infoMensuel

Octobre 2009

No 8

Bulletin d’information de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève

Editorial

SommaireEditorial : Faire entendre la voix de l’économie p. 1Les besoins de l’économie présentés aux futurs députés p. 1-2La fibre optique bientôt dans votre salon! p. 3Commerce international p. 4Vie de la Chambre p. 5-6

Arbitrage international - Nouvelles d’entreprise p. 6

Info santé - Fiche pratique RH p. 7Agenda p. 8

Chaque mois, encollaboration avecGeneva BusinessNews, le média

des Ressources Humaines et du mar-ché de l’emploi, explorez un aspect

Quand la crois-sance rejoint la

qualité, le succès est au rendez-vous : le label 5 étoiles récompenseà juste titre Qatar Airways pour sonniveau de service et sa performance.

Retrouvezla rubrique«Info santé»réalisée grâceà la collabo-ration de

la Clinique des Grangettes.

Ce mois-ci, le plus grand service deconsultation et d’urgence pédia-trique privé de Suisse, qui a ouvertses portes le 3 octobre à la Cliniquedes Grangettes, est présenté.

Avant d’entrer dans le vif du sujet,Jacques Jeannerat, directeur de laCCIG, a présenté brièvement les mis-sions de la Chambre qui ont toutespour but de faciliter l’entreprise et depromouvoir l’économie genevoise. Leprésident de la CCIG, François Naef,a ensuite abordé la stratégie, axée sur4 axes, développée par la CCIG: lafiscalité et les finances publiques, lamobilité et les transports, l’aménage-ment du territoire et le logement ainsique le développement durable etla formation.

Le commerce, un rôle social aussiPremier protagoniste du jour, GuyVibourel, directeur général deMigros Genève, qui représente lecommerce. Ce secteur est composé,

à Genève, de 3700 entreprises,de plus de 6500 points de venteet de 26’500 collaborateurs.Il représentait, en 2007, 13.6 %du produit intérieur brut genevois.Outre son rôle économique en tantque gros pourvoyeur d’emplois, lecommerce joue un rôle social impor-tant : une ville sans commerce estune ville morte.

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En termes de conditions cadre, leshoraires sont la problématiquenuméro 1: ils sont disparates, com-pliqués et restrictifs. Un projet de loiest actuellement en examen et ilmérite d’être soutenu afin que ceuxqui veulent harmoniser leurshoraires puissent en avoir la possibi-lité. Un sondage, mandaté par lescommerçants genevois et réalisé parune entreprise indépendante, relèveque 60% de la population activeavec enfants souhaite l’ouverturedes commerces jusqu’à 20h.Evidemment, il y a lieu de ne pas

Faire entendrela voix de l’économieLe 2 septembre dernier, quelque140 personnes briguant le GrandConseil ont répondu favorable-ment à une invitation de la CCIGrelative à une rencontre pendantlaquelle cinq chefs d’entreprisesont fait part de leurs besoins etpréoccupations en matière deconditions cadre. Toutes les actionsde la CCIG convergent vers lemême but: faciliter l’entreprise ainsique promouvoir l’économie gene-voise et cette manifestation lui ena donné une bonne opportunité.

En tant que directeur de la CCIG,mais aussi en tant que candidatau Grand Conseil représentant -avec mes collègues de la ChambreGenevoise immobilière, de laFédération des Entreprisesromandes, de la Fédération gene-voise des métiers du bâtiment, duGroupement des Banquiers PrivésGenevois et de l’Union IndustrielleGenevoise - les milieux de l’éco-nomie, cette forte participation nepeut que me réjouir. En effet, assu-rer à Genève son développementpasse indéniablement par desentreprises durables. Ces dernièressont pourvoyeuses d’emplois etcréatrices de richesses permettantle financement de l’Etat social. Ilest donc essentiel de leur faciliterla vie. Pour ce faire, politique etéconomie doivent travailler maindans la main. Et c’est dans ce butque les milieux écono-miques s’engagent.

Jacques JeanneratDirecteur

suite en page 2 >

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Qatar AirwaysBienvenue dans un monde d’exception

Permettre aux futurs députés, à la veille des élections, de prendre connaissance des préoccupations de chefs d’entreprise ducanton et des besoins de l’économie en matière de conditions cadre était l’objectif de la rencontre organisée par la CCIG le2 septembre dernier au Forum Credit Suisse. Près de 140 can-didats au Grand Conseil ont pris part à cette manifestationpendant laquelle cinq coups de projecteur ont été donnéssur des secteurs de l’économie: le commerce, les services,l’industrie, les arts et métiers ainsi que l’agriculture.

Les besoins de l’économie présentésaux futurs députés

confondre l’amplitude d’ouverturedes commerces avec celle du tempsde travail.

Autre point relevé par Guy Vibourel :la dégradation des relations aveccertains syndicats alors que Genèvedispose d’une convention collectivede travail étendue parmi les plusinnovantes et avantageuses deSuisse. Enfin, la concurrence s’ac-croît avec des acteurs qui ne sontpas soumis aux mêmes règles que

Info santé

Des candidats à la députation réunis pour assister à 5 coups de projecteur sur l’économie genevoise.

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Guy Vibourel, directeur général de MigrosGenève.

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de la vie quotidienne en entreprise,grâce aux fiches pratiques RH.Découvrez dans ce numéro com-ment établir un Certificat de travail.

