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716 A'Irree ' 1;î LREAUX ; 5aile-Nonnes, 4t.

- Maintenant, mon cher oncle, je

vais vous quitter et retourner à la ville.ll t'eut que je pense au conseil que vous

mute doné.- Le ,yen est rieur, mais il lest

pas usé. Enkve, enlève ! cela réussitta M. u eo.

M. Coulissot accompagna son neveuJlia, à la L

Samedi 19 Juin 1$76

TOULOUSEPOLITIQUE ET LITTERAIRE

Toaloaae Mo., Toulouse I HEURES DES D$PARTS ET DES ARRIVEES DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DU MIDI ET D'ORLÊANSFN AN, . . , 40( r. UN AN. ... aa lr.4NUNNEMENTS tiIX AIOIS.... es SIX MOIS eaTBOIS MOIS... ' TROIS MOIS, . 44 I Llgae de Boedeaa[s. Départi Arrivée.:

Matin, IU h . Sov, f h 40ANaO0cES, la ligna....... . Ofr: 501 Départe: ArrOSe.: aob(expr.). 9 Soir, 4 51

1Soir. 4 Soir. (0 150(direct)14 S E N T 10 N S R$ iCLAMES, d O 50 M:8

OlMatin (Ageo), 8 45FAITS lllvooo, id. 1 50 Maan (expr.), ff ISmr (expr.), 1 45

LIgoe de Beyee.90 Mus yen BatrncLES ANNONCES es, TOULOUSE. Ligne des cette. Mntb,, 5h 2U Mot (MOntr.), 9635

SONT REÇUES choc UN/. Bavns,, Lafdte ei Q' Matin, 9 Io Son Pau 1 25r Matin (Jireut) OS 40 MI (Guru), 8 h 55 Soir (Mort P 30 Soir (Bayonq, 5 35

b , PL.ca Da rs Boaaae, PARIS. Ma[m, 5 le M ai.(t...r.1 10 30 Eov (MOntr.l. 5 4o'Soir. 9 55

Ligne de Vais.

Déparas :

Mati, 9 h 9u Mati., taitSoir, 1 50 Soir, 5 50Soir, 6 10 Soir, 9 40

Ligne d'Orl6asae Lesoe-Albi.

Matie, 6 h f0 Matin, 9 h 53Matin, 10 40 Soir, 3 47

f 55 Sob, 8 91Soir, 5 fo Soir, 11 251

Omnlbue de Baalleue

Wiun0,soe,.uvr la L.aes,d.rnr-Sraan,parla Cépiérecwu Daux.rnnbusrnB,..en.c, par l'Embouu0are.. .

nove,Oss.s, e.rl pan. d. dam.les rnrreliee. .

BuevemealPmr.'osse..

a.,ere.¢en, .......

] h. 1L h. m- t u b. l b, .,hb.loh 12h. m,; 4h. 7h..7 h. ll h. m.;3 b ib. s,7 n. Il h. m.; 3 h. 7 h. a.e h. m.: 4 h. e.7 h. 1P h. m.; 7 h. '.9 h. m.;dh. III m-;45.1.70.11 h.m.; 5h.s.

h. 10 b. m. I /.]7 h. m.

Nora.- Ee nie/es de la Tilt .sommes d 6 A. da -a- d Inril a 9A:da tees,

Toûbne, !ry- Mesum, .

'f011IOlIi Ti o 19 Jilin, neuf délégués déjà nommés possédant la attisa .9,àa.2 Pour l'adopII00, 353 famille établie on qu'ils justifieront tonfi'medu rentre droit I est nulle Contr 3DD I de l'exercice d'une profession de ..tu- CONSEIL MUNICIPAL

d'en nommer de nouveaux. Ces délégués Paris, 18 joie, 10 h. du soir: L'Ass mblée etiuhale a adapté. se à assurer leur existence. -<n-devront recevoir dans l'esprit te lus E'ECAo Universel, parlant de ia réuniün Le Vole des di niésé de la sois lia' MM. les généraP uxntacommandant les Stades exfraordsrsere du 2 jute 4875.

(Depeehes, telegraphrgnen P r Pnjou -tics

d'armée urroccorder direc-large et avec le désir de la oreille- du centre droit qui a en lieu a me que le pré.terrentCaGBPC¢ .

-_ - i lieu et de la concorde qui anime la d'hui, dit que le mot ds la sihu. éd t les aIItI,ieatio°w de mariage de- M.. le Vicomte ToussAlnr, maire,ffav- Da HAVA.)

I.riUniue, tao les les Iommnnicatiore est que, de part et d'autre, ou a voulu

emmus a été le m

mandées pat les militaires de 1. classe. président.Londres, 17 j ui n. -

Le rimes (2° édition) snnonce In full. qui pourront être faites yer les groupes terminer une discussion n pouvant de 1670 en congé, avant le 10 aoùt 1875

lite de MM. Malcom H Ason end C 5 cuoservatepru de l'Asseroblfe. avoir d'autre solution que la dia Le ministre de la guerre vient d'a- époque de leur passage dans la réserveo MM> lee de l'armh active. Le pist de

bySquat'

la s6aore du 22Cruset de M. A. C.onzvles Les paroles de M. Boche, ont obtenu location immédiate de centre droit don«er la circulaire aulr.o A

and C-, 71, Pahnerston liuildin o une anhésiou unau ma Le centre droit est divisé en trniw Prac- généraux c-en-envoient les corps d'armée L s militaires de -base de 1870 maidernter

nier estIiiin et adopté.

On écrit que le paaeir oser pas ruas."'i""

consiAére la décision d'au- lions :les groupes La vergne et de Clercq, et aux préfet des départements :lé

envoyés en congé devant Mie immatri- A Iaceaalon d u passage de ce procér

jourd'hni du centre droit nomme le Poursuivant une politique contradictoire, - Versailles, 12 juin 1875. eua sans retard, dans les corps de le verbal relatif h la motion présent6e passidérable.

Le

eon YB kAlsdrid, 17 j ( 9uin.

et le Bochar avec lus de Bavai en cnn E due meitair, libérables gM. Le lie au sn t de la réivtégmli Il

maintien du alatu uo e[ un aj ourne- groupe qui P ré ion où ils sont domiciliées, les fonctionsde M. Cmamos dose ses 9 laLa Gaune nnnooce ue le r' a ac- ment déguisé de la qestio réserv est vseshlement d'accord avec

dici au 10 soi, 1675 asile d'administration des corps de

cordé l'exéqualur àM.q

Martial Chevalier le groupe Lavergne, troupe de toutes armes opéreront, h la Faculté de droit, ce dernier exprime ses

n.ulde

France à la Une dépêche reçue par le ministre du L'E'rh prévoit une scission à l'ocra Messieurs, date de l'envoi en congé des militairesremerciements h M. Leyg m et h ses col

1 le publie une dé écho d général commerce annonce que 1'autorisatfe. siou du choix de 75 sénateurs que l'As- J'ai décidé que les militairea de lou dent il s'agit, leur radiation des eon léguer du Conseil municipal.Rl

amip u

d'indi le j q semblé. doit mmmer, les.'mea, libérables du service actif d'i -SUr l'ex osé présenté par M. le111a.cn

ront ensuite les feuilles Maire, le Cousml prend la délibérationattaqué

onçant que les carlistes ont quer prix des obits ui seront.....

ci au 10 salit 1875 incluairement et d corps. P,

vigunreusemenl Iran, mais e: posés à Philadelphie, aulori3ation qui . Ils a dresse

! a Ion t s été refusée, vient d'être .ÉrECna actuellement présents dans I es corps,

ydmaltriea

matricules de ces hommes au cmman suivanteqri ils ont été repoussés et ont éprouvé g °mp seront envoyés en coug é au a5 uin en rbrsdu bureau de recrutement de la net acceptée Pulls, de M- Ripell dedes grnloipoarr pertes aocurdée. Paria, i9juin, 4 h. 25 matin. Io"courant. subdivision à laquelle appartient le donner à la ville un buste en marbre dm

L'Ion 1 annonce que le ministre érécxaM. Chriatophle lira, lundi, à la com- Lent.

de ces hommes d evradira ndes finances a ordonné la liure. ci re.ula_ mission, xon rapport sur le projet A' é- anton où ils ont pris Part au :1 rage au statuaire Grigou don Pionêtrero

an'. s deet le déposera le mé- bremenné de rnaniére à éviterles

-cor se conformant, par les inS mus M. le Alaire e tlprié

er transmettreLion d,s a,.r

aurnzt ectiore ,.oe.es sur la Bidassua, Paris, IB J'uin. du Sénat, et sur les ligues °me joue à la Chambre. lions à porter sur lesdites Pouilles, aux à M.' hipoll, les remerciements du

d rée orméunent au traitébrament date Ifs gares ! t'

Sdance de J'Aseemélle. - La commis. de chwmins de Prr.du 2

décaemb re covmbre 1f856.

lion a retiré les trois premiers arti- Saut exceptés de cette mesure: Prescriptions de la note ttministérielle Conseil.

Alanrid , {7 1'uin. [),a perquisitions est de nouvelles le. ce du 7 mai 1874 (Journal litai'., 1 -AL le Niaise introduit les allaitesjet sur les deuils d n regis- ],es engagés ulontaires et les;es Au pro

poursa ns ont été piréa, hier, à Lyau

e désireraient rentrerseme,'tre, page 439, partie églemen- suivantesPlnx de 411,000 nommes de la de rniéro [rm nl. FSliation à une Société s réte gagea qui pas taire 1. Admission eu ... valeur d'eau aom

lerh. t l'armée. La Aiscussiov est interrompue par un dans leurs foyers, s Les commandants des bureaux de a18 à 20 personnes ont été arrêtées, au m de 312 fr. 05 c. due à la ville par leL'armée du général J-i a com ieiAnl. - Les roil'taires qui eoutraclerontrusé, sa marche t tant ; il e

nombre des quelles un rédacteur du recrutement inscriront dur les listes du sieur Combes;s l'r°- 11 M de Lorg.ril questionne M. Dnfaure Pelif L ttais. due rengagements. omin eut, an nom de chaque homme, 2 pro t d'établreissement de fil. lé-

Lbsbiluoreq,i r.lle détint. par a emparer dr, ur la souslruetinn d'une correspondance y0R . I.es oulitaires proposés

pour

la re- ( la mmilion : En eon . en atten dort son léilionhie 1aux

Cl,evforts Ire 0lenlirIle entre le précédent manns. auras néeécne Irait. I e q uel pour ter le Çapitolu

Les ,nota de la ligne de l'Arga n'ont tin de l'a justice et le pro men, gelé. Les militaires des compagnies de envoi dans la rdaeru. postes de pompiers et a quelques postes

Qas .Heure pu étrx ubvadu vines à leurs val Ae Itrnnes, relativement à l'élection Paris, 19 juin, e h. 95 malin. fusiliers uu des pionniers de discipline assures de®a e

présence,després lilaértre

esd'oct PfOjet

d'égoùt et de siphon pourgarnism,s se*lra à r e du manque des Côtesdu Nord. Il demande une e Une Note du Journal O()eiet dit t des bataillons d'mfante.ne légère d'A dans leur subdiviion, procéderont le l'assainissement du faubourg Guilhe-

,r Ira ha utror.' .pendant l'été, yni goéta pour Air Peut-,Peut-, le la Des art" lis publiés pur pl cul et j'rique qui ont étée envoyés dans c s lus [ end leur agec-et suite par re disciplinaire ou à la P promp em possible à méry.o

lé

ntign. à a hommr .Renies, ie :soi soustraction.Il

l

bllhldme en mémo temps journaux, uolamauent ,éros du

Impie,

d

e dons. communicationsuite de crolsor nations.talion aux corps de troupes de leur a

'

- M. le Mairrenient des hommes pnnrce travail sup. la communication des piécea relu lites à Le Soir, chas leurs Humérus de devir me et à I rlublissement des contrdleaileme eo au Conseil dune lettre de M. le Préfetrér filer lion do la Niévre. ,Lea sous-olfieiers, ru ou bel-

pect des gadiera eyés en congé,çappuar

appplication prescrit Dar la circulaire ministérielle t d'eu arrL'armer dit Nard rrprenAra d'on mo- AL Dufavre dit qui il ,perdra a

idemprappeler aula presse

Guuverveamrentrespect

le devoir

nf,

été r délihératiouscerna.[ l'érection de Inem du 18 juillet 1874.

du Conseil

a

seil conelatifs oui

ment a lastre son rot' aotit appuyée par dernir.r re'roche lorsque ,élection de réanlntiaus souveraines de l'Assemblée tle la p r é s e n t , circulaire seront rJe vous p d'assurer, xlatue -Germainede Saiutel'eauad re. n lle Je I:asrr , Nationale lacés dans leurs Brades et emPlois.g

n I r Sans méronnailrc les droits d'une dis.

