Revue de presse kylia semaine 28

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La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 8 au 14 juillet 2013 LES ARTICLES DE LA SEMAINE Immobilier : le bon moment pour acheter pour les Français Le 8/7/2013 Selon une enquête Ipsos/SeLoger.com, même s’ils jugent la période propice à un achat immobilier, les Français restent prudents. Selon SeLoger.com, les prix ont baissé de plus de 3 % sur les 3 derniers mois à Amiens. SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

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Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine.

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La revue de Presse KYLIA 1 

 

LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 8 au 14 juillet 2013

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Immobilier : le bon moment pour acheter pour

les Français

Le 8/7/2013

Selon une enquête Ipsos/SeLoger.com, même s’ils jugent la période propice à un achat

immobilier, les Français restent prudents.

Selon SeLoger.com, les prix ont baissé de plus de 3 % sur les 3 derniers mois à Amiens.

SUPERSTOCK/SUPERSTOCK/SIPA

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Oui, mais… Oui pour les Français, c’est le bon moment pour se lancer dans un projet immobilier : 76

% des personnes interrogées par Ipsos pour le site d’annonces immobilières SeLoger.com estiment le

moment favorable pour acheter. D’une part, les taux des crédits immobiliers sont historiquement bas

et donc attractifs pour 71 % des sondés. D’autre part, l’offre de biens mis en vente est plus importante

et 63 % des Français considèrent que le choix est plus important qu’il y a un an.

« Les Français restent à l'affût des bonnes affaires et leur intérêt pour l'immobilier continue de

se vérifier chaque jour. En un an, nous avons observé, une hausse des visites de 20 % sur

notre site ainsi que la multiplication par deux des inscrits aux alertes e-mails », constate

Roland Tripard, Président de SeLoger.com.

Mais les Français restent prudents : si 71 % recommanderaient à leurs proches d'acheter dès à

présent, ils sont seulement 16 % à envisager l'achat d'un nouveau logement pour eux-mêmes et leurs

familles au cours des 3 prochaines années. De même, seuls 10 % ont l'intention de vendre leur

logement principal ou leur résidence secondaire dans les 3 ans à venir. Car 68 % des Français

estiment qu’il est difficile d’obtenir un prêt immobilier, indispensable dans la majorité des cas pour

concrétiser un projet immobilier. De plus, 80 % regrettent de ne pas être assez aidés par l’Etat : « La

fin du prêt à taux zéro dans l'ancien et du Scellier, bien que remplacé par le dispositif Duflot, nourrit

l'idée, très présente dans l'opinion, que les incitations fiscales ne sont pas suffisantes pour encourager

les Français à acheter », analyse Roland Tripard.

Des baisses de prix de 5 à 10 % en 2013

Enfin, les Français attendent encore et toujours de nouvelles baisses des prix de l’immobilier. 40 %

des sondés trouvent que le niveau des prix est plus élevé depuis un an, 39 % plutôt moins élevé et 21

% stable. « La légère baisse des prix constatée ces derniers mois n'a pas encore suffit à déclencher

l'acte d'achat, ajoute Roland Tripard. La tendance baissière que nous confirmons devrait être pérenne

et de l'ordre de 5 à 10 % jusqu'à la fin de l'année, selon nos estimations. Ce fléchissement des prix

devrait achever de convaincre les acheteurs potentiels et contribuer à relancer le marché ». A noter

que les prix de mise en vente analysés par SeLoger.com sont en baisse de 3,2 % sur un an à Paris

tandis que Calais (- 6,46 %), Amiens (- 3,36 %) et Auxerre (-3,31 %) affichent les plus fortes baisses

ces 3 derniers mois.

V.G.

Source : LeNouvelObs.com

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Immobilier: des professionnels parlent d'une

seule voix pour faire repartir le marché

Le 9/7/2013

Alors que les transactions immobilières sont à l'arrêt, trois acteurs majeurs du secteur ont affiché

d'une seule voix leur vision du marché par souci de clarté vis-à-vis des acheteurs et des vendeurs qui

ont adopté une attitude attentiste.

