, lu majorité se peynoncera pour une convorasion anti- cipée qui serait prapnsée le Imrdemain, jeudi, à la commission le permanence. Dans ce cas, l'Assemblée me réunieait lundi prochain 27 octobre. blaye monta à l'appnelemest du planteur, dit-il n ladres nt à ln jeune fille avec offert. le valet, accoutumé à voir à toutes les embarras, de me présenter ainsi à I im J vous obéi pli sud heures le général et profeoseut pour lui provtste devant voua, sans avoir été an- , moiselle, répondit. il se e as<.y, t; maya uo profond respect , l'introduisit cens noucé pur le domestique placé duos l'a.- { je 'sortes désespéré te vus t oubler ; . l'annoncer dosa le salon. (ichambre. soyez donc aise, bonnepour repra,.- Ileurletie de la '(remblaye , à demi étendu sur un fauteuil à disque, un livre savart à la ma lisait ou pour me dire, se Iaissaitldoucement bercer parsus rêves, car le livre était tombé ses genoux et elle ne smigeait pas h le re- lever. Clairon., assise pré a de la jeune fille sur un coussi , était occupée à bercer le plus jeune de les enfants, en lui chan- tant d'ut, timbre à la fois doux, harmo- nieux et mélancolique, une de ces chan, sons trente% que les nourries improvi- sent presque toujours en les chammt. Elenrielte de fa Tremblaye écerttail, 1 - Oui, mademoiselle ; quelques on- rêveuse, ces paroles mélodieuses qu'elle ! seiguements seulement à lui demander, semblait elle-même répéter u lev et à mesure que la jeune créole les pronon- ça Souveuir d'enfance à peine effacé e tore, car c'était avec cette chanson que bien souvent no nourrice l'avait bercée des révoltés lui avait do.né, on ajoutant et endormie. noie pas trop de nous tenir compagnie, d'une vois ferme que ce papier suf En apercevant le général, la jeune à madmne et à moi, veuillez, je vous lisait pour lui assurer une sécurité eu. mulâtresse se tut subitement et se leva, prie, vous asseoir sur ce fais leuit qui est tôle que nul an s'aviserait de %,.a hootense et r agi nt, en regardant la là près devons ; je vous le répète, votre hier. jeune fille à la dérobée. supplice ne sera pas de longue durée, Cependant le hasard ménagea au gé- Mais celle-ci, d'un geste impe.rceplible, i car mon père ne tardera pus ea e doute oéral plus qu'il ..,ait espérer. l'engager, h reprends sa place, et elle se à rentrer ; je anis môme surprise qu'il Deux heures plu. tard, Richepame, rassit ter le coussin. ue a.il pas encore ici. $ -Puisque vous m'y mtlorisea. d'uriz ayant quelques renseigsemenm peu im- Riebep..se salon les deux dames. Le général s'empresse de prendre let façon ai charmante , mademoiselle , ja portants à demander à M. de la Trem. - Je sucs aux regrets, mademotsalte, siège qui lui était ai grerimssemeot sas avec, empressement celle bine, hart 5 h. 25 du soir. - Pourquoi donc vous feriez vous a.- dre votre lecture , et ne pas plus vous ooncer, général ? répondit ilenriette avec occuper de moi que si je n'étais pis somlre. N'ides.vous pas notre hôte, là. celui de mou père surtout, et e celle -01L I son, général 1 la punition se- alilé, libre de vous présenter lorsque rait trop forte et pour sous t pmur cela vous plaît dans notre appartemem 7 moi ; je préfère forrncr man livre ei Je sots heureuse, croyez-le bien, de vous causer -'ce vous, répondit.elle en recevoir. mont. - Je ne sais c Ie.nt vous remer - Vous comblez, mademoiselle; s jamais osé, . ciel de cette faveurm' mademoiselle. De je nuurai soyeoeu e vta- us se, parltre ainsi douant voua sons us votre puis mon arrivée à la Guadeloupe , Ix formelle autorisotiou. { hsaurd semble a'obstiaer à noua séparer, - C'est ssns dont. à mon père que quoi que je tasse pour me rapprocher de vous désirez parler, général l f vous. pas autre chose. - Mon père est sorti depuis une heu- général ; j'espère quo ans ! absence ne se prolongera plus long' rampa à présent ; ai rien ne vous presse en ce momentet que cela oe voua en- - Cest vrai murmura-l.elle d'Ion air PDepuis si longtemps je désire trou- er l'occasion d'avuir avec eu, tua. demoiselle, en an ieliëhqui décidera dit bonheur de a m vie entière. -Eh hier, mon général, reprit lierl- riette, evenna sobitemmt séhuant 1 noua voici ici colin en présence; le huma. qui, ai longtemps, .s'est plu à une, velre rte, celle lois sons réunit. l'allez, parlez sans crainte, cette jeune femme. st mou amie dévouée, elle m'aime et je l'aime quo sa présence nr v.as empéchr. pas da veux expliquer. 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69' Année. No 292

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TOULOUSE Un au, 40 f. 6 mate, 2f 1. a mole, 1141, L

DEPARTKNIM - 60 - 26 - 14{TRANOEE Leu frais eoppl6ment.ir55 de posta en ace.

o. repu Is ASONNEYENTE eTOULOUSE : Aux Bureaux do Journal, rue Saint.Rome,

CItea N. novae, nousawa, nia é e.f i n i s : .boa MM. Havas, lafste et place de 1. Matt., (d e t), f ld

(Bourse, 8, coule Con spondanb+ Matie, a

`Toulouse, 22 Octobre-

'OURSE DE PARISde 21 Octobre.

A. Ceee'euee.

soir. du leu

57 7082 25!5 3592 75

A Tantes.

3 010 1" coure 57 003 dµ) d.' coin 57 905 0/0 95 32

01O d- cour, 93 77i 0p ital. 6o .Eerque 4520Poucier 802 50Molulier 350 '.Mots. P.p 355 75

Matin,Wtiu;((Gro)S.

IlsSoir Pr.,

Matin Eop 10. l0 Sob Bout,ef

d'utilité publique, et fixe ea rentes les ami maillons.ommes correspo.dastee aux biens ex- PROCES DU MARÉCHAL BAZAINE.propriéa.

Trimoa, 21 octobre, 4 h. 5 soir.l3 octobre. M. Scheeidar, (émois. à déoborge.dé

La banque de l'empire élève, à partirpose que M. le maréchal Baaaioe nesol

de lundi, son escompte à 7 112 010 et cita auconemeat le commadement enchef91I2 00.s §a. ,d'se Imarché surle Pr

t M. Rocher fait use dépo¢itian soute-c..ars oa57

40 Vieaoq 17 octobre, noir. M. le maréchal Canrobert eela[e la82 95 ereu r d'Allemagne est arrivé à part q il prit aux opérations militaires,L'emp8.5 20 5 t à Sam411ippoly te principalement le f5 coût. Il fait remarou esmh teure

2 illerie dont ili 1)2 -enoù il était attendu par l'empereur d'AU- quel sait s seulementde l'artf triche. disposait : seulement 54 canope.

IlIo.-

5805Les deux monarques se sont ambras. serve le champ de bataille. - Le récit

ses cordialement ; l'empereur d'Autrt du maréchal Canrobert est très-émou57 65 clne a tendu la mais à M. de Bismarck ; vent.95 79 tIn salué la suite de l'empereur Guil-83 4760 20

4320 e,8(0 ,.565 ,

375 ..

camions me legs.

OrlMar 810 ue $IS 50Nord llquid. 40

2 fin 4802 5l.oa302

L))di50Yi

72, 2e e . 725 25Autrichiens a

jamabscrilà,

is

COURSE DF. TOULOUSEDu 21 Octobre.

ho. ConFesse.tl2 40 503 0/0 libéré

a 0)0 Morgea Initier coupure 507 10

Onnaev;oap Diraa55.Midi 271 50

Ottemapee (1069) 293 75Tille de Toulouse 4 112 el0 1007 3011

25Rouerie, 6 .1.Li00manon ao 31 oirrm;nn.

57 655 0/0b 010 libéré 93

DEPRCHF3 TCLEGRAPRIQUES

Genève, i s octobre, 6 h. 40 soir.Le Courrier de Ge.èoe publie le Juste

da la amateurs d'interdit lancée par MgrM.rmitled cendre les trois ... cu-,es (rien, catholiques) de lapneoiuee deGeova.

I: is etallali du nouveau culte dansgl e Saint octobre a été renvoyée

bdidi,ttmeachu

26 octobre, à cause des lor-moisids à remplir. Les catholiques ru-au ont acheté l'ancien temple des'teaor maçon., et ils p out transporté leculte qui m ndlébrait auparavmt à l'é-elj>e Suint-Germais.

Rome, 18 octobre.

T'oeteo le. pMla.dues irfarmationsde. journaux sur les projets énaeia'ade M. Miuglietli 5051 au moins préma-4nrées. La I:exette o/Fmeile publie des

dicre[s ordarinant l'expropriation dequelgaes couvealu de Rome pour cause

FEUILLE'fONdu JOURNAL da TOULOUSE

De 22 octobre 1873.-sa

52

LE

CHASSEUR DE RATS

xxvaougSlT eeeatsTTS os LA TR000LALe sx

Insola a 4 iernovtal. DANS cas ettuOoiOn...supaeasmunra.IL

eu impossible de i imaginer 1,émo-lieu et la joie causées à lapar l'arrivée imprévue et si :rite. mentdésiree de Mite Ileariette dla Trem-blaye.

A le awvette de ce retour qui se r6-pandil des. toute la vile avec la rapiditéd'uw te Tuée de poudre, t'enthousiasmede h papuladon (ut si vit qu'il atteignitpresgae in . au délire.

Pies un axaitcraint

puer la jeune fille,plus vil

fut heureux de la revoir.Les planteurs chez lesquels, à cause des

terrible/ représailles dont ils aveieet étéles victimes au commencement de l'insur-rection, la haine instinctive qu ils por-teieet à te une noire étouffait tout. Lu-psgygltj,)S.e} louafentimeet. généreux, niecomprosanat rien sl la conduite alibi. etsléamtéroade du commandant Dalgréu+

PELEGRAPRIE PEIVEE

Paris, 21 'etobre, 10 h. matin.Le Munitear oeiuvaol résume ainsi les

dispositions principales du la éaolutionpréparée parla commission des Neuf,devaotaervir de base au rétablissementde la monarchie

Egalité absolue do tous citoyens devantla loi

Admisaibüilé à toua les emplois civils

et militairesLiberté religieuse,sans distinction entre

1 tulles existant.1de la presse, sous les seules

g.raties ricessairesh l'ordre public;Vote annuel de l'impôt par les repeé'

eeutauls du pays; .

Maintien et orgauisalfe. du sucrageuniversel.

Toutefois, le texte définitif sera arrêtéseulement à la dernière houle.

agectaienl, dans leur colère insensée, deconfondre avec les monstres, et auquel ilsrefusaient presque l'apparence humainepour, en farce tsar bête fauve, ne po vautnier nn fait dont l'évidence lia aurmtécra-aés, ils lot cherchaient des motifs iutéres-aés; sils l'avaienlosé. ils auraient été jusqu'à attribuer cette clémence, ieeam-oréfrenaible peur eux, à uue faiblesse den.lle de la Tramblaye.

Ifaurnneement pour celle-ci, sa répu-tatien oie pureté était ai bien établie,que le serÇ'lat qui aurail essayé d'y mor.dre iy serait brisé les dents; les en-vieux et tee calo?tufateura y aurait per-du leur renia; les eunamts de Delgrésfurent contraints, bleu 3 cendre-auur,d'avouer leur impuissance et de recon-nultre tacitement sa généro.

Entre tontes les perso..es .charméesdu retour de Mil, de la Tremblaye's nous'terouy en première ligue, le général

Ri tf,se.En t depuis le jour oh le corps ex-En

effedébarqué hp6dttfonoaire tr avait

la peinte àporee,

,tele général en chef de-

vait eu qu'une seule fois l'occasion devoir et d'entretenir la jeune fille,

etet u-

core o pu en prdfrter que parba-

sard, devin[ cinq ceuta pe.... s, aumilieu d'un basques' nous le feu desregards curieux de la foule incessammentdxés sur toi; il brûlait du désir de cau-ser uns témoins incommodes avec lajeune fille, de lui dire combien il l'aimait

et nie o.certer avec; elle sur la marchequ'il devait suivre pour demander sa

MEURES DES DÉPARTS ET DES ARRIVEES DES TRAINS DES CHEMINS DE PER DU MIDI ET D'ORLÉANS octobre 1875). si

Buissons r Amvée.Lias, sa ...a...

Reparla Arrivés. main',L

da ..

Soir, (B,Pi), 3

Matin, (direct),-,.a--

M tin direct 3 3i sous. à feMaDn, 30 Matin (Agen) 8 k8 soit) connu. 6 sa

Il Sou lBxprl 4 4aMatin (Eæpr), .Soir, 1 35 soir, 3 3a tua lus ureglu

Les autorités et t'évéque de Saint- ILe maréchal Canrobert déposa avec

tlippnlpte étaieol venus a la gare.ors

beaucoup d'aisance, de verve et uneem edl

Soir, Agm, 4 eu son, lo in

ia eux pAprès dejeilver,t ar cenaine éloquence militaire mêlée d na.

V il s '

uaa n nier,.Malin,

. V,.

mpeeesion.anr, qui fait ..eh ... mIl dit qu'à Saint-Privas l'infériorité deson artillerie mi valut le mètre dé.

oinsont partis pourires à trois heures 45 mutes. Ils

étaient attendra à la gare de Puuzingparle prince impérfsl, lia erahidues etautres pee5000agee princiers. L'empe-reur allemand a salué lordialemant leprince impérial en loi serrant 1.

main.Après la présentation des archiducs et

de leurs suites, Leurs Majestés sc aut;reodues au château de

sont

elles ont été ivement acclamées parnue foule nombreuse.

Madrid, 18 octobre.U. aviso anglais arrivé à Alicante an-

a coulé 6 ale vapetuet neuegé FernandoCnmlico. On ignore In cause de cet PsI'

ont quelqques jourazuz l'attribuentàI'inhabileté de l'équipage et des offi-ciera; d'autres prétendent qua le Fer-sonda se serait éloigné de:la Numonroeet n'auraitpas obéi aux signaux qui Maiordoesslent de au rapprocher. 11 auraitété alors coulé à coupa de 'annu.

agréaient qu'à Rezouville. Il perdit5,000 hommes dans la soirée; la gar-de

plu.. euenie jeta sur le 6 corps.

On l'arrêts assez bien : 7 à 8000 hom-mes restèrent là ; la garde prussienney trouva son tombeau.

