infoMensuel

Mai 2009No 4

Bulletin d’information de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève

Editorial

SommaireEditorial : Oui à la réforme II des entreprises p. 1Compétitivité des administrations cantonales p. 1- 2Vie politique p. 3Portrait d’entreprise – Commerce international p. 4Vie de la Chambre p. 5

Nouvelles énergies renouvelables p. 6Info santé – Fiche pratique RH p. 7Agenda p. 8

page 6 >

Info santé

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le socle de sastratégie. Le directeur général,

André Hurter, explique le nouveautournant que constitue, pour SIG,les NER (nouvelles énergiesrenouvelables).

Retrouvez la rubrique «Info santé»réalisée grâce à la collaboration de laClinique des Grangettes. Ce mois-ci,vous apprendrez que l’on trouve unchef étoilé du Guide Michelin, AlainJennings, à la tête de la brigade decuisine de la Clinique des Grangettes.

Quelle quesoit la taille devotre entre-prise ou devotre équipe,vous serez iné-

vitablement confronté à des

conflits. Grâce à quelques principesde base, apprenez à gérer lasituation et à profiter de cetteopportunité pour clarifier un rôleou réduire un obstacle.

page 7 >

Panorama des administrationscantonalesDans tous les cantons romands, lesentreprises se sont déclarées insa-tisfaites du montant des émolu-ments perçus par l’administration.Autres faiblesses majoritairementcitées : l’indisponibilité des interlo-cuteurs et le manque d’orientationclient. Les compétences de l’admi-nistration et l’amabilité du person-nel sont en revanche bien perçues.

Notées entre 1 et 10 (meilleurenote), les administrations canto-nales réalisent des performancesallant de 5,7 (Neuchâtel) à 6,9(Fribourg). Fribourg maintient sapremière place, malgré un légerrecul. Les cantons de Vaud et deGenève ont constamment amélioréleur score depuis 2004. Genèvedépasse ainsi le Jura et talonne le

Valais, dont la performance eststable. Pourtant, l’image que lesGenevois ont de leur administra-tion par rapport aux autres restedécevante.

La moyenne romande s’est à peineaméliorée depuis 2004. Un résultatlégèrement au-dessus de 6 indiqueun fort potentiel de progressionpour la qualité des prestationspubliques de nos administrations.

Permis de construire :un véritable casse-têteTous les bureaux d’architectesinterrogés ont vivement critiqué lalourdeur des procédures (de 39%à 80% d’insatisfaction), le forma-lisme du service (sauf en Valais etau Jura) et le coût des émoluments(nettement moins à Genève).Jugées compliquées par plus de

Pour la quatrième fois depuis 2003, les Chambres de commerce et d’industrie (CCI) de Suisse romande, sousl’égide de l’association Info-Chambres, ont mis sous la loupe leurs administrations cantonales. L’institut desondage MIS Trend a réalisé pour elles une enquête qualitative de satisfaction auprès d’un échantillon de 610

entreprises et 521 bureaux d’architectes représentatifs de l’économie romande. Les résultats révèlent une stagnation de la per-formance des administrations publiques à un niveau de satisfaction relativement bas: la moyenne est de 6,4 sur 10. Principauxpoints faibles: l’indisponibilité des interlocuteurs, la disproportion des émoluments et le manque d’orientation client.

deux tiers d’entre eux en 2007, lesprocédures ne s’améliorent que de5% en moyenne. Dans le détail, lasituation ne change guère dans lesdifférents cantons, mais évolue un

Oui à la réforme IIdes entreprisesLe 17 mai prochain, les Genevoisse prononceront sur plusieursobjets, dont certains font coulerbeaucoup d’encre: passeport bio-métrique, jury populaire et cycled’orientation. Ces thèmes sontimportants, certes. La réforme IIde l’imposition des entreprisesl’est tout autant. Pourtant, ellepasse quasiment inaperçue.Si les mesures proposées par cetteréforme peuvent sembler tech-niques, elles ont toutes le mêmebut : donner envie aux entrepre-neurs de s’investir pour créer desemplois sans les sanctionner fisca-lement lors de modifications struc-turelles ou de la remise de leursociété. Comme le relève Pierre-François Unger dans une interview(voir p. 3), cette réforme arrive àpoint nommé pour maintenir lesemplois, favoriser les investisse-ments et soutenir la consomma-tion. Elle devient une mesureconjoncturelle.Ce sont les PME qui en bénéficie-ront principalement. Quand onsait que l’économie genevoiserepose sur elles – les PME fournis-sent plus de 130 000 emplois –,on peut être surpris du manqued’engouement populaire pourcette réforme, vitale pour notretissu économique. Heureusement,des chefs d’entreprises la soutien-nent activement – le flyer encartédans le présent bulletin l’atteste.Alors, comme eux, tous aux urnespour soutenir nosPME et nos emplois!

