,POLITIQUE ET LITTERAIRE -...

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70e Année. - No 357 BUREAUX : Rue Saint-Rome 42. Mardi 29 Décembre 1874. N E TOULOUSE ,POLITIQUE ET LITTERAIRE Toulouse ors TOnlouse IIN AN..... 90 le. CNHAN.... , 6O Ir ABONNEMENTS sIx Mois. , . a. six mo1S... , son ... 05 TROIS 111015. 14 ANNONCES, la ligne........ 0 R', 50 INSERTIONS IliarAh¢s, id. ....... 0 50 FAITS Divans, id. . . . f A 1. Société Générale des Annonces LES ANNONCES S. mea ana nae..annxa, TOULOUSE. SONT REÇUES Ch- MM. Bavas, Larale et C' S, Pouce ar ta Bornas PADIS. Toulouse 29 Décembre Lépéehee télégraphiques (ennvnat saleras os L.nonce .Aras). Marseille, 26 décembre. 0. mande de (lame, en dote de ce jour : Le Pape a reçu aujourd'hui la no- blesse romaine. Le marquis Cavalrlli, ancien séna- teur, a lu ..a adresse nouvelant l'rapresaion de fidélité et de dévoue- ment des patriciens. . Le Pape a adressé aux visiteurs dru LIEUSES LES DÉPARTS ET DES ARRIVÉES DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÉANS Ligue de Bordeaux. Départe: Anisées': abann (durer) IS Il 15 Malin Ulirect 3h23 .latin, 6 30 bon, Ag c . 8 18 .latin (expr.), 1t iSmr (expie), 1 45 1 35SOir, 3 93 soi, gon), 6 20 Sir, 10 40 Ligne de COtta. .latin (direct) 31140 Matin (Cure), air 56 Malin, 5 45IMatin(expe.) 10 30 tore à vicier l'élection de M. de Boue- g.ing , auquel cas la domnüsaïon d'en. quête an proposerait simplement l'an- n sisium. L'enquête ne saurait avoir le carac- tire d'une instruction judiciaire. Le hrnil de cLangrmenl. de M. de Gont t-Bi ron, omh0ssadeur à Berlin, est dénué de fnrdmnnnt. Day..ne 28 décembre. 0. dément que les carlistes de Cxv' tari, aient tiré sur le navire le Casiers. paroles d'éloge. et d'encouragement. Londres, 28 décembre. Plusieurs anrdinau: assistaient à Un télé relie i... grarnrnr. de Madère, à la date rire . Deeoouiomain, bauront iitu e lien de nouvelles en i an nonce qu'or iend ie aéclaté réceptions publiques. mer, le 7 Mus le e . La sauté Ju Saint l'ère est excelle.- d'émigrenta l le e CeSpelrJaet,ic/r. allant àela le. , Irisa ont SIS rde. Sur 465 passager. frein ont été sauvés. - I] LI`CRAPIIiE PR °I E ( ar tan arrilcnn Paris, 28 décembre, 6 h. 40 soir. Le Mcnileur dit que plusieurs m bers influents de la droite , or sur. ait dent an ions membres du robinet do 24 mai, cfoot des efforts pour ex talc la majorité du 24 m'i. lis ,pré. entent qu'il sera impossible d'obtenir msjnrité pour voter les lois consti- ira tutionnelles. En nségueace, le but commun des étant la défmose de la , il il va vaudrait mimes donner sim- plement an e', 'rnenrent les crgane-li' .edispeersalele .damaient la toi v ivo torale et le droit de dissolution, et ahandgnner les projets de Chambre haute et de Dansmisaion de pouvoirs. Le Hostile, croit que le centre droit n'est nos disposé à accepter les oombi- 's.ns; il appuiea'.ait le cabinet, Si ce dernier mettait l'ASSemL'ée en demeure d'organiser le, pouvoirs de M. de Stuc- Muhon. Ce journal ajoute : Ces agissements ne favoriser la cnnjonution des maires. Les erégeeialimrs clin rentra droit et dn centre enclins ont repris trés.aetivemlmt. On croityu'rte's devien- dront 'IL,iulles , en passant par les bureaux respectifs des deux centres. Le priueee Alp11nnse d'ISspague est attendu à l'aria, vemnt de Londres, demain nu jeudi; il retournera me Au- gle4 ire vers le u jeu nier. Il parait cerloi nnjoered'hui qu'au, alant 1.tion ministérielle n aara lieu en avant la discussion des lait ucnculita. [loua selles. Le Prennent, -dit qse lenquête urdon- néa,par l'Assemblé. nationale. a poire but de rechercher, non pus l'organisa- tion actuelle du parti Lune pli rtiste, nais seuleneeert s'il "est peodnit, dans 1. Nièvre, des faits particuliers, de oa- ramnnlvron nu JOURNAL un TOULOUSF- Du 29 Décemhre 1874. M 4 m UN IV. Cependant, hl. Léopold Nmrviant de la Chdtellenie arrivait à plaira par le chemin de fer et se faisait conduire à l'hMel d'inglsterre dois sa noliser' qui J'uvnit précédé de vingl-quatre heures. En parfait geutemari, il lèpoil ait le es- ..e de louage. Son équipage était aie le -.la de très-bu. oùt 11 se composait d'un élégant coupé unité, d'un chev:d anglais portant beau, oeir me le geai, et doue, d'ans particule- lité assez rare allez les chevaux de celte robe, à savoir de quatre balzanes haut- cLmesées sape la moindre moucheture. tique à livrée te et culotte Un donnes ourle tenait Ira crois. C'était nn Poi- tevin pur sang qnn, par égard pour la ronde, son maître avait affublé du une- nom britannique de Dick. A une heure, le coupé s'arrêtait rue de Crosne, et u annonçait à M. Lehar. peur uu ami du docteur Maupas, La famille était réunie au salon. (:épreuve de la présentation fut futile Paris, 29 dérernnre, 5 h. mutin. Le journal L. banne affirme qu'à l'os, ci, on iiu val an, les légltin istcs enl u e wmle de Chambord, qui y répondr.. L'Op«4a âon eo par une représen- mtion de galav; le gouvernement a réquisitionné la salle. plusieurs dépotés cet l'intention de proposer de nouveau l'impôt e1 r le nu pour combler le déficit du lui- gel. Airs. Lésione paris, 29 décembre, 3 h. 45 matin. 1.'0/fient public un décret par lequel M. mmral-Unfey, nommé préfet de Cris, est nommé préfet de la Cnrréze. M. Tripier , précédemment m é préfet de la Corrèze, est nommé préfet du Cers. spiritueux. . . . . . 34 .. à se Af:vseille, 28 décembre. Marché calme. Arrivages, 49,532 bc, loti Erre. Vex es, :1,080 heclulilrev. Nirolalrn'125(121 à le. 30 110. Doue Philippeville dur 130/126 à fr. 56. Marianopoli 129/125 à 11e. 32 75. leks d'Awff 150,1211 à fr. 33. CHRONIQUE LOCALE I.es baroaux dur JOURNAL DE TOULOUSE sont transférés durs na 44 au n 42, roc St-Ilome. aven rai homme lot que Léopold. Il y avait tant d'ai,roce dans 5as recèees, Lent D'amabilité naturrl1, dans els p+rnles que toit son liment de gêne u A'inq uiélole dissipa if éa SI pré Il sn i r dn b,c po , liugrm . 11 ssel rail l'aire l'::f- Il hTe. agni et s 7 il ri, q lie mots net ors si I u p' l l f Dcn c.:Ipri ;I, I.egemrl ieex mué. 1,11e aperçut nu beau dandy de viugl- huit ans, habillé par Uumntoy, ganté par Jnurio, nil exemplaire 'r eprncha- hle rte la moue. du Jotrrnal l d s g e Jlades, le rêve unlin de sc maginalmn. Léopold se mit en frais de converse- tion. Il eécLui. u. paie de cette amitié que M. Leharpeur avait bien voulu té- nu grec à son père et la plaça au mem- bre des legs les plus précieux de l'héei. loge purtemel. Il parla beaucoup du docteur. et changeant habilement de texte, il sel teaçer un lobleau attrayant de son existence partagée entre la capi- lole et les loisirs de la villégiature ou le passe temps des eaux. En accompagnant ses paroles d'un égard c(eculaire sur ses auditeurs, il fut frappé de l'épanouissement de vi- sage de la jenue tille qui prêtait à ces récits une oreille attentive. Se perspicacité ne l'abusa pas. -J'entrevois le définit de la cuirasse, psoas-til, celte jeans filer craint de s'éttoler en province; Paris st dvidem minet le centre de ers aspirations. ,Mm' I,ehaepenr tonriulle C'était de Départs : ,.. ArrÏlSen, Mali.. IOh Soir, thtSS Soir e 2 Soir 4 Pr.), 51 Soir, 1. Soir. 10 15 I3 Soir (tare), 6 15,S,ir (direct), i{ G5 Ligne de Rayonne. Ligne de Feix. Déparia : Arrivées t Malin, 9 h 20thtio, 9 h 11 2 O SOie, 9 60 Soir, 20 Soir, 9 40 Ligne d'Orléans, Lexos-Albi. .iai,in, 511 10 àlat. (.lontrJ, 91135 Matin, SI, fMetie, 91153 Matin, 0 10 Sou (Pau), 1 25 .tain, IO 40 Soir, 3 47 Soir (Peu), 2 20 Soir (0ayonq, 5 95 Soir, 4 So8 31 Soir (Manie,), 5 40iSoir, 9 53 Soir, 5 1 0 Soir, 11 25 Le renouvellement du I°P Janvier étant le plus considérable, Mil. les Abuu és duel lhb...onont éclmil le 131 décembre, sont piles de le renons- ,elle, en temps utile. Les abonnements nouveaux seront expédiés de jour de la réception de 1. demande, qu.igeee ne devant compter que du i" Janvier. A l'occasion du nouvel en, le maire de Toutous et ses adjoints recevront vendredi pro huis, 1" janvier, au Capi- tole, de 5 à 5 heures du soir. On annonce que M. Frédéric M...té' élu conseiller municipal dans les deux sections de, canin. Ouest, a opté pour la 2' section (banlieue). 5h D y... nouveau .selle, de l'Aca- sé d. 1 loris, a reçu hier laNi - teolncmlla,ujo-tnpe les Imct'.nnviras de IUuivarsité, eu résidence à Toulouse. L'Administration vient de Ciire afd- dace le tarif des nouveaux droits de voirie, qui s r0ut perçus à partir dit i° ,janvier 4875. Nous le publierons demain. Par décret du 15 décembre, à partir du 1" janvier 1875, les traitements des hagésmdes cours dune les lycées des déprarteents seront augmentés de 200 Cr. NI. Paumés (Firmin), bachelier és-Iel. Ires, est nommé malfreauxiliaire au lycée de 'Inspirer,, en eemplacemeeL de M. F,s::oebixe, appelé à d'autres foce- tions. IL. Olivine, de-lettres, maître répétiteur au lycée de Tonnerre, est sou mé professeue de philosophie au cullégn du llergerao. A la suite du concours qui vient voir lieu, M. limunié (àlaeïe-André-Al- irait Cueiile) né à Gronissan (Aude), a été nmmé, a ec le e1 eJ sur 15, élève de l'école des Chveles. M. chargé de la classe de troisième et gxsverdme au collége de Grillue, est nommé professeur de qna- teidme au collége de Figeac. M. Peux, L,,11 ,11111 de cinquième et isidme aie cullégn ce Gaellac, sL char- gé de la d esse de truisiéme et quatrième au r.Ilégede Gaillac. M. Cnirmoi, professeur, de septième et huitième ou collége de Gaillac, est aimé professeur de cinquième et sixième an dit collége. M. Dsrchy, bachelier ès-lettres, an- a churgé de la classe de cinquième et sisi'aie an oellégo de Slrlut, est nmmé professer de Iridiées et Iiai- 1iéme au collége de Guillnc. bon augure. Riais lieu ne trahissait les impressions du père, qui rép. allait p des mo osyilabs à on élugc intéressé. - Là cet la pierre d'sohuppeu,ent, dit encore Léunnld d parle Je gagne du toisai. d'un côté, mets évidemnuat je ee troues oie. de l'entre _-iie e ,nl r rit pl Voit Inut, ou, l Y i b des d i la reliait, per imos mos ides ee(ér, et que v rendre tenssmne par des travaux juslememl réputés. Lu renommée est bonne peescnne, répliqua M. Leharpeur avec nu sourire d'inrrédulim. -.- Pourquoi vous défendre ainsi 4 ILe end. scicutifeq,re vous apprécie comme me horticulteur d'élite. N'aven-ooas pas obtenu des résultons d'un grand prix sa, l'ucclimnmtion des citons dans ne, oou- trées, et sa, la culture de termines plantes tinctoriales e ry'arez-vnns pas réussi, par d'a semis intelligents, à pro- dnire parmi gnelgns fleurs des variétés inconnus jusqu'ici I - On s'exagère o vérité ce peu de mérite. Modeste est mon jardin, media. est ma serre. Monsieur, je vous cra offre d'en juger par vo -méme. - Mais, volontiers, oue aux deurs un vêritable culte. Et les deux interlocuteurs se ecu. dirent au jardin. Mme Leharpeur et sa fille restèrent au salon. Ce jardin, qui s'éteedsil jnemsquau boulevard Caaehuise, potinait, algré l'assertion de an. propriétaire, passer noue ana petite merveille. Plaaies es.. M. Feaeçuis-Victor Bélus, bresolé pour l 'euseigaemsst primaire, chargé de la 2' division de l'année pripuentul- à l'enseignement spécial au lycée de Carcassonne, est ..aimé malien été. .stable (2 cMOe). ppvr est enseigne- ment audit lycée. Sont ormmée aspirants répétiteurs au même lycée M. Félix-Feevç is Eejalbert, balles- lier 8.e-sciences, en remplacement de M. Sise., appelé b d'antres fonctions. M. Pierreloseph-Frédéric Eepeut, ba' heller ès-lettres, en remplalementda M. Lamonrenx. 61. Louis M,nynés,bachelier ès lettres, eo remplacement de M. Viguier. MM. Cuintrasd et Saleuse, aspirants répétiteus audit lycée, saut rmmmêa maltres répétiteurs (21 classe) au même lycée. Société d'Agricunuee de la Bante-Garonne, Stance annu^lla publique. Disco.re prononcé. par 31. le D' Noms,, pebsideet da la godron . Messieurs, Aei lien d'un discours d'apparat qu'exi- gerait peuaétre cette solennité, et surtout la réunion choisie qui a ré- pond. à l'invitation de la Société d'a. gri,ulture, pour ne point sortir du [.n habituel de nos travaux, d'apprise quelques instants votre mitee- ticn sur ua sujet qui, par Sa. acdmlité, e semhlo digne d'intéresser ceux qui, dons antre région, vol à cane de soivir le progrès agricole. Clioa aux Concoure, les machines qui, les leur apparition, .,aient par leu- oaulé i rxeité les plus graudee snrprire, e.et, i fout le dira aussi, les plus vives appréhensions ail point de vos rte leurs applications pratique,, ont fait r.pidement leur cboom.; mais mndis qri elles étaient acceptés bientôt sans Lésimtiona si lieu que Is agricul. Leurs ne se montrent embarrassés que sur le chois ds types teés-nombreux qui leur sont offerts, les instruments perl'ecliounés 1". plus simples, ],a moins éloignés de nenx que l'usage a rendus familiers de temps immémorial' lent restés ici à l'état de lettre morte, quel- que soins que l'a. ait mis à démontrer leur supr riorité nue les anciens mu- déls. C'est aimai que l'usage de, faucheuses rt des moissannenses ti élenrl d'année en .née ; il n'y sera bientôt plus de grau. de propriété qui n'aie à sa disposition es admirables machines dont le loue. Lionnomenle suivi de celui des e3tesux à cheval, rend si aisées deux des opéra- tions agricoles Ira glas importantes, la coupe des foins et la coupe des cé. éeles. 11 en a été de même du battage de, grains, confié, tous Ira ans, dans Des proportion plus grande, aux batteuses Lecea ,Aueeaar e. L, Secs-S n, paru en vs fnmx-UYUn,uv-LOen a ¢,.aan,,, par lla ieSse arc. 'evc v. Tr la CéVièe .. wr dinn ar le lit Ica rÎearells . co,nnenna. n., s.,es-sa c.er,reav... rainas .... .. Narne-Deav-n'Ae.ar...... . Omnibus de Banlieue 8 11.12 h. I l , 5 h. e . 9 le. m.; 1 hn3 h. e h. ,b.10Il.12h. Mg 211. 5h.a 9h. 11 h.m.;l, 4, o h.a. 8h.lsu.m.;5na. 9h. m.;l h.eh. e. 8 a. 1211. In .;5h. e. clo m.;lh. fi h. s. Il. m,2 h. s. 8n. 112 m.13 h. 113. e h. 12 h. m-; 5 1e. s. O n, m. l h O h. s. In h.un .;ah.s. Il h m.'; 4n.s. 05. ne.;an.s 05. 112 Io.4 In 112 9 h. m.;1h.4 o,. s: nh. 11 h. m.; 911. r. 711. my t h. e. eI.1t2 m.; 4 h. Es s. 711. l0h, m.;e. r a. 8.11 h. 112 m.;4 h. 112 7 n. son. 7 h. 3n. s. None.- L. suaire da le Tille eammwece d 8 A. do malin se Issue a 55. de sain. Toulouse, cep aleesussia. musa par des animaux de trait et par la vapeur. Les instruments épuratoires des grains ont suivi re méme mouve- ment progressif. On peut donc dire que l'usage de ces inventions, qui sont l'leon.Du, de antre temps, est désormais entré dans nos habitudes, et que nous .'avons, en leur appliquant la loi du de.. leurqu'à oiles le ndres jusque Pourquoi n'en a-t-il pas été de même pour les instruments de la seconde catégorie, et, e. las spécifiant, pour cens qui serve.(à la prépastir. des terres? D semblerait plus conforme à la lo- gique d'avoir vn le mouvement qui s'accomplit à peine depuis un quart de idcle, c.mmencer par l'nmélforatiou de l'outillage le moins compliqué, le moins cher, le plus prés des habitudes élu- blies, et néanmoins, nous la disons à regret, c'est le contraire qui s'est peu. doit Cet étal de choses'me semble tenir à deux causes ; la première, c'est que ,eux à qui appartient la direction des domaines, propriétaire, fermiers du sol, n ont pas été "M", frappés, d'aile part, de l'inférioritnos charrues et de n,s herses, comparés aux modèles en honneur dans les contrés Is mieux cultivées ; d'outre part, de l'élut très' '.complet de cet untillvge. La seconde canne, c'est la répugnance de nos eu.- durtenrs d'attelages, beaucoup fropcon- eoevalours en celle occasion qu'il ne le faudrait, à accepter les bous instru- n em, lorsque de rares agronoms, in- telligents et convaincus, ont essayé de les introduirr sur leurs exploimtions. C'est à pli er à ers deus inconvénients quo ocre société d'ageirult.re doit mettre toute son application ; nos in- téréts, ceux du pays, nous le comman- dent. Il n'y a pas de réunion d'agriculteurs sans que ces cris de détresse ne soient poussés : les ouvriers ruraux irons quit- tent Itee bras none manquent chaque joue davantage ! bientôt la culture du sol sera rendue, impossible I A la huile de ces doléances, que n s-t- ml pas dit contre la mauvaise direction des esprits, trop tournés, de notre temps, les améliorations de la vi . msté- viers ri.lle, sans que ceux qui les faisaient entendre se doutassent toujours que le vrai coupable, - si coupable il y a, - c'est tant le monde, et gelsn y réflé- chissant, les initiateurs du m eement rial qui s'accomplit ne sont pas les ouvriers calmer qu'oaccuse. Ce ne sont pas nos pays a qui o demandé tentes tee grandes et utiles a élio obtenus depuis ou demi siècle à peine dus u foule de , ee publics : services des chemins, de a_ grande, de mey...e et de petite siciude lité ; service des estes, de jour ce jour agrandi ; service télégraphique en OrganicdHOs ; service des loirs le r. ides, immense réseau dont nous an ne, pas de demander l'extension. ceIl. ont encore ..ira réclamé Ira ex- leavugnntes transformations de nos grau. des villes, aecompagaées d'allocations tiques, arbustes, rares fleurs précieuses ritoire de conserver le nom d'an père flattaient à l'envie l'reil du prmneeeur. honorable, fils de ses u:ue s , que de Lénpnld s'extasia surtout devant la plus passer pour, nu deseendaut ides Croisés. belle nul iodla. de rhododendrons qui - Cst le préjugé des honnêtes gens, se poisse rencontrer. mor, c s snr, et comme. co ne sont pus lao il. Leharpeur le la issu ipniser tout jours reux que 'on a coutume de reu- ,nal de fom entes admiemtives, contrer dues e ce lrcle de ses afflues, e silo t C:i valant qu'ils étaient Lien senls: il nul pcutêtre bon de en pas reculer ti 1 eh , m ms ve, dn! il, j ni devant eux rt fies pour attire à soi la l l , g re . litre-, : forte no CI' fut d'abord une fantaisie C m - tvois terne avec lequel j-ai u pas, m oi que cette app rence deue d si I bs ra p!, t-, ne en 'lut et pus illustre rare: le vans avoue gdaujonr- conun sn.a le nom de la Ch,ltellrSic Y d'uni n'est un .osai u. Un nom est une A ces nions, Léopold paroi so pris, valeur qui se ente, mnnsims. Crics à e son ievitatime fit de courte dorée, m, je suis recherché des grandes e I1 saperevait qui ce futur 1,_au- lecpei je lais partie Aces ci les de père b .était dangerenxe. vcil lance, e.L je reçois m ne, Lgrje - C n'était pas eépS t- suite d'acttons émises vi pair. baron avec une incroy:n Wle. sanran y n serai millioculire, la baro je deviendrai le n gaelgnes années seulement g qer il ue jn le u de la fhetelleu ire porte moi-méme. -On voie -testera , pana!-dlre, ce - Air ! fit M. Lrharponr ébahi, litre. - Mnn Dieu 1 nui, monsieur. aspi. - Du tout, ,j'aurai un million. rais alors à (lire partie ]il Jorkcy-c:lnb Pois , esawinant brusquement en je cr.nignis l'innnenrr. d'un nniu roturier natr, sue le (cet, et je me '!ance li st dé,j0 deux heures t cootion, pour joindre au ini lui', ce -- de ma 11 famille lejcuni 1,,mone,je vc s demande par- celni d'un domaine h"réditaire, don de vous quilfrr usi: mais uf un - Et vous l'avez d'trou, sans doute ? rendez-vnns d'a lfuiros en ce moment. - Non' en maAgré es Il- A demu, enu v le permelire mon- rchos,j'eOfe 1 o mns. Mais sieur. ' puer le public ie qu'ils foot éblouir, je Cl, traversant le salon, il prit rapi- jouis d'avance de fa c osai. , qu'elle dement congé des dames et se rendit à sait .u qoo o,trn)éc. C'nub pmul.00ee as 'chines, un travers, ec pendant. ,jn n n épreuve Murant le cours de celte visite Se. ruineuses de la part de l'Etat ! Et lors- que toutes ces choses, les bonnes comme Is mauvaises, se saut accomplies au gré de nos désirs, nous nous étonnons que la population rurale nous échappe et se modifie pour aller vers des posi- tions qui lui ouvrent de nouvelles nu, titres ou lui faut lève, un meilleur avenir. Cessons donc de récriminer e les paysans qui nous délaissent vent là où nus les avons inconsciemment attirés. Nous devons en prendre outre parti et nous hâte, de er remède à une situation qui u'a port rien de désespéré, Dieu merci t Des deux classa d'ouvriers attachés à notre ageicnDure locale , l'une nous abandonne tous las ans davanage ; c'est celle qui se compose de man ..iers nous accordant autant de journées de travail ,,il convient au propriétaire dr. leur eu demander, journées papées air argent, mais s'augmentant de lu moitié des produits d'une certaine quantité de terre cultivée par cils en mais ms pommes de terre et eu légumes, ei du prélèvement aussi d'une partir. du blé récolté sur le domaine, dont ils fout la moisson et le battage. L'appôt 'le journées mieux rétribuées sue les chantiern publics, ce qu'il y a d'inconsdmt dans Is roduitsde nos récoltes, disons-la aussip, le désir de se délivrer de tonte lunette , conspirent à nous enlever as auxiliaires. Tout au plus nous restent-ils à l'état d'ouvriers libres, de jour en ,jour plan asices. ts, La seconde classe s, compose de n maltres-valets : ce sont là s agents fidèles, et test snr eux que doit repo. ver désormais le fondement d'une réel. ganisation de l'écou.mie agricole du pays Lonlousain, tant en lui laissant son ..ligne caractère. P.., sttcindic ce but, .nus devons ne pas nous en tenir, vont. me .nue le t'aisnns encore trop souvent, tilisne seulement les services des conducteurs d'attelages dont le travail .on. est acquis, mois aussi cens de tels lea membres actifs de leur famille. En accueil lien, il faut tout entreprendre, jusquà élever lent alaire, i t'émit nécessaire, pour les décider à adopter les instruments de labour perfectionnés, qui, en épurgnaut leur peine, et les forces des animaux qui les mettent en ouve,ment, rendent à la fois plus du travail, et un meilleur travail. Là est le nmud de la difficulté, et néanmoins, si loua.'obtenous pas cette 'on de nos conducteurs d'attela- ges, c'en est t'ait, à bref délai, de tonte collure sarclée dons notre contrée , ea. ira autres de celle du maïs, qui occupa une si grande place dans nos assolemenl. IL qui nous cet ce quelque sorte imp.- uSe par notre climat et la nature de nos sols negilo-calcaire, ainsi que par le supplément de fourrag, que cette plan. te nous lourait. c'est pins IIitude ou vinas létions de camp. ter sur un trop grand nombre de bras: douce quiétude, qnl Wons a lait perdre chois lui étaient inconnus. lise personne étrangère devait être là, Octave ,cel- ant d'être indiscret, résolut d'atten- dre la sortie de ce personnage mysté- rieux et se promena le long du trottoir opposé de temps à°nutes un coup 1npage quel IL ne pou- voit refuser ln part d'admiration que lui méritait sa coquetterie. Il arpenlait la nue depuis quelques minutes seulement quand la porte s'ou- net, et il vit ,.u hir Léopold dans sa l'raiche toilette de lie. parisis.. A cet aspect, il nul comme tai pressentiment de son msllIeur. (lien nst soupç,n- ncux comme l'amour et u don L l'a- ur cri s'est pas partagé. Si ce sen. timent est aveugle pour son idole, il st doué pore tout ee qui lui fait ombrage d'une intailion particulière. D'ailleurs Octave ne pouv ni' ait pas s'arrêter à la supposition d'u simple visite de rus. naissance ait voyage. 11 y avait dans net @quipage uni prémédimtion de eolq ftJ¢vaie irisa de possession du ieur à rn rival 111 qule moins pI Par pI;tait-cc là lesujetndes lenteurs cab rodés d'Cngénie7 qui donc avait mm- de cette trame ténébreuse ? Au moment de pénétrer duos la maison, Ocave ré. fléchit encore, mais la curiosité l'en. porta sur le dépiLet il s...a. pas d, scrupule, pur ce qu'il m'est enm. lao rivait à la maison Leha'P'.. PanmvoNS nE LACOMBE. mua avec une foule de personnages bien La vue dn coupé qui stationnait à la puée. Porte, le frappa tout d'abord. Celle li (u suiE6 A demain). Il m'avait paru jusqu'ici aussi mA- urée, ce cheval noir aui jambes blas 1 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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Lépéehee télégraphiques(ennvnat saleras os L.nonce .Aras).

