6011 A NEE. - N° 95O BUREAUX : RUE SAINT-ROME, 141,. MERCREDI II CHAI

URNAL DE TOULOUS1ABONNEMENTS

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Un an, 50 (r.; 6 mois, Si. fr.; 3

ami.

14 fr.npulemrnu

E'l'RANGEII Les frais suppl6meolni... de Poste en sus

POLITIQUE ET LITTÉRAIRE.Ou recoit les abonnements et les annonces :

A TOULOUSE, aux bureaux du Journal, rue Saint-Rome, 44. - A PA((.5 : 'lie, MAI. Havas, rue Jeandacgnne

Rousseau ; LAr,rrx-Bl.uaxe ET Cone', 8, place de la Bourse; F'ooTelga, 12, rue de Trévise,

seuls correspondants ponr les annonces.

Toulouse, I I Mai i Liquidation au S1 mai.i I Mob. Esp ................. ..... 061 25

p dont f0 .................. 685 00

SOU(tSE UE Jtoh tlI¢,. I n 4 ., 1864Bulledu pl moulai'.

DU COURS DES lRl4f IPALI'.i VALEURS9 .

1'éd RBNTIS ET ACT IONSdn I Compta, n et Te

0-

nieros.

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iel910 11 de F' 1 pIl'i'a1 0 (.:Ftf ( ) 1 10/3110

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. , .`Pin c 780 .n5'380

3 113

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3977 60

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24:1 7359041 1

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1855 i _ _

Lyon 1855 J. octobre.Piris-Lyon-Aldliter. 3 010 J. Janv .

292 Co Ouest nossrss J.janv...

202 501 Midi 3 010 ,d.. . .E2 CO 11e1 3 010 J. décembre... .

3 73 Oauphiné3 010 id.. . .

153 le Avtnrhiwie J. septembre... .23fi 95 Lombard-Vénitien ]. jauv.. .

48(i 15 Bumalnso330;0 3d,- , '2';3 o.ICooioue-Séville Id.... .188 10,Séville-Cad+x 1. 15 janv.. .141 25 - nouv au

îlesmbre.

232 011 Saragosev.Fn, rpelune octobre. .23:; , Nord de l'Hspaçna id.332 :,U \9ontblavo-liove id. .113 75 Ligna d'Italie J. janv. .. , . .137 fO;00 tvgnis 3 010. .355 OlLgm,eoa Ottomnnea.. .455 Compagnie inunobilisre do Paria..E51 SU Obligations.

71 15 Caisse glu. des chemins de fer.

U685i

457 50462 50

075

317 50317 1327 on330

0 Il ,

401 74(13 aU

482 75483 75637 506111n198 75297 50260 0

280315313

452 SU95 ,,.

88 75370 '77 60

147 00308 79303

15YJ, 2

34A 75901 13

293 73192 5024391 2:i

1 50243 75155 44155 25133 23180 7S250

23288 23138 75135 no853 nn

231 7:i213 75370 255:1 o:

455 15855

0067 5U

BOURSE DE PARISnu 10 -1 18114.(Par depdeha.)

atlemr,aM1er,e. armer murs. Hissa,. 16155,

A. comptais/ :3 pour 100 ... 60 05 0 25 0 01)4 1)2 P. 100 ..... 93 00 0 00 0 10

A ferme:S p. 100 1., 'ours.

'il

75 0 i5 0 CO- Berner cours.. 00 00 0 00 0 00Italien 5 P. 100... 68 75 0 00 0 00Crédit Mobilier.... 111}8 75 26 25 0 00Crédit mob. Esp.,, 678 75 8 75 0 00auRMme

ris

asOrléans.......... 870 00 0 01) 5 UONord Flsp......... 4811 23 2 G0 0 00Lyon lib, (coup.dé6) 890 110 0 00 0 00Midi.... 650 00 5 00 0 00

411 25 0 00 0 00Lombards (coup. d66) 537 50 0 00 0 00Saragosse........ 500 00 2 50 0 00

Caerolidér : 1 h.... 90 4 8 . 2,8 0

BOURSE DETOULOUS60 9 MA1 1864.

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3 p. 100................. ... .. 66 25Ob. 31idi .................291 25-202 30Ob. de Sarogosse........,, 261 25-262 30Ob Pam Clone 232 50p

A plant :7h. du Midi .....201 25-202 50

0b. Sn ig 211 2

Ob. Pampelune.................. 237 75

Nord Lsp .................233 75_235 00

Ottom,nA......................

],6 25Moblbm Espagne ................. 170 00

L guidai n au 15 mai.M blet Esp ............. 670 00

A '1 mMobilier espagnol d vt 10as.... ,... 093 0

Al. Salagesse ................... 562 50

IOEPLrf:SIES TELNs slA eMiq@t1L5\ 8 nia

Le Tl'ander.r drome les nouvelles su vo dde Poln oe

. finnouveau détachement d'insurgés s'est[ eI, Je pll de I il le 0000

d me l 3 N 1 IL t ..t illoi a nimon

de S a, o n f t c b f de o palcu-

Dans les for0ts dllza, palatinat de Clodo.,n ntS un tombald r 6 ont livré anorabinsu 0ds

dont l'issue leur il,, l favorable.fh1 annonce do la Lilhuaoie que dans le

insur 'e tbattu, un détachement de 400nsts'est b ho avec les 'Cilles, qui au.ra10ie,11

nt Borda 60hommes.Londres, 0 mai.

On lit dans le llorniug-PooI :

, De même quo la France a pu ifaire seulea guerre en [lotie, l'Angleterre peut faire seulea guerre dans le Nord. Comme puissance ma-

ritime, nous somme principalement inléres-s6s dans la question. .Vous devons

L .. Lier B.

clumom. II

Oepéehe Télégraphique privée.Marseille 10 mai.

Rome, 7 mai.Les andisuers du Pape, suspenduespendant.

e par laite de l'indispoeitinn de S. S.,ont été reprises eujourd'hoi. I.e SainhlOee a

.u l'archiduc qui retourne à Vienne.1 eLLe gouveniement a désigné l'hospice des P6-

lerios pour l'admission des prêtres polonaiscandamnél à mort et réfugiés ici.

Autre depeehe.Varia, 10 mai.

Londres, 10 mai.Le Daity.Nures dit qoe la conférante sera

sans résultat, à coins que les puissances u

entrent, pendant) l'armistice, une grandeélargie envers la Prusse et l'Autriche.

Lo ,Borning.Post ne croit pas que tes propo-sitions que feront la Prusse et l'Auteiebe soientd'accord anse le traité de 1852. Si la conté.

i n pas obtenir de résultat deus un mois,elledevrait Ilea regardée comme Terminée.

Toua les journaux oxprimeot leur ssliefac-lioa de la défaite dpeonvee par l'Autriche.

Ileligoland, 9 moi.La frégate Seh,eartzenéerg a brdti; elle a

hperd.

lamàt de misaine, le beaupré et 100

Le Radelx1ri a eu 25 tués et blésé,.L'esoadre sushv-prussienne a mouillé der-

ners les Imues.on assure que les mi, nos Danois qni se

sont éloignés su nord ont beaucaop souffert.

I.isLOOne, A maiLes étudiants de Ceimbre sont partis pour

Minho. Les troupes oet refusé de donner.Aulne

Paris, 10 mai, au soir.Le Moniteur publie une d(pécho d'Algérie,

6 mai.Les succbs du général hlartiucau sont

firliés; ils out produit desrbsulmtsinesp6ale;

réslus pertes de l'en ami I mA énormes.

Gsribaldi est arrivé le 7 mai à Captera.

'Purin, l0 mai.L'escompte est élevé à 7 010.

Autre dépêche.Paris, 11 mai.

Francfort , 10 mai.La Gazelle des Postes publia um eléptohe de

Vienne portant que les plteipole,tiaires ont con-reoun d'aborder les nègmemem, duos la'renfé-

oe, da jeudi, les lgoeialiona pour l' paix.r1

es perspectives ne sont pas dél'avorableo.

On mande d'Opatoov , 10 moi, que de jeunesPolonais innocents, arrêtés doua I s

rues' on'été pendus sans jugement sur l'ordre du géné-ral russe Balgari.

Borne, 10 mai.Le Conseil fédéral demandera fnrmellemenl

à l'Autriche l'extradition de Langieonios, pli.sonnier 5 Josepsladt, comme sujet suisse.

.... , .. -2o3 75 Nesv.York, 30 avril.Oh. Séville ............. ...241 25-242 50 Les Confédérés marchent pose attaquer laOb. Romaines............235 00-130 25 général Grand, et Roues on le général BankOttoman N ......... ...... 340 25 est rcl,aUd,é.

Marché de Paris du 10.(9 Betterave, 70 f,

C ot 1tSISI I s ab.nn . d t1 no. t 1 ire 1e e1' A. Lamois t 1 de

1e r. 4

1 1 ; 1 epr<>ua E

t t t 1 t mncni iu } iTonifie d ic

l'abons.n

.

1i a «' -ai. prIx. verve .ans.dc.,. n,. no xeera,.

5;09111275'9 9)E h llCAiLE

U. hi g I I. m nsf e en Chiner d l tr t L t q il I-prtué dans do r oml d

1I t .

L 'que la fiè e sols tq .t à S..1, 1

ni, ri, an minent où l'éi51 f

1

la poil n du maladevec de 1 huile de croloo salarie de ladre sti-

bié. l.érnption se porte alors tout eanàre surla partie si traiter, et d6gege le resol du

purores. Onaesl en"'

m e temps é qu'ellerata Id1 t qu; I.lfnunon u'altaquera pasles l ces.

CONCOIIIS REG{UNIE A0111(IOl,l A PAL.

LISTE Dés PEUX.(Suite et Bu.)

III' Clnase.- ESpeee Porcine.1,o CAI:GORIE.- Races indigènes.

nAi.ss.prix, non décerne.

2 PyrénéesM.

Laboardeuno, è hacadlo. B.

rprix, M. trIl Itelloc, à Saubrignes (Lan-

des )24 prix, M. Bernard Castor, à peu ( Basses.

P yrénées.34 pris, Rny.ead Lasoaeaies,à Id'.. (IL P.)

IL- CA'flG(I1f IE '- Races én'angéres.

T" prix, M. Uauzatn Dembarraro.20 prix, M. Manrigoo, à blondos(Lm'Io,.)3. prix, M. do I.umothe-Moochoi, à I,aville-

dieu et-G.)4= prix, M. Bscqu6, à Rordèrrs (it -P.)

P'tx, Ni. Charles d'Abbadin à Andcux-

1.= prix, M. Mnrio'Josopli Boper.24 pris, 51. U;+nzet Oemsoerhre.3, prix, M. de Lamothe-Mouchot.4^ prix, Al. Cophlauo, à Selon (R.-l'.)b prix, M. M1tanrigno.Mention ble, Al,no venue Uoyer, à

Lé2o,rsur-Lbso

àse (Ariège.)Mention h.... lido, Il.Biolo t.

III, CAT1;GOBIE. Croiaennonts divers.M.\LFS.

ter prix, Al. Ilanzal d'Emsarrère.2= Prix, pas décerné.Mention bon-do, M.

,ère.Daural-d'Embar-

1..r prix, M.2^ Pris, Ni. Alanrigoe.

IV. Classe. Animaux debusse.cour(Médailles d'argent.)

M. Mantique.M. Daeeigol, à Riandos (Landes.)Mina le comm- de Oarbolan.

(Médailles de bronza.)M. Arnauloo,à St-Laureut-Bretagne.M. Million.M. llichaud de Prévillo, à Làu-Mordrons

M. l'eoymme, à MG,dtein (B.-P.)A1, Amiesil.Aline Loterie, à1 Roedanoos (B: 1'.)

Lafoo, à Boail (O. P.)llildacaze, à Jurnoi:oo (13: P.)

M. Messin, à l'I61e-en'tourdnio (Gers.)M. Marie Sdr6, à St-Faust (IL.P.)

Slrsel.inrs et tnstrmneuts ngrieules.V SECTION. - Ea7ro.5arnts de ta région.h= eoos sxanon. 'travaux d'oseilleur.

Charrne6.Rappel de médaille d'or, M.

