17» année. -e 352

A.BC)NDF EJMB TTSTOULOUSE (Ville) : Ça ,,n, 40 te. - Si, noix, 21 te. - Truie. u, ., f1 Pr,DÉPARTEMENTS,... - 50 fr. - 26 ce. - 14 Ce.

Les ateliers de l'imprimerie devanttitre fermés aujourd'hui, fête dujour de la Noël, le Journal de Ton-lause ne paraîtra pas demain, 26décembre.

$605 ires Oanruss.

Parie, 10 Dénombre, 10 h. »» soir.Rento 3010 ................ 84,10Emprunt.

*

........... ...... Il-1,37l'arc... ... 13,80Lottoontérienre Espagne.... x0,1!2Ob1i1allons Egyp troua'neo,O 352,»»Chemins ottomans..... ,... 62,25,Copains

ttoma.......... ., 835,1»lait.. .................... 90,45Marché ferme.

4O&i6é 6 DE 'Uàffi Câ'a.ï +Édu 24 Décembre

30/0 Porteur,,,,,,,,,,,,,,,,,, 84 »»30/0 Amortissable nouveau.,.,, 85 »»5 0/0 Porteur ................ 114 »»

Fonde étranger»,4 010 Hongrois ..av..........., 79 »»

0h,,,),,5 de fer.Mobilier Français ............. 740 »»Mobilier Espagnol............. 850 se

2100 e»

-m emaa »nmaasMidi .......................... 319 50Ville déparia 1065 .............. 616 50

1871 ............. 396 1»Foncière 3 0/0 1877............ 345 111Ottomane 1869,,,,,,,,,,, ,, 77 »»Ville de Toulouse 1 1/2 1868 ,»/e 506 25

Liquidation 31 Décembre

Mobilier Espagnol............. 850 »»

iouiouse , 25 Décembre

BULLET1I5 IOLiTI4}I L

Le Nord obus donne des rea ,g emeurs sur la mIss m -,liée, pr I I rede liserer, k a NI 13 srb, so s ei rel sired'El t au u0str des IGues en ogèces qui pén og e u bl n nr I lest dchancelier de poursuivre cru eau I lespourparlers avec le Norias, clic l'arr,-ver le pins tôt possible à an mrdu,c eiucndiqui Inerte fin : K li k ri) f a 11 avaitIlé entendu, do b. Nord, que les négo-ei 1 nous d telle. ,tannaient 411911end lle9

jusgIlau retour de Washington de N'1. deSrhloxer, qui doit uecuper ullérieuretnenlle poile de mrmaue de Pr s'e près leSaint Siège. Le oto or de ce dol l nn de se(rouyant ajourne I. iu tlnr s'maures,et le g...o Oment prussien ainsi que leVatioan ayons hâte d'aboutir à une solu-tion, M. Busch est chargé de continuerl'ouvre commencée il y a quelques moispar M. de Sehlozer. Du reste, avent l'a-voir été appelé officiellement à négocieravec le cardinal Jacobini, le sonsaccré-taire d'Etal avait entamé des pourparlersà titre ollieienx, profitant d'un séjour qu'ilfait en Italie en vertu d'un congé. Il y a,à cet égard, un curieux rapprochement àfaire entre les doux périodes des négocia-finira dons lesquelles an voit saeceasive-ment figurer comme reps du ea-luinet de Berlin M. de S,blazer et M.Busnh.

Il

Nl, de Sehlozer, lui aussi, avait pro.filé d'un séjour à Borne pour se mettre encommunication, sana qu'il eût pose celaaucune mission ollicielle, avec quelquespersonnalités influentes du Vnlican; cesconférences ayant permis de constater lapossibilité d'une entente, les peuttutlorsprirent nu raracrére plus oflicill. La mis-5105 de M. Bi sch a (ruiner se l'a tnémespéripéties. Il est clair que le chancelierveut ne s'avancer qu'à bon escient, et nedélivrer à ses agants un mandot formelde négociateur que lorsqu'il s'es( assuréde la probabilité d'one issue setiafaisantedes pourparlers. M. Busch en est main-tenantàcote -mode phase; d'api ès ceque les organes ministériels annoncenteux-mémes, il est permis d'en conclureque les négociations sont en bonne voie. a

Une dépéche, adressée de Berlin anTintes, donne une grosse nouvelle. Elle,croient

liés détails étendus au sujet d'untraité setter que la 6nssie et 1Aurr'icheauraient, par l'ir lerinéJlail'n dit comteK.1 eky 1 It t c r n.nt Les lét ilshein! X 1 P es 11 11es- In ! i

risse . la Lih,,' lé dr. P s de, Ver, léde celle dépêche ; a D après ce joui val,le comte Kaluocky, pendant un séjour àSaint-Pétarsbmug, a ait établi les basesd'une '51111 te entre l'Autriche et la BussierelaOnemmil à la question d Orient. Les

bases de cette entente seraient même pré-s ers dans on protocole lattant la sl(, a

I ir, lu comte K.Inodcv t I. NI 1, GueLobjet de ça peo[e.nÏe errait dasst e

dans la péninsule dus B:dkans Il paix queréclament ensemirllement les intéréiscommerciaux des deux pays et d'idr-gaer las mesures à prendre aiin il'ublenirl'exécution complote et intégrale do trdBélin Berhn, dans le eau où des -pires.riais aurvic.draicnl en Orient. Le prolo-oolc conlirmt l2 avoir l". L'article 9 dé..dire que ni i s cmnphtauons gravesvenaient à -encre la sûreté des eomnsu-ii, tionsà u :rsh pé avine lits Balku i ses défilés sacs nt t mer Noire

la blédn tir un si l l l ri la l a

a Conslanuuople élurent et danger, lesdeus part es -traceurs prendraient encmnnnm les mes ires nécessa ces. Dansl'article 10. le ronde Kilt o'Iuy, le campeAude

$syet M, de Giers lino ltcnl l'avis

que le canal je Suez et 1-Pjgypte driventdemeurer sous la protection et le goran-lie cotnmmae lies pmssances a Cea informal ans ue doivent éu e acceptées que lotsréserves.

,MI, [!ax1t wlfiIll: I'Rt5'ÉE

Paris, 24 décembre, 8 h, matin.JOURNAL OFFICIEL

M. Renanlt, préfet d. Loirr.s, net nommédirectes des notion ales, envola placement de M. RolIend, admira à laretraite.

La révision, tel le qua l'entend M. Gala-vont

Ours e sénateurs net rmserves sne-rontleeeuquiu eu Brnge routeiur,t. Il

pny

a gn'ea ae qui ers.cerne I. oueuir flnan-

merdue le Sénat aei ait quelq an peu ré.

C'est le gouvernement, on le sait, qprend l'in Dative du projet de révimon Ace propos il se pus,' une intére,eustoques-tion d. prooédure parlementaire que 1,

n'I men t a dis résoudre en sOt lié'

luittant 1 C +t t tIl gui te I lt l .t le

é i gu id é,déposé dans une d d-. Chambres se

toua It é t dans les druL t500110 le mère ,.Infini que il prou

.et s'est at côté. D aprés I Artois 8d' llaeCenstr tu lion, il semble qua le glu

rnentl '.td.IO e

dorsale

de rn I bureau l d f.,an,Chambre. ,seulement, fresque la premièrechambre val o t ta uP La donnandeadoptée ont f ée par 0111 nec i1poirée à la seconde Chambre, qui talei.rait à son tour.

Mais celte proeod are qui est cr lia sum prise les prnlatsde loi or 1 i n'est

pus upplicabie isba I'espèr ,Il a été établi,en cfi,t, à l'r , b I demandes de rovision émanent de 1 inrti xtive tea Cham-bres, que ces propositions ne pourrontêtre transmises d'une assemblée a l'aulnecomm, propositions législatives. C'est M.Gamhetta qui, président de la Chambre, afait prévaloir cette praeédurn lorsgne lesdéputés ont eu à voter le 22 mars 1879,sur In résolution portant qu'il y serait lieude réviser l'article 9 de la Constitution.Cette jurisprndenoe set la seule ga'admette, eu effet, l'artielo 8 de la Cunalitu-tion, Cet article porte que la délibérationdoit nattre epoutanément dans chaqueChambra. La résolu fion votée eu premierlieu parune des Assemblées e saisi[ donnpas n, Ipso cit.

La -lois Aesem blés ne peut agiter laq'flaireu qu'autant q.'aue proposition m.brou ae a Atà déposée par un d. ses me-bres an' on, bateau. Il y a p;ms, aucundroit de photos n'est attribué pour ça carpour In Conetttütlon à une des deuxChambres pur l'antre. Si on défi ... il ..ademande de révision dans une des deuxseulement, il pourrait arrives qu'elle flitrejetée et alors l'autre Chambre n auraitaucun moyen d'exprimer son avis

Au contraire, en cas d'adoption, laChambre

statu arteu dernier ressort, su

bilait inévitablement l'un itsoties et lapression lin vol. émis par la peetnnèeoDés lors la hberfé et In »poila néité lie ladélibération, voulues par l'article 8'..seraient plus entières.

Les deux Chambres seront doue 50)005simultpnémen[ du projet du gouverne-ment. Ce projet, e mémo temps mailtendra à nue réunion de Congrès, limi-terais champ de la révision et indiquerad'avance los points auxquels il devra s'ap-pliquer. Il portera qu'il y a lieu de révi-ser :

1- L'article 4 de 1. loi constitutionnelledu 24 février 18,5 sur l'organisation dusénat, l'élection des eélusion s do. dépar-tements;

21 Les alunies 1 et 7 de I. même loi surl'inaiitution d rems Inomovl blés;

3- L'article88 d. e 1. a eême lot sur les at-

t brut) es 0n é du Sénat.Le 1 ujrt .- port- o de plus Il n

p indiquer 1 1 d l I l b Il pi

s i é têt té Font il b ot et,nura la Ch' t e l 7ni rat[ I tu. e,nl'0 at .isgil y

de sih

à ces ,rt ales sot sldl tir I., pu i.sgi eo'mat le Cor,grés set,! os) a droit de nia-tuer M,is cils ' déf - A. 1 t û . O r t le .,bat d., ehe-l'axposé des motta dont te g r eni er,t nn, do f et les saur relu .e fa; au I rot Le Journal de Toulouse prd ea NI,tara précéder sa demande de révision, lieu d'agrandir le programme ode M. de llulaurier ma collaborateur et un ami, Il

Deuxièmr ÉDITION

AOMINISTRATIOci Li REDACTION ô Ij E SAINT-ROME 42.

Tenue..., laapr, DOULADOUI6E-PR1VA'e

exposé qui n'est pas soumis au vote des , Freyciuet indéfiniment, il faut le reetreiu.Ch mures De e,ll -poêla , b q e 0m..

l il,Ch bre pourra connaît,. par a t p L C b ,t doit sat r la première ce.tnotle f fi. t - P J.t..s et les tis- ua d é.l ar qu'usine vint aile va-

nter f0 a- m o vl - abat le Cou. fini des ehemrna do for, a ua nouvelgrée aloi qui pourra statuer, emprunt; autrement le prolongxtinu de- G.

lit dans le Figure, ; l'innertitude peut agiter le Irrité finaa-a Aptes avoir reçu les instructions de mer et en la minuté,

quai d'Orsay, et de M. Grévy, M. Rousses - La République française e patataest pnrtl, hier soir, pour la Ciotnt, par le le progrès de l'Idée ravis ,e niolo duos lesrapide de 7 h 20. pmg animes élacturaua; alla espéra qu'elle

1 La président de la République. dit à I cira résolue par l'arcurd des pouvoirs purM. Roustan q s'il aom,,tait sac son,mérou»- biles appuyé,, tous les trois, sur lim-

ent ab=olu puer nonfinner à enivra pan ...es majorité de la démocratie republi-à pas la ligne que le gouvornen,eut avait c aille.

Latracée à la politique h autofs s'attache à démontrerfiançons T .tin. a e o e Ou lof, re

Valence Un d .u x é énement rat arrivé ', f gins d P t e

Ler m'os lt tr l q étée' crépue imah i. m 'e.n momen il t o il la vole. Le

pas t l s I i t I écentrerii et

eh gau-d Ve , q ,mont pistonnaient

MThro

foi entiéfonds, et àconsu-P' 1

0 ll àfiltre Is République, vent garder la Conschia a MA ci i vit que ce inlha r ux a trie trop, quoique pus paelaita, abriteréte prof ,t à 1I i ieueo pas La mort sté derrière orle le pays valercau t, et ne lanaIse fanes.

oies nécessité.i Cet mfortunoe baisse use sauva avecréviser qu'en d'absolue

deux eu lents en bal âge.