Marseille, 26 décembre.0.mande de (lame, en dote de ce

jour :Le Pape a reçu aujourd'hui la no-

blesse romaine.Le marquis Cavalrlli, ancien séna-

teur, a lu ..a adresse nouvelantl'rapresaion de fidélité et de dévoue-ment des patriciens.

. Le Pape a adressé aux visiteurs dru

LIEUSES LES DÉPARTS ET DES ARRIVÉES DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÉANS

Ligue de Bordeaux.

Départe: Anisées':

abann (durer) IS Il 15 Malin Ulirect 3h23.latin, 6 30 bon, Ag c . 8 18.latin (expr.), 1t iSmr (expie), 1 45

1 35SOir, 3 93soi, gon), 6 20 Sir, 10 40

Ligne de COtta.

.latin (direct) 31140 Matin (Cure), air 56Malin, 5 45IMatin(expe.) 10 30

tore à vicier l'élection de M. de Boue-g.ing , auquel cas la domnüsaïon d'en.quête an proposerait simplement l'an-n sisium.

L'enquête ne saurait avoir le carac-tire d'une instruction judiciaire.

Le hrnil de cLangrmenl. de M. deGont t-Bi ron, omh0ssadeur à Berlin,est dénué de fnrdmnnnt.

Day..ne 28 décembre.0. dément que les carlistes de Cxv'

tari, aient tiré sur le navire le Casiers.

paroles d'éloge. et d'encouragement.Londres, 28 décembre.

Plusieurs anrdinau: assistaient àUn télérelie i... grarnrnr. de Madère, à la daterire

.Deeoouiomain,

baurontiitu e lien de nouvelles en i an nonce qu'or iend ie aéclatéréceptions publiques. mer, le 7 Mus le e

. La sauté Ju Saint l'ère est excelle.- d'émigrental le

e

CeSpelrJaet,ic/r.

allant àelale. , Irisa ontSIS rde. Sur 465 passager.

frein ont été sauvés. -

I] LI`CRAPIIiE PR °I E (ar tan arrilcnn

Paris, 28 décembre, 6 h. 40 soir.

Le Mcnileur dit que plusieurs mbers influents de la droite , or sur. aitdent an ions membres du robinet do24 mai, cfoot des efforts pour extalc la majorité du 24 m'i. lis ,pré.entent qu'il sera impossible d'obtenir

msjnrité pour voter les lois consti-iratutionnelles.

En nségueace, le but commun desétant la défmose de laSociété,

,

ilil

vavaudrait mimes donner sim-

plement an e', 'rnenrent les crgane-li'

.edispeersalele .damaient la toi v ivotorale et le droit de dissolution, etahandgnner les projets de Chambrehaute et de Dansmisaion de pouvoirs.

Le Hostile, croit que le centre droitn'est nos disposé à accepter les oombi-

's.ns; il appuiea'.ait le cabinet, Si cedernier mettait l'ASSemL'ée en demeured'organiser le, pouvoirs de M. de Stuc-

Muhon.Ce journal ajoute : Ces agissements

ne favoriser la cnnjonutiondes maires. Les erégeeialimrs clin rentra

droit et dn centre enclins ont repris

trés.aetivemlmt. On croityu'rte's devien-dront 'IL,iulles , en passant par lesbureaux respectifs des deux centres.

Le priueee Alp11nnse d'ISspague estattendu à l'aria, vemnt de Londres,demain nu jeudi; il retournera me Au-gle4 ire vers le u jeu nier.

Il parait cerloi nnjoered'hui qu'au,alant 1.tion ministérielle n aara

lieuen

avant la discussion des lait ucnculita.

[loua selles.

Le Prennent, -dit qse lenquête urdon-néa,par l'Assemblé. nationale. a poirebut de rechercher, non pus l'organisa-tion actuelle du parti Lune pli rtiste,nais seuleneeert s'il

"estpeodnit, dans

1. Nièvre, des faits particuliers, de oa-

ramnnlvron nu JOURNAL un TOULOUSF-

Du 29 Décemhre 1874.

M 4

mUN

IV.

