Post on 12-Sep-2018
DIMANCHE 25 NOVEMBRE
16 h
« Y a-t-il juste moi qui a chaud ici? »Dre Danièle Rousseau, gynécologue, affi liée à Opmedic Laval, Procrea Cliniques, Hôpital Maisonneuve- Rosemont (clinique de colposcopie)• Nommer les symptômes les plus fréquents de la
périménopause ;• Entreprendre un traitement approprié pour les femmes
symptomatiques (hormones bio-identiques, nouveautés en ménopause) ;
• Proposer des traitements de rechange à l’hormonothérapie (produits naturels, médicaments d’ordonnance) ;
• Arrêter le traitement hormonal en temps opportun.
17 h / Pause
17 h 10
Les médicaments en vente libre (MVL) et quelques produits de santé naturels (PSN)Alain Jalbert, pharmacien-chef, Centre de santé Inuulitsivik, Puvirnituq, Nunavik• Connaître sommairement les lois fédérales et
provinciales qui régissent les MVL et les PSN ; • Connaître l’approche du pharmacien communautaire
visité en première ligne pour un MVL/PSN ;• Connaître certaines particularités qui touchent des MVL
communs, certains PSN demandés fréquemment.
18 h 10 / Pause
18 h 20
« Histoire d’un cœur brisé…! »Dr Jacques Bédard, interniste, Sherbrooke• Préciser l’évolution naturelle de la dysfonction
systolique avec ses conséquences sur le traitement ;• Utiliser de façon optimale les modalités de traitement
non pharmacologique de la dysfonction systolique ;• Maîtriser l’initiation et la titration des outils
pharmacologiques de première ligne dans le traitement de la dysfonction systolique : BB et IECA ;
• Balancer l’utilisation judicieuse des diurétiques et intégrer les concepts de l’utilisation des nouveaux (Eplerenone)
• Intégrer les concepts de l’approche non pharma-cologique et pharmacologique dans la planifi cation de la prise en charge globale d’un patient avec dysfonction systolique.
LUNDI 26 NOVEMBRE
16 h
Les traumatismes du membre supérieur chez l’enfantDr Serge Gouin, médecine d’urgence pédiatrique, CHU Ste-Justine • Avoir une meilleure approche diagnostique pour les
traumatismes du membre supérieur chez l’enfant ;• Avoir une meilleure approche thérapeutique dans le
traitement de ces traumatismes ; • Être en mesure de mieux contrôler la douleur selon
l’évidence basée sur les faits.
17 h / Pause
17 h 10
Problèmes communs et moins communs des nouveaux-nésDre Isabelle Leblanc, omnipraticienne, Centre hospitalier de St. Mary• Différencier les variantes de la normale et les
pathologies dans l’examen cardio-respiratoire du nouveau-né ;
• Reconnaître les affections cutanées les plus courantes du nouveau-né ;
• Reconnaître les éléments de l’examen physique du nouveau-né qui requièrent une intervention immédiate.
18 h 10 / Pause
18 h 20
Adolescence et santé mentaleDr Yves Lambert, omnipraticien, professeur adjoint de clinique, département de médecine familiale, Université de Montréal• Appliquer un algorithme pour les guider dans le
diagnostic différentiel de « l’adolescent qui dérange » qu’on leur aura amené en consultation ;
• Poser un diagnostic de dépression à l’adolescence en tenant compte des modes de présentations particuliers de cette clientèle et des caractéristiques différentielles de leur symptomatologie ;
• Appliquer les meilleures connaissances pharma-cologiques dans le traitement de première ligne de la dépression à l’adolescence, en particulier quant aux choix, aux dosages et au suivi de la prescription médicamenteuse ;
• Poser les bonnes questions dans l’évaluation du risque suicidaire à l’adolescence.
(Comité organisateur)
DE
2012ÉDITI
ON
24 novembre au 1er décembre 2012Hôtel Barcelo Maya ColonialRiviera Maya – Mexique
Congrès annuel
FAMILIALEMÉDECINE
en collaboration avec les docteursGeneviève Auclair, omnipraticienneJudy Morris, urgentologueJean-Claude Richer, omnipraticien(Comité scientifique)
MARDI 27 NOVEMBRE
16 h
L’ABC de l’IRCDre Geneviève Gonthier, interniste, CSSS Alphonse-Desjardins, Centre hospitalier affi lié universitaire de Lévis• Défi nir l’insuffi sance rénale chronique ;• Connaître les étiologies de la maladie rénale
chronique ;• Identifier les populations à risque chez qui un
dépistage doit être effectué ;• Élaborer un plan d’investigation initial ;• Savoir quand référer le patient vers un spécialiste ;• Connaître les interventions reconnues pour ralentir la
progression de la maladie rénale chronique ;• Discuter des principales complications métaboliques
de l’insuffi sance rénale chronique et leur prise en charge initiale.