Chambéry. - Les candidnts sénato-avx du parti tonsers atour ea Sa: oie,

sont; M. le baron d'Ale aadry, sénateurs clsn1, et M. Arn,ini-us, ooesefiler àlaCour d'appel de Chambéry.

Madrid. - Le lé"' a approuvé le pro-IIIlit loi portant créanion

l"', chemin detel

d'H.esoa à Caefranc; 1a loi sers pro-mulguée mardi.

AUTRE DÉPÊCHEParis, 2i décent bre, g h. 40, soir.

Paris dément le hruit ln r.mplxcem.ntde M. Coe),iot vie, gouverneur do Crédit

1,. National raconte ainsi l'on trevnelin son d,e.u tus agent, de change ave, M.Targe qui a eu lieu, birr .,.fil ;

Le itre a démeuui les bruit, de saretra,le Relativement anx chemins deter, il a dit que ':'était nue e r de

rire que la que+tion du rachat ides che-r du fer ait cane le programme d ucaifis

net Il ,,,sit 1-h,, d nèeeaa do l'Orléans Le ¢ laver.nouer

estdéci a4 à n'en ranp,rre à la

de la Ch n,bro rait u,-ment aY.xt da réons de VO, s, Il Il l le

1, soumis à Ire t ",modosors la précédente l égislotte,l ulve end .r nr devant la Oh bre colin rte

R'l lu .rat a I J t d ove -n de 1 f le r d 1 é

q 'il Oint le là .g' 1 àc.] to Mas il p,unei', fl 1 le gou-

,aitpas d 11'bé écette que dont r re fait p r

une solution pruohai ne

AUTRE DÉPÊCHEParis, 24 décembre, 6 h.

M. Ili1ka est attend. m rcr.di à Pà son retour de Toulon. Il reprend les

ree t auor s relut vos au traité le nom-meco .Pnot.Ocev anglais,M lieutenant de val seau,

j, or_.-A

tan aun rétr

Route, 24 décembre.Le Dirilto blâme vivement le x80501 de

M. Ronatan à Tams-

Nouvelles d'Algérie.Gabèa, 23 décembre.

1,a colonne Logerot a su le 15 à Séfaout,sons une pluie torrentielle, an eugage-rnearaveclas dieu. rente, qui set laissé

ie quarantaine les leur. sue le carrons,De notre côté. un déplia un goumier tué.l,a colonnn contrera la 14 ou le 15 au.unsp, année avoir reçu la .soumission destroglndyrés d. Djebel

M,',ai', car les

habi usure de celte montagte habitent desviiIvers sputerrains, et elle prendra la

te de Sonos, ces fin du roufs. Losha,u tacts a M,iloi

cd eu pan et do re qui

est été lias premiers àprendra

liant Aii nYSnrrection, sont nous il hier tous cou-t.-à", uevr [rues ehmnraux, cbecauu, âneset bagages. Les autres ont euivl. Tous leshurnmra ont rapporté leurs armes, qui il,

,at remiveo anx au torlués militaires sana1 . 1 . le.,. de guerre dont ils ae-

t f 0 1 0 1 .

I.0e villages se sont imméd ateroer t mi.il la besogne et [os ,lai diras de I eas

ni Ilc nt peutuo tentent en bon état de culture.Bequcnup le farnillee sont logées sous leatel lev ou dans les d6 becs, u b tiersde, moisi

m

a ayrrt ét IéU 1- p. nue'bis I,es en iét quemnnt d tparmi les prinonnmre que ramènera pelacoi, Ite nu des prieep,uxeh,f I B ni N 1, at,horned b, Ch P

Plru I x .he rks des Ahzan Muha-rd I M I s'u et Maoul Ida. l'a pluiea

.usé miel nia Ii. 16, le temps est rong''G Iraeil l'ét si ,.,lotus des plus eausfaieankaau camp de Oab05,

il 1,, 24 Décembre.Sp itn ,s.62 tr 61,10.

iII1 rp is t.ua de 1 armée eoloiiinle néer

fI Plu. Jonrnaaa .rat annoncé que laIaCi,net'. offhmr partira Prochainement manu t a l malentroa de euumolleo

à la Chambre, 9 bref relui, un proi',il. d.piton '

Angleterre avec une mission sep- oi portant an ppreasion du timbre de i-lande établi ar la l da 1871 Il- Une dépêcha de La Goulette, éma-

nant de ,.a"- of0riaile, non Orune la dé-faite des tribus de Boulon et des autresdissidents.

Mha med Oou.Chérif-Ed4 in, chef desBe menu e été fait prreunnler,

La préserve d'AB non, `,ha ifs et celled'AIrBen-Massi

actifsignalée, prés de

Z vesce, dont le Khalifat dérouilla notreprotection.

- La tan omise l'Aspic a été envoyée àZarzis.

Sutnt-Pélersbourg, 24. - Le généralClianzy a préean ré hier sen lettres de oup-p I à l'uni peeour et à l'impératrice deRoseau.

AUTRE DÉPÊCHEParis, 24 décembre, 10 h soir,

Le gouvernement demanderait comasgnatriéme point de la révision l'insertiondans la Constitution du principe du scru-tin de liste pour l'élection de la Chambre.

La Chambre actuelse conswennait a.nmandat jusqu'à i'ezpi rstinn légale.

On demande rait que les détuili de lalui ésect Ira le du Sénat reprisent I. aloi.ple ,sentiers rnneiulelinn ici actuel.Cas dispositions sera sot roodi0ablea

par le. Chambres ...s leisec..rs du cou-grès.

Rome, 24.F Le corps des cardinaux aprésenté an pe nos félicitations annuel-les à l'Oeesslon de la Nu él.

1-e cardinal de Huhei; Imbu y assistait. Ilétait de retour depuis hier de son voyageen A!semagne et en Autriche; mail il r I.apporté gnou ne -roulaient- du gou-en'.enlent deBerüa,

Madrid, 24. - L'expenb tin. des pro-duite n in0raingques , cérnm lq ose et- rrerie alun eri ra le l5 mal; ventes tocs in-dostenesauxiliairen01 étrnngéres sero.Cadmle,I.

HIES»V161tat.rx IUIiP1;CIn.'S

Pn 2' leeembre,6h matr Jo -Il des Del t la

néee_si'e ttne lo geu xn nom rat le fan ret 1 l f r r lue et

p ot . se poufquo le gouvernement soit eri prlnci pe ta-

rableàcedégrëvrment, q ui serait telsbien accueilli par les c perçants, mil ne curera y aenger Il liil semeur qu'aprèsavoir établi eue une hase stable l'oquili-bre da budget de 1883.

La tnxe d'affranch issement des certes devisite sou. enveloppe ouverte est unifor-mément ce cinq centimes pour taule l'Es.rope, las Etats-Unis et la Canada,

000010m's aamsdnuus, - sûPIe n'nuovVl'itinéraire que suivra le comité

d'achat pendant le mois de janvier 1882 :Lut-et. Galopons. - A ligne, le ner-

onedi 4, à 9 heure..A Agen, le mercredi 25, à 0 bourse,'l'xru -et-Garonne.- A Moissuc, la lundi

16, à midi,A Lafrauçaise, le mardi 17, à 9 heures,A Montaubau, le mercredi 18, à 9 heu-

res.

A Caussade, lejeudi 10, à 9 heures.A Bai le vondredi 20, à

9 heu vos.Hante-Garonne.-A Cazères, le lundi 9,

à 9 homes.A Carbu.nq le mardi 10, à 9 heures,A. Fousserrt, le mercredi il, à 1 h,A Rin.mns, le jeudi 12, à 11 beures.A Motel, le vendredi 13, è 9 heures.

Le comité achètera:l1 De. chevaux de tâta de toutes armes,

taille 1 m. 52 à 1 m, 60.2- Des chevaux do réserve de tontes ro-

bes, tailla 1 m. 56 à 1 m. 60,3- Das chevaux de ligne et artillerie

celle, ds toutes robes, taille 1 m. 51 àai. 57.4s Des ehavaux de cavalerie lègére, de

toutes robes, taille 1 m. 48 à 1 m, 51.

Par ddoret du président de la Répuhlf-que frai palan, en date do Il1881, M Il qn,s a ét osé présI. 'l'rii ,I civil do prenteet mutais,le 'troc ene pl.crmni t le M li

lit4 dé oui ire, et a prêté serrenttt qualité à l'audience da 19 dé-

cembre,

Nous avons le regret d'apprendre lamari de M Dula.rt, r, mea hie do l'Iuisti-

Dimanche 25 Décernnre 1881

A1V'i1STC)N01U SLea Assnnaeen sont reçues h: ta Société geaérale de. Annoncea HAVAS, L yFITTE at Dr

A Tobroven, rua d'ollrce:- Lcreaino, 90. - A Ponce, placo de la Soureo, 8.

lui destinait un important travail, traitdenombrouses e h. h , du plus grandi ntéeét pou t- h toue local.; les sois,à donner eu der ers romps à sa Isoléchancelante ne lui avaient pas permis d'yapporter la deroiére main.

M. Dulaurier n'avait pas oublié sa villenatale: il venait panser, tues Ira ans,quelques mois d'été dans sa propriété deLabégo,

Les obséquea de M. Dalaurier ont salieu hier à Meadon.

L'Académie des scisnreo et ballas-let-tees, qui tient orlmaireman, ses séancele vendredi, u pris la résolution de ne pnègre avant hieren signe do deuil.

M Vap.reau, dans son Dictionnaire der,Cenlempoeutne- a consacré à notre étuv-ent concitoyen la nottoe suivante

utluaina (Jean Peut Lou,s-Fraugnis-EdD

d) eientaust' français, nombrede Inshtat, né e Toulouse la e9 Jauvrer1807, cultiva de bail ne heure les étudesphilolug'Iuee Tournant sa curiosité v,es

trot 183ciao e, i! ae 6t d'abord conn

tah

tel par .n examen Au célèbrepassage don 81"u-ales de CbAment d'A-leaarBriesurl'échure des Egyptens, queles adversaires de chant pole lui ne ,,salent; pots il étudia le copto et les blé.rpglyp1ea. l1 at paraître, deux une après,le texte et la traduetlan des fragmentsdes Révélations apocryphes de saintBarthélemy et de l'histoire des commu-

ulis religieuses /ondées par saint Pu -

noms, et donna, eu 1830, deus les Mémoi-res rte la Soelété archéol'giq ae du midi dela Franco, ana Notice sur les principalesstèles funéraires égyptiennes du muséede Toulouse.

De l'étude du oopte, Ni. Dalaurier passaà relie le l'arabe et reçut, eu 1838 et e1840, la mission d'aller ...t eilirr eu Ao-gieterre des textes coptes et hiéeoglyphi-unes. Le grand nombre de n useritsmalais etjavanais qu'il y r outra luisuggéra l'idée d'étudier les idiomes proconnus en Europe dans lesquels ces m

erits aient éci ils. Il prit u nail....ce rapide de toutes les Isogone coos-

s. De retour à Pari,, il fat an tort àà taira an ponts de malais et de javanaisà l'h`eole des [-gels orrenmles vi van tua

I. cette chaire, eu juiéllot r 1844r Let 19 féee 1862, il fut vomnné profosseur titu-

laire d'arménien, à !.même érnle, misa.pl ,it le L: Vaillant l Flnrival, Il aété él a 13 1864 mbne de l'A-s lé 1 c 'f ti et belles.lot-l' ur pl eu tdAnpére. Il avaitAI l -é I. la Légion d'honneur 1. 26a t'1. 1845

Oui acrisr a fart paroîtte d versostraductiw,e du malais et du ,javanais, etn,tammnnt les Institutions vnarilimee del'archipel dAsis11845)Ilcommeiçaan-

t hl . t rions.p a n du "Z' deet nous,in s c

eq . m et ses d, i e s ea rarasde

-rescritsres n o otitc..

es et les extraite»r l'u traduits do la mémo

lalgnI.

truttPour l'arménien, il a donné des e

sxtraits

M Ch o iquas i . M th ou dl u f,e etM

hCl1 S (1848 .t 1850)

Ila Lmrnia o a d la , eé -lotion. de,

ét »dis aorlv

1 arche, le ,opte, le mata s,l'are énien et le slovo n. Il a éto chargé,.a 1855, dit que

fou

des manuscrits dela

imBibliothéq ue ipériale, écrite dans les

foin- qu'il a cultivés. On cite erie lui: Hleleiee, dogme..», traditions etliturgie de arménienne ov-len-taie (3 éditi nu, 1859) : le premier vola meIl la Blbliolhegue historique armé-nienne, oooq-o.'t la le Ma-thieu d'Ed,,a. et la nanti a na lion de Gré-

l'noirs lartieies pub és danu lu Revue desDeux-Monde.».