Cependant, hl. Léopold Nmrviant dela Chdtellenie arrivait à plaira par lechemin de fer et se faisait conduire àl'hMel d'inglsterre dois sa noliser' quiJ'uvnit précédé de vingl-quatre heures.En parfait geutemari, il lèpoil ait le es-

..e de louage. Son équipage étaitaie le

-.lade très-bu. oùt 11 se

composait d'un élégant coupé unité,

d'un chev:d anglais portant beau, oeirme le geai, et doue, d'ans particule-

lité assez rare allez les chevaux de celterobe, à savoir de quatre balzanes haut-cLmesées sape la moindre moucheture.

tique à livrée te et culotteUn donnesourle tenait Ira crois. C'était nn Poi-

tevin pur sang qnn, par égard pour laronde, son maître avait affublé du une-nom britannique de Dick.A une heure, le coupé s'arrêtait rue

de Crosne, et u annonçait à M. Lehar.peur uu ami du docteur Maupas,

La famille était réunie au salon.(:épreuve de la présentation fut futile

Paris, 29 dérernnre, 5 h. mutin.Le journal L. banne affirme qu'à

l'os,ci,

on iiu val an, les légltin istcsenl u

e

wmle deChambord, qui y répondr..

L'Op«4a âon eo par une représen-mtion de galav; le gouvernement aréquisitionné la salle.

plusieurs dépotés cet l'intention deproposer de nouveau l'impôt e1 r le

nu pour combler le déficit du lui-gel.

Airs. Lésione

paris, 29 décembre, 3 h. 45 matin.1.'0/fient public un décret par lequelM. mmral-Unfey,

nommépréfet

deCris, est nommé préfet de la

Cnrréze.M. Tripier , précédemment m é

préfet de la Corrèze, est nommé préfetdu Cers.

spiritueux. . . . . . 34 .. à se

Af:vseille, 28 décembre.Marché calme.Arrivages, 49,532 bc, loti Erre.Vex es, :1,080 heclulilrev.Nirolalrn'125(121 à le. 30 110.

Doue Philippeville dur 130/126 àfr. 56.

Marianopoli 129/125 à 11e. 32 75.leks d'Awff 150,1211 à fr. 33.

CHRONIQUE LOCALE

I.es baroaux dur JOURNAL DE

TOULOUSE sont transférés durs

na 44 au n 42, roc St-Ilome.

aven rai homme lot que Léopold. Il yavait tant d'ai,roce dans 5as recèees,

Lent D'amabilité naturrl1, dans elsp+rnles que toit son liment de gêneu A'inq uiélole dissipa if éa SI pré

Ilapunri,:iili'sn

i r dn b,cpo , liugrm . 11 ssel

raill'aire l'::f-Il

hTe. agni et s7 il ri, q lie mots net ors si

I u p' l l fDcn c.:Ipri ;I, I.egemrl ieex mué.1,11e aperçut nu beau dandy de viugl-huit ans, habillé par Uumntoy, gantépar Jnurio, nil exemplaire 'r eprncha-hle rte la moue. du Jotrrnal

ld sg e Jlades,

le rêve unlin de sc maginalmn.Léopold se mit en frais de converse-

tion. Il eécLui. u. paie de cette amitiéque M. Leharpeur avait bien voulu té-nu grec à son père et la plaça au mem-

bre des legs les plus précieux de l'héei.loge purtemel. Il parla beaucoup dudocteur. et changeant habilement detexte, il sel teaçer un lobleau attrayantde son existence partagée entre la capi-lole et les loisirs de la villégiature oule passe temps des eaux.

En accompagnant ses paroles d'unégard c(eculaire sur ses auditeurs, il

fut frappé de l'épanouissement de vi-sage de la jenue tille qui prêtait à ces

récits une oreille attentive.

Se perspicacité ne l'abusa pas.-J'entrevois le définit de la cuirasse,

psoas-til, celte jeans filer craint des'éttoler en province; Paris st dvidemminet le centre de ers aspirations.

,Mm' I,ehaepenr tonriulle C'était de

Départs : ,.. ArrÏlSen,Mali.. IOh Soir, thtSSSoir e 2 Soir 4Pr.), 51Soir, 1. Soir. 10

15I3

Soir (tare), 6 15,S,ir (direct), i{ G5

Ligne de Rayonne.

Ligne de Feix.Déparia : Arrivées t

Malin, 9 h 20thtio, 9 h 112 O SOie, 9 60

Soir, 20 Soir, 9 40

Ligne d'Orléans, Lexos-Albi..iai,in, 511 10 àlat. (.lontrJ, 91135 Matin, SI, fMetie, 91153Matin, 0 10 Sou (Pau), 1 25 .tain, IO 40 Soir, 3 47Soir (Peu), 2 20 Soir (0ayonq, 5 95 Soir, 4 So8 31Soir (Manie,), 5 40iSoir, 9 53 Soir, 5 1 0 Soir, 11 25

Le renouvellement du I°P Janvierétant le plus considérable, Mil. lesAbuu és duel lhb...onont éclmil le131 décembre, sont piles de le renons-,elle, en temps utile.Les abonnements nouveaux seront

expédiés de jour de la réception de 1.demande, qu.igeee ne devant compterque du i" Janvier.

A l'occasion du nouvel en, le mairede Toutous et ses adjoints recevrontvendredi pro huis, 1" janvier, au Capi-

tole, de 5 à 5 heures du soir.

On annonce que M. Frédéric M...té'élu conseiller municipal dans les deuxsections de, canin. Ouest, a opté pourla 2' section (banlieue).

5h D y... nouveau .selle, de l'Aca-sé d. 1 loris, a reçu hier laNi -

teolncmlla,ujo-tnpe les Imct'.nnvirasde IUuivarsité, eu résidence à Toulouse.

L'Administration vient de Ciire afd-dace le tarif des nouveaux droits devoirie, qui s r0ut perçus à partir diti° ,janvier 4875. Nous le publieronsdemain.

Par décret du 15 décembre, à partirdu 1" janvier 1875, les traitements des

hagésmdescours

duneles

lycées desdéprarteents

seront augmentés de200 Cr.

NI. Paumés (Firmin), bachelier és-Iel.Ires, est nommé malfreauxiliaire aulycée de 'Inspirer,, en eemplacemeeL deM. F,s::oebixe, appelé à d'autres foce-tions.

IL. Olivine, de-lettres, maîtrerépétiteur au lycée de Tonnerre, est

sou mé professeue de philosophie aucullégn du llergerao.

A la suite du concours qui vientvoir lieu, M. limunié (àlaeïe-André-Al-irait Cueiile) né à

Gronissan

(Aude), a éténmmé, a ec le e1 eJ sur 15, élève de

l'école des Chveles.M. chargé de la classe de

troisième et gxsverdme au collége deGrillue, est nommé professeur de qna-teidme au collége de Figeac.

M. Peux, L,,11 ,11111 de cinquième etisidme aie cullégn ce Gaellac, sL char-

gé de la d esse de truisiéme et quatrièmeau r.Ilégede Gaillac.

M. Cnirmoi, professeur, de septièmeet huitième ou collége de Gaillac, est

aimé professeur de cinquième etsixième an dit collége.

M. Dsrchy, bachelier ès-lettres, an-a churgé de la classe de cinquième

et sisi'aie an oellégo de Slrlut, estnmmé professer de Iridiées et Iiai-1iéme au collége de Guillnc.

bon augure. Riais lieu ne trahissait lesimpressions du père, qui rép.

allaitp

des mo osyilabs à on élugc intéressé.- Là cet la pierre d'sohuppeu,ent,

dit encore Léunnld d parle Je gagne du

toisai. d'un côté, mets évidemnuat jeee troues oie. de l'entre_-iie e ,nl r rit

plVoit Inut, ou,

l Y i bdes

d i lareliait, per imos mos ides ee(ér, et quev rendre tenssmne par destravaux juslememl réputés.

Lu renommée est bonne peescnne,répliqua M. Leharpeur avec nu sourired'inrrédulim.

-.- Pourquoi vous défendre ainsi 4 ILe

end. scicutifeq,re vous apprécie commeme horticulteur d'élite. N'aven-ooas pasobtenu des résultons d'un grand prix sa,l'ucclimnmtion des citons dans ne, oou-trées, et sa, la culture de terminesplantes tinctoriales e ry'arez-vnns pasréussi, par d'a semis intelligents, à pro-dnire parmi gnelgns fleurs des variétésinconnus jusqu'ici I

- On s'exagère o vérité ce peu demérite. Modeste est mon jardin, media.

est ma serre. Monsieur, je vouscraoffre d'en juger par vo -méme.

- Mais, volontiers, oue aux deursun vêritable culte.

Et les deux interlocuteurs se ecu.

dirent au jardin. Mme Leharpeur et safille

restèrentau salon.

Ce jardin, qui s'éteedsil jnemsquauboulevard Caaehuise, potinait, algré

l'assertion de an. propriétaire, passernoue ana petite merveille. Plaaies es..

M. Feaeçuis-Victor Bélus, bresolépour l'euseigaemsst primaire, chargéde la 2' division de l'année pripuentul-

à l'enseignement spécial au lycée deCarcassonne, est ..aimé malien été.

.stable

(2 cMOe). ppvr est enseigne-ment audit lycée.

Sont ormmée aspirants répétiteurs aumême lycée

M. Félix-Feevç is Eejalbert, balles-lier 8.e-sciences, en remplacement deM. Sise., appelé b d'antres fonctions.

M. Pierreloseph-Frédéric Eepeut, ba'heller ès-lettres, en remplalementda

M. Lamonrenx.61. Louis M,nynés,bachelier ès lettres,

eo remplacement de M. Viguier.MM. Cuintrasd et Saleuse, aspirants

répétiteus audit lycée, saut rmmmêamaltres répétiteurs (21 classe) au mêmelycée.

Société d'Agricunuee de laBante-Garonne,

Stance annu^lla publique.

Disco.re prononcé. par 31. le D' Noms,,

pebsideet da la godron .

Messieurs,

Aei lien d'un discours d'apparat qu'exi-gerait peuaétre cette solennité, etsurtout la réunion choisie qui a ré-pond. à l'invitation de la Société d'a.gri,ulture, pour ne pointsortir du [.n habituel de nos travaux,d'apprise quelques instants votre mitee-ticn sur ua sujet qui, par Sa. acdmlité,e semhlo digne d'intéresser ceux qui,

dons antre région, vol à cane de soivirle progrès agricole.

Clioa aux Concoure, les machinesqui, les leur apparition, .,aient parleu- oaulé

irxeité les plus graudee

snrprire,e.et,

i fout le dira aussi, lesplus vives appréhensions ail point devos rte leurs applications pratique,, ontfait r.pidement leur cboom.; maismndis qri elles étaient acceptés bientôtsans Lésimtiona si lieu que Is agricul.Leurs

ne se montrent embarrassés quesurle chois ds types teés-nombreux

qui leur sont offerts, les instrumentsperl'ecliounés 1". plus simples, ],a moinséloignés de nenx que l'usage a rendusfamiliers de temps immémorial' lentrestés ici à l'état de lettre morte, quel-que soins que l'a. ait mis à démontrerleur supr riorité nue les anciens mu-déls.

C'est aimai que l'usage de, faucheusesrt des moissannenses ti élenrl d'année en.née ; il n'y sera bientôt plus de grau.

de propriété qui n'aie à sa dispositiones admirables machines dont le loue.Lionnomenle suivi de celui des e3tesuxà cheval, rend si aisées deux des opéra-tions agricoles Ira glas importantes, lacoupe des foins et la coupe des cé.éeles.11 en a été de même du battage de,

grains, confié, tous Ira ans, dans Desproportion plus grande, aux batteuses

Lecea ,Aueeaar e. L,Secs-S n, paru en vsfnmx-UYUn,uv-LOen a¢,.aan,,, par lla ieSse arc.'evc v. Tr la CéVièe ..wrdinn ar le lit

Ica rÎearells .co,nnenna.

n.,s.,es-sa c.er,reav...rainas .... ..Narne-Deav-n'Ae.ar...... .

Omnibus de Banlieue

8 11.12 h.I l, 5 h. e . 9 le. m.; 1 hn3 h. e h.

,b.10Il.12h. Mg 211. 5h.a 9h. 11 h.m.;l, 4, o h.a.8h.lsu.m.;5na. 9h. m.;l h.eh. e.8 a. 1211.

In

.;5h. e. clo m.;lh. fi h. s.

Il.

m,2 h. s. 8n. 112 m.13 h. 113.e h. 12 h. m-; 5 1e. s. O n, m. l h O h. s.

Inh.un .;ah.s. Il h m.'; 4n.s.

05. ne.;an.s 05. 112 Io.4 In 1129 h. m.;1h.4 o,. s: nh. 11 h. m.; 911. r.711. my t h. e. eI.1t2 m.; 4 h. Es s.711. l0h, m.;e. r a. 8.11 h. 112 m.;4 h. 1127 n. son.7 h.

3n. s.

None.- L. suaire da le Tille eammwece d 8 A. do malin se Issue a 55. de sain.

Toulouse, cep aleesussia.

musa par des animaux de trait et parla vapeur. Les instruments épuratoiresdes grains ont suivi re méme mouve-ment progressif. On peut donc dire quel'usage de ces inventions, qui sontl'leon.Du, de antre temps, est désormaisentré dans nos habitudes, et que nous.'avons, en leur appliquant la loi du

de..leurqu'à oiles le

ndres,détails. jusque

Pourquoi n'en a-t-il pas été de mêmepour les instruments de la secondecatégorie, et, e. las spécifiant, pour censqui serve.(à la prépastir. des terres?

D semblerait plus conforme à la lo-gique d'avoir vn le mouvement quis'accomplit à peine depuis un quart deidcle, c.mmencer par l'nmélforatiou de

l'outillage le moins compliqué, le moinscher, le plus prés des habitudes élu-blies, et néanmoins, nous la disons àregret, c'est le contraire qui s'est peu.doit

Cet étal de choses'me semble tenir àdeux causes ; la première, c'est que,eux à qui appartient la direction desdomaines, propriétaire, fermiers dusol, n ont pas été

"M", frappés, d'ailepart, de l'inférioritnos charrues etde n,s herses, comparés aux modèlesen honneur dans les contrés Is mieuxcultivées ; d'outre part, de l'élut très''.complet de cet untillvge. La secondecanne, c'est la répugnance de nos eu.-durtenrs d'attelages, beaucoup fropcon-eoevalours en celle occasion qu'il ne lefaudrait, à accepter les bous instru-n em, lorsque de rares agronoms, in-telligents et convaincus, ont essayé de

les introduirr sur leurs exploimtions.

C'est à pli er à ers deus inconvénientsquo ocre société d'ageirult.re doit

mettre toute son application ; nos in-téréts, ceux du pays, nous le comman-dent.

Il n'y a pas de réunion d'agriculteurs

sans que ces cris de détresse ne soientpoussés : les ouvriers ruraux irons quit-

tent Itee bras none manquent chaquejoue davantage ! bientôt la culture dusol sera rendue, impossible I

A la huile de ces doléances, que n s-t-ml pas dit contre la mauvaise directiondes esprits, trop tournés, de notre temps,

les améliorations de la vi . msté-viersri.lle, sans que ceux qui les faisaiententendre se doutassent toujours que levrai coupable, - si coupable il y a, -c'est tant le monde, et gelsn y réflé-chissant, les initiateurs du m eement

rial qui s'accomplit ne sont pas lesouvriers calmer qu'oaccuse.

