Consommation en hausse, production en baisseCes dix dernières années, on observeen Suisse une progression de laconsommation d’électricité d’environ2% par an. Et cette augmentation

MensuelMars 2011

No 2

Editorial

SommaireEditorial : Electricité, un enjeu stratégique p. 1Quelle énergie pour un monde toujours plus électrique? pp. 1-3Fiche pratique RH p. 3Commerce international p. 4Vie de la Chambre p. 5Séminaire d’entreprise: compte rendu p. 6Vie des sponsors p. 7Agenda p. 8

Oui, vous avezbien lu! Ils’agit bien de«bore out» etnon de «burn

out». Le «bore out» est le syn-drome d’épuisement professionnelpar l’ennui, qui touche les per-

Quelquesjours aprèsla clôture

du Forum de Davos, ThierryMalleret, responsable de larecherche chez IJ Partners SA et

ancien responsable de l’organisa-tion dudit Forum, a dressé untableau des problématiques traitéeset tiré les principales leçons pourles dirigeants de PME.

ne s’arrêtera pas là. La consomma-tion d’électricité progresse, parallèle-ment au confort supplémentaireapporté par le progrès technolo-gique. L’effort de réduction desémissions de CO2 implique unehausse de la demande d’électricité.La Confédération prévoit ainsijusqu’à 200’000 voitures hybrides et50’000 entièrement électriques d’ici2020. A eux seuls, les CFF prévoientque leurs besoins augmenteront de25% ces vingt prochaines années.Enfin, à Genève, la liaison ferroviairedu CEVA sera bientôt une réalité.Ce seront alors des milliers de voi-tures en moins dans le trafic quoti-dien, mais au prix d’une progressionde la demande d’électricité.

La consommation d’électricité augmentera de 30 % d’ici 2035.C’est la conclusion de l’étude com-

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mandée auprès du consultant Infraspar les cantons de Genève, de Bâle-Ville et de plusieurs organisationsécologistes. Cela représente unecroissance de 0,8% par an, à com-parer avec l’augmentation annuellede 1,7% qui a eu lieu entre 1998et 2008.

Dans ce contexte et d’ici à 2013, lapopulation suisse doit faire un choixcapital. Nos centrales nucléairesdevront progressivement fermerentre 2020 et 2040. Or, elles assu-rent 40% de notre production élec-trique. L’hydraulique fournit 55% etles 5% restant se répartissent entreles nouvelles énergies renouvelableset d’autres sources.

En hiver, la forte demande contraintnotre pays à importer systématique-ment du courant. Ce dernier pro- suite en page 2 >

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Selon les prévisions, la population mondiale devrait avoisiner les 9 milliards en 2050. Autrement dit, il faudra comp-ter avec trois milliards de consommateurs d’énergie en plus. L’électricité est partout et remplace peu à peu les éner-gies fossiles. Le monde s’électrifie à grande vitesse. De ce fait, le défi de nos sociétés est de répondre à cette fortehausse de la demande d’électricité en respectant aussi bien les exigences de la croissance économique que celles dela protection de l’environnement.

vient pour l’essentiel de centralesnucléaires françaises, avec lesquellesles électriciens suisses ont descontrats à long terme. Malheu -reusement ces contrats arrivent àéchéance et la législation euro-péenne sur le transport d’électricitéempêche leur renouvellement.

sonnes auxquelles motivation etintérêt pour leur travail font défaut.Retrouvez dans la fiche pratique RH,élaborée par le média des res-sources humaines Geneva BusinessNews, dix conseils pour l’éviter.

nique de tout type d’événements,congrès ou conférences, livre lesecret d’une présentation quimarque son auditoire.

Un dessponsorsprincipauxde la

CCIG, Dorier SA, actif dans la réali-sation, création et production tech-

Séminaire d’entreprise

infoBulletin d’information de la Chambre de commerce, d’industrie et des services de Genève

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La question énergétique constitue l’un des principaux défis du 21e siècle

Quelle énergie pourun monde toujours plus

électrique?

Vie des sponsors

Qu’une coupure de courant, mêmebrève, survienne et tout s’arrête,dans les transports, les entreprises,les ménages. L’électricité est un bienstratégique et la sécurité d’approvi-sionnement est la première préoccu-pation des entrepreneurs quand onleur parle d’électricité. C’est aussi unfacteur déterminant pour le progrèstechnologique. Biotech, medtech,cleantech, aucune de ces technolo-gies n’existerait sans électricité. Iln’est dès lors pas étonnant que lademande d’électricité progresse sansdiscontinuer. Le problème est quel’offre est, elle, appelée à décroître.En effet, les centrales nucléairessuisses devront fermer entre 2020et 2040 et les contrats qui nouspermettent d’importer du courantfrançais arriveront à échéance.C’est 40% de la production élec-trique qu’il faudra remplacer.Voilà pourquoi le Conseil fédéralpréconise de poursuivre les effortsen matière d’efficience énergé-tique, de continuer à développerles énergies renouvelables, de facili-ter les échanges internationaux,mais aussi de bâtir de nouvellescentrales électriques. La populationdevra ainsi décider d’ici à 2013 sielle considère l’option nucléairecomme toujours nécessaire. Pour leConseil de la CCIG, la réponse estoui. Comme le gaz, le nucléaireest une solution responsable, pourautant que la Suisse poursuive sesefforts pour économiser l’électri-cité et développerles nouvelles éner-gies renouvelables.