Le maréchal Canrobert mentionnegu'd fui prévenu à midi que la gardaimpériale allait venir A son aecoura, mainni conforta ai muaitiona ne vinrent. Ilprévint M. Bazaine deux fois que des mu.rotions étaient nécessaires.

il ajoute qu'il tint jmgüd sept heurles; mois écrasé par les masses de l'orlancées pr.' l'artillerie ennemie, il eretira, mats gains au pas ordinaire laposition en arrière. Il ajoute que les aol-date se battirent toute la journée,ti e yant ni manger ni boire.

Il dit encore que M. azaiae oe crûtjamais que ce fût lA une bataille, il l'ap-pelait toujours; la défense des lignesd'Armanvfilers; il ne se retldsil pascompte des position.

Répondant à u. juge, M. Canrobertdit qu'il aurait pu tenir, le 16

Lundi,les

pusitionni du Maeu.la-Tour ; il les

cela,

saur l'ordre exprès de M. Dagaine.M. .obpyuf,

L-111.1

pelé pour dépgaer éon m ue oitr a érations mili{airea,

raconte la part de and corps à la ba-taille du 15 and[, dada Taque )7 Il revu'Parts unavenmge décisif, mais M. Da-zainelni ordonna de se replier de crainte

ons.de manquer dit vivres et de-outilLe général de Ladmtrault dépose qu'il

erçut,aeulement le 13 août l'ordre depuiser la Moselle le lendemain Il rendcompte de la bataille de Borny et lamarche aubséquenle, insistant sur l'on-combrement des routes qui retarda lamarche de sou corps.

IL rapporte ses opérations heureusesdu 16 août et les combat. qui auivierot,Le général affirme la possibilité de pxs-ser le 17, par un effort énergique.I,

.e général Bourbaki dépose sur. lemême sujet ; il relate ses opérations du18 août; il dit qu'il .e reçut aucun oedre de raseciter au aecoura du maréchal

main à sou père et prendre hautementdevant taus, le titre de son fiancé.

Eu la voyant revenir, après avoir siaculeuscment échappé aux aerr s de

Delgrès, un rayon dit bonheur inonda leaxur do général: il espéra que,

n

vontsous le même toit, presqueélogecèle hcôteavec la jeuve f Ils, dont un smul leégarerait celle eecaeion que depuis si

longtemps il attardait se présenterait eo-h.Gra.de

fut La désillusion, profonde sadouleur lorsque ,prés lia premiers épan-chements et les premiers moments don.nés tout au bonheur d'être enfin réunieà so. père, il eute.dil Me- de la Trem-blayr, après av ir rapporté dans lespins miuulieux détaila et avec nue ion.partialité complète tout co qui loi étaitarrivé depuis son erlévament, témoignerle désir de retourner le plus prompte-ment possible à la Tremblayr, et commeson père lui objectait doucement les

I dangers qui la menaceraient encore danstette hubuatfou qui, un fais déjà, l'a-rail si mal protégée, il la vil retirer desa cou-les le sauf-conduit que le chef

5 Il9 4o9 f0S 45

Nnt.YOn0. s 3a&ir, Peu, 4 966oir,0ayoesa 28Cule, 9 19

lien, e, vous.

DépuLLI ArriNU t

Matin, 9 90 Matin, 9 40finir, 2 50 Soir, a aoSoir, a 20 soir, /40

sang, ioaüa55 .axas-u,n

Y.efe, 6 le Matis, 9 sa7Matin, 10 e0 Soir, 3$ 4f4

Soir, t a6 Suie,loir, a 10 soir, Pf 2a

Canrobert, ajoutant qu'il ne prit pas àla lettre la parole de M. Bsaline de dis.pmee de la garde à nia guise ; il ae pou.

pas le Paire n Malt. pas eractemestvoitionrcasai v8 sur la situag t

Le général ommette regrette queCoueil nie lui permette pas de se

justifier

erdes reproches mentionnés duos le papeport relativement à Forbach. Il déposeensuite sur ses opérations jmqu'au 19

litsu t.Le général Jarres dépose sur le même

sujet.La séance est levée.

AUTaa usstrnx

' Paris, 21 robes, 6 h. 25, soir.La gauche républicaine s'est réunie

aujouN'hui sou. la présidence de M. Ju-les Sim.u; uue cuamiae de membresétaient présenta.

Le procès.verbal dit que tons lesmem-bre. rapportons des départements l'im-pression que les tentatives de restaura-tion monarchique soulèvent dans le paysune profonde

cos.tsdignalfLes proposf-

lieus étudiées depuis une quinzaine dejours parle bureau ri le comité de die

ont été examinées e[ approuvéesle'....per la réunion, laquelle a c fié A descommiuions spéciales leles résolutions qui oai été prises.

La héunien a entendu ensuite avecsatisfaction des leuseignements résumantun travail minutieux de son bureau,doit il résulte güune majorité certaine.est acquise contre la monarchie. Cettemajorité ne pourrait être déplacée qu'àla double condition, évidemment irréa.lisible, que tous

lsa

déplltôs actuelle-ment Indécis passeraient dans le campde la fusion et qu'un certain nombre deceux qui ont prisdes evgagemente for.mels masqueraient de parole.

11 importe que la majorité acquiseaugmente encore. devoir du partirépublicain est

doncLe

, devant les pro-cédés de tout ordre employés par lesmeneur de la fusion , de persévérerdans son attitdde ferme et énergique.

faut que l'opinion publique f.s,eclairement entendre sa volontés aux dépistés qui hésitent encore.

La réunion a décidé qu'elle tiendraittons les joua de. séances pour entendreençofe les rommissiuna nommées et teerenseignements des bureaux.

Aines, oiràcns

paria, Si secouru, 7 h. 35, soir.Quelques députés iétonl r ados au-

jourd'hui chez le président de Ils Ripu-bliquepourluidemander si les bruitsrépandus le coocemant étaient exacts, leprésident s répondu

a J'ai déjà eu l'occasion de (ale: ceo-naltre me. mtoaltons à plusieurs de vos

'icolléguee. Si, comme soldat, ja mis tou-jours au service de mes page, commehomme :politique je repousse absolu-ment l'idée que je doive garder le pou-

soirquand même, do.. quelque condition

qii il me soit oli'ert.J'ai été nommé par le majorité des

conaervaleursdoet je as me sépareraipas..

Mercredi, 22 Octobre 1873.

sas £10108055 Loa Sapait:l'OULODIR : A L. aoC1hflE d1MYAEALE ds AYNOYdsA0, m ds Sul.naea .

PARIS: Cbea anse mAMAn. AAPPeT nia aa. somme de 1.

TARIF DES ANNONCÉS :Annonces, la ligne, 0 fr. 30 e.Réclames, la ligne, 0 60Faits divers, la ligne, 1 00

Tnntneus - T5pogesphh Raulubla.

Le Journal officiel publier. demain undécret convoquant pour le 16 novembreIn collégea électoraux de l'Aube et dela

Rome, 21 octobre.Le père Bech, général des Jésuites,

décline l'ogre d'habiter le Vatican.Le père Secchi continuera à diriger

l'observatoire de home.Les archives des maisons généralisses

ont été transportées au Vatican.Les différends entre quelques couvents

et la junte liquidatrice concerne seule-

mentla propriété de 1. bibliothèque,

Aura néeucna.

Paris, 22 oetebre, 7 h. 20, malle.

Dans le enrnn1 de, Débats, M. Jolisil.. de ne expose que dej,uis1plaerdsépaaitdra.lion de , il 505es

ortie la situerfaits irés-graves doué est,lion r voluti...aile. Conséquemment,les opinions de beaucoup de députés sesont euclidiens en faveur de la Monarchie,malgré leur. déclarations antérieures enfaveur de la République.

Marché de Paris du 21 octobre

spiritueux 73 ., à

Marseille, 21 octobre.Marché sans chargement.Arrivages 51,262 hectolitres.

Ventes 20,320 hectolitres.

lnke d'Odessa 1281124 à fr. 45.Trèbizoode blanc 1201121 à %5 ,leks d'Azoff 1301126 à Pr. 46 .

Burgas 128/123 à fr. 40.

CHRONIOOB LOCALE

A l'occasion de la prise de possessionde ion commandement et en raison desordres du ministre de I. guerre qui loipsecrivent d'entrer immédisleeveet ontfonctions, Si. de Raliguac - Fénelon,commandent le 17. corp. d'armée et la12' division militaire, recevra le 22 oc.tobre,' parue d'ove heure de l'après.midi, les Visites des fonctionnaires desdieera'services et de¢,çorps de la g.rni.nn.

Un détachement composé de deux of-ciers et de f 24 hommes du 80 de ligneet arrivé lundi à Toulouse et est reparti

hier matin pour Tulle.Un autre détachement, composé de 3

officiers et de 76 hommes du 126 doligue, est arrivé lundi nouant de Lyoa etest reparti hier, pour ae rendre à P

Un cas de fécondité remarquable vielude se produire à Toulouse. éladxme. B...,femme d'un employé do la mairie, de,mourant rue Saint.Antoine-du-T, a mieao monde, ces jours passés, trois en-Punis, dont deux

us

saxo masculin etun autre du sexe féminin. La mère etses trois enfants se portent à ravir.

Diverses arrestations est eu lieu pourvagabondage, ivrognerie, mendicité etinjures envers les sergents de ville.

Lundi, à 3 heures et demie du soir, engrave accident est arrivé à la côte de Lar-dense. Le sommé Labatut conduisait uncheval attelé à une charrette chargée demeubles et sur laquelle il était ontf,.Arrivée près de la côte de laCépiére, sacharrette fut accrochée par un autrevéhicule venant en sens inverse. Le sierLabatut est tombé si malheurensemonique peu d'iustmts après il avait cesséde vivre . Sue la demande de la famille,le corps a été transporté à son domi-cile! Celles. .

Une eaquéte est ouverie sur les cou.

ses de cet cecsdenl..

Lundi, à 4 heures -douais' la femmeAlby, 5gde 54 ans, a été renversée dansla rue .1u1.mps pur une jardiniérc. Cc.llnfemme étant sourde ot pr seq., vougle,n'a pu entendre les crin du cuvdm:[enret est allée se jeter dans Ira jambua ditcheval. Par bonheur elle n'a reçu cure-ne blessure grave.

Marseille, 20 octobre.

Le général Espivent de la VJlebois-

net, commandant l'état de siège à Mar-seille, a pris l'arrêté suivant

Vu l'article publié d>nis le FoliePro-do19 octobre, conte nant Oct tn-

jurés grossi,' ... coutre M. [e eomle deChambord, considérant que la suppros-eion d'au journal, se pereietlm,t do pu-reille. grossièretés, est une nlesulo dedécence publique :

Arreso : Lejournal le Petit provenpulest supprimé.

VERSAI LLES PARIS(Coreeepondaace particulière).

Vermille,, 20 octuble 1873.I.e maréchal do Mac-éfahen est paw

aujourd'hui pour t'sris où il recevra à3 heures, à FElysée, le roi et la reinedes liclges reven:mt le liiarri lx.

A 4 lierres , le ma,énhal reverra lu.ardisa1 de llo.... hose , -ruant air]tome.'Cules le. fractions de la majorité

(réunionPead

du Réservoirs ,centre droit etgroupe ier), sont convoquées à Ver.

ailles pour mercredi à 1 heure. C'emseulement à la suite de ce, réunionsqu une décision prise au sujet de,

1a oseocatioa de 1'A..dce.Bien Eue le duc d:Andiffre!-Pasquie,

et bon nombre de ses collèCdeo croientqu'il est inutile de se presser et censefllent de maintenir la date tisée pour lareprise de, travaux paelementeioo'le",a tort lien de croire quo pour aberoe Put-co que d'une semaine, les fdaheu.ses iecer4ludea du pays, lu majorité sepeynoncera pour une convorasion anti-cipée qui serait prapnsée le Imrdemain,jeudi, à la commission le permanence.Dans ce cas, l'Assemblée me réunieaitlundi prochain 27 octobre.

blaye monta à l'appnelemest du planteur, dit-il n ladres nt à ln jeune fille avec offert.le valet, accoutumé à voir à toutes les embarras, de me présenter ainsi à I im J vous obéi pli sudheures le général et profeoseut pour lui provtste devant voua, sans avoir été an- , moiselle, répondit. il se e as<.y, t; mayauo profond respect , l'introduisit cens noucé pur le domestique placé duos l'a.- { je 'sortes désespéré te vus t oubler ;

.l'annoncer dosa le salon. (ichambre. soyez donc aise, bonnepour repra,.-Ileurletie de la '(remblaye , à demi

étendu sur un fauteuil à disque, un livresavart à la ma lisait ou pour me

dire, se Iaissaitldoucement bercer parsusrêves, car le livre était tombé ses

genoux et elle ne smigeait pas h le re-

lever.

Clairon., assise pré a de la jeunefille

sur un coussi , était occupée à bercerle plus jeune de les enfants, en lui chan-tant d'ut, timbre à la fois doux, harmo-nieux et mélancolique, une de ces chan,sons trente% que les nourries improvi-sent presque toujours en les chammt.

Elenrielte de fa Tremblaye écerttail, 1 - Oui, mademoiselle ; quelques on-rêveuse, ces paroles mélodieuses qu'elle ! seiguements seulement à lui demander,semblait elle-même répéter u lev et àmesure que la jeune créole les pronon-

ça Souveuir d'enfance à peine effacé e

tore, car c'était avec cette chanson quebien souvent no nourrice l'avait bercée

des révoltés lui avait do.né, onajoutant

et endormie. noie pas trop de nous tenir compagnie,d'une vois ferme que ce papier suf

Enapercevant le général, la jeune à madmne et à moi, veuillez, je vous

lisait pour lui assurer une sécurité eu. mulâtresse se tut subitement et se leva, prie, vous asseoir sur ce fais leuit qui esttôle que nul an s'aviserait de %,.a hootense et r agi nt, en regardant la là près devons ; je vous le répète, votrehier. jeune fille à la dérobée. supplice ne sera pas de longue durée,

Cependant le hasard ménagea au gé- Mais celle-ci, d'un geste impe.rceplible, i car mon père ne tardera pus ea e douteoéral plus qu'il ..,ait espérer. l'engager, h reprends sa place, et elle se à rentrer ; je anis môme surprise qu'il

Deux heures plu. tard, Richepame, rassit ter le coussin. ue a.il pas encore ici. $ -Puisque vous m'y mtlorisea. d'urizayant quelques renseigsemenm peu im- Riebep..se salon les deux dames. Le général s'empresse de prendre let façon ai charmante , mademoiselle , japortants à demander à M. de la Trem. - Je sucs aux regrets, mademotsalte, siège qui lui était ai grerimssemeot sas avec, empressement celle bine, hart

5 h. 25 du soir.