Ce ne sont pas nos pays a qui odemandé tentes tee grandes et utilesa élio obtenus depuis ou demisiècle

à

peine dus u foule de ,ee publics : services des chemins, dea_

grande, de mey...e et de petite

siciude

lité ; service des estes, de jourcejour agrandi ; service télégraphique

en OrganicdHOs ; service des loirsle r.

ides, immense réseau dont nous anne, pas de demander l'extension.ceIl.ont encore ..ira réclamé Ira ex-

leavugnntes transformations de nos grau.des villes, aecompagaées d'allocations

tiques, arbustes, rares fleurs précieuses ritoire de conserver le nom d'an pèreflattaient à l'envie l'reil du prmneeeur. honorable, fils de ses u:ue s , que deLénpnld s'extasia surtout devant la plus passer pour, nu deseendaut ides Croisés.belle nul iodla. de rhododendrons qui - Cst le préjugé des honnêtes gens,se poisse rencontrer. mor,

c

s snr, et comme. co ne sont pus laoil. Leharpeur le la issu ipniser tout jours reux que 'on a coutume de reu-

,nalde

fom entes admiemtives, contrer dues e celrcle de ses afflues,e

silot C:i valant qu'ils étaient Lien senls: il nul pcutêtre bon de en pas reculer

ti 1 eh , m ms ve, dn! il, j nidevant eux rt fies pour attire à soi la

l l , g re . litre-, : forte no CI' fut d'abord une fantaisieC m - tvois terne avec lequel j-ai u pas, m oi que cette app rence deued si I bs ra p!, t-, ne en 'lut et pus illustre rare: le vans avoue gdaujonr-conun sn.a le nom de la Ch,ltellrSic Y d'uni n'est un .osai u. Un nom est une

A ces nions, Léopold paroi so pris, valeur qui se ente, mnnsims. Crics à eson ievitatime fit de courte dorée, m, je suis recherché des grandes e

I1 saperevait qui ce futur 1,_au- lecpei je lais partie Aces ci les depère b .était dangerenxe. vcil lance, e.L je reçois m ne, Lgrje- Cn'étaitpas eépS t- suite d'acttons émises vi pair.

baronavec une incroy:n Wle. sanran y n serai millioculire,la

baroje deviendrai le ngaelgnes années seulement

g qer ilue jn

le

u de la fhetelleu ireporte moi-méme. -On voie -testera , pana!-dlre, ce- Air ! fit M. Lrharponr ébahi, litre.

- Mnn Dieu 1 nui, monsieur. aspi. - Du tout, ,j'aurai un million.rais alors à (lire partie ]il Jorkcy-c:lnb Pois , esawinant brusquement enje cr.nignis l'innnenrr. d'un nniu roturier natr,sue le (cet, et je me '!ance li st dé,j0 deux heures t cootion,pour joindre au ini

lui', ce --de ma 11 famille lejcuni 1,,mone,je vc s demande par-

celni d'un domaine h"réditaire, don de vous quilfrr usi: mais uf un- Et vous l'avez d'trou, sans doute ? rendez-vnns d'a lfuiros en ce moment.- Non' en maAgré es Il- A demu, enuv le permelire mon-rchos,j'eOfe

1

o

mns.

Mais sieur. '

puer le publicie qu'ils foot éblouir, je Cl, traversant le salon, il prit rapi-jouis d'avance de fa c osai. , qu'elle dement congé des dames et se rendit à

sait .u qoo o,trn)éc. C'nub pmul.00ee as 'chines,un travers, ec pendant. ,jn n n épreuve Murant le cours de celte visite Se.

ruineuses de la part de l'Etat ! Et lors-que toutes ces choses, les bonnes commeIs mauvaises, se saut accomplies augré de nos désirs, nous nous étonnonsque la population rurale nous échappeet se modifie pour aller vers des posi-tions qui lui ouvrent de nouvelles nu,titres ou lui faut lève, un meilleuravenir.

Cessons donc de récriminer e lespaysans qui nous délaissent vent là où

nus les avons inconsciemment attirés.Nous devons en prendre outre parti etnous hâte, de er remède à unesituation qui u'a

port

rien de désespéré, Dieumerci t

Des deux classa d'ouvriers attachésà notre ageicnDure locale , l'une nousabandonne tous las ans davanage ; c'estcelle qui se compose de man ..iersnous accordant autant de journées detravail

,,ilconvient au propriétaire dr.

leur eu demander, journées papées airargent, mais s'augmentant de lu moitiédes produits d'une certaine quantitéde terre cultivée par cils en mais mspommes de terre et eu légumes, ei duprélèvement aussi d'une partir. dublé récolté sur le domaine, dont ils foutla moisson et le battage.

L'appôt 'le journées mieux rétribuées

sue les chantiern publics, ce qu'il y ad'inconsdmt dans Is roduitsde nosrécoltes, disons-la aussip, le désir de sedélivrer de tonte lunette , conspirent ànous enlever as auxiliaires. Tout auplus nous restent-ils à l'état d'ouvrierslibres, de jour en ,jour plan asices. ts,

La seconde classe s, compose de nmaltres-valets : ce sont là s agentsfidèles, et test snr eux que doit repo.ver désormais le fondement d'une réel.ganisation de l'écou.mie agricole dupays Lonlousain, tant en lui laissant son..ligne caractère. P.., sttcindic ce but,.nus devons ne pas nous en tenir, vont.me .nue le t'aisnns encore trop souvent,

tilisne seulement les services desconducteurs d'attelages dont le travail.on. est acquis, mois aussi cens de telslea membres actifs de leur famille. Enaccueil lien, il faut tout entreprendre,jusquà élever lent alaire, i t'émitnécessaire, pour les décider à adopter lesinstruments de labour perfectionnés,qui, en épurgnaut leur peine, et lesforces des animaux qui les mettent en

ouve,ment, rendent à la fois plus dutravail, et un meilleur travail.

Là est le nmud de la difficulté, etnéanmoins, si loua.'obtenous pas cette

'on de nos conducteurs d'attela-ges, c'en est t'ait, à bref délai, de tontecollure sarclée dons notre contrée , ea.ira autres de celle du maïs, qui occupaune si grande place dans nos assolemenl.IL qui nous cet ce quelque sorte imp.-uSe par notre climat et la nature de nossols negilo-calcaire, ainsi que par lesupplément de fourrag, que cette plan.te nous lourait.

c'est pins IIitude ou vinas létions de camp.ter sur un trop grand nombre de bras:douce quiétude, qnl Wons a lait perdre

chois lui étaient inconnus. lise personne

étrangère devait être là, Octave ,cel-ant d'être indiscret, résolut d'atten-

dre la sortie de ce personnage mysté-rieux et se promena le long du trottoiropposé

de temps à°nutes un coup1npage quel IL ne pou-

voit refuser ln part d'admiration quelui méritait sa coquetterie.

Il arpenlait la nue depuis quelquesminutes seulement quand la porte s'ou-net, et il vit ,.u hir Léopold dans sa

l'raiche toilette de lie. parisis.. A cetaspect, il nul comme tai pressentimentde son msllIeur. (lien nst soupç,n-ncux comme l'amour et u don L l'a-

urcri s'est

pas partagé. Si ce sen.timent est aveugle pour son idole, il stdoué pore tout ee qui lui fait ombraged'une intailion particulière. D'ailleursOctave ne pouv

ni'ait pas s'arrêter à la

supposition d'u simple visite de rus.naissance ait voyage. 11 y avait dansnet @quipage uni prémédimtion de

eolq ftJ¢vaieirisa de possession du

ieur à rn rival111qule moins

pI ParpI;tait-cc

là lesujetndes lenteurs cabrodés d'Cngénie7 qui donc avait mm-de cette trame ténébreuse ? Au momentde pénétrer duos la maison, Ocave ré.fléchit encore, mais la curiosité l'en.porta sur le dépiLet il s...a.

pas d, scrupule, pur ce qu'il m'est enm. lao rivait à la maison Leha'P'.. PanmvoNS nE LACOMBE.mua avec une foule de personnages bien La vue dn coupé qui stationnait à lapuée. Porte, le frappa tout d'abord. Celle li

(u suiE6 A demain).Il m'avait paru jusqu'ici aussi mA- urée, ce cheval noir aui jambes blas 1

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de vin l'i y I.I:. l'ért. lé 7.. ,trou0lsse ag I A Jn, ed 1 l'élitd chu es 0in n us place la Inangoe deHo'', nous or devons plus Léaimr à

ce rapport, à , nui réforme

AL, pi 1 lleux,.l Orche, d l l I " 1

itmoto le 1 t f tl 'rqui, él t d ruent des I,

b'ours vr ec de moindres for-ces de

tiraagge.

e et nnr cundnitr plus f vi-p ail lele, sol c _t m, t pré

sol, sort . . 1.1 n é igccs.

Introduisons au plus vil,' l'usage

des 5narilicnteure et des extirpateurs

si utiles, iudispousabies mémo Poure pidemrnt et bien, les derniers

t'iboi ar de préparetioIntroduisons les (roues à cheval, qui

seules nn p lt t J'obt«mr à bonI g de nos récoltes en Ii'marché 1 soll

gnlntrod I meilleurs modèles derc é'ono iqus buttoirs, don, nous se

ils plus longtemps nous passer.am,rioN'ayd deus ns pupe ce, i a

im,;4 ord'étil,l'aamour Platouoni qu'

e

qu,

e

7. ciel q Pé. t

d I :st -.

é tee1''p,emrrt lit l o,'l I' J

dos a.éil qui , t ai.e pliycol?, Ja ne

le,

e -o, pas.Cars uns concours, certains de ces

instruments ont reçu des récompensesméritées, mais celles-ci ne se sont gué-s adressées qu'il des tOsslructenrs : 'I

est temps de march er droit a l'obstaclequi nu a retardé l'admission et l'enl ptoiil fait vaincre le préjugé; ii l'eut eus-veetir ans saines idées nos roudncteir,d'attelages, pus ei'iitr es-sut '55 Or, pairparvenir à ne tel résultat, nous n'ironsqne deus moyens : eue énerpl,lue volon-té, et l'exempte.

L'a aléa ces v a. il mu sembleraitindispensable de voir tous les efforts

dr. notre Société d'agriculture se diri -

ger, pindtant luelque nuéeslit, et e efiuauv.e',

s ii nr c flx n'aietrinir. , tante,, 10 a 1s prr-qn. coml l'Il nx propelélaires et far x terniras qui. les pre-

introdoiraient sur leurs exploi.tatoues l'usage d'no outillage rallie.-.ci.

biais nous voudrions surtout quedes récompenses ot des moilleu-

l'nssenl décen,des auxrond

aresatteloges,

qui auraient fait emploide

c i de

vultra ments, à l'exclusion de toua

dn pays.l:a présence de la situation Précaire

faite à notre

a 'aile' "aine plut yue s'aggraver, je ne doute pasque l'administration départementale, etque le Conseil général de la Haute-Garonne an fueoeisaesent un tel pro-deurane , en

nécessitéodes fonds suffi-sants emur e lea récom IferlesColiseeai s'élever à la hauteur du bat quenous nous sinumus proposé de réaliser.

Si latéterions

que nousjugeonsindia-faucadle s'opérait, l'état de l'industrieagricole qui se rnontre menaçant, pour-rait devenir le point de départ d'unesorte de rajeunissement qui, sans allé-'ci

de l'agri-sensiblement le

,

culture traditionnelle de notre contrée,

Il tarait entrer dans eue phase air Irapropriétaires et les fermiers du sol,ainsi que les ouvriers qui resteraientattachés à sa loi Buté, trouveraient leur

n fi t.P

C'est, comme suas le voyez, Messieurs,aprés in cri d'alarme, un élan de con-fiant espoir que je viens d'exprimer etque

voua u peeunetleen de recomman-der taos sérieuse. méditations.

cornacs ses sommas et T.Utnsusn.

h ardi, 29 décembre {874.

Minéralogie et Géologie, à g hourra durProtessenr M. Leymerie.

Aperçu __géognosligne du sol. - No-tions générales sur les terroise.

Zoologie, à 7 heures et demie du soir.Prar,naeor M. Jnly.

Principaux systèmes sur la vie (fin),

- Aulhropulogle. - Caractères physi-ques, anatomiques, intellectuels, muraux., a..de l'Immme.ci.

Dimanche, à trois heures de l'aprés-midi, a en lieu la pose de la prealiéespierre de l'établissement de charité quela Paroisse de Saint-t'ieeee fait bdtir

,r la rive droite do canai de ltrienee,à l'angle d, la rue dur

1,

éarunie, Aprèsde circonstance prononcéau,

seladans l'église Saint-Pierre, par M. l'abbé

Codant, vicaire-général de Versailles, leclergé, saisi d'environ mi

lieIlloirs, s'est

rrsdo processionnellement à l'établisse.ment en construction.

Le procés-verbal, écrit sur lion hernie

etsigné des principaux bienfaiteurs, a

été déposé dans les fondations, parM. le

vicaire-général linger. Ensuite il

a été procédé à la pose de la premièrepilera, sous la direction de M, l'archi-tecte Raymond.

Samedi, un pécheur de sable de 1a

Croix-de-Pierre a trouvé au fond de laGueosne un hdteau d'une longueur dedeux mètres, en ben état.

La seconde ascension du ballon te Tri.colore a eu lieu dimanche, à 5 heueeset demie, sur l'emplacmnent descroupe riions cas du Sénéclml, M.Duru.f s'est élevé accompagné de M.Demeure, directeur de l'école primairesupéeienreunnexée au Lycés. L'ascensiona été des plis heureuses : après s'Ocredirigé d'abord vers le faubourg Caillé.méry, le ballon a été poussé par levent vers le sud ; il est descendu à 4heures 45 miaules, à la métairie deIUondoùch, située à un 4ilométre de

ut appartenant à Ni. Guilbcm,Te de celle cmmane.

Les uJyagelleo Musent de retoureToulouse à 10 hures.

rial, iilFa\ ItllS solfsaviaro

aslQL1.S

tics â--.:14 78:7

crin f 94 ".

Suai

7^ s. 74.é 8 +. p.mrag!ON0 t.faib.f0° e. 74,1,7 - 11 ,41 i 1. ONO faible.

7k!11-2'2 r. v. ONQ moi.7^nf0^m. 7600.- 3 ) id.1a 8. 7507-:l li't-nna id.g

d4^s. 75t 3.-20 vA.Imomètee centigrade:

Maximu,n du 27........ + 1.3Mima'. J I i nte 2.5

C'lé, bio,Jo' dans la matinée do 28

l e 1. t. I

I.,

n'moi,Yod 0 I r 't. r ü

de Granas Allée" - Atouts I4.-Du 28 décembre,

Therm, enneige maxime d'hier 2 5id. n..1, la nuit: - 28

Fanons. u uuExa'. ka,r lu rin.

h. m il ,,75ze 7 un g. NO ils fortmidi o-', Ii! 4 ie. id.

Le barnmétre rmnonlc lentement.Le iriilpa est froid et assez bcon, foi,

:..s

Claeu et gelée blan, lie dons la mata-arA

midi , le lLermonuélee n'est qu ât',7 an dessous de zéro, et il est peu.

bible il gèlera pendant toute la

j uurnée.

DÉPARTEMENTS

Voici la période électorale ouverte

dans les Hautes-Pyrénées eu vol durotin du 5 janvier. La Intte se eésu-

m e toujours entre M. Alicot, maire d'Ar-gelés,candidat septennafste, M. Drainbonbon, qualifié de candidat républicain,bien que sa profession de foi, où dg.-,cul seulement quelques vagues aspira'lions répubLcaines, se termine par cesmots -Rissolaient significatifs: . Duattendant, respectons scrupuleusementla loi et donnons notre appui au sail-tout soldat qui exerce le pouvoir exécu-tif. e 11. Cazeaus, candidat bunnapar-liste, mais

quin'en ,este pas moins dé.

puisqu'il ajournené an septennat,selet M. deses espérances jusqu'ào

maréchal ; et M. dades

purcandidat

daat

tsotteme mixte.

gui,, ca-carrent,Qunt rua

cinqvttuième

9ML

Uo

.

ono i représenté commecandidatidat

écconomisteste et c..stit.ti...ci,

1'.. eu parla si Caca, que je ne sais vrai-

ment s'il peut être considéré comme sé-rieux.