Nathalie HardynDirectrice adjointe

Électricité, unenjeu stratégique

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Production d’électricité 2009

hydraulique 55%

autres, renouvelables 5%

nucléaire 40%

Statistique suisse de l’électricité 2009

L’éolienne de Collonges, en Valais, correspondaux besoins d’un peu plus de 1000 ménages

AES (A

ssociation des entreprises électriques suisses)

Fiche pratique RH

Selon l’étude Infras, il manquera en2035 l’équivalent de 40% de notreconsommation d’électricité.

A Genève, l’efficacité énergétique augmente, maisla consommation aussi!En matière de consommation d’électricité, Genève ne fait pasfigure d’exception. Ces dix dernièresannées, le canton a affiché un tauxde croissance démographiqueannuel d’un peu plus d’1%, soit47’819 habitants supplémentaires1.Parallèlement, la demande d’électri-cité est en constante augmentationd’environ 1,5% par an. Sur lesquelque 3’000 GWh consommésannuellement dans le canton, seul lequart est produit sur place par lesServices industriels genevois (SIG).

Lancé il y a quelques années, le pro-gramme éco21 doit permettre aucanton de Genève de contenir la

hausse de la consommation d’élec-tricité et d’augmenter la part d’élec-tricité renouvelable. L’objectif fixépar SIG est de réduire de 5% laconsommation genevoise d’ici à2013 en augmentant l’efficacitéénergétique. A terme, éco21 doitpermettre d’économiser 150Gwh/an grâce à un budget de58 millions sur cinq ans. Bonne nou-velle, les mesures d’incitation enmatière d’efficacité énergétique por-tent leurs fruits. Le 6 janvier 2011,l’Office fédéral de l’énergie (OFEN) aainsi remis le label de l’excellenceénergétique, le Watt d’Or, à SIG et àla Ville de Vernier. Ce prix récom-pense les meilleurs projets énergé-tiques de l’année 2010. Grâce à untel projet, les habitants d’un quartierde cette commune ont pu réaliser enmoyenne 13,5% d’économie surleur facture d’électricité. La mauvaisenouvelle est qu’il reste trois ans àSIG pour atteindre une réduction de150 Gwh/an alors qu’à ce jour seuls10 Gwh/an ont pu être économisés.

Efforts d’économie au seindes entreprisesL’industrie et les services sont lesplus gros consommateurs d’électri-cité en Suisse, avec près de 60%du courant vendu. Ces dernièresannées, tous les efforts se sont doncconcentrés sur l’amélioration de l’ef-ficacité énergétique dans les entre-prises, un domaine où elles excellentdéjà en comparaison internationale.Les potentiels d’économie d’énergiepeuvent parfois représenter desmontants importants pour lesgrandes structures.

Mais voilà, économiser l’électricitén’est pas simple. Stéphane Genoud,administrateur délégué chezSwisselectricity, fait le constat sui-vant: «Après 20 ans d’activités dansle conseil, nous pourrions nous pré-valoir de dépasser largement l’objec-tif fixé par la Confédération, soit unemoyenne de 25% d’économied’énergie techniquement réalisablesur certains bâtiments. Néanmoins,

sur le terrain, la mise en œuvre effec-tive de nos recommandations corres-pond en moyenne à un peu plus de10% d’économies réellement mesu-rées2, ce qui satisfait les quelque 50entreprises que nous conseillons acti-vement. Par ailleurs, nous constatonsque les économies réalisées par lesclients, lorsqu’ils ne sont pas accom-pagnés par des acteurs expérimen-tés, ne sont souvent pas assuréesdans le temps. Il suffit que des tra-vaux soient entrepris dans un bâti-ment sans que les contraintes tech-niques et de sécurité ou de futuresmodifications aient été prises encompte pour que le travail de conseilen matière d’économie d’énergie soità recommencer.»

La réalité démontre donc que l’efficacité énergétique permettracertes de limiter l’augmentation dela consommation, mais en tout caspas d’inverser la tendance. LaConfédération vise à limiter l’aug-mentation de la consommationd’électricité à 5% d’ici à 2020 3, puisà la stabiliser par la suite. A quelprix? Aller encore plus loin, pour laConfédération, supposerait de pren-dre des mesures beaucoup plus inci-sives, comme un doublement duprix de l’électricité. Autant dire qu’ils’agirait d’un vrai coup de massuepour les entreprises et les emplois.

A quand le tout renouvelable?Inutile d’investir des milliards dansle renouvellement des centrales

nucléaires, alors que ces milliardspourraient servir au développementet à la recherche dans les énergiesrenouvelables, entend-on de plusen plus régulièrement. La questionest de savoir combien de tempssera nécessaire pour obtenir destechnologies renouvelables capa-bles de remplacer en qualité et en quantité les propriétés de la tech-nologie nucléaire. Or, il faut ici fairepreuve de pragmatisme et non dedogmatisme.

SIG a présenté en 2009 un pro-gramme très ambitieux avec pourobjectif de produire d’ici à 202010% de son approvisionnementà partir de nouvelles énergiesrenouvelables. Il investira pource faire 350 millions sur six ans.Ces investissements ne suffirontévidemment pas à couvrir la tota-lité des besoins énergétiques desGenevois.

A l’échelle suisse, les producteursd’énergie éolienne visent à pro-duire 2,5% de la consommationactuelle d’ici à 2035 4 et 7% d’ici à2050. La Suisse est un pays peuventé et la plupart des sites favorables, comme les crêtes duJura, se trouvent dans des zonesprotégées. Il a fallu par exempleneuf ans de procédure pourconstruire huit éoliennes supplé-mentaires au Mont-Crosin.Et pour obtenir une productionéquivalente à la centrale deMühleberg, qui est la plus petitede Suisse, il faudrait installer 740éoliennes de dernière génération(2MW) ou l’équivalent de 1500 terrains de football de panneauxsolaires (source : FMB).