Nous pouvons ajouter que M. Dulau-riera uh"!re dans le prenais,P volume dela réimpression de l'Histoire de Langue-don, éditée par M. E. Privai, une savanteIntrod action,

Noua apprenons aval plaisir, qu'à lasoit. d'un bci liant -racoles, notre jeuneeoueit'yen Pierre e.i.é vïent olrle diplôme d'archit ecte, délivré si, r

l'Er'Eouln

nationale des beaux-Ils de Paris.

QUESTIONS LOCALES

Si nous sommes bien informés, il fourni-

fi ilque ta eornmiseion muniri pale, ehur-

goa de-i'eaamen de l'acqutsrtio. du Col-lége de éim ire.Maria, se novait réunie'ans le Cabinet du Mai,.. M. Barthélomylai aurait donné communication de diversplans et avant-projets démontrant quel'on peut parfaitement approprier cet éta-blissement à a.. Faculté de médecine età une Faculté des scionces, et que, oui-vaut le choix des plans adoptés, la dépensede ces appropriations, y compris les troisd'aequini tien des terrains, est loin d'et-teindre les 2,750,000 francs de l'empruntaffectés e ces deux Facultés.

Ou ajoute que, d'après la communica-tion faite dans celle aéaoce, le ministre del'instruction publique a arait promis derir ir à la deprnse,n n pila venle-ment

urpour les 500,»00 fr. dort il avait clé

dejâ question, mate pour le quart du coûtde ces tus tallauons,

Ou dit, euh n, que M. le Maire as dispo-serait à partir Wés lacesaammeot pourPari, aon dalle égl cette situas.

Aven de tels éuén t, de x0008,, elle .epeut manquer d érre oonduite à boa portpour lé plue grand avantage de la cité.

On none adresse la lettre entrante, à legaolla

111*dcoaone trie vol-loir. l'hoapit.lita den.

vos colovnee.

Monsieur le Directeur,La question du Ihélltea municipal du

Capital. pelait beaucoup préoccuuor lepublic; mais il me semble que, dans tou-tes les discuaeions qui se produisent à eesujet, il y a surtout da la passion et duparti pria. Disons-le oneurtemos t, cer-ta ae seraient pus tachés de voie leth àt municpal formé, afin de poovmrcrier très haut q r'nn eau tort

dole "Ilie sutura rea et

eu dorures, des centaines de mille francs,Ces mauvaises petites rancunes pmraon-celles sont puériles et md toues de menasérieux Il est un fait acquis: te théâtrezisir, donc il faut l'utiliser. On D'a plue

à rechercher s'il eet bleu os mal construit.Ne serait il pas absolmuent ridie.lI de ialivrer rua rats et aux araignées P

D'autres - pris surtout parmi la caté-erie des habitués des stalles et des lo-ges - réolament une sa bventiou, et yvreant le salut, la stoutt la riSgéhéra-tion, la panaoée Nous n'adanottrouis celaque lorsqu'il nous aera bien prouvé que lasubvention fait naitre de vrais artistes, etqu'il suffit de payer pour provoquer la

aoblestatio du grand art.mOr, n'est-eu pas sous le régime des -b-

voulions munio pales que la décadence desthéâtres de province s'est produite !

Les subventions pussent de la caisse desvii recteur. dans la poche d'n artistes, etplus cea subventions sont considérablea,plue les artistes, - eu rt,ai ceux qui sontmédiocres, - ae montran eaigaanta ettrapaces.

Voilà la vérité. Les subventions ont étéréées et mises au monde tour entretenir

les fonces, lea barytons et les char. eeuses

plus ou moins éreintés. Les piéton rionsde to.s ces artistes de man vais aloi n'ontpas d'autre cause. Cela eIl si vrai que,

loi"""'encmlu ahffee rial po sfemou se,du cachet, et on mesure le chanteur, à laaonnoe qu'il gagne chaque soir. Un cachetde aiuq coule fions est applaudi à ou-tronc., taudis qu'a. ou' toit de cinquantefrancs est outrageusement initié et

Il né

par les malins,Nous disons les malins, intentionnelle-

ment, aur il croyez pas que la masse dupublic es paie de pareilles -golfes.

Pour le public eu, généra!, le théâtreest un plesrr, souvent .n besoin. Laques-lion d'are est ,osai doive. Cela est si vraique tee piétas à grand speotaole attirentla foule pendant des mois eutierv, lorsqueun ehet-1'muvre musical, mène passable-ment rendu, remplira à peine la moitiéde la salle pendant nos enfile.

Que faire à cela? Si la filin. an portaanx cortéges de Michel Slrogoff, c'v»l sondroit a non goût; il n'y pria à repren-dre, Le duetto.. sucrasse des refit etdes m lle, et il trouve le goût artistiquedu publie excelleue

Si, au cmntraits la allie est vide lors-que on joue la Fa-rite, Aamlel ou leBarbier, eeta prouve que e,'» hefs d ma.in, ontmoms c,i.priI que les eshibi.tille de dévore et de tracs, et le public,s'amusant m ' n'apporte pua son agent, qui, p.arauit diracteur,est le cri-talion, du 000000, U. spocmcle faitn

ouun de

19.1tueurtout cet là.

Et si 1. spectacle fait de l'argent, qu'a-vez-vous besoin d'une subveu lion Y... L.publie subventionne assez grassementl'entreprise.

J'entends encore les matins a,écrier hmain test précisément pour obliger Imdirecteur à donner certains genres queanus réclamons non subvention ; la Villedoit avoir son théâtre, y faire exécuter debonne rnusaque et, poar atbeinm. ce ré.svltat, ne pas r.porter à la dépense.

Nous serons eallloa à cette cause lore-gn'il sera lit.. établi que les es bons tional

curun pales eut formé I'éd ucntiun must.cilla il. public, ont fait naître des chefs-d'muvre, des chanteurs nie failli, ontd'ansfurmé usa théâtres en 'ondesles,st

développé de vraies vocationsdramatiques ou lyriques et augmenté lare.nn, mon artistique de la Ville.

Qui pourrait so.Yeuir tout calaiSi tee subventions avaient dû faire peu-fée

théâtres, ils seraient tris do.-sans à l'heure qu'il aet.

- où rn sont.)ts t'i'auiouse et sillonna?- D'oà viendra le sel ui.PNous essaierons de ropondre dans ce

journal, si vu as voulez bien le permettre,I..

Le Réveil, qui ainsi que nous l'avons dit,est dirigé par par fraction importante duConseil manteipal, nous donna au sujetdu théâtre du Capitole les renseignementssui anda:

e De nombreuses demandes pour pren-drela direction du th0àtrc de Capitoleont été adreaaéesà la

n Le, diverses oomhin aistns proposées,brout soumise» au Conseil, dans sa pro-chaine rônsion, et le dossier renvoyé à

i

_pulsion.qui s'empresserade hâter

lasolution dcette nfinire; il y a tout liond. qua le lhéâtre du Capitole ne

,at eu pas fermé au-delà d'une gmnzWondoj ces .»

N ne avons dit, hier, que le Conseil étaitenavoit ué pour mardi.

Pl ara in d t oai été amonés par1 f .fur d th àtte in Cuprtnle :

dredi,l s rhuaiee du Oapii elo avaient.décidé qu'une assignation à nompaeaitra

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à bref délai devant le Tribunal de com-merce de Tentasse rait signifiée à M.Roumégoux. Mais il sfallait

"d-J".cette

.!gestion touchât l'an civeq cteuraeà

son domicile hier ..il, , afin qu'il pûtcomparaître dons l'après-midi. M. Roumé-goux pouvait sortir de bonne heure et nerentrer

que très tard.Art ei et machinistes.On-dtnrLel

.etde d

deIlae porter en use tee

des Lois, devant le domicilede

e l'ao pieudirecteur, qui, voyant sa porte aeeiigée dela sorte, se garderait bien de se montreraux assiégeants. Pendant

entemps, l'huia-

Fier pourrait formuler l'assignation etinstrumenter à luise. Ce qui lot dit fatfait.

C'est pourquoi bon nombre de person-nes out été étonnées de voir, ,endroit,matin, rue des Lois, un grand rassemble-ment où les a'nvorseilles las plus oui-

.or. se produisaient. Plusieurs haute. se

.ont passées ainsi.Le groupe n'a pas désarroi.Enfin, l'huissier s'eut présenté, a fendu

te foule et pénétré dans le domicile de M.Roumegoux.

Le rassemblement, qui ne s'était formér fumer Paneien directeur à rester

dauapeur

domicile et attendre l'airelles del'huissier, avait gagné la partie.

Il a pris fin naturellement et .'est dis-persé aune incident.

Le mémo jour, dans l'aprés.midi, au tri-bunal da uonomerce, M. Roumégoux a étél'objet d'une manifestaiton hostile de lapart des machinlatea de théâtre, qui l'ontpoursuivi juaque dama la chambre de MM.les agréés.

La tribunal a orJonné le dépôt des li-vres de M. Roumégoux pour qu'ils soientexaminés,

M. Stéphanie a demandé paiementd'uneaomm. Il 1,500 fr., montant de trois ca-cheta, pour trois repréaeotationa dont uneseule a été donnée.

Le tribunal n'a pris aucune décision,

Le lui. a- 104 venant de cette, et quiarrive à Toulouse à 3 h. 10 .. de soir, sdéraillé jeudi entre les stations de solliciteet Moutlaur.

Pas de blessés. Quelques contusionshemencerrn.Il sours gravité.

C'est la locomotive qui a déraillé la pre-mière; le cas est rare. Tous lev wagons.et ensuite suivi. On a pu arrêter assez àtemps peur éviter une catastreohe.

A la suite du ce déraille,naot, le traien'eut arrivé Â'l'ouiouse qu'à 8 h. 15 m.

Tous les trains venant sur cette ligoeont également subi do retard,

aeneni'R...NT DUN PONT

La pont suspendu du Fouq, situé .or laGarance, en soont do coofiuent du soleil'est effondré jeudi, à 10 heure, du soir, à

la es ite d'une épreuve par ohargemaatàlaq celle il était soaaile,

Il u'y a pas au, heureusement, d'acci-dent de persormea-

eURnte DE etnnnaIeonce DE T.ULOUes

Souscription au pro/il des pauvres dela ville de Toulouse

3r LISTEetvna 1881-82

(r. o.

M. Parier, directeur da la Banquede Lyon et de la Loire , 3, avenusL a fsyetie .................. .... 100 ss

M de Saist-Crosse, premier pr6-ridant......... ..... ... 100 ue

MOhaseai ng, direet... de la B.-quo.des

déptes et d'amorti,,ciuaute,

3, rue du Musée .................. I00 s,

Anonyme ............. ..... .. 10 es

M. Courtois de Viçoss, banquier. 500 sa

Total..,-.,. 810 sn

Listes précédentes... 1,805 95

Tolsl général........ 2,618 95

Les nscriptroes nunc repues au e, a Ill'sdmneetration se Saint 000,0v 41, eo ,heMM . les al, ,istralenra Mère ras du D aAvril. - Combes nue de Il Parie d'Oie, 8

Roay nue aist-ASloi se du-T , W. -l'oceloie (Hsnri l,u rue de la Modelais,,

'b.esFauroua , quai Samt-Pierre. - Lsygue, placeDupuy-

A l'occasion du Jour de l' eu, l'Af-fichage péndral informe le public qu'il escharge de la distribution à Comici la descartes de visite anus enveloppe eu pria de4 francs le

cent.

L'administration dispose de douze fan-teure connaissant bien la ville, lesquelsse r0 t à même de remettre les cartes dansla même journée.

FEUILLETON DU JOURNAf. Dg TOUT OUSRDu 25 Décembre. __

L'Affichage général est situé, 47, rueAlsace-Lorraine, à côté du bazar Labit(hôtel Préeeul). - _

CONCERTS MILITAIRESAujourd'bui dimanche, de 2 à 3 h. 112.

GRAND-ROND. - nie d'infanterie.1. Alldgeo militaire ,X.).2. Si i'iiaie Roi, ouverture (Aube,).3. Le 1Feocène, grande fantaisie (Verdi).4. Le ,Vya,ei,e, grande valsa Dreyer).5. Richard, fantaisie ,alibis).d- Peau de Satin, polka I(tem).

ALLÉES LAFAYETTE. - Ecole d'artillerie,

I. Liery, silégme militaire (8igoard).

2. Le Domino nez,, uverture (Aube,),3. Carmen, messïq ue(S, set,.4. L. + ronnemeni, cales ,Stresse),5 Robera il Diabe' ge.