Quoi qu'il eu soit, il demeure évident,après les professions ue foi de MBI. AH-,et, Drauha et Cazeaus, que si l'und'eux vient à

t l'e

'emporter, le succès devrarre mis au compte du septennat. E.

effet, tous les trois se posent e parti-sses du gouvernement, le premier o-ubstant ses antécédents de sil s-che.do

cabinet de MM. l'outil et Villa, Le.finie, les deux autres nonobstant leursopinions favorables à la République deM. 'fhiers ou au retour de l'Empire.

D'après ces professions de foi, qui ontévidemment eu vue d'iiupressionner lu-nueoblemeat la majorité des électeurs,il est permis de croire qne c'est l'opi-nion da centre droit qui compterait le

Ilautes-l'yeé-plus de partisans dans lesnées, soit envmon les dmix tiers des67,000 électeurs inscrits. L'autre tiersparut[ acquis à l'opinion légitimiste quidonnait, le 8 février 1871, 26,000 va'à M. de Prunelles, Eu tout cas, il sem-ble difficile que la nomination ait lieudu prou rire coup de dimanche en hait,et «Me

messe traduise pas eu un ballet

tage.

Par arrêté il. M. le ministre de l'ins-truction publique :

M. Jaumes, luclonr en médecine,agrégé; prés la Faculté de médecine deMnntpelller, est ,nommé professeur demédecine légale, et toxicologie à laditeFaculté, en remplawmeit du M. Ester,appelé à d'autres l'onctions.

M. Ih,pré, professeur de eliuignn méducale à la Faculté de médecine dohfonti ellice, membre du jury du cou-c

rs dtagrrgatiou, est :mtorisé à sefai-ru tepléee pur M. Ilamclin, agrégé persladite Faculté.

Poêleras, 27 décembre.

Une quantité considérable de neige

courre nos campagnes depuis quelquesjours. Les toits de notes ville, qui

je'-

avait

épé à ces atteintes del'Hiver,

avaiechant

dpisparu jeudi soir sousle blanc vêtement de la nature eudeuil.

On noua mande de tous les départe.ments voisins que la neige est tombéeen abondance sur les montagnes et donsle allées.

Plusieurs trains ont été arrêtés parsuite de l'encombrement des voies fer-rées. A Narbonne, où elle n'avait Pase ru depuis quatre ans, la neige tombe

gras (tacons.ord su Midi, la France entièreUu N

est ensevelie sous le froid linceul de

l'Hiver. (Lnngaed.eian).

ESPAGNE les médecins du grand-duc et notam-ment par 91. ]il ..a I.

On monde de filme que le pape jouitd'une berme santé malgré les rigueurs

ttentionsd 1 . il a comblé d'a1 l :I ue de Fleurs et le preson-

1 de 1 bassade.

On repand de no veau le bruit queGon borin siendra à Rame dans les huitau dix premiers jours de Janvier ; ilsouffre uruelh suent de ses ihnmatismramais il aime à répéter que u le wBw, sest solide, ce qui est vrai, ci d est capa-ble de se faire porter à la Chambre enlitière, et mémo, dit-il, dans une ear-beille, système plus démocratique-[,. C'est eu pleine Chambre que Caribal-di refusera la dotation nationale qui loiu été allouée. San intention est de dé.clarer bien bau, qu'il nuooeptera ju-

rien d'an gouvernement issu duaLu qui, d'aînés lui a ruiné l'Italie.

1

Hhurde bbelges annoncent tueeun

l

defer a amans,

jeudi

isà

Bruxelles, environ trois riants ouvriersgrévistes des charbonnages du bassinde Charleroi, parmi lesquels se trou.

voient plusieurs femmes. Dès la veille,

la grévistes avaient été prévenus quetoute espèce de mauifIllatiou ne pou-vait que déplaire au souverain, maisqne colin ci, délire il de témoigner sessentirneots de bienvmllance : ,x ou-veriers, donnerait vol.aliers ana ente à

nple dépilation. L'au touer avaitétd fixée pour P udi, à an

.^do

matin.A 11 heures 3 minutes, les rié'potés se

présentaient à la porte du palais; ilsétaient cinq. L'un paraissait être ceque les ouvriers appellent un meneur.C'élait un homme jeune, b barbe rouisse.IL exerce, dit'on, la profession de 05e.dnonisr.

L'audience a été assez longue. Bile a

irisé jusqu'à midi o o vingt. i troisures, la dépu

utation a été reçuCi, par

les ministres et les représentants de

Charte. IlOn dit que les kits de

e

lent

retournés à Charleroi satisfaits leurs

deux vis itee. On leur B promis de faireses démarches aapIè,d-s patrons.

M. luirai l'icaol n'a pus renoncé àm projet de csuouveiluuivai partiel de

l'Assemblée, mais il ne le déposerait,

dit-on, qu'à titre de transaction immé-diate, pour le sas où l'Assemblée n'a-borderaitpesla discussion des lois envs-

titutionnelles.La -mission pommée par le minis-

tèredes

des travaux pabiics, à l'effet d'é-tudier les moyeux propres à donner sa-tislnetion au sou, émis par lé cil saitmunicipal de Yaris, relativement ù l'an-crtare, dans le jardin des Tuileries,

d'une voie carrossable de jour et denuit, vient de faire parvenir à la préfac-

e fp,de lp.,Sel le r1sulQt de es leu'vaux. La"voie 'dort R-a'$gft "slraît aP

feclée exclusivement aux piétons.

Nous résumons ainsi qu'il sait Sotteirspondunne de Madrid, en dote do

23 décembre:1, n reohal Smrano s'rit d h

C. l j pour avoir une conférence .o

1 g .val 9loriones. 11 étaitaile du général lasers -t du l fd'état major wz Doua. font pqui Ioregae le temps se sera amel cru,les opérations vont Soie .P e ro

.La

Cov rrepond n. 1 ntvigueurle bruit du retour à Madrd du maré-na.

Uepnis l'arrivée di chef du Pluvoire.xécutil', la ration dos troupes a été

-montée d'un tiers.été rele-la ga,chom de la nardia a

dee par des dét .h .nos du rcobouet

de firone o dé Par le cobnelVica io Quantité de vin et dallonsont pété p ses p I inux carlistes à

Alla.

0. donne une grande importance ailsentrasses de MM. Modelas et Sagnstsd'une part et de fil Sagasta et Topele

d (autre.U h [eau p lan,j 1 dépêches d

gêné I BI pu la p état d

1 q ttS'iIii-SéblItula

et arrr-e Su t., le N l nul-

do 8 AllesI. n if..l 1 veille,dros bu godes se saut c lies en

milivi-

ent ie 8, sous I«s avilies d général

I,onis, qui disposait de 10 pièces Pla-nria. L'att1aque était dirigée contre

Croira où ,mIemi 'était tarBloc ntretranché et dont il défendait les optera-'h', once l'aide de S ou 9 bataillons. Leo,nbat s'engageait à midi ; l'opaque rt

la défense cul été des plus énergigries.An plus fort de l'action, le général 1.0000fut blessé; le général Blauco prit le

mmavdenlrut et s'empara d'levieio

ci des bouteurs d'Azcon, Geiburo et

P055 Espino. Lea troupes doemierntsarles posHions cmngnises et l'ennemi seretira à la nuit tombante sur An h aie.

Les carlistes laissaient 20 morts surle champ de bataille, mais on évalue à600 le chiffre lutai de leurs pertes; ngénéral de cavalerie u été tué et le ba-taillon des guides du (toi s eu 200 hour-

is hors de combat. Les pertes del'armée républicaine n'atteignent pas cechiffre. Le général Blauco annonce qneson aide de camp, Francisco-1l ilionCobo, irise cmmnaodant de r valerie,Uséinde 19 ans, a été tué et les deusco mandants du bataillon de réservade Huesca ont été mis hors de combat.Le mouvais temps a obligé les troupes àse replier d'abord, le 9, sur Hernani etle 10, sur Saint-Sébastien, età renoncerà poursuivre pour le moment ces opératiens.brâla de le départ du plus grand nom-

es carabinero our armée dudoord, les douanes cela la

Péninsuleontait-

Horsle mois de ai circuit, 5 mil-

s de réaux de plus q- é- noves ton1875.

Les o municaectonte ne,

sauf Peur le Nord et le

Nord-Est-Bat.

. 01altemi aujourd'hui l'arrivée Madrid

dede

11 courriersini retard.

La loterie de e Noi!l a été tirée anjour-d'hui. Le numéro 9,462 a gagné In' , groslot de 1,500,000 fr.; il a été vendu àtarerions. Le lot de 500,000 fr. estéchu an numéro 19,828 vendu à

f(,. l'est

et celui de 250,000 Il. au numéro 4,056vendu à Burgos. Tous les numéris seterminant par un te sont remboursés.

(Courrier de Rayonne).

VERSAILLES-PARISSerr.epeedene. pertiesstihe

Paris, 27 décembre.S'il faut en cr0i n journal du ma-

tin, dans le conseils des m sistres tenuhier à l'Elysée, oa c discuté les testes

de lais une lu péesse et sur le droit de

Le, ...... (les ides différentes, quant à1, juridiction et à l'autorisation préa-

able ont été prises en as t. Aucunedécision n'a cependant été prise, et

le conseil se réunira encore plusieurs

fois fondent les vacances pour traiterces mêmes questions.

Dans la soirée d'hiee, le bruit s'estrépandu que le maréchal de Mac-9fahouavait résolu d'appeler auz affaires ,avant la =des travaux de l'Assem-blée, des membres dn centre droit et ducentre gauche qui réclameraient le 8janvier ta miseù l'ordre du jour et ladiscussion i omdle des lois eunslitu-enoellas. Le

e ConeNASlionneirite mêmeles

noms des nouveaux ministres MM.Luboulaye, Lambert Sainte-Croix Dé.venger, liufaure, Mettetal, etc. Inutiled'ajouter que ce bruit a grand besoinde Oonfirmation.

L. J+raner, taisant allusion an bruit

a'uprés lequel plusieurs députés deextrdme droite gaillet en ce moment

Paris pour su rendre à Frohsdorff, ajou-te qu'il s'agirait d'un manifeste ond'une déclaration qui devrait être pu-pliée ou même Portée à la tribune, pourexpliquer le vote négatif de l'eztrémecivette, quand lus lois constitutionnellesviendront à l'ordre du jour.

L'impératrice de Russie, dont la san-té s'ost nolablemei[ améliorée, partira de San-Rmno mardi29 décembre pourretourner à Saint Pélersbourg ;Sa Majes-té arrivera à Paris -retrait sui, et n'yrestera gn'm,e nuit. Elle repartira lelendemain pour 'Carlin et n'y resteraégalemmit qu'une nuit.

La famille i upériule russe a été at-teinte d'us malheur qui a motivé la me-sure suivante :

Un ukase impérial adressé au ma-il-tee de la maison de l'empereur et pro -m Igné par tex seins du r

naft que le grand-duc

Niestesuulos Conatan

est atteint d'une maladie auti ltale et

et le place sera la tutelle de aon I coupable e d'une épie intolérable d'ar-pére,

L'uekus.

se réfère à l'avis émis par il, les contrellz religion, de provocation

Paris, 27 décembre 1874.Le bruit de remaniements ministériels

possibles out pris, depuis le départ del'Assemblée particulièrement, une cer-taine consistance, à tel point qu'ils ontété reproduits dans des journaux graveset autorisés. Je ne crois pas, peur moncompte , qu'il y ait des changementsdans le cabinet avant la fin du congéde Noél et cela tout Fretplament parleque la situation ne s'étant pas modifiéependant laOncourte session qui vient des écouler, ne voit pas trop pourquoiil y aurait des modifications dans lepersonnel gouvernemental.

La crise, s'il avait dur y avoir cse serait évidemment dénoncée dans vla

séance où a été volée l'enquête parle.

-taire contre les bonapartistes. MaisM. Tailhand, s'étant désintéressé du dé.bat et ayant de la sorte doublé sanaeneambre ce co, des tempêtes, sa posi-lion ee trouve xauvegardée, ai moinsjusqu'à nouvel ordre.

Maintenant, il ont certain que ce moisde janvier ne se passera Pas sans amener,

solution quelconque et les choseses sont anivéesà nu état tel que le pro-visoire, l'incertitude ne se Peuvent pluslongtemps prolonger. Jusqu'à Présent,il n'y a Pl. même eu d'escarmouchesur le véritable terrain de la lutte, jeve x dire les lois cosstitili...c11,s,mais il y faudra venir, et à courteéchéance. A ce moment il Brait très-possible que le cabinet épeussst lebesoin de se compléter, de se fortifierpar l'adjonction de certaine, individua-lités marquantes, ayant soit un talentoratoire éprouvé, citons in eontestubieinfluence sur le porlement,r clin que legouvernement put se précipiter dansla mélée, armée de toutes pièces.

Chacun sait par exemple que l'honora.lit'général de Chabaud-Latour a de-

puis longtemps marqué son désir de cc.teuile,(tropjsstilié par l'état de sa sauté,mais vous pouvez être convaincu que ceportefeuille important restera dans lesmains d'un homme qui, avec plus d'au.tie,ibl peut-elle et de verdeur, auravactem'et la même signification poli-

tique que le ministre actuel.J'ai égshumeut entends prononcer le

nom de M. Depeyre pour les seeaus, deM. de Four ta. pour l'instruction, publicque, deux postes quel'un et l'outre dece. personnages a précédemment accu.tués.

Sont sommés auditeurs de 2' classe auconseil d'litat :

1171. lioze, Sanzey, Lebas de Girangyde Claye, et (tachette.

Le é'iguro a,sors que la lettre deGariboldi à Bordone, au sujet du ap-port de feu M. Perrot, député de l'Oise,r été saisie hier.

Par arrêté eu date du 23 décembre,la général Montaudon, commandait le2 corps d'armée et la 2 division mili-

taire, e ver ta do l'écot de siége, asupprimé la Gazelle des Paysans, journalrépublicain publié à Compiégne. L'ar-

ticlevisé pu, l'arréhé .t, sil ppressiun estdu 13 décembre, et il cossait des con-sidéraute que l'auteur s'y serait rendu

m, mépris de l'Assemblée nationale et dudépositaire de l'aatueité publique.

L'Opiniorbesn Nahn>aale a mç s nue dépê-che du 'ra loi annnnga oI . que les

1.t pI

l i. tt 'II quit I 1 lier 1i

l' se u l té4 d l '1'

hér raid Il iB uh , bai,, r i ment rot euaulees pal 1 d prér,.cl0 e,

des , I. t'. mmicc rle rosir dans la -afcet..

des listes

électorales. .

Le correspondant parisien lu Ti.",se trleosdauvant Ions le mtéram de Pasailris a V'er-

ns In mo mupaetimen[que M. Gambelta et un dépilé du ran-lre droit, a aussitôt après mis pur écritpour son journal la cuoversaticu tenue.I U 1i de France

`Nu.l leu luit d a-

p és le Tiiscs, ail lans citer gpel-es informations F utiles à erouienllie.q91 G b tta se déclare d'abord lou-

jo es i rt son de la dissolulum, et, se.Ion lai, les élidions Prochaines ne de-vraient pas damier plus de 160 siègesau radicalisme ni de 100 aux bonapar-tistes.

A ce momeut, in député centre droitprit Part à 1 al o, qui roulail.son

l'avanie

desél- t

a

i

etpécialrmeot sac 1 él t n des Ilxnnés.

Pyeéaées, qui dont avoir lieu le 5 Jannec.- Dent es département, dit le dé-

fondé centre droit à Gambetla, votrecandidat ne réussira pas, ce sera plutôt

nu candida lié'- Je ne

tdemande

m ondepus oreus, répan-

dit Gambetla, et t'eut seulement p robéissance rigoureuse à ua neincipaq ne je ne soutiers pas un pareil molli-dot.

- Ainsi, Ai, je, lorsqû on parle d'un

candidat thiéririe, cela

il'

veut pus

dire un candidat asti gan,bettiste t

- C,!eluinement n :,. répandit Go,n-b<tta, M. Thiers est oacluellement phisradical quel mil .

