Revue de presse kylia semaine 19

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La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 6 au 12 mai 2013 LES ARTICLES DE LA SEMAINE Crédit Immobilier : le contexte reste favorable aux acheteurs Le 6/05/2013 La décision récente de la Banque centrale européenne de baisser ses taux d’intérêt directeurs devrait encore pousser les taux immobiliers vers le bas. Les conditions de crédit immobilier devraient rester très favorables dans les prochains mois - AFP

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Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine.

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LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 6 au 12 mai 2013

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Crédit Immobilier : le contexte reste favorable

aux acheteurs

Le 6/05/2013

La décision récente de la Banque centrale européenne de baisser ses taux

d’intérêt directeurs devrait encore pousser les taux immobiliers vers le bas.

Les conditions de crédit immobilier devraient rester très favorables dans les prochains mois - AFP

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Les banques n’ont pas attendu la décision de la Banque centrale européenne de baisser son principal

taux d’intérêt directeur d’un quart de point, à 0,5 %, pour proposer aux particuliers des taux de crédit

immobilier toujours plus bas. Ils ont même atteint un nouveau record à moins de 3 % selon

l’Observatoire du Crédit Logement/CSA. Les conditions de crédit devraient donc rester très favorables

dans les prochains mois selon Philippe Taboret, directeur général adjoint du courtier immobilier Cafpi :

« La BCE a fait le choix d’assouplir sa politique monétaire pour favoriser la diffusion du crédit, tenter

de relancer la croissance et relever les anticipations d’inflation. C’est une bonne nouvelle pour notre

économie, un plus pour la consommation et surtout les entreprises, car ce sont les prêts courts ou

révisables qui vont en bénéficier. En ce qui concerne les prêts immobiliers, je ne pense pas que

l’abaissement à 0,50 % du taux directeur de la BCE ait beaucoup d’incidence sur les taux à long

terme,qui sont déjà historiquement bas. Cette baisse confirme en tout cas notre vision rassurante

d’une stagnation des taux à leur faible niveau pour les mois à venir. »

Forte concurrence entre les banques

Les uns après les autres, les courtiers en immobilier annoncent avoir obtenus des taux

particulièrement attractifs pour leurs clients. Cafpi indique ainsi avoir signé pour un client un taux

d’intérêt fixe de 2,33 % en avril pour un emprunt sur dix ans en Ile-de-France, contre un taux de 2,39

% le mois précédent pour son meilleur dossier sur la période. Immoprêt revendique lui des prêt à un

taux moyen de 2,5 % un peu partout en France (2,6 % en Ile-de-France) à 10 ans et à 3 % sur 20 ans

dans le Nord, l’Est et le Sud de la France.

AB Courtage de son côté constate une nouvelle baisse de taux pour le mois de mai « de l’ordre de 0,1

à 0,15 % selon les durées », les banques ayant répercutées la baisse du taux de l’OAT 10 ans, passé

le 30 avril sous le seuil des 1,7 %. « Les emprunteurs ayant de bons dossiers peuvent désormais

prétendre à des taux moyens de 3,15 % sur 20 ans et de 3,55 % sur 25 ans », assure AB Courtage.

Dans un contexte de taux bas, les banques continuent dans leur ensemble à se battre sur le crédit

immobilier pour capter de nouveaux clients, notamment à une période riche en salon immobilier.

Favorable aux crédits immobiliers à taux variables

Pour Immoprêt toutefois, la baisse des taux de la BCE devrait surtout se voir au niveau des taux de

crédit immobilier variables. « Sur les prêts à taux fixes, cette baisse ne sera répercutée que si les

banques abaissent leurs marges pour attirer de nouveaux clients », estime Ulrich Maurel

d’Immoprêt. « En revanche, des baisses significatives devraient être constatées sur les taux

révisables, qui sont indexés directement sur le marché. Les différentes formules de prêts à taux

révisables devraient ainsi connaître un regain d’attractivité auprès des futurs acquéreurs ». Le site qui

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conseille aujourd’hui aux nouveaux emprunteurs d’opter pour des prêts à taux semi-fixes (capés à la

baisse, mais aussi à la hausse).

La baisse des taux, conjuguée au repli des prix de l’immobilier, redonnent en tout cas du pouvoir

d’achat aux acquéreurs de logement. « Dans certaines villes, le gain de pouvoir d’achat est tel qu’il

permet, comme à Metz, de s’offrir pratiquement une chambre supplémentaire de quatorze mètres

carrés. Même à Paris et à Lyon, où les prix continuaient pourtant de grimper jusqu’à une période

récente, les acquéreurs ont pu s’offrir respectivement un et deux mètres carrés supplémentaires »,

constate Cafpi.

Pierrick Fay

Source : LesEchos.fr

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Immobilier : les investisseurs sont les grands

gagnants du dispositif Duflot

Le 6/05/2013

Copyright Reuters

Le nouveau dispositif d'investissement locatif de Cécile Duflot qui s'applique depuis début 2013

s'avère attractif pour les investisseurs. En revanche, il remplit peu son but social et coute cher à l'Etat,

selon des économistes de l'OFCE.

Une mesure à l'efficacité discutable. Voilà comment les économistes de l'Observatoire français des

conjonctures économiques (OFCE) jugent le nouveau dispositif d'investissement locatif de Cécile

Duflot, qui a remplacé le dispositif Scellier intermédiaire le 1er janvier 2013.

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S'il est attractif pour les investisseurs, sa finalité sociale est discutable et son impact négatif sur les

finances publiques, estiment dans un article les économistes Sabine Le Bayon, Pierre Madec et

Christine Rifflart.

Une vocation sociale limitée

Concrètement, les nouvelles équipes du ministère du Logement menées par Cécile Duflot ont apporté

cinq modifications majeures au Scellier : elles ont augmenté le plafond du prix au mètre carré pour

une acquisition ; restreint les territoires éligibles aux zones les plus tendues pour limiter les effets

d'aubaines ; accru le taux de réduction d'impôt pour les investisseurs ; abaissé les plafonds de loyers

dans les zones tendues ; et diminué sensiblement les critères de revenus des locataires.

À partir d'un constat empirique de ce nouveau dispositif, les trois économistes de l'OFCE ont d'abord

jugé sévèrement la vocation sociale du "Duflot". Elle s'affiche en fait "principalement par le biais des

plafonds de ressources plutôt que par les contraintes de loyer", estiment les économistes.

Certes, pour un studio situé en zone francilienne tendue, le plafond de loyer Duflot est inférieur de 7 %

au loyer de marché, mais on reste bien loin du taux de 20 % inférieur au prix du marché affirmé à

plusieurs reprises par la ministre. "Et ce d'autant plus que le plafond d'un deux pièces ou d'un trois

pièces de cette même zone tendue est supérieur d'environ 7 % au loyer de marché", déplorent les

économistes de l'OFCE.

Les plafonds de ressources concernent davantage les classes moyennes

Les nouveaux plafonds de ressources intègrent pour leur part davantage les ménages les moins aisés

que dans la dernière version du Scellier. Cependant, ils demeurent "encore très élevés", notent les

économistes. Ils ciblent en fait les classes moyennes, pour qui les plafonds de ressources dans les

zones les plus tendues sont en moyenne inférieurs de 11 à 18 % à ceux qui s'appliquent pour les

logements intermédiaires classiques. Mais il n'en reste pas moins que ces plafonds sont supérieurs de

23 % à ...190 % à ceux qui s'exercent pour les logements sociaux ou très sociaux. "Au total, les

logements acquis via le dispositif Duflot sont accessibles à un peu plus de 80 % des personnes en Ile-

de-France. En sachant que les propriétaires investisseurs devraient privilégier les personnes les plus

proches des plafonds pour minimiser le risque locatif, l'objectif "social" de ce dispositif reste donc peu

ambitieux", indiquent les économistes.

Les investisseurs auront un meilleur rendement sans prendre davantage de risques

En revanche, pour les investisseurs, "les maigres contraintes qui pèsent sur les loyers seront plus que

compensées par la réduction d'impôt plus élevée que dans le dispositif Scellier de 2012", estiment les

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économistes. Ce, alors qu'en parallèle, le niveau des plafonds de ressources ciblant davantage les

classes moyennes, les investisseurs ne prendront que peu de risques supplémentaires par rapport à

une location "classique".

Un coût budgétaire non négligeable

Reste qu'en cette période de contraction des déficits publics, la mise en place d'un dispositif

d'incitation à l'investissement locatif privé peut interroger, surtout que cela peut coûter cher...et

longtemps. Le Scellier par exemple pèsera sur le budget jusqu'en...2027 ! L'impact budgétaire du

"Duflot" se fera pour sa part sentir en 2014 "compte tenu du décalage entre la date d'entrée en

vigueur du dispositif et les premières déclarations fiscales concernées", expliquent les économistes de

l'OFCE. Mais si en 2013 la prévision gouvernementale du lancement de la construction de 40 000

logements grâce au "Duflot" se confirme, le coût de la génération 2013 sera de 1 milliard d'euros sur

toute la durée d'application du crédit d'impôt.

Source : LaTribune.fr

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Immobilier : les ménages modestes y perdent

davantage lorsque les prix montent

Le 8/05/2013

Copyright Reuters

L'évolution des marchés immobiliers pénalise particulièrement les ménages modestes dans les zones

tendues. Ce sont en effet les biens les plus abordables qui y ont connu la plus forte croissance de leur

prix lors des quinze dernières années.

Il n'y a pas de doute, les ménages modestes ont été les plus affectés par la hausse inconsidérée des

prix de l'immobilier en France lors des ces quinze dernières années. Evincés des centres-villes

historiques car les logements y sont rapidement devenus inabordables, ils se sont reportés

massivement vers les quartiers les moins huppés des grandes métropoles, en banlieue ou en

couronne périurbaine. Revers de la médaille, les prix dans ces zones ont beaucoup plus augmenté

que dans les quartiers les plus aisés.

Les disparités entre quartiers huppés et plus abordables se sont réduites

En fait, "si l'on classe les biens immobiliers par décile de prix dans chacune des trois zones (ville-

centre, banlieue, couronne périurbaine), on constate que la hausse des prix entre 1998 et 2007 a

réduit les disparités entre quartiers huppés et abordables", indique François Cusin, co-directeur de la

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Chaire Ville et Immobilier à l'Université Paris-Dauphine, dans un article relayé par l'Observatoire

français des conjonctures économiques. "Cette réduction des disparités est imputable à une

valorisation plus forte des marchés les moins chers que des marchés haut de gamme", ajoute-t-il. La

timide baisse des prix qui s'est enclenchée après la crise de 2008 n'y a rien changé.

Marseille, exemple le plus révélateur

À Marseille par exemple, les marchés bas de gamme ont été très fortement valorisés. Entre 1998 et

2007, "les prix des appartements les moins chers dans le centre-ville ont crû de 420 euros le mètre

carré à 1.720 euros, soit une augmentation de 310 % en 9 ans, alors que les prix des appartements

les plus chers n'ont augmenté "que" de 179 %, passant de 1.280 à 3.570 euros le mètre carré",

indique François Cusin. En fait, à l'exception de Nice, les 12 plus grandes métropoles françaises ont

vu les prix de leurs appartements les moins chers progresser davantage que ceux de leurs

appartements les plus chers entre 1998 et 2007. Depuis, la tendance ne s'est pas retournée. Le prix

moyen par ville des résidences les moins chères a baissé de 10% au maximum lors des 5 dernières

années. Un niveau incomparable avec les hausses comprises entre 105 % et 310 % d'entre 1998 en

2007.

Les grandes métropoles seront toujours plus attractives

Ces grandes aires métropolitaines, où bassins d'emplois et universités se côtoient, restent, quoiqu'il

se passe, davantage attractives que le reste du territoire pour les ménages modestes. Ce, même si

leur pouvoir d'achat s'y dégrade. "Au final, la cherté des logements n'est pas un frein suffisant à

l'arrivée de nouveaux habitants dans les grandes métropoles, ni une cause de départ", remarque

Claire Juillard, également co-directrice de la chaire Ville et Immobilier à Dauphine.

La tendance est au creusement des écarts de prix entre les plus grandes métropoles et le reste du

territoire, accentuant les inégalités géographiques. François Cusin a d'ailleurs constaté que "les aires

urbaines les plus chères en 1999 sont celles qui ont le plus augmenté pendant les années 2000 et les

moins chères, celles qui ont le moins augmenté".

Source : LaTribune.fr

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Sécurisation des ascenseurs: Cécile Duflot

tranche en faveur des copropriétaires

Le 11/05/2013

La ministre du Logement Cécile Duflot a repoussé d'un an la date limite de la deuxième tranche des

travaux de mise en sécurité des ascenseurs, une décision saluée par les associations de

copropriétaires mais qui fait hurler à la "démagogie" les fabricants d'ascenseurs. (c) Afp

PARIS (AFP) -La ministre du Logement Cécile Duflot a repoussé d'un an la date limite de la deuxième

tranche des travaux de mise en sécurité des ascenseurs, une décision saluée par les associations de

copropriétaires mais qui fait hurler à la "démagogie" les fabricants d'ascenseurs.

Mme Duflot a officialisé par un discret communiqué, vendredi en fin de journée, "le report d'un an,

donc à début juillet 2014, de la date d'échéance de la deuxième phase" de modernisation des

ascenseurs "afin de permettre aux propriétaires d'effectuer les travaux nécessaires".

La date limite était auparavant fixée au 3 juillet prochain. Après la limitation de la vitesse de descente

et la sécurité des portes en 2010, l'échéance portait sur les dispositifs de télé-alarme, la précision

d'arrêt de l'ascenseur face aux portes et la protection contre les risques électriques.

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Le report à l'été 2014 s'accompagne d'un "moratoire concernant le dispositif de précision d'arrêt de la

cabine pour tous les ascenseurs". En l'état, l'obligation d'installation n'est maintenue que pour "ceux

installés dans des établissements recevant du public (ERP)".

Qui plus est, un "groupe de travail, piloté par les services du ministère" sera chargé de "réexaminer la

pertinence" d'imposer les dispositifs de précision d'arrêt dans tous les ascenseurs français "et, le cas

échéant, de proposer des solutions moins onéreuses" pour ceux installés en dehors des ERP.

"Ces mesures illustrent le +choc de simplification+ annoncé le 21 mars par le président de la

République dans le cadre du plan d'investissement pour le logement, qui vise à éliminer les

réglementations présentant le rapport coût/efficacité le moins probant", a fait valoir Cécile Duflot.

La ministre a justifié son choix par le "retard important" pris dans les travaux de mise aux normes,

"40% des ascenseurs n'étant toujours pas modernisés à moins d'un an de l'échéance", selon ses

services.

En outre, le bilan d'avancement a fait apparaître "un glissement en coût et nombre d'ascenseurs

finalement concernés" par les dispositifs de précision d'arrêt, avec des frais d'installation désormais

évalués à "environ 19.000 euros par ascenseur".

"Merci Madame la Ministre", ont réagi de concert l'Union nationale des responsables de copropriétés

(Unarc) et l'Association des responsables de copropriété (Arc), saluant une "victoire encore plus

importante que prévue".

Les deux associations militaient de longue date en faveur du report "pour faire jouer la concurrence" et

baisser les prix. Elles ont salué un "retour à la raison" sur les dispositifs de précision d'arrêt, "mesure

la plus coûteuse et la plus contestable".

"On en revient donc à la logique et au bon sens: d'abord obliger l'ascensoriste à régler correctement

l'appareil et l'entretenir correctement au lieu d'obliger les copropriétaires à mettre en place un système

coûteux, ensuite et si besoin à mettre en place un système adapté à chaque situation".

Colère en revanche des professionnels: interrogé par l'AFP, le délégué général de la Fédération des

ascenseurs (FA), Jean-Luc Detavernier, a fustigé "une décision démagogique et politique", accusant

Cécile Duflot d'avoir voulu jouer à "la bonne élève" du "moratoire sur les normes" voulu par l'Elysée.

La FA, qui regroupe 110 entreprises et 90% du secteur, récusait l'idée d'un report d'échéance des

travaux dépassant trois à six mois. Elle dénonce "un bon prétexte" offert aux copropriétaires "pour

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surseoir à leurs obligations" et mis en garde contre "l'impact négatif sur l'emploi" qu'elle chiffre "à court

terme" à "1.500 emplois directs et 500 emplois induits".

La date de fin des travaux a un impact économique important pour les ascensoristes, qui ont dégagé

en 2012 70% de leur chiffre d'affaires en maintenance et modernisation, alors que l'installation

d'appareils neufs a reculé de 5% et va continuer de chuter cette année.

Source : LeNouvelObs.com

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A propos de KYLIA

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

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