Fiche pratique RH

vaux lors d’accords internationauxsur les marchés publics (AIMP),davantage prendre en compte le faitque leurs PME sont des moteursessentiels de l’économie du canton.Autre problème récurrent : le proces-sus des autorisations de construire etsa kyrielle de lois. A cela s’ajoute lemanque de terrains constructibles etses incidences sur le prix du m2 quiprovoque l’exode des Genevois et delourdes conséquences sur la mobi-lité. Pour pallier ce problème, il fau-drait déclasser au moins un peu duterrain agricole. Charles Seydouxconclut en exprimant qu’il rêve depasser plus de temps à construirequ’à remplir de la paperasse…

Mieux utiliser le solD’emblée, John Dupraz, présidentde l’OPAGE, ancien député etconseiller national, déplore la lenteurdes décisions à Genève. Elu en 1973au Grand Conseil, les sujets traitésà l’époque étaient la surpopulationde la prison de St-Antoine, la crisedu logement et les communauxd’Ambilly. Près de 40 ans après, ilconstate, avec irritation, que cesdossiers n’ont guère avancé.

Pour les milieux agricoles, le pro-blème majeur est l’aménagementdu territoire. Premièrement, les bâti-ments en zones 4B protégées quin’ont plus d’affectation agricole

pourraient être utilisés pour le loge-ment. Malheureusement, cette possibilité est phagocytée par la loifédérale. Deuxièmement, le sol, premier outil de travail des agricul-teurs, doit être ménagé et utilisé defaçon optimale grâce à la densifica-tion et au développement de zonesd’activités mixtes.

John Dupraz évoque un autre pro-blème pour l’agriculture – qui n’estpas propre à Genève –, celui lié auxdifférents accords internationauxd’échanges économiques agricoles.L’agriculture en Suisse doit aussifaire face à des loyers et des salairesplus élevés que dans les autres paysalors qu’elle opère sur les mêmesmarchés. Enfin, il termine en rele-vant le rôle que joue l’agriculturedans l’entretien du territoire etespère qu’elle pourra contribuerencore longtemps à préserver desespaces de promenades pour lescitoyens.� Pascale Roch-Gigandet

Le problème numéro 1 à Genèveréside dans la pénurie de logementscar faire venir du personnel àGenève relève de la gageure. Lenombre de collaborateurs habitanten France ou dans le canton deVaud ne cesse d’augmenter avecdes conséquences non négligeablessur les recettes fiscales de Genèved’une part et sur la mobilité d’autrepart. Autre point que ChristianSalomon soulève est la «cultured’opposition» qui sévit à Genèvecomme pour le CEVA, la traverséedu lac et le développement dePraille-Acacias-Vernets, alors que cesprojets sont vitaux pour l’économiegenevoise. Pour conclure, il citel’exemple de la réalisation en untemps record de la Halle 6 dePalexpo et conseille de s’inspirer dece dynamisme pour les projetsfuturs qui permettront au cantond’assurer sa prospérité.

Les PME, vitales pourl’économie genevoiseLe secteur de la construction àGenève, représenté par CharlesSeydoux, président du Conseil d’ad-ministration de DBM SA, a, jusqu’à

présent, été épargné par la crise. Unetension sur les prix se fait néanmoinssentir depuis quelques semaines.

Avec un système social très déve-loppé, des salaires et des loyers éle-vés par rapport aux cantons voisins,la situation de Genève est particu-lière et provoque une concurrencedifficilement soutenable. Pour y faireface, les pouvoirs publics genevoisdevraient, dans l’adjudication de tra-

les commerçants traditionnels gene-vois. Pour conclure, le message deGuy Vibourel est sans équivoque: lepoids du commerce est majeur àGenève, cependant sa voix est malentendue et surtout mal défendue.Avis est donc lancé aux futurs députés…

Importance de la qualité de lalocalisation pour les servicesC’est à Jean-Marie Salina, managingdirector senior advisor au CreditSuisse Genève, qu’est revenue la res-ponsabilité de présenter le secteurdes services et plus particulièrementdes services financiers. Ce domaineest très important puisque Genèveest la deuxième place financière en

Suisse et une des plus importantesau niveau mondial. Il représente unecontribution primordiale au niveaudes finances publiques du cantonainsi que de nombreux emplois àhaute valeur ajoutée qui contribuentau niveau de formation desemployés. Enfin, la finance déploiede nombreuses activités internatio-nales, mais agit aussi sur le planlocal en assurant par exemple leconseil et le financement de PME.

Les besoins en matière de condi-tions cadre pour les entreprises deservices sont les suivants : des infra-structures de bureau adéquates, dupersonnel hautement qualifié et deslogements. En outre, Genève doit sedoter d’infrastructures pour garder

sa qualité de localisation considéréecomme la meilleure de Suisseromande1 et pour assurer sa crois-sance: développer la mixité destransports, relier Genève à la Suissepar des infrastructures encore àconstruire. Au niveau de la politiquefiscale et budgétaire, il y a lieu deréfléchir à des stratégies améliorantle rapport recettes/charges.

Le logement et la mobilité enpoint de mire de l’industrieL’ensemble de l’industrie manufactu-rière à Genève représente 8% desentreprises du canton, soit environ1000 sociétés, 12% des emplois,19% de l’impôt sur le bénéfice et25% de celui sur le capital. ChristianSalomon, directeur de GivaudanSuisse, relève que l’industrie des par-fums et des arômes est numéro 1mondial à Genève avec 40% desparts de marché. Les entreprisesindustrielles s’installent et sontactives à Genève pour les avantagesqu’offre le canton: la stabilité poli-tique, la paix du travail, la disponibi-lité de collaborateurs compétents etbien formés, la situation géogra-phique au cœur de l’Europe et unaéroport international.

