Novembre 2016 - fcs.ma filele comportement des acteurs, ... doit de respecter et le consommateur est...

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Novembre 2016

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Novembre 2016

La FCS en Novembre :

Arrêt sur presse :

Zoom régional :

Conseils :

Chiffres économiques :

Agenda :

• COP22 : Fiscalité environnementale au Maroc • Le secteur Informel: freine-t-il le développement de votre entreprise ? • Loi n°31-08 « PME: Comment transformer vos obligations en opportunités ? » • Newsletter de la FCS: Votre avis compte !

• La CGEM p opose l’ lagage des ta es sp iales • Télé-déclaration fiscale obligatoire: Tournant dans la relation entreprises-DGI • Accroissement des importations de 310,5 à 333,650 • Avec ou sans loi de finances, le budget sera débloqué

• La COP o solide l’e gage e t du Ma o e faveu d’u e Af i ue u ie et solidaire

• D failla es d’e t ep ises: Le o e e et le BTP les plus tou h s

• Ennui au travail: lutter contre le bore-out

Newsletter Fédération du Commerce et Services – Novembre

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Lors de cette rencontre, les experts ont pu mettre en exergue l’ tat actuel des avancées en termes de fiscalité verte dans le royaume chérifien. L’o je tif de cette rencontre, était de ressortir avec des recommandations et des propositions à soumettre dans le cadre de la COP 22. Le 08 novembre 2016, une présentation a eu lieu dans le cadre d’u stand de la CGEM à la COP22, par M. BOUKHRISS Abdelkader, président de la Commission Fiscalité de la CGEM. La fiscalité environnementale vise à intégrer, dans les coûts supportés par les acteurs économiques, le coût des dommages environnementaux causés par leurs activités. Elle représente ainsi un moyen économiquement efficace pour modifier le comportement des acteurs, conformément au principe de « pollueur-payeur ». Pour accéder à la présentation, merci de cliquer ICI

COP 22 FISCALITÉ ENVIRONNEMENTALE AU MAROC

En marge de la COP22, la Fédération du Commerce et Services a organisé une rencontre, le mercredi 02 novembre 2016 à 09h00 au siège de la CGEM , sous le thème:

« COP 22 : Quelle fiscalité

environnementale au Maroc ? »

La FCS en Novembre

Le secteur de l’i fo el, ne cesse de croître au Maroc et de freiner le développement des TPME dans la majorité des secteurs. Selon les derniers chiffres du HCP, le secteur informel contribue à hauteur de 11,5% au PIB et génère un chiffre d’affai es de plus de 410 milliards de DH, ce qui implique un manque à gagner dans les caisses de l’ tat pour financer des projets structurants dans le royaume. Dans cette optique, la Fédération du Commerce et Services réalise une enquête auprès du secteur privé, afin de connaitre la perception du secteur privé sur les effets des activités informelles et de la contrefaçon , sur le développement des TPME Marocaines.

Les résultats de l’enquête

La Fédération du Commerce et Services organisera le 21 décembre au siège de la CGEM, une rencontre avec les représentants du HCP afin de nous présenter les résultats de l’ « Enquête Nationale sur le Secteur Informel ». Par ailleurs, la FCS présentera les résultats du sondage sur « Les effets des activités informelles sur la pérennité des TPME Marocaines », afin de confronter les chiffres du terrain et la perception du secteur privé. Pour participer au sondage sur l’effet des activités informelles sur la

pérennité des TPME Marocaines,

veuillez cliquer ICI

La FCS en Novembre

Le secteur informel: Freine t il le développement de votre entreprise ?

