POLITIQUE - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1868/B... · ma...

4
64tiI ANNEE. --- No 361 ABONNEMENTS; 7O1LOUSE : Un en, 40 fr.; 6 mou, 21 N.; 3 mi., 11 fr. ®nnte-Garomn 1 Un aa, 50 fr.; 6 moi., 26 (r.; 3 mois, 14Sfr. Déyarlcmrola. ETRANGER : Le. frais supplémentaires de pote en ou. POLITIQUE On reçoit les abonnements et les annonces : A TOULOUSE, sa. bareaax de Journal, rue Saint.Rome, 44. - A Parie, chez M. H-, 3, ras Jeea-Jacgaea i se, Rousseau; LAFFIr3-BULLIEu et Compn., 8 place de la Bourse; FONTAINE, 22, ras de Trév seuls --pendant. Pour 15m annonces. Toulouse, 31 Décembre. Lombards.... 430 00 425 00 Comptoir..... 00 00 000 00 Foncil'.,.... 1545 00 1540 00 BOURSE. 11E PARIS uu 29 oicauoao. BOURSE. DE TOULOUSE eanew wmpae,eon.ae a. ww ba nu 30 eéoausnn. na.orr..aea veaoor.. A. comptant. pr'o', At4 tegéarentn . rai as (lai....... . Ar4 é, 0 st. 6540 rs'Comp PPariaSses dn GAZ. ar ao p. (Camp. Immohiliare. , ras OidCOm gétlr. lranaatlantiqu, las 00Messagerios ira,.aerv. matit 4:5 ooiCanal matit. de Sue.. s pli tilttaapuag.nUn3pet, ton 0 'Io idie m ox. dollar,. xo tu Deus Turque 6 p. 500. . rue ra Crédit roncier d'Autriche. suTION6. Dernier Comptant. Cours .......... 3 00, ...... Sera.g................ Act. CarmanT......... 64 ddcembra. A. 3 010 .............. Italie.......... 148 00 330 00 Les dispositions conciltantea de ta Tur- quia et de la Grèce promettent une soin- tien pacifique; cependant les invitations .,out pas encore ôté on,p drées. Madrid, 30 décembre. Le. républicains de Seville as sont dé- cidés à rcmettro leurs armes avant mèrne l'arrivée du général Cabellero. La tranquillité règne partout, même en Navarre. 70 00 57 00 278 75 OBLIGATIONS. .m c0 ohi. Ioncidre 6001.4 010 . o -- 00a 4 6j0 i . . - Feu'. 5001. 010 6881 art ao, Communales 3 010. . asa ao; Ville de Paria 4 Olp. es . te -- Tout payé. ate ba Charentea 3 pour 100. . Car oa Rat.Opter 100. . nea 3 Poar (00. . as Aldol art Il Pmis-Lyoo-mléd. [ua. 3 van oo Midi 3 pour (00.. . cal ou Nord 3 pour 100. sea oo Orléans 3 pour 100.. tut ao Ouest 3 pour 100. ao, Victor-Bmmeruel gai. 3 010. ' ' Ob. domaniales d Autrmhe., s s De Il empe. Ogéptlen 1Ill. hyp.) . 4oa eo Obl. Ottmnanea 186(1, d. 1863. nie osi 'd. (066. t+x oo. Obl. 7Lniaievnea 1563 roi sOi id. fS65 0 bo Cl,;. Lombards. fan on, Obl. Nord Rnpagne. . roi Obl. Pampa!... . . a,Obligationv Mexioainn. X1 0' xioan pain. ali 6 Ion ' un io;i' t;sia3 i .5 ao Rm. tes ri. Î3e5. SOI) mixp. aa4 ta da Pan. BOURSE DE PARIS, nu 30 nanEmaum 1868 Au comptant. Valeurs div. Cours du jour Coure prie 300 7010 7000 4 1 0 0 0 ..... 101 60 101 70 Banque...... 3105 O) 3100 00 A terme. 3 060 11, c.,. 70 02 69 82 - dur. cours. 70 15 69 97 Italien 5 0/0 57 25 57 00 Crédit mob... 2 88 75 88 25 2 C. m. Espag.. 280 00 278 75 Chemins de fer Orlémm ...... 920 00 917 50 Nord fcxnçais.. 1202 50 1202 50 Lyoa ........ 908 75 963 7.5 Midi......... 027 50 623 75 Aatrichieus... 650 00 647 50 Espagne......... Au 45' anvte Mobilier dt 10.......... 293 75 CÉDIS ÉnuurloA eu FÉANCE. Le Crédit foncier émet : Des Obligations Communales 4112 .le de 4 ana, à 8 sua d'échéance. S'adresser, pari obtenir ces obligations sans frais : à Paris, au siège de l'adminis- tration, 19, rue Neuve.des-Capucines; Duos ea départements aux recettes des finances, chez 3111. les notaires et chez tous les correspondants de la Sou(é643) Dépéehes télégraphégnel Berlin, 28 décembre. O0 assure comme v nt de bonus ,e que l'invitxlion àn la onférence ndre,réo par le goavememout français au cabinet prussien a été remise ici, le 25 dé- cembre. Londres, 28 décembre, 11 . soir. Le steamer Starry Bannir, allant d'A- lexandrie à New.lori,, sest complète_ e t perdu à 700 milles de 1. DOte d'Ir- lande ; 122 pereonues ont péri. Téiégraplde privée. Vienne, 30 décembre. 80 canons rayée provenant de Prusse, déclarés ineteuments agrmoles, à destina- lion de la Roumanie, ont été arrdtée à Vrs- kova; mai. par suite d'ordres venus de Vienne, ils ont été réexpédiés. Constantinople, 29 décembre. P6tropoulald n capitulé eu Crête avec ses volontaires. Madrid, 30 décembre. Le paiement du coupon est assuré. Autre dépècLe. Paris, 30 décembre. Berlin, 30 décembre. Toutes les puissances tout d'accord sur les bases de la conférence. L. Turquin et la Grèce montrent des dispositions cenciliantee. Constantinople, 30 décembre. Lo goneetucment =..t ire de Crête fait leur r et tous Ics g 6om19ieu. Autre Dépéebe. Paris, :30 décembre, soir. La patrie la France et.'Eteudurd di saut que la conférence est apeurée otqu'elle a révaira prochainement. New.York, 30 novembre. On e are que Ifs forces noir es do Sento-llomingo out été diaper- éos. La révolta contre l'autorité de président Baéz est terminée. Marché du 30 décembre 3j6 betterave. 73 00 Marseille, 29 décembre. Marché do as jour. Blés: Fermes Danub, 1271123, à fr. 0, 6alonique blano, 1241120, Tagaurak, 1301126, à le. 31 50. Cotons Jamcl, à Il. 137,50. Dardannollea, à fr. 107,50. TARIFS DES ANNONCES: la li 0 (r. 30 ça Rélumee, par ................. 0 D. 50 c ,, bgné ' 1 fr. 00 c4 Fait, divers, 1 l. a Bg. Fai: Imp. Ph. Monunbin, (f. F St-Rome. 1. lo¢ae T ; on Ceux de nOS abonnés dont Us- maréchaux et des Ce-mandante en chef, dente on les membres des ereidido savantes t e r cem- 'a pas at; endu l'ouverture de la sonscrip- du reeaort. tien pu., none faire parvenir ]e montant Poar faciliter l'exéc¢tion de ce projet, Ott'. a. bru. sont priés de le renouveler de son o04ande qui est de 60000 0 l'uuaponteai°,rc d''AA dé Plaid ntsdes socié- port s'ils ne veule"! Pas éprouver MM. Commet, bangmer, eu ' uvoi du Conrtoie de Vuase, banq=r. 200 » tés savantes d département. R leur fera d'interruption dans C Frank Courtoi, 200 part des intentions d¢ gouvernement, en , 00 insistant au beson aur cette considéra- La commission supérieure do Pou Il fte agricole, après une assea longue session, a délégué à des sous-commissions lo sain d'élaborer eomplétemont las p pquea ri ,allions à formuler sur Loute un série da ons ales : droits sur leu ,bus, droits de spéci mutation et d'enregistremmit, cadastre et bordage, syndicats ruraux, la police rn- mle, etc. Quand ces sous-commieaione auront ter- miné taure travaux, bu commission sapé- rimer tiendra nue notre session dune la- qcelle elle exprimera sur chaque objet ene avis définitif et m: erra ses prop anx ministres compétents. no%E-U .1-11 ce Bl¢xruuoOule Ta TUL"LOLIS&. Souscription de 4869. L'hiver a cemmancé. et, quoigno lu eai- on ne soit pas bien rigou e, les b soins de pauvre en mol ttem emps que diminuent Ira Ts s4u[ q11 P procurer par lui-mémer fil Bureau va donc eprendre, dans les pro¢:iera jours du mois prochain, sea dis- tributions ztraordioaires dn soupes, de pain et de bois. Comme tous les ans, à p. re lie époque, il appelle à cette bonne md- Ire le cournrrs de la charité privée, très cu qu'elle lui fournira, comme par le passé, les moyens d'étendre n ans - tauw sur au pion grand nombre do famil- les, et do la proleuger jusqu'à la reprisa d es travaux . in main. Les souscriptions, dont noué publions Direction, rue St-Aetoum du T, ou un per IO m. aprés) - 0 ü ù5 des aujourd'hui la lrr liste, pourront Otre vice de nuit bat organisé, _,w__ rese6as : au Bureau contrt, rue saint OBSERVATOIRE DE TOULOUSE. bd Jé5151. 41, et chez les administrateurs : Dea inetr¢etione parti'm IDs adressées N1M. Fossé, rue des Lois, 29. que duc cton sd'académie, lenrruppelient Di, 06,or, M. DAOmou Carol dune son rapport à lpercur, M. n1e Extrait dos Observations mdtéorolv,dtuu's , rue Matabiaa, 60. que, Gommes, place d'Assezat, 17. roi n' tao de l'instruction publique no. Du 30 décembre. Lauzend, rue 7lontardy, 26. çaitila fondation d'un priæ de mille /',eues Miuinmm } 6°,4 Courtois de Virose, mo des Cte- pour chaque sort d académie. Ce pr x Thermom, 10.;3 ou libre, 0. doit être décerne au mémmre, ou a Souscription en faveur des pauvres de la rage jugé île meilleur sur quelque point Ville de Toudoerr d'archéolog e, d'hiato:re politique et htté raire, on de science intéressant les pruein- e. lr Les nom- cadémi ns l: e. Des da ^ Liste. es cour ri i c P d t retenu général comte de Goyen, nu' fora à Paris par les travaux du Comité des Feuilleton do JOURNAL DE TOULOUSE. original, et cela ira asnez bleu à votro teint et à vos cheveux,. ti (Voir 1. Journal de Touillas de 30 I - Maie, en vérité, ja ne sais trop, mor- s le jeune fille rougi=.sante. Vous avez plus quo moi l'habitado de régler ces sor- tes d af5ures, et votre gant, J'en m es cu ointes preuv, cet cent fois meilleur et plus exercé que le mien. - Ce ne sont pas dea compliments, c'est urne réponse que je ors demande, ma chère, réparti' Mme d'ic avec a lé ge meuve e td'hmr, r. Lorsque voua ez,rla femme d'Aérien, lorsque vans au- mz eu grand train de maison à dinger et a evà utcmr o e rompron r. que vs d eo bien pourtant choisir et agir par Cm e.. Et le ucmo mêlerai point de don armée coeils, entendez.uni bien; iL n'y a n de nscapricieux ni d'ingrat comme les méuagus. Pt vous com- prouve. aussi qu'il errait oxtrèrnement dé- sagréable à mou file que l'on ne maintint pue dans maison l'elégauoe et le -got,t, gm saut des es conditions indieprnroldes lors- J, en vit dans le monde. - Assurément, madamc ; aussi je vous le promets, je multiplierai e soins, je forai de taon miens, répo°dit sClaire qui rougiueoit! plus o fort. - Oh la bnne volonté ne soppléo par tonjaure av défaut de 000 et d'expé- ianee. Mais laissons In ; nous ve e' que sera l'avenir... Puisque vous neltne désign pas de couleur peur votre adieu, Je prendrai du mauve : c'est neuf, s'est on... Maintenant , n antre ques Avez.voue commandé leu robes que conte- nait votre corbeille E - Non, madame, pas encore. Comme oed-sou, voyager Peu met deux m je pensais qu'ailes eu m'étaient pas mâles- i .. Je les aurais fait faire en ove- .lot, puce notre séjour à Parie. -Ah l mon enfant, comment peavez- ,cul vous négliger ainsi O... Ce n st pua le de la simplicité, c''et cou profonde, une croyable insouciance. Songez doue qu'a votre rameur, Adrion se propose de donner un grand dîner ul plusieurs bals à la cam- pagne... Jo doute que ces lêtes réuesieseut, afin il te veet; ve mére doit sa IIàtez-vane donc do faire s faire vol toilettes; sacrifez-vane, 'il le faut, pont l'amour de votre mari. Si vous le trouvez bon, je v en, accompagnerai, à robes à Paris , pour recommander v a^ Loure... Je ne comprends pue comment tette dé ie ne voue est pas venue tout d'a bord... Il est vrai que vos étira peut- être dietc:ito de ces préoccupations par nIl in uiétudee en sujet do votre père. - Mea iugaiétodes '?.. pour moi pores.. répéta Claire en tremblant... mais, m dame, je ne crois pue avoir de misons . Il ne m'a pue écrit, il est vrai, depuis son déport, et je suis étonnée, mais je ne sais pas encore inquiète. - Ah ! c'est différent I.., mais je vous di=.ais cela, mapetito, parce que mon ne- mire, qui est naturellementvousvformé du ge de mou file, comma le savez, écrit ce matin, mo disant qu'il I la place eunoontré M. Fouinai su de la Bourru, avant-hieq très préoccupé, très pile, et pamtesant malade. R la s Ivé de loin, cotre pèrene la pas apoeçu. M. Four- roi s'agite trop, quoiqu'il rt ass¢rémont raison de venturi cous bien doter. Vous de- 'cz lui écrire à ce sujet, tsehcr de le ru- miner auproado vous, petite. Autre dépéelse. Paris, 31 décembre. Par décret, cet nommé dans l'Ordre Im- pénal de la Légion VHonneri :-Graud- Croix, M. l'amiral Recul- Vulaa ez.été De nombreux marine ont aussi eorés. Constantinople, 30 décembre. Le bruit court que le ministère Roumain a donné sa démissiou, par suite du discoure de M. Beatiano poussant le gouverne- ment à prendre parti neutre la Turquie. Berlin, 30 décembre. La Correspondance prnriuoiale dit que la France a invité à la conférence les paie- eaoeea signataires du traité de Paria. Les représentante étrangers à Paris re- devront probablement de pleura ponenira. La Conférante discutera uniquement lot propositions d'arrangement relatives un conflit turco-grec. Ou oe discutera P. les autres affaires d'Orient, On espère que la Conférence s'ouvrira le 21 Des, propositions précises ne seront pat faitesàlonuueo;néarmoins les efforts de toutes lea pnisaanees pa,muscat assurer un rran gement paeifiryue. a La Gazette du Tord, réfutant une iu- EerprétaEion erronée e oTamex sor la eno. serve, de la Pmeec aven Bade, fiait ob- r que la proposition Badoise déjà faite en juin, a été préeon 01 le 30 nveau. bre au Conseil fédéral réuni de nouveau. Catta convonhon tend eoulammnt 3 allé- ger, pour les svjeta dos deux pays, l'ac- complissement du service militaire. Journal. Tout" demande d'abonnement non accompagnée do pris sera considérée romane -,_avenue, CDDORIQUE LOCALE. Il, le Procureur général navra le 1.' janvier, de sue heure à trois heures. manquerai pue .. père souffrait, son père avait besoin jo o' me Ah 1 d y ma a - , S'il allait être malade, et,. in de moi, peu' d'elle. C'étaient là plus de nulles qu'il ne r. père I... n loi e,, fallait pore être calme et pour fine v e Cé- Mais an mamant où Claire, tremblant à fl'Ie, Elle roicva la tête quand Mll Dette idée, prouongait ces mots eu joi- hosto cet cessé da parler, passa ]a main sue la eonuette retentit a¢ ou front pour en essuyer les gouttes de os t les :a guan , dehors, et bientôt la vieille Martho entra, Ilnr Froide, et dit d'ana voix plue calme 1 il h apportant une lettre. C'était l'heure de la é de fauteur, qui venait de la petite tourne ville de a Oh 1 voici qu'il m'écrit aura douta I Il m'annonce son retour, i en sois suce, s'écria Claire eu s'élançant. Pois ses lévret pàlireut, s yeux s'ouvrirent démesuré- ment, ot elle retomba soc sa chaise, tenant tonjoome à ]a main la frôle enveloppe. Ce[to lettre n'est pas de lui, mnrmuenit- clle en pàlemment. « Ma bonne amie, - elle le tourna vers Mlle Céleste, - ouvrez- la; je n'ai pas la force de la lire. La sieur du curé prit la lettre et ]ut à haute voix. Ma demoiselle, « Venez, "L est possible, consoler vo- ha père; il a grand besoin devons. U° malheur qui peut avoir de fatales con,8 quencca, vous frappe tons les deux. Mail je mo bâto de voes dira qu'il ne s'agit que d'un désastre financier. M. Foaenol, quoi- 000ecevo enooro que violemment abattu, a santé et es vigueur ordinaires, et lors- gnu'il nos aura eu "ue, 1 retrouvera, je en doute pas, se force d'àme et sa haute oison. a It est chez moi, et je le surveille cons- tamment, car son d[scapoie pourrait le porter à col au extrémité. Mademoiselle, prenei. du courage pour deux et hàtea- oue je 'cas prie. « Votre très humble et très obéissant serviteur. n J. Dauxr. C'était Ià tout; il n'en fallait pas tant pour briser un our, pour annoncer un désastre. Mais, dans ce premier moment, le désastre Pont supportable a Claire, et gon Dame no bu brisa pas. Son père vivait, y a 0.- eur et plus douce : « Quel bon uu train ce soir.., Je serai à Parie omm.. n - Mais vous ne pouvez nnelotir sale, ni ont, répondit la bonnoue. on Ôhi si; jo pourrai bien ul alier ler seule ... pére... 'Ibis, après tout, notre absence ne sera proba- blement pas langae; je prendrai Marthe, s'il le faut. - La bonne Marthe est bien vieille, et aussi an pou empmntie; elle ne vous sera pcot;'t'a P. d'un gmad secourt, et si je eaIms ne pas vous géant, mon enfant, je pourrais confD, à Marthe le petit manage de mon frère, et... - Oh !que mvous ôtes bonne, mademoi- selle 1 merci) erci 1 s'écria la jeune fille en pleurs. A noua deux, nous consolerou on père, noms le euulagerous plut s nucux m bien il vous tôtt. Vous e z pal, cu r pacte 1 Il vous us écoutera, il sera sauvé. - Seulement, cafrl Claire, vous devrez alors rcmettro votre départ à demain ; j'ai quelques préparatifs à faire à la co- n dit Mlle Céleste qui, en prononçant cor mots, brassa sa pauvre potulo amie, an butant dune, las terminer. Bredy, dis. de la Banque, e , ri. essentielle quo lu cab cté de l'Empe- o Anonyme. _-_ Total. 1,310 n L'heure de la révision d'a listel élseto- ralesos Donnée. N ue rapp Ions encore tsar fois à nos lenteuen qux, pour se toisa oo,oe,0O ssutifres listas électorales, char. n'a q à j de sa qualité de Pe000aia, de son àge (vingt'rt.uu ans accomplis) et de six mois de résidence. Pour les deux premltrces eonditieus ro- guises en pareille matière, rien de plu Plu s La houlletin de naissance (toujours 3éli- vré sape frais, quand il e agit d'inscription électorale), an acte de mariage, ou certifi- cat do libération de se ire. un congé, un diplôme, etc.,'laont des pièces suffi- Q` santes. nt à ]a résidence, ]a pateoto, les quittances d'impositions, bail, un or Client de location, des atteu estations de pa- tten,de maître, de propriétaire, etc., l'b- tablissentsuffisamment Voter n'est pas eéulement un droit, c'est un devoir. Mais pour voter, il faut être nscent lest donc an devoir pour tout citoyen de faire ]nsorie - Quiconque, par sa êues o de es diode fonlte e, se prive lui es pl rads, de a même fanon dont cou en lmDoetles affaire. du pays. AnffiNISTuATION ana tu tnS TtiLN.G%A- e c muas. révenu qu'une L p ep dépit don télégrammes af fereehia via d'léro plaC¢e sur la façade de l'hôtel do la li â été trouat les ttitres de àN'lers 0. ân(*ale°' Uonrre, bilié, o, on e a artir de le le Fonderie, 2. cette balte sera or - P tin, avoué, rue ao ri à 8 e janvier pprrochai¢ de I 7 hnn heures nu tue heures duasoir. Les E,radeé he vas duumutin xe an heure a P botte c'est- l d a o ndt l le,,,'," eana,à.dise de 8 h. du soir à 7 h. du matin, les télégremmee devront être déposés à la miseious qui décorneront ces prix evron être formées, ea majorité, pur les prési- est de respecter l'indépendaoue et l'i. nitiative des compagnies savantes, S. M. n'ayant d'autre but quo d'encourager le progrès des hautes études dans les dépao- temIleatII. itcra, en oeoaéquenee, Mal. les Présidents à lui transmettre leur unie, t calai des Sociétés qu'ils dirigent, sur 1. projet en question, et sur le programme du concours. D'apeln les indications re cueillies, M. ]e Recteur rédigera lui.même pour la circonscription académique ua pro- gramme dans lequel seront indiquées les amines du concours et la composition do Jury appelé à décerner le prix. -a Ainsi q,J noue l'avions annoncé, la r6 ,tare duo 5000a de l'École des Arts ou lira lundi. La ttaJquillbéé la plus perd faite a régné à l'intérieir et au dehors. La Conférence dea Avocate magiairea, sous la présidence de M' de Grimai, 0dton- nier de l'ordre, a discuté la question 50i- ante : Le voyageur qui peur se dispenser de payer les droits de transport de tee bagages, présente an bureau du Chemin de t'en, le billet de place d'an autre voya- geur étranger à sa famille, commet-il noie onttunoelion réprimée par l'art. 21 do la loi de 15 juillet 1815? M, Gairal a fait lo rapport ; MM" Cizolme et Combo ont soutenu l'affirmative; La égatfve a été dbfend°e par Me Cartailhac. M Laoroix a conclu a,, qualité do mi- maffia public. I ' La e?t prononcée poui4 Conférence e négative. ÉCLAIRAGE PUBLIC Du 26 an 64 diceoabre. A,.ruuaaa (com-une emnnts 15 m. avant, fin 15 n - 4 h. 56 . . licef0 m fin avant , . 'dam vexT. novxns, na%osr. NTA'P OU aire Attirail, 194 m. 9 h. m. 0-,744 2 - couvert - S. S. E. L faible. Midi, 0,743 9 - couvert t. faible. irréparable, à retrouver et à soutenu no ère faible et malheureux. Puis, ces son- gymk.9thie. Voua eu manquerez pas de us donnof lies nouvelles de wtre père tons , aurez v et nuis des aussitôt os uemtnE. Avec détails sur ce fàobeux vé quelle impatience et quelle anxiété Aiirien et moi cous alloua les attendre I n Avec cela, un demi sourire, uu graeieox signe de tète, et ce rat tout. Mme d'Evaux 6:ait disparue ;dans cette chambre, oh jamais plus, jamais plus lx future stait. ro devait rentrer, rien ne d'aile iqu'm r vagu e parfum ée violettes bchappé do sen mouchon, le lointain loun- frou de sa robe de moire effleurant dans le parterre les branches des rosiers, un pe- tit nmud de ruban détaché dn pan de ea robe, et le soutenir d'Aérien, quesee dea- ises mots avaient évoqué si tristement, Par un mouvement u,binal, Claire ra- à massa la petit nmmi qu'aube vit g nant terre, mais souvenir 'I'.t.rd ne aoa,ô bla point. L En ce moment, , il il n'y avaiC y presque point de place deus son omue pour eu fiancé; toutes a craintes, toutes ses farces, tontes s affections, toutes ans doulcura, étaient pour eou pire. Et pois, il ne canait pas encore à l'cspeit l'idée do trembler pour son bonheur futur, à elle, pauvre fille qui ne connaissait pue le moado. Elle avait donné ea parole, et elle l'aurait vdillamroent tenue, o face ils labuine, ou face de la maladie, en fa:e des évôuemenle et des bogues années, mne on face de ao art ; pouvaitfortg ai o hem qu'un lc IID s et ai,ant, fat qaaun homme ha oin moins sincère et moins vaillant qu'elle Toutes se pensées, nous l'avons dit, 'envolèrent donc vers son pére, ainon-sea ballot pendant Dette triste t oa elle se préparait cinq pour la prmalére fais depuis cinq une, sa p rite maison amie, lis acore pendant les quelques 1 limante de Mme d'Evanx s'évaowirent rapidement, et firent plana à une ,joie me- crête. Ce désastre anuonoé cétait an or. ers de fortuoo éclatant, c'était la r peut-èho. lit la ruine pour M. Formel, la rune pour sa fille, arrivant amas; comma - point nommé, oncore à temps, avant le mariage , n'était en même tomes la dee- coup porté à toutes lue spé,lees, lier c'était m obstacle wevrmontable aux pro- jets, an mariaged'Aédrien. r ce point, Mme 'Evaux était sure de ou fait; Ils en avait pour garante les 00010mes da mariage, tee Irae du monde, les principes qu'elle s'était efforcée d'ins- puor à son fils et qu'il portait peofondé- me t gravés au fond do emnq on dépit de quelques éclaire de désintéressement et de quelques élans de jeunesserassurant; qet, sain, ce qui leu étai t pins quo tout, la- eu de sou fils loi-môme lorsque, récem- ent, deus cette conversation intime et éeieeuv qu'ils avaient eue ensemble, elle, 1. mare, avait dit hautement, nottemant Si Claire omit été pauvre, jc ne t'aurais dmmé qu'un nensen,i pesé qu'un devoir: l'oublier. v A quoi le fils avait répondu, d'une voix moh,s haut. et uv u u teom- hlaute, mais cependant ferme etc francho; « C'est bien; eue c point nous sommes d'accord. n Co qui devonait maintenant ne promesse, après avoir été nu aveu. u Il suffit d'un matant pour que ces ré ' ferions lui vinssent à l'esprit et y laissaa- ncore rien dit it d'E ava e vaux n Mme .La eoudaiuctb de coup Pavait d'abord pro. sent un jour mmveao, me ]oyeusa spb- fondément surprise, purs, peeegae aussitôt, rnnce.. Les choses sont bleu avancées, il considérablement refroidie. Lelic qui, quel. st vrai, nais Dus avons encore onze jours quesinetanta auparavant, ae déclarait toute devant nous,n pensa-t.elle. Et elle se disposée 'r aceompaguer ea future belle. tourna vers Claire, presque fille dans la grande ville, chez Loure, pour c elle à l'annonce de ce malheur qui y combiner une importante alfaire de pour. allait probablement la séparer de son f Is hère tif épara s, c pui s et de chiffons, nu tr.avait pas nue « Jo voos laisse à vos pr 3 p gn e u200 de sympathie à frire, pas un net du enfant, lai dit.elle en lui aere001 la main eu nom - de Mlle Céleste, sur la Il. cour à prononcer, lorsqu'il s'agissait de Je n'ai pas besoin, n'est-ce pas, de vous gel de B. à Paris. Les deux pauvres ferra ]'aider à supporter au désastre peut-ctr¢ _ exprimer ma bleu Profonde et doulourouso _ mec étaient selles, pur bophDur, dans letgi bruine du coyage qu'elle tub le lendemam4 Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Transcript of POLITIQUE - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1868/B... · ma...

