La Libre Immo du 6 décembre 2012

16
© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit. Supplément à La Libre Belgique - N°173 - Semaine du 6 au 12 décembre 2012 CHEZ SOI PP. 2-3 “ENTRE VOISINS” - MAISON ABBEYFIELD ETTERBEEK L’AUTOMNE DE SA VIE Loisirs Château Nos annonces Dans ce supplément, 8 pages pour trouver le bien de votre choix. Le château de Schleiden fut une seigneurie importante de l’Eifel. Page 8 Le Club Med a choisi Engel & Völkers pour commercialiser ses villas et chalets. Page 7 D.R. PP 9 > 16

description

L'automne de sa vie chez soi

Transcript of La Libre Immo du 6 décembre 2012

Page 1: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Supplément à La Libre Belgique - N°173 - Semaine du 6 au 12 décembre 2012

CHEZSOIPP.2-3

“ENT

REVO

ISIN

S”-M

AISO

NAB

BEYF

IELD

ETTE

RBEE

K

L’AUTOMNEDE SA VIE

Loisirs Château Nos annoncesDans ce supplément,8 pages pour trouverle bien de votre choix.

Le château de Schleiden futune seigneurie importantede l’Eifel. Page 8

Le Club Med a choisi Engel &Völkers pour commercialiserses villas et chalets. Page 7

D.R.

PP 9 > 16

Page 2: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

2 Le dossier SEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO 3Le dossierSEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO

l Communautés

De l’art de vivre ensemble après 50 ans

h La Belgique découvre les maisonscommunes. Une asbl est à la pointe d’unnouveau concept.

Pour vaincre la solitude ou par goût de la vie à plu­sieurs, des maisons communes s’ouvrent depuis trèspeu de temps en Belgique. Cela s’effectue sous la ban­nière d’Abbeyfield, une association d’origine anglaise.L’association de droit belge agit selon un prescrit in­ternational destiné à faire vivre ensemble et de ma­nière dynamique des personnes du troisième âge enparfaite santé et encore pleine d’enthousiasme.Ce sont sans aucun doute les fruits des crises à répé­

tition qui touchent notre vieille société occidentale,mais il se fait que ce que propose Abbeyfield est unconcept neuf chez nous. Il est plus ancien dans lemonde anglo­saxon. Sous la bannière britannique, desmaisons récentes souvent, anciennes parfois, modula­bles toujours et donc suffisamment spacieuses, sonttransformées en résidences pour personnes d’âgesmûrs à très mûrs, mais pas au­delà.Cela signifie qu’il ne peut être question de handi­

caps, moteurs ou intellectuels, car le concept n’est pasune maison de repos perçue comme telle, mais unesorte de maison d’accueil qui frise la colocationcomme on trouve chez des jeunes. On pense à ces jeu­nes qui s’installent dans la vie professionnelle et qui,par défaut de budgets suffisants, obligés de quitter lecocon familial sous peine d’être taxés de “Tanguy”, ac­ceptent de partager des espaces communs avec des in­connus ou plutôt avec des amis et des amies.Donc, après les kots d’étudiants que les anciens ac­

tuels (on parle ici des plus de soixante ans) n’ont peut­être pas connus, puis après les colocations entre jeu­nes sans enfant, salariés ou employés enmal d’argent,en mal de couple et de familles à créer, voici que latroisième tranche de la vie s’organise en mode com­munautaire. Abbeyfield est une association sans butlucratif. “C’est un positionnement économique fonda­mental”, nous disait Chantal Couvreur qui est une desresponsables belges (administratrice) de cette récenteassociation dont le siège est à Bruxelles. Et les respon­sables administratifs et gestionnaires commeMadameCouvreur sont des bénévoles. Voilà encore unmot­clédans les périodes qui sont les nôtres en ce début desiècle. Le bénévolat cela représente des millionsd’heures offertes à la communauté nationale, que cesoit dans un cadre culturel, sportif, social ou médical.On en use de plus en plus d’autant que la vie s’allongeet que cela ne coûte rien aux budgets publics. “Le nomest venu comme pour la pochette des Beatles, de l’Abbey­fieldstreet à Londres et cela est resté comme indicatif in­ternational. L’association est présente en Grande­Breta­gne évidemment, au Canada, assez largement en Italie etnous nous développons dans d’autres contrées encore denotre continent. L’idée c’est avant tout de répondre à desbesoins précis de certaines personnes en mal de sociabi­lité, éprouvées par la solitude, aimant une promiscuité ré­confortante mais pas étouffante et donc ayant un poten­tiel de socialisation intéressant. Un autre facteur qui joueen faveur d’un tel concept c’est l’insécurité ambiante desvilles. A plusieurs sous un même toit on est plus fort. Cecidit, cela implique quand même d’agir avec prudenceavant d’accepter et de rentrer dans ce moule spécial. Acette fin nous avons toujours un appartement disponiblepour que le candidat puisse se frotter à ce concept le tempsd’une semaine. Cela ressemble à un stage pour que tout lemonde s’apprivoise et se connaisse mieux. On ne s’impose

pas dans le groupe mais on est coopté. Ce n’est donc pasnon plus tout à fait une colocation. Chaque maison estune cellule différente, ayant un chef et les tâches quoti­diennes sont dévolues en bonne intelligence selon les“spécialités” de chacun”.La non­tarification des personnes responsables

permet à l’asbl de tenir des comptes stricts et surtoutd’offrir de la place à des tarifs réduits par rapport àceux du marché locatif normal. “Nous ne sommes paspropriétaires des biens. Nous sommes toujours locatai­res. Nos bailleurs sont parfois des communes qui ont unpatrimoine immobilier et le plus souvent des sociétés im­mobilières. Chaque maison est d’ailleurs une asbl en elle­même. Nous préférons travailler sur du bâti neuf, carnous pouvons le choisir en le modulant selon certainesexigences. Il n’y a donc pas sauf en parties communes oùles résidants pourraient recevoir des personnes à mobi­lité réduites, d’infrastructures spécifiques. Nos hôtes sonten parfaite santé; il n’y a donc pas de garde­corps, ram­pes ou autres portes élargies dans ces maisons qui sontsimplement plus grandes que de coutume. Par ailleurs, sidans l’ensemble d’un bâtiment il y a un appartementnon attribué, ce sont les locataires présents qui en sup­porteront les frais. C’est une sorte de mutualisation decharges”.Dans les maisons asbl il y a des ménages comme

tous les autres. La vie en commun n’est donc quepartielle mais elle permet de prendre des repas en­semble. Rien n’est obligé toutefois. Pour l’entretien,le passage par les chèques­service et donc des aidesextérieures est assez répandu. Mais on peut très bienimaginer que quelqu’un se dévoue. Pour le moment,Abbeyfield possède deux immeubles neufs à Bruxel­les et un autre à Namur. “Entre Voisins” se trouve àEtterbeek. Le “Martin­Pêcheur” est situé à Water­mael­Boitsfort. Enfin la maison “Le Tour de Table”est celle de Namur. Les maisons sont en général si­tuées près des commerces et des quartiers animésbien desservis par les transports publics.Dans un autre genre, le petitmanoir de Lixhe, posté

sur la rive gauche de laMeuse juste avant la frontièrenéerlandaise, fait également partie du patrimoineloué par l’asbl. Lui, par contre, est relativement isolé.On rappellera que c’est la Fondation Roi Baudouin

qui en avait hérité et qui s’était chargée de le restau­rer. Laquelle Fondation a publié naguère encore uneétude approfondie sur les maisons de repos duXXIe siècle où l’on apprend qu’en 2012, 2,4 millionsde personnes de nationalité belge ont plus desoixante ans et que chaque année 20 000 personnespassent ce seuil dans notre petit pays.C’est aussi la période de la vie où le bonheur gran­

dit. Les “vieux” d’entre 66 et 75 ans sont plus heu­reux que les jeunes. Donc les maisons de repos ouautres telles que celles qui nous occupent ici, ont untrès bel avenir, que les gens soient ou non dépen­dants. La même étude fait savoir que seulement 8%des Belges de plus de 65 ans vivent dans des sénio­ries; et 45% seulement au­delà de 85 ans ont choisi cemode d’existence ou y furent contraints. L’idée demaisons communes pour gens valides et indépen­dants vient compléter l’offre d’un secteur économi­que en pleine croissance.“Abbeyfield” a déposé d’autres projets dans diver­

ses communes de la zone francophone du pays. Lacommunauté est un vecteur d’économie. La vie y estmoins chère qu’ailleurs et les loyers plus bas quedans des appartements isolés, surtout dans les gran­des villes. Les maisons communes sont donc des ré­ponses à la crise.Philippe Farcy

Les maisons communes d’Abbeyfield sont en général neuves. C’est plus commode à adapter. Telle laMaison “Le Martin-Pêcheur” à Watermael-Boitsfort.

Un confort optimisé pour personnes affaiblieshVieillir chez soi c’est quand même le plus agréable des choix. Des firmes commeThyssenKrupp pensent au confort des anciens dont le destin est de perdre enmobilité. Le moindre emmarchement peut poser problème.

IL Y A UNMOIS, LE GROUPE THYSSENKRUPP Ele­vator qui s’y connaît en escalators et élévateurs pourfournir toutes les grandes surfaces commerciales etferroviaires de ce genre d’appendicemétallique, aprésenté à la presse un nouveau produit permettantaux personnes légèrement affaiblies d’affronter lagrimpette quotidienne de leurs escaliers, dans lesdeux sens; le pire n’étant pas demonter. Et pour queles marchesmenant aux chambres ne ressemblentpas aux gradins des temples aztèques, il faut à unmoment donné passer à l’aidemécanique.On connaît les sièges qui glissent le long des rampes.A travers la filiale ThyssenKrupp Encasa, c’est pareildans le fait que l’élévateur est accroché à une cré­maillère. Mais dans le cas de “Stairwalker”, la per­

sonne prise en charge reste debout et marche, maispeut se tenir à un guidon, dumoins à deux acco­toirs, demanière à ne pas perdre l’équilibre. Lastabilité est en effet un autre problèmemajeur àgérer à l’approche des quatre fois vingt ans.La vitesse de l’engin est adaptable. On peut la fairefonctionner à l’aide d’une télécommande et la choseest même dotée de lampes LED qui permettent biensûr d’y voir clair à tousmoments de la journée. Celaimplique donc un flux électrique. L’objet est en effeten contact avec le courant et une batterie se chargeen permanence. L’engin prend également une posi­tion de repos qui n’empêche pas l’accès à l’escalieraux personnes n’en ayant point besoin.Ph. Fy.

ABBE

YFIE

LD

En marchant, mais de manière totalement sécurisée.

THYS

SEN

KRUP

P

RAVP

SILA

NDE/

FLOR

ENCE

S

La maison dite du “Tourde Table” à Namur est unédifice plus ancien réa-ménagé récemment et

adapté aux besoins d’unevie communautaire. Ce

type de location pour lessociétés immobilières estparticulièrement stable.

Page 3: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

3Le dossierSEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO

l Communautés

De l’art de vivre ensemble après 50 anspas dans le groupe mais on est coopté. Ce n’est donc pasnon plus tout à fait une colocation. Chaque maison estune cellule différente, ayant un chef et les tâches quoti­diennes sont dévolues en bonne intelligence selon les“spécialités” de chacun”.La non­tarification des personnes responsables

permet à l’asbl de tenir des comptes stricts et surtoutd’offrir de la place à des tarifs réduits par rapport àceux du marché locatif normal. “Nous ne sommes paspropriétaires des biens. Nous sommes toujours locatai­res. Nos bailleurs sont parfois des communes qui ont unpatrimoine immobilier et le plus souvent des sociétés im­mobilières. Chaque maison est d’ailleurs une asbl en elle­même. Nous préférons travailler sur du bâti neuf, carnous pouvons le choisir en le modulant selon certainesexigences. Il n’y a donc pas sauf en parties communes oùles résidants pourraient recevoir des personnes à mobi­lité réduites, d’infrastructures spécifiques. Nos hôtes sonten parfaite santé; il n’y a donc pas de garde­corps, ram­pes ou autres portes élargies dans ces maisons qui sontsimplement plus grandes que de coutume. Par ailleurs, sidans l’ensemble d’un bâtiment il y a un appartementnon attribué, ce sont les locataires présents qui en sup­porteront les frais. C’est une sorte de mutualisation decharges”.Dans les maisons asbl il y a des ménages comme

tous les autres. La vie en commun n’est donc quepartielle mais elle permet de prendre des repas en­semble. Rien n’est obligé toutefois. Pour l’entretien,le passage par les chèques­service et donc des aidesextérieures est assez répandu. Mais on peut très bienimaginer que quelqu’un se dévoue. Pour le moment,Abbeyfield possède deux immeubles neufs à Bruxel­les et un autre à Namur. “Entre Voisins” se trouve àEtterbeek. Le “Martin­Pêcheur” est situé à Water­mael­Boitsfort. Enfin la maison “Le Tour de Table”est celle de Namur. Les maisons sont en général si­tuées près des commerces et des quartiers animésbien desservis par les transports publics.Dans un autre genre, le petitmanoir de Lixhe, posté

sur la rive gauche de laMeuse juste avant la frontièrenéerlandaise, fait également partie du patrimoineloué par l’asbl. Lui, par contre, est relativement isolé.On rappellera que c’est la Fondation Roi Baudouin

qui en avait hérité et qui s’était chargée de le restau­rer. Laquelle Fondation a publié naguère encore uneétude approfondie sur les maisons de repos duXXIe siècle où l’on apprend qu’en 2012, 2,4 millionsde personnes de nationalité belge ont plus desoixante ans et que chaque année 20 000 personnespassent ce seuil dans notre petit pays.C’est aussi la période de la vie où le bonheur gran­

dit. Les “vieux” d’entre 66 et 75 ans sont plus heu­reux que les jeunes. Donc les maisons de repos ouautres telles que celles qui nous occupent ici, ont untrès bel avenir, que les gens soient ou non dépen­dants. La même étude fait savoir que seulement 8%des Belges de plus de 65 ans vivent dans des sénio­ries; et 45% seulement au­delà de 85 ans ont choisi cemode d’existence ou y furent contraints. L’idée demaisons communes pour gens valides et indépen­dants vient compléter l’offre d’un secteur économi­que en pleine croissance.“Abbeyfield” a déposé d’autres projets dans diver­

ses communes de la zone francophone du pays. Lacommunauté est un vecteur d’économie. La vie y estmoins chère qu’ailleurs et les loyers plus bas quedans des appartements isolés, surtout dans les gran­des villes. Les maisons communes sont donc des ré­ponses à la crise.Philippe Farcy

Un confort optimisé pour personnes affaiblieshVieillir chez soi c’est quand même le plus agréable des choix. Des firmes commeThyssenKrupp pensent au confort des anciens dont le destin est de perdre enmobilité. Le moindre emmarchement peut poser problème.

IL Y A UNMOIS, LE GROUPE THYSSENKRUPP Ele­vator qui s’y connaît en escalators et élévateurs pourfournir toutes les grandes surfaces commerciales etferroviaires de ce genre d’appendicemétallique, aprésenté à la presse un nouveau produit permettantaux personnes légèrement affaiblies d’affronter lagrimpette quotidienne de leurs escaliers, dans lesdeux sens; le pire n’étant pas demonter. Et pour queles marchesmenant aux chambres ne ressemblentpas aux gradins des temples aztèques, il faut à unmoment donné passer à l’aidemécanique.On connaît les sièges qui glissent le long des rampes.A travers la filiale ThyssenKrupp Encasa, c’est pareildans le fait que l’élévateur est accroché à une cré­maillère. Mais dans le cas de “Stairwalker”, la per­

sonne prise en charge reste debout et marche, maispeut se tenir à un guidon, dumoins à deux acco­toirs, demanière à ne pas perdre l’équilibre. Lastabilité est en effet un autre problèmemajeur àgérer à l’approche des quatre fois vingt ans.La vitesse de l’engin est adaptable. On peut la fairefonctionner à l’aide d’une télécommande et la choseest même dotée de lampes LED qui permettent biensûr d’y voir clair à tousmoments de la journée. Celaimplique donc un flux électrique. L’objet est en effeten contact avec le courant et une batterie se chargeen permanence. L’engin prend également une posi­tion de repos qui n’empêche pas l’accès à l’escalieraux personnes n’en ayant point besoin.Ph. Fy.

En marchant, mais de manière totalement sécurisée.

THYS

SEN

KRUP

P

Page 4: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Page 5: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Page 6: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Page 7: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

7En pratiqueSEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO

l Immobilier de loisirs

Club Med choisitEngel&Völkers

h Il en est venutardivement àl’immobilieret… à la recherched’acquéreurs belges.C’est fait désormais.

LE TOUR­OPÉRATEUR HAUT DE GAMME s’estlancé, dès 2007, dans la conception et la commer­cialisation de programmes immobiliers adossés àses villages, sous le nomClubMedVillas&Chalets.Les unes à lamer, les autres à lamontagne.Etonnamment, il lui a fallu près de 5 ans pour

décider de se choisir un opérateur belge. C’est dé­sormais chose faite avec le lancement de la com­mercialisation par le réseau d’agences Engel&Völ­kers. “Nous n’avions pas de distributeurs sur la Belgi­que, confirme Véronique Bertrand, directrice deClub Med Villas&Chalets (petite photo). Nousavons lancé la commercialisation par étape, parceque cet esprit immobilier était nouveau pour le ClubMed : la France d’abord, la Grande Bretagne depuisun an et maintenant la Belgique. Cela ne veut pasdire qu’il n’y avait pas de demandes directes, mais el­les étaient alors acheminées aux intermédiairesfrançais.” Sans grand succès apparemment puis­qu’aucun Belge ne fait partie du club des proprié­taires. Alors qu’il y a des Français, des Suisses, desLuxembourgeois, des Britanniques… “Les Belgesont une affinité forte avec la marque Club Med,ajoute Véronique Bertrand. Il était normal que laBelgique soit notre prochain marché.”Sans grande surprise, il a choisi Engel&Völkers

pour le représenter. L’agence est en effet spéciali­sée dans le courtage immobilier des propriétés ré­sidentielles haut de gamme. Mais surtout parceque ClubMed fait ainsi d’une pierre… trois coups.Un, Engel&Völkers, c’est en Belgique un réseaud’une vingtaine d’agences dans les trois Régionsdu pays. Deux, le master franchisé belge (l’ensei­gne est d’origine allemande), couvre aussi laFrance (qui n’intéresse pas le Club Med puisqu’ily a son distributeur local Marc Fougols) mais en­core le Grand­duché de Luxembourg (qui agrée leClub, bien sûr). Trois, l’enseigne a une forte pré­sence à l’international, dans pasmoins de 37 paysdans le monde. “C’est important pour nous, ajoute

Véronique Bertrand, car nous ne voulons pas nousfermer aux autres marchés. Mais dans un premiertemps, c’est uniquement au Belux que Engel&Völkerscommercialisera nos produits, pour s’y familiariser.”Club Med Villas&Chalet n’a pour l’heure lancé

que deux programmes de luxe, qui sont donc dé­sormais dans le portefeuille des agences belges etluxembourgeoises du courtier. L’un sur l’Ile Mau­rice, adossé au Village de La Plantation d’Albion :40 villas de 3 ou 4 chambres, dont 26 déjà cons­truites et partiellement vendues, et 5 en cours deconstruction (à partir de 1 529 000 euros horstaxes pour une villa 3 chambres). L’autre à Valmo­rel en Savoie française : 80 appartements de 2, 3 et4 chambres dans 19 grands chalets, dont les deuxpremières phases sont finalisées, soit 46 apparte­ments (à partir de 546 000 euros hors taxe pourun appartement 2 chambres de 83m²).Le concept proposé par le Club Med est avant

tout immobilier, puisqu’il s’agit, pour les investis­seurs, d’acquérir les biens en pleine propriété.Dans des lieux magiques, qui sont la réputationdu T.­O., “plus­value à la clé”, ajoute VéroniqueBertrand. Mais à la valeur patrimoniale, il ajouteune valeur “plaisirs” : ces programmes sont en ef­fet adossés à des villages existants, dont les servi­ces en all inclusive sont accessibles aux occupants.Les propriétaires peuvent opter au choix pour

une acquisition traditionnelle ou pour une acqui­sition en gestion locative. Dans ce dernier cas, ilsprofitent de leur bien durant 3 à 6 semaines paran (qu’ils peuvent même échanger vers une autredestination, parmi une sélection de cinq VillagesClub Med renouvelés chaque année) et confientleur clé au Club qui en assure l’entretien et la ges­tion courante. De quoi générer des revenus quipeuvent, selon le taux d’occupation du bien, allerde la couverture des charges de copropriété et desfrais d’entretien à une rentabilité nette supérieurà 3% (pour un tauxd’occupationde 50%). “Le ren­dement n’est pas garanti, reconnaît VéroniqueBer­trand,mais on est d’une très grande transparence.”D’autres programmes sont à l’étude. “On reste

prudent et cadrons les choses, conclut VéroniqueBertrand. Surtout que le périmètre économique n’estpas des plus favorables. Mais le potentiel existe, que cesoit dans de nouveaux villages à construire, dont unmorceau de terrain serait réservé au pôle immobilierdu Club, ou alors dans des villages existants dont desparcelles mitoyennes sont disponibles.”C.M.

A Valmorel, Club Med Villas & Chalets produira à terme 80 appartements dans 19 grands chalets.

En brefLe “Toison d’Or”,enfinLes communes d’Ixelles et deBruxelles ont récemment oc­troyé à Prowinko un permisde bâtir pour un immeublemixte logements­commer­ces, avenue de la Toison d’Or.Plus précisément, dans ladent creuse de l’artère com­merciale. La construction dé­marrera début 2013, ce dontse réjouit Prowinko qui at­tend son sésame depuis delongues années. Le “Toisond’Or” disposera d’environ12 800 m² de surfaces pourdes magasins, 84 apparte­ments (dont 8 cédés à la com­munequi les affectera à du lo­gement moyen), 2 crèchespouvant accueillir 78 enfantset 326places deparking, dont20 places pour motos. Il estégalement prévu 139 empla­cements pour des vélos. La

construction devrait durerenviron deux ans. Prowinkoélaborera une charte de bonvoisinage et une communica­tion permanente pour la du­rée des travaux. e

A l’hippodromeLa procédure de désignationdu futur exploitant du site del’Hippodrome de Boitsfort aformellement démarré le30 novembre par la publica­tion d’un avis de marché. Sonobjectif : le réaménagementdu site en un espace vert ré­créatif et culturel à l’attentiondes familles et du grand pu­blic. C’est la Société d’Acqui­sition Foncière (SAF), futurebénéficiaire d’un bail emphy­téotique sur le site, qui pilo­tera la procédure de désigna­tion du candidat qui devraitdurer 6mois. e

Question time

L’enregistrement dubail est obligatoire

Si vous concluez un contrat de bail de résidence prin­cipale, n’oubliez pas d’aller le faire enregistrer ! C’estdevenu obligatoire.Le but de l’enregistrement de votre contrat de bail estde lui donner “date certaine” et qu’il soit “opposable”à tout lemonde. Par exemple, si vous êtes locataire etque l’immeuble que vous louez est vendu, le nouveaupropriétaire sera tenu de respecter le contrat de bail,aumoins durant la durée légale pour pouvoir donnervalablement un renom.En principe, c’est le bailleur (propriétaire) qui doitprocéder à l’enregistrement mais s’il ne le fait pas, lelocataire peut le faire enregistrer lui­même. L’enre­gistrement doit se faire dans les deux mois de la si­gnature du contrat de bail.Comment faire ? C’est très simple. Il suffit de présen­ter au bureau de l’enregistrement compétent troisexemplaires du contrat de bail signés par le locataireet le bailleur. Chaque partie en conservera un et l’ad­ministration aussi.Cela ne vous coûtera rien, c’est gratuit !Vous pouvezmême transmettre votre contrat de bailpar email, poste ou le remettre sur place.N’oubliez pas de mentionner certains éléments im­portants dans le contrat de bail : les nom et adressedu bailleur et du locataire, la date à laquelle le contratprend cours, lemontant du loyer (+ charges) et la des­cription de l’immeuble.Pensez aussi à dresser un état des lieux. e

UConsultez votre notaire pour desconseils sur mesure ou rendez vous surwww.notaire.be.

Libre Immo. Supplément hebdomadaireà La Libre Belgique. Coordinationrédactionnelle: Vincent Slits. (02 211 2913 - [email protected])

Illustrations: Etienne Scholasse. Réalisation: Sodimco.Administrateur délégué - éditeur responsable: François le Hodey.Directeur général: Denis Pierrard. Rédacteur en chef: Vincent Slits.Rédacteur en chef adjoint: Pierre-François Lovens. Conceptiongraphique: Jean-Pierre Lambert (responsable graphique), BrunoBausier. Publicité: Véronique Le Clercq (00322 21127 64 [email protected])

CLUB

MED

CLUB

MED

Page 8: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

8 Vie de château SEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO

l Vie de château l 648

La marquede Schleiden

h Le château de Schleiden futune seigneurie importante del’Eifel.

hOn y vit des famillesconsidérables comme lesManderscheid, La Marck etd’Arenberg.

A QUARANTE­CINQ KILOMÈTRESd’Eupen, en terres allemandes, aprèsavoir frôlé les flots de la Roer qui fontpétiller la charmante cité de Montjoie(Munschau), on arrive à Schleiden parune route bucolique émaillée de petitsvillages piqués de maisons à colomba­ges. Nous sommes en bordure du parcnational de l’Eifel. Le tourisme est unedes bases de l’économie locale. Belle ré­gion donc, où les sapins ne sont pasmaîtres de tout et dont les seigneurs dejadis tiraient de grands profits. La proxi­mité n’empêche pas l’exotisme.Du Schleiden ancien, il ne reste pas

grand­chose et la petite ville posée aucreux de sa vallée de l’Olef n’a plusbeaucoupd’âme. Le château lui­mêmeafurieusement souffert lors des derniersmois de batailles contre le IIIe Reich. Illuimanque désormais l’aile de retour etla haute tour médiévale réduite à unedemi­sentinelle, sans toiture et éven­trée, surplombant ce qui est le vrai cloude la ville, à savoir l’église gothique.Depuis le versant faisant face au châ­

teau (photo ci­dessus), on voit que labâtisse aligne vingt et une travées surquatre niveaux pour la partie occiden­tale et trois niveaux pour la partieorientale qui possède vers la vallée unetravée en retour. Les toitures couvertesd’ardoises sont en bâtière à croupes. Denombreuses lucarnes ponctuent la toi­ture, à chaque travée. Sur la cour (visiblephoto ci­dessous), on trouve du côté de

l’Orient, une tour engagée à huit panssommée d’une toiture en clocheton ré­cente. Précédemment cette tour étaitcrénelée. Les murs sont montés en ungrès local à dominante grise ou rouge.La porte d’entrée anciennequi se trouveà droite de cette tour engagée est ornéed’un reste de fronton animé des armoi­ries LaMarck.Après avoir regardé le châteaudont on

ne voit de l’intérieur que le restaurantsitué dans d’anciennes caves, il faut allervoir l’église. C’est là que reposent les si­res de Schleiden de la famille des com­

tes de Manderscheid à qui l’on doit desvitraux du début du XVIe siècle. Sansdoute réalisés par des artistes flamands,ils sont magnifiques de qualité. A euxseuls, ils valent le détour.Puis il y a dans ce temple de pierre

rougeoyante des tombes de fort bellefacture dont un superbe monument enmarbre noir (de Theux ?) du XVIe sièclequi abrite le couple d’Ernest La Marck(1590­1654) et de Sybille d’Hohenzol­lern­Hechingen. Par sa conception, il estproche de celui des Glymes à Jodoigne.Oude celui des Pallandt à Saint­Etienne,

au village de Reuland.

Les histoires des familles successives àSchleiden sont très complexes. Lemieux est d’aller sur le site de la Fonda­tion d’Arenberg (*) pour appréhenderunepartie des siècles écoulés par ici. Carles actuels ducs et princes d’Arenberg,membres de la troisième Maison de cenom, comtes de Schleiden, régnèrent icien un territoire obtenu des comtes deLa Marck que nous connaissons touspour avoir donné trois Princes­Evêquesà la principauté de Liège et des sirespuissants sur Bouillon, Sedan, Seraing­le­Château, Neufchâteau, Rochefort etLummen. Schleiden avait fait partie duduché de Luxembourg, et était arrivéaux La Marck par mariage. Il en fut demême avec l’union en 1748 du princeCharles­Marie d’Arenberg (1721­1778)avec Louise­Marguerite de La Marck­Schleiden (1730­1820). Une journéedans la région sera donc édifiante en cemois lumineux d’étoiles en commen­çant par Aix­la­Chapelle, puis en des­cendant vers le marché de Noël (magi­que) au châteauMerode à Merode­Lan­gerwehe; on descendra ensuite versStolberg puis Montjoie et enfin Schlei­den.Philippe Farcy

U (1) www.arenbergfoundation.eu;http://fr.wikipedia.org/wiki/Mai­son_d’Arenberg

L’ancien château fort de Schleiden fut détenu par les ducs d’Arenberg aux XVIIIe et XIXe siècles. La demeure, très endommagée en 1945,abrite une maison de repos et un restaurant.

PH.F

Y.

PH.F

Y.

Sur place on peut voir ces photos d’avant les destructions de 1945. L’aile de retour n’a pas été remontée, pas plus que la tour carrée.

PHIL

IPPE

FARC

Y

Page 9: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

9immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO

Page 10: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

10 Annonces immobilières SEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO

Page 11: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

11immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO

Page 12: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

12 Annonces immobilières SEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO

MAISONS À VENDREde 250.000 à 375.000 €

21-101398703-03

21-101398701-01

MAISONS À VENDREde 375.000 à 500.000 €

21-101416501-01

21-101398702-02

21-101416203-03

MAISONS À VENDREplus de 500.000 €

21-101411613-13

21-101416406-06

21-101416207-07

21-101411616-16

21-101416404-04

21-101418510-10

21-101416503-03

21-101411610-10

21-101418508-08

Page 13: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

13immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO

21-101416610-10

21-101416504-04

21-101416204-04

21-101411603-03

21-101418505-05

21-101416201-01

21-101411605-05

21-101416202-02

21-101416206-06

21-101411602-02

21-101416602-02

MAISONS À VENDREprix non précisé

21-101416408-08

21-101416405-05

21-101416407-07

APPARTEMENTSÀ VENDRE

de 125.000 à 250.000 €

21-101418503-03

21-101411612-12

Page 14: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

14 Annonces immobilières SEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO

APPARTEMENTSÀ VENDRE

de 250.000 à 375.000 €

21-101411611-11

21-101418507-07

21-101418506-06

21-101418509-09

21-101411617-17

21-101418504-04

21-101418501-01

21-101411607-07

APPARTEMENTSÀ VENDRE

de 375.000 à 500.000 €

21-101416605-05

21-101418502-02

21-101416606-06

21-101401001-01

21-101411606-06

21-101411609-09

21-101416603-03

21-101416506-06

21-101411604-04

APPARTEMENTSÀ VENDRE

plus de 500.000 €

21-101416601-01

21-101416607-07

Page 15: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

15immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 6 AU 12 DÉCEMBRE 2012 LIBRE IMMO

21-101411608-08

21-101416208-08

21-101416402-02

21-101411615-15

21-101416609-09

21-101411601-01

21-101411618-18

21-101416403-03

21-101416604-04

21-101416205-05

21-101411614-14

21-101416608-08

LOFTSvente & location

21-101416401-01

VIAGER

21-101410804-04

21-83200403-03

21-101410802-02

21-67470110-10

21-101410801-01

21-101410803-03

21-101410806-06

21-101410805-05

MAISONSà louer

21-101206701-01

SALLE DE VENTE PAR NOTAIRES34, rue de la Montagne ­ 1000 Bruxelles

21-100907101-01

FACULTÉ DE SURENCHÈRE

21-101400101-01

RÉSULTATS DES VENTES PUBLIQUESBruxelles

21-101408017-17

21-101408016-16

21-101408015-15

21-101408014-14

21-101408002-02

21-101408009-09

21-101408007-07

21-101408006-06

21-101408005-05

Page 16: La Libre Immo du 6 décembre 2012

© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.