Jacques JeanneratDirecteur

suite en page 2 >

peu dans les cantons de Vaud etde Neuchâtel, particulièrement malnotés en 2007.

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Les fiches pratiques RH

Compétitivité des administrations cantonales

Améliorer les administrationspubliques : une mesure de relance

simple, efficace et durable

Energies renouvelables

2422

613

3735

97

3527

2122

4025

4949

4540

5346

2945

5053

5554

5570

2728

4946

917

6244

1519

2424

55

1

1

12

4

1

Total 2007 (478)

Vaud

Valais

Genève

Neuchâtel

Fribourg

Jura

2009 (521)

2007 (105)2009 (100)

2007 (113)2009 (125)

2007 (56)2009 (56)

2007 (88)2009 (103)

2007 (96)2009 (117)

2007 (20)2009 (20)

Notes 8 - 9 - 10 Notes inférieures à 6

Ne se prononce pasNotes 6 - 7

Moyenne

6,36,3

5,75,3

6,87,0

5,45,1

6,76,7

6,36,3

7,17,3

Note de satisfaction globale du Service des permis de construire(Base : bureaux d’architectes localisés dans chaque canton observé)

seulement une réponse, mais aussiun accompagnement –, l’amabilitéet la compétence du personnel desadministrations ne suffisent pasà compenser leur manque de dis-ponibilité, les procédures restenttrop coûteuses et compliquées.Il paraît urgent que les administra-tions concernées prennent enfinla juste mesure de ces lacunes.

Les entreprises, qui défendent lacroissance et l’emploi, méritent eneffet d’être activement soutenuesdans les démarches imposées par

une législationsuisse particu-lièrementdense.

En cettepériode decrise écono-mique, cesaméliorationsconstitueraient

une mesure de relance simple, peucoûteuse et efficace. En outre, leseffets seraient positifs et durablespour toute l’économie.�

Sonam Bernhard

L’étude peut être téléchargée surnotre site www.ccig.ch, rubriqueNews.

La 4e édition de l’étude sur lacompétitivité des administrationscantonales a été réalisée parM.I.S Trend pour les Chambresde commerce romandes. L’études’est concentrée sur les six can-tons romands et a porté surdeux cibles distinctes. D’unepart, un échantillon de 610entreprises représentatives, soitun peu plus de 100 par canton,auxquelles deux nouveauxthèmes ont été soumis cetteannée: l’Administration fiscale etl’Inspection cantonale du travail.D’autre part, un échantillon despécialistes, soit 521 bureauxd’architectes, interrogés sur leservice des permis de construire.Les interviewés ont encorerépondu à quelques questionssur l’administration dans sonensemble afin d’obtenir unevision globale. Les interviewstéléphoniques assistées par ordi-nateur se sont déroulées du19 janvier au 9 février pour lesarchitectes et du 30 janvier au4 mars pour les entreprises.

des recommandations utiles suiteaux contrôles. Une nette majoritéestime que ces contrôles sontutiles pour l’entreprise, lesGenevois en étant particulièrementconvaincus. Les répondants sontassez partagés sur la qualité descontrôles : la moitié les considèrentcomme bien adaptés, alors qu’untiers estiment qu’ils sont trop for-malistes. La charge administrativequ’ils engendrent est jugée impor-tante par quatre répondants surdix en moyenne, proportion quiatteint six sur dix à Genève.

Soutenir les fers de lance del’économieSi, à l’exception de Fribourg (1er)et Neuchâtel (6e), les autres can-tons ont changé de place dans leclassement, les conclusions del’étude 2007 restent valables :l’orientation client est insatisfai-sante – les sondés attendent non

Parmi les causes de cette com-plexité figure la collaboration entrecanton et communes. Mis à part leJura, bien noté, l’insatisfactionatteint 40% dans les cantons deFribourg et de Vaud, et plusencore en Valais. Les problèmessemblent tout particulièrementimportants à Genève et àNeuchâtel. Ainsi, à Genève, enrecul par rapport à 2007, seulel’amabilité est bien évaluée, tousles autres éléments étant critiquéspar trois à six répondants sur dix.L’orientation client y semble parti-culièrement problématique.

Fisc : les administrésveulent être mieux prisen chargePour quatre répondants sur dix,l’administration fiscale manqueégalement d’orientation client.Hormis à Fribourg, la disponibilitédes interlocuteurs ainsi que lesdémarches exigées sont partoutfortement critiquées (entre 28%et 46%). Le Valais suit endeuxième position, précédant untrio composé du Jura, de Vaud etde Genève, où les reproches sontnombreux quant à l’orientationclient et au temps nécessairepour obtenir des informations outraiter les dossiers.