Eu égard au coût de la main d’œu-vre, une production industrielle àGenève ne peut survivre que grâceà des produits innovants à hautevaleur ajoutée et qu’avec des condi-tions cadres favorables par rapportaux autres pays.

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2 No 8 / Octobre 2009

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B o u t i q u e Va c h e r o n C o n s t a n t i n 7, Q u a i d e l ’ Î l e 12 0 4 G e n è v e T é l . 0 2 2 316 17 4 0 F a x 0 2 2 316 17 41

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Les besoins de l’économie présentés aux futurs députés – suite de la page 1 >

1. Selon une étude publiée chaque année par le Credit Suisse.

Jean-Marie Salina, managing director senioradvisor au Credit Suisse Genève.

Christian Salomon, directeur de GivaudanSuisse.

Charles Seydoux, président du Conseil d’ad-ministration de DBM SA.

A l'issue des interventions, les participants ont pu échanger dans un cadre informel.

John Dupraz, président de l’Office de promo-tion des produits agricoles de Genève.

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No 8 / Octobre 2009 3

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Aujourd’hui SIG compte 58’000 kmde fibre installée.

Pourquoi avoir choisi ce matériau?Il constitue un support de qualitéencore inégalée à ce jour. D’unepart, la fibre est insensible à lafoudre, n’est pas perturbée pard’autres sources électriques, nese corrode pas et ne craint pasl’humidité. D’autre part, de capacitéillimitée et ultra-rapide, elle présentede très hautes perfor mancesdans le transport de l’informationnumérique. Elle peut facilementassurer un débit de 100 mégabitspar seconde dans les deux sens,soit 20 fois plus qu’une connexionà internet avec l’ADSL. Avec unéquipement adéquat, elle peutmême aller jusqu’à un gigabit parseconde, soit 200 fois l’ADSL.

Avec son projet FTTH (Fiber to thehome), SIG a décidé d’étendre«tout simplement» le réseauexistant de fibre optique àl’ensemble du territoire genevois.

Cette véritable autoroute del’information permettra à chacund’accéder à une palette illimitéede services et d’informations,en très haute qualité de son etd’image: TV numérique, TV hautedéfinition, téléphonie par internetou internet à ultra haut débit.Il sera alors possible de téléchargerun film DVD en 30 secondes, de

Alors que le fil de cuivre était lesupport incontournable de télé com -munication, SIG se lançait, il y a10 ans déjà, dans la constructiond’un réseau de fibre optique en

utilisant, autant que possible,le réseau eau et électricité existant.Son objectif était de desservirles grandes entreprises et lesimmeubles com mer ciaux.

capter simultanément plusieurschaînes en haute définition, voired’accéder demain à des services àdistance comme le télétravail, latéléformation, la télégestionénergétique de bâtiments ou mêmela téléconsultation médicale!

Ces services seront fournis nonpas par SIG, mais par desfournisseurs avec lesquels SIGtravaille en partenariat. Aujourd’hui,trois fournisseurs ont déjà choisil’offre FTTH de SIG. D’autressuivront très prochainement, sansrestriction d’accès. Nous touchonslà un point fort de cette offre :la liberté d’accès ou «openaccess». Il garantit à l’ensembledes fournisseurs du marché uneouverture d’accès au réseau sansdiscrimination aucune. SIG a faitce choix commercial parce que,contrairement à d’autresconstructeurs de réseau, elle nefournit pas, en plus du transport,des services de télécommunication.Cela lui permet de ne pas entreren concurrence avec ses four nis -seurs de services.

Amener la fibre optique au domicile de chaque résident genevois, tel est le pari ambitieux que vient de se lancer SIG. Pourquoi la fibre optique, pourquoi

l’ouvrir au client particulier? Parce qu’une nouvelle ère s’ouvre en télécommunications: l’offre et la demande de services évoluent à une vitesse galopante,

et parce que SIG possède déjà un réseau de fibre optique très important.

La fibre optique bientôtdans votre salon!

Olivier Gudet, responsable Télécom, et sonéquipe présenteront l’offre FTTH de SIG au SalonTélécom 2009, qui se tiendra à Palexpodu 5 au 9 octobre.

Ils se réjouissent de vous rencontrer sur le stand Geneva Lake Region,numéro 5031.06.

Les coûts d’installationde la fibre jusque chez le clientfinal pris en charge intégra -lement par SIG est un autrepoint fort de l’offre FTTH de SIG.Ainsi ni le fournisseur, ni le clientn’auront à contribuer aux coûtsd’investis sement pour accéderau réseau.

Cette approche commerciale inno - vante permet à SIG de se posi -tionner comme un acteur compétitifvis-à-vis de la concurrence tantnationale qu’internationale.

Genève, ville internationale,se devait de disposer d’un réseaude fibre optique de pointe. Enchoisissant d’étendre son réseaujusque chez le client particulier,pour couvrir à terme l’ensembledu territoire genevois, SIG a agien conformité avec sa mission deservice public : offrir sans restrictionaux citoyens et acteurs éco no -miques de la place des services aujuste prix, et contribuer ainsiau développement économiquede la région.�

A terme, SIG compte couvrir l’ensemble du territoire genevois d’un réseau de fibre optique de pointe.

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4 No 8 / Octobre 2009

nomiques de développement concernent les secteurs de l’énergie,du transport, de l’agriculture, du tourisme et de l’environnement.La séance s’adresse à toutes lesentreprises/ PME suisses intéressées àen savoir davantage sur ce pays.

Une délégation économiquesera organisée sur place du 25 au29 janvier 2010.