rie rhacnn en

, Je elle 9û aul'ezicuti des . Ces documeomenl de leur q

reseri lions° Sain4Ceorges

eut la plawd'artigllerime

sana iml la'ordNiévre

eta11

v

ais

ddé'oj dronune p ce ui vous c ncerne,

contenues danson

de lu

nta sont ainsiQ r. gnrs rumhms re an parquniscmdeéel'uà

vriPortance nul eu li.u entre /;uemria et e rrlali veinent à la soustraction eusshm libre, et salis porter atteinte départ d°

raPPcorps,les hommes devront p p

la Pré conçus7.arons. de la c.... pondante

loi

m nlionnée. Ili,ilpipions qui inclinent devant la être porteurs de leur litre de congé,

sente circulaire. . T'ordonner, le 2juin 1875,

troupe' du général Blaeo conentl- ajoute que M. Foacher de C.reil e , doit mettre les et drulions gea. s lis recevront en outreitecevez, etc. r Monsieur le Alsir9,

-nr à day, er Ira communications - reçu une assignation à comparaître à l'abri des attaques et des outragea, , Leur livret individuel, Le miniewal de ta guerre, .Vous avez bien voulu me transmetIrrP Itrnayr. et Saint Séhatien. demain devant le juge d'instruction, Pour réprimer ces atmyues et ces Un certificat de bonne condu Génital le Cossu. r tee une délibération en date dit 14 mai

IUer. le oui a été l'objet d'une eérep- hl le Auc de Choiseul dit que l'an. outrages , le Gnovernemen[ hésitera il y dernier, par laquelle le Conseil muni.lion enthousiaste à Tolède, thenticité des pièces ne peut pas étre Pas à nie de tuas les pouvoirs qni lui Et une feuille de roue lace indem Nous rappelons que le conc...a pu cipal de la ville de Toulo use a cru devoir

Creuse, mo ;re;ii, 15 juin. contestée. Il rappelle que M. Tailband sont confiés. + pilé. bliv d'instruments agricoles .lieu au rapporter les délibeeations de la Com-

5,000 alphnnsislesr sont dirigés sur ordonna des poursuites dans un inté- Celte feuille de route devra iedi- jourd'hui à 2 heures précisas, sur le mission municipale de cette ville,et. dota

O nlol rél électoral. MareSé de Paris du 18 juin 1875, quer d'une m:miére fiés.précise la loc.- domaine de Périole. des 4, f0 et 19 novembre 1874, eégu-

Le énéral Areundot a décrété le bM- La gauche se tète en demandant que Spiritueux 50 50-4 se lité où ils auront déclaré vouloir ee ----- librement approuvées et relatives à

s

g

dr la haute monfrgne depuis Rippol, A1. Tailband s'explique à la tribune. --- ___ retirer. ! Les dénommés ci.apeés, au l'érection ourla place Saint- Georgesbmt.

Olul, Brsala juaquea à Vich et IlurI 1 M 'failit d répond qû il imitera la Lorsque tes militairea demanderont, régiment de zouaves, sont priés de se statue de Saint.-Germaine deld'on.

rich réserve deM

M. bataille r.[ q. iI CHR.OINIr>lUE LOCALE au moment où ils quitteront Ira dra- Prials r le Pluté[ goretble au bureau Il ne pouvais, sous aucun rapport,uela quand le moment n -'--- peaux, n passer dans une est nutiade M. l'adjudant de g endarmerie : Cua- revP.ty de mon approbation une délibé-Lee carlistes, s sont de représail pli.

les vitlrs funifiérs rt

dé.- I: ,ncident est clos.

ara issuSCI{UTIN lion aire q z celle uù ils ov satisfait Lea (Jean) Itaymal d (Jean-Pierre Félix) ration de celle nature, et j'ai pris au-

lauruent les eanutx quialimontent les il. L'article S du projet des droits d'en. Sur l'amendement de M. Paris (arti- h la lai sur le recrutement, les cM1efs de Massé liivea (Pierre), Loumea jourd'hui m arrété pour consacrer celes et em pée.he la circulation des tes registremenl est adopté par 362 vois cle f3.) corps ne devront ri n négliger pour (Jean.Baptiste), Ayméric (Jean); ainsi refus.

J'ai l'honneur de voue transmettredt i' une déclarat on e que le nomme. Cepoulat (Jean), engagétares. contre 339. L article G est aussi adopté. Nombre de volants, 679 qp ils leur remettenm liatiou des cet ...été dont vous êtes

TÉLÉGRAPHIE PPJVÉEParis, 48 juin, 0 h. 40 do unir.

La réunion du croire droit a discutéla propoaitlun de MM. Adnet et louberl,de nommer deux délégués, chargés de'eole.Id'. avec lea autres groupes con-

servateurs e r les gaeslivua capitalessunlrvées devant l'Assemblée.

Le président de lu réunino, M. Docber,a résumé le débat en disant que les

e..muaroa eu JOURNAL Lus TOULOUSEDo 19 Juin 1875.

- N. IG -

UN VIEUX GARÇON

X.

Le r«nn.veil que l'oncle Méraphiadonna n son neveu.

Il revint prés de ao. neveu et lui mil

la main aur l'épaule,- Veux-ta que je te donne un cou

se il7 lui dit-il.- Un e°nan t I.- Oui, seulement je ne sais pas s'il

est bon.Ah!

- 1.tsi ta pourras l'en servir.- Ilnvnre toujours.--'fes

m'as dit que la demoiselle l'ai-mait P

Ooi.Ell: sel de la ville y

La a..le de la diacuevou est renvoyée à Majorité badine, 340 changement de domicile, qor sera trana- volontaire ae 38^ de ag.. (Mandats de P

demain. Pour fadopfion, 358 mise par loi sons du conseil d'adml. masse à retirer). chargé d'assurer l'ezéeulion.AI. de L°eEeril vient à 1a tribune es. 331 nistration, au maire de l'ancien demi. . J vous prie, M nsieur le Maire,

I -_----nce sentimentslire.' le mot de rlcéle qu'il aval[ em

Cente,Un concours d'orphéons, de musiques g éer l'assura de m es

L'Assemblée onlionale a adopté. cite. Mais il est bien entendu qu'à leur d's

ployé an e M.Focemen

enl de la séance, en Unl voté. pour, MM. de B Lassos el, de arrivée à leur no veau domicile, ces d'harmonie et de fanfares, se s am set dehauter

consid fat de lpartant da M. nue qh,ru du Careil. Bacunr. 'purin, Depeyre, de Lusses, Piou, militaires devront souscrire la déclara. à Biarritz, le dimanche 22 aodt. Le Prdel de la Sunsil Garantie,

Itipoodaut à une question, M. Pelle. Sacase. lion prescrite par l'art. 14 du Coda Ce concours s'étendra au département Signé : Buron os: Sanonaus. etan déclare qu'il croit pouvoir déposer Ont voté contre, MM. Gatien-Arnoull, civil des Basses-Pyrénées et .ux départe.

,rcredi le rapport ur l'érection des Hambert Paul de Rèmusal. .Conformément aux instructions en monts circonvoisins dra Landes, de la evureceons nr. s.a uaurueu0000enC0tes-dn-Nurd. Toutefois, il prend l'en vigueur, les milimires étrangers auz dé Gironde, de la Charente, de 1. Chnerate. Le Préfet de la llzute-Garonne,gegemnnt de le déposer vendredi. SCItUTIN portementa de Senti,se qui demande- Inférieure, de la Dordoger, de LoI-et. Vu la délibération du Conseil mu-

M. de Saiay proteste contre ce es. Sur l'amendement de M. l'aria art. 14. raient h résider dans l'un on l'autre dtard.

e L'aroeoe, de Tara et-Garonne, du Cers,( ) 4875,1 de Toulouse, eu date du 14 maiNombre de , 053 cesdépartements, n'en obtiendront lu des Hantes-Pyrénées et de la Haute-Ga 1875, portant

La séance est levée. Majorité

absolar,

olue, 327 torisation qu'autant qû ils y .liron

iet

leur

r ronne.

- Ah! ai je le pouvais'...- J'en ai trouvé le moyen.- Quel est il?- II faut e, d ,ver la demoiselle. Aprés

cela tu peux être certain...- Le moyen pourrait être bon

mis...- Quoi ?- L'exécution est difficile. Elle trio.

ser. de e se- Elle tu susvra, si elle t'aime réel-

lement.- Soit, mon oncle ; mais ensuite où

irons.nous ? Que ferons.nous ?- Vnus prendrez la diligence et vous

parlirea pour

'

furie. Uve fois là-bas, -lonsmême pas besoin de Tons

y cacher,-' Sons écrire. aux parents,ils pardunnerout et vous forant revenir

pour vous marier. As.to compris, monneveu

- Oui, mais vous oubliez l'essenCiel.

- Q,iest-e que nublie?II foo

dt de l'argent pour cela, Etje

n'en pas.

- Ti ns, c'est vrai.

- Ah ! man oncle, la pauvreté, c'estla véritable impntssance-

- Aton prochain mariage va me foiredépenser des nommes folles, reprit le

- Oui. cieux garçon. Mais n'importe, puisque- I.e, parents ne veulent pas ta la je sois heureux, il faut que tu le sois

dom aussi. Voyons : Voyage à Paris, aller et. t retour, gnatre-vingt-hmt francs, mettons

- I?h b -: il ,Suit les forcer à don- ce Il francs.per ler couacotement. 1 Il alla ouvrir son secrétaire.

Soir, f 35'Sort, 3 35

j A le Moelet6 Géeérele des, Amoeees Soir Aval, 8 901 Bob, lo 40

- J'ai dit cent lianes, continua t-il.Il prit u billet de banque de cette

somme et le mit au, la table.- Dépenses dans la capitale pendant

quinze jours - toujours deux personnes- dix !'sucs par jour, cent cinquantefrancs ; plus cinquante francs pour

l'imprévu, cela nous fait deux cents

francs.

11 mit les deux billets duos la mainde o net

w gent de moi P lui deman-- Es coda-t-il.

- Oh !mon oncle, vous êtes bon, mil.le fois bon, merci !

- Ah I ah! mon gaillard, fit le vieuxgarçon en riant, tu n pauses plus à te

jeter dans la rivire, brio P

Vous m'avez rendu l'espoir, mononcle.- A la bonne heure. Alorbleu ! ton

mariage suivra le mien de prés, j'en suisconvaincu.

L physionomie du jeune homme â é.claie

a d'on sourire.- Et qui s ra bien surpris P reprit

le boa M. Couli.a., 'fa mère. Ah ! ah tah ! nous allons bien rire. Je te pro.

nets que nous ferona la ..as d'une

jolie façon.

Il prit le flacon d'eau de-vie et rem.plit les deux petits verres.- A ta santé, mon neveu, et à la

bonne réussite de ton entreprise !

- A votre bonheur, mon oncle, et àcelui de ma future tante !

- Voilà qui est bien dit, mon garçon.

.lis échuugérent uae poignée de mains heure. Comme le temps lui parut long !

et es séparérenL Enfin, un pas plus léger fit crier le sabiraraltre Victorit àL

'

.e jour commença p une allée et une voix bien connued'Aurore aux doigtsVerdier montra à s l

de'rose, + comme disaient Ire vieuxpoètes, son visage rasséréné et réjoui.

Xi

t®19Bai:

comme d'habitude devant la maison deM. Larivière. Toutes les fenêtres étaientfermées. ll s'adossa dans l'angle d'unmur et Rendit. ll croyait à chaquelents voir app.,sitre la belle jeune fille;mais la fenêtre oc s'ouvrit point.La nuit élaitvenue. 11 quitta son poste

d'observation et se glissa le long de l

ll attendit encore

une

ehaie du jardin

demanda :- Etea.vous là ?- Oui, répondit Victor.Elle monta sur le banc, lui sur une

grosse pierre gnil avait roulée 'tout

L'enlèvement. contre la hase. Elle tendit sa main. Lejeune homme I. prit, elle était brh.

- 01,n mole a cent fois raisou, se hante ; Il la couvrit de baisers-

disait Victor Verdier, leseul moyen d'é- - J'ai pleuré toute la journée, dit

vitro le malheur dont nous sommes me-'s, Céline et aloi, c est de partir

ensemble ; je m'étonne que cette idée

s

soit pas venue. Mais le voudra-t elle? S'refair .!.ai, c'est une actiongrave! Il la faut, p...lent, il le faut,sans cela... Oui, elle se laissera cav.

elle consentira. L'amour eslfortt, cil doit être triomphant. hi. Luri-,lére sera furieux, qu importe! C'est luiqui l'aura voulu.

11 attendit avec use impatience fébrilel'heure de son rendez.vous avec la jeunefille.

A sis beuras, il sortit de chez lui etse dirigea du côté de l'hôpital. Il passa

Céline. Je me suis jetée aux genoux demon pére, je l'ai supplié, il n'a rienvoulu entendre. Je ne sais ce qui s'estpassé entre lui et ma mère, mais je uepeux Plus compter sur ... appui : elleaussi est

contre

met. Ah ! mou ami,que dois-je faire t Conseillez.mois

- le vais vous faire une. proposition,ma Céline; nous sommes sauvés si vousI vrcepIPZ.

EsFCe possible P Oh I dites, diteamoi vile.., De quoi âagit-il?

- Il faut me suivre, Céline, parlonsensemble, celle nuit à l'instant même;nous i ro à Paris.

- Ah ! Victor, que méconseillez.vous !