Entre deux tiers et trois quarts desrépondants estiment que leuradministration fiscale se contentede répondre à leurs questions aulieu de leur apporter de l’aide.Vaud et le Valais sont particulière-ment pointés du doigt, alors queFribourg se démarque positive-ment. Les Genevois, qui reprochentà leur administration fiscale d’êtrelente, sont en revanche quatre surdix à considérer qu’elle cherche àleur apporter de l’aide.

Inspection du travail : utilité desconseils pour les entreprisesDe manière générale, l’amabilité etla compétence des collaborateursde l’Inspection cantonale du travailsont jugées bonnes, seuls 10% enmoyenne déclarant le contraire. Lescritiques quant aux informations etconseils fournis restent marginales.En moyenne romande, 18% n’ensont pas satisfaits, mais avec despointes importantes dans les can-tons de Vaud et de Neuchâtel.L’insatisfaction augmente à proposde la complexité des démarchesexigées, un tiers s’en plaignantdans tous les cantons.

Environ une entreprise sur deux,tous cantons confondus, considèreque les inspecteurs lui ont donné

info2 No 4 / Mai 2009

Améliorer les administrations publiques: une mesure de relance simple, efficace et durable – suite de la page 1 >

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Notes 8 - 9 - 10Notes 6 - 7

Notes inférieures à 6

25

18

27

21

44

24

16

47

49

49

40

47

48

51

27

32

24

36

9

26

33

1

1

3

2

Total (489)

Vaud (75)

Valais (80)

Genève (87)

Neuchâtel (86)

Fribourg (85)

Jura (76)

Moyenne

6,3

6,1

6,4

6,0

7,2

6,2

6,1

Rappel2004

6,3

5,5

6,6

6,9

7,3

6,6

5,7

Ne sait pas

Note de satisfaction globale de l’Administration fiscale(Base : entreprises localisées dans chaque canton observé)

Moyenne

Tout à fait satisfait (4)

Assez satisfait (3)

Pas vraiment /Pas du tout satisfait (1-2)

2028

2930

2638

2331

5033

4133

12

4757

5248

5050

5947

4650

4450

60

3315

1922

2412

1822

417

1517

28

3,1

3,0

2,9

3,0

3,4

2,7

Population2009 (55)2007 (72)

Economie2009 (21)2007 (44)

Emploi2009 (46)2007 (56)

Form. prof.2009 (22)

2007 (36)

Promotion écon.2009 (26)2007 (40)

RC2009 (63)2007 (84)

Surv. fondations 2009 (25)

2,7

3,0

3,0

3,4

3,2

3,2

3,0

Les services – Récapitulatif Genève(sur base des entreprises qui s’expriment)

Classement global des administrations romandes

2009 Rang 2007 Rang 2004 RangFR 6,9 1 7,1 1 6,7 1VD 6,6 2 6,5 3 5,8 5VS 6,5 3 6,6 2 6,4 2GE 6,4 4 6,2 5 5,7 6JU 6,2 5 6,5 3 6,0 4NE 5,7 6 6,1 6 6,4 3Moyenne 6,4 6,5 6,2

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infoNo 4 / Mai 2009 3

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ment des PME – arrive à pointnommé pour maintenir les emplois,favoriser les investissements et sou-tenir la consommation. Cetteréduction de la charge fiscale, esti-mée à 30 millions, n’avait pas pourvocation d’être une mesureconjoncturelle, mais elle le devient.Elle peut d’ailleurs être mise enrelation avec la nouvelle loi surl’imposition des personnes phy-siques, soutenue par l’Entente et leConseil d’Etat, qui devrait êtrevotée dans les mois à venir et por-tera sur plus de 300 millions deréduction d’impôts, essentiellementpour les familles. Ce sont desmesures ciblées bienvenues enfaveur de catégories de contribua-bles lourdement taxées.

Il s’agit donc d’une réformeindispensable pour les entre-prises?P.-F. U. : Les mesures proposées nesont pas aisées à appréhender, carelles sont très techniques. Elles sefondent toutefois toutes sur lamême volonté de donner l’envieaux entrepreneurs de s’impliquer etd’investir dans leur entreprise en neles sanctionnant pas fiscalementpar la suite, lors de modificationsstructurelles de l’entreprise ou lorsde la remise de celle-ci. La mesurela plus débattue lors de la votationfédérale était la double impositionéconomique des dividendes. La loifédérale ne la supprime pas, maisl’imposition n’est plus que partielle.Le texte genevois reprend lesmêmes critères. Cet allégementaura pour conséquence de remet-tre dans le circuit économique dessommes qui étaient immobiliséesdans les entreprises en raison de lacharge fiscale qui s’appliquait. Enun mot, la réforme II de l’imposi-tion des entreprises consiste à privi-légier une vision dynamique del’économie plutôt que d’encoura-ger la thésaurisation.