Page 1: POLITIQUE - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1868/B... · ma chère, réparti' Mme d'ic avec a lé ge meuve e td'hmr,ez,rla r. Lorsque voua ...

64tiI ANNEE. --- No 361

ABONNEMENTS;

7O1LOUSE : Un en, 40 fr.; 6 mou, 21 N.; 3 mi., 11 fr.®nnte-Garomn 1 Un aa, 50 fr.; 6 moi., 26 (r.; 3 mois, 14Sfr.

Déyarlcmrola.

ETRANGER : Le. frais supplémentaires de pote en ou.

POLITIQUE

On reçoit les abonnements et les annonces :A TOULOUSE, sa. bareaax de Journal, rue Saint.Rome, 44. - A Parie, chez M. H-, 3, ras Jeea-Jacgaea

ise,Rousseau; LAFFIr3-BULLIEu et Compn., 8 place de la Bourse; FONTAINE, 22, ras de Trévseuls --pendant. Pour 15m annonces.

Toulouse, 31 Décembre. Lombards.... 430 00 425 00Comptoir..... 00 00 000 00Foncil'.,.... 1545 00 1540 00

BOURSE. 11E PARIS

uu 29 oicauoao. BOURSE. DE TOULOUSE

eanew wmpae,eon.ae a. ww ba nu 30 eéoausnn.na.orr..aea veaoor.. A. comptant.

pr'o',

At4 tegéarentn .rai as (lai....... .Ar4 é, 0 st.6540 rs'Comp PPariaSses dn GAZ.

ar aop.

(Camp. Immohiliare. ,

ras OidCOm gétlr. lranaatlantiqu,las 00Messagerios ira,.aerv. matit

4:5 ooiCanal matit. de Sue..s pli tilttaapuag.nUn3pet, ton

0'Io

idiem ox.dollar,.

xo tu Deus Turque 6 p. 500. .

rue ra Crédit roncier d'Autriche.

suTION6.Dernier

Comptant. Cours

..........3 00, ......Sera.g................Act. CarmanT.........

64 ddcembra.A.3 010 ..............Italie..........

148 00330 00

Les dispositions conciltantea de ta Tur-quia et de la Grèce promettent une soin-tien pacifique; cependant les invitations.,out pas encore ôté on,p drées.

Madrid, 30 décembre.Le. républicains de Seville as sont dé-

cidés à rcmettro leurs armes avant mèrnel'arrivée du général Cabellero.

La tranquillité règne partout, même enNavarre.

70 0057 00

278 75

OBLIGATIONS..m c0 ohi. Ioncidre 6001.4 010 .

o -- 00a 4 6j0 i . .

- Feu'. 5001. 010 6881art ao, Communales 3 010. .asa ao; Ville de Paria 4 Olp.es . te -- Tout payé.ate ba Charentea 3 pour 100. .Car oa Rat.Opter 100. .

nea 3 Poar (00. .as Aldolart

IlPmis-Lyoo-mléd. [ua. 3

van oo Midi 3 pour (00.. .cal ou Nord 3 pour 100.sea oo Orléans 3 pour 100..tut ao Ouest 3 pour 100.

ao, Victor-Bmmeruel gai. 3 010.' 'Ob. domaniales d Autrmhe.,s s

DeIlempe. Ogéptlen 1Ill. hyp.) .

4oa eo Obl. Ottmnanea 186(1,d. 1863.

nie osi 'd. (066.

t+x oo. Obl. 7Lniaievnea 1563roi sOi id. fS65

0 bo Cl,;. Lombards.fan on, Obl. Nord Rnpagne. .

roi Obl. Pampa!... . .

a,Obligationv Mexioainn.X10' xioan pain.ali 6 Ion'un

io;i' t;sia3 i .5ao Rm. tes ri. Î3e5. SOI) mixp.

aa4 ta da Pan.

BOURSE DE PARIS,nu 30 nanEmaum 1868

Au comptant.Valeurs div. Cours du jour Coure prie300 7010 70004 1 0 0 0 ..... 101 60 101 70Banque...... 3105 O) 3100 00

A terme.3 060 11, c.,. 70 02 69 82- dur. cours. 70 15 69 97Italien 5 0/0 57 25 57 00Crédit

mob...

2 88 75 88 252

C. m. Espag.. 280 00 278 75

Chemins de ferOrlémm ...... 920 00 917 50Nord fcxnçais.. 1202 50 1202 50Lyoa ........ 908 75 963 7.5

Midi......... 027 50 623 75Aatrichieus... 650 00 647 50

Espagne.........Au 45'anvte

Mobilier dt 10.......... 293 75

CÉDIS ÉnuurloA eu FÉANCE.

Le Crédit foncier émet :Des Obligations Communales 4112 .le

de 4 ana, à 8 sua d'échéance.S'adresser, pari obtenir ces obligations

sans frais : à Paris, au siège de l'adminis-tration, 19, rue Neuve.des-Capucines;

Duos ea départements aux recettes desfinances, chez 3111. les notaires et cheztous les correspondants de la Sou(é643)

Dépéehes télégraphégnel

Berlin, 28 décembre.O0 assure comme v nt de bonus

,e que l'invitxlion àn la onférencendre,réo par le goavememout français aucabinet prussien a été remise ici, le 25 dé-cembre.

Londres, 28 décembre, 11 . soir.Le steamer Starry Bannir, allant d'A-

lexandrie à New.lori,, sestcomplète_

e t perdu à 700 milles de 1. DOte d'Ir-lande ; 122 pereonues ont péri.

Téiégraplde privée.Vienne, 30 décembre.

80 canons rayée provenant de Prusse,déclarés ineteuments agrmoles, à destina-lion de la Roumanie, ont été arrdtée à Vrs-kova; mai. par suite d'ordres venus de

Vienne, ils ont été réexpédiés.

Constantinople, 29 décembre.

P6tropoulald n capitulé eu Crête avecses volontaires.

Madrid, 30 décembre.Le paiement du coupon est assuré.

Autre dépècLe.Paris, 30 décembre.

Berlin, 30 décembre.Toutes les puissances tout d'accord sur

les bases de la conférence.L. Turquin et la Grèce montrent des

dispositions cenciliantee.

Constantinople, 30 décembre.Lo goneetucment =..tire de Crête

fait leurret tous Ics g6om19ieu.

Autre Dépéebe.

Paris, :30 décembre, soir.La patrie la France et.'Eteudurd di

saut que la conférence est apeurée otqu'ellea révaira prochainement.

New.York, 30 novembre.On e are que Ifs forces

noir

es do Sento-llomingo out été diaper-éos.La révolta contre l'autorité de président

Baéz est terminée.

Marché du 30 décembre3j6 betterave. 73 00

Marseille, 29 décembre.Marché do as jour.

Blés:FermesDanub, 1271123, à fr. 0,6alonique blano, 1241120,Tagaurak, 1301126, à le. 31 50.

CotonsJamcl, à Il. 137,50.Dardannollea, à fr. 107,50.

TARIFS DES ANNONCES:la li

0 (r. 30 çaRélumee,

par .................0 D. 50 c

, , bgné' 1 fr. 00 c4Fait, divers,

1 l.

a

Bg.

Fai:Imp. Ph. Monunbin, (f. F St-Rome. 1.

lo¢aeT ;on

Ceux de nOS abonnés dont Us- maréchaux et des Ce-mandante en chef, dente on les membres des ereidido savantes

t e r cem- 'a pas at; endu l'ouverture de la sonscrip- du reeaort.

tien pu., none faire parvenir ]e montant Poar faciliter l'exéc¢tion de ce projet,Ott'. a.

bru. sont priés de le renouveler de son o04ande qui est de 60000 0 l'uuaponteai°,rc d''AAdé Plaidntsdes socié-port

s'ils ne veule"! Pas éprouver MM. Commet, bangmer, eu

' uvoi du Conrtoie de Vuase, banq=r. 200 » tés savantes d département. R leur fera

d'interruption dans C Frank Courtoi, 200 part des intentions d¢ gouvernement, en

, 00 insistant au beson aur cette considéra-

La commission supérieure do Pou Il fteagricole, après une assea longue session,a délégué à des sous-commissions lo saind'élaborer eomplétemont las p pquea

ri,allionsà

formuler sur Loute un série da onsales : droits sur leu

,bus,droits despéci

mutation et d'enregistremmit, cadastre etbordage, syndicats ruraux, la police rn-mle, etc.

Quand ces sous-commieaione auront ter-miné taure travaux,

bucommission sapé-

rimer tiendra nue notre session dune la-

qcelle elle exprimera sur chaque objeteneavis définitif et m: erra ses prop

anx ministres compétents.

no%E-U .1-11 ce Bl¢xruuoOule

Ta TUL"LOLIS&.

Souscription de 4869.