Ciseaux

stngron (Landes)1'' pris, M. Chandless, à Pau,Rap1ol de médaille d'argent, Î. Cazoaou.2 prix, Al. Puyos, à St-I.on (Landes.)5' pris, M. Caressas, ù Lascar (O.-I'.)Mention très honorable, 3I. Logo', à Con-

dom (Ocra.)Mention honorable, M. Dalles, à Pouitlon

(Landes.)Charrues sous'soli

1" prix, M. Lesmpis, à lent1= p, ix, AI. Coteaux.

Chanmae vigneronnes.pris, 61. Cogne

2^ pris, M. Boulhts, à Gazapuny (GnrsJIlcrees.

pris, non décerné.2' pris, m. Auzooy, à P.m.

TARIF UE'S ANNONCES'Ir. SO cew

Am,oucea, la

lis........ ............

Réclames , la ligne .................. . 5e. 50 ,

Faits divers, a ligue .................. 1 Ce. OU

Toulouse, I.P. Ph. Mosre n, petite eue Saint-Rome,, ilianes 'St val Alddadle Initient i compteur d'anoure, M.

Rappel de ciel. d orge d, M. 7,5050,., Sali6, a iAs'si

R tlAl 1 IIe d L I AI {' 1a on,,AI i ilk d t P, 11 I , V1.Pr x unique,

At ch' f I MGd i l l d tro t Pommes, AI (:.,a-

M,1 ( a gMGd IId d b - M J 1

f e,2 lois, AI Lst

Ma I es fn.NI

Al Fille, rlo 61oVis os pinssoi , 0f Na-tp1 plis,

2 t3 lax,non g11ile il. lei.ro: !l'hale'', air 1tt,leaux e cheval. Il Nos èIs.

1- plis, al I stapis. II SECTION E s sis. A La

2I A' loll IS (O â.) u

Il Propre' L t Sas Tra a d l or1 -1 A( Sa116 Al 11 1

2 1 , none (t11 _l le lt d b t AI Melf e, à

Pol'es

li poilu. f l A ode -

prix, M Illusion, Ta i les I t . I I'Lu d le I iuu:e.

2ni

ix, 31. Oil P R t p i de éd ll d'argent . gSo Ifl, tin..de. Laver me,

ItuLbcs. dot atLUr, 37. Il

1 ^ prix, non déc. ué. des, X.

Rappel de médaille dargent, 0f Dualé, à Bappcl de 81 II d gent : Snlfueateur,

A,g,lès (fi. P1 M. Paqueeée, a Lasullon Cuoode.(

r^ prix, M. Ouaté. Hsppel de médaille d'argent :'fouines rr à pu-

t ourcl 1 t u, n, Ni, Lefon à S f I mo (ose

i 3 31. La. ns Lames mR p1 I. ] t S

-on- An Tma

1 M1 t' do Ai'I a,u, r 1°e. V tt, d'or.m1p ( 'Il fruit,,

2 lois, uou deccrn5. ,Ilenun à Crie pour l'ensem-induits.ble de sis pMachines et instruments ami prévu6 Ef°ns lo

M. Lu

programme. M. Lahayle, à DuhortBaoher (Landes), pour

Médaille de bronze: navale, 0f. Cazcaux'. 1 l'es amble elneàBiproduits.

(Laodes), Pour l'en-B= Sels snarion.-Travaux d'intériur. semhln et la variété de ses produits.

Manèges applicables a x divers besoins de Ç Jlalgrds dadJ3dailles d'Or.

l'agrioultura. A, M. Le8)vI de Semenac et Troy, Paul, b Sas.1 prix, Den déoernd. lenae-i0 S6r'u (Ariége), pour (eue frommag

Rappel de mbduille d'nrgont, At. CrogG etC=, poi,s,llb.à Tarbes, il. PGoauy 'u Salies (B: P.), pour sou expost-

2^ prix, Ni. Ca-oeaox, à Nngron (Landes.) duo de sels.d' prix, y1. Noguès, .r ,Aurcatan (II.P AMenin,a d'Arpent.

Machines à battre moLiles na vannant ni ne A1, le comte de BarraulF, à Buenute.Camas^r000, L' il i. (I3,P,) Pour ses laioee

1ar prix, M. Oargeron à Pau. M. Bigal, à Itagmlres (II Pour ses2^ prix, non décerne. ,reins, et ses graines de vara à unie.

'l'avares. f. Cogne, à Coudnn (Gers), poil; sen eau-4r

P,. prix, MM. Sentis et Verdun, à 1-loure(Gers.)

v1AI. Labordeue, à Pau, pour ses muc'O et ses

2 pris, NI. Ségoinel fils, à Mirande (Gers.) oocnns.Cribles et trieurs. Al. Lacezaue, à Laruos (11 .1'), pour sou Plu

I== prix, 31. Lestapis, à )tout de Juranç,,obIroAls.Iàoo, à Ste.Marie (Gers);

2" pris, non déocraé.Ni.

Ie,^,. oie d.Concasseurs de grains. pour

Ire uvs rt'.lroene.1" prix , hl. SGguinel. 'f,,

2' prix, non décorné. M. (scoute do, Useo Pte ses produRs, moins11= Sous-srenoo.-Travaux d'intérieur. pour

Malaxeurs.les laines

e

M. Babe, à Bu onnu.AI. Ilarrigvl, à üia t a", (L briques ponr ss

prix, wyanx de drainage et ara briques pie ea et

Afuchinla d fabrignor les loyaux de drainage, luLnlutres.

1 , prix, M. Bribe. M. Lartigue, à Sh-Marlio de Nogaro (Dors),

Mareges appliezblcs aux divers besoins do Pour ses eaux-de-vie.

l'agriculture. A1. M,ucehu, à Montauban, pour son eau-de-

Bappel de médaille d'or, AI. Maréchaux, àv pl. le amen dn Mxrignan, à Alarignan (Cors):

A1colel'illon (Vienne,)Rappel de médaille dor, M. Pinot, à ALilly pour sis vies otages.

AI. Narboune. à Madrau (Il.-P.), pour s

Rappel de médaille d'argent, M. Casson, à us rouges et Llnncs.

Aiguillon (L: et G.)

s

:ll3dailb,v ,tv Br'nrr.

Machina à vaponr mobiles. (SI. Bernis, à Othee tir ses collections

Rappel do ,née. d'or, M. Albaret et Comp., dcâcli'1,iÎd, à Ar et puas

à It:umgny (Oise.) gc c gui e

liappel de méd. d'os, M. Lut, tué, é Nantes.sa

collection do cire.ou, o, à Ste-Suzamm (GRappel do méd. d'or, M. Massonnut-Nossivel à1. Faget de fl

et Camp., à Nantes. pour sont

Maohioes à battre mobiles rendant le groin Ai. I.ocazetto, à Larmes (B -P.), Invar sesommes de terre.oonoyG. p es

à Mont (li :P.), pour ami Ire.Rappel. do méd. d'or, M. Albaret et Comp.

M. Ltapisv,mne

Mechinea 9 baller mohbss m, vunnor t 0i esn n. et son a grise.

criblond.1 M.

,colle

, à aloutauban, Cour soi alc'oldepeuier épineux.

1 prix, M. Maroebaux, p1. Maeooo, u Orlhez (B.-P.) pour sa colleu-Tarares. tien de tuyaux la drainage, tuiles et briques

1=, Prix, M. Marlobsun.L M

fuses.2 prix, non die Allé. M. Puÿoo-Feyhau, à Lahontan (B: P.), Pour

Cribles et teiours. son Inv.

prix, M. Baradeau, luTonneins (L.-ot-G.)M, Sels, à Godreeet (Landes), pour ses

2^ pris, Don décollé.eaux-.lo-vie.

,,,,ru, Il ,Itldu,lIoo de lJransa.Ce',a-Becines.

l Prix, M. Pinot.

24 Pris, non décerné.

Machines et instrumente non prévus donsle programme.

Médaill dot : o ent t

Alell , Ni. Pinot.

Médaille

e d'argent ules, N. M1lesuet, àCinq.Mars.L.Pile (Indre.ut-Lnire.l

M6d. d'urgent : Moulin à farine, 31. Pinot.

enupe'Racines.

9=r pris, M. 56guinel.

2' pris, non décerné.

If, h,-Paille.1=, prix, M. Ségainel.2^ pris, non décerné.

Borates.

pris, Al. Tejan, à Ranom,o.24 prix, non décerné.

Pressoirs mobiles.prix, NI. Pujes, à Jli,s.de (Gers.)

2^ et 3= prix, non décornés.Machinas et instruments Don prévus dans le

programme.Médaille d'or, Egr6noir à mais, M. Cazeaux.Médaille d'argent : Cric, M. Cazeaux.

Ai. Cuyaubàre, à St-l'6-de.1lgoeea (R,-p );Bourses pierres à faux et ses ardoises.

M. Lartigue, à 13ayonue, pour sen engraisanimal.

Al. Rouesille, à Pau, ponrson lin de Riga.

Le Conseil Municipal de Toulouse o leu., le7 moi, sous la présidence de M. Cazaux, ad-joint, so prerniire séance de la 2= session dedroit de 1864.

AI. Amilhan a 616 nommé seerél.siie.

Le Conseil a nommé ao se. roula commissionohargée de l'examen il. calotins ad.i.ililatifdu Maire peur l'rserrico 1863; - da comptede gestion de M. Sipihre file pour lea quatrederniers mois de l'exercics 1863 ; - du bue.gel supplémentaire de 1864; -et du projetde budget pole 1865.

Le Conseil s ensuite procédé au mina-lionsdsdiversescommissions et àxi'approba

no

Lion de divers rapports pour des affaires de

peu d'importance.

MM. Chéri I et fumet, inspecteurs générantdo l'Université, sont en ce moment à Te..loure.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Pr suite des opé l s dol .oe I G

ale des notai es d l ar o d r dloua, la chambre d d a pl a l -tecomme suit pour I année 1804.101'1

MM I e , p,ésidee, Ddie P nt u eeréiaiçe; Ii tord, app nlr u,M lie., t s e. ,

MM. I aeas,oig;e et salut i'tatt,t, men I.fr'stii.!aires,

Lundi, versonu e heures t demie, la tri-tura d'une n

o

' e un crostraclio. sur lusborde do usai du Midi, s'esi or'Ila ion, paru-

tie; un individu qui passait a ôte atlciol etrerai quelques blessures,

OBSERVATIONS METIiOIIOLOGIQUES

De M, BianeAi, - Du 10 .ai 11864,

Thermomètre centigrade. } blinfmum: -)- 8-,0,1 ôb,xmmum: }42.,4.

osn..Êrne. b r m, u r, erein9 h. dam, 0'.,71 l le 1, O.3 h. du soir, 0'.,750 4- Il. - d.

Lu baromètre os II près de v able.La temps est be

eter tests la Cbeamgso I ale et t'a o mu :gv.e Por a-

4farseille, te 0 mai 1864.lCorrarrondanee puetierJidre.)

Le temps Sec qui a régné pendant tout lemais d'avril a puni un grana tort à lar, i pxgr,e qui demande de l'eau pour les fruitset les 'régumes. La récolte de ces produits quio p!bscntait sous les meilleurs auspices risque

d'e tee sérieusement compromise si la pluie nevlent au plus tétà son necaurs.A propos de la sécheresse qui désole nos

r:unpegnes, celui ce quo ions lisons dans leilémnr,nt d'Ain La sécheresse persiste dansantre >ono. Un ciel d'airain, en soteilunimt desna(aies violentes de vent tantôt chaud, tantôtfroid, seul en permanence dons notre almes-phère. Depuis sis mois, pas une goutte d'eaun'ont venue ratraichir la terre et les plantes.la vegblation est dans état de cool.banco facile à omprendee. Le produitîles et presque nul. Les ténia.

endroits. Leaira sèchent su e place en

""","u,"lités de ror in e seront perdus en partie.

L. unmot, si une pluie bienfaisante ne vient donner

l'innée 11864, valmniteuse déjà, sera camplétament désastreuse.

- La poll vient de melmo lacon mninn

sac ICnn,é Odoero, italien qui fut damé,

per la cour dueoei aux ucs l ax forcésL'

ansà purp6tnitô pour eeplissinal, sans la rue Nb-y'1, la no rué Jos,p! R end, o v,-

I;varlélie Layon o depuis ans, Od'acro s'é-mit fabriqué do faux papiers à l'aie desquelsil vnyngaait c rama .lori. sur uee rit limiersde diverses .niions.