Si vous deviez mettre en avantune des mesures de la réforme?P.-F. U. : J’en citerai deux. Toutd’abord, le principe du différéd’impôt, qui permet dans certainessituations, en repoussant dans letemps le paiement de l’impôt, d’as-surer la poursuite de l’exploitation.La réforme prévoit ce mécanismenotamment lors du partage succes-soral et de l’affermage d’uneexploitation commerciale. Ensuite,

Le 17 mai 2009, les citoyensgenevois seront appelés auxurnes. Parmi les sujets canto-naux, la réforme II de l’imposi-tion des entreprises a un air dedéjà-vu puisqu’elle a été votéeau niveau fédéral en février2008. Il s’agit à présent deconcrétiser ce texte dans lalégislation cantonale pour lebien des entreprises installéessur le territoire genevois.Pierre-François Unger, conseillerd’Etat en charge du Départe-ment de l’économie et de lasanté, rappelle l’importance decette réforme.

L’an passé, la loi fédérale sur cesujet a été acceptée au niveausuisse et également dans lecanton de Genève: un vote posi-tif le 17 mai prochain ne fait-ilaucun doute?P.-F. U. : C’est un raccourci à éviterabsolument. Certes, les citoyens denotre canton s’étaient mobiliséspour que la loi fédérale soit accep-tée – 52,7% de votes favorables àla loi (50,5% au niveau suisse) –,mais ce résultat ne préjuge en riende l’issue du prochain scrutin. Pourprendre une image sportive, je diraiqu’un essai a été marqué l’an passéet il s’agit à présent de le transfor-mer le 17 mai. La concrétisation decet ensemble de mesures dépendradonc de la mobilisation de ceux quiveulent favoriser l’esprit entrepre-neurial à Genève.

Dans la période de troubleséconomiques que nous vivonsactuellement, quel impact atten-dre de cette réduction de lacharge fiscale des entreprises?P.-F. U. : Cet allégement de la fisca-lité des entreprises – principale-

le traitement des bénéfices deliquidation. La valeur de l’entrepriseconstitue le capital prévoyance denombreux entrepreneurs. Il se justi-fie en conséquence d’appliquer unrégime particulier à l’entrepreneurlors de la cessation de son activité,comme c’était d’ailleurs le cas il y aquelques années à Genève, avantl’harmonisation des impôts.

Quel message souhaitez-vousfaire passer?P.-F. U. : La plupart des cantonssuisses ont adopté des lois canto-nales concrétisant cette réforme.Pour maintenir notre attractivité

fiscale, il est indispensable de voterOUI à la réforme II de l’impositiondes entreprises le 17 mai !

Propos recueillis par Charles Lassauce

Réforme II de l’imposition des entreprises«Pour maintenir notre attractivité fiscale, il est indispensable de voter OUI

à la réforme II de l’imposition des entreprises le 17 mai!»

Vie politique

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VOTATIONSDU 17 MAI 2009OUI à la réforme II del’imposition des entreprises

info4 No 4 / Mai 2009

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Edition et presse : 18 mai 2009

PHP / MySQL : 8 juin 2009

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Portrait d’entreprise Commerce international

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infoNo 4 / Mai 2009 5

La 9e Enquête conjoncturelle de la CCIG, réalisée à l’aide d’unquestionnaire adressé à plus de 2000 entreprises membres ou non-membres, est sortie de presse. Elle brosse un tableau relativementpositif de 2008 puisque, malgré un troisième trimestre difficile,l’année aura été bonne, voire très bonne pour 55% des entreprises.Certains secteurs tirent leur épingle du jeu: les loisirs, l’énergie,l’immobilier, les ressources humaines, la santé, les technologies del’information et les télécommunications. Pour 2009 cependant,aucune branche, si ce n’est la santé, ne prévoit de hausse de sonchiffre d’affaires.

les subsides accordés pour desmodifications permettant des éco-nomies d’énergie devraient renfor-cer la volonté d’entreprendre en2009 des travaux de rénovation etde transformation des bâtiments.

Les arts graphiques devrontchercher de nouvelles sourcesd’économieSi les dernières années ont étépositives pour la plupart desacteurs du domaine des arts gra-phiques et de l’édition, un netralentissement des affaires est notédepuis le dernier trimestre 2008. Etles perspectives sont peu encoura-geantes dans un secteur qui estparticulièrement sensible aux sou-bresauts de l’économie. En effet,en période d’incertitude, les bud-gets de communication sont immé-diatement diminués. Une réductionde 20 à 30%, avec un impact simi-laire sur le chiffre d’affaires des

acteurs de la chaîne graphique,s’est déjà fait ressentir depuis ledébut de 2009.