L'hiver a cemmancé. et, quoigno lu eai-on ne soit pas bien rigou e, les b soins

de pauvre en mol ttememps

que diminuent Ira Ts s4u[ q11 P

procurer par lui-mémerfilBureau va donc eprendre, dans les

pro¢:iera jours du mois prochain, sea dis-tributions ztraordioaires dn soupes, depain et de bois. Comme tous les ans, à p.re lie époque, il appelle à cette bonne md-Ire le cournrrs de la charité privée, très

cu qu'elle lui fournira, comme par

le passé, les moyens d'étendre n ans -tauw sur au pion grand nombre do famil-les, et do la proleuger jusqu'à la reprisa

des travaux . in main.Les souscriptions, dont noué publions Direction, rue St-Aetoum du T, ou un per IO m. aprés) - 0 ü ù5

des aujourd'hui la lrr liste, pourront Otrevice de nuit bat organisé, _,w__

rese6as : au Bureau contrt, rue saint OBSERVATOIRE DE TOULOUSE.bdJé5151. 41, et chez les administrateurs : Dea inetr¢etione parti'm IDs adressées

N1M. Fossé, rue des Lois, 29. que duc cton sd'académie, lenrruppelient Di, 06,or, M. DAOmou

Carol dune son rapport à lpercur, M. n1e Extrait dos Observations mdtéorolv,dtuu's, rue Matabiaa, 60. que,

Gommes, place d'Assezat, 17. roi n' tao de l'instruction publique no. Du 30 décembre.Lauzend, rue 7lontardy, 26. çaitila fondation d'un priæ de mille /',eues Miuinmm } 6°,4Courtois de Virose, mo des Cte- pour chaque sort d académie. Ce pr x Thermom, 10.;3

oulibre, 0. doit être décerne au mémmre, ou a

Souscription en faveur des pauvres de la rage jugé île meilleur sur quelque point

Ville de Toudoerrd'archéolog e, d'hiato:re

politique

et htté

raire, on de science intéressant les pruein-e.lr Les nom-cadémins l:e. Des da^ Liste. es cour ri

i

c Pd t

retenugénéral comte de Goyen, nu'fora à Paris par les travaux du Comité des

Feuilleton do JOURNAL DE TOULOUSE. original, et cela ira asnez bleu à votro

teint et à vos cheveux,.ti

(Voir 1. Journal de Touillas de 30 I

- Maie, en vérité, ja ne sais trop, mor-s le jeune fille rougi=.sante. Vous avez

plus quo moi l'habitado de régler ces sor-tes d af5ures, et votre gant, J'en m

es

cuointes preuv, cet cent fois meilleur et

plus exercé que le mien.- Ce ne sont pas dea compliments,

c'est urne réponse que je ors demande,ma chère, réparti' Mme d'ic avec alé ge meuve e td'hmr, r. Lorsque vouaez,rla

femme d'Aérien, lorsque vans au-mz eu grand train de maison à dinger et

a evà utcmr o e rompron r. quevs d eo bien pourtant choisir et agir

par Cm e.. Et le ucmo mêlerai pointde don armée coeils, entendez.uni bien;iL n'y a n de

nscapricieuxni d'ingrat

comme les méuagus. Pt vous com-prouve. aussi qu'il errait oxtrèrnement dé-sagréable à mou file que l'on ne maintintpue dans maison l'elégauoe et le -got,t,gm saut

des

es conditions indieprnroldes lors-J,

en vit dans le monde.- Assurément, madamc ; aussi je vous

le promets, je multiplierai e soins, jeforai de taon miens, répo°dit sClaire quirougiueoit! plus

ofort.

- Oh la bnne volonté ne soppléo partonjaure av défaut de 000 et d'expé-ianee. Mais laissons In ; nous ve

e' que sera l'avenir... Puisque vous neltnedésign pas de couleur peur votre adieu,Je prendrai du mauve : c'est neuf, s'est

on...Maintenant , n antre quesAvez.voue commandé leu robes que conte-nait votre corbeille E

- Non, madame, pas encore. Commeoed-sou, voyager Peu met deux m

je pensais qu'ailes eu m'étaient pas mâles-i

.. Je les aurais fait faire en ove-.lot, puce notre séjour à Parie.

-Ah l mon enfant, comment peavez-,cul vous négliger ainsi O... Ce n st puale de la simplicité, c''et cou profonde, une

croyable insouciance. Songez doue qu'avotre rameur, Adrion se propose de donnerun grand dîner ul plusieurs bals à la cam-pagne... Jo doute que ces lêtes réuesieseut,

afin il te veet; ve mére doit saIIàtez-vane donc do faire

s

fairevol toilettes; sacrifez-vane, 'il le faut,pont l'amour de votre mari. Si vous letrouvez bon, je v en,accompagnerai, à

robes àParis , pour recommanderv a^

Loure... Je ne comprends pue commenttette dé ie ne voue est pas venue tout d'a

bord... Il est vrai que vos étira peut-

être dietc:ito de ces préoccupations par

nIl in uiétudee en sujet do votre père.- Mea iugaiétodes '?.. pour moi pores..

répéta Claire en tremblant... mais, mdame, je

ne

crois pue avoir de misons.Il ne m'a pue écrit, il est vrai, depuis sondéport, et je suis étonnée, mais je ne saispas encore inquiète.

- Ah ! c'est différent I.., mais je vousdi=.ais cela, mapetito, parce que mon ne-mire, qui est naturellementvousvformé du

ge de mou file, comma le savez,écrit ce matin, mo disant qu'il

I

la placeeunoontré M. Fouinai su de laBourru, avant-hieq très préoccupé, trèspile, et pamtesant malade. R la s Ivé deloin, cotre pèrene la pas apoeçu. M. Four-roi s'agite trop, quoiqu'il rt ass¢rémontraison de venturi cous bien doter. Vous de-

'cz lui écrire à ce sujet, tsehcr de le ru-miner auproado vous, petite.

Autre dépéelse.Paris, 31 décembre.

Par décret, cet nommé dans l'Ordre Im-pénal de la Légion VHonneri :-Graud-Croix, M. l'amiral Recul- Vulaa ez.été déDe nombreux marine ont aussieorés.

Constantinople, 30 décembre.Le bruit court que le ministère Roumain

a donné sa démissiou, par suite du discourede M. Beatiano poussant le gouverne-ment à prendre parti neutre la Turquie.

Berlin, 30 décembre.La Correspondance prnriuoiale dit que

la France a invité à la conférence les paie-eaoeea signataires du traité de Paria.

Les représentante étrangers à Paris re-devront probablement de pleura ponenira.

La Conférante discutera uniquement lotpropositions d'arrangement relatives unconflit turco-grec.

Ou oe discutera P. les autres affaires

d'Orient,On espère que la Conférence s'ouvrira le

21Des, propositions précises ne seront pat

faitesàlonuueo;néarmoins les efforts detoutes lea pnisaanees pa,muscat assurer un

rran gement paeifiryue.a

La Gazette du Tord, réfutant une iu-EerprétaEion erronée e oTamex sor la eno.serve, de la Pmeec aven Bade, fiait ob-

r que la proposition Badoise déjàfaite en juin, a été préeon 01 le 30 nveau.bre au Conseil fédéral réuni de nouveau.

Catta convonhon tend eoulammnt 3 allé-ger, pour les svjeta dos deux pays, l'ac-complissement du service militaire.

Journal.Tout" demande d'abonnement

non accompagnée do pris seraconsidérée romane -,_avenue,

CDDORIQUE LOCALE.

Il, le Procureur général navra le 1.'

janvier, de sue heure à trois heures.

manquerai pue .. père souffrait, son père avait besoinjo o'meAh 1 d yma a- ,

S'il allait être malade, et,. in de moi, peu' d'elle. C'étaient là plus de nulles qu'il ner. père I... n loi e,, fallait pore être calme et pour finev e Cé-Mais an mamant où Claire, tremblant à fl'Ie, Elle roicva la tête quand Mll

Dette idée, prouongait ces mots eu joi- hosto cet cessé da parler, passa ]a main suela eonuette retentit a¢ ou front pour en essuyer les gouttes deost les :aguan ,

dehors, et bientôt la vieille Martho entra, Ilnr Froide, et dit d'ana voix plue calme1 ilh

apportant une lettre. C'était l'heure de la

é de fauteur, qui venait de la petitetourneville de

a Oh 1 voici qu'il m'écrit aura douta IIl m'annonce son retour, i en sois suce,s'écria Claire eu s'élançant. Pois ses lévretpàlireut, s yeux s'ouvrirent démesuré-ment, ot elle retomba soc sa chaise, tenanttonjoome à ]a main la frôle enveloppe.Ce[to lettre n'est pas de lui, mnrmuenit-clle en pàlemment. « Ma bonne amie, -elle le tourna vers Mlle Céleste, - ouvrez-la; je n'ai pas la force de la lire.

La sieur du curé prit la lettre et ]ut àhaute voix.

Ma demoiselle,« Venez, "L est possible,

consolervo-

ha père; il a grand besoin devons. U°malheur qui peut avoir de fatales con,8quencca, vous frappe tons les deux. Mailje mo bâto de voes dira qu'il ne s'agit qued'un désastre financier. M. Foaenol, quoi-

000ecevo enooroque violemment abattu,a santé et es vigueur ordinaires, et lors-

gnu'il nos aura eu "ue, 1 retrouvera, jeen doute pas, se force d'àme et sa haute

oison.a It est chez moi, et je le surveille cons-

tamment, car son d[scapoie pourrait leporter à col au extrémité. Mademoiselle,prenei. du courage pour deux et hàtea-oue je 'cas prie.

« Votre très humble et très obéissantserviteur. n J. Dauxr.

C'était Ià tout; il n'en fallait pas tantpour briser un our, pour annoncer undésastre. Mais, dans ce premier moment,le désastre Pont supportable a Claire, etgon Dame no bu brisa pas. Son père vivait,

y a 0.-euret plus douce : « Quel bonuu train ce soir.., Je serai à Parie

omm.. n- Mais vous ne pouvez nnelotir sale,

ni ont, répondit la bonnoue.onÔhi si; jo pourrai bien

ul alierler

seule... pére... 'Ibis,

après tout, notre absence ne sera proba-blement pas langae; je prendrai Marthe,s'il le faut.

- La bonne Marthe est bien vieille, etaussi an pou empmntie; elle ne vous serapcot;'t'a

P.d'un gmad secourt, et si je

eaIms ne pas vous géant, mon enfant, jepourrais confD, à Marthe le petit managede mon frère, et...

- Oh !que mvous ôtes bonne, mademoi-selle 1 merci) erci 1 s'écria la jeune filleen pleurs. A noua deux, nous consolerou

on père, noms le euulagerousplut

snucux mbien il voustôtt. Vous e z pal, cu

r pacte 1 Il vous us écoutera, il sera sauvé.- Seulement, cafrl Claire, vous devrez

alors rcmettro votre départ à demain ; j'aiquelques préparatifs à faire à la co- n ditMlle Céleste qui, en prononçant cor mots,

brassa sa pauvre potulo amie, an butantdune, las terminer.

Bredy, dis. de la Banque, e , ri. essentielle quo lu cab cté de l'Empe-oAnonyme. _-_

Total. 1,310 n

L'heure de la révision d'a listel élseto-

ralesos Donnée.N ue rapp Ions encore tsar fois à nos

lenteuen qux, pour se toisa oo,oe,0O ssutifres

listas électorales, char. n'a q à jde sa qualité de Pe000aia, de son àge

(vingt'rt.uu ans accomplis) et de six mois

de résidence.Pour les deux premltrces eonditieus ro-

guises en pareille matière, rien de pluPlus

La houlletin de naissance (toujours 3éli-

vré sape frais, quand il e agit d'inscriptionélectorale), an acte de mariage, ou certifi-cat do libération de se ire. un congé,un diplôme, etc.,'laont des pièces suffi-

Q`santes.

nt à ]a résidence, ]a pateoto, lesquittances d'impositions, bail, un orClient

de location, desatteu

estations de pa-tten,de maître, de propriétaire, etc., l'b-tablissentsuffisamment

Voter n'est pas eéulement un droit, c'estun devoir. Mais pour voter, il faut êtrenscent

lest donc an devoir pour tout citoyen

de faire ]nsorie - Quiconque, par saêueso de es diodefonlte

e, se prive luies pl rads,

de a

mêmefanon dont

couen lmDoetles

affaire. du pays.

AnffiNISTuATION ana tu tnS TtiLN.G%A-

e c muas.

révenu qu'uneL pe pdépit don télégrammes af fereehia via

d'léro plaC¢e sur la façade de l'hôtel do la li â été trouatles

ttitres de àN'lers 0.ân(*ale°'

Uonrre, bilié, o, on ea artir de le le Fonderie, 2.cette balte sera or - P tin, avoué, rue ao

ri à 8ejanvier pprrochai¢ de

I7

hnnheures nu tue

heures duasoir.

Les E,radeé hevas duumutinxe an heure

aP botte c'est-ld aondt l le,,,',"eana,à.dise

de 8 h. du soir à 7 h. du matin, lestélégremmee devront être déposés à la

miseious qui décorneront ces prix evronêtre formées, ea majorité, pur les prési-

est de respecter l'indépendaoue et l'i.nitiative des compagnies savantes, S. M.n'ayant d'autre but quo d'encourager leprogrès des hautes études dans les dépao-

temIleatII.itcra, en oeoaéquenee, Mal. les

Présidents à lui transmettre leur unie, tcalai des Sociétés qu'ils dirigent, sur 1.projet en question, et sur le programmedu concours. D'apeln les indications recueillies, M. ]e Recteur rédigera lui.mêmepour la circonscription académique ua pro-gramme dans lequel seront indiquées les

amines du concours et la composition doJury appelé à décerner le prix.-a

Ainsi q,J noue l'avions annoncé, la r6,tare duo 5000a de l'École des Arts

ou lira lundi. La ttaJquillbéé la plus perdfaite a régné à l'intérieir et au dehors.

La Conférence dea Avocate magiairea,

sous la présidence de M' de Grimai, 0dton-nier de l'ordre, a discuté la question 50i-

ante : Le voyageur qui peur se dispenserde payer les droits de transport de teebagages, présente an bureau du Cheminde t'en, le billet de place d'an autre voya-geur étranger à sa famille, commet-il noieonttunoelion réprimée par l'art. 21 do la

loi de 15 juillet 1815?M, Gairal a fait lo rapport ;

MM" Cizolme et Combo ont soutenu

l'affirmative;La égatfve a été dbfend°e par Me

Cartailhac.M Laoroix a conclu a,, qualité do mi-

maffia public.I

'

Lae?t prononcée poui4Conférence e

négative.

ÉCLAIRAGE PUBLICDu 26 an 64 diceoabre.

A,.ruuaaa (com-une emnnts 15 m. avant, fin15 n - 4 h. 56 . .licef0

m finavant,.'dam

vexT.novxns, na%osr. NTA'P OU aire

Attirail, 194 m.9 h. m. 0-,744 2 - couvert - S. S. E.

L faible.

Midi, 0,743 9 - couvertt. faible.

irréparable, à retrouver et à soutenu noère faible et malheureux. Puis, ces son-

gymk.9thie. Voua eu manquerez pas de

us donnof lies nouvelles de wtre pèretons , aurez v et nuis desaussitôt

os uemtnE. Avecdétails sur ce fàobeux véquelle impatience et quelle anxiété Aiirienet moi cous alloua les attendre I n

Avec cela, un demi sourire, uu graeieoxsigne de tète, et ce rat tout. Mme d'Evaux6:ait disparue ;dans cette chambre, ohjamais plus, jamais plus lx future

stait.ro devait rentrer,

rienne

d'aile iqu'mr vagu e parfum ée violettesbchappé do sen mouchon, le lointain loun-frou de sa robe de moire effleurant dansle parterre les branches des rosiers, un pe-tit nmud de ruban détaché dn pan de earobe, et le soutenir d'Aérien, quesee dea-ises mots avaient évoqué si tristement,

Par un mouvement u,binal, Claire ra-àmassa

lapetit nmmi qu'aube vit g nant

terre, mais souvenir 'I'.t.rd ne aoa,ô

bla point.LEn ce moment, ,

ilil

n'y

avaiCypresque point de place deus son omue poureu fiancé; toutes a craintes, toutes ses

farces, tontes s affections, toutes ansdoulcura, étaient pour eou pire. Et pois,il ne canait pas encore à l'cspeit l'idée dotrembler pour son bonheur futur, à elle,pauvre fille qui ne connaissait pue lemoado. Elle avait donné ea parole, et ellel'aurait vdillamroent tenue, o face ilslabuine, ou face de la maladie, en fa:edes évôuemenle et des bogues années,mne on face de ao art ; pouvaitfortgai

o hem qu'un lcIIDs et ai,ant, fat

qaaunhomme ha oin

moins sincère et moins vaillant qu'elleToutes se pensées, nous l'avons dit,

'envolèrent donc vers son pére, ainon-seaballot pendant Dette triste t oa ellese préparait cinq pour la

prmalére

fais depuis cinq une, sa p rite maisonamie, lis acore pendant les quelques1

limante de Mme d'Evanx s'évaowirentrapidement, et firent plana à une ,joie me-crête. Ce désastre anuonoé cétait an or.

ers de fortuoo éclatant, c'était la rpeut-èho. lit la ruine pour M. Formel, larune pour sa fille, arrivant amas; comma

- point nommé, oncore à temps, avantle mariage , n'était en même tomes la dee-

coup porté à toutes lue spé,lees,lierc'était m obstacle wevrmontable aux pro-jets, an mariaged'Aédrien.

r ce point, Mme 'Evaux était sure deou fait; Ils en avait pour garante les

00010mes da mariage, tee Irae du monde,les principes qu'elle s'était efforcée d'ins-puor à son fils et qu'il portait peofondé-me t gravés au fond do emnq on dépit dequelques éclaire de désintéressement et dequelques élans de jeunesserassurant; qet, sain, cequi leu étai t pins quo tout, la-eu de sou fils loi-môme lorsque, récem-ent, deus cette conversation intime et

éeieeuv qu'ils avaient eue ensemble, elle,1. mare, avait dit hautement, nottemant

Si Claire omit été pauvre, jc ne t'auraisdmmé qu'un nensen,i pesé qu'un devoir:l'oublier. v A quoi le fils avait répondu,d'une voix moh,s haut. et uv u u teom-hlaute, mais cependant ferme etc francho;« C'est bien; eue c point nous sommesd'accord. n Co qui devonait maintenantne promesse, après avoir été nu aveu.uIl suffit d'un matant pour que ces ré

' ferions lui vinssent à l'esprit et y laissaa-ncore rien dititd'E ava evaux nMme .Laeoudaiuctb de coup Pavait d'abord pro. sent un jour mmveao, me ]oyeusa spb-

fondément surprise, purs, peeegae aussitôt, rnnce.. Les choses sont bleu avancées, ilconsidérablement refroidie. Lelic qui, quel. st vrai, nais Dus avons encore onze joursquesinetanta auparavant, ae déclarait toute devant nous,n pensa-t.elle. Et elle sedisposée 'r aceompaguer ea future belle. tourna vers Claire, presquefille dans la grande ville, chez Loure, pour c elle à l'annonce de ce malheur qui

y combiner une importante alfaire de pour. allait probablement la séparer de son f Ishèretifépara s, cpui s et de chiffons, nu tr.avait pas nue « Jo voos laisse à vos pr 3 p gn e

u200 de sympathie à frire, pas un net du enfant, lai dit.elle en lui aere001 la main eu nom - de Mlle Céleste, sur la Il.

cour à prononcer, lorsqu'il s'agissait de Je n'ai pas besoin, n'est-ce pas, de vous gel de B. à Paris. Les deux pauvres ferra

]'aider à supporter au désastre peut-ctr¢ _ exprimer ma bleu Profonde et doulourouso _ mec étaient selles, pur bophDur, dans letgi

bruine du coyage qu'elle tub le lendemam4

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 2: POLITIQUE - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1868/B... · ma chère, réparti' Mme d'ic avec a lé ge meuve e td'hmr,ez,rla r. Lorsque voua ...

a h, soir, 0-,743 6 - t. voilé. - S. S. L.t. faible.