En collaboration avec RainbowUnlimited Gmbh, le Nigeria BusinessForum et l’OSEC, la CCIG organiseune séance d’informations sur leNigéria le jeudi 8 octobre de 9h à13h en ses locaux, 4, bd duThéâtre. Plus grand marché domes-tique du continent africain, le Nigériaa entamé une diversification de sonéconomie vers d’autres secteurs quele pétrole et le gaz. Les priorités éco-

Deux événements sont co-orga-nisés par la CCIG, qui permettentde mieux comprendre les oppor-tunités d’affaires du marchéindien:

• Délégation économique d’entre-prises en Inde, en collaboration avecl’Office de Promotion des Industrieset des Technologies (OPI) et le Swiss

India Business Forum (SIBF), du 26au 30 octobre prochain.

• «Dialogues de PME: Accès aumarché indien: recherche de par-tenaires, de localisations, modèlesd’affaires d’entreprises» organisé

conjointement avec la Chambre de

commerce Suisse-Inde, le 3 novem-bre de 17h à 19h à la CCIG.

L’Inde représente un potentielconsidérable pour les entreprisessuisses. Le pays est doté dudeuxième taux de croissance aumonde juste derrière la Chine.

Les échanges commerciaux toutcomme la coopération entre lesdeux pays n’ont cessé de s’inten-sifier ces dernières années.

Commerce international Opportunités d’affaires en Inde

Opportunités d’affaires au Japon

Opportunités d’affairesau Nigéria

parmi les plus élevés d’Afrique,le pays, importateur de produitsagricoles, pharmaceutiques, énergé-tiques et financiers, offre aux inves-tisseurs suisses des opportunités dedéveloppement intéressantes.

Une mission de PME suissesse rendra en Angola du 22 au26 février 2010.

En collaboration avec RainbowUnlimited Gmbh, SwissChamSouthern Africa, SwissCham Africa,la représentation de la Républiquede l’Angola en Suisse et la CCIG,une séance d’informations sur cepays est organisée le 28 octobrede 9h à 13h au Royal Manotel,41, rue de Lausanne à Genève.Jouissant d’un taux de croissance

mettra en avant les différents atoutsde la région. Des PMI innovantesainsi que les grands noms suisses dusecteur y seront représentés. Le stands’appliquera à développer la notionde «green city» en privilégiant desaspects tels que la mobilité, la domo-tique ou encore l’environnement.

Pour plus d’informationscontacter Philippe Meyer au 022 819 91 11 - p.meyer@ccig.ch

De retour à Genève, cettemanifestation incontour-

nable sur les technologies de l’infor-mation et des télécommunications(TIC) se tiendra à Geneva Palexpodu 5 au 9 octobre prochain. Unstand de promotion portera haut lescouleurs de l’économie genevoise et

Opportunités d’affairesen Angola

ITU Telecom 2009

fiscal et général italien afférentaux relations entre la Suisse etl’Italie le vendredi 20 novembrede 8h45 à 12h30 en ses locauxau 4, bd du Théâtre.

En collaboration avec la Chambrede Commerce Italienne pour laSuisse, la Chambre de commerce,d’industrie et des services de Genèveorganise une conférence sur le droit

Dormez sur vos deux oreilles...

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Forum fiscal et légalSuisse-Italie 2009

liards de francs en 2008). L’accordenvisagé sera de large portée :il touchera à la fois le commercedes marchandises et des servicesmais aussi les investissements, lapropriété intellectuelle, le droit dela concurrence et le règlementdes conflits.

La Suisse est en cours de négocia-tion en vue d’établir un accord delibre-échange avec Hong Kong, villequi constitue la porte d’entrée desexportations suisses vers la Chine.Autant de marchandises suissessont exportées à Hong Kong quedans le reste de la Chine (4,6 mil-

Rencontre sur l’accordde libre-échangeLe 1er septembre marque la mise envigueur des accords de libre-échange et de partenariat écono-mique (ALEPE) signés entre la Suisseet le Japon. A cette occasion, laCCIG, le JETRO et l’OSEC organi-sent une séance d’information surce thème le 9 novembre de 9h à

12h à la CCIG. Il y sera questiondes opportunités créées par cetaccord. Des entreprises suisses vien-dront témoigner de leurs expé-riences de ce marché.

Découverte de la gastronomiejaponaiseLe 24 novembre de 18h à 21hà l’Hôtel Beau Rivage, Quai du

Mont Blanc 13, à Genève, la CCIGse joint au JETRO pour faire décou-vrir de nouvelles facettes de la gas-tronomie japonaise. Des restaura-teurs suisses et japonais viendronttémoigner lors de ce séminaire gus-tatif qui intéressera tout particuliè-rement les membres actifs dans l’in-dustrie alimentaire, l’hôtellerie, larestauration et l’import-export.

Accords de libre-échange

Suisse-Hong Kongen cours de négociation

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No 8 / Octobre 2009 5

Vie de la Chambre

PartenairesCo-sponsors

Sponsors

STUDIO PROJET SàrlAssistance maîtrise d’ouvrage,pilotage d’opérations immobilières

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VITALIS EVENTS SAOrganisation de congrès,conférences, eventswww.vitalis-events.com

ZANETTI INGENIEURS-CONSEILSBureau d’ingénieurs-conseils dans lebâtiment et l’industrie

ACTAPLUS SABureau fiduciaire www.actaplus.ch

ADC CONSEIL &INNOVE LOOK SA IncSociété d’Import – Exportwww.innovelook.com

ADVtools SàrlSécurité informatiquewww.advtools.com

ALEC ALLAN & ASSOCIES SARecrutement de cadreswww.alecallan.com

AUTOBRITT SACommerce, réparation, locationd’automobiles - www.autobritt.ch

BOOKDREAMERSDesign de produits de luxe pour lebureau et la maisonwww.bookdreamers.com

BURSON-MARSTELLER GENEVECommunication et relations publiqueswww.bm.com

CHAMBRE FRANCE-SUISSEpour le Commerce et l’IndustrieChambre de Commercewww.cfsci.ch

CLAIRE-SUZANNEDUBOIS-SESTRANETZDesigner et conseilsen communication

Me DANIELE-CHRISTINE MAGNINAvocatewww.magnin-avocats.ch (en cours)

DOUANEPARTNERConsulting en Transportsinternationaux et douanewww.douanepartner.com

EVOLUTIONMonsieur Thomas MERZConseil aux entreprises

EVOLUTIONPROCoaching – Formationwww.evolutionpro.ch

FROMAGERIE BRUANDFromageriewww.fromage-bruand.ch

GANT STORE GENEVEBoutique, Commerce textilewww.gant.com

GLOBEX DATA SADigital data managementand security www.globexdata.ch

ID3D SàrlSimulation informatique 3Dwww.id3d.ch

JBC BUREAUTIQUEVente et entretiende photocopieuses, fax, logiciels etdivers matériels de bureauxwww.jbcbureautique.ch

LA TOUR Réseau de Soins SAHôpitalwww.latour.ch

MIDDLE EAST VIPAccompagnement clientèle etConseils/Médiaswww.me-vip.com

SAM HEAD HUNTINGRecrutement de cadreswww.samheadhunting.com

SLATKINE REPRINTSSociété d’édition - www.slatkine.com

SOFTWEB SàrlConseil aux entrepriseswww.yoursoftweb.com

Bienvenue aux 27 nouveaux membresmembres admis à la séance du Conseil du 14 septembre 2009

Lors du dernier numéro duCCIGinfo, la CCIG, soucieuse deremplir sa mission de promotionde ses membres, appelait à soutenir les candidats qui sontdes représentants d’entreprisesmembres de la CCIG.

A cette liste que vous trouverez surle site www.ccig.ch s’ajoutent lespersonnes suivantes :

•Pascal GagliardiCadre, BCGE

•Stéphane GrolimundMembre adjoint de la direction, BCGE

•Patricia LäserAdjointe de direction, JPexcursions.

En outre, la CCIG rappelle que7 candidats au Grand Conseilreprésentent les associations économiques. Il s’agit de:

•Christophe AumeunierChambre Genevoise immobilière

•Nicolas AuneUnion Industrielle Genevoise

•Gabriel BarrillierFédération genevoise des métiers du bâtiment

•Edouard CuendetGroupement des Banquiers Privés Genevois

• Jacques Jeannerat - CCIG

•Alain MeylanFédération des EntreprisesRomandes Genève

•Pierre WeissFédération des EntreprisesRomandes Genève

Accueildes nouveaux membres

Elections

Le dernier Accueil des nouveaux membres de la CCIG a eu lieule 3 septembre 2009. Douze entreprises nouvellement adhérentes yont participé.

CERCLE DES AMISDE JEAN-PHILIPPE LAMBELETAssociation - www.O2i.ch

GROUPEMENTTRANSFRONTALIER EUROPEEN Association d’information et dedéfense des travailleurs frontalierswww.frontalier.com

GROOMSERVICESConciergeriewww.groomservices.ch

BGMP – BENNO GARTENMANNMANAGEMENT PARTNERGlobal management et HRConsultingwww.bgmp.ch

SECURITAS SAServices de surveillanceet de sécurité - www.securitas.ch

DOC IN THE CITYServices médicauxwww.docinthecity.ch

BERR & PARTNERS SAImport – Export – Créations de Bijouxwww.elke-creations.com

AZ-DIRECT AGMarketing directwww.az-direct.ch

SOGATO STRATEGIES SABusiness Strategy Consulting Firmwww.sogato.com

GENILEMConseil aux entreprises en démarragewww.genilem.ch

SC FINANCESPlacements financierswww.sc-finances.ch

ENGEL et VOLKERSCourtage immobilierwww.engelvoelkers.com

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6 No 8 / Octobre 2009

dont les principaux sont énumérésdans la brochure encartée dans cemagazine. Ce règlement connaîtun succès grandissant auprès desentreprises suisses et étrangèresparce qu’il leur donne l’assurancede la supervision du processus parune institution reconnue et leur permet de réduire de manièresignificative la durée et le coûtde la procédure, notamment pourles raisons suivantes :

• Le recours à la procédure accélérée permet d’obtenir unesentence rendue par un arbitreunique, dans un délai de 6 mois.Cette procédure accélérée est appli-cable d’office quand la valeur litigieuse n’est pas supérieure àCHF 1 million.

• Il n’est pas perçu de frais adminis-tratifs lorsque la valeur litigieuse estinférieure à CHF 2 millions.

• La durée moyenne des procéduresarbitrales est inférieure à 12 mois.

Pour recourir à l’arbitrage et bénéfi-cier de l’application du Règlementsuisse d’arbitrage international,il est nécessaire d’insérer dans lescontrats une clause d’arbitrage,dont le modèle peut être téléchargédirectement en plusieurs languesdepuis le site internet de la CCIG(www.ccig.ch), rubrique arbitrage,arbitrage international.�

Eric Biesel

L’arbitrage est un mode de règle-ment confidentiel des litigesfondé sur la volonté des partiesde recourir à des arbitres. Ce sontdes juges privés indépendants etle plus souvent spécialistes dudomaine concerné. Ils rendentune sentence ayant valeur dejugement. Cette sentence, grâceaux conventions internationales,est reconnue et exécutoire dansla plupart des pays, à l’inversedes jugements rendus par les tribunaux ordinaires.

L’arbitrage permet aux parties derésoudre leur litige de manière efficace, rapide et confidentielle.Ces qualités, reconnues par le milieudes affaires, sont essentielles dansun contexte de globalisation deséchanges commerciaux où les litigessont toujours plus complexes.

En sa qualitéd’institution d’ar-bitrage, la CCIGdispose d’unelongue expé-rience dans cedomaine.Elle a adopté, en2004, avec d’au-tres Chambres de

commerce en Suisse, un règlementcommun en matière d’arbitrageinternational : le Règlement suissed’arbitrage international. Il régitles étapes essentielles de l’arbitrageet présente de nombreux avantages,

Vie de la Chambre (suite)

Le Règlement suissed’arbitrage international :

5 années au servicede la résolutiondes litiges

Nouvelles d’entreprise

dans de confortables chambres.Mais Qatar Airways propose égale-ment aux passagers voyageant enEconomy Class des avantages qui nesont pas courants: la réservation dessièges est gratuite. En outre, lesvoyageurs possédant un billetEconomy peuventréserver, moyennantun modeste supplé-ment, l’entrée àl’Oryx Lounge àl’Aéroport de Doha.

Sous l’appellation dePrivilege Club, QatarAirways propose son

propre programme de fidélisation.Mais la compagnie aérienne coopèreégalement, comme partenaire, avecd’autres compagnies aériennes réputées. Pour les vols avec QatarAirways dans toutes les classes deréservation, les membres du pro-gramme Miles & More se voient créditer des Miles – le double deMiles pour les vols en Business Classet même le triple en First Class.

On trouvera des informations surQatar Airways sur Internet à l’adressewww.qatarairways.com/ch/fr ou partéléphone au 022 817 79 79. Desinformations sur le Privilege Club sontdisponibles sous www.qmiles.com.�

Qatar Airways est l’une des six com-pagnies aériennes qui sont gratifiéesde cinq étoiles pour leur service etleur qualité dans le célèbre classe-ment Skytrax. Dans l’évaluation de2009, l’entreprise de consultinganglaise indépendante a encore misen exergue d’autres prestations detrès haut niveau de Qatar Airways:meilleure Economy Class du monde,meilleure compagnie aérienne duMoyen-Orient (pour la quatrièmefois consécutivement déjà) et meil-leur personnel de cabine du Moyen-Orient (et ce pour la septième foisconsécutivement!).

En outre, Qatar Airways présente àDoha une exclusivité remarquable:le Doha International Airport est leseul aéroport au monde à pouvoirproposer aux passagers de First etde Business Class un bâtiment leurétant exclusivement réservé, le«Premium Terminal». Ils peuvent s’ydétendre entre deux vols – que cesoit dans l’élégant spa, dans lesauna et dans le jacuzzi ou encore

Qatar AirwaysBienvenue dans un monde

d’exceptionQatar Airways, le transporteur national du pays arabe du Qatar, n’est pas seulement l’une des compagniesaériennes à la plus forte croissance, mais s’enorgueillit également de mériter pleinement le label de compagnieaérienne cinq étoiles. Au départ de Genève, la compagnie propose à ses clients cinq fois par semaine des vols

à destination de Doha et, de là, d’excellentes liaisons pour d’attrayantesdestinations de vacances et d’affaires au Moyen-Orient et en Extrême-Orient, sur le sous-continent indien, aux Etats-Unis ainsi qu’en Afrique –au total, Qatar Airways dessert plus de 80 destinations. Le nouvel horaired’hiver, en vigueur à partir du 25 octobre, promet en outre de nouvellesdestinations très intéressantes telles que Goa, le paradis du tourisme balnéaire indien (à partir du 25 octobre), et la métropole australienne deMelbourne (à partir du 6 décembre). Avec les liaisons de fin de semaine,fort pratiques, Qatar Airways propose des vols de vacances idéals, parexemple le samedi de Genève à Bangkok via Doha.

Skytrax a élu le personnel de cabine de QatarAirways meilleur du Moyen-Orient pour laseptième fois consécutivement.

Le Premium Terminal au Doha InternationalAirport présente une exclusivité remarquable

Doha–Genève–DohaDépart du Doha International Airport

Lundi, vendredi, dimanche QR049 08h35, arrivée à Genève 13h30Mercredi QR047 02h05, arrivée à Genève 07h00Samedi QR047 01h25, arrivée à Genève 06h20

Départ de l’Aéroport International de Genève

Lundi, vendredi, dimanche QR050 15h25, arrivée à Doha 23h15Mercredi QR048 10h25, arrivée à Doha 18h15Samedi QR048 09h45, arrivée à Doha 17h35

Horaire d’hiver valable à partir du 25 octobre 2009

info

No 8 / Octobre 2009 7

Les fiches pratiques ressources humaines

(art. 3CC) et peut même engagerla responsabilité pénale de sonauteur! Si l’employeur a en effetl’obligation d’être bienveillantdans sa rédaction (Loi sur leTravail), il est aussi tenu par ledevoir d’exactitude. Rédiger uncertificat « injuste» peut vousmener devant les tribunaux,induire un futur employeur enerreur par un certificat trop complaisant aussi. Cependantpas de panique, quelques principes simples permettentde s’en sortir aisément.

Le certificatde travail estun documentimportantdans la vie

d’un salarié. Il résume les activités accomplies et l’appré-ciation de l’employeur. Il peutcontribuer à ouvrir ou à fermerles portes d’un futur job. Peule savent, mais le certificat de travail est encadré par la loi(art. 330a CO) et par une juris-prudence conséquente… Il obéitaussi au principe de la bonne foi

Chaque mois, en collaboration avec Geneva Business News, le médiades ressources humaines et du marché de l’emploi, retrouvez les fichespratiques et explorez un aspect de la vie quotidienne en entreprise.

Retrouvez l’article complet sur : www.gbnews.ch

en répondant au besoin grandissantde la population pour ces urgences.90% des urgences ne sont pas d’uneextrême gravité. «Ce n’est pas parcequ’une urgence n’est pas vitale,qu’elle ne demeure pas moins…urgente. Du moins pour les parents»,souligne le Dr Diana, tout en consta-tant: «Aujourd’hui, on doit réagirvite». D’une manière générale, lesparents sont poussés à réagir vite parleur monde du travail, le personnelde crèche de leur enfant, voire leurentourage familial. Par conséquent,quand un enfant a un problème, onn’attend pas de voir si la situation vas’améliorer dans les heures ou lesjours qui suivent. On l’emmèneimmédiatement chez le médecin.

La consultation d’urgence desGrangettes est assurée par cinqpédiatres, qui disposent de quatresalles de consultation, ainsi que d’unesalle de surveillance. «Cela nous per-met, par exemple, de pouvoir garderdurant deux, trois heures ou plus unenfant qui a fait une crise d’asthme,afin de surveiller son évolution»,confie le chef pédiatre qui, par ail-leurs, a instauré un mot d’ordre:«Mettre l’enfant au centre des inté-

rêts». Et ce n’est pas juste une for-mule. Que ce soit pour les soins, l’ac-cueil ou encore l’aménagement ducentre. Ainsi, pas question d’envoyerles patients en salle d’attente, en secontentant de relever leur numérod’assurance. «Quand un enfantarrive, on le pèse, on le mesure et onlui prend sa température, confie leDr Alessandro Diana. Ce type de priseen charge permet aux familles de sesentir rassurées, même si ensuite ellesdoivent attendre un peu.»

Ce nouveau bâtiment unique, à lapointe de la technologie, a pu êtreréalisé grâce à la volonté et l’aide pré-cieuse de la Fondation Hans Wilsdorfqui a trouvé en la Clinique desGrangettes le savoir-faire et le profes-sionnalisme recherchés. Que ce soitdepuis l’extérieur, avec ses airs denavire paisible posé sur l’eau. Ou, del’intérieur, avec son gigantesqueaquarium qui s’étend sur trois étages,peuplé de poissons venus d’un lacafricain, le bâtiment contribue luiaussi au bien-être des patients.

Quant à la touche de gaîté, elle a étéapportée par la société B Plan d’YvesBessard, responsable de l’aménage-ment intérieur. Tout a été pensé pourlaisser libre cours à son imagination:un mobilier design, des couleursvives, des espaces d’attente répartisdans l’ensemble du bâtiment où l’ontrouve d’énormes galets à escalader,des tapis poilus pour s’affaler et desjouets stylisés. On retrouve la mêmeatmosphère dans les salles de consul-tation ainsi que dans la cafétéria oùl’on peut patienter en se désaltérantd’un jus frais maison, le temps d’at-tendre un examen de laboratoire.�

Marianne Girard

Depuis le 3 octobre, les urgencespédiatriques peuvent être prisesen charge, tous les jours de 10h à22h, à la Clinique des Grangettes.

Le plus grand service de consultationet d’urgence pédiatrique privé desuisse a ouvert officiellement sesportes le samedi 3 octobre à laClinique des Grangettes. Il offreune structure médicale complète permettant la prise en charge et letraitement des urgences de pédiatrietant sur le plan médical que sur leplan chirurgical. Par ailleurs, il estouvert à tous les enfants quelle quesoit leur couverture d’assurance.

«Nous prenons en charge toutes lesurgences: otites, chutes, blessures,crises d’asthme ou encore toutesituation inquiétante pour lesparents», explique le Dr AlessandroDiana, responsable du centre pédia-trique de la Clinique. «Pour les casgraves, qui nécessitent une hospitali-sation, nous sommes aptes à stabili-ser les fonctions vitales avant de lestransférer à l’Hôpital cantonal.»

Les Grangettes vont, en effet, colla-borer avec les autres institutions, tout

Info santé

Urgences pédiatriques:bonne nouvelle pour les familles

Ce nouveau bâtiment d’urgences pédiatriques, à la pointe de la technologie, contribue lui aussiau bien-être des patients.

Fiche n°11Le Certificat de travail

1. Un employé est en droit d’exi-ger à n’importe quel momentun certificat, y compris en coursd’emploi (certificat intermédiaire) ;l’employeur est dans l’obligationde s’exécuter. La demande estfréquente lors d’un changementde supérieur hiérarchique.2. Doivent figurer l’identité del’employé (nom et date de nais-sance), la fonction occupée dansl’entreprise, et les dates de débutet de fin du rapport de travail.3. Vous ferez ensuite la listeexhaustive des tâches accom-plies. S’il convient d’être précis,restez-en cependant aux tâchesimportantes pour le poste.4. Viennent ensuite vos apprécia-tions personnelles sur la qualitédu travail, la personnalité et lecomportement du salarié ; cettepartie est très importante, ne lasous-estimez pas!