Comme nous nous mettions à rire, il"p-rit

C'ut parfaitement vrai, car AI.Thiers repousse le maréchal, tandis queJe l'accepte pendant sept ans, 'et qu'onpeut le réélire encore si l'on veut.

- biais alors, dit le député croiredroit, pourquoi ne volez. sou' pas l'or-

de ses pouvoirs I

- Pour,ai,

je ae demande Pasus que de les roter. Que la Cons

titulion déclare le gouvernement de laliépubligee le gouvernement légal dela France, et je voterai toutes les Cors-

titutions que vous voudrez.

- C'est bien, dit le député centre

droit, mais vois savez que sous ne pna-vons voter ce préambule. Vous ferez

comme su 1849, à propos de la loi la,les questeurs, vous refuserez de voter et

vous ferez revenir l'empire.- Je proteste contre cette comparai-s, s'écris Gambetta. Nous ne ferons

pas revenir l'empire, vaux pouvez ycompter.

- Per ea-moi, dis-je, une quel.tion : Puisque vous accepte. le maré-chat, pourquoi relus ro wons de discuterune

uetrtution 0 Vous serez toujourslibre de voter pour la constitution quivous plaira.

-- Parcs que il n'ai pas besoin quele parti républicmn paraisse adhérermême tacitement à une discussion quine sera jamais ,i sincère, i décisive.-Mais. répliqua le député centre

droit, vous aurez la république eu or-ganisant les pouvoirs du maréchal com-me président de la république Yranp.ise,et vous ne pouvez exiger de nous plustan. noua forcer d'être en contradiction

avec toit mire passé. Une fois ces pou-

voirs passera à d'outreslois.

- Non, dit Gambelta, je en .osaiscontenter d'eue promesse. Assez

d'ambiguités. La vie des hommes et desnations est pl'ire de dietiois, cc

l'essentiel est de détruireire

tes

les ambiguïtés

la rsgnil s'agit d'organiser vue satine,Je e eux point uvom l'air de volonue orée roune

unerépublicaine qui servi-

,aitla

à créer u monarchie. Je veux quevous votiez loyalement la république,non qne vousla proclamiez aveclhousiasme. Il tain que l'esislenceelé-galede cette république soit inscrite

u tête de la Constitution, de sortequi une fais votée on ne puisse crier niVice le roi I.. et Vice Pomponne 1 Acette condition seule, je econnatlraile droit constituant de l'Assemblée etj'aiderai à organiser les lois et les me.suros pentrelriees que vous jugerez né.cessaires.

Voua me demandez de créer in pou-voir éphémère, sans défense, qui devradésarmer devant les attaques coitiuuel-tee dont il ses l'objet. Vole voulezcréer une république nominale qui dis-crédite cette ferme de gouvernement.

Nan, je sens que vous vous décidiez à

créer une ferme de gouvernement quitrouve dans s<s organisation la

for"nécessaire pour se défendre coutre lesattaques, de quelque coté qu'elles vien-nent. A cette conditon, ,jr le répète, jerecunaais le lauvoil il I. maréchal poursept ans. Nous ne visons pas à la re-

ced'un principe, car ce prin-cipe amati, maisà sa alla en pratique,et, cil vous devez le voir, je vais

plu, loin que M. Thiers, car j'a. capte

le maréchal.- C'est parce que, dis-je, vous êtes

plus juive que lui, vois pouvez attma-dre.

- Ce n'est point peur cela, réponditil,s'il

était plus jeune, il aurait encore

plus s'dent; s'il aspire an pouvoir, c'estqu'il a conscieioe de sa voleur et la,

iront plus capable de gouverner quen'hoporle

Pourquoi alors, dit le député ducentre

re droit , a-t-il donné sa démis-ai.. 4

-Il a eu grand tort de le fairerépartit Gambelta, eue il aurait dû res-ter en place, former un cabinet avec ladroite et attendre que la chute de son

cabinet, qui devait rendre sa présidenceimpossible, lui eut rendu sa libertédacimn. Mais tout cela est passé, et,pour aune, sons sommes plus disposés'lac toiPoeoi.Il i i je, de sons

p é L . t i VIIIIl f le l e1 Ii.p Il'1 t .é t ',rée,

tl 1 t 1 t I:.r le I, 1'. 1 I IIa dègéoèrc pas. 1' 1 et tnom Sous avez

pro n"par vitro rée, rteattit.ude

qan a,n eéprit politi-Ilesibl.'nuc s

n

devenez i -queséé

n, perdez dn "'Ire inhn'arc surae.

votre partMais, en dépit de cette in-Flnenco, vos savez liés-binn q votreparti uest disnipliné qu'avant la victoire

et gn..prés vous n'en ve ev. plus imi-lo-Il. Ne craignez-vous pasgn'Iom fois laliêpubbque reconnus géc i

tment légal, les rPublvine

. pen bout hl'au0c du pays ou-

et mi'de disent aux , atme cox Lu Répubhgua l eut wfée, frac w raivous u Sine pas répablicains ?, .

- Je vain v. us répondre lra.chrment.dit Gainbelta. Vous a on ; là estil rle danger. Mats les cil rvateves ontpour s, rasa, 1 . pl des Pmaer,ThieLs et ceux qui

, saut rdire,à1 République et et de te fait acguis

d populi cité parmi les répu.blicmns. l oesonmS ne pense à lues somm-er ; au contraire, nous scia on à les

soutenir. Si les conservateurs esecenthonnêtement le Pourvoi, républicain,personne de vans es songera à leur eudisputer la possessmns. Nous sommespréss à les rassurer, à discuter asis

ouprogramme de gouvernement

dans Irgnel i ua tiendrons compte deLsirs se upatLiea, de leurs inclinations,de leur nat,rrr. Nous maintiendrons esprngranea,o pci; tarit sept ans, ça onne peut traiter de l'éternité. Pendantsept ans, ils peuvent apposer ce Pro-gr:unmc aux r -cndicalions qu'ils ait

ils déeées c. mai inadmissibles. Aubout de cette période, comme ils souriaiteu le pouvoir entre leurs mains, esers à cils à gouverner de maniées

àle emmserrer. Nous n saurions nous yopposer. Je trais donc que sur ce pointj'ai répondu à votre objection dont je-mois la valeur.r

Ace moment, nws étions arrivés auzportes da l'A éa.

- 11 faut que trente monarchistes dela Chambre se joignent à noue, ajoutaGambetla, sacs cela nous nâvons pointde majorité, et tant qne nous nouionsFeint u majorité, nous ns (menais

tre relus de prendre part à une co-

média.- Vous sures les trente, fit remar-

quer le membre du centre droit. J'enniais ph,sieurs de notre parti qui

seront avec ous.- Mais, vous même, dit Courbette.- Moy .i,,, arva

oncanrsarmnrv oins,as

r

. vuéeexsmmu rnlitoul

an 'L'on.1.... reculQui arIII- r Local.- Non,

, répépliqua Gfuir pa. Ja ne

veux pas vous lasser l'air par la tan-gente. Quxid homme a un pivot L'ai.que, comme celui que j'ai, il est plu.tort tous les sophismes. Assez battre

s balssoss. Si v moi nle¢ v

,

faites-le ntièeecm i Ine voteraet es

et eupleine lamier, ,

ssman

inon, ne notez pas dutout. C'est mon dernier mot, et avec luije termine entretien dans lequel j'aiavant tout essaye d'être clairet logique.

La plupart des journaux engagentles dépilés à fouille, des vacances par-

lementaires pour préparer la diecnss,un

des lois constitutionnelles. Le momentapproche où il faudra prendre une ré.ilutie. décisive ; on lis, sent dans taus

les partis, et personne ne regarde lecongé da ,jour de l'an comme une élan-que

de Irone et de repos absolu. Il est

temps A'a air I mais qan va-t-on taire 1Nmis avons dit ce que sois persans

des polémiques de la presse, de leurutilité, de leur insuffisance. Les Jou

sont un terrain exposé à

lrOe-p

dorages pour que les idées qui y ger-ment puissent crollre et se développerà l'aile. Les négociations qne nos po-lémiques ont -dors possibles doivents'achever dans les groupes parlnmenlai-

ce..

Le Français désire , comme nous,vol, les chefs des principales trac-

tions de l'Assemblée. émois dandes conférences sP.rienses, cherches en-semble la solution quechacun d'eux avainement poursuivie estséparé Par uns barrière lrsnnrve : on

effort commun parlait rm edivi peut.,lire ,s nais on s'est obatinéià diviser ses

forces dans des entreprises isolées ou

mal conçues. Le lancés serait presqueassuré si le gouvernement se mettait àlu tête des négociateurs et leur prasen

tait un projet lvorubla aux transie.

Bons.Pins s journaux ont annoncé que

le 'c oistére allaitet,,

remanié avantle retour de l'Assemblée ; osa mêmedésigné les ministres qui bandoane-,aient leurs portefeuilles à des malusplus fermes que les leurs. Qny a-t ilde vrai dans ces rumeurs meure faibleset iveoisiemv[es 1 Nous l'ignneena'

Le Moniteur uniomessl parle de deuxcombinaisons ministérielles. La premièreconsisterait à former un cabinet qui pûtcrépis, la respousabdité de 1. mise à

l'ordre du jour immédiate des lois coss-tilulionnelles. On ne nous dit mallie..erusement pas vil seraient pris les nul-

etil

nous parait bien difficiled'organiser un cabinet avant d'être aa

d'une mujo clé. La seconde eombi-rsison aurait pose but direct de faire.naître cette majorité. Le cabinet seraitnom pisé d'hommes modérés, chargésde Sandre un accord mire les diver-ses frac lions parl,menLaires et déjouerauprès d'elles le rôle de trait d'union,

Quel que soit le parti auquel le ma.richal de Mac-Mahun éuerête, l'Assem-blée, eu reprenant aa session, ae trou.yera en présence d'uns situant eouvel

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: ,POLITIQUE ET LITTERAIRE - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1874/B315556101_JOUTOU_1874_12_29.pdf · L'Op«4a âon eo par une représen-mtion

I:. I.e ministére trol est un bilatéral,1'inocLi. : c x dont on rues parlemettront Ru àll la trêve. Que chacun

prêt pour lu reprise de la vie po-litiquel (Journal des Débuts.

-- (In fil Jans l'Ordre :la réunion des députés partisans

de l'.Appel an peuple a tua. hier 'ce.drvdi xésnce sans Le présidente de N1.André (de la Ch:meute).

NI. le baron de Bnurgoing a annoncéq:i il était décidé à donner sa démissionde n,mmbee de l'Assemblée uatinnale. 11a développé diverses considérations àl'appui de sa détermination. Il a no-

fait remorquer qu'en présencedos dil'lie`fils nouvelles et inattenduesmdevées a l'occasion de son élection

importait à sa dignité et à celle dees électeurs, que la validité du mandat

qui ini a été ennlié le 21 .ai ne fatpas plus longtemps contestée.

s Il a déclaré qu'il considérait com-m devoir de provoquer une nonvel-

t,élcution et d'e[, appeler ainsi au jn-:enl de in, concitoyens.

. Ln discussion a porté sur la déter-

natiun de M. dis Il inegning. A lu su

le :l'un échange d'ubserrations, les

1-:nbres de la réunion, lon4 en so-.ont eu mLtensont légitimes les

sneptibililés de leur honorable rollé-gnr, ont été rouillera peur déclarerJ,iil devait renoncer à su résolution par

es raisons d'intérêt supérieur. En ,Mot,

sa démission rendrait impassible l'oxé-cution do :1, décision de l'Assemblée na-tionale et ouorahle député de la Nié-

amblerait, en aba ndunnant momen-tnnémeut suri mua dat, vouloir soustraireet ses amis politiques et lui-même 1une e. quête loyale.meit acceptée.

M. de ILa guing cédant an vinatrès-pressant exprimé par tous les col-

s a ru devoir rennncer8 donnerbN démission de deré.en an lal tPN Sire. .

vi l'on réfléchit à la faible majorité,4117 voix, qui a décidé du trio n plie deIl

ib, B nmgnird, on au peut que trou.er lori sage, i son point de vue, In ré-folin vin ce candidat vient de pieu

dru. (Le Trnps).

- Le Couenie de 1. G:renée n deslien_Is phi. importants du centra

ilen pro ,utre fort eli'eayé

des périls que nom porte 1:. rentrée dansles f:ons pnbhqurs d'u ne grande par-tie dis personnel b oruparliste, Sans sous

'e à de, craintes durs l'ezpresaionest évidemmentrxagérée, noua les si.

ne u symptdmc < auxgoalnns cou:nu_,n une feuille do colin couleur

lune bonne plaisanterie, c'est lam'prise des nus ot la colère des autres,

à propos de l'urlm nuance de n m.lieuf' mc;ée Jans l'affaire dn comité del'appel au peuple. Depuis le 24 , oui1x71.. Ù de très'rares exceptions près,lui .ploie à tous les degrés, dans Lad'siniiiinlrutrain dans les il.ances, dans lauagistrature, net été donnés a x servi.

score tes plus comprmai., de 1'enipire. IL'est doue pas surprenant que, depuis

d- a s bientôt, les hanapsrL'stes,tr..oeant des e relogements par fout,

hnl rednnbi8 d'audace, et se prévalantvin l'impunité., ne connaissent plus de

On cales éc le à parlée de maladiesélitiuns' des han fluorées de Slraa-bmrg et Bonlugce. Nous .vos déjàdit depuis longtemps que s'il prenaitfarta laie à l'ez-impératrice Ingénie et

i dn fils de descendre dans eue desgranes villes de France, ils n entqm' rembarras du choix. lls tronverant

personnel tout disposé à les tee.

r et pas un fâcheux pour se meliren tricycle.

Voilà on ..a ministres no ns mat me-, J. dit qu'ils me sont pas éternels

ma tu'ils pourraient avant longtemps,'édnr la place à d'autres. Nous serions

le U re, à air l'empresse.

cent qu'ils niellent 8 oaser dons despostes i,umovibles lus serviteur. del'empire qu'us re ont pourrait fai-s branler a .mnhe. On n ta qu'à

l'oviie l'Of/tciel;on Y verra, ous lesmatins, M. le ministre de la justicedonner la ris nargue et mettre ea lierdu srlreté, d'oie elles pourront beurrelas Ilote changeants, les épaves les pluséprouvées de l'empire. e

des prétextes d'intervention en Esps- casernement de l'armée, net été égale- lui sue l'électorat politique, a. intérêtgne. Un brick de commerce mecklem- ment mises à exécution, sur lequel nous croyons pas avoirbourgeois, le Gustave , aurait été a,,.-

mC'est ainsi que tous les chevaux et besoin

d'insisterne

qui par euz le 11 décembre dernier. Ce juments âgée de six ans et au-dessus, Nuns avons soin de meure en regard

brick , qui venait de Ne Il , avait et les mulets et les mules de quatre le nombre dus électeurs in,cri ta tlans

été refoulé dans la baie de Cnetaris pue ans et au,desana ont dû être recenséa chaque département sur les listes être.I La vent de sud-ouest qui l'empéuhuit deus chaque comment, pur les soins idu tore les municipales arrêtées le 31 marsde continuer ea route. A peine la ga e' ma" e, de t'açnn 9. au ministre 1814, clin de permettre à nos lecteurs

oison du Guetaria l'avait'elle aperçu , de uta guerre de liter le contingent des de se'rendec plus l'acdement compte des

alunir s'est mise, parait-iI, à tirer sac animauz à fournir en cas de niobilsa- résultats de la lui du 7 juillet 1874,lui, bien qii 7.l eût fossé le pavillon de liai, dans chaque région, pour assurer tels qni 1s 81 saut traduits sur les lis-aétresse aux ciseleurs allemandes. Peu le passage du pied de pain an, pied de tes arrêtées le 27 septemsatisfait de cet a ueil imprévu , le encrer des troupes qui y saut stalion- bru 1874.capitaine voulut reprendre la nier pour

sauver sa cargaison composée en par-lie d'huile de

pétr,ole

malheureuse-

ment, ne pat exécuter son projet,et, après quelques etfurts inutiles pour,prendre le large, le brick échoua sur

la plage.Les troupes républicaines qui cou-

>aient fort situé anx environs decoteriae,

, aempreaaérenta'm,royer aGusmre ua canot de sauvetage montépar un pilote et quelques soldats , qui

parvinrent à sauver le capitaine et

l'équipage au milieu d'une grêle de bal'

Ies lancées par les carlistes.'Pela sont les détails que les feuilles

allroiandee publient sur le naufrage duGoelace. 11 est impossible d'ci, contra.Ire l'esarlitude. L'Aléatros et lei Nauti-lna n'avaiem pas quitté Sa

Installerlars-

quele Gnuelaoe a échoué à Gortari.; onil

iéPes,nient alcmuck nnré les e côtest d'Es-pagne n. moment mime oh les . iresallemands étaient exposés aux violencescarlistes.