T.e baromètre a monté pendant la nuitflo 4 mil!. 6; il baisse très lentement de-puis ce matin.

l; air un peu brumeux, est bemide : àmidi et à 3 beurre l'état hygrein'trique adt4 0, 88 et 0, 84.

Il est tombé cette nuit 1 mil,. b1i'.1.1,.Moyen eu thermométrique de la journée

d'hier, 110,1.Pour le ll rsaigae lnesle ti liai ae qui prreO

A. Perce..

L. fransec B t du le 1

touat o, e de N g t i ta'vei dredi, leur de 1a'I.1 hall e

üdêo d'enviant 6o ana. Elle a été tl'on attribue d nue démence nrataula .esse doue once.

( liessnper du sud-Oaesé.)

Tarbes, 29 décembre,Un bien déplorable accident a ,a lies

dans la commune de Mazeroll-r. I n cocoktomme, ils de M. Leurs, eu allant Ira-

ailler dans un champ, avait emporté sonfusil qu'il déposa sur les branches d'unbuisson. Lorsqu'il vint le reprendra, le

chien ouest une prceaion que lit partie le

sup. Tante la charge frappa Doute enpleine ,poitrine, et il tomba mort.

(Ers Impériulr.)

Oie lit dans Paroi' du Gers:« Le tribunal eerreoti.... 1 de Miracle

a rendu, mardi dorniee, son jugementdans leu poursuites en diffamation inteo-xées, d'une part, contre le Comité de la)Lyre mirandaise, à larequite de matelots,public, d'antre part, conter le rédacteur

.nef du Gers, par Si. ltobineaa, qui sePuallait, en outre, partie c!vlle coutre taus

lus prévenus.» Le tribunal et condamné les siguatai.s de la lettre incriminée, savoir. le rie,r

(oastaing à cinq jours rte prison et 200 fr.n'amende; les ara Moker et D1,!` oy è100 le. ,,a sieur Mouem, à Sé le, ; lsieurThibaut, rédacteur en chef du Gore, à100 fr.; et tous les prévenu? solidairement

1,000 le. da intérets caverala partie eivlle.

a Le tribunal a ordonné, en outre, l'in-,tien da jr;gament dans lesZ'

arne..l'Avenir, le, (lrrs et le Courrier Gers.»

Pau, 29 décembre.Dans la nuit du 19 a. 20 décembre, un

n plusieurs léaiteore s'intreleioirenti s l'église d'Anglet, en tarant lu aer-aed'une porte lat'rele, au mo en d'un

tuetrnment e. fur, pin;trèmnt, dans lastil et avent ouvert il la tralme -

e le -,baillis, , eoln tde _01e, quy étmt déposée, aillai qaequelques hoagies.

Il a été constaté qu'ils étalent montésune l'untel, préparé loir la célébration deIn messe de lendemain matin, d anche;mais soit par en sentiment de respect, soit,puits .lent craint doter compromis purles objets sacrés, ils partirent sans rientoucher.

On a quelgitoa,,,-soupcoue sur

ma

individu,aunes teuubdet réparatmea de ssl'ai.églisene qui n'em bat à son

,art

d'e(:Vémerial)...

On dit quels P. Hyacinthe doit venir,ie, de février, priU!ier dans l'égliseIl' i

cathédrale d'Agen, à Poocaemn de l'insu.goratiun des peintura de M. Bécard.

Bordeaux, 29 décembre.hier soir a eu lieu dans la salle du

Thlatre Lent, la réunion publique ayantpour but ila propagande de la Ligue deL'enseis nement.

La éunce, présidée par M. Pastel, aneé à huit heures. M. Panier a

rappelé les prescriptions de la loi sur lesréunions qui, dune le cas eù l'ordre esttroublé, donne au magistrat appelé à lessuciller, le droit de les dissoudre.

SI, Lescarret a dit ensuite comment estnéela Ligue de l'enseignement, Un mo-

deste iastitutenr d'Alsace jeta, il y a

quelques années, .cri de ralliement quifut entendu ... quatre boira de laFranco: « binons éluriens une dignecontre figera.". v

Cet appel et Ce vin tvonvèreat del'écho, ils semblaient répendre à mn besoin commun, dan troupes ae formieentduos les grands centres et aujourd'hui il.nie.

nce s en tF......e oldgonLnel trouvé eutagerme la Ligue de I enseignement.

B dee x ce v' st pas une vant qui attra la foule nvx réel'.

L p bl

.a pas eu le,ladans mes la_

a par la Ligue, c'est in mebil

,,as

.'levé, un mtPe;i ph gé fi l

c e d

dit

I te t lqcocu t d le 1 d1lt -.ml1 d6 d o d ,.il u d

na .allie 1 Plu, g 'colb d

jouir, de de p de fil( d- d 1utacult6s,

il trace, ici, an tableau aesee sombre rtel'oint de l'instruction Il France, il indiqueles tristes réunirais cmistatés, à rR peintde vue, par le statistique qui établit quel'ignorance est à peu prés générale dansCertains départements, que l'instruction yest l'exception. Il ne faut pas qu'il en soitainsi.

AI...l, il faut apporter un remé-

deveuirglapgéeérulitéest l'exception, doit

Mais dans l'état actuel, cette solution,en evmode, tte transformation sur.l'oeuvre de générations nombreuses edesiècles future; il faut hâter cette ère hé-ne, et le moyeu d'y parvenir, c'est ladit'aeion des lumières par tous 1. moyenspossibles, et la Ligue de l'enseignementest un de ces .ay la.

Elle viendra en aide aux institutions,aux 6tablissemnels d'enseignement popu-laire qui existent déjà :tel est ln balque an sont proposé las hommes qui l'ontcréée et ceux qui la dirigent.

B lo ''t fo pnnr rouesir, dit :lf. Leeenrreirsle concours actif, dévouéSont , énergique, detous les hom.m.r.: qui sont soucieux de l'ave

-de fem pays.11n

objectera, dit-il, une l'État, le dé-partement, la commune, l'université' ellescommunautés re ueee Ici l'auditoireclaapplaudit) suffisent l'ivsErncttac do peu-

1 'lu,ii le que non.

do

Et voulantprouveer,

à l'encontre fieple. Je réponds

et

r

qui rat généralement

,

1 C .11dité en France,

que

l'inltlative privée part produire, e-grandes choses, il Cite l'exemple de Igersgloterre q lin itiré ve de quelqueshommes p rc malgré la toute puie-^ance de

l'aristoe

cratie .aitr,arc du sol etdes poaeo!rs p; etigare, à arracher à Cettearietoeeneio l'abri lieu de le bel sur les eréalea grâce à laquelle on obtenaitrencnérissCment facture sur les denréesalimentaires.

Après avait, c ficela le, tact etre, développé Cet axe, e, cité desfragmente

ts dedo

discours de Fox ,le ilscap-don, prononcés par e. à

l'ore ccasioe

dencette lutte contre loi des Céréales, indi-que les efforts et

leues moycna mis en u.u-

vre M. Lescarret ajoute :Voilà ce que Peuvent les eSbete indivi-

Seoir lorsqu'ils lent persévérants et éner-giques, et qu'ils s'appliquent à une justecaEt

il développe

cette

idée que si cetample donné par l'Angleterre est digne

d'âtre suivi, le bat pour lequel il sollicite leconcoure de l'auditoire est plus grand, pluenoble encore, et il fait reasornr tons lasavantages de l'inshmotioe, non seulementau point de van philantropiquo, 'ai' aupoint de vue do l'intérêt moral et maté-,ici.

La parole cet ensuite donnée à DI. ladocteur Marx, qui lit un discours dans le.quel, après alter excusé de prendre la pa-role quand l'anditoire est impatient d'en-tendre M. Joies Simon, et de retarder.Joli le piaille qui l'attend, fait un élogeenthousiaste du député de Paris,

M. Marx parle du travail et an examineles offcte phileaophignes, physiologiqueset hygiéniques, il encre dans des considé-rations médicales u Ipen spéciales etmille qui ont surtout le défaut d'être énu-mérées trop longuement.

L'homme qui e travaille pas, quifait pas eaff ssmment d'exercice est exposéàla phthysie, aux maladies scrofuleuses, à

la pierre, à la gravelle, etc, dit le doc-teur Marx. Le travail corporel a un excel-lent pliât sur l'o'gaulemo, il développe layattme salaire, il en cite pour p u

las jambes des danseurs et les bras desforgerons. Il Constata les dlg'eutioue faci-les de ceux oui ce livrent à un travail cor-rciel, leur bien-étm général, leur beautéphyaigvo, etc., etc.

La santé da ores entralnaut la santé

de l'esprit, M Mar. dit q I t ill'er

sain d.prttet Corps p d. I

dté fait sont df t classesqui auxet é s IL d e , ise livrant 1 t Il-. t .1 I,a

exercires v i.. t. y i i .

t t 1 ter 1 i la h..Ici M4 Mar boit et ou upplaaa e .u ilide

l l Insolant les malalios qode l e és de travail eu nombrefie cet 1. scorbut, et il cit.

L'appui de sou dito. L'axe ,il. iamproduit la d',brhtatten, lui e.t la ,,.'

d'estomue,dn £â e, de Ppaa eoema, Iaphlluyl'obésité, la goutte, la gravelle (ou

rit). La paresse a une déplorable tnflneneeaur l'intelligence, elle l'obeuaecit et agendre le spleen.

Au peint de vue .oral la parasse Cetmauvaise : a celui qui ne fait rien est bienpelade mal faire,» à dit Pruehlia. M. Marxest de son avis.

Il est bleu, il est moral que l'hommetravaille, dit-!l, et, après avoir fait re-marquer que l'homme qui travaille pourautrui, travaille avec moine d'arder queCelui qui travail,' pour lui-méme,'tl sjente:Il t a 'tout lied qu'il travaille ciresloi. Ici, M. le docteur Marx parle des im-mortels principes de 89, de l'égalité despartagea, de l'esclavega, etc Neus n'avouepie bien saisi 1ouobaiuement des idéesémises par l'orateur, las agitations deL'soditaire sollicitaient ailleurs notre attie.tien.

pale, il a parlé de travail de la femme,de l'éducation des filles, du Inxe otl'étude trop absorbante de 1plano, ,ta 1.mortalité, de l'hygiène des evfauis en gé-néral, du travail des enfants qui, lorsqu'ilst exagéré, produit le rabaissement iatel-

lectuel et il rachitisme.L'orateur a parlé de la loi de 1844 qui

réduit à six heures le travail dee lofantefaido huit à treize nus, et après avoir t un

uval éloge do M. J. Simon, il lit un pas.go eln L'oitiatuvrierddéeM eI,J .mua, et dit clos

c uet udPlv.

shore que seradue la lot dont la e plainte 'élabora actuelle-ment au conseil d'État.

Luths il paru; des vieillards, de l'i.-pleure quia sur I nur santé ,activité plryarque et annonce qu'il a fini. 'L'audituisoupire bruyammmit).

M. Marx termine eu. discours la refai-nt l'éloge de M. J. Simon, et pue un ta

bleau des ,lofa de lu fa,nille et du bon-heur que donne le travail.

M. Joies Simon, accueilli par une tri-ple salve d'applaudisaemente, prend ,a-suite te la parole

IL remercie MM. Lescarret et Mure deChasse gracleoses qu'ils ont dites à soadroese et annoner gdil parlera du travaildes femmes. Cette quaslion, que Ire doc-trines saint-simonleones avateut un ins-tant agitée, s'est endormie depuis, cisemblé y âtre indiin, rat' et cependant

cet on questi u tria importante quitouche à tout, à lu moalo, à la politiq-e,au lien matéril, à la famille, à la gea.-deur de la patrie.

M. Jules Simon dit quelques mots desidées qui, sous le patronago de Stuart-Mill,s'agitant an An gloterre, 'l en e ont peintlui, comme en le fait là-bas, réclamerpour ia femme le droit d'âtre élc'tmm, nitraiter duos cette réunion paisible lesquestions excentriques qui dans les réu-

ne publiques de Paris y pr,odvissuttant d'agitation, onil examinera laquestion du droit de la femme aa tra-vail et et, travail lui-même.

M. J. aime. dit qu'il n'est P. moralque 1. femme travaiue hors de la maison.Il rappelle ce qui arriva en Angleterrelorsque le travail des machines fut substi-tué an travail manuel. Les manufactu-

voulurent abaisser les salaires; ne lafemme, mangeant moins que l'homme etpar suite se d'un salaire main-

wagon de seconde classe; rien .e les fer. somptueux escalier, aa., rien voir des do- qu'alto frémit, qu'elle s'alfaiasàt plus au"ait dos. à rentrer leurs larmes, à dissi- u es da plafond, dea sculptures du vesti- contraire; cette tète gel' e, que la augois-moire leurs

pensées'à linelPer

leurssou' bute; e lle. enta, presque défaillante, deus s des damiers jours avaient plue prot'on-

plrs.ID'ordinairecependant, Claire, miette le cabinet de l'homme d'affaires, auquel dénient blanchie, n se détourna pointet pâle , tenait les anime jointes, les Mlle Céleste la présentait en disant : Ma- pour saluer celle qui vouait résigne. etyeux fixés a.r les vitres, regardant sans demoiselle Fournel, salante; seulement v soupir déchi-les voir les grandes plaines tapissées - a Mademoiselle, répliqua l'agent de tant, souple da honte 'S de désedspoir, dablés d'or, les arbres rares, les

male..nea-

change on,clins

t ace ou.Il

eon- craints et de douleur, s'échappa es lèvrestes blanches, les talus crayeux, qui eau- traie, et souciais qu'il voulait rendre Ce.- tremblantes qui se , après a les dansfuyaient des doux tétés dl la route. pins pâtissant, et qui n'était qu'embarrassé, je maille crispées. pois, après

an frémisse-.lietressaillait, se relevait, regardait à sa regratte vivement de devoir vous faire ment subit, les mains du père

eesairent

etmontre, et murm urait d'une voix tram. part de nveltra aussi désastreuses... trembler; ClairC,qui pétait avancéset

blantom

: «Comme Le temps passei

Et.ona Monsieur votes pare nsE... à peu pria... jetée à genoux, Claire venait d'y posermes encore si loin ! .. « Il retrouvera uiné.

Malgeuré

mea Conseils, il s'est obstiné aie lèvres.

aécrit M. Daary. Mon Dieu, à jouer à la bausse ; il mitait engagé une « Mon père 1 murmurait-elle, sans trem-

quetmueeeens-nons là-bas'?... Ce scra me considérable sur les fonds otto- hier, sans pleurer, et preiquv d'un tandemiquel que chose de bien horrible?»

sommeLa guerre a été brusquement dé. jo 9eryeux, mon pore, regardez-moi, embras-

Mlle Céleste, levant alors la yeux de aidée, c'est lu baisse qui est venue, et... -mo , a mre-dessas la page de l'Imit.tiou de Jésus. - Oui, nouaient, .ai ; tout cela est fort La vieillard ne releva

.assen front,

Christ qui était ouverte sur ses genoux, triste, je le sais bien... Mais avant de rien n'enleva point nos mains qui loi eaehaeeuivolume le plus propre à emporter en

j

on .

j..eet méme je n'ai pas besoin de eu- le visage, et, sana même se détonner du

e, errait le main de la eu- sir voudrais voir mon pure. coté de ... enfant, il murmura dieu. voixne fille avec tendresse et douceur, et ré'

voir.Te vous norduis prés de loi à l'ins- basse et tremblante : Ta .'aimes? ...

pondait : « Tranquillisez.voue, m - tant, répliqua Iii. Dauey qui interrompit oui, je le sais... 181e puedonnerae tutant. Votre père est mnlhearea., canons s explieacons do financer, assez étonné - Eh I qû aurais-je à vous pardonner,

mes faibles ; iu Lieu est avec.Cas

de eu qu'une jeune fille sue la peint des cher péeet avec lui. Soymruer que nous aurons la ise pertt a'ingoiéter ...,ai peu do la -Pauvre fille !...force de remplir o tee tâche qui nous at- perte de sa fortune. Le digue boursier - Mais, reprit Claire en ooislssant larand là-bae ; à caque jour suffit sa n'était point accoutumé à ou déalutéeeese- tâte blanche dans ses maire et en la cou.peine. » ont semblable de la part do ses richce r nt de baisera et de pleurs.., d'avoir été

C'Ileuien véritable bonheur pour Claire, cliente ; dès ce moment, Claire ne lui

Las-

m:ttheoreox, d'avoir perdu par uIl vérité, qurail' avoir trouvéeprévuneoy c _ pila pua reniement de la pitié, mis sur- subit cette fortune ,Co vous amassez pour

pagne aussi ge et a i ante tout de l'étonnement et un certain res- moi et e laquelle je ne touais guère'?...duel ce triste voyage. Autrement, qu'au. pect. Soulevant clora uni penleOre de ce- mais, tuer père, fie n'est

P.voue pardo.-

rait-elle fait, la pauvre enfant, accablée leurs, il précéda les deux dames dans u er qu'il faut, aimer ans, c'est vous esnso.de an peine seule, arrivant dans cette corridor au bout duquel il ouvrit u let et vous plaindre!... Et si, malgré .agrande ville qu'elle ne connaissait point Porte. tendresse, malgré ma assurances, malgréencore, ou elle devait as montrer per la e Foarnnl, dit-il eu entrant le premier le plaisir que j a! 3 voas revoir, vous pa -pecmniae foie an bras de son jeun- mari? d'une voix basse et suppliante, tâchez doc etsttec a désespérer, à maudits le sort t

nsurfine à l'intreee.ti.u de A111e Céleste, elle de vous caloier et de Lier.