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Informations incomplètes, publicités mensongères, promesses fallacieuses: combien cela peut coûter à l’e t ep ise? Et quel département ministériel le consommateur peut saisir, …… ? L’e t ep ise a des obligations u’elle se doit de respecter et le consommateur est en droit de les réclamer. Afin de sensibiliser le fournisseur et le consommateur sur leur droits et obligations, la Fédération du Commerce et Services a organisé, en collaboration avec le Ministère de l’I dust ie, du Commerce, de l’I vestisse e t et de l’E o o ie Numérique, une formation sur la loi n° 31-08 relative à la protection du consommateur sous le thème: « PME: Comment transformer vos obligations en opportunités ? » Ayant lieu le mercredi 30 novembre 2016 à la CGEM Rabat-Salé-Kénitra, cette intervention s’i s it dans le cadre du iuygjhg

programme de jumelage MA-34 « Protéger le consommateur marocain » financé par l’U io Européenne. La formation, animée par Mme. Patricia FOUCHER, Juriste de droit français et européen de la consommation à l’i stitut National de la Consommation, consistait à mieux faire connaître le cadre législatif concernant la loi n°31-08 et comment le respect de la réglementation en vigueur, pourrait être positif pour le développement de l’e t ep ise.

La FCS en Novembre

Loi 31-08 relative à la protection du consommateur « PME: Comment transformer vos obligations en

opportunités? »

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Dans le cadre de l’a lio atio de la newsletter mensuelle de la fédération, la FCS a mis en place un questionnaire qui lui permettra de mieux satisfaire les attentes de ses entreprises membres et abonnés et ainsi améliorer la qualité du contenu et cela selon les besoins des entreprises. Pour rappel, la newsletter mensuelle de la fédération est communiquée :

A plus de 1550 entreprises et associations professionnelles membres de la fédération

Au 32 fédérations sectorielles de la CGEM Au 12 CGEM Régions et leurs membres Aux abonnés à la newsletter de la Fédération Sur le site web officiel de la Fédération Sur les réseaux sociaux de la FCS (Facebook, LinkedIn et Twitter)

Vu la forte demande d'abonnement, la Fédération du Commerce et Services met tout en œuv e afin de proposer une newsletter mensuelle plus élaborée, sélective en termes d’i fo atio , sous une identité visuelle plus attrayante et selon le besoin des lecteurs.

Accéder aux newsletters de la FCS: http://www.fcs.ma/newsletters/

La FCS en Novembre

Newsletter de la FCS: Votre avis compte!

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FCS sur les médias

http://www.leconomiste.com/article/1004356-la-cgem-propose-l-elagage-des-taxes-speciales?page=1

1.189 En matière de fiscalité verte, la doctrine gouvernementale est aux antipodes de la vision des chefs d’e t ep ise. Cela s’est encore vérifié lors de la rencontre organisée, mercredi 2 novembre, par la Fédération du commerce et des services (FCS). «Le patronat s’i te oge sur l’i t t de créer un impôt pour collecter 150 millions de DH. Cela génère plus de lourdeur, de contentieux que de recettes... Nous estimons que le gouvernement peut aborder la fiscalité verte en douceur, mais en se fixant des objectifs à court, moyen et long terme. On met beaucoup de temps pour mettre en place un dispositif fiscal avant de s’ape evoi u’o est en train de créer des parasites autour. En somme, la fiscalité verte va polluer la fiscalité générale», prévient Abdelkader Boukhriss, président de la Commission

fiscale de la CGEM. Par conséquent, le patronat recommande que l’o s’e tienne aux impôts et taxes prévus dans le code général des impôts. L’o je tif étant d’avoi plus de visibilité et de transparence. La préoccupation des contributeurs est justifiée par l’a se e de communication autour des recettes des hvghgfytftf différentes taxes parafiscales et de leur utilisation, à l’i ve se de autres impôts et taxes. «Comment peut-on continuer de demander au secteur privé de

continuer à payer ces taxes sans le tenir au courant de leur trajectoire?» relève Boukhriss. C’est la raison pour laquelle le patronat préfère la mise en œuv e de mécanismes de crédit d’i pôt, de subvention des activités non polluantes (comme le programme de renouvellement de taxis, de camions et d’auto a s) ou des amortissements accélérés dans le domaine des investissements propres et d’a uisitio de nouvelles technologies.