De taisio IMeyerb...),

8. FAlicis, polka (Covstanti.

BULLETIN MÉTÉOROLOGIQUE

Paria, 23 décembre.Uu ei augemont complet se produit daue la

le .tissus.. Le baromètre est éls,t au nord del'Europe, tandis que de basses pression... mo..usai ,or la Médit rl..él.

La bourrasque signalée hier près de la Scete-gue est passée su, lo sud ae la France et atteintco matin le golf, de Gém e.

La hou,,, du baromètre a été rapide dansl'ouest de l'Europe tee vents soufdeat a' , et,,astet nord, ils .'ai forts et la me, gros.. dansle golfe de baecogne.

La t n,pér ira des end, la bai est impor-Iaete sur les voie, de France, ai àe bases dnmatin le 1h,, moudre marquait fi. à Brest, Bor-deaux, av à Rocher.,,, 0 à Parie et lo à B,Ifort.

Snr tout notre versant oc6anien, lu ciel va re..ter nuages, ; en Provence les vent. vont pren-dre de la force de Nord-Oua.t. Le vent es motau fil ia,

étlraerrallona météorelegbgmeaDes 23 et 21 Décembre.

tairas A L'(, esaa5'ATO[Rit DR

ss

e,

6e.'

11,9ti m12 s.

3 e-.

'5:31!-{- 3,8 beau. NO modéré.1 ,5I id. Ne table,

i5b..5 - ta 2, did. . faible.

55 5 - lv 2 id.

id

eusibin..55.3 - 1a,.heau NO

i',tr. faible.2+ I' 6I id. E .a.

.53,5 J- 20,4, beau. SONO id.

Therrn eet,grede:'mtea m aa 233 Déc mbxre.e... + 5.1Min,oanmda la u,1. ,v ni.-, - 1,4Pluie de I.ja.,.é. de 23: haut.

aALNNDRlaa DD 25 DÉOauBRE 1880Lever an soleil à 7 b. :34 m. mana, nonehes à

4 h. 27 m..oi,. Temps n,o.en 0 m. 29 s.Lever de la Isne d lob. 1tf m; cou,:ler à 9 h,

b9 m ., passage ss aéridi en, s a h. 3 m. matie,Fêta le da:asu 2d décembre. La nulles.

DépartementsTarn-et-Garonne,

On nous écrit il- Grisolles, le 23 décem-bre :

a L'orage qui a sévi hier à Toutous. aété beaucoup pins violent à GrisollesAprès des éclairs Gréa vite, uu formidablecoup de tonnerre, suivi d'une proie abon-dante mêlée à gcelgne non de grêle, estveau clou de, la poilu loti on qui v s'at-tendait pas, dans cette saison, à un pareilorage.

. Quo nome n Le après, une im.eoeIu

nrjjadeie u de coteau noue

irl'q t g n ii,,.Idi,l e« lérable ve-iait i ..las m, qa tiqua part; .sas appr-

nabémi

tôL er effet, que la foudre avoirr

s

le fia aua paillets de la propriété deM.S,'iggerret.

a L'annuelle éleetriq ue avait trace r.é leailler de part cep 1 part et le fou ê,jamit

pgavaamiit

dansait, uas lest 0lutaà la moto ilDette meule 600 ii['ny pviil mie..tait séparée

de

a1.m

mceul

ule voicia00v

ra quepar amie petite distance coupée par unfossé. C'est sur en point que se sont pur tésses efforts des parler.a. accourues du voi-image. La t01e garantie per un mouchoir

es uu tablier, ces personnes projetaientde l'eau du fossé à travers le pailler lu-eendié et aussi de .été do pailler intact,C'est minet que ce dernier n'a pas été ut-

- Allons, c'est hier, dit Lereahe, toutset

1'..l- leonoin..

Cependant tee jeu,, et les ...aine, esnassairut et le commissaire ne faisait riandire. Mme L.r.che a. décida à l'aller es-

N' a 1 trouver,

L' ENFANTSOUS LA NEIGE

- Ah I .tri, dit-il, il, avait déjà oubliécette affaire, l'enfant que e muaaura trouvéso.s la neige, une .lancée Violette La-cimte-

- Ah l elle s'appelle ladeulle,- Oui, noua avons le nom de famille,

mai. c'est tout. Le père et la mère sentmorts et ce qu'il y a dans le grenier où tamère set récemment décédée en ,nulpont-âtre pas vingt francs. Il y a bis. un

PA. EvaéNE MORET oncle, un industriel du nom de Pierre Bu.

CONTE DE NOEL

QIatrejnurs après, Vitiotle était encorelà, et le cola ire.maigre menaçait de Sa Id.char.

Eh bien 1 fâche-toi, l'écria Mme La.rocha oui parut ex ae Gérée do m

a

-damur de son mari, noue y avoue filé chezter, eommiiee, saista ce qu'al deus aréponda, qu'ad ferait oda -quels, etqu'eu abondant, n. allait envoyer la pe-,!le.,n dépôt; nu dél ét, sana tu oe quedeet 4

se Code, vt là j 'ou met Ifsvoleurs t 1 g l d i t d'abord ,en acte d t lia". ét 1 I affaire.

C'r.Cl qui cté dit, Tu penses sij'ai vol, l I .fronce petite.- 0 , ill ir,, de r dlqueajours, l'en-ôtCne

tqn peuI s qne, de riusaa il valetrou vue la famille et aasetôtil mens feraprévenir.

'n, qu'en dit à son aise, mais personnene peut .avoir ce qu'il set devenu, encroit généralement qu'il cet parti dans lesIodes. Lenfant Bat donc complètementabandonnée et sans ressource, et ai vousvoulez

,eu.ea charger, rien ne s'y op-

pose.- Voue ôtes lit.. aimable, monsieur le

com ,

avec'I'l argent, nous

ne Ion'm". qued

s.-CI, us r-garfe.- Mon mari vu none la ramener.- Quand lias voudrez , mail rie. e'

prese.- Allez.nones su .nius e voyer cette

pauvre petite dans n,e i..j,.ii oeh ellee ,,ai lui tau, P dit la bonne Mme

Larhg l u

nonlosI

ciuay.x,serap

pnoha d0-m t d p. l t ,.]ai Il

dans .le t t en bonne,'l i e d t 111e, 1 ]'abord, eeo tare eallularra ensuite et au dep01,prés,

Mai...,est

indigne.Mme Larocne était toute rouge de ce-

télé- Je ne voue dit pas non, dit le com-

missaire qui n'avait pas une trop mua-

Jü11RNA1.r 1113 `IOOtYLOUSE

teint, quo le feu a été concentré sar useul point, et que les coustructio.s .,.etP. été menacées,

e Sien avant dons la n ail,l'horizon étaitenicors embrasé dans celle direction, etcette lueur éclairait l'interieur de nos

La

,

malgré la pluie abondante qui asuiiv ii l'orage.

s On conservera lengtero ps le souvenirde cet accident météorologique. e

Algérie-Tunisie.Une irnpnsaeta Cérearome,

Le Courrier de Boue reçoit eommurai-cation d'une lettre qui let parvient de lacolonne do Gufna. cette oolonne, de la-quelle fait partie le 100' régiment de Ir-gne, est repartie de Oafsu, eu dirigeantv s Téaeiea. La lettre qu'il publie ne

urait manquer d'mtà,.eIur .o. iac-teure

Nous sommes parti de Oafsa , hier 4'membre à onze heures du matin. Ilseit, Il pleut encore.

Le oolonne marchait dan, sa forma-tion haoituelle, cent-à.Cire e. carré;

us étions dnnquaars de droite, la g.,uche en tôt., vrai à dire la 4s la première.Sl lenaieusement, ,..a are plulo due etpénétrante, taus -claire, les yeux etle cour tourna v s le Nord, lorsquetout à'coup, aprés n r p,rcnnrn envl-

n dix kilométrer, vire d'us heures, lacolonne s'arrête, le, efleiers montés des-ennent decheval, Iea soldate jettent Icore

sues a terre, maudissant sa charge et sonnoommodlté Il pleuvait toujours : onune le Garde à vous: baïonnette a.

le, rangs se foiLu

ont eu font face aIlmm,l'intérieur. On sonne a champs, toueles calcul de 3s zu vo ont ,élidépour la circonstance, aLa n neige. dumême régiment ouvre le ban par sua im-mortel et pénétrant couplet: France)France:L général en chef Saussier, suivi den état-major, sevaare au milieu du

erré, toit. avanmer le capitaine d'artille.

rie du 38 M. About, et la, en présence dedis mille hoa,mes,da.. cette vante p[afnedeTunisie, il loi remet la crois ,Je la Légiond'honneur, qu'un courrier venu de Tébrenaà notre rencontre venait de lui apporter

La cérémoe, très imposante, terminée,l'accolade

donninée,

les clairons sonnent detroupes eepren-ara ch a"Il, 1es

.ent eur formation de marche.Tout 9 coup, Is musique entonne le

MarseillaiseA ce refrain, dix mille voix se jo'gn t

et ou spectacle vea montiSBran 9 soses e lsetv

et

lîà col eau; tente, les b avara ire s foin Franco, tous les coursbattent bien fort, et combien de.on lentdsa le

Il enntl les ,manne émie.tumnobre,lacs n'en Ilotes

pas.

.

C'était beau, c'était grandiose.-,1

veut da la thése de M. John Lemoinne,peur qti elle es donne pas à réfléchir à M.Gambette, Partout, en effet, la révisionpartielle est débordée par la révision sansphrases avec les a..eses radicales insé-ca ,bl,,.

Aussi la chronique électorale des .fil-, a rosse , t e l le étla n gain en t. Elle

m, inn

ae a tournor dans le même cercle :Seine-et-O,es 1 Sain -et.Marne et Orne

c M. Dogui de la Fauconnerie en ve-dette. Maunai., .si6rBI

amie du ministre des Oesnces actuel di-sent, il .et vrai, pour l'excuser, que c'étaitlà le seul moyen capable de déterminer lafusion de toutes les gauches eu eéuplénière, attendu qu esses groupe n'oseadhérer individuellement à cette augaea.lait n de Mais cette

-allie.

impliqua chez M. AllainTargé trop de di-plomatie parlementaire pour qui en raisondl ses antécédents, elle ne doive être ac-cueillie que sons bénéfice d'inventaire.

Je désire me tromper; mais si la Cham-bre, h sas débuta, com mençai l par arg-

enter d'un quart le tr,itement de sesambres, elle perdrait immédiatement

tout crédit.A propos de la réunion plénière de tous

les électeurs déléguée et délégués sup-pléants séoatoriaua uouvoq oée pour cesoir 8 heures Cana la Balle des Conféreu-cee, 10, rue de Lancry, en commente beau-ooap, dans les cercloa parlementaires, unenote qui Cg.re dans le Siècle de ce matin.et qui en sivualant l'heure tardive de laréunion et le quartier où elle a lieu, faitcars aneir l'éventualité d'an complot ourdi

%r les électeurs de ae cendré à 1 invitaionqui leur e été adressée.

La &écle, pour démontrer que cetteréunion est inutile , prend le soi. d'ajouter que, depuis mardi dernier, un certainnombre (t) de conseillera généraux Ce laSeine a choisi pour candidats nIM. Vic-tor linge, Peyrat, 'l'aloi,,, Thalie et Ea-gel Nard.

Le murohé a été très agité aujourd'hui,et les cours de la plupart des valeurs s'euont ressentie. L. besoii,s de la liquide.

lionde décembre et l'éventualité de la

cherté des reporte déterminent beaucoupd'allegemente de positions qui sont causede la (sielessn actuelle.

Au début, la 5 010 est principalement et-1.11 t, tandis que le 3 010 résistait

'ai.

il

s(cette différence aurait basée, au dire dela spéoalamion, sur l'imminence de le con-vereion, qui aurait lieu à la do de janvieroua ammeneement de février, éest-à-dire suc moment de l'erri née aux absirende M. Léon Say. Ces bruits ne me Aurais.oot pas sérieux), e ',,,t relevé tout à fait à

I. On do la Bourse, ainsi que nos autresfondu d'Etat.

On croit, au surplus, que M. Constaneéprouve 'tarte sa miesiun da aoeieuees dit.Coin tes. Les délégué, q- l'on disait alchauds au lendemain du 24 novembre, asen"-- singe bêtement refroidie, puisqu'iln'y e pas moyen de les englober dans unemriL toron révisionniste.

L- l délégué. e imciu,,aux, avec sur ro-basse bol, sew, out, d'ailleurs, bien, viledécouvert le, defout do la cubasse de cette

partiello qn o leur représenteoimer

ielle assurance contre la finvotu-

lion et une garontle de la tranq aillité pu-litique. Ponr eux, le chargement dans lemod n de recrutement du Serat est syno-nynmdu rrnou vellement intégral de laChambreh

aute, quelques mes aprés laréunion de '0ngrés.

Ils saveur, en air't, qu'il y a pour touteemblée, dont la loi éleelon ale est cou

d,dée, impossibilité de non tinter à siégeree son su lieu onde de constitution. Et

de méea quo si le s,rutm do liste venait1, être api ligué à la Chambre actuelle desdéputés, eils devrait forcément être dis-,,ate à bref délai, pour se retremper dans

le ea Orage univeraal; de même. leSellai'dont les bases éleo,toralea seraient éler-

gles, devr.,it être renouvelé intégrale-neot avant l'échéance légale.

La révision I,arttelle, loin de rendra anpaye le cille. dont il a besoin, serait domopour ci une ouvelle ahane d'agitation.Fit

quIon

oeIronie

pas que le gcuverne-uent pourrait maintenir le statu que enfaisant respecter la loi qui a déterminéles différentes époques du renonvel le centdu Sénat. D y aurait on tel Calegs l'atta-quee, d'injures, le sommations de la part,le li presse intransigeante radieala etmême de la psrt dos orga5as opi,ortunislaequi, sum ont leur habitude , feraient rit--

ê,,, haute, avec les feuillu.manifestement révolutionnaires, qu'il feu.Irait, bon gré .al gré, que 1, Sénat sasoumît d'un seul coup à l'épreuve du mou.'eau règne électoral accepté par loi.

Voilà ce qui frappe la plupart des dilé-gué. aux yeux desquels on fait menuetles .van tagoS, de la révision sagement Ii-nitee. Ces ana lugea, qui leur pin ontires prohlé,nattq n , t uusque la r

atente `isà lavarce nu ,sursit,

alcette p qae, avoir aucun 00,1p .

que, ion mble coripenaése t bien au dais,par l'agitetiou

,,ile angora a pas de se

prod ni'e pour fileta opérer iclédicte.ont le reuo uvellennen t in tégrsl du Sonar,

leq uo t, Cana toua les che, sera grave.entb mf èri,a gui et o re de reamtanre aces volants de cadavres. n,oi

aa qai veulent le supprimer tout-À.fait.On arrête à vitale. instant des voleurs l:argornent me parait repiqua, et j'a-

qui profitent de l'oceaaionpour dépeailh,r 1v ae queje serais ,utiles de eonuaitro, A

les iormeDu Arabe coupait les oreilles des rada-s .fil de voler les buu<das qui y tes.

taixn t attachée s; il a été arrêté,Vingt-deux arreslutious ont été faites

jusqu'à présoot.Le juge de paix de Parrégaux est oc

.pli du mati. au ,loir à interroger les in-ça lpés.

De tous côtes, fis, communications ,ontinterrompues,

PARISc.,ls.pondance parlieulière.i

Paris, 23 décembre.C'est noire hl Juho Lemnm oi r qui

tient aijorrd'hui la nord:, uvval article dans I Deb is I t'

vrille la o aoll q,,, ait, hini, 54Jules Simon, dans le Gatalois, à Ni, os.-batta de .Animer le Sen ml, parce qu'ilpourrait bien être la supième re.eaeareude grand rniniatère.

Naturellement les organe opportunie-tas se sont bien gardé de relever l'articlede Gaulois, car il y a pari pris ehes euxde Poire le silence pour tout ce qui émanede la plume de M. Jules Simon, mais au-jourd'hui que ce sont les Debaie qui par-lent, il leur sera impossihle de ne pas ré-perdre.

Du reste,ou

qui se passe actuellementpour les élections sénatorial. de 8jan-vier témoigne trop ouvertement an fa-

aise Cigare ; mais qu'est-ca que vous vou-les, à l'heure qu'il est nous n'avoue pasencore à Paris an autre ahri h offrir anaenfants abandonnés, Une fris au dépôtl'administration ,s'en occupera, et s'il ne-'-et présenté personne qui 1. réclame onl'enverra n .oison de correction jusqu'à l'hge de vingt uu ans.

J-anei, entendu direqu'il existait car-tainos communautés elig,euaes qui aschargeaient de cas enfui te.

- Certainement qu'il y en a et en r,tain .ombre, mai. elles sont imoiffszntes.L'e laïques ouest on ont fondé, .oua avonsmême un orphelinat maçonnique, maisrien que pour Paris, il en faudrait le dou-hle. Puis chacun u un peu sa clieaèle, anspratiques, et l'admission n'est pas faciledans toutes ces maisons.

- Mais l'Etat P...- L'Etat, madame, mitonnerais moi, il dé-

plorecetto sit, utile, mais il n'y a pas eu-cor. remédié-

. Qu'attend-il, que les enfants men.rent.

- L'Etat ,,ai d ,.,I., de vos attaques,- Je vous dis,moi, que c'est abomt-

naide- Oh 1 elle avait son franc-parler la di-

goe femme.- C'ait entre I0',,!,..- Oui, je le sais hie. que c'est mon of-

filtreM f o.l. nt chez elle trace 00e.

t 'e t Ils -rta tout àsun mailg i Il ! répondit.

sua sujet, tee explicol1 uns dos révisi.n-iislea. lis perdraient d'a niant moine leur

temps quo,jO le répète, lalai ni,

Cas dé-léguée semble n'avoir aperçu que les ieoovénfen ts de la révision, sape ce dit.

leu avantages.Ce rno tin, M. Ce Freycinet a dslonnà au'ni stère Cas ab orne étrrngbces avec

M. Gambette. La -,Initiation paraitreplète entre l'au' ion président do c -

sail et le nr

. Aussi ne met-ou p ren d0,01', 'lacs1 i'n ti mité du maure, que

M. de Hreycinet en doive prendre le por-tef,cille des travr. ua publics e-000après l'ouverture de la aoenio. Il 1882. r,Dans le monde Ooancier , on assuM,d'autre part, qu'à la même époque,Léon Say prendra a x Cumule, la

pis cela M. Allais P,,Igè, rneonnu déci de menttout à.fait j'accusent pour le poste qu'Iloccupe art uelmment.

list-ce e, o nèviainn ,le ses changementsq I r l l I 1 r ret, le( r. i tr t. s c Iléguea ànb.teni, joagn à nourri ordre, de tout

chaoge,ne.S duos leur personnel adnnn-tistratif? OU Serait tenté de le s'opposer,puisque le remaniement ,ai il etéri et an-

A impliquant ur pas en alliera dansla vola ra lirais, les unudifiuatmns opéréesnareerrains,les min-t- actuels pour.

'<nt gêner leurs aurcela...iltaM, Al lai n-Targé, s'il cet vi ai qu'Il ce

ait engagé à pré-sentir on projet pourfoire porter de 9,000 a 12,000 francs l'In-demnité des dépotés, emportera les regreteJe la mo,lorite ; car il est peu probason

.,ble queuocesaaar, quel qu'il Boit, veuille ns-erdevant l'opinion publia ne la ras.

Incessibilité d'une pareille proposition. Les

dit Laroche, attendons si tu le veux jus-qu'à la semaine preehaiae, aie jeudi ouplus tort qua ce Bort .ans rémi,stou.

-Ohl avaay dit Mme Larocbe, jusquelà ce ne serait pas raiaone sole.

Le jeudi arriva, Violette .'avait pasété prévenue de son départ et la poli tepara local t s'hsbitner au quartier, quoi-qu'il ae fût pua .usai brillant que celui de'Opéra-Te penses à ce qui u été convenu

antre no , dit le contre-maure à eafemme.

- Je ne pense qu'à col..Et q lequel jours après.- C'est 'e diable de trousseau qui n'est

pas terminé.- Presse-le.Quinze jours après, le trousseau n'avait

pas avancé. Le contremaître apparaissaita.x heures dee repas, morose, taciturne,Mine Laroehe no parlait pas davantage,Geneviève pleurait tontes les bermes de

ro corps, seule Violette riait et se refai-t boit t-t - t aao, Grée heu

dl s+ nu I I e et noaoa

blet pas sedouter,,, 11. p t ]a p I ja is.

Un ir Lo) rha ne vit Pns lenfnot à saplace 00''utu mée. Il u

Vritia bourbe

pour interroger et il n'en e'LU s le cou-rage, Le dire, foi taiste et . A la fin,ce fut plus fort que lui.

- Fr Violette f... dit-il.

rliTia mage?I

C . t r d l h . j S e t t t fui, juge, il le fat.t t

t ig nia a ht f I f t e lait C s, Fg a!, ta aurais pu...

pmvor, tant«. O 'é llc Ataii olre, voir.,. Elle est vmei.n0ntus la

Iroohednat

r.jour.I faut I p rt, P AI ... ie la pauvre petite vd`éminusré, guet* h. 101 t, dans cette horrible

- C l " " q la pauvre petite n'estpa p r f. t . 1 I l'.'L i o n a u j l u r r i h o i et j'aurais voulu lui L,,orna ,,, 1 ,a t,us ramr so. trimeeea.. ver.é, il ea voulait a aa femme de loi

Nos. ne sommespas à un joue Près, avoir obéi , à Geneviève d'avoir Iaiacé

InformationsM. Gamhetta a reçu la visite de plu-

ambassadeore, le comte de Beust,tirautres, dot [ai à remis copie de lapr iéi cula', d pl tmatique adres-,la p ! ministre des aifairceétrangérea d'Autriche à sua agents àl'étranger.

Le ministre de l'intérieur a fait préve-nir tous les préfets davoir à es trouverà Par plate le 1., janvier, et de tenir lamain à ce que les visitas officielles tas-t

rend uns au premier magistrat dedépartement.

M. Challemel-Laceur s'eut rendu v -decdi matin a l'Elyuée. La Patrie dit qu'ala ali,e de l'e, tretel gnil a eue aM. le prési,lent de la République, on mot

e fois en dilate le rappel de no-ire ambassadeur à Londres.

t: élection de M. Devès à Bagiéres-do.Bigorne, qui hissa libre le méfie de ladeusiérne cireonscriptiun de Séziurs, porteà boit le nombre des siégea actuellement

ante D'on autre côté, on semai" nom-bre de dépotés sent candidats aux élec-tions séna luriales de 8 janvier prnebatn,Par ce fait, plusieurs autres sièges 4..'endront encore vs,:atts à la Cha Ire.

tent,on du gouvernement qui, auxtomes de la loi, a d'aillegrs an délai detrois mois pour procéder A ces élections,est d'attendre le réseitai, des élections sé-Ialom.Iea pour c. que, on bloc touslas I.Iléhos elector orants.

On lit dans le Paris: e Plusieurs jour-aux, maigre Iea démentie précédente,

persistent à ,lot net comme certaine laretraite de M. Allain-Targé, m ,ietre d'aEnaneae, et de M. Raynal, miointre destravaux p.hlies. Ces man maures n -ent avoir comme cause et somme .Set

que di,goers r,,,,dnlru

filas variations dans tasde 1. Il (,) r

0. annonce peur le mois de m rs l'er-'rée à Paria du rit et de la raine de

Bollunde. Leurs Majestés, .prés ua eéjorrd'une semaine, es rendront en Angle-terre pour assister au mariuge du ducd'Albany avec la princesse Héléme de

faire es mère, à lui-même d'avoir été sidur et ég,iïete.

- Où a -tu 1 lui dit Mme Laroche quile vit cherch-r son chapeau.

- A la préfecture.

- C'est inutile, murmura la pauvrefeinme qui pleurait, c'est demain la veillede N,,ël et Geneviève m'a demandé soneadean, je lui ai gardé violette pour sonpetit NaIl-

Viol ette, qui avait assisté dans l'autrechambre. à cette retire s péne, était dansLes bras da digne hommegpi l'enleva .al'air et l'embrassa avec des larmes pleinles ye...

- Nou. aurons deux enfants, dit-il.

Notre petite histoire a un épisode. Ilest court et bien parisien.

Le lendemain on fêta la Ncël, et le ré-veillon un peu court mais des pins gais,.e prolongea assez lard. Une corbeille depâtisserie et quelques autres friandises

f rot tous 1e, fraie, mai. h, tore d'uneci,tefeita et le Lmuhear des

deux f [ urée de ne plis en quihter dt rua -eite agape orme at mo-deste un r heu me inconnsu ans réantes,bruyantes et folles d'une jeunesse iaeou-mants.

Mais ce n'est pas là noire épi-C..Ou ae rappelle que Violette avait un

00ole,qu'on allait à q nt t cuve t q pç

n u i t ro 1 I d-.. OntgsrI-I.d

efn: Il LIq P 3 tt qua c

t

'en tp ytC.ne

,oi a, t F p h parent

I et n I{ ti

ieI ,

A sq u e l d g h

,

D.

aita td rio it."'ichi

e'uavaiti de Pe en t le s

chevet, de lui dicter ses vole tés et dedonner les indications nécessaires pourqu'en retrouvait ,e smur,,qui, selon lui,

Waldeck, amur de la reine Emma de Hol-lande.

Les nouvelles que le Temps e fait pros.dis de la sanie de M. Chantes Blanc sontmalheureusement mauvaises, Le m aladeest rie de friseens et es ral t'p re i eu de-ment de plus en plue difficile. Un -ment fatal est à

craindre

d'usmomentoment à

autre.

Le bruit court que M. le vice-amiralParis, de l'Institut, vient de douter sa dé-

ssion de membre du conseil de l'ordrede la Légion d'honneur,-

lie Lloyd de Pesth annonce qu'un vais-seau de guerre autrichien a capturé, pré.de Spieza, an voilier huile. dont la car-gaison consistait e armes et er 10001'

ns de guerre. Ce navire se dirigeaits la côte monténégrine etcomptait

pr.bahlement introduire sa cargaison parcontrebande dans la Crivoschie.

A. moment nù l'on retrouvait les .au-fragés de la Jeannette, l'amirauté an-glaise recevait des nouvelles d'un autrebdtiment steamer anglais l'Eira, égale-ment parti pour les mare polaires et eutle sort duquel on commençait à être trèsinquiet.

L'Eire .et partie il y a quelque. mois,sous le commandement de M. Leigh-Smrth.Le capitonne Isaoken, commandant d'..baleinier norvégien, rapporte qu'il s lal'Eira In 30 juin denier dans la détroit deMutaahiu ; il a rue. le steamer trois leursaprès, se dirigeant vols le sud, probable-

ent parc. qu'il n'a pas p. forcer la pas.

'sagele long des côtes de la Nouvelle-

Zombie.Le capitaine Isnaken, qui e revu l'Elsa

quelque temps après, ee dirigeant vara leNord, dans les men,o a de Gaaseland, ditqu'à cette époque, la banquise polaire n'a-vait pas encore bougé, tandis que le 8anal, toutes les glaces a aient disparu,On peut corolure de ces renseignementsque lainer était praticable sur aie granded istaace au nord, et le capitaine norvé-gien pense que M. emith a P. erriverjus-lu'à la terra de François.Joseph et peut-ôtre plus près du pôle nord qu'uucun de.explorateurs précédents.

La représentation extraordinaire, erga-iisée parla comi tA généra) de la massaparialenne au profit des familles des vie.ti.es des incendiés du RingTheater etde naufragés de la Manche aura lieu àl'Opéra, mardi prochain 27 décembre,-on le concours de :

Peur l'Opéra : Mmes Kraues , Richard;MMf Villaret, Lasaalle, Colline, Oailbard,Me. chiasodeo ; Mlle Maure , M. Murante attout In corps de hollet ; Mme Elena Sans.

Pour la ComOdie-Française: M M. Cet,Cogselin aîné, Frédéric Fe ivre, Thiron,plu

1)

, Boucher, Jouet, Vilain, Leloir;Mmes Dinah Félix, Jeanne Samary, Mar-

tt Poar l'Odéon : M. Porel et Mllesuza..0Pic.

M. le ministre de la marine a reçu lesdé pêches suivantes:Commissaire marine d'AUray d marine.

A .,.y, 12 dieembre.Le navire morio a criarhé Lier à la Trinité,

ayant à bo,d l'éq uipsge du ravir, aatrichieaPeplioa sombré so ,mr ; je le dirige sur Lo-rives à la 0511 isition du ,onsn I.

Commissaire marine Dieppe d marine.Lotie, ls décembre.

Le bateau chalutier Anertaaie F,...... ,ne 8o7, de Dieppc, a été coulé loir Il steameranelai, duos I soit de CI ea 'e2, à

20.del

.sud.nos do Be,s hy-Heed L'équipage a été sauvéetconduita Dieppe par l'abordes,,

Commissaire marine Celle d marine.Cette, 22 d6evrab a.

Il a été mapluré, au 0'.I-du-Roi, un squalemesurant 4m 70 de Innguear.

Saint Malo 23 décembre,tin bateau de pthe du port de s iut 8onnt,

earpria par coup do u r a ehs,i re dans le, ait de die scie u tend, Les trois p,icheureq i le mou tsiont ont , ,. és,

On a retrouvé leurs Canter i marée base.

REVUE DES JOURNAUX

Les journaux opporhmietes 0ommen.cmnl une r-ampague Voiture la formationdes groupes.

Voici on extrait de l'Esiafelte :

L'emtrëme gauche se, ferme : - c'est

demeurait à Paria et devenait so. Briguehéritière.

La pauvre femme n'existait plus, maisViolette la remplaçait et la petite fille unbeau matin se réveillait avec de bellesrentes au soleil. Quatre cent mille francs,noue a-t-on raconté, an chiure énorme,de quoi égnnper une armée poor conqué-ir le monde quand il faut un si petit coin

pour être heureux,U. tuteur lui fut nommée portentt dé-

cl man e n'en v-'ait

pas d'autres pueaprtnsanqui avait recueillie et qu'elle,.

appelait h père.Aujourd'hui que plusieurs années ont

pansé sur cette vant les Lvexe s mais bien vivant., , lent à

l lu ibisa tôt.

d'eue vaste industrie touchant à la grandeculture, et qui emploient quelques centai-mes d'ouvrier, pour lesquels )'ancien pe-tit contre-maitre a résolu le problèmede l'exiatece digne et de la vieillesse,de-pactée.

Quartsà Violette et àGeneviève, cilleont épousé les deux frères, et jevous lion.on bien ,si je villa d e

do..aom qu'et.

les portant e t. ledd han .es

pipnlniri dans nouagrec

,la et belleFranco Il, cités pour tout leser bien qu'ifs yOnt fait; les ce ait les trahir,car vi a Iea

reoi, recoc

naitriez.a

'ai

tôt.Ne

rion, crantons d'ailleurs que de 13 mas.nove et de Violette, Go...lève que la fer-fil re n'a p.a changea et qui est tonjo.etbonne comme lorsqu'elle était ""'lao

t, etVr dette, quo n'x sis oublié la veilla deN él Pair to il c q '

P léoum u

oht ouet qui

grandeon

te les1 a vr i -tt ab i é grelottant souema ge avant dans le ru .seau il..-lent a la tes un refuge, une école et arefamille.

FIN

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

JOURNAL 11E 'FOUIILW SE

crà Ie, ..je ça isole - Et il se. trouve que C'estbotà cause de scrutin de liste que M.M Nait net' au moment de la clôture se Gamta s'A te et nou s a e t e s d nt astrouve.. dehors D'est A-dire d l

s je j

'che radicale, laquelle se déclare ouv rte,

jaequ t ."",ilet point lé f à [a

e opposr flou yt n t qe

ce qui est »'habile polGgns; _ il'st a ssi que crtta gauche radicale

pf

érreuaes plusieurs Individualités des

us .C onthmtde

liuy ' M. Ferry, dans 1001. sil

pout' le cabinet actuel, et compteont qoe Delm cI pourra e ellemA

s'appuyer sur la gaucherastdtoe

icale,foule

ela cjte,. libérale, autre gr veu quirr

l Bét. erurdro encore plus rumeur.f J.

traarté e, »préssecte e Oral fan.

taiaiste à vers lev m e

dde groupes.

Aarat bien la gauchetlbéo'libérale par Ferryest la plus full plu sine qna ja con-

ripase. Ce groupe seai

ilérné ne me ditrien qui mat lie ; - je

laIx déclare bien; net.

-- Voas libéral, monsieur J. Ferryt Maie,pour 11 Pire, Il faut être indépeudant,-et vous De l'avez jamais été. - Il fautavoir un programme arrêté aune peine aeretomber duos la Iicence ou dans l'arbi-traire, et, comme voua n'avez jamais ude programme arrêté, vous êts tombé,licence.tour A tour, isans l'ovni'raire da ris la-Il faut avoir de l'a

ui

taillé ss agea te, Ii rsbà-air« les couvrir (an.,..

fait M. Je général Campe...), et vous nlesavez jamais couverts. - Il faut su

tout avoir de l'autorité sur le public etsur la Chambre, et, cette autorité, vousl'aviez si bien perdue qu'A la premièreréunion de cette Chambre .ommée vouavos auepfers, vous ,'avez pas mémo citérenversé... volt. êtes tombé.

Alloue, ire noue Parlez pal de voire li-béralisme - il a A. faux Des. - Noussommes

en,carnaval,û est vrai, mais duos

1tous les hazars de Paris, ou ne trouveraitpas an aea du calibre qui vous vol nécessaure.

Voilà comme Ni. Jules Ferry est t

compensé de sue complaisances réiléréespour les opportunistes; il en entendralien d'autres sil se met à la pitié da l'op.Position.

Le Journal des Ddliats s'occupa loojousede la révision. M. Joht Lemolnne répondà Partiel. de la Hépaélfque francaier, quia été an:dysé hier dans la GorrespoD-dette. :

Qu'os en soit bleu sûr, ce n'est pas pourle jet puéril il. mollet en eontradn,tioaavec lai meme un homme de la vAlrurPersonnelle et de la situation générale deM. Oambettu que nous signalons les varia-tions rapides de son langage. Noue cocnn-50550000 à tout homme politique le drultde changer sen point de vue, de moduleren co..Aguenc.a R conduite A,, ses paroles,et de le faire très sincèrement et trèscoueleueiensement. Mais il est toujourspermis de rechercher et dedil aie, lesmotifs da A. changement.

C'est ponrgnoi nias avoue cherché laraison qui avait po transformerai prufoodérnent entre le mois de mai et 1. mois dejuillet le rrogranrt e gouvernemental deM. Gainhotia. Nous aisé spas trouvéd'autre qe eje[par le Sé t dti

ils1, te Non, 1,Uv.,l'avine t et il ftq e

a g un certa0i 0

nlait

d vp rpu i -q n -il trouve PLI-

d'autrepeur- en

n..airI ealm®spartisans du scia Eio de

liste; nous 1. sommes tonluurs, et neompions bien le pontier snrrrreoantpl.A tard la question. Mats il ne

fautpas

K u'on vienne nous aire qoe c'est le Sénatqui n'xo s pas voulu. Il

ades ehill'rea Ioda la politig fier. etdeux .'y font lias touj,iure quatre Lescrutin de fiers a été rejeté par le sénatà une faible majorité; riais il n'avait étéadopté par la Chambre qu'à une majoritéaussi faible et encore glas pénihla. Est.AU sans rire qu'on nous dit quo le Sénata obligé les députés à es faire réélire parDU

procédé qu'ils avaient coudominé

eux-mémas l Pauvres députés: infortu-néee victoire que cet intransigeant Sénat

refusé d'affranchir, et qu'il a condam-nées ire scrutin d'arroodiaseroeu t! Allonsau fond; la vérité est que .'étai, la Cham.tirs elle môme qui ire voulait, pas dol scru-tin de liste; que la grande majorité cesdéputés préférait le main tiev de, inHuruces locales et la situation 'le umire,la pa-lais d.le L'urroudissement, et qu'il u fallul'irruption en"'Cillute, impétueuve et fi,résistiblo de M. Gambette pour en;evee levote. La vérité encore, û est qu'à I. con-,miseu0ce fie tout le monde, une InfiueriaAofficielle qui doit Coopter pour quelquechose étal[ hostile à la proposition; à estque le gouver- emsot y était presque toutentier opposé et no le dissimulait pas. Lavérité .ués, c'est que la Chambre vemptnitbien qua le Sénat oe ratifierait pas unvote

qu'elle

avait donné par faiblesse.La Chambre des députés fait ce petit jeuplus eouveat quo. ne penne; elle vote,elle vote tentes sortes de charme dont ellene voudrait A aacan prix. eu ne disant quele Sénat las arrêtera. C'est se faire de lapopularité à boa marché, et le Sénat estbien bon de se prêter A ee rôle da boucémissaire.

Nous voudrions donc hies qu'on ndouant quelque autre raison que c.llad'avoir condamné ces pauenres députés àse faire élire ou réélire par la procédé quepour la plupart ils portent sans leur.mur Nona espérons que si la Chambrevelu ta révision de ]a Constitution pourréformer le Sénat, la Sénat s 'naturalisera,de sou .été, de voter te scrutin de liste etd'offrir à la Chambre cet obtet de ses ,é-,as.

Ce sera un échange de gracieusetés,et, comma à Foatenoy, on se dira : «Mes-sieure,tirez tes premiers. »

Avec le pl as sincère désir, non seule-mont de ne pas allulbl ir, mais de fortifierle g...R'ocmen t actuel, anus ire paumonsnette p 1 .r d ,,Agraire, q I 'tloi-même D ite t i I rit leeu rouir. M Gambette avait dit, à Cahona,un met d'une pLOI, ndo signillcaiiun. Ilavait dit, en parlant du Sénat: I Peut-étre e'hitneru lori à y de eupré-ms

r.nabsourcos

que vousvoseir

serez hem'euxd'avoir.» C'est ..A parole qui, Ions iapensée da M. 0inobe tlx, ne sud ressalt

ris doute q u'à la République, soifs quoipot .i bien s'adresser nu ministèredont il est le chef.

I,.' Camons est du sudiste avis que noncou il,,A :

Le o et de M G hvtt. , ,A .'I,1, ni NLTuu y Ré v l l l o n ,

A iM Braieret ( I j as

l'article 7, dent il se maquis. Cool le scru-tin de liste.

l aventure de léa I'vimon.La résignation de M Lao Say devrait

lui suffire pont le m< t Celle ésiguafou out ,P',"100 génuHex que vo to deplu., pour sou u,gue IL a i I a d. 11 -

as g e vPas tqui vont de llhumaor Tmf cela sua. vientde ci, q le r ya g. de Tours a s luitrop pré. l j t lu scrutin de liste Sily avait raie d mtm voile de plus, il

ait reflo h duaroitmnirtenulaaoc-trine te cuhors

Il tan t fer au scrutin de lute,aux grands carrants et u t t u "allé.m te. M 'I hier. avait te é en 1871,doua vingt cinq départrmau [s; Il lut efui ait vin g05010. Avec ,eh,, il pouvait semoquer de M. Toey Révillou et, qui plu.est, de M. Orévy.

Le Séant an 1's pas voulu. Il a été unObstacle Il n'est pas un obstacle au pro-grès do la République : mais un obstacleau piébis cire.Trut

ce que nous disons pour atténuerla faut. do Sénat est hcu pour In raison,mais ne prouve rien pour l'humeur, et en,Ont cas, n'y change rien. Il pot hors .d lute u. la Clia9 6 utés hAsimfielsd 1,tait, que la mnj

é a'a été que de huit

nia, que M.,limé n

natta aven tanisa sesfor Des, et que le défaut min tartre a jugépradeat de ,v'abeten ir. Soue rection deal.O:o0Oetta et I'ieoction de M. Ferry, laCha,ubr. des députés evpoassoit le scru-tin de liste, ri eu n'est plue manifeste. A.Sénat, M. Gambotta était xleen t; que]-q ires amie de M. Grévy ev sont t montrés, etla rauséquence toute simpl a été queM. Gambotta n'a pas eu son plébiscita.

Il aurait mieux fait da dlsaimnlec sondépit, et de rte pas se venger du Sénat auxdépeoa da la tranquillité do paye, Il doit

enaer luimènes

à présent.le

La Gazette 'le France s'occupe desgronde projets do ministère :

Le grand ministère commence enflaàfaire connattre au

réalitéles grandes ré-

formes qu'il doit réaliser.Seulement ces réforme. ne ramifiant

grandes, suivant toutes vraiermb{ancesqu'au troupeau choisi que M.

Oamhetta,

mener brouter les gras toit urage. debudget.

Il s'agit, premièrement, de demanderauæChu, broc une augmentation du traite-meci des cossai lima d'État.

Pu arroud lieu, ou se propose ôga[-,.A

D

t d'eug,neoter le traitement des sénateurs et des député.; mai,, commeoa "'litait l'impression [Acl eues qu'une

proposition ne peut manquerde produire, o ompte recourir à desmayens détournés pour la mettre en

ont.avonlit, en ed'et, dires le Vollatre :

e La question do l'élévation de truiteteut des députés et des sénateurs sot agi-ée en ce moment daos let ergles parle.entatrev I,0, députes et l

,es

sénnteoeatunchen t 9.000 fr. par an, 750 fr. par mais.Celle somme est évidemment insu fbva,e,si l'on lent compte des uhargre q ii etattachées à la situation de membreito Pur-le

Il t ce, n si uo ire le rj q gme t t ,.Il

uonalnal,si

eu lalPKn'rite

ri ,f r.att g t fion, n en prlrudra

pas Irn,1

iti"li0 v L- rai ans ec. loi uit,Ai

p x0.151 Ju s b t n r ne peuvei t Achapà

personne.s

D'autre part, il est peu probable q O'amn députè ose assumer la respon,abil ilé

de dépoxnr un projet en co sens. Pourque celte mesure xuit formulé. à la tri-tons, il faut donc qu'ch. émane d'une"'.l'ion limon AI ré00inu plénuées en detout autre procédé qui lui donne une ori-gineeollectine.

A L'augmentation de dépenses qui ré-sulterait de cette élévation ocraitonuncl-loment, POU' les députés, de 1,671,000 fr.,et de 900,000 ,r. pl., les Ré-atours, soitlu total

2,,b7

671,000 fr. A

'"''TiY' A N G 'RLa question de Gibraltar et les

Rterre. Unie.

Noua lisons dan. le Itdc'etd do New-York :

a Oihraltar est, en réalité, une partiedes damai ans ee,aguois et, à te. Peint de

e, l'Angleteeee n'y a pas plan de droitqu'au cap Cod. Net, seulement l'occupa-flan est une Instille à la fierté espagnole,mais elle affecte matériellement les iaté-réle de l'Espagne, et ia question vient derevenir d'une manière caractéristique de-vaut les Carte. espagnoles.

»,

Gibraltar est port libre, avec la on-séuence que les c0ntre6andiere et frau-deurs lien servent cr d'un entou-

r à travers lequel leme

répandent enEspagne le ]bar, et d'autres articles forte-outtaxés,eeoa payer rle droite. Les Es-

pagnols out longmmpa prutesté contrecette crulubion de lenra droits, et l'Angle-terre u'a jamais eonseoti à art arrm:ge-

ent hoeuéte pouvant y mettre fia.Jus _qul pae Lu, lot Oibraltur est osairerotnme aCH9es p ode ulcéra d. l'Inde,

D'est un prubiéme sur logool mi peut dl'.beaucoup de choses Pour et conte.. La politique de détenir des avant.postes, pourainsi aire, tout »atour du monda, estparticulièrement anglaise.

a If n'est guère de puys Air.. une garni-son anglaise ..atout la garde sur lescôtes.

» I.a France, quelque proche do l'AOgle-terra, estM

..,veinée pur les îles de lache.Hi'ligola

annd,qui devrait apparl"nirh

1,Alleniagne, t flot guis.A malte a lié p à Napoléon, et de

mal Le l'Angl terne monta la garde nnrIltaho et las parte africains.

A Chyine eurvsi lie la Turquie et l'entréedu ea nui fin Suez.

e Aden garde la mer Rouge.» Hnuq-Koogest. une garda sur la Chine.» Il. Amerique, nous av ,n eu de cem-

blablrs expériences dans lev suas de uus.âtres détenues par la Gronda Hretagne.

»Noue .nous souffert clos qu01'1 ,mirene l'a dit de {eue occupation par l'Angle-terre puudant antre gon vile. Ce ,-fleur ô,re un jour cries e question

1 Il IIIIII, par,Nots

pour qùI

e La question rn j liqué0 dans lu ronce'vo de Oibraltai à l'Espagne Points, en

8a de compte, intéresser les Etats-Uaie. e

sri nf triptyques, panagh s suisses- 1 salent (Viaeeuq, 86 a ,an des Trois-R.-S. Su, n.s raye, s il. blbnathogaes

'a eutasaent des nuncui' Oeils précieux, des

LARFPUBAUE DU MONT ATHOS 1 I

gnp t 1 tri a raira, parmiu I lu ch h udts`nt fart

I l d u 1 u L je Valeur. Pare, ent l g t i a' 15x8 ce cent desII lette e 3 lo q Lui t t t t ru [élus . ppelés

que l7 po's P I go al 1ê,D bals,a

x

I

10 les doe.lideai p11

i's:em, sur tousai, tl t1 'a la lap 'n['lie l' t:g

et

t fin rivage,or d u me Ath tïtlrI Ihud ee. la ot rampa ô i oesqu i ailrplee,leD-so p g s on t été faites, p erdant tient la mer à da vert gii anses haut«or,le mois d cor fol Allé soldons i t tôt b, Il . pIa de valléesan, le Airel

dontéethr

ron'A

r

Itan qoa Ad b q,t

I s d l h A

fo ,L le rde. on touffue.O e

b d .e g Il

!

1 e 1 1 c'- il 1 . q 1 I n o é qni ra-de nouveaax modales et dl,'ion rbrt . i,e 'Al ail c terà à port t ne brilleO urreep.r dont fin JoernaZ des Débats don éclat inaa.oa tutné, A peine a-t-onajoutait qu'un n'avait rien troué, m rte font u p la, 1« territoire ancré que dequ'on avait. arrêté uu'as

p.nnnnas. orielgrand natalité de toutes parts, ou est environnée de scén es

g

auraient

es .A."", auraient pnH toresqu es. On n'aperçoit d'abord ,été misa., 8 latortrtusec re,

Eofla, ses ordres nr astércev ni nratoi tee, a Lrerte Aevuee,

été don Déspnur q q0

u'au rasseuu- ,loir que des taillis et des lois. Mais quelslldtdar.e l'espace de trois jours toute es- bois t gêt.t,.. du Nard, végétation dupéce d'armes, partout où l'on pourrait en Midi

se

eeee renc

contrent Ici et s ènt pour,LAri' OVer, et qu'un ou

siègeces armes sue dore 5le plus splendide poème de ver-

r uoint désigne où siègent des commiqui

A' dore qui e poissa imaginer. Sous le rit-sires turcs, Y.rsouno, emivait le ,o."AI- net, les essences de antre pays n n'ontpuudant, ne sait ce que signifie cette Ils- les bruyère:, les genévriers, les fougères,pédition dont un .,.air prochain éclai es myrtes et tee Iau niera atteignent desrx plot Sou le mystère. dimvnvi ive telles lie le volaa Ir hésiternLue q Y gel

pcrson ire et es Avec les eh a- d' ha ord Ià r n n offre «aces ré '-.ls siee de t'Orien taeruuc lent èlro ])oing air.l 'cet h'

cti'

res chàr earou .Ie s. plat.Pl1.0 que le c aendde t du Journal es d'Orient se ruer ont et forment à e.hn-dea

Déb4/,S desdéd défixlers

de l'autorité ut- que pas de..

l'allas onmbi"Ois.ns detome oc, Lmn moines de l'Athn, ont lun. paysage. Ici, de ,ombres cyprès sëlan-..ceet'Saf'elenclinaA s'oceaper de poH- cent d'un massif d'oliviers grisàtrme; la

1 qu'ils s'y autandent lisses mal. des chéries Torts mariant leur verdure àDepuis longtemps, le go.veruemont ruese celle de figuiers gigantesques et de aigoa-néglig. rien pour .bleu ir Ienr en- renx érables.Dueruillireadeplantesgrim-

000rs. En 1877, les journaux pablibreut hales et de lieues en émeu s'enlacentne dépëche adressée de Saint-péters. aux branches et e'«nroutent eu replis tor-bouc0 A 3aloorque le 14126 novembre 1872 tueur selour des fronce ro[,ustes. Des clé.s laquelle i1 était dit que a l'Agence matités ,]AI chèvrefeunl -s de'A,'" nondu ,Dont Athos devat àtre Lransfarmee en folles ,A .."Pendent aux bai,soas rvun-es ilé ayant pour mission d'étal lie data p;;nt jusqu'au haut des branche, a'o 'où ellesIles couvents dus dégâts d'armes et de nra- retombent ver, le sol en gracieuses guir-ni'ions de d'env.yen eguerre, o Ylacé- s.sloi Puis au loin, Ga

vg

délit

G

l'adaine elà I r. Thrace Ai en Bul s hlaiiute8-es

trie ries émis-e fntaims tantdt à demi ma, u ar I"= e d d'é bt t dir u ne la péntasnie

d'Alhns,-coura

rassse[ bulgarAu rouis d'août 1878, ou annonçait haute

entà Athènes que l'Ath.. était enmplé-temeat entre les colin, tics RA,ses .taone-titnaot un de leurs a v unt-Postes. Le !mitéde suit Stefann incorpot ait le mont Ath..

royaume bulgare prof e.é, et c'est auo.].,.,ai sur,,.,,puai filou des reproseil Lamade l'Aligleterre qu'ils ranuneéreut à exi-ger qui, cette clause fht lacérée au traitéde Berlin. Il vol a présumer qua les Rus.ses n'rnt pou ren.me à leurs projets. On

les utéflar t'A duel Turco çet le..> surveil.Ianrejaiouse.

Qu'est-ne donc que celte 'éclair de l'Eu-rope oh se heurtent duos l'ombre Ott.-

es Rasaee? C'est 1515 pays as,,, unigiual et assoz pou canon pour quil na suitpas oiseux d'en dire quelques mots.

Le noot Athos .élève à l'extrémitéd'une langue ,le terre étroite, longue ducinquante kiumétres, que projette duosla m r Egé. la large penlisu, o qoe les

« avaient appelée ... Chalcidiq ire.Lit .balrte de hauteurs qui remplit cette1 qoe f. terre et 1, t qui au fer riteai OI -x'nei r . ut reçu d a t s0. le rem deRagion Donc, la innnfxgue Satnta. Le

rat Aih t sert i p,Lt d'anmens. I

_1cal r,' bini Lhatre Sa

^ Or

hante est évalué à 1 34ar meIres. La a,.

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PIAaCHÉ AUX Lui DE LA VILLRTTR23 décembre.

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.st le meme tableau qui ee r enouvelle àchaque détour fin chemin, avec .oe toilediversité d'accidents, aire talle mutiplicitéde nuances, qae, laie de lasser, i1 arrachede plus en plus et finit par absorber l'es-prit dans une contemplation de tous lesinstantssprint

C'est avoir admiré ce spectacle,qu'un voyage rr 61a's, le RAvét end Tu

t, ail pie hés té à dérIarer qu'aucun11ruyesge d Europe ne l'em patte sur

t,1-e-du ..et Ath os et que tient à peine inest qui les égale.

Au cmur de la montagne, à une eer-taiee diatauee de il e trouve au-tour d'une église quelques maisons s'a-Iienanten une rue unique. De chaquecôté de la rue d'étroites et obscures bau.tiques, dent les locataires sont vêtus da:netumerr Ieonasiigaes et exercent, les ansla prufessi un de tailleur, d'autres celledol ubac, aeren et dont le plus grandnom ambre fait lecavaaerre d'imageselo-tes ou ecuiiuléss aile bois. Point

depvie

d'aillenrv, pas ,Lié oede bruit. C'est pour-t l de I j. vi[io[lre, eIhnt t qu'ilta

Il e auntamea

de Ka-ésPr t tant pub uemeet o àseu

t, de t q Lo le 0 0' ! t. 7 Itxoules moi es 1 monti'Ie b h l. Chri'd élaraiu

th Athi j s. Cloa sorte rdsotutoOui,- pl sle P I k .I td' 15

15u na 16 uétres + eu Im i nivt'a l i

o u

Chacun des vi il gt gela finl o i lurnrnt de2,285. Les vuyageurn nitinasréres do pays envoie à Karyés sequi vont lie Siloni Iuo nu mont Athoe leugués et cour-ci délihéeent en communpeontrent .il an t:rPuai hka deux sur las altires qni intéressent l'ensemble

ehos nieuses:.'Ait

d'abord un fusse de la communauté, tee Pouvoir exécutif sePangeiraet les vestiges ce [amasse inents uim posa d'an cooxeil permanent de quatreu'ont étudié t dé n M M dy e e ce te . e Choiseul- membmsdo l'assemblés, nommés épistatme.Gouffier, lu eolou ol Loa ke, Nlebukr et L'un d'o0x, élu pour cinq ans, las préside.d'autres vnyagenrs érudits; ces vestiges LI parte le titre de e prern ter hommesont os [émoi na qui attesseuf le véritédes d'Aths s et posséda les attributions a'anrécite d'Hérodote et da 'Ihneydjde sur un véritable ehnf d'État, La police est eatredes incidents de l'invasion de l'Altiquo les [nains des quelques palikares albanais.

par Xercéu. Le conquérant sueif !'ait, en Qaasl au ouïnracan ottoman qui réside éeffet, couper l'isthme pour livrer pas-1

Karyés, ean rôle se bonie à rcav ir I.lige à sa flotte, travail qui, eu raismi de 1 tri lut que payent au sultan les obabitantsla nature du terrain, ne présentait pas du raout Athoss.de ,réa grandes di flAultéc et dont l'avan- Cout,Ai,AI est à ce qu'an voit quelque-tage était manifeste, puisque, môme de fois ailleurs, carte «Assam blés natiura010a jours, les marins gl Des héeltent à 1 do l'Ail.. s edoubler le mont Athoa pendant les ,noie posée do l'éli

m ble être véritablement 00m-la de le population, On s' litd'hiver. ( mémo demandé si les moles le l'Athos

Ce qui s n Lire art. regarde des voyageurs, ne formalont pas l'élite de clergé grec. Ilst un d lik ltpes

c'u e pa ares ae banais quiut pan, consigne de refuser le passage à

tau[ âtre appartenant au sera féminin.Ljtie {rit qu'on dit remunlor au temps deCous latin X Monomaque, in tard u1 sonf.iinms l'Alcée de 1a a rutagne. C'est quela cammence un territoire réputé sacréet tout e[ lier eo noerm é à la prière. ]Je-noie u A s'brun siôcle, la PI-sq-'Îl. s'estgourer te ean seulement de monastères,

is d'ermilegs. qu'on nec O..tre à Ehe-quo pas et dans lesquels dsesolitaires pas-sent eur vie dans les austérités et tapriàra, à ce point qu'on peut dire quo ta

'

est certain qu'anciennement les habitant.de l'Ath"' ont joue, eu Orlon t, d'une répu-tation de sainteté et de science qui W.-,ait pas da rivale. Leur infi uence fatforfais prépondAraute dans l'Egliee ,,bu-

e. Lis écoles de la taon rague énaientlapa

fnycru lu mineur de l'm,seignementw thoduxir A, l'épieoop aty recrutait sesambres las Silos distingués. Que ces

mollies soient restée ce pulo,il, on d'uneréputation .ceci so1ldame.t et ...et jastament acgaiseque par lu Passé, ou peutle contester. Toutefaie, l'Eglise grecque'n a pas cessé de recruter ses évéquea

péninsule n est qu'un veste m.... làm. parmi eux. Cette eirnoastanon .et. les ACe D'est pas, a écrit M. de Nolhao, 0e penser que les reli gieuæ du mont Athosmédiocre sujet do surprise pour les voya-goura occidentaux que de voir (f,,ou. ir enris lieux fier contu,u es dual ils pnavaient,

à juste titi', croire le irainlion abaudnn-née fin pais le !niolo, d'Amrou et de Chos-

e. Ces vieillards, amaigris par I'fige nt

sont tout au oins une des fractions liamoins ahàtardios et les plus influentes daclergé phutien.

Lee niomns du mort Athos sont-ils vrai-mentenirésdanaaae serte fin c aspirabrin centre l'auto, lié du sultan rit rnllp

Ira rraat io en annt les PArea pp du desert.I ils l'i.fieénge russe? Le ,ilsoliat négatif

La relias ni tiu tan ce est cumpléte et, ai la don pnrq uivi tuons opérées jus 'ii danq smusfin repu qui ait les Pré- . Ils entvonts tend à faire croira gn'it n'eninstituteurs dil P ll trr monLOI

s

danacelte breneho de leur dex,ona acepur l'esprit de révolte et de schisme, onne 1r.. valait nulle part un tableau plusfidèle de ]'Sge héroïque de 1. fui que layeces monastères où àe sont coaaereées tou-tes les règles et toutes les formes de l'acé-tieme primitif.

Mais, ajoute le môme auteur, ce n'estpas senlnmont le spectacle de cette en-An

éthhumains demeurée étrangère à la,che dit temps, qui co- à la lier ne-

e,le un Intérêt ri, f x ptln,nelIc, tout tonnes et tout Falln. Pare p { g e s,,l'ana ex rmnte à I uo lce e t dans t it,s patit le et lit or gina:e d r canut A,hoa ireles directions tette poiil te lie terre. Vuns sera plue qu'au souvenir historique.O

déeoavraz pas une seule lo'l'A ité, a P'ran aise Docteur FARtue.perdue suit-elle au milieu des rar i } ( p ),

enfouie ou fond des ravins, si haut per-chée ao som,ot des pics, qui n'ait quelquerhose d'insoliie et il, corieus Co ».ontd'abord les vingt grands munaatérrs où s

gardenc. hué 01v. les plus précieuses épa-tir el1e oivllisetion hyeanu in., sL peu

e tin I00cjdeut Cluse on de 0eaatàre vérii 00,0 v illages fortifié s, --,

fera.,, cinq, I i , ,et rgli+av île,u i h i I

leu ec 11 d f b u f dis L eait a,id vina t et le t;,,,clél

Duosrtlesl i

sa-isttes sont accumulés des trésors d oi-

Wvrerie : reliquaires, croix, chéeses, or.

t t'en; mais II D'est leu[ être Lhua lie -Allié de voir dans l'IUq uiétuda ltectéapur es Turcs autre ,folle qu'un prétexteLDagi né pour déirair. irae ..tnnomi. quiles offusque. La 26 octobre dernier, lescommissaires ottomane ont déclaré à l'as-semblée de Karyès, eémrie s.us la prési-douce du a mier homme d'Athos »qu'eu allait éle

prever

huit redoutes qui lierviraient à abriter des soldats Peur s°op-

iser à un débarquernoet 0ventrlri d'or-s rit de pinaillé an mont Athos. On petit

être cerf nia qu'une finis établi" dans lap la ti I ]I ts r en 'en ti roof as,

t 1 e b1 o c [te elte R< tihl' ir

DÉCÉs on 21 aéyv... S 1881.

Deimié IGao elello), veuve Vitras, 83 ans,,oatad. Ça -""0505, 16.

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aAT10N eu oe RENVOILe mercredi Il Minore, 1882, d midi

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Pardovant et à l'audience de la Chambredes Allés. de Tribunal civil de p emiére'ns[ance de Tunleose, au palais-de,Justme, plane Samt-Mmhe1,

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Pour extrait,(154) Boue, avoué, signé.

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Les demoisel1aa Croi 'merde e VHIL rinstall Il ré .ie lecm enmD t rua du t'ieus-Raisino 28osant carmères de famille voudront leurpeonufierl'éducation de leurs demoiselles dans Lesnouveau. locaux qu'aller cet fait prépa-rer à cet eifat dans la ras de 17nquisition,a-13.

La salubrité et l'agrément dos classes,e les soins aévuués des maître,-

ose donnent à ce p...Wàrrat toutes lesgaranties déeirablea,

Ces demoiselles prendront des pension-naires et des demi-pensionnaires.

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Le mercredi 4 janvier 1882, à midipré. c.

Paidavant l'un de Messieurs les juges dela chambre des criées da Tribunal civilde Touioose, Palais de Justice, placeSaint M blD i bl h 'Ioui I dol

x h Oui n L ( Y!g ;o, ,as a;,a lite,lut

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4 nul,

il "' etPre It t1 - Corps ,Je 'roairr

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pria, vingt mille troncs.Ci ............... 20,000 fr.

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Pour renseignements, s'adresser à MMe.Roques et Lambry, avoués.

Pour extrait:(157) ROQUE» avoué, signé.

Etude de Me HUGOUNET, avoué à Tou-louse, rue du Remparl.SainUEtienne,nv 22.

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contenant trois nii He sept ount trente-septmètres narrés, situé à Toulause, quartierMontplaisir, contreA tant en bloc de le-vant, la roe Saint-Benott; du midi, B6.gué; du couchant, Malfre; du nord, rueMentpinieir. Il est mie en vente, en douzelote réparés, qui seront réunis après cha-que adjudication partielle, aur mise aprix de mille francs pour chaque lot.

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Pour extrait:HUaOUNET, avoué, slgaé.

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ÉTRANOria9

su.ilLe mercredi 4 janvier 1882 , d midi.Pendceant un de Messieurs les juges de

Tribunal civil de Toulouse, plnon Saint-Michel.

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La concurrence ne s'exerce que ,Arbrebons pied ut Ls Les Capsules de goudrde Ouyot, si nlicarea ean., les AI, de n

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G session de novembre.'JM. In , Chabrot u . ,

Ilgu r deCnl d'Aller OaryraRaiA

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ge, Cotrstanty, Gré., Redit de 1. Serre,Pnginie, Ores.

Rê.... ci.,. des coure de révision pourla »ession d'avril, à partir da 2joeeier.-Chaque éleva à a0 chambre particulière.WHdA..ser à M. l'abbé RORERT

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