Iracourage; Dieu, et à cens trouver misérable, Ce serait

ee lit à peine tarent-elles descendues à la voici votre fille qui vient cous visiter. » alors vraiment que le ne pourrais pas vous

gare, installée dans u. fiacre qui tee -_ Pas un geste du malheureux pire, par Pardonner.duielé, aussi vile

q`les jambes dee eh- r gard, pas un mot ne répondit à cet - Pauvre enfant, chère enfant, soupira

vaux purent y suffire, à le maison de la appel de son ancien ami. Sa haute taille, alors !e p ère soulevant une des mains quinC de Peovenee où demeurait M. Daary. i i alinéa sur la table devant laquelle il était lui uvra t le visage et aisissaut celte

Arrivé là, la jeune file gravit, l'a jambes j s sis et comma érmeé soue lo poids de la de Claire qu'il retint entre la siennes, neelnaaeelantcs, la poitrine haletante , le douleur, no sa releva puent ; il semblait , craiua-tu rien pour toi-méme ? Ne Lacs-

des, ils prirent des femmes-et renvoyè-rent les hommes. Ceux-ci inhabiles aux

'ne du ménage, oisifs, cédant ana séduc-tions, an livrèrent à la débauche, et lasfeue., détournées de leur voie, ua fi-rent pas mieux.

IL fait ressortir lis coneéqucors farce-tasque produisent toujours due faits acm-

blables quidétournent

l'individu de sa'e naturelle, de la mission q. ,i, a ici-

bas,à rameur,

IL

dit quelq t d luefont les typ pee i t 1 d. P r

at sa pp tt p itMeaT. Pull. 1

blême pas, l1pl l

par ce pli p olé m ta d -IIiIIL Iétanttoulqurs enrrairon drrc,te de lo ire

et de la demande, Ica cuvelons résistent àI'. b - nt des salades q allait lc q f é 1 dl t daux

stem u' .b L,more des bras étant sen ibl t g

monté, le salaire aurait oui-i, fatale ont,sensiblement abaissé; c'est une consé-quence forcés.

A cet argument chevaleresque des eu-",«Nous ne voulons pas que nos bem-

estravaillent, nvoulons travaillerpour alles. » M. J. Simon fait d'abord ob-server qu'on ne fait pas del'éeouomie poli-tique aven des sentiments et de 1. galante-

, til ajoute que toutes les femmes n'ontpas des marie, qu'd ce est qui dan trou-vent pas, que tons ne sont pas bons, quecertains les abandonnent, elles et leurs eer-fauts, qu'il est des orphelines qui' ne, t nip

.es

ni (rare, et et demande qui tavaallerxpose celles-là. Pais il s'inquiète, et à bondroit, de celles qui restent veuves. Le tni-'ail ans victimes comme la guerre, etpeur

loi CIsont-leu premières seules qui

tombent au champ d'honneur. Eh ,mu !quand un .aerier meurt des socles d'ustravail forcé, quand il tombe d'un ombre

Il'or tua, la femme reste veuve, souventchargée d'enfants, - Qui travaillera pourelle, et comment travaillera-t-elle ai ellen'a pecunétat?

Ici l'orateur ne voit pour elle que douxalternatives dope nitre société . la misère

ou la prostitution.

1,'nnateee fait un tableau navrant de lam tallté des enfants livres à l'assistance

publique, et rappelle, à ce propos, les eu-

es lu M. le do-toue Broehard, les sta-tistiques, etc , etc.

La prostitution, dit il, iorpire le méprislepl s

Profond'le dég.ot, l'horreur; mais

il sa demanda si cette répugnance pour lelent du respect et de la eyin.at lis

qu'inspire la vert.. Avant de maudire laprostitution, ne

"Y"' é,puces;

a mauvaises ramure baie.,, font1,

1 d s femmes, et à aie femme quire

se

pro,,titue pour nourrir eau enfant, que là-pli, irc?

a lut il aît ire. de lus4iant psublime que

femmemmd

qui,misérable, ui,

siste auxédu

ctione de la débauche, ou,pouvant obtenir nue vie 1...Clos, avoir leManette matériel, résiste, fuit lo mmorda,et an condamna à la mendicité pour, .mmrrir enfant.

IL an 'lotP. pour la femme le travail

de la fabrique, ie travail au dehors, le tea-meulte fore, qui épais

IL

faut que 1a fem maes à la ma soii, vaille chez elle, a'a-

â.nne aux allie de ménage, éla'e les en-

n

flots,les srveille et en fasse des hom-

mail il faut qu'elle sait occupée et,,plisse le mission qu'elle a esue aie.

haut,lit, .pris avoir vu, parle discours rem-

pli da faits et d'observations aciantifrgnesde M. le dente., Mura, on Conduit l'excèsdu travail, il vaut mm,trer oùena bail l'ex-

és doisiveté des lemmes de la classe Aie-;e. Si les premières travaillent trop, les

autres, dit-il, abusent du droit quellescri nt avoir do ne rien faire.

Et de cette oisiveté, résultent l'ennui,la langueur et l'adultéra. Il faut que lafemme travaille dans ana intérêt d'abord,et aussi dans l'intérêt de la société; c.rl'iutielt particulier, dit l'orateur, dent aufond quo l'uutPrut général. Sans travall, jem trouve, d'un

cet(,

en face de la misère

CI

de la prostitution ; do l'autre, je vois selever l'ennui et l'adulera.

M. J. Simon fait ressortir avec éloquen-ce l'lnfiuencs bienfaisante et morale detravail de L femme et peint, d'une parole

cens-tu rien de terrible'?... Va, je me an-rois vite, si avais die être seul àsonff ir. La douleur est pour moi, la mileest pour toi, mon enfan1,1% t avec la mine,qu! sait''?... Nous avioeo mia une dot àAdrien; none n'en avons plus à lui don-

eq ma fille... Et il y a des hommes quilent pan sana dot;... je no cals

par... sita. Saucé... sera Peu de ceux'àE.

cet instant, le père sentit feieao.nmela petite main qu'il partait à ans lavons.Il. doute affreux, u e crante horrible,vouait da traverser l'esprit de Claire. lIé-las 1 depuis la veille, an tuilier, de tant deperplexités, accablée do tant de douleurs,elle n'avait pas songé à relu. Non ; cula noan pouvait pas, Ad,ien était trop noble, unpareil abandon eàt été trop inenltant ettrop lâche... Mais son père venait do direque de telles choses se pouvaient, se fat-auteur duos le mode, et elle er eosait pas la mon do, elle; peut-étre aussi bmou Dieu, ue connaissait-elle pas Adrioe !

M. Fournele qui vouait de relever latête pour attacher sur sa fille u regardplaque égaré, timide et suppliant, vitalors nue expression de douleur subite, denavrante angoisse, se peindre sur sestraits; frémit lui-méme , as frappa lefront, en leva par en brusque ....amant,et s'écria en marchant à grande pas pariachambr.

«Oh 1 combien le sort nia r"" ","imenl, impltoyablement leuppI I Que losis -je demande ''?... Presque rien, rien

que douze j.ora encore... Alors ta auraisété mariée, tranquille, bcemcuom ; j'auraisdélié le hasard, la ruine pouvait venir....

- Oh 1 ..a ; écoutez moi ; ne dites pascela, mou père, s'écria Claire eu allant àlai, en luejemnt les bras autos' du noue,et en repel.nt, pour net imuinut, sa tome

itetne. Etmoment de silence, elle esprit, d'aire volaplus basse et plus trangaillo : Il vontmieux, .a contraire, que le malheur eoit

attendrie, les joies de la famille et l'in-flacon de la mâte à laquelle on doit ceque l'on vaut, à laquelle on rapporte ceque l'a,, fait de hier.

Le travail, c'est la grande loi, le tra-ail cet utile et bienfaisant à toue, à la

femme comme à l'homme et ntraire-ment à Certaine doctrine qui tend à éta-blir que le travail est an Châtiment, il dit,

ib fion. Ilnui, sil la irone. c'est radsmplait si Ponte a oublié dans non enfer la

mpplrcn de l'oisiveté; mars il n'en con..Ilpue de plus terrible

queeely q. t

lait à donner des forons, de 1 rat ll'aire-

Ilhomme et de faire

quev 1 t

n, ont u ne sen arum Pas, être ..apmssanCI et^.e condamner à!a faiblesse!

c est là, il il, le pins grand suppliceque lahtpu oa cde mmtaihv¢er

tout a sn but, areT venoneaet udélot ptatid.ai, gala

F. ce bu t l'état de

L la

a nature, latravad qui -e fart partant en elle au leverdu saler, pour

titretpbien

vient d' etpayer la proposition qu'il vent l némettre,haen

tirer cette conséquence qu'il efaut

a.que l'homme rente inactif, mprodue-

tif, que seul, il imposa à la terre ou poidsinutile,.

M..1. Simon te+mlac en prédisant uneArc nouvelle dontil entrevoit l'aurore pro-chaine et il cite an mot de Montesquieu,n Bordelais, dit-il, ma des plus grands

hommes dont la France s'honore.

grands

disait (nous citons de mémoiret'ayant P. pria de notes), r, les Csons,chies se soutiennent par l'honneur, les ré-publigves par la vertu. v Do ces meune-

ries. Une Il... an cran s'est manifestée duesla Garonne. On craint mie catastrophe.

Ou beeit de la Rxholie, qu'une violentetempêterègne sur les réa-s. La nuit der-

nière et en matin, des ecnps de vent ensont fait sentir. A La Rochelle des ,beau-nées ont été renverés. La mer est lu-rloLes

autres contrées Il sont paspartagées que la , e- Ou aeffet, qu'un Iran fvrieix a déol' dansla nuit de leu

dgaI 1 IelC

o. Tous lesndg le tleuempii.-t e tt dans le port

neuf de V0 rit 2 t 'tesLa plupaitd bol déberlO e.

LLoirs

1L 1 I Pl le eh,,, laV local, 1 Rhône, 1 S l'Isle, la Cite-rente sont sorti, de leur. lits

La Gsro est, dito très forte auxenviron,

de

e ,i, en0

et la Dordogneelle aussi, en certains endroits,menace,

' ,il amener plu toute la journée,

et,

aujourd'hm,onus .cimes menacée

du méme désagrément; ale tempe pat trèsdoux, ferle] gris et bal.

(Courrier de la Gironde.)

Espugne-

Madrid, 15 décembre.L'atmontion d'a esprits cet fixée sur las

élections qui viennent d'avoir lieu peur laination des eo.saile msnieipaux. C'é-

' tait la premilre fois que le enffrage uni-ra I entrait eu exercée: il allait remuer

des forces botaniste, 0. s,.ttoC,lait, etchies, dont parlait l'immortel auteur de 1 cela n'était pas déraisonnable, à certain.l'Esprit des

Lais,sous de avoua que ! actes de violence, toujours à craindre cher

faire, dit l'orateur, elles ont disparu à ,jn- un peuple dont les p sont vsis polir noue depuis que les iv mortels aurtont au lendemain0 d'une révolution.

Principes de 84 ont tué m e; Mais ça qui préoccupait davantage, c'é-ai, oyone vertueux afin d'étro dignes de tait le résultat ale ans élections populaires.

la liberté. i Ce eCrulbit pat co fia a ,joned hai, duFie il finit rat intérssart dfaeners, dont moins en i'n,mdo partie. b oici à

_un et

a pâle compte-rendu, fait à la hste, j qualq.a aloi qui ue son

Pas

écourté, cet impuissant à donner nue co e affiliais, mais que j'ai lieu de croireidée, il finit, dis-je, en faisant encore ana exr rte :comparaison, un peu longue, mais toujours !j Il y a vingt cbefs-lieox de provinceheurevas et poétique. Il se Compare à uni qui ont donné la majorité au parti répn-peintre quia rivé nu paysage idéal, cc.

produit des pralina verdoyantce, des mon-tago élevées, des temecots rmpéuuonu,

p plé cette pampa- d'animaux et deperron cages; il se prend, e regardant

bilai..Le parti ,démoeratico-monarchique l'a

e porté dans neuf.0a eu compte douze eh les deux listessont partagé les suffrages, m

gratter que tout rela d elt ? n avantage pies ou moine sensible pontpas or M. .1. Silo ondrait,sIii, une !les nurcrostee.

icon danse Enfin il -a huit coda-lieux dont leqs par js portassent = , t y

l'esprit de s e.dueire ,.qu'elles proaiseIl , vote u ést pas i j'en dontsent l'affat qu'il d. t , glleriu it E Comble dea Ba éares et dea l qui,a faits. Aloi ditil, s traitai

1

art point de vue de la loi I p i eautous, la lemme tiendrait parmi a la) i ont t jouissent des mema droite.plac, û alla doit avoir la alle, cette 4x n,-,, cors deus jas grands centres, leslace de .et" ordre cul, ."ait entourée 6p 1,

u

t 6 cependant battus àde so,licltmle et do rape't, Mc cul, n ' o n t.Il la fe que cinq no

de 600005 alors, nous isvertuenx ' allons sur quar:mtemeu -et aai tant dg.,a de la république, de la IL i i, Y"" g . d lite lutta élec-librté t rate qon il-a tis présence, celui

La .1 Ils écale cri pplaudiasements. deus

mon:uchl,tesladémocraays

et caler deQaanrl e silence est rétabli M. Laterrade la démocratie pare. lues partisans du il,,-dit que des listes de souscription vo.t cure n ne, tant I.s maiéréa une les uéo-diatrihuéee >aux portes, il fait u,i pressant 1 catholiques, se oint tonus généruleme vt àpp l à l'euditcir lit faveur de a Ligne l'es rt. Il ce faudrait. pas eu eo Inxe

de l'enseignement, à laquelle chacun qu'In aient abdiqué. Unc lettre pnh116o

pont souscrire embu ces moyens ce ses

désirs.La es.. est levée à 10 h. 112.La foula énorme qui omombruit la vaste

sana de 'Lhédtre-Louit, de la base xcintres se reine, s'écoute sans encombre

t sans désordre.(Goumier de Il, Gironde.) Henry Davier.

Bordeeco, 30 décembre.Dapuie orès a'.. ,nia il ,ê,-.I s

presque toute l'Eu rope des temps ép r crache

tables. Dans ces derniers Jouit, le baromè-telcetdescondu à . peint qu'il atteinttrès-rarement. La indications baromémi-ques ont tir d'ailleurs parfaitzmeut jnsti-laa, et nous avo. coupe de vente surcoups de vent, avec des grains de pluiepets que continuels.

llepuis plusieurs jeans, en annonce quela tempéra règle duos le gala de (+asco-g.e. La mur a atteint lu paroxysme de sesfureurs; il y a quians que les marinade Beyonno ne l'ont ,.a aussi foire. L'en-

.trée't la sortie du part sont interditesNova apprenons anusi qu'à l'outrée de

la Gironde larafale

a cané plusieurs.,.-

do,ri

ont par M. Nocedal et nu bel

plus lie eut de comte San.Lois, qui sembla

rrepris e l plu,u, deloneoalrstn, pro.-

ent au bosoi. go'iis ne en retirentleupoint de la oc 'un I cr,miqun ; sainement ils

ont pour les Cors e.seLes opératioue para .nt s'étre a"..-

plies en général avec srégularité. On n'a

laie de craindre. 111 abiens agn'on lava.

désordres, mais ilsrat

au de petit aoloca8litée per théâtre. C'étit v coefit S.haines personnelles bleu plus que do lapassion p.litigve. ].fia flr; agnol.e out échan-gé autrefois plus d'an coup de tosrl quand1s votaient dans les 6gliaes soue l'umpme

de. la Cuuatitution de 1812; ils ue peuventpan avoir pl.a de respect pour une sallede la mairie.

Un fait digue de remarque, a"" qu'ungrand nombre d'électeurs ont négligé udldvigné en prendre part au scrutin. Laplu part des choix sont dus sa suffrage dela minorité. Oral co qui est arrivé surtoutà Madrid. On y compte ecixunta'douaemille électeurs et il .'y a guère eu plus de

vingt-cinqmille votaus. M. ltlvem, qui a

été porté dans plusieurs districts et nommé

venu avant, de cotte façon-là, du moins,nous n aurons trompé personne.

- Pauvrefille,

noble fille I répéta lepâle fia la regardant, et eerou.nt la tâte.ve oa accent doajo uroux.Rien qu'à te

r t à t'entendre, an cloue moins navréqua le mien portait se consoler.

- Et cependant la obit., avec In gr cede Dieu, sa consolera aussi, voisin, ajoutaici

Mlle Oélesre, Il an faut pas douter dela constance de M. d'Evaux avant d'avoiren des preuves du contraire. Et quand

o.a vousbien respecté, bien tranquille, vmrs verrez0001 y a bien des choses an monde quisont pies douces, pive solid1es et pive pré-

s. une roc... Aussi, m avais onseil à v ne donner, ce serait de

temcerminer

av plus lot toutes ces tristes affaires, eE de.ous accompagner au village, en disantpour toujours adieu à ce grand et vilainParts.