- Quoi ! hésiteriezvous P- C mmeut cette idée a-Lelle pu vousunirà vous, qui m'aimez? Fuir aveu

vous, quitter ma mère ! Jamais, jamaisje neferai cala! Jesais hie. malben-

use, sous doute, mais si mon msosousre, rien lie trouble le repos

de ue

conscience, vous voulez que ajoute lahauteà mo. malheur!

Je comprends, répliqua Victorsourdement, vous préférez obéje à votrepère, devenir la femme d'un aulne.Vous avez raison, il est riche, loi, et jesuis pauvre, moi. A côte de la fortune,que vaut mon amour? Rien. Pourquoine me dites'vous pas : Je croyais t'ai-mer, je me trompais... + Ce serait aussifacile

La

j.eune

511. poussa m1 sourd gémis-

sement.- Mon Dieu, mou Dieu ! murmura.

t.elle.Pourquoi donc viiovou, pleuré

toute n journée P cp neles l-Il aveevéhémence; ce n t certes pas parcequ'on veut n séparer, puisque vouaae voulez rien faire pour vous conserverà moi. Vous me demandez de vous direce que vous faire ; je vous le dis,et vous me répondez : Non Quelle Irai..te avez-vous 1 Celle d'attirer e vus lebidets de quelques personnes. Que diraitle monde 1 Cela vous arrête.

Ea1Le Bleuovues..

lia .uin d demain).

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

m. r :qyl ' - _

Art. 1". - Les délibéraoi ans de la indication prononcée à son profit au centigrade: lier, - et, de par la loi Grammont, c'est main sur les ouvertures du groupe deCooimbaie. municipale, en date des 4, prix de 16,050 Pr. outre les clauses du

Thervnomltren, , iq' 2

I méine sa acte méritoire, C!:u cq, ce vue de reo,uolitimr l'ancien.l 'axsmum au10 et 1!t novembre 1874, celativcs à l'é- i cahier des chm'g,s et lui donne tout a

10 8rectimt d'une statue de Sainte-Germaine

sur In place Saint Genrges, août euprer-tés. M. le Maire de Toulouse est invitéà assurer, dans le plus bref délai Il E-sible, l'esécutiou de la présente délibé-

atio. même Par vol de s devantle conseil d'Etat.

< Art. 2. - Les constructions com-menrées sur la Place Saint Geor 8 es ssont démolies ci lu plats rétablie lotisson premior état. crédit de 500 fr.est, à cet effet, collet à eM. le Mairesur les fonds libres.

Vu la loi do 18 juillet 1837, articles,9et 20 ;

< Considérant que, par suite des déR-loi. Lio de la Commission municipaledes 10

etet f0 novembre 9874, revêtues

de 1,"Iroattoit préfectorale leu 18 ditmême Dis re novembre et 2G «tara1875 la ville de 'Toulouse a Pris à

du Comité des sonscrr curapanel'érection d'un emeument i Sd'.

Germaine,desdes engagements suivis

osé-

pice ; que ledit C a tr occupéI'sie ms

nplacement accordé, a traité avec desentrepreneurs et fait exécuter des tra-

vaux qui se c teeueo et, ln'en mémentsua accords intervenus ; qu'en cet état,

alors que les choses ne sont Plus en-

tières, le Conseil municipal n âvai1 pasle droit de statuer a., la validité de

entions haut la ville et les sous-

hors et de rapporter des délibératien.

devenues ires et qui sont

l'aoré euvertu

rtu

des

des aprrubatiuua de1'aututnritité

aupdriqu'e ;

rt Considérant qu'eut evéca art La dé-soinu des lieue exéi:u par lesousoins et aux frais du Crémé des x

Ucript m, oint que le rF,tablissenienl.dein place Saint-Georges dans son étalprimitif, la même délibération rb 14mai 1875 prescrit use vote d,, fait etaggrave ainsi l'eacés de pouvoir ris 1.faut défia de la dispos1Lien de l'uel,ol.premier de la résolution adoptée

< Considérant d'ailleurs que tous lessaoula invoqués par le Conseil munici-

pot portent sur des question de pro-Teiélé, de prescription, d'inalii.sbilité,

de çapp'cité civile qui échappent à lacompétence adminrstnlivr,

ArrêteArt. 1". - L'approbaLims est refs-

sée à la délibération sus-visée du Con-

aeil municipal de Toulouse, en date du14 mai 1875.

Sel. 2. - M. le Maire de Toutt il'rgé de l'exêctiti)Éi du Présent

arrêté

-l'ait à Tout lune, le 2 joie 1875Signé Baron cru Sauaasvos.

M 1 I 1 . t l d d 1 la lettre tl'.ier Vté 1 Pré, .éd É

s', i

l r y s1ll',.ai en d une co lai qui ei le

mandat de vérifier s'il y p lien,pour le Cons,.r1, de se pourvoir -airscette décision.

M. le Marre répond que la demandede M. Doportal, portant sir un point

m, Il ,, 'ord do por 1.itt iv

peutadélibérerrduos 1. sesceI onso

actuelle ; nui, que l'a ffaire pouvantêtre régolié,, inlrodmte cilla uneséance

ultérireeme

ure où elle s rait museà l'ordre da jour, le Conseil aurait alorsà pervibre nnc décision.

M. [lac dit que le renvoi à une com-mission semble Alen une suite naturelle

de la c «muni alios qui vient d'êtresfaite au Conseil. Il est

violerles séantes xtmordiosires onseilne peut délibérer que sur les a1P;iiresportées à l'ordre Il jour ; ails celle,est eictimr ne concerne pas les inlrodue-tions on les co nmunicutions qui éma-.ent de il Il s'agitpas Jailleuramais

side délibérer aujaurd hmmp Iemcnt de nommerm@me, une

com ucra.M..S

r,i.

L'arrêté de M. le Pré.Pet, dont il vont d'être donné ]amure,termine statutivamant l'affaire sur la.quelle il statue - Lu demande de M.Doportal relative à l'uaam st du pointDons

Ilir sr nr eourvoi est possibletit, éot ne proposition tout à

faitnouvellele,

émanant d'on membre daConseil, et par conséquent De pouvantne produire en dehors d'une eession dedroit.

M. Doportal insiste, et rappelle qu'àe, précédente séance un

sans té

a re vuyédifficul à une or n si l'exa-

eu de la lettre de M. le Préfet rela-

tive aux droits de voirie.NI. Ebelot. - Il ne faudrait pas faire

de confusion entre deus situations bien

diférente.. Pour ce qui r narraitles droits de vo M. le Préfet ne

ort,refusait Pas ""P",ver la dérrxron duConseil ; il an bornait

àtaire quelques

observations qu'il fallait bien examiner,et renvoyer pour cela à la commissionqui existait déjà et qui demeurait estsre.Mais au,jourd'h ui le Préfet refuse d'approuver la délibération prise Il snjelde

do

statice de Ste-Germaine, il n aplus sur ,e point d'affaire pendante.sa.s doute le Conseil aura à examiners'il veut sri pourvoie ; m 'est véei-telle ment là une affaire tout à fait rira'pelle qni devra donner lieu à une pro-poeitlnn spécial«, et l'observation fontd'abord présentée par M. le Maire esttout à Poil fondée.

tin aident est clos.

- M. Deloitme annonce au Conseilqu'aujourd'hui a eu lieu devant le Tri-

bunal civil la vente du terrain eppacte..a etau sieur Ourles et que le Conseil

a déjà jugé nécessaire à la ville pourle prolongement iln bon levs'd Lasero-ses. L'adjudication a er lieu au prix de

1fi,0:i0 te. au pn,lit de M. Jean Ilugou.c qui s'est réservé d'élire command.

Il demande eu .D. séquence si le Ci'.-aeil autorise M. le iMaire à traiter avecM. fiugnuneve Ira., faire faire air profitde la ville l'élection de

omasd qui

ta rendra rn nétaire del'Immnnbte9

P Ph r ruestion saut la aurenc é e de d mt.

Le Conseil autorise M. le Maire a acserte, l'élection de emmam: que lesieur IL tg... c offre de faire nu prof.de la ville de Toulouse à sufte de l'ad-

pouvoirs néressarres.

(La avaéEe d demain).

secoué ries smancns no -Lors«.

Samede, 10 gain 1875.

Ceurs de Physique, à 2 heures du soir.Professeur M. üaconv.

Sujet du Cours : De ta vision sim-ple.

On a arrêté le nommé C.:., âgé de 17ans, né à Cumpiégne, pourvoi de 150francs au préjudice de son patron.

Le bruit avait court, que les jeunesgens de l'an e de Motet et ceux dufaubourg Saint-Michel s'étaient donné,rendez.vous jeudi soir an quartier deCroixire de e pour se battre. U. 'u-

e de police accompagné drubrigadier de sergents de ville,s'esl

de

ra.-do sur les lieux u que quatre gon.darmes,mais

rienn lee sést produit. Le.

sergents de ville dirigés par un briga-dier, ont ensuite fait ..e botte' auxquartiers du Pont des Demoiselles, dela Cùte-Pavée, Guid emérp, de Luppéde 'Terre.Cabale et aux environs de laOnce. Jusqu'à 5 heures I/O du matin,aucun rassemblement u'a été constaté,

Mlle Céline Chaumant est l'artistele par s, cllen , parfois%,^ut-pistole

Ciretrop pa iviesue pour des ye deprovince ! Cas mots soulignés, la mo-bihté de il physionomie, l'esprit pro-

digne dans le moindre geste, nue or-eillense science des sou'-entendus,

de petites muses provnquames et char.mantes, tout cela et bleu d'autres chosesencore caractérisent le jeu et le talentde Mile Chaumant. Ce talent est esses-liellemeot original : c'est cherché, f

vous voules, mais c'est trouvé. C'est derés-l'art au pétri pied, mais un art tvor

réelet indiscutable. Il fondrait aune habileté de plume bien rare, etque nous sommes loin de posséder, pourdonner u.e idée complète de Mlle Chau-mont : De évité, elle us mb rasebeaucoup plus que le premier c.. aé!d 11 L elle. il t tedire que allie Ag interprétant Cire'..Il 1 li a ,ce b t { t

1. loi !I I, t qnette pl d e rg

oanmrn.nie la t g d ml

t dé, " ndre Mlle Ch r t1 ot de ris IAntagraphe,j'u ion bl

nos snob .tL féal rêvée, et pourtante et tc ; ou bi'a e

eendossant le co fume dun

gum, et arcnmulant pan tant une heurefout ce que ce type peut fournir demalice, d'eej uuement, de gvmmeeiee,I ,nounous boas o manu.rM s. Voyer.,cre dllle Ghaumonl dans Modulais

«Itend Monsieur, un, femme ventaille etlégitime qui vaut avoir, chez sari ri,les mêmes Aroits que... l'autre. Quelesprit il faut avoir pour faire acceptern publ ro celle attente [utero sable!.!

dllle CI-mont remplit la scène à elleselle. Dora le Wugen des Do s,uve a

quelle maties l'artiste iranst'oemée ve

charmante pensionnaire, n us dit tortce qui s'apprend à la pension et a tossi

! Mllenom ceChaumont fuiiillé seâ

rrélenesd Pa

omme nminutieux ouvrier farcit d'an ivoire pré-

' x. Ce sont des détails à l'i'Bnt ; etpli , tout parle si éloquemment chezMil, Clwnnroni, ses yeux, sa bouch

es d ngts surtout qui ontt..t

un lengage tinnus seEhbien donnons qu'une

idée bien pAle du talenl le Mlle Chou.ont.. Cv ri est rien! plas fort que ç. I

eateru U . me dit l'excellent chan.leur de chsuuonnettes, M. Deschamps,

r des artistes'ni

accompagnentMlle Chaument, fort bien entourée d'ail-leurs. Parmi ces artistes, devions px-

us avons revu des ligne', deonnnissaoeo sympathiques : Cnreaglia,n péril noble d'une aoeeeclin. parfaite

et Mme Bremens, nue des charmantesfilles de cet excellent henry Meuneer.

Cette troupe des ;Variétés, de Parisu,inaugure, parait-il, use a Lson d'été, a

Ihéltre do Capitale. La direction quireste en fonctions ja'que' au mois de

nec' un orielsePtembre prépare, Persecompte, an, série 'il ,prêscntati..a

sautés Parisiennes en voguedes nauvter, le Tour duainsi : L. Brûle, ,e etctc.

ormes en 80 )aura, .

.Hais De x.111.0ae

MARCHE AUX COCONSDu 18 jura 1875.

r.e i:inocn.La première q.alité 5 fr.._La d

peuxième qualité, 4 fr. 30

L,'

lquuliqualité, 4 le. .

Les quaGtéaprune ode fr. 50Plus escle d'une prime de

25 à 50centimes

lekilo,

suivant la qua-lité.

OBSERVATIONS METE0ROLOGIQIJES

Dnsrsa a i oafsavarmae

es 17 Juin -- 16 Juln 1675

-Doseanugenaau

AirDn 49a4f.

coui

Pe. 741,8 5l',5 noua, 000 faible.455 s. 706,3 13',4 id. OSO modé.7sm. 747.2 15",(1 . NOS te,.fai.71 tf

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t !oc,

I

I NO fa'r f f ible.70s m. ,!io raidé.+Iu

Mrmm. Celermrtsntvauta t ,

Quantité de pluie tombée dans lajournée du 17, 0--,6.

d ic 1 I L felte,0

-fat t le vie

arasO, Al. iv hl odeÛe la tDe I8 J ' usri

fherm. centigr. m m. d'hierid clin. delanuil, I t +. a

nsnsnu. WROSéuun, érar Do duc. 1-s.Y h. m. U-,751 4 nuag. 0 modéré.midi. 0-,757 6 id. 0 as. tort.