La C zs to ds p osdnak a publié d'ail-

leurs une cmrr [,nndonre de M. 'e-

glin, capitaine dis Gustave, qui racontetous les incidents de la cslastropâle ar-

rivés à son Brick, sans foire la moindremention de la belliqueuse réception quilai ..,ait été laite. IL est ras i que 1.

lettrde NI. Ze8lia Porte la date depar le , près de Cuelauui Point occupépar les carlistes, ei qu'elle se

termine

e

ainsi . Je ne puis Idonner d'autress détails, car cela n'est pas permisdans ce pays. .

On peint donc supposer que la ré.

re de capitaine dis Gastnr, a pour

se la cellule de v sa lettre arré-

18e. Il ,:al diilicile d'expR-qu ment un homme qui aurait éld

lo,

u' c eeot .Magné par l'armée de duoCu rlo.ese trouve ce ce Ir ment . un.Roule colin armée et, jusqu'auxpreuve,, il eat prudent d'acmrcilinr avecdéfiance les récits des journaux alle-maads.

(Journal des Débats).

La reprise des travaux de I'.4ssembié eNattons le a mmené un redoublementd'activité dans les directions générales

des différents ministères, chacun des

ombres de gouvernement tenant àpouver à l'Assemblée que les quelques

oie de racancee qu'eux a cru devoirprendre, lui. d'avoir été perdus pourl'amélioration des services qui lui so.L:collés, art été mis au e.unlraire à pro-fit pour la [eaonsfituliun de toutea Ies

forces vives du pays.

L'honm'able général de Cissep, mi is-

lre de la guerre, est assurément l'undes membres de cabinet qui ont dé.ployé le plus d'e0orts persévérants eténergiques pour atteindre ce but.

Indépendamment des opérations deecensnment, de révision et de mise va

route des hommes de la classe de 1873,et de l'exécution des o breuses mesu-

relatives à l'appel des volontairesd'Un an, il a été procédé à l'inscriptiondes quamrse cent mille homes faisantpartie de l'armée

territorialme,

à leurv s te, ainsi q.'aux examens que doi-vent subir les s... lieutenants au titraauxiliaire dans 1. réserve de l'arméeactive, et les ol'dciers, sous-olHCiees

etsoldats de la garde nationale mobileet des corps mobilisés qui désirent êtreadmis dans les cadres de l'armée ter.rimante,

lire inspection approfondie, confiée à

.es ofaLiers 0.11.. les plue -gué,, a permisis

dede

0constater

l'état

t exact

des ressources que nos places fortes et

nos arsenaux peuvent, en cas de do.-Ce, offrir sa pays pour sa défense, euméme temps que la situation morale tmatérielle de non grandes écoles mili-taire, et de nos régiments d'infanterie,

de cavalerie, d'artillerie et du génie.

Eu attendant 1. création de l'Écolesupérieure de guerre, dont nos géré.

vaux divisionnaires les plus capables

viennent de poser les bases, des cou'es plus pratiques et plas éten-

nées.Les ministres des finances, de la guer-

re et de l'Inférieur se sent égaleneutcernés poor résoudre erccnniverieot

ianquestionrelat+va s anirertparles départements et par les coin.mutes pour l'extension du casernementde : âeu à cet accord les ira-G,I armée.vaux nécessaires ont P. être entreprisur tous les Immfilà la fois, et l'établis-

sement uompiel des nuurellee c ernespourra être certainement terminé dansle délai de trais années.

Quand à la question des voies etmoyena,le concours des départements etdes villes a été elle

J,

à l'Etut à titregratuit ou onéreux, c'es4à'dira sous laCorme de subvenliuns on nous la formed'avances qui seront, l'a une, commeles zntrea, mises à la disposition du

'aistra de la guerre en trois termesdont le dernier à été fixé an 51 mars1877. Ces avances seront d'ailleurs

embunesées par l'état duos un délaide quatorze ans et l'intérêt eu seracalculé au tans de 5 010.

four les emprunts que las villes etles départements ont dl, par suite,

rontraeler, c'est surtout au crédit lo-

cal qu'il a été fait appel. F,n raison desconditions exceptionnelles de L'opéra-

tion - puisque les ouacriplanes

valent trois aas panr effectuer leurs

versements un intérêt suffisammentquélevé leur était assuré q ,pourle remboursement le crédit de VEWtenJIêps'lemeo à celui de la ville en

dis département, les fond, nécessaires

ont été :aisément réalisés.

Les cwneentions relatant les engage-ments réciproques de l'Etat et des com-

c

si Il ne le vol, des en]pruats

et des ruascartes eslraordlnairea ap-plicables à l'amurlissement de capital,ont été, en vertu des attributions, con-férées un gouvernement par la lof du

i é ar décrle ré-4août 1s 874,rend us

orl a

s p desemptees

etCiels re p

parr let1 itlé

de

-tres rontr, si finu

l'intérieur, d dee

lala guerre et des

a.-

ceNa.sailns absliendreiis de peler de

l'amélioration de nos places fortes noslecteurs comprredivnt lesentimentpa-teiotique qui nous dicte ce silence, maispersonne n'ignore le zèle et l'activitédéployé. par le ministère de la guerrepour arriver à la prompte exécutiondes travaux dirigés par nus meilleursofficiers de génie.

Les réglementa qui régissaient leatranspm4e militaires par chemins de fern'étant plus ea harmonie avec lla

bu-

soins

de notre organisation militaire,.au

concourni

m llmre supérieure,présidée pat le général de division Sa-gel, a mis cotte branche importante duservice à la hauteur des progrést ac-complis et en rapport avec les néces.ailés imposées par la défense du pays,

Des instructions précise, et détaillées,relatives au mode d'évaluation et depaiement des dommages causés aux pro-priétés privées par les grandes ma-ncenrres militaires, ont été égalementenvoyées à toue Ioa généraux commun'il art

les corps d'armée.Enfin des mesures ont été prises pour

la prompte mise en vigueur de la lof

du 20 mai 1874 sur le service religieuxduos l'armée.

Nous =t' là, pour aujourd'hui,celte nore, que n s pourrionsau besoin poursuivre. 1711e témoigne déjà,nf'6esmment des clona déployés pur egouvernement poor faire profiler le paysde la cruelle expérience que nous av sacquise pendant 1. dernière guerre, etpoor répondre aussi complètement quepossible aux sentiments de confianced'abnégation et de dévouement quiameuta ootrearmée.

-NI. Rngon, juge d'instruction, pots.

se activement l'a0nfre de Chasteau, le

chat' des litres, accusé de Jeto.rne-me la.

Celte instruction révélera sans doute

des faits no. evcors connus.Chostean a été interrogé hier à Muras;

il est calme et parait surpris qu'on l'aitarr7lé.

- J'ai nn cautionnement de 250,000francs, dit-il, et jo possédé 50,000francs de rentes. La ville en perdra doncrien.

Chstes. est marié et nére de familleet a trois ,niants.; sa femme .'.l passcore pu le voir. Les scellés ont été

's chez lui, rau de rame, et dans supropriété à Mai...s-Loftltte. Il résulte dedivers papiers saisis qu'il s'occupait despéculations de bourse.

ton plainte hile un ministére desOraoces par mu porteur d'ubligotios,qui ne pou ifva il 1a: h toucher uneprime de 1Q000 sraucs gagné' gai loi,feu.,I

fait découvrir les farts.Le père de Chasteeu, ancien plan.

feur, trüs-riche, est tombé nulade dechagrin en apprenait l'arrestation desur. fin.

DL'l'AR0'EMENTS

Ain, 102,502Aisne, 148,152Allier, 106,286Alpes (Basse,) 40,966

Alpes ([lattes) 31,609

Alpes-Nl orilimes, 55,140AI déchu, 109,398Ardennes, 89,388Ariège, 72,1722Aube, 80,243Aude, 87,725Aveyron, 113,114Bouches-du-Bh., 135,174Calvados, 121,552Cantal, 59,571

Charente, 108,294CharcnteInf.. 158,808Cher, 91,150Corrèze, 82,146Corse, 69,798Côle-d'Or, 113,819Côtes-du.Noed, 156,207Couse 74,656

157,9MDauane,

Doubba

se SU 375Drôm, 95,875Eure, 113,122Eure-et-Loir, 81,437

Finistère, 158,659Gard, 132,528

Caronue (Haute) 140,829Gers, 88,341

Gironde, 197,4.13llle-et-Vilaine, 148,0114

Héroult, 155,liG3Indre, 76,3!11

Indre-et-Loire, 95.07.4

Isère, 150,503

Jura, 88,283

Landes, 82,274

Loiret 'Cher, 70,575

Luire, 141,340Linier (liante.) 80,899

Loire.luférieule, 151,747

Loiret, 97,798

Lot, 83,875

Lut.el-Caronse, 400,732

ozére, 36,072

Maine-et-Loire, 147,226

Manche, 140,802

Marne, 111,150Marne (llaute-), 75,598

Aryenne 95,970Me nrllne- et Moa. 107,9113elenne, 85,837N ean, 119,017

Nièvre, 90,354

Nord, 324,53!1Oise, 112,604

"""i.114,108

Pas--Calais, 202,146

Puy-de'Dôme, 168,741Pyrénées (fiesta,) 106,920

Pyrénées ([laines) 64,483

Pyrénées'Oriental., 54,792

Bhin (Haut) 14,672

100,776147,997104,90041,68931,52404,068

107,67088,83671,711177,99584,800

110,240127,179118,44457,404

107,273137,42188,33981,10070,131

110,869155,33119791 3':763

71 77003,776

179,81279,Bf2

151,318127,307158,76985,034

196,464131,937131,293

70,25491,196

,15311782,76580,73678,341

152,56479,345

148,97396,86283,40799,43336657145,,757

137,497107,. `2674,7109n, 887

108,42385,147

115,00593,247

310,291

100,793110,453199,826167,627105,661

64,32753,446111,496

Rhône, 1 72,538 .160, 740

Saône (Haute) 89,020 8l,7.6

Saône-et-Loire, 166,559 101,445Sarthe, 128,679 191,564

Saoule, 67,141 67,051

Savoie (Haute) 72,602 7$569Seine, 417,627 407,999

Seiue-mférieurq 190,305 179,561

Seine-e4Nlarne, 97,010 95,645

seiua-et-Oise, 142,875 157,430

Sèvres (Deux) 97,228 96,534

Somme, 160,773 458,875Taro, 108,649 103,397

Tarn-et-Garonne, 72,401 72,286

Var, 86,418 83,079

Vaucluse, 83.647 78,416

Vendée, 111,182 109,940

Vienne, 92,117 91,410

Vienne (Haute) 83,400 82,791

Vosges, 110,054 108,879

Yonne, 109,940 108,697

la Haute-Vienne, le .ombre des élec-teurs municipauz est resté presque nta-

tionrail L.Butin, dans le déta culer l

es

dedeux

lis

la

flavle n'unm , diilffétn une

de

ent 33re ltes

qu'une différence électeurs.

(Journal des D16aro).

Rome, 24 décembre 1874.Voici le texte du projet de loi relatif

4 la milice territoriale, présenté pur les

ministres de la guerre t de l'intérieur.Art. La

milicee

territoriale fait

partie intégrante de l'armée, c

vaut avec elle, comme dernière Oréserveds forces nationales, pour défendrel'intégrité et l'indépendance de l'Etat.

Art. 2. - I a milice nationale eupeut litre appelée sous les armes qu'encas de gnrrre et seulement par décretroyal. L'appel pourra être fait parclasse, pur commune, par arrondisse-ment ou par previuce.

Art. 3. - L'm'ganisatie. lactique dela milice territoriale de chaque districtmilitaire sera déterminé par décretroyal.

A,,- 4. - Les oliviers de la milicetrrritoriele sont nommés par décretroyal sur la propostion dis ministre de

choisis parmi lesla guerre. lis serontsen ,ns q auront Ire des requi-

e

,unferu

mément à cn sera de-ter,n.iné

par décretriyq q ni ui eyal.

Les sous-officiers et caporaux sontnommés par lu commandant du districtmilitaire entre ranz qui sont inscrits

dans la milice territoriale.nautilesArt. 5. eu Le, registres coite

nomc deceux quisontont

inscritsla

milice territoriale sont tenueparar les

pan less syndi

dics (maires) de la commune.Art. 6.- La milice territoriale

.,a

pas d'unilorme spécial, escepté pour lesufd

Eurc

ales armes, lesas d'appel sons

"tic utrele armrese ta m e territoriale,les

s et mitions de roguerre, nueist ailai m(

pi)a

ana'once de lm

coiffuresdede ferme militaire (képi) et u.

brassard spécial, signe que la miliceterritoriale est mise soc la sauvegar-dedu droit inte1 utiaeals des belligé-ruute.

Art. 7. - Les lais et les règlementsde Ihrmée permanente sou applicablesaux hommes dota milice terrimrnsle ap-pelés n ner actif.

Art. S.-LesLes citoyens inscrits pour,

faire partie de la milice territoriale etqui n'ont pas servi auparavant dansl'armée permanente on dans la milicemobile et qui ne prouvent pas, aprèsdtn examen, qui ils connaissent 1I ma-- ment du fusil adopté pour la milice

territoriale et les premières notions du

service de soldat, peuvent être appe-

lés, par ordre du ministre de lapour suivre les exercices d'instruction,

seulement pour ..a période nedépassant pas trente jours.Art. 9. - La décret royal établira

les dispenses qui, en cas d'appel su

service de la milice territoriale, pour-ront être accordées duos l'intérêt duservice public et de l'Etat.

nette. A Lé moment, un chie. Lerre-neuve, qui an trouv'.. il :N l'inlérien,,

s'élaaçn sur lui et mordit le bris

étendu.

Al. Chamhalle fit aussitôt cnetériserla blessure et n'y pensa bientôt plus.

Mais avant-hier, couru e il péneDuitda us la mémo La ai .a, le chien su railh bu le, contre lui avec une telle vin.

leace gniil eu éprouva une pan terri'

bue. La nuit suivante, s'émut leva à uneheure du mati. pour clmnOcr sui four,il fat pris tout à coup d'une hall or:i-

nation rabique qui rendit néerssoire

l'intervention de cinq personnes porecontenir ses transports. .Après deuxheures de latte, une po.clinn à l'unirait

de morphine, pratiquée per le docteurIJOUrlens, ramena n. calme parfait.

Pendant la dorée de ce singulier a,-i41, M. Chambolle demandait constam.ment que l'un chossùt le chien. E.

'en tren-n lui al'èrmail-ou111;C11,vail ancun dans la cham. il s'imagina{[

en vair rôder ma autour de lui et muni'testait les craintes les plu. v, . An-jourd'hul sa état est cedavenv s s lisfai-sont. Il srecupe de n v au si, s

affaires et son moral pue ut s'être uoié.lioré. Quant au chien, cause, de tant lemal, conduit chez nn vétérinaire atsoumis à un examen attentif et prolon-gé, il n'a laissé voir jusgn'ili boni.-ment accu. symptôme de maladie. 11 ya lieu de croire que la frayeur sente aproduit chez M. Chambelle la crise

qui vient d'être relatée.

ukrs:s ou 24 uéca.a e 1874.%UFÀMMMM

Combat (Madeleine) , Al ans , rueAlontonlie.-Vélane, l9.