- Lrc allai es d'a eaurd'lrui sue les Ltésunitté très calmes; les on, sptneot sIr robéor

Nous -on, ricn 10,!500 licol. 6:6 vain.--_ - - L. Nryret.

AJSgsrrie.L'm: 16 ,lobe d !;m veeorur de (Al.

gérie en Jale du ü mai to il coun,a ifr, air mi.,leur do I. guer r que le géeé al Dl e t

parti 10 2 aloi de Erendal,, se dirigrae,t ser lenui de I(hcucy Il Souk, dent il Compte faire

la base rl, ses opérations.Le géri, t,t fi ,,t,euu x cnncl,5 à Ifbency ci

Souk le 2 mai et est arrivé le 5 ai,Uaïal Alka,rra. Los deux entonnes td0le

unes 1, 4 à Ouetitr; de ôrl mille à A'inEhecimb, le général Merlinoau lia pas aperçul'omrr

Il, son cité, IC général Juauf :, qui416 D,jellate 4 ruai, il dCsait ar à Igl,oual 1,. G I,egénéral t,iébcrt était r l'oint111 deux colonnes sont largement approvicionnées; leur ravitaillement ne présente uucnnediffronité.

Le général co,nmandanl la division do Cois.tantine écrit, à la date du 5 mai, que malgrélu eectimon de IngoiGtude can dansles poilu

lotiolns

indigimus par lesI,éoneéeieats

,lu sud d'Ocon et d'Alge et pur fil nulle rlela Transi., la pro' ode fouslunaine s, inoin-tient an poil. Le lot ici tieruAa, arrivé à Ton-gourlla50 avria" ses tronpee ce parfaite t ' ( é col. e Sahara dans ana situation:xrellenie. Le ,n-bout de 'Camaein est ven.m devant tle la colonne iras une; parlent nossoldats ont été nie. accueillis. Du côté doDOUçoauto, nos tribus sont resléas cannes, rial.gré la voisluago de l'insurrcotion.

Ennisie, la ivolte s'étend Van, r6sis-

'p'iisque le Boy Pro lias d'armée rtgu.

'liseI

Le bon esprit te .OS Itbns ont an premierubslorte à l'invasion dos montagnarde, qui ren-.onlre,ricm bientôt nos teoup,5 s'ils te, toicnL

de violer la teonuère. Mata co qui pronve lecnlm, dos capella, dent quo lue touristes eanti-

,cnl à c renier duos la province do Conseil'Ib,n al à l'aire la pùle,inage do Ilinl;, r. Aucun

cidrnt n'a été signalé; les O'avanx de la cons-d, la pi opri616 iudigôoe cou t'isuent

e ham)tucllo d,, t Pou suret Imskieé"ales mêmes.hes populatious anropémnoe ut indigènes senta,lentivus, mai, ellce set foi dans l'amorilé quih se garda, dans le drapeau qui lus pretéga.

(Moniteur).

Parie, 9(Correspondance particuliers.)

Vers na m'en vomiras plu je euppone, 6'je un vous di, ricn de la conférence, je vous Cnai paré asna, -vol.

.lo me borne à cunsmter que lord Clareudonet Inrd Granville ue sont pas 'e'u' à Purfs,e tdesirement à eu yuo l'un a--ciraitetO passe dola eher,ouetue luta icurô.

On p;u'lo d'uni uouvrllnpa tegatmi de corpa1' .'il qui prolongerait la s"sfm j asq,ià la

Id mai..Ni. fuillaume Gnizol, fils de Jsouries clinis-

Ire, se présente, dit-or, rImomm candidat a.prochaines élections pour le rmmuvellcmant ducouard générai du Gard. On en rob, q 'il uoSerait pas impossible quo M, GuilLaumn Guizot

f titég .e t dit t 1 I.pcomm,r 1 n centre hl

Le colonel hl rit 1 L l 11

l tt Pa ces'o', es d ti l'I raLe Jowril d S t P3 / g t t

e,:rince

Gartschskôfa,wpcr AI . x

Le Czue, en wcompcnse des se vices signe.lés rendus par a il ,istrodesaffairesRtra.-silos, loi entre n portrait entouré de (lis.

anis, pour être porté à la boutonnière sur leubaa de Saint-Andr,,tl le reu;eeeie d'ee avoir écarté dus tamativev

injustes é'Ingéren dans les arfiaires in IG-

riemes de la L'ussiu, et d'ateir maiuu-nu l'lu-violnbilité dasdroits de la Rnssic an milieu desomplicatloos politiques provoquées par la ré-

bellion polonaise.A la réquisition du ministère public, tous

les exemplaires de la t te de .Idsuzv, do êl. Re-.au, out été saiss munt à poulet,. C, -.pendant, 'affaira evaotnété porté', devant laI lierre, I c-, db. dé die empl ras

-t r tonie ,ve pou êtreLI,

Ila ri

11 v. b r n'élit 'e t vil lauusi tl t , At pplu las science t notamment to,r I

mathématiques et la m'canique. 0n a trouvédons ses papiers, des calculs tendant à établirpar A plus li l'impossibilité pour M. Godardd'enlever sa gigantesque montgolfière.

Pour extrai: A. Purot,

CORPS LEGISLATIF.Fin de lu séance du 7 mai,

snrnr-rssu : L'homrabfe M. Thiersn n-'-il pas fais de politique hier quand il a ditqne la liberté Coûtait bien cher à remplacer,mi a-t-il pas donné à entendre que nos financesétaient mauvaises, que rien ne se faisait bien;je dis moi que c'est le contraire, c est la libertéqui coûté cher, et notre situation actuelle estaxcellenle.

L'orateur cite ici plusieurs passages du dis.cours prononcé hier par 71. Thlers, et loi ce-p' nehe de n'avoir parié nids congrès de Paris,u de Selfeeino, ni da 'r itiatrasea, .i de Nice etde la Savoie, ni de Traité de comraems et des

veltes offertes à notre commerce,voL'Angleterre, continue l'orotéur, a combattu

situation de s,, forces et des nôtres. etainouspouv ns dire le__ nous avons 'sinon l'Anglesuirrq pins encore que la Rassise t l'Autriche.

n. c,ams.aiet,n t C'est l'Angleterre qui apoussé à la guerre de Grimée.

ut, na ranci-rnau : Quand l'honorable M.q'hiers voyage à l'eteangee, rien n'est changépour lui, le prestige de sou nom, sa Imam. po-sition lui assurent en tout temps le même. ac-cueil; mais nous, sünple voyageur, quand

s allons aujourd'hui à l'é cargo,, nous sen-tons autour de nous nn rayon riment que noua,'y rencontrions pas il y a quelques armées, etdont nous oves tout lieu d'être fiers. Nous0entons qri ou eeoonnait lu tuante comme uneI,Griliceo Ju pecple-loi t belliqueux dont laloin rempli le inmda; o, voit, e. outre,

eu quele lotie lotie appelaitl'eul,u lute reec,u, Colloque sot ;but,.

I: honora tic M 'fhieeu ,i a pas resservi enta;il rayon o loulou e de loi-n 1 uo, mais no

us ovon6 c o l , =.enr et nasal gaves rn repos,ter l'honneur au gouvernemcul. (f: és niai!Très Licn ! )

Lasi. a

Etn,

lil,o lés pointueonnr : M. Gh, i Illu,

ont à l'heure la parolcpaur ripo.Jrc;ne d6pan.z doucpos ,s a,gamontsan inlerruptims,

il. 'non.: (le vous a dit hier : Vousasgi à, 'allé pan emplacce le gonoie arlemenaire.

toua ricn coûté demut; la prospérité du pays est là pour l'ot-dster.

L'honorable M. Thiers vues disait hier quei l'empan mail en bu,i4 convaü:eu,ominunia ocLor dans la v i. de libertéu il est entré,al1 moulrcrnil que

lalinerl6 oIL

uérile pas le mal qu'on ono dit.Nous aussi nies voulons la liberté, cous

l'aimons autant que voua ; mais nous voulonsavant tout que le oruvoireesté aux mains dusauverais qui a tant fait pour ta gloire et laprospérité du puys. !Vos budgets, depuis 4851,t-on dit pranvem qne la liberté coûte bien

cbor I re,,iI erer.Je ne sois pas de voea avis. Je ce repousse

pas to liberté, mois je dis que si uu pays vertêtre riche et glorieux, il doit vo.luir n guu.

,et fors ,I ne pus chorohee à l'sin..Jrir o(Approbukon enr ,",la"", brous.)

S. Ex,. M. le de. de Moroy renaplnte M.Schnci1er au fauteuil.

. u. in smenr La parole est à at. Picard.n Je clouol'honorable tt.

Saint Paul I avoir Comprisit te la discussiondu budget n'était pas seulement une discussionOnancière, ..aie qu'elle était aussi une discns-

en,n politignc et Ue n voir provoqués surlou to .

sretiendrai

P a''or'-

Lenmps, et je niessaimai pas de répandre auxetmques yu'il a dirigées contra l'éminent hom-ne d'litnt dons la parole nous a tous enchantés

dons ta séance d'hier. ll, eriére le sco

ro

urs quoz d e.(O

dimlee, je vois en effet se dres-

sons lo moiudro atteinte, la monument ad.m rtnto GIevé lita à l'art oratoire, dans cotte

cil toi et le eme.t de. Icillet est biendoclaa à se defnndre tout seul (Uruile divers).

Une voix : pourquoi l'avea. v.ce renversé ?é. manu: J'assiste comme un témoin noni.

indifférent, mais sou passionné de ces tullesrétrospectives. L'honorante M. Suint-Paul nousa longuement ontrelenua des ooalilions et deboras pénis. Il au sonblo qu'il ana oublié une,rotin qui sut s e, couduilc d'un celui slie, dont

le talent filait rie roulent ne liés vif éclat railduisit l'abhno

lala monarchie qu'elle avait mis-

de défendre.si,nI:honoitrt. prdod nue et moi, nous

pouvons ftri d, i, sur la question du bod-cri 11 reste

rsadans sa bonne foi et dans eau rôle

", d et ,É satisfait. J, suis aussi dans ruabonne foi et il à mes opinions eu ni ôtent

1

aNoIe"ti il

sslrunorahie ditFreurs vous quejamai-la c.Jel, ifavail été pins ce,lieaseotplu,pros-père. J réponds par c dilemme : Si le ci-

,ssedupayss' tai euusid6rablemmitaccrue,etsilos revenus publics tout Fris uu si grand dé!

vchppe,enl,nourquoin tlintIpus Ou °gtes pas a I `nI dt e I t , us avr. tord

t jne :c a -'s ce1 ) q j'si 1 1 sur de siégea d ns0 uni j lI hésité une seule fou à

Pater et à oter contre le budget. J ar parlérentre, parce que b ai trouvé que nos Insinueétalier admivletrien d'une fopnn blàmable et quele silence m'cOt paru coupable. J'ai voté contre,parce a n , à taireque des discours, et que, quand il re niaitqne des abus existent il doit

encre or les

r,Pler d'une m orn vigmrcnse. C'est ce queai !ait pour m'apart. Vus cu mm' nions, auontraire, so sont souvent bomRes à parler, à

formoler dos laürleà à

os

Amer dos seauxt lai plus dûne fois eue test, pour ma part,dl) voir que ces vieux n'étaient pas accueillis

post Doua euueroyions l'honorable préopinantr-uns .l dloiI tler desb,t

gala d ne 1 oc ll i l raq j . bi sIl yvoit à cep d I,un ho', ; les riz

pédtons lointaine, t t

Sil était ainsi, nus ceint l s ent àpat. g su u peint tu ltl I sde

i sinon admirer nul a,fi -ILcou, Il..ira rendre hommage à ceux qui le dirigent

et qui, au milieu de ces événements qui ne dé-peuvent pas d'eux , ont su maintenir un ai belordre.