Le baromètre remonte lentement, il adépassé variable.

Le temps est user, beau, l'air pur,Il est tmnbé hier duos la soirée, prés

de1 millimètre de pluie.midiTempérature à

DÉPARTEMENTS

Rue dépêche d'Aix annonce la mortde Ai. Burély, allie. procureur généralsous Louis-Philippe. C'était un ami par-ticulier de M. Thiers, fort original dureste, pour an pas dire maniaque. Ilvoit dais soi robinet de travail u,

cheval de, bois sur lequel il se jaresté

pour recevoir s msitee. 11 était resté

très-dévoué à lu famille d'Oeléana et ililo.itvait

P.le plus

dire que eau miThiersga p grand tort de .

Lire républicain cor ses v x jo

ged

ures.

Ils r i

evriantpas

sm s ideotié e

Ue llr1iu ment, ev nt e Nie" sId Réablique, revenant

dde Nice,

se.

so Burély

élue 6 la gare le Marseille M. él"sil,assis allieDo b , q de vieux

parade. IlF Dosne qui aime à plui.canter, fit à lao'u procureur génénlde grands omplimenls sur sa bonnemine : - Vraiment, mon cher mon.

ur Burély, lui dit-,lie, vous rajeu-ur

Notez que M. Burély avait quatre.vingt-huit ans ! !

A côté du cheval de bois qui était

dors son cabinet, se trouvait un v'

fusil à pierre qui faisait l'étonn¢mentdes Visiteurs.

- C'est le fusil de Lafayetle, disait

M Brrél lent, le L t tle I

l r B j! o t I duo) d

.a I l 11 I I d.ai 1

Q vi I

:é t n II I' rag'strai le

pelait I. .ti phistesDé, et s i à A'

-i- n', o osêtes

réJ

rolntro d J l l t e n Jeune , rn.t a 1 J Il s

1i, e,

s r s d.rneree U IL unieétait devenu dure'uni lé t gômutepour son t g. et Dette i i tép rgrat de p, l l q i qu1 1 t g t II

"ait1

t.f L t r p né le G 11d'.:

nue dru plus c, rail i hies d s r.ays,a'0., Pou malle un gui-s vnlmc 1 s eulidcité, de luutesocte queper brr'mettait l'art de M. Tlmrs. l dsc

il eomt pineauoual gênent, crmi n il

redoutait beaucp las ,n lsnn vis doisil ane voulaitdue dcossà sen sorts

lot.,que aodrol ouu soie esti S'a

11

mmcommandait au doigt

et

t à l'oui.o 5inré aérait sourde-muette, s

let de chambre, so .cher, son uintendont, suaanmmeli r,luu, cUrieal soprds-uets.

- Comme eela, disait-il, Dosaura pas ce loi e pars chez il permi" g t' t d

1 d d M Mig l M Ilt à t ble t 1 I

à la d'hiver ailliolt I Il,-ali-v Nice. Il avait co u ires-mli r,le

ment p. évos4Poradolet VVeiuv, gmrndces deux roemaliess oc en ucupait

orchaire à lu Facrrté des lettres d'Ai s.

Dons le temps, M. Dorely plaida enséparation col ire sa film are guise n..ait Lise, et comme on loi denmodaituu jour des nuuveiles du procès, il fit

calrmboue Joli,, qui égaya l'art leonde judiciaire : adhue

sui,

judice fis

est.A. Joli, M. Barris, malgré ses ea-

enlricrtés vo IUes et involontaires,était un Port honnête homme, et lespauvres de la ville d'Aix perlent en luiai,pe bienfaiteur dont la générosité étaitproverbialr.

Le directeur génén des dois eslent d'appeler II vide en g.ira rti s lebd Huireit do une vi,re,

àl'effet

td' le

I¢paiemont

ent d'une nom-me de 15,000 fr., montant des Icdrsd'enregistrement du traité par lequel lacommune accorde pour trois ans 600,000fr. da subvention a col im peevnurio.

-Un ancien employé de l'ooeeei,eéaem-ent acgsitlé par la cour d'axriii,, a

été condamné nier, coeeoclicnnellemenyà deux mois de prison, pour faux ceécriture.

Marseille, 17 juin.C'est le chat!...Oui, c'est nn petit chat qui a Failli,

il y a quelques jours, o casionace degraves accidents doua suer eue du quar-

r Saisl- Lam bert. Mais b:ttan .nosusd'ajouter, à la décharge de ce chat,qu'il sursit pas commencé le pre-

mVoici, nu aoephrs, dans leur simpleet véridique expression, omment leschoses se sont passée:

Un cheval attelé à on charreton de.vaut la porte d'une m on do quartierquartier

La situation, qui était la plusdu monde, devait malheureuse'

ment être aggravée et presque lampe..mise par une espièglerie d'enfant.

Jaloux sana doute du calme et de ladouce quiétude avec lesquels la pauvrehèle dévorait à ballas delta a.. avoine,

un trop turbulent enfant sensu defourrer s neulement au fond) de lag

musette.... un petit cbat. Tant. qu'il ysoude l'avoine, chat n tint bisous tint ble

grain, le cheval conttoua àma.an-

ger.

Mais il y a ana fin à tout. Quandtl y eut plus d'avoine, vint le tour duchat, qui reçut de la part du coursierun ,collet coup de dents, auquel ilPondit est. meut par un terribleblecoup de La

ifi'eid'e

Dés lors, lu confusion fut à sou comble. Le cheval partit à fond de train,cherchant trains,. dans le fond de smusette sri restant d'avoine et ne re-

vint n retour vue des c us dee

griffe du malheureuâ chat, sur Îa dé-fene.prés de la caseras de Stnl-V

p

des rit, le cheval P. être ."ôtérvet.par r des

militaîles

resdans

s sa course verligineuse. Là tout s'est expliqué. Lesdeux combattants ont été séparés, et se

seraient certainement adressé des excu-s réciproques si, comme ou temps du

hou Lafoaeaiue, leu bêtes avais t puparler. (Petit Rlares,tlais).

Saint-Sébastien, le 14 juinMalgré tous leurs efforts, les carlistes

.e sont pas encore parvenus à entamerla ligne l'armée par les troupes régu.lié cru enter SainbSébaslien et la frondé.

. Leurs attaques taribondes et mufti.pliées et. sont rompues centre la téna-cité de l'armée, et à l'heure actuelletoute crainte sérieuse à l'endroit de lien.Delta en de Passages semble avoir cem-plétement disparu.

11 y a trois jours, des forces considé-rables, venant de Saetiagomendi, vo.tarrivées à Oyarzun avec de l'artillerie .0n

rn que leur Tenue avait pour bjetl'attaque de Bmteria mais il n'en étaitrien, car, dés le lendemain de leur .,ri-vée, ces forces sont reparties pour An-donin, se dirigeant ensuite sur la Bis-raye.

Cependant, dans in nutqu! précédéce départ de x b ll

e

o listes onttap I . . l o t td A.

L f t ! t 1rends, t 1 t p x iii L

1 j. t tA` ibi Lr le.u ..lé i de deux morts al quel

I L d f eGcetwns do o n td 1 'bel t p. é' activement, srih d t d brigadiers Sab,W. etA - At:omnelda il, de S. L

B, t ne redoutep "t

b t cil batailler 810 t de, tL e plot et

l'ermitage

de Gordloto, autre outrage ou orne lot o

p' p 1 t Uans lie rmtagé ici 'duc dans les maiso rs e

ors, un a placé des compagmde hasseurs.

DB la orna Ils camm inicat uns entrerouie ville et Fontar'abieisnnt déGoitive.

t l bé Il oc ste

c"ible te

r "

Ii, Jaie 1t .bel n v more,,ïisey apour les chev.,ox elles pet...

etreinsn lies.peatio.trle. Taos lesjeu rs, du i:eatu, iï ci dan voya-goars qui préfèrent i les fatigues d'untrajet dans la mpvmgse aux aooffrancesdo 1011 de ivre.

ilien LA t, braque les farts seront gar-a A'arti llerie, les carlistes e puer-

ont plus tenir à Urcabe ni à Curiu-chusgne[a et alors, la e 'cotation par la

t royy. 1c pourra elle r prisO o figure pas, à dt 1 1 le

b 1 t p d [ ici p' Il réussit, de,d. i a t I l s t com-

na-bien les ppoubbous do tualaem chxarduaGdes

lpéeuusontsatisfailled lopés. La confiance est uu peu ra-lle do

re dans les asprits et a remplacél'abattement causé par l'évacuationd'Astlgarraga.

On rit que le gouvernement A prisdes dispositions énergiyuns contre lecarlisme et parait bien décidé à pous-ser la guerre avec une grande vigueurjusqu'à uae pacification compléLe desprovinces.

VERSAILLES-PARISCorrespondance Part cul ér

Ver ll s 17 joie 1875Drus les cercles e l g h e

carde pas fecur dire f de pas ce.tarder

lla

didissolution

eou votera, au besoin,

sous débat, le budget et la loi sur lapresse, et qu'on or livrera de sérieusebatadlo que sur 1. question du scrutinde liste. La gauche cu linue ul cfiirmer,

on, iquenee, que la dissolution vise de-

rs nécessairement cettea,,,,.Je vols a i déjà dit «à droite Et9

.être dans le groupe des députés ttro an croit

p, ,qurs à tous les partis, u perqu'il soit pnotion de tu terminercet été, lors roue que ta gauche ti.bat, sa carpdo a taus voter sans dé.bat, , duos s

cesce cas' on

pot "Aite

crc suh u à voir les adversaires àladissolssolutiov

immédiate u'abachor àprolc ngee eux.mêmes les discussions.

E. température exercera niés.peobahle-ment uae vil uence décisive sur la ques-tion. S'il fuit chaud an mois de juillet,il y a tout lieu de supposer que laChambre se séparera d'ici à un mors,'prés avoir voté le budget, e ajour-.Dotà sel session d'hiver le compté.

Salut-Lsmbret, avait été débridé, et mort de ses travaux.nue musette (sac en toile dans lequel La hausse de la Bourse, sujoued'hui,

met de l'avoine pour lesleva,

s) eataüribuée surtout à l'idée que.la dis-cité1 t suint ajournée à l'a nnéelui avait été aden de torére loue. Pre

a nourriture habi.hai Dot i

fée esgrmée Par les e.lre-prendre-

uTl ul s9 pûta1r s ndlcdaeu e, y grutstuDé

fi,"il M.

levDéb

brider un cheval, par ces temps de h g adroit co avec plusieurs dede forte chaleur, et lui danserbu uerre. à s

a

eoentre de li corbeille.meneau. est. faire acte de fion

rchai Le centre droit doit délibérer de-r.

ne majorité. Il n est pas probuhlo qu ilsuit pris d'ici à quelque temps de réso-luli.n définitive à cet égard. Les pour-parlers entamés punissent plutôt srijalon planté en rue d'une entame fu-lnre qu'avec l'espoir d'un résultat im

médiat.La présence de certaines pièces dans

le dossier amis par le ministère de lajustice à la questure sur les instancesde la commission d'enquête pour l'élec-tion de la Nièvre, produit duos lese

es une émotioncar des parlementairtrecible, attendu que ces pitres, outre

qii elles sont e*,Il,D.snt étrangères àla politique, livrent gratuitement à lamalignité publique des noms fort hono-

rables et fort honorés.

Il est vrai que la commission d'en-quête a décidé aujourd'hui que ces pré'

crées du dossier etces seraient rut queIe8 pièces P9U seraient

--les

mais cetteapport S avary ,neaoeadécision vient un peu tard, lorsque de-

puis trois jours tous les députés ont pu

eu prendre connaissance. Bien des gens-inocent à trouver aujourd'hui queM Tailhasd avait pas eu tort de refu-

ser la communication du dossier.Je dois ajouter, du reste, que sur le

M.i Dufaure ID'a jamais songél1

191,

n-féremmentque

jamaisprédécesseur tgii il

a été le premier à déplorer nue comnU.aicaLion qui ne peut être que le céaul-

tat d'ove inadvertance ou d'un maen-tendu des plus cegretmbles,

On ne croit pas que M. Dufaure don-suile à l'intention etc il él'eit de pro-

poser nue loi coutre le duel.Le rapprochnmeut effec.0sé antre la

Bassin et l'Angleterre est -.sidérécomme très-noi mont ,a,, seulementau pli rit de vue de la paix de l'Europe,

au point te vue du main-tien du aloi. que e Orvont.

La presse et le gg encuvent, en Al-

lemagne, saut par

cet événement.Les journaux russes et anglais échu n-

gent actuellement des assurances ami.cales, sympathiques, ce qui ne s'ôtai t je-m is plus vu depuis la guerre de Criuvée. ._.._....,.