- Pourquoi donc vous feriez vous a.- dre votre lecture , et ne pas plus vousooncer, général ? répondit ilenriette avec occuper de moi que si je n'étais pis

somlre. N'ides.vous pas notre hôte, là.celui de mou père surtout, et e celle -01L I son, général 1 la punition se-

alilé, libre de vous présenter lorsque rait trop forte et pour sous t pmurcela vous plaît dans notre appartemem 7 moi ; je préfère forrncr man livre ei

Je sots heureuse, croyez-le bien, de vous causer -'ce vous, répondit.elle enrecevoir. mont.

- Je ne sais c Ie.nt vous remer- Vous comblez, mademoiselle;s jamais osé, . ciel de cette faveurm' mademoiselle. Deje nuurai soyeoeu e vta-usse,

parltre ainsi douant vouasons

us votre puis mon arrivée à la Guadeloupe , Ixformelle autorisotiou. { hsaurd semble a'obstiaer à noua séparer,

- C'est ssns dont. à mon père que quoi que je tasse pour me rapprocher devous désirez parler, général l f vous.

pas autre chose.

- Mon père est sorti depuis une heu-général ; j'espère quo ans

! absence ne se prolongera plus long'

rampa à présent ; ai rien ne vous presseen ce momentet que cela oe voua en-

- Cest vrai murmura-l.elle d'Ionair

PDepuis si longtemps je désire trou-er l'occasion d'avuir avec eu, tua.

demoiselle, en an ieliëhqui décidera ditbonheur de am vie entière.

-Eh hier, mon général, reprit lierl-riette, evenna sobitemmt séhuant 1

nouavoici

ici colin en présence; le huma.qui, ai longtemps, .s'est plu à une, velrerte, celle lois sons réunit. l'allez, parlezsans crainte, cette jeune femme. st mouamie dévouée, elle m'aime et je l'aimequo sa présence nr v.as empéchr. pas daveux expliquer.

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Les députés seront, dans le courant une première fois. Ce qui est encore eh'

de cette semaine , à peu près tous solunaent vrai, c'est que le orérhal dede retour pour as tr lin, aux èlac Matou na, dans la crise actuelle,réunions de leurs gro .pu... La aCham- émis aucune opiumn politique, qu'il on

b:o, par le l'ait se tr.iooeeo ici. Cette sest prononcé soir aucun point et qu'ilcouvidé,lti.I in Oncra sana doute rai fa- dmmeuee le irtoitmv de l'Assemblée.

veur de lac fanon anticipée On a donc pris des dispositions et desLes déclaré fions et leu révétatiooa fai-

te.s ont'liter ae le ,arum arohl umodulé sensiblement lapmai+sent arme

9iluabmete mpoarrtilé , sans cesser d'être

se

dutesi pait ;élormainsmai so desmuer dc0.é de

droitee;

mais , , i) fuI. qu'onlee

ache bien , il a encore un travail àfaire pour assurer une majorité, et,des deux parts, on est tout entier livré

désirs persosoels, quichez lui, pour une décision réfléchie qu'ilaura prise.

C'sel là sans doute net ue dyaetpou, but de rallier des

députés

putés indécisli le maurior, do

M»c-Mahan

étantécarté de l'argue, n:te ent pi is ,à ehoi-sir qu'entre le comte de Chambord etM. Thires et qui peéfèreeout voter pourle premier que pour le ce à.

Oo parle de quelques mesures de_

Les droites réunies (Réservoirs et eue- précaution qui auraient été prises

ire droit) compleat euvlron 320 dép.- pour lo maille. éventuel de l'ordretés ; toutes les gauches en réunissent ! public. L'e sont, deus toua les cas, des

330; mais le groupe l'radier parait pen- mesures de pure précaution, car rien,ici nes ' t f i sJ ,u qu peu a ne suppo er quecher davantage vara la droite que vers

bléla gauche. Reste enauilc comme inter-médiaire un groupe de flottants, d'inné.cri, qui, n'appartenant à aucnue rémüoa,attendent la dervdèe heure p p

onces : ce serment mb s ehI.lzpour loplupart sans taille- d _a laChambrer qui so poetaot ilion coté ou del'outre, décideront des destinées dupays

qui auront lieu peuvent

Le,.

mod,fter la stluation, déjouer o réali.-anr les espérances de tels ou tels. Noustraversons, eu somm , la méme è se quecelle qui pricéd 124 a. I ..dan[ses huit joins, r fie qu a ra Ju,,. parles manifestations ces l,.lml,..a I lstee,

la Jo té i piq t dans deCâbles p p rt sq lots "ahou Ju qu'à a que lie se fat o muéemure M. lhiara.Aussitôt l'ASac, 11 - I i e

toutéPmsr quelle 1 , e parier, dès lappremisre heure, anr cette grave question

de Ildpublique ou Moaarctiie. La nlajoei-

té étant douteuse é demment 1'.. aou-tène q t i nlsn 1 t.. les d pi i.. p . ont e,,comptai . cela le est nécessaire poursavoir à quoi s'en tenir et

n

manmuoeere foule connaissance de Ganse.

Quelle sera la question ......êe t Onne peut encore le dire. La question d'or.pence sur la proposition de restauration

dés àehlester la terrain

letous

propredébloytés fiona t alecr, eu effet, l'or oncle,gti r

dodéclarent et y a

pas laisserà sol.

tirprovisoire

e et sic pas laisser Vol.nec Il longueur dans 3lslures des rsolutione rusé graves, sans poup cela

uesePrononcer

sur la question de républiquean monarchie.

Onconnaissez

une d 1. dè cdoet cecoinisaez dePlaineVol.

faite avant-hier par M. Lias Say auprèsd maréchal de Mac-3lahon pour dispose.de,

x.la couiha des collèges élec

Le maréchal a répondu quelesle.

élecliova, suivant les délais léggau epourraient ovule lieu, av pus tôt,que le40 novembre : la Chambre aurait alorspets aa décision. bavant celte imposai.bilité légale de réuni, les colléges im-médiatement et de..nt la c cequil y ..,ait à ce que la Chambre

sufût

su complot, pour prendre d'aussi impor-,.airs décisions, on prétend que le cr0.Ara gauche demanderait à lu Chambre de

e à tonte décision constitution.

nulle jusgn'après loi élections compté.menbatres. Ou pourrait se compter surEs prise eu considération de celte peu-pa'nion.O a parlé de modifications e

qu'il

é.

n a a ucune apparence yvélites ; Ileu ait avant la venu ée; tous les minée.ares, y compris probablement M. Magne,estmront é leur poilu et se présenterontdevant l'Assemblée.

La politique du gouvernement, euprésence des iveoluaLtés qui vont se

aproduire, peul lirai seréeumer:r1. oeiatets de l'ordre et le respect de

toutes les décisions de l'Assemblée.Quant au ma,éIh.1d. hlan-Mahon que

l'on représente comme prés à quitter lePouvoiret aa couinai à

aan..

prix yêtre maintenu, il y a là ove ezagéealionqui cet contraire h la vérité. Il est vraique le maréchal en ae soucie pas plueactuellement du pouvoir qu'il .e ale. esteoncié a. 24 naui.

Il est vrai qu'il sera heureux de lequitter et qu'il ne désire rie. tant ; maisil est vrai aussi quo si l'Assemblée l'ymaintient, il se résignera à yêtre mai..

le l'acceptertenu, comme il s'est résigné

re nte o cc asion qui reutétee ne ae ce.présentera plus,pou,plus, dire seule.

.cet trois nota qui depuis bic. long.temps tarit ont mes lèvres, sur Respect.les je sui. forcé de les retenir : Je vousaime.

- Moi aussi, je vous aime, général,je vaut l'ai avoué et je aura le répète

a ncé,itê de mon oroordans mutelje suis

fière

re et 1-t-il de vmroamour.

-Oh 1 je sais que cors êtes un nobleet vaillant cloue, que nus oa complu-.ce

cielà cette pruderie coquette et

de mauvais aloi qui fuit que souventou s'adieu.. à faire mystère de ses senti-.cote.

- Je méprise par-dessus tout les rol-gén froids et égoïstes de la coquetterie,général. biais, ajouta-t'elle avec un sou-

te enchanteur, ne nous engageras pasdans des discussions métaphysiques va.sfin ; profitons des quelques minutes qui

sont ai !>clignement offertes par lehasard pour causer sérieusement ; peut.être en se représestermit'elles plus d'icià longtemps, profttoasym duel pournous expliquer.

- Vous élus le plus délicieux Meutor,qui se puisse voir, mademoiselle, ditRichep...e ea souriant.

- Ne faut-il pas que l'un de noussait plus raisonnable que d'aulne ? repritHenriette sur le même ton. Je suisfemme, c'est dont à moi à vous don. ..,qlier l'exemple, c'est mou rôle, il me ainsi 1 Tous ceux qui vous voient Ici. donnez mot ce que ce mot a de rudes mais force, que le pauvre garyon, qui natu-

l t sera trou .

restaurationpeut, su cou-Littraireire,,

alarme, que la restauration non.-chique serait accueillie sans

aneunuc..

1 i, 1 1 manque d'armea et vu lesu1 st t calme et de nt las 6.qnr fit t spositiveu

tionsou eut les ou -

este, pote e m qui sont, ducuite, p eue un mot d'ordre.

les Préfet. continuent à venir icipour prendre des iostrucliôns:

Le duc de Nemoms cal erré ré ce ma.lin à pacte.

M. Buffet est attendu aujourd'hui.On annonce eue lettre de l' 1

Saisset comme, M. Tos.,et,umm htu J h t. l et Lebour-

iInl fia âmai sets à:pts etn

qle

val I onscience. Je dois Gons.t ter pa I e, que la lettre de lit.A f d à d é banquier à Parla et dé-,:,,lé d I se p . t pour laBel bl 1 causé. e certaine émo-tion parmi les mouarch stes qui espé-raient rallier M. André à le.r cause.

Oa lit dans le éfonirearjIl serait probablement donné connais.

sauce nette semaine aux dilférentes réa.o de la majorité, sinon du texte dé-

finitif qui ne sera arrêté complétementqu'à la dernière heure , tout au main.des disp, nl00nr principales de la résolu-

tion préparée par la mmissïon des

Neuf et qui servirait de base au rétablis-

sement de la monarchie.Nous croyons savoir que celte résolu-

tion contiendrait des déclarations beau-

coup plus explicites et plus détaillées

que cette formule, un peu vague peut-êtes , donnée par le procès'verbal de la

réunion tenueehez M. A.isa...Duperron:tomes les libertés civiles , politiques etreligieuses qui constbnont le droit pu-bli de la Fruooe, sont g vantées: d'énu-mération de ces 1ibeelps serait aussi

complète que Ira esprits les plus exi.genets pourraient le demander :

Egabté absolue de taos les citoyensnovant es loi

Adrnlssibilité à tous les emplois civilset militaires ;

Liberté ligiI.., a... distinctionentre les cultes existants;

Liberté de la presse nus les ube,garanties nécessaires à l'nrdre publie;

Vote min -1 de l'impôt par les ee-

et nieation dusuffrage

prMa ntaess erguniversel.

Ce serait là une déclaration de latin.

cipes faite par l'Assemblée et acceptéepur le roi, qui r ppellcrait en quelquesorte la célèbre déclaration de Saint.Omm.

Quant aux lois constitutionnellesP.-dites, dont la proposition se-

rait faite par le gouvernement so s lagaranti. de la esponsabilité m niatévielle, elles ne seraient que le déoelop-pemenllogique et l'application de cesprincipes.

IL n s'agit donc pis, comme le dit cemutin le lauréat d'a Débat" qui discuterepeudaot avec u modéesllon beau.coup plus grande l'hypothèse d'une ers-tauratiou monarchique, - d'isnemoner-chic sana candirions ; il a agit d'aise tao.narchie sur les fondutions de laquelleles représentants de la nation et le roisont d'accord.

Il nous semble impossible que lesvrais libéraux ne ratifient pas ce loyal

accord.

Voici l'article du Jouent des Débats,signalé par une dépécho :

1 notable ?- Parfaitement, mademoiselle t aussi

je voua obéi. sans murmure et je viensna fait franchement.

- C'est cet., général.

M1t'aolveisez vous, mademoiselle, àtaies ofaciellement demander votre mai.h monsieur votre père,par mou collèguele séeérnl fobert, mou ami et votre pu-castt ?Visu voyez qae je voue parte net

et que je voie droit au but.- lIn vrai général républicain, s'écria

Mlle de la Tmmblaye.Mais redevenant sérieuse- Je un crois pan que In moment soit

Lien choisi, ajouta telle.- Que me dites-vous là , made.noi.

salle ?- La vérité, général. Eeoutez'moi à

volet tour. Je venu et je dois, moi aussi,

être franche avec vous. Connsieste a..sce jaune homme qui an trouvait ;ci cematin, lors de mon arrivée, et qui senomme Caste. de e'oisac ?

- Certes mademoiselle; .,cet ce,chseassst cavalier , un jeu.. homme foire. J'ignore pour quels motifs mon - Hèles ui, général, continua llen-très-instruit, lrés-intelligent et qui, ce père m'a, dès m n - s n e, Bannie à ,tette toujours souriante; je suis fillegui ne gille rien, parait plein de essor. Gaston, le fils de aM. adeaFoissac, notre d'Ers - vous s e, la vieille histoire du

- Admis , général , vous êtes 6éaé surcot. fruit défendu I ,dés qu'a. m'ordosmaroux pour votre rival, c'est trés-biea. Je connais M. de Foissac, le père, d'aimer tnnp cousis, mai qui étaie par.

- el.. rival , M. Gston de Faisant , ademoiselle ;mais sarrau Rez'rani de faitemenl disposée b cela Sana qu ïl tiltmademoiselle! s'écria Richepauus avec vous faire observer que celle manière de besoin de m'en rie. dire, je la pela téatétorin.me.t. disposer de l'avenir, , pour ,.item de amie en grippe e bienlbl je ne pas

'en arrivai même à le ,Lui'même. dire, du bonheur de la vi olé ère de pl as le sonRir, Jinquallfiable. Par. tiajl bel et bien, et cela d'une telleest.ue je sui. de m'étonner deux enfantsFou

Après le rapprochement qui .'cet tué.ré entre les deux grandes fractions duparti conservateur, il e nous parait pasdouteux que le eetablisseme.t de lamonarchie no sait assuré dès amour-

: d'h;ai d'une majorité suffisante dansl'Assemblée. Mais Il importe que lesrasons qui auront déterminé cet.le majorité soient présentées su pays

us une forme claire et intelbgrblé, et que (l'accord qui sera conclu en.ire la royauté et les mandataires de lanation sait bien compris de part et d'au-Ire. pans les déclarations faites par lesdélégués de la majorité, il anus est ai.filmé que tontes les libertés civiles, pu'

t litiques et religieuses qui coustitueut ledrml public do la

aiseront majs-

tenues; ce sont précisément ces affirma-lieux auxquelles 1 importérsit de don.anr des ga otiea positives, lesquelles..nient Inséparables "de la déclaration

qui rétablirait le gouvernement moaar.chique. Cela an enul'paa dire que nousdemandions une Constitution en deuxou trois cents articles; nous n'avons ja-mais été partisans des Coshtations ton-guemeul écrites. Mais il noas paraît né.cessaire que ces libértés civiles; politf-quea et 11119i' ..ce, dont on noua ....a-ce la confirmation et le maintien, aoentprécisée. plu' disti.clemenp que la libertéd ça su' toe et la

liberté

descalte g I Liberté de la p. s e l'éga-lité de. ,t n 0u', le vole des i,npbua etle

col.

o t. d dépenses' tin la part-c pat o fi t,v, de la nation au gouvvrnement, soient stipulés dans latted'soir., bois que la monarchie soit aa,-

t on l en même temps qu'héréditaire etsoit la représentai on, du pays optantque celle d",.. t mille. Ces droitstond un.nlaux une fois posé. comme La-

de la Constuubou et la participationdu pays à la confection des lois était

.ton la euya te 'L'aita.s dont. vo'

lontiees acceptée pa la nation comme laforme de gouvernement 1s plu. ça for-me à son histoire, à ses besoins et à ses

habitudes et la plus propre à maintenir

la stabilité des iesutuuons.

