(0 fie AJNiNEl' ;8 209 BUI E tb.X : lu li t9riul 54. SAMIEL?I 30 JUILLET 136ïi.

L T -.

A60aVNEMENZS - i7 1R. J UMA ANNONC83.

r,TOULOUSE, U. su, 40 te.; 6 mois, Y4 f 3 mots 4i Tr,

e11 recu'j les abonnemt LJk, et les affiJOUCes : 4n oe 1 liq ..-,,. .. .-. 1r. st

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4tal0OU,Se,-30 Juillet 0uutesL 1111, PAJEIi'(Par dépB I )

BOURSE DE P141S.J

t efj i ln 1864

UU GOJRS DES P1iINA c 1 tant

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A terme

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3 7 60 C N t et nd, .,. m p.500 f, 125 p.

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OBLIGATIONS.

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212 50822 50138 75497 50100 e,67 la)

I1.(Suite. Voir le Journal de Toulouse do 20 Juillet).

Mies Lise regrettait bien d'avoir cédé à aceusité puérile eu demandant eue histoire de

lieus; le jmme et b eau marin fronçais u ilplan l'air de séccuper d'elle, il ne pensait optaisqu'a Ilungo Park, et ses regards, perdes dansl'es ace deiep :z; nt chercher une avise Afri-que sur linent australien.

En ce moment, des matelots, par ordre du,a ondes, dlruuloienl lias miles sur le Peut,

s col large tenie. Les cabines étaient inha-Idlnbles, à cause de la chaleur. La nuit étaittiôdo, et invitait au sommeil sur toute la lar-geur du pont. noul

oui, dtlen

rois eépa splus, comm 'lit M1 fl r t neu, p.etons 10,09 t tt 11 0 scasailendren,i l'I plu, d e dfines,-, M. Albert s Sommer va nouscha,itee...tout er qu'il voudra ,-, la musique et la chantme ravissent à bord d'un vaisseau, dans unenuit des tro i ces.

antEt s'envelopp d'an sari, elle s'éler,Jit surune natte en posant sa lote sur nn oreiller de

voile roulée assez dor.

- Mies Liza, dit A1belles , que voulez-clos

que je vous chante eCe que volas voudrez, voue ai-je dit ; le

sujet m ers indifl'éren[.- Alors, mils Liza , je vais volas chaude,

une hymne que i ai comp rée en l'honneur denotre astronome Marcus AVt0 , qui est 6lxbli 'l'observatoire du Cap de Bonne Espérance e oùje lui ai serré I,6 main ces leurs derniers,

- Je ne vous ai pas dit de parler, reprit

ni t e p 7 h moue. p u d provoquer là,i u ga[ [ les l ,e sem

"l' d h le hf t-l F DM l'dran.a laula,, I S' pt tdf l tel ( 1 F hâla

d6 16 t fid 'B'., 'mais"I u l balle, le ,ardi 2 colt, à 7 h d u t l na t p 11 t Iir i iela s......,. , d e i -C I t. t 1

- Ilw r miques.

e00 0050 55 0 00

66 o5 Il 00! 6 0'1 1 0064 93 000

éd'l li 1' 785 t0 2 60l`Bdt I Ep.. 60500 250

coolinus ce ana.

.I 10aes.......... 870 00

Vord Eap......... 4i9 00Lyonlit,.......... 898 75tlidi.... ........ 840 00kelu icLiens... .., 425 onLombarde,,,,.,,, 598 73

geragosse........ 521; 25

0 00Il 0060!;0 000 00

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8 75 0001 25 0 00

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a.- na non...a.

Cavuolidge:1 h. ,., 9u28 0118

Jt AJJiSF DE 'GOlIr-00 HBou 38 urr 1004.

D, 10 ll Reures du matin.ru o t

5 p. 100,.......... 66 10-055112°/n,,,, ,,,,,,,,,, 0400Ob. Ibch ................... 11,3 7501 S .. ..... ..... 2h1 25Scolie 237 50Oltom N .... IS 75-340 00

NRFF Lt 1E45 1`J l kid Oe 4 t'035( ENC h q 2h juillet.

Onitdans 1 r,d ! eo en

os 1 td f

a. mi en1 é16 t q le All. 3 s-tereiens pe ,chut m lampa , pusse , n desd haches. si eulu .II f t I tévident la f t t ét i,..t00001n v e t ,vont I arrvoe des plé.mputent ires dans.

Rerlin, 27 juillet.Les avis de Copenhegne orne yui entnl.

hier, dans la sé:mce dn Col kethiug, le prési-dent dn conseil ayant conseilla de ne pas

a

don-suite à l'adresse proposée, SI. Jagd a fait

lapr uelitivo sovaal0. 1. C kth,ag p, lui à l'ordre du jour, ?, l

suite de la dédorai: oo faite ulou o'aas parlee

président da co sait, attend,quo

e l'assemblée,e.4 as oseille asionne,

aa goaveuennui.die embarras

La proposition la gdsera discutée demain.

Le Journal de Dresde d'hier dit que la non

velte donnée par roi tans Jom noua du rappeldu général de lookr n'est nullement choe.mée.

0r5,nehs an rr n svnmTutus, 27 juillet.

La petite armée do IJey a nie faite pr sonmore sans combat. Les Arabes ayant fait la

Liza; je vous ai prié de chanter.

Llza, la jeune Irlandaise, avait repris le ca-,actère vif et eujoiie de ses eo pntrintes , etson frère Houri, en r trouvant Ix vigueur etl'énergie sous le ciel do tropique, ove t re-lrouvn aussi, comme ou le ,,,a bientôt, lejoyeux naturel oies en toute de la vante Prie.C'était lino double troosformation.

- On est heureux de vous obéir, dit AI.bectes.

11 prit son instrument et l'accorda long-emps.

Par bonheur, ü n'y a pas de liens à côtéde nous, e, ua le jeune Irl:mdai.s Fleuri.

Alherme, ,torcha dans en. rouvre, u'eniru-dit pas celte

ubeoremarque,

cl, après uu long pré-lude senammeod eomposl, il commença. Voicila traduction :

A Murc,oe Wall.Quand la nuit n'a point de voiles,Toc orgueil souffre eu montantV I l s- 6 d é les,Joy d'un dions 6 I s t

S f t.! m ,Q D ja e- IlitL ofiffi es voit pas Ih me,Lt t honore voit 1 bobo, 1

Nbeetus :,llailelo 'noter le second couplet, lors-que mis Liza l'arrêta on lui disant:

- Ilnel Aga aeaz-vona, mm-sieur Albertus7

-Vingt-cinq en, , dit le musicien.- Voire clrunsnn eu a gnnire vingt, reprit

Liza; rien savez-00000 pas une pmsj rouet vousavez endormi M. Tenu, Trafagar.

-71011 di, Tonie, j'6conte les yeux ferméset las oreilles onvorles, Cootimiez, Albertus.

- Monsieur Alhartns, dit, Lizo a orohalom-meot, ou connai,ricz-vnus pas quelque chose

grand que l'infini?compositeur , iogénu comma loue les mu.

alliée. sl!Ions rade, eegoeda la jeune Femme, agiueillit chercha longtemps, et suf n, après

un sourire significatif, il dit :

fur st 1Srlr.p 2 J J ,11 t s

par décret impéol I7 Rernd tm d M II

d Cla a t 6 p l ai

ce soir hu llt d aff 61,

E p geaPst I p le t 1 t Sté

on d g.d.l R.d9 M j té xp 1 et que les coloris

ePat 1 6 lilial l lot emagna et le Dans.mark aient êch,ré.

I Bain, l t q Ils spère que les argentaos ,ti d. U dl 6 a ts él

blit i r paix.

S, ai toi ira ou dépl- t la guerre desEt01s 1.ns /Amérique. Elle annonce que legonverremem oonliouera à garder la ueutro.

té

Autre drp®che.Pins, 30 juillat.

Le Moniteur pnkho le teste du décret relatifà la démeion du f I d'Oral re)elon{ la re-

quéte de l'Acad6r ,:.des beaux A,11.

L (' tic le[ d t J g6G y 1.

ovtop

e

Jl'Ail a P ,t 11 t'.Ipe l p s - df t eue poli-Il q t p I pot. dla ll t Illol 1 q I oIlI 1 dioa de0h00 I.e {.1 li sslep IBy t l- q 'I I t 1 dLl questionsans jles parties év enI All g d t le t M L moy

t u b e d Vienne n t d B, Iq 6t e

dessol t s,ér,euses, peodmre ami4 " asier dusabl.

Marché de Par I du 29.510 Betterav l'0 00 1.

Oo50UlOlM94 Jl . 1P As.Mi.

ce mulousal.VereJJCal+oa Bel d pis caae,éx par da grêle11,

tombée 1,17 juillet 1804,Le Maire do la villa te :Toulouse a l'honneur

d'isPonner sea administrés qu'il sera proeéd6l a 1711. 11 Il' 1 l'. le r,0uuou sda,

es l' 11 le I', éfet, 311co la!inn des poli', qn ils a ,aient 6preu Sesp:m l'effet de Lr grêle to nfalJle. 17 juillet der-

el qii ils sial Aies lors invi/6s à se présen-tiriau.x lieux i-dessous indig050,oùilsprodui-ront ur état dS1ailI6 de leurs pertes, avec leurver0saement dos aoulribuUOOS de l'année cou.

ilote; savoirl 11 p élairesU 1 1, d l'6coho comma, ale, le mer

crscr d soin, 6 7 Il. du main.D 1 "Il, dés d t de

églile, Il jouli b ûl à 7 b. dD f h ll unetov e Fécale 0 éIêl ea,re,

le ] d 5 {t, à 7 h, du malinL L D ,de et Périls : à l'écala rom-

mIcale do Croix Daurade, le samedi 6 août

rvrlle: le marc edi 't il p p 1.1 t d I,

IlU r

! l d t d J I dl - Ih 126 0 I, jeudi p d 4 q 1 rapports, osU L' d 1

4 siot', 11 1 1)2 I Il 11 I IsD i t d 4 1 a I. d 'r t t g I t tmoI 1e

v e n d r e d i 5 ûl 11, 1' lf. P[r lob rJ (1) Il

De L,es g It d f 1 tf n 1 t c 1t I.lu l'eu

radier, la sain d t 11 1 112 j t'f nieuto

0.l J s P` p

D 5 l S i. l' R6 1 r l t f a de pareilles

rocher, le I. 7 8 t, à d' 1 gea e Q d I°9 t p ' uuloesleurs/cidre eux qui v u t p

fait1

1 q 1 té j d 14 n o rat utdis

Y 6nlae eé aux four et fier d e é p I

I, I t r VI s

cent an e pressai C p lo e (Pureau d co 1 la I r q , [crotté .i i fptribu0aus), le mardi 3 rt, à midi, pp l a d. 1 g

oh Toulouse, le 29 juillet 1850.11Le

Comte o L o

Par dri,ismo de Pi. le garnie l es sceaux ,Pl'ouverture de 'e aessicn des Assisca 001eaordi-

gre de I'Aribge, st Gsée on01, Ionstaaprésidenee de M. 1000, coj', s

ueillerà la Coor

mpur oie de' T l s u

,1II1. de I.al a t C - 4 à P

On sait que la grave affaire 1 I bas0da dl II

Besplus doit lire Iodée claos JI -.0000.

Ii Alex 1 1 I I l a o I.soilI,dent i I: d'. p l l' se

t. I 2aJ f' d l' hc

fonder f t

tt. é i a é. iqui, 1gra dés'. r0. par le I I viol e d

1 I L I I d 1 &1 d p fde I l ' I 10070 'il né, a a

moi, l' do Ir,rires de la f

Beaucoup le p pi l'I d 6 1 je d et le di h

p d p bi q I tz t sI I t N p l. p r o - II i

{ 11 Il y a 1 I et Il Jvoir Inu Il I11F

sono, des osé t 4 q t I l. 1 gas'uiléus fila, pl .b IL le pour I di

l

t

a ¢s rail ,I han unie art ,rnpléle,non l ift

palo'

Ne serait il I possible d l' I, à nos il,.sas en h t

1ly 1 1

dru t où ce Placent les 10 ,. mi os Lu sunploplancbar nubile de 60 centimétees a 1

Î30000

d'élsvation i 'ait clmn é de mcilrm eplar, et d'enever 1ntrep,'coeur des chaises r1du luminaire, sulhroit, croyous- - Le sonu élacl plus rimé se prop

aitboa

oup mieux, et] les nombreux Promeneu.pourraientainsi voir et é00nterà distance, sans

il bu. i de s'agglomérer, de far rch i cumpaote, nayérétreble il l'air,, et roui

g0ne eonsrderablemrnt l'exécution.

Le quartier d l d. a lies loca Lies qmut eu le plue Yf J dévasmtinne çaséee car roraag 17 I :I 1, e,l en émoi dp d d 1 I s d'un,

.II sl a, ge q le de 1 hbouche , s qui t l plus gisait créditParmi les habitants . 00 r nto que le fié a

rait particul,brem0nl sévi dans celte cotr6e qii à la saille talion d un dcramant, dont la 6agueue magique aurais le

- Vous aimerez sans Boule mieux Ira part Prote sus pieds à la gazelin,taon, ana ehnnsou indienne, pafexemple ailla isl ans rayons nu 0rmument.qui est menue sous le ,loin de la Sultane du l I tant la Voir avec Ses charmesSoleil,

- Oui celle-là, dit la jemre femme,- Vons la oucaissee, miesaP- Noo; mais, puisqu'il y une sultane, il

doit y avoir...on

sultan. J'aime misa ça quevotre astronome du fap.

Le musicien commença par un de ces prélu-des qui annoncent les langorrenses mélopées datous les peuples orientaux; c'est toujours chez

I:: mélancolie suave qui accompagne lo.s ro-e,,son lao extases de 1300013, Le Grand S.-es

toit, qui mit Iant d'ardeur dons les passions,' ,spire qu'une calme et tendre mélodie à ses

anmislos qui les expriment. L'amour aime lefeuil Mas le Nord,

Crue harrm,nie meneuse est eu parfait an.gord avee les nuits étoioles et les heures silen-

s dos Fléau, du Sud. La lumineuse Jm-e

usiné de la nature inspire à Phomme de Grau-qo

1

i fidenres ; il n'ose parer hont de-va t e eposant et universel de 1, merr0.

C It, f prélude du partes charmale 1 idi o u i taro, et tous les yeux il Sacrentsur lo jeune usicien,

' 11TIlIa eU sonda..Si tu veux la oonu0ll-e é aleCo qu'on dit Daï-Nnihn;Peu r la regards', s'ursa roule,

Unoorr e Salol s'a Ilits.EII donnait la belle flic,1?t nous'fines

'a

n r6v .mbrilleSur son fion, a la gràce b,

Ua baiser le,ol r de soleil.Sur es s freloh s rives,Où 'ait 9a palmier,ll.' ro.e Moidl osI: aima le premier.

Jamais Die, n'en lit do plus belle!Sao Naiba, trésor d'amant,

Qui ont le paradis les yen

s 1

'eu,de nosemoe, a Idée aveuli Ire t

,quo,e pllt -IpJrand, I biII t

home ce rédulé ,u globe l IL -cceptee des histoires aussi peu vraisemaFies, mots racole pour les propager et le. gros-

sir attire m sur .

.crsalnnont oI u a'as

p, le faisantm pic vol

,lomr d'are yu d n a pas et n al ueqau a est e s les Ivres de latpoI 0 eau doit ci,

pp,caJrI les causas Il

pcrr>ru q'r an cil, vnnlu eclé,hir s, rrage lu 17, oI d0 c mprenar que le1 tle n'allant d d

ouesl, 000,[

a, en5

1 Jo` ! t d rmhr

iIl e d Bop I m.uts h-olfies, , c<us d e encan sus ravages a La-

fendu.

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0.l ) l'. 16 pIo,B le con, éIi (1 pli d'-

2 ! t 1 lt 1 i ttéd6 l.. L d

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i, o,t 1-1- ,l nét ta t be d 1 0t i. lanon

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n h6 l une f auteur detitr et s'est fracloré la croie du là-il

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Allant l boit heure, il,, -il, laI Il lgé 1 1-

. aie rc,vu's6a

r , iiuio, s, t incadu liaveliu. II' , 1u plusieurs conlusiouo sons

graviié.

Lu mémo jnur~ 5 home, l deniic, doncjeu saile l J. I a drm ms, slai-

ee, d, la 6a , pins 'la nioolin dis

liazaole. I.e lnln les a a'rt entroioés , ils

rn, eisquU, de. so nopeo. ti ils n e11G

été s uv0s pur deux jeu rs gens b Ot noua 0e-gretluns Vos pas am,nanrc les noms

BS-a IRONS 1'x0 UI U(IQUBSD 6l B b

Du i Tilt 1861htrmmn6, i,r ntie,raae {

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(1. 1i, l' t I 1 .lesel-nie, %

n p. f ldq 1 d 1 6 , le ou aloi ]ai

l s tp m,t I.f. I.p g Ias 1 If d,., no p,eeod bal sans

r

Un vent frais circulait déjà sous la boue dalueri et rappelait l'auditoire au dortoir les

bines,

La apitine, ivre de joie, se tramait lesnoms, et, rapprochant de Trafalgar, il luidit ,

- A la pinte de jour, n ans allons file,quatorze nmuds; comme .Lrdéde, rie connais

vnt,-Que le diable l'emporte, ce vol. s uf-

fleur de mert dil Tanin ei se levant; il nepouvait pas 11leudec le c.Ici 1P

-Quand le e,rd.ouest se lève avec le soleil e

heure

repli,le capitaine, il loi fait lu révérence uneaprès. Ignorez. vous cela , mon jeune

loup de mer?- Et n'édnes-nous pas heureux comme des

i? di,'Tonin. Nous venons de nous reei.tailler an Cap ; n avons des hiscuila, dessalaisons et de l'eau por trois mois, et celleespeen de mistral enrhumé viens cous ddran-g 1 it lien, comme la mercredi,paillard I demande pas -. Là, voyons,ou as

Lil,1l jeune femme' ou' sacs avez0

litet I c' p,tau a n'a [,as lori : le calmeplat faisait son désespoir et il veut arriver.

- Par la Idole mroix1 ait le rv pilaire, c'estm Il. nésier d'arriver. Nous torcherons Mada-

n pas omenl,g, r damai r.l"l' alol;;ar Y Vous ae c bol e pria à tua.

cher et"'a ,

lr du pirate à vendre; rP vinaismettra des gourdes à In poche, j'espéra ., bleu

tond rte fait en signe.., Ln alleudari , allezprendee du repos, v.as en ares besoin,

- Je descends, ditmi,e Liza en l'riasonnanl;la unit devient trop fraîche. A demain, mouintrépide sauveur,

LI. cllo trndil ]a main à Trafalar, qui lui ditavec 6n potion

- Vens avez oublié les de., derniers versdu pantoum Y

- Non.

Quand eue Floue, on a des tannes;Quand cite rit, on est joyeux.

Sous en ciel qui doreUn soleil fécondLe roi du IlysoreL'aima le uecond.

Quand aux collines du IlysureLes étoiles d'or ont p:ili,

LLe premier chant dubenga!i,re

niai je dis ans 'ani'spremier chant deP"""ain amur,[,a

Et le dernier, quand sous te. aille

La nuit d'6bèue éteint le jour.

Tous deus sur leur trôneL'aimeroai deux jours,Et mm, saur ouronne,je Faille toujours !

L p t. boisese lova; la me, f,ISSOnt d, n vt e; n e tendit le frôleme t

dus flammesa

et des pavillons à la mine desoàts.- Voila le viol! cria le capitaine, et le li...ci

er culant au gouvernail.celle banne nouvelle ne ,rouble pue l e jeune

auditoire dans la r0Vmao i naît de le plon-ger le chant da musicien.mLa vvolupuaeuso 0uiaue. expirait à eu rote dernibee, et on éooulait toujours, Ce vent si favorable était rogmdé

urane un imporlon qui, binant le calme dola ver unie caMait son profane murmure à lamélodie deml'nour,

Les matelots endormis se réveillaient ensaut à l'appui r oapilajne; ils ébranlent

le sous Icrrspid

eds mords, et le feuras desrait do la proue ' la poupe ,

de l'échcilo des bastingages aux bulvousdes hu-niers.

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nr, 0-,7's7 N :. e X 0 Iv v S- 1 I 1- I... .

â h dn soir, 0 ,768 2 id. \ m :ul Bs a.,+ u tout I - nn te , ao beauIs biome re mot

_est a,-d tl

beau, tempsla' I l I u 4

or ostt te Chrso çss l t ::I r

A l,ch, 2R i,tllell roté istég .I uf oi

lratme t 61' . viennent t'6t l e-s,,aa, l'asile des a :ends du départamcnt.Colle mesure a amené taus nom rellemer:t

,la changement dans le personnel.M. le ,]nomme Telllron a été nommé, per

décision eu date dll 19 de ce mois, directeur-nédecin de l'asile public de Saint-Robert

(IsA . I,vlrosse est nomme directeur de l'asile

j,ub{io d'aliénés du Gers.Les fondions de médecin ce ahel sont eon-

fbes à nl. le docteur Péon.(vie aux eugeu 1 ! l e ,. (J -i, '2l

gnes) ouvrier du et f t Ils tdiva] .h t de 5l' G 1 é'. b-g

c qai ly Il - s 1, sa I deux teGers ])ans t endroit le l't de rla i vie e esttrès pro fond, Rey, qui nageait fort hieu,rplon-

eboil heuresadu matis et neeor tn queles

soirà quai ru heures que le codes rr, tut retiré del'eu.

on écrit le,Ua.e tclon a midi dn 17 Jl irl courant vers

deux houles du so

lagrille a ravagé p1a-

s dur oanlon de àlasseube. Les'liégà soccasion rnés par veine ige sm,t considé.

ras , I j l ét t très grosse, et tombait

arbres. Les vi sontdépt d6racinait de vers

ver.s quedure, les 'casa or restent dans

lesschamluPque

pour mémoire.Je citerai les communes qui net été vi

rimes des prédictions de II. Mailles (de ilDréme) pour le mois de juillet ce n, lescou, ruines de Colles, Poosao, Mnslnor=Bernai,Ciélav, Mont-d'Astaeac, Arruuade, Cabas,Monties-Anssos, 5areos et 3. merde.; casdeux om un out éprouve des pertes trèssansi.].x. Cellesde Panassaa, Manem-bloclaud,Saivt-lllancerd et Rennes Dell, n'ont été at-!aiules gruau parti:

(Courrier die Gers.)

Mo taubeu, 28 juillet.ha foire de

Itvnlyban, quoique focorisée

r ens

te.. a n' r,dru 11, hors compldloment sadsfaisaots.?i-ar

uiter , ma lgoc de fou rages ol de la sé-cheresse

il

ampagnes, lotsud lira étaient fart nonlbroux sur le marché

vend,x bestiaux, nuis las acheteurs Cris, leur ce.-pléleioool ulil':mr. 11 ses, traité ,co dal'l'a i,erm les routes, vol car pue, lis air ri es de

altra-

vail cu d'engrais, col au lieu à dos prix aeès-ie ev

Il v ail sur ill. champ de folie 1o, émule,788 tons et pl8lie mu l0Ic279 ores, 7,500il, notons

et pile do 1,000 cachous.D y avait pan de blé à la halo aux groins;il

dde c 1.

Rléfn,gpal. nul1

less79 1.vos,

18, Bolé 70

2a ga.uiec, 79 - 17 G0 à 18mitsdil', 79 - 15 , à 1G

616 nouveau 79 - 10 , à 17 50Seigle, 7:t 10 50 à 11Avoine, 50 - 10 , à 10 50Orge, l'0 10Maïs roux, 70 - 13Mais bhoc, 7d - 11Voyons, 80 - _qSans, 011 - 7 70Repasses, h0 - 8 ùU

Non; o crans ù siguoler tri vol se e'oideul.(Cour er de Tanact-Garonne.)

Le 21 ja iDcl cou ont, une. bombe accote aenén cle griJv et'oivied'noc p]aie torrantiolle

est abattue sur la co,umune ,le Snintlfilaier,principal ont dans la Partie nord-est. Donsin [,nraonrs de trois 1.1 suabtres... irae, tontes

les résultes sur Pied ont éte r: vandas andan-s :leu vigela littéralement hachées et las ter-

rains ravi, u point qui il dent pas lesté eue

o.l o fl t, et e t n t 'f I tes c'les prumen ont t dème née et j t et Inol I I l'.. 1 1 1 1 11

culé lail

anis I. o e i d tara i Dolce,

'sil grave-

aller l t é ' E l , , '1 croitD'aus difficiled'é rrolsu e+ t aapn+édrr le,e ire dégèle volés ev quelq.as stems par le fléaude lenol0ul'. I. de Loi el-Garonne,]

Bordeaux, 28 llai.Lejournsl la Gironde vient d'être suspendu

pair deux mais Voici la text, de la notifica-lien qui e été faite à ce journal :

PRLFECTUBE DE LA GIRONDE.

Iordeaux, le 28 joillel 186h.L'an mil huit cent so xante-quatre , et le

vingt-huit juillet, à dix, heures et demie dumatin,

r Nouse I.vnis-Chnrlre-'PI 'i ul Michel, mm-Iral la

lsce à la sidenrc d

L

C i des rr. s. vchons de U. le pré-f t de

l 'ilNouhonsa Il. Andre Lavermjon , rédacteurn ,,et du journal lz Gironde, l'a,I ru6 ministé

tir, ainsi ^6nçs t°u le na du jeu cal la Gironde en date

dor2f juillet, lequel contient à la 1r, page co.article signé André- Laveelajoa enmmev-

n font par ces mots i . L'agence lieras , et

fuissent par ceux-cj... ses arguments., Considérant que l'auteur de car article, en

asant le projet de Congrès de n'être.

qu'cun

pregrmmla de guerre gtnérale, ha.bille eu tapie de paix universelle, et en ajou-tant que ces diguéesmente ne tromperont per-sonne, et que mieux vendrait porter Iran-bement son vrai bai et arborer sa cocarde,

dénaentutdelreet'Emge la politique du gourer-»mutraereur.

Attendu queple

]aima] la Gironde a déjà,a depuis moins de deux ans, reçu deus avor-

lieurmenls à la date du 6 septembre 1862 etde 18 août 1RG5;, y. l'article 52 du décret organique du 17

. février sur la presse, et la loi da 2 juille'1861;

, Arrête:Art, t-,, - Le journal la Gironde est sus-

pendu pour deux mois, à partir du 28 juillet1861,

ArI, 2, - Le préfet de la Gironde cetchargé de l'ex6cutioa du présent arrêté.

Paris, le 27 juillet 1861.Le rnfreistro de l'intérieur,

, Signé Borner ,Et pour que M. Lavertujon n'en prétende

cause dignorance, nos lui vous laissa,

ler

seulecorné taait ide ['arrêtéapréc tégquede nôtreprocès-verbal de nolifcmiou , le prévenantqu'il devra les insérer dans le numéro de cejour.

Le eamerieaaire cenal,L.

bhtr

uavc.

COUR IMPi(RIALS DE BORDEAUX.(1," Chambre.)

Audience du 27 juillet.m;ausus cri IDLLIT, De reanrnm!.

La l'ouI est toujours considérable; [actes lesohaisos et les haucs sont ecenpés par les mvmesp'rscnnes que lu veille. Les dames soi tou-jours ]nés nombreuses. Beauonmp de

'nosIrais assistent aux débats, Au dehors, le publicahane aven impmianne l'vnvarture des portas.A 'cils son!'elles ouvmtes le foule se aréri-pildons la salle d'audience, se bouseulnnt aven

idem sans pareille. Le coup d'ail de toueentrée,vcri I ible mé de, est des plus pitlores-

lu1 midi, la c-, cotre en séance.I.n parole est donnée à NI- Jules havre pour

lacontimuntiuo de sa plaidoirie.L'illustre avocat o terminé eu ces termes:

)1. Dalnletle père vient pas -ce descertificat, ; il "'a, a fils besoin, e n il est es.loeeé de l'cetima e tonte la popubnion de Co,feu . Las fatum's Cilio li sDot condamnées en

do la morale, a n de leurs propresnotn

es; la Couc »voudra pas couronsorleur

- Dites-les moi. traite, et il laissait tomber encore ses regaads- Les vcici, reprit 1. joues fille son la jeune CIle yû il ne devait plus revoir;

t''t niai, a,ln, ronronne, il oubliait tout, excepté l'idole oubliée, et il nede l'e um togjaurs. prenait pas tn@mo I:s peine de s'excuser à ses

elle courut à l'écl elle Taus de ses faiblesses coupables, eeEt appelant son frère , j d dib6lisaut touoursans saerure reoulcn ; etde l'entra-pom ,

'l'unir, reput Ire son halls de tienne nuit deloir

Ilami,, et quand il fut seul sur le pont,

il s'ém endit s r la nll' abaodounderépar Liza,

il sa r1 nlalo du soir et bar r In

o

ea chtre nonn'irr, il rendormit surser fans, ou'omme Mungo Park, ce héros

dont il était jaloux.Las émotions de mule sorte que ce jour avaitends'..i c iii;ris ont les fortes d"ce jeuner, (il n ont oie il allait tairem

air do conteio e. le somme ut triom -plsl Iras liement de la peosée et la fit renvo-

i Irndema n. Colin ardente uumre dual.di avait obéi àl tourne les i:npraseions de mu.i rnl en ,a heurt:;nt tour à tour a lx dater-inaliuns les [,les conlradieloires

,et le

rhose adoptée lui paraissait toujours la mDit.leu

Victorieux dans sou attaque contre le piratede btadagaaear, il é était applaudi davoir faitnets

chose utile à la Fran,:c, et il se composait'ami avenir de repus et de déliera avec la

belle[ i landniso. L'oie un accident de veillés luiun héros plus grand que Nelson,

m . t ad niimble Muago lork, travaillant à u osurhuaine, aille ua monde collier, et

il rougissaitmalors

de lui anime et da sa faeilo'i c lause. Il ]or fallait n :asi uv continuel à ex-ploiter, un monde à découvrir , en passant àtravers les peuplessaavages ol les b&ee f:mvrs,

Des 1et il r mail u l'nmonr, à la vfo dolnostiquo

es do dol a mille. M ies Lova n os is-lait plus. Il s'applaudissait de sa virile résolu-lion. Alors, dans le si a,, de la nuit , auxclartés douces tics étoiles et sur uni mer plainele pau pores, une vois s'élevait; ai r étudie

d'anluu r réaudail dans l'air se voluptf 1,éu&

quand les mail de calte nuit lui vara precuréDe tandem n trauyville, il iiaura relava de laveille que son amour,

VII.

A ail il é élança de la mer, etheures le soleson premier rayon horizuum1 réveilla brusque.m

Le jeune marin était habitué à ce chaud bai-ser d'ami qui loterrmnpoil .snn omme il ,

à laôme boire, exact camait un obronomèlre doCax, à réveillon.

I I docte ses deux premières pensées à Dieuet à l'.cGm ; pria an regardant I. miel, ..,ilce

rigiedaol la mer.,,amer avait changé de toilette, clin avait

véta sa robe do saphir, a.x franges d'éoumece unblanche; elle chantait auto., du nair le plusloyeux, commeuneamiecapri ieanr,qui vent faire oublier ses torts.

Sur le pont, quelques matelots, et le se-cond veillait aux mana sen . Le capitainedormait, après une mois d'insomnie occu-pée. Un seul passager, le jeune Albanie,accoudé sur le bastingde

age, écoulait le chant

la mer , dame le théâtre circulaire de l'in-

fini.

Comme les oiscan., les mari, de Toulonsi, rlent obligés de chanter à leur réveil;c'est la prière du matin sur les arbres et surlesl'euingufredonnait

la fameuse r sc. duPoint do jour de Gilistuu, oa le llul1.de Samarcan.de. Alberlus , arraché à sa r(.varie, se rateurno et serra les mains du chan-teur.

- Avez-vcus mit bonne .ail ? demaudn

"et, ,1 e Idaol ce n anage autre lequel 'Mi Il I In, proteste de la façon la plus 6nerPleins. Quel enseignement on peut tirer si l'on

pare entre elles les felnnres 0 su IIi, d nucôté po s 'vaut l'exéo, Cou d'une ont arab e

aire yue,01cl d un autre cote cette fil perdraqui, rcncoutrenn jeur à Bord ! I il I

utdt u

h s l l -

,il pille I tr d t tout ff ça e tde lécouru(e tant . Elle sou h )cruehomme; cule quotte pour lui la fougenlause vù elle aroapisseit, t tait, il est slaque I" . mou est un divin dict.me qui effacelamas los son illures, celle prostituée se reloua;elle entoura Jules Balmeue de ces soins gv'uuoarbre seule sait donner, et art,'., elle l'empl-ha pendant an aa de retomber dans l'abîme

d'où elle l'avait retiré.Mai cetta file qui, par ma sublime mou.

vement de eauu racheta une partie de sesfautes, mourut bientôt, et ce fut un malheurpour Jules Balmette, car après an mort il necorde pas à se plaigne de nouveau dans la dé-bauche. M. Ralmatle t.'ero avait admirable.men .pris I It tl fil. pouvait5u fils;

I

s'opposer ua

las Jas deux jeusca 6. ll sm -ub la t b ilquo' cart.

pop it

Ii, sauver son enfant, qui alla. uvait ocre saProvidence. Sa mort tut pour lai aussi unvéritable malheur. Ce que ce père eut àsouffrir, ma ne saurait le dépeindre. Nous pur-loue de l'amour paternel à tout propos; nouscroyons aimer uns enfants, Parce que toutpetits nous les avoue parlés dans noa bras, etavons recueilli leurs premiers sourires et leurspremières larmes, parce que nous retournasde sollicitude ces bêles boulons qui, fleuris uajour, s'élançant do latin branches et s'ené pppeul.

bl Balmelte I n'a pas t tentes cesivresses de pare. jl est rivé à ce fils, à ce peu

(Ire qu'on regarderait nec dégnAt, s'iln'était plulét uo sujet de pitié et de commisé-ration. Il """"Ô à Rome; à son premier cride délasse le père accourt, il quine sas layere recule devant stems saerigov ' il combat

avec énergie coutre l'intrigue qui se tramadans l'ombre;

ais,valuo., ayant passé par

les pais dures épreuves, il vient jusqu'auxpieds de voler justice faire à sus enfantemport de son fils

oe t pas sacrifié à l'intrigue.ssSa cause est celle de tous les pères, celle

de la société comme colle de la loi et du droit.Vous se soufleirea pas que les grands princi-

pes que v us êtes hargés de faire respecter

soient foulbaaux pieds. Je sais le langage qui onvous tiendra; on vous parlera des intérêts de

la religion qu'on doit sauvegarder. Mais, pro_

ez'y gares, derrière les personnages qui se

meuvent dans cs grand procès, il y a lepou-

voirqui cherche à se substituer au

pouvoir civil, Vans protesterez contre cette

usurpation.

» Malheur aux sociétés modernes, s'écrieterminant b Joie. ea qui ne deala

.tpas ph laisser r éteindresa

lela lambeau de

plu.

li tes a et ça la raison peur se Durervaut phiut

an-à la

issala

a eligleusa; l'homme,tombé de son piadestai , desca it à laalors

plus humiliante des servitudes; on arriverait àon p,i,lque, là où le prêtre aurait apposé sonsceau, il n'y aurait plus plain qua pour l'obéis-

a.cJe vous le répète, Messieurs, Teresa Ci-notli, c'est le prétexte; an veut vces dépend.Ior de votre Pouvoir civil; mais], à celte ten-tative de spolia,ian, v s répondrez pur e"DL

rinci:n qui est écrit à travers las aiè-cIve et qui place ur tout en procès : , Tu fia-

s as non père et ta mire 1 . Vous ne lois.ez pas attenter à os grands principes, etseus, nous ce les laisserons pan, comme des

ils aég6nérbs, périr en cas r ia ns. ,Ues applaudissements aussitél réprimés Par

MI, le premier président partent du fond de l'a

Balla.

La Cour lève l'audience à quatre haires trenvoie la continuation de l'affaire à mardiprochain pour entendre la plaidoirie de M

LaChalonpin.

foule se'répand dans la salle des pas-perdus at ev parle vers l'clos,ier Par lequeldoit passer M Jules Fnvra pour sa rendre dansla salle da MM. les avocats.

jjn

a, 28 juillet après l'antre dans la tillent de la Saulne, àNoue apte. s m en 1lou:d hm un dé Saeseuage, sua trois nnfanls, àgés de G mois,'i

pic ablc occident. Ue nx so date du 93a de , Dis et 7 ans, eprosquoi 9tle cet vautrée traa-garnison h Dayoi ne les nommés Beireau et

Itsseller, sri sous, noyés le 20 en se baignantdans I Adoue. Vaques les renseignements queaune avons epus, e ,s de I r sue sa-vaientpas nager; ils out eu 1 in prudence de

er t eP avant dans le Benne, et cet étéastraluiv par le co venu, sans qu'on ait puleur parte, secours. Le cadavre de Bisselia' aété retrouva quelques heures après.(

léémorsal des Pyréne,,.)

Une aube, de violence déplorable, dit leCourrier de Lyon, lest produite à l'audience delundi de la ee chambre de la police correction-nelle, présidée par M. .e'L'haussier de servie' van it d'appelerca

lause du nommé JeumPimere Ben holey, pré-vu de mosavre de mort par écrit; celui-si

s'était assis sur le Banc placé sax pieds du lri-b,v,l sans dire un seul mot et sans laissercoup aune I- moindre colère. Le premier Il-

n, M. X_., ancien .luire à 0rbéoas, avaitprêté sert t et p it su tribunal que leprévenu f sait la chélidoine de es famille;qd,l avait disspé son patrimoine et poneans.,ait d'injures et de menaces son père, ses frè-res et tous ceux qui, à un litre quelconque,s'occupaient de leurs affaires de famille, pour0 obtenir de l'argent, lorsque, tout à coup,

Perdrais's'est éla.cé sur te témoin, eu le sai-

sissant par derrière, l'a enlevé violemment,je té à terre et s'est précipité sur lui en lui dé-chirant la Oguee avec ses angirs n...

Us cri d'épouvante a releari dans l'audience;le tribunal tout entier s'est levé ,>.me parinstinct p ée narrer secours au témoin ainsimaltraité. L'huissier de sCrvme, les gendarmeset lao igaafs de police préseus ss Ilut préolpi.tés sur l'assaillait ci ont dû employer w^testours forces pour lui faire lécher prise.

M. X... é est relevé; sa figure était lillérale-meet oouverte de sang; il a été accompagnéhez le coneiarg du tribunal, M. Barrirait, qui

lui a donné taus las soins nécessaires.Mps,été

ordre de M. le président, le prévenueété placé entra un gendarme et un Dosesde

pari es; aie se vicie»" augmentant, M. lesubstitut oimssier a dû requérir gdil pll au

tribunal d'ordonner que lepréves

enu seraitéh

éloi-gnd de 1,mo ies IL que les débats atans ée-raieot o s absence ; les menottes out 616mises àrBertholey, It la force armée a dû l'em-porter malgré sa résislauce, ses Bris et ses eu-gels semeatss

L'ordre 'est rémbli, puis après las -

ions de n1. le substitut at pa.incline, le tribunalrlequelprononcé un jugement par lil co.-

damne Berlheley à cinq ans deprie..

cinqaos de urveillance, pour violences

esexercées

sur un témoin.Les débats du délit de meuaces de mort oat

été repris et et donné lieu à une nouvellecondamna,

ion à un an de prison et 100 francsd'accords.

Après ce jugement, l'audience a été ssems'; rema-due pendant qquelques instants

r

quéque Benholeyavait cadré sous le bai. surlequel il était assis en énorme gourdin qu'ilavait prix à

nupauvre mendiant auquel 1

sul'ide beraa d'appui, et qui avait été jugé

avant hier

On annonce pour le 15 aoéy écriLOs deChambéry au Jldmorialde

InLoire, l'or.verlure

de chemin de fer de Mantmélion à Grenoble,ou plutôt de Chambéry à Grenoble; le servicesera fait trois fois par jour par des traies quipartiront de Chambéry,

Celle ligne fermera le prolongement de cellede Valence a Grenoble, et eu rehaut las che-

us du Dauphioé avec le Viclor-Emmanuel,et, par suite avec le Lyon Genève, elle abré-gera beaucoup la distance pour les voyageursqui du midi de la Francese coudre et an Savoieou en Suisse.

De lit dans le Courrier de l'Isère :. Un événement éponventable, dont la folie

embheavoir été la cause, ajeDé la cunsterna-lio. dans Grenoble et ses rusvirona depuis traiejours. 'fondredi de, airs r, la fatum" Donier-Blond, née Devard-Lacroia, a précipité l'un

m asequ'elle avait

Justice,

elle

le a raconta avec calme

topa ses enl'uats Pour,., épargne' une laiisd l et les empêcher deounr' de

un jeunonec

oa

u l'autre. Elle traitallmé,

ait oo, re1hjon plus jeune enfant da nonnce pour

fatr,anI i' musant de ses deux aînés.. Elle a raconté elle e qu'elle a vo

elleParaîtreimmédiatementt le

e pet t être etqu'elle

ordo de vue les deux autres, emportés parta, cet., L'attitue de cette malheureuse,soa calme.

ILla position aiade de sen mari qui c ,redit

ses dires, donnent à penser qu'une subite at-teinte de foie a pu seule h, déterminer à ce !ri-ple infanticide. Malgré soi, on aime à se ratta-cher à cette idée, et l'on rapngne à voir lepluaexécrable de mus les orimoe dans Il ,ombleévénement.. L. D'silo.

Deagmgnan, 28 juillet.Un aocideut très il ueurenx vient d'arriver

à la station des Arc,Le 25 juillet, àla heures 25 minutes du soir,moment où l'on f, sit la mana,uvre pourair

la formalim de train 1175, la nommé BayerSiméon, homme d'équipe, célibataire, âgé de25 ans, qui venait d'accrocher un v<'agen, vos,

va tant se retirer, la jambe droite prisedans la jambe gaucha de son I,antidn. Il tombaai malheureusement que ta jambe droite fin je-tée sur le rail et broyée par le wagon, quiélnit

c légèrement mie eu mauve ment parsui.. du jeu et de l'élasticité destampoue'

L'amputation a été faite à la gare, quelquesheures après, puis le blessé a été transporté .,

l'hospice des Arcs cùil est mort le 211, versh. du mari.. (Var).

'Patio, bien gênera] sera fait : les musiciens se dispu- a les équipages, et il n'a qu'un mol : Terre!- Excellente, mon cher camarade, dit AI' sent, mais ils ne se battent pas. Mies Lias parut la première Il dans an dé-

brans; je n'ai pas dormi, 1 - àtais vous vous (tes Ires bran battu, vous,- Et qd avez-vcus fait t hier, mon petit Allemand! dit Tanin.- J'ai écoulé le

concertde l'océan; voilà

Î- Oui, avec des pirates qui ri étaient Pas

n artiste 1 le Rhin et le Peloton ne m â

m

uni ion reprit Alherms nn riavq mon mal'nl lainais appris ce ,qua m a enseigné en ire fluck c'est hall. avec un voleur de grand

maille. Quelle admirable symphonie ! ]lieu chemin, sur la route de Leipsig.conduisait l'orchestre ; quel maille do oha- - Oh t ce grand Gluck, dit Tonie, et il e.-pelle! pas u m foute de contrepoint, d'hurmo- tonna perdu v n Gurodiee!... EL

0o ssi risset dur` 'me

! pas i mé- a . A propos ss Lie» as lève bien t rrd,D

srrd'bDi Comment trouvez-vcus cettedura de deux s atde deux ci mes par

mouvementdirect

ontt

t Anglais,, Albertus Y- Ah ! dit Tanin, vous me parlez chinois; - A vous parler franchement, mon cherdora la musique, mai s n ' ..brouille 'frafalgay jo me suis imposé le devoir de neee des mots ponenlais,s jeu me débarque, mi faire aucune, infidélité à ma seule maîtresse , la

debarqui musique. Quand aurai fait mon opéra d'An da-- Oui j'ai tort, reprit AlberLus; je croyais malter, je songerai à l'amour.

encore Pire seul. - Ç'a m range, fit Tendu t j'avais peur dePardon, dit Tnfalgar, e i ; je un jeune blondi. qui chante bien et

suis de mon pays, je suis franccomme l'or de jouul de la mandai» esttrèa.dangereux commesequin..., eh hier. ! tenez, je vous approuve,

rival'à bord surtout .. Sera-t-il long,votre An-

et vcus serez-il

grand musicien ! D'Est beau draeasmr bde ua pas dormir pair entendre 1. concert du -Trois actes.bon Dicu - Est-il avancé?

-- @lois in voyage par, prendra des lacets - Je de i pas écrit une nota. Cette nuit,de musique anuconservatoire dn soleil, dii AI- j'ai fait le plan ide l'ouverture; le récit d'.Asthouber Lire c'est ne idd.e qui nia pria tout à voit enflammé le cerveau.coup. Ni.. pays est» fou; on S. bat Partant, Ah! oui, dit Tosin, je comprends; entje me suis dit : on fait la guerre pour avoir voilà une d'ouvee; elle et plus belle quo

la paix dans cinq ou dix ans, commençons par cella de le Caracane de M. Il rétry. Les lions,la fin, et faisons la paix. l'ouragan, les boas, les grincements des eu-

1'ievs! dit Tanin, jr n'aurais pas trouvécrides de fer, si voua parvenez à meure tut cela

celle-là I Oui, c'est juste; pr.isryn'os se bat pour moque, vous étouffez Gluck.avoir la paix, on devrait faire la paix avant la

mVous voyez, reprit Asthon, quo je pro-

guerre, et on épargnerait uns l'argent qu'en a lite de tous las accidents de mon voyage. Là,dépensé pour acheter du sang que personne de b...e foi, pet-an fair%2t la grande musi-oe boit... Je me cooverlirai peu à peu, que ai en n'a

pasuela

sudu ça que chante,- El moi, reprit Atbertus, je me suis dansé ... tous lus tons, le Plus fort et je plus'om-

iscion pour convertir les poupins. Quand plat des musiciens, l'univers.tout le mode chsntera d'accord, tout le mcode U. cri soudain, tombé des hunes, interrom-

m d'ecord. La musique civilisera l'univers, put l'enecties et mit tout le monde sur le Pot.excepté les m»icier s. Mais gu'impurle t le C'était le cri joyeux qui fait toujours tressaillir

let:Marseille, 28 aitHier,àla Bourse on s'eotretevait beaucoup

d'ua singulier accident qui a failli cmlter u»somme rende de dix mille francs à an ai lmar

coEIL mineur de aille villa, établi au quartierdu boulevard des dames.

edet rtiasteinlamassait duos sa fabrique ,francs en billets de banque, serrés dans seraporleleuilme. Obligé de se hvrar à lia travail

nue], il voulut mettre son portefeuille ensûreté, et le plaça dans son chapeau de paillequ'il avait, ce rentrait 'hl"" sur u e table.A. même imitant, une chèvre qui rodait dansla cour, vint tournerd'ar du chapeau qlau'alla

finit per renverser aucutououp

de corne, cérale portefeuille et finit par ne mordre le costnaa-

elmanbge, mais elL'industriel 'aperçut de ceeu tard; il tut seulement à lampa d'arracherux dents du vorace animai un liasse de cinq

billets de mille ; les cinq autres étaient av clés,I1 saisit alors nu coutelas; ss crut tout d'ahur,lqu'il voulait s tuer, dans un accès de désuet-

Porc; mai, n'était pour décapiter la chèvre et

fouiller dans l'estomac de la bête i mais il neRut eu retirer qou d'informes débris des pré-

ex papiers que cul été remis àla Banque. Ilsnoir expédiés à Paris, où te direction supé-

rieure statuera sur la somme à rembourser.Convièra.

temenl entre les mains de laédibl'

ordre de toilette que la civeooslance rendait

Le journal l'Italie publie les conclusions durapport présenté par MI. le sénateur Viglieni

o du manage sivü duosornant l'introductinla loi italienne.

Il résulte cala document que le mariage ci..

vil se le mariage religieux sont complètementséparés et indépeidams l'un de l'autre. Le ma-"Se civil seul produira des effets civils ; mais

les contractants seront libres de sa marier àl'église, avant ou après l'acte civil, quand ats'ils le jugent à propos :c'est l'application radi-cale de le maxime de il. Caeour u n L'Église. libre dans l'État libre. ,

Cette indépendance absolue des deux maria-gesreveovtrr, de graves incoovfaionts, et C'estpour les prévenir qu'il ester règle en é rance de

c

qu après l'ac-oe procéder au mariage religieuxe plissement desformalilés de l'ante civil.Gel accord pratique du principe religieux et

du principe civil supPo,s l'alliance de l'Egiliseet de ]'Flat. biais en halle, malhaurouaemenl ,l'Elat sadansun sens et l'Eglise dans un autre,at Put eu trouve rien de mieux que de eoasa-crer légalement leur séparation.

excusable. Ses beaux cheveux se déroulaienten boucles sur ses épaules noms, et le sari iu-die. de.t elle s'étail envelopple à la hèle était

retenu provisniremeol par les mains.Elle regarda le point ie qui attirait tous

les yeux vers l'horizon etdescendit. Ce fut useapparition éblouissante. Tanin joignit ses mainset prit la pose de l'adorateur. 11 faut avoirvoyagé sur cou, dans les beaux pays, avec nugynécée flottant, pour comprendra ces ineffa-bies extases, ces joies intimes de l'artiste, lors-quiau lever ils soleil, on voit lever aussi,commen soi digne cortège, nu essaim de jeunesfemmes qui vil.... L savourer la fraîcheurembaumée du matis EL accompagner de leurs

riras Ins petites vag.es de la mer. C'est anspecmcle à l'aire renoncer a x cages numéro-tées des villes et aux petits levers des ulcérasfroides; il faudrait donner à toutes les auroresde sa vis ces exmsos matinales de la Méditer-ranée et da l'0céao.

- Nous filous dix tauds! criait le capitained'un Do. triomphant; avez-vos, vu u. fia oui-lie.. comme on Albatros, monsieur 'frafal.gar 0,,. Eh bleu! vous un répondez pas?

-Oui, oui, dit Tiroir, comme un hommeréveillé ce sursaut... Oui, je réponds...

-Quaie réponds à ce que vous m'avez de...-mandé

Oui, en nonOui,

M6av.

(La suite d demain).

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

M. l e s L V i q 1 - liberté la B> ne Ümmult, I l s t dor reoll tel, I pourrait course cé pur 1l I bé.ni ta co si défi cate. quel du lard mmre 1 s ail c,i... aussi mes-F( ra te) A. Benauld.

lunes, 101 (voie de'l'oulon)N. le ciel.. oral ilslien A bine ae dispose à

,torero à Gêne,, en lai.ccant alto les lieux M lac - rnl V9cea.IuUuaaié n(eC p de rGmpero 'IL arrivéà

os -réto.1 ff de Ils t d mai ce

pire. F , d 1 ; L débandée, t les An-le la elunn I 1 t ée l'a a és, euImIn

a tt dis arecc et dos r a n.ons,P.,te combla de geig.on, il régna des chaleurscrafili ntec qui, à bord des blitimuots, malgréles bri, du' large, ont mania jusqull 42 il-

gros us la tente.A ceua dora ou na eaendv parler dans

l'escadre d'u, e il,.tmivet d'as s:+ssl rat conter ou-tre camant général, ainsi que l'a dit tins corres-Fondation

particw,o,e (,auviére.

Angleterre.

Le Globe aacomar1is,t

7vÎ8tulre du Parle-ment aura décidément[eu samedi.

Hier soir a ce bru oledtbau28el

dujade

maire. qu lord-

i.e lord-mmre a proposé la santé des admis.ires étrangers accrédités à Londres, et en par-ticulier celle do minis(re de Suède. Il s ldlioitéles membres de la réuni.. des rapports ami-raux que l'Angletet re -troncs, avec tousles pays étrangers et spécialement avec lespays du Nord.

Le amie deSuèdeà Lond es, rrenerccldt1. lord-maire de

es paroles bienveillantes ' l'égard des paysétrangers.

Ila assuré que les vomi de bosco

entente quo. venait d'exprimer braient rée,.;troques.

Le tord-mmre a ensuite proposé la santé desministres de la Reine, et en particulier celle delard Palmercto..

Lent Palmerston a remercié le lord-maire,puis il a Noria venons d'enlendre sapri.mer des aeetiments de Lit. vnobl, et d'appro-bation, prou nom sans dont, de la conviction,partagée paru tons, je l'espère, yu nous avonsfait tout notre passible. Je puis

aso

surer le lord-maire que les ministres sont tous enchantés deen réunir à la table du premier mngistrrt de lacité, non seulement Par des considérerions scules, ruais encore par des emisfdarations hTiquas très importantes, parce qu'il eslJ,oiique tes hommes clmrgés du gouvernement aienttel moyens de fane c.nraissmme et de nouerd'as rapports d'amitié avec ceux qui exercentle commerce d'où il .,,a, la richesse et laprospéeitamieds pays,

Il cet doute satisfaisant pour tous devoir que la prospérité du pays cet trèsgrande. La Gouvernement et le Parlementpeuvesl se aliciter davoir contribué avec sue.'é 1

onrésultat, Nous sous sommes aà détruire les entraves dont Ove politiquemoins sage avait autrefois encombré les noiesdu commerce. Vous oral proposé la sana de

['armée et de la marine, mais la paix a ses vic-taires aussi bien que la guerre. Il y a des P.qui, eu De moment et autrelois nt disséminéleurs orm6es dans tin but agressif pour rcuver-s e des institutions, conquérir des territoires,

mettre des peuples rivaux an répandantpanant sur lote pas la misère ( la désola-lion. Nous aussi, avons remporté des lriom-phus; nous avons commis des ogres etnous en camoi tons core, mais d,,c arxo-rire tant à fait différent. Les capianx et l'iedusnfe de l'Angleterre sont répandus par-tant.

Sur taus les points du' m de où le capitalet l'industrie peuceul

canleibuer au bonheurdà

es nations, on trouvera des Anglais occupéstriomphernon des hommes, mais des difècul

lés de la nature, cherchant à renverser tien lasinstitutions humaines, mais à faire disparaîtreles obstacles qu'appose la nature au commercehumain, contribuant ainsi à la richesse, aubonhen'. et à la prospérite des nations qui lesemploient sodas pays où s' ce leur activité.lié hier I c'estune peneéexsatisfaisante'pour

les Anglais que la co mu.aut6 commercialeanglaisa ait remporta de (elles victoires.

Le lord'maire propose la santé de la Cham-bre des lords et celle du comte Busentl,Le comte Hussell remercia ta [ord-maire.Après avoir comparé l'aristocratie des autrespays à l'aristocratie anglaise, il dit ensuite : ilPont sembler que Votre Seigneurie m'a fait uncompliment qui ne me convient guère, si l'onsonge quo la Chambre des lords ne m'a pasmontré la degré de m ou ,ses que je croyais

avoirmanière elgoo

droit d'anendre d'ellepour ldont a

j'ai dirigé les affaires 6trange-

les craintes de la Chambrer des d lords ont 6atrès exagérées. Je suis heureux de croire, etje pense que vous serez sur ce point d'accordavec m51, que l'Angleterre a'. lamais été dansune position plus fibre et q soi f duoncesur tous les pays étrangers .,a jamais été plusgrande qu'à présent

Parle, 28. juillet.Ou m(Garrea Vii h ace Particulière.)

Ion cra y que l'Empereur ne pro-S pas an -delà de jeudi prochain son ad-jour dans la ville thermale. Le roi des Belgesy restera jusqu'au 20 août; il se rendra, dit-e., à Londres, avant de retourner à Bruxelles,ha conférence de Vieme a tenu aujourd'hui

une seconde séance. Des dépéches privées an-cent qu'on y serait tombé d'accord sur la

délimitation de la partie des Duchés qui ren-trerait dans la Confédération germanique.

à paria aval un éclat ex eptlonuel. feillumtua-fion de la place de la Concorde représenteral'Alhambra. Il est question d'une course detaureaux qui serait exécutée dans le Champ.de-Murs, et de jolies v6.iti,.ues sur la Seine,éclairée à giorne.

mA

polomille de ce qui avait lieu sous le pre-re,

Blondin tram cObiepiboutissent

à un mLrd'une hauteurde 50 mètres.

Dans las groupes d'ailleurs clair semés de

sa .I' que tr nsp. aines qui su ira t do.,dalle ell ul bit ér erg; ,tau ont et juste-ment cruiquéas.

Lard Clarotide. est arrondir re soir ia Paris;

il verra M. Drouyn de LAuys de os la journéela demain et partira ensniie pour une ville debacs qui ne sure pas Vichy

La prince de Alellermrh, amLnssadeur d':tu-triche, est arrivé lundi à Pars; il n rand. visitea l'impératrice mardi et il est reparti hier soir

pour 'Ctouville, u re trouvent 1, bora, deIludbeeg, le duc de Moray et plusiedrs autresnotabilités

On prépare des 'Aies splendides pour le maride la reine Isabelle; l'une d'elles, organisée àVersailles par les sains de M. [tausmaon, reproduira, dit-on, très fidcloment une grandefête donnée sou, Louis NIV, et dont tous lesdétails ont été rclrculés dans las archivas dutempe. On y ajoutera seulmnent quelques or.nemeds qui lui donoerost un faux ai,,spa-geol.

La flanelle de Madrid publie ce décret royalqui institue un Comité directeur, pour le monu-ment A élever à Christophe Colombo

La chambre des lords a adopté, dons saséance d'hier , l'intro tacunn facultetioc dusystème décimal eu Angleterre.

L'Union de la Sarthe a reçu un commun;-qué relativement à an article sur un projet decarrousel à donner au Malus

Depuis plusieurs jours le bulletin politiquedu' Journal des Debals .est plussigné,é ails, m Alloua; il est signé Camus , serré.taire de la rédaction. 11 y a peu de jours M.(.abbé, le chaleureux rédacteur de l'Opinionnatinade félioireil M. Weiss da ru' 'las pas l'au-tourde l'article des débuta où l'omnipote.De

ilimire en Algérie était préconisée. C'est de-puis ce moment que le pavillon Camus couvrela marchandise du' hall clin.

Une lettre de Vichy m'apprend yuo M. EmilePartira, a Biné vendredi dernier à la table del'Empereur. Lundi, l'Empereur avait à dînerle roi des Belges aval minet il fait, du reste,taus les jours, suros doux heures de pome.aile

L s bruite de mariaga princiers continuent.On dit - remarqüeï que je ne garantis rien.-On dit donc que le oomm da Plan Ires se bpon-

carse de prieuAtemderBrésil, que la jeune prie.

g est dboidément deatioéeu prince Humbert et entre qu'il est gcesuon

d'un projet de mariage autre un prince espo.p001 et une princesse de la l'vmilin impériale de

ance.Ou annonce la mort de AI. A. Dopoly r un-

oies rédacteur du Journal ara Peuplent qui futcundamoé sorts Louis Philippe pour

complicitéala dans l'affaire Qnénisset.mLe séance annuelle des cinq académies do

l'Instltsl aura lieu celte année le 16 août, àdeux heures, l', t' la présidence de généralMarin, président de l'Académie des sciences.

Les généraux polonais Bossok et 1Kruk, lesdeux derniers qui aient abandonné la lutterentre les [tusses, sa trouvent actuellement àParis.

Un fait singulier m'est signalé de Vilns. Unecommission roses s'émit e due dans le chié,tenu d'un noble Polonais déjà déporté à tlsean-pom' eu opérer la confiscation. Pendant que laommisaios était à table, ma orage

époulocal

-ble éclata, le taire, rre entra par une feuétreet foudroya mus les agents de Alourawieff.Voilà un insurgé dont le gouverneur général deVilla aura de la pli. à avoir raison,

leur extrait : A. Pmou.

ai- on -..a écritdo Vilaine queR,nd bs,g parues Prussiens o produit dans

cette ville, ainsi que dans toute l'Allemagne,un nation

autrichiennee.

La presse aumichienn cet unanime à ré-prouver cet acte provocateur, et elle n'est en

-rite, dit notre cor spo.de.t, que le faibleécho de l'opinion publique.

Les complaisances de l'Autriche pour la potlitique de M. d Bismark, yui donnent à cerfspuissance me altitude si effacée, boisson.d'autant plus l'amourpropre national, que(l'Autriche avait pris, depuis quelque temps,

ne position prépondérante en Allemagne.-. (Franoe.) A. Beusuld.- Voici le nom des plénipotentiaires qui

prennent part à la conférence réunie à viennede Il régler les affaires du lanemark et traiter

poural'Autriche : le coma de llecliheraisé de M. de Brenner

g, as.

Ni

Pour la ef iuose : M. do Bismark, assisté de. dePour le Danemark: M. de Quaade, assisté

du colonel Kaufmnn.

En outre, AI. de Sick, chambellan du' roi deDanemark, vient d'arriver à vienne pour su-isterau besuin lo plénipotentiaire de voue

dernière puissance.La deaxiéme séance do la conférence a au

lieu hier, à midi.- Les journaux officieux de Sertis démon.

lent les bouifs répondus an sujet d'une entre-

vue

qui aurait lieu h Bade entre l'empereurNapoléon et le roi da Prusse. D'autres feuillesallemandes répètent, au contraire, la mémenouvelle. Nous avons manifesté notre incrédu-lité, .,..a la maintenons. En effet' la polémique récente de nos journaux officieux coutre laPrusse, la mauvaise humeur exprimée par cesjournaux contre les entrevues des souverainsdu Nord à Kissingen et à Carlsbad, edsdont le cabinet de Berlin a été accusé

d'fil'ttee la

le

prfusedal a esf l toutse

ceseirconstences ne

pan pour rendre très-invraisem-blabla un projet de nouvelle rencontre de l'em-pereur et du rot Guillaume y

Des chroniqueurs out eu une autre idée de-puis l'affaire de Bendsbuurg. Imaginant queles Etals secondaires de l'Allemagne sou.draient peut-elle rechercher l'appui duversement français contre la presse, ils p:tendent maintenant qu'il serait question d u.eentrevue de l'empereur Napoléon aveu plu-sieurs cas petits souverains de l'Allemagne.Nous avons lieu de moire qu'il n sero de celteentrevue comme de celleavec le roi de Prusse.

(Union.) Idao-Sheehy.- Entre les diverses explications qu'au a

données sur le but du voyage du roi Léopaie

.hy, q n t I a. la tl s As 1 A nid à l'Importation et a l'exportation. Lesh lie fil a [lit et de ahanera tut haussé de 20 O/0.

La 1 Ii I norois l I rf I e t Le l' g dehtable a haussé de 1000 à I7mporr i d ha -II h letton

l. a ausse sur les toiles de coton,

o I

peres ll de son impérial gendre talcs et rat cols écrus et blancs e été d(msive à

axprt muralenu des araialr'o sérieuses et présn.. 60 0J0, et de 2a A 19 OJO sur les toiles de oo-leraient la situation du élexlies sous des cou- ton écrues et blanches. Les tolus ciréea sur[sors niolos séduisantes que certaines carte,- coton ont haussé de 20 OJO; les chàles et mou-poudacn00. chair de colon ont augmenté d'environ 15 0/0

Maximilien l' cnmpiait sur la réalisation Les draps et velours de coton ont haussé ded'un empnun é soue les plus hantait. 10 O/anspiocs ove. l

0.v de chevreaules p

c

use cpuisanis patronages: La aleur dos p.. broies

l'e

a,

nt t ' raie n étéi x a ouvert qu'en per et 6menid de 15 11/0. Lesécorces 1 tau mauluea,tic,uet

olopendule ne vaut i l suffire apx plus et boni mnlucsl sut ba;esé de 10 U/Û, ou 25

orgeats besoins. Voilà don, un premier mé- Oj0 en deux ana. Les pellenes communes ontcristaux ont

""'Yie, haussé de 10 OJO. Les verres et

Lempereur du Mexique ,attendait, ajout'- maintenu leurs prix anciens. La mercerie an, A une proubdi, e renom :,essence des litote erd. 7 0ioufédéréa d'Amérirlue de la part de la France. -. Le service des douanes de la gare du

Cetm reconnaissante, évüicmmeni, e01 été non Nord , à Paris, ventée faire une nouvellebarrière contre l'hostilité que rencontre en saisie d'unc importance majeure. Il sagft d'uneAm6riquo la veuvclll atoua'ohio. La reconnais- importalio. frauduleuse do 80,000 francs de,once n pas ou lieu. Seoonde déception. marchandises prohibées à la consommation.

En panant pour la Vera-Crus, dito on euoore, Voici le fait dons tonte sa simplicité.la fille et le gendre du rai Léopold ne croyaient pn sait qu'il exi te un Imité de c mmercepas que le gouvernement français retirât si vite entre la France et la Belgique, daté de 1801 ,u e partie eovetdérahle de nos moupes. On parleavas ^,urt ce quel le Belgique, traitée en ,mur et amie,ait que. dix mille homrevenir peut expédier sur le grand marchié de FranoeFrance. ne réduction de droits très on ante ou

Sur ce dernier point, il nous semble que Sa a tesMajesté Mexicaine es pouvait ,abuser; u lui

exemption totale de droits, le;:

suffisait de se rappeler les récents débats du sesmemarchandises, à une seule condition c'est

Corps législatif, devant lequel le g tque ces marchandises seront d'origine belge

mrvere, u ra bien et lodouc,Tt Constatée.'engagea, si uns avons nonne mémoire, à Quo coudraient faire les fraudeurs belges

tirer du Mexiyua, dès crue année méme, ume

ne le voici :Ils vont rhercher an pays étrangersPartie' de nnlre corps d'occupation. avec lesquels la France n'a pas encore de tasi-

A ces diffeultés principales, sen joignent tés de commerce, certaines marchandises quid'autres qui tiennent surtout à la disposition sont prohibées pour eux à nos barrières. Ilsdes esprits au Mexique, et devant lesquelles il cherchent à les n tionaliser belges, on clair-est

bien permis à un homma de .mur et d'or' nard de faux cortileals d'origine, en uurpen-telligeuce, mnon de reculer , au ..Jus d'hé- miel la bonne foi du as agents consulaires,siler puis ils nous expédient leurs marchandisesdé-

Lesaffairee meaicainesseraiem donq si nous nationalisées par le chemin de fer, qui les dé-es bien informés, unelauoe de solliciludo pose à la gare. Tel est le moyen frauduleux

pour le roi des Beiges. Assurément, cette que,. devant lequel .e reculent pas certains indus.lion n. doit pas seule être abordée dans les Irioie belges.entretiens de l'emperear Napoléon et du rci plais il ya à la gare du Nord un service deL6opuld, à Vichy ;mais il ri est pas téméraire douane composé d'hommes aussi capables quede penser qu'elle y lient une large place. dévoués aux aster'h généraux de nos indus.

(Gazette de Nranre.) Charles guenfon. pries et d'ailleurs fins dé.icheurs de fraudes ;-On écrit de Paris à l'lnternalional do de là, dopais quelque temps, de nombreuses

Londres: ci impur tuotns saisies; da là surtout celle dontIl amble démontré, et entre gouvernement s'agIt, °osistent en 80,000 le. de paranoine

a, dit-on, les prouves en main, q s t'est la metivea des Plus préoieeees

Hnssic qui conspire en effet 0,0100 la France Quelques jours auparavam, ,e méme bureauet qui a chem66 à conclura une alliance avec de douane saisissait pour 0,00 fr. tue drapsla Prusse et l'Aslrinhe. fabriqués à Aix-Ia-Chapelle, dénationalisés et

II. s certiflcals d'usa eUdouyn de L e lr serait parvenu à expédias l nce ."les gproanrer des c pins de lettres ci de

aubes

es onstvlmtl leurFraorigine

belge.par lesquelles le prince Gortsdwkoff ff aurait - Hier lundi, devant la boutique d'un or

damles rrucomree du' Postdam et de Kis' chand dru I- de la rua Sainle-Croia-de-la-mngen, et indiqué le danger qui menace le guis endroit public existant en Europe, s libre ace- es neriu, des ouvras soulevant pour

f politique de la France. fe les d loques de benzine, ceuissé-

rastest

crhuiessée t Il

politique, d'après le langage du rond

déplatombecer

-des s

une qui brisa et le cenlenuchancelier russe, qm aurait fait de la révolu

coula dans le ruisseau. Quelques maisons plus

lion en Italie un danger permanent; qui aurait bas se trous'ma

débit de tabacs. Un fumeur

Provoqué et entretenu sur les bords de la Vis-qui venait d'allumer son cigare, jeta son p,-

Cule et sur ceux du Danube des agitations quiPier en0ommé dans le ruisseau, gai inimoursl

cent d'allumer un ncendie dithofle àlament prit feu. La flamme s'étendiEeL rut

éte, ellenouco

Des personnes bon informées rl'ordi- le long de trottoir; refoulée par le v nivint d'au, dans son parcours, et endomma-

noire affirment qu'à la première 0ecasiou u

le^lier

eu-rupture sérieuse pourront av ir lieu cotre le gel

lesdeves antures de plusieurs .ontiques, 'ost

gouvernemem fronçais à celui de SainbPdlers Ire autres d'un coiffeur, d'un fruitier t d'u.bourg , marchand de vins, au coin de fa rua des Bil-

u 27

sente à aea nombreux edmiramurs, et tl ti apas trouvé d'antre moyen plus irçénieux dedonner un souvenir de an personne que dedistribuer son portrait plotographib.

C'est une trnegeruenon de la lot musul-

mane, me direz-vous YQui, sans doute; mais il est avec la ciel de

Ai bomoi des eacommoaements, etKoder a trouai une ingé ju tt)cationde sa conduite On lut du 1 L o ment tlpouvait toue ber cette dtsf 'L t d p totem[,

ec I observation de Alaho lLes musulmans, a-t-il dit, oe ,culent pas

. faire faire leurs pneteatls, perce gorets traitasque celte opération est disboligne, et tu ée l nécessaire d'enlever une ponton, impur-

, dérable, il est vrai, de la substance supeeli-ciolle de l'individu pour avoir sua effigie,et que cet acte a pour résultat de violer laloi divine, qui prohibe la mmilation, surtoutn ce qui regarde le figure humaine , faim à

l'image de Dieu. 11 faut, peur dire plus sd-reme t prédestiné, avoir l'intageité des for-

s. fiais comme le soleil, dans une photo-s graphie, n'enlève rien à notre individualité,

on peut donc, sa violer le Coran, laisserreproduire indéfiniment l'aspect de ..Iraphysionomie..

Celle explication, vous le voyez, nous lai.lie aux raisons qui font condamner parla loide Mahomet la reproduction de la figura hu-

- On mat!-i de le IlcllaudeDans la nuit dL 17 de ce mois, le sarrasin,

à Assen, a été gelé. Les dommages sont consi-dérables. ,

On écrit de LondresLes comptas-rendus mensuels de hall.

de bienfaisance continuant d'établir que ,epaupérisme diminue en Angleterre. D'après larapport d'avril 1864, si on le compare aveccelui de la tu d'avril 1863, ou ee sia(e nuediminution de 8,00 pour 100 dans le nombrede ceux qui ont reçu des secours. C'est surtoutdons les districts manufacturiers qu'on le re-marque; on trouve 35 pour 100 comme pro-porlio. dans la division du Tord ouest, Ce.-prenant le Lancashire et le Cheshier, .

er

- La reine Vicporia vient da conférer latitre de baronnet à l'éminent géologue CharlesLyell. Sir Charles Lyell prendra le titis debaronnet de Kimard y, dans

cruautéde Forfar.

(Sua.)- Le lpanderer, de Vienne, dit que depuis

j,rus dans les hauts cercles de la copdale, les

dames eu ârmdo toilette n mettent plue decrinolines. C'est Pexelspleodonné d'en haut

per l'Impératrice qui a amené, dit-on, celledit.,.a.

- On lit dans la AfauseUne anecdote parfaitement outhenliyuea olé.

frayé pemdanl quelques jours le chronique deIissiegen. Lu peule r v re il, Sorte nomele long du hoegurmn, ifs promenade favoritede Kissingen; le rivière est poissonneuse et

rrit grand .ombre de carpe , n s il couest rail aucune cm:sommaliOe à Kissingen. Aquelques pas de la promenade, et sur lu Seale

Ame, est installé ma 6laFlissement qui n'a pasde nom français, que les Anglais appellent sou-feeeloiet,elles Ailaman,le refrrede C'ast anr-tout aux abords da l'établissement que les car-pes foisoment, surtout dans la sa son desbarns.

l'our extrait : A. Pujol. elao chaleur de la nomme était assez intense

- La Gsoerie de l¢ Baltique donne le tilla. pour faire éclater les dalles de trottoir On 11 y a quelques jours, 0e monsieur entresuivant de l'insurrection polonaise. Elle essore 'a fort heureusement à regretter aucun acci- dans un des cabinets, s'enferme rt v resta siquo la plupart da ses chiffres mot éa puisée à dent. longtemps, yuo l'un des gardiens, imjuiet, croitdes sources officielles. Pendant les soue mais 0. tremble à l'idée do malheur qui eIL P. devoir frapper à la porto. Point de rdposse. Ilde lutte, 30,000 insurgés ont blé tués ou bles- arriver si, au moment ai, la benzine s eu,am- ,adresse alors à un délégué du commissaireséd grièvement; 361 persomnea art été cour- Tait, une dame à ample crinoline était venue yal des nains, qui vient frapper à son tou.damnées à mort par leu

-cilsde guerre ; ' passer prés du ruisseau, devant la boutique point de réponse encore. Plus d'une heure s'é-

83,000 personnes moins compromises ont été du marchand de tabacs. tait écoulée. 0. craint on necident, une etta-déporldes

ce

Sibérie, - Cinq ouvriers brasseurs teavailloient que d'apoplexie, un malheur enfin. Ou faitLes ronlributions da guerre se sont purm- va t-hier dans une aavedo ce, patron, située venue nu serrurier : la Porte est Inclût. Un

géra de la manièressuivante r G millions roubles eue barreau, 23. Sur les cinq heures du' soir , specmcle oriçinal s'offre aux topo le monsieurd'argent dans le oyauim; de Pologne, 3 mil- j'en d'eux remarqua, par hasard, une baie as- poché, suidait des yeux une ligne qu'il avaitlions en Lithuanie, 2 'Ilions e R'olhynfe' sezlarge, grillée par des barreena à demi son' lancée par l'orifice.Podolie et à Kiaw. De son le gouveruc-

gel

parla rouille. En élevant sa Incline, il vit Si se retourna tuu, à coup ver un goulemen national polonais a prélevé les somme, que celte nuvenure donnait accès dans ue sou- d'impatience, surpris qu'on vint le déranger, et

',omet :dans le royaumes de Pologne, G m'il- leream où l'ombra était épaisse et profonde. Il son accent révéla I était Amelais. sex-lioue d'argent ; Lithuanie, 3;

elon thies

Wolhynie, est( i lie as à Kicw, 2; eo Gallicie, eu fit la remarque à ses camarades, et tous pliqua. E. un instant, la nouvPileseTonrépandii,

2 1/2, et I m Ilion dans 1o Pasnanfe.poussés par l'attait. de l'id'omu et l'amour du er je anus donne a Penser l'hiiarilé qu'elle

Le netrben des Pol.nis qui se sont réfugias ervedlcux, résolurent d'allerexplorer cette excipa. Cs n'étaient que des plaisaaeries surinément devant eux. Les l'humour es l'excentricité britanniques.aorte ei inovoieà l'etrangar est estimé à 10,000 pour le mains,

et pins de 6.000 sent encore détenus et aile..dent leur -M.

Le Remise, vient de publier lo rapport dela C emmisaion permanente des salues, quifnnotio.ne après de AI. le ministre deculture,

du commerce et des travaux publics.Ce document délermira les valeurs officiellesde douane pour ['muée 1865.

Voici ce qui eésulm de ce rapportPour Ics Céréales, la mnyenus des valeurs a

fléchi dans las propositions de 22 OJO pour lesfroments, de 26 0/0 pour les farines, de 21 0,i0Pour les seigles et de 20 0/0 pour les orges et

s. Les colzas t Paillette ont fléchide ib ài 20 0/0, les huiles de graines grassesde lO à 11 1/2 0/0. Les vina ont baissé d'envi-ron 15 0/0. Les fourrages, légumes et végétauxdivers n'ont pas varié; les houblons mot Hausséde 10 à 15 010. Malgré des scillalions nom-breuses la valeur moyenne des sucres a peuvarié.

L s baie de construction brute ou équarrisnet haussa de 20 O/0; les bois de sciage sontrestés sud...ailes; les bois à br0le, ont baisséà''."'an 10 OJO.Li houille et coke sent restésaime variation sensible; il en est de mê.apourle soufre, le bitume t le graphite. Les pro.doits de le mdlallurgio ont généralementéprouva une baisse assez sensible o sur plu-sieurs articles. Les ouvrages en fer et ea fonte.ne. e. asont ebaissé

baiisseV notable /La 'houx ashaubi

ussé de 10 0. par quintal; les ardoises sontn hausse cru sente; , il eu cet de même

pour les briques et les meules à moudre.Les cocons ont baissé de 14 à 16 0/0, leses gréges de 6 à 8 0/0; les étoffes de soiecrieso

oot fléchi de 3 1 4 0/0. La valeur des ru-bans est restée sans

vieillie..Las laioes com.

munes mI haussé de 11 à 12 0/0; les latses fi-n o i air contraire baissé de 8 0/0. Les dé-chets de laine ont haussé de 20 O/0; las fils delaine longue oai augmenté d'environ 15 0/0. Lavaleur des étoffes de laine mélangée a haussé

pbarreaux furent promptement descellés, et lescinq compag n..s, muuas de leurs lanternes etarmés de leur courage, franchirent l'ouver-ture.

Après avoir descendu quelques marches, ilsse trogèrent soue..a voûte assez élevée, et' ngagè ievsolûmem d rm couloir auquel

sb.mido

ssmennombreuses

es r e l'éte lions.Voulant

se

erorendre compte de l'étendue de ce

domaine souterrain, qui, dans leur pensée, dé-pendait de la propriété de leur mettre, ilsquittèrent la voie première pour d'autres che-

uf s'entrecrmsmnt.mAprès avoir marchélongtemps, üs voulurent

revenir sur leurs pas ,mais ils ue purent re.trouver 1col route,

et

ils errèec t pendanttrois heures dans des dédales aura fin. Ils dé-

spéraient de pouvoir jamais en sortir, quard.,a entrent apercevoir comma une lueur aubout du souterrain.

L'espoir de la délivrance dissipa leurs apoisses, ils hàtbeent le pas et arrivèrent à uneporte fermée, mais derrière laquelle ils enter.dormait des bruits de voiture et des voix hu-maines, lls cherchèrent à ouvrir la porte, maiselle résista à tous leurs efforts : ils fraèrentalors' coups redoublés et paru erent à

ppse

faireentendre des 1 sants, q i leur apprirent q 'ilsse trouvaient àalu Porte des catacombes, à l'en-cie n barrière SmmbJacques. Ils demandèrenteu grâce qu'on les délivrât. Un sergent de ville,averti de ce

'aise passait, se mit à la recher-

che douchef

d'atelier des ouvriers employésaux catacombes, qui vinrent leur ouvrir. Ils,aient les lochs bouleversés et paraissaient

plus morts que vifs. Après avoir constaté leurlitanie, le commissaire do police devant le-quoi ils avaient été enduits, les a rendus à la

berté.- 0. nous écrit de Paris

Je reçois d'Alexandrie u.. curieuse nou-

velle. Vous savez gs'Abd-eb Kader vient d'yétame us grand sucrés. L'accueil fait à l'ex-

émir par toute la population d Alexandrie a étécordial et chaleureux.

L'ex-émir a voulu témoigner sa reconnais.

Les IPles couronnées elles-mémes n'ont liasdédaienb de rire de bon .mur, et l'on m as-

re q i un puissant mosarque s'est désopiié larate. Les carpes de Kissingen sont à jamaisdéshonorées.

- Il vient de mourir dans le départementdes Celes-du-Nord, n riche aventurier qui,après un long séjour dans les Amérigaes, étaitrevenu dans son pays avec une brillante fer.tune.

Voici la manière originale dent il s'y pritpour l'acquérir.

D'un esprit inventif et aventureux, la veilledu départ de son .aaire pour l'Europe, il des-cendit m jour à terre, et, h l'aide d'un pal de;rage, il se noircit le visage, et complétement

transformé en nègre, dont il connaissait le leu.gage, il se vendit 1,500 le. à un planteur bol.landais.

Le lendemain, parfaitement bleue, il l'échapppoil de la plantation, et son navire mettait à lavoile, il allait dans un autre port renouveler

métamorphose. C'est ainsi q e, nouveauPrenne, il changea huit ou dix fois de cou.le

Enhardi par ce succès, il fit an dernier coupde mollet qui lui valut une somme podigieuse.D'accord avec les quinze hommes d'équipagede son bord, il les affubla de vieux haillons,les noircit de pied eu cap avec du goudron, etfit annoncer à son de trompe, dans tine tle ao-glaise, quel allait v nitre le soir méme unecargaison d'esclaves du Congo.

Il les vendit tous, et la somme lui [et payéecomptant

Lentdeur emmena sa marchandise, trèsde aa. marché, et s'endormit heureux.m

Mais, dans le nuit, sa t as riodise décampa.Un canot le hrik

mit à la voile sans attendre le réveil du cou-ve u martre de mes esolav de cntndurds.

C'est ainsi qu'il

acquit,ddu temps de la traite

des noirs, une manne qui, quoique de sourcessez peu ranale, ne lui cr fut pas moira pro-

fitable.

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né à Toulouse (Ilaute-Garonne), décédé u Pma-lueoic (tain.et-Garo¢oad, le 24 jura 1804,

encès oc 29 .tontine 1864Nollet (tanin.Aise, 9 amie, ne à 'Toulouse,

franubords de canal.Dupré (dean Marre), 11 mois, r,6 à Toulouse,

près du pont des Demoiselles.tabards (Jean.Jlaeie), 18 mois, né à Tou

tonne rue d S C,es arcsLc crén, 90.

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Lh 1.t et le plan qui se Irons, joint On 1inter d t I p t x d, lA e e1 ',I 1 1 t J d' dt

C 1 , p . e et ocoecra a M. ARMA L du lP le e d Ila Crase, si,bba sera, rer, 44, a Toer- c lgi.l t le eodit ansqua c, foibusc, lai soin. rne de trois froncetoipngnante i 5out a ]a f0is caisse de piète li,nciere, de

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