17 h / Pause
17 h 10
La consultation pré-voyage pour le voyageur presséDre Marie-Hélène Boudreau, omnipraticienne, Québec et Dr Daniel St-Arnaud, médecine d’urgence, Hôtel-Dieu de Lévis• La vaccination ;• La diarrhée du voyageur ;• La prévention du paludisme ;• L’altitude.
18 h 10 / Pause
18 h 20
Survivre à la garde!Dr Stéphane P. Ahern et Dr François Marquis, internistes-intensivistes, Hôpital Maisonneuve-Rosemont• Comprendre et prendre en charge le patient avec un
compromis hémodynamique ;• Comprendre et prendre en charge le patient avec
une insuffi sance respiratoire ;• Évaluer le patient agité et faire le diagnostic
différentiel prompt en optimisant la prise en charge sécuritaire ;
• Évaluer le patient fébrile et établir un plan thérapeutique adapté en fonction de son milieu de pratique.
MERCREDI 28 NOVEMBRE
16 h
Le traitement optimal de la douleur aiguë à l’urgenceDr Raoul Daoust, département médecine d’urgence, clinicien chercheur, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, professeur agrégé de clinique, Université de Montréal• Connaître les composantes d’un soulagement
effi cace ;• Connaître les avantages et désavantages des
principaux analgésiques ;• Prescrire de façon optimale les analgésiques pour
soulager la douleur aiguë.
17 h / Pause
17 h 10
Les infections à l’ère des bactéries résistantesDr Christian Lavallée, microbiologiste-infectiologue, Hôpital Maisonneuve-Rosemont• Comprendre les principes généraux de la résistance
aux antibiotiques ;• Savoir quand suspecter une infection causée par une
bactérie résistante ;• Savoir comment traiter les infections courantes en
cette ère de résistance ;• Savoir comment prévenir l’émergence de résistance
en pratique courante.
18 h 10 / Pause
18 h 20
Prise en charge du patient intoxiqué en milieu hospitalier : du diagnostic au traitement des intoxications les plus fréquentesDr Éric Piette, spécialiste en médecine d’urgence, Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, Université de Montréal• Reconnaître le patient intoxiqué ;• L’examen clinique du patient intoxiqué de même que
les différents toxidromes ;• L’évaluation paraclinique du patient intoxiqué
(le fameux bilan d’intox) ;• Le diagnostic et le traitement des intoxications les
plus communes.
JEUDI 29 NOVEMBRE
16 h
Urgences ORL : de la panique à la pratiqueDre Nathalie Audet, professeure clinique, département ORL, Université Laval
• Identifi er et traiter le site d’une épistaxis ;
• Reconnaître et stabiliser une épiglottite ;
• Orienter vers un traitement chirurgical un patient nécessitant une réduction de fracture du nez ;
• Reconnaître et instaurer le traitement d’une paralysie de Bell ;
• Reconnaître et instaurer le traitement d’une surdité subite.
17 h / Pause
17 h 10
La face cachée du Plan Nord : La santé des autochtonesDre Geneviève Auclair, médecin-chef, omnipraticienne, Centre de santé Inuulitsivik, Puvirnituq, Nunavik, tuteur clinique, Université McGill
• Nommer les déterminants de la santé chez les peuples autochtones (Premières Nations, Métis et Inuit) ;
• Identifi er les facteurs de risque pour la tuberculose ;
• Utiliser et interpréter le test cutané tuberculinique de façon judicieuse ;
• Diagnostiquer et traiter l’infection latente de la tuberculose ;
• Diagnostiquer et initier le traitement de la tubercu-lose pulmonaire active.
18 h 10 / Pause
18 h 20
Initier un changement de comportement en 3 minutes : «Brisez les barrières»Dr Jacques Bédard, interniste, Sherbrooke
Objectifs : CanMEDS / Les professionnels de la santé qui participent activement à ce programme font valoir qu’ils sont davantage en mesure : • D’évaluer rapidement le degré de motivation au
changement (Érudits) ;• D’entreprendre une collaboration effi cace avec leurs
patients en vue de soutenir des changements de comportement positifs (Collaborateurs) ;
• D’aider les patients à accroître leur motivation et à surmonter les barrières au changement en utilisant le modèle « conviction – confiance » qui favorise la transition d’un stage à l’autre (Promoteurs de la santé) ;
• Apprivoiser une nouvelle technique de communication « interview motivationnel » (antithèse de l’approche directive traditionnelle) (Communicateurs) ;
• D’utiliser ces stratégies pratiques et effi caces, dans le cadre d’entrevues de courte durée (3 minutes) (Gestionnaires).