Perturbés par le période actuelle de gel des transactions, les professionnels de l'immobilier tentent de

faire entendre raison aux vendeurs qui ne souhaitent pas baisser leur prix. Il faut dire que face au flux

d'informations contradictoires émanant des différents acteurs du secteur, il est difficile pour ces

vendeurs de se faire une réelle opinion des tendances de marché. Pour apporter plus de clarté, trois

grands acteurs de l'immobilier, la Fédération national de l'immobilier (Fnaim), le réseau d'agence Orpi

et le courtier en crédits Cafpi se sont ainsi réunis et ont exprimé d'une seule voix leur vision du

marché immobilier. Une initiative nécessaire, car ce flou total est un des éléments provocateurs de

l'attentisme des vendeurs et des acheteurs.

Les acheteurs devraient reprendre le pouvoir

Pour ces professionnels, la période actuelle devrait clairement être favorable aux acheteurs qui ont

subi l'hégémonie des vendeurs les années précédentes, ce qui a fait flamber les prix dans les zones

tendues. En toute logique, les vendeurs devraient donc désormais concéder une baisse de prix sur

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leur bien. Certes, certains d'entre eux l'acceptent progressivement... mais trop lentement et

l'attentisme demeure, selon les trois professionnels du secteur. En conséquence, les prix dans

l'immobilier ancien ont faiblement reculé en France au deuxième trimestre 2013, avec une baisse par

rapport au premier trimestre de seulement 0,7%. Pis encore, à Paris, les prix continuent d'augmenter,

selon un membre de la Fnaim Ile-de-France. "Nous pensons qu'il y a encore besoin de corriger les

prix, mais un pas important a été franchi", a tout de même estimé Bernard Cadeau le président d'Orpi,

qui se félicite d'avoir pu débloquer 2.100 ventes dans son réseau en réexaminant le prix des biens qui

étaient proposés à la vente depuis plus de quatre mois (soit 17,5% de ces derniers). "Il faut cependant

aller encore plus loin car il y a encore besoin de corriger les prix", assure Bernard Cadeau. "Nous

avons, nous professionnels, beaucoup de travail à faire auprès de nos vendeurs, pour qu'ils arrivent à

nuancer leurs prétentions sur les prix" des biens qu'ils proposent à l'achat, a renchéri Jean-François

Buet, président de la Fnaim.

Les acheteurs ne sont pas assez confiants

Du travail, il y en a aussi à faire du côté des acheteurs, dont le poids dans la négociation ne semble

pas encore suffisant pour amorcer une baisse franche des prix. En effet, si 46% des Français jugent

les conditions réunies pour passer à l'achat, 38% d'entre eux estiment encore que "le moment n'est

pas opportun", notent les trois professionnels, citant une enquête Ifop. En face, la frilosité des

vendeurs ne cesse de croître, puisque plus de six sur dix (62%) pensent que les conditions pour

finaliser une transaction ne sont pas réunies. Résultat, selon les trois professionnels, les transactions

devraient diminuer de 10,2% en 2013, après avoir déjà reculé de 12,2% l'an dernier. La Fnaim prévoit

même 635.000 transactions annuelles pour l'année en cours, au plan national, soit 200.000 de moins

que lors des années fastes.

Le gouvernement doit rétablir de la confiance sur le marché

Pour les trois professionnels du secteur, il ne manque désormais que de la "confiance", et celle-ci doit

être impulsée par le gouvernement au moyen de "mesures réellement incitatives, prises dans le cadre

d'une politique lisible et stable". Cafpi, par exemple, milite pour qu'une attention toute particulière soit

donnée aux "primo-accédants les plus fragiles qui ont déserté le marché, en raison d'un manque

d'aides indiscutable". Son directeur général adjoint, Philippe Taboret, appelle pour remédier à cela au

rétablissement du prêt à taux zéro dans l'ancien.

Source : LaTribune.fr

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Crédit immobilier : les banques mettent un

terme à la hausse des taux des prêts

Le 10/07/2013

La hausse en cours a été stoppée par les propos de Mario Draghi. Si vous négociez un

prêt, armez-vous d'un peu de patience.

En 2012, le montant des crédits immobiliers accordés en France avait enregistré une chute de plus de

26%. La hausse des taux observée ces dernières semaines risquait d'amplifier ce phénomène.

(MYCHELE DANIAU / ARCHIVES / AFP)

Faut-il attendre un petit peu avant d'emprunter ? Si vous avez quelques semaines devant vous, sans

aucun doute. Les courtiers en prêts immobiliers ont en effet reçu au cours des derniers jours les

nouvelles grilles de prêt que leur ont envoyé les banques : or la plupart des établissements ont révisé

à la hausse leur taux. Certaines, comme LCL, en sont même à leur deuxième révision à la hausse. La

filiale du Crédit agricole a ainsi remonté de 0,10 point, puis de 0,15 point les taux de l’ensemble de

ses prêts.