-Au village ?... Sais-jo seulement s'ilrestera de quoi m'y réfugier, y consnr-oette pnuvrc petite maison, sinon pour

mm alors pour ma fille?Allons, Foumel, je er vous encore-

nain plus, ir terroea l'homme d'argnut.Vous avez perd. mcalreotre fermeté; ,-asmettez Comme à plaisir voltes les chosesu pire. Non-seulement vo n nez pas

besoin de vendre nome petite campagne,e, d'api n les calculs que l'ai

faits hu'e gicle, il vous restera une espacede capital... van hagatelln à ]il matité...peut-0tre ..e trentaine de mille francs,gomze à dix-heit cents francs de rente...Si ,col vantiez accepter a. emploi à Paria,vo ça tireriez bien encore.

- Seine, à die huit cents frauca derente 1.. Gommmnt oser noua présenter aMme d'Fvaox's plan

1 chine enfant, en avenir, sue petite far-tune.

- Oh ! non ; rendre z à ce proueeEC..Ieumo!, père, dit Clam ra avec

doulourecse fermeté. Cr qui nus resteufdo, crayon...... quandnon ee-ions

hors

"d'ici,

tous Ira deux résignée,réen,s a. village. In! voua s xiee exposé ade noavelias,,, d'coptione, à de nouvallus

douleurs. Etsongez-y bleu, père chéri, ei

je dois... renoncer à l'espoir que j'avaisà la protecti

q

on et à l'umlüé duomlpag0on de mon enfanc., il. faut quouel u un du moira m rate e e. Il

faut que vous soyez toujours pies dee moi,tant à moi, bon pare, quand ie n auraiplue que vou. u

Et ladite le serra dune sp bras et lef sittont tremblant et pleurant à sonfauteuil. Elle

lierlia lors pria de

loi, ulatgailougtmammnbrae.g-Deaneyavait

quitté lp Chambre;Mllle

leste, dans un .il, priait tout bas et s'es.suyait les yeux.

Ainsi, n'a, convenu ; .mes partironsinhle, char père, dit Claire d'.. a,

coet presque joyeux, .prés qu21111t,

mnsdu vicillurlet lus silence en rfeuilles dans une longue étreints... Maisami

reprit-elle presque aussitét, tordisque son front se couvrait de pflleur.., jedoie d'abord écrire... annoncer l'v,ne-ient à Mme d'Evaux et à Adrien ; il le

faut et je l'si pro . Et paie, je neoudeui p'oeet urne cit... j'aimerais

attendre ici laremiM.F,. sele s par e, il, i signe,]a

Lite affirmatif; il eo prenait pire, 1. pan'rc père, la doaleur muette et les an-

cach6es qui agitaient sa pauvregomirant.

Etimme rdnacue,.

que des noie enfila, da endinele, ma (Contemporain.)titis ! ...'accepterai vos offres, Dcnry ; jeraterai cri. j travaillerai, je tenterai ,il-

,Cru ; il fout bien pas je refasse, à cette (La suite au prochain numMe.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: POLITIQUE - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1868/B... · ma chère, réparti' Mme d'ic avec a lé ge meuve e td'hmr,ez,rla r. Lorsque voua ...

dans deux, da P. obtenu, si je ntrompe, plue de quatre mille voix. Ou devait m'attendre PI on plus grand ooncou,a,et les amis da saJeage avioarsel out "."I-que

eajean de se plaindre de la mollessep grmLos journaux répvblicaina, tout en .....

eut ou peu cette mollesse, ne s'en félici-tant pas moins do résultat. H net certainqua l'opinion qu'ils', peésaotentelrivmphédoue la plupart des 'eoudeo villes. Ils

an

mèn en setrempe, un

e disant: Fuse celaper, creput Eica! (piano à la république !), mon

oupeut nier que le quart av tarons de

population leur appartienne J'ai le droitlad'en ce df e q 'il, complètent une centome

dde député. f

eJe cois quo 1 ho nmesaa du parti

en ces-pèITllnt davantage; aie is n'a t là cde eue ueione si fréquentes dans

crues

temps d ration poétique. 6 y itque 1 1l u en F,apagne et urtoal dmgrandes villes, las républmmns seraiente ns doute les maffree; melheaseaeemeutpour eux, il yoles campagnes uni viventici, comme ailleurs et pics qu'op louerpeut-étm, dans une sorte de divorce iatel-leetact nec ]es populations urbaines, Or,les puebl,s, comme on dit ici, donnent àpua prde les trois quarte du chiffre totaldes habitants. lis appartiennent aux partisTren

arohiques doris ses diverses nuances.Des trois fractions politiques qui net triom-pphé avec la révolution, il n'ynque

1,

mallibérale qui puisa' su v ,ter d'y exerceru' vérl'ehle influence. Les idées républi-nu

ne peuvent s'y faire ,,sentir que pargo_anealliance -promotion. ot dana

rease avec cet P',ce de socialisme rollq

et

ui

des ntrati

fermenteax

quelques points, dee,palomenton

Alndalousie,

parar au

suitee de

'm excessive de la propriété''Luta bcoaomiquea qui ce résul-tedes

tent.Quoique le succès des rgrandsine n

soit pue tout à fait aaesi grand ga'ils ledisent, il est de nature à inspirer une in-quiétude aax partisans de la monarchie.Je sais que le gouvernement en est assezpréoccupé

;maie

celui de sua mrmb,as quiste ingmète peut-lire davantage, D'est logénéral Prim.

Je niai pas la simplicitfi de croire que]e géuéal Prim mdoule one dele,te pou'me- nvintieu s, je lu crois à l'abri d'unéchec de sotte nature; mais il y ed'autres qui co ment pas moins daaageéaahies et qui peuvent même étal pins pé-ibles.

Le lendemain de la révolution, le géré,ai Prim s'est prananré pour la monarchie;il l'a fait sana e, thoos,aeme, par Un sortede r ison politiq e, is enfla 'x fait,es ilae'eat méme hàténd'nnvcyue es, décla-rationaxa journal qui 'avait pas, je crois,été aceo fumé euaqu'aloa à des commu-nioationedn'elle ssi grave portée. et paie

ve dire qu'il lo ragrufEe depuis quelquesjours, et qu'il a n, exprimé ce regret

Il est tout nature[ aqu il ait été confirmédans ce amitimmt par lo résultat que le.éléotione vienueut de donner. Je e c cou-drais pais êtes il lieoretr .aie J, puis biendire que le général P ime moins Ter.thousiasme que lamais pour la monarchqu'apura avoir conté rie 'coister co du partirépublicain, il commence sélis-nolot ày croire, qu'il y croit môme b'anooup,

et que vo cesnmmaomt la fauta de ser

foi aime,. Sui ne manquent is,n pareil cas, sil n'est P. bientôt

ec ce parti.avMelgrbla réserve de moa langage, vas

lenteurs comprendront soue doute qu'il s'a-git loi d'une fivolatiou vvllemoct militaire,mai. très politique de général Prim. Cetteévolution rot commancéee no veux pasdira

qu'elle s'acl,ixoeal mile il n'y a làrevu sd'impossipble iii méme d'improbable.Ce erait à cou uhe on changement gmvodans la situation actuelle et en des résal-

lesOn"

s nattendue, aa moins pour letoi'public, ses blectiooe municipales quej'ai voulu vous faire Tonnait'..

(J. de, Débats.) P. David.

angement dü â mmon passé noirs lesdeux pays et d'âprèe lequel les fIefiantsbadois, qui font leurs étudce dans lus roi-

rsités pros m , ont le droit lierne,''pli, pendant ace tempe dans l'armée pros-

'e' leur temps de service etc et.Je lie co matin dans les Débats un long

communiqué de M. flanelles- à proposdumarticle de M. Say, rédacteur de la

feuille pareienne. Ce document qui con-tioatdoux colonnes de petit texte me Pu-ait abuser plus que de oison de la per-' 'on de réponse accordée par la loi aux

fooutionnaieun pub'i's. Non eonteot eieffet de relever les assertions de joernaliste, le sénateur préfet mfoto aussi las

les opmwnathéories et oppose à N1. Sjed d p ,nts. Oela aent clôpassol les bornes, d'autant plus qu'en trot loindans la voie inaugurée par l'éenvain 'il-ciel. Où en senms nous en elfes s'il nouefallait vans inféoder aux opinions de nos

LeCcoes

nstitutionnel public une note aiv-an èCgulière

destinée à nous prouver que l'accord lupins complet existe entre lce deux

ministères d'Fltat et de l'intérieur. Onm'assure que cette note n'a alcane origin' ofiti'lla ni .,).a offlaieuse, et que

'rait un employé trop zélé qui auroitpria soue sou bonnet de fane insérer cettenote dans le journal de la rue la Valetsen la présentent comme l'expression d'unepensée afdcielle.

Le Gaulois n pas colore reçu le cam-a iqué annoncé au sujet des tableaux

de Louvre cependant voici quo lest

, et'e'ourn aux annonnt no ce nst Pas sen

t-

lesen1cem4i

art

nméme lese turc e i rP

foveti art lem'no oiegrands M. dea qui pdes faveurs

d,

e M. Nieuvorko'lcs ;maisque ces faveurs il

étetondeat aussi aux me.+x

des officiers do la garde impériale qui sontdétords également de tableaux empruntésau colleotiona du Louvre.

A en croire le Public, les tableaux pla-cée deus le cercle impérial qui appartien-neut aua réserves du Louvre et hantentdes expositions, sent des marras médio-cres indignes de figurer dans nos grandescollections. On se demande alors pourquoil'F.tet a-t-il acheté ans expositions des

nurse sana nabot et comment ers ta-hteaox si niddiocras ont-ila pu être pla-née, comnele dit le Public dans le cercleimpérial qui est an e m uble de l'États pour eu augmenter la valeur locative, nLe fait est que usqu'à présent, anoavecPI anse eatisfaisantc u'a été faite à la justeréclamation

neGaulais.

J'apprenda que M. Wittershem, impai-r du ,b°eniteur, a interjeté appel du

jjng entd'h' et8 sonetl

ppequi devaite

eujomd'hni ' dee des éltrésa été renvoyé à jeudi.

L'affaire du duel de M, de Coetlogon etd'as néflier d'infanterie qui devait vm,au jouri'luu aété ecu oyéeà huitair

On onclot pour le.2jan

' o n-ou lieue re l'vu de nos jouraux

offioieox ut la gérauee de nette fouilla.M. Aylia Lmg15, ce devenant directeur

de la presse m ministère de l'intdricue,reprendra le service du ministère des af-fairas étrangères, qui en avait été séparéil y a quelques mole.

M. de Mn,ueiIr es, quitter, dit'ue, nosdes 6tE,je 'a ci(u'ceteaesez

cous di re que lamaaê

del'ex loin fers W .st améliorée.

Ou dément ici, dans nos iégions offi-cielles, cl es t recueilli pur la Ut.:uae, joar-nal belge, d'après lequel il serait questionantre la Fiance et la Belgique d'une recti-f estinn de notre frontière du efité de Char-leroi.

Il parait que dourplia dS

s à laq"""' tempstation et trasbg n demande auxvoyageurs venant d'Allemagne leurs t as-seporte, ce qui ne se faisait plus depuislongtemps.

Le lfnnimaar publie ce matin la tableaudes réceptions du jour de l'an aax 'l'ui-eriea.

On dit que !n Cour impériale de Paris,qui envoyait chaque lunée une députationde ans membres pour la rc euevter à cettecérémonie, doit s'y

rendre

e ce corps cette

mCennoie le Gymuasc donne Séraphins,le muselle comédie en 5 actes do M. V.Surdos, dent Pancinv titre la Démode a étéchangé inc la centiare.

d'une queatiou da ceururrence nom.muraille, le teib...1 de commerce estompétevt pou, cenmttre de la eentosta-

tioa qui lui set soumise.» Par ces mo'i's : Retient.

A a fond i» Attendu quo lo titre d'un journal est

onePeu il tué t constant et incontestableqnn

que le Moniteur nui pensai, soit commereL'aille quotidienne politique et littéraire

sait comme collection historique, a ton-joursété 'noua sons le titre de : Le Mo-niteu.

»Qoe dans 1s, langage ordinaire sommedans le langage parlcmeutelre ou môme5Z 1 tt seule dénomination sert

blement à dési nrjournal méme pour lev fi equcs oh il

tait pas l'organe du oeerneinent, etn'était pas iuersti de lao publieatioa desactes cfficiell.

O d tait qui ressort do toue lus domeuts de la muse, est encore attesté

pur la Biblirehsque historique de lu pressefrançaise,

page125, de.. un article con-

aeré à ladite feuille ;» Qve les demandeurs au ceux qu'ils

''présentent n'ont pas disaontiuué,de-l'a 1789, de publie' le journal dont il

I agit et d'dire en possession de acte'

tsr, qui est'car

propriété> Qne ai la mot Moniteur est dans le

domaine public comme expression géré-

11

il n "n constitue pas mins, an pro-fit de ceux qui liant adapté à leur publi-cation, pour la dénommer, an droit d'ap-pellation nuelasif;

I Tau I ne si ec mot m figuré dans le titre deQI,J

qui ont cessé de l'exPe dans celui d'unire et fi n

grand nombre d'autres qui le sont faitsles organes d'i,téréts ai ment pro-fessionnels ou locaux, il n'a a jamais étéappliqué à cul des grands journauxpolitiques do remets autre que le Ilo.it,U,nuriel.

)ae s'il était aujourd'hui employé pourl'exploitation d'un journal polotigne et lit-téraire autre qua celai des demandeurs, il

cesrésulterait nécessairement antre

deux journaux ae confusion inévitable,

quel que soit d'ailleneele qualificatif ajoutése litre dent il s'sgit.

» Que cette confusion est surnboudam-ment démontrée par l'atoge dés maiute-nm,t adopté, non-seulement dans le pu-blic mais corse' par l'agence mémo de pn-blioie( du détendeur, d'appeler e Le Mu+nn-teur » le jeu nal que ce fieroier se proposede publier sous le titre de a Le Hauileuroffre' l do l'Empire Frauçmis. »

u Qu'alto a même nécessité, pour obvieraux difficultés relatives à la r'eni'a de ]acorrespondance par l'administration despo't'e, and ordom.nue routes le 24 de ee

ctai

de référé par le président detribunal -il de première instance de laSaine, exécutoire par provision, nonobs-tant oppooitim ou appel, méme mer mi-aute et avant enregistrement, qui a pres-crit les mesures urgentes exigées par lescirconstances;

Que v,inem,nt le défendeur voudraitae prévaloir de oe que le tir,, de journaldont il a l'entre prise lui avait été conféré

ôma inipesé par un arrêtéministérieldv 16 novembre dernier, puisqu'il l'avait

pris avant cet arrbté ;lino d'ailleurs t é, dont l'apyré-

ciation comme 1 tie16111.1

t a échappentaa tribmal, mais qui m, peut préjudicmr

v tiers, rie saurait paralyser a l'égardde défendeur l'exercice dos droite mcon-

n faveur de ]x Société demande-Imm

' c Que, dans tous boscos, le défendeur espovcrait qua s'iroputue à lui-méma d'avoirpris envea autrui une obligation qu'il nedevait pas prendre, et qui ne lin était mé-mepas imposée lorsqu'il a contracté ;

u Qu'il ressort do co qui précède quec'est à tort et cmitairemerit aux droits do

'net représentées auront naturellement

enlise qui cet concouru à ce traité, -Escudice.

Le Constitutionnel contient la note

ne Certains journaux prétendent que S.Exc. M. le ministre d'Etat et S. E.I. M.le ministre de l'intérieur ne marcheraientpas en eommnvauté de vue, relativement

tn de la politique iet2eisure.à la direc io

u il est inutile de faire observer que lesr rganes des partis bien connus emploientdepuis longtemp la tactique smvante ioprésenter un désaccord cm, 'tant cette

les ca.msilles de la couronne et la roi-do M. Rocher à -loirdraant Pollution

une domination absolue less éraineute collé ues.

e pi'.actes e sn'est

p'ua euxernire à la pensée

de S. Exc. M. le mmines d'État qui, leire reud h t c pie de lam' Tassituation

psefaiteme t ddp tante farteà chaque ministre, dont la Ieponsabilitéest personnelle et dont l'administrationeu moelle que da cmtréle deémpereur.

> Eu second lieu (et noverpo'Endons

icià l'alloeion des organes hostiles) LL. Eus,MM, Rouher et de Forcade marchent par.faitement d'accord en tout ce qui non.cerne la pelitiquegbnérale,eumme ara deuxhauts personnages n'ont cessé de le faireduos toutes ]os questions éeonomigaesmægnelles l'are nome ae rattachent. etque l'Europe se plait à considérer commeles noms émules des Gladetone et des Cobdon.

-Ou lit dans la Correspondance Rallier:q don p ... raofitFcie]croi-Ccettentacteent à e

ote n'aauecun

carattèteref ,i us tendus d'une

néme o ur eux n

u'

mc¢

très ante que l'inserkiaR de dot ¢n-trefilet dans le Constitutionnel est due àl'excès de zèle d'une personne qui n'avait

ai du gouvernement, ni mêmedu journal,, de prendre et de donner d'ainformations sur do pméeenduesdiseuseionsqui n'ont jamais existé. Rullier.

On lit dans la Correspondance Ru-

],a-tNaus devons également mettre nos Ire-ames en garde contre une note qui s'est

glissée, dit-on, subrepticement dans lesrolonves de Constitutionnel et qui, appor-té. par uuo pereomo étrangère à la elfao-tion du loneual avent pour bat de démentiran bruit absurde d'après lequel il

fiadissen-

timents so auraient élevés entre 114M. floo-Lor et de Forcade la Roquette. On ne doitpas plus a'aemétar à ce démenti qu'à lafausse rumeur qui lui avait servi de pré-toxte. Havas.

- Im conseil général de l'instructionpublique on réunira le 19 e' pour onesession dont la durée est fixés à 15 jours.

AUX ABONNId

du Journal de Toulouse12 fr. ml listt de 2)4.

DICTIONNAIREI d tt .

h et.

q .B ^ le. a p

litle ,e i. .du.- t:nusa

R6preieiet nnivrxsel 01 ahréµé le lomea les censaiasraeea

urlnes

Contenant la o'eil', e de Sa uni. in-8 osdinaieomEc saprésantmt

la d'yu,Wmr pmj I eu guai' millue oie+

9aat III dirrali00 de CHARLES SAINT-LAURENT.