■ Coût de la pollution: 13 milliards de DH, soit 3,7% du PIB

■ Coût de remédiation: 1,8% du PIB

■ Dépense publique pour l’environnement: 0,7% du PIB

■ L’agriculture consomme 80% des ressources en eau et

18,7% de l’énergie

■ 80% des industries concentrées sur le littoral

■ 1,5 million de tonnes de déchets par an, dont 250.000 t sont

dangereux.

■ L’industrie consomme 2 milliards de TEP

■ Energie: plus de 52% des émissions de gaz à effet de serre

■ 100 projets de dépollution par le Fondep depuis 1998 pour

480 millions de DH.

Repères

La CGEM propose l’élagage

des taxes spéciales

• Un crédit d’i pôt, des subventions ciblées ou un amortissement accéléré

• La FCS rendra public son pack lors de la COP 22

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FCS sur les médias

En tout cas, Khalid Dahami, Président de la Fédération du commerce et des services, annonce que des recommandations seront formulées lors de la COP22, qui nfd démarre lundi 7 novembre à Marrakech. «Il faut d’a o d procéder au toilettage de la fiscalité existante. Il s’agi a ensuite d’aug e te les taxes sur les produits les plus polluants et celles qui s’appli ue t aux produits propres», suggère Issam El Maguiri, président du Conseil régional de l’o d e des experts-comptables. Une fiscalité verte peut prendre la forme d’u e écotaxe destinée à rendre la pollution moins coûteuse, d’u e subvention pour soutenir les solutions non polluantes, de marchés de droit de polluer ou de systèmes de

permis négociés. Elle peut également être déclinée en un système de consigne pour empêcher une pollution potentielle. L’u des exemples en cours de hgfdvsfqhgfg finalisation concerne le système de caution de 150 DH que les sociétés de fabrication de batteries automobiles s’app te t à mettre en place, assortie d’u e redevance de 30 DH à l’u it pour financer le Fonds national pour la protection et la mise en valeur de l’e vi o e e t (FNE). Le Maroc a multiplié les taxes touchant divers domaines: stationnement, sable, fer à béton, ciment, plastique, carrières, phosphates, permis de conduire, motocyclettes… Sauf que «comme pour toutes les politiques publiques de manière générale, aucune évaluation ’a jamais été faite

sur le rendement de ces différentes taxes», a signalé Khalid Rouggani, professeur de sciences économiques à l’U ive sit Hassan Ier de Settat. Malgré la multiplication des documents accompagnant les lois de finances, aucune information ’a jamais été rendue publique sur la réalisation des objectifs assignés à chaque taxe ni à sa dépense. Par ailleurs, la prolifération des taxes parafiscales ne s’i s ive t pas dans une démarche stratégique, mais ont en réalité pour but de permettre aux collectivités territoriales d’avoi des recettes fiscales pour se financer. Résultat: ces taxes sont mal collectées et mal comptabilisées.

La galaxie de taxes spéciales instituées par le Maroc ne fait pas partie d’u e stratégie globale destinée à protéger l’e vi o e e t et à réduire l’i pa t de la pollution. D’auta t u’elle ne pénalise pas les pollueurs. En témoigne l’e o atio fiscale décrétée en faveur de l’ag i ultu e, qui représente le secteur qui pollue le plus et qui consomme le plus de ressources hydriques. Les exportations de certains produits agricoles, comme les tomates, pour ne citer que ce fruit, reviennent justement à exporter de l’eau sans aucune valeur ajoutée. Par ailleurs, l’Etat soutient à 60% l’a hat du matériel agricole à travers le système des subventions. A l’i ve se, d’aut es secteurs sont surtaxés. «Ce qui représente un point de droit constitutionnel» car l’effo t fiscal ne repose pas sur tous les secteurs économiques de la même manière», précise Khalid Khalfaoui, professeur de sciences économiques à l’u ive sit Hassan Ier de Settat. En somme, la stratégie marocaine prêche par l’a se e d’u fil conducteur entre le volet juridique, fiscal et de gouvernance. Le dispositif ’a pas un ancrage régional ni local puisque tout se décide au niveau central, sans aucun suivi dans les régions..

Beau oup d’a tio s, ais pas de st at gie

http://www.leconomiste.com/article/1004356-la-cgem-propose-l-elagage-des-taxes-speciales?page=1

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Arrêt sur Presse

• Télé-déclaration fiscale obligatoire: Tournant dans le relation entreprises–DGI Read more…..

• Accroissement des importations de 310,5 à 333,650 milliards DH Read more…..

• Avec ou sans loi de finances, le budget sera débloqué Read more…..

• Défaillances d’entreprises: le commerce le BTP les plus touchés Read more…..

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Zoom régional

Face aux défis du dérèglement climatique

La COP 22 o solide l'e gage e t du Maro e faveur d’u e Afrique unie et solidaire

S.M. le Roi Moha ed VI a p sid , a di 5 ove e, la o ie d’ouve tu e du So et des Chefs d’État et de gouve e e t.

La 22e Conférence des parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques

(COP 22), organisée du 7 au 18 novembre à Marrakech, sous la présidence du Maroc, a tenu toutes ses

promesses. Le Royaume a fait de la résilience des zones les plus vulnérables au réchauffement

planétaire, particulièrement en Afrique l’une des priorités de la COP 22.

La COP 22 a été d’a o d marquée par le discours de S.M. le Roi Mohammed VI qui a présidé, mardi 15 novembre, la cérémonie d’ouve tu e du Sommet des Chefs d’État et de gouvernement. Dans Son discours prononcé devant cette séance solennelle de haut niveau, S.M. le Roi a engagé toutes les parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, à

œuv e pour donner corps à l’atta he e t commun aux valeurs de justice et de solidarité. «Au nom du destin commun, et au nom de notre responsabilité historique, J’e gage toutes les parties à œuv e pour donner corps à notre attachement aux valeurs de justice et de solidarité», a souligné le Souverain.

http://lematin.ma/journal/2016/la-cop-22-consolide-l-engagement-du-maroc--en-faveur-d-une-afrique-unie-et-solidaire/258846.html

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Zoom régional

http://lematin.ma/journal/2016/la-cop-22-consolide-l-engagement-du-maroc--en-faveur-d-une-afrique-unie-et-solidaire/258846.html

Cet attachement se concrétise à travers plusieurs axes, en particulier la possibilité offerte aux pays du Sud, et plus particulièrement aux pays les moins avancés et aux États insulaires, de bénéficier d’u soutien financier et technique, ainsi que le respect par les pays avancés de leurs engagements et la mobilisation, à l’ho izo 2020, des 100 milliards de dollars, au moins, qui ont été la clé de voûte de l’A o d de Paris. «La tenue de cette conférence en Afrique nous incite à donner la priorité à la nécessité de remédier aux impacts négatifs des changements climatiques, qui ne cessent d’e pi e dans les pays du Sud et les pays insulaires menacés dans leur existence même», a insisté S.M. le Roi. «La différence est grande entre les pays et les régions concernant la culture liée à l’e vi o e e t», a noté le Souverain, déplorant que les décisions prises et imposées ne soient pas toujours à la portée de tous les pays. S.M. le Roi a également appelé à une mobilisation continue et globale pour redresser la situation actuelle et assurer aux générations successives une vie digne et durable. «L'heure est venue pour redresser la situation actuelle. Nous ’avo s d’aut e choix que d’œuv e à rattraper le temps perdu par une mobilisation continue et globale et une cohésion constructive, pour assurer aux générations successives une vie commune digne et durable», a affirmé le Souverain. Aussi et à l’i itiative de S.M. le Roi, la COP 22 a été marquée par l’a o e du lancement du «Prix international pour le climat et l'environnement», doté annuellement d’u million de dollars. Ce prix, destiné à «récompenser une action particulièrement innovante et à fort impact de changement, sera remis lors de la tenue de chaque COP», avait déclaré Salaheddine Mezouar, lors d’u événement de haut niveau de la COP 22, sur le thème «Accélérer l’a tio climatique». Cette Initiative royale vise à soutenir la dynamique enclenchée à la COP 22, a souligné le

