69me Année. ND 82.

e msree .roa emssxv.

POLITIQUE ET LITTÉRAIRE

ABONNEMENTS:TOULOUSE U. an, 40 f. Ce mois, 21 f. 3 mois, 11 LDÉPARTEMENTS - 50 - 26 - 14

ÉTRANGER Les frais supplémentaires de poste en sus.

On reçoit las ABONNEMENTS et Ira ANNONCES ,

TOULOUSE Aux Bureaux du Journal, rue Saint-Rome, 44.

Chez M. Bavas, r J. J. Rousseau, 3; et

A PARIS lus MM. Laffite-Bnllier et Idole de laBourse, 8; M. Fontaine, ruade 'leévise, 22,Saufs Correspondants pour les Annonces.

B O U M S I; ii r, I' A II ISde lY Mal,AI Gea,,Ane.

Valeur. dis. Coure de tsar Cour. PI

5 010 55 75 55 55

a 1/2 0/0 79 .. 79 25

5 0/0 90 70 90 65

5 0/0 libéré 89 05 iB-9 aj

A Teaue.

30/0 1., cours 55 55 55 705 010 cours 51, 70 55 65

50/0 90 90

5 0/0 Ital. 65 45 65 40Banque 4,430 u. 4,45(1 ..

Frocire 812 50 812 50Mobilier 42/; e. 40.5 ..

Mole. Cap 440 75 .,, ..

Cesams aa Pse.

OrléauNordLyonMidiAutrichiensLombard,

850 2'./ 855 n1,007 50 4,007 50875 e. 872 50587 50 583 75

771; », 712 111

BOURSE DE TOULOUSE

du 22 Mars.AI Coarroee;

3 0/0 55 8050/0 90 605 0/0 libéré 89 10Loup. Marge. et Cie, 515

OeuaATlons INOndas.

Midi 274 75Ville Paris (1871) 12i3 75

III1PÉCIIES Tf,,LËGRAPIII(LUISS.

Thalie, mercredi 17 mrLa 1:¢zeue de CAllemagne du Nord,

cenlirmant l'interprétation du traité parles journaux français, dit que les ordres

MEURES DES DÉPARTS ET DES ARRIVÉES. DES 'CRAINS DES CR MINS DE FER DU 311DI ET D'ORLÉANS: g BUREAUX t Rue salut-nome, 44. nu premier.

Lisse as 6oaDeax.

Départs : Arrivéee

Matin, (direct), 18 h 15 Matin direct 3 23Malin, 6 30 91040146enl8 i4Matin, (Expr), ll Soir (Hxpr) 1

1 35 Soir, 0 36Soir, A400, 0 20 Soir, 10 40

rocs. a. carra.

Matin, (direct), 3 40 Matin, (Gare) 8 55Matin, 0 e. lutin Exp 10 30

12 mai. L'urgence est adoptée.M..Jaubenl demande que l'Assemblée

vote le projet arc l'agglomération Iyon-nà ve avant les vacances.

M. de Gavardie, rapporteur, rendcompte d'une pétition da général deüellem appelant d'une décision de I.Commission il grades qui lui a fait, Ledes le grata de général de division. Lerapporteur conclut à l'ordre u jour.

M. Cazot défend I. pétition . Il p-pelle les services éclatants de M. eu

mel-

.romm gauler lequel aucun reproche nes eut élevé.

M. le général Changarnier, présidentde la commission des grades, insistesur le droit qû a eu la commission dejugera sans appel. Il nie que cette 00m'm' it son droit.

M. Chaegaraier rappelle que M. leduc de Chartres, en comnaltaut vaillam.ment n'a raço aucun rade.

M. la gr,irnl u s dit que Sil'Assemblée

annule

e useae dérision de la

commission des grades elle jettera Inperturbation dans l'armée.

M. Gambette dit que le général de Bol-lemare ,acquis son grade régulièrement,et qu'il ne, rentre pas dans la catégoriespéciale pour laquelle la commission aété, insultée. Il demande le renvoi de lapétition au ministre de la guerre.L'Assemblée

"Paras.

ce renvoi par

461 vo centre 155. L'ordre de jour puret simple cet adopté.

Marché de Parle de 22 mars 1873.

Spiritueux, 53 50 à .. *.

Marseille, 22 mars.Marché calme; ferme.Arrivages 50,000 hectolitres.

Ventes 14,'560 hectolitres.

Cadfa 528/122 à 5e. 32 25.Seleskia blanc 126/121 à te. 57.

'fhéodosie livrable 128/125 à fi. 43. 50

MONIQUE LOCALE

d'évacuation seront doanéi pour le 5'il

ebjeta tond la sortie, lajuillet et le 5 septembre., .t que leur cap rta'+on ai le lr¢naTM eontprol,ibéeeaEl n 911eeeru immédiatement. récent un

Hile ajouteute qu PARIgo,

a de- sur la en' d daelluatiore des cdIl

smoodé uu délai par l'irnpnssildlilé de tua d'Rrpuger.

déplacer eu Va jour l'armer: d'occupe_ 1 Armes de guerre de botes sortes

lion et ses équipements. 2' l'lunch, soufre, po!Idre,nitrate de soude, pièces b r0, capsules

New-York, mercredi, 19 mars. , de poudre fulminante, bois de fusils,Le

steamer Fulton, de la Nouvelle- deoi ecrrlssacteslreltetsd'habillemladeOrléans, à destination de a été

campemeer,d'é ment et de haraaclie-entièrement, en pleine mer,dis.-

q"'pedaetvoyage tr ihar le.dont s`n . 4m n

Ar été p le ministre de la guerrepour être annexé an décret du 18 mars

TÉLÉGRAPHIE PRIVÉE1s73'

Vrsailles, le 18 mors 1873.L ' t d I lierre

Paris, 22 mars, 6 h. 1/ du allie,

La ralilicalion du Irailé pourl'évacua-fioa territoire a lié échangée aujourd'huià Berlin.

Le Journal Officiel d'aujourd'hui prc-muigue 1. loi approuvant ce traité..

Le Rien publia dément uu récit d'unePenille aaglalse, s 'vaat Ivquelle Ni.

T'hiers aurait dit à lordLyons que le Imitéde commerce serait soumis à une aulneAssemblée en janvier 1874.

La Commission concernant Lyon pPO-pose d'assimiler cette ville à Paris, deremplacer la mairie centrale par Si. mai.ries d'arro.dissements, et de donner nupréfet du Ilhdne des altribulionls anal..gens ce der préfet de le Seine. I.econseil

municipal désignerait Ini-méme.on bureau.

M. de Mes.. a été nommé rappor-teur.

Las informations de Versailles démen-tent le bruit que M. Thiers renoncerait àdéfendre le traité de commerce.

'fous les bruits sur l'époque des élite-tiensgénérales sont prématurés.

Lu Semaine fnattcière dit que les ver-semealsà l'empru tatteign nt actuelle.ment doux milliards 514 millions, il restemoi.. d'ue milliard à verser.

AUrae Ȏcoles..

Versailles, 22 mars, 8 b. 15 du soir.L'Asnembléen adopta un projet de loicellule.

"lotionneront desloura des 1ype.

Ni . Impur que le vacancesde l'Assemblée niant lie. de 28 mars au

Voici l'analyse du projet de loi rela-

lil à la situation des sous-officiers.

Ans termes do ce projet, après quinzeans de service, la solde serait portée de'03 c. par jour à 1 fr. 25 pour les as-grille, et élevée dans la méme propor-tion pour les sergentsnnajace et la ad-judtnis. Le pension de retraite seraitde 2501'r. au minimum. Ce supplémentde solde ne goûterait le budget que dequatre millions de francs, sucrific0que compenserait largement la certitudeel'avoir un bon cadre de sousel'fi-L'iers

I.a cassation -officiers qui s'o-dent ainte

ute nantPu'sousgénéral

,e-.,

saans

ns

morfor-dant 1,

division,

et

n au

u

bisoin

malité préalable. ne serait plus pronon-cée qu"prés l'avis d'un conseil d'eaquéleCane formalité aurait pour but de rele-ver 1c grade aux yeux des soldats et auxyeux des sous r14tiers eux-mémés.

Les jeunes soldats de la réserve de laclasse de 1571 qui dema.deut Nitres.-eue l'activité pour les équipages de laflotte, ne pourront être dirigés sur ccorps qu "p,és avoir reçu nue autoris..tien spéciale, délivrée par le ministre de1. marine. +-

BUREAUX : Rue Saint-Rome, 44.

Départe : Arrivées :

Matin, 10 e. Soir, 1 15

Soir, (Exil), 2 ,a Soir, 4 51Soir, 4 tU Soir, 40

Soir, Carras. 6 15 Soir direct 11 55

u

,

au0 1

Matin

5 eroMat.

Moule. 9 20

Matin, 10 45 Soir, Pau, 1 05

Soie Pau, 2 15 Soir, Bayon 3 50

Soir lloatml. 6 30 Soir, 9 15

LIGSe a. Pals.

TARIF DES ANNONCES eDéparts: Arrivé.;

Matin, 8 Matin, 9 38Son, 3 20 Soir, 5 55Soin, 5 40 Soir, 9 38

mata o"eLbana LeAne-1L.It

lfatin, 6 10 Matin, 9 53Matin, 10 40 Soir, 3 47Soir, I 55 Soir, 8 51Soir, 5 40 Soir, IL 15

mêmes 1 1. sommeLe journal tOffiête et s 22 janvier de,- de

M de Comble, a a t été a5,439 60

ommé Co,a tait connaire les formalités à rem- Y "NI. fuenoq sur-de Préfecturesei i

lie, 11

pplat pour s il trams fers dans les caisses 1

vétéri aire eulh f d l'Éi ffrançaises, des sommes inscrites sur leslivres des caisses d'épargnes des territoi-res cédés, au nom démigrés d'Alsace-LaA ",

A eproche de terme de rigueurSué pour le rat des demandes, il pa-qr

toutesrappelle nsx

devrontlie toutes les réclamations devrontét pleupuarvenues

le :il mars courant au plastard, à la caisse des n'épata et consigua-tioaa à Pa

l 'calfatais,de pour plus facilités, lestitulaires

s de livrets p...... t dresserdirectement aux naisses d'épargnes dulieu da leur résidence actuelle. Ils peur-cent de.s demander, le transfert desinscriptions de rente. sur l'état qu'ils

rasant ce depuis dans les dites caisses

d'Alsace-Lorraine.

ASSOCIATION GÉNÉRALED'ALSACE-LORRAINE.

contré nn Toccouse

17 liste.

MM.

Burin du Buisson, préfet de l'Ariège,50 fr. -

,,

largesf,

c'se,de préfecture, 20 te. - de Caméra, sua.seille, de préfecture, 20 fi. - Boules,,,bel de division, 6 le. - Savaey, chefde division, 6 fr. - tumeur, chef decabirmt, 10 le. - l'eut, chef' de bureau,

te. - Capdeville, chef de bureau, 3 5e.- Pojol, chef de bureau, 3 le.

A Fol,. - Dapré, 2 fr. -- Clerse,4 il. 50 c. - Rousse (Bernard), 2 fr. -Stiedel, 1 fr. - Usera é, 1 te. - Fau-ré, 2 Le. - Bol'aut, 1 te. - Case, 1 1e.- Iloy, 1 5e. - Dreger, 1 fr.- Claou.tre, gent-voyer, 3 5e. - Prévaut, gref-fier de conseil de préfecture, 5 fr. -Domeur, chef de bureau de la commis.mon dépaetementalq 5 fr.

A Tarueean. - Sous.comité de se-cours aus blessés militaires, 100 fr. -A. Gaeeigou, 5 le, - Ilillaire jaune, 2

Rives, 1 l'r. -Bol, 2 5e. - rlanlade, 2 fr. - Fable, 2fr. - Sirard, 2 fi. - Castel fils, 2 le.-louré, boucher, 2 fe. poule, 1 fr. -M.inville, 1 5e, - N1. et Mme Il.

Gal9, 1 fr. - Cheislaud, 1 fr.- F,. Malpel, 'l fr. - Mlle Soldé, 1 fr.- Mme Clos, 3 le. -- Auriol, docteur, 25e. - Auriol-Labarriére, 1 5e. - De-peyrs, baissier, 1 fr. - Grappin, 3 Se,

- L. Sana, 2 fr. -- V. Pilhet, 5 le. -Mile Saut, 2 fi. - $aguets, 5 l'r. -Amiel, 1 5e, -- Donner, 1 le. - Arnaud,1 te. - M. et Mlle Lug.e6 5 5e. - M.et

Mme Sylvain Cailler, 5 fr. - Il.AmieL 1 fr. - F. Actmlle, 2 5e. - J.,.ai.., 1 5e. - Cazabé, 1 fr. - lime lieu.tire 1 fi. - Leeacbeuu, 5 fr. - Alinol,1 fi. - Mesplié, boucher, 1 fi-, - J.Dous, 1 l'r. - IJhees, 2 1r. - F. Prs-

' e, 1 l'r. - Mlle Gsbach, 5 fr. - A.Ilillaire, 5 fr. - 5111e Il. Pareils, 3 fr.O. Cubé, 2 fi. - Esquirol, re te. -- Dela Vieusille, 10 fr. - Anonyme, 1 C'. -farce, 4 te.-G. Bruno, 1 te. - A.