Paris, le 17 juin 1875.L'émotion est plus grande qu'on ne

1 rt d I rangs A l'Université àt t, f e ,'l ;i 1'11 t

I.. op. 1 1 I., collet t... g 1

O t l d I t I 1 1 1

I s «il isic II à ll 1 I -_.1

11 d li t t1 ,,Dbtel 1 tu

Etur

I o,iéme tel ire, et ton dit que A{ère c n

d "'il picot I t p le I b' A

et blU la agitationd t

échect 1 d.

lent les p tisons de lie libertélei ig

erote.t riper sur.

Vous t eut à cet égardl

Le el cele public oreille

p de lu liberté q pil dénos A'ouvrie des cors et des la,ui

tés libres. J'estime que deux eu troislisse,« . t rat se fonderontetdb

et que In ) f t é Ici a legoût d'a ndo le d

Emb pro

ea idesjours prendra ses grades aptes des

ui rnieairas, c de eq diseaca irisés lin

les les

penner d'un iexa os spécial braggau'I'rouera entrer dans les coules joer-dun,ié godes en location ont toujoursdu ré accès de plein piedtocill

Niaet-il ' i'alfaira a réveillé d'as-' es diaisi..s duos les opina, et

elle va surexciter plus que jamais lespvrtisans de It

gé rs rI,Ique qui

mença p ppour la c q il t f d t

On ne,tain J ô J q àq et p tle clergé aura à se ln or le lu liberté fontil s'agit, s'il est v si qu'il dmvent s'or-ganises à

partsco

la présidence deSi. LILMé une faculté die emenlsupérieur, dans laquelle on

pp

..ourla pce.

Cesser à l'abri de la loi tontes les endur-es dont Mgr Uupanloup a parlé dans

ses deux derniers rlrscours.Voilà la commission des 'Crante eu

train : olle a oeomencé l'examen de laloi électorale, plntét décidé que labase de ses délibérations serait la loi surl'électoeut volée l'année dernière, ceqni épargne à da discussion en séancepublique un tour de lecture. Le momentculmnant de la

n oseen arène et du

déc ihermeot que l'on prévoit, en seraov d'a ministres.l'a511.

set et 11,1,,r' se rendront«semble

e levaMM.

invitation.la

commission,à la pree

o Lusln de sonôe -droit éviter r aund saisi

de li elle i ode'ailrill Ensuite

fil cce contact

darronger de façon à isoler M. Dufauredo conflit, de fapan à Mien à M. Boffli

es erDon sit 10

mondeà

part. Mbais toutes

les .

es i monde sri bise ici ctrs loi inexorable. Si.

Dofo

ufaureeet Si,dl.dEuff^L

ontc môme maoiérr de vol, surle scrutin deliste et le scrutin dar-scrutin d

tué-difficile dement sl sera«dissed'ailleursbriser tunes unedion si «forma

à nature deschoses

s et aux outden

nts politiques des deuxministres.

.

On a fait dgulemeut du sondage diesl'Assmnblée puur ev rendre I lmpte desprobubflités du vote ana!. On persistetoujours à Penser qua la majorde estincertaine et par conséquent que lapartie n'est pas

peidio.

Quarante dé-pilés do centre gauche persistent dune pp ,les idées que représentait M. Thiers en

i

ses droits les pins esseutiela, lamer ce1873 : il en 1-te pas davantage aloi les conservaoeurs religieux ou po-pour assurer la défaite de scrutin de litiques qni l'annuleraient par anlipa-Ifste. Il est donc à prévoir que la lette [hie poar la société civile, pour les i -ses des pluss d,j'allai dir aha- tér@t mderne qti il pesonnifie. Ni,elnées, et que des deux cillé, on cher- les uns ni les autres ne ous lque, souscher. des votants à force de promesses la république comme aura la aumon,et d'engagements. chie, l'état existe avec le même cacao.

Mainte ne t i me te à té avecion rater les mêmes Peéeogalises lesrum

s

d aréchal sur doits cria hénables C'est tonmuranotoles,paella e les p nh cunf_i- 1 c yrit y a de pertes-la s,twat F 'est ceqr ,

Railscelle

à Telles i M L, y ie le pré ue t et de ai uevle r.rident de la II rubliy.1 n interviendra L hl 1 représente les traditions net'.!pas dans le débat par rote de message. Indes, les grands Intérêts civils, et ce

D'une pareille intervention, ni le prési=dent, ni le ministère ue se soleil, et,j'ajmita qii elle ne produirait probable-ment pas le résultat qri on en voudraittirer.

Plasiaurs pré nan rot mis ee 'vonttile noie du prima de dlelternich pourremplacer M. le comte App.Dyo commeambassadeur d'Autriche - Iloogrie à

ince disent bon-mqriLes amis d princerénérale dP qte""'

e b' ohti deusise g

1fl71 ai, Iulcabinet de Vienn

ne Ppermet pas, vies mentir aux ose situ''de toute sa vie, d'accepter une s lua-tien

diplomatique active, et j'ajoute quoM le comte At leosay est fort éloignéLoi

môme de vouloir lever les scrupulesdu prince Richard.

On a reoarqué, il est vrai, que leprince de iMetlernich s, cette année,poar la premiers fois depuis qu'il a ré-

ons d'ambassadeur, re-signé ses fonctil maisdan notre mondeorsP

enM.

informF commeamiaéré si esuisGeazes, la tu-nn t et M. le duc Depersocers-ci

gsedi tr dnand. ce.la -Dits.La réunion que doit t t ,air demain le

centre droit sera décisive ; on s'enpréoccace beaucoup

oudenserle mn

gouvernemental. q proposecotre droit de s'unir avec tous les

autres groupes de la droite, y comprisLes députés de l'Appel au Peuple, pourélaborer une liste de 75 sénateurs. Lecentre droit libéral répond qu'il ne peutconsentir à porter sur celte liste desdéputés de L'extrême droite, ni des dé-Pulls de l'Appel au Peuple, les uos etles autres payant d'autre préoccupa-tion que de détruire la constitulLe. du25 février.

On voit lac, dans l'état actuel deschoses, uae neiasinn définitive peut seproduire, qui serait la Gn

dorôle poli-

tique auquel le castre droit a attachéson nom.

CHRONIQUE 0E LA QUINZAINE

DCREVUE DES DEUX-MONDES.

(Suite er fin).Une autre question bien autrement

grave., qui touche au plus profond deschoses, :'est celle qui s'agite encoreaujourd'hui môme, c'est la question d-l. collation des grades. Elle n'avait été

{ III , i' 'I v. quelque,, mois a Ilp r . r 1 , ,e laie, r lie -t été renvoyéeà I q r p , I -

t t I q tIl, lepl

iles l t 1,occt d c. 1 dl ce q d l éi e

lt. éf r I. gt. ris pourvu are.A f 1 1, qu'À gin-rl P II vagit

d . d van mn d ies.le ,ilt 0 lib - t n'.,giter les des'

t é dejeu C

t u Peut le dire,d. 1 ale t fallu se désir.leressera 6 1 lt, s 1 I rndi-r Iler d

droit 'érd I-

L. le ti I ) I. I t ,es sensl'a éd

a

pé t.ibt ft serré euI bl q ie, B

apartagé par tintlee uronlc.C'ent là ce

qu'on denapd', c'est 17 ce qui on pro-pose A' ris d m luv watts

me la letet le cou n ment

Je irl'indépendance de l'enseignementsopéeleor. Ceci, ours ne croigone, piede t e Air ,rait Don

v

allé cedou-Luble lev intsi::quellul'Ass mbléeleu mblablen ont. Elle. eésisteeaifi

l'éviquela séduisante de M.d'Orléans, elle rendra à l'église elle-mêrnn li se 'vice de lei rifusce bs pé-rilleuses responsabilités qu'eu r cordl-que pour elfe, qui

unlui se ieet pas

plus profitables qu'à la société elle.éme.l'atoni' feue ?Ainsi, A1h.r

d 1 dl.I IA,I n ail ruas r

et malien die arrgne rit . uérfeur,en du moins il n r.,itmq;i val, u

opte cs entspoi.r les institutionsindépeudarn[rs-I, écoles libres fnraievle qu'ell,-e roua.refait, elbs dislribue-'ent dis gratis, elles Gzeraient rlles-

méme l'étalon de l'Instrnctio1 nupé-e11 n aient pas scnlrment

lie Iilirulé des amélhnAes a edifiq riesu littéraires, allia eiti iraient Ira juges

de la mes ire de capacité publique !Q:i e, résoli.ait-il 7 Ou bleu la er ueé-gnenoa scie ii ce qu'elle a été partout

systéine n été expérimenté, len des o s'abaisserait

paire degré. les étudeevos'aviliraie.,, outàe

PP é ttout

aussi péril-é Ittt trégime céle.. d

d t i g tté. q h In t.ot, qui lie.,draient 11.tat en échec ,u aolmélnt parmeure n pro ente d ent sociétés a irenoies iesprlls digérants, ayant pourdo différentes,si dire esm

II cal riredoublblo

e péril quela

pré-voyou,rc de ou.s les esrrite rchis doitécarter en I.ais.:rn[ e l

éfléuise

un droitdont il ne doit lus se laisser déPoulieiter

c

, i n«i eputr

ai

même conseu tiraà

Ôn en eprend vraimentr trop à l'aisecet sure moral, so,vent insaisissa.

blec

tés ceel cependant, qui s'appellel'État, et qu'on s'efforce de dépouillerun

de doter de prérogatives démesurées,selon qu'on est dans l'opposition on aupouvoir. Tantôt, ce sont les républicains,Ils libéraux exclusifs qui, par défonce,

line désarmeraient l'Etat dear indisci

f

t

f

1

ï


c,.. r

1

'Il

IV

qu'an p rler 1 ppeler la hutte ton ;n

u brnil les a les légat (t1 1b les soirs qui l.s termine t Si non ne Commission des TrenteIr et 1; i 1 11 1 Ie.,b IS9lJ t f .é. t u n p collé, d r. g esl Il

p u t I du on'it 1 . I ( 1 , l p I t f I` t L I r 1 s être S4anr,dl 1G juin,mons1- é l1 1 1 ,ii, } t p i 1 t! ly dan

1

1 pé l

l t qo'on I t l i .I I I 1 1 L 1 t Ih t It d sc s ü.ccron,nLn1

i ,

t t r l I . I . , . t F L t 1 i . ,tort amis leurs Il LAI.c noprou]pasencon-,11111; 1

ai I1 1

t p I 1 i lit n1

h l l Pie sé L t _ l d dé t i . u d ment de MM Na-ie' i Lép clouas i 'tire dl q l et tient, d p? lequel le Conseilt . t

!:l>,,f 1 licou st 1 . Part . 1

t

d er la liber te qu'il r< r + .1

I pur I é I 1 Gin un d . v i i i deil

l d Elstallait

1 tuer sur tee éles-d t r p t Ce d r o i t e I hl 1 Ii t p t. il t. n lés Ies imprulences u In l'ut de l'.Iég és cou lestées a.rets00 au-

as,On t!e,

errs détoneété pif It riait d..

lapémode élu,4

caile

e sénnLO-t 11 I } I t rt 5 l l 1 ilo des r le

1 ri , g t qu'il d. t 1 n /feutre t il é a 1 i t . ibr J

lc létdP

dcosser I s l'pl. 411. Dean, NhOA, Admet propos t

'11 I.t 1 it i ,il .

. i 1 I t t1 1

1 i q Il'l oi P J s4 d naoil 1

pins i II t d nt lui nervenbr a i t psi,, a il il lot,- l t de tr,p dm.,

1'scas les ntérêts de 114 tet de I Société son, on je..

L'a Ft 1 A 1 1. n l i.La n o i r ra .t 1 l i t n i e r o n s 1or,perte,, i homme 1 ét.i I'bout l'han

"'"rda l .I 1-

11 1 d. IlF été l ilMl1. i1 aintrint t dont riétait é l' te

ar i ll

nt u t u -1 d b t y t pu l d 1 t l à peine 1 ds

del âge' p t 1 p tude x 1.t:.t 1 hi .II. d'os1 im non d'os cet il oooo j .a pée pénélra,itr fit Ilns d au'à

fats Lu oriiie croie., il allait à Vles, r mplissnnl glè errent son 1

de député, il allait à l'4cadémie, ou ildisent ait

ale,v vivacité ingérai

a long L il prenaiteéme

son tisic à (Opéra ; il y a quelques Jtout an pins, i1 publiait un

livresu

la philosophie anglui.se : n cruor ld'.ir a ul'fi poor seoir raison de celteverte vieillesse, et cegn'os peut dire deon, s de cet homme si émirent et sisédui mat', ,si quejoncris la elle, qu'il

capait dons l a société Gançlite n ,Ilopara plus grande que le jour où illa laissée vide.

11 est mort entouré de considérationet de sympathies, ne laissant aprés luique des regrets et pas moitié.