La crise frappe d’abord le hautde gammeL’année 2008 a été excellente pourl’ensemble du commerce genevoisen termes de chiffre d’affaires etde fréquentation des magasins. Aupremier trimestre 2009 par contre,un ralentissement des ventes s’estconfirmé pour les produits de luxeet certains biens durables. Enrevanche, la grande distribution,notamment alimentaire, et lamajeure partie des détaillants ontenregistré des ventes stables. Il esttoutefois à craindre qu’une modifi-cation significative du taux de chô-mage à Genève ne change ladonne.�

L’Enquête peut être commandéeauprès de la CCIG au 022 819 91 11.

Trois secteurs de l’économie endo-gène ont été choisis pour illustrerles résultats de l’Enquête : laconstruction, les arts graphiques etle commerce.

L’industrie de la constructionespère maintenir ses effectifsLe bâtiment genevois s’est bienporté en 2008 et ses perspectivespour 2009 sont relativement posi-tives. En effet, le secteur pourraitêtre le principal bénéficiaire d’unepolitique d’investissements anticy-clique menée par les collectivitéspubliques. De plus, les taux hypothé-caires, historiquement bas, ainsi que

sence dans plus de 1000 universi-tés, l’AIESEC est la plus grandeassociation d’étudiants de la pla-nète. Elle offre aux étudiants la pos-sibilité de faire un stage profession-nel à l’étranger et de développerleur potentiel au-delà de l’univer-sité. Aux entreprises, l’AIESECoffre des partenariats exclusifs, soitdes possibilités d’accueillir un sta-giaire chez elles, de faire desworkshops au sein de l’universitéet, en général, d’avoir accès auxjeunes personnes talentueuses.www.aiesecgeneva.ch

SwissEcology,fondée en2007, est uneassociation pro-

motrice du respect de l’environne-ment dans la logique économique,couvrant l’ensemble de la Suisse.Spécialisée d’abord dans la gestiondes déchets des collectivités et desentreprises, comprenant la miseen place et la gestion des infrastruc-tures, les filières d’évacuation et lacommunication, elle met notam-ment à disposition son réseau deformation «écoles et entreprises»et organise des manifestations desensibilisation. Elle développe etcommercialise également du mobi-lier urbain et offre ses servicesd’ingénierie appuyés par des ana-lyses thermographiques pour l’opti-misation énergétique des bâtimentsde tout type. Enfin, SwissEcologyintègre des commissions politiquesdiverses et prend position.www.swissecology.ch

PARTAGE estune banque ali-mentaire à butnon lucratif qui

a été créée en avril 2005. En 2008,Partage a récolté plus de 830 tonnesde denrées alimentaires, de produitsde nettoyage et d’hygiène auprès deplus de 100 entreprises. Ces biensont été distribués gratuitement à 52associations et services sociaux ducanton de Genève qui soutiennentdes personnes en difficulté. Partages’engage contre le gaspillage, pourle recyclage, pour la réinsertion pro-fessionnelle et le développementdurable. www.partage.ch

Le Centre PMEet indépen-dants de laBCGE est auservice des PME

et des professions libérales. Cetteentité, spécialisée en financement, estsituée au 17, quai de l’Ile, au rez-de-chaussée du siège de la banque. Ellecomplète les services proposés dansles agences du réseau. Le centre PMEet indépendants est constitué d’unedizaine de gestionnaires spécialisés.Outre le montage de financementscommerciaux, le Centre propose dessolutions visant à optimiser, financeret développer les activités des entre-prises. www.bcge.ch

AIESEC Avecplus de 30 000membres dansle monde entieret une pré-

Vie de la Chambre Midi de la Chambredu 19 mars 2009Enquête conjoncturelle 2008-2009

L’économie genevoise tireson épingle du jeu

PartenairesCo-sponsors

Sponsors

L’Enquête conjoncturelle 2008-2009 estsortie de presse.

info6 No 4 / Mai 2009

Publirédactionnel

électriques). Il faut donc augmenterla production, notamment avecl’expansion des NER.

Genève est-elle réellementpionnière en matièrephotovoltaïque?A.H.: A Genève, une personne sursix a déjà choisi SIG Vitale Vert.C’est grâce à ce choix que SIGa atteint l’objectif de 5 MWcde capacité de production photo-voltaïque. Il sera de 15 MWc en2015 et de 25 à 30 MWc à l’horizon2025. SIG produit de l’électricitéphotovoltaïque et rachète égalementle courant fourni par les petitsproducteurs indépendants. Cettecombinaison permet à Genève d’êtreun des premiers producteursd’électricité solaire en Suisse.

Genève produit-ellesuffisamment d’électricité?A.H. : La production genevoisecouvre 25% de l’électricitéconsommée à Genève. Les 75%

restants sont achetés sur le marché!SIG souhaite augmenter saproduction à 40% en 2025. Pourcela, il faut investir massivementdans les nouvelles énergiesrenouvelables. Mais même avecdes investissements conséquents,cela ne suffira pas. Le projet debarrage à Conflan (dernier seuil surle Rhône, qui n’est pas encoreexploité) va donc être accéléré.Enfin, la centrale chaleur-force, surnotre site du Lignon, est unenécessité énergétique à caractèretransitoire. En augmentant notreproduction d’électricité, nouspouvons d’une part sécuriser notreapprovisionnement, d’autre partêtre moins soumis aux fluctuationsdes prix du marché.