55e0epeyre, 2 fr. - Olivcrol, 1 l'r. - IIlpère, i ie. - Capdeville, 1 te. - Au-'lot Firmin, 2 fr. - Mme f rdet, 9 le.

- Fournie aîné, 4 l'r, - Alzien, 2 fr.-MIle l'asserou, 2 fr. - Mlle .I. Lnlaille,1 fr. -D'a, , maire, 5 Il. - Blazy, re-traité, 3

nco eaut en c e e,c ,retraite, allées Lafayette n 28, a été

chargé, eue la peepomuo. unanime dubureau, de le remplacer comme se-crélaire, jusqu'au renouvellement an-nuei du bureau, qui aura lieu dans uneprochaine réunion générale.

Lebureau se fait en devoir de prier

membressouscripteursdueomité,MM. lasde vouloir bien continuer rég lièeemenlleurs souscriptions mensuelles à l'oeauee,dont las charges vous toujours en augmentant. L'muvre d'Alsace-Lorraine n'estpas au terme de sa missile, et a encorebesoin du concours sympathique de nosccacitoyeea.

INSTITUT DES JEUNES AVEUGLES

SotimtPles Jeunes

Aveuglesadea Toulouse pourla ronstronlio. d'une Chapelle dens leurétablissement, situé ma Iio,,tplaiii,, l26.

A. M. 1 allie., 100 fi.Ni. Ber.edy Louis, proprri-

taire, 1 allia. 100M. J. J. Lacoume, négociant,

1 sortis., 400

Total, 3 actions, 300 5e.

Listes précédentes 91 actions,. 0,100

Total général, à ce jour 9,400 1e.

On souscrit à l'établissement rue Mont-plaisir ; chez M. de Parus, v nraire géné-

ral, pince Saint-Elienne, 6 et chez M.

Courtois de Viçase, banquier, rue desCouteliers, 6,

La séance d'inauguration des cerclescatholiques d'ouvriers, qui doit avalelieu aujourd'hui , à la clmpella Sic.Anne, commencera à une très-PrsLa musique du 59' de ligne et l'Or-phéon Sle-Cécile, cet bien voulu prêter

leur concours à celte solennité.

La quête sera faite par MesdamesLabille, la marquise de Puyuset, Legeaedde la Uiriays et la marquise de Pala-miny.

Las voitures arriveront par la rue SI.J., as, et se retireront par la

ponte

rteS6l;tiepns_

On ansprio d'annoncer que la Sa-jdeé Je Safnol'iecent de Foui de Tou-

louse a commencé d'émettre les Salies; desa daterie annuelle au profit des pauvresqa elle secourt.

0. peut se procurer des billets de lo-terie, chez :MM. Bouta., grande rue Nazareth, S.

Visu, rue des Potiers, 92 bis.Servana rue du Vieux-Raisin, 22.De Paest, rue 'fillusane, 14.

Il'Arexy, rue de la Fonderie, 21.Lans,, rue St-Georges, lit)Uanoroux

rue de la République, 21.pessaire, tee velade, 34 bis.

Le fableau le Ddme, pendant du Droitde Seigneur, salon de 4872, de bl. JalesGaroier, de Paris, v" nt d'être arquas âl'artiste pour 15,000 fepar 31. de Rotschildde New-York. 1l. Julep Carnier estélève et lunréat de l'Académie desBeaux-Arls de Toulouse de 1807 à

Annonces, la ligne, 0 fr. 30 c.Réclames, la ligne, 0 50Faits divers, la ligne, 1 00

Touleuai. - TypogaphiePb,'MueTarsm, petite me Saint-Ruses, 1

M. Remonte,-y-ai

pour litre : Explicd-tic. de la loi du 22 août 1871, anr l'en-registrement et le timbra ; uu volume sur1 illusion de droit civil Italien, par M.Bellini, et divers travaux de M. Boissona-de, professeur à la faculté de droit deParis, qui sollicite le titre de membrecorrespondant. MM. Reliaier et Rozy sontnommés rapporteurs.

Appela par l'ordre da jour, M. obstruéfait son rapport sur ae travail de M. Closrelatif aux Eccles de droit dans de Midide lu Francs aux 1111 e1 XII" siècles.

Aprés la lecture du apport u mem-bre fait observer que la multiplicité desécoles aux XIII et XIV' siècles, loin defawrierr le progrès des éludes sérieuseset approfondies, avait an contraire a0ai-bli l'enseignement, et compromis la di-gnité de professorat; que les écoles riva-les c1ierchliI.1 à attirer les élèves par lafacilité à leur conférer les grades, ai sansNiger des preuves sérieuses d'aptitude ;

que d'autre part, plus les professeursétaient nombreux mua leur choix sefaisait avec soin; que les uuiveesités etles écoles avaient été le plus orissanlesdans les temps et ice pays où elles avaientété le moins nombreuses.

M. Arnault appelé par l'ordre du jourcontinue la lecurre de sou étude sur les

doctrine, éoonomlques Iljuridiques de lo

commune en 1871.

M. Rey, haute nanbcol..el à la suitedu 6 de hussards, a été nommé lieuts-nant-colonel du Ill régiment de chas'aimes.

I.e nommé Alessandri (Joseph), ex-ser-genl au 5. bataillon de chasseurs àpied, est prié de passer au bureau deM. l'adjudant de gendarmerie à Toulou-e, pour y retirer des pièce..

TRIBUNAL CORRECTIONNELDE TOULOUSE

Présidence de M. Saruea¢ne, vice prési-dent.

AFFAIRE DC L'INTERNATIONALE.

Ahdienee du 22 mars 1873.

Le procée de l'Internationale aura servià faire ressortir le talent du chef'du pu,q.el du Tribunal de Toulouse et àlui asugner un rang disli.gué. F.n ml.tel soutenir une accusation formée de

accuséa,coor-détails infinis contre 38donner et math. en relief, avec un ordreparfait et une argumentation de discus-srnn der plus complètes, des l'ails embesu.sant des périodes nombreuses, faire lapart de ehaoun, enfin rcelee maille chaulede soi-même dans un pareil dédale ensaisissant le momeet opportun pour l'aireavec talent et éloquence un réquisitoirecomplet à tous les points de vue, telssont les titres qui signalent M. Delcurrouà l'attention publique.

A l'ouverture de l'audience, M. Dateur.ou prend la parole et s'occupe dn comité

cantonal sud, de sa composition et denon fonctionnement à propos de l'lnterna.fionala et non du journal L'OEil du Peu-ple, dont Il ne peut dire question.

Il y a en un rapportes, mais non ouprésident, lue ststals de l'Internatio..lale proscrivent. Ce rapporteur était Mira-hall, placé dans la mêtre situation queJacob et le plus compromis ici dans lapoursuite.'Ex compagnie de Carné, il estallé à Mantes réclamer, des adresses àDent

ra u s. Enfin sa ParticiPatjou à laYg e2:i décembre chez Rallier,réunien du

ail il a conduit Chamoux d'Avignon, estnotoire.

Argaing, autre membre de ce comitéen qualité de secrétaire trésorier, pré-tend qu il néxerrail ses fonctions quepour l'administration Injuriant l'OEildu Peuple. Ce n est ni possible, .i vrai-

a, vrai: il a assisté à desréunions, il s reçu des cotisation,, saparticipation à l'Lternatron.le devait ai-der s projets ambitieux favorisés par

éduc tien.60n a

Auséela

eu une conduite inqualifiable,le signalent à l'ap-e diian do

tribunal.préciation du tribunal.Bar. avalé, il a depuis nié, il

obéi àMi Mimbai

l, l la

e mauvais génie dece

e

comité.Limm, un heure banane, à la tête d'u

ne position sociale qui devait le présur-er de toute parlimpafi.. 1 celte socié.

té, a fait partie du comité essl.nal Sud

I

il a tenu chez loi dos réunions, maisnon aifére"fessu journal l'OEddu Peuplacomme il le prétend, dont la conceplion

Capoulet. - J. Espy, 2 5e.Selart.-Gleyses, 2 f.-L'eouleyge, 4 f.Salvain, I.

--fassaiene 3. f.-Meinvüle I.Aogat.'L - Chaumant 2 f. d'G. e 2 f

-Francois meunierdOrnollelac, 0

0 fr. 50.N1. Goy, abandonla recette du

1016

ers, à L'AquariumToulouae,de

Mlle Bosa, ondine S.mémeétablissement,abmadoa de sou é-trennes.

Ni. M. V.

Total,Précédentes listes,

60 fi. 00 c.

7 5050 00

509 ft 00 e.25,8/15 fr, 05 c.

Total la ce jour, 20,404 fr 05 e.Le Comité a dépensé

dans le mois de jeu-vire, eu secours en espé-

s, meubles, combusti-bles, loyers, frais d'am-berge et de eh coin il,.fer, vêlements, la sommede

9,8fiifi. 5115 1.

.t en février, pour les

Dans le litige de la Tombola quia ulieu hier soir, au Concert pour le., Sallesd'Asile

Le1ur lot, garniture de cheminée, a

été gagné par (e m' 1,391, à M. Caripuy,cnseiller P

Le 2otmunira al.

nA été île .aspi al va 4leon

ié parrr, re,sent

pleut.ne1 2.o a NI. lier As .jan

AeseerATraS cas AxC1Ee's éLéV.S ne

.vr, a ne rocLOCaa.r é

Une réunion de l'Association dos an.ciens élèves du lycée de Toulouse auralieu, le lundi 24 mars, à 8 heures dasoir, dans l'amphithédtre de la Fuc.llédes lettres, rue Matabieu.

Ceux des milices éléves qui ri auraientpas reçu de lettre de convocation sontpriés de considérer le présent avis commece tenant lieu.

NI. Iluenier , notaire, place de la Bour-se, trésorier de I.\ssuciation; 51. Bus-quel, proviseur au lycée ; et M. Delislc,secrétairr, ras Peyraa 13, tiennent àleur disposition des exemplaires des ,la-tins.

ACADÉMIE DE LÉGISLATION

Sl...e 'la linare 9S75

Préslden,,e d.' 11. 11,ss,:r..

I:Acsdémie a recu une brochure de

remonterait à 18 moi., et qui n'a P.former ne capital social de 5,000 lr.

R'agner, Ader et Bajau sont arrivés àla derniére heure dans l'Internationale,les charges saut égales à celles de Li.eau.

Arrive la discussion, c..liée d'abord àM. le substitut Cazes, sur les simplesaffiliés, mais, pour, abréger les débats,M. Delcurrou la soutient.

Mary est jeune, il a été imprudent, sapart d'allié à l'Internationale est établie,il en convient.

Mathieu a été conduit à Deatrayg...par Blé, le 25 juin dernier, a été tri-1

lé etet

aa reçu des livrets pour leu ou-

vriers de Ganter, ses antécédents dont.irréprochables. Il est turbulent, 00-n. et appartient à une famille hono

table.Pour Bande et Bayer, dit le ministère

public, je livre leur situation à votreappréciation, Masson avait dit les avoiraffiliés par la remise de livrets.

Panel et Guyot, d'après Mon.ereau,ont été aifilrés par lui, je les livre à vo.

Ire justice et 'a votre gésérosilé.J'ai fini, dit l'organe de la loi. Je ce-

5rettc la longueur de s débuts ; Àes imprudences Ont été commises, je

le veux bien, mais quels sont les pré-venusqui mn' fait un appel à la misé-ricorde de 1. justice t Autan ; ilsn'ont pas témoigné de fepo.tie. Topaont comparu comme s'ils assistaieatàleur triomphe et avec l'espoir que Ie.urcondamnation leur servirait dans desjuara qû ils espèrent, ils se servent del'[nternationale comme d'u. moyen po-litique pour assurer leur position a..claie.

Choisissez entre les coupables cesdurais, les lIcmmnts, les ambitieux, lesimprudents ; les uns sont les chefs, lesaubes les acolytes, tous o i de la fa-mille que l'Internationale détruit. Irrap-pre sans pitié ira chefs.

logez-ies d'après leurs actes plutôt

que d'aprés leurs Intentions; vous assu.tarez ainsi le respect d'une loi qui cet

un des fondements de notre ordre au.cial et démocratique.

Après rebellent réquisitoire, NI. Bu.gaunet présente la défense de ]feutrai.gals.

Avocat désigné d'office, le défenseur

accomplit rrn devoir, sou client n'est ai

un délateur x cul provocateur. Des cer-IiOCats annexés chas la procédure lesignalent comme laborieux et non im-moral Se croyant victime d'injusticesSociales il s'est affilié a l'Interumianale.

ce loi Uufaure menaçait l'existence decelle société, il fallait la réorganiser.

le ygues est délégué dans le midipuepar comité de Londres, il y ren.conter

re des luttes et des inimltüs person-n res.