ALEU1tl'la Sooiétb Pavokou'ho que le défendeur aprie le titre d'imprimeur-gérant do Aluni'leur officiel dal'Empire jraneaia, et qu'ily a lieu, dès lors, conformémontaux cen-clusieus rie la demande de lui interdira dela prendre -à l'zvenir et de Faire usage,pour la publicatieu et l'exploitation dea,j'orna.. dont l'entreprise lui a été eu,-cédée, du Litre: Le Moniteur, employé

Rarà., 211 ©éeemhre.Cas vcspandanz part+ceeliére).

Je voue demande pardon do vous parle'corsde

L.conférence. Si j'cu juge par

méme, vous devez commencer àavoir assez de oette éternalle question quis'impose à noirs attention et n 'avancequa pas de tortue. Voici en nous ensom-see aujourd'hui. La Part, demande que

lis réunion en question prenne peur bas,de e délibéatio,s lea cinq lents conte-cas dans en, ultimatum a la' Grecs, aa-

: 1, La cessation dos en rèloments ; 2'Le rapatxiemsnt due crétois rffugiés ; 3"La telle are des porta grena u corsai-t ; à' lies indemnit'a peur l'alroire deaCfidi'rs et soldats maltraités à p"yra ; 5

L'engagement par la Grèce de reapeater à]'avewr les traités mole droit des gons.

RS. dr. Lavalette do sou lu, parait

a r pris fontad

tenta ,'t finira,ail net les trois promiera poi -t.Jette, péremptoirement ]ce deux derniersle-.Quant à le Urèco, le cabinet des Tuile-

cas 1laondeerpou reo`éaon'aot

l'on-seen,lataudis que la Russie voudrait qu'elle reçutvoix délibérative.

"Il," présent, doue la'Parqui, fait del'aoceptatiou dus cinq points ana conditionsine qua non de as, parLrcrpatiou à ]a réo-

n et le Russie soutient la France rimala limitation de cotte délibération auxtrois premiers pointa. Quant à M. de Mot-teniicle il axait demanda à eu sfbrcr àson gouvermment Ust ce q A t 1

ra t par hasard qua. que lé t

les choses a', lier do 0 1610i

t tan ols, e,, léronoe ennui r' Souhcndralt-elle laTurquie fane la crise anta'n' par dépitu 9iur tint, de air lin F'r, i, foire

eo la Prusse et la Ras-mudepuia l ôrigive dn différaud'7 Voilà ce

lislve l'os eo demande dons nos Dictes pu-

1.Ltél _ramme de Vien dément lalie i rapfel do lient. d

friche s Constantinome ne d ni, ecmlla-eument par M. de Boche.

Ln bruit avait couru hi la B eoq .P - t l "'mol u' h d Badealli'. - et do le,da

E.ni o e pay s an p .1 m , Ce b it +. a au.

chois des demmdmrs sera une réparationsuffisante.

s Par ces motifs:» Fait défense à Witthersheim de pren-

dra le titre d'Imprimeur gérant du Meur-t %(. ,E de l Empare franfni.+, et de

a o peur la publication etl'eueploifil mtation des journaux dent il est cmoeasion-

,sera du titre le Moniteur employé seinec le qualiéeotif officiel, sinon dit

qu'il sera fait drmt ;e Ordonne proscrit- de présentjuge-

ment dans trois journaux au choix fiet fir-mandvoma non louis fia détendeur;

e Cmdamec le défendeur aux dépens ;v Et attend. qu'il n'est prononcé au

tune coddamnatiov écaniaire, que d'ail-lente la solvabilité

dpes

défendeurs est a.-bolet;

rdonae l'eseeu(ion provisoire, no-nobstant appel et sana caution. n

On lit dame la France:Leu obgociations relatives à la confé

e nt 1 légalise, et, jus-qu'à présent, elles .'art été arqu6espar a

lamucun '

cidentda nature à -a,ré

ter arche. A. contraire, tout fait espéter quo le conférence pourra se réunietrds prochainement, et "'a désigne déjà..,an date probable de 7 au 10 jan-

viUn des points sur lesquels les paissan-

t , échanger des vues n été dem lue. (troce serait admise à le 'ê.-

il. et comment elle y serait admise,n'esl-à'dire dans quelle mesure elle pren-drait part aax délabératmns. C'est sur cep out qui est engagés en ce moment levpourparlcra.

lI a, Presque c t que P ù étéae cspéce i fond L q v y » Attendura dés lors qua ic débat e'ag,- rogné le troué mad 18.56 e ma 1 e dela

donner naissmea ','colest

l 1' a

ppécutim d'un tant robe dors commexla nt.l et à 1'.c.- . conférant, Lea puissances qui m'y tronae-

em[ ou avec le qualidcatif of/l'lat.» Attendu, quant an préjudice, qui ré-lte da la puhhoité pan laquelle le défen-

deur a commencé son entreprise, qu'il y alie,, poori la réparation de recours aux

mAttendu, toutefois, qua l'insartiou de

présent jugement dans trois jeu

L. Seine ontinuu à crultre par suitedes plaise abondantes qui ne cessent dofondre sue Pont iet les environs. On craintque les bateaux mouches en soient obligésbientôt d'interrompre leur service.

La pouls' o été très ferme aajour-d'hgi.

Pour extrait : A- Purot,

La

L'ADJUDICATION DII MONITL'tiR

:lé l' L k tC propraétaive durelava er,o sel tonna moi M,,lurshe ,

Impri e -_ ont du futur :1lanilenr of/icie1.

A,,jaurd'hui, le tribunal de commerce,soue a pr6eidoc s de M. Drouin, devaitrendre sou jugement l: a grand nombrede personnes, appartenant au monde de]a presse sont dons le rétomre.

A -Lu heures raurliPnce est ouverts.

A l'appel de cette cause, un profmd ai-

lmce s éIuulit, et 31. la président pronnousle jugement solvant:

u Le tribunal, eut l'exceptioe d'incom-pétence.

n Attendu qu'il ressort dis débats et desdocuments produits pou Witteraheinr an-

indnstri- :au pubncM eu s'intihi-'r'e sneprinuenr-pétantdu Moniteur o%f-

ode

drc ii 1,. i/e cettqu'ila

il,

o e d, ina f- l'enoei pnsec,stnelle pour l'exploitation de ]agnelle il

vert dus biveaux d'abonnements et'ne Agence de publicité à coté du jouenatlo Mareitemr u uersel, dont les den man-duma sont pro

Oc g- t Critiquésâux

la.r l dep t

n'estd d m

dal leur'I , t 1 dt- q,i Lagmt r a é 101001 do l'admimstrx-

a» Qu ïl ne m'agit donc ni d'appr6rier, ni

t d 1 tortto alcalist t 1 nt l-

tirmre

r spen-t f eu dehors de l'ue'tté manistdr ol, dont exmpe le défendent.

ou

C018UI YT E1 DE L'EIIPNRE

Chapot (Françoiao), 86 ana, veuecJany,née à bte-Croix (Ariège), rue Cajas,

Sonverville (Ralentit), 45 ana, né à ] nu-drsme, (Haute-Garonne), avenue de Ma-et

POUR

CINQ FRANCS!!...VOTRE PORTRAIT

Photographie DEi.ON

han i Billeté

LOTERIE DE TOULOUSIS

ENCORE 119,000 FRANCS

Prospectas et Type (Princes)Rue Loui$.Napoléon, 20

RAISON ANCELYRue de la Pomme, 63.

La Maison ARCrI'or

se conformerabitYtels, Prises par luaux nouvelles

,Pffr doTa

uneandCommencs

eExposition, lev principaæ modèles desdiverses industries.

Fidéle à sou procmédélleur,M

de fabrication

qu'il reerxnn le ei. Asca:Lxveille par lui-méme et dans ses plus

m aces détails, l'ex6oution des

Tildes et.et

commande. Ce procédé de fabricationqui l'oblige à do fréquents voyages dansles principaux centres d'induetrio, pré-sente ce double avantage do le mettreconstamment à aime de faire le Choixdes plus ti'ti's Productions, de profiterd'a méliomtiona las plus réelles, dèsqu'elles me prodasmue et d'y apporter ce

-mo tempe les modiàeatione qu'en'tua-gue expérien et la eonumssuuem dugolf do public auquel il s'adresse, per-

s ttent d ajouter.d''y

Ou Prend les bans résultats qu'unpareil système peut apporter à des bran-ches d'industrie qui, oaus se eonfondre, setouchent par plus d'au pointl'Horlogerie - ]a Bijouterie

-1.'kaillerie

l'Orféosmrie.

Pour l'horlogerie, la Maison AecnLV asu acquérir one réputation qui aujourd'hui

atteint i conteatablement le premierrang. Un tonnait la qualité de mes pendu-las garanties dix mus, et le fini de sonmutres or et argent, de. Genève, à répé-

tition, e recondes indépedantes, chrono-mètres de poche et rsommeil aa pendant.

La hÿouterie, qui a pria de nos Jours undéceleppemmt se remarquable, a été l'ob-jet de la plus active préoccupation de M.ANCrar,v, qui est arriva à donner à nettepartie de son cammeroe une importancede plumier aras; en ayant sa réunir auxobjets de plus grana luxe et du travail leplus parfait, de toles styles, de toutes

es bon marché desles époques, les octalmodèles de nue martres, gu'11 peut offrir à

lev ' ffectieux lymphatiques ,des couditioue avmtagenaes. teautim ,

La partie des Bronzes quil a jointe de- ae fuleuses et las maladies de poitrine.puis longtemps à s' Maison , a pa qua 2 fr. le flacon. Dépôt à Toulouse, phar-prospéror par saits des procédés nouveaux matie Vldal-Abbxdie.appliqués pour les réductions des grandsmodères que la statuaire possède. M. AVcELI, nomprenant que le goût du publiese portait décidément vers cette brancha

i téressante de l'art, a voulu, pour ce"poudre à ces 'alg'u'es bien naturelles,réunir tocs les modules dus aax martres,et que les avantages de la fabrication et lefini do travail mettaient à la portée detous, de manière ù pouvoir être combinésavee les ornements d'un salon; les Garni-tures

u'8

lampes, s, lesd'fiedconaarIés

un

croupes séparée) il a aussi porté son at-tontron sas les styles Louis XIV, XV, XVI

ontenantDO PLANCIIhS DB POU'IRS LES BATAILLES,

mo roeraeirs szs nAaiicnaux tir 'naseau.ces

ET LE PORTRAIT DE. NAlOLEON h"Le ei,upegné dessi;unuees Ae Bseapmta premier rassul

ol do Nspoa{on empotant.

Collection dite CARLE VERNET,F alto d'après les Sable aax de ce gland mettre

l,a desseins de Swinnan,,u,LSe beau et 11--d molame de selon

et de bibtvothégiee -) !io raisin riohemmx5 teillé

lu ItEUet lord sur iranohea

DE 150xesecs:Prix 22 fr, pour nos Abonnés.Cet Album, fini calitaun doeument pré-

cwas, et dont ]o mér artistique n'est pasmoindre que l'intérêt historique, formel'mdrapmsable coxri.Emnne A L'um,ornn

sunie disILosil'ondes griavures eEla eichesen

u' la S e ,a font également au splendide Album de Salon peur ceux qui nepuesdont pas le bol et excellent ouvragede M. TIni

bon ccioaneileanent, jarsga'aee b'1 décembre,iront en méme temps

l'Album du Oonsuls, et ta Dio0,00,,lus Leey-

eiopédique ne roue ru les de- ouuvages que

50 Faa-

SOCèb TÉ GF'NÉRALEPour favoriser le développement duCommerce et de l'Iaadustrie en France.

Capital : 120 Millions.IA .nc0delaSoeictéGénéraleal'bon-

de prévenu MM. lee lortenrs deTitres Erxae+ais euque les conpms da l'bchdauca de Janvier

frai: Pou sous escompte seloai lune nouait'etaux prix affichés dons ses bureaux à

Tonlouee, 22, roc dos Arts.

----

ana ce moment pour leursrecherchés ilbelles garnitures de cheminées bronze

dorsF.

sédao Orfévrerie, la maison ANCnnr pos-

es, que la fabrication fionsise a donnéde miens réussi et à meilléar compte:thés complets, avec ou sana Pis a..., ar-gentés, plaquis ou Ruolz. On trouve dansles mémes magasins des services campletsde table ainsi q e des canne à liqueurs etdes coffrets an boites à bijoux.

FETE DES ROISA chaque nouvellement d'année ,

recommandons à nos lecteurs, pourla Fuie dea Raie, le eélébre Gateau deNi. IDAUIDÉ, rue dea Changes, 27.

L'année dernière, on sen souvient, cetenindustriel appela l'atttion dehonorable

es, clientèle en mettant. an Loues d'or deb' Iran dana la pâte do ses Gâteaux;en sera de mêla' cette année, la jour dupremier de l'an, et tous les dimanches etfêtes jnsgn'au carnaval.

Les personnes qui auront la chance de

trouver 'a pièces d'or, sont priées d'enellesvomir M. De"il'

et loura a ms, miy consentent, seront lierla à la poblici é.

En môme temps que les Gâteaux desRois, mus ommxadons les Oàteanx

araaateirhaens ; icegenrede pdtisse'eeaparticuhèreme,t

approorée

par les Ama-teurs de chocolat et da café ta lait.

BULLETIN CO295ERCIAL.

MARCHES DE TOULOUSE.Du 30 décembre.

NOUS

,vas auoamra..

51ada. é . l W 21 00 R 25fl'ud-0e id i lé ' 00 23 MUlIt En, . .. j 80

222

UO 11 5iiBle r lad fi RD 1 110 2L S5nia r ml- Bo té 6, osé01511, ........ 75 iJ ou f. 25Orge, 60 12 20 et se1,

'os,.. , .. 50 Il 15 12 00

7 6 12 2i 13 50M=ia Blaric, j 75 02 OUI a G 50

8 126 00 27 00Pais, (

È T8 UO UOIUO 00

Lentilles,.,-,.,,. tllé 00000000Févee. , .. ..... j fi5 6 26 0h 50Vesces noires, F0 1U 00 10 0

Vescs roueaea- , 50 19 1,1 1f 00Gaine de lin ... , 66 25 00125 50eoln. 65 l0 lé té 25

PASIlni F.T 266Uxa.QuE S. t larouan ),

balla de 122 k. 112 4S 00 49 lié

e'. 11 (56) - - as0

o101

47 002ti^r

4m. (SF-SR)-UORésille (RF-RB)- 25 00 3000

Repassas, - - 10 00 22 UO

Sana. - - 14 00114 50

rosaumu.Faiu, ........ 1u59 -la. 6 25 6 50EstofLurerne (lias. du paya) - 6 15 6 50

a) fi UO 0oléo lu:. duc wv o005 50rêne .......T" 004 70.. - IPaille, .... .

6016 A BRUL86.Soie, seème ire egalitm, 22 tr.Idem, il, le htd Ri te,Idem, lev 501i1, da t le, 45

TRIBUNAL DE COMMERCE de T'millea.

Par jagement rendu le 29 dccembre

Toaaoo eT lela t'de

sieur' Ramonéosé ''niant,

goci

demeurant à Toulonse, rue du Poils-de-

l'IIeile a Olé déclaré en faillite.

Oe jugement fixe provisdlrement l'ou-vertes de cette. faillite audit Jour 20 d6-e

mbro1865, et o loue l'apposition des

ellés partout où 'besoin sera, conformé-sccma t à la loi.

M. Pagéa a été nemmége-commia-r et M, Esteuave, arbitre de commrsem,

syndic provisoire.Le Greffer : L-..U,.

dVIS UNIQUE ET BONNE OCCASION

A VF,N IDIILEUne grande Collection de roquil-

lages d'une variété indéfinie.S'adresser, ras Tovrnefeuille, 23 (St-

Cyprien).

Les Pilules d'iodure de fer du Bamv nvBmssun, rot l'avantage de contenir dn

aeguuèee, sel qui ae tienne tovjour dauule sang conjontement a ec le fe.r

I`deliAcademie

de médeoi,quoce corps savant prodigue peu, est un mo-tif suffissent pour sic noter leur efficacité

' appauvrisse-contre les Pâles oouleora, l

ment du sang, l'irrégularité do la mens-

A VENDREUn magnifique Chien de Terre-Neuve

parfaitement drossé, agé de 4 ans. Chez

M. SALmrxns, litlmgraphe, rue dea Balan-ces, 35,

A LOUERGRAND APPARTEMENT

u second, mue du Tau,, 2, donnant sur laplace du Capitole, ante éclairage un gazafacultatif pour le locataixe, et plnsimr,objets mebiiiers à vend''. 1546

Rl.COMPENSE.-II s blé perde, sa-medi dernier, an petite Chaenne hava-naise. La ramcnre Jaefin-Royal, 11.

eu baie de chérie, très-QOEU solides; cercles et poignées

é-n, à 3 £r. ,chez M. Vernet, ras Bayard,47, avenue de la Gare (1645)

. GEOEROY GOME futr,br,vMembre de l'Académie nationale

L'arrachement des dents est il apé-ratiou fort dmlouauee d'abor, et enméme temps préjudeuiahlo aax personnesqm sont forcées de s'y soumettre.

5I. Géofroy-Gnmez, médecin-deu-liste, a résolu c grand problème c'estde ne plus lot .,.cher ! Par dut moyenqui lui sont pd'an 11111, il les guérit pourtn,fr ajoura

Colles

Ppld

sanqu'il peso vont garautiee

par écritpendant dix ans.ALLÉES LOUIS-NAPOLÉON, 6

Tounocse

Théàtre de, Cotait-le.Aujourd'hui, 31 décembre, à7 heures 112

LA JUIVE

Théétre des Variété'Aujourd'hui, 31 décembre ,

LA rai, L'es ii.-CE ET rA eacnITir.LES JAPONAIS.