L'expédition du Mexique, la seule oO noussoyons engagéseu ce moment, figure su budget

270 millions, J'eeactuel puni nue somedemets 300. (Rires et

brmuit)

Une voix : Ce]. na vous coûte rien.tt. a. r sou : Mais ou nous annonce

qu'elleva cesser de peser sur nos tumeurs. Si ce quej'ai entendu répéter sauveur est vrai, nous et.loua avoir ne budget admirablement organisé.L'amortissement fonctionnera ; les travaux pu-blies seront bien dotés, et nous trouverons levéritable éq ombre budgétaire au lieu de l'é.quilibre douloureux duel nous entretient M. lerapporteur,

Mais lorsquon a lu attentivement les do-mets offïctche, Il n'est pas permis de dire quel'état du nue finances tient uniquement sua ex-péditions lointaines et ana dépenses de guerre;et voici une preuve de la vérité de ce que l'a-,aura

: A coté de nous, il y a nue grande nationqui discute son budget, et le jour oh elle tediscute sont des jours de féle ; culte ..lion asoutenu lu guerre de Crimée ; elle a pris partà J'expédilio. de Chine; elle e eu à faire cetteterrible guerre de l'Inde qui absorbait ses ras.

ureca l a-r-elle augmenté sa dette? Non.Est-ou quelle augmente ses impôts 4 elledégrève au contraire les populatious, Voilà ceque fait l'Angleterre, at ependant, dans leParlement d'Angleterre, les représentants nesont pas toujours d'accord ils emtredieunt les

sistres qui ou se plaignent pas et qui lesomredisent à leur tour, et nous voyons la cette

image que M. Saint-Paul ne pourra détruire dugouvernement pu.....ntaire.

Voilà le premier

Point

démontré. Il n'est paspossible de dire que c'e t aux dépenses deguerre que ions devons l'état de nos financesces dépenses

sont

couvertes par nos amprums;ce sont les rorquals de ces emprunts qui, pari.dam plusieurs années, figurent comme res-

oxtraordineiro et qui .11 permettent deréponds à M. Saint Pain qui dmnamtait

l 'home comment .uns aurions pu dépenser300 millions do plus que nos ..venus 0'0,01 peudoit.

Nous avoua emprunté d'une part à la deltauolidée et quand Proie rune manquait, lep

gouvernemene u serché Stte dos eapédio riedouloureux lus

resssources

quo lus revenus neprocuraient pas. Est-il besoin appoler l'his-toire do ta ,o.vesion et celle plus récente del'emprunt mexicain Y Ces rames,

cevaleurs

qu'on accepta du gouvornom,ut ,asc'"',

oeles fait accepter n les capitalistes e réduisece faisant croire

:luune

e prospôIitbqui nod dureraqu'un jour. (Interruption.) Nues

..os

,xpli-querons as léguniot nou ut cri t sur ce point lorsque.elle

a ne o.s convention m. i taonis, dès àPrésent , il ai' est impossible de n,

jas signale, un moyen quel, considère cuminruailleurs, je répondrai à Al. Saint Paul avec

le rapport de la commission ; ceux de eus col-logues qui composent cale oemrrrisaio. saventles besoins qu'ont révélés les dotations de plu-

es. Plusieurs se sont adresses à laon pour avoir des secours minimes;

ila n ont eu que des refus. Je vois à la page 41dn rapport le refus d'un crédit de 20,000 lr,demandé par In ministère des affaires à,.. l.

:s pour atoectiri, les reaitemenm d'inactivité;il y en a un autre opposé à ma demande defonds pour augmente le nombre des bureauxde peste. Ces bureaux danneaient ..,esource équivalente à la dépens, à faire ; on ce.fuse tes fonds nécessaires pour les établir, aussilion que les 20,000 le. demandés pur M. le mi-maire des affaires étrangères , et on justifie ce.las en invoquant lis nécessités d'as, simat-budgélaieo difficile.

Enfin, je Trouve celte mulhcureuse Algérieprisée d'un crédit de 000,000 fr. qui avait étédemandé par le gouvernement pour constituerla propriété mdivmduolle, parce qu'an a eu bu.soin de cette somma pour mettre le budget euéquilibre.

Ainsi, il ii est pas possible , usas tasser laChambre tant outrera, sauf ceux de ses mem-brus qui ne partagent ions mou opinion (ou rit));il n'est pas possible do lice que l'état fi....rire de la Franco soit aussi brillant quo l'aprétend.' M. de Saint-Paul ; il a parlé aseeau-tant d'animnaliun que de '.,décoller.

En parlant ainsi, il radait à un eutrainementaratoire, et je suis co..aillu toue, rentré celui-même, il e,,connaîtra qu'il y dans noiresitua dan m étal qui 0'est pas des plus matis-,aisants. Peut-il litre quand le ohiffla descules est augmm lé do 131 rnilliomms et qu'il a

s . mvuaux dot je doilié établi des impôtd n

soner la nomencla"re.

o

Le 17 mors 4852, élévation des droits de dé-tail; 5 mai toton, élévation des droits d'enrc-gistremenl; 16 juillet 1855, impôt sur les al-Ools, u,re las chemins de fer, dixième du pris

des planes deuvièI a décime; 25 juin t857 ,icapt .sur les valeurs mobilières; /,juin 1858,élévation du droit do Numéro et Gmblisncmontdo ]rait sur les valeurs déclarera ' la ponts;20 juillet 1860, impôt tour les alcools. Lutin ,

181 p t er les -Lutte, sur la t en-

t J I re. Voilà des amphi. (Inter-

U c r ci. ; Mate II y n eu des limier-nSans doute lia 1 i diini-

nul ôns,ra

je é

nni empresse de le doclurer et les

da cols édictés e. ,stem meuSe. En présencede ces faits, , que dit M. de 9t-Pml Y R axacohosio molfion

ond'a

morti"semait et il dit t Sirame, vu 0 ufs et se so,notredette serait

,,,puisaient

,e;et

iomit !'éteindra trop

; sait, tt :os du me cite, leunoie

l'amoru'fonctionnel tropu

vUSUlte-t ilqtion unne

ne doiveplusplus

lle taira

ner du tout?(t. St-Panl s'éceie ensuil, : jamais la pro.

priété foncière n'a en mitant de valeur. Celtenlrur s'est augmeotéa de 57 milliards; je lui

réponds d'un motVous voulez augmenter dans la même pro-

portion l'impet fo.cme,. Mois troyen: vous quenn p d et 37 If .la de valeurs

IC n a t gréL i:t t h o.ns doues;inzislebud -

gt st p riche1 page tours l

dép su q à faire t' 3ell I I q eest dr 00 n e .tus oe impôt> r.diil, ,

giclé ,rat ont s àd4.240 'llione. Un, lellusituation, que le mendie eceedant pourraitdiminuer de moitié, peut-elle èIre déetares su.tilefalsanto I

On vous a dit hier que, dans ces dix d.1-mères antes, ..as avoue trop de ansé, t'a-joute que nous avons mal dépens Si nousavions

-`démenttrop dépensé, nos dépenses

lampas été improductives, elles aurnie,,tcréérdes revenus; mais n avons mal dé-

que M. SâPaul ardit Iui'mlme odes construc-tiens dans Paris.

Il n exposé cette singulière théorisera pluson faisait travailler les ouvriers, plus on obte-naitdedroit sur les boissons et sur l'rnergis-trnment. Mais oO peut être le profit pour l'E-tal, quand dans tous ces travaux, an se préoc-cupe plus de la décoration que de l'utilité YC'est une simpia rani, qui est ainsi foire auxouvriers, et an n'a pas reÿtuvalent.

On dit que les revenus de la villa ont aug-menté de 75 0/0, et qne la propriété immobi-lière à Paris a gagné UO 010. Nous le savonsbien. Nous le payons esses cher. Qu'on metteaux voix,, par un pléb,aciie, l'approbation demut ce qui u été tarot à Paris, et je répondsqu'il aura une forte iajoeiléoontre. (Plusieursvox : Très bien 1)

Si l'on a mal dépensé, qui en est responsa--ble?est-ce la Cbam bre 4 est-ce le gouverne

mont Y La Chambre, depuis qu'elle exi,tIl, jela dis à son honneur, a toujours réclamé an-tre la gestion financière de go vernersent.Mais le guuvertlement e donné en qu un Il luidemandait pas. On ne lui demandait pas l'a-bandon du droit, pour la yovvernement , d'ou-vrir des crédits supplémeolersa, la faculté devire ,e t sur division de budget qui u 't àa clarté et qui exige plusieurs rapparie dis-

tints.Ce que et Chambre emandait su gouveroe-art, et cela par la vol', des membres les plus

dévoués de la nrajori;G, c'était le retour à lnprincipe salutaire, celui de la spécialité. (Plu-sieurs vox: Très bien I) (','était le droit do

" rot do voter IC budget par art

es,os de

lagon à retenir le gouven pool dans la .cedes entrutneuems et

do

e porter partant lalumfére de contrôle. Voilà u' que la Clore-turc demandait, et voilà ce qu'elle n'a pas ob-tenu.

L'honesoblo M. Saint-Paul e vent plus degouvcrnoment parlemc.laire. Cn qu'il lui faut,n'est .. système où mut soit 4 fujdémmt

ePar-

fait

accord, oà lu Cl.ambrn, pro on ylmpathigae au gouvernement émane des votespréods de, discnesi, pleines ode

pus mises;mais la cuncorde dans la discussion, ne,ait Le pas la deon de la discussionmôme c an

ont repséuematifa,maie u. g.. ... -couvaitnsultatif.

A qui ferai-vous croire

r

na"mnnrcela YOù y a '-il une assemblée où l'on discuteaveu plus do liberté 4

c

; Je suis prêt à m'incliner. Lejour ait la spécialité se rendue, je dé-claeeral

queomet là un très grand progrhs.

je o vous parte pas de ladistinction centrer les gmveeccmente. 0e, je

loties ce que je di,vis, t je demandeusla co ce de la Chambre ,

,à

la cou-

science publique : Y a.t-il une aval. Chambreû il y sil plus ;le liberté de diseussimr que dansc11c ci

iIl. 1. ru:ano : J'en use donc, ero si ur leprésident, et ce sert quia. moment -Û -aa

a, dterfez qu'elle dexistarmtplus. Je rbpondsun Il,la.

Duur

ai,uwisn : A nn discours prooc0teur. ltéclamations.)vM. c. rmâa.: Non, mais à un discours où a

été exposée non théorie particulière de gouver-mnt...

la. 'c ll est de moire honneur,il est de l'honneur de la Chambre quel chaquesituation, ompiesa condition de la tohn

1

ubsiietulroe

soit bien compo et bien labile. E jevous demandas eu pouvez n litueher ira

cette collet son de snppomar la liberté dedisuussion Y le maintiens que vous êtes la ie an-

ante du contraire, ('Près "^n1 très bien !c'est vrai

n : Volez-vous me permettre desus répandre...

: Sans doute; mas, en né.M. 'Il'.cité, cela n'en vaut pas la peine.

u

:Tout ce quo vous dites, mon.virer laprénfdent vaut la peine gnou y ré-

pond.E. effet, tout ce que vous di-

tes, monsmsnur le président vaut la parue qui ony reperde, comme

lufait observer mou lron0-

ruble ColiLguc.La liberté de discussion, nous l'avons ici,

tempérée par les usages parlementaires quiont survécu au parlement. Mais cette liberté,dans tous les cas, est éphémère, et nous vou-drions que ce qui existe ici pendant quelquesjours anbsist9t sans interruption dans le pays.(m ait et crue.)

Cmt ."a nus on redoulablo quo celle tes

députés qui ont à pregdra la parole ; s'ils dé-

plaisent, 1 vérité, qui rit dépôt "ait , lent.aies I t l .. t e I 'Outille

ruent y tl' d t I 'tliens, dnu-, 1mI d

purot ! I d I l'.I ef i l' I

Lad et - t J t y 6 h e rt nwauout

et nr discours t f t b va': iéIl. le président a pos la qu,st on garnie mat

ai"i

race, et je vans lai,;Prai ,eoinlenon4 à

mppréc,,e,.plusieurs voix :'trios bien I tris bien 1

I.JM 010mo, 'apport"" : muselleras, janrougit la parole pour présenter quelques e -

plieatieus qui répondrmu, je l'espère, a Ix cri-liquee dent la situation snancière et lai ilva-

tire budgétaire ont été l'objet. Vou' avez .»n--tendu des observations 'le deux ordres : cher'

Votions politiques, observations pouvaientfinancières. Je deinaode lu permission de tese de coté la guestion politique et dn metenir sur le ternie. purement financier.

J'éprouve certains embarras quand j'essaie

de cenurner la pensée des dateurs gel honora-

ble ii.'l'hlers et de (honorable M. Picard. Dud de M Thiers, ce reproche parait so

dégob q 1 dépenses bu]gdlamcs sont

xegérées; il me semble, a conlraue, qu'ilesnRereR des observations de M. Picard, que

la commission aurait, solos lui, opéré des écu

mies trop considérahIl s.arcane : Je ri ai pas dit cela.

n. R : Pespèro yu'mr simple historignodgmdeM travaux de te oommssion prouvera quunpessimisme exagéré n'est pas celui gtni cenvma1 la situation, et établira Cn mêniu tempo qu

il

ri y a pas un optim isme exagéré duoa le rapportde la commission.

Nous étions en présence d'un budget de 1milliard 797 millions; ce budget ne coi le hl

pua tomes les dépen ses sot Phonaut

oea

Thlers a fait hier le ce ^v mais ilne

faut pasmettre au compte de age les dépenses démettre

t communnales;

ces uns es ontprie

agrand développement

dans

s ces delmè-ce,

lnnacase. Quoiqu'il y ait enr là ceetainement

des chargescouverts,

pas un d'ealre nous osr .grena ces dépenses en présence des résultasadmirables qui ont été obtenus. (Marques d'approbation)

Ce. chiffre de 1 milliard 797 millionsne coin-etpprend pas non plus le budget extraordinaire

le budget spécial a expddmoen lointaines .ce ne sont pas. en effet, des éléments à faireentrer dans en badgot normal.

Le budget ordinaire sa décompose en quatreet lparties : la dette publique es dolal,ens, lot

monts etc, étitu'ho s olas services généraux des

ministères.L'honorable M. de Saint-Paul a expliqué

quoenserrentocmamérableeladellbto-uo, et quun pare

""r ats o

rie las

n

dépenses faites , le cmuparaison.est ceslairremeut pas aa détriment du L,-a-

"ce""" impérial.Les frais do régie et de perception ont beau-

coup augmenté, mas tétait la conséquencenalurclla de l'augmentation des impbls.Onadrtq colin augmentation venait c, grande par,ed'inrpbtsnnuveaux; le rapporede l'honorable

M. Imeson a établi t'uLI nés deI rièea d'une façonii nleus.nl, r{nq en tenant Dompte des dégrève-montsdes hnpôts nouveaux, il y avait une 00g-

ons le a frais derà0ie eto re de4100milli,drégie et a,

1t paomr

plie: sondes frais naturclsduaa.erctpmt des impôts; la commission a puressuerr

d'ailleurs que lo taux des remises étaiteu chiffre le plus bas.

h :rob oesemonls et restitutions ne sont

quo des opérations sur des sommes epn,eo et

yui sont urséce.rmbsRestent t lesles services généraux due minfstèresz

A toutes lis époques on a dirigé des attaquestrès vives contre ce qu'on appelle i'exagérnlioudes dépenses de l'Elal. Ce" lot de tout temps Is

trentedo l'opposition. Jo relisais, il y a quel-

que temps, le è`I beau rapport de M. Tluerssur te budget de 851, c'est nn dooament 0-s

er de premier ordre, iaxe tisfait de ra-i ouvrir dans agi rapport la trace des préoccu-pations qui dominant aujourd'hui lie grandnombre d'espeits, en était en lendemain d'anarévolution, et il semblait qu'il devait y avoird'énormes abus à réformer, il fallait diminuer:le taxa du tennernemenh, on dit aujourd'huifdtnl du poueorr.

M. Thlers démontrait deus soi rapport qnele budget ne contenait que le strict liécessmreset s quel chiffre d'économie était arrivé, la ecm-mission au nom de laquelle parlait M. at10 millions 500,000 te, Le rapport déclarait

désorganiserait Ions les services si nqu'onvoulait aller plus loin. Encore fallut-il, l'année

va te, ro"u"er 4 millions aux services enrnl

lesquels avait pesté celle r6duotion de 10lions 500,000 fr. Depuis celle époque, jusq,i eu184r, jamais commission du budget

.1

P.se-_

' proposer de rééuolions aussi consmdéra-blesr

il

ce a été de mémo de 1852 9

1802.Glas

te 1802 q,i intervint le néootns-ooovultt de laréforme financiers, il supprima les crédits sup-plémentaires ouverts par décrets, et il donnades droits nouveaux à ta Chambre. L'honorableNi. Picard disait tout à l'heure que les membresmêmes les plus dévoués de la Chambre réela-

ient le vote du budget par article.eerane : te voulais dire par chapitre.

M. ô Tyran : Par Chapitre, soit; mais par arti-cle, ce serait vouloir taire entrer la Chambredons l'administritio..

Le budget de 1861, en prévision do 1111, -

pression des crédite supplémentaires, évaluatrès largement les dépenses, La commissionpensa que ces évaluations étaient un peu .a-gérés,et proposa une réduction de 9,600,000

fr. Dans le bn]get voté, les dépenses des est-

L, généraux des ministères 'élevaient à800400,000 fr. Le chffre de ces dépenses fut

de 810 millions en 180/s.Lo chiffra proposé aubudget de 1865 était de 811,800,000 fr. La

omission a obtenu une réduction de 5 mil-lions, ut si la Chambre adopte les conclusionsde le commission, les dépenses seront votées à806 millions. Comment se décomposera celuisomme de 806 millions 4

La guerre, 3(17 millions ; la marin, Si mil-lions ; l'Algérie, 1, millions.

Aitai, l'a dépem'

s réunies de la guerre et de la marine s'élè-vent à 918 millions. Ça sont Ion dépenses queM. Thiers approuve le plus et en sont, au cou-tra r époses qui cet nuiront FeéaccuI,éira les 1

la commission.Les dépenses do la guerre out pris, depuis

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

F

18 2, dfi pp 1 - I !1. M II rs

dt l I I i L l 1. l- or terdépens. to «lies, I. ilé sur ,gnello il ail

éleva u 011111ue rem ladécorIse

relative fi911 rescrit , I: henurc bl,- M. Thie.s a approuvéfoules l I

h.. I t (. t le ohs'

. leq

I fl 'l f z :éq

grandeBucufe tir 1 élnvaine

i

d s nedils. La eomm sn fi. Ilnrlp1 11;, jan voulu a11nmllre

com.

a epPolit .i fl. trds e 4110,000 hommes etde 85.100 chevaux

fou vornpp, ysm.anlibo,ntabl0M Thiers,adn011n 1paos, d'rcononno poss,hlo. Nous, o -a

l'aune. 1865, le oIL ilf,, de l'c[[ce-tif Le[ 1 1 t I l s s nuit n euigageai p 1 1 s ti c s pas

demander plus tard la i' fief 0f de l'off ctif.lo sais bien quel ne r-'h p100e ré.

ducüon coneidé al le d na nos marli',on l'a dit avam nous, il üy a pas de petites 6co-

, e1 ocue-Ià ucns parait d'autant plusaiséeè epieer, quon sait avec quelle facilimS'orusde française passe cté pied de finir au fi,e Ide guerre. La campagne 11 haine I a prouvé.

Qnanl à la marné, il est inéonlestable queisout il

[foc(if Le 616 d6pasad dans ces derniers

teoips, vous savez sous tram fifre de quelles cir-Lueslonces etde gitanes ndcase,lés. Legouver-ne000nluu4nous a promis e r2 l'aire rentrer ,nL ,wus pouvons espérerdqoe, s s 11110111 ir.elle

pn1550000 ellarilirle, dont n0ma aolnln Csfalun

rs, 11 sera possible da réaliser encore de ceSté y nnlyues GconO nes,

Voilà pour UId millions, sur 800 gn'absor.béni les scrvicxrs ministériels, et si j'avais be-

d'un en,Iople pour montrer que les dé-pnses de ces deus services, armée et manne,

ont rien d'exagéré, d me suffirait de compa-rer qu'ils routent ou Prance, a,,o es qu'ilstodsnt

Il Angle[One,L'Angleterre , ove r n sI1, Iif beaucoup

moindre, dépense 571 miiliions pour soa armée,et la Prance 578 millions. je fi. fais pas eu.réer dal

- If s frais dl'expénon éluMexiqu0 1 !. vont remboursés.

Pour il nous depensoos 169 mil-lions et l'A oglelerre 2GO,Ainsi voilé deux servi=os qui lmilmnt beaocoep plus cher en Angle-

terre qu'eu I. rance, pour des rbsullale qui, en0c qui concerne l'arn;Le, 500101151 a0 sont pasconularables.

[e li ein CJUUIns pua qu'il n'y a pas d'écono-u possble, mens je dis yue a II doit en due

opéré, le n ornent n'est pas ve u et que cousderoiisen laisser liunmtivo au govveirmnont.

lepasse aux safres errolees Ministériels.Site quelles parties de ces reenioes veut onfaite

ruelle les éc0.omté, f sur le personnel,0u sur le matériel f

Qes ..édita alloués pour le matériel des ce -ces ne se 19111 1111 accrus dans une propor-

tion corrélative à l'augmeutaliou dit pris defoule, choses. (Plusieurs voix,oix : C'est évidml0.le.

value personnel, je dois luire la mème ob.

Depuis 1847, les Ireiluneas sont loin deprop

saorros ne 00000 du prix de (culeschs't?I,,ose

. Ainsi à ''I aria, le taux des svI dede

2

2 r O10

ila

s'estrl de 2mmeun pour les hommes

pouilles fems. , ut

Dons les campagnes, l'augmentation est sn-

"Il plus considérable. Quand ou

"aexamine leitemnnt des fo.ctionnai vos actuels, et yard

1111 lus compare à c qu'il, triaient on 1847,en tenant compte de l'augmcnla(ion des prix detoutes las déniés, on

I

e canelusiouque leur silumicu était enlpiroe.Les traitements des préfets

ont étéd ubi6stt(Deuils divers).m. oQum, rapporteur : Et l'an arriveraitensuite, 005110e ou 1832, à cotte autre d od u-que10,g ses réductions sont i

avec la bonne administration dué(Tels-bien f trOs-biegl)

Pnys.

Neus allons comparer je chiffre de la dé-1llus, des services ministériels eu 1847 et 0n(853, quo nous considérons comme le point dedépart de l'empire, et an budgget de 1865. lin(847, les se vm0 i nietbriels figaralent abudget 94 smillions, dont 430 pour lamarinee et

t1 l.

eguorrD.

Eu 1803, c0uedépenseéteitde 682 millions,dont 405 Pour la guerre ci la marine. Au bud.

éme5get do 1805 , Ics servi s Ggreeetpour 806 miliious, dent 5f8 pour la tueur tlit marine.

Ainsi, pour les services civils, la dépenseémit de 256 millions eu 1847, de 277 millionsen 18'113, et '[Il figure pour 288 au budget quenos discutons.

[,'augmentation a donc été de 59 millionsroulement. Celle progression, je le eépile, estSoin de correspondre à l'augmentation de mu-tes choses, et avec la réforme économique quis'est opérée dans le pays.

Le commission do budget s'est trouvée euprésence d'une situation 'Il 'il en lai était paspossible de modifier; elle a procédé à l'examendont elle était chargée, avec soir,et honnéteté. Elle s'est rendue eu odesGanses de dépenses et des nécessités de servi-

; elle a apporté dans cet examen net espritd'entente aven le gouvernement , qui en est

nr condition rosontielle; e1 lent so roules a'.'vus vous proposer 3 millions d'éco..mies.

None croyons qu'il est impossible, sans perter.points aux divers services publics, de propo-ser des réductions plus considérables.

Nous vans sommes livrés à cet examen avecd'aillant plus d'ardeur qui nous nous Mouvions

ne dalle à payer.ritp clause de garantie -.,dé. son chemins

de fer est due ii la compagnie de l'Est (depuis1854. 11 fallait, pour la payer, au la meure 8la charge de la dette flottante, au trouver deséconomies.

arrivés à créer des ressourcespour le nouvel article dos dépenses, eau, coe.hangir la dette Gotionle, et nous l'avons faitees es porter atteinte à l'équilibre du budget,car rots avons voulu en équilibre sérieux.

Nous croyons y Atre arrivés, et pouvoir es-pérer que cet équilibre ne erre pas troublé enlin d'exercice.

On a parlé de l'accroissement des cr550ur-en , et surtout de l'accroissement des i palsindirects, due h cette prospérité dont l'hono-rable M. de Saint-Paul a fait un tableau si bril.lant, et que l'honorable M. Picard a un peum6cn...

Les impôts indirects produisaient, en 1861,1 milliard 99 millions, Eu 1862, lu produit a

CI de 1 II d 190 ll s C 18f la rel1 été de 1 milliard LIL4 lI Ale'», la

pr sston col ecostuolo, et de 1812 1863,l'aeg;aenfàiion a été de 1,4 millions.

Quant aux prévisions, loojo000 établies surle voltant dus p ..fit 1 0l I hpendant lev d,uza { I 1 l l p Es n'ution du budgel, elles o'.t ale dhpa..era,eeu 1861 de 55 milliers, en 1862, de 65fers, ou 186 de III. e

L 181. s élevées 1 milliard228 Ilions. jet _onnats avec 119. lhicrs qoele premier tr1mé sire de celle adnée e donné

tat16complc, tuais l'orateur e la certitude

pi q rais cmnliensG par le produit dus troisaulrr D in I s, t évident que la loi deasuer d t voit, 61 a ss an ummneooc-tnent le l'année té

[esira nsal.liove

C n autre coté, I, situation politique du .,ament a ivfué sur les reeeims de Ienregielre-,ent, mais l'adoption de la loi sir les sucres,

le courant paeifigvc dans léguai nous sommessures , gindre à la étoaban I dr, lailelot eau I I lit et les trois I ,0 ln slrIs ri Formée cispense6ont la faiblesse

dit premier.Qua nous: prévisions pour 1866, elles sont

de 1 milliard 248 millions. Or, le moyenne dol'excédant des recettes sir les prévisions pourles trois dernières ne 'es est de '.'o roll! 01 ,

L'année prochaine les charges de la guerre duMox'que m main rossa.

Le 9ouroenement mexicain pourvoies àleoieotien et à la solda des Iront s que laFrance aura ece a Mexique; il n'y auradon' plus que les rcrédits correspondants à

x qu'on demande au 6ndget rectificatif, etqui sont cette aonde do 12 à 15 et i 11 101eQûoules perle à 20, a 30, même ù 40 millions, tl ytira encuve un excédant de 40 millions. Il est

donc poelnfs de penser que l'équilibre sonon ialtenu.ia9f

lenunt, continue M. le Papporteur, il ya dotai 1,1 10 Ile 1 re s j oquelles d ,.I rit s 19/2 dé pexemple n pas 1, 1.2 déchut, d guerremord le 1, 2 denture do paix. Je l'appelle ainsi,cor il a été rétabli en 1862 pour combler ledéficit qui a 616 le oIsolat de notre granderétro

G i au mentidu 11001110 deeimo va o

t6treupour'oir ppa faireira

11

1

1, si1 les reoollf 11 e, renl, on pourra fnir0,due.

oovurs vu jec5.

Il 1 I l-amen. Ou en a beaucoupprie 1 oindrais, à man tout, vous prouverque ce que vous faisons, tous Ics g0uverne-monts l'ont fait.

L l m 't été tombé I la loi I 98août 1811. I f n l1 f squn 1L3 F1185- I i I t é0 L il un rég,mo nouveau. Lefonda a été répoeli u. mare le franc cotre lesdiverses espaces de celles, e1 il a été dloidéque L rachat do la rente 0 auront lieu que pomcafonde loi seraient au dessous du pair.

L qc les fonds dopas e I l lo pan onettml ve

lu

p- Oile rte la dotation qui

irnppan

Ieorserail.

0. Îa rc retenir sous rm'n,ada h ous du Trésor à la caisse d'amortissement,alita d'opérer le rachat lorsque les allions 51-raient d0scendues au-dessous du poir. C'eut cequ'on appelait la réserve. Cotte réserve, gaollo

a0(0 il destination depuis 18351 I.a

oLi loi du 30 sont 1835 a oppliqud 1114 mil-lieus provenant Ju fonds de la eéeervc aux

et moyens 0010001di aires du budget de185`2 et do 1855, Eu 1849, la réserve a donné948 tel aux travaux extraordinaires de1852, 1840 et 1841. En 1841, elle a donna 166Midi- ns a,,x bcvoins de l'exmoice, 4 enêo de1841 à 78118 on a consacré .92 millions de Ivréserve à l'extioctien desdécmiveele. Eu 4848,l'a nior[issemeut a 1Lé suspendu, et il n a Olérepris depuis cette époque que pour une son.ne de 40 millions en 186'. A part vol exercice,

Prudentla péeioda écoulée depuis 1848, le

produit de la réserve si 611 appliqué anx dG-bu

P, clesneevirsndo l'tigmoetissemeat xe sont

a servi our une0mme de 1 milliard 307 aillions dbop 1853 à

1868 à des offeetalioas autres que des rachatsde rentes.

Aujourd'huiau Ldgel ordivaire1 611 millions de nsl -utes lent Pertes en dépense au budget ordolaire

et en recette au budget extraordinaire; et les25 millions restant do la

défoule

au budgetextraordinaire.Eh bien! supposez que GG millions soient

0nuulés par anc mesm'e législative : il b oive-rn,l que le budget ordi.aire aurait un escé.doui do 66 ,ouillions et que vans ponrrioz trous-porlcr sur le produit

dula domtion u

source é"il' le d"" GG miliious au budget

ruon ros_

ttaor-diraire. ne resterait plus an budget oedl-naire que 22 ou 2.3 millions du fonds de la do-tait.., et le budget panreail s 0ffranchir peu àpeu de tout emprunt à la dotation da l'amortiesmnent.

L'amorlienomem fonctionnerait, alors, mais]a loi de en Me..aussi utile.. Le jour où la dotation figurera tout

,Miens aux travaux extruoedinairen, vous ang-memerez parles travaux praduclifs la richeeae

diesays, vans augmenterez le gage des ci es,,.

de ITtat, e4 lu fards d'amortissementfonctionnera alors d'une maniéré utile.

xenaoee de 1861,ano etese,ontpos 0v0 00 a.!'ire normal, per eut, b lefrii a onsdituunt

cependant udgsituation Loeluit ire tact platilet que le budget est eu paefai4

équilibre seraet il

ne l'eut pas supposer que rat équilibre sdé-unpar des un Pte'.

le croix que le Mexique est appelé à jouir,o pas d'une prospiritéd'unjose,commo l'a dit

l'honorable M. Picard, mais d'une longue peut.périté, ey certes, je ne peux pas avoir moinsde deus se oie m w qu ô

ou doux x de la Cldne et de la Loeldnohi.nu qui an réalisent aujourd'hui.

A;usi, en 1863, l'8qu;lfbee sera eomplal, etnotre situation tendra à samdlierer.

Après avoir donné air none situationboa.

gét eaire des explications quo je croyaisare.Eléces-

sa

outre

situation fins.o{èleest, il mon avis, dans des conditions satisfui.

saute

La séaneo continue.

COUR D'ASSISES DE LA SEINE.

Af1;airc LuA d. d 1 mai

(S' nie et fin)allait ne le

'é If l e ds ]'état a peél d e

taled 1 l ' 1 f heures, elle t telos ranz ,. .t de la femm

IIi ri, LI e priait caloi 1a une voisine, la Aem-me Détenue, daller lui hercher un Oaeond g . L Ils t eeéda t à n toilette avec un

n e, témoignait de parfaite santé; elleler1 talr sh si de L,I e s(61 ci lif t I liait h

I lsrat loi i p fi e olI Idaautre ne^ li voit jusqu'en lendemain mana.C'est alors que vers six heures et demie, en

rail 01nune de coutume apporter le pois,la veuve l'igerre est surprise de voir sur laPet[. I cl., q la

edl r iavait l

j .s te sô n de relire, en

sa

iatl Ellepénétra dans la chambre, et elle y traiter 1,

ve de Panes dans le plue triste état; soasage se:,hit de vives souffrances, son lit et le

parquet qui l'euvieoto10 suit5mailles

par lesvomissnmenta qui se sont déclarés pendant laul

L erg s 1,11, 11d , de4é

ett Ad81 1 de P q v l L d

pisquelque flou

pla I enhesol. Ellea m0nteet

aussitôt, mais leur robre leur dit qu'elle a euindigestion, et les prie do la laisser seule.

Elle obéiesret et redescendent dans leurmhce

uns finit heures du matin, La Pommeras; il se prouve, comme pmidaot la sairbaarrive ;

seul avec la venue de Panse.La g11v06 dos. symptbmes qii elle éprouve

est évidente; néunmoms1loin

de loi foire don-I vs g. l que son blet Iédame,

11 t men P e d d. m qui laet l la laisse seule, li. é

accidente et aux mènes so.[f nées. Quant selle, ces souffrances no lui inspirent au uneinquiétude. Ne fauLil pas, peur obtenir une50101e l 5000f., q G. a de 1 teg' al 1

D mlleura ha PammOrlis vent de la I assurerau sujet des suites yue les oouidents q,i elle

E P. t t 1 4 11 q I,t

l6 quel'a ose tcrm II pdil 1III Is 1

. choléra et que j en 00,1 s pour si

a t quatreblancs. , Or, ue mol 1111 choléra MI I ef[royail

aalletneut depuis quo l'a Pommerais lui avaitqull Pavot au lui même i qulauIl loupeau

u r' . vii gt-quatre ham"s u moy n1 u t médicame.nl qu Il lui 0pporlve, it.

Aussi, loin de rlclomee les soimde sesfille-1, elle (vide qu'elles se rendent à leur pan-= ne de coutume; mais spins Icur dépure leimal col t o l' t la ontrade ne !croit dautrns ..céouts que ceux davois

,c, la femn:c De leure,'ici mante de tempsen temps auprès d'elle.

A arc heure arrive ne médeaio + M'axaitplnviens fois 000,0116 la veuve de ledodom' Geodirot: celui-ci, comme on l'a vu,leelpt,nt sans méfanca les ri?eis qû alla luiavait faits avait cru frette Ig G o I r6elle fantImnL6c dans sou esa,lier. et que les seaf[ranas

dont elle se. plaignait obtient sérieuses.EI eonsuquence, il lui avait prescrit uu 100,0e-i.enL et un rlgime, sans suupeonnar que laveuve de Pauw filait d'avance résolue à ne paslessoivre, et il en v,rail constater les résul-ont.

Mais eue 1 nan1 orl fepi ro p a aima Deleure qoela veuve de Panse au s y rasait na lomom eu.-[arme, et , u'clle n'osait extcn( aucune de

f mo aeace ordonnances, il iténinsexamine,

ci

Menait ai se rmfra sanaexamiuviiner

sumalladde et

et.as gué d'oillema sentie.ei fît auom effort pourla leleair.

Peu de temps il vers doux heures, LaPommerais revient : il se trouva en seulavec la veuve de Pauw, et il ne peutsee trom-pa, sir les p1gr0e que le mil a fonts depuisqu'il

l'a quittée. I1 repart cependant prisavoir passé quelque temps auprès trotte et

avoir prisris oins peov qua aucunedossmunr s quo Don

mridela pÎ a v Igaie

Immanit6. Enfin, à six heures e4 demio, laen_

'de Pauw meurt au moment où vient d'ent-er le docteur Illoebez, appelé en toute bâti,

par la demoiselle Inte sed, mais alors quemaltenreuoement il était déjà trop tard pourpouvoir procurer aucun soulepemem à la on -tombé.

L'accusé revient pour la troisième fois à huitleurre du soir. IA dolnaisellw Huihnand, qu'il

contra sur l'escalier, loi 050000e la mort dela veuve de Pou,; cette 1110001 0 ne loi causeun surprise ni émotion. IL mente jesgoà lachambre, s'approcha froidement du caduc ro

decelle uni a 01e ai longtemps 511 mahresse,

s essora qu'elle est bien moral, et se retire enparoissam attribuer cet événement à la préten.due chute de la vmuvede Penw dons l'escalier.. C'est ne dérision 1 s'éceic la demoisellelluilmo,Id, 5f'ao de Pau, da pas fait de chu-te.. Et comme il semble vouloir insister :Nejuron pas, dit elle, vous sorte bien que je suisau ont des affaires de 61de Pause..

ll ,,aralt trop bien aussi à guelfe este' 61 aitduo la moet de celle femme, et ce,,, cause nepeut plus au,ju.rd'hui Lue l'objet d'un doute :la veuve de Pauw a 6111 empoisonnée par LaPommerais dans la soirée du 1G novembre.