Le défenseur fait l'historique des faitsdéjà connus et signale qu'il est de tra-dition que le, espions et les agents pro-vocateurs dans les procès de celle na-ture reçoivent des sommes d'argent pourlivrer les secrets : il née, a pas été ainsidans l'espèce, il a dit vrai; tout leprouve.

Enfle M- Baguerait termine en disantque Si son Il ient an peut-ftre complè-tement exonéré de lla poursuite, il mé-rite de moins toute 'indulgence de 1.justice.

Après une suspension d'audience, M-Floquet prend la parole, mois aupara-vant, Ni. le président prévient le publie.qu'à la première marque d'approbationou d'improbation, la salle sera écumée.

M' Hoquet, appelé par quelques pré-venus o présenter leur ditense, accepte;également le mandat de répondre auxconsidérations générales.

Il a sxisté dit le défenseur, des dan-Ii vol«I dit

l'exitence de lalacs qt

sommé dans le Midi, l'accusation le ditde moins; ou a trouvé des chefs à Itor-deaux, à Toulouse, à I.izifux, à Béziers,Il

Narhonne ; et c'est à Tnuloase oie l'ontroc 58 soldats qui comparaisseut i(..a blocus gelS laborieux, sans subi.cédent

s IXchenx, d'une co.duite irre-prochable. Ce sont eux qui voudraiantdé-truire et mettre la main sur la proprié.lé, la religion, la famille, la patrie.

Par écrit et oralement le ilinislère pu-blic a, 'par deux fois, fait le récit desagissements de l'Internationale depuis1872 à 1873; il a divisé cane histoire eoplusieurs périodes, mais les preuves, ilors a pus donné. Les 'larmes cher.Masmejan, voilà la constitution te l'In-ternatioVale à Twdome, Cr récit est unehypolLése (ondée sur des lettres, lesaveux et les témoignages de Ilentraygnes.

Les journaux parlaient de 1'iateraalio,.aie à Toulouse avant la loi, ce n'étaitun secret pour personne, l'autorité leGavait comme tout le moade, Paslériem-

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

rament à la loi, y i t-il eu adhè- associaC,uI cnvriére La loi politique em- res une courte mecomplète éclipse. peut-être les explications de M. de Gou- sont attribués aux héritiers d'après la au conjoint du déporté et qui doit êtrevents à I Internat ' t I I h t cette lutte p f I t 1 rs il. lia . améme .ssci uavtee ces= fard l tl dd elles quelque l Boussa èglc du hou o ¢r é quand i 1 a tait un ,arc hrz ;uce-aveux de D t

tel ér t t v

rest et. g cuiter pouces qui

etaoo

-làehe

A partir de cinqheures

es du s la 7

'sos

ou des prochaineséln.itn.

. Nc t I f i

du

o déporté,a ut ton dr la t. v

popo d F t t d I seluu M s Carre est naux d tiaiatioas de m ,

e

d ne cette société s t as hier, tout le monde était a Ix di i. 1.1 om s p l

sera prouvé ; les ove 1 té leSp t I nié t social n'ou 1 . d d m e a x bals et aux nuancera qui ait in m .top 1 t' ly t é d t 1 II . f d ou i - I ' q ' dut 0t .

firee sui tant an point.ul .e

11 ,de l'uceusatiun et f t lament le m g I orner C t .me n pa d pli la soirée et une partie de le i il: aujourd'h i p our recevoir mm u t i u 1 a r. t I t d oct. 1 O doit pas oublier quetrioa,

ci,

trot inst ucsur a éré unsaîué à sn pe ésa Ire ma 1 e ée 1 e t a Rscept ou citer les députés, récepton son de la dewsmn qui a élé prise hi t t de I nctyr l d es su la ,émotion exntan pour I condamnésuadc q I él .nt ,rama et tlr s m co-t 1 11, t dé 1 chez les hauts fuactinnatrea, dine,r di- I au saint de cette gnessou dans le t

'biens que le dépurté aurait acquis Lms u lieu de 1 dél L t i le détenu sou-

sont pir doues tes déc .rations des pré- t fer die q 1 té t d tee t il pre' plomatique h Versailles, bals costumés so 1 des ministres. Vous sauce qoe la .a- 1 IJ Calédonir. t rail nue et 1 cur i état et t e laisseraitvenus g.m d q I r t p éc tés eh.z divers mutes, SI y rn a en pour 1 jorulé de la commiastea est favorable au i n En ras d'exutenee d'alfa ils on autr ses d codants. 11 n'y donc.

ne,De t y . I i é t. t -s I

Ln.4 I l y d I ,e d. t s les goals. Aussi ce malin l'atome prolgt du baron qui suppri- descends i le .tout de la femme ne se a a tune injustice à donner la tomlué dessé, emnnu

i

I o éte t provoc..i.a tté to 1vr d . s d end mn tons est complète. , me la manie centrale plutôt que cet q .. I tiers en usufruit e ' b ens du déporté lacs lac tonie à lai os [ l d s- Il 'Il à remarquer que les jomna tx du gouvernement qui fie borne à dira a revus dit dans le t,. â ... J f mme qn osez de dévouementrossé ; ce rôle u été examiné dans d'au- an sij t d d t d' .. I

ires ente n(e; par la défense , ils o t u uns); a t elle lamais penséà les s ip olhcieI allemands se préoccupent de la Lyon en ôô c rconacnptions eleclorales Lèens qui font parue sont attribués a a i pour le ., iv, 1 an bout du mexisté de;t.us rem Som a reslauruli.u, t P mer t te preenor mrotstre d'Angleterre joie manifestée par les radicaux fram;ais dont chacune élirait un conseiller. Ou enfants ou descendants.. 'partager avec lui son sort, pour l'aduu-

Ps' M. Gladstuue n'a-f-il pas dit que l'Inter au sujet de la libération du territoire, croit que l'aatenlion du ment Dans le second; il dit.... La veuve n

aver, 11 et I ol I qui esat

onde, et puer

on se rappelle le colonel Coron astre°t nationale n'était la repré- et se Iaisept à déclarergouverne y sPr

,rettrès souvent pour le mnrali-

e Pas ce q,.'.. p que al'aes M, est de r , p.jet ei d'attendre le . recueillera comme hi t é e rota

eut dans Ilell'ort e chant : .vive etsautait, qu il tallait faire la part d b en Tiee la té pou' des 'orante ot M: vo Le I I m p pale. lité tant de la ioncessi t On e a t t I 1 t de l'Assembléen

du mal. Ade. ouvrtors qui leermerv 'fm?rs a

étété po ter beaucoup deus la Le dinar diplomatique à la Pré- a incas va e appl'Empereur, = et arrêté pa

sr ses propres ,,.laient de ces paroles n'at-d pas ré,,nm nclus des gements du 15 sidence, qui suint été aeeoncéà tort pou sur des considérations de justic et de ue pus pnbl;er que la Lntme avec le sys-

l'opéra-comique, C ds avait dir gé

ui d ficab en pat eut 1 J ci iar ms. Mers tl faut

soldats. Sous P empire dao le procès Ue du . Ce siècle sera appelé dsns 1Il is- mars. O',mcomme lesaen eaux ont voté samedi, a eu lieu hier soir. Tous las récompense pour la tenue qai vl tkme de la aura a cmnpleran

1a,. eta sua

pistolet sur la dn l'Empe d' e.t(I°i'c le xiècle des oerriers. a Cave pn- unira la nouvelle loi réglant les r.p- sssn de mission y aasismient. Les sera son mari et l'a soavnt ramené u .ver, drs h éritiers ,jusqu'au 12il degré,

1

d l Impérat iceeLvoit om

ans débats il d LI épétée à la hib le l as .rn litée ports entre les pouvales puhhrs, Ira bassadeurs loi exprimé à M. 'ferais la bien. dès q II I Ie ,

ramsoht i le par flonnouos éminent qui Journaux de Berlin en concluent que la satisfaction que leur faisait eau ouvai a N.il n voit été etenu uer arlaq pq

l'1?m il aurait unuits geUrer a, on

s'eis

n souvient, ..ce- frarlio araceéa de la Chambra: de x et à leurs gouvernements, la piochai.n tarot anrqué P né celaib

-ci à dire que dans notre pays vaitse montrer plus modeste. Je vi .e libéral... lu territoire français.tuer l'Impératrice. Enfn Cuérin an pro l'ouvrier était libre et l'égal de mus. transmets cette impression n i pour Un grand nombre do députés de toutescs de Blois, lui yui avait amené les Ne coufondea-donc pas le progrès so- m'en féliciter, mais pluWt pour faire les nuances et dU

'autres personnages sontconspirateurs chezJni au nombre de 53

ciel avec les idées de destruction coin e. ce-et qu sé ame tt l é él t etroit q l d p 1 s ant 'crins à la ei la n du soir. a yil ,

i l 1 c. l ôtme marquait l p e d'ne chat arabe, ni-rér; 1,a cours d 1 p .ï t p

vous af l à. s bora a q Il L I

lice an 6 septembre, ainsi que Balai lent la I6 la 1 ale, la prop éi due à ell, ., fi lr, dans uns d'an agha impoi lait qui a rendu dequi avait voudu Flourens, son ami, pour 't la patrie, et rinder. ces citz à ces interventmona de

l'étranger

r daos .os g aies services à la cause Iranç us .

400,000 e l'enquête faite par M. de leur fumil les, ls rendent à s de atf. res intérieures. e samedi, le présidant de la ri

KératryI'n'a prouvé. trop grands .ervices pour

leses

pripriver

r de Le nseil municipal de Paris a enten-pobliquublique

aura à dîner le roi,licha l de

e

Ce n ésl pas sous la RépubliIl e que let r liberté. du hier la lecture édit rapport de la com- d'nulrahon, le général Ladmirault et

des ïaits de cette nature sé prodla !,audience est levée à v heures et mission des linancc au sujet des combi- d'autres gEnéraux.cet,

mais un mobile gn idé Ileniraygues : envoyée à lundi prochain. naisone proposées par M. Calmon pour Ilimanche, il y aura dîner parlemen-1'espoir un avenir meilleur et celui de ':

subvenir aux ,,barges de le situation taire à la présidence. Lea convives de M.

l'exonérdation

devant In justie. Il est 3,9. n nenr ce toue, art.lie. La i mm scion oncial à la- Thiers seront cette fois des député. de la

arrêté et interrogé le 25 délimites. Sa - doptin des le oposison du préfet, e. droite.

femme livre mutes Ins lettres loi- De 5 à 4 hetirures, n Grand.Rn,i. sorte que celte affaire, qui semblait de- Le gouvernement a remercié la munics

gn usement gardEe.s par lui. 11 a dénat vair amener un osé autre l'Assemblée pal, té de Verdi de ladriale qu'elle Iii a

tus sa roi en déclaration ai avait de Versailles ei le conseil municipal de. nvnyéc.P q B. seren.u.on ba caessruas a rien. Paris, est dès à présent arrangée à l'a

eUuc dépêche de Cond[antfuople es-

et obe mal dénoncer )np.,Ul, quia été I lé fion du territo n'a toue -v détails l'incident la grot-eté mèlé mal à propos dans cette al'- p ..grain t fi a.s . lésas

été race auxeirivalités des éi ce résultat et

il

l huer te de Béthléem oùpp g, ,taire, auln d 03 nn i h h.. Lien co later y les radicaux se sou quelques moines grecs et latins, le rem-coo,s

itu'importe que les prévenus aient nié n Allbas Lafayette. imposé depuis huit jours la lai ab- placement quelques tapiascraes brù-aveir assisté. à telle on telle réunion : f Le Postillon de Lonjumeau (Auber), enlne de ne crénr aucun embarras à M. léee prend

lales

proportionsd'une ques-

oui, les réunione ont eu lieu, m s-t- 2 Ouverture du Voyage en China (Bu- 'l'lders. tic. d'État. Si l'on ne savait par espé-n démo tiré gt'eJ . t A Un débat à f,,, 1 paraît 5 la veille de riens que ces niaiseries peuvent .,ci,

l'inter ,allouale P ti !J p.rt de 3 L'Eoile de la Mer, mazurka (Bous- t'engager entra ai. te Kéenlry et M. des suites graves dans ce bienheureuxconnaître daos quelle intention De.tray' a il), Gambetl. au sujet du camp da Coolie. pays d'Orient, on croirait lire une histoiregnos a fait le roman qui sert de base à d. Air de Figaro, Barbier (Rossini). La déposition de M. de Kérstrr' et les inventée à plaisir par une feuille chari.la panesnite; à l'audience, il dit h la 5 Quadrille (Hervé). pièces établissant la possibilité où S'est varique.

apremiere réunion chez Mare, on n trouvé le gouvernement de Tours de ti-I ,it ; dans la deuxième, chez Pey; rien pendant les trois jours ui viennent de ver meilleur parti des ressources dirS-d'nrméimi encore; dsns lit luniamu:no, au s'23 41 a été

J

emp oiqsonné en vill r aises sur ce camp sont entre les mainshillcafé nd des di e sboit engagé O- 223

vchiens. de la eptembe des actes

demandedede ygne s à l 50 aux cet es

mtre

etlele

rap rappor

ort spécialenlray puy a remis 30

liveutib

tfeoemcommission conclut contre

M,vrels, R M.

ans ; ici, pas un seul ni été e- Extrait des observations mctéorelogiques lu ,emballa.Arrivera.t-on, comme qucl-:amprésenté, sauf un seul venant de

116.ues par àL Dap.la. station à r 1(0émité Sud quesi.a. Petit rmett, à l'aire passer es

ler,; dans la quatrième, chez blé.- de la Grande-Aller. Altlude 1680. Iii ci devant tn tribunal militaire à fi.nereau, il est délégué avec enelusinn de Du 22 mars. lie d'aneieis ministre de la guerre 3 J'en

12.5 donle, mais telle est l'excitation des par-tia,,ans. fl m. t d'hicen Imur onDentraygues voulait être député auréalités,

il recherelisit un collège élec-toral, il rencontrait de l'opposition chezles bn.aegeofs qui l'.et envoyé promener,aux ouvriers il a parlé des sociétés syn-dicales et coopératives afin de créer desmoyens pour lutter contre le travailet le capital et aaires de celte n tore etalors il a obtenu sa délégation. Revenude 1a Raye, il nn trouve plus que desgroupes ser..... ne s'occupant luede I. publication du journal l'07ii1 duprupL l'exposé de. l'airs l'a suffisammentfait connoître tontes les eénniousdont l'autorisation a été demandée,

sS bien que l'affiche déposée ou par-quet e ambre 1871 ot établissentl'existence de cet organe de publicité.