Le' GuoeuxL eti PAnLL VIA ne BRcai L,est un médicament approuvé par l'Acadé-ie de médecine d'av. efficaeicité rare

i30 C ll 1568. co ire les migranes, maux de 071e, né-D f .. ( P t I ,), 66 e'elgies, drarrbide. Il suffit le pies sou

an né, a Tuleoue, npouee Raynand, vent fi'au seulpaquet

pourfaire

d' p rai-ne P.I.prat, 17. ire la plus violente migraine.l eg ont

Eseourbiae (Lenise), 3 ans, allée da) le cachot de MM. Ga,nanlim et C', phar-Cirnetiére d, Terre-Cabadd. - -fous de S. A. I. le Prince Napoléon et

1 (Pé é )énagè,, 65 eus, i doctltmrs de co produit, o l'obtientBI qn é F p gne. ` 5 010 Il arche. Chaque boita cmn'a

(, t (h t p:.,, L évü) p ntre, 56 t t .ffét 12 pxgaeta et as vend fr.al a,é ( avelines Nord), loto Pavée-

1

Dipot à Touloase, Vidal-Abbadie, phar-M .ten-]tan, mueisn,

Pré Catelara.Aujourd'hui 31 décembre, à 7 h. 112.

Représentation de Mlle Olives pmmiéredanseuse d Talent de Madril.

GRANDE SOIRLEChansonnettes .annuels, duos et ballet.

Lea pompiers de Nantcmee.

CIRQUE ZOOLOGIQUE, Direction CroriBoulevard Napoléon

A l' oasien du premier jour de l'anGrande Sbto e ira fine vendredi, à 3

heures, et le aie, d 8 ti'en's.

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: POLITIQUE - images.jdt.bibliotheque.toulouse.frimages.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1868/B... · ma chère, réparti' Mme d'ic avec a lé ge meuve e td'hmr,ez,rla r. Lorsque voua ...

»tee

AVANTAGES OFFERTSPAR LA

dvd ® d. .Cl d. agi rit rG i ® Vii l/ G MIOn délivrera i b Directiaa, CoamrmR Esran LACROIX, rue Louis-Napoléon, 20

1" POUR 5 FRANCS : 20 BaxeTa valeur réelle, et eu Prime entièrement gratuite, un bondonnant droit au porteur de farce fane, è aen ehorx, un Portrait format carre de visite, eu

le repro.factron Photographique, peintures,sculptures, objets d'art, o¢bienvouera le ehorx devu artistiques, môme format. (Aie u Don',.s'

POUR I? FIL0NCS 40 Bras rs valeur réelle et nu bon môme Prime mémés séries, , , ,an

cho x, dans le format cane album.3 POUR 16 FRANCS : 60 Brr,Lnre valeur moelle, avec aa hou do la môme Prime, dans leformat grande plaque.

LPIIEOVES normal. carte de visite. 5 Vues, 20 billa s, 5 f ,

dà Carte albmu. 6 Va., 40 billets, 10 1e.Grande plaque. 2 Vues, 60 billets, 15 le.

N. B. Voir le Type (Proue) dons les VITRINES provisoires, Exposition DELON.

ALBUM MELONÉglise Saiot-Etionne-Rai.C-Sarnin - Perte do la Dalbade - Glatira de Musée - desJacobine -Capitole : Façade, Cour , Porto de l'Arsenal, de la Commutation - Cathédrale

dod'Albi

Calvaire (13 idad'As Le Vain Fleyredde, eo FPaena, de Pi attention

tItaniel d° Voltaire héeta enfant (Palr q (' nor

J.ea) -

(lermaine Boill )( gaiéres) Va de Roc-Amadour -Sainte

( y). /Extrait dw catalogue.)Pour plus amples explications, s'adresser rue Louis- Napoléon, 20

ENCORE 119,000 FRANCS DE LOTS;e, le Ne 0,071,280, appartenant à M. BORDAGE, contrôleur sus

Chemins de Fer du Midi, a gagné 15,000 francs.

GUERISONImmédiate et radicale de tontes Dents nie Racines

gâtées, sans extraction ni douleur57 TOULOUSE, RUE DE LA POMME, 57.

M. et Mura Peilenrln, Dentistes de Paris, viennent d'établirun Cabinet de Dentition à Toulo..I. Ils fout toutes les Opératioaaqui mit rapport à lent Art : Extraient, Liment, Egelisent, Net-tgyent, Coosolideat les Dents chancelantes, ete.M.

et Dîme Pellegria possédant un nouveau Procédé pour pla-er les Deutar sans aucune eoaffrauea; la beauté et la solidité de

Ieurs pièces, leur parfaite era,rmblacee avec les Dents naturelles,et s rtout la modicité d° leurs pria, leur ont dcjl attiré unenombreuse clientèle.

Le Cabinet est ouvert tons les jours, de 8 bernes du matin àG heures soir. - Le jeudi, les pauvres gratis, de 0 h. à 11 h. m.

VENTE DE TOILES f A x 'Na DEa ORnARONIâa éârRAS. - ToLLÔIsE

VENTE DE CALICOTS 600 pàéeea aat,eota la piècei vendue 10, 12 et 14 te.

VENTE DE TOILES TS 5o0 yoillises madapolam , et

e Alsace, la piècevendue 16, 18 et 20 fr.

VENTE DE CALICOTS800

pàpiaaeèce,,ventaireaaede12ao15tnetn,17'af

]

VENTE DE TOILES1500 services de table, 12 couvi

le service complet, 12 f. 50.

VENTE DE CALICOTS800 pàeeeededrPp,dedomest.

CALICOTS la pièce vendue 9 et 11 tr

VENTE DE TOILES 2" 4e_: tic s2il.

tatuts dëp.r,ill.

VENTE DE CALICOTS 500paires rideaux mansselina,lare. 1 . 60, haut. 3 n,]e rideau, 3 fr. 50.

VENTE DE TOILES1200 ddnx. sari eues de toilette,

à 5 et 6 fi. la douzaine,

VENTE DE CALICOTS 200 plè es da toi/e, pnrfil,pourchemises, à 1 f. 10 et 1 f. 26le métra.

VENTE DE TOILES 6001 doux. mawrhetre de paelu,v dus avec ace granderédaction.

VENTE DE CALICOTS200 doul'oye: etdechaussettes,

yes et Stem.

VENTE DE TOILES130 p'èses' pansue de ôté,

TOILES 1. gaalicé, ail le. 750

VENTE DE CALICOTS A- er Peyras,asouioB°a;e

ENGRAIS AGENAISde la Maison MILLE, d'Agen

N' 1 pour tentes lalmras. . . . . . . . . 1,1 les f00 ai.N 2 pour la vigne et les arbres. f 2 les fou M.

franco de perlez d'emballage sur toutes les gares de la ligne du Alidi.'adeeaer se M. Raphaël DELORIIE, ras Peyrohèrre, 29, d Toulouse

Imm

Rue Saint-Rome, 4I, au coin de la rue des Gestes,

Vendre Bon et Prix mod e,ea fait le

Succès de cette aison

EEUleear e elrsi quia em°iuun ôiloies Icv rel,rc ie goc,ee e°âé la'd sis '

de Paria

LA PEPSINE ET LA DIAS'l'ASE.iobrneemt en pan de temps lev maux d'estomac; - Png,sukr,sv,>et les Ugonilas dilfr°iles;

matent les vomissemems, la draeeher; - Ràmonent l'aPp6Rt et reposons Inc totem.PAal1, E, AVENUE VICTOaIA.-

A Toulouse, chez MII. GELABEET, BLOT, Pharman,eae.

Rue Louis-Napoléon, 1, à Toulouse.

CHEMISIER

SPÉCIALITÉ DE CIIC1IISCS POUR SOIRlESChemises sur mesura, m non infraissables, pour lesquailes il a obleu. ans

Médaille de Bronze à l'Exposition de Toulouse et non à pelle de Paris, par cetteoison fort simple qu'antan Chemisier de notre cite n'a 6t6 admis à y Bugrer,

LA RÉGLISSE

SANGUINÈDEae 6Yme., Ge,.teie,v, Ce...,

P.Ime.«. ra.aou.c.ed se en s.aas tee repas,

on dlgiee to°aun Ua cal

metd...latwm.ge

sera0ees

eloen.

A Toulouse , phoe. MONMEDAN,1, rue Matabiau.

PENDULES DE PARSGARANTIES DIX ANS.

a l'hooneusor da prévenir sam i,

Il llu1'A1'l"ï'1Lnomblieneàlo,gdi Sade lever une Succursale

d'Itorlo;erie ,rue de la Pomme, 51. Son Magasin, vosde la Pomme. 56, sera tenu par lui-même, et sa Succursalesera tenue par M. LAMBERT, son premier ouvrier.

11 pat bien entend. que toua les merelr6E faits dans Isdeux Magasins, vente 0e achat, seront toujours garantisp r M. MONTEIL. Les Acheteurs trouveront dans les deuxMagasins une grande quantité de Pendules, telles queBronzes d'art, Pendelne Bovlea, Uaeniteeee albâtre 1 on jolipoix de Marbre noir gravé, oui. et composition. Un grand

Assortiment de Candélabres, Coupes, Bouts de table, Flam-beaux, bronee doré et albâtre, et Bougeoirs.

M. MONTEIL, arrivant de Paris, vient de faire fabriquerlui-mame toutes sas Maxcbandiees à des conditions exceptiomelles de bon marché, `ce qui luipermet de faire un grand rabais sur tous ces Articles.

Plus, un Assortiment rie Montresau complet, quine laiesr rie à désirer, depuis 25 fr. jusqu'à1,000 francs. - Uo joli Cbois de Chalnes pour montres, Sautoir, Engônie; Chaines de gilet, ClefsBreguet, 0e et argent.

Toutes les Marchandises vendues par les Maisons MONTOIL , sont emballées, sansirais, et la casse garetilio jusTdà desténa4éon.

BUREAUX D',lIl0ENEtIENT

13, Quai VOLTAIRE

80' ANNÉE' Gazette nationale fondée en 1789

Quai VOLTAIBU 15,

80' ANNÉE

VENTE AUX ENCHERF'S PUBLIQUESAujourd'hui 54 décembre, a. midi pricie, rue da Poids de

l'/fuàe, 6,

Par le ministère de Me DARDENNE, commiesaiec-priseur,à To¢louse, rue Saiut-F;tienne, 19,

Sera vmra° MOBILIER aép usant de la sac esa;an deTout ]e ras damoieelle Jeanne Ibigvet,

consistant en Lite complota, Armoires à Glaces, Marquises, Ao-tomaunes, Fauteuils, Tablos do famille, Pendule Louis XIII,Coupes; beau Vestiaire de Dame, Linge de 'fable, Drape de Lit;Batterie de voisine, etc., etc.

Vont, a,, comptant, av 5 p. 100 on sue de prix d'adjndiealloa.

LE MONITEUR UNIVERSEL continue û artitro. - A partir dix /ar .laneier 18610, il redevient, comme lors de se fondalieu, an journal politiryue coin-p16Yemeut indépendant. -PPapnaetenant à anvan parti, il demeurera avant tout l'organe de la Franco. - Fidèle aux traditions d'impartialité qui set lait de sacollection les Archives hiotorigaes de la Nation française, son peugeamrne sera le progrès sous toutes ses formes et l'expansion de la libellé dans l'ordre.

LE MONITEUR ENIVERSt.I, matira O Parie le soir.1 littéraire pprendra u exleusion et une variété ue le litre de administratives, sociales et économiques amont traitées euesIl insérera les actes ofbciels parus le i situ lersqu ils pros - jeuical offciel lui initerdisail. Ses documents seront toujours la plus indépendan e. fane esprit d'oppv'hiontarent un i , 1e,0i suffisant, et, parlant par les c s adu pus

"luis

Ics plus sures; ae noi.,breuses dcpeohes et svatématiils , rs faiblesse, i l soumettra a opi-soles or pnbtgve I, Par et le rame', et fonnnlnea,eea pu,-il, scia distribué dans eu grand nombre do dépseiemonts eu u reapon l stpa[haulii dmont aux extrais des po

mémo temps que le j 1 ibm'L Sa r d ito,, politique t 1 j aanx t q L q néricures, portiques et odéralwn. C1

Nous conhnancerons le 25 décembre, la publication d un nouveau roman de M. Alex. DUM AS, tnlutxllé : Hector de Ste-Hermine.Afin de po¢rsolvre l'muvea à laquelle nous nous consacrons, nous appelons à nous le public le plus nombreux, jra De changeant pas ma prix d'al,onnement, qui

resteront fiole comme par le passé :

15POUR LES DÉPARTEMENTS ET PARIS : 40 f. par an i 10 f, par trimestre. - PARIS, Un N" 10 e, -DÉPARTEMENTS, un N', 15 e.

Le Bloniteur Universel do soir (PETIT MONITEUR) continuera aussi aa publication comme journal littéraire, sEue changement de prix, pour lesDépartements et pour Pais :

Un an, 15 fr. - Si. m ai, , S fr,; -'Trois mois, 4 fr. 50. - Le N.môce, 5 centimes pour les Départements et Paris,

ÉTRENNES PD 1869Librairie DEVERS-ARNAIjNL, rue St-Rome, S

Splendide Assortiment de beaux Volumes Illustrés pour les

Cadeaux du Jour de l'An

ETRIEN ' ES 181;9

LIBRAIRIE CENTRALERue Saint-Rome, 44. -Toulouse.

DON QUICHOTTE, illustré par G. Doré, 2 vol. in-f, , 160 fr.DAN'rn, L'ENFER, illustré par G. Doe6, 1 vol. i--f. 100

- Le PURGATOIRE et le PARADIS, illustréG. Doré, 1 vol. in-folio ............ ... 100

TnnxreoN, VIPIANE-GF,NIL TIRE, 2vo1. hi-fi. 50LA Fonceras. PARLES, illustrées par G. Doré,

1 vol. in4" ............................. 35Bnnnoansc, 10 O'TAMO/iPDOSES DES INSECTES,

1 vol. grand iu-S................... ..... 35FndcoD, Le MONDE DE LAMER, 1 v. grand 35MILLET-Ronrsce, LA MAISON RUSTIQUE DES

ENFANTS, 1 vol. grand in-8" ............. 20Grand Assortiment de jolie Volumes et Albums riebemont

relilu, dans toue las prix.Collection de la Dibliolhëgna Anse. Chaque volume $e

vend aéparbmcat.

MONITEUR

A VENDRE

L'IIOTEL de le Bar°°°°L IiJE1:NE

Situés Toulnuee, eue B,1119rdo'19. ei-devevt nia daa'l'iaeerands.Composé de plusleure Apparto-ente, Ecnriea Remsse, lo,e

` doveste Jardin one au-beaux arbres, le tout ayant

uce

periicis de2.405 mètres.

Faclitis pour le paiement.S'adresser, pour vole las lieux, au

Concierge, et, plu, touer d° toi-allonsABRE , i.

ro 'sIl. fo'n't

S®NSAULE LEUREUR

RUE DES ARTS, 10. - TOULOUSECette alaisan, dont l'ouverture est tante eéouate, est créée dans le bat spécial d'offrir unemense quantité d'articles de Modes pour Deuil.mOu trouvera dans cette Maison un choix très varié, en Chapeaux ronds et lerméa : Bonnets,

Cal Mures, Cols, Manches, Voiles es Voilettes, de grand, demi et simple Deuil, pour Dames etEnfants, et à des prix tellement exceptàonnels qu'ils ne redoutent aucune t oncorronee.l iln Assortiment complet, insu tontes les semaines, des premières Maisons de Paris, permet de

er de sono, tout co quo la Modo a de plus élégant et de plus gmcienx.Tous les Articles sont marqués en chiffres connus.

AU

1 d/6 V lP.

Rue Saint-Rome, 50. - ToulouseOIInMISES DE SOIRÉE A PLASTRON, UNIS Et BRODÉS

INFROISSABLESLivrées sur mesure en 48 bernes.

co couvons grive de Chemises avec Decanls, Col, et Poiynetainfroissables a obta.u la Médaille d'argent a l'Exp,sitiorr de

11867. (1663)

'Es N'SUCCESSEU0

Due Lonis-Napoléon, 6. Tuulouse,

TENOC, odi non pcpulaico, à 1 10. 60 la volume.LE COUP D t rA'T, par Dtcanmos Aices,, 60 °.IIIS'rflllt10 DE LA REVOi.L''ION 1148, Go,,,,,P0 ses, Illustr esiiiST'OIRE' DE LA 1111111711111 -. Do,,,,, Seess, illuvkén.Ill6TOir.E DE FRANGE. II. tl.nnn. illustrée.

Nouveautés politiques et LittérairesA, aie N AOns illustrés papy sS6:7.Abonnement à toua les journaux.

Bureau Principal Loterie de Toulouse.Tout, personne qui prendra poar 5 francs de Billets de la

Loterie de Toulouse aura droit a an Almanach illustré et à unGuide à lisxat, par le Docteur GnITAne. 1000

détail DEJEAN JEUNE grosRue desltalanees, 14(enfaoeleI.yuOelmpénial.)

MAGASIN D'ECLAIIiAGEA l'Huile de Schiste , Pétrole, Gaz minéral.

Fabrique de Lampas sous aucun mecaaisme, en suives, por-celaine, cristal, et Lampes modérxtenr; Lanternes et Reverbôrespeu, Villes, Cour, Jardin. - Lampes a gaz Mille, beôlant aansliquide.

Volte de Pbt,cle à 60 et 65 centimes; Cou minéral u Esson-garantie amis mélange, à prix réduits.

a"'La Maison se ohargo do transformer toute sorte de Lampes anPôlcolo, S3riste et Gau minéral. 1698

DES TIRAGES FINANCIERSRout-

Publiant Ira listes officielles de il., las tirages d'Actiona etd'0hligations françaises et étrangéres, ainsi que tous les men.seignemeela fi nanciers utiles aux eEpitahstoe.

Directeur et llhdacleer en clef : E. PARADISBureaux à Paris, rue Richelieu, 104

Soennreule à Lyow, 5, rue de l'lmpdratrice.

4 FRANCS PAR AN -Îd-

EtodeTOaiouse, rue

GABIIETA,Re

nomii 1. Agoal,

A VENDRE,

Une MA ISON,5lr alci,gc 'ead'pandsmece et nv jsndin sur le des-

,situes afou lousa, Grand'liua0l-SI1ahal, 1i

RF,pAtLLE D'A... ET

M. Aprusre S A U X ,Pépiniertste

Vilteetuue-de-Visière (R,-G.)

nrand,s P,pmiére= an Cnt.

blanae: I . berdmesa Gulvg, cantonde \lanuéjeoa (honte.Garonne.I

cbnix pour alignement. 50 e.p _ - 45 c,

Lbn de, Gdranb, L. JOUGLA

Toc],, Ss. Imp. Ph, al°nlaablu

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés