mo · 2013. 7. 31. · soutenues par notre vieille'Ville régéné-rée par la paix, mais non...

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a'Issoîre

trouve réuni dans son jeu. D'un autie côléM. Dolsnneau, chante bien, dit à la perfectionet répand autour de lui taul d'effluves sym-pathiques que, ma foi ! en une seule soirée,il est deveûu grand favori.

Mais il mérite encore,,d'autres compliments;il a été le metteur en scène de la pièce, il adirigé les répétitions d'ensemble, et a. mêmebrossé un décor pour le troisième Acte.

• Encore une fois ; bravo, bravissimo c'est unhomme d'un dévoûmtnt précieux, en môme

,; temps qu'un artiste de haute valeur.' Les amateurs issoiriens ont bien tenu leur

place à côte du quatuor clermontois. M.Toulot, l'excellent comique d'antan, qui,pour la circonstance, a bien voulu monter denouveau sur une scène; témoin de ses nom-breux succès, a été très nature dans le per-sonnago de Larfouillat, maître cordonnier et

. dans celui de l'Hôtelier. Les applaudissementsqu'il a recueillis ont dû lui prouver que sontalent malgré l'âge, était'resté égal à lui-môme.

M. David, chargé du rôle de Landry à ététellement plein de son sujet, a joué avec tantde verve, chanté les couplets : Monseigneuren un joli parterre avec tant de mesure, queplus d'un se demandait s'il avait devantlui un amateur ou un professionnel.

M. Affre avait à incarner le personnage. du sinistre Raymond ; il s'est bien tiré de ce

rôle difficile où les couleurs riantes n'élinco-laieut pas précisément. Il a bien joué la scène(lu souterrain, lorsqu'il est à.la recherche dela précieuse cassette.

MM. Lafont et Chalembel, les deux insépa-rables, étaient cette fois, l'un chef de laMilice, l'autre Sénéchal ; comme toujours

. leur jeu a fait naître le rire.Une mention bien à Mlle D..., cjûi débu-

tait sur les planches et qui a fort bien donnéla réplique à Larfouillat et chonté le couplet :Si l'auvergnat est roi.

Egalement mention à M. Bréchette, undigne bourgeois,à M.J.Vessely, un majestueuxécuyerduroi et à M. Deciauve, un valet bienstylé.

Les chœurs formés des jeunes filles et desjeunes gens de la ville ont chanté avec en-semble, mesure, justesse ; ils sont, sans con-tredit, pour une bonne part, dans le succèsde l'œuvre. Bravo à toutes et à tous ; car ilsont mis en pratique l'excellent proverbe :Bien faire et laisser dire.

Et les petits marmitons et les petits pages otla petite demoiselle d'honneur! Si je ne par-lais pas d'eux, je suis sûr qu'ils m'en vou-draient et m'appelleraient grand vilain I Ilsétaient mignons à croquer Mlle JeanneBouchon; MM.. Rémy et Antoine Couriol ;MM. André Allre et Maurice Vessely.

D'ailleurs IVk Delanneau lui-même, unMonsieur qui s'y conuait n'est-ce pas? a rendujustice à leur charmant concours.

Me voilà, au cours de mon trop long compte-rendu arrivé à l'Orchestre symphonique. Il amarché comme un ancien, sous le bâton, dumaestro de la soirée, M. Violot. Il a fort bienrendu l'Ouverture et les Euli''Actes, dont lesprincipaux irails ont été mis en relief par lehautbois de M. Germain Béringer et le violonde l'excellent et dévoué M Médina.

L'orchestre a également sa part dans lavictoire décisive : il a été le corps de soutien,il a été la jouuc garde du drapeau de l'art sibien tenu par les interprètes. Rien d'étonnant

;à cela, car on y voyait M. Guerrier, le sym-pathique chef de l'Orchestre, faisant une par-tie de premier violon, M. Grasset, M. Fi-neyre, timbalior et Mlle AH're, la dévouéepianiste qui a assisté à toutes les répétitions,dont elle était une des chevilles musicales.