Autre élément à prendre encompte: les nouvelles énergiesrenouvelables fournissent par inter-mittence une quantité aléatoired’électricité. Alors que l’hydrauliquepeut se régler à la demande et quele nucléaire produit en continu, leséoliennes, elles, fonctionnent

info

2 No 2 / Mars 2011

suite de la page 1 > Répartition de la consommationd’électricité en 2009

agriculture 2%transports 8%

ménages 30%

industrie et services 60%

Statistique suisse de l’électricité 2009

1 Ocstat,www.ge.ch/statistique/domaines/01/01_02_2/tableaux.asp#32 SwissElectricity est une des rares entreprises en Suisse habilitées à mesurer et certifier les écono-mies selon le protocole international IPMVP (certificat CMPV).3-4 Plan d’action pour l’efficacité énergétiquewww.bfe.admin.ch/themen/00526/02577/index.html?lang=fr

Les 12 000 m2 de cellules photovoltaïques placées sur le Stade de Suisse produisent 1,3 millionde kilowatts /heure d’électricité par an

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ssociation des entreprises électriques suisses)

info

No 2 / Mars 2011 3

17 SEPTEMBRE 1755,fondation de Vacheron Constantin.

B o u t i q u e t e m p o r a i r e V a c h e r o n C o n s t a n t i n 1 , P l a c e d e L o n g e m a l l e 1 2 0 4 G e n è v e T é l . + 4 1 ( 0 ) 2 2 3 1 6 1 7 4 0w w w . v a c h e r o n - c o n s t a n t i n . c o m

Les fiches pratiques ressources humaines

Le «bore out» ou syndromed’épuisement professionnel parl’ennui touche les personnes enmanque de tâches profession-nelles signifiantes. L’absence dedéfis et le désintérêt peuventvite conduire à de longues jour-nées de travail où le tempspasse trop lentement. Le «bore

out» affecterait les personnesen entreprise et notammentcelles du secteur tertiaire. Lesconséquences pour l’employésont nombreuses : insatisfaction,épuisement, ennui et faibleestime de soi.

Chaque mois, en collaboration avec Geneva Business News, le média des res-sources humaines et du marché de l’emploi, retrouvez les fiches pratiques etexplorez un aspect de la vie quotidienne en entreprise.

1. Prenez conscience de votreennui. Si vous passez plus de tempsà des tâches privées plutôt que pro-fessionnelles, c’est qu’il est temps detirer un bilan sur votre travail etla journée trop calme que vousvenez de passer.2. Demandez davantage de res-ponsabilités. Vous sentez que vousêtes capable d’en faire plus, alorsn’hésitez pas à en discuter avec votresupérieur pour montrer votre intérêt.Le «bore out» peut en effet apparaî-tre lorsque les employés les plusambitieux accaparent les travaux lesplus intéressants et laissent les tâchesles plus ennuyeuses aux autres.3. Trouvez ou redéfinissez le sensde vos tâches en demandant à votreemployeur votre rôle exact dansle cadre de votre fonction dans l’entreprise.4. Relevez des défis à votre hau-teur. Pour retrouver de la motiva-tion, fixez-vous des objectifs réalisteset à court terme.5. Rapprochez-vous de vos col-lègues. Vos moments libres peuventêtre une bonne opportunité pourmieux les connaître, autour de lamachine à café, par exemple.

6. Trouvez un mode de travailadapté à votre rythme, car l’ennuipeut aussi être causé par une mau-vaise organisation de vos tâches.Essayez le télétravail ou l’emploi à mi-temps, si vous en avez la possibilité.7. Changez d’environnement oude service. Renseignez-vous sur lespostes disponibles en dehors devotre département, nouez descontacts et, si une proposition vousconvient, changez d’emploi !8. Améliorez vos compétences endemandant une formation, en vousrenseignant sur Internet ou en lisantdes livres. Vous pourrez ainsi les déve-lopper et approfondir vos connais-sances, ce qui comblera l’ennui et nesera nullement du temps perdu.9. Pensez à une reconversion.Changer de voie professionnelle,c’est possible avec des cours du soirou à distance. Vous pourrez parla suite vous épanouir dans un nou-veau domaine.10. Demandez une augmentation.Un peu d’argent supplémentairepeut vous redonner de la motivationet le sourire mais, attention, cela necomblera pas pour autant l’ennuiau quotidien. Carole Lancoud

Retrouvez les fiches précédentes sur www.gbnews.ch

10 conseils pratiques afin de retrouver de la motivation et de l’intérêtdans son activité professionnelle.

lorsqu’il y a du vent. Cette intermit-tence est compensée en Suisse pardes centrales nucléaires et chez nosvoisins allemands, par exemple, pardes centrales à charbon ou à gaz.Pour le Professeur de l’EPFL, Hans-Björn Püttgen, membre de laCommission fédérale pour larecherche énergétique (CORE), quiconseille l’Office fédéral de l’énergie

(OFEN) sur les questions énergétiqueset les priorités de financement, laSuisse ne pourrait pas se contenterd’importer de l’électricité. «Pourl’instant, la Suisse est bien position-née. Elle est autonome sur l’année etfournit de l’énergie de pointe, trèsdemandée en Europe. Mais il y a uneréelle question quant à l’autonomied’approvisionnement, à laquelle on

tarde à répondre. Importer du cou-rant reviendrait à externaliser l’im-pact environnemental et visuel de laproduction d’électricité. Pourquoi lesAllemands, les Danois ou les Françaisconstruiraient-ils des éoliennes, descentrales ou des lignes pour nous ali-menter? Il y a peu de chances queles Suisses soient privés de TV le soir.Le vrai risque, c’est que les achatsd’énergie électrique deviennent trèschers. L’impact serait élevé pour l’in-dustrie et il y a un risque de délocali-sation. C’est ainsi que notre niveaude vie serait affecté.» (Bilan, septem-bre 2010)

