Service d’hébergement St-Denis · jounée de plein ai à l’Auege du P’tit onheu , le Tou de...

SERVICE D’HÉBERGEMENT ST-DENIS

Service d’hébergement St-Denis

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Au printemps 2015 une immense tristesse s'est emparée de nous alors que Javier, intervenant de suivi, apprenait qu'il était atteint d'une leucémie. Nous l'avons épaulé durant les périodes de traitements et de convalescence mais, 10 mois plus tard nous perdions définitivement notre collègue.

Dévoué et infatigable, Javier était un pilier. Pendant 25 ans il a veillé sur l'organisme, égayé la vie de ses collègues, et surtout, il s'est engagé avec passion auprès des jeunes.

Cher Tacos, ce sera toujours avec toute notre affection et notre reconnaissance que nous penserons à toi. Tu nous manques.


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Qui sommes-nous ?

Essentiellement le Service d’hébergement St-Denis est une alternative à l’itinérance et à la dégradation des conditions de vie. Les jeunes de 15 à 20 ans qui désirent être hébergés le font sur une base volontaire et avec l’accord de leurs parents s’ils sont mineurs. Nous leur offrons un lieu d’appartenance où il est possible de créer des liens significatifs.

Selon la situation du jeune, son degré d’autonomie et ses projets, nous favoriserons des démarches de changement et la réalisation d’objectifs susceptibles de le mener vers une plus grande autonomie.

Afin de bien les soutenir dans l’atteinte de leurs objectifs ils trouveront chez nous un milieu chaleureux et sécurisant où des intervenants expérimentés les aideront à stabiliser leur situation, tant sur le plan personnel et familial, que sur le plan social.

Étant des témoins de première ligne de la réalité des jeunes, nous nous faisons un devoir de remplir notre rôle d’acteur de changement social afin de contribuer à ce que la société dans laquelle nos jeunes évoluent leur offre davantage pour qu'ultimement, bien au-delà de leur séjour chez nous, ils puissent vivre dans un milieu décent et dans des conditions qui favorisent leur épanouissement.

Conséquemment, parce que nous croyons à la solidarité et à l’importance de s’impliquer dans les débats et les luttes pour l’amélioration des conditions de vie des jeunes, le SHSD s’investit activement dans divers lieux de concertation.

La Concertation

Le SHSD s’implique en concertation avec les autres acteurs de la communauté en

matière de développement de la communauté, de reconnaissance de l’Action

communautaire autonome et de défense des droits des jeunes.

Cependant, nous devons préciser ici qu’en raison d’un financement à la fois

limité et incertain, nos implications ont été revues à la baisse. En effet, en mars

2015, suite au départ de notre agent de concertation, le conseil

d’administration, prenant en compte les déficits des années précédentes, a

jugé qu’il serait plus raisonnable de maintenir ce poste vacant.

Conséquemment, le SHSD se fait moins présent dans la communauté. Ainsi,

nous ne siégeons plus à la Table de Concertation Jeunesse de Rosemont ni au

Regroupement Intersectoriel des Organismes Communautaires de Montréal.


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Une Auberge du Cœur !

Le Regroupement des Auberges du Cœur du Québec est un regroupement provincial

de 29 maisons d’hébergement jeunesse.

Unies par leur mission et fortes de leur ralliement, nous avons acquis le pouvoir de nous faire entendre afin de défendre les droits de nos jeunes et des organismes communautaires autonomes.

JUIN 2015. ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE DU REGROUPEMENT DES AUBERGES DU CŒUR DU QUÉBEC.

AMÉLIORONS LE SOUTIEN AUX ORGANISMES COMMUNAUTAIRES

La campagne nationale pour le rehaussement du financement du programme de soutien aux organismes communautaires (PSOC) est une initiative conjointe de la Coalition des Tables régionales des organismes communautaires (CTROC) et de la Table des Regroupements provinciaux d'organismes communautaires et bénévoles (TRPOCB).

Il n’est pas étonnant, dans le climat d’austérité actuel que le problème du sous-financement, avec ses conséquences sur la population, persiste.


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Ainsi des organismes abandonnent des services pendant que d’autres doivent suspendre complètement les services pour des périodes plus ou moins longues. Conséquemment, la rétention du personnel pose problème considérant que les mises à pied faute de financement sont fréquentes et que les salaires ne sont pas comparables à ceux offerts dans le réseau de la santé et des services sociaux.

Étonnamment pour plusieurs cela semble aller de soi, comme si se dévouer pour une bonne cause devait nécessairement rimer avec instabilité et salaires nettement sous la moyenne nationale. Mais nous devons aussi admettre qu’on nous demande si souvent d’en faire plus avec moins, que nous avons si bien intégré ce mot d’ordre, qu’il n’est pas rare que nous proposions nous-même d’aller au-delà du « gros bon sens » pour en faire davantage et obtenir du financement. Mais il y a un prix à payer, que ce soit en termes d’essoufflement, d’organisation des

services ou de cohérence avec la mission première.

PROJET DE LOI 70 : RÉFORME À L’AIDE SOCIALE

Le gouvernement voudrait obliger les personnes qui font une première demande à participer à un programme d’employabilité à défaut de quoi, des pénalités pourraient s’appliquer et amputer le chèque d’aide sociale de plusieurs centaines de dollars. Or, plusieurs nouvelles demandes proviennent de jeunes en situation de grande instabilité : sans abri ou menacé d’éviction, en rupture avec leur réseau, en détresse psychologique, ayant un problème de dépendance, etc. Conséquemment, l’obligation et la sanction, qui