L'accusé est la devinée personne qei l'aitsue pendant celte soirée; il u passé t, lmmgtemps seul .'ce elle, et vest durant la nuit

m me q,i aile adt6 prise de ces vomissemcrtsqui fournissent à la seienoe la preuve que lepuis'am lui .a été administra: q,,elyucs' m menuauparavant. Le lendemain, 1 la revue deuxfois, i1 a encore été seul avec elle, et rien nelui o 616 plus facile ,lue de renouveler au be-

ii la doue de poison. Lui seul avait 11011 àcommettre un tel crime, et il en

avait1,évidem-

ment dei,jà la pensée lorsqu'il missit centraverà la veuve de Plusv des assurances que rienartiremenl Il pouvait expliyam'.

Quel autrO mont, ev effet, avait

P.

le fairey L. veuve de Pauw lui devait'elle réel-

lément, ainsi que le dit l'xle du 51 sait, 50ee de 550,000 fr. Lui-mémé , dés le dé-

but de l'instruction, a 646 farté de ee inaitrocombien o 'hiffre étaie :il a oomm0n-cb par lu réduira à 150 ou 100,000 fr puis il

avalé que vI oie évaluation était encore fort d 11 résuitiolit de ces leurreq

les

il,le t'lssns de la verne, et II lise défieu 23,000 fr. le ..atout 1115 sommes qui luisont dues ; niais sur ,,a 211,000 fr., 13,000 1,

propres a , 51'enroient été eu-d'a11 s

vmi, laIl euve P, uw lino la fin de Mois deseptemlreIde Imlgteups par eonségvent ai tes la

relus sEn réalité, ces prias

a priaeeu

dtraneoseoons se réduisent è

des llmmc sol honorons,., t t d'aulnesfi s rase, 1, o de Wuv e r-ulpins

uvont nosscoeurs

Ire son état degéoe lui 000.doit nécessaires. Quoi qu'il ce soit, et ce ad-mettent un moment comme axantes les der-

deVla t d l'accusé e t doret. e tdu mepue, sa

de42,000 le. qu'il aurai, t ntravtce à le

veuve de 1'ausv des sofa es sclcvanl à)',M(M) lr.; c'est pour éstler de perdre e s,

faible somme qui! serait pris Im-mèmelun'ergs

xmem de payer chaque année pros de 19,000francs.

Cet engagement mème, il était hors d'état de

lfil I li assit eu déjà que trop de

Pion, Po ami prcmrer versement' d ani-rait btenmt se duel l'impossibilité de uot

u et pourtant il le, savait àmerveille

; les

a

s pr6ccdemmene versées eussent étéalorscomplélemcot perdues; aussi entuodait-il

bien, dès le premier jour, faire eu sorte que le li

paiement des primes detll pas besoin d'@1re re-uouvelé, et dos le jour ou il se présentait chez,son mcienne maîtresse pour tue faire les pro'positions qui devaient lui étre si totales, ler me gai I a ccompli an mois cté novembre

était déjà résolu.

Déjà il t mari d'une quantité vraimentmis'émitsaait ca poison doet la

trace, ainsi guill 1, savofttrup en, est si dIG,oile à retrouver et dont les effets ressemblent

ux que produisent certaines maladies del'ostomau. 'lions grammes

'J'a

digilalir e sontaehcl ée porlui les 1/ 0119 in, e1 l'on n'en

1 xmonrs grammesmQuotu ,esde ce timoneries'

.1

ll cela pas employéd bentèlo, car la médecia.e hommopa-

pas'entumopral quée par larcins,, tusd'en faire usage, et, en tout cas, elle ne oensel l que par dos s que possible.11 n iu 1 que da,llcrrsaaucmlenpeenonué agui ilen L dcuré. Il dit bien «il La a envoyades uouhc os que habitent la prouncu; maisil an peul L'ire roc rentre le nom d'un seul de

f '; la mmtlda lade p'ce,pi l q e 1-tlp o ira r l dal t que lafié lutsiuoo Opérée chelz lui a ,,mtaOI.

A ces .neiges accabantes Paccuse répandpar les pies complètes dé.égalions; il u'5 ju^

à "tenter anx jours dellla vd Polo, 1 il lustre, que, i beement'Ilsest motte ompoisonnbe, cette t se tin a Puêtre le résultat d'un acte do désespoir. Mens

cet, insinuation n'est pas seulement repousséepar tons cars qui ont e,ai., la veuve de Pauw,

Il I t épeler rot ner la tond, de mdmo de1 péndaal la Ilomour du 17 -ombre.N',,,,-il pas évide,,,, en effet, que, si le ade Pauw onr pris lo poi n d'une eut'. mainclou celle de l'accusé, celui-ci, la retenu vent simalade le mardi m tin, après l'avcir hisséeea parfaite santé le lundi soir, se tés pr6ee.mip6 de cet état, et en enl recherché laea

L6dtudw approfondie qu'il dit loi-même avoir(aile des poisons ne lui permettait p0' de eutrmnpersur la sature de mal dont souffrait le,unies de l'auév.L'odeurdandé jantionsPot 000-

iott le lit et le parquet 11eva14 elle senteêtre pour lui ce révélation. Sen inaelioace

r00Ame del neLois 5

rien dire ai1p101dounor

prislarron ai provoquer l'arrivét,

ides secours, l'em-

ress6tuent avec lequel cependant il est revenuâ deux heures et à huit hommes, seraient inex-plicables, si !'on ne savait qu'il avait loi'm' nead iridié le poison à la veuve de

peu'et

qu'il eu venait surveilles les progrès.Ce trisse événement la surpronail si peu et

il éprouvait une telle impatience de loucher les550,000 lie. on vol desquels il avait accomplis quia

rsitar après le décès de la

couvede pause il écrivent aux hait lCompa-dates pour les inviter à se mettra en mesurede lui payen montant des is,u 10tequi

csd ibéo iontexigible;

puisece

d 1

01nt Ieu

des eoltds pouvaient résulter de existencedes enfants de la veuve de

05 001Pauw, et ...lent

faite croire qu'il était d'accord avec Deux quifilaient chargés de veiller sur leurs ivt6rés, itdictait à sa sueur une tari re qu'il lui faisait si-gner faussement du nom d'un prétendu avocatde Chnteaueoux, IL par laquelle coloi-el sem-blait se courrier avec l'acmrsO an enjet desmesures à prendre dans l'intérêt des n'

rde Pamv. ll fallait qu'à tout prix il art àtàueillie le [rait de son crime, es, pour cela,

nuunjmo en devait plus lui eu or.La l'ont serais cependant e fiel Iendn que,

loto d'Airemû

purun

serti m,,, de cupidité, ilavait tooj0urs agi dans l'in,6rét des enfants Jela retire de pu"; et, à l'appui de vetle 116-

lotiou, il a produit au sera en date 110 20a'

sontdernier, par lequel il déclare aba.donner

enfants de la veuve de Pause les béné'Secs 1105 centrais d'assurances qui lui art 010transférés.

Mais il a été bientôt démontré que cet acte'avait rien de sérieux. La Pommerais en était

seul détenteur, t aucun double n'en a ététrouvé a. domicile dela veuve de Pau,,, detelle sors qu'il .'était a. pouvoir de personnede l'invoquer, si l'accusé ri ou révélait pas lui.

. l'existence. De plus, cet ,,le se Ir.... ilannulé par celui du 51 sont, dans lequel la

sien des contrats d'assurances était ru têtespar la veuve de Pouce, sans aucune réserve enfaveur de ses enfants.

La Pommeraie, du reste, était loin de sensidérer comme lié p:;r cet lute 110 20 sont,

car le jour mime ou il l'a produit, le juged'inslructi,, lui avent demandé quelle était àrs yeux la situation gui en résultail pour lui,

il a répondu sans hésiler 1 qu'il allait d'abordtoucher les 1550,000 10., et que sa conduite

croit ensuite subordonnée aux rapports'lit

IL

aurait avr. la famille et a testamentlait eu sa mvcur par la veuve de Pause, .

testament qui lui doutait jusqu'à Pusufruit dela partque la loi re ..e aux enfants !

An moment de son arrestation, La Pomme-a produit pour st jtstifivrtion vingbtreia

lettres à son adresse éceiles par In veuve dePau, e6 datées du 16 juin au 16 novtmbro

Sa t été eho s ipot. lie atpres uns ex6fm, n appro[oudi et malgré les objections 9I1 loi étaientfaites; que son bat aurait été de dédommepurL1 Pommerais de toue les sacrifices i p tgr'fi avent [ads pocr elle et qw se zert

avalés amis la stgo tore de. con-t ats,oqu'on outre, vers les dentiers joues duoi de septembre, elle aorall tait don, son

escalier une chute si violente qu'a ,e avait cruMourir sur la coup, et que il personne quiétait allée chercher un médecin ne croyait pasla retrouver vivante a son retour; qu'en[m,des Io 21 étant déjà souffrante, c aurat, "aptes lrde..a.ce de son médeunt. pris de la d gilulme en quantité

0

Il a 6u, facile de constater que 1, I1 I artdes '...m00011e -O brumes dalle 0es I.ll o1'6la,enl unllement oefaema s A la vanté. A nsi,

le 28 septembre, la veuve de Peusv . remer-eà genoux a La Pommerais de lui avoir en-

voie 50,000 fr., et l'acmtsé lui'même convientqud ne lui e pas fait r meurs rainsi forte Uautes part, l'information établitque la veuve de Paons n'a pas fait de chute

mois de septembre, quelle s'est très bienper110 jusque n 16 ores hie, et que, notam-ment à l'époque où les assurances cet olé out-tractées, par coségaent à une époque posl6-

21 j les éd d.s 09110f -

goes out vérifié q s té . l : tai 'i'

udésirer. Comment do e, dans sou I pinsparlait-elle de ses souffrances et de 1a digrtu-lie, qua sen médecin

luifaisait p000 tee ".

Cest ce qui maisb oant est parfaitement6c!Aue00e

de ,es loures do été spcetauGmmitécrue es' la veuve do Paule; toutes ont ctédiet6rs par La Pommerais, dons le but les , ofaire plus lard un moyen de ddi'c,tso. La veuvede Pauw les écrivait sana h1011Ilion, POnsaotqu'elles devaievl servir à juetlfior aupres dosCo,npagt. d

pt '1 I-d c 1

a phgoce I t t L ees Ilelle i L I . Celui ci les c pri 1.116

modialemclit, et il stffl de les e , xrpour reconnalire qu'elles n tint point lisebré0s de la fils et qua d'en les nôffre

Il,i 1a races deo afroi ,searm t I'bl giundea leuoes passeur p jl nuis ma n,. L'ao-isé ne peut duo pue qui elle, ,utment cou

cher Iii; de leur 0111., Ics cet domest quel de la m lieu. deiarenlqurlsn'eu cul jamais cu un

-lui.Ilnfn, taudis

yue lu scuvo do Pauw }epvrle ujours elnlmau,si elle tue voyait pas La l'ominernls, il e.,L cer-

no nitre,tain qu'a lu date des 12, 14 e1 16ce-qUJ u.,enl les trois terriens 1,Il-, o!le

id ] t isdo de l'accusé. safille POlle le e- jure qu'il lui Lisait a te Il-

qu'ilres colporimt a iss tôt. Ce son( n -

dommeni elles là qui, préparées per l'oral shpcur ça défe.sc, vicunent m 011 1010e ajouterune nouvelle charge à celles qui fiesnient déjàsir lui.

