Rapport annuel 2010

30
Rapport annuel 2010

description

Rapport annuel 2010

Transcript of Rapport annuel 2010

Société pour les peuples m

enacésScherm

enweg 154

CH-3072 Osterm

undigen

Affranchir s.v.p. M

erci!

Rapport annuel2010

Une voix pour les persécutés.www.gfbv.ch

Contact

Société pour les peuples menacésSchermenweg 154CH-3072 OstermundigenTél. 031 311 90 08Fax 031 311 90 [email protected]

Éditrice : Société pour les peuples menacés Suisse, Schermenweg 154, CH-3072 Ostermundigen, Tél.: 031 311 90 08, Fax: 031 311 90 65, E-mail: [email protected], Internet: www.gfbv.ch Compte où verser les dons: Berner Kantonalbank (BCBE): IBAN CH05 0079 0016 2531 7232 1 Rédaction: Franziska Stocker, Rahel Zürrer Mise en page: Franziska Stocker Concept mise en page: Clerici Partner AG, Zurich Traduction: weiss traductions, Zurich Photo couverture: Casique Moreira, Indien Asurini, vit dans la région où est planifié le barrage de Belo Monte au Brésil, septembre 2010 Photo au verso: Autochtone maya au Guatemala Crédit photos: Rebecca Sommer (couverture), Rebecca Sommer (p.3), IPPNW Allemagne (p.4), Rebecca Sommer (p.6), Rebecca Sommer (p.7), SPM Bosnie-Herzégovine (p.8), Markus Hubacher (p.8), SPM/Rahel Zürrer (p.9), Dzafer Buzoli (p.10), Franziska Stocker (p.11), Hamed Saber (p.12), SPM/Flavia Fries (p.13), UNHCR/Z. Sinclair (p.14), Rita Willaert (p.23), SPM Suisse (portraits de l’équipe, p.24), mad (portraits du comité, p.25), SPM (p.26), Fritz Berger (verso) Tirage: 3000 exemplaires Copyright: 2011 Société pour les peuples menacés Suisse Impression: gdz AG, Zurich, Cyclus Offset papier recyclé 100 % ZEWO: La SPM est une institution d’utilité publique reconnue par le ZEWO. Ce dernier garantit l’utilisation à des fins déterminées et transparente des dons.

Oui, je soutiens la Société pour les peuples menacés:

Je deviens membre et reçois la revue « Voice »

(cotisation: CHF 60.– ou plus).

Je souhaite verser ma cotisation par débit direct.

Veuillez me faire parvenir le formulaire correspondant.

Je m’abonne à la revue « Voice » (abonnement annuel CHF 30.–).

Je souhaite soutenir le travail de la Société pour les peuples

menacés par un don. Veuillez m’envoyer un bulletin de versement

pour le montant suivant: CHF 20.– CHF 50.– CHF 100.–

CHF 250.– CHF .–

Je souhaite être informé-e régulièrement des activités de la Société

pour les peuples menacés et m’abonne à la newsletter électronique

gratuite (merci d’indiquer votre adresse e-mail).

Mon adresse:

Prénom, Nom

Rue

NPA/Lieu

Téléphone

E-mail

Société pour les peuples menacés

Schermenweg 154, CH-3072 Ostermundigen

Tél. 031 311 90 08, Fax 031 311 90 65

E-mail [email protected], www.gfbv.ch

Berner Kantonalbank (BCBE): IBAN CH05 0079 0016 2531 7232 1

Éditorial

Brésil

Bosnie, Tchétchénie, Chine

Kosovo

Iran

Sri Lanka, Niger

Finances: rapport de prestation/révision

Finances: bilan

Finances: compte de résultat

Finances: remarques concer nant le compte de résultat

Équipe

Comité

Association

5

6

8

10

12

14

15

16

18

22

24

25

26

4

SPM Rapport annuel 2010

Invitée par la SPM, Azara Jalawi, une repré­sentante touareg, a témoigné des conséquences désastreuses que son peuple subit en raison de l’exploitation de l’uranium.

Pour les organisations de défense des droits de l’Homme, les succès ne sont pas monnaie courante; le temps est souvent long avant d’obtenir des changements au bénéfice des minorités ou des peuples autochtones. C’est pourquoi nous nous sommes d’autant plus réjouis que grâce à notre campagne fiable et crédible, presque toutes les familles roms qui vivaient depuis plus de dix ans dans des camps contaminés par le plomb dans la ville de Mitrovica, dans le nord du Koso-vo, ont pu être relogées dans des maisons neuves et leur assurant toute sécurité.

En janvier, nous avons exigé, en collaboration avec Rebiya Kadeer, l’activiste ouïghoure des droits de l’Homme, que la Suisse accueille deux citoyens ouïghours innocents détenus à Guantanamo pendant huit ans. Quelle ne fut pas notre joie lorsque le canton du Jura a ouvert ses portes aux deux frères au mois de mars 2010!

La SPM et l’Association suisse contre l’impunité (TRIAL) ont également déposé une plainte contre le journal « La Nation », de tendance droite, pour négation de génocide, enfreignant donc la norme pénale sur le racisme. Le jour même, «La Na-tion» relativisait les déclarations faites précédemment dans le journal, et le juge a ordonné que ces déclarations soient retirées de leur site Internet.

Des recherches menées par la SPM sur la construction prévue d’un mégabarrage à Belo Monte ont révélé que celui-ci allait déclencher une industrialisation à gran-de échelle sur le dos des autochtones. La SPM s’investit pour l’octroi d’un droit de parole à ces populations.

Les pages qui suivent vous fourniront de plus amples informations sur les activi-tés variées que la SPM a menées au profit des minorités et des peuples autoch-tones au cours de l’année 2010. Cette année, plusieurs collaborateurs et collabo-ratrices ont quitté l’équipe, après pour certains de longues années de bons et loyaux services: Kaspar Haller, Regula Hafner, Nadia Imgrüt ainsi que Hans Stutz. Nous les remercions vivement pour leur engagement.

Nous tenons également à remercier sincèrement nos membres, les donateurs et donatrices, les fondations ainsi que les pouvoirs publics de leur soutien à la SPM par des dons et des idées. Leur générosité et leur solidarité nous permettent de poursuivre durablement notre engagement en faveur des minorités et des peu ples autochtones.

Ruth-Gaby Vermot-Mangold, présidente, Christoph Wiedmer, directeur

Éditorial

6

SPM Rapport annuel 2010

Brésil : le barrage de Belo Monte menace des autochtones

Le gouvernement brésilien a donné son feu vert à la construction du barrage de Belo Monte en février 2010. Ce projet risque de détruire les bases de vie de la population autochtone et de restreindre considérable-ment son mode de vie traditionnel. En ou-tre, la SPM redoute qu’il ne s’agisse que d’un début: la construction de nombreux autres barrages est d’ores et déjà prévue. À

cela s’ajoute que la région dans son ensemble regorge de matières premières, si bien que plusieurs entreprises ont déjà déposé des demandes pour effectuer des forages d’essai en vue de rechercher des ressources minières, y compris au cœur des réserves indigènes. C’est pourquoi la SPM a lancé une campagne de soutien aux popu-lations autochtones en 2010, visant à leur permettre d’exercer leur droit de participation concernant les projets économiques d’envergure dans leur région. Début 2010, la SPM a envoyé une let-tre au président brésilien, Lula da Silva, exigeant que ce dernier octroie un droit de participation aux décisions aux populations au-tochtones concernées par le projet de barrage.

Rebecca Sommer, une activiste de la SPM, s’est ensuite rendue en Amazonie pour un séjour de plusieurs mois et y a rencontré diffé-rentes communautés autochtones pour collecter leurs avis sur le projet de barrage. La SPM a donc pu utiliser ces documents photos et vidéos pour faire entendre les revendications des autochtones en Suisse et au niveau international. Puis en novembre, ayant ré-colté de nombreuses informations de la part de représentants au-tochtones, la SPM a déposé une plainte auprès du parquet fédéral brésilien, réclamant une vérification de la procédure d’autorisation. La SPM exigeait dans cette plainte que l’autorisation de construc-tion du barrage soit suspendue si l’ensemble des consignes et rè-glements n‘avait pas été respecté. À ce jour, les autochtones, sou-tenus par la SPM et d’autres organisations, ont pu empêcher le dé-but des travaux.

Le troisième plus grand barrage au monde est censé voir le jour dans l’État fédéré de Pará, au Bré­sil. Cela serait synonyme d’un dé­placement de milliers d’habitants et de la perte d’une flore et d’une faune endémiques.

Manifestation d’autochtones contre le projet de barrage à Itaituba, point de con-fluence des quatre rios amazoniens/Brésil.

Brésil : le barrage de Belo Monte menace des autochtones

La construction du barrage entraînerait l’assèchement de cette boucle du fleuve Xingu. Pourtant, la tribu autochtone des Jurunas dépend du fleuve tant pour pêcher que pour se déplacer.

«La construction du barrage de Belo Monte n’est qu’un début.»

8

SPM Rapport annuel 2010

SuISSe/BoSNIe :

une plainte contre des négationnistes du génocide de SrebrenicaDans un article du journal suisse «La

Nation», porte-voix du parti de droite à ten-dance radicale la «Ligue vaudoise», deux rédacteurs ont qualifié le génocide serbe de Srebrenica de «pseudo-massacre». Ils con-testaient non seulement l’assassinat de plus de 8000 hommes musulmans, mais égale-ment les atrocités dans les camps de con-centration ainsi que les viols de masse per-pétrés par des Serbes bosniaques, alors même que ces crimes ont déjà été confirmés et condamnés par plusieurs instances judi-ciaires nationales et internationales. Après avoir dû endurer l’horreur de la guerre, le fait que certains puissent nier l’existence de ces crimes est au-delà du supportable pour les victimes et leurs proches. C’est pourquoi la SPM et l’Association suisse contre l’impunité (TRIAL) ont introduit une plain-

Cimetière dans les environs de Srebrenica, où le génocide a fait plus de 8000 victimes musulmanes.

Action de protestation de la SPM contre l’impunité en Russie.

te auprès de l’autorité d’instruction pénale du canton de Vaud pour négation de géno-cide et pour crime contre l’humanité. À l’avenir également, la SPM Suisse, en colla-boration avec la section Bosnie-Herzégovi-ne de la SPM, s’engagera en faveur d’une co-habitation multiculturelle en Bosnie et s’élèvera contre les déclarations de nature à empêcher une réconciliation des différentes ethnies ou à troubler une vie paisible en communauté; si elle l’estime nécessaire, la SPM n’hésitera pas à engager des démarches judiciaires.

TChÉTChÉNIe :

Stop à l’impunité en RussieExécutions extrajudiciaires, condamna-

tions arbitraires et torture: en 2010, ces pratiques ont continué d’être d’actualité en Tchétchénie. Pour les victimes, le seul es-poir de justice consiste à déposer un recours devant la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Cette dernière a déjà con-damné la Russie à plus d’une centaine de re-prises pour cause de violation des droits de l’Homme. Pourtant, la Russie rechigne à fai-re appliquer les peines aux responsables.

À l’occasion de la Conférence ministé-rielle qui s’est tenue à Interlaken en février

2010, se réunissant dans le but de faire avancer la réforme de la CEDH pour remédier à la surcharge de travail chronique à laquel-le la cour est confrontée, la SPM a appelé les ministres des 47 États membres du Con-seil de l’Europe, à travers une action de pro-testation, à condamner l’impunité en Rus-sie et à contraindre le gouvernement russe à appliquer la Convention européenne des droits de l’Homme. Près d’un tiers des affai-res pendantes de la CEDH (38 850 sur 139 700) concernent la Russie. Lors de la vi-site d’État de la conseillère fédérale Doris Leuthard à Sotchi en août 2010, la SPM a re-nouvelé ses critiques au sujet de l’impunité en Russie, enjoignant la ministre à aborder le sujet au cours de ses entretiens avec le président russe Medvedev pour que la Rus-sie s’engage à protéger efficacement les ac-tivistes des droits de l’Homme et à poursu-ivre les coupables de manière conséquente.

ChINe :

Des minorités victimes de répressionEn janvier 2010, la SPM a organisé une

conférence de presse avec Rebiya Kadeer, une activiste ouïghoure nominée à plu-sieurs reprises pour le prix Nobel de la paix. À cette occasion, elle a enjoint le Conseil fédéral d’accueillir en Suisse pour des rai-sons humanitaires deux Ouïghours, détenus pendant huit ans dans la prison américaine de Guantanamo alors qu’ils étaient inno-cents. Un retour en Chine les exposerait à des risques élevés de persécution. Par ail-

À Berne, Rebiya Kadeer, militante des droits de l’Homme, parle de la situation difficile pour les minorités en Chine.

leurs, elle a exhorté la Suisse à creuser da-vantage le sujet de la politique des minori-tés dans le cadre de son dialogue avec la Chine sur la question des droits de l’Homme. C’est avec joie que la SPM a pris connais-sance de la décision du canton du Jura, en mars 2010, d’accueillir les deux Ouïghours, leur permettant enfin de vivre à nouveau en liberté.

En octobre, lorsque la police népalaise a violemment confisqué les urnes destinées au vote pour les élections des Tibétains en exil, la SPM a adressé un courrier à la con-seillère fédérale, Micheline Calmy-Rey, l’appelant à s’engager en faveur de la remi-se des urnes électorales et de l’accueil de ré-fugiés tibétains par le Népal. Enfin, en no-vembre 2010, la SPM et d’autres organisa-tions ont conjointement formé une requête à l’attention du gouvernement suisse exi-geant que l’accord de libre-échange pour le-quel des négociations sont en cours avec la Chine contienne des clauses contraignantes relatives aux droits humains.

10

SPM Rapport annuel 2010

Kosovo : des familles roms quittent les camps contaminés par le plomb

Pendant plus de dix ans, quelque 200 fa-milles roms ont vécu dans des camps de ré-fugiés contaminés par le plomb dans la ville de Mitrovica, au nord du Kosovo. Sui-te à une pression internationale − exercée notamment par la SPM, qui a mené une campagne intensive en faveur de la ferme-ture des camps depuis 2009 – les premières familles roms ont enfin pu s’installer dans

des logements alternatifs en août 2010. Dzafer Buzoli, représen-tant SPM au Kosovo et lui-même rom, a accompagné la mise en œuvre du projet de relogement; sa collaboration a été précieuse en tant que lien entre la population rom et la communauté internati-onale ainsi qu’avec l’État kosovare. En outre, il s’est démené pour faire en sorte que les réfugiés bénéficient des soins médicaux qui sont indispensables. La fermeture des camps marque la concrétisa-tion d’un objectif majeur de la campagne SPM.

Au mois de février, la SPM a ensuite enjoint le Conseil fédéral de suspendre les reconduites forcées de Roms de la Suisse vers le Ko-sovo jusqu’à ce que ceux qui ont déjà été reconduits se voient pro-poser des conditions de vie décentes. La SPM s’est par ailleurs at-telée à la construction d’un réseau d’information qui puisse être rapidement réactif en cas de difficultés sociales sévères suite à des retours au Kosovo.

En France, la situation des Roms s’est dramatiquement détériorée au cours de cette année. À la fin du mois de juillet 2010, le prési-dent Nicolas Sarkozy a annoncé que près de la moitié des 600 camps de Roms illégaux allaient être démantelés en l’espace de trois mois. La SPM a lancé un appel public à l’attention du prési-dent français, exigeant la suspension immédiate des reconduites de Roms à la frontière ainsi que la mise en place, enfin, de pro-grammes de soutien appropriés pour cette minorité ethnique.

Après plusieurs années d’efforts constants, les premiers Roms ont enfin pu quitter les camps conta­minés par le plomb de Mitrovica au mois d’août 2010. Malgré cela, la plus grande minorité ethnique d’europe est de plus en plus vic­time de discriminations.

Après 10 ans dans un camp de réfugiés contami-né par le plomb, enfin le déménagement dans une maison neuve et sûre.

«Un peu partout, les Roms font office de boucs émissaires. »

Quel avenir pour les Roms en Europe?

12

SPM Rapport annuel 2010

Bien que la précarité de la situation des droits de l’Homme en Iran soit tout à fait notoire, et ce depuis longtemps, le groupe suisse EGL, du secteur énergie, a tenu jusqu’à il y a peu à maintenir son contrat avec la société iranienne d’exportation de gaz (NIGEC). Sous la pression renforcée de

la communauté internationale − et après que d’autres grands grou-pes se sont retirés du marché de l’énergie avec l’Iran (p. ex. Traf-gura) − le groupe EGL s’est retrouvé de plus en plus sur la défen-sive au point, d’après ce qui ressort des échanges avec la SPM, de se sentir contrainte au mois d’octobre de suspendre le contrat de plusieurs milliards de francs avec la NIGEC. La SPM a salué le re-trait d’Iran du groupe EGL et a instamment enjoint à ce dernier de ne pas envisager de reprise des échanges commerciaux avec l‘État iranien avant que la situation relative aux droits de l’Homme ne se soit réellement améliorée sur place.

Le dialogue sur les droits de l’Homme établi depuis 2003 entre la Suisse et l’Iran fut également l’objet d’un examen critique de la part de la SPM. Les atteintes aux droits de l’Homme que l’on obser-ve en Iran, graves et persistantes, démontrent clairement une ab-sence de volonté de la part du régime iranien à prendre en comp-te les critiques vis-à-vis de l’application des droits de l’Homme. C’est pourquoi la SPM a mis en cause à différents niveaux ce dia-logue infructueux.

En 2005, de nombreuses minorités iraniennes ont lancé une initia-tive commune promouvant une meilleure intégration des minorités dans l’Iran de demain. Dans le cadre de cette initiative, la SPM a or-ganisé en décembre 2010 un séminaire à l’Institut du fédéralisme de Fribourg, rassemblant douze représentantes et représentants de différentes minorités iraniennes pour leur présenter plus en détail le modèle fédéral suisse. L’objectif du séminaire consistait à réunir des apports concrets et réalistes pour alimenter la discussion sur d’éventuels modèles fédéralistes pour l’Iran de demain.

Cette année, la campagne SPM s’est concentrée sur trois do­maines: les relations écono­miques, le dialogue sur les droits de l’homme ainsi que la situation des minorités.

Manifestations de la population contre le régime, à Téhéran.

Iran: la situation demeure critique

«La SPM condamne les échanges commerciaux conclus au détriment des droits de l’Homme.»

Des représentants de minorités iraniennes invités en Suisse par la SPM s’informent sur le fédéralisme.

Iran: la situation demeure critique

14

SPM Rapport annuel 2010

SRI LANKA:

Les crimes de guerre doivent être examinés de manière indépendanteÀ l’occasion de la manifestation de

commémoration organisée à Zurich au mois de mai en mémoire des victimes de la guerre qui a sévi pendant près de 30 ans au Sri Lan-ka, la SPM a condamné les crimes de guerre et les atteintes aux droits de l’Homme d’une gravité certaine commis en premier lieu par le gouvernement sri lankais, mais égale-ment par les Tigres tamouls, ainsi que l’absence de sanction de ces crimes.

Dans l’édition de novembre de la revue Voice, la SPM a fait le point sur la situation au Sri Lanka, un an après la fin de la guerre civile. Le cœur du dossier était consacré à la condition de la minorité tamoule, qui a le plus souffert de la guerre et qui en subit la majorité des conséquences.

Dans une pétition adressée au mois de décembre à la commission d’experts de l’ONU pour le Sri Lanka, la SPM a appelé cet-te dernière à entamer un examen indépen-dant de l’ensemble des crimes de guerre et des atteintes aux droits de l’Homme perpé-trés par chacune des parties belligérantes et à traduire les coupables en justice. La com-mission avait été créée à l’initiative du se-crétaire général de l’ONU, Ban Ki Moon, pour le soutenir dans la détermination des dé-marches à adopter. À ce propos, la SPM a ré-gulièrement indiqué qu’une paix durable au Sri Lanka ne serait possible qu’à partir du moment où il serait mis fin à l’impunité et où la minorité tamoule bénéficierait des mê-mes droits que les autres Sri Lankais sur le plan politique, social et culturel.

NIgeR :

une représentante toua­reg de visite en SuisseInvitée en septembre 2010 par la SPM,

Azara Jalawi, une militante touareg de la république du Niger, a participé à un congrès international qui se tenait à Bâle sur les peu-ples autochtones et l’exploitation de l’uranium. L’extraction d’uranium, démarrée au Niger il y a 40 ans par le groupe français Areva, est sour-ce de gros problèmes pour les communautés touaregs. Elles ont d’abord été chassées de leurs terres et souffrent aujourd’hui des con-séquences sur la santé entraînées par l’exploitation de l’uranium. La SPM et Mme Ja-lawi exigent que la société Areva prenne ses responsabilités et améliore enfin les condi-tions de vie de la population autochtone. Les personnes devraient être davantage informées sur les conséquences des radiations et il reste du pain sur la planche en matière de préven-tion santé. La SPM a saisi l’opportunité de la visite en Suisse de la représentante touareg pour sensibiliser les autorités et les organisa-tions suisses au sujet des conditions difficiles que les peuples autochtones confrontés à l’exploitation de l’uranium doivent endurer.

Camp de réfugiés au Sri Lanka.

Avec

CH

F 1

514

728.

14 d

e dé

pens

es e

t de

s re

cett

es s

’éle

vant

à

CHF

CHF 1

479

011

.11,

la S

PM a

con

clu

l’ann

ée a

vec

un d

éfici

t de

35

717

.03,

qu

i de

vrai

t êt

re

mis

à

la

char

ge

du

capi

tal

de

l’ass

ocia

tion

. Le

défi

cit

est

dû p

rinc

ipal

emen

t à

la m

ise

en p

er-

te d

’une

obl

igat

ion

qu’u

ne a

genc

e av

ait

cont

ract

ée e

nver

s la

SP

M.

Le c

apit

al d

e l’o

rgan

isat

ion

s’él

evai

t au

1.1

.201

1 à

CHF

83 7

66.4

9.

Les

liqui

dité

s ét

aien

t as

suré

es

tout

au

lo

ng

de

l’ann

ée,

ains

i qu

e le

s ob

ligat

ions

de

la S

PM p

ar r

appo

rt a

ux

fond

s lié

s.

Les

dépe

nses

en

mat

ière

de

sala

ires

et

de c

harg

es s

ocia

les

n’on

t qu

e lé

gère

men

t au

gmen

té. T

oute

fois

, les

con

trib

utio

ns p

our

pro-

jets

ont

per

mis

de

finan

cer

moi

ns d

e sa

lair

es q

ue l

’ann

ée p

ré-

céde

nte.

S’ag

issa

nt d

es f

rais

lié

s à

l’adm

inis

trat

ion,

les

dép

ense

s de

lo-

caux

ont

aug

men

té e

n ra

ison

du

dém

énag

emen

t da

ns d

es b

ure-

aux

plus

spa

cieu

x. L

es a

utre

s dé

pens

es a

dmin

istr

ativ

es s

ont

re-

stée

s se

nsib

lem

ent

égal

es à

cel

les

de 2

009.

S’a

giss

ant

de l

a co

mm

unic

atio

n, o

n a

obse

rvé

des

dépe

nses

sup

plém

enta

ires

si-

gnifi

cati

ves.

L’a

ugm

enta

tion

du

nom

bre

de m

embr

es a

ent

raîn

é un

e au

gmen

tati

on d

es c

oûts

pou

r le

suiv

i de

ceux

-ci;

la p

rodu

c-ti

on d

u no

uvea

u ra

ppor

t an

nuel

et

de l

a re

vue

Voic

e a

été

un

peu

plus

coû

teus

e, e

t de

s in

vest

isse

men

ts o

nt é

té r

éalis

és e

n vu

e de

la

mis

e en

lig

ne p

roch

aine

d’u

n no

uvea

u si

te I

nter

net.

Pa

r co

ntre

, le

s ch

arge

s lié

es a

u fu

ndra

isin

g on

t si

gnifi

cati

ve-

men

t dim

inué

en

rais

on d

e la

rédu

ctio

n de

s sta

nds d

’info

rmat

ions

. En

201

0, l

a SP

M a

vu

le n

ombr

e de

ses

mem

bres

lég

èrem

ent

augm

ente

r et

en

com

pte

déso

rmai

s en

viro

n 12

900

.

Les

dépe

nses

dan

s le

s do

mai

nes

des

proj

ets

et d

e la

pol

itiq

ue

ont

dim

inué

par

rap

port

à l

’ann

ée p

récé

dent

e en

rai

son

de l

a di

min

utio

n du

nom

bre

d’ac

tivi

tés

dans

cer

tain

s pr

ojet

s (c

lôtu

re

avec

suc

cès

du p

roje

t Af

ghan

ista

n, d

imin

utio

n de

l’en

gage

men

t en

Afr

ique

).

Dans

l’e

nsem

ble,

la

SPM

a e

ngra

ngé

moi

ns d

e re

cett

es q

ue

l’ann

ée p

récé

dent

e. D

’un

côté

, la

pro

spec

tion

de

fond

s po

ur le

s pr

ojet

s a

été

moi

ns im

port

ante

, de

l’aut

re, l

es rec

ette

s on

t su

bi

une

bais

se e

n ra

ison

d’u

ne r

éduc

tion

des

act

ivit

és d

e fu

ndra

i-si

ng.

Par

cont

re,

les

rece

ttes

de

coti

sati

ons

de m

embr

es o

nt

augm

enté

. Co

ncer

nant

le m

onta

nt d

es d

ons

en g

énér

al,

il ét

ait

supé

rieu

r à

ce q

ui a

vait

été

bud

gété

, m

ais

il ét

ait

infé

rieu

r à

celu

i de

l’a

nnée

pré

céde

nte,

nous

avi

ons

eu l

e pr

ivilè

ge d

e co

mpt

abili

ser

un d

on c

onsi

déra

ble

inat

tend

u.

Rapport de prestation

Révi

sion

Le b

ilan

et l

es c

ompt

es a

nnue

ls o

nt é

té v

érifi

és p

ar l

a so

ciét

é fid

ucia

ire

TIS

GmbH

, à B

erne

, le

24 fé

vrie

r 201

1. S

elon

ses

con

clus

ions

, les

com

ptes

an

nuel

s re

flète

nt u

ne i

mag

e fid

èle

de la

sit

uati

on fi

nanc

ière

et

de la

for

-tu

ne d

e la

SPM

, con

form

émen

t au

x Sw

iss

GAAP

RPC

21,

aux

lois

sui

sses

et

aux

stat

uts

de la

SPM

. La

fiduc

iair

e TI

S co

nfirm

e ég

alem

ent

que

les

disp

o-si

tion

s du

labe

l ZEW

O so

nt r

espe

ctée

s. L

e la

bel d

e qu

alit

é ZE

WO

gara

ntit

un

e ge

stio

n de

s do

ns c

onsc

ienc

ieus

e et

con

form

e au

x bu

ts fi

xés.

Le r

appo

rt d

e ré

visi

on (

bila

n, c

ompt

e de

pro

fits

et p

erte

s, f

onds

) es

t di

spon

ible

dan

s sa

ver

sion

com

plèt

e au

près

du

secr

étar

iat

et p

eut

être

té-

léch

argé

sur

le s

ite

Inte

rnet

de

la S

PM.

16

SPM Rapport annuel 2010

CoM

PTe

DÉN

oMIN

ATIo

NRe

MA

RQu

eSD

evIS

e ÉT

R.AC

TIFS

( Ch

F)PA

SSIF

S ( C

hF)

%AN

NÉe

PRÉ

C. ( C

hF)

ACTI

FS

ACTI

FS C

IRCu

LAN

TS10

00Ca

isse

20 8

32.6

47,

1511

864

.90

1010

CP 3

0-27

759-

719

775

.05

6,79

11 6

81.4

410

11CP

92-

5630

54-8

E-D

epos

ito

8.15

0,00

8.00

1020

Banq

ue c

anto

nale

ber

nois

e 16

253

.172

.3.2

19

537.

523,

2798

723

.16

1021

Banq

ue c

anto

nale

ber

nois

e 16

261

.795

.7.1

34

564.

351,

57– 8

08.7

510

23Ba

nque

can

tona

le b

erno

ise

16 2

66.5

52.4

.65

– Eu

ro15

2.21

190.

320,

071

429.

1010

24Ba

nque

can

tona

le b

erno

ise

16 2

64.7

32.5

.52

– US

D2

673.

102

899.

531,

00– 1

1.00

1025

Banq

ue c

anto

nale

ber

nois

e 16

286

.759

.6.6

9 Ca

rte

26 2

41.5

09,

01– 5

.00

1026

Banq

ue c

anto

nale

ber

nois

e 16

484

.675

.1.4

9 Fo

nds

13 9

27.0

54,

780.

00To

tal

Liqu

idit

és e

t ti

tres

97 9

76.1

133

,63

122

881.

85

1100

Débi

teur

s CH

F17

038

.35

5,85

179

416.

6511

65Pa

iem

ents

pou

r pr

ojet

s et

cam

pagn

es17

171

.60

5,89

0.00

1176

Avoi

r su

r im

pôt

anti

cipé

440.

660,

1543

2.06

1300

Acti

fs t

rans

itoi

res

140

157.

3048

,11

64 8

30.0

0To

tal

Créa

nces

174

807.

9160

,00

244

678.

71To

tal

Acti

fs c

ircu

lant

s27

2 78

4.02

93,6

336

7 56

0.56

ACTI

FS I

MM

oBI

LISÉ

S15

00M

obili

er,

inst

alla

tion

s1.

000,

001.

0016

00In

form

atiq

ue /

TI

18 5

48.2

26,

378

300.

10To

tal

Bien

s m

obil

iers

18 5

49.2

26,

378

301.

10To

tal

Acti

fs i

mm

obil

isés

18 5

49.2

26,

378

301.

10

Tota

l Ac

tifs

291

333.

2410

0,00

375

861.

66

PASS

IFS

CAPI

TAL

ÉTRA

Nge

R20

00Cr

éanc

iers

CH

F39

806

.84

13,6

635

836

.24

2003

Créa

ncie

r em

plac

emen

ts s

tand

– 23

446.

70– 8

,05

0.00

2004

Créa

ncie

r ca

rtes

de

créd

it– 6

239

.76

– 2,1

40.

0022

20Cr

éanc

ier

AVS/

AI/A

PG/A

C2

388.

240,

82 12

143

.05

Bilan au 31. 12. 2010

CoM

PTe

DÉN

oMIN

ATIo

NRe

MA

RQu

eSD

evIS

e ÉT

R.AC

TIFS

( Ch

F)PA

SSIF

S ( C

hF)

%AN

NÉe

PRÉ

C. ( C

hF)

2240

Créa

ncie

r LP

P3

147.

601,

084

326.

7022

50Cr

éanc

ier

Impô

t à

la s

ourc

e9

788.

773,

367

243.

9222

60Cr

éanc

ier

ZH V

ersi

cher

ung

8 03

6.55

2,76

10 2

43.4

823

00Pa

ssif

s tr

ansi

toir

es18

798

.65

6,45

6 40

0.00

Tota

l Ca

pita

l ét

rang

er à

cou

rt t

erm

e52

280

.19

17,9

576

193

.39

2100

Prêt

s0.

0060

000

.00

Tota

l Ca

pita

l ét

rang

er à

lon

g te

rme

0.00

0,00

60 0

00.0

0

2610

Fond

s fo

rum

Tch

étch

énie

116

078

.77

5,52

21 2

19.1

726

20Fo

nds

éduc

atio

n Dr

oits

de

l’Hom

me

Afgh

anis

tan

10.

000,

0010

096

.47

2630

Fond

s Ro

ms

10.

000,

00 39

.82

2650

Fond

s Co

ngo

191

923

.64

31,5

519

167

.08

2670

Fond

s ar

chiv

es T

chét

chén

ie1

34 3

53.0

511

,79

68 1

69.2

126

80Fo

nds

San

11

493.

000,

511

493.

0026

90Fo

nds

Belo

Mon

te1

11 4

38.1

03,

930.

00To

tal

Capi

tal

fond

s15

5 28

6.56

53,3

012

0 18

4.75

Tota

l Ca

pita

l ét

rang

er20

7 56

6.75

71,2

525

6 37

8.14

FoN

DS

PRo

PReS

2800

Capi

tal

de l

’org

anis

atio

n11

9 48

3.52

41,0

111

2 88

0.94

Tota

l Ca

pita

l/Pr

ivé

119

483.

5241

,01

112

880.

94

2190

Résu

ltat

de

l’ann

ée

– 3

5 71

7.03

– 12,

266

602.

58To

tal

Rése

rves

, bé

néfi

ces

de l

’exe

rcic

e–

35 7

17.0

3–

12,2

66

602.

58To

tal

Fond

s pr

opre

s83

766

.49

28,7

511

9 48

3.52

Tota

l Pa

ssif

s29

1 33

3.24

100,

0037

5 86

1.66

Tota

l du

bil

an «

doit

et

avoi

r»29

1 33

3.24

291

333.

240.

00

18

SPM Rapport annuel 2010

CoM

PTe

DÉN

oMIN

ATIo

NRe

MA

RQu

eSCh

ARg

eS 2

010

( Ch

F)Re

CeTT

eS 2

010

( Ch

F) %

2009

( Ch

F)

ReCe

TTeS

De

veN

Te

3000

Vent

e de

cal

endr

iers

et

de m

atér

iel

d’in

form

atio

n5

295.

700,

366

253.

0030

01Ab

onne

men

ts à

la

revu

e1

673.

000,

113

510.

00To

tal

Rece

ttes

de

vent

e6

968.

700,

479

763.

00

3300

Coti

sati

ons

de m

embr

es L

SV e

t DD

280

5 94

0.24

54,4

951

3 82

8.66

3301

Coti

sati

ons

de m

embr

es E

SR48

192

.05

3,26

51 7

50.0

033

02Do

ns3

72 2

94.5

54,

8910

5 37

0.80

Tota

l Co

tisa

tion

s de

mem

bres

et

dons

926

426.

8462

,64

670

949.

46

3400

Stan

ds d

’info

rmat

ion

510

3 56

0.00

7,00

434

018.

5034

01Co

urri

ers

dire

cts

13 0

13.0

00,

8823

608

.90

3430

Vent

e ca

lend

rier

et

mat

érie

l d’

info

rmat

ion

0.00

0,00

3431

Abon

nem

ent

revu

e 0.

000,

00To

tal

Rece

ttes

de

fund

rais

ing

116

573.

007,

8845

7 62

7.40

3500

Cont

ribu

tion

s d’

entr

epri

se (

fond

s no

n lié

s)

0.

000,

001

118.

9135

03Co

ntri

buti

ons

du s

ecte

ur p

ublic

(fo

nds

liés)

425

677

.30

1,74

0.00

3504

Cont

ribu

tion

s d’

orga

nisa

tion

s, d

e fo

ndat

ions

(fo

nds

liés)

4

403

365.

2727

,27

699

808.

06To

tal

Cont

ribu

tion

s42

9 04

2.57

29,0

170

0 92

6.97

Tota

l Re

cett

es1

479

011.

1110

0,00

1 83

9 26

6.83

Tota

l du

com

pte

de r

ésul

tat

«do

it e

t av

oir»

0.00

1 47

9 01

1.11

Prod

uit

net

des

vent

es1

479

011.

110.

0010

0,00

1 47

9 01

1.11

1 47

9 01

1.11

1 83

9 26

6.83

ChA

RgeS

De

PeRS

oN

NeL

5000

Sala

ires

654

9 31

3.45

37,4

9– 5

08 1

81.8

550

0513

e m

ois

de s

alai

re6

45 7

68.4

53,

090.

0050

25./

. ind

emni

tés

jour

naliè

res

perç

ues

(IJM

/LAA

)6

– 47

285.

16– 3

,20

0.00

5050

Dédo

mm

agem

ents

sta

giai

res

67

510.

000,

51– 1

486

.50

5060

Form

atio

n co

ntin

ue6

2 34

0.00

0,16

– 1 3

60.0

050

61Fr

ais

de f

orm

atio

n6

568.

000,

040.

00

Compte de résultat du 1.1. – 31.12.2010

CoM

PTe

DÉN

oMIN

ATIo

NRe

MA

RQu

eSCh

ARg

eS 2

010

( Ch

F)Re

CeTT

eS 2

010

( Ch

F) %

2009

( Ch

F)

5100

Frai

s di

vers

63

233.

550,

220.

00To

tal

Char

ges

de p

erso

nnel

561

448.

2937

,96

– 51

1 02

8.35

5700

Assu

ranc

e-ac

cide

nts

63

624.

070,

250.

0057

10As

sura

nce-

mal

adie

s6

4 93

9.15

0,33

0.00

5720

Coti

sati

ons

AVS/

AC/A

I/AP

G/AF

647

028

.09

3,18

– 72

657.

9357

40Au

tres

pre

stat

ions

soc

iale

s/ L

PP6

32 0

04.3

52,

160.

00To

tal

Char

ges

soci

ales

87 5

95.6

65,

92–

72 6

57.9

3

5800

Autr

es c

harg

es d

e pe

rson

nel

559.

900,

040.

00To

tal

Autr

es c

harg

es d

e pe

rson

nel

559.

900,

040.

00

5900

Sala

ires

fina

ncés

par

les

fon

ds7

– 60

642.

54– 4

,10

192

552.

07To

tal

Sala

ires

fina

ncés

par

les

fon

ds–

60 6

42.5

4–

4,10

192

552.

07

Tota

l Ch

arge

s de

per

sonn

el58

8 96

1.31

39,8

2–

391

134.

21

Tota

l du

com

pte

de r

ésul

tat

«do

it e

t av

oir»

588

961.

311

479

011.

111

448

132.

62Ré

sult

at d

’exp

loit

atio

n89

0 04

9.80

0.00

60,1

81

479

011.

111

479

011.

11

ChA

RgeS

D’e

xPLo

ITAT

IoN

ChA

RgeS

SeC

RÉTA

RIAT

6000

Loye

r8

30 2

48.1

02,

05– 2

1 70

6.10

Tota

l Ch

arge

s de

loc

aux

30 2

48.1

02,

05–

21 7

06.1

0

6100

Suiv

i de

s m

embr

es9

54 8

86.9

53,

71–3

3 01

5.24

6101

Rapp

ort

annu

el10

22 9

61.5

51,

55–5

227

.30

6102

Revu

e11

67 3

73.3

04,

56–5

1 15

0.30

6103

Trav

ail

de r

elat

ions

pub

lique

s12

34 8

84.7

42,

36–3

59.6

561

04Tr

avai

l m

édia

tiqu

e3

299.

250,

22– 6

867

.60

6105

Frai

s de

com

mun

icat

ion

de t

iers

1 77

1.10

0,12

0.00

Tota

l Fr

ais

de c

omm

unic

atio

n18

5 17

6.89

12,5

2–

99 6

20.0

9

6300

Assu

ranc

e ch

oses

d’e

ntre

pris

e43

7.80

0,03

– 536

.80

Tota

l As

sura

nces

, re

deva

nces

et

taxe

s43

7.80

0,03

– 53

6.80

20

SPM Rapport annuel 2010

CoM

PTe

DÉN

oMIN

ATIo

NRe

MA

RQu

eSCh

ARg

eS 2

010

( Ch

F)Re

CeTT

eS 2

010

( Ch

F) %

2009

( Ch

F)

6400

Elec

tric

ité

1 37

5.50

0,09

0.00

Tota

l Fr

ais

d’én

ergi

e et

de

trai

tem

ent

des

ordu

res

mén

agèr

es

1 37

5.50

0,09

0.00

6500

Mat

érie

l de

bur

eau

2 20

3.20

0,15

– 2 6

52.5

565

10Im

prim

erie

3 01

2.00

0,20

0.00

6520

Entr

etie

n m

atér

iel

info

rmat

ique

1317

620

.10

1,19

0.00

6525

Amor

tiss

emen

t In

form

atiq

ue/T

I0.

000,

00– 8

300

.15

6530

Télé

phon

e/co

mm

unic

atio

n/po

rts

dive

rs8

142.

950,

55– 7

976

.71

6540

Livr

es/m

agaz

ines

659.

260,

04– 8

61.8

065

50Ac

quis

itio

ns d

u se

crét

aria

t13

4 84

5.65

0,33

– 37

253.

9065

60Ré

visi

on5

435.

150,

37– 4

597

.40

6570

Zew

o1

447.

800,

100.

0065

80Fr

ais

de d

épla

cem

ent

secr

étar

iat

2 88

1.05

0,19

– 1 3

11.2

065

90Au

tres

fra

is a

dmin

istr

atif

s5

866.

300,

40– 4

933

.21

Tota

l Fr

ais

adm

inis

trat

ifs

et i

nfor

mat

ique

s 52

113

.46

3,52

– 67

886

.92

6601

Cour

rier

s di

rect

s5

516.

200,

37– 2

4 16

0.40

6602

Stan

ds d

’info

rmat

ion

510

9 41

7.54

7,40

– 599

473

.97

Tota

l Ch

arge

s fu

ndra

isin

g11

4 93

3.74

7,77

– 62

3 63

4.37

6700

Autr

es c

harg

es d

’exp

loit

atio

n67

1.05

0,05

– 1 8

30.7

567

99Fr

ais

adm

inis

trat

ifs

finan

cés

par

les

fond

s14

– 23

540.

36– 1

,59

67 5

43.7

4To

tal

Autr

es c

harg

es d

’exp

loit

atio

n–

22 8

69.3

1–

1,54

65 7

12.9

9

6810

Inté

rêts

des

prê

ts60

0.00

0,04

0.00

6830

Inté

rêts

ban

cair

es42

6.60

0,03

307.

9368

40Fr

ais

banc

aire

s et

pos

taux

2 29

7.92

0,16

– 2 3

80.9

368

60Co

mpe

nsat

ion

de c

hang

e– 6

6.29

0,00

– 1 0

99.6

9To

tal

Résu

ltat

fina

ncie

r3

258.

230,

22–

3 17

2.69

Tota

l Ch

arge

s se

crét

aria

t36

4 67

4.41

24.6

6–

750

843.

98

PRo

JeTS

IN

TeRN

eS /

SPM

­Ch

6200

Char

ges

dire

ctes

pro

jets

1526

4 65

0.33

17,8

9– 4

16 3

79.4

862

01Sa

lair

es i

nter

nes

1565

043

.49

4,40

– 193

532

.74

6205

Mat

érie

l de

bur

eau

inte

rne

153

019.

100,

20– 2

049

.39

Compte de résultat du 1.1. – 31.12.2010

CoM

PTe

DÉN

oMIN

ATIo

NRe

MA

RQu

eSCh

ARg

eS 2

010

( Ch

F)Re

CeTT

eS 2

010

( Ch

F) %

2009

( Ch

F)

6207

Frai

s de

com

mun

icat

ion

inte

rnes

151

753.

750,

120.

0062

09Fr

ais

de d

épla

cem

ent

inte

rnes

1514

259

.92

0,96

– 27

022.

5962

13M

anif

esta

tion

s in

tern

es15

1 93

4.35

0,13

0.00

Tota

l Pr

ojet

s in

tern

es /

SPM

­Ch

350

660.

9423

,71

– 63

8 98

4.20

6202

Sala

ires

ext

erne

s15

41 3

69.4

42,

800.

0062

04Lo

yer

exte

rne

154

419.

150,

300.

0062

08Fr

ais

de c

omm

unic

atio

n ex

tern

es15

216.

900,

010.

0062

10Fr

ais

de d

épla

cem

ent

exte

rnes

154

061.

140,

270.

0062

12Ap

port

s d’

expe

rts

exte

rnes

153

513.

650,

240.

0062

15Ch

arge

s di

rect

es p

roje

ts e

xter

nes

1516

382

.50

1,11

0.00

Tota

l Pr

ojet

s ex

tern

es /

org

anis

atio

ns p

arte

nair

es69

962

.78

4,73

0.00

6230

Char

ges

dire

ctes

cam

pagn

es15

20 5

17.7

01,

39– 2

5 22

7.64

6236

Mat

érie

l de

bur

eau

inte

rne

1529

.90

0,00

– 950

.10

6238

Frai

s de

com

mun

icat

ion

inte

rnes

152

059.

050,

14– 8

94.3

162

40Fr

ais

de d

épla

cem

ent

inte

rnes

154

541.

410,

31– 6

526

.67

6242

Appo

rts

d’ex

pert

s in

tern

es15

12.0

00,

000.

0062

44M

anif

esta

tion

s in

tern

es15

279.

850,

020.

00To

tal

Cam

pagn

es i

nter

nes /

SPM

­Ch

27 4

39.9

11,

86–

33 5

98.7

2

6241

Frai

s de

dép

lace

men

t ex

tern

es15

535.

250,

040.

0062

43Ap

port

s d’

expe

rts

exte

rnes

1562

2.70

0,04

0.00

6245

Man

ifes

tati

ons

exte

rnes

151

000.

000,

070.

0062

46Ch

arge

s di

rect

es c

ampa

gnes

1511

845

.00

0,80

0.00

Tota

l Ca

mpa

gnes

ext

erne

s / o

rgan

isat

ions

par

tena

ires

14 0

02.9

50,

950.

00

6260

Char

ges

cam

pagn

es15

5 56

2.12

0,38

– 1 6

55.0

562

61Co

ntri

buti

ons

à de

s pr

ojet

s/ca

mpa

gnes

ext

erne

s

152

230.

000,

15– 3

335

.60

6262

Coti

sati

on d

e m

embr

e à

la S

PM I

nt.

1512

643

.45

0,85

– 9 4

86.5

662

63Co

tisa

tion

de

mem

bre

à de

s or

gani

sati

ons

part

enai

res

1595

0.00

0,06

– 648

.49

Tota

l Fr

ais

dive

rs c

ampa

gnes

21 3

85.5

71,

45–

15 1

25.7

0

Tota

l Pr

ojet

s et

cam

pagn

es48

3 45

2.15

32,6

9–

687

708.

62

Tota

l Ch

arge

s d’

expl

oita

tion

848

126.

5657

,34

– 1

438

552.

60

22

SPM Rapport annuel 2010

CoM

PTe

DÉN

oMIN

ATIo

NRe

MA

RQu

eSCh

ARg

eS 2

010

( Ch

F)Re

CeTT

eS 2

010

( Ch

F) %

2009

( Ch

F)

RÉSu

LTAT

S AC

CeSS

oIR

eS

7000

Rece

ttes

exc

epti

onne

lles

– 501

.37

– 0,0

30.

0070

01Ch

arge

s ex

cept

ionn

elle

s16

43 0

39.8

32,

910.

0070

02Pe

rte

débi

teur

s0.

000,

00– 5

826

.35

7003

Diss

olut

ion

des

prov

isio

ns0.

000,

0024

000

.00

Tota

l Ré

sult

at e

xcep

tion

nel

42 5

38.4

62,

8818

173

.65

Tota

l Ré

sult

ats

acce

ssoi

res

42 5

38.4

62,

8818

173

.65

RÉSu

LTAT

exC

ePTI

oN

NeL

eT

exTÉ

RIeu

R à

L’e

xPLo

ITAT

IoN

RÉSu

LTAT

Fo

ND

S 80

00Re

cett

es d

es f

onds

int

erne

s lié

s– 4

4 83

9.30

– 3,0

3– 2

000

.00

8001

Attr

ibut

ions

de

fond

s lié

s– 4

41 0

42.5

7– 2

9,82

– 700

926

.97

8003

Uti

lisat

ion

de f

onds

lié

s45

0 78

0.06

30,4

868

1 77

5.88

Tota

l Ré

sult

at f

onds

lié

s–

35 1

01.8

1–

2,37

– 21

151

.09

Tota

l Ré

sult

at f

onds

– 35

101

.81

– 2,

37–

21 1

51.0

9

Tota

l Ré

sult

at e

xcep

tion

nel

et e

xtér

ieur

à l

’exp

loit

atio

n–

35 1

01.8

1–

2,37

– 21

151

.09

CLôT

uRe

CLôT

uRe

9000

Com

pte

de r

ésul

tat

– 35

717.

03– 2

,41

6 60

2.58

9100

Bila

n0.

000,

000.

00To

tal

Clôt

ure

– 35

717

.03

– 2,

416

602.

58

Com

pte

de p

rofi

ts e

t pe

rtes

som

me

«do

it e

t av

oir»

1 44

3 90

9.30

1 44

3 90

9.30

0.00

Béné

fice

0.00

0.00

0.00

0.00

1 44

3 90

9.30

1 44

3 90

9.30

0.00

Compte de résultat du 1.1. – 31.12.2010

Les

frai

s m

atér

iels

du

secr

étar

iat

ne s

ont

pas

grev

és s

ur d

’aut

res

caté

gori

es d

e dé

pens

es.

Ces

coût

s so

nt e

ntiè

rem

ent

engl

obés

da

ns le

s dé

pens

es d

e l’a

dmin

istr

atio

n. D

e m

ême,

les

frai

s de

per

-so

nnel

ne

sont

pas

gre

vés

sur

d’au

tres

cat

égor

ies,

à l’

exce

ptio

n de

s fr

ais

de p

erso

nnel

fina

ncés

par

les

fon

ds p

our

proj

ets.

1 Ca

pita

l du

fon

ds:

résu

ltat

des

rec

ette

s et

dép

ense

s po

ur l

es

proj

ets

men

és p

ar l

a SP

M.

2 Le

s co

tisa

tion

s de

mem

bres

per

çues

par

sys

tèm

e de

rec

ouvr

emen

t di

rect

ont

sig

nifi

cati

vem

ent

augm

enté

en

2010

. Ce

s re

cett

es

com

pren

nent

l’e

nsem

ble

des

coti

sati

ons

de m

embr

es L

Sv,

y

com

pris

cel

les

des

nouv

eaux

mem

bres

qui

ont

adh

éré

à l’a

ssoc

iati

on a

u co

urs

de l

’ann

ée p

récé

dent

e.3

Cert

es,

le m

onta

nt d

es d

ons

a di

min

ué p

ar r

appo

rt à

l’a

nnée

pr

écéd

ente

, m

ais

uniq

uem

ent

parc

e qu

e la

SPM

a c

ompt

abil

isé

en

200

9 un

don

con

sidé

rabl

e qu

i n’

étai

t pa

s pr

évu.

Nou

s re

mer

cion

s si

ncèr

emen

t no

s do

natr

ices

et

dona

teur

s po

ur

le s

outi

en i

mpo

rtan

t qu

e re

prés

ente

nt l

eurs

don

s.4

Les

dons

lié

s à

des

fond

s pa

rtic

ulie

rs o

nt é

té m

oins

im

port

ants

qu

e l’a

nnée

pré

céde

nte,

car

nou

s av

ons

pu c

lore

cer

tain

s pr

ojet

s en

201

0. N

ous

rem

erci

ons

les

orga

nisa

tion

s, l

es f

onda

tion

s,

les

paro

isse

s ai

nsi

que

les

dona

tric

es e

t do

nate

urs

part

icul

iers

po

ur l

eurs

con

trib

utio

ns g

énér

euse

s po

ur n

os p

roje

ts.

5 Au

lie

u de

com

men

cer

dès

le m

ois

de j

anvi

er,

l’age

nce

de

fund

rais

ing

n’a

dém

arré

ses

cam

pagn

es d

e pu

blic

ité

pour

rec

rute

r de

nou

veau

x m

embr

es q

u’au

pri

ntem

ps,

réco

ltan

t do

nc m

oins

de

nou

vell

es a

dhés

ions

que

pré

vu.

6 Le

s dé

pens

es e

n m

atiè

re d

e sa

lair

es e

t de

cha

rges

soc

iale

s

ont

été

un p

eu p

lus

élev

ées

qu’e

n 20

09,

nota

mm

ent

pa

rce

que

nous

avo

ns p

u pr

océd

er à

une

lég

ère

augm

enta

tion

du

tau

x d’

acti

vité

.

2010

2009

Sala

ires

588

962

580

840

Taux

d’a

ctiv

ité

SPM

la fi

n de

l’a

nnée

)77

0 %76

0 %

Nom

bre

d’em

ploy

é-e-

s11

10

7 Le

s co

ntri

buti

ons

pour

pro

jets

ont

per

mis

de

fina

ncer

moi

ns

de s

alai

res

que

l’ann

ée p

récé

dent

e.

8 Le

s co

ûts

enge

ndré

s pa

r le

dém

énag

emen

t fi

n 20

10 d

ans

le

s no

uvea

ux b

urea

ux d

e la

SPM

ont

éga

lem

ent

été

grev

és s

ur

ce c

ompt

e.

9 Le

nom

bre

des

mem

bres

s’é

tant

acc

ru,

les

frai

s de

sui

vi

des

mem

bres

ont

aug

men

té e

n co

nséq

uenc

e.10

Co

mpr

end

la n

ouve

lle

conc

epti

on d

u ra

ppor

t an

nuel

et

pour

la

pre

miè

re f

ois

son

impr

essi

on e

n co

uleu

r.11

Le

nom

bre

des

mem

bres

s’é

tant

acc

ru,

les

coût

s li

és à

la

pro

duct

ion

et à

l’e

nvoi

de

la r

evue

201

0 on

t au

gmen

té.

12

Des

inv

esti

ssem

ents

sub

stan

tiel

s on

t ét

é ré

alis

és e

n vu

e

du n

ouve

au s

ite

Inte

rnet

pla

nifi

é ai

nsi

que

pour

la

créa

tion

d’

une

nouv

elle

ide

ntit

é vi

suel

le.

13

Les

dépe

nses

inf

orm

atiq

ues

sont

dés

orm

ais

com

ptab

ilis

ées

su

r un

com

pte

à pa

rt,

et n

on s

ur c

elui

des

acq

uisi

tion

s

du s

ecré

tari

at c

omm

e l’a

nnée

pré

céde

nte.

14

Fr

ais

géné

raux

qui

ont

été

rég

lés

par

des

proj

ets

fina

ncés

pa

r de

s fo

nds.

15

Nou

veau

té 2

010:

dés

orm

ais,

les

com

ptes

ann

uels

fon

t

appa

raît

re l

e dé

tail

des

coû

ts d

es c

ampa

gnes

et

des

proj

ets.

16

Mis

e en

per

te d

e Ch

F 30

000

.– à

cau

se d

’une

obl

igat

ion

qu’u

ne

agen

ce n

’a p

as r

empl

ie e

nver

s SP

M.

Remarques concernant les comptes annuels 2010

24

SPM Rapport annuel 2010

Équipe

Marcel Bärtschiresponsable Admini s-tration et Finances

Kaspar haller responsable Politique (jusqu‘au 31.12.)

Franziska Stocker responsable Communi-cation, suppléante du directeur

Un grand merciLa SPM tient à remercier chaleureusement les nombreuses personnes, stagiaires ou bénévoles, qui ont sou-tenu le travail de l’association au quotidien. Toutes ces personnes effectuent d’innombrables heures d’un travail de valeur et influencent ainsi de manière décisive les contenus de l’organisation. En 2010, le se-crétariat a pu compter en particulier sur le soutien de Flavia Fries, Karin Riedweg, Claudia Schwarzenbach, Sanna Vögeli et de Rahel Zürrer. Mille mercis!

Nadia Imgrüt collaboratrice Politique(jusqu‘au 31.12.)

elizabeth Ndungicollaboratrice Adminis-tration et Finances

Ruslan Bazgiev collaborateur Projets

hans Stutz collaborateur Communi-cation (jusqu‘au 31.08.)

valjentina Ademicollaboratrice Adminis-tration et Finances

Shoma Chatterjee Kilchhofer coordinatrice de projet

Regula hafner coordinatrice de projet (jusqu‘au 30.11.)

Christian Bosshard collaborateur Communi-cation (dès le 16.08.)

Christoph Wiedmer directeur, responsable Projets

Comité

urs ZschokkePaolo Wegmüller

Remo gysin Thomas huonker

Josef Lang

Sonja Beeli­ Zimmermann

göpf Berweger vice-président

Ruth­gaby vermot­Mangold présidente

26

SPM Rapport annuel 2010

Association

La Société pour les peuples menacés Suisse (SPM Suisse), dont le siège est à Berne, est une association membre de la Société pour les peuples menacés International. elle dispose ainsi d’un statut consultatif au sein du Conseil économique et social (eCoSoC) de l’oNu à genève ainsi qu’au sein du Conseil de l’europe à Strasbourg. La SPM Suisse est indépendante sur le plan institutionnel mais travaille en accord avec les principes énoncés par la SPM International.

Raison sociale Gesellschaft für bedrohte Völker SchweizSociété pour les peuples menacés SuisseSocietà per i popoli minacciati SvizzeraSocietad per ils pievels periclitads Svizra

Statuts Votés lors de l’assemblée générale constitutive le 20 mai 1989 à Berne et révisés la dernière fois lors de l’assemblée générale annuelle du 13 octobre 2006.

But de l’association (résultant de la ligne directrice) La SPM est une organisation des droits de l’Homme qui s’investit pour les minorités opprimées et les peuples autochtones et promeut la diversité culturelle. Le travail de la SPM est empreint de l’idée que les droits de l’Homme sont universels. La SPM documente les violations des droits de l’Homme, informe et sensibilise le pu-blic sur les questions relatives aux droits de l’Homme et représente les intérêts des victimes contre les administrations et les instances décisionnelles. Elle sou-tient au niveau local les efforts qui s’inscrivent sur le long terme et qui visent au renfor cement des droits des minorités et des peuples autochtones. La SPM travaille au niveau national et international avec des organisations et des personnes qui poursuivent les mêmes buts.

organesa) Assemblée généraleL’assemblée générale est l’organe supérieur de la SPM Suisse. Il lui incombe l’élection des membres du comité et de l’organe de révision. Les membres approuvent le rapport ainsi que les comptes annuels à l’occasion de la réunion de l’assemblée générale qui se tient chaque année.

b) Comité Le comité est l’organe directeur de la SPM Suisse. Il est responsable de la direc-tion générale des affaires ainsi que de l’orientation stratégique de la Société. Il approuve le budget annuel ainsi que le rapport et les comptes annuels à l’attention de l’assemblée générale.

c) SecrétariatLe secrétariat agit comme organe exécutif de la SPM Suisse. Il entretient un lien étroit avec le comité et les membres de la Société.

La SPM Suisse

Le contact avec les médias fait partie du travail de la SPM.

Contact

Société pour les peuples menacésSchermenweg 154CH-3072 OstermundigenTél. 031 311 90 08Fax 031 311 90 [email protected]

Éditrice : Société pour les peuples menacés Suisse, Schermenweg 154, CH-3072 Ostermundigen, Tél.: 031 311 90 08, Fax: 031 311 90 65, E-mail: [email protected], Internet: www.gfbv.ch Compte où verser les dons: Berner Kantonalbank (BCBE): IBAN CH05 0079 0016 2531 7232 1 Rédaction: Franziska Stocker, Rahel Zürrer Mise en page: Franziska Stocker Concept mise en page: Clerici Partner AG, Zurich Traduction: weiss traductions, Zurich Photo couverture: Casique Moreira, Indien Asurini, vit dans la région où est planifié le barrage de Belo Monte au Brésil, septembre 2010 Photo au verso: Autochtone maya au Guatemala Crédit photos: Rebecca Sommer (couverture), Rebecca Sommer (p.3), IPPNW Allemagne (p.4), Rebecca Sommer (p.6), Rebecca Sommer (p.7), SPM Bosnie-Herzégovine (p.8), Markus Hubacher (p.8), SPM/Rahel Zürrer (p.9), Dzafer Buzoli (p.10), Franziska Stocker (p.11), Hamed Saber (p.12), SPM/Flavia Fries (p.13), UNHCR/Z. Sinclair (p.14), Rita Willaert (p.23), SPM Suisse (portraits de l’équipe, p.24), mad (portraits du comité, p.25), SPM (p.26), Fritz Berger (verso) Tirage: 3000 exemplaires Copyright: 2011 Société pour les peuples menacés Suisse Impression: gdz AG, Zurich, Cyclus Offset papier recyclé 100 % ZEWO: La SPM est une institution d’utilité publique reconnue par le ZEWO. Ce dernier garantit l’utilisation à des fins déterminées et transparente des dons.

Oui, je soutiens la Société pour les peuples menacés:

Je deviens membre et reçois la revue « Voice »

(cotisation: CHF 60.– ou plus).

Je souhaite verser ma cotisation par débit direct.

Veuillez me faire parvenir le formulaire correspondant.

Je m’abonne à la revue « Voice » (abonnement annuel CHF 30.–).

Je souhaite soutenir le travail de la Société pour les peuples

menacés par un don. Veuillez m’envoyer un bulletin de versement

pour le montant suivant: CHF 20.– CHF 50.– CHF 100.–

CHF 250.– CHF .–

Je souhaite être informé-e régulièrement des activités de la Société

pour les peuples menacés et m’abonne à la newsletter électronique

gratuite (merci d’indiquer votre adresse e-mail).

Mon adresse:

Prénom, Nom

Rue

NPA/Lieu

Téléphone

E-mail

Société pour les peuples menacés

Schermenweg 154, CH-3072 Ostermundigen

Tél. 031 311 90 08, Fax 031 311 90 65

E-mail [email protected], www.gfbv.ch

Berner Kantonalbank (BCBE): IBAN CH05 0079 0016 2531 7232 1

Société pour les peuples m

enacésScherm

enweg 154

CH-3072 Osterm

undigen

Affranchir s.v.p. M

erci!

Rapport annuel2010

Une voix pour les persécutés.www.gfbv.ch

Société pour les peuples m

enacésScherm

enweg 154

CH-3072 Osterm

undigen

Affranchir s.v.p. M

erci!

Rapport annuel2010

Une voix pour les persécutés.www.gfbv.ch

Contact

Société pour les peuples menacésSchermenweg 154CH-3072 OstermundigenTél. 031 311 90 08Fax 031 311 90 [email protected]

Éditrice : Société pour les peuples menacés Suisse, Schermenweg 154, CH-3072 Ostermundigen, Tél.: 031 311 90 08, Fax: 031 311 90 65, E-mail: [email protected], Internet: www.gfbv.ch Compte où verser les dons: Berner Kantonalbank (BCBE): IBAN CH05 0079 0016 2531 7232 1 Rédaction: Franziska Stocker, Rahel Zürrer Mise en page: Franziska Stocker Concept mise en page: Clerici Partner AG, Zurich Traduction: weiss traductions, Zurich Photo couverture: Casique Moreira, Indien Asurini, vit dans la région où est planifié le barrage de Belo Monte au Brésil, septembre 2010 Photo au verso: Autochtone maya au Guatemala Crédit photos: Rebecca Sommer (couverture), Rebecca Sommer (p.3), IPPNW Allemagne (p.4), Rebecca Sommer (p.6), Rebecca Sommer (p.7), SPM Bosnie-Herzégovine (p.8), Markus Hubacher (p.8), SPM/Rahel Zürrer (p.9), Dzafer Buzoli (p.10), Franziska Stocker (p.11), Hamed Saber (p.12), SPM/Flavia Fries (p.13), UNHCR/Z. Sinclair (p.14), Rita Willaert (p.23), SPM Suisse (portraits de l’équipe, p.24), mad (portraits du comité, p.25), SPM (p.26), Fritz Berger (verso) Tirage: 3000 exemplaires Copyright: 2011 Société pour les peuples menacés Suisse Impression: gdz AG, Zurich, Cyclus Offset papier recyclé 100 % ZEWO: La SPM est une institution d’utilité publique reconnue par le ZEWO. Ce dernier garantit l’utilisation à des fins déterminées et transparente des dons.

Oui, je soutiens la Société pour les peuples menacés:

Je deviens membre et reçois la revue « Voice »

(cotisation: CHF 60.– ou plus).

Je souhaite verser ma cotisation par débit direct.

Veuillez me faire parvenir le formulaire correspondant.

Je m’abonne à la revue « Voice » (abonnement annuel CHF 30.–).

Je souhaite soutenir le travail de la Société pour les peuples

menacés par un don. Veuillez m’envoyer un bulletin de versement

pour le montant suivant: CHF 20.– CHF 50.– CHF 100.–

CHF 250.– CHF .–

Je souhaite être informé-e régulièrement des activités de la Société

pour les peuples menacés et m’abonne à la newsletter électronique

gratuite (merci d’indiquer votre adresse e-mail).

Mon adresse:

Prénom, Nom

Rue

NPA/Lieu

Téléphone

E-mail

Société pour les peuples menacés

Schermenweg 154, CH-3072 Ostermundigen

Tél. 031 311 90 08, Fax 031 311 90 65

E-mail [email protected], www.gfbv.ch

Berner Kantonalbank (BCBE): IBAN CH05 0079 0016 2531 7232 1