Sciences expérimentales et technologie CM 1 integral ~ Guide

5/14/2018 Sciences exp rimentales et technologie CM 1 integral ~ Guide - slidepdf.com

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Sciences expérimentales et technologie

CM1

Guide d’accompagnement

Rédaction :Bernard Talou

Coordination :Daniel Passat

Expert :

Christian Loarer



AuteurBernard TALOU

Professeur des écolesConseiller pédagogique

Coordonnateur

Daniel PASSATInspecteur d’académie

Inspecteur pédagogique régional établissements et vie scolaire

ExpertChristian LOARER

Inspecteur général de l’Éducation nationale

FICHIER D’ACCOMPAGNEMENT

CM1

SCIENCES EXPÉRIMENTALES ET TECHNOLOGIE



© Cned Toulouse

5CA04GUPA0111

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français d’exploitation du droit de copie (20 rue des Grands Augustins, 75006 Paris).

Ministère de l'Éducation nationale



Ficheméthodologique

1 cycle 3 - niveau 2 – Sciences expérimentales et technologie – f d’

Une année de sciences et technologie en CM1

Au cours des séances de ce manuel, votre enant va aborder des notions en sciences et entechnologie. Ces apprentissages lui permettront d’appréhender le monde dans lequel il vit, demieux le comprendre et quelqueois de le modier ou de modier son comportement. Ainsi, enaccédant à une meilleure compréhension du monde qui l’entoure mais aussi de son corps, l’enantdevient acteur de sa santé, il se sent responsable de son environnement et peut s’impliquer en tantqu’écocitoyen.

Au cours de cet enseignement, votre enant va également acquérir des méthodes qui sont propresà l’enseignement scientique comme la démarche d’investigation. Il apprendra également à

représenter ce qu’il voit par des schémas. Pour ce aire, il lui sera demandé de tenir un cahierd’expériences, de sciences, qui lui permettra de suivre sa propre évolution dans l’acquisition denouvelles connaissances.

Nous souhaitons un excellent parcours scientique à votre enant, espérant avoir pu susciter chezlui de la curiosité sur les phénomènes physiques et sur le monde qui l’entourent. Il pourra aborderle collège avec, nous l’espérons, des connaissances, des capacités et des attitudes scientiquesdéveloppées...

Les auteurs du cycle 3





Des références Les textes ociels, le « socle commun de connaissances » listent ces apprentissages en trois

domaines : les connaissances, les capacités de l’élève et les attitudes.

A. Connaissances

Elles sont déclinées dans les domaines essentiels abordés dans les manuels.

Les grandes lignes sont :

• le ciel et la Terre ;

• la matière (l’eau, l’air...) ;• l’énergie (besoins, économies...) ;

• l’unité et la diversité du vivant ;

• le onctionnement du vivant ;• le onctionnement du corps humain et la santé ;• les êtres vivants dans leur environnement (adaptation, chaînes alimentaires, évolution...) ;

• les objets techniques.

B. Capacités

« L’élève est capable de :

• pratiquer une démarche d’investigation: savoir observer, questionner ; • manipuler et expérimenter, ormuler une hypothèse et la tester, argumenter ; • mettre à l’essai plusieurs types de solutions, être critique ;





• exprimer et exploiter les résultats d’une mesure ou d’une recherche en utilisant un vocabulairescientique à l’écrit et à l’oral ;

• maitriser des connaissances dans divers domaines scientiques ; • mobiliser ses connaissances dans des contextes scientiques diérents et dans des activités de

la vie courante ;

• exercer des habiletés manuelles, réaliser certains gestes techniques.

C. Attitudes

• sens de l’observation ; • curiosité pour la découverte des causes des phénomènes naturels, imagination raisonnée,

ouverture d’esprit ; • esprit critique... par rapport à des situations diverses ; • intérêt pour les progrès scientiques et techniques ; • observation des règles élémentaires de sécurité dans l’usage de l’électricité ;

• responsabilité ace à l’environnement, au monde vivant, à la santé... ».





La démarche d’investigation

Elle est préconisée dans les programmes 2008 et dans le socle commun de connaissances.À la n du CM2, l’élève devra « pratiquer une démarche d’investigation : savoir observer,

questionner, manipuler et expérimenter, ormuler une hypothèse et la tester, argumenter,

mettre à l’essai plusieurs pistes de solutions, exprimer et exploiter les résultats d’une mesure

ou d’une recherche en utilisant un vocabulaire scientifque » .

Faire des sciences, c’est partir d’une observation du réel ou d’un questionnement apporté àl’enant. On l’invite à aire le point sur ses représentations initiales (rubrique « Que sais-tu ? »).Au travers d’activités, on lui propose une investigation qui se décline de plusieurs manièresdiérentes en onction du thème abordé :• l’expérience est chaque ois que possible privilégiée ;• la lecture de documents ;• la manipulation ;• l’enquête, la réponse à un questionnaire qui oriente son observation.

L’enant est guidé dans son apprentissage : il remet en cause ses représentations initiales.La rubrique « Faisons le point » correspond à la synthèse des notions à retenir. Les exercices

d’entraînement permettent de réinvestir les notions nouvellement acquises et de lesconsolider (rubrique « Entraîne-toi » ). Enn, la rubrique « Pour aller plus loin » propose paroisd’approondir les notions.







Le dessin d’observation / Le schéma d’expériences

Chaque ois que c’est pertinent, on demande à l’enant de dessiner ce qu’il voit. Un dessind’observation ou un schéma d’expérience ou de manipulation doit respecter les contraintessuivantes :

• un dessin scientique doit toujours être réalisé au crayon à papier (éviter les crayons decouleur) ;

• le dessin doit occuper au moins la moitié de la page ;• il doit être précédé d’un titre ;•

les fèches de la légende doivent être tracées à la règle, elles ne doivent pas se croiser ;• l’élève doit écrire lisiblement pour être lu. Il doit également respecter les proportions entre

les diérentes parties de l’objet ou de l’être vivant représenté.

F h





Le cahier d’expériences et d’observations : traces écrites et leçons

Les travaux de l’enant ont l’objet d’écrits divers consignés dans un cahier d’expériences etd’observations. Il est l’outil essentiel de l’apprentissage des sciences en cycle 3. Il permet àl’élève de aire le point sur ses connaissances, de garder la trace de ses investigations, puis de laleçon qu’il devra retenir. Cet outil devra être organisé : la date du jour y gure ainsi que le titrede la leçon (ou question). Il comprendra également les rubriques « Que sais-tu ? » où l’enantindique les réponses qu’il pense être justes , « Expérimente »... et « Faisons le point » qui est laleçon à retenir. La leçon est un texte à trous à compléter et à recopier.

Il est important que cela reste le cahier de l’élève. Il pourra donc le compléter à son gré par des

remarques, des images, des dessins... si possible légendés et datés.

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Lecture d’un texte, d’une image

En sciences, de nombreux textes sont associés à des photographies, des illustrations, desschémas... Ces derniers jouent un rôle important. Ils aident à mieux comprendre le textequi l’accompagne. Cependant, la lecture des textes/images est un apprentissage. Il aut aiderl’élève à acquérir une méthode de lecture de ces documents. Ils peuvent lire par exemple unepremière ois le texte et les illustrations, puis lire les paragraphes en lien avec chaque illustrationde açon à mieux comprendre l’inormation explicitée dans le schéma correspondant.

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Les outils

Pour l’aider dans son apprentissage, l’élève doit disposer d’un certain nombre d’outils :

• un dictionnaire (électronique ou papier) pour rechercher la dénition des mots nouveaux, pour répondre à desquestions ;

• un atlas si possible, il est parois demandé de localiser telle ou telle région ;

• acultati : des livres documentaires ;

• un ordinateur connecté à Internet*.

Il s’entraînera à dessiner, à observer puis à aire des croquis qu’il mettra dans son cahier de sciences.

Les recherches par ordinateur vont lui permettre de répondre à des questions (enquêtes) et d’acquérir de l’autonomie dansses démarches d’investigation. Les chiers créés seront rangés dans des dossiers bien repérés.

*en continu ou occasionnellement : les réponses ou enquêtes peuvent être reportées...Les instruments de mesure : généralement, ce sont des instruments qui doivent aire partie de l’environnement del’élève :

• un outil de mesure de masses (type balance ménagère) ;

• des outils de mesure de longueurs (centimètre de couturière, mètre de maçons...), de capacité (verre doseur de cuisine),de température (thermomètres), de mesure du temps (montre avec trotteuse ou chronomètre).

Attention : avant d’utiliser un thermomètre, vérier le maximum et le minimum admissibles par l’appareil an d’éviter del’endommager.

Les élèves devront également savoir s’en servir (c. méthode ci-dessous).

Comment utiliser un thermomètre pour mesurer la température de l’eau contenue dans un verre ?Placer le réservoir du thermomètre dans le récipient.

1. Attendre que le liquide coloré s’arrête de monter ou de descendre dans le tube.

2. Placer ses yeux ace à la limite du liquide coloré.

3. Lire le nombre indiqué par la graduation. Écrire ce nombre en degrés (°C)

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La sécurité

Il est souvent demandé à l’élève de manipuler. L’utilisation d’un cutter ne se era que par l’adulte accompagnateur. Pour lereste, les manipulations proposées sont sans danger.

De la même açon, toutes les manipulations avec l’électricité ne seront aites qu’avec des piles. Seules des observationspourront être prévues à propos d’appareils branchés sur le secteur.

Pour les appareils producteurs de chaleur, l’accompagnateur surveillera le déroulement de l’expérience proposée etempêchera toute brûlure. Les expériences citées utilisent du matériel de cuisine assez classique. (réchaud, casserole, verres...).