C'est qu'en effet cens exislenre quisent a L nd e été d plomc

deuil d'a plus I.1 I, dair, lie"orle de Ilé 1I L J t

liéerign., ph loin p[ r écornés, M. deoi

laIr été de I pp. I ces maincsliégt

és é qui p L. Peint tL d

.

bmrton1n

,s

nIp t I t+ qi m'

un' : I l p

deq t vingt f t

dMiill dignité cil es

aMode Démosat litait 1r. l'antre sil

clé, d, 4797 Né d'u i ,,et, qui filt

Jon "'bnolonuaiees supérieur, de p ter:mpire, et d'une m re qui tenait à lafamille de M. dm Vergences, qui était

g é, cr, 1,. é'r q u', 1

la n, 1L

I I e phâ,oi s s l t se I I , 'tauiatmri, doué i l s

,,mit a il fors mc L L hardi y t1

devait à,ci t t t qu'a air ri él -

,"o il i rrl d pas sa je ep e,1'étr ici t lois i s n i . t. a

tiqu .t 1 cté i , i t pgal' 11. olé, lp

g .svd 1011ml é

1 h doi :1 'Iln ,I m tant le lé',' t i', N d Dé

sortait coins rd, d,. 18.0 cet,1 Il

leep i , I t il beu-5 ,1

M.a 11 ( t cM Th m ieet iv ct1 bien 1hautres,

s

où à,rave I , ia fuieque g itr,il a,If sait Jans e,quia été sa prsm ivre ire eertiou pull-tlgnr t lé :t. ,airs I t rslon,dupol { 13311 ét.

idE

fat 1 bit re r

,in ces t ,n+in tin de I' ie ,r, in

x derniers temps la rége, re Lnnis-Philippe, rep.ése't t 1 e 1.niés le 1841 vi coup :LE Lt

dadéclin

6 1851 t r .canné lacrir 'lr , par le se 1 a,ra, 5I. deIlénius,t est an font toujours le meme-C'esl

sri ver t'b'rel pua, qui la nin-rehi mslir,irmelle est eertalnr-ent restée. lui féal, et qui à détint de

celle n rchi"", ne roeau e point arcré pull j p ' I ,.t 1 hi al', ",,, ..lie t Iiqu elle ilva t n, cavatpoint hésité à se rallier,

le,

l'netnne Ini avait réservé as len-

des dernières catiseroph.s unesuprême et dont rureme faveur en allantle chercher dans la retraite que l'em-pirn Ini'ivait l'Hile pour lai offrir de tua.

va (ter à la libération do territoire, à

la réparation dos malheurs que sa pré-

oyan,eav:,iI plus d'on, fris e'lunths.Après .,air rrfseé toute canliislureux premières éleetinns de l'lvsmnbiéenatinnale .L I'a mllissarle de Vienne qn^

loi nfirait M. Thiers, il s'était prêté à

être minuter des affaires étruogèersd: ns i moue il a ait ,ité

cet

,te mssion déUeare sirs e mprerrinont die

nibittoo o r par patrie

r ro=si pnur, rester et nlisa s rn m

à

t

la vieille,

mitid Ton demi-sii;cieq

. oil':.ppelall, -

ILune fois la il ait di

tige relations a autant ode la etque d x é h q i siYrit

ale t t 1 fl 1, l dver .11.1

gnité e lie Il t I isn:-Ire d es . fl ' ét é

le fil 1 1 i t II d Igt L 11pi, t. Idt h .il à tara.1 e' 1 11 . f t : Op A L 6 t I: I d! 18 Le dél x n s d le fuel

e1, IiIiI. t 1. Jf t n t tl g lf, t I ale un font d v t dé .rreeil ri- macros} a t lis a bées de I p ' I n' 1 ^r f e i 1 J I t Paris e -ait pus sppi'call x f t on-

't c L ta t 1 Il L t I I pp d nié par 11. Wallon maires qui se seront dé. 1 1, f nee W Ip 1. Il I s x ii- 1 l t il ii

risne ,et i t tons da y nia jour, qui sI mutr lit , 'Il

Ch I Fox, sur D L L -1 Ii Rappel félicite la popnl tic de la prum Igaiom do la loi invite;,a,,.unel' t I n' 1, il ,l'e e t N ,m .t d c Ime dans la mati- disposit on s Ialogu s existant ,Îles

' I é a anif`s15l l d 1849l l 1l l.i t t a q g p-8 deaoteour,

L 1 p l 1 l rl tn t,n 1 dé M. Picard cointrat cette disposition.d il IL I Il'p b19 / f blâme le en- M. L,..>,, poilait s,ulresent rn

Rili 'i h l t d bl

Pf ', 1, litt 9 I Ler les Prélnts at so us Pief-Wg 'y a

pairrois u'il n lienit bruit N Due c

P.I t 1 é. l d r t 11 de 11 d

bures 1 t'l t{ que d r oe disposition ea

i

ibi rnn re. Ilcri t P t q p n I ,agi q t mieux eue disposition géra

é t . g I y a t ', d il. 1 .rf s(cesse rc cotsolm d'apas comme,raté quu

ui permettrait aux fouet mnnatrei u I' L I I L I no ibl 1. : a t Lion major i' des p I, i r e cas de dissolutionétang lé p. 1 1 i p t 11,i,-11"' é

surqnauestion

de ri prévu de IAs buéeJ l é., t tA Il

I JIli, 75 é +t.es

M. D,I' n consent à modifier déni ceiol t N C . I al ' 1 éq t d I

amendemeai

t allier l abone

7 d .

In 't virer na linos l t 1, i f J t in't

Oncle, p e p n é h M Delhmont fart remarquer que cer

in l p é I t g té i l' et {o-il, 1 I é d S' é L à t supprimer complétement le délaiI : sé g. 1 f. 1 1,. les cru- 11mtn t La lib re.. absolue que la de sis Les préfets et sous préfets

q .II i I J Ig lk,im bli1 g ranht aux r:athuiiq on pourront ét candidats en donnant leurp r I f bl :. Il t il 7. . q ,î iciL i [ t s in ée 0.

loa

t le dé aassto¢ quinze jours aprés la pro-saJmettre toit nL r t t

tdr ff`,1, le but que se mulgul d la loi. L'orateur vendrait

courah, ce

impeendrr ssns .ff I lèn, par n pr,pn' nt 1,-s organisateurs de cette que lad:p.'ton e s'appliquât qu'auxs l te de. pa.esion de sincérité et rte 'nil'estntiou ultrunmolniae. On a crié fotetionnaires membres de l'Assemblée.érigé, Nature e sentiellement libre et osez haut qu'il s'agissait de procélerl actuelle.

verte, il se délies Isit dos excinsions I enterreroeoteivil des principes de la Les auteurs de l'amendement délia-s, d'un pessimisme découragé ;

volontiers il aurait , plutôt

connut n,Omisme aimable et rasarant qui teuiitpeut-Ptee à iie singu-lier,, fermeté d'irone voilée de pulitesse.

re, ii savait bien aussi que ce qui s'est se empli'Niée.anl pour les ant s

bief quanta loi, ce qui il devait foire, aujourd'hui à Montmartre est le fait deiii 1i devaitearréte r, et c'e.l Ini qoi quelques esprits exaltés et non pas une

écrirait in lion, dans l'intimité e . Par- rouvre notionste. La démocratie l'ran-d triplas profond nP porc S ee le It de Murie Alacoque,

'é pl q r t . tt I Il d .. )tachée par tontesl en

,eu,, } ,al ses Liib 1 pasI;nciao insuitrn--

ylus r mené à l'' rte lois idées, se tiens de la Ifev, lotion a vté Pl i p s

ss[anlCela rc oui ps iblr à anifrsta lieces ns d'un noire

I 1 . . l a loi O l i s i l s p i moment,omo V - 1 1 -

1 ; I.11,. L

e

q ' r I., a It srn ti me et profond de lail tltlm'nO !.,iv <.t ,c

1 1 .lt, i, Jé

qu'ilIihcr p t il s un L Il ri Ill a c ,i i ipl.n or, s : t ste, s

::tirait liirgrcelque, han rsavant sn tinI io I. c t p

_L11 r 11 hyj

eisot ins la aéré u lé d'on iiedilss,

L, rsn,aiutrn,nt qu'us celle

1, s 1 I .I 1 Êlel t. 1 - J'lu L t . Ino,il

Canx qui dé t u zél. I

P u,anit,et s r qu'il y att I. It

lin,air,tId o, 1 ci luillz puJér,e an

t l t il ,raiL l iéplibPl,- pp ir I à lhen-

eq k l i d I dl'France

et

i rI,brté. Ni,, Si le 111>11i usat n

i [.,ûétmt,ri 'oor par,,un p'.1 t. t n I bé, I t pie la

qu'il er té I unié

.vol et an .crue uxrouis t q 1 ecconapagnejusq ie dans lamort.

L ,alaz lac,

L Echo l ` i t des effort' lela réoiir t de 1,1. q, pour Iec ln.r

"cri,te i 24

1.

rid t q tica l t a_t 1 t q

cette t r i C eue p .hA I n., 1 I. m t p.

"Fi'pu iq ule', iredoit aonsttut:o,u,iirait dors la coalition qu'un essaye

de f., lier.

e. fumece: qoi llgarde 'idtisren-xamtequinze

tnoteurs,llesélection tltus

nels I libéraux aients è

à gag à

. o atté deulr. 1 1s 'i'é24 mit ils sot tout à y ,,rire. Ilsdm eue leu voix et n'obtiendraientPl., eI le de tous s de alliés

1

il exebr.mit Ies gauches de la liste, et s'en

escluraient plus sùrement eux né.

mes.. Quant aux élea;tions géu su, ils

savent aussi h quai 'eu,,aie

ir sur lesens et Ies résultats éventuels de l'ac-cord gdon lene propose, Si les libéraux

du centre droit étaient menacés d'uninstillés, ce serait a surémcnt regrelLt-

hie, et pour eux, CI pour les idées et

les princiers gn'rls repré,eutest et qui

out Ims antres. Mais e maintien de laliberté nt do région, parirmentoire leurslacisserait l'espoir A'nne rcvanche, que

e dr césarisme.(ils Plalrentre

iai rev i,tnirS'ils étamplacés pro les rnpréten-

tetants modérés des gauch s, il leur,'rait l'avenir; s'ils étaient r molaeéspar Ies bonapartistes qui y visent et

n. t t l Il p

b.. t tooéJ1

t tudii

mist imé I

q ' r I g nt s: ri Ar s . i , l'a p rle-e, ,hors, nstitatronnels nui( a

par lé t en 1871 ; au 2h L f Pour -aeffifir I Ouverture., do, ,ai ,,o .187 1 q t t ' t 1 I I g p i C l . q i 1 u d l il,n: nous atist'ait pas sbsulument,

ati:fa il la ri p couloir, 'I a amp gne él ctor le tout lit cause deu c, r mous a te t il laf t P' siaen au aisaut s .,,Innit .vol 51. Thiers la délivra men dn l'absolutisme recueillerait tout lu pro- vraie solution, et la plus simple, était

' ésait 1% n,n' de s etpa . Cvomm 1, col ronnemnnL d'on, carnée,ante les événements ont pn loterromprogoelgnefois sans l'altérer.

fit. celle-ciA propos de l'engnCle mie l'élection Choque faculté, devait lire libre de

de M. da Iimrgoing, le Cnnabtuthionnet cmd'érer Ies diplômes: à l'usage, lesl'ait remarquer qu'une enquête qoi, di lomis aurairut montré In valeur desp

M. de Démusat a dailleurs esse 1 dans le principe et en quelque orle par rliplâm . El s'il était avéré que dansviable c?ître trois les ne' devait Pure piarercrent locale telle fac'illé tes diplômes étai et donnés

'i""' de rua vie p hl q"Cher loi'

à et r rt mrcouscrito est dà

de rirts

:t à des incapables, cesculé d p l a q l y t le p J t i, p q d fi

n'eut r ont tombés dans le drsneé-I ér t poilue t `,

qui,I ci .I t l dit 1 pi complet n

v a i r 1t t à 1étui. des p lb s .q,à la dernier don0 sir côté, l'Ordre se demande ce

es ph I uphry ,s o , des phé mén,s t r - ajoute Il mène, jeu I, l art cette solution et répond quequef l ,

La question est renvoyée à la séancede demain.La discussion est ouverte sur la loi

électorale.

M Dise demande sic 't là u loi'sirs e neuve e 9ira

dos

tru

uetueur

oc tau déjàs eu s

à

n unl

e él litlecture.lMDulsol, qui était meumce de la

I rm1-ié d Total, de'a a p écrier l l D a pré,

lui, lo projet de lu première. cn des Trente ayant déjà étémou-mois

à une pr n èec Il1lme, c'est un champélres. C ,st le seul moyen de sou'tait

.acquissur lequel 7 n'appartient I vegarder le droit d'afliehe.

pus à la comaatssion de 1,venir. Si Ferry propose une rédartin.: Il

Un commission décide que le projet est erdit à tant agent le li'antoriléi

. on municipale de dstribuerlot. considéré comme étant en secondepubliant

leetseo, Ides bulletins de vote ou des professions

La drsens,tos est ouverte sur l'article de foi.