Ces leuees c sent P0s lai seules qu'il aitainsi diel 10s à 01 vanv de Ifusa la'

do socelle-ci, plusieurs 'in de la mort doparents, notamment son fibre rt sa sueur, ce-

aient des lettres écdteu per clic et duosla gnclles elle leur disait qu'elle otou Iria ma-lade, les priant . do veule do suite, vils cou-laient la trouver encore vivante, . Ces lettres,

n dotées, élises à la poste dans la soirée diti7 ..vemtre, quelques moments aprhs que la

Ve d. Pau,, venait de rcadre le derniersoupir, avaient peur but le faire r o u e ' s'apaream qu'elle lut réellement atteinte d'unegrave mobile,

eét

devaient éloigner de Icuresprit toute autre supposition, C'était 0n

six semines environ anpaavantl'accusé qui, a r,était parvenu à les fuira borfre par o veuve

de Pauw; elle l'n elleanAma raoanta à la Ae--oiselle Huilmond, et, sale. l'cnpeession de ce

tbmoir, . cola lui avait fait tant do mal de les. écrire, qu'elle oai pleurait. a

Le crime dont la venue de Pauw a été lula victime n'était pas le prmmier que commet-tait La Pommerais. Deux ans auparavant, àl'aide des m"mes

nom"as,

il avait mis Oa auxjours de sa belle-mère, la dame Dubixy.

C'est au mais d'unir 1801 qu avait et incamuet0dr : il na s'était fia ornpli sa

rmsez grandes m, g cdo dame Oubli y sitMéfiaitde son futur

gendre,

, dont Ire pr6icn-dns apporta lui paraissaimd snspoetn, et quie[feclivemant ana il omproute pour quelg0éejours, dur nommé Pelordy de l.a Nenvdla, lesactions au porteur qui en composaient la ce'jeure partie.

Qaelque fondée quo lut su ndli e, elle n'a'vair p's eéussi9 la luire parmgee à sa fille; ellevoit du mains exigé que le rè.tme odopté par

les [alors époux fit celui de la séparation ditbleus. La Pommeeaisavn;t Olé forcé de sabircotte OandiliOD, et il se trouvait ainsi fiole d'6-tut de disposer de la forum, de sa femme, sitelaq'n, lrt e la dame Du1110e

vcourirHolatit

tau.,

ne

le veiller.La le nuevàr pou u seulela délivrer d'arc surveillance import et eu

me temps mCleLu

sa dispoeilion les veloursqad aompasnient lo rOStc do la tartane de ladame Dubiz .

Dues mois s'étaient à peine écoulés qu'on levoit, à la date du 4 octobre, oetcler chce. IIO.iii,r5O cent igrmnmes 110 digitaline. Presgu

ssitiit après, à I.a 1011e d'eue Puer auquel Ilas 'stait, sa belle-mère, dont la sauré jusque-là était excellente, est subitement prise de vio-lens vomissemenle. Les docteurs Lvbo0chce otLois- sont successivmnont appelés; ils pres-rvent divers remedeu; mais [aura ordonna,

Ira ne sont point exécutées. 1-echar se borne à une saule ensile, et qpilot audocteur Loiscou, il n'ose là, selon 1'aveu q,i ilen

a fait lui'mémé, . que Peur c u ir I,a.pommIrais;

. c'est celui-ci ce effet gai ci.fige le traitement. IL dit, peur expliquer lasvo-mcholéisEBale00, que sa belle-mère est saulaie a1LL

ra, allégation qua repousse le docleurLoiseau, et en nie.. temps, d fait livror parla pharmacie Lobuinvlllu dos suhstanocs quinepeuvent ètee destirbes àcamLaure une Collemaladie l0 centigrammes de digitaline et 2G

"roofs P do

s

pllarrol accul,

mo'pidon

sont mentordonnances de La Patouillais, dors la

.ait du 9 au 10 octobre, et le jour suivant ladaine Dubizy rend le dernier soupir. i

Aaesitôt l'accusé sempsee de soles les vleu .Ibilières campa nt la succession dosa belle-muas et représomant environ 40

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

au

a D(ctl frmc .l r. fuse de fde t t I d' ,.de urn es fit ne c] tl , le parte rjontd t o di<

tl et illu t fu,

Q '1 t r ni 1 f1

Ii rt , c le li la ma t)itt

é 1 a' t 1 - f' I l I [..;[e a I ,: d etif I. l I t r t l'ai é.D q ni I i- l' peigné le 1.0 1 I p é lent Votre fvuillehabt,NSI

l 7 A t I de f I B Elle est et Diable de l'ostioleII.

tt I od, f ur eue, établi a i harpe de I l lé attou générale V mf

l'un l' 1 1 11 dit éf aL'autopsie, 1,,,tiqnée pl d drue, "'l aptes 1 o bruts. Votre l'ère st d,I lari!

le ia Jud -1-11 résultats que o s ot le pharntaol 01 teI I . 1t C I F i t édit t e !en, i. ru si pause uo pharmacien. Qt t

tr , tlé l' p s 7 d. ' ét docteur d-a l' d l d I 1854 pat ,u la indien

Sol, LLe 1 1 t. tajine. h é{ U q e Dés celle époque, la us t500 l { f mrganSa é1 t l' n, if t lIILMU tel p é d foireIra m t 1 anon qui re d'ut d th

fI, 1 t l f ni Vms

d '"D", tl t le ;i J' :éb f l f l

s'ait' I 1 q tl f' t t t p t l r ictf1 fart, ae si apiI S Cte neicoiII I f 1 iSlt,vo

lof de lieu de la plot pa L t ume, et pris le Litre le e, qui ne vous appartientxlr I '[ e apoplexie, t nu ah, inca, o pasen 's l'mtire non do. b i l l fr P t r "lie pP

'I tt a

_,é Sii t ve I 1 ph Ilt d l' I l' I t c é d L parier m t 1fit { I phiLail lu

nfo t ux f p l . t e pêle dent il f t l,ai. ri "e. 1pr s pt loir, d l d 1 J 1 I I'.orêleu e pf es,

ae

LuA' J l' dranc i1 b'y annule P.Il 1 l tfi t esd tire, àl1 P 1 1 1 e n e f t d (baie p a r IT, nperrur G I udem i l a 4 1 , 1

do 1 s ergunes sucu t d léerroueesion ayonspu deicecunnor la mort; en nbéton temps, l'in.fut mat v e coust t cher t tes d 3 Pros

t d lad f d I

qui - anus ou milieu de la plus paranteI uca mctif pIao,ib.e Taille 1

a'III, lir

expry D e les deux cas, La l 1

et t I I1. f

deI s duolment; etchaquefoislotro. slt-pt l' bat téocuf d'une tf Fouiné

dt hl de digital ne, q u a disparu sans qo il

poisse en indiquer 1To I dénantie ple la dama Dub¢ymbé à nu genre do nto t sen bitte e à e

de la Veuve de Paum, eL que l'. ewsé Ire a rondues l'ut e ,d J'outre vnxtmes dr aa cupidité-

Eu consbque e, ledit Retiré-Edmond Coutyde La t 6

l' U'x vo e, a Par eu 18it r -. I lit t letpp,

anbetances pua ont »don ter la Il, annotéà la vie de S6raphine Drsmounn , veuve bu.biev;

2- Duvair on menue lieu, eu 1863 , parfoi desubstances pouvant donner la mort, 01-

tenant d lII. nulle, co f' ; celte t' etion, vl e ,alter u. un bi ose. oocf écu xooee.

GRAINE DE HOMME DLANCHE DE SANTÉ

A VIiNIHIF, 05 't 1,OUER

Le joli Chalet 1 é 1n-

l ul t I '. û -S'i entes? 1

'Ju lovsa, ruelle 1,1'Inn,éSb:s .

On demande de I,,', ° `r

V""u I,: comptablf t'. ao n:ugxsin de

Pépier t'oiut, roc du loida-de-III,, Ir,

Julmc l'rut çu ='l'est, ,.ca

cru., par tantale 302 ]S, Crie

et . d duc i t d ld. lé

1 b,a r l t:9 I,

qt ti l'

f 71

code o anterroenom c Le jell,

co w par des géeéalog1). Dec

nevgené,dogistes aioat pas le droit

de nues donner en titre,11 M Litre était bien à moi : é recul

I p:eors ao l'ai, et que mbm fonrn'os Iliraelle-L d li t et pl d IL1. Il I IIV b pd a Il

Il t - sl' t'I yU le vous repete que M, le baron d fl r le

aieus d titre

l

fIn- i .operte, a mpS il'

ote t t, f usquc III,o_le le orter,

IL f t f. i i i ln {ire que cilla eut 't i io qu rl ot t

dires eue situ.WOn très modesteD. Vm s re adresse à le commission

j1 ifeini. r A l'appui de taoP.

pétemtou. Luvaux .esse ur, ce polar.

Po IS51i, vous avec, adressé ana supplique

11,

la81111siee tuons s000S repifsemieanco mveut à la eh aire de Saint-Pierre et comme au

(,le llOLLANDB), de DIDIER.3 ANNhhéu '. j u s t ucstcntl u as t Idi-

I I.I Gr1 1 5f : cln bl I (le Hnlln te D I-,r 111-d' (O CCOnlhenlulne°ant un:sin ut cochon pï c,ie o iii la papal vrité noîvuaelln de

é.lcbper o.:

I 17.1 I I. Dye uI,l { I

lief,- I I I. 1 1[ 1

laailnylaConrtla-l'A

s11 :, .les Col n'he l[I eeo sv ndnc, le Ver Irele l'-

r,

p1p

1 I I .

pR' 1 '1. I [RAINE

Of A1lUE 'bene joli, pie Il ,uum na,leepar let pire l um tés m,.cl cales

ap 1 II.I.tl, d, t,bui r,. , vlendams

s 11 Err p ,rt,

107 ,, t., ,, , a°dransaut s,e

ChàL,elahiesOU L'JIY(rlÈNE DU MOYEN-AGE.

P le V d hY', dv guet, u base for, qelleI GD AIAPIN d .l'lli ll., l', ce,

s b . U I lamot coe°

ee,l ,. chas .rx duo'boaotin tiable Cm p, a,lmlJ,: crue des cheveux, I,I, denoc do brillant, de la

pcchede bla,:chir cru, Feu servant journellement. GomPVrI, ii , e ohimisme à IIouen, nui de 1 H6n<'eeL, 10.11.. 010 d tomme, et duos toute1.,l'°d dPp. .ix

du Dot. 3 I'ranec.

Assoas' aniE.NT

LITS EN l'El',Dcrceuux,

DEECELO\1ETTES r

LITS RIitsLs,

Lit pliant

fils sd tous à I Rgl'm,Il le I I u d -

henncre r ou d s ,lins tt u ls dI le B P

propos v f ee eut 1c n o), 'i crue t

a l lilke

U, 1o ct1 9

Va' 11,1 {ou y av e b 1 .s t uns he pl ls ces

p luua 1,11 1 : -

ft Oln p t I rn Ir h

1 I t p de1 :aa d vSu

ill i m t ly je 'en'f q I.. tq f t'I ennm t i-

s

aI. le Pé d deune l d s

q J é l é a l Pape. On ht9 1 Ifl I l t Sa Sntltete II le,

p p t t I él dmni I.'f

I I p i 1 poor I et sesé'bl, p t I l

n oo Dls

Vil

t . du 1 lite o ts et qutd pl 6 t doseurs que Sanuit . la .

S t t6 .II t eprouvees pendentes dur me l Is, chu q l Cl' rre

hora d errela

pa 'tenir à taDat q t on lafille mues de I Eg mec

I.e supplq t ne en demanda t euPape dto d , e [ni eoulerre une marge ddst

H L .lotp, SIV

I l. r f q 1

I. 1 d. -tt pl f (1fom-, t L q p .jet court eu l n, ue

lialieunc J ue lai jamais Ire, ne eompreaanttt Ivtogoe.

U M t f 54 Won est apostillée do p u-e I - , I blés , et de plue lit

lit eildui tube ewlés asl'9 I

ante,, f I fi Si p V t I 1. 'éf il, LI 7 il a

il, 1 11,11 t pli I1R.. d xi oncé x a I esse' nejte cépée, Je

D'en f ] jeel ,1 t l bl r

rtt laiu t il t

t,

uo -Il où,

1 t I t f ple il, I,el . D

dettes q e s prur:.s o t rl Ichmlamus: foc entez pas qu on lusseentrer un prétredirasvotre chambra, réelsv 1e

pendant outre maladie Vous veut opp,s 1

ne le lent à ce qu ôn fosse dr .e aucunsa prde torrs ma,t, vo dam évitec .des

es pareilles. e Vans 5j° lies :. Je protondonner la somme qae conterait ..il antenne

suraux pan os plutbt que de laina rire etboire las curés a mas dopons,

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