président en exercice de la COP, notant que «ce qui se noue, ici à Marrakech, est une mutation profonde et, en vérité, la gestation d’u e conception de l’ave i qui se veut inclusive, sobre, durable, créative, solidaire et juste». Dans cette optique, l’e gage e t fort du Maroc en faveur d’u e Afrique unie et solidaire face aux défis du dérèglement climatique a été de nouveau confirmé avec l’o ga isatio , en marge de la Conférence de Marrakech, du premier Sommet africain de l’a tio , «Africa Action Summit», à l’I itiative de S.M. le Roi. Ce Sommet, auquel ont pris part de nombreux Chefs d’État et de gouvernement africains, ainsi que les dirigeants de pays et organisations internationales partenaires du continent, a été couronné par l’adoptio d’u e Déclaration consacrant une vision commune pour renforcer la résilience du continent face aux effets néfastes du changement climatique et favoriser l’ e ge e durable africaine. Dans cette déclaration, les Chefs d’État africains et chefs de gouvernement ont appelé les partenaires stratégiques de l’Af i ue pour renforcer la coopération «dans le sens de l’a itio africaine pour un développement durable et inclusif». Ce mini-sommet a également été sanctionné par la création de trois commissions dédiées à la région du Sahel, la région du bassin du Congo et aux États insulaires, ainsi que par une série de décisions visant à combattre efficacement les effets néfastes des changements climatiques sur le continent. Dans ce cadre, inutile de rappeler que le Maroc a fait de la résilience des zones les plus vulnérables au réchauffement planétaire, particulièrement en Afrique, l’u e des priorités de la COP 22. Pour le président de la COP 22, cette Conférence de l’ONU sur le climat a été une réussite «grâce à la mobilisation de femmes et d’ho es qui travaillent jour et nuit pour que tout se déroule dans de bonnes conditions».

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Zoom régional

La COP 22, qui a connu la présence de plus de 70 Chefs d'États et de gouvernements lors de la Séance solennelle de Haut Niveau, est allée «au-delà des attentes», a encore déclaré M. Mezouar, lors d’u e conférence de presse conjointe avec des membres du comité de pilotage marocain de la COP 22, organisée le 18 novembre à l’issue de la séance de clôture. Plus grand évènement jamais accueilli par le Maroc, la 22e Conférence des parties a été l’o asio pour tous de faire sien le sujet de la lutte contre le réchauffement climatique et de prendre part activement à la COP de l’a tio . Chacun, à son échelle, a pu développer son esprit écologique et ses actions écoresponsables, en agissant aux côtés du Maroc, contre le réchauffement climatique. La présidence marocaine de la COP 22 a permis de poursuivre la dynamique enclenchée en 2015 par l’A o d de Paris sur le climat. Elle ’a eu de cesse d’e ou age les parties prenantes à concrétiser les priorités contenues dans l’A o d de Paris, à savoir le financement, le transfert de la technologie et le renforcement des capacités des pays en développement face à un climat rebelle. Dans ce sens, la proclamation de Marrakech, qui met en évidence le caractère irréversible de l’e gage e t de la communauté internationale pour l’appli atio de l’A o d de Paris, a été l’o asio de réitérer l’e gage e t des décideurs à poursuivre leur action en faveur de la lutte contre les effets du changement climatique. Dans cette proclamation, les parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques, réunies dans le cadre de la COP 22/ CMP 12/CMA 1, se sont réjouies de l’e t e en vigueur rapide de l’A o d de Paris, jugeant nécessaire de favoriser et

d’appu e l’Age da pour le Développement durable de 2030 et ses Objectifs de développement durable. «Nous appelons à une solidarité forte avec les pays les plus vulnérables aux impacts des changements climatiques et nous tenons à souligner la nécessité d’appu e les efforts visant à améliorer leur capacité d’adaptatio , à renforcer leur résilience et à réduire leur vulnérabilité», lit-on sur la proclamation. La proclamation a souligné que la Conférence de Marrakech marque un «point d’i fle io important dans l’e gage e t des pays à rassembler la communauté internationale dans son ensemble afin de relever un des plus grands défis de notre temps». Elle a notamment appelé à davantage d’a tio climatique et d’appui, bien avant 2020, en prenant en compte les besoins spécifiques et les circonstances particulières des pays en développement, des pays les moins avancés ainsi que ceux particulièrement vulnérables aux effets

néfastes des changements climatiques.

http://lematin.ma/journal/2016/la-cop-22-consolide-l-engagement-du-maroc--en-faveur-d-une-afrique-unie-et-solidaire/258846.html

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Chiffres économiques

Défaillances d'entreprises:

Le commerce et le BTP les plus touchés

À fin novembre, la tendance aux défaillances des entreprises pour l'année 2016 se dessine pour fixer le nombre d'entreprises défaillantes à 6.300, soit un taux de croissance annuel de 9%. Ces statistiques fournies par Inforisk tirent une nouvelle fois la sonnette d’alarme sur le niveau de mortalité des entreprises au Maroc. Le commerce, le BTP et l’immobilier restent les grands corps malades de l'économie nationale. Plus de 6.300 entreprises défaillantes en 2016 et un taux de croissance annuel de 9%, les projections d’Inforisk pourraient être sans appel. Si elles sont légèrement plus optimistes que celles présentées au 1er trimestre 2016 par la Coface, qui rappelons-le, s’atte dait à quelque 6.800 défaillances d’e t ep ises marocaines en 2016, il

’e demeure pas moins que ces chiffres tirent la sonnette d’ala e sur le niveau de mortalité des entreprises

au niveau national. Ainsi, les projections d’Inforisk à fin 2016 rejoignent davantage les estimations d’Eule Hermès puisque l’assu eu d’assu a e-crédit s’atte dait, au terme de cette année, à une augmentation des défaillances d’e t ep ises de l’o d e de 10% en glissement annuel au moment même où la Coface, elle, prévoyait une progression de 15%. Le nombre de défaillances s’ ta li ait donc à 6.300 en 2016 selon les dernières données d’Inforisk et l’a al se réalisée à fin octobre. Dans ce contexte, trois principaux secteurs seraient, selon les experts Inforisk, les plus touchés par les défaillances, à savoir le commerce, le BTP et l’i o ilie . Délais de paiement, croissance atone, difficulté d’a s aux crédits…Une question se pose naturellement: quels sont réellement les maux qui poussent aujou d’hui les entreprises à mettre la clé sous la porte ?

http://www.leseco.ma/les-cahiers-des-eco/pme/51769-defaillances-d-entreprises-la-tendance-a-la-hausse.html

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Chiffres économiques

Les causes de la déconfiture Les délais de paiement continuent en effet de trôner à la tête des principales problématiques qui aujou d’hui sont à l’o igi e des défaillances des entreprises. Certains délais clients dépassent en effet aujou d’hui les 120 jours et pour les experts, la seule solution qui s’off e aux entreprises est de «faire preuve d’a ti ipatio et de bien considérer l’e vi o e e t des affaires pour prévenir des incidents de paiements». Selon les dernières études menées ces deux dernières années, notamment par la Coface, de nombreuses entreprises continuent de subir de la part de leurs clients des pressions commerciales sur les délais de paiement. Les dernières données disponibles à fin 2015 indiquent que 42% des entreprises ont appliqué des délais de paiement contractuels supérieurs à 90 jours contre 25% au premier semestre 2015. 2016 devrait, selon Inforisk, s’i s i e dans la même lignée, ce qui aurait principalement pour effet la réduction du nombre de jours de retards de paiement et surtout de la trésorerie des entreprises, aggravant par là les défaillances d’e t ep ises.

Un mot d’ordre : anticipation

Si le constat de défaillance est aujou d’hui alarmant, certaines bonnes pratiques de gestion au niveau des entreprises pourraient leur permettre d’ vite le pire. La conjoncture étant ce u’elle est, les entreprises pourraient ainsi «faire preuve de vigilance quant aux délais de recouvrement imposés par leurs clients et veiller soigneusement à ce que ces derniers

’i pa te t pas dangereusement leur trésorerie», explique un expert-comptable. Il ’ aurait donc pas de solution miracle, si ce ’est de «planifier ses besoins de financement». Il s’agit par là d’ la o e un plan de financement et de mettre en place une gestion prévisionnelle de la trésorerie, ceci pour faire en sorte que la structure de financement soit adaptée à chaque besoin long ou court-termiste. Cette démarche pourrait également palier à un autre mal qui ronge aujou d’hui les entreprises marocaines, à savoir la difficulté croissante à obtenir des crédits sans oublier la conjoncture défavorable qui continue de menacer la survie des entreprises, déjà très mal en point. Ceci en attendant des jours meilleurs et surtout de ressentir les effets de la nouvelle mouture de la loi des Finances au sujet des délais de paiement qui ne pourraient bien se faire sentir u’au courant du deuxième semestre 2017. Une année qui d’ailleu s selon les experts d’Inforisk sera «au mieux une année de stabilisation du volume des défaillances d’e t ep ises».

http://www.leseco.ma/les-cahiers-des-eco/pme/51769-defaillances-d-entreprises-la-tendance-a-la-hausse.html

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Conseils

En entreprise, deux cas de figure peuvent se présenter : le burn-out, ou syndrome d'épuisement professionnel en raison d'un excès de travail : les salariés travaillent trop ce qui les conduit à l'épuisement, mais il y a aussi les salariés qui s'ennuient. Avez-vous entendu parler de "bore out" ? Il s'agit du syndrome d'épuisement professionnel par l'ennui. Tous deux entraînent la souffrance du salarié. Comment le salarié peut-il réagir et que peut faire l'employeur ?

http://www.juritravail.com/Actualite/maladies-non-professionnelles/Id/203681

Vous êtes salarié : l'ennui au travail et les

conséquences néfastes sur votre santé

Vous vous ennuyez au travail. Les causes peuvent être multiples : vous n'êtes pas assez stimulé, vous n'avez pas assez de défis ou challenges à relever, votre travail est trop routinier ou vous désintéresse, ou encore votre employeur ne vous fournit pas suffisamment de tâches à accomplir car le carnet de commandes ne le permet pas. Tout cela vous conduit à être fatigué, déprimé, votre estime de vous en prend un coup. Vous devez donc réagir. Mais que faire ?

Vous pouvez : •en parler avec vos collèges, peut-être n'êtes-vous pas le seul dans cette situation ;

•en discuter avec votre supérieur afin de voir si une réorganisation du travail peut être opérée : en effet, vous ne devez pas laisser la situation s'enliser, si vous ne réagissez pas, personne ne saura que l'ennui vous a atteint. Si votre responsable ne le sait pas, il ne pourra pas vous confier de nouvelles tâches qui

vous stimulent, qui vous plaisent et dans lesquelles vous allez pouvoir vous lancer à fond. En effet, si vous estimez que vous n'êtes pas assez occupé, n'hésitez pas à le verbaliser, votre manager n'a surement aucune idée de ce que vous éprouvez ;

•vous tenir informé sur les postes disponibles dans votre entreprise, qui vous permettraient de raviver votre flamme, votre envie de vous dépasser. Si de tels postes sont disponibles, rapprochez-vous de votre employeur afin de lui montrer votre intérêt et votre envie de changer de poste ;

•lancer une démarche de recherche d'un nouvel

emploi dans une autre entreprise. Vous devez retrouver le goût pour votre travail.

Vous êtes employeur : comment réagir au

"bore-out" ?

Vous venez d'apprendre qu'un ou plusieurs de vos salariés s'ennuient sur leur lieu de travail. Vous ne vous attendiez pas à cela, et souhaitez réagir positivement car des salariés heureux sont des salariés plus performants et plus investis dans leur vie professionnelle et leur travail au quotidien.

Ennui au travail : lutter contre le bore-out

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Conseils

De plus un salarié, confronté au bore-out, est susceptible d'être plus souvent en arrêt maladie, car pour bon nombre de salariés, s'ennuyer au travail joue sur la santé mentale voire physique. Vous allez devoir discuter avec le salarié confronté à une telle situation, et ce, afin de trouver l'origine du problème et pour pouvoir ainsi le résoudre. Si vous n'êtes pas le responsable hiérarchique direct du salarié, vous allez devoir interroger ce dernier pour voir pourquoi votre salarié s'ennuie, trouver des solutions. Vous pouvez booster vos salariés, les challenger, afin qu'ils retrouvent petit à petit la flamme qu'ils ont perdue. Pour cela, vous pouvez vous appuyer sur des objectifs ou des défis à atteindre, des projets valorisants à mener.

Car, en effet, l'une des causes principales qui peut conduire vos salariés à s'ennuyer, est l'absence de challenges. Cela ne signifie pas, dans la grande majorité des cas, que votre salarié est paresseux. Bien au contraire, il n'attend surement que cela : être plus occupé et vous montrer de quoi il est capable. La communication est donc essentielle, c'est pourquoi le rôle des managers est central afin de rebooster et redynamiser une équipe. Ainsi, que vous soyez salarié ou employeur, la

résolution de la situation passera

nécessairement par le dialogue.

http://www.juritravail.com/Actualite/maladies-non-professionnelles/Id/203681

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Agenda

SIFEL AGADIR : Salon International

Professionnel de la Filière Fruits &

Légumes

Date : Du 01 au 04 décembre 2016 Lieu : Parc Agadir Parc Expo - Agadir Organisateur : IEC – International Exhibitions and Conferences

CBH EXPO 2016 : Salon International

de la cosmétique, de la beauté, de la

coiffure, de l’hygiè e et des produits

d’e tretie

Date : Du 05 au 07 décembre 2016 Lieu : Office des Foires et Expositions de Casablanca Organisateur : ALAN EXPO

INDEX NORTH AFRICA: Salon

International du meuble, de la

décoration intérieure et de la

conception des magazins

Date : Du 05 au 07 décembre 2016 Lieu : Parc des Expositions de l’Offi e des Changes - Casablanca Organisateur : Events Middle East, Asia & Africa

AFTERWORK CGEM RSK

Date : Le 08 décembre 2016 Lieu : Immeuble des PATIOS – Rabat Organisateur : CGEM Rabat - Salé - Kénitra

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Agenda

Pack 2 Pack Morocco: Salon

International des solutions

d’e allage

Date : Du 14 au 17 décembre 2016 Lieu : Office des Foires et Expositions de Casablanca Organisateur : Nile Trade Fairs

MIDEST MAROC

Date : Du 14 au 17 décembre 2016 Lieu : Office des Foires et Expositions de Casablanca Organisateur : Reed Expositions

MAFEX – MAGHREB FOOD

EXHIBITION 2016: Salon de

l’ali e tatio au Maroc

Date : Du 14 au 17 décembre 2016 Lieu : Office des Foires et Expositions de Casablanca Organisateur : IEC, IFWexpo et Nile Trade Fairs

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Adresse : 23, Bd. Mohamed Abdou, Quartier Palmiers–Casablanca Tél : +212 522 99 70 39 Fax : +212 522 98 39 71 E-mail : [email protected]