N...i ni, (ini, n'ast-ce pas ? allez vous dire.•Nullement, et les Messieurs du contrôlo auxchapeaux haut do forme à seize reflets? Croyez-vous mordieu! que je vais les oublier? Ilsont été à la peine, ils seront à l'honneur.Mais comme je sais que leur modestie est àla hauteur de leur dévouaient, je no vousdirai ni leur nom, ni leur naissance, je mecontente, par zèle professionnel, de me lesmurmurer à moi-mêmj.

Les ovations méritées que les deux auteurs:MM Boucheron et Violot ont reçues du publicenthousiasme1, au cours de la représentationet à lu liu du 3IOT acte, prouvent qu'ils onttouché juste.

A quand donc la deuxième ? A quandla suite ? .

HKNIU NICOLE.

Nous avons reçu la lettre suivante adresséeà Mme Ronserail-Levasseur par un auditeurdont l'âge u'a pas refroidi l'enthousiasme.

Nous la publions avec un sensible plaisir.

A Madame Ronserail-Levasseur

'.. ,/.-•• M A D A M E ,

Votre modestie devrait-elle s'en émou-voir, veuillez tout de même me permettrede vous dire que vous vous êtes surpasséedans Le Peiit Troubadour par affectionpour les auteurs et le public Issoirien.

Vous avez fait revivre, pour les gensde mon âge, le souvenir de la sémillanteDéjazet dont vous êtes l'égale par letalent, la grâce et l'élégance.

Agréez, Madame, les hommages res-pectueux d'

UN VIEIL AUDITEUB.

côté d'un compte-rendu••>••:;••••• du Pet i t Troubadour

Trpis'iipms ont été prononcés à la findu britfijffit""spectacle de lundi ; ceux deMM. Bbucheron, Violot et Loux. Je veuxbien reconnaître pour plaire à la modes-tie de l'intéressé, que M. Loux a eu lamoindre part du succès ;.mais c'est à bondroit que son nom a été prononcé et ac-deemie «

Le chroniqueur théâtral habituel duMoniteur en fera-t-il mention ? Ce chro-niqueur d'ailleurs impeccable et trèscomplet est décidément trop discret en-vers M. Loux. Il faut1 l'en punir.

Personne ne l'ignore M. Loux estl'auteur des vers lus par Landry aul81' acte. ' , .

Ces vers, formant quatre strophes,bien débités ont été vivement sentis parl'auditoire. Ce sont de beaux alexandrinsd'une grande allure classique, sonoreset brillants, comme des « Romantiques ».

L'auteur y célèbre les luttes héroïquessoutenues par notre vieille'Ville régéné-rée par la paix, mais non amolie, capa-ble de nouvelles vaillances aux accentsde ses Troubadours, Tyrtées de notreFrance.

Le souffle lyrique de ces beaux versnous a tous transportés. Des murmuresflatteurs et des applaudissements discretsen ont salué la dernière strophe. M. Louxa été leTyrtéedu bon combat livré parles auteurs du « Petit Troubadour», pour-suivant l'idéal dans le beau. A cette ma-nifestation il fallait un a propos; on nepouvait le désirer plus éloquent et plusdélicat.

Nous le publions ci-dessous.

Stances__à_ IssoireDans les jours d'autrefois, chère cité d'Issoire,La guerre te nimbait d'une aurore de gloire.Au sommet de les tours, au pied de tes remparts,Retentissait, terrible, alors de toutes parts,Le cliqueties du fer, la chanson des épées,Etsur teslîls vaillants, auxâmes bien trempées,Le drapeaudes combats, rouge de sang vermeil,Battait allégement sous le libre soleil.

Ils ne sont plus, ces jour's de luttes héroïques,Où la cité livrait des biitaillss épiques,Où ses nobles enfants, épris de liberté,Se ruaient à la mort, à l'immortalité.La sainte et douce paix, en fuite, a mis la guerreEt près du fier drapeau a placé sa bannière.Pourtant, ton présent est étoile de splendeur ,Et|comrne ton passé, resplendit de grandeur. !

Il s" te tressent, tes fils, de nouvelles couronnesDe poétiques ileurs ; ils l'élèvent des trônesFaits avec les joyaux de leur plus pur esprit,Certes, plus précieux que l'or et les rubis,Et comme aux jours (i%rer, les généreuses

J?(../!'<',.•! ' [flammesQui depuis lors, toujours 'brûlent dans leurs àmss,Répandent sur ton front, une auguste clartéAux chaux rayons striés de liesse et de gaité.