1 11 y a nn -men lemmtt p e M. AI-I

il, Voisin fait remarquer que cotteb-ef Grévy et N. Ha nbeil iujaumd 1 - d fion est bien large Ellem ê m e ; m , il y en a ]'autres liés- dia un nombre trop considérable d'a-

n' t l t être exannneas d'a- g thl d. M L voyer. Nous ne vo Ions ut-

Ame J t de al Cymord Priver- 1 d e que la dntribution. Il faut ab-vay. - Il u es, pas appuyé (5' 0) cent qu'elle sot interdite aux

N^ 28. A d eut de 5111 C' re e agents de l'eatorrté.l05g, dn I{ J I de Sngny, propo t 0 Propose de restreindre la disposi-le s sg g à d ut "leg-és. 11 ii est p l nx inulilutesea, gardes harpl'appuyé t , l .agents communaux. M. Dum-

N, 32. A dament de Na Tula n, qui bort rédige on nouvel amendement duosromand, Parlaient et si npieiu t La Il sens.

ur de la lui de 1849 Lamendement de MM, Dolland etNome apaille

ï J sri .,est pas adopté. Celui de M.N 3l A, ne ri la tri e rit 11, VIN. Ilscories, Ferry estondevolél.

0rdina G ba m, L k- y 1. Jem Ammmu u^ 45 relatif à l'obliga-dent q il y lit pis de

-lt toi de ton des enveloppes pour les bulletins

do micile Ni'. appuyé. de vole.Ne 1. An endement de M. le comte M, Lernere demande que les envelop-

J ubeet demandant pour I élreteue l àge , ,os cirai .reformes IL déposées dans1 b uns et ni. ,en, de 40 Proues. - N la ite de l élection-appuyé. i1. Ferry ne voit pas l'utilité qu'il y

N»3 et 15 Amendements de M. d ' A « - à exiger des enveloppes unifor-delarre - Non appuyés. es, il croit que ce sers une gêne pour

Ne 31. Amendement de 6111. Giraud et i 1 électeur. l'blio-Adnet. - Non appuyés. M. de Sogny est convaincu que

layette et Juron. Age de Si ans. - Cet

Iendeinent a été adopté dans la lui

m (ple.N 17. Amendement de Ni. Langlois. -

Non appuyé,Ne 26. A rendement de M. Pemolet. -

.N. appuyég

e 34. Amendement de M. Brisson.Inscription d'office de tous les électeurs.M, Ferry demande qu'il soit réservé.

\° 5. Aman lament de ,Il, Scheaeer-I{eatuer. - [Persillé.

N' D. Amendement de M. Louslalot.- Non appuyé.

M. le président ouvre la discussionr t'amendement de MM. Grévy et

tlumbert.M. Grévy soutient son amendement.

D'après lut, les conditions de domicilelac doivent pas être les m es peurl'électorat municipal et oui d'électoratP.

litiquetiquepo, Il a enntnduv Per le numéro

de l'article 5 de la lui municipale quiexige 2 ans. Il demande que pourbrut politique le domicile soit

rén'd ait

uit àd mois. Il

,"r'a plus tes mêmes raisons

d'estper une rémda.ce d'ove certaine Ju-rée, tout Français il-il être appelé àexercer 1'électoot pulitique, dès que sn

Icapacité et son rdeshlé sont reconnues;la ne faut pus deux ans peur cela La

loi de 1819, le décret du 2 février 1852,u xtgeuent que G mois.

M Il'lhntont n'attaque pas Is théorie

de M. Grévy mais il croit qu'il n'est passage de ne pas n,udiher )article 1,',

ai. Adret [an observer que In loiélectorale muni"ipale a été trèslargernr la question du domicile. Elle n

exigé deux airs que pour les électeursqui ne sont pas nés dans la co ,

et qui n'y payent aucune contributionIL y aurait de graves inc nvénients àavoir deux listes dans chaque com-mune.

L'amendement est mis aux voix etrejeté.

al le président soumet à ta commis-i gl r l'a .h d vrai la y fIét gd

',la pratique seule le démontrera un our.

nW

d 2'3e.

Amendementmendemen

dets.M. Talion. -soet l

routes les for.,.11

hd-ait m - l t pas Non appuyé.

metesnc, les lettre,, rl était t jans ti ,r' en part1.ul I t q.

lb'ex

si , ette solnhun elle-méme n'esj ,

sir

pa par r, dü nL modifiée ors de la trmsié me déLbia-resté nn lettré snpirieur s. rrtmnvnnt posé. à trouver déoilél s dans es riéces N U Amendement de M. Duvergier

.survivant a tvers tout A lune le sure. ,s ra es pins intimes et Lion. .

1

de Ifaur, A - Non ode M.ild'entrer au

ponvirai

, en 1840, il ira t.nit les1 dosa.litsincles .lit

conndences sur In N° 18. Amendement de M. Parent. -ici-méme son beau portrait de Wêshing maniéré dont il emploie ses journées et --------- - i Non appuyé.

société moderne. On lia enterre en réa- vent qu'ils oonsenteot à xcepter les

Lié qu'une pierre. Mais que nos feuilles préfets et sons-préfets du bénéfice de tanteamoutuines ne viennent plus crier à dispositior. Ils ont surtout u var lesl'intolérance, à l'oppression, à la persé ambres de l'Assemblée

acetuelle

qui

eution I Al qu'à l'étranger o sache ont lord.snailes.

Il Bit. Publie proche à l'Assem-h,t"""ai"' 1"discussions. 11

l'o 1- d re qui songerait, sui'cet lui, à prou,g e l Assemblée dés le

a i l'a-iix prochuis eta

.rjonenresplicaton du mégirnerncunrus, sL'opi-

vertir, , i l I, mais elle n estpas rtimidée, Elle répond à la droite ;fou file da vous embrouiller plus lung-t ps pdearfi+iv rsos c Saodhoclicilles st giat tr.re, v -lu .

p le lé'tau

France àu qui te-go, qui, iq p '-é que p lune,

de

lumille pli, mêmed ' . La IlPpnbli'q. d des coins que vous

Ili e x de pion lue Elle neus IiI pas de taire votre Leatament,

m is d-mourir. >L P t tant le même sujet dit

q'.. Il, Mais perpétuels éuoivi¢Let iny tiétenl le pays, qui depuis IanArime: ,.lame In disolutun , do I As-

mblé,.s

Le Temps s'occupe des tentatives degrm,per de Clerc, ru vue de formai laliste des caulidals art Sénat qui n'erraélrc soumise à l'Assemblée. SuivantIci, . l I t. 1 t I

L',l.. . -a p,. t ê,abl t é é q p lis q te

de 2a lévri.r t ne peut être composéeq

d'alhércrts an tans et nonve iax de

l . constitutmr,cToule cuolition dat ilion, Ion groupes anh-avec

t t t is "'ait or, quelque sortedestroelive du v t d 9 larien que lecentra droit a émis sans doute eu plei'

ne rninnaissaorm de caue.

ançais si félicite n'as rRs ulmisn deohs ju.s:lu'ici dans tir doeussio

Il ir 1 nnseign t

Il r.avait

é irons que l'am. d. tde

MPa-n'es t pas l'idéal L est ooe sol. tion

provisoire, imparfaite, dit il,n'ayantgnela valeur d'une traneaolion ; mai est1ne transaction qui ouvre à lit libellé

porte suffisamment bingo pour queeelle.ci puisse se faire jour et produire

suite par Ire-méme ses heureux etféconds résultats, .

I,n Journal de paris qualifie l'ammn-eenteut l'iris de ^ pis alla, peusisoire .rt d'importation belge.

La Liberté approuvail hier le rejet del'amenderne,il Ferry, fout eu faisant unéloge puai peux du discours de M. JulesSimon: anjosri'hid, elle revient sur ceenjnt potée constater que . la r ralitiev1JOpenlonp-Wallon n porté se frnitn . etque le systéme des jurys mixtes atriompl:r, . g aie à Iii (édente ,Daucole

toutesles droites, d'ove

partieidn

.. t g. ch le ad e es et dog ti 'lis l'U té ds

rcya

1-_t- il la Ilillo et d f i eépubli'nain. 1 .groupe, L.vergne.

Le Puy, t 1 q. 'il . rend justice à1a pan: de c n,rhahou à I,q celle a

mais son amendementi P riséi Ni

N^ 19. Autre anieedeinent de M. Parent. L'nrliile 18 port,- Non appuyé. A 118 F r d f t sua

N^58 Amendement de M. Po. rouiil t per- pL I: I 1 Il, 5 u 10,lix P éaPpoy I le b or,PlI

Il naappuyé.ra voire sur l'or'. 1°,:D t ,n 1 e tdp l ir -

il, , ri,

adrpté, tr t p. ild. Ims

Art. 2 Adopté. excé Iel

t

N° 3. d pt I FI,r

1. r x i p l o,

11 ya pl u s a odenwats relit I d.rlicl Ii fpt li fcrme

a tx bulletin, de vote. t lu ,on,, d.. l é' bl mn m tN^ 40. Amendement 1 Ni P s. Il i a de éme I 'q . s.-N^44 Amendement le MN. D,Iland coude rnf et ix prescriptions tics

t J _` art 1 5 ll, .ri 10 t eN` 10. Antre Indélicat d, 1411 (F 1 taus I',mar+ml de l'armée qui a lu

Fia lelard et lovon. pr è dam IOn n'

CI

'l"N- 4G. Autre aine 1 nt de 6U1 dél q: at p r él , f pué p uo

DOIT ind et Lafayette, sous amendé pr tcorps n'es, édam pas cinq ans, de I i

M Picas d, nP a 1, en' .I d. F I "ii'le 7Uamendement n 44 d NM Jm L 1.1 art i. t adopté, féb.lsam,

et Dolland est mis end s.:i n Lartrit 11 p tM Ferry propose de le m i f I I ~,. t p t t I, : I-nf. Ad t l ai 1 Il l ,le p

ITnrI t lt .

sabafeni àl m n' t b; i 11 PS, p'wir p i n bist a

(

dé, Pto

pùl vite tan ailleurs qo au part let qui nPC^L aetiéle e t adrpté sans débat.Douent difficile. L'a rb.I 20 p tcest s

31. Voisin répond q I dépét au ,Tout fois de si, i tt c' I rves.parquet offre plus de g a i

, tel .Ire t t ParM Picard

droucul. Elle e qen I rn scion enfance qp

code desoit renvoyére. Elle est renvoyer à de-

1l ,000

11

3 000 banne, et eu cas do ré-main.

Amendement n^ 16 I t d- t 7 pour cidive de 3 à 6,000 francs.

les agents des services public., cm- a Si la eé.i bue a W danor 1 con-sernans et de colporter des rani de l'année q.n a l l' p re

écots électoraux. condamnation, le Jigem. tu,,ilde

M. Picard demande qu'on iiderdise donner la fermeture du courseulement ta distribution i. b (Irone léttbhsseuaent.

de vote par les gardes h:mrpêlees . Tous las administrateurs de l'éla-M. Jules Si mou demande si on anto- blissement seront civ traient et soli-

lie les instituteurs à distribuer et à dairrment responsables du paiement des

colporter. amendée nées coutre l'on nu plu-M. Delhmont.- il y a des précautions 81Prs d'amer eux.

à prendre, niais l'article est trop large. Cet amendemeni est adopté sans dé-

ll comprendrait les agents des postes. batIl ne tondrait pas non plus interdire L'art. 21 porte :

l'affichage aux gardes champélres.M. Albert Grévy ri admettrait pas . Art, 2i, - Lorsqe les déclrs-

5goLOI exception pour l'allehâge. Le lions

aux Oct.

garde champêtre n'est pas un afficheur et 4iodégront

comme fesseur une

juré.personne frappée d'inr.spacité au -_

id.

Picard persiste i, soutenir 1511 tiendront la mention d'on sujet co

à tri morsleroulis d'interdire la remise des bulletins re à l'ordre public .ride vote, autrement la loi risque de ne publique t rdigieuse, le procureur

pas être appliquée. de la République pourra Former oppo-

M. Fonce propose de mcüre, au srbon deus les dix Jours: L'uppasition

lier, du garde champêtre : tout agent sera notinée à Il. portasse qui auratde l'autorail! pubtiqut ou municipale. tailla dite déclaratoa. La demande enêtre formée devintée pourraM. Dehmonl serait moins restrictif main lev

que M Picard, mais il insiste pour que, le tr'bun'ni civ 1, sit par dioIoealrondans l intéiét même des candidats, ou écrite un bas de I r nolih,:ation, soit

interdise pas l'affichage par Ies gardes acte séparé, adressé au prooreP, deI CII sera ortée à laehé

gation des enveloppes aménera bien des

erreurs et des complications dans les

unes curules.coNi. Adrien Léon n'est pas non plus

partisan

s

des enveloppes pour les mé-motifs. On ne remédiera à rien et

on compbgaera le vote.M, Dethmoat défend 1'amendemeal ;

sans )enveloppe il n'y a pas, d'aprèslui, de lïberlé dans le vote,

L'amendement est mis aux voix. Leparagraphe premier est voté.

La séance est levée.

ASSENIBLEE NATIONALESéance du 17 juin 1875.

Présidence de Ni. tsAnntreeer-PASgmse.

La séance est ouverte à deux heures45 minutes.

Le precés-verbal est adopté après plu-' re,tifications présentées par Mhl.

denNahy, Scherer, Buisson.

L'ordre de jour appelle la suite de la21 délibération sur le projet de loi relatil à la liberté de l'enseignement n pé

eur.nL'Assemblée a adopté Trier les deux

parties de l'amendement Paris.Plusieurs amendements qui avaient

été présentés par les art. 13 et 14 doprojet, sont retirés par leurs auteurs.

La commission, de son tété, par l'or-gane de son rapporteur, M. Laboulaye,déclare retirer les art. 14, 15 et 16 deson projet.

L'article 17 porte :

Art. 47. - Toute infraction aux alticiel 5, 4, 5, 7 et 10 de la présente loiconstitue une contravention ,"mie d'uneamende qui ne pourra excéder millefrans.

Sont passibles de cette peine :1^ L'auteur du cours dans le cas pré-,.p

, l'art. 5 ;2Les rdministrateurs ou à défaut

ors rf, t oega rs d

danssas le -sb uéaes

organisateurs

es

cas

prépré-

vus pTo lts art. et r0;enseigné3n Tout Professeurd rt.

7.malgré lu défense de l'art. 7.Cet article est adopté sana débat :

pula D pcours neplus

prêtre rouvert Lavant lao main Ieviedouerade l0 f à peina d'une amende16 à 50êt 16 e0 flaculs, pourra

vire portée

n

é double

nit cas de rAiee

ve dons l'année Sui suivra la tee ivereo

leét blé Si coure est

novat

dan,

ns uéoablissemene

tes a oi daurs-leurs _ont ubien des et

stenpre

iresponsables des amendes roc

ncées en venu d, présentarti-

cle.

Sur cet article, M. Oiesod déve-

loppe un amendement ainsi conç¢ :Lorsque les d elarollers frites crin'

formém t articles 5 et 4 indique-ront rem , p f. une personnefrappée d m. p té ou contiend

la menton I s sujet contrairereà

l'ordue public v à la marais religieuse,

le préfet lu drtement, le procureurde la ti leuuensue, le recteur, eyddiesles dép.iri'mul le chef lieu e

carié niietieslpa5

s établi, l'inspecteurd'Académie pourvent former eptman-pon dans Les dixjam".

. Lli ara notifiée par vois.Je, ,trouve à la personne qui en au-es lait la demande.

a Celte opposition sera jugée cnntra-dictoieemeat et dans un bref délai parle conseil sesdémiq e dans les départe-ments où est établi le i bel lieu del'Académie, et dans Ies netees dépar-lemenls par le conseil départementalde l'instruction publique.

Les décisions r dues en celte ma-tière seront snsceplibles de recours de-

vant le conseil supérieur de l'instrnc-

lian publique qui statuera eontradic-

tmrement en dernier ressortLc reste de l'article comme au projet.L'orateur s'applique à établir que

l'art. 21 du projet, outre qu'il ne luiparait pas présenter des garanties saffi-santes au point de vue de la bonne te-nne des cours, blesse le principe de lasépvration des pouvoirs.

cor nesnssv, au nom de la com-mission, combat l'amendement - 1,'--valeurraseur estime que la juridiction de droitnmormur offrira à tous égards des gselntes plus sérieuses que la juridiction

native ou académique.Lad nistL'amendement Ciraud est rejeté;

l'art. e t est adapté.

-,,,,,i,it2Y porte

ls l163.. du code pénal pourrirêtre nppl igné aux infractions prévues parla présente las. .

Cet article est adopté sans débat.L'article 25 porte :Sort abrogées les lois et décrets an-

t ours eu ce qu'ils ont de contraires àla présente loi. r

Cet article est adopté sans débat.

v csaaun développe ou article

additionnel ainsi conçu :. Indépendamment des péualilés ci-

dessus édictées, tout professeur attachéà l'enseignement supérieur pourra, surla plainte do préfet, du recteur ou doministère public, êtretraduit devant leconseil académique pour couse d'incon-duite ou d'immoralité, ou pour désor-dre grave occasionné ou toléré par luidans son cours. Il pourra, à raison deces faits, être sosmis à la réprimandeavec ou sans publicité, ou même êtreinterdit de sa profession, à temps ou àtoujours, sans préjudice des peines en-courues pour crimes nu délits.

.Appel de la dérision pourra toujo ors

avoir Lieu dans tes quinze jours à partir

de la notification, devant le conseil su.périeùr.

L'appel ne sera pas suspensif. .

L'orateur croit ados a Jusqu'ici al.


lacté de confondre la liberté de penseret la liberté d'enseignemeut. La libertéa Ruxe,gnement ries[ admasible qu'auprofit de la vérité ; elle ne peut être lo-lérée nu profit l'erreur.

n, nourrie nn aussi combat l'amende.ment de M. Ciraud au nom de la com-mission.

L'orateur insiste sur ce point quedans le ensuit un professeur e saignedes doctrines contraires b l'ordre pu-

blic et à la morale, il faut une répres-sion ; mais il prie l'Assemblée de déci-der s ulemeut lors de la troisième lec-ture le mode suivant lequel s'ezercerqcelle répression.

W. rLLLOrs, ministre de l'instructionubli ue, croit qu'il l'airP 9 t que la ce quoPlion s'exerce non-seulement sur ce qui

touche à l'enseignement,-mais aussi surla conduite du professeur en dehors deses cours, Pu conséquence, le ministre'onclut à l'adoption de I'ameadementGirauA,

a, LAnouLaxe n'admet pas que l'onpoisser édicter la fermeture d'un courecomme peine disciplinaire.

Ce serait destituer le professeur, ete qui est incompatible avec la liberté

de l'enseignement, ce serait placer leprofesseur sous la juridiction de l'admi-nlslr tien,

sterne nulioT estime avec M. AI-lied Girond qu'il est indiepensahle decorriger par des garanties disciplinai-res le fonctionnement de la loi nou-velle. L'enseignement universitaire eutonmis à la juridiction du conseil supé-

rieur de l'instruction publique, A queltitre les professeurs libers seraient-ils,par privilège, soustraits à tout con-Irôle 7

.., ompun modifie son amendement.Aux mots :. Tout professeur altu, hé àl'enseignement supérieur, . l'orateur.Absolue ceux-ci Tout professeur quise lier. à l'enseignement supérieur.

Pnhlloailons Létale`Étude de M Auguste MAItCHAL,

.voué, rue Tolosane, 3.

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le mercredi 7 juillet 1875, àmidi précis, à l'audience descriées du Tribunal civil deToulouse,

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Ilmelm-i.llUh t Ilm

R I,ea, â 941 2bail-NNbnr 1

0. t 593 7t 595

avril _ .078 70 590 lAhan i 016,

103 00103 80611 26,

590090

63 956403 70,

48096

47093 76

470410

203 76201 26667 60865

$0001a 76030

915

917 6008096

07093

4704102('8 7l1, 8 76667 50

lin scrutin s'ouvre aur l`amendementGLraud ainsi modifié:

Voici les chiffresNombre de votants, 61,19

Polir l'amendement, 305Contre, 294

L'Assemblée a adopté.L'ensemble de l'art. 23 est mie ont

vois et adopté.Un nouveau scrutin s'ouvre sur la

question de savoir si l'Assemblée pas.sera à la troisiéme délibéra lion sur leprojet.

Voici l'a chiffres rNombre des volants, 858

Pour 395Contre 4f5

L'Assemblée décide qu'elle passera àla troisiéme délibération ur le projet-

L'ordredujoue appelle sta discussiondu projet de loi relatif à divers droitsd'enregistrement.

M. mon [mairie prend la parole Car-tes Ir projet de la commission. L'ora-teur reproche à la commission d'avoirsubstitué à l'musee du gouvernement

projet q i, s'il était adopté, epourrait que Favoriser et encourager la

fraude aux dépens du Trésor.M. le rapporteur Berlauld expose

que le système du gouvernement démitque préventif : celui de la ça missionest tout à ia fuis préventif' et répressif.Le projet du gouvernement poursuit unerépression plus efficace de la fraude,il tend donc à une augmentation desrecettes du Trésor, La commission pour-suit le mémo but, mais par un autre

droit te, pl uconforme, suivant elle, au

Le nunc maintient les et.jedion. contre le projet de la commis-sion. L'orateur n'admet pas, que sousprétexte de réprimer un acte coupable,on atteigne l'acte qui ne n'a pas ce ca-ractère, I1 n'admet pas, en d'autres ter-

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471 10 470492 50 493345 840314 00 314 00

176 176

497 eu 497 l0303 303

311033 10l

mes, que s prétexte de réprimer lafraude et 1 d mulaüou, ou annule le,nabot qui .'.pas Iu1 mémo aucunacari

èee déliclueun.

M. te rapporteur Berlauld remoate àIn leiboec,

Aox voix ! La ,Iùtn,e IM. si ni'lcus répiique que la clause de

nullité do contrat trouve sa justificationdans la nécessité mAme de r0uper courtà lA fraude et de la prévenir,

Clôture de la discussion générale.

La discussion des articles est ouverte.Un scrutin s'ouvre sur l'article 1'r do

Il de la commission.L'article I ' de la rommission est re-

jeté à la majorité de 585 voix contre 10.La séance est levée à G h,

- L'/irénemrol annonce qu'à la suited'un article sur M. b'randpern,q MM.Paul Je Cassagnem et de Lanoay 5000

nus demander épuration au nom deM. Grandpercet fils. Le réducteur del'l'venemeuL ne croit devoir aucune ré-paration à M. Gandprerel, ni ne veutentrer dans aucune explicationlui ; il ajo.te 1 e Il serait vérilltblec

ont étrange que dans une questiond'inlérét public, comme celle drs pen-sions civiles, ions ev puissions donnernotre .ris sur tin homme public sansrecevoir des témoins. r

- LA société de musique de Cannes,qui a remporté le pie nier prix dans legrand tournoi musical de Rouen, a jouéhier au jardin des 'tuileries.

B11llctln Commereia;

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Du 18 juin 1875.

Marché assez approvisionné en blés

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4351

612 50

219 50

960

260118959 S117485

214361

813061,

316316 57

10803183321960

197 60043 6U

490103 50

812 60

218 50

llu

166118 56230

415

249

330 75

pris sang changement G t s --pour les qualités supééi u es, caliers

pour les ordinaires.

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TABLEAU DES LOCATIONSSUCCURSALE DE LA SOCIÉTÉ GÉNÉRALE DES ANNONCES

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8vsse 5 010 1876.

Tu n-aub.Tmc 6 010.

Il. jvillat.Ottoman film.

9868,1868,

Portnpia,Homnna.

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Billets de 1"classe, tlôliveés du 15 maiu 10 octobre 1875, valahlns pendant 20

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BOURSE DE PARISdu 18 juin

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Seule Mai... à Toulouse : Bue FpénAsLLo .,...a.T 1867

DLLMTISI l2I7LlitC66B Londres on signale de .ouvellcslAfaillites, et les Consolidés ont baissé de

98La légère amélioration qui s'était 1/e'

manifestée hier en cléture ses, arcrn- Le bilan hebdomadaire de 1. Bangnâtuée aujourd'hui, et nous avons eu une de France présente les dilt'éeeneesBourse excellente. restes o l'encaisse a augmenté de `O mil''g

Le 5 0/0 s'est élevé de 1143,6,2 1/2, 1

lions, la circnlatio. d'an million, e[ les'à 103,871/2, et le 30/0 de 64,05à G1,2B, comptes particuliers de Il millions; le.

Cette reprise est jnstilée par lithos. portefeuille a di inné de e millions etdénce ex tréma de l'argent; les coupons le compte du Trésor de 17 millions.de juillet vont encore l'augmenter, et, Change sur Londres, 30019 1/2.ai les affaires erpre.nneot quelque acli Après Bourse, luheores, G 0/0:105,83vilé, ans rentes atteindront verte lev

3/4.6

enl des cours plus élevés. Il s'est fait IÉ

aujourd'hui d'assez nombreux rachats -et la position rs la plane nous sembleDevoir en eéressiler d'antres.

291 Les trésoriers génél'aux ont fi, il ache.Iq

489 25 ter au comptant 35,800 fr. de rente p qui désirent iyfoin ersnnnes50e et 2,900 fr, du rcoterlo Avis. faire rrnoavmer le ors abonne-137 8e PDs 'ançaisd

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emis de 200 à ents anx junrn:inx de Paris pour le `,208.75 5,

etet l'Espagnol r 75 à 61S. f'= Ilet prorhain,sovl priées d'adresser $430

Le FoRP,rr s'et loin à M 7 50 I Imrr demande In plus trial plument pas-,Bu,que de paris à 11 G5 et

J.

Lyonnais aloi. à l'aIL 625,

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Les rhrmins so t r tF e . 0 rue des Ramiers, à Tunlause, afin quel

rLté l'Est 585, lentes 93aer feu

Nordlesn eprmrvrnt pue d'interruption de

1200, et le Midi 71Ôou air

vle,à cause de l'encombrement des

L'Autrichien a ris à 6'7 B0,

bureaux d'abonnement dans les journaux.

le Lombard à 237.5P et

déannemenia sana fraieLe Gal s'est Aleri à 965,Le, Suez est resté à 675.75.L'Italien a remonté à 73,45.Le Tnrc a atteint le coure de 44 fr.

Mais l'IJnFriearc espagnole est restée Le G&- i L JOUGLA.Ioulde à 18 7/8 -... ___..---

Les

marchés allemands sont meilleurs.Instants,

3TyF Mentaubit.,, rSt-Ean.


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