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Pour aider l’enfant à utiliser son manuel

Questionssur ce que tu

sais oucrois savoir.

Expériencesà réaliser avec

l’aide de l’adulte.

Documentsà observer etcomprendre

Résuméà compléter et

à conserver dans

ton cahier desciences

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La place des exercices

Toutes les séances de travail se terminent par un ou plusieurs exercices. Ils permettent à l’élèvede réinvestir les notions acquises au cours de la leçon. C’est pourquoi il est important que l’élèves’entraîne au ur et mesure de ses apprentissages. Au cours de ces exercices, il convient d’encouragerl’élève à reprendre la leçon an de rechercher les inormations qu’il a oubliées ou les notions noncomplètement acquises.

Chaque séance est également accompagnée d’un exercice interacti, à réaliser en n de séance.

Ils sont repérés sur le manuel par le logo

Ces exercices reprennent les points essentiels de la leçon mais certains invitent l’enant à aller plusloin. Là encore, l’élève peut s’aider du chier en cas de doute. Une touche permet également devisualiser la correction. Elle n’est à utiliser que pour vérier les réponses. En cas d’erreur, l’élève doitchercher à comprendre les bonnes réponses puis il est souhaitable qu’il recommence l’exerciceautant de ois que nécessaire.

Fiche





La place de l’évaluation

Évaluation formative : évaluer pendant l’apprentissagePendant les situations d’apprentissage, l’accompagnateur aura à valider les réponses de l’élève. Ilpeut expliciter les consignes mais il devra inciter l’élève à répondre seul aux exercices proposés.

Au delà des connaissances scientiques, on va vérier que l’élève acquière de l’autonomie dansses raisonnements, qu’il développe de la curiosité, qu’il apprenne à observer scientiquement,c’est-à-dire en essayant d’expliquer les phénomènes qui l’entourent, à argumenter, à schématiser, àmodéliser. La démarche d’investigation proposée doit développer « la créativité, l’esprit critique etl’intérêt pour le progrès scientique et technique. » On peut réquemment l’interroger sur ce qu’il

sait, sur ce qui a déjà été abordé lorsqu’il travaille dans une séquence. Les rubriques « Faisons lepoint » rappellent l’essentiel de ce qui doit être retenu.

Les exercices en ligne sont autocorrectis et permettent à l’élève de s’entraîner et de vérier sesconnaissances.

Évaluation sommative : évaluer après l’apprentissage

Durant l’année il est proposé quatre évaluations de bilan reprenant l’essentiel des notions à acquérir.Ces évaluations seront envoyées régulièrement à l’enseignant correcteur (calendrier xé) qui les

retournera avec ses commentaires et ses recommandations.



Fiche





Annexe - L’organisation des activités sur l’année

Séquence 1

Mélanges et solutions, l’eau

Séance 1 Quels sont les liquides qui se mélangent ? Quels sont les solides qui se dissolvent ?

Séance 2 Du sel dans l’eau

Séance 3 L’eau que nous consommons, que nous abriquons, que nous rejetons

Séquence 2

L’unité du vivant

Séance 1 Le vivant

Séance 2 Les ressemblances chez les animaux

Séance 3 Un critère de ressemblance chez les végétaux. Végétaux et animaux

Séquence 3

La reproduction

Séance 1 La reproduction des mammières

Séance 2 La reproduction des oiseauxSéance 3 La reproduction des plantes

Séquence 4

L’adaptation des êtres vivants à leur milieu

Séance 1 Histoire de monarques et de phasmes, histoire de cactus

Séance 2 Histoire de renard, de panda, histoires de couleurs, de naissances, de sommeil, devoyages...

Séance 3 Et chez nous ? Et l’homme dans tout cela ?

Séquence 5

La dentition, la digestion

Séance 1 La dentition, les dents, l’hygièneSéance 2 La digestion

Séance 3 Digérer : l’absorption

Pour aller plus loin : valeurs énergétiques et nutritionnelles de certains aliments

FicheFiche







Annexe

Séquence 6

La respiration et la circulation du sang

Séance 1 La respiration

Séance 2 La circulation sanguine

Séance 3 Le rôle du sang

Pour aller plus loin : porter secours en cas d’accident

Séquence 7

Des fabrications : circuits électriques, montages avec des poulies, des engrenages

Séance 1 L’électricité. Utilisation et sécurité

Séance 2 Circuits électriques, poulies et engrenages

Séance 3 Des engrenages pour transmettre le mouvement

Pour aller plus loin : un objet d’étude, la bicyclette

Séquence 8

L’énergie dans notre quotidienSéance 1 Les sources d’énergie et leur utilisation

Séance 2 L’électricité dans notre quotidien

Séance 3 Pourquoi économiser l’énergie ?

Séquence 9

Le ciel et la Terre

Séance 1 La durée du jour, de la nuit, des saisons

Séance 2 Le calendrier, la rotation de la terre

Séance 3 La lune

Séquence 10

L’informatiqueSéance 1 Des outils de communication et de textes

Séance 2 À chacun son caractère, traitements de textes

Séance 3 Recherches sur Internet, la valeur des données

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séquenceMélanges et solutions, l ’eau

C qu dot ad l’lèv das cs sacs : il vaconsolider sa connaissance de la matière concernantles mélanges de liquides : miscibles, non miscibles. Il va

comprendre que les liquides qui ont des « poids » diérentsne se mélangent pas. Il va découvrir ensuite la notion desoluble/non soluble, et va comprendre la conservation dela matière dans les solutions (ou solutés), la diérence eaupure/potable, et qu’une eau limpide peut contenir dessubstances dissoutes.

Quels

sont

les

liQuides

Qui

se

mélangent

?Quels sont les solides Qui se dissolvent ?

L’élève va découvrir les situations au ur et à mesure. Il doitcommencer à répondre aux questions V ou F sur son cahieraprès avoir recopié « Que sais-tu ? ».

A1 : a. F b. F c. V A2 : FA3 : F A4 : VA5 : V A6 : V (ex. les marais salants)A7 : F

A8 : V (il y a des stations d’épuration)À la n de la séquence, il pourra revenir sur ses réponses.

Stuato 1

Faire l’expérience décrite, recopier le tableau et le compléter.Eau/vinaigre et eau/sirop sont miscibles.

Stuato 2

Observer les documents proposés, répondre aux questionssur le cahier. Réponses attendues : « Les liquides n’ont pas lemême poids. » « On voit qu’ils ne sont pas miscibles. »

Stuato 3

A. V1 : le sable reste au ond du verre, il n’est pas soluble. ;V2 : le sel s’est dissout : il est soluble ; V3 : le caé nese dissout pas entièrement même s’il modie la couleurde l’eau : il n’est pas soluble (si on possède du caésoluble, on peut montrer la diérence...) ; V4 : nonsoluble ; V5 : le sucre se dissout : il est soluble ; V6 : laarine se mélange mais se dépose par la suite : elle n’est

pas soluble ; V7 : idem pour la terre.B. On commence, dans 7 verres ou gobelets en plastique

« cristal » à eectuer les mélanges proposés. L’enantdessine chaque verre V1, V2… et écrit « soluble/nonsoluble » sous chacun d’eux en onction de ce qu’il voit.Il essaie ensuite d’envisager toutes les procédures pourséparer les corps qu’il a mélangés. Il répond sur soncahier. À vérier surtout pour l’évaporation (laisser legobelet dans un endroit ventilé ou sur un radiateur...).

Stuato 4

Relevé de mesures et comparaison. Les masses s’ajoutent.

Stuato 5

Réponses sur le cahier : pas de diérences visibles. Onpourrait boire B. Une seule est consommable. On ne boitpas l’eau de mer, elle est trop salée.





Stuato 6

Réponses attendues

a. Non b. Oui c. 12 (+ eau)d. Le calcium . Les phosphates.

Recherche sur internet : l’enant peut imprimer un passageintéressant.

L’élève peut maintenant réaliser les activitésinteractives de la séance.

du sel dans l’eau

Stuato 7

Réponse complexe que les expériences qui suivent devraientéclaircir

A. L’eau « a disparu », elle s’est évaporée. Il reste unematière blanche : du sel.B. L’eau de la solution salée s’est évaporée et le lmplastique a permis de récupérer la vapeur d’eau qui estdevenue de l’eau douce dans le verre.

Stuato 8

Plus dicile – exercice « expert » : mettre de l’eau, ltrer lemélange pour enlever le sable. Chauer pour aire évaporerl’eau et récupérer le sel qui reste dans le récipient.

L’expérienCe

Les mélanges proposés ne devraient pas poser de grandesdicultés. Bien remuer puis laisser reposer les mélangesavant de conclure.

TrACe éCriTe

Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voiciles phrases qu’il doit obtenir.

Fasos l ot 1Quand les liquides peuvent se mélanger, on dit qu’ils sontmscbls. Le mélange obtenu est homogè (ex : sirop eteau) Il n’y a ni particule en suspension, ni dépôt au onddu récipient. S’ils ne sont pas mscbls, le plus léger reste

au-dessus du plus lourd. (ex : huile et vinaigre) C’est alorsun mélange htogè. À quantité égale, c’est le liquide leplus loud qui reste au ond et c’est le plus lg qui resteen haut du tube.

Fasos l ot 2Un matériau est solubl lorsqu’il peut se dissoudre (ex : sel,sucre...) Il est solubl (ou o solubl) quand il ne peut sedissoudre : il y a un dépôt ou des particules en suspension.La mass du sel s’ajoute à celle de l’eau.