5. Figurent après les formula-tions éventuelles sur le secretprofessionnel et l’absence d’engagement envers l’em-ployeur (sauf pour un certificatintermédiaire).6. Vous devez être objectif!Bienveillant et objectif !7. Vos appréciations négatives nedoivent être mentionnées que sivous pouvez en apporter lapreuve et si elles sont capitalesdans l’appréciation globale del’employé.8. Politique, syndicalisme, religion,sphère privée… n’ont rien à fairedans un certificat .9. Souvent, la rédaction du certifi-cat se fait conjointement avecl’employé. Une très bonne for-mule, mais rappelez-vous votredevoir d’objectivité!10. Vous avez l’obligation deremettre un certificat, y comprisen cas de licenciement, et cedès la fin des rapports de travail.

Prochaine fiche: L’aménagement du temps de travail

Voici 10 règles à respecter

@Un bon réflexe!consultez notre site

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Les Midis de la Chambre

ASSOCIATION REALISEInsertion socioprofessionnellewww.realise.ch

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Renseignements et inscription:S. Burnier, CCIG, tél. 022 819 91 11e-mail : s.burnier@ccig.ch

Jeudi 22 octobre 2009 – de 12h15 à 14h00 – CCIG, bd du Théâtre 4

PartenairesCo-sponsors

Sponsors

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8 No 8 / Octobre 2009

Siège de la Chambre4, boulevard du Théâtre - 1204 Genève

Adresse postaleCase postale 5039 - 1211 Genève 11Tél. 022 819 91 11 - Fax 022 819 91 00

www.ccig.ch

IMPRESSUMinfo

bulletin d’information de la CCIG.Paraît 10 fois par an, 3200 exemplaires

Responsable d’édition:Pascale Roch-GigandetRédaction:Pascale Roch-Gigandet etFabienne Delachaux.

Publicité: Promoguide SATél. 022 809 94 63

Concept et Graphisme:ROSS graphic design - RolleImpression: Atar Roto Presse – GenèveInformations: publications@ccig.ch

Ont participé à ce numéro:Marianne Girard (Clinique des Grangettes),Eric Biesel (Arbitrage international)et Morgane Le Lostec (Commerce international).

Agenda

Les petits déjeuners des PMEet des start-up sont organiséspar le Service de la promotionéconomique de Genève (Dépar -tement de l’économie et de lasanté) avec la collaborationde Deloitte, Ernst & Young,KPMG, BDO Visura, l’Hebdo,PME Magazine, Venturelab,la Fédération des EntreprisesRomandes (FER Genève)et la CCIG.

Le prochain petit déjeuner aura lieule vendredi 30 octobre 2009 de8h30 à 10h30 à la CCIG, 4 bd duThéâtre, et aura pour thème:

Innovation

Entrée gratuite, mais inscriptionindispensable sur www.petitsdejeu-ners.ch. Informations complémen-taires au Service de la promotionéconomique, tél. 022 388 34 34,e-mail : juliette.zurmuhle@etat.ge.ch.

Dans le cadre de ce Salon, Uni-emploi, nouvelle plateformepour l’emploi de l’Université deGenève issue de la fusion entrele Bureau de Placement et leCentre Uni-emploi, organisedeux conférences clé:

• Mercredi 28 octobre à 11h20 auForum 1: «Productivité de l’entre-prise et maîtrise des langues : cellesqui comptent ne sont pas celles quevous croyez!» par le prof. FrançoisGrin, directeur de l’Observatoire«économie langues formation»de l’Unive rsité de Genève, et avecla participation de DominiquePouchkine, Branch Director pourAdecco Finance.

• Jeudi 29 octobre à 11h20 auForum 1: «Les managers honnêtesprofitent aux entreprises, c’estprouvé!» par la prof. Ranja Gibson,directrice du Finance Research Insti -

tute de l’Université de Genève, et avecla participation de Maxime Morand,directeur des ressources humainespour le groupe Lombard Odier.

Pour obtenir un billet gratuit pourle Salon: emploi@unige.ch

En outre, Interface Entreprises,réseau genevois de promotionet de coordination des stages etdes formations en entreprise,propose:

• Jeudi 29 octobre à 17h au Forum 2:«Une formation professionnelleen 2 ans avec attestation fédérale :tout le monde y gagne!» parMichel Fior, responsable de projet àl’Office fédéral de la formation pro-fessionnelle et de la technologie.

Pour s’inscrire à cette conférence etobtenir un billet gratuit pour leSalon: corinne.roulet@etat.ge.ch

Petits déjeuners des PMEet des start-up

Salon «SolutionsRessources Humaines»28 et 29 octobre 2009 à Palexpo

Vous désirez effectuer un mailingciblé? Du 1er au 31 octobre 2009,la base de données des entre-prises membres de Chambres decommerce suisses, Swissfirms,vous propose un rabais de 50% àl’achat de listes d’adresses.

Créée il y a 10 ans par lesChambres de commerce suisses,Swissfirms (www.swissfirms.ch),recense actuellement près de15’000 entreprises, dont les quelque2000 qui sont membres de la CCIG.Outre les coordonnées, Swissfirmspropose des informations précisessur les entreprises telles que le nomde leurs responsables, leurs activitéset effectif. Les adresses des entre-prises choisies peuvent être sélec-

tionnées sur la base de nombreuxcritères (région, langue, effectif,activité, exportation, sous-traitantsetc.) et fournies sur support électro-nique ou papier (document Word,Excel, listing ou étiquettes). Grâce àcette offre, le fichier des entreprisesmembres de la CCIG revient, parexemple, à CHF 232.- sous formede listing, à CHF 280.- sous formed’étiquettes et à CHF 550.- sousforme de fichier informatique. Il fautajouter à ces montants CHF 45.-de frais de recherche.

Pour tout renseignement complé-mentaire ou commande, veuillezcontacter Brigitte Schouwey, àla CCIG, tél. 022 819 91 11 ete-mail : b.schouwey@ccig.ch

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