Réjouis loi, cité ; les Tyrtées de la lyreEnfanteut les héros que 1 J combat inspire.Poètes, musiciens, sont de vaillants lutteurs;En martelant les vers, ils réchauffent ies cœurs,Et font élinceler, sous leurs coups, une gloireQui rivalise avec l'aube de lu victoire.Réjouis toi, cité; sur ton blason loyal,Tu peux piquer, ce jour, les fleurs de l'idéal.

Le 15 Janvier /UOO.

Au sujet ûe Lr^PeUt TrouïariourMM. Violot et Boucheron adressent par

l'entremise du Moniteur leurs plus sincèresremerciements aux personnes qui ont honoréde leur présence la première de Le PetitTroubadour, aux artistes et aux amateurs quiont prêté à leur œuvre, le précieux concoursde leur talent, aux jeunes filles et aux jeunesgens qui ont chanté dans les chœurs, à l'Or-chestre symphonique qui, chef en tôle, adonné avec tout son dévoûment, à la Pressedépartementale et locale qui leur a accordé sagracieuse publicité, à tous ceux qui, dauscoite soirée, dont ils garderont un impôrissa-blo souvenir, leur ont témoigné une précieu-se sympathie.

Ils n'oublieront pas la dette de reconnais-sance qu'ils ont contractée envers Issoire quis'est montrée si chaudement hospitalière àLe Petit Troubadour.

Chronique Locale et RégionaleArrêté municipal

M. le Maire a pris un arrêté, ordon-nant de tenir les chiens en laisse ou àl'attache pendant quinze jours, plusieursde ces animaux ayant été mordus parun chien atteint de la rage.

AdjudicationsDimanche dernier, ont eu lieu dans

une des salles de l'Hôtel-de-Ville, deuxadjudications, l'une' pour le campanilede l'horloge de l'Hôtel-de-Ville, l'autrepour le mobilier scolaire de l'Ecole ma-ternelle.

Ont été déclarés adjudicataires : Pourla première, M. Ballon, mécanicien ;pour la seconde, M. Marquet, menuisier.

Prestation de sermentVendredi dernier, à l'audience du Tri-

bunal civil, MM. Rivière et Bonhomme,chapeliers, récemment élus juges etM. Boucheron, imprimeur, élu juge sup-pléant au Tribunal de commerce, M.Martin, agréé, nommé suppléant de lajustice de paix, ont prêté serment en cesdiverses qualités.

Médaille du travailLa médaille du travail a été décernée

à M. Bérard, chaudronnier aux mines deBrassac, à Auzat-sur-Allier.

Inspection primaireM. Bec, inspecteur de l'enseignement

primaire à Murât, est nommé inspecteurprimaire à Issoire, en remplacement deM. Rousselet, nommé à Abbeville.

Nous ne voulons pas laisser partirM. Rousselet sans lui dire qu'il laisse àIssoire les meilleurs souvenirs.

Durant son trop court séjour dans notreville, il a su s'attirer l'affection du per-sonnel sous ses ordres, se créer de nom-breux amis qui applaudissent à son avan-cement, tout en regrettant l'homme aucommerce agréable, à l'abord sympathi-que, en un mot l'excellent camarade

Nomination ecclésiastiqueM. l'abbé Pierre Gourtadon, vicaire à

Vic-le-Gonite, a été nommé curé de LaBessette.

M. l'abbé Jean Marquet, vicaire û,Escoutoux, a été nommé vicaire à Eglise-neuve-d'Entraigues.)

Réunion de chasseursMM. les chasseurs sont invités à assis-

ter à la réunion générale, qui aura lieule 21 courant, à 3 heures du soir, dansune des salles du Café Lyonnais.

Ordre du jour : Achat et répartitiondu gibier dans les divers cantonnements.

Les Prévoyants de l'AvenirLes membres de la 263» section sont

prévenus que l'Assemblée générale an-nuelle aura lieu, le dimanche 28 janvier,à 2 heures, à l'Hôtel de Ville.

Tout sociétaire, qui ne s'étant pasexcusé par lettre, n'assisterait pas à laréunion, serait passible dune amendede un franc. Les dames ne sont pasamendables.

Publications de Mariagesdu M Janvier J900

M. Verdier Antoine, cultivateur à Issoireet Mlle Chaussedière Clémence, sans prof, àMontaigut-le-Blanc.

M. Deschamps Joseph, voyageur de com-merce demeurant à Chambon (Creuse) etMlle Honoré Jeanne-Augustine, sans prof, àIssoire.

Carnet CyclisteQui veut aller se promener à bicy-

clette ? — Voilà une question à laquellepeu de nos camarades répondraient ac-tuellement, malgré que la neige aitdisparu de la plaine et que la tempéra-ture se soit singulièrement radoucie.

Faisons comme eux et laissons momen-tanément de côté le sport et le tourisme.

Vous avez connaissance, sans doute,de la fondation d'une société industrielle

. pour l'exploitation de la traction auto-:'mobile sur route. Cette société qui adéjà obtenu plusieurs concessions privi-légiées, est dans l'intention d'augmenterson réseau et une partie de cette exten-sion porte sur notre région qui serait dèsmieux partagée au point de vue des cor-respondances. Il est certain que l'auto-mobilisme est .destiné à opérer une révo-lution comme l'a fait la bicyclette et queles services de diligence actuels sontdestinés à se transformer à bref délai.

Déjà on étudie à Paris la constructiond'omnibus automobiles, les tramways àtraction mécanique seront en nombreconsidérable, dès le mois de mai pro-chain où l'affluence des visiteurs ' del'Exposition rendra très complexe le pro-blème de la circulation facile et rapide.

Les pompiers de Paris seront eux-mêmes bientôt munis d'automobiles élec-triques qui remplaceront leurs voituresactuelles si connues avec leur peinturerouge La rapidité des secours contrel'incendie y en sera considérablementaugmentée sans que les Irais soient majorés d'une manière bien sensible parsuite de la suppression d'une cavalerienombreuse et d'un entretien très dispen-dieux.

Avant quelques mois, nous aurons cheznous une sorte de gare nouvelle d'oùpartiront à heure dite des courriers auto-mobiles dans toutes les directions, et ceprogrès s'effectuera sans aucun étonne-mènt de la part des populations qui neferont aucune difficulté à accueillir cettetransformation dont les ont déjà compristous les avantages.

JAN TAMBOY.

P. S. — Au correspondant parisien duMoniteur d'Issoire.

Mon cher ami, j'ai reçu votre commis-sion, je vous remercie d'avoir pensé àmoi, toutes mes amitiés.

J. T.

Visite à un ébéniste de ParisChargé par le Directeur de mon journal

d'interviewer M. Emile Hetten, ébéniste, \1rue Paul Bert à Paris, et d'obtenir quelquesrenseignements au sujet d'une lettre de lui,datant de quelques jours, je profitai d'unebelle après midi de dimanche, pour m'acquit-ler de ma mission. Lorsque j'eus indiqué lebut de ma visite, un sourire joyeux de M. etMme Hetteu accueillit ma déclaration. Je metrouvais en effet, au milieu d'une famille heu-reuse. Le mari goûtait le repos après unesemaine de travail, près de sa femm6 quiallaitait un bébé de quelques mois et d'un pe-tit garçon de 4 ans bien éveillé, je vous as-sure.

« Ma femme il y a un an, me dit M. Hettens'était trouvée 1res affaiblie et, sur le conseild'un ami, avait fait usage des Pilules Piuk.Elle a été enchantée du résultat. J'étais moi-même extrêmement souffrant, très anémiéet ne mangeant presque plus. A la fin dema journée de travail, je sentais une lassitudeextrême, je souffrais de violents maux detête et mes nuits étaient troublées par desinsomnies fréquentes. En présence des eifetsproduits sur ma femme par les Pilules Pink,

M. HETT«N, d'*prts une photographieje résolus de les essayer. La première boiteme fait retrouver l'appétit, je persévérai etpeu à peu mes forces revinrent, mes mauxde tête disparurent et mon sommeil me futrendu. Je puis travailler aujourd'hui sanséprouver de fatigue et des faiblesses commeautrefois et je me porte très bien. Cependant,comme je liens à me fortifier .complètement,je continue encore le traitement ; bien plusma femme va s'y remettre également, car cejeune gaillard que vou< voy^z est tellementgourmand, qu'elle se seut un. peu fatiguée.Je tiens à ce qu'elle se fasse un sang vigou-reux, autant pour sa santé que pour celle del'enfant. »