Vous avez évoqué lagéothermie; l’expérience bâloise(tremblement de terre) ne vousrefroidit-elle pas?A.H. : Le canton de Genèveprévoit de se doter d’une centralegéothermique de moyenneprofondeur (3 km) d’ici à 2020afin de fournir en électricité etchauffage non polluants unquartier de 12000 résidents, àThônex. L’expérience bâloise étaitde grande profondeur et a connudes «erreurs de jeunesse». Je resteconvaincu que la géothermie, demoyenne comme de grandeprofondeur, est une sourced’énergie d’avenir et, de plus, une

source propre qui s’inscrit dansnos valeurs fondamentales dedéveloppement durable.

Vous avez évoqué Eco21,qu’est-ce concrètement?A.H. : Eco21 est un programmed’économie d’énergie basésur le volontariat. Il s’adresse

Avec la crise, les énergies vertesont le vent en poupe car ellessont écologiques et source dedéveloppement économique.Que fait SIG en la matière?A.H. : SIG est pionnière en matièrede nouvelles énergies renouvelables(NER), en particulier dans l’énergiephotovoltaïque. Nous avons reçules prix solaires suisse et européenen 2008. Nous continuons àdévelopper cette technologie avecl’objectif de produire au minimum25 GWh à Genève d’ici 15 ans.SIG développe aussi des projetsde géothermie de moyenneprofondeur, de biogaz, de biomasseet d’éoliennes. En parallèle, nousinvestissons pour soutenir leséconomies d’énergie grâce à notreprogramme éco21. Aujourd’hui,nous ne pouvons plus nierl’évidence : même en économisantl’énergie, la demande ne cessera decroître (hausse de la population,démultiplication d’appareilsgourmands en énergie, véhicules

André Hurter, directeur général de SIG

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tant aux particuliers qu’auxentreprises et aux régies, avec lescommuns d’immeubles enparticulier. SIG amène sonexpertise, son savoir-faire, sesconseils, ainsi que des incitationsfinancières. Le programme estambitieux : économiser 67 GWhà l’horizon 2013.�

Une énergie propre à chacunwww.mieuxvivresig.ch

Bien choisir son énergie,c’est mieux préparer l’avenir.

Depuis plusieurs années, SIG fait du développement durable le socle de sa stratégie.

L’entreprise s’est distinguée avec la création de la gamme SIG Vitale qui donne aux clients

la possibilité de choisir leur électricité 100% renouvelable. Où en est SIG aujourd’hui?

André Hurter, directeur général, s’explique.

Les NER: un nouveautournant pour SIG

infoNo 4 / Mai 2009 7

Les fiches pratiques ressources humaines

pas nécessairement un mal ensoi. En effet, un affrontementdirect permet de mettre les pro-blèmes à nu et évite ainsi lesguerres larvées. Le conflit peutdonc être vécu comme uneopportunité de corriger les freinset obstacles, de clarifier des posi-tions, des rôles et des situations,tout en permettant à chacun des’exprimer et de se libérer. Pourpeu que vous sachiez gérer lasituation en respectant quelquesprincipes de base…

Le conflit est inhérent à toutesociété humaine. Quelle que soitla taille de votre entreprise oude votre équipe, vous y serezinévitablement confronté.Pourtant, un conflit ouvert n’est

Chaque mois, en collaboration avec Geneva Business News, le médiades ressources humaines et du marché de l’emploi, retrouvez les fichespratiques et explorez un aspect de la vie quotidienne en entreprise.

Pfister Genève-Meyrin se réjouit de vous accueillirprochainement dans le quartier de Riantbosson.

Pfister Meubles SA, Ch. de Riantbosson 5–9, 1217 Meyrin, Téléphone +41 22 989 85 00, geneve@pfister.ch

Fiche n°7Comment gérerun conflit?

1. Informez. Face à une situa-tion potentiellement explosiveou à un conflit déjà ouvert, votrepremier devoir est de coupercourt aux rumeurs et de rétablirla vérité.2. Expliquez, rassurez et com-muniquez. Ne minimisez surtoutpas les doléances des uns et desautres, prenez en compte ce quivous est dit dans le respect detous et soyez visible : vous êtesaux commandes!3. Identifiez les causes duconflit. Ne portez pas de juge-ment, attachez-vous à compren-dre la situation ainsi que sestenants et aboutissants.4. Mettez-vous d’accord surles causes du conflit. Il est capi-tal que toutes les parties pre-nantes au conflit s’entendent àun moment sur ses causes pourpouvoir avancer.

5. Décrivez les faits, les objec-tifs et les valeurs. Souvent, unconflit professionnel surviententre des personnes partageantles mêmes objectifs, mais demanière différente. Rappeler lesbuts communs resserrera les lienset apaisera les tensions avant quevous vous attaquiez au cœur duproblème.6. Discutez, recherchez et pro-posez plusieurs solutions tousensemble, et dans le calme!7. Evaluez les conséquencesde chaque solution pourdépassionner le débat et réintro-duire le rationnel.8. Comparez et décidez – avecl’assentiment de tous, si possible…9. Prenez les mesures appro-priées, c’est-à-dire mettez enœuvre les solutions décidées.10. Contrôlez les résultatsobtenus et communiquez-les àtous pour valoriser la démarcheet le travail de chacun.

Prochaine fiche: L’entretien d’évaluation

Retrouvez l’article complet sur : www.gbnews.ch

Voici 10 règles à respecter

moderne, mais allégée», dit-il.Autrement dit, pas de mélanges degoûts improbables, mais des platsplutôt simples et légers, ponctuésd’un zeste d’originalité. «Nous utili-sons peu de beurre, mais beaucoupd’huile d’olive.»

Par ailleurs, s’il y a une chose surlaquelle Alain Jennings est intransi-geant, c’est la qualité des produits.«Nous n’utilisons jamais de surge-lés, uniquement des produits frais.»Et ils sont toujours de premierchoix : ainsi, ses poulets sont deBresse et ses huiles sont de colza oud’olive. « Il n’y a pas de miracle,pour faire une bonne cuisine, il fautavoir de bons produits. Essayez, parexemple, de faire une bonne sauceavec un mauvais vin, c’est impossi-ble! Vous pourrez mettre tout ceque vous voudrez dedans, elle seramauvaise.»

Bref, en devenant cuisinier auxGrangettes, Alain Jennings n’a rienchangé à sa manière de faire. Pasplus qu’il n’a perdu sa passion et sacréativité. «Je ne serais jamais venupour faire des purées et des surge-lés», assure-t-il. Seule petite diffé-

rence avec son ancien travail en res-taurant gastronomique, ses platssont désormais «validés» par unediététicienne. «Mais ce n’est pas unproblème, car nous sommes sur lamême longueur d’onde. Elleapporte un regard extérieur et veillenotamment à ce qu’il y ait unebonne variété dans la compositiondes menus; qu’on ne retrouve pas,par exemple, plusieurs fois le mêmelégume dans la même semaine.»

Avant d’arriver aux Grangettes,Alain Jennings a beaucoup voyagé,côtoyé de nombreux autres chefsprestigieux, dont Georges Blanc. Etce dès le départ, puisqu’il a fait sonapprentissage à Paris, dans uneauberge avec une étoile Michelin.Il a ensuite notamment travaillé àl’Hôtel Crillon à Paris, puis auHilton, toujours à Paris, avant d’arri-ver à Genève à l’Hôtel Interconti-nental, de faire l’ouverture duRégine’s à Genève, puis d’arriver àl’Hôtel Métropole, non sans avoirpassé par Caracas (Intercontinental)et Porto Rico (Hilton).

Aujourd’hui, le chef continue à sefaire plaisir et, surtout, à faire plaisirà ses clients, tout en contribuant àdonner le moral à ceux qui sont hos-pitalisés avec des plats joliment pré-sentés. Et s’il n’y a pas tous les joursdu homard ou du foie gras au menu– uniquement à Noël et Nouvel An –,les patients ont tous les jours droitaux meilleurs poissons ou morceauxde viandes, accompagnés delégumes frais et d’un féculent. Bref,de quoi faire du repas ce momentprivilégié qu’il devrait toujours être.�

Marianne Girard

La qualité des soins passe aussipar l’assiette. Et un bon repasaide à garder ou à retrouver lemoral quand on est hospitalisé.

Quand l’appétit va, tout va, dit-on.Et rien de tel qu’une belle assiettepour donner envie de manger…Conscients de cela, de nombreuxétablissements médicaux prêtentune attention toute particulière àl’alimentation qu’ils servent à leurspatients. Sur le plan diététique,bien sûr, mais aussi sur le plan gas-tronomique.

Pas étonnant, donc, que l’on trouveun chef étoilé du Guide Michelin,Alain Jennings, à la tête de la bri-gade de cuisine de la Clinique desGrangettes. Venu de l’HôtelMétropole, alors dirigé par AndréHauri, c’est lui qui, depuis 8 ans,élabore les menus servis midi et soiraux personnes hospitalisées. Desrepas (chaque fois, deux au choix)dignes d’un grand restaurant, dontpeuvent également profiter lepersonnel et les visiteurs.

Toutefois, le chef ne fait pas de chi-chis. «Nous faisons de la cuisine

Info santé

Un chef étoilépour les patients

Des plats simples, légers et originaux dignes d’un grand restaurant : rien de tel pour redonnerle moral aux patients.