Ne.. n'attachons point d'importanceaux argumeols de ceux qui refusent àl'Assemblée le droit de constituer negouvernement définitif. On ne luilestait point ce droit quand il s'agissaitdeconstituer la république. Nous qui

v a jamais épargné à la majorité lesvérités même les plu' désagréables,mous e lui avo . jamais contesté ledroit constituant. Noua avons seulementconstaté son impuissance à en user ;.ou. avons dit qu'elle devait être miseeu demeure de fonder soit la monarchie,soit la République; de et pas perpétuersc. propre gouvernement, mais d'endonner u an pays o. de le laisser s'endonner u.. Il n'a jamais été douteuxque ta majorité ne fût favorable au ré-tablisaement de la mouvrait ; ..usavoue assez souvent exposé le. causesqui l'empêchaient d'obéir à Ses tendan-ces manifestes. Elle W. doue jamais paconstituer, pour une raison qui peut'exprime, en deux mots : elle ne pou-

vait pas faire la monarchie , et elle aevoulait pas faire la république.

Les causes qui prolongeaient cette si.

tuation précaire v existent plus,

jdIs

moins dans l'Assemblée, et la maoritécouvré aa, liberté d'action. Mais,

comme nous l'avons déjà dit, Il né igit plus de la réconciliation nea famillesroyales, il sagil do le réconcilia lie. dupays lui-même avec la royauté; et pourquelle puisas être sincère, efficace et du-rable, il faut que le pays sache claire-ment ce qu'il lait et ce qu'on lui faitl'aire. Il est comme la temps, qui neconsacre rien de ce qui se fait sans lui.Il y a encore, au dedans comme au de-hors de l'Assemblée, beaucoup d'hésita-tions, qui ne ocuseroet q. avec la certi-tude visible des garanties que réclamentces libertés dont on parle, et il est-

à-une la majorité lien.. templede ce acnumcnt. Jonx Lu.arvne.

Le général La Marmora, devenu go.-u, des provinces napolitaines, resta

pendant sella anuéue après sa première

mission en dehors de la politiqueétrangère. Toutefois, pendant cet inter-

valle, il fis[ envoyé a Paris au momentse négociait la convention avec l'1u.

lia pour le transfert de la capitale àFlorence; il rapporte que durant sonséjour en France il a..le ts aux masos.vras

du camp de Châbus, où il se ce.-contra avec un grand nombre d'officiers

vent vous aimer; mademoiselle , nehomme aussi distingué que l'est M.Restait de Faisant en pouvait éviter cemalheur. C'est fatal, ceta 1

- Comment ! vous trouvez que c'estma malheur de maimer, général Y dit.elle aval non fi.e ironie.

- Mais o , certainement, made.oiselle; )e plain. les malheurena qui

se saut laissé séduire par autre incom-parable beauté; ils aiment sans espoir;douleur la plus cruelle que puisse éprou-

'Iru barnma, et que le Gante n'a eu

garde d'oublier dans su. enfer. Commente les plaindrais-je pas, es ihfortunéa,

puisque seul je possède faire co=,ur 1

C'est vrai, général, el mon cmurn'ist Pas de ceux qui se dorment deuxfoi.. Cependant, bien que mm amoursoit à vous tout coder, à vous seul, M.Gaston de Foissac a, ou du mafias Croit.voir des droits à ma main.

- Expliquez'vous, an nom du ciel,

se

prussien. qui étaient traitée en allié. clin.

et très-fêlés par l'empereur A cette oo- Le général Govone fol en .Rot envoyéun il r m- q e que rien ne s'était à d l e ua

fait et e se Pmsait en France pour 5net- bave d allie ce Acte ,tue et ,ffsns -e,ire eu défense les places fortes de l'Est, si la Prusse y cous rntm t. En mémetandis que les forteresses du Rhin temps, le général La 1larmora, sentantavaient été garanliaa et modifiées suivant bien que la noeud de la question était àles nécessité. nouvelles de la guerre. Paru, confia une mission confidentielle

Le géoé.rnl devenait président du eon- prés de l'empereur a comte Arase,sel, au mais de septembre 1801. La eon- ami particulier de Napoléon.ventionsvec la France pour l'évaçuIion Dans les couféeencea gdil eut aveu lede filons, et probablement de la eupj- générai (insane, M. de Bismarck, suitaie, venait d'élire signée. Bans la période vlot son habitude, dér.nvr!t sau plan,qui avait précédé son entrée au rabais- qui consistait. à remettre or le tapist re, les relations de la Presse et del'Italie avaient été fort indécises. Le gon.sornement prussien avait clarté avecl'Italie des négociations pour un traitéde commerce, mais elles n'avaient puaboutir. Cest qualors le cabinet d;

était encore ineermin sur sa politi-ue ;engagé dans l'affaire des duchés

ee l'Elbe, il ménageait encore l'Amriche,et semblait ne vouloir sa rapprocherdes Italiens que pour exercer une pees-man à Vienne. Les deux puissanoes alle-mand dés ce moment se méfiaie.-t'uned I aulrq, et ch chaieçt à s s.car sas

dis'osutioia de I Italie. L'Auty -

che faisait conaaltre au gouvernera titalien quelle an aurait pas éloignéede reeonoaitre le royaume d'llalil et àsigner ne traité de ec De acôté le comte de llhmd k f t douvertm eau evbl,a td Ta t loidemand fit d'une m c e p seule anmitied de 1865` guvBe aérant l0teimdede lsllshie dons ictus d'une guerre entreIn Pr use ell'ddtriche. A cette époqueavaient lieu entre les deux puis oncesallemandes les nés cations qui abouti«mal à la éotiYestrôn ide Gaatmo, et dlde Bismarck prenait déjà ses prénsaBons,

La grande pféoccupatiuu du général déLa Marmoeu était de savoir si le F aceserait ou nus opposée à la guerre entrela Prusse et l'Autriche, et il suspectaitgoit ae lrailail quelque chose entre Pa-rsetVienne, NI. de Bismarck laiaussi êlre s e de la u alralité de laFeauce avant d'agi, et d craignait que,le moment veau, elfe ri amposdf soro vetod l'étadfe, prétention contre laquelle serévoltait le général. Mais l'Italie , nonplis que la Pensa,, ne croyait possiblede

thé.tenter contre le gré de la

France.Le bat que poursuivait le gou.eeue-

meot de Flattant , et qu'il me perdaitjamais de vue au milieu de ses difficul-lés intérieures et du conflit avec la P.Parlé,

était l'achèvement de l'unité ils.tienne ; il se levait toujours eau agnelapour profiter des coroplicelions extérieures et y trouver l'occasion d'acqué-rir la Vénélie. La signature de la ce.-eelien de Gastein, su mois d'août 1805,

entre la Prusse et l'Autriche, puer lepartage des duché. danois, vint(nir.-rire ces visées , et il se produisit un,efroidiaaemeat marqué de la part desItaliens si. b.vis de la Pousse. Le gou-

rnement de Berlin .'avait pa. .acoreosé jeter le gant à l'Autriche, et il avaitcherché à gagner do temps sa.a se gê-ner .vec l'Italie. Aussi le cabinet de Fl.-rence se r tourna-t-il aussitôt du côtéde l'Autriche, et essaya-t.il d'obtenirpar ma traité ce qu'il en pouvait gagner

Murmurapar la guerre. Le général L.entama des pourparlers secrets à Viennepour la cession de la Vénétie recyclaient

indemnité, pourparlers qui ne réas.nulsirent pas.

A ce moment misant le comte de Bis.ardu , préparant l'exécution du pis.

qu'il exécuta en 1866, se rendait à Biar-eite pour chercher à pénétrer les hile.-tiens de Napoléon. On ne sait pas eaae-lement es qui ae passa duos ces notre-

n; mois il parait que M. de Bismarckfut rauueé, puisque cou retour il dit aumieislre italien à Paria que la guerre étaitinévitable 'est l'Autriche, que la Fran.

ne serait pas hostile à la Prmae , ets que ai l'Italie n'existait pas il faudraitd'invemee,s

Aussi ne perdit-il pas de temps pourrenouer avec le cabinetde l+lorence, et luiproposa-il de reprendre immédjateroevtles pourparlers pour le traité de sommer.ce. Le rôles étaient ainsi isteennrlis , etc'était la Prnsae qui sollicitait 17lalie. Cetraité fut signé au mois de février 1866,et aussitôt après le comte de Bismarckdemanda au cabinet notice d'envoyersecrëtemeat nn général à Berlin, taadi.que le gouvernement prussien eu nuver-rait un à Florence, pour se malt,. d'actord en cas; de guerre contre l'Aulri

je n'en trouve pas d'autre pour exprimerma pensée.

- N'en cherehea pas, c'est inutile,général ; je partage c mplétemeat vo'tee opiaion. G..Las de Foi.mc, sa murHélée et moi, .oui avons été élevés eu-semble.

- Une bien charmante jeu.e fille queMlle Ililéue de Foisae.

- Le met est trop faible, général IHèléne est belle et bonne de.. lotel'aoception que comporte ce mot. J'ai.mais beaucoup, mal. beaucoup muacousin.

- Ah 1 fit le général eu an mordantles lèvres.

- Mon Dieu, oui. Mai. ua jour, manpère eut la pensée de me révéler le projetd'union convenu entre lui et le, péri deGaston. Alors il arrive tout le contrairede ce que, sana doute, mon père actes.dait de cette eéeélati.. ; il faut que voussachiez, général, quo j'ai ne uileeux ea.ractère.

la réforme germanique assaiso..ée d'unParlement allemand . ce qui devait pro.nuire ua désordre qui mettrait bieumtla Prusse aux prises avec l'Autriche, etil concluait on demandant 6 l'Italie des'engager à le seconder pour l'exécutionde ces desseins.

L'envoyé et le ministre italien à Ber.lin virent du premier coup d'oeil le pié-ge et comprirent que la Prusse voulaitse servir de tinette et la tirer à se ce.morque, sauf à s'airauger avec l'Autri.tais, M. de Bismarck revint à la chargeen pros saut de oigne, un traité .parlequel I Itaj 'e. gagerait à déclarer laguerre à l'Autriche. Mais les deux aigu.ciateurc italiens ne furent pas dupes deses promesses, et laissèrent tomber lesp opus t Les puissances étrangères

mus ç érotk siaquiétee des menéesdo go. rue al pr .... ira;

1,111111t, ceaura sa médiation, et à la cour la ret

les princes pressaient le roi de .11%.-

ndre aveu l'Autnehe Il. de Bismarckchangeant de tactique Rit 3 l'habit

traité gé é l d'a il é 0t 8 MI anrq i e.

tesf to r y d certaines

éventualité. de guce"fiée

dmmu.. et engagement rimproqu Cétautoujours la méme sreiéne pensée : laPlusse entendait rester libre

Ilengager

l'Italie. Le général La Marmora sentitbien le daager et traîne la négociatione. longueur.

Fonds,,que cette partie diplomatique

ae jetai à Bedi., où la duplicité pr s-

a

avec la finessesieneeéla t zp'talieune, la question se décidait à l'aria.

Tout dépendait, ep effet de ce que feraitlempereur. M. La Marmora reconnaîtbien que la France ne pouvait se désin-pireser d'une luit, d'où pouvait sortirnue prépondérance menaçante pour cilleet qu'elle avait le droit de tirer avautage du tondit pour obtenir nue modifiez'lie. territoriale aux traités 'de 1815.

Le général gqrroit que l'Empereur merendait pas de rêconcilialioo autre l'lla.lie et l'Autriche, et qu'il consentait bienà faire restituer 1. Vénélie ans Balisés.mais e. an réservant d'agir dans son iratérêt propre , entrant les évéoemeets.Eat-ce bien dans cette intention que l'Em-pereur a pu approuver le traité entrel'Italie et la Prusse? Lorsqu'il futcon-suhé , il répondit au comte Arase s qu'ils trouvait utile la signature du traités avec 1. Prusse; mais qu'il déclaraits donner ce conseil comme lot et sans

ancune responsabilité. . En mémetemps , M. Drouyn de Lhuys s ministredes affaires étrangères , disait officielle-meet b M. figea , ministre ;ta lien : s Sis l'Italie attaque l'Autriche, elle le tierss à ses risques et périls. Si l'Autricbee attaque l'Italie , je puis dire que lepassé répond de l'avenir.. Ces denx

déclarations tranchaient la question.

L'Italie avait carte blanche, si elle étaitbattue, elle ne perdait rien de e «1 1.watt acquis depuis 1859 : la Fraoee lelui garantissait. Si la guerre tournait à

otage elle avait la chance d'ac-

quénr la Véeétie. D. même coup , laPrusse était rassurée sur l'éventualité

-d'une entente entre la France et LIAIlriehe. F,t l'empereur, qui

tenaitSont

dans ses mains, ne prenait a taon gréecaution, n'exigeait aucun engagementde la Prusse, pour faire payer sa nea-tralité.

Aussitôt que Napoléon eut dit son der-.ier mot, les pourpmlers reprirent àButyle cotre lea gouvernements presvieoet italien. hum n est instructif commecette lutte de M. de Bismarck et desdeux négocialeun ilalie.s; chacune desparties cherchant à engager l'antre euse haut la moins possible cite-méme.Enfin, Lorsqu'on eut reconnu de part etd'autre qu'un se gagnerai[ ,ion e

jouant su plue fin, on arriva à tom-ber d'accord sur les bases du traité.

(Jouent de Paria,) PAUL nnuassu

Tellement n'y comprimait rie., en de.vint comme fou, et on pouvant oble.nie, malgré vas prières, aucun cruor-

1ce sujet, eu désespoir deI an résolut à quitter la Grade.

ososo

loupe.- Oui, mais il est revenu.- Il a eu [.et ; que me fait cela ?