"Nous nous attendions tous à cette révision" reconnait un courtier, "car les taux d’intérêt s’étaient

réveillés ces dernières semaines." En quelques mois, les taux d’intérêt sur dix ans étaient en effet

passés de 1,8% à 2,24%, annulant ainsi une année de baisse. Une période faste pendant laquelle les

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banques avaient profité de l'argent facile et pas cher mis à disposition par la BCE pour lancer une

offensive sur leurs crédits et faire revenir des clients qui hésitaient à acheter un logement. En 2012, le

montant des crédits immobiliers accordés avait chuté de 26,4% par rapport à 2011, qui avait déjà

affiché une baisse de 4,2%. La baisse des taux des derniers mois n’avait pas été suffisante pour

inverser la tendance et les faire revenir, mais avait au moins limité la casse: -10% sur les volumes

depuis janvier.

Quand un taux passe de 2 à 3%, l'acquéreur perd 8% de capacité d'emprunt

Or cette hausse des taux était une malédiction pour les acquéreurs, à nouveau écartés du marché,

faute de moyens. Une élévation d’un point de taux équivaut pour un acquéreur potentiel à une perte

de 8% de capacité d’emprunt… La remontée en cours (de 2,7 à 2,9 ou 3%) allait donc exclure un

nombre croissant de futurs acquéreurs.

Et puis… Super Mario est arrivé. La semaine dernière, mardi plus précisément, il a annoncé que la

Banque centrale européenne allait faire ce qu’il fallait pour maintenir des taux courts bas, afin de

relancer (ou de tenter de maintenir) l’activité économique… Une annonce qui signifie pour beaucoup

la fin de cette amorce de remontée des taux.

Les déclarations du patron de la BCE ont rassuré les banques

Comment les taux courts, décidés par la Banque centrale européenne, peuvent-ils avoir une influence

sur le marché de l’immobilier? C’est très simple : aujourd’hui, les prêts sont souscrits sur 20 ans, mais

sont remboursés en moyenne au bout de 7 ans. Les banques s’arrangent donc pour que leurs

emprunts sur les marchés correspondent à la durée réelle pendant laquelle elles empruntent. C’est-à-

dire 7 ans "et souvent moins", précise un financier qui a géré de tels portefeuilles pour le compte de

grands établissements.

Cela veut dire qu’elles sont autant attentives au taux de l’OAT (l’obligation d’état à dix ans, traditionnel

thermomètre des taux immobiliers) qu’à ceux à 2 et à 5 ans, nettement plus sensibles aux taux courts

décrétés par la BCE. Pour elles, la déclaration de Mario Draghi est donc l’assurance d’une liquidité

abondante et de taux bas. Exit la hausse des taux des crédits immobiliers. La hausse de cette

semaine est sans doute la dernière de la série. "Cela durera sans doute tout l’été, à moins d’un

événement extraordinaire." prévoit Ludovic Huzieux, Directeur associé chez Artémis courtage. Pas de

panique, donc, pour négocier un prêt avant un départ en vacances. Il sera bien temps, à la rentrée, de

s’y remettre…

Source : Challenges.fr

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Immobilier : les aides à l'achat jugées

insuffisantes

Le 11/7/2013

© REA

Une majorité de Français pense que le moment est idéal pour acheter un bien immobilier, mais une

minorité envisage de passer à l'acte. C'est ce qui ressort d'un sondage Ipsos pour Selogerneuf.com,

une filiale de Seloger.com spécialisée dans les logements neufs.

Parmi les 1.003 personnes interrogées, 40% ont le sentiment que les prix ont baissé ces derniers

mois. Un constat confirmé par les récents chiffres des agents immobiliers: les étiquettes ont glissé de

2,5% au premier semestre d'après Orpi, de 2,6% selon Century 21 et même de 3,6% si l'on en croit la

Fnaim.

Autre élément favorable : la faiblesse des taux des prêts immobiliers. 71% les jugent plus attractifs

qu'il y a un an. Pas étonnant, sachant qu'ils sont tombés à leur plus bas niveau historique en juin, à

2,89% en moyenne selon l'Observatoire Crédit Logement/CSA.

Mais cette baisse n'a pas pour autant facilité l'accès au crédit des ménages. Plus de deux tiers des

sondés estiment qu'il est plus difficile d'obtenir un prêt qu'il y a un an.