Renouvelable et nucléaire, unchoix responsable pour demainSur un point, tout le monde s’en-tend: une consommation en hausseet une production en baisse condui-ront forcément à un déficit d’appro-visionnement électrique. On s’ache-mine donc vers un problème dont lasolution n’est pas simple. Les priori-tés pour les entreprises sont de pré-server la sécurité d’approvisionne-ment et d’assurer des prixavantageux. Cela suppose de pro-duire beaucoup en Suisse. Maiscomment?�

Delphine Jaccardresponsable de projets, economiesuisse

Consommation d’électricité par personne et par an

Barrage d’Emosson – L’hydraulique fournit 55% de la production électrique en Suisse

Approvisionnement en électricité:

la CCIG se positionneLe Conseil de la CCIG a pris position sur ce sujet le 8 novembre 2010.Pour lui, la Suisse, son économie et ses emplois ont besoin d’un appro-visionnement électrique sûr et à des prix compétitifs. Il faut donc pour-suivre le développement des énergies renouvelables (hydraulique,éolienne) dans la mesure du possible, mais l’apport en résultant nesera pas suffisant pour satisfaire à la fois l’accroissement de lademande et la perte d’importantes sources d’approvisionnementactuelles. Le renouvellement des centrales nucléaires est ainsi indis-pensable pour préserver notre sécurité d’approvisionnement, conser-ver notre indépendance énergétique et notre maîtrise sur l’électricité,ainsi que pour maintenir une production respectueuse du climat, à unprix compétitif.

Faire le choix de la sécurité et l’autonomie d’approvisionnement est unacte responsable, dont les entreprises et les individus en Suisse ne pour-ront pas se passer. Genève ne fait pas figure d’exception dans ce débat.

Mühleberg et prochaineséchéances Le 13 février, l’avenir de la plusvieille centrale du pays, Mühleberg,se jouait dans le canton de Berne.Les Bernois ont dit OUI au renou-vellement de leur centralenucléaire. Ce vote n’était toutefoisque consultatif.

Le 15 mai prochain, les cantons deVaud et du Jura se prononceront àleur tour sur l’autorisation de renou-vellement des centrales nucléaires.

En 2013 au plus tard, le vote déci-sif aura lieu. Le peuple suisse seraappelé aux urnes pour donner lefeu vert au renouvellement descentrales.

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ssociation des entreprises électriques suisses)

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ssociation des entreprises électriques suisses)

Fiche n°22Comment éviter le«bore out» au travail

E-certify, la nouvelle plate-forme de certification/légalisa-tion des documents via Internetest active depuis le 30 novem-bre 2010.

Ce nouveau système, mis en placeà l’initiative des Chambres de com-merce de Suisse romande,s’adresse à tous les exportateurssuisses. E-certify constitue unesolution globale, déjà utilisée parplusieurs exportateurs à la CCIGdepuis sa mise en place. Les avan-tages de cette nouvelle méthodepour les membres sont nombreux :

• une plus grande efficacité : lesdocumentations liées à la certifica-tion arrivent directement aux per-sonnes concernées (plus de délaide courriers postaux ou de cour-

siers), qui peuvent les imprimer sielles le souhaitent.• un gain d’argent : les frais sontréduits, car si le coût reste le mêmeque pour une procédure de légali-sation standard, il n’y a plus defrais supplémentaires.

Seules restrictions, certains paysn’acceptent pas encore la certifica-tion via Internet et notammentl’Egypte et l’Arabie Saoudite.

Les entreprises membres de laCCIG peuvent mettre en placeE-certify en établissant une conven-tion de partenariat avec laChambre. Le Service des visas etlégalisations de la CCIG se tient àleur disposition pour toutedemande de renseignements com-plémentaire.�

Cette manifestation organiséepar l’OSEC et consacrée à l’indus-trie exportatrice suisse se dérou-lera à Zurich le 7 avril prochain.Elle portera sur le thème:«Nouvelles terres – terres d’op-portunités». Des chefs d’entre-prises suisses renommés et desexperts du développement com-mercial à l’international ferontpart de leurs expériences etsavoir-faire en ce domaine.

Le Forum s’adresse aux chefs d’en-treprises suisses de PME, aux respon-sables export, aux représentantspolitiques mais aussi aux entreprises

7 avril 2011 à Zurich

9e Forum Suisse duCommerce Extérieur

E-certifyla nouvelle plate-forme de certification/légalisation

étrangères qui souhaitent collaboreravec des entreprises suisses ou s’éta-blir dans le pays. Les membres quisouhaiteraient participer à cet événe-ment propice au réseautage et aux

contacts ciblés sont invités à se faireconnaître au plus vite. La CCIGbénéficie d’un nombre limité d’invi-tations qu’elle offre volontiers auxmembres intéressés.�

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4 No 2 / Mars 2011

Commerce international

Des solutions telecoms au servicedes professionnels

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Le Canada estle cinquièmepartenaire com-

mercial de la Suisse. Il figure entête de palmarès des économiesles plus libérales et son taux decroissance est le plus élevé duG7. C’est l’un des pays les plusattractifs de la planète pour selancer en affaires et aussi l’undes plus sûrs. Comme le Canadapratique des coûts commerciauxtrès bas, il représente un terri-toire d’opportunités d’affaires etd’investissements propice auxentreprises suisses.

L’accord de libre-échange entrel’Association Européenne de LibreÉchange (AELE) et le Canada, envigueur depuis juillet 2009, permet derenforcer les relations commerciales etéconomiques bilatérales déjà solidesentre les deux pays. En novembre2010, une hausse de 15% des expor-tations suisses vers le Canada a étéconstatée. La Suisse est également le4e investisseur au Canada.

Consciente du potentiel de ce pays,la CCIG, en collaboration avec l’OPIet l’OSEC, organise une délégationéconomique du 2 au 6 mai 2011. Lamission se concentrera sur les villes

de Toronto et Montréal. Elles’adresse tout particulièrement auxentreprises suisses issues des sec-teurs des technologies de l’informa-tion et de la communication, desbiotechs , des medtechsainsi quedu secteur alimentaire.

Le programme préliminaire com-prend des visites avec des représen-tants du Gouvernement canadien etdes représentants des différents sec-teurs industriels mentionnés ci-des-sus, des visites d’entreprises et desentretiens avec leurs dirigeants, dontcertaines entreprises suisses, maisaussi des rencontres individualiséesavec des compagnies canadiennes.Un voyage à ne pas manquer pourtoute entreprise désirant développerses affaires en Amérique du Nord!�

Du 2 au 6 mai 2011

Délégation économiqueau Canada

Informations: Philippe Meyer, tél. 022 819 91 11, p.meyer@ccig.ch

Invitation à ce Forum qui condensera des informations expertes sur l’export

Informations: Fabio Quero, tél. 022 819 91 02, f.quero@ccig.ch

Informations: Philippe Meyer, tél. 022 819 91 11, p.meyer@ccig.ch

Toronto CN tower

2011Sponsors Co-sponsors Partenaires

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No 2 / Mars 2011 5

Vie de la Chambre

Accueildes nouveaux membresLe dernier Accueil des nouveaux membres de la CCIG aeu lieu 10 février. 14 entreprises nouvellement adhérentesy ont participé.

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> Gestion des commandes > Gestion de la production (GPAO) > Service après-vente

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Organisés dix fois par année,les Midis de la Chambre offrentl’occasion à six membres dela CCIG de se présenter enquelques minutes devant unecinquantaine de participants.Ces entreprises peuvent ainsifaire connaître leurs produitset services à un public attentifet nouer des relations d’affairesprometteuses lors du cocktaildéjeunatoire qui accompagnel’événement. La participationen tant qu’auditeurs estouverte à tous, membres et non-membres, sur inscriptionpréalable. Voici les six entre-prises qui ont pris la parolele 20 janvier dernier.

euroscript international est ungroupe européen leader sur le marché des solutions globales degestion du cycle de vie des conte-nus. Grâce à ses collaborateurs,qui font bénéficier les clients deleurs compétences en intégrationde systèmes, en services linguis-tiques tout comme en gestion decontenus et de documents, euros-cript est capable d’accompagnerles entreprises du monde entierdans l’optimisation de la gestion ducycle de vie de leurs contenus. Fortd’une présence commerciale dansquinze pays, euroscript est actifdans divers secteurs d’activité telsque le secteur public, l’aérospatiale,la défense, le transport ou encoreles services financiers.www.euroscript.com

Compte rendu:

Midi de la Chambre du20 janvier 2011

group8Fondé en 2000, constitué de neufassociés et d’une équipe d’environ70 collaborateurs, group8 est unbureau d’architectes dont les axesde recherche et développement ten-tent de redéfinir certaines frontièresdu design. Dans chaque projet,group8 vise à trouver une configu-ration spécifique répondant demanière optimale au contexte et aucadre social et environnemental àtravers des objectifs d’innovation etde production de stratégies créa-tives. group8 est lauréat de nom-breux concours d’envergure et aouvert group8asia en 2007, unefiliale pour développer les projetsasiatiques du bureau, basée àHanoï, au Vietnam. www.group8.ch

Genève Tourisme & Congrès estune association privée reconnued’utilité publique, qui a pour butde développer le tourisme à Genève,de le promouvoir en Suisse et àl’étranger. Son Bureau des Congrèsoffre gratuitement les services sui-vants : recherche de lieux, demandede devis pour espaces conférenceset chambres d’hôtel, réservations,etc. www.geneve-tourisme.ch

Locatelli Max SAEntreprise d’électricité située àChêne-Bourg depuis 1962, lasociété Locatelli Max SA est auxcôtés de ses clients pour ses installa-tions électriques, de téléphonie etde technique de câblage. Plus qu’unsimple fournisseur de solutions de

communication, Locatelli Max SAconstitue un véritable partenaire ets’engage à offrir disponibilité, com-pétences et efficacité dans la ges-tion des mandats qui lui sontconfiés. www.locatellimax.ch

Ecole-club Business MigrosL’Ecole-club Migros est la plusgrande institution de formationcontinue de Suisse et existe depuisplus de 60 ans. Un demi-million depersonnes suivent chaque année uncours ou une formation dans l’undes 52 sites de l’Ecole-club. Plus de600 offres différentes sont propo-sées. Depuis 2007, en plus de sonoffre bien étoffée dans le domainedes langues et loisirs, l’Ecole-clubMigros se profile fortement en tantque partenaire de formation dansle domaine professionnel avec l’Ecole-club Business.www.ecole-club.ch/business

Thunderbird School ofGlobal ManagementPrésente à Genève depuis 2006,Thunderbird School of GlobalManagement, basée en Arizona, estl’école de management classée n°1par le Financial Times en 2011 pourson management international. AGenève, elle propose des cours deformation continue en gestion deprojets internationaux et en straté-gies de négociation, ainsi qu’unExecutive MBA en partenariat avecl’Institut de hautes études interna-tionales et du développement.www.thunderbird.edu/europe

GREENBERG TURNER,Succursale de GenèveCabinet juridique, permis de travailet de séjour pour entrepriseswww.gt-hrlaw.com

JACQUET ATELIER DE SIGNALETIQUEAtelier de signalisation urbainewww.atds.ch

HSG ZANDER (Suisse) SAFacility managementwww.hsgzander.ch

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CANADEX SAChalets canadiens en bois rondwww.canadex.ch

JOBTIC INTERNET SARLSociété de Placement de personnelwww.jobtic.ch

METALOÏD SAConstructions métalliqueset artistiqueswww.metaloid.ch

HELIOSOLARConception de projets dansle secteur des énergiesrenouvelableswww.heliosolar.com

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6 No 2 / Mars 2011

Les deux sites des Ports Francs, à laPraille et à l’aéroport, affichent untaux d’occupation de près de100%. Un des premiers projets quioccupera M. Decrausaz sera la réali-sation d’une nouvelle halle d’entre-posage. Offrant 10’000 m2 supplé-mentaires sur le site de la Praille, cetespace sera adapté à la demandeactuelle, qui concerne des marchan-

Après 15 ans à la Direction des Ports Francs et Entrepôts de Genève SA,Gérard Duchesne a pris sa retraite le 31 janvier dernier. Pour lui succé-der, le Conseil d’administration a choisi Alain Decrausaz, qui a occupéplusieurs fonctions au sein des Ports Francs depuis 1998, dont celle dedirecteur commercial.

dises à hautevaleur ajoutée.Ces nouveaux locaux permettrontaux Ports francs genevois de main-tenir leurs avantages face à laconcurrence internationale.

La CCIG souhaite une agréableretraite à Gérard Duchesne et labienvenue à son successeur!�

La réuniondu WorldEconomic

Forum à Davos comporte des centaines de sessions publiques etde réunions privées. Le défi de larésumer en quelques mots est parconséquent une tâche presqueimpossible! Thierry Malleret s’yest toutefois attelé, à l’occasiond’une réunion organisée le10 février à la Salle de l’Athénée.S’il fallait résumer les milliersd’heures de conversation quise déroulent à Davos enjuste deux mots, ce seraient:«optimisme raisonné». Dansleur ensemble, les participantsestiment que le gros de la criseest derrière nous. La machine éco-nomique mondiale a redémarré,même s’il s’agit d’une croissance àtrois vitesses: lente en Europe etau Japon, un petit peu plus rapideaux Etats-Unis, et trois fois plusrapide dans l’ensemble des éco-nomies émergentes.

Le 21e siècle se caractérise par unextrême degré d’interdépendance etd’interconnectivité. C’est la raisonpour laquelle n’importe quel pro-blème ou défi tend à se démultiplierau-delà des frontières d’un pays,d’une discipline ou d’une région, enexerçant des effets de ricochet etd’amplification. Les défis qui seposent sont par conséquent légion.

Selon les participants de la réunion deDavos, les problèmes d’inégalité crois-sante constituent l’un des défis

Forum de Davos 2011Quels enseignements en retenir pour les PME en SuisseCompte rendu de ce séminaire qui a eu lieu le 10 février dernier

Un nouveau directeurpour les Ports Francsgenevois

majeurs de notre époque. L’écartentre «ceux qui ont tout» et «ceuxqui manquent de tout» ne cesse eneffet de grandir. Au-delà des ques-tions de morale et d’équité, cela posedes problèmes de stabilité politique etsociale, comme les évènements qui sedéroulent dans le monde arabe (quicommencèrent au même momentque la réunion du WEF) le montrentde manière évidente.

Dans le domaine économique, deuxproblèmes majeurs préoccupent lesdécideurs globaux:• une inflation de plus en plusimportante dans l’ensemble des éco-nomies émergentes, qui exigera à unmoment sans doute proche de met-tre en place des politiques moné-taires beaucoup plus restrictivesqu’aujourd’hui• un problème d’endettement souve-rain qui affecte l’ensemble des éco-nomies les plus développées: l’Europeévidemment, mais aussi les Etats-Uniset le Japon. Cela contraindra leursdirigeants à effectuer des choix politi-

quement très complexes puisqu’ils’agit de réduire de manière parfoisdrastique les dépenses publiques.

C’est dans le domaine internationalque l’incertitude est la plus forte.L’hégémonie américaine est désor-mais contrebalancée par l’émergencede la Chine. Nous vivons dorénavantdans un monde multipolaire oùaucun pays n’est en mesure d’impo-ser ses choix aux autres. Il en résulteune «vacance» de la gouvernanceglobale puisqu’aucun des grandsenjeux du 21e siècle (le changementclimatique, les pandémies, la pau-vreté, le terrorisme, l’équilibre desmonnaies, etc.) ne peut être relevépar un pays seul. Certains participantsont évoqué à cet égard un G-0 (paropposition au G-20, où aucune déci-sion d’envergure n’est jamais prise).Gouverner ensemble, au-delà desfractures Nord – Sud, développé –émergent, démocraties – autocraties:voilà le véritable enjeu qui se poseaux générations futures.�

Thierry Malleret

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La Suisse s’est vuconfirmer sonsiège pour unepériode de deuxans (2011-2013)au Conseil de laFédération

Mondiale des Chambres. Elle serareprésentée par Philippe Meyer,membre de la Direction de laCCIG. Les membres des 15’000

Chambres à travers le monde,soit 125 pays, ont été appelés àchoisir en novembre dernier20 candidats parmi 49. Le Conseilde la Fédération Mondiale desChambres (WCF) a pour missiond’encourager la formation deréseaux et les échanges d’informa-tions sur les meilleures pratiquesdes chambres. �

www.iccwbo.org

Nomination au WCF

Les Ports Francs ont un nouveau directeur: Alain Decrausaz

Organisez un séminaire avec la CCIG en 2011

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No 2 / Mars 2011 7

Vie des sponsors Vie politique

Le secret d’unebonne présentation

Elections municipales 2011:

Voici quelques conseils basés surnotre expérience pour vos inter-ventions en public.

• Commencez par annoncer l’objectifde la présentation et ce qui va être dit.

• Personnalisez votre introductionselon votre audience, avec uneanecdote ou une actualité, ce quiest toujours très apprécié.

• Faites ensuite passer deux ou troismessages, que vous pouvez sansautre répéter, car moins vous enferez passer, mieux ils seront com-pris et assimilés. Ne négligez pas laconclusion, c’est de cette idée quevotre auditoire va se souvenir.

• Au lieu d’un discours, racontezune histoire, avec un début accro-cheur et une fin mémorable, le toutétoffé par quelques arguments etexemples pour asseoir la crédibilité.

• Pensez aux 3 «S»: Sens,Simplicité, Structure. Une structuresolide avec un contenu souple etefficace vous permettront d’adap-ter votre timing aux circonstancessans perdre en puissance.

• Servez-vous de Powerpoint pourillustrer votre discours et non pasl’inverse. Quelques mots et unephoto suffiront pour retenir l’atten-tion, générer des émotions et sti-muler l’écoute.

• Créez un contact visuel avec votreauditoire. Pour vous aider, repérez

quelques visages souriants dans lasalle qui seront vos points de repère,tout en balayant l’auditoire duregard aussi souvent que possible.

• Utilisez la gestuelle et l’expressionde votre visage pour renforcer lepoids de vos mots. Votre auditoireva plus analyser vos gestes, sourireset positions que vos paroles. Il estdonc essentiel d’avoir une attitudepositive, ouverte et souriante.

• N’oubliez pas de respirer, car lessilences aident à ponctuer le dis-cours et laissent à vos interlocu-teurs le temps de réfléchir.

• Pour éviter l’assoupissement devotre auditoire, modulez votrevoix! Variez les intonations selonque vous souhaitez montrer del’enthousiasme, donner des explica-tions, émettre des interrogations.

• Supprimez les problèmes stressantsde dernière minute. Faites des essaisjuste avant avec l’équipe techniquepour vérifier que votre support deprésentation fonctionne bien, pren-dre vos repères sur scène et vousfamiliariser avec votre équipement(micro, retour écran et autre).

Nous assistons, dans l’ombre, à d’innombrables conférences que nousmettons «en lumière» techniquement. Les orateurs qui nous ont leplus marqués n’avaient même pas de support de présentation, c’étaiteux la présentation…

Pfister Genève-Meyrin se réjouit de vous accueillirprochainement dans le quartier de Riantbosson.

Pfister Meubles SA, Ch. de Riantbosson 5–9, 1217 Meyrin, Téléphone +41 22 989 85 00, geneve@pfister.ch

Le secret d’une bonne présentation, une excellentepréparation et beaucoup derépétitions!

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Faites confianceà l’Entente

Le 17 avril prochain, les électrices et électeurs de la Ville de Genève, à l’instar des diffé-rentes communes, seront appelés à élire leur Exécutif. Au-delà de leurs qualités person-nelles, les trois candidats engagés dans cette campagne municipale défendent desvaleurs et des idées. Proche de celles de l’Entente, la CCIG encourage à soutenir ces can-didats qui œuvrent aussi pour améliorer les conditions cadre nécessaires au développe-ment économique.

Les candidats de l’Entente de la Ville de Genève partagent les mêmes préoccupations que la Chambreconcernant la fiscalité, le logement, la sécurité et la mobilité. Voter, c’est partager, adhérer et surtout faireconfiance. Alors le 17 avril prochain, votez pour les trois candidats de l’Entente.

Elu en 2007, il préside le

Département de l’environnement

urbain et de la sécurité.

Son travail incessant pour offrir aux

Genevois une ville propre, agréable

et sûre est reconnu de tous. Tout

comme sa volonté de faire de la

Ville un exemple en matière de

respect de l’environnement,

notamment en matière de tri des

déchets ou d’accès à Internet pour

tous, grâce une couverture Wifi

gratuite optimale.

1er prix du Conservatoire, membre

des Conseils de fondation du

Conservatoire et du Grand

Théâtre, élue conseillère

municipale en 2003, elle défend

les atouts et les valeurs de sa ville.

Candidate au Conseil administratif

en 2011, elle se bat pour

l’attractivité de Genève

– notamment par la baisse du

centime additionnel –, pour une

ville ouverte mais non exposée,

pour une culture de l’excellence,

pour les investissements en

partenariat avec les privés, carte

d’avenir d’une cité qui se doit de

rester économiquement et

culturellement phare.

Michel Chevrolet souhaite

travailler de concert avec le canton

et le monde économique afin de

rendre cette ville plus prospère.

Son programme? Il désire

notamment donner toutes les

conditions cadre afin de faciliter la

tâche des entreprises qui

souhaitent créer de l’emploi et des

richesses en Ville de Genève et

leur faciliter la vie en matière de

transports, de dessertes et

de circulation.

2011Sponsors Co-sponsors Partenaires

Les touristes duGolfe à Genèvereprésentent unemanne qui se chif-

fre en dizaines de milliers de francspar famille. Mais en fragmentantleur séjour sur l’année, en passantplus de temps à Londres ou à Paris,en formulant des exigences crois-santes, ils constituent aussi un défi.Comment prospecter cette clientèleet la fidéliser toute l’année?

info

8 No 2 / Mars 2011

IMPRESSUMinfo

bulletin d’information de la CCIG.Paraît 10 fois par an, 3200 exemplaires

Responsable d’édition:Pascale Roch-GigandetRédaction:Sonam Bernhard, Fabienne Delachauxet Pascale Roch-Gigandet

Publicité : Promoguide SATél. 022 809 94 63

Concept et Graphisme:ROSS graphic design - RolleImpression: Atar Roto Presse SA - GenèveInformations : publications@ccig.ch

Ont participé à ce numéro:Morgane Le Lostec (Commerce interna-tional), Nathalie Hardyn (dossier)

Siège de la Chambre4, boulevard du Théâtre - 1204 Genève

Adresse postaleCase postale 5039 - 1211 Genève 11Tél. 022 819 91 11 - Fax 022 819 91 00

www.ccig.ch

Agenda

Séminaire d’entreprise:

Comment votre établissement, vosproduits et services, votre savoir-faire et votre expérience peuvent-ilsrester compétitifs?

La société Middle East VIP, qui seveut un pont entre la Suisse et leMoyen-Orient, se propose de répon-dre à ces questions et d’avancer desméthodes innovantes et pertinentespour développer vos relations d’af-faires avec le Moyen-Orient.�

Les touristes arabes à Genève:Quel avenir? L’importance d’une nouvelle approche de la clientèle arabe Jeudi 24 mars 2011 de 17h30 à 20hCCIG, bd du Théâtre 4, Genève

Soirée dédiée à la Recherche des écoles HES :

Les rencontres del’innovationJeudi 7 avril 2011 dès 18h - Event center de la Praille

Détails et inscriptions: www.ccig.ch, rubrique «Agenda»

Informations: www.hesge.ch

Cette soirée a pour buts de fairedécouvrir les projets de rechercheappliquée réalisés par les six écoles dela HES-SO Genève et de promouvoirdes partenariats d’innovation dans plu-sieurs domaines de recherche auprèsdes milieux politiques, économiques,culturels, sociaux ou sanitaires.

Des présentations dans lesdomaines suivants : Ingénierie &Economie, Arts & Musique et Santé& Social seront suivies par un cock-tail dînatoire laissant une grandeplace au réseautage.�

STARLING GENEVA Hôtel & centre de conférenceswww.shgeneva.com

DORIER SAProductions audiovisuelleswww.dorier.ch

SAPPROExploitation de pipelines etproduits pétrolierswww.sappro.ch

ADLATUS LEMANRéseau de dirigeants etspécialistes expérimentéswww.adlatus-leman.ch

PMC SAServices et conseils en RHwww.pmc-eu.com

TEXTES, XAVIER PELLEGRINIRédaction de texteswww.textes.ch

Midi de la ChambreJeudi 17 mars 2011 à 12h30 - CCIG, bd du Théâtre 4, Genève

Organisée une fois par mois dans les locaux de la CCIG, cette rencontrea pour but la mise en relation d’affaires. Lors de chaque rencontre, sixentreprises membres se présentent à une cinquantaine de participants.Les Midis jouent un rôle de réseautage très apprécié.

Venez assister à la présentation des entreprises membres suivantes :

RÉUSSIR DANS UN MONDE QUI ÉVOLUE

Bachelors et Masters en Gestion d’Entreprise, enRelations Internationales ou en Média et Communication

• Un enseignement dynamique auxperspectives internationales

• Des professeurs aux compétences profes-sionnelles et académiques reconnues

• Des programmes d’échange avec l’Europe et les Etats-Unis

INTERNATIONAL UNIVERSITY IN GENEVA

ICC, Rte de Pré-Bois 20 - 1215 GENEVA 15, SwitzerlandTel.: +41(0)22 710 7110/12 - Fax:+41(0)22 710 71 11Email: info@iun.ch - www.iun.ch

Accréditations ACBSP et IACBE

MASTER ININTERNATIONAL BUSINESSNEW

«Comment accéder aux marchéspublics et obtenir des mandatsavec les grands comptes?»Vendredi 25 mars à la CCIG

«Développement des affaires àl’international»Vendredi 15 avril à la CCIG

Petits déjeunersdes PME et start-upOrganisés par le Service de la promotion économique de Genève avec la collabo-ration de nombreux partenaires dont la Chambre, les prochains petits déjeunersauront lieu à la CCIG, de 8h30 à 10h30, et porteront sur les thèmes suivants:

Détails et inscriptions: www.petitsdejeuners.ch

DÎNER ANNUELDE LA CHAMBREPRÉCÉDÉ DE LA 146e

ASSEMBLÉE GÉNÉRALEMardi 12 avril 2011 à 17h45

Starling Geneva Hotel & Conference Center

Réservée aux membres de la CCIG, l’Assemblée générale est suivie d’un apéri-tif, puis du dîner annuel de la Chambre, qui prend la forme d’un buffet. Cetteannée encore, les occasions de nouer des liens et d’élargir votre réseau ne man-queront pas, alors réservez déjà la date! L’invitation vous parviendra sous peu…