@Un bon réflexe!consultez notre site

www.ccig.chrégulièrement mis à jour!

info8 No 4 / Mai 2009

Siège de la Chambre4, boulevard du Théâtre - 1204 Genève

Adresse postaleCase postale 5039 - 1211 Genève 11Tél. 022 819 91 11 - Fax 022 819 91 00

www.ccig.ch

IMPRESSUMinfo

bulletin d’information de la CCIG.Paraît 10 fois par an, 3’200 exemplaires

Responsable d’édition:Pascale Roch-GigandetRédaction:Pascale Roch-Gigandet, SonamBernhard et Fabienne Delachaux.

Publicité: Promoguidee-mail: alain.cohendet@quorum-com.ch

Concept et Graphisme:ROSS graphic designImpression: Atar Roto Presse – GenèveInformations: publications@ccig.ch

Ont participé à ce numéro:Marianne Girard (Clinique desGrangettes), Charles Lassauce et CaroleMassanes (Commerce international).

Agenda

Séminaires CCIG

Les petits déjeuners des PME et desstart-up sont organisés par leService de la promotion économiquede Genève (Département de l’éco-nomie et de la santé) avec la colla-boration de Deloitte, Ernst & Young,KPMG, BDO Visura, l’Hebdo, PMEMagazine, Venturelab, la Fédérationdes entreprises romandes (FERGenève) et la CCIG.

Les petits déjeuners des PME et desstart-up traitent de thématiquesdiverses qui concernent directementles PME et les start-up. Ils ont pourobjectif de former et d’informer lesentrepreneurs mais aussi de favori-ser tant les échanges que le networ-king. Ils se déroulent toujours entrois étapes : café-croissant, exposés-présentations et débat animé par unjournaliste.

Séminaire organisé conjointement par la CCIG et la SGSle mardi 16 juin 2009 de 8h à 10h

Le prochain petit déjeuner aura lieu lejeudi 28 mai 2009 de 8h30 à 10h30au Centre International de Confé-rences Genève, 17, rue de Varembé,dans le cadre du salon E-commerceGenève, et aura pour thème:

Propriété intellectuelleet droits d’auteurs pourle web et les logiciels

Il sera suivi d’un débat avecles participants.

Entrée gratuite,mais inscription indispensable surwww.petitsdejeuners.ch.

Renseignements au Service de lapromotion économiquetél. 022 388 34 34e-mail : juliette.zurmuhle@etat.ge.ch

Les Midis de la Chambre

MATHYSEspaces de communicationwww.mathys-sa.ch

IMPLENIAConstructionwww.implenia.com

OPTIMUM MFS SAGestion de portefeuille d’assurancewww.optimum-mfs.ch

KATZAROV SAAgence de brevets, dépôt demarqueswww.katzarov.com

ADAEPRO CONSEILSSélection et conseils en recrutementwww.adaepro.fr

Renseignements et inscription:S. Burnier, CCIG, tél. 022 819 91 11e-mail : s.burnier@ccig.ch

Jeudi 14 mai 2009 – de 12h15 à 14h00 – CCIG, bd du Théâtre 4

Petits déjeunersdes PME et des start-up

Prix de l’énergie et stratégied’approvisionnement

Sous les auspices de la ChambreSuisse de Médiation Commerciale(CSMC), la CCIG organise chaquemois les P’tits déjeuners de laMédiation, qui visent à permettreun échange sur des questions pra-tiques touchant à la médiation.

Le prochain P’tit déjeuner aura lieu

le mercredi 3 juin 2009

à la CCIG, à partir de 8h15.

Frais de participation:10 fr. payables à l’entrée

Séminaire organisé conjointement par la CCIG et SIGle mardi 9 juin 2009 de 17h à 19h

P’tits déjeuners de laMédiation

PartenairesCo-sponsors

Sponsors

RÉUSSIR DANS UN MONDE QUI ÉVOLUE

Bachelors et Masters en Gestion d’Entreprise,en Relations Internationales ou en Média etCommunication

• Un enseignement dynamique auxperspectives internationales

• Des professeurs aux compétencesprofessionnelles et académiquesreconnues

• Des programmes d’échange avecl’Europe et les Etats-Unis

INTERNATIONAL UNIVERSITY IN GENEVA

ICC, Rte de Pré-Bois 20 - 1215 GENEVA 15, SwitzerlandTel.: +41(0)22 710 7110/12 - Fax:+41(0)22 710 71 11Email: info@iun.ch - www.iun.ch

Accredited by IACBE, USA

MASTER ININTERNATIONAL BUSINESSNEW

La lutte contre la contrefaçon:

Comment protéger votre marqueet sécuriser vos échanges?

Renseignements et inscription sur www.ccig.ch