En l'orç.ant les mats, il a été facile àDeutraygues de prendre les projets delurmaii.. de rie journal pour des actesun limant l'existeuee de l'internationa-

le. M, le ministère publie n'a oubliéqu'une chose, c'est d'éclairer sa lan-

terne.

Lu réuoi d. 25 décembre »'. oudimtrn

bul

tqque de s'occupe, de l'union

des syndicats d'ouvriers.Le ministère public, c'était sou droit,

u amisté ans interragaioires des néons,,, ,

il ne unit plus que l'Inlcrnatienale,il s'est pénétré Plaideur des mois eutiers de celte idée. La réunion des syndi-cats qui a joué un rôle officiel et auquelM, Thiers a promis le maintien do laRépublique ne le préoccupe palet et ce-pendant de toutes paris celte idée laitdes progrès, et quoi d'étonnant que desinilivid.a nommés p., elle voyagent d'uncôté et d'a.tro pour sa @respérité.

La loi .anr les asacmabons n'a pas étéabrogée, elle a été an contraire .gravéepur celle de l'lulernalionale je ne l'al-

rs, je n'en ai pas le droits,rdlaripé-

oôs epaqu alto disparailre plus . Le

gunveesementne l'a pas présentée, c'estrmn portion de l'assemblée. Elle n'a pasété votée à l'unanimité, comme l'a dit leMinistère public elle a été vivement dis-nlée, lin hommed'opinicns très pu. dé-magogiques M. "rameau rappelait ré-cemment à Jl'assumblée qu ïl n avait pasnié celle loi. M. Jules Faire a début

ils la évolution d. 18 Mars leman-doit à PEuropu o., exicadition généraledo l'lotsenationale et une ici raulen elle,il n'a pas reçu dombatréponse, mieag éclairéplus tard; il a cotu et n'a pas voléselle loi qui ose auvaise et déroge àroules nos lois p énale. 1)11e est excep-Ilonelle, son applica6oa doit être exu--'née avec ,son.

loi NI- "loquet soutint que le texte decelte loi ne permet pas d'atteindre lesprévemrs, qui n'ont e. pour but que le

anicmeiat intelligent de lents intérefs.la famille, la propriété, la patrie, la re-ligion, i!s en sont les plus fermes sou-lier, ! pas u. livret de l'luteruationaleorganisée par le Congrès de fille, le se.lqui a provoqué la loi d. 14 mars, na'té prodait, rira dans les faits ne aigna-In les peévenns, comme ayant fait di-temest acte d'affilié et cela sciemment.Le

eontraire serait immoral et n'est pasdans la loi, il y a peut-étre des dupes

is pas des complices, o olepas les innocents avec les cou

mpables.m

Fil48ft4, les hommes de l'Inlernatio-

nslemurchaieutaugrand jour, ils onteu trois procés pour avoir xiôrmé le droit

. . ra . .v, deIs nuit : ts les uns contre les .uses en ,,a mo-id.

min.

de-

81 éét l tsaclont. ae.on. ar vr.. 'eus".

9 h. m.0-,7420 eone. -tNO 1. faibleMidi, 0-,742 fi - motif. - id.Le baromètre monte légèrement; le

temps est beau, l'air are et assez pur. 11est tombé 1i2 millier. de pluie pendantla Hait. Tempéralnre : à midi, 4407.

^Le Courrierd'O'isnl publie l'exposéde l'incideaide Béthlérm.

. Ea 18G9, 'ditil, les tapisseries quidécoraient l'intérieur dr In gratte fureutincendiées. Ilnit des ironie tableaux qui'y Irourdeut disparurent. Comme il

était impossible de mettra d'accord les

prétenlimiseieales des diverses ,ami..-

.alliés de Bethléem, il fat convenu quele gouvernement turc remplacerait lesobjets brutes.

a Le procés.verbal dressé par lemedjlis de Jérusalem, composé de natsul-

ans, de juifs et de chrétiens, ,nstant.,ppar les symboles et inscriptions latines

vi ibles sur les Unes" rx reetaus,l'orna ne latine des Incitera recouvrantles murs; quant aux femmes recouvrntle plafond, elles avaient été tellement

détériorées par le feu et la fumée, qu'illut impossible de trouver des preuvesmatérielles élablissxut la sature et le

caractère des tableaux disparua'

aL'ambasaadour de France agissantpour le compte des Latins,

co,nvintavec

le gouvernement turc que les tenturesdes murs aeraient remplacées par d'au-tres, représentant aussi fidèlement que

de

Possible las symboles les irmlents'

res du plafonddapiresleriiear ilesntactes et

qu'on placerait ns l'église qualrela-bleaux ayaoi un csraclére arménien,dont trois grecs et la, Irai.; proportionque 1 a notoriété publique alleibonneaux tableaux disparus.

. l,ne lettre du grand-vizir confirmacette entente et ordonna de l'aire et deremplacer ces objets, mais cet ordre res.ta aaoa

exécutionjusqu'au 28 lévrier

dernier. A cette époque, deux religieuxgrecs ayant dérobé nu lambeau de la la-pisscrie brilée, le., religieux appartenantau rite lallu placèreimy par représailles,daos la grotte une nodvclla tapisserie.no rixe s'éleva dans lu grotte entre leseligieux grecsot latins I lessoldats turcs

lntervitrent, ils rétablirent l'ordre eI oe-rnpi,Oro,télégrotte

à Cacalantino le, etil fut cour sapentre Khalil-Paohn 0131.de Vogué que la tapisserie mise par Icireligieux latins serait enlevée, et quecelle qui avait élé commandée par le '..

gouvernement turc serait mise â la pla-ce. La chute de Iïhalil.Pacba a amené iraretard dans l'exécution deeeit, déci-

n, mais un ordre viziriel a été e vo.yé depuis au gouverneur de Jérusalem,de manière gn'acttsellement il y a lentlien d'espérer que la paix doit Cive réta-blie et que la grotte de Lethléem mi or-née d'ana nouvelle tapissorie et de .an-neaux table... Grecs es plaignen lcepen-da.t que 1. nouvelle tonture soit plu.longue que l'ancienne.

PARIS VERSAILLESdissociation, des hommes considéenhles Correspondance parlieuliére.en faisaient partie. La société moderne -qui a formé de vastes aglomérations deCapitaux a nécessité la création de cetle

Paris, 21 mars 1873.

men que p .a ,.,a personnes r a s -

rrieuses fie désespèrent pas d'arriver à cesul,ut.Le 2= volume de dépositions de l'e..

quéle du 4 septembre paraîtra décidé-ment dans une hnftmne de jours, avecin premier volume de rapports s r lesorigines de la guerre, sur la journée du4 septembre, et sur les actes politiqueset militaires dn gouvernement, yui estsorti de celle jauruée. L'esprit de crapports est en général tréshostile anshommes du 4 septembre quion accablesuns pitié, ce dont je ne e plains pas.L'ensemble de m

publimcatioe

s"lèveeaau moins à sept volumes, et la préoccu-pation de la Commission cul de savoir sielle pourra arriver au terme de son tra-vail avant la dissolution, c'esl-à'dire dansJe couru de l'année 1875.

Aujourd'hui réception luebdomadaiceau quai d'Orsay. Tous les membres ducorps diplomatique .et été invités partours gouvernements eesp rtifs à féliciterM. de Rémusse au sujet de la co.ven-tion du 15 mars.

La commission obligé, d'examiner ledifférend survenu entre le Portugal etl'Angleterre, différend pour le gn01 lesdeux puissances omit eu recours h l'arbi-trage de M. Thieta, vient il -Ire ...sti-tuée. Lille an compose de cinq membres.M Benouard, procureur général à Incour de cassation I hl, l'amiral Jurfen dela Gravière ; NI. B..din, ancien ministre' la paye, M. Despeez, directeur des af-faires puhhglies au ministère des affairesétrangères et M. de Chateaneenaud, ancienministre à Berne, aujnoed'Lui conseillerd'Rist.

Versailles, 2I mars 1875.

Il paraît qu'avant hier le président de

la République dans ses couversalionsavec plusieurs députés s émis l'opinionqu'il conriead,ait de procéder aux éluc-

fions générales dans le courant du moisd'octohre. Ees paroles ont pendait .a-

turellement u.e émotion assez vive dansles rangs de la droite. Je dois ajouterque, dans les régions gouvernementales,

on ne semble pas attacher à ces paroles' de M. Thiers, d'autre portée que celle

d'une opinion personnelle. On y afêrmequo la conseil des ministres rie pas en-coco examiné celte grave question.

Parmi les ..tabiliués dota droite, plu-aieurs considèrent cette comme absolu.ment impossible que l'Assemblée puisseterminer cette année las lois nécessaireset croient que la e active ouverte a

NI. Thiers, des élections générales en oc-fabre indique moins ame résolution le.,Idée dans en sens que le désir de pe'ser sur l'opposition monarchique. Quivivra verra. Pour ma part, je vois asses

ASSEMBLÉE NATIONALE

Fin de da stance du 19 mars 1875,

en%smsnes na ac. mess Gauvv

o. weu.an fait remarquer que sonamendoment est pour tous les fouclion-na' es de l'enseignement public

Après quelques mots que le M. le mi-nistre ajoute à ce qui il a dit précédem-ment sur les garanties quonl les profes-

s, l'amendemmt est mis aux voix eterjrlé. 'article G est adapté.

On passe an aurutia sur l'ensemble dnprojet de loi sur le conseil supérieur. Leprojet est adopté.

L'ordre du jour appelle la L - délibéra.lion sur le projet de loi ayant pour ob-jet de régler la des déportés àla Nouvelle Calidmtie.

M. le vicomte d'Ilaussnnville demandel'urgence pote le projet de Ici.

L'Assemblée adopte celte urgence.Nl. Brisson a la parole pour la disous-

simigénérale.

saris... - Ou ne s'étonnera pasai nous nous .halenons dans 1. discussionet dans le vote de celte loi. Nous sons

os proposé plusieurs fois une propo-

sition d'amnistie. Noua vous l'avonsproposé non pas parce que la ,mesureétait clémnte, parce qu'elle était lie-maioe, mais parce quelle était politi-que.

L'historien Macaulay que l'on n accu-ser. pas d'être me radical , a ditqu'a-

près les Snuurrections et la ripress!en

des chefs eti il faut al4er

largement

tIrales

soldasoldats égarés, mous

nous abstenons, je le répète, quoique jepourrais signaler quelques incohérencesdans le projet au point de vue des droitscivils, nous attendrons nn cuvai espritet qui une nouvelle assemblée nationalefuture entre dies nue voie différente.(Très bien à gauche).

Le projet de lai cat soumis au vote del'Assemblée dans ses 19 articles muées.sifs sans aube modifiration qu'une rec-tification à l'art. 5.

ns a des observations à fairesur

l'art.s ,v

15 mt demande que la loi soitinterrompue pour entendre NI. VictorLei'rane, rapporteur, anr le traité relatif

, territoire età l'évacuation complète duau paiement complet de l'indemnité deguerre.

si. v uron L.rueac, rapporteur. - Lacmnmission vous propose l'adoption duprojet` le loi et de la convention. La

mm ssion a l'eapéra.ce que dans le.

vole nous retrouverons datte unanimitédes grands jours qui se réunit pour sau-ver lepays deset alermir sus destinées. Nousproposons remerciemeuts au gonver-nementqui n prie 'es mesures finanelè-res en conségaen,cct an pays dont l'at-titode et le dét oument patriotique a ren-du possible les mesures qui avancentheureusement la libération du territoire.(Très birr I très bien!)

Nous proposons à l'Assemblée l'adop-lian du projet de loi (Très bien ! trèsbien !)

Art. Unique. Le président de la Répn-bliquo est autorisé à ratifier et, S'il y a

disposé à croire que M, 'l'h,ers n'a pas ' lien, à faire exécuter la ...camion csen-eucore pris de isolulion à cet égard, él ne à Berlin le 1!i mars 187.1 entre lamais qu'il st beaucoup moins éloigné Fraie, et l'Allem.gne.de 1. prendre qii en ne le suppose à 1 m. en eaàsI,.el..Je mets aux voix l'ar,i.droite, paree qu'il a la conviotion que,so.s l'imperssion produite par 1. Ilbé-raban du territoire, le résultat des élec'tins serait beaucoup !nains radical enoctobre pruchalu qn il le pourrait l'étreplus lord.

f a commisss nt de la loi électorale en-teald en ne momeet NI. de Coud let Laquestion qui doit flic, examinée est cel-le de savoir si la comnaie,ioo de;t eonti-

oie le.tqTels!es représealunts se huent p.ur

l'adoption. Le projet de loi est approuvé

à l'unanimité.On ,,.prend la discussion de la loi sur

ira déportés de la nivelle Calédo-

nie.

x. mins reine demande .ne modifica-tion h l'art. 13 qui est ainsi conçu f

n 81 le concessiaauaïrs vint à mourirmmr ils trocaux ou les suspeatdre u après que la concession a été rendueattendant le projet du gouvernement. 1 déftnitivo, les bina qui eu font partie

d'Ilausonville, rapporteur, ,lamade le reniai de l'amendement à la com-mAura.

Après quelques mots de al. Gaslousqui voue ait que la veuve ue reçut

papas

la totalité, l'amendement est renvoyé àla commission.

L autres articles sont adoptés sansmodification. Le rate sur l'ensemble nepourra avoir lieu que demain, après lerapport de la eu..claon sur l'ameade-mentc' J iles Faire.

ssonvuts. NI. de Caslellaue etd autres députés avaient demandé à inlerpelle r N. le ministre de l'intérieur surles trois journaux de Paris qui tut Olél'objet de rigueurs. Des explications cordiales ont eu lion, nous espérona quedes mesures différentes seront prisesavant p . Nous relirons notre ialerpel-

tation. M. le ministre varia ainsi que

us conli.uons'à lui accorder notre coBiner.

Demain à 2 Heures séa publiqusuite de l'ordre du

joue

ur d'aujour-d'hui

La séance est levée à 5 h. 35.

Séance du Jeudi 20 Mars 1873.

Présidence de M. Jutes Cugun.

A deux heures et demie 1. séance est

overte.Le procés-verbal est I. t adopté

après u réclamation do M. Ralloem diverses assertions émises par M. ls

ministre de l'instruction publique dansla dernière séance sur la lai Je conseilsupérieur.

Pluaieur dépôts des propositions etrap-

ports nul lieu par divers représentants.

Un projet de loi est également déposé

par NI. le ministre des li...ces sur uncrédit rectificatif.

L'Assemblée reprend la discuto s sle projet de loi ayant pour objet de rée

gler la condition des déportés à la nou-

velle Calédonie.

lu. ce a proposé hier la rédac-ti n suivante

onanr l'aeliclo 13:

. Si le concessionnaire nient à mo.-rir .près que la concessios a été renduedéfinitive, les biens qui en feront partie

seront attribués à ses entants nu des.cendants.

. Ilurs le cas où il nexisterait pasd'enfants ou autres descendants, la veuve

ueullers, comme héritière, I. totalitédes biens que le défunt laissera daos la

colonie.

. Eu cas d'existence d'enfants au-

tres descendants, le droit de lafe

femmee sera que d'un tiers en -sortait.

c vexe, a. nom de la Cem-catha on, oral compte de l'examen de cetmendement. Ira Commission ne l'accep-

te pas entièrement Elle demmide que,dans les cas où il n'existerait pas d'en.fanes ou autres descendants légelimey lavenue du déporté (ayant obtenu une,.a-cession définitive) a ,,cédera d Ja moitié(et loin à la totalité) en propriété tantdela concession que des autres biensque le déporté aurail acquis dans la,.].air.

Eu cas d'existence d'enfants eu autresdescendants légitimes, le droit de lafemme ne sera que d'un tiers en usufruit.-La commission ajoute le mot légiti-mes aux eafunts et descendants, et li.mite à la moitié le droit de 1a femme. Dureste, quand il n'y aura pas d'reflets..autres descendsntsjlégitimee,Iedéporlépourra disposer des biens qu'il possédadans la cvlonio

eufaveur du conjoint

habitant avec lui. Dans cet ordre d'idées,la commission proposerait d'ajouter le gsuivant à l'article 13:

. Par dérogation à da disposition del'article 16 de la présente loi, le déportépourra, dan. les limites a ulorisées parles articles 1094 et 1098 du code civil,disposer de ses biens n quelque lieuqû i:s soient situés, soit par com promis,soit par testament, eu faveur du con-joint habitant avec lui.

La loi, d'opté, M. Geueait, est d'ail

leurs destinée à être permanente. Il fautdnc être trés réservé dans ses disposi-

tions.actes vains. - Je remercie la com-

miesiumm d'avoir fait u. pas; .mais jecrois que ce nés, pas assez. Uue quo-filé est ooeoedée le la femme sar lesbiens du déporté dans lu colonie. Ils'agit d'are rémunération, d'une réeom'pense sis faveur da la tomme. Dans mansysl:éme, la femmo doit avoir la totalité...e pr!ncipm est josle ; la rémunéraliendoit élr, donur, à celui qai a par-tieipé.il travail. Il y a dans la colonie

ne sorte de patrimoine spécial, une0011ede pécule que, dans le d.aitromain, In soldat recevait et qui étaitlnl-à'fait différnt de toute autre pro-priété.

(In peut ainsi excture les tiers quin'ont pas participé fia travail dans lacolonie pénitensaire. Cela prouverait quela loi n'o pas été parfaitement étudiée ;mais il n'en faut pas moins enoucaaitreque la loi est ..a amélioralioe dans lasituation des déportés. Toutefois enexarainant la situation qui active aprèsle décès du déporté, ily a des lacunes.Et de ce nombre est le $art qui est fait

comme héritirre posii' d pies la loi.

M. jules Faire accepte d'ailleurs avec re-

s

:e l'améborolin que fait i laf'emmedu déporté la commission; aisée illa suerait plus remplit e. Li coatmis-

ia d i use a,, onen se lais tell r ux suggestions duemur. (Très bien.)

nvmcn. - Je ne Saurais lul-teride cnrnpéteace aven M. Jales Fane;craie je lui ferai observer que les ascen-dantssontmis de côté pour la femmedans son amendement. Les ascendantspeuvent avoir rejoint louis f lai seront-ilsexclus en faveur de la veuve t

is revue. - Je demande l'adop-tien de mon amendement en y ajoutantces mois:. uf les deuils des ascen-dams . (Très bien I)

s. Je ne crois pas qu on puisseornadev o,l. N ainsi les ntape.aI du co-da

.,vil.I it t

de.s as,endan

ma'toute

ls 11 Blocs, sm.reetet

père peuvent avoir rejoint le déporté.

.. A0aunr aanuucoms. - Eu acceptantla modiftcaticn, proposée parM. JulesFa-vre, relasrement aux ascendants, 1a tem-.11 ve serait exclue au profit des as-cendants.

L'amendement de M. Jules Paire estmis aux voix et rejeté.

M. Crémieux demande la parole.(A la tribune 1 à la tribune.)

a, enéumaux.-te ne connais rien de plusgrave dans la loi que la question que vouave.er. de décider par assis et levé comme"l s'agissait d'une chose toute simple.

(Mouvement.) On me dit : coatjugé IVous avez à examiner l'amendement dela commission; il y a des choses bonnes,mis il y a des choses qui sont bien ra.pidemear tranchées, landes qu'il a falludes mois pour voter les

questions

ana'logeas du code civil. Ayez quelque res-ur`

sufé

pecipul45uans.t ll vansctemard. ae nepenlran

pas aller aussi vite. Nous Jules Fa-

ander l'amcridemeat de à Liesameet les dispositions de la co

'oe.

Attendons la distribatioude ['arrlicle ima-difié de 1a commission.

armn demande que le projet soitraté enen distrayant l'art. 13. peopu-silion Ilelsal embrasse tout ce qui ta.,le.au droit dn conjoint survivant ;foutraI gt estioen pourront alors élre exami-nées à cet égard.

see s'oppose pas à la

distribution de l'amendement de laomission et à l'ajournement pour uu

ou deux joues. La loi esl urgente aussihien en ce qui concerne le droit desfemmes que pour les autres qn lions.M. le ministre de 1a marine avait, deman-dé l'urgence.

w. 1ofncuc, ministre de la marine.-La loi est appliquée comma églemeal,mais ' st provismremenl. 11 s'agit de2,400 déportés et ions aurons bientôt170 fumures qui veulent aller rejoindrelents maris. Il est donc important que laloi soit votée promptement pour fixerles silualions et les droits des nus tdes autres d'une manière définitive. Jeprie doter l'Assemblée de ne pas ajour-er la discussion au delà de lundi.

&Plusieura voix demandent que cetajo.rnement ait lieu dès demain.

u. unolenr demande que l'on melinsuxvoir l'opinion de M. Batbie qui désireqn ôn disleaye l'art 13 de la loi.

-Je sais de l'avis do M.Balbie,uet j'ai été vraiment édifié d'en-tendre M. Crémieux dire qu'an ne doitpas porter légèremeal. la main sur letlois. Je demande qu'on ajourne jusqu'àla loi spéciale de M. Bolsol.

aecsot. -Mn proposition a été.prise seulement en considération, et ilfaudra trois lectures pour la voter.

nemaln. D'apriia les ubservatiosue, jerelire ma 't et je me rallie à l'a-journement à l undi.

u. voenceu, ministre de la marine. l.egouvernement adhère à cet aju.r.e-.cel

L'ASSOmblée consultée vote l'ajourue-ment de la discussion dn projet de loi àlundi prochate.

L'ordre du jour appelle lu 5- déli-bération sur les projets de lois relatifs àl'organisation des commissions adminlr-tra0res des hospices et hépitaox civilset des bateaux de blenfaisanf3,

nvsnm.r appelle l'attention surl'importance du projet de loi venant àsa 3h délibérason. Ce projet lui parait

défectueux sous plusieurs rapports.

Selon l'oratettr, le rmn principal duprojet de loi, c'est que l'élément mpal est relégué au second plan pour fai-e place à des Méments étrangers à la

'.lainé où se trouvent les établissementsdcbieefnisance. Or, ces établissrivent.sont des établissemaents municipaux etdcoealeni, par cmiségeont, conserveranr

tout le caractère municipal. C'est le ea-

,sobre que les siècles loi outdon.é. Ily a des ordonnances royales datant de

1543 qui ermeHent le aoin des muladre-ries a.x conseillers municipaux; ce ua.-,lève est conservé aux établissements

de bienfaisnce sous Charles IX, puissuecessivcment sans Louis %III en 1612,

t'Àeacmbl eoconstituanle, il en est .ainsi»Il y a une dérogation à lette époque J

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

mais elle cesse bientôt par Ire lois de LAissemmds alia, ib,blts des hôpitaux et rat .elle de maire, des adjoints magne: Voici votre argent, retirez-sous!l'an Il, du 1 vendémuaire an V de mes- des hospices civils. (fouvement). et de vingt deux membres du conseil mu." Et le vaioq leur s'en ira qua::S. il aurasidor an

VII1;et

mômes principes con- x. o e fait observer que c 'sel

0

niaipal de Bardeaux, celles do conseil empoché le dernier écu. Dun d.n-tiouent àrire suivis pour la surveillance tout sur al'initialive des amis de Il. t c p-l d'Episal, des habitanfss de Ver- nuit. E,t-ce une victoire 7 Itélas ! il y ades établissements de bienfaisance jas' Lambert de Sainte-Croix que le projet don et de tribunal de commerce de B- -- ai longtemps que le succès tient rigueurqui à l'Empire. Alors la de loi est venu rm discussion. Si l'on le Due, h notre diplomatie, que nous sommes

r l'ASS..I ée sur Selfaire r dLe maire de I ville 'unes a de Verduna reçu en droit de téter l'apparencel'em orle sons la ruile tien et soue lepgnuvérienira, de juille

tt la surveillance Iotts PrF.cédenis,on n'oubliera pas que da maire de la villa le Belfort I. taure vo- r.

nul. revirot. l',otrodaction de ministre de la religion mvaule: Il reste à Ni. Thons l'impérissable bon.wE1u 1818, au projet de loi set présin- dans les commissions administratives est ir d'voir ordonné les mesures fioan

indisp"",e. » Belfort, le 17 mars 1875. enlèves lui ontté, et sur dix membres des commissions, qui permis de satisfaire etembus aplwrtienninl à l'élément uenoran. - L'a. est dans une si- vite Si pleinement a traités, et

,aune. axes t Ils ses h ns Mousisur et cher collège,, ntra.

IL I 'ordre ,Inn,;il et quatre membres sont pris e P ioubr pour Dites

'ai

toi ul d camp evderdehors de l'élément municipal , e more qui sont au nombre do sept, qui ont un o Intrrprlte des sentiments de vivo cutine. Il n'est que juste de comprendretout d remary q. 1 curé de ta icom- capital de 70 à 60 millions et ont un sympathie que la po.,ulau, I .IP t ne d . I i I e la majorité

r. et n c c '.liter f,énéa al du con- teveau de b millions. Les hospices ont éprouve pour les habilauls de \ .r1 iv, je va,rii, de l'Assemblée , qui l'aion nson1 camp- parmi les ,outre mem- 25 admiinslrations, et l'administration vom1 nous dire la part yen m os Foie-

u. nuise. dans sa Iliehe intérienrr, etbisa. Ira secours sou1 généralement Avise cet aussi spéciale qû exceile.te, noua tous à la position. exceptionnelle plus d'une lois ri-tmm sur la pente pita localité Pnurr nui alors 1'infrreeouion L orateur colle dans les détails de 1 qui anus est faits parle D.ailésure l'Alla- rilleuve où le poussaient certains alliés

1 l'admi cistraDO. exceptionnelle des lins. magna. Nous compre uns si autant mieux et certains couseillors.locue ne"Il,,

uut eipus prépnndti ante. ?c de Lyon ;les administrateurs sont votre légitime douleur, ue de doux Mais le véritable r in .surs celui

"aa

hlfsdru tIlt ,, Pits q purs aqc i u .II.. d 1 t t. Is prie dans de A qui sont enfer mis noua été. me a ,é. il so,1 qui vous qu'il faut feaster sans réserve, c'est cet

a spéciaux. Cl celte vatteinoire t, sort qui aurait pu -promettra du ciel e Pays m merveilleusement dotéplaide enture ,n far nr d, la pi rpondé-me

s sui de Baron,1 I t m I I les uco halios hospitalière lélionna notre avenir. d ciel et si T'aie, un sen propre fonds ;

l I 1 é . 't q. as beaucoup miens qu'aver. sfoiém

t Las alsamens sont impat de 'est' pi.. que le ma heur surprend,a- 1

lèp t ont t b t n 70b des coma ssicnsadministr: t e d I arc, irunver Itbra un lambeau r té fia S i tn'abatpeu

jamas,que

rebondit de toute' , al de

1 : le 11 d I Ypire. lest a cause do c.t 1o .at notes

coalhomire provice; ee t la hauteur de ses chutes, sa

tandr. ,I tr. l es y an [nbaeat tue la e nnons que n e demandons etp De

onc euxlaa peIn

patriequu'i'ils,mer

heureux laisser voir n moridegiiil cas soeffert;pour 4.îs 7,n81i fr Iloaeu, Dar exemple quels commission co sent a ua que tee de rétro.ver parmi sons. C,s Gnelgars dont le

génie

e plein de contradictionsdouer l'i.`uon fr bine ses établisse' dispasi'inne de ['article 9 soi.nl ajour- jours, pénibles à passer, seront pour su- I marie les t oullou les plus opposées dans

tell li Est ,e l'é é nées en ce qui wocerne les hospices de tee ville un titre à la reconna,nvaa e de sa multiple ictini.é, aissant toujoursnont m1,i

, s a as lb saque

s o ,le Lyon. tout ce que la l-roulerenfeeme de pt- et toug

jours dcbordaut u, sève, de courageprépondérance? l a moula,- si. issu mura evemppe au a i l e .

lpaillé an doit pas eus la première à mml qui donne eue plus large part àlies les dépenses de ce qu'elle. don- l'élément muoicipel.

ne pour les panàx IL hospices ? Est- EI. nvnnrr proteste contre les paroles desucee

q

pu'il

n'yna Deus à craindre, si lon ne M. de Melun qui reprocheraient ...

tiret Pas compte de 1 .boulot reuuicip11, mm-Noms eistréives d'être po-que la bienfaisance soit plus us ,c"rciuteP litigises aveu

laséléments muatci.

Na-t ou pus à craindre de signer l'or-paox'auuenr SAINTE cnoix

ce"de mort d'un grand nombre d'éta- endeiAmeut

suivant ;Propose l'a

blissauto' ts charitable. eu France ?I;t, Astchaque vacance, le préfet pour.«

n aP peu .lieu, temps .,N.,.-t-.. pas portéatteinte à l'ordre mi-môme. Car les éta-

,ail à cette vacance sac eue liste de

lrlissements charitables sont une des trois candidats qui lui est présentée parses qui empêchent beaucoup de dé- la eammission a. exercice. (Motive.

eurnres en venant ou .ennuis d'en grand ment).nombre de malheureux, en diminaaa L'Assemblée prend l'amendement en

peu la misi'se et e rendant a usudéra0an elle projet est renvoyé à lan

rmoins considérables ses déplorables

in o"""'

.nations. L'intévAl des pauvres neo

,, lest levée à 5 heures 30

sadans celle uesliou """'éit ét .er m cennura 9Les pauvres net, en effet, ltanét leplus grand à ci, que les établissements

suai bien créa nt i1s ire sauraient MIafeux unepou'résgue par des ro mie-ns com,a,ee,s surtout de membres

apporter, ant Nus municipalités.

D'après l'orateur, la co issmn solles projeta de lois a lait

u

travail de

Pénélope, en isoumit d'abord entrer lar

gemcnt l'élément municipal d'as les,mmissiona ad miuistnllives eten ee

.ont ensuite sur sus premières propoai.Gons, pour obéir, à des préoccupationsmalheureuses contre cet élément mooi-cipal.

On avait d'abord compté bonnea"P orl'élément final, puis en voyant qu'on

.Ta'il

en lui des espérances exagérées etobreusesqu'on avais

ehune de trop n m

déceptions, ne a été Trop loin dans unsous contraire, ou s'est laissé aller aux

,t ce n'est pas .veu des eae-

re que 1'.. fout de bonnes lois. .leTermina par e deroiéer considérationOa a dit tro

p.......tt que Ire mis s

veul pas s Assemblées qui Ira

avalent toiles. C'est une chose flacons,qui n'est berne

aipour les lois, ni pour

les Assemhlées qui les fonl. F cepen-dant, je dois le dire à l'lisembl la, ai laIni est voile comme rnuon4 présentée au-jonrd'hni, elle ne s

urvivrapas à l'As'

:tablée qui l'aura laite, panel' que .euelui est maavais,, en tbéirir comme ou,,ratioiqul', et qu'elle rat use dérogation àtoutes les traditions et à tous les prin-cipes. (Très bien ! sur divera bancs.)

AI

ouvvncuu, garde des seaux, minis-Ire du la 1uslice, dépose u.c projet de loiportent n crédit peur la création dedeux nouveaux tribunaux et de diversesjustices de poix ce Algérie.

re gnea queu.

Il ",,il",Il. leur n a faitessurer

projet Ion

relatifslu1.

e

omPusitiondea

es commissionsadministratives des bôpitaux, hospicescivils et des boreans de bienfaisance.'fout d'abord il n'est pas exact que l'é.béaient municipal soit prépondérant dansle chiffre des dépenses pour les hospiceset établissements de bienfaisanea, Lerte des municipalités représente à peine

le seplléma dans te chiffre total. Quantaux précâdents historiques,

ou.,rand

nombre d'hospieea échappaient à ta réglemculot ou municipale et .'étaient pasmoins hie. gouvernés.

L'hmoorable M. de Melun fait observerque les fondations

V'uses et charitables

donnent une largpart dene

les élu-blisscments charitables et tes foedationspoorvolmit alleu-mémes aux dépenses on.nulles.

L'orateur soutient d'ailleurs que la pré'pondérante de l'élément municipal, denus jours, avait de graves laconvé-Aienfs'. Ce '.soit trop snnvent l'agitation

politique iulrotaile dans les administre-{ion charitables. On

ouchoisirait les

membres, nous parmi las mcillours sol-Dans des pauvres, mais parmi les hum.mes q i a araleat les .Parlons les plusé7?neées.

Caser à l'introducliuv de l'élément ra-ligieux dais les commissions adnsinialea-lives, lu religion doit avoir sa jacte partdans les commissions charitables, et enni est pas ure Assemblée chrétienne quisera d'un autre avis. (Tels lien I)

m semra namx. - le vauxIrapus faire ,.il long discours ; j'ai -Fondufaire l'éloge da la il mine aueiegse pull

La commission d'enqu ét, sur ta s'mafia. des classes ..arurree s'rat rénaleà neuf heures, sous la présidence de M.le duc d'Audilf,el-Pasquier ; elle a revu

.mention de la dépositionlaelle avait demandée à M. te comte de

Paris sur la situation des ouvriers eu A.-gleterre Cette déposition est fort éten-due ; elfe formera u. volume de près detrou cents pages, que M. les

dcomte de

Paris a demandé l'aulorisatioe pu-blier. La commission a accordé celte au-lorisalioo. P,Ite a en méme temps volédeus remerciements au prince.

Tous fis membres de 1. cummissfossont d'accord pour déclarer quo cette dé-position est .an des plus remarquablesqu'ils nieot repars. Quelques-mes d'en-tre ce. trouerai a peu hardies lesidées exprimées pur M. le comte de Pa-ris sur certaiums questions.

Il cet évident que quand la dépositionn été publiée, elle sera très discutée.

Nous aurons donc l'occasion de revenirtir las d'tréroata points

trouéspar M. le

vomie de Paris, et d'en dire autre senti.ment.

-Les trois de réer.ganisation de l'armée ont été invitées àbâter leurs travaux, M. le président dela république ayant demandé que le rap-port général soit déposé .vont la proro-gation d'avril.

- La commission saisie d'une propo.sinon ,lui sentiers de ta j.'tics fendant àcontinuer le traitement des magistratsdes ressorts de Metz et de Colmar con-clat à la prise en considération.

- M. de Keegorlay qui .,ait apporté'le tex" de traité d'évacuation concln

ec l'Allemagne vient de repartir pourBerlin porteur de la loi de ratifeationvolée par l'Assemblée,

-L' L'nion raconte qu'à la suite d'unsconversotfon qui a eu lieu liier à Versail-les autre M. Harde, dépoté de l'exlrémegauche, et M. le baron Larcui.ty appar-tenaul à l'op' i on de la droite, ce der-.ier a envoyé à M. Marck eau témoins.1; union ajoute que sis procès.verbalconstate, assure-t-o. le refus de M.Mat ci, de as bu; ire. a

- Il. Naquel, rédacteur du Justicier,es prétendant offensé par M. Georgestténot, du Pays, lui u envoyé deux te-moins. Ces derniers ne s'étant pas entms-dus sur les conditions du combat, le duel

'a pas eu lieu. Les témoins de à1.

"a-quoi

demandaient le pistolet raye, letir à volonté et la dislnnoe Fixée à 20 pasavec faculté pour les adversaires demarcher chacun dis pas. Tqules ces con-ditions avaient été aoceptéea par les man.blaires de Il. Réels, saut ta distancefixée à ,,ante Pas avec la faculté pourles adversaires de marcher chacun cinqpas.

- La commission de décentralisations'ait réunie trier. Elle a décidé que leslistes électorales seraient composéesdorénavant Par une conrulissloe don, laompo,itiou sera l'objet d'uns prof haine

délibération,il. de Melun, et il a parlé notammentchalet, o..o organisation des établisse-ments charitables à Lyon. On ne se pro-pose pas de changer l'état de choses àLyon. fouinant ,lori ne pas ajourner, aumoment mi r cite sarnmes, des réformespins ou moins belles peur les

fondationscharitables deus antres villes.Ce que l'on reproche surtout à la situ

lion ancienne, c'est qu'en 18!52, .n a faitdispvemlle

desp t tiens obligatoires

Pourquoi I p Y ,avenir simple-ment à c q i s t st I réglure de1830, à la emmofon p les préfetsur des présentations tai"' par I scommissions administratives des étau

- La Caillou ios, journal radical quia cessé sa publscalu fi il y a qsuelquesmois, était ponrsnivie pour diver articlessous l'arc laotien d'excitation à la barreet au mépris do gouvernement et autresdélits de cette enture.

le verd tde j y éluit afh m tfsur

toutes las q L o : le gérant a été con-damné à an an de prison et 5,000 fr.d'amende.

Les adresses de félicitations se,olé", au p é d t d (a 7'épuhligoé à1 occas(on de la ,innaouce du trou é ovL'Allemagne se multiplient. Nous citerons

tue.

Venil"v. agrée, Monsieur et cher col-lègue, l'expression de mes sentimentsdistingués.

» Le maire de Beljorl,

L. PAasor. a

Lemaire de Verdun a immédiatementadressé des emereiementa a. maire deBelfort pour la part prise par la populatien belfortaine ill. position exception-nelle qui cul faite à Verdun par te der-nier truité et pour las sentiments devive sympathie témoignés à l'égard decelle ville parles habitants do Belfort.

- Voici l'adresse de félicitations deshabitants de Verdun à M. la Présidentde la Ilâpublique, et ,pas nous .,.asmentionnée hier :

A monsieur le président de le République.

De la ville de Verdun, comme de tou-tes les parties de la franc., "élève ucri de ,ce.... issauce envers le grandcitoyen auquel nous devous, àdate fise,la libération du territoire.

L'an dernier, les attaques injustes etpassionnées des partis monarchistes

cherchaient à dénaturer le caractère du

traité conclu avec l'Allemagne,.vous adressions alors un respec-

tueux témoigne e de autreBancsd'airs votre sagesse : nous sous déclarions

que nous saurions puiser dans antrepatriotisme l'obnégauon nécessaire poursé

delbeusq tan étrangère.

les cbar-g

'Cela sont encore nos sentiments. SiVerdun doit rester encore pendant deux

vis le gage da dernier payement , Nins d'otage à la Fronce, nous

ne en plafg no.a pas.

C'est un hommage rendu par nosvainqueurs à la défense que Verdun leura opposée, c'est le lien d'une' solidaritéplus

étroite

entre elle et Belfort, notrehéroïque cité de l'Est.

Cette pensée nos soutiendra jus.-qii au jour de autre délivrance, qui seracultif de la ]'canon entière.

Iluhilmite de Veduu, nous confondonsdonc sans réserve l'expression de notregratitude, avec celle de tous les Fran-çais, pour l'homme illustre qui a r levéla France de ses ruinas, qui s attiré surelle le redespl'ect, la aympahue aélivluré

cou-haver Europe, et quia Né, rs

sol de la présence de l'étranger.C'est seul le gouvernement de la Ré

publique que ces grands eéaultats ontété a omplis. Convaincus que, saute, laRépoaligite permettra de; consolider etde compléter l'ooui'e de eégéeéraliouque vous avez entreprise, nous ne sau-

séparer l'expression de notre etfchement à cette forme de gouverne-meet de celle de notre reconnaissanceenvers

n président.Qu'olie

devienne à jamais la formedéfuitivre de nos institutions politiqueset l'histoire saluera en vous non-seule-ment le libérateur de la patrie, mais es-cure le Washington de la Femme.

Verdun, 17 mars 1873.

LA IdBERATION DU TERRITOIIig

Le malheur .nus n rendus faciles surla qualité du succès, et nunc célébronsaujourd'hui comme un triomphe L'oxé-cu:ion d'un traité qui .nus arracha na-guère deslarmes Je honte et de douleur.Nous noirs sommes habitués depuis deuxans aux coaventi..s qui nuus dépouil-lent, et c'est avec eue sono de joie im-patients et féseruse quo nous attentionsle dernier mot, n'est-à-dire lo terme del'occupalil. étrangère. Celle échéanceétau prévue et réglée par les traités;maispil a vofd quo cette échéance approeue our qua la paya éclate eu félicita-tions qui ressemblent à un salut de dé.livrance. Ce n'e t pas la cooventio. deBadin qu'op salue : c'est lu restitutionque le vainqueur fait de ta ;1'rauve à

elle-méme, c'èst le retour prochain hl'indépeudanee, à la dignité, à i'ho......Lu Fissure restera sans doute .PLI a...ieet .mille' mais elle se r trouvera ditmoins tao dresse d'elle-méme, et ellepresse déjà le jour oh elle narra plusà cramdie ,lac l'épée du vaiegevar poseau, as

destinée. Voilà tout le secret de

et de force, digne, Ni l'o. veut, de sesépreuves, mais supérieur à toutes, et..aux l'ait quancun autre pour glorifierl'iateiligenee humaine; peupla uniqueàqui il ne manque, pour redevenir le mal-tre et enfin, à l'exemple du monde, quede savoir se gouverner.(Joorual de Paris) Jeune Dallessu.

Le Bien publie, dont on vannait lesrelations avec la présidence, donne les

renseignements suivante au sujet des

ressources dont nous disposoes pournus acquitter envers la Prusse. Nous

deus ne dira, en foule sincérité, que cesmseignomeuts nous paraissent de la

nature la plus rassurante :Le gouvernement reste h er jour dé-

bue.r envers le gouvernement allemandde la moitié du quatrième milliard etde l'intégralité d. einquiéme, ce quifais 1,500 millions.

Or, il est certain qu'en es momentcinq cents millions tut traites à échoirau déjà échecs figurent au crédit de laFrance dans les premières maisons debloque d'Allemagne. Ainsi on peut direque le quatrième milliard est véritable-.,ai acquitté, puisque la valeur est déjàtransportée dans les principales placesd'Allemagne. Une moitié des traites estdéjà échue; l'autre doit échoir eu avril etrosi. Par conséquent, au Fi mai les cinqcents millions composant ta secondemoité do quatrième milliard seroul intégralement soldés.

Q ...,t au cinquième et dernier mil-liard, qui doit cire versé en quatre paie-menta égaux, en juin, juillet, août etseptembre, les mesures sont Prises poureu assure, sais retard ni -fossés, l'ai.quittement aux époques convenues.

Sur ce milliard, le gouvernement pos-sède déjà 300 millions environ, la plusgrande punie en "mites sur l'Allemagne,le surplus en métal déposé à la Banquede France, mais ne faisant pas partie del'encaisse métallique de la Banque.

Le gouvernement a ensuite les lousen-meets assurés sur l'Emprnut pendant lesmois de mars, avril, mai, juin, juillet etaoût : lesquels représentent une moy....de plus de 100 millions par mois; c'està-dire un total de six à sept Denis millionsentièrement assurés, et qu'il s'agit uni-quement de transporter en Allemaguapar des opérations de change.

Ces .'suer es cerlai.as ferment donc

",,,',',Il",",,, millions au mains,dont le gouvernement est assuré pour lepaimeut du cinquième et dernier mil-liard sans avoir recours ni à la Banque,

ux Compagnies fi ...cières. Or, tout

te modde sait que la Banque seule, parimmenses ressources et son toutans

puissant crédit, pourrait f.... ir au gou-ver.emert deux ou trais cents millions,s'il eu avait hennis,

Tout le amide sait aussi que les Compagaies Iinancières seraient trèsheureu-ses d'offrir an gouvernement plusieurscentaines de millions u'il était néuessaire.

Tout est donc assuré, et avec garan-ti, coutre toute éventualité.

REVUE ILES SCIENCES

Les ravages de l'xtcool -L'ivresse.-Le vinet isu liqueurs de talle prise les suémiques.-l.e rial me tonigno .1 l'alcool. - Er ors etpréjugés, - Dim uution des forces C. lesbuveurs.-L'alcoolisme.-Espérée. a pré.bsetes. - Chiens ivres or ]ai" ,ai.,- La Mi

s chez l'aniinui. - Action spe-e des esse..' aromatiques. - L'essence

d'absinthe. - Recberclies de M. atngnan. -Aecidontsépileptg1 os. Los troaWos do l'in-teliige.eo et des sens ab« les alooollques.- I Nouion, ce helluoina!i.s - L'alcoolismesondait à la demeoce et l la paralysie.

Personne ne met pl.s en dents aujour-d'hni les effets désastreux des liqueursfortes sur l'organisme; pentâtre .es.-moins ne Iso rend ou pas tuuj ours ucompte bien exoct des Irvubles de l'intel-tigenee et des sens qui aecompagnentl'.-s,le immodéré des boissons alcooliques.Un des médecins lis plus imupétens dansla matière, Ni. le docteur Magne., vientde (aire sur ee sujet, à l'asile des aliénésde Sainte-Anne, une intéressante leçonqu'il ne Doua semble pas snpmRU d'ana-lyser à grande traits. Les buveurs invé-

Ia joie qui vient de se manifester d'un I térés obJ'ectmit touJ jours 9ue l'on axa6èrefout do territoire à l'autre, et que la biancoup le mal. IL -'te d'aülèurs donsmajorité dell'Asermblée résumait duos ras leu ime oi ,ea ,épandue,grand cri . Vive la fracce 1 qu .I est utile da rs.tutce, On dit que 1 al.

Ls couventioq de Ylerlin est surfontira

cool donne de la l'or ce. lie:;ncoup de per-eéglemenL de compte. par les conveu so.nes maladives, cruynat Fondra leurré

hile de la force, loin d'en donner. Dans sentent les mémes exagérations :la vuecertains cas spéciaux, le vis vieux peut 1 se trouble, 'obscurcit; les objets -u.faire du (rien eus malades par les sels I Ment nnlourés d'un nuage ; il Survientï ' 'ju il renferme et la petite excilxliue qu ildétermine dans les releva nerveux ;mais, en thèse générale, on ne ..raitrecommander sou ushge prolongé aux

, ,,

anémiques (1). UN jour ou l'autre méme i des batailles. Il ('eut commuer sous lesles gens robustes et vigoureux paient cauchemars les ples épouvantables peurles excès alcooliques auxquels ils se sont avoir l'idée exacts des impressions delivrés en quelque sorte inconsciemment. I'nlc.oliq.

Je conçois très-bten que le fumeur en Les sens de goht et de l'odorat sontsoit pas eucoru bsolument c va ncu eux-mémes affectés. L'aleuoligI l seul lésque l'habitude de fumer amôoe chez loi I odeurs les pins désagréables: ,,,Per deà la longue des désordres plus on moins I rat, de matière e. putréfaction, geût degrives, O. le lui répète sur lune les tous, chair gItée avec de l'arsenic, des v il .1.craie, eu définitive, en n apporte à I'sp- ! IL s'imagine toujours qu'on vent l'çm-pui de cotte affirmation qui le glane am i poiso er. La so eibiliti g('so cale .van

ue démous"alion rigoureuse. Les .la- ses différents modes d'aneslliésie et d'hy-1 istiques qu un lui cite peuvent

mentir; paresthésie apporte aussi sen contingent

les al eeli... qu'on Ini signale peuvent de sensations pénibles. Lest l-ainsi ecprovenir d'antres caaeea, niais dans les 1 .dates elcuolignes.alllant et ,niant desavages de l'alcoolisme, il .'e. st plus I animons lamper entre char et peau, eu

i; la physiologie avance le fait et le bien encore lie sentant ...és par des luep Lea expériences ne .collet j.-.aie.

de fer qui les enlacent, les suri sil etDiesel ou volt le mal se produire les étouffent, ou hies :nssi il se rça-

à volonté, .1 faut bisa y croire. vent une Partie de lents corps ougéL ge,tion de l'alcool à haute dose par le vers 'est au point qû ils es-

peut avoir lieu oxceplionnellement ou soient de se débarrasser de ers canhe-continuellement. Ilaus le premier cas, mars. On put Facileulent 'imaginer,l'ivresse seule ae manifeste; dans te Sc- d'après ces détails, par quelles angoisse'and, comme nova allons la roi, I or- , doivent passai les _Doserons alcal r-

ganusme lontenlinr est souris, grana'su nt, et le buveur est en proie à des ar.cidens aigus, au délire alcoolique, etc.Répétons avec M. Magna. L'expériencesuivante :

Administrons 70 grammes d'alcool àun chien. L'animal saute, très gai, iljappe, caresse, court; il a loir très heu-r ux ; mais assez rigidement se montrechez lui une sorte d'hébétude qui aug-mente et à laquelle succède bientôt unétat de demi-torpeur et de sommeil eu.mateux. Est-se tout? Non, très ..osent

ien.ent à la suite les différents de-gris de paralysie, jusqu'à la résolutioncompléta de tout le corps.

Conti...ou ce régime pendant usequinzaine de jours, il devient facile d'o-server combien l'atimal est changé.

bIl

est sans casse inquiet, triste ; le mois.die bruit le fait tressaillir ; il a peur detout ; il va se blottie dans las ceins ; ilcherche à mordre quand ou veut le est.sir et pousse des cris signe à la moindremenace de coups. An bout do mois, celleimpressionnabilité s'eat exagérée encore :l'animal est en proie à des hallucina-tions bientôt suivies il'.. véritable déli-re. Les accès sont passagers, mais, dansl'intervalle, le aide. ne reprend pas esgaulé habituelle.

L'an ion de l'absinthe est bien diffé-rente de celle de l'alcool (2). Tfondis queL'alcool a besoin de préparer son terrainpour faire naître les hallucinations, l'ab'i lhe provoque d'emblée les troubles

lsallncioatoires. Si l'on injecte 4 grammes d'essence d'absinthe dans l'estomacd'eu chien, l'animal est pris d'attaquesépileptiques suivies d'hébétude. Cepen-dant il revient à lui et obéit à la oui..Puis tout à coup, l'aspect surmonté, lesyeux injectés et brillants, il fixait le re-gard sur ou mur omplétvment nu, 1avançait, reculait, bondissait de nouveau, aboyait avec rage et se livrait à nucombat furieux. Peu à peu il an calma,regarda le mer eu grognant, puis seassura complètement. Chez uu autrehie une injection d 'easesee d'absinthe

dans les velues amena les mnmes trou.blés épileptiques et hallucinatoires.