Houssés (Jean Baptiste), 62 ans , rue

Saint-Georges, 26.

Nlerque (Anne) , épouse Itoger ,fians, rue Matabiau, 20.

Ifuffel Marie'Chéeèar -a,aton niére lare de la Uauradx

v17 veL P8

lis Jase h-Gtienne 71 ans, rueSa

8 ( P ),aintPou-Aubin,

5.

Régale. are, Jeanne), !1 ans, bmi-levard de

lala

G

Gare.Fau (as, m M.'), épousa Darne-

jean, ClI ans,rua

e

Nlonotaudran,

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frais, par' pur"lies t s

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Berry ds Loiidrue, dite

R VALESCLEREVingt 'sept ans d'un invariable sucrés

. combattant les dyspepsies, mauvaisesdigestions, gastrites, gastralgies, glaires,

venta,aigreurs, acidités, fuitmtes, nunséea

renvois, vomissements, même en grosses-se, constipation, diarrhée, dysenterie,coliques, phthiafe, tous, asthme, étouffe-ments, étonrdissemenls, oppression, cen-ge.tion, névrose, insomnies, mélancolie,diabète, faiblesse, épuisement, anémie,chlorose, tous désordres de la poitrine,

gorge, haleine, voix, des bronches, ver-

aie, foie, reins, intestins, muqueuses, col,

veau et sang. - 75,000 cures, y compriscelles de Madame la Duchesse de Castle-atuart, le duc de Ploskow, Madame lamarquise de Bréhan, lord Stuart de De-

mies, pair d'Angleterre, etc., etc.

Cure na 65,811.

Ni. le curé A. 13,... Bière, d'une Dys-

pepsie de huit aas, et après que les mé-decins ne lui donnaient plus que quel-

ques mois à vivre.

Cure n- 62,476.Sainte.humaine

Monsieur, -Ili,.Dieu soit béni I la Revu-

lumière

eveva-

lescière Du Barry a pris On à mes dix-huitannées de sonffrunces de l'estomac et desnerfs, de faiblessesetdesrteura nocturnes.

J. Couronne, curé.

Nous avons annoncé avant-hierqu'on grave accident de chemin de ferrait eu heu ea Angleterre, sur la ligne

du Lancashire et du Yorkshire ; les

jonmamx anglais eu donnent le récit

suivant:. L'accident a u lieu à quelques

centaines de yards du village de Romp-su'Gray, tout à côté de Miplon, auxenvirons d'Orford. La train était compo-sé de treize wagons. renfermant ungrand nombre de passagers qui allaientvisiter leurs lamelles a l'occasion desfêtes de Noël ; il y avait deux locomo-tives. 11 est parti d'Oxford pour Bir-mingham,à onze heures quarante ml-entes.

ILétait d'une demi-heure en re-

tard, mais marcha sans encombre l'es-pace de 6 milles lorsque la bande d'uneroue de wagon de 5 'lasse se cassa. Cewagon sortit des rails, cabotant purdessous 'las

traverses, dont il coupa uagrand nombre en deus, traversa danscet état un pont de bois sur la riviè.re Cherwelte, et au ....... 'arriver àne secoad pont, sur le canal d'Oxfordà Birmingham, il culbuta au bas duremblai, eotrainant plusieurs autres wa-gons.

s Le train marchait avec .e vitessede 40 mimes à l'heure. La force d'im-

lé a émit telle, que les wagons dé.railradlés co.linuérent leur mouvementpendant ua certain temps , jusqu'àce il Là as brisassent les uns outreles autres au milieu des prés au-dessousdu remblai.

. Trois wagons de voyageurs et unwagon de bagages furent lancés de Pan-ure côté du pont. L'a. de ces vvagonsemporta la culée ea pierre du pont etse brisa e. mille morceaux qui tombè-rent dans l'eau.

s Les fragments de deux wagons, lesrunes eu l'air, jonchaient le sel ; ma

autre était renversé en travers du reno-

bloi. La partie antérieure u train

continua sa marche à uue certaine dis-ance.

. al plu à eu présvictimes que la mortde la

plupartbt

des vicLnt

ét a été spsdans unLes oi opt été transportéedans on moulin n à papier, à un quartde mille de distance. C'est de net en-droit que des vriers avaient été té-moins de l'accident et avaient do..6l'alarme. Une dépêche demanda du se-

s

à Oxford. Les blessés furent éva-

uséssm cerne ville : quatre moururentpendant le trajet, et o. compte trenteet une persomes tuées et environ

usonte_dix blessées.

On continue à sa préoccuper de ladéclaralioo très'importante que

les

commandants de corps d'armée au-raiont faite mercredi su maréchal deMme.tlahou relativement à la loi descadres,Nous le répétons, lu réunion des

commandants de corps n'a pas pis et'a pas voulu discuter le pouvoir de

l'Assemblée nationale et lui onntcstac leboit, dans une Ici des cadres, de Oser

le nombre des cLonpagniea d'infanterie;mais Ies généraux en chetaol constatéqu'il y avait ma grave danger, dans lesà.i,.stances actuelles, à lier les mainsdu oeninistre dis la guerre. C'est, ce réa-lité, nue portion d'opportunité sur la-quelle ils se sont prononcés, et leur

iére de voir été artagée peau. ar le

Président de

taltépublipq

)diOuites, (tuai-rscl).

- Par décision de fil. le ministre del'intérieur, feutrée de l'almanach de laLutteras est interdite en France.Cette brochure, imprimée à Genève,

ne co..prend que des extraits de. .,fi-clés

Ies plus violants publiés, à diver.

ses époque, par l'évadé de Nouméa.

-On annonce que le murs de M.Chauffard, à l'Eridu de médecine, estsuspendu. Plnsieors

jouirionsajoutent

que 'est sue 1. ,demande de M. Chant.fard lui-méme que cette mesure auraitété prise.

- Nous apprenons que le prince Al-111 des Asturies, Ols de la relie

allello, viendra peachaiaemert passer

quelques jours à Pars.

- Las carlistes continuent à fournir$ l'Allenagon des occasions ou plutôt

Totaux, 9,791,599 9,549,640

Soit une différence en moins de241,1159 électeurs inscrits.

Nous ajouterons que les listes prépa-ratoires publiées le 9 août 1874 seportaient lac 9 millions 957,629 etec-

teues ; 290,011 réclamations oetdonc étéadmises soit par les commissions muni.

cipales, soit par les juges de paix et lacour de cassation.

Ainsi qu'on le voit, les départementsdes Basses-Alpes, de la Corse, du Lot,de la Lozère, deuteurthe-et-Nloeelle, du

IlaubRhin soet les seuls dan. lesquelsle nombre des électeurs inscrits en aar-

La des p ri pi ions nouvel lea de la loid 7 juilletlet 9873 soit ue lsupérieur

aceluide

ru électeurs inscrits sur

es

listes élec-

torales municipales arrêtées le 31 murs

1874.Les qui ont perdu le

plus d'électeurs municipaux sort censdu Gard, d llle el-Vdlame, de la Loire,de la Murer, du Nord, do tthô.e, de Sah-

cef-Loire, de la Sarthe, de la Soi. e-Inférieure, de Sene er O+se, do Tan.,et de le Seine, In

ila lui seul, compte

-actuellement 39,628 élerteurb Iln iicml-panx de moins qu'au 31 nr, 1874, rgré le= 86,912 inscri)dione qui out e

lieu à la suite de roc lamoli onnnues fuel ées après la pablicali no des

listes prépalaLOires dressées le 9 fiant

Certificat n 69,719.

ltrneornns£, ntevnaIOI.- ruia e. sontradicalement guéris. Pour les toux gn-grées par un refroidissement, cela lesarrête à la minute; pour les rétentionsd'urine et Ies maux d'estomac, cela pro-doit le meilleur effet et chasse la

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ci MU1.ae, tour Ntiunm,,. ..

dues ont été, exigées des officiera pour

leur admission à l'Ecole d'application

d'état-major.Aussitôt après la division du teneitoi-

e de la France pour l'organisation del'armée en régions et s ebdfvisions derégion, établies d'après les ressourcesde recruteur cal et lés exigences de lamobilisation talle qu'elle a été opéréepar le décret du maréchal'président dela république, rendu ce Conseil d'Elat le6 sont 1874, des ordres ont été danséspour l'insudmtiua dans chaque régionet dans chaque subdivision de région demagasins généraux ou particuliers d'ap-peovimoanemenls dama lesquels oet été.dues les armes et munitions, les effetsd'habit lemeut, d'armement, de harna-chement, d'équipement et de campement

e-x diverseso

qui ntrants dans la composition de chaquecorp, d'armée.®Eu même temps, dans chacune de

ont quaranlr.q i,ilre aulidivisiune

régionales ont été établis nn on plu.' .nrs bures nx de recnntemual, char-

gés d'opérer l'immatriculation dans lesdivers corps de l'armée active, deshommes de la dispeai bilité et de la ré.serve, et de tenir La contrôles de l'ar-mée ferrite, fane. U. dépôt de recrute-

eet central a été créé dans le mémebut dans cl+so réelles départements dela Seine et de Sufne-et-Oieu

La loi du 1°' août 1874, relative à 1.conscription des chevaux, et celle dis 4août dernier, relative aux dépenses du

Le ministére de l'inférieur vient en-fin de réunir les docnmei ts statistiquesnécessaires pour obtenir le releva nu.mérigee des électeurs inscrits sur [eslistes municipales dressées en exécutionde la loi votée le 7 juillet 1874 parl'Aesemhléo allie. ale, et sur lesquellesmit été faites les élections qui ont eTien dans toutes l'a communes de rrau-e Ies 22 nl 29 novembre dernier pour

le le...vellement des conseils n omc.-

paNzus nous empressons de publier ceschlRires, qai sont ef/ieeefs et qui présen-tent, à la veille de la discussion de la

pu7. I. I. « - 1.:,,

1874. doit au Val Notre Dame vers huit heures rc, Nt l II uer fiai vuap- pmas : l'ion,, nia dus rdazirm, etvid;u-rmrnts de la Creuse, du ven u, c mue d'habitude pou nVans Ies dépale

de Lot, de I N t 1. -, 1 L " t ie p .r ses clients. Arivé dorant E(s b c t1 ' a i. pu I T I I `

la Savoie, de flaire, de la Nl 1 s e n ait il lui fallait entrer, il - i t JI

vrI

Basses et des Ild iles-P d l'ras fruit à travers les bor-NI 0 1 tout .rai te. PI a nY

1

1 f b

Deux-Séarrs, du 'tain et t ni d,, aux du la grille pou agiter la soa

- Le 23 novembre dernier, le sieurChanubolle, boulanger, âgé de trente

demeurant à Argeutrml se ren-ans

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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nous venons oll'rir à las -rires et viotl-x client,, en fait d'articles pour

étrennes, ce qu'on ne trouve pas tott-,joves, c' st :à dire, le beau, réuni subon marhé.

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200,000, 100,000 et jnsgtià 1,000 lie., etdes remboursemen L,, à fr. 4110.

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DE ra11Ab.PRIAor, rua d. Bâeta,

foin te iLveehC-Ceavert et I' 4,55

Le Cabinet eut o'sert de 9 hemes du matte à t Maures de sui

excepté le dimanche.-.,, aâs

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110' tir la Pomme' G:s,GUÉRISON de ilotes dents flic,

pris de :lac., 3 f. par la poste, 3 f. 20enr des dents sana sou tfeance.

Bulletin f ommercialMARCHE DE TOULOUSE

Du 28 décembre 1874.Les affaires sont thrjo p actives

sur notre place , il en sera peuoable-

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NOMS

a,., -turcsFine

fin i Mallette sup. 80122 25 2IL dette 2 75

IL dette banne.......1 80 21 5t1i2`2 0UBladette ordinaire... 80121 0021 50lité mitadin 1n...... 80 20 5J 21 00nié mitadin ordinaire 80 20 OO 20 5oOr .Oc .:

...... E, 12 i1 7350selle..mOr aerrviinri ....... 50 12 50'93 00A

liais na

. .tta.. .....

-.......' 7's 3 "0114 00

Mlui" tiane.......... 76 f2 f0o "

11 007e 25 lia â2 00

Puis .......... ... 78 00 00100 01Lrelilles ............. S2 00 LA) 00 00Fèves ..............I 5615 75 16 15Vesces 80 20 50 21 00Vesces 80 T2 00 24 00Graine ae situ....... 6fi 19 00:45 50cou...... .......... 85 20 50IO0 00rxlmreeue (Sainra;n). 50 Is OO 1S o0rréSe .............. 400 105 0 115 05ainfoin (graine.). 100 110 100 0

r

Qualité S. ((mont), larinRo

balle de 122 k. 172 40 00148 00l' a 77r (Os) 144 50145 50

m (00.80) - 43 00 44 WRésitl. (tt F-IlB) - 28 0032 00Repasses, - 18 0022 OUans. 12 60,13 00

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Les Lettres rue, - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1845/B315556101_JOUTOU_1845_0… · On lit dans la France Méridionale : ... chirurgien aide-major

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Vendredi, 30 Mai 1875. - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1873/B315556101_JOUTOU_1873_05_30.pdf · vendredi, 30 mai 1875. politique li irr a

Vendredi, 30 Mai 1875. - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1873/B315556101_JOUTOU_1873_05_30.pdf · vendredi, 30 mai 1875. politique li irr a

images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1880/B315556101_JOUTOU_1880_04_14.pdf · 7r6e Année. -104 s, il fr. 14 Pl. POLITIQUE ET LITTÉRAIRE A:B 0NrTMMMISTIS

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POLITIQUE ET - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1873/B315556101_JOUTOU_1873_10_22.pdf · 69' Année. No 292 POLITIQUE ET LITTORAIRE A>lajEasrsRrs

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POLITIQUE-- ET- LIT - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1865/B315556101_JOUTOU_1865_04_22.pdf · ne de ordo P.i-orlicudurc oet été ar-r le Conseil

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images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1872/B315556101_JOUTOU_1872_12... · 68m5 Année. ND 358 BUREAUX : Rue Saint-Rome, 44. Dimanche, 29 Décembre

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1POLITIQU ET LI I - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1845/B... · CONSEIL MUNICIPAL. PRÉSIDENCE DE M. CABANIS, MAIRE. Séance extraordinaire

1POLITIQU ET LI I - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1845/B... · CONSEIL MUNICIPAL. PRÉSIDENCE DE M. CABANIS, MAIRE. Séance extraordinaire

il- -A - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1829/B... · principes; espérons qu'il satisfera pleinement à la double exigence ... » civilisation

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POLITIQUE ET LITTIÉRA - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1865/B315556101_JOUTOU_1865_03_03.pdf · uap,tuna la t ober ses bras eaumo aba-Fil

POLITIQUE ET LITTIÉRA - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1865/B315556101_JOUTOU_1865_03_03.pdf · uap,tuna la t ober ses bras eaumo aba-Fil

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Liste des magasins participants à l'OP vignettage YVES ...

Liste des magasins participants à l'OP vignettage YVES ...

il MAI 1846 42ÂNN., - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1846/B315556101_JOUTOU_1846_05_11.pdf · il MAI 1846 PRIX DE ;.'ABONNEMENT. Toulouse.

il MAI 1846 42ÂNN., - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1846/B315556101_JOUTOU_1846_05_11.pdf · il MAI 1846 PRIX DE ;.'ABONNEMENT. Toulouse.

lion deAmora - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1867/B315556101_JOUTOU_1867_07_13.pdf · L'exécution d I p r Maa malien ait été déé dot

lion deAmora - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1867/B315556101_JOUTOU_1867_07_13.pdf · L'exécution d I p r Maa malien ait été déé dot