J'avais bien examiné la physionomie deM. Hetten pendant qu'il me parlait et j'yvoyais encore quelques-unes des traces del'anémie qui avait dû être profonde. Je l'ap-prouvai sur sa résolution de continuer lerégime. L'anémie en effet, causée par un

épuisement plus ou moins complet du sang,disparait par sa reconstitution de même queles maladies qui ont la même origine, comme :la chlorose, la neurasthénie, le rhumatisme,l'épuisement chez l'homme et chez la femme,le rachitisme et la danse de St-Guy chezl'enfant, qui seront énergiquement combat-tues par l'emploi des Pilules Pink. On lestrouve dans tontes les pharmacies et au Dé-pôt, pharmacie Gablin, cité Trévise, Paris, àtrois francs cinquante la boîte et dix-septfrancs cinquante par 6 boîtes, franco contremandat-poste.

LA SANTE PAR L'ABSINTHE

Ce n'est point un paradoxe. Déjà, chez lesanciens, la plante d'absinthe était l'emblèmede la santé. Aujourd'hui, l'absinthe oxygé-née de la Grande Distillerie Cusenier est de-venue l'apéritif de santé par excellence grâceau gaz vivifiant qui y est incorporé pardes procédés spéciaux et qui répand dansl'organisme des flots d'oxygène.

Les YiSous - ce titre I' « Echo du Médoc » s'ex-

prime ainsi :II y a deux ans à peine un agronome mé-

docain disait : « Dans trois ans les greffes etles greffés seront abandonnés. »

Celte prévision se réalise ; de toutes partson demande des boutons ou des racines d'hy-brides producteurs directs.

En effet ces plants présentent les avantagessuivants ; production de la 9t° et 3a feuille,souvent dès la première ; multiplication fa-cile et peu coûteuse ; plus de soufre ni debadigeonnage, vin parfait, bon goût, richeen couleur et en alcool ; adaptation complèteen Gironde, spécialement en Medoc.

Parmi les plus demandés citons le Plantdes Carmes pour son énorme production (40kilos de raisin par pied en 4 feuille), l'hy-bride fournie, l'Auscurois Rupestris, lo Sei-bel u° 1, etc.

Les Vignerons feront bien de s'approvi-sionner dès à présent pour cette campagne.

F.

RÉSEAU DU PUY-DE-DOME

LIGNES AUTOMOBILES A VAPEUR(loi seroirt mises en service au printemps prochain

FAR LA

COMPAGNIE DE TRACTION AUTOMOBILEclu. Plateau Central

De Clermont à Aubusson, par Pontgi-baud, Poutaumur, Létrade et Crocq.

De Clermont à Bort, iar Rochefort, La-queille, Latour et Tauves.

De Riom à Monlluçon, par Combronde,Menât, Saint-Eloi, Moutaigut..

D'Issoire à Besse, par Champeix, avecraccordement sur Saint-Nectaire.

D'Issoire à Saint-Germain-l'Herm, parLe Vernet-la-Varenne.

D'Issoire à Cunlhat, par Sauxillanges etAuzelles.

De, Giroux à Cunlhat, par Tours.De Saint-Amand-Tallende, par Veyre-

Monton.De Montbrison a la gare d'Usson, par

Saiut-Anthème et Viverols.La Compagnie a déjà obtenu les autori-

sations préfectorales de la Creuse, de laHaute-Vienne, Lozère, Haute-Loire sollici-té is en même temps que celle du Puy-de-Dôme.

Nous croyons savoir, d'autre part, quel'autorisation demandée par le Puy-de-Dô-me, sera accordée sous peu.

Chemins de fer de Paris à Lyon à la Méditerranée

A l'occasion :Des Courses de N i c e (12 au 26 Jan-

vier 1900),Du Carnaval de Nice (15 au 27 Fé-

rrier 1900),Des Régates Internationales de

Cannes (3 au 20 Mars 1900),Des Régates Internationales de

N i c e (2 au 16 Avril 1900),Des Vacances de Pâques,Du Tir aux Pigeons de Monaco.La Compagnie délivre à Clermont-Ferrand

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