Ce que l'on produit ainsi à la volontéchez l'animal, ou le constate liés .elle.ment chez l'homme qui boit. Les pro-mises phénomènes qui accompagnaitl'ivresse sont une légère excitation, unseotimeat de bien-élee, puis l'incohè-rancs des idées, la gaulé ou la eo!ére,etc. Les illusions surviennent. Vrais,la vue, sont affectées: la sensibilitéémoussée aueiut quelquefois un dégeld'anesthésie que na peuvent vaincre lesmutilations les plus graves. Si les ill.-aimes sout fréquentes ci... l'ivresse, leshallali nations sont rares. C'est à tort,seins NI. Magnan, que Ferry place à cô-té de l'ivresse commuai, nu état parti.

"RITqu'il a appelé s

i"""'convul-

sive s et qui est caractrrisé par ou accèsde fureur maniaque.. Dix hommes, ditPercy su décrivant cet état, peuvent àpeine se rendra maures de ce buveurforcené. Ses yeux étincellent, ses gestessont meuaça.is ; il grince des deuls, ilmord cou. qui l'approchent, imprime sesongles' partout. Il pousse des

hurle

épouv.alables. s M. Magnan pro-Pouse que cet excès maniaque, qui .'a au-cuns analogie avec l'ivresse ordinaire,est due à certains vina frelatés ou allé-eeSi

l'usage de l'alcool se prolonge chezl'homme comme eh" le chie., o. voitle caractère du buveur se modifier aussi.IL eu montre irritable, inquiet, il ne dortplus, il devient le jouet d'illasious etd'halluciualions répétée. et de astuce pé-nible, éveillant des craintes de tonte es.pèce et souvent une Lecteur profonde. Audébut, les troubles purement seosoriaux

'semblent audx symptômes observésdans beaucoup 'autres maladies. Pourl'ouïe, les premières sensations so.t desbourdonnements, des tintements, desifflemen" d'oreilles, des chants confus,

des bruits de cloche. four l'alcoolique,le bruit de cloches devient un glas fu-nèbre ; les cris, Ira vis, des injures,des menaces, des cris de détresse, desgémissements. En ça qui concerne lesorganes de la vision, les accidents pri-

desétincelles, des flammes, des -Localtremblotantes, des figures grimammbsqui grossissent, diminuent et N'éloi-gnent ; pois des incendies des én1cules

quel. C'est l'enfer pour ans que net étatIndéfinissable. Les auditeurs de la le-çon de M. Magnan ont pu entmudre lesalcooliques r opter ei .mémes eursimpeeseionl pénibles. On peul r éella-mnul se demander s'il existe de plusgrandes souffrances que celles ge'eodu-

ntlesbuvnurs d'alcool, d'aba[ntlie, debitter, de ernmoulb, etc. I.0 leçon estterrible. Malheureusement elle vient sou.veot tard.

Après ces moments de délire, Lea Irou-Isle.intellectuels disparaisseet ; l'indivi-

du commence à se rendre compte de souétat; pendant te jour, il répond sssezfacilement, parle et rirait volontiers delui.méme, de ses divisions et de sespleurs ; mais quand vient le soir, il perdde son assurance: il s déjà des craintesvagues, il s le pressentiment de ce qu'iléprouvera pendant ta nuit' et surmutdans ce esOmeet qui pré-

ce dela veille et qui .,est pas encore te

sommeil. L'abstinence, le calme amènentla guérison chez beauooup de ses mal-heureux. Le mat persiste chez d'autrespendant très-longtemps.

A. moment des accès, il en est beau-coup qui Fondant de se suicider o. detuer leurs voisins, aiasi qu'il révolte deFI statisti u de à l' s'q e des ntr s a rie deSainte-Anne, relevées par '1M. 70, suret olé veau. On trouve eu 1870, sur1,410

00 alïéné., 377 alcooliques ; parmiceux-là, 28 ont fait des tentatives desuicide et 9 des tenta"aie d'homicide ;sur 1,050 aliénées, 64 étaient alcoolique.

et parmi elles, 0 ont fait des lentabves

de suicide.

En 1871 , sur 1,198 aliénéa; 291étaient alcooliques : `14 .et fait des ten-tamises de suicide et 8 des tentativesd'homicide. Sur 4,070 aliénées fit étaientalcooliques. On trouve parmi celles-là,pour le suicide 10 et pour l'homicide 1.Ces chiffres sont des minimum, ainsi quele fait remarquer M. Magna., parce quel'an élagué du cadre des suicides etdes hominides les cas accidentels. Ainsitel alcoolique s'imagine être poursuivi etsaute par la feuilre, croyant passer parla porte. Tel autre aperçoit devant luiun fantôme, un individu armé ; il saisitnul

chaise pour se défendre et tue sonenfant couché près de lui. Ce n'est platlà réellement un suicide ou ne houri.ride.

La persistance du délire après les aeci-de.s aigus

anmo.tro .actuel chez lea

alcooliques à prédisposition spéciale ,mais l'alcoolisme finit par préparer let .mai n lui-méme ; l'orgaaisme est in.fecté tout entier et les troubles intellse-luela et semoriaux peut aller aans cesseeu s aggravant. La nutrition est altéréedans tous les organes ; tous les tissus,ta cellulle elle-méme vil d'o. antre vil.Le corps est frappé d'une vieillesse pré-coce et a subi la dégénérescence geais-seme, Avec la stéatose survienneut desirritation clironigars. L'alcoolique chro-nique marche insensiblement ou vertla démeuce ou vers la paralysie géué-rate.

En somme, on ne saurait jamais se tas-ses de répéter que l'alcool pria à faibledose et habituellement ne possède pastes vertus bienfaisantes qu'en lui ace.-de trop volontiers, et, absorbé à hantedose d'une manière suivie, il amena in-failliblement l'homme à l'état de la brutte et le conduit sûrement à une monprécoce.

Quant on dit alcool a , il faut cette.die tou[esles liqueurs tellement alcooli-sées, aromatisées. 7Nou

soulosancortdons

l'absinthe, nous l'aven. dit, l'alcool agitpar lui-méme, mais encore l'essence dela pl.nto .sers. aurai une inlluance é-oergigao qui conduit à Iépilopste. Leermoulh, le bitter peuvent exercer

de même une action complexe sur lescentres nerveux par les essences divan.'que ces tiqueurs renfsrmenl ; la mauvai-se qualité des vins blancs employés etdes plantes que l'on y l'ait macérer peu-vent également déterminer des aecidensspéciaux, comme le présume M. Magnanpour l'ivresse convulsives. D'après unecommunication toute récente de M. ladocteur Decaisne, on utiliserait peur lisvermouths de qualité inférieure des vins

iées.;0 On e',icou,tre esses sauvent dos m:,lados blancs tournés et des plaines avars(oi iaut se donner de b, fo ce ai, bueum dans Il y a donc lieu d'examiner à partmtrviue des repas du v n pu, de l'eau do L'allie dr. l'alcool et Pont être non

inclusse des cannes, de l'elrxn da longac moins nuisible des essences qui entrente.. Est-il basa do il, "mn, qua cemsrot pra

des. dans la cempesitiex de beemipqds li-

qars éplorables anbnenn iufetl lille que s eu vogue. C'estovean

uestiontroubldas ronctionncis imper rameCmasias vins, d'hygiène générale que nous n... per-

être em-'I l rn tannin p,a , mettrons de recommander aux médecinslions antérieures, 1; ouvernement lema- us tnnil. , tuai s eut .m trer Ig gime p! a euv ploçéa utilement cour no médimocnt, i je _u-et aulx ehnmiste8 cour èteus.çais s'était réservé la faculté de Payer danseauauir,e.te, Les Il li b re

,,,,,;,i,

liqueo .eau use action rcumntueble sur finmatin pNavant terme, et le goavg ssit pr s à f te L u afr. t 1 at Mages, a. nt r,Jc1}â Yllbus promettait en échange de hAmr l l d lis L - oc 1 r ff t dép I,

'I

,s, yuo R bgnrun ô 'abs 1 tpi's Il. Fin PAmorrs,

vac L o a en proporgou d e m loin q il sel lo qu L le ol est ira ail.1 1 tl r t v I u t Dagn.l s'o

a ï p L'est la.brille

i t n de ment relr gé a t sil tel p. uis de s'expri- I le y t 1 q Ia, L'es (Journal des Débat,).t a an^em it ga'ou vient d arrêter. mer ainsi ; .t o r esc té le l bure I al t, h' d t nvauiobleo.ylut aies

Au 5 septembre, nous dirons a l'Alla. nerveux, il refeoidil l'organisme et anal. atuileu4 épilcjmiuess (,

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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e

Ilenarep(.aurerans, emplnyr, III ans,e. ne 10I, n

g1lDIi deUllilhol (IIF.lime P tr II ) ans,

rne In I ont Luillhe U yCaget (1, aria), 72 1 sensu

(lusbeftergou-

gu n, ras I a larvey (Isabelle ts

derentière, 2U

s, éps use Courtois de Vipose, petite

citede la ira] rade, 5

Ifespaud (Marie), 7 ans, rue Villenou-velle 5.

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, ll! 010 jh !1 cep, pt. 79 é 0,0o enn, e.11,u

halasdsur

r. ne,. t. cptûLLC'. d Ge de le, j. f. In , 4420

m ta 1 114.d8sau p ,1 . sept. 685Adit agi ont. lUII fr. sept.

Cred, fileter rut. ss f. r, t.Qradit loue. de Pnuca. SONa.e.

c.1 807 60000 e. 7 010 cpLes, G.0 p

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-5001 {30- m [ 426

poitrine, gorge, halai e valu, d s brun.ehes, vessie, mo, re s t t mu-y comp s rveau eL . g e Pupe ores,

1 dnud compris celles deS

3 61 PapedePluskow, 5 la mmgnne de Rrehan,

sel,.

L u 69,921.

Cli le d I xb full, S101

bt , P.I.lien 1 'll gal Jlui IIde il se une lemme s'teiule, au dire do tous lea médecins,d'un Cancer a l'esmme ; le fait est que,depuis deux sus, celle malheureusesoufflait des douleur, intolérables. Ellee pouvait plus rien digérer, et sa lui-

blesse était si grande, que de remuecméme les bras, lut était impossible; colinchacun attendait la fin de cane agonie,qui devait Ilre bien prés de son terme,lorsqu'au rima de mar., dernier, j'eusl'idée de Ini ceaseiller de prendra de laItevatoenière 1)u Berry. Depnia Il

temps,elle Il Ironve mieuz, es folles r¢vice-itsoru ,t

elle. digère et ne souffre presqueplus.

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se ressent Je lu précipitation avec la-quelle il a été mené.

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,, b comme au'des

=""ê55 précipites bisser

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es.tce cours,"choir g eo

mnment; oonsidéra

acquis'Mais on craint use leq s acheta I lveaux, au comptant ou' larme., et les

à eux 'sus laecaul tdéterminante dus re onr nu lia as,,,

et qu'on ait cherché à replacer Iea ren-tes à cours aussi élevé que possible pourpermettra de continuer les réalisatios,tout au mains pour rendra la proch

n

aineligmdaron plus fatale.

Quoi qu'il en s.il, et Jusryn'à nouvel-les lad mutions, le cours de 90 fr. ma,que la ""ira laquelleonenisede'ce-ore comme on cessera d'acheter nude racheter quand on approchera de 94bancs.

Le marché au tuant sait le mou-

detr8!1 trile 00 e rapprocha du cours

L'italien a regagné quelques centimes.Le foncier es[ en reprise h 808, la SI.ciété générale à 582.

Les Chemins de Per frav,sis ont quel-ques demandes , qti ils cuisent poba-hlement 9 la meilleure tente des réa.

tes.Le bilan de la Banque est bue ; la di.

minntion du portefeuille indique que leshasmns d'argent sont tao dres, etl',ne tali.n du ompte du Icéeneque l'snlérdt aelncllemeut alloué auxbons suint a aDlrer les capitaux diapocibles.

Trou 1,111 clôture aux plus hauts

'f IIEATIIE DU CAPITOLE.

Dimanche, 23 mars 1873, h 8 h.OT12LLO

Grand opéra de Rossini.Joué par 1111. Fernande, Lopaz, Cour

foie, Vincent Benjamin, Dis' Lafont etDorelli.

TIICATEE DES VARIETES

Dimanche, 93 ers 1873, à 7 h. 1j0.Don César de Bazan di aine en 5 actesL 7 <peau de Faille Il Jtaliq comédie

I a.

CIRQUE FRANÇAISAujourd'hui, dimanche, deus grandes

erpresmlutions : 1'1100 à 2 boucla del'apréu.midi, et l'autre à S heures.

Ae Gérant: L. JOUCLA

Typ. Pbilip. Montaubiu, p. r. SFRoms,f.

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