Lorsque j'ai refusé de aubin cettemien,..

Lo mot est craei, mademoselle.- Il est juste, puisque je ne l'aime

p Le général s'inclura sans répondre. Cen'était Pas à lui à défendre son rival ; ille comprit et se tint coi.

Henriette 0001100e avec une termineanimation :

-l.or+gne je refusai de contractercelte union, reprit-elle eu appuyant avecintention sur le mot, qui m'était impo-ée par mon père et qui devait avoir

lieu lorsque j'aurais compté ma dis-IL niliéme année, jc'n'étai, eepore qu'upeenfant ; j'igsneaie mon .mur, je ne sa-,ai. pas ce que l'op entendait par cemot : aimer, que je trouve aajourd'hgiai doux à prononcer , aujourd'hui jesuis femme et j'aime ; supposez'vous easeul instant qui je consentirais à épou-arr ce jeune homme que j'ealime, à lavéfité, à cause die ses grendea e[ bullesqualités, mai. qui, pour moi, un sera ja-mais qu'un ras?

- Depuis votre retour d'Europe, ma.demoiselle, jamais M. de la Trembla>.

- En deux mots, général, voici l'h;c- -- Oh ! roademeiselle !

A F FAIRE BAZAIA.E

Pn l ,e 'a "'il de puer iiegeant au l'est Teisneuraésmanca oz s. A. nar La arc n'AUme.

Général de division.

Audience du 20 octobre.

Dés onze heures les abnrds du palandu Grand=l'rianon vo sut affiuér lafoule. A rauche de l'esplanade du télédu Petit tria..., une queue défilas de200 personnes est déji fumée, et devantla grill. un

cecab'. aussi considérable

attend que l'on puisse entrer. A midi,la t'ouir +e presse àIctus-0e de la salved'audicuoe ; et la remise des ça nea etara luies cil c mne.d'habitude,

causé de latgne Limite. La pjuiemenace depuis on e heures et demie.hile tombe à midi zoo quart et, le pas-sage étroit de l'lutrée est tueur. plusremembré.

Toua lia base eteiégea réservée ..etrem lia dés midi ou, art

Un t é grand ombre d p.margnunt ocoupe.t 1 s .èges

Y"doua J'eaceieur autour du conseil.

A midi nu quart le cdldma'sdant d'un.die prévient les témoins qui seraientdans la asl le qu ils ne pensent y .sueret doivent sortie jusgu'a l'appel de heurenoms.

Leu témoins qui miseront commeee,rà être ealemdus aujo«rd'bud .out, s'il

st rie, chargé à l'ordre jusqu'icipréciséLe maséebsi Lehpouf, le gé-néral L b n général_ Jarraa h gé-sé al C. 11 u é ea M, de Aératry iht Jule FI,,. ; général de Fables. ; ma

échal Lanrebert, général de Ladm-ranlt ; à1M. Rouber, ancien présidentdu Sénat ' Srhneidér, ancien présidentdu corps législatif.

A midi et demi précis le conseil est aa.entité

M. le président. - La séance est ro-prise.

Deux minutes prés 1 Ba -ee iris -il: de ses d ne dEteesene.

L coud pire et fils, et du lieu-lenaot-colonel Villette' sua a.eÏee aide-de-camp.

Divers témoins, juen'ulore absents,.net appelé. et répondent à cet appel.

M. le président. - Il sa être pmré.dé à l'appel des témoins. Greffier, pli .lez M. le maréchal Leboeu .

M. le maréchal Lebmuf arrive leule-mee[ à la barre du ...ait.

M.1. président. - Voua jurez dedire la vérité, toute la vérité?

M. le maréchal Lebmuf. - Je le jure.I). - Quel. ..et vos nom et pré.

nomsyR. - Lebmuf (Edmond),D. - Vol. âge 7R. -Vans.D. - Votre profession 4R. -Maréchal de France.Ir. - Votre domicile ?B. -Le département de l'Or...D. - Vous c.... issue le maréchal Ra.

zains ?R. - Je le coa..!...ie depuis la nain.

pagne de Crimée.D. - Vone u'étiea pas'atlaché à sox

service y

R. - Nullement.M. le président, - J'ai décidé que des

témoins seraient entendus. vol. té ai.gratis devra donc d'abord porter sûr Ici

oostaoces qui touchent à la prias depo session de commandément de l'armé.par le maréchal Session, à l'organisationet à la composition de l'armée su mmeut où las troupes ont été remisesau commandement du maréchal Bu-.ai...

Le maréchal Lebmuf .'..pri.. ainsi- M. le mureohal Bars.. a reçu del'Empereur le commandement du 40corps de la garde et de 1. eéarrve. mansa reapoesabililé dans les événement. pe

mmsnee qu'à d.lur du 13 aa math;auendn que jusque c lis date il n'étaitqu'on euhordoo.é. A ce moment, l'sf.fictif placé soue ses ordres était

thé178,D00 pompes et de 99,500 ehnau=.Ily avait environ é à5 j... de vivreset de munit;o... L'armée était alurs pla-née e. avant des fort. de Queutez et deSaint-Julien ; la garde était ea arrière.Quant à l'ennemi, il avait été ignalé I.12 sur les bords de la Seille. C'est duel1, jouraie du 13 qsn l'Empereur apppelae maréchal Ramis. au nomroaudement

eu chef. Le maréchal Boraine fit quel.quel difficultés et présente des. chien.tic.. qui ne furent pas suivies d'eBvt.

niaWRalYSI

a'-st revenu avot vous sur ce -Jet Ï.. Jamais, général m mais je prérols

avec douledr car j'ai née eefoude if.tectiaIs pour chhagpère, et

laa mpensé. de

lut lasse, rin meremplit

plit detristesse,

tipc

prévois, dis-je, que bientôtuee nouvelle explieulien entre nous auralieu.,.

Je alors e- Je refuserai 1 dit-e11e dentelaient

Noa, mademoiselle, dit .e olaageetueusa avec ma accent de mélancolieipexprimable, roua hp papapegé pas Pettàimmense douleur h volte père f ce acesmoi qui refuserai.

La jeune fille et legénélal se retour.aèrent .,ce surprise, presque avec épou.vanter

Ils aperçurent stars8sstue de pliasse,Immobile et respectueusement incliné àdeux pas d'eus.

Le Chasseur de rate, tes-MRIn artloin.. comme toujours, pomBiroet g nivie, uppuyé'.ur qui fusil, dsrndrele jeune homme,

Cessons AaAao et Aaaana Laeouue..

la mita d dsmasn.

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Page 3: POLITIQUE ET - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1873/B315556101_JOUTOU_1873_10_22.pdf · 69' Année. No 292 POLITIQUE ET LITTORAIRE A>lajEasrsRrs

I

eL,od,éh I1 1,e

Iii resniapp t I'Empereue;q

à l renoue du service, lit t I u

sans l notable. Le général Jarres

seul manifesta quelque scrupule au aojet

de la respomabilité qui allait lui incom-ber et dont il semblait redouter l'éten-due. Mats, ûnalemcnt, il fut couve..que le généras Jarres demeureraitpré,

M. te roit-1 Uaz.aiete

a donc prispdement 1 13 u matin. Je

aille

ie

resté odes efdpléi j é9 'd 45, ejenle lemaréchal Lebmaf. Je n put, douté pur-,et y P. Ir c p d t

I mi11'ilr p

é folilnelie

r

sel.

Ânes Ja oci d'uaq m

u.inion d'au généralx au si la-de celle

n

pé meum e q 4t it t m NéI b d

faire

vit us sec t lLu bataille

retraite fitirI. sis Ira deijel

lp projetaITer plos rot Mais.y un,las

de l'Empan,nr étaicut enwre peu air@-

nnés.

ll. - le v5us'eng5àé à vous borner àe pli préci; ia les opéraliom4 milita; ces;es.pérati.as u eriiM l'ubfel d'au sales

t rr gatu ns rcial rus ait romm .damente qqn, 1 E npereur pon- la alu

it

Ch51 s mais ..0 et a x d v. a dosses au comruilf à l t l ra

d uue nnamére' précise, Le 14 il n'y avait mandera::lit d gésir. - L.. maréchal

P_ u 1 p écis, l'1 s r peu pJ dl l' a diseurs cbanpeetrala Jans le

l tt aiekds qn d bataille n Pou- c¢rmnandemeut et le déi.' qu'avait le g$-

It uu I.ntrnvtr I t site .Oral Coffinérea de conserver le cem-

D Le maréchsf B:i'amu ..if, de- mandement du éécio,

puis Y'Il sut?, le commant,neent du -- Ma Lacbsul demande au témoin

5 corps d'oemèe, aomm dament ers. si , au commencement de la campa.

sreiut sua opéraliuus militaires. Quelle ger , alors quo le maréchal Bassine

ml, doua, sotie pensée la ponce de vair un commnndemenlquelque tué-lette eapré+eiun : epérdflaee miGJairte, importance, i[ a manifesté uel

Uemé-

R. - Ls primée AO l'Empereur était contenlemont.de Diviser le restés, eurent ed deus Or- Le maréchal Lebmaf répond qu'il n'a

mens; I gg avait un eommandemeet pour pas emerqué eh-z le maréchal la

l'e "ïnSÂëéhal Daetlàil et u remmande- aiudr munifxsmtio. de raiccnleotemeut peur le an'+réehnl Mac.Mabon. Ds- ment. 0, u parlé, ;I est vrai, d'un mou-

tit'lu1-t èonv*nteuta ile smrviceu sépa- cernent de défiance que le marécha su-

rés, il fut décidé que pour !es opérations i t manifesté à l'endroit du maréchalrmilitaire, le maréchal D Otite serait Lebmaf, lorsque ce dernier est venu à

commandmd u chef ; pour le rente, il Metz.

y avait dans divisions. Gn a dit que le maréchal BazaineD.-Le maréchal détail pua alors ovt'çnnnait le maréçhel Lebmul de venir

coromaodap4 e0 chef. le suppl.-ter, mais le maréchal L,bmaiuIi. -Jusqu'au I2 a soir le tué- l 'pli court 8 l'igeident par une délla

chat Bassine 'était qu'au subordonné. lion purent formellement qu'il ne rua.Mais à parlir dit 13 allât, le muré,hal lait par prendre le commaidemeol L'in.était cemmaudant au chef; toua les ser- rident üa doue pas eu de suite et les

es acculent nécssairemenl être à aa rapports astre le maréchal Lebmul etJispoeiui.m et tans les services dépen- le maréabal B'ea tiennes ont pas été alAaieul entiÂremcnt de toi. térFu

U. - U.s nette pénale du 5 août au bi- Lachaud demande i le maréchal12 août, la coin position du corps spécial Lebmaf a jamais eutevdu dire que le

dit maréchal Daz,ier a doua varié 7 maréchal Banian ait manifesté le désir/t.- Parfaitement. d'obtenir le commandement eu chef deD. - L'étau major général ua-t-il l'armée du Rhin,

pas fait ,-oir uas commandants des Le maréchal Lebmaf répond qu'il naordres directs ? uen eilxndu dire de semblable, ai.o.

R. - Je couvais de.. ce Ires de cette depuis la fin de la guerre,Sature. Le 7 soùt l'empereur avait voulu- Le président. - Avez vous etc connais-I,,uravmuuvemeutulYaisil', loragn,l ail. sacre du plan dit maréchal Blet et deprit laretraite de Frosuard, fera percur lé- l'abandon de ce plan?anisa uLits de an concentrer sur Metz B. - De quel plue veut parler A1. le

t je fus chargé d'oc avine le maréchal préaideut ?flva,iu¢ qui élan alors à 2Avo1d, Eu U.-Dn plan relatif à l'organisation demême temps, le moavement offensif dent l'armée do Rhin, dont le maréchal Ba.le général L:deiiraull avait été chargé, trier devait emnoso derun corps. Quellefut Ce., rimaillé. rat la conte de l'abord.. de ce plan ?

Ily a

un utre circomtance, ajoute Il. C'est une ruilas politique exté-le maréchal Lebmaf: on émit préoccupé rivure.de tapotions par Sarregimmiues. D'après Le président. - La dépense a-tellel'ordre de l'Empereur, !écrivis au géut'- d'antres questions à poser au témoin?val Frnsssed, à Pousselueges, et il devait Me Lachaud. - NonJe résident.

retirer suas Mat,, comme le lui écelcit Le président. - échal Baznlne,d'miileura la maréclml Boraine presque ....aura quelque observation à préseu-éu

mêmetemp ter?D - Veux avez pua eu avis que R. - Non, moacieur le président; je

l'empereur pénseil queuu retraite sur tiens truie ment à comtaler que lorsga.%ggcy tSlplt préférable f ie marécpul Leboeuf est veau à Mela, je

ton a l'ombrae contreç gIL - sesi j' ueis elorsà

Mets, a d%il-Da,

jamais deleurs je savais que lc .. ur

avait

t1

ee Iii, attendutteohm

que nus n u.# t jamaisplus grande -flanc.

ildam l'eapérienre lassé d' être ensemble en bons termes.

du"Achat Rai....

Le présidant. -- le maréchal La.BiU, - Et lorsque l'empereur flottait bain', veuillez vos

retretirer et demeurer

entre Iea résolutions de retraite sur Chd- dans 1. salle,loin et deux concentrations des ci... M. le président. - Nous allons passerrmées, le maréchal Bazaine fut-il in à un autre témoignage,

formé ? Greffier, veuillez appeler le généralIl. - l'avais donné ma démission, le 7 Lebrun.

aoijl :.j'msisl is peur t`urger plus Ip Le CCé.écot Lehruu (Barthélamy Louis-eommandement de major giuérd, ll Joseph), né à Paris et dgé de G4 ans, faitpeut se faire que l'emperettrait donné s déposition après avoir piété serment,des ordres dirent.. le crois même qu'il il a toujours eu des rapports excellentsen a été doind. avec le maréchal mafia il da jamais eu

U. - Voua on pouvez savoir si le ma- l'honneur de servir soue les ordres duréchal fusains a été tenu au outrant maréchal avant titis.des divers rdres au 6e corps et à le La division arrêtée pou, l'interroga-pèserée ggéuiraie de i ottilitrip et de la unité et les blanches est également suivieealtaiersü. pgDe la imoigmgae da général Lebrtse.