Fasos l ot 3On peut récupérer du sel dssout dans l’eau par évaporationde cette eau. Ex : ls maas salats.Pour dessaler l’eau de mer, on peut aire chau l’eausalée et récupérer l’eau douce par vaoato puis parcodsato.


é





l’eau Que nous consommons, Que nous fabriQuons et Que nous rejetons

C qu dot ad l’lèv das la sac : il vas’apercevoir que l’eau doit être nettoyée avant d’être utiliséepar l’homme. Il va prendre conscience qu’on doit économiserson utilisation. Il va également comprendre qu’après avoirutilisé l’eau pour son usage, l’homme va la nettoyer avantde la remettre dans la nature, pour éviter de détruire sesressources. De même, il audra veiller à ne pas la polluer.

Stuato 9

a. 1 + 3 + 16 + 16 + 31 + 60 = 127 litres

b. par 3 en eet 3 x 60 = 180 litres

c. (31 x 4) : 2 = 62 litres par jour ; 62 x 30 = 1 860 litrespar mois et 6 x 365 = 22 630 litres en un an, soit 23 m3 environ!

Stuato 10

L’eau est puisée dans la vè ou dans une a

hatqu. Comme elle n’est pas potable*, elle estacheminée dans une us de tatmt. Pour êtredistribuée dans les maisons avec une pression susante, ellepasse par un châtau d’au. Les eaux usées sont ensuiterejetées par les maisons. Elles sont conduites par les goutset arrivent à la stato d’uato. L’eau est ltrée etpuriée puis rejetée dans la vè.

Stuato 13 (réponses indicatives)

a. 1. Les usines rejettent de l’eau polluée dans les rivières.

2. Les huiles de vidanges, si elles sont jetées dans lanature, vont polluer les nappes phréatiques.

3. Les eaux des égouts, rejetées directement dans lesrivières, les polluent.

4. Les hydrocarbures transportés peuvent accidentelle-ment être déversés dans la nature.

5. Le dégazage ou les accidents des pétroliers polluentles mers.

6. Les décharges sauvages déversent des produitstoxiques.

7. Le surdosage des engrais utilisés dans l’agriculturepolluent les nappes phréatiques.

8. Les élevages intensis peuvent concentrer des rejetstoxiques qui vont dans les nappes phréatiques.

b. Solutions : ltrer toutes les eaux rejetées, obliger àcollecter les huiles usées, réduire l’utilisation des engrais,empêcher les décharges sauvages.

c. Faire attention à ne pas laisser les robinets ouverts,surveiller les uites dans l’installation, surveiller etprévenir les rejets de matières polluantes en portant mes

déchets dans les décharges contrôlées.

é





TrACe éCriTe


Fasos l ot 4L’eau que nous consommons provient d’une ahatqu, d’une vè ou d’un lac. Avant d’arriver ànotre maison, elle est traitée dans une us d’au. L’eauest alors otabl nous pouvons la boire.

Fasos l ot 5C’est l’êt huma qui pollue les eaux dans de multiples cas.Touteois les eaux uss rejetées par les villes sont traitéesdans des statos d’uato qui les nettoient avant derejeter l’eau u (ttoy) dans le mlu atul.


séquence




séquenceL’unité du vivant

C qu dot ad l’lèv das cs sacs : au CE2,il a déjà abordé les diérences entre les êtres vivants, ladiversité. Il va maintenant découvrir que le vivant a aussi une

unité, qu’il y a des caractères communs entre les diérentesespèces vivantes. Il en déduira par la suite qu’on peut lesclasser de diérentes açons. On commencera par un rappelde la notion de vivant-non vivant. Par la suite, dans le cadrede la place de l’écrit descripti, il va devoir écrire de courtstextes autour de ce qu’il perçoit de l’aspect physique deplusieurs animaux photographiés. Ainsi, il va mieux observerles caractéristiques morphologiques des animaux.

le vivant

Répondre au questionnaire « Que sais-tu ? ».

A1 : F Une euille de papier peut s’envoler.A2 : F Les arbres ne se déplacent pas, et pourtant ils sont

vivants.A3 : V Exemple l’homme...A4 : F

A5 : VB1 : FB2 : F Il y en a beaucoup, exemple : ils ont un squelette.B3 : FB4 : VB5 : V

C1 : FC2 : VC3 : V

C4 : F Plus de 1 000 000 en réalité.C5 : V

Stuato 1

PoupéeSableMerleHerbeCer-volantPrunier

GaletMoto

NVNVVV

NVV

NVNV

ChampignonEau de merCamaradeMousseChevalSauterelle

VoitureOrdinateur

NVNVVVVV

NVNV

Stuato 2

La description peut être sommaire... Attention auvocabulaire utilisé... L’enant doit trouver des descriptionsqui correspondent à une observation de chaque animal,en précisant les caractères physiques visibles. Il peut aireégalement appel à ses connaissances de l’animal évoqué.

Exemple : le chat est un animal dont le corps est couvert

de poils, ses oreilles sont pointues et son museau porte des

moustaches. Ses dents sont aiguisées et ses quatre pattes

sont terminées par des gries.


é





les ressemblances chez les animaux

C qu dot ad l’lèv das la sac : l’observation des caractères communs aux êtres vivants continue avec desobservations guidées sur des animaux connus par les enants. Il va aire le lien entre l’homme et les êtres vivants sur descaractères communs.

Stuato 3

Animal 2 yeux 1 bouche Des poils sur le corps Pattes (nombre) Moustaches 2 antennes

Le phasme O O N 6 N O

La mante religieuse O O N 6 N O

Le chat O O O 4 O N

L’âne O O O 4 N N

Le cheval O O O 4 N N

Le poisson O O N 0 N N

Le lapin O O O 4 O N

La poule O O N 2 N N

Q1 - Caractères communs : 2 yeux, 1 bouche, des oreilles (ou ouïes) parois peu visibles.Q2 - Le chat, l’âne, le cheval, le lapin. Q3 - Le chat, l’âne, le cheval, le lapin.Q4 - Le chat, l’âne, le cheval, le lapin. Q5 - Le chat, l’âne, le cheval et le lapin ont des caractéristiques communes : 2 yeux,

1 bouche, des poils sur le corps, des dents et de grandes oreilles, 4 pattes, etc.Q6 - La plupart des caractéristiques énoncées ci-dessus, 2 jambes au lieu de 4 pattes...Q7 - Permettent de se déplacer. Q8 - Permettent de se nourrir et boire. Q9 - L’eau est nécessaire aux animaux.

séquence





Stuato 4

Points communs Vaches écossaises dites des « Highland » Vaches d’Auvergne (France) de race charolaise

Cornes Longues Courtes

Yeux 2 2

Poils Longs Courts

Elles mangent... De l’herbe De l’herbe

Elles produisent... Du lait, de la viande Du lait, de la viande

Les poils longs : pour mieux résister au roid de l’hiver.

Stuato 5

On peut mettre ensemble : l’éléphant et le rhinocéros pour leur couleur grise, la poule et le dindon à plumes, le singe et legorille pour leur ressemblance, le zèbre et l’âne pour leur silhouette, l’ara et la mouette sont des oiseaux...

Stuato 6

1 : X 2 : l’ara 3 : la vache des highland 4 : X 5 : le zèbre

6 : l’éléphant 7 : X 8 : le poisson 9 : la mante religieuse 10 : X

TrACe éCriTe

Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici les phrases qu’il doit obtenir.

Fasos l otLes êts vivants ont de nombreux points commus. On les regroupe par sècs. L’homme est une sèc unique.

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

séquence





C qu dot ad l’lèv das la sac : l’observationdu vivant va maintenant s’orienter vers le végétal à partirde caractéristiques communes : les végétaux ont besoind’eau, se nourrissent, respirent et se reproduisent (séquencesuivante). Pour nir, un peu de botanique : d’où vient lenom latin des plantes... approche intuitive liée à l’utilisationde la langue (étude acultative).

Stuato 7

La masse a considérablement diminué : l’eau contenue dans

la laitue s’est évaporée. La laitue contenait XXX grammesd’eau (diérence entre les deux pesées... à calculer).

LeS expérienCeS

La laitue est pesée en début d’activité puis une dizaine de jours après. Bien noter la date et le résultat de la pesée. Unesimple diérence permettra de connaître la quantité d’eauque contenait la salade.

TrACe éCriTe


Fasos l ot

Tous les êts vivants se ousst, cosommt de l’au et respirent.Chaque espèce peut être désignée par un om sctqu.


séquence




séquenceLa reproduction

la reproduction des mammifères

C qu dot ad l’lèv das la sac : de lacréation à la naissance chez un vivipare, ici le cheval. Larencontre de l’ovule et du spermatozoïde orme la cellule-œu qui devient un embryon.


A1 : V A2 : V A3 : V A4 : F A5 : V

B1 : F B2 : V B3 : F B4 : V B5 : V B6 : FB7 : V

Stuato 1

À partir des images proposées, l’élève peut créer un texte(quelques phrases) du type : après l’accouplement du

cheval et de la jument, l’ovule de la emelle rencontre un

spermatozoïde du mâle : c’est la écondation. L’embryon se

développe dans l’utérus de la jument qui donnera naissance

à un poulain .

Stuato 2

Vache, chat, chien, lapin...

LeS expérienCeS

Il s’agit plutôt d’observations des photos proposées, desschémas explicatis. L’élève peut également observer le mode

de vie d’animaux autour de lui : comment ces animaux sont-ils nés ? Quel est le mâle, la emelle ? Toute observation,enquête dans ce sens pourra aider l’enant à comprendre lesconditions de reproduction des êtres vivants.

TrACe éCriTe


Fasos l otL’œu est le début d’un être vivant : il provient de la rencontre

entre une cellule sexuelle mâle, le spermatozoïde, et unecellule emelle, l’ovule. Leur rencontre est la écondation.Pendant la gestation, après une certaine période, l’embryonse développe puis c’est la naissance.


séquence





la reproduction des oiseaux

C qu dot ad l’lèv das la sac : par desobservations, il sera amené à se poser les questions de lareproduction pour les oiseaux (ovas) et pourra compareravec le mode de reproduction des vivipares (activité 3.1).

Stuato 3

Observation d’un œu. Description possible : il y a deux

parties, le blanc, qui est transparent, et le jaune, rond, au

milieu. Une tache rouge apparaît sur le jaune (si l’œu a étéécondé... voir œus de erme).

Stuato 4

Description : un coq et une poule s’accouplent, les

spermatozoïdes du mâle vont rencontrer l’ovule produit par

la poule, ce qui donnera un œu, et par la suite un poussin .Pour que l’œu puisse donner un poussin, il a dût êtreécondé par un coq.

Stuato 5

Dans l’œu, le poussin va se développer régulièrementpendant 21 jours, puis ce sera l’éclosion. Le jaune et le blancont disparu car ils constituaient la réserve du utur poussin.Le germe rouge donnera l’embryon.

LeS expérienCeS

Une observation d’un œu de poule, si possible de erme,montrera la place du germe rouge qui aurait pu engendrer

un embryon puis un poussin. Bien préciser :• que les œus servant à la reproduction seront placés dès

la ponte dans une couveuse et tenus de 30 à 36 degrés ;

• que tous les œus ne servent pas à la reproduction et neseront pas écondés dans ce cas.

TrACe éCriTe

Il est important que l’élève rédige sa propre trace écrite. Voici

les phrases qu’il doit obtenir.Fasos l otPour que l’œu de poule puisse donner assac à unouss, il doit avoir été cod par un coq. Il apparaît alorsun gm rouge qui va grandir pour devenir un mbyo etpar la suite un ouss. L’œu contient toutes les svs utiles au développement de l’mbyo.


séquenced





la reproduction des plantes

C qu dot ad l’lèv das la sac : il vacomprendre que les plantes, qui sont vivantes, vont avoirplusieurs modes de reproduction, parmi lesquels onabordera la reproduction sexuée et asexuée.

Stuato 6

Il s’agit de aire germer des graines de haricots (ou autresdisponibles : lentilles, radis...) simplement pour se rappeler

qu’une graine peut donner une plante. L’observation de sacroissance sera l’objet de relevés sur lesquels apparaîtront ladate et la mesure de la tige obtenue ainsi que toute autreremarque. Un relevé est proposé si l’observation ne peutêtre aite.

Stuato 7

Insister sur la compréhension des termes employés. Faireutiliser un dictionnaire ou internet éventuellement.

A. Organe reproducteur emelle/le pistil

B. Un pétaleC. Une étamine/organe reproducteur mâle

D. Des grains de pollen

Stuato 8

1. La tulipe peut se reproduire de deux manières.2. Je planterai des bulbes.

Stuato 11

Reproduction sexuée(mâle + emelle)

Reproduction asexuée(sans distinction)

Avec des feurs,

avec des bulbes

Par marcottage,par

bouturage, avec des bulbes

LeS expérienCeS

Stuato 6Observer la croissance d’une graine de haricot ou autre.Prévoir un tableau d’observation sur le cahier de sciences.On le remplira tous les 5 jours environ.

Stuato 9

Si c’est possible, prélever une branche d’une des plantescitées (ou autres disponibles et qui se prêtent au bouturage,voir enquête locale...) puis la mettre dans un vase remplid’eau. Noter la date et relever la date d’apparition desracines. La plantule pourra être mise en terre lorsque les

racines seront susamment développées.Pour les autres situations, il s’agit de lecture et de remarquesà propos des photos proposées.

séquence




quLa reproduction

TrACe éCriTe


Fasos l ot

plantes à feurs : après la codato, le stl de la feurse transorme en ut. Celui-ci contient des gas. Lagmato de la graine donne une nouvelle plante. Il s’agitlà d’une reproduction asexuée - sexuée (choisis).

Autres technques : si je plante un bulb de tulipe, ilapparaît une fu qui laissera dans le sol un nouveaubulb. En coupant un morceau de certaines plantes, je peuxreproduire la plante par boutuag. Lorsqu’on récupère unrameau rampant, on peut aire du macottag pour obtenir

de nouvelles plantes.


séquenceL’ d t ti d êt i t à l ili




qL’adaptation des êtres vivants à leur milieu

histoire de monarQues et de phasmes, histoire de cactus

C qu dot ad l’lèv das la sac : à partirde la découverte de diérents modes de vie de quelquesanimaux et végétaux, l’élève va comprendre que ces êtresvivants sont adaptés (ou s’adaptent) à l’environnement (aumilieu) dans lequel ils vivent.


A1 : FA2 : VA3 : F

B1 : VB2 : FB3 : FB4 : V

C1 : FC2 : VC3 : V

L moaqu L hasm

Nourriture

Se nourrit

de plantestoxiques pourles prédateurs :

l’asclépiade

Végétarien, il se

dissimule dansles plantes qu’il

consomme

Ses déplacementsMigration sur

4 000 km

La nuit surtout.Sinon imite les

coups de vent surune brindille...

Son aspect

Des couleursvives qui sont un

signal pour lesprédateurs : ilssont toxiques !

Ressemble aumilieu dans

lequel il vit. Ilest donc dicileà voir dans la

nature.

Ses moyens dedéense

Devient toxiquepour ses

prédateurs

Peut sécréterdes substancestoxiques. Sinonse dissimule dumieux possible.

Ses ennemis

Les oiseaux, puis

maintenant leshommes avec ladéorestation ou

la pollution.

De nombreux

prédateurs :oiseaux,rongeurs,

araignées...

séquenceL’ d d ê à l l




qL’adaptation des êtres vivants à leur milieu

CactusQ1 Région aride : très sèche (il y pleut moins de 250 mm

d’eau par an).

Q2 La hauteur d’eau de pluie est très aible :200 mm < 250 mm.Q3 Il a un réseau important de racines et ses branches et sa

colonne la stockent rapidement. Ses branches et colonnesont cirées et il n’a pas de euilles.

Q4 De grandes racines, des réservoirs à suc, des branchescirées lui permettent de capter et de conserver l’eaulorsqu’il en trouve.


histoire de renard, de panda, histoires de couleurs, de naissances, de sommeil, de voyages...

radQ1 L’été → ruits et graines / l’automne → ruits et graines /

l’hiver→

mammières / au printemps→

mammières.Q2 Il adapte sa nourriture à ce qu’il trouve dans sonenvironnement.

Q3 Les oiseaux ont des dicultés l’hiver où il y a moins degraines disponibles...

padasQ1 Le panda, car il ne diversie pas sa nourriture. S’il n’y a

pas de bambous, il ne survit pas. De plus, il lui en aut

beaucoup...Q2 C’est un animal protégé.Q3 Exemples : le tigre du Bengale, des dauphins, des gorilles,

le dauphin blanc... (selon les recherches eectuées).

CoulusQ1 Pour ne pas se aire repérer dans la neige.Q2 Fourrure épaisse, graisse sous la peau, duvets des

oiseaux...

nassacs

La nourriture sera plus acile à trouver et les températuresplus clémentes pour les nouveaux-nés.

SommlLa nourriture est plus dicile à trouver et il aut s’adapterau roid.

VoyagsQ1 Pour vivre dans des régions où elles auront de la

nourriture (insectes).Q2 Elles doivent se nourrir susamment.

Q3 Oiseaux essentiellement : grues, palombes, oies,canards... Poissons : saumons, truites...Q4 En onction des saisons, elle vit sous des températures

semblables.Q5 Certaines hirondelles ont été baguées et ainsi bien

repérées par les scientiques.

séquenceL’ada tation des êtres i ants à le r milie




qL adaptation des êtres vivants à leur milieu

LeS expérienCeS

Une observation est proposée en début de séance : elleprépare l’élève à l’observation des êtres vivants et de la

nature qui les entoure.Les êtres vivants s’adatt au mlu dans lequel ils vivent(c’est-à-dire à leur environnement). Pour passer l’hiver lesanimaux peuvent :

• eectuer une mgato vers les pays chauds ;• hb dans un abri qu’ils se construisent ;• changer de coulu pour qu’on ne les voit pas ;• rester actis avec des lums ou une ouu plus

épaisse (oiseaux, mammière).


et chez nous ? et l’homme dans tout cela ?

C qu dot ad l’lèv das la sac : après unaperçu de l’adaptation des plantes et de certains animaux,

l’élève va prendre conscience que l’homme lui aussi s’adapteà son environnement et que son action peut avoir uneinfuence sur celui-ci.

et chz ous ?Q1 Nous nous abritons, nous nous chauons dans nos

habitations ou nous nous habillons plus chaudement.

Q2 Pour mon chat, il a grossi en retenant de la graisse quis’est mise un peu partout sous la peau. Il la perdra dès lesbeaux jours. C’est une orme de réserve qui est souvent

utilisée par les mammières.

et l’homme dans tout cela ?

a. se repérer dans le temps Pendule, montre, cadransolaire...

b. s’orienter dans l’espace Sextant, boussole,observation astres...

c. s’abriter du mauvaistemps

Maisons, vêtements,chauages...

d. se déplacer Voitures, bicyclette,utilisation des chevaux...

. dormir, se reposer Lit, auteuil, chaise...

. manger chaud Appareils de cuisson, le eu,l’énergie domestiquée...

g. conserver ses aliments Rérigérateur, récipientsadaptés...

h. nettoyer le linge Savons, lessives, machines...

. compter Les mathématiques,

la comparaison decollections...

j. s’éclairer La lampe à huile,l’éclairage, électricité,ampoules...

séquenceL’ d t ti d êt i t à l ili




L adaptation des êtres vivants à leur milieu

LeS expérienCeS

Pas d’expérience prévue dans ce type de séance.

TrACe éCriTe


Fasos l ot

Tous les êtres vivants, d’une açon générale, s’adatt àl’environnement dans lequel ils vivent.

L’homme doit préserver la nature en surveillant les espècesamals ou vgtals menacées de disparition.


séquenceLa dentition la digestion




qLa dentition, la digestion

C qu dot ad l’lèv das cs sacs : le rôlede la dentition, les règles d’hygiène bucco-dentaire serontabordés dans cette première partie. L’élève va aire le lien

entre ses habitudes d’hygiène et les raisons pour lesquelleselles sont nécessaires.

la dentition, les dents, l’hygiène

Dans un premier temps, le questionnaire restitue lesconnaissances dans le domaine abordé.

A1 : F A2 : V A3 : F A4 : F A5 : VA6 : V A7 : F A8 : F A9 : V A10 : F c’est 3 minutes.

B1 : V B2 : V B3 : F B4 : V B5 : FB6 : V B7 : V B8 : F B9 : F pas plus que le reste...malgré la légende !!!

C1 : V C2 : F C3 : V C4 : V C5 : V C6 : VC7 : V

Stuato 1

Mes dents de devant coupent la pomme et je l’écrase avec

les dents du ond (molaires) puis je l’avale. Le couteau coupele quartier de pomme que j’écrase ensuite avec la ourchette.

Les incisives ressemblent au couteau et les molaires à laourchette qui écrase.

Stuato 2

Pour connaître l’état des dents du patient. Les amalgamesservent à reboucher les dents victimes de caries. 32 dents.

Stuato 3

Q1 Substance (blanche) qui se dépose sur les dents et quicontient des bactéries.

Q2 Elle avorise l’apparition des caries (trous dans les dents).Q3 La mauvaise hygiène dentaire, les sucres (ou bonbons...)

avorise son apparition.

Stuato 4

Q1 Se brosser les dents, avoir une meilleure hygiènedentaire, aller voir le dentiste...

Q2 Je me brosse les dents surtout le soir...

Stuato 5L’émail est attaqué par les bactéries présentes dans la plaquedentaire. Le sucre. Le brossage régulier des dents et le fuor.C’est la surveillance aite par un dentiste (tous les 3 ans auminimum).

Stuato 6Schéma légendé avec les mots proposés (correction possibleavec un schéma d’un dictionnaire).






TrACe éCriTe


Fasos l ot

Les dents sont nécessaires au broyage des aliments quenous mangeons. La laqu dta attaque l’mal de nosdents : c’est surtout le suc qui est le plus dangereux etqui provoque des cas. Pour protéger nos dents, on doitles boss tos ois par jour pendant tos minutes. Poursurveiller la dentition, on doit aller voir un dtst au moinsu os par an.


la digestion

C qu dot ad l’lèv das la sac : l’élève vacomprendre que les aliments que nous avalons subissentdeux transormations : une chimique et une mécanique.

Stuato 7

Expérience acile à mener, bien chronométrer pour que lasaveur sucrée apparaisse. L’enant va comprendre que lepain a subi une première transormation.

Stuato 8

Dans la bouche, le biscuit est coupé puis broyé avant d’êtreavalé. Grâce à l’œsophage il arrive dans l’estomac puis vadans l’intestin grêle et enn dans le colon. Ce qui reste estexpulsé par l’anus.

Stuato 9 (de haut en bas)

1re colonne : dans la bouche / de la bouche à l’estomac parl’œsophage / dans l’estomac / dans l’intestin grêle / dans legros intestin.

4e colonne : action de la salive sur les aliments / VIDE / actiondu suc gastrique / Action combinée : suc pancréatique et sucintestinal / Fabrication des excréments.







digérer : l’absorption

C qu dot ad l’lèv das la sac : après lacompréhension des deux procédés de la digestion, l’élèveva comprendre que les aliments sont inniment petits etdeviennent les nutriments qui sont apportés à nos organespar le sang. Le reste est expulsé sous orme d’excréments.

Stuato 10

Élaboration d’un schéma : voir si les organes sontcorrectement placés.

Stuato 11

pour aller lus lon : valeurs énergétque et nutrtonnelle

de certans alments

Protéines : 5 + 21,9 + 12 = 38,9 g.Glucides : 55,4 + 42,2 + 2 = 169,6 g.Lipides : 28,8 + 2 + 1,9 = 32,7 g.Valeur énergétique : 500 + 275 + 353 = 1 128 kcal.Les protéines, les lipides et les glucides sont allés dans lesang. Le « reste » part dans les selles (excréments).

TrACe éCriTe


Fasos l ot

La digestion combine des phénomènes mcaqus (parexemple dans la bouch/ou stomac) et des phénomèneschmqus (par exemple dans l’stomac/ou ls tsts).

Les almts sont alors transormés en utmts qui sontdistribués dans tous les organes de notre corps par le sag.C’est au niveau de l’tst gêl et du gros tst queles utmts passent dans le sag grâce aux nombreux

vaisseaux sanguins.Tout ce qui n’est pas digéré est vacu (ou expulsé) parl’aus.


séquenceLa dentition, la digestion





séquenceLa respiration et la circulation du sang




p g

la respiration

C qu dot ad l’lèv das la sac : l’élève vaprendre conscience des phénomènes liés à la respiration enobservant ses réactions dans une situation de course, puisen abordant l’échange entre l’air et le sang au niveau desalvéoles pulmonaires. Ainsi il comprendra que l’air inspiré etl’air expiré n’ont pas la même composition et qu’il s’est passéquelque chose dans les poumons.

Dans un premier temps, le questionnaire restitue les

connaissances dans les domaines abordés.

A1 : F A2 : F A3 : F A4 : V

B1 : V B2 : V B3 : V B4 : F Stuato 1

Conclusion : le rythme respiratoire (de la respiration) etle rythme cardiaque (du cœur) ont beaucoup augmentéaprès la course. Ils ont ralenti après quelques minutes derepos. S l’lèv ut as a sa cous, o ouaadmtt ls sultats suvats : au os 70 ulsatost 15 satos, 140 t 40 aès ot us 75 t 20

aès os (u chch su tt ut alos êtoos à l’lèv).

Stuato 2

Lorsqu’on tire sur le ballon A, le ballon B se gonfe. Si onrelâche, il se dégonfe.

Stuato 3

Voir si le dessin a prévu la bouche, la trachée et deuxpoumons.

Stuato 4

Vérier tout d’abord si le schéma réalisé reprend globalementcelui qui est proposé. Les échanges de gaz : l’oygè etle gaz caboqu s’échangent au niveau des alvéolespulmonaires. Une partie de l’oxygène va dans l sag. Legaz carbonique part avec l’air rejeté. Il vient du sang qui l’atransporté jusque là.

Stuato 5

La bouteille du plongeur contient de l’air compressé. Elle luisert à respirer sans remonter à la surace. Il peut rester letemps de consommer l’air comprimé dans sa bouteille. Sansla bouteille, il ne pourrait pas rester longtemps en apnée(quelques minutes seulement).





p g

TrACe éCriTe


Fasos l otLe mouvement respiratoire se compose d’une sato et d’une ato. L’air pénètre dans les alvolsulmoas situées dans les oumos. Une partie del’oygè contenu dans l’air s passe dans le sang pourêtre conduit vers tous les organes du corps qui l’utilisent pouronctionner. En retour, le sang transporte le gaz caboqu abriqué par les organes.

L’élève peut maintenant réaliser les activités

interactives de la séance.

la circulation sanguine

C qu dot ad l’lèv das la sac : l’élève vacomprendre que le sang circule dans un circuit ermé et queles échanges, abordés dans la séance précédente, ont pourbut d’apporter de l’oxygène (ou dioxygène) aux diérentsorganes de notre corps. Le cœur est la pompe principale quiassure la circulation du sang.

Stuato 6

Les mentions à porter : cœur (a), veine du bras droit (b),artère du bas droit (c), artère de la jambe gauche (d), veinede la jambe gauche (e).





p g

Stuato 7

Q1.Pour alimenter tous les organes de notre corps.Q2.Le sang «rouge » est plus riche en oxygène que le sang

« bleu ».Q3.Réponses acceptables : le poumon, l’alvéole pulmonaire.Q4.Réponses acceptables : un muscle, le cerveau... (tous les

organes du corps).Q5.« sang rouge » = sang riche en oxygène, « sang bleu » =

sang chargé de gaz carbonique (ou pauvre en oxygène).Q6.Le cœur, n’oublions pas que c’est un muscle !

Stuato 8

On aperçoit les veines qui ramènent le sang des muscles dela main vers le cœur.

TrACe éCriTe


Fasos l ot

Le cœu est une pompe qui ait circuler le sag dans notrecorps. Ainsi, grâce au sag nos ogas reçoivent l’oygèqui leur est nécessaire pour onctionner. Ils rejettent du gazcaboqu qui est transporté de nouveau vers les alvols

ulmoas (ou oumos).


le rôle du sang - porter secours

C qu dot ad l’lèv das la sac : l’élèveva mieux connaître les rôles du sang dans notre corps etles transports que le sang eectue : le dioxygène et lesnutriments pour les organes, l’eau vers les reins pournettoyer le corps. On abordera également quelques notionsde composition du sang. La séance se termine sur deux outrois situations liées à « Apprendre à porter secours » relativesà la circulation du sang, la peau et la respiration.

Stuato 91. Le sang se charge de nutriments qui seront distribués à

tous les organes du corps.

2. Le sang se débarrasse des déchets produits par leonctionnement de nos organes.

3. Le muscle consomme l’oxygène et les nutriments ; ilrejette du gaz carbonique et des déchets.

Stuato 10

Les muscles ont besoin de plus d’énergie pendant la course.

Il y a une hausse de leur consommation donc un rythmecardiaque et un rythme respiratoire plus élevés puisque lesbesoins en oxygène et en nutriments ont augmenté. On peutavoir un essoufement si on court trop longtemps.





Stuato 11

Jul 1--g-C

éml 2-e-A

pso cosct 3-a-b-c-D-E-F

Hugo 4-d-B


séquence Des fabrications : circuits électriques, montagesavec des poulies, des engrenages




l’électricité. utilisation et sécurité

C qu dot ad l’lèv das la sac : l’élèveva revoir la notion d’isolant et de conducteur. Ensuite, ondénit la tension maximale de sécurité, c’est-à-dire celle quine met pas en danger la vie d’une personne, au seuil de 24volts. Il doit donc se rappeler que l’électricité domestique estdangereuse et que son utilisation nécessite des précautions.Il va prendre conscience que l’équipement de la maison estprévu pour la sécurité de l’installation grâce aux disjoncteurs(risque d’incendies...) et pour la protection des personnes

(par la terre et les interrupteurs diérentiels) qui ouvrent lecircuit en cas de contact de la phase avec la terre de quelqueaçon que ce soit. Il peut arriver que la maison soit équipéede usibles. Dans ce cas, expliquer qu’ils ont le même rôleque les disjoncteurs. Il n’y a pas de manipulations en 230volts.

L’enant répond tout d’abord au « Vrai-Faux » qui ait le pointsur ses connaissances et qui amorce sa réfexion.

A1 : F A2 : V A3 : V A4 : F A5 : V A6 : V

B1 : F (surtout pas !) B2 : F B3 : F B4 : V

C1 : F C2 : V C3 : V ou F selon le cas.

D1 : V D2 : F D3 : V D4 : F D5 : F

e1 : F e2 : V e3 : V

Stuato 1

A. 3 D. 2 C. 1 B. 4

Q1 - Les isolateurs (tendeurs) servent à attacher les câbles

porteurs de courant sans que le courant puisse passerdans le poteau.

Q2 - Ces câbles ont passer l’électricité d’un côté à l’autre dupoteau.

Q3 - Les câbles, moyennant des précautions, peuvent êtreenterrés.

Stuato 2

On ne doit pas toucher le 220 volts (ou 230 volts) à la maison.

Stuato 3Chambre enants : ils jouent avec les prises.

Chambre parents : le père change l’ampoule sans avoircoupé l’alimentation ; l’oncle répare une prise : il doit avoirisolé le circuit.

Salle d’eau : la lle est trop près de la baignoire remplied’eau et maniestement, la prise de courant n’est pas placéecorrectement.

Cuisine : la grand-mère utilise un batteur sur la cuisinièreet risque de brûler le câble électrique qui est sous tension.

Seul, le grand-père qui bricole le grille-pain, ne risque rienpuisqu’il l’a débranché.

Salon : le réparateur TV aurait dû débrancher le poste avantd’intervenir.

Cellier : il est dangereux de réparer la machine à laverbranchée et surtout avec de l’eau dessous.

séquenceDes fabrications : circuits électriques,montages avec des poulies, des engrenages




Extérieur : l’arroseur peut mouiller la tondeuse et provoquerun aux contact. De plus le câble d’alimentation de latondeuse est un peu court !

Terrasse : le garçon à lunettes qui répare sa lampe de pochene risque rien.

Stuato 4

Q1 - Il passe par les deux plots « emelles » dans lesquels onmet la prise.

Q2 - C’est la « terre ».

Q3 - En principe non, sau s’il y a de l’eau qui coule dessus.

Stuato 5

On met les piquets de terre de préérence dans une piècedont le sol est humide.

Compteur : il est important que l’élève repère l’endroitoù se trouve le compteur électrique de la maison ou del’appartement dans lequel il habite.

TrACe éCriTe


Fasos l otLa taille des câbles électriques dépend de la tso et del’tst qui les traverse. Au-delà de 24 volts, l’électricitéest dangereuse pour l’homme.

À la maison, on protège l’installation avec des dsjoctus (ou usibles) prévus pour le ccut qui leur est destiné. On

protège les personnes avec des tutus dtls (ou dsjoctus dtls) surtout pour les piècesd’au : cuisine, salle de bas ou salle d’au.Le circuit de terre et l’tutu dtl permettentd’empêcher de s’électrocuter avec les machines qui utilisentl’eau et l’électricité : par exemple avec la mach à lav.Nous devons être très prudents : en dbachat toutappareil avant de le réparer, en utilisant les appareilsélectriques loin de tout point d’au.


circuits électriQues, poulies et engrenages

C qu dot ad l’lèv das la sac : l’élève vavoir comment on abrique des circuits électriques avec deuxampoules (3, 4... dans les exercices). Il va découvrir le circuiten série et en parallèle ainsi que le rôle de l’interrupteur. Sile matériel est disponible, il abriquera deux circuits selon lespropositions aites.

ATTENTION, PAS DE MANIPULATIONS EN 230 V.Par la suite il va comprendre le rôle des poulies dans leurutilisation : exemple une grue de chantier. Il schématisera lasituation grâce à une maquette proposée.

Stuato 6

séquence Des fabrications : circuits électriques, montagesavec des poulies, des engrenages




Vérier le schéma ; il doit ressembler à celui qui est proposé.En appuyant sur le bouton blanc, le contact s’établit.

Stuato 7

a. Pour A et B, oui.b. Pour A, oui, pour B, non, elles éclairent plus aiblement.Le schéma 1 représente la photo B et le 2 représente la A.

Photo A en série F en parallèle VPhoto B en série V en parallèle FSchéma 1 série V parallèle FSchéma 2 série F parallèle V

Stuato 8

Pour A, l’ampoule restante continue à briller puisqu’elle est

alimentée directement. Pour B, elle s’éteint, le courant nepeut passer si une ampoule est enlevée.

Stuato 9

Q1 L’ampoule n’est pas éclairée : il aut appuyer surl’interrupteur.

Q2 Une pile plate, trois ls, une douille, une ampoule, uninterrupteur, des pinces crocodiles sur les câbles.

Q3 (éventuellement)

Stuato 10

a. Mao Montage 1 : quatre lampes en série. Montage 2 : enparallèle. Montage 3 : en parallèle avec un interrupteur.

b. Thomas Circuit en série.

c. paa Les quatre ampoules vont éclairer : circuits en parallèle,

chaque ampoule est alimentée directement.

Stuatos 11 t 12 Tous ces assemblages trouveront plus de compréhension dela part de l’enant s’il peut manipuler à partir de matériel detype « Meccano ® », « Légo ® »... Par déaut il observera lesphotos de montages proposées.1. Vérier si le schéma reprend les éléments correctement

placés.2. Le moteur tire sur le câble qui, grâce aux poulies, lève la

charge attachée au crochet. La fèche de la grue tournepour atteindre l’ensemble du chantier.

Fasos l ot 1Lorsque le circuit est m, le courant passe et les ampoules(les lams) s’éclairent.Si le circuit est en s les ampoules éclairent aiblement etlorsqu’on en enlève une, l’autre s’tt. Lorsque le circuitest en aallèl, les ampoules sont alimentées directement,éclairent ortement, et si on en enlève une, l’autre octo (cla)...

Fasos l ot 2Avec des poulies, lorsque la « courroie » est droite, les rouestournent dans le mêm ss. Lorsqu’elle est croisée, lesroues tournent en ss vs.


séquenceDes fabrications : circuits électriques,montages avec des poulies, des engrenages




des engrenages pour transmettre le mouvement

C qu dot ad l’lèv das la sac : il va observerun autre dispositi de transmission du mouvement. Ce sontles engrenages, avec un point d’appui : le sens de rotation.La notion de roue menante et menée sera consolidée parl’observation du onctionnement du vélo (utilisation dubraquet).

Stuato 13

Motag 1 : sens inversé, un tour. Si on ajoute une roue elletournera dans le même sens que la première.

Tableau : troisième, même sens ; quatrième, sens inversé ;cinquième, même sens, sixième, sens inversé ; septième,même sens.

On peut en déduire que pour un train d’engrenages avec unnombre impair de roues, la première et la dernière tournentdans le même sens.

Pour la 54e roue : sens inversé ; pour la 95e : même sens.

Motag 2 : si la manipulation est possible avec du matériel,

l’élève comprendra mieux la notion abordée.Roue E : même sens - Roue F : même sens

Stuato 14

a. plateau 48 pignon 24 ou plateau 38 pignon 19.b. plateau 28 pignon 28

c. braquet = 3 pour l’utilisation sur terrain plat...Si l’élève a un vélo avec dérailleur, il peut essayer sur unterrain plat divers braquets selon les recommandationsdonnées dans cette partie ; il vériera la portée de cettenotion dans l’utilisation courante de ces données.

TrACe éCriTe

Fasos l ot 3

Le sens de rotation des ous d’un ensemble d’gags est acilement déterminé en comptant le nombre de ous dentées. Si ce nombre est pair, la dernière roue menéetourne dans le ss vs que la roue menante. Si ce

nombre est impair, la dernière roue menée tourne dans lemêm ss que la roue menante.

Fasos l ot 4

Sur un vélo, la roue menante de la transmission est ledal. Le baqut est la division du nombre de dentsdu dal et le nombre de dents du go. Un aiblebaqut est réservé pour une orte côte. Un gros baqut servira pour un terrain plat. Ce sont les dallus quipermettent d’eectuer les changements de baquts endéplaçant la chaîne sur le dal et les gos.


séquenceL’énergie dans notre quotidien




les sources d’énergie et leur utilisation

C qu dot ad l’lèv das la sac : c’est à une véritable enquête sur l’énergie qu’il va devoir répondre. Toutesles ormes d’énergie sont envisagées dans l’aspect consommation. Pour mieux comprendre, il va devoir prendre conscienceque l’utilisation d’énergie a un coût et également des conséquences sur l’environnement.

L’enant répond tout d’abord au « Vrai-Faux » qui ait le point sur ses connaissances et qui amorce sa réfexion.

A1 : V A2 : F A3 : V A4 : V A5 : F A6 : V les 2 !!!

B1 : F B2 : F B3 : V B4 : F B5 : V et F (dans des barrages en aisant remonter l’eau lorsqu’on a trop d’électricité... oudans les batteries) B6 : F

Stuato 1

Quelques exemples - Dans les situations 1 et 2 les réponses données ne sont qu’indicatives : il est nécessaire que l’enanttrouve quelques situations dans son quotidien.

ég Stuato povac d l’g

Mécanique, déplacements,mouvements

Quand je vais chez quelqu’un, quand je lève le bras,quand j’utilise la voiture.

Musculaire, électrique, essence (ossile)...

Thermique, chaleur Quand on cuisine, le chauage... Électricité, gaz...

Lumineuse Lorsque j’allume dans une pièce, lampe de poche. Électricité, piles...

Stuato 2

Voici quelques indications, voir la plausibilité des réponses ournies.

p1.Mes parents prennent la voiture et utilisent de l’essence (du gasoil). Je prends ma bicyclette et j’utilise ma orce musculaire.

p2.Elle prend son mixeur électrique. Elle utilise un moulin à légumes et emploie la orce de ses muscles.





p3. Je prends l’avion et j’utilise donc du kérosène (ossile,pétrole).

p4. J’utilise de l’électricité (ou...).

p5. J’allume le lustre, ma lampe de chevet et utilise donc del’électricité.

p6. J’emploie de l’électricité.

Stuato 3

Q1.La voiture. Q2.Le vélo (ou/et le train). Q3. C’est le prixd’un abonnement annuel ! Q4. Bus : A - Train : C - Voiture :A - Deux roues : A - Tramway : C - Moto : C - Vélo : D. Q5. Lavoiture. Q6. Non ce n’est pas la même pollution, ni la mêmeconsommation de carburant. Le métro ou le tramway sont

les moins polluants. Q7. Le vélo, le tramway, le métro, letrain, les « 2 roues », le bus, la voiture. Q8. Le vélo.

TrACe éCriTe


Fasos l ot

Nous utilisons l’g tout le temps et tout autour de nous.Elle se présente sous diérentes ormes. La majorité de ceque nous consommons vient de nos dlacmts avec letransport et du chauage de nos habitations.

La consommation de carburants entraîne une olluto del’air de plus en plus dangereuse. On doit utiliser les modesde transport les moins olluats (cosommatus) commele vlo ou la marche à pied quand c’est possible.


l’électricité dans notre Quotidien

C qu dot ad l’lèv das la sac : enobservant un environnement immédiat, ici un coin cuisine,l’élève va comprendre l’importance de l’électricité dansnotre quotidien. Par la suite, la notion de puissance, puisd’économies, va renorcer cette connaissance. Un rapiderappel de la production électrique vue en CE2 complète ce

travail sur l’énergie.

Stuato 4Four électrique, plaques de cuisson = cuisson des aliments.Grille-pain, caetière électrique, rérigérateur (rigo) =équipements pour la cuisine.Ce qui manque : lampe, éclairages, lave-vaisselle, lave-linge,mixeur, moulin à caé, hotte électrique...

Stuato 5

Éclairer : lampe, lustre, lampe de poche...

Fabriquer de la chaleur et/ou du roid : radiateur, grille-pain,rérigérateur, congélateur, caetière électrique...





Produire un mouvement avec un moteur : mixeur, moulin àcaé, robot ménager, aspirateur, batteur électrique...Avoir de l’inormation : radio, ordinateur, télévision...Écouter de la musique : lecteur MP3, lecteur CD, radio...

Stuato 6

i Recommandé : tube C éviter l’ampoule A.

ii A4 B1 C3 D5 E2

Cet appareil n’est utilisé que pendant l’usage de la salled’eau ; cela correspond à 1 200 : 100 = 12 ampoules.

Stuato 7

Q1 Le panneau solaire situé au-dessus de l’horodateurabrique l’électricité qui lui est nécessaire pour

onctionner.Q2 Les horodateurs peuvent onctionner la nuit grâce à des

batteries qui se rechargent le jour.

Q3 Leur installation évite le percement des trottoirs lorsde leur installation ; de plus ils ne consomment pasd’énergie par ailleurs...

Stuato 8

Q1 Énergie à partir de la ssion nucléaire de l’uranium.

Q2 Il n’y a pas assez de barrages dans les montagnes, pasassez de ressources disponibles par rapport aux besoins

actuels en France.Q3 C’est une énergie relativement peu coûteuse à abriquer

à partir de l’uranium, pas de rejets de CO2.

Q4 Il peut y avoir des uites radio-actives s’il y a un graveincident dans une centrale nucléaire. Les déchets sontdicilement recyclés.

TrACe éCriTe


Fasos l otL’lctct est l’énergie la plus habituellement utilisée. Elleest abriquée selon plusieurs procédés. En France, c’est lenucléaire qui est le plus employé.


pourQuoi économiser l’énergie

C qu dot ad l’lèv das la sac : il abordedans cette partie l’aspect « Développement durable »,économie d’énergie en voyant trois aspects : les énergiesrenouvelables, les économies d’énergie et le respect del’environnement.

Stuato 9

A. Solaire r - Éolienne r - Géothermique r - Fossile nr -

Bois r - Électrique (nucléaire) nr - Électrique (barrages)r - Fossile : gaz nr - Fossile : houille nr - Alcool et huilesr .





C.

Lieu Sujet Ta ou tes proposition(s)

Salle de bain Eau chaude Utiliser un chaue-eau solaire

Salon / Maison Chauage Privilégier le bois. Ne pas trop chauer.

Salon / Maison Éclairage Mettre des ampoules basse consommation (ampoule B ou tube C de lasituation 6.

Cuisine Cuisson, roid, lavage Mettre des appareils qui économisent l’énergie...

Circulation Déplacements Le plus de déplacements possibles à pied ou à vélo.

Stuato 10

Olv : la température ne doit pas varier. Chlo : le temps de reroidissement est plus long avec les pulls autour du verre.Cette mesure sera plus évidente s’il ait assez roid dehors.

Réponses : je constate que le reroidissement est plus long avec le pull qui a un rôle d’isolation, il ne chaue pas maismaintient la température du corps qu’il entoure. Le pull, la veste ou le manteau renorcent l’isolation de mon corps. Pour lamaison, ce sera le même principe : on va essayer de garder la chaleur en l’isolant du roid extérieur.

pOUr ALLer pLUS LOin

Pour la toiture, je mets de la laine de verre. Pour les murs, je mets des panneaux rigides. Pour le plancher, je mets dupolystyrène extrudé. Pour les enêtres, je mets du double vitrage. Pour éviter les ponts thermiques, je vérie les assemblagesdes portes. Pour l’aération, je prévois une VMC.

TrACe éCriTeIl est important que l’enant rédige sa propre trace écrite. Voici les phrases qu’il doit obtenir.

Fasos l otL’g est précieuse. Il aut essayer d’en dépenser moins : en solat nos maisons, en choisissant le mode de tasot le plus approprié à nos dlacmts. Il aut aussi avoriser les gs ouvlabls qui sont inépuisables : l’énergiesola et ol par exemple (ou g bos).

L’élève peut maintenant réaliser les activités interactives de la séance.

séquenceLe ciel et la Terre




la durée du jour et de la nuit

C qu dot ad l’lèv das la sac : l’élève vaessayer de percevoir que l’alternance du jour et de la nuitest issue de la rotation de la Terre sur elle-même. Il verraégalement que les saisons correspondent à des positionsdiérentes de la Terre par rapport au Soleil et que c’est parceque l’axe des pôles est penché que les saisons se succèdent.

L’enant répond tout d’abord au « Vrai-Faux » qui ait le pointsur ses connaissances et amorce sa réfexion.

A1 : V A2 : V A3 : F A4 : V A5 : F A6 : F A7 : F

A8 : V A9 : VB1 : V B2 : V B3 : F B4 : V B5 : F

C1 : F C2 : F C3 : V

Stuato 1

a. L’élève doit représenter ce qu’il voit en nommant ce qu’ilreconnaît, le Soleil, la Terre, la Lune.

Q1.Cette maquette montre la position de la Lune, de laTerre. Elles tournent autour du Soleil qui les éclaire.

Q2.C’est une année bsstl.

Q3.2024, 2028, 2032, 2036 et 2042.b. Q1. Plus ort en B. Q2. A, hiver ; B, été. Q3. Non.

Stuato 2

Q1 Position 1 Q2 Position 3 Q3 Position 1Q4 Position 3 Q5 Position 2 Q6 Position 4

Fasos l ot

Contrairement à ce qu’on pourrait penser, le Soll estimmobile et c’est la T qui tourne :

- sur elle-même en 24 heures autour de l’axe des pôles ;- autour du soleil : une révolution ait 365 jours + 6heures (soit un an de 365 jours et tous les 4 ans, une annéebsstl de 366 jours).

Les quatre saisons sont : le tms, l’t, l’autom etl’hv.Elles dépendent de la position de la T par rapport auSoll. Au cours de sa révolution, l’inclinaison de la Terre variepar rapport aux rayons du Soll et cela justie l’alternancedes sasos.


le calendrier , les saisons, la rotation de la terre

C qu dot ad l’lèv das la sac : il va vérierque la durée de la journée n’est pas xe, il comprendra

que l’alternance des jours et des nuits est provoquée parla rotation de la Terre. De même, il constatera l’utilité desuseaux horaires qui permettent de se repérer dans le tempsselon le pays dans lequel on est.Il comprendra également que les saisons sont inverséesentre l’hémisphère nord et l’hémisphère sud.





Stuato 3

Q1 Du 16 au 23 (ou 25) juin. Q2 Le solstc d’t est la datedu jour le plus long de l’année, et par conséquent de la nuit

la plus courte, dans l’hémisphère nord en juin. Q3 La duréedu jour augmente. Q4 Elle diminue. Q5 Ils raccourcissent.Q6 Les 20 et 22 décembre. Q7 Le solstc d’hv est la datedu jour le plus court de l’année, et par conséquent de lanuit la plus longue, dans l’hémisphère nord en décembre.Q8 La durée du jour diminue. Q9 Elles rallongent. Q10 Ilsrallongent. Q11 24. Q12 12 heures environ. Q13 automne : du 21 mars 2008 au 21 juin ; hiver : du 21 juin au 23septembre ; printemps : du 23 septembre au 21 décembre ;été : du 21 décembre 2008 au 21 mars 2009.

Stuato 4Q1 24 heures. Q2 365 ou 366 jours. Q3 Pékin : 23 heures,New-York : 10 h, Tahiti : 5 heures, Sydney : 1 h ( jour suivant),Nouvelle Calédonie : 2 h. Q4 18 h (13 + 5) à Paris et 8 h àTahiti (- 5 useaux horaires vers Tahiti). Q5 Non.

Stuato 5

A. La ligne est cintrée. B. Il est éclairé par moments.

C. Position 1 Position 2 Position 3 Position 4

Stuato 6

A. On voit l’Europe au coucher de soleil ; la nuit tombe enFrance.

B. Q1 C’est la limite d’éclairage de la Terre, le moment où

le soleil disparaît. Q2 La lumière du Soleil éclaire la Terre quitourne : il va aire nuit lorsqu’on est en France. Q3 Dans lanuit. Q4 À gauche. Q5 19 h 56 soit 21 h 56 en France (2 h deplus par rapport au soleil).

Fasos l ot

Le Soll éclaire la Terre qui tourne et ainsi la lumière reçuesur tous les endroits de la Terre change, alternant le jou et laut en 24 heures. La durée du jour rallonge jusqu’au solstcd’t c’est-à-dire le 20 juin. Ensuite les jours raccourcissent jusqu’au 21 décembre qui est le solstc d’hv.

Lorsque la durée du jour est à peu près égale à celle de lanuit, on dit que c’est l’quo.






la

lune

C qu dot ad l’lèv das la sac : il vaappréhender les phases de la lune en l’observant et encalculant la durée d’une lunaison. Il pourra identier lemoment de ce cycle en se repérant sur un calendrier et enregardant le ciel.

Stuato 7

a. 1B, 2A, 3D, 4C.

b. X = 29 jours environ

c. Sur les dessins eectués, vérier si l’élève a bien reportéla bonne dénomination en onction de l’identicationproposée.

Fasos l ot

La Lune est le seul satllt de la Terre. On la voit selondiérentes hass depuis la Terre. Une lunaison, cycle de lalune dure environ 29 jours.






séquenceL’informatique




des outils de communication et de textes

C qu dot ad l’lèv das la sac : aprèsune révision des termes employés pour l’utilisation d’unordinateur, il abordera le traitement de texte au traversd’activités diverses. Il intégrera une photo numérique qu’ilpourra retoucher dans un document qu’il va abriquer, parexemple la description de son animal avori.

L’enant répond tout d’abord au « Vrai-Faux » qui ait le pointsur ses connaissances et qui amorce sa réfexion.

A1 : V A2 : V B1 : V B2 : V B3 : V B4 : F (aux nomspropres aussi) C1 : V C2 : V C3 : F C4 : F C5 : F

Stuato 1

a. Le clavier b. la web-cam c. le chargeur de batteried. le pavé tactile (touchpad) . le pavé numérique. la souris g. l’écran h. le micro.

Stuato 2

a. La petite disquette b. l’imprimante c. le pinceaud. le pot de peinture . G un G gras . i un I penchég. S un S souligné h. une page et une loupe devant

. quelques traits de diérentes longueurs mais centrés j. une des enêtres dans laquelle apparaît « Arial », « TimesRoman » ou autre.Comme il est recommandé dans le manuel, l’élève doitprocéder à plusieurs essais en notant les réponses sur soncahier.

Stuato 3Aider si nécessaire l’enant à aire la photo de son animalavori ou objet, la manipulation proposée par la suitedemeurant identique. L’enregistrer dans le dossier quel’élève aura au préalable créé sur son ordinateur (« travailCM1 »). La manipulation est explicitée par la suite avec descopies d’écran.

Fasos l ot

On peut aire des photos numériques ou enregistrer desimages avec un aal hoto ou une cama (ou wb-cam). Le clav sert à saisir les caractères, l’ca nousmontre le travail en cours et des images. Un logcl comme« Photoltre » nous permet de modier, de retoucher les

hotos (ou mags) an de les utiliser dans des pages detextes.


À chacun son caractère, traitement de textes

C qu dot ad l’lèv das la sac : il lui estrappelé diérentes manipulations liées au traitement detexte, aux polices, aux mots accentués, aux caractèresspéciaux, majuscules, et orthographe avec utilisation ducorrecteur grâce à la souris (clic droit).





Stuato 4Là, il s’agit de bien suivre les consignes. Des jeux de messagescodés peuvent être proposés entre élèves lorsque c’estpossible.

Stuato 5Q1 On y apprend à lire et à écrire : c’est une école. On peut ydormir : c’est un hôtel. Voici/Voilà. Le carré possède 4 côtés.Une lle/Un garçon. Il aut étudier les leçons. Où est passéPierre ? Il y a de l’eau autour de l’île. Le père Noël portedes cadeaux aux enants le 25 décembre. Je regarde par laenêtre.

Q2 Bien expliquer que la place du signe sur la touche estimportante par rapport au signe souhaité. Proposer desentraînements.

Q3 Rappel du onctionnement de la touche « Maj ».

Q4 Rappel du rôle des majuscules dans un texte etrenorcement de la Q3.

Mo chat s’all Mstg. il am s om das lsus d pas mêm s’l ’a as l dot d gm su latou el !

Stuato 6Il s’agit d’utiliser le clic droit de la souris pour accéder à laliste des corrections et au clic gauche pour valider la réponse

choisie.L ch st u amal domstqu ac qu’l vtaclmt avc ls homms. C’st u dèl comagos so maît st gtl avc lu.

Fasos l ot

Pour saisir un tt sur le clavier, je peux écrire en minusculesou en majusculs. Des caractères diérents s’obtiennenten appuyant simultanément sur (shit) ou sur Alt Gr. Pouraccéder au correcteur orthographique, j’utilise le clc dot.La police de caractères et leur taille modient le texte pourle rendre plus lisible, ou au contraire codé ! Je dois mettredes majusculs aux noms propres et au début de chaquephrase.


r echerches sur internet, la valeur des données

C qu dot ad l’lèv das la sac : il doitprendre conscience que les données qui sont disponibles

sur internet appartiennent à leur auteur et ne sont pasréutilisables sans certaines précautions. Par la suite, il estamené à aller récupérer un court texte pour le coller dansune page, en pensant à citer les coordonnées de l’auteur(adresse internet, site...).





Stuato 7L’élève ait la manipulation proposée : il va pouvoir ainsicopier un texte trouvé sur internet dans une page. Vérierle résultat et proposer d’autres recherches selon l’un des

centres d’intérêt de l’élève.

Stuato 8

Q1 Oui, l’accès est public lorsqu’un site gure dans lesmoteurs de recherche.

Q2 Non, l’article explique que l’utilisation est réglementée.

Q3 Oui, à condition de les vérier.

Q4 Non, sau si je demande l’autorisation au propriétaire del’image ou du texte.

Q5 Non, de la même açon ils devront (me) te demander

l’autorisation.

Fasos l ot

Pour chercher une omato sur internet, j’utilise unmotu de chch. J’obtiens des ls vers des adresses.Pour naviguer dans le document aché, pour le airedéler, j’utilise l’ascsu. Je peux ensuite sélectionner untexte, le copier et le coll dans mon document de travail. Je n’oublie pas de signaler la source. Attention touteois,certains contenus ne sont pas très ables : je dois agir avec

prudence sur la conance à accorder à certaines dos(ou omatos).

Tout ce qui est sur tt possède un droit d’autu etreste la ot de celui qui l’a créé, sau si ce dernierdonne l’autosato d’utiliser son travail.


Sciences expérimentales et technologie CM 1 integral ~ Guide

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