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La revue de Presse KYLIA 8 

 

Les Français aimeraient aussi avoir un soutien financier de l'Etat : 80% des personnes interrogées

considèrent les aides à l'achat insuffisantes. A juste titre. Depuis le 1er janvier, le prêt à taux zéro est

soumis à des conditions de revenus plus strictes : Le dispositif Duflot ; lui, est réservé aux

investisseurs cherchant à acheter pour louer.

Conséquence : seuls 6% des sondés envisagent d'acheter un nouveau logement dans les douze

prochains mois. Cette proportion tombe même à 3% pour les personnes comptant acquérir un bien en

vue de le mettre en location.

Source : Capital.fr

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Indice de référence des loyers : le

ralentissement se confirme

Le 12/7/2013

Au deuxième trimestre 2013 l’indice de référence des loyers (IRL), utilisé pour la

révision des loyers d’habitation, a progressé de 1,20 % sur un an, confirmant un

ralentissement par rapport à la hausse du premier trimestre 2013 (+1,54 %), a annoncé

l’Insee vendredi.

Depuis le premier trimestre 2012, la progression de l’Indice de référence des loyers n’a cessé de

ralentir – AFP

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L’indice de référence des loyers (IRL), qui sert à calculer l’augmentation annuelle des loyers des baux

d’habitation, a progressé de 1,20% sur un an au deuxième trimestre 2013, continuant à ralentir par

rapport à la hausse du premier trimestre 2013 (+1,54%), a annoncé l’Insee vendredi.

«  Au deuxième trimestre 2013, l’indice de référence des loyers atteint 124,44. Sur un an, il augmente

de 1,20% », relève l’Institut national de la statistique et des études économiques dans un

communiqué.

L’IRL avait enregistré sa plus forte hausse au troisième trimestre 2008 (+2,95%), puis avait vu sa

progression ralentir, jusqu’à s’afficher en recul au quatrième trimestre 2009 (-0,06%). Après un

nouveau pic au premier trimestre 2012 (+2,24%), qui constituait sa plus forte progression depuis le

premier trimestre 2009, l’IRL n’a cessé de ralentir depuis. Cette décélération de l’indice des loyers

s’explique notamment par son indexation sur l’inflation qui est restée stable le mois dernier : l’indice

des prix à la consommation a progressé de seulement 0,2% sur un mois en juin et de 0,9% sur un an

(après +0,8% en mai).

Le projet de loi Duflot doit renforcer l’encadrement des loyers

L’ IRL (Indice de référence des loyers) est un indice trimestriel, calculé en fonction de l’indice des prix

à la consommation, de l’indice du coût de la construction et de l’indice des prix des travaux d’entretien

et d’amélioration des logements. Lorsque le contrat de location prévoit la révision du loyer, celle-ci

intervient chaque année à la date convenue entre les parties ou, à défaut, au terme de chaque année

du contrat. L’augmentation du loyer qui en résulte ne peut excéder la variation de l’IRL publié par

l’Insee.

Un projet de loi de la ministre du Logement Cécile Duflot, présenté en Conseil des ministres en juin,

doit venir renforcer l’encadrement des loyers dans 28 agglomérations où il existe « un déséquilibre

marqué entre l’offre et la demande ». Ces zones, dites « tendues », sont notamment l’agglomération

parisienne, Marseille, Lyon, mais aussi Ajaccio, Montpellier ou encore le bassin d’Arcachon. Le projet

de loi sera examiné à l’Assemblée nationale en septembre et au Sénat en octobre, pour une

promulgation au plus tard en mars.

Mesures d’urgence

Dans l’urgence, et pour des raisons juridiques, le nouveau gouvernement a pris l’été dernier un décret

concernant les relocations ou les renouvellements des baux des logements privés dans 38

agglomérations où les prix pratiqués étaient jugés excessifs.

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Le nouveau dispositif, entré en application le 1er août 2012, prévoit que dans ces agglomérations, un

propriétaire ne peut dans ces deux cas pratiquer une hausse supérieure à celle de l’IRL. Des

dérogations sont prévues en cas de travaux ou si le loyer acquitté par l’ancien locataire avait été

manifestement sous-évalué par rapport aux loyers pratiqués dans le voisinage.

Source AFP

Source : LesEchos.fr

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A propos de KYLIA

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

Marie LAURENT / [email protected] / 01 47 70 24 18