R.ID

ne cross tes que Ip mari. Le général Lebrun. - Le nsaeéchalchat Uazaivn ait eu couvaiaituee de di- Basaiue, à mue avis, a accepté le cem-vers Ordres relatifs au G corps. Je ne u dament à partir du 43 ; il ti a p,scrois pas lion plus q'il ait été tenu au fait d'objctions pour la retraite, et

il

épurant des détailsdues

rdeea doaoés à 'estchargeé

de l'eaécutio.. Je deman-la récerve générale de lartillerie et de délai à Aire entends à l'exécution de cela cavalerie, mais le maréchal Bassine mouvement de retraite.gjeyag{ Çrecrute, à partir du 43itacdl le U. - Cor ils prépâratifs de l'eaécu-eemmaudenleut général, Il deva éiee au lion, nous pouvons voua entendre toutcourant des .lauses générales pour la de suite ; quand à l'exécution des pas.retraite aas Ghàlune. gel de lu riva gauche, et sera l'objetJeequau 13, le maréchal Bazaine o a d'interrogations ultérieures I

Je o_saturne responsabilité. La responsabilité R. - Peur mois c'est I? manque deMlelu,ue clu,l Fam b e 1. mesures keiaété au passage de ej«gpgipe

LLe narécha s rosse a-t-il été selle qui été désastreux ; c'est ledu sois informé des mesures manque d'études préparatoires qui a

ilA.

nées pour la retraite? terminé la bataille de Bornye Sansceelle

tte'' il les as cou-R. - Je o crois pas qu

ss, en détail smais il a d0, sans doute,'a ,

afin dé, se juter cnrnite aur les comme. gages. Pour résumer ma pensée, ce nén i C'i eus. Jé a,, re d e heure ; jusqn'a o t 1 pas es qu'il fa liait pour le gond12, l'état maJ gé é 1 était r sponsa- mou ment du 14.blé. Le merncLal ae 1'. été qu'à partir D.- L. meaees que devait prend,,du 13 août, la respC.sabiliti commen- I maréchal liezmne étaient potlériurresça à nard, du 13, mais j'ignore les or. à votre eommaodemeot?dies à. moeédrel Bazaine à partir de RI- J'avais collé le 12. J'étois étra-cette épuique. ger à ['état-major général te 15.

D. Lorsque le maréchal Bazaine u D.- Vuus parlez comme témoin à cet.Çale commandement en chef de l'an- égard, Mais avant le 13, quelles étaient

ires piton les cour..ée, au quels -soigneraient. les mesures préparatolui a ent été dovnea s r la situation man cations et pour le m ouv Dent dudes corps ainsi que aur Ules opération, 14, agit dopé re le pussegv si dfhmleprojetées? dues armée d. 178 000 h.mmea lit la

It je .aidais pas a x entretiens rt edrete à la gaa h de la Me-4 I r aveu le maréchal Bazaine, selle, oness 1j h

mai. il me incatt diiicile que le maté- Ii.- L. allures les plus i,nporlantesri l 1 t pas vit que l'empereur son- concernment les puits. L Cmperenr a«nit à etirersur Châle.,. doue aval t la prise de coeum.svd.- ment

D

Arosi, le m,révbal n'a pas pu être do manéeaal Bsz me, donné l'urine de

resueig é po.tfilment soit sur la site,- Jeter un grand ..,.blé de Ponts sur lalloa de l'effecluf, soit sur celle des subi- Seille, la Mense et la Morelle,Maine..? El ce n'est pas vous qui lui U.- L'état major général suait indi

puims où ces ls devaient é'reusez donné vos instructions ? qué le, pouR.- Non. Mais je crois que les chers jetés y

de service out dd 'meure la murés-bel au Il'- Nue, l'ordre était nnigumme liteuermst. - L:i 6: camnüssaire du ou. d'en établir le plus grand nombre.vneaeniem1 adresse a,. témoiu plusieurs D.- Alors vu., n'aviez pas reçu d'or-

dres précis n vue de faire étudier les

pas.ages de la Moselle?R - Non, je .,ai pua reçu d'ordres

ferme s à re sujet. Je ploie que le gé-déral Cuflimérea pourra reuseiguer lec.nxeil à ce sujet.

D.- Avez ouve cgran ['idée du mou-vement de retraite site Nancy au lieu dese diriger sou, Metz ?

B.- J'en ai",,,lu

parlercol

aismême de ceux qui préféraient hattreur la Mosane avant que de se retirer

sous Met; Le mule? déterminant a éténuée brait trop 'pets de l'ennemi pouropérer un mouvement sur Nancy.

Dl -je son. demaudgis ai vans ru aailliez un mouvement aur Nancy quand

le maréchal était à Fociquemenl?R, - Je n'en ai pas entendu parler.D.- Vous ri ase, rien entendu parler

en dehors du veme.t de retraite surVerdun et -Châle., av..t Il q Dont 4

R -J'étais l'intermédiaire litre lemajoe-géiéeal et l'Etal-major; j'étaie uo

-rnple heuieoeel et je n'avais pas d'or-

dres à donner,D.- Vous sétirz pas chargé des

mouvements, comme chef de ces mou-nemeute,

Ii. - Je oétais qu'un collaboraeur, u.aide pour le ma,1'or général, mais jr si é-la'a pas chargé de danser des ordres,pour les mouvements, d'une msgigregénéral..

D. - Monsieur le commssaire dug uvernemem da rie. à demander autémoin ?

M. le commissaire du gouvernement.- Je n'ai rien à demander.

B. - Les jugea ont également an'tune question à faine au témoiu

Les juges fuel un signe négatif.La radios i.tneeogatiou est faite à la

défense.B- Lachaud demande s'il n'est pas vrai

que le maréchal Bazaine D'à pris lecummaudemeut eu chef que l0 43 aumatin.

Le général Lebrun croit pouvoirdire que le maréchal Bazaine a vu l'Em-pereur dans la unit du 12 au 15, maisce .'est que le 13 au matin qu'il a pli.possession de ao. commandement.

Mv Lachaud demande si c'est bien le13, que le commandement du maréchalBazaine a commencé , c'est-à-dire s'ilavait pu donner des ordres dés le 12 ausoires, ue d'opérations à faire pour leIL; enfin

si le général Lebrun a romanle, ordres IL... es le 13 par le maréchalItazaime.

R. - Le 12, le maréchal Bassine a'.-rail ..ce. ordre A donner. Je me seraistrompé ai je l'avais dit , mais le le-de-main, depuis 5 heures du ati. jus-quau 14 à 5 heures du matin, en pnu-sait exécuter le mouvement des Iron-pas.

M. Lachaud, - Connaissez vous les

instructions qu'a données le maréchalIl ?

NI. le président. - A quelle heure,à quel moment out cessé les émeri...du maréchalâ.

-Je n'ai pua connu d'une manié.précise 1 ernmevt où les fonctions

du maréchal Bazaine ont commencé* je.'ai connu les instructions données parle maréchal Bazaine comme tous les of-ficiers, comme témoiu; mais non pinscomme aide.major géeéeal-

U. -te com demande à quelle heurela responsabilité de l'ancien état majora cesséet à quello hepre le oovel état-major général ou plut@t le marécbat Ba-zvine a pria la reapoasabihté.

R. - J'ai remis al démission de las nombreux net été créés e. Rouie. Ilaide major général à l'Empereur le 12; y te a un dans les villes de Mlswa Var-j'ai méme déclaré à l'Empereur q il lovée, Helsingfarl Sâbastopol, Doaabaele,dy avait pas aécessilé de conserver . allie, og, etc, et il va encore en êtremajçe général . le M. aide major pouvait d'autres. Ces cercles servent de

remplir las fonctions, et je scia que le lien de réunion aux officiers; en y fait13 Du matin le général Sarrau aurait reçu ;des eolrelie.s lé, dos confirreces , ne yaucune instruction, . joue même déjà o I kriegspiel. Leu effi

D. - Je vous demande dç préciser à niera sot appuyés rIran le, chefs de l'or-quelle heure, à yuei moment a cessé la urée et témoigmnd h»nlenuent leu, tolus.,

Entaille de Borny il y aurait pan eu eusponsatilit6 de l'ancien état-major gé- faction des rétollais obtenus,.brai et à quel moment c mmença la L' tolite est earée plus tard dam lacellt,.s du 40 et du lé O .seyait le 12 au i

d... maraére générale. u', qû uu mouvement devait avoir lieu responsabilité du maréchal Bazaine le mémé yole, ranis cité y marche d'un paseonnallee[ iD- Le maréchal Bazaine avait-ilà 1. 1 . D. avait 24 heures pendant les- 13 au motte, pour les différents srrvicea, rapide. Des publications outil sires très-,do

net des ordres pour la destructions quelles le mouvement d'exécution ..rail po le mouvement des Loupes, pour intéressantes se mullipiirot ; on odits- 1 et e ominatiop des La a.

e p tes pon s en avalrms tpour qû ou d .

si iur la déposition du témoin? 1 s e i t i t dit f s o t généralement précédée ont blé. de'ruin ai, en dehors de l'tn-et en amiral de Peut ét-Mumaon et outre venu. fait l' o b j e t d u e n ,à IVes Je grand D nf dgrs, pvieyumn Le génen I L E Il et difficile de R. La jooruée du 15 u a été 0- publie $ ' t .t :mp g é de divertisse t qui nuance possible d'un exercice forcé eutuait un mouvement qua avant pour but s rréter, foui s e.cherie, L'éml-major ployée par mai qua donner des grdrts h t: lit vergé f 1 f 1 t 1 b b t ll t même d'une alimentation insuffisante,

de se replier, es avait signalé des dé[-- général est resté en dehors d éludes pré avea u e r ' e m . ' t à t . ts à tf I fd c rax ou e pu tenir compte des causes locales

chemenU pgifcurs anneau, preparaW.r s II y avait qu t rt':- à C. M, le gêné al L brun, avec-vous les LI, e d. I n. 1 1 a t e t' i,l e un -

en

'Co 'ad vertes jde la compression de laR.- Je répéta que les puuta ne flOu- p =udtte Q jt pu c' te ter de eu covnmasa d 'J'a do m etaehal p t 1 à t et § - . th ( ir 1

Olet i 'd t p m t à pallie aMillioure du cou

voient erre détruits; et il y avait me dent. Leu n dies ade maréchal se sont Bazmne usant les commandants de bl y i bl à ta 3 tutu, e- fp canine te s Ieane

tin xoLa nsu Anrànus .nus U etaeenn-Bue Gerlalne tactique à laisser engager borné. à prendre tris jours de vivres ; corps de tu prise de pouessioa de ana

Pe tpl I igitr_

a

tus et do1

m , aJe é y mpalht. et une Ngta Rtwv - An su et du mémoire de M,t u,lé militaire, Ces réun ç ,out

dis-

Jda détachements ennemie dans le a s à se débarrasser le plus

possibledes bai eommapdemea{, e d ms l'arms sa moue iu I l su es u

de ai sis à Peut à-Moussus, en aval en dù être donné t qni. été et donné Ic'o études, pour 16, reconnu iss...es m;- nisedes cercles et tout porte à croire que ciété vaudoise des officiers d'état-

tu IIna{mmsndpmant ea c{vel. Si I:état. lilairea. , le ueement ne se ralentira pas. I du génie et de l'artillerie, a osamené

R. - La destruction des ponts eut finajoe en avait éié chargé . aurait lait li. - La responsabilité du maréchal L'E,pvgne a nue société militaire qui deux mémoires, l'un suc le trais d'.],use pê,.tiD. difficile aval passer tant d'abord ce qu'on appelle les Bazaine me semble commencer le 13 au Çoncliouue depuis trois ans, avec F- - - filleein, loutre sue l'amélioration de laété.et

impossible en amont. Il était né- impedimenta et le passage aurait été en- matin, i stinn du ministre; elle étudie les I race chevaline. Les sous-officiers ont

e qoe l'un ser,1t Ils ponts pidzmxnt esé,Otê. Le lendemain, le Ms Lachaud. Mais tan a eu dcn ce- digérantes questions qui fui sont sou. 1 te.a, perdant l'hisée, des réunions heb-pive f6'semée)ja--'au5 d ailleurs, le mouvement d s t qupaa a 4 t n -sen-

Idéedonnés pur l aien état-major m et publie ove revus tari pique, ''.

dom.daires dora lesquelles on a fait des

mxréoltal él g e ,Je 'L' u-éple, a-armt çà tic, 5 hpone du m.Olin Ce meuve: général, il 15. 1Alheiteo rnililnr, ntretiens et des c aférences sur lesaucune responsabilité. ment n'a commencé yu'à 10 de matin. R. - Je tien connais pas. Oa hecto un curie alita e pariai.

il:veesesbranches de l'art militaire. Dec

U. Je appelle que le général Alargue- Ce n'eet y a'à 40 heures du matin que'- Ma Lachaud Oh 1 monsieur, je tement iaatnlié 5 et un as' ofh;inca mutants prêtent leur concoursville avait quitté Pouoà-Moussas. Le ma- M. le général ProssarJ a commencé son prouverai qu'il y e plusieurs, lie à Stoclrholm. os sous-chiad ons, et il y a, en outre,récitai

Basante ava;Lil donné des ordres mouvement. D. - M. le maléebIl Biaaii:e, avez. 6'Aul riche: Elongrie fait ire pluu 1007 des ercices pratiques sur le terrain.ident< Cemeuv m l d é volta qualgne ber, lion à présenter blé fl 1 p t p' i,, ç p' h: Ce c..touons sérieeaes, e travauxl ePl t l àié i

B. - Je née ni pas eu connaissance.L p lent demande à la défet se et

ai, m 1 publie -Is autorisent leIt n:aunaac rz Or er, Ni la défense lit le

n ste.ra pub ur, ve s'y opposent. Avant

de se retirer le pâmai. demande à dépo-a sur les laits du 14,ar

a Président l'ait observee que le té-.,ro

Défie désEinteeecgon

duos le secoluire, ga

Le témoin insiste.L p d lit demande à la défense ai

Il t- le lém u n b parier.AI Loehand : Suas doute, puisque

cols emoblelit

die au général.L- témoin va parler. Le président

Im répâle que la déposition est terminée et Vi vde à se retirer.

Il t deux heures 4/2.La séance est suspendue pour vingt

m acte.,A 3 heures moins cinq minutes, le

conseil entre e. séance.M. le Peésldenl, - La séants est re-

PrLru

Ll léumignages continuent à pareraur la 1s socuoa a neuf divisions entrelesquelles sort parsagees les questionstouchant la conduite du morérhrl Ba-zsioe, depuis sa prise da possession ducommavdement eu chef jusqu'à la capi-tulanon de Meie. Il s'agit des circu.s-ances qui en ratiacheal à la prisa de

possession du commandement eu chefdu maréchal Bseoiue,

NI, le président au maréchal Leboeuf--Je voua ai prié de tester duos la sal-le parce que la déposition du généralLebrnn est celle de votre premier aide-major et qui une coobnonution pouvaitêtes néc=ssaire. Pour moi, je ne la cecispas Imispe... blé, Avea-vous quelqueobservation lIaiee, sur la déposition dugénéral Lebruo?

AI. le maréchal Lebmaf. Ne., monsieurle Président

M. le Président, - Les deux premierstémgins doivent se retirer de la salledes séance,, ils serom rappelés quand ilsers utile de le faire.

M. le maréolml Lebmaf et le généralLu-brunse retirent.

M. le Présideal. - Faites auteur le gé-nér Jarres,leal

i.éral Jaceue ail iplrgduit et prêleserment.

Après les premières questionsaccealnmiey, le président ;.vite W. gé-néesl à déposer sur les circonstances qui

se rattachent à la prise de possessiondu commandement pur le maréchal Ba..non.

L'audience coatinue.

Las cexacxs or seruttés an.tremxs su

La plupart des armées européennes pos-a'deot des cercles militaires, des socié-tés de tir en de gymnastique , duel lenombre et l'imporiavicee grandissent dejeu, en jour. Ces institutions, ces éla-hlissemeuis, ces associations fournissent,à leurs membres des lieux de réunion,des moyens d'enseignement , des occions d'exercice, des publications techii-

q.es, des int'ormatieus msiltiplest des dis-tractions méme doit l'utilité est partoutappréciée.

U. intéressait article, publié à ce su-jet pur le Bulletin de la rmnion des u-f/i-

rs, passe rapidement en revue Ils ao-ciétéa de ce genre qui existent dans lesdivers pays d'Europe, et donne d'intéres-sants détails sur celles de la Suisse quimet les mieux établie. et le. plus dé-1 r rural o- L'auteur rappelle que l'An-

a u sed stona,Union, de nom-breuses

sociêlé

étés de tir r etdes ceric,. deBroie qui re.Les

publicationsione

terreeet de mer. Les

publications ts tCOdechai

nues soit nombreuses et l'ancaait

laser par exemple otite etaesd NewGaze--

le, organe de la flotte et de l'armée br4-ao.igees, à laquelle le Journal offloist

fait de fréqueuls emprunts.L'Allemagne posséda également des sn-

ciétés de tir et de gymnastique fort au-aierres, car tons ce qui se rattache àl'armée est depuis l..gtemps l'objet dessoins les plus assidus, Les publicationsspéciales soit nombreuses, quelques-unesregoiveol l'inspiration des généraux lesplus haut placés et jouissent en Allema-gre d'une autorité sérieuse. Signalonsaussi l'ioetitulion des casinos militaire.qui foocti...dot depuis de longues a.-

La Relgigae possède de nombreusesa iétés de tir, et 1'0. sait que la Renne

militaire belge compte un nombre très.nsidérable d'abon.és.coTout récemment, des cercle. militaires

doute avec le temps ; dès aujourd'hui, , entées eut arrêtées d'avance dans oresIls t d coude, voua à tous les eh- leurs détails après q u roiLê

1 p aga oa en stations dans la central envoied I.tt dIl y f iil d es conféeeoces et des individuelles qui indiqucrté en

le lr o, l 'é.,abéliens, on y do..e même des bals poque et la durée des rcuit on,, le arc-s[ des coacets, gramme des études et celui a,, di=er-

Mais c'est surtout la Suisse, cette terre tisse mente. Ces derniers, gén. ra lt mentclassique des sociétés et des auorictions identique, dans lu-a ea.lons, complu.-de telle sature, gui nous Offre les meil- Dent la réception des membres nvit5.,leurs exempter à suivre. L'organisation par les commissures, les nromw:ades,P. an de la Suisse repose, comme on les banquets, les concours de tir, etc.sait, sur le système fédératif, et son Tels sont, dit en terminant le B-2 e vitorganisatiov militaire a dû en modeler

cildes officiers, l'or t a

néceasanemeut sur cet état politique, et I P ct' ment du lis dR, t sLes société., diverses se sont dune leva. cimes Il nlfrent ploa d'un e, apte apontées usoiéme.u sana channe canton doit.

,JournalOf/eirl).

rec

avec des caraeléree particuliers et sousdes dib'érentes ; plus tard, - °' -dea relauoos se sont établies entre ces

ACADENIE DES SCIENCESpeuls groupes, et nous assastoes aujoue-d but à uo Travail considérable qui peut ---Oneirpour résultat, dans l'avenir, une Séance du 13 octobre 7375,éatralisation plue ou moins énerg q e

de ces forcé s éparses. Le Journal des .Assaznasssatxnr sas aeartnans naannécnmilitaires, publié dernièrement sais.- li n'est pas toujours facile de

dxnzaétudrs trés-complètes sur les su- déterminer l'écoulement des colis stacillé- de tir. On y trouve la preuve de gris-('a, à moins de faire des troua iraen Qua peut faire l';nitintiee pavée lors. souvent fort dispendieux. 11 paraît que laqueue est soutenue par le gourerne- fièvre mtermitteute disparaît là. O, .ùment et servie par un véritable pet'`- prospère l'eucalyptus glu-belsa. , est uufilme. Nous nous boeueeom à faire re arbeegei pousse avec usera pidité i.rroya-marquer la transformation sensible qui hie, qm plat absorber dix fuse son poilss'est accomplie dans ces sociétés de tir. d'eau en vt g--quatre heBres, et qui ré-Purementrempli (leur début, et n'em- taud dans l'atmosphère des émanationsployant que des armes de précision, eampbrées a.luepligpnx.elles sont devemtes aujourd'hui de véri- M. Cimboet cita des l'ans nombreuxtables écoles pour le tir de guerre, et qui confirment l'heureoae iuBu.nce del'on peut les considérer comme une pipi. l'eucalyptus globale,. Les A.glaia ontnièce d'habiles tirailleurs. Grdce à l'in. fait les premiers essais de plantations as.tervention Vendent, do gouvernement saioissaa(es dada la colonies de Cep. Enfédéral et des autorités cantonales, grâce deux ou unis anuéea, ils net changé l'aaux encouragement. adroite et iutelli- conditions des régimes insalubres de leurgénie que les uns et les antres ont des' possession,nés aus tireurs, les armes de guerre ont Quelques années, après IesAlgérie ns ré-pris ia premtére place dans le concours, psndire.t l'eucalypl0. dans noter coln -etles ociéléa de tir rendent aux mile: taie africaine. Au Pondooh, à 521si1mné-cieis les, plus grands services militai. Ires d'Alger, M. 'fruitier possédait nnerein propriété dort l'habitaliou se trouvait

La Suisse possède S23 nyciétéa de tir, près de la rivière il umize qui, par ses

qui comptent ..virty, 51,0711 membres. émanations, donnait chaque nuée laChaque sociâlé, reçoit de l'état une sub- fièvre paludéenne six fermiers. An pri-venlioli e i deniers ou e. ature. Peurry temps de 1867, M. Teoltiee rit plantersurir droit, chaque membre doit tirer t3,0a0 eucalyptus ; e. juillet de la nué-

annuellement 50 coups aux distances me ,.née, à l'époque où eumueru rutréglemeuteiers, qui sont 200, 360 et 450 les flévres, les fermiers furent compléte-métres; ces tirs s eaécuteut once les ar- ment préservées. Les arbres avaient àmes et les munitions de guerre qui so.t Peine 2 me 3 mètres d'élévation. Les

à la disposition du canton et que les Lié.... n'ont plus reparu duos lea pln-autotités -Locales poissent d'ove ma. iahune.mère permanente entre les mais des La ferme de Bu.-Mchyelie était épu-

-miliciens. Ce système fonLti...e en té. pour a.. insalubrité, elle était couSuisse aura inconvénients, .Les armes verte de marécages. Le sol a été complé-sont minus soignées par les hommes tement desséché en cinq ans par des

rai sdd cnhetieu;enles soldat. Dort Plustoèmo à

l'us ne do Gué deété

familiarisés avec leurs fusils. Moyennant et dans la ferme de laa siois précédentes, P elai paya à

Maison-Carrée.Les Propriétaires de Cubsc ont corrigéq

chaquee sociétaire u subvention, qui les régions malsaines ce l'île en y 11.!Peut -'élever à 1 fr. 25; l'ensemble des tout l'eucalyptus.dépenses occasionnées par la c.asom- L'A stralie est salubre là Où cet arbre

mati-- des cartouches e 1872 de..e prospère, et morbigéoe dans les partiesu. total de 44,346 fr. 25. Usus e total où l'arbre n'existe pas.

sont compris : la tir des retardataires Enfin, M. Limbe t cite, sur les rivesde 1871, celui des écoles militaires et de du Var, à l'entrée du peut du cheminl'artillerie, celui des bataillons d'infan. de fer, une mais.. de garde-bueeiére veu-lerie,

D.Û.celui des société. volontaires sien de terrassements, ae colmatages.

de tir. Cetto maison était meuelrièee; tons lesQuant aur sociétés militaires propre. ans, a était obligé de changer les ger-

ment dites, elle. se divisent eu de.. eu- liens dont la sauté était attaquée parlégories : -.ciéléa d'officiers et de sous- l'impaludiame. M. Villard, ingénieur, fitOfficiers; les bases de leur orgaoisatioi piauler, ;1 y a dena ans, quarantesua identiques et en harmonie avec le bras dans le voisinage de la maison; déssyalime politique fédératif. Chaque dan. cette a..ée, les employés de la vainton possède une ou plusieurs sociétés; furent préservés de la fièvre.chaque société nomma un comité dontles membres sont rééligibles et siègentà des époques et dans les locaux dési-gnés.

End., la Suisse posséda une g ondeassociation qui se nomme v Société mi-liaire fédérales et qui sert de lie. suadiverses société. cantonales.

Voici maintenant comment fonctionnecelle -rganiealion. Un comité central,formé pur les délégués des sociétaires,est installé au chef-lieu de caet.. ilcorrespond avec des comités analoguesétablis dans chaque section de canton etque nous appellerons sous coraités. Cha-que année, les sous-comités tiennent mauertaiu nombre de séances, dans Iesque4les ils discutent les digérantes questionsà l'ordre du jour et examinent 1es tra-vaux envoyés par les officiers ; ces ira.aux sont ensuite résumés dans un rap-

port envoyé au comité central. Avant dese séparer, le comité central trace le pro-gramme des études pour l'année sui:taure et rédige un queslioavusee quidoit servir de base aux travaux dessom-camitis. Le département militairefédéral envoie souvent lui-même les su-jets de concouru qui lui seul demandéspar un comité central,

Ainsi chacun de eea différents organesse meut dans ..e sphère complétement'dépendante ; nianmoios, loua les ef-forts tendent vers un but commun etreçoivent uae andin. suprême ; il y elà une déee.tralisation intelligente et

ne organisation éminemment pratique,Voici nu court résumé des travaaa quiont été exécutés pendant l'ansée 1872par quelques sométés, La section de Lau-

qui compte deux crut quatorzemembres, a traité divers sujets d'unegrande Importance école de brigade,

cenaaissancxs

mf:Utzires,

instruction

corna érioi atiOoe.. - (Jus Ca-serne de Saint Elles.. présente Cuce moment un phénomène usera cu-rieux : plan de 250 soldats y soutatteints du goitre. M, Bergeret a eu.cherché las

causes de cette épidémie. Ils'est rappelé qsi en visitant Saxon-les-Bains, en 1865, il eut l'occasion de véa,relier que l'eau gypseuse était réellementJe cause du guline. En effet, avant 1835toua les habitante de Saxon étaient goi-treux ou crétins ; ils buvaient alors uneeau qui coule sur u. banc de gypsetrès étendu situé à 200 eu 500 métrerau dessus du pays.

Depms 1835 0. amène à Saxon l'eaudes àlayms, situés au dessus du banc deplâtre, et depuis cette époque le aulire des goitreux a beaucoup diminuéIls enfant. ne le sont plus.

Mai. à Saint Étienne, où l'eau esttrès pure, il faut chercher sut autre cau-se que l'eau gypseuse, M. Beegeret adonc imaginé que les soldats sont sou-mis à un travail exagéré et qu'ils nereçoivent pas uns slimenfalior pecpor-tionnée, à 1. force qu'ils dépensent. IL enrécolte que leurs muscles deviennentacides et produ;seot de l'acide Doifari-que et de l'acide phosphorique, aux dé-pens du soufre et du phosphore desprincipes lbuminuidee, d'où entende'lion de sulfates dans l'économie.

Cette interprétation des faits est Inad-missible, selon M. Laremy. Le goitreépidém;qua des jeunes soldats est biencoma. C'est à proprement parler unengorgement thyroïdien, dû à la pies

o exercée au niveau méme du corpsthyroide par le bouton de ch,n,lae,le col d'uniforme et l'agrafe de la tort-que- L'effet mécanique provoque 'Il'Lutin» et le gonêemeat de l'organe glu..duleux. Dans son inspection médicale de1864, à Lyon M. Larrey a trouvé laplupart des enfants de troupe du S' rigiment de ligne affectés de thyroïdite ni-gré,

par l'eiet seul de la compressiondue au col d'uniforme. Il a suffi d'enprescrire la suppression pour face c de-ser le mahUnc délicate. du ministre dela guerre prescrivit de remplacer le cold'uniforme par la cravate, dans toutel'infa.tacie, et dés lors, Ive engorgementsglanduleux du cou sont devenus très

' arrmspée.raresdan lM. Lueeey pàhse donc que los mède'

clan de la garnison de Saint Etienue le-

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Ur 1 pou M. B l1l t d'ove antre Salle qui feraient fonc-Il ta persans , de trou d 'une et,loue à air pour atténuer

,rri Iée, durs la , cala erre' de l'ouverture des Parles. Ces la-

sentdesmitrs des lafonds etioli piemuf er Pn PIl C

, rr. aussi é Bis l e u r sol eo tué.f Baa.llav+l +r v t éi r+ 1-1I, Ple,i AllgCI, c tl s tcellules u

1, louré à une Y l i,il 1 I

] p r t I t I r, ratun av,,t t v I t d l p i f .,agi

t l t r d f, t ! d tir f, d é t u, pratiques+, I.cue t f I sommet di, t salle, allaient en

seul ues le, .tr,r_s. Les ar'érea sont 4 ruromnncabon i -t. avec des ti,yaozd'appel dans lesgorle des bacs de gaz,dont l'expérience ferait r mitre lenombre, seraient allumés. L'air à in-traduire serait prie vers I, fond do pairset arcoureait les arceaux de l'euvel'r -po rida sana sot, Le local pourrait êtreainsi établi au rende chaussée, éclairéper des fenêtres pratiquées du côté dunord et munies de doubles chausse,dont l',+,(ervalle sertit en commeoica-lion libre avec l'enveloppe isolante,

L'soie, leapplication do ce eysléme a eu on,principe arcs t excellent réaullat, en 1870, vu Corps té-

{ , in est snLurent à I r t su ielatif, ai, l'air frac, vouant des gale-t l ndert de la vol0nt. La f ree

rontreiarare, était déversé prés de

atlaclin, à ce 110::11 Bit dé pend.,Cle snr ,aevutile du plafond, à 20 mètres art

Al, et de la libre musculaire, Une des cau- ' dessus de son point d'entrée.aubaidi:siresde celte force est l'éla,- A siGne. - Ou

eill II

tlcit' ; la mort même ne l'alfaiblit pan. ev rappelle xque nA.L Cornu se ren(1 ! '110 ta soient mnscnla élus' dit à Cognac pour essayer d'arrêter le

s 1 rl les art de plue d s leur . développement du phylloxera. L'oies.1 J r r p fart 0gul de vie, s ne se présentait d'employer le eemede

1 rrr a0 té qui' est le n/L n sou i de M. Monestire, basé sur l'emploi du1 p I:ee. i sulfure ils carbone. L'eflicamté du re

-0 P, 0 1 r èd été pl eme t .auf éL lisFI PI t yp 1 ]. 4 1_

D't t t. déb insu: d A tn-

tir , m d. d I - pte

s qui ont été tuée p lest r Ir

e

"or'-d lu r 1- speni, du nolÎUre de carbone M s on

rbinal do génErnl hiuri n, .u est luquint sur la nanti de la vigne elleet ét r t, aê I Lu ire 'ot é es rame ro-

't F tl lé. 1x branches, I-.q Irestient àv IoY 1 ot ms vertes à Polé Lesnée'h

SU 23 d g o i b p nnt.elks su p t mp f1 je., et d 25 -l, ,0 M L., q le tl ,+sb,udian unr y 1-ff pour 1 d'y l n- I l 1 iste mine en r t.

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15 I ôté, M. A. Rois Il saiépi I uero

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fille 1 ,9 ( 87 mtI rar d. .tlh r

r I. luifoi-O d 1 tue l Civil, On de.. dI p 1, t 1 '1'i A fÎti oison { tué les bois et' a I és 11M.1 t R i t U. - 1..

p l 1 e 1 poirier -

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g 1 q I o n i p là I p f, - i te R- 0 6 r y 1 W..<. La ( pF 1 de l'si

JE'péro s q le I lie un aulr¢ Y hurpa e oo ,fée pur u : drel, m,

t -[ g le e t d a" IolliLIE '.q e én rgiy e q le su)fure béat ,p de aucc é6

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dru erx +

C11 d.- L p bl ire d e carbone pour dés erre les phylloxe gis t

eVl 1- Dd t e, elle n'eai-C à r .s 1 Je ras mers moins udensif pour la ylante.

Ii P m Ies séances .,..i été, qu rn ' S

11

êe. entre les a - i La De 1 c' du S t I re par lay fli,u tdéib 'de

r s un rrcxs.+ r+urar.A nruia I E h. g d ."P IUd ri

avait ben 'il II renié rn do R 1 d Ro

-n gran cor cours aeeurari. ru ;, et Ifs

le p. al.r co t 1. lérementàCrg d m i te.:t I 1 l e aitadl. de te p d '.d til Ii

9 e P pore I gricolee d'u ire ut lé ! I 1 été I éO il1 h 1 S d sis Idées d h +p Iauv, nui n p pl i t r 1 le, Benardbmg , lélamùiU, aune. St.Paul, rl' p p-I u Alo que ces mn h P r 1 t é d- l' g P t L Ilmaud, le 1 eft e 1é d t dél c 1 de t et liez les pht énemamens eeue tempérer n- nlO riment en 4 It r e a fia I i l't I nt servi tour es t' rb t '0 ptciera.

n,°é mf- - Dv Gaaar et Ci-, 26, place VeadOmq.

estan te, serait ptécé- jas laboureuaesà rageur, rellesuee qré. à tûr d'eu ,iUSpn .', des decm qn ce, YP 1

plaide., Png rrlse es dyapepaes, i Paris.

de nus mars sons une autre l'orme;elles anl Ira rr émeu l'aruéons, las mêmes

vements et saut soumises au e"magent.

Ce lonl les causes secondes et lesinslrumenls de la Imirealsüon ; bu

menin sont ana dilatillons et dest A ls ,(teroativeu

"il m "'Il, le qui entre dans lest téI .s s. pousse leur pa-q.ti In repu' -nt à leur tour sure

l iasis-des étudiants du sexe féminin 0utrient pour suivre des cours de laté de médecine, pour pouvoir

passer

er

leules

examens et recevoir les diplômes, Le pro-ses vent d'être ,lugé en faveur de l'Ilo;-versité, et les femmes condamnées ans

pas unrfinis du peoeés, ce qui raiient'élè

bsgatel le. En elfes, les frein svent à851 livrer smrLng, 10 ehdLugs, 3 -de-

comme tan demanderesses paye.rWIL.raient déifie lament tant d'argent, uvlittérsteurbieo connu, M. Henry hmgs-tee, et lady Anna Coco Laughlon ent pristaure !.héros en main et fait appel à lugérdeoailé publique pour le Vertementde la somme

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P Y u H t est .. 1. . l.flo na deD qu la MIAIlIOVtu'11e'e'e'x+ r I f set I , a rr. 1 +,...

LA

IIAIITINkC"

Bourse de Paris, du 20 Octobre

pendaient fort lentement en Fiance, Le mimes, MM. Demarquay et Ricord ont gastrites, gasiralgfeeCris B.

, glaires, vents, ai'u x PI lus 1Icnu'il

3 7 a nuit té uprogrès aérien. { p orge parte cette durusnou Sieurs, amditée, pitm tes, nauséex d 1 qui t prilimmaire. IIIyoutexposé .ulev Bat is, vomissements, cone,lorio dnui r pl F. er I

de! ie quelle maniera devait être entendue rhér, dysaenterie, eesni toux thmbien p t d t . { et ta a on d it b a d . Oeseon monts, oppression, long«démion 1

pari 1 6 1

t veroud t r d 1 aO L I de I 1 I or fE ne se ommes, m dés rd diabète,g ,ouf. in I t r I r 1 t d Il r é t x nseLSSto plat' i f Ibless phth n f

is,

deux d s de lail,P tr e gorge' h l d. h nil lieu- 1 y I i 1 G 1 1 bd n ( 4R I h t e [.al -il t1 i il I p ,î il" 1 t q f a Prie d q e rv t .tag A7 n(G I

volla grands 1 1 Je r a i p f f tir oi l'' 1 id t l, y c

1 s celles d S 4 le Pape 1 duelu fan., de méu e que lu a,ac6 ne à bat- Ï Il c t d s perf l t n à ppter à eu ge

de Pluskow, M-- la marquise de Br Jmn,e a remplacé le Iteau ( I éutui, à I veu D.atmn, ,n un4 etc,yy mot à l'aménegems ni des fragons de

- U. nurieux procès vient d'Ptre in- 1 bagages devant xervir au transports des Cure n 69,924.Isolé à l'Uuivenité d'F dimbmirg pur blessés; celle de la !orme et de le dis

position des voitures de transport testé. (Aisne), le 1Ujanvier.nées au mémo usage ; celle enfin de la

leau de Vaueus eosion ou de lu fixitéde

Boissonsabuin, prèss brancards Chd

ont été traitées à fa nd e 1 P rfaitemeu7elaélucidées. Il parait que leu

paropositiorsdel'Dans le village que j'habite une partie

(mises par s éminents compatriotes année,dire

cete

otri

tuasluees fméde at-

per- deiule, au eueet es appareils désignés, s mnncer

àC 'estomacfeclioanéa par eux, sale btenu plein suc. d'unans,

; lefait

t eutst que'.

ces. depuis deux ans, cette , (heureuseCes représenlaD,E de la scieaee midi. soufflait des douteurs intolérables. Elle

c 1 f ç. Issu qui ont été nommés vices ne p0 u ait plus rien digérer, et sa l'ai-primder,ts dp d:congr, ont en antre blesse était s grande, que de remuertrouvé à Vienne l'accueil le plue em. méroelDe bras, lui était impossible; enfinpressé elle plus sympa'higne, La haute

oléli s'est ,outrée également trèsbienveillante à leur égard. Une eeuar-..ion ..il été organisée par M. le pro

fesseur R Ilroth pour donner aux étrm-

duotramasanitaire en Autrche e Lârtchidic Wlhelm avait ievté égalementu Ip t t s au dîner de trente

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c 19 'ai ' t 311(f nui pays m , 315 'R Vitré 19ovggé 8 (Ilq, Hmpr Af pt I,, tl86F.°e pr 80K km -tf t h anw epL 730 715 Orius,o S Charnue, ë U10. 1 15 S Autrich gaa

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chacun attendait la fin de cette agonie,qui devait être bien prés de son terme,lorsqu âu mais de mars dernier, j'eusl'idée de lui conseiller de prendre de laRevu esciére Du Berry. Depuis ce temps,elle s e trouve mieux, les force. Devien-nent, elle digère et ne coudre presqueplue

DE csnSSnLnes, Comtesse de aouocoss.

'Si' fois plus nourrissante que la vian-de, eaux échauder , elle économise 50fars sou pria en midecioe. En bulle

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La Reeslescadre ehucalalds, rend appé-lit, digestion, sommait, énergie et chairstermes aux personnes et aux enfanEs lesplus fables, et nne "t i ou miensque la viande et q II le olat rdi.noire sans échauf F boîtes de 11tasses, 2 fr. 25 d 571 t s s, 60 &,ou eevirou tOC. la toues. - Envoi canulebau de poste. Dépôts à Toulouse : Vi- 1dal Abbadie, P harmacien ; Sigalloux, 6;Ch loi

p T nr, 43,Prosper-Périé, rue Austerlita, 2; Gélab tAIer , e, Haglan ; nounousb Devd.

BULLETIN FINANCIER

Dans notre revue d'hier, comme danscelle de 111 emeine pricédeote, poisavons appelé l'attealiau des esprits sé-rieux sur la sihmtioe de la Banque. Sinous en croyons les informations de per-nnes bien placées pour être exacte-

ment iefurmies , l'élévation de l'es-compte aurait été insnfGsaule, à avel're

l'extension ingnétante de la présenta-tion des beedereans.

La marge cotre le h'R e total desém+serons et la

fila

te légale aurait étéréduite de près de 49 million.. C'est là

I dép lad m e t d. M g deMUSIQUE PIANOS t I J.-R1 CCFT a 1 er Donnes a, àfo I Atelieree spécial de répara-i de PIANOS ORI I.FS us la dil A d h bile f le e Ab esemen

(I t(aneord es o 1 eut t'en sure pionce,

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matin à 6 heures du a,,le dimanche. (348).-

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Achat de d'or et d'argent,quadruples, monnaies françaiua etétrangère., pierres préaieuaee - Pais'ment de achat et voisin dexaxne, Acnsoxs et om,mnrtoxe. (1489)

SPECTACLES DU 22 OCTOBRE 7673

TeéAT.. Da CAriTUL.

Direction de M. n. COMMIINCB

Le 22 octobre 1813 à e le.

51ELACIIE

pour les répétitions générale, de:La dame aux camdlier, dr- sa 5 set.

satareE DW eassl,Ea

Dlrecsdoe de M, OMEM

Tous les joursLE DIMANCHE EXC;EpTÉ

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La fille de M-- Angor, ts 3 a.

MÉDAILLE DE PROGRÈS Dd;CERNEE PAR LE JURY, A L'UNANIMITÉ

M. I)EMULTILLES111111 rIGU1I'11h 10 A TOP1,OC PIi

ALLÉE DU PONT DES DEMOISELLESA I l f I I tl 1 I. 1 tt t, d, Illé à

1 1 . lI t I I I t l [ ( t ss g ¢la, lI é e 1 t I I. O I L 11

f l 9 F aI\ E I 11 Slfll

FI I T ,sN F( I

Y I t Is Irtl'oniml air on plais 4e¢t'enL e: (; icneu ll I. dL,+.x s,, llvots dn Yig loir Lip,.nr, rite

LF Ira Y11F I'REMSI, Il CROIXL, t 16 A 1, fl l lt tir la p a"', a to te; leuut la dmn I r i y lo a t un franc r. i t I ante.

I1ersomu quiGrande MfldILLE DE P0061168 (14 ''I tvn hrn 19 J I i l'vran m te d+ T, I1), à l'Expositionivteraatimala de vieille (Autrinbe .

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denléu ville (5G ki Dméh es HERNIES. Dnéri,bn eavec +a,emsa de fer). - Pour

isoulagement

les renseignements, s'adresser lo médiat sitôtil, calioud'un( ouvrl appareil, liesà M. P,reil, avoué 9 la cour de leur, M. Biwsdessl Sis, a.fils, doToulouse, rue de la P'oude- I Paris,

31

rue Lapeyrouse, Tua.rie, 19, (1459) Jlouse. (540)

d'éveiller la susceptibilité de l'opinionpublique par l'indication d'un chiRrcmaximum trop élevé. Par salle, le gou-vernement lest trouvé obtrgé de recouroi à nne série de demi mesueea d'autant plus Iralrhlavtea qu'elles doireolivre d'ordinaire pr les d agence, et aprèsque la Oavque a été contrainte d'user detoutes ses sévémtés pour défendre ra It-m

O. craint l'élévation à R 0)0 de l'escomte à la Banque d'Angleterre cefallu a il se prudm,a't f t t é pro.bablemen[ la It laque d N o à prendie arc sure anal: u I t nt lionn fa ' e s 't l' P

rg vu a aieser passer des séances de Assemblée National, Stemap'eçu sicle marché.I à noire première msnt,UOn de Crédit leEu dehors de toute ré0exros sur foré. 1 moyen de calmer chez nous la tensionrude de la epicula0on, il est absoin t d lors oins d anl uiler tclmn sixcertain que la hausse des Fonds pullca d. lad-s q

lsont foies ;elle doite peule end

de titres evcéte Podrque si la demande aUendre le u novembre, ..ôte que cmà-S+ dos besoins sues presse lis que te Sous la Pr-si'- des rires surahon-Jceux dont tin a le eenlimeei parla pies. danses du papier sur ordres, provo-'sron eaerrde crie la Banque se produ'- quées par II c+ainte de rà r l'escompte

se !'lesest d pas pois bre qu'ils pneu. Porté i 801(1, le change anglais reculen gros porlefenilles à des ventes de 21,47 112 à 2 5, l'agio sur l'or Jenmdérabiss, que la spéculufwn pair' 4 le, à 2 f 70 S r le marché Rnan-aï

pus pt lmpuisuame à ea soutenir la ciel, an d: ie le report à rai... de,d

W x tuatioe actuelle fait ,fuirement lt daumo1 pleut, du compuat à la

comprendre le malt vara Gâté d'une Duo gPeu d'affaires sur les verso ra Bnao-absolue d'émiuiuv, conçue d'auto+ilé, c: éros, la plupart uses lourdes.sans laisser le conseil de régence ju go rie La Fonde élruegere, l'Italien set offertl'extension à donner aux émissions de de GO fr. CO c. 4 GO 1e, 10 e, Cheminbillet,, f é 'i ne rs J Imeséc ; Aulnch:ens et Lom

Dans le rinci lp peu ou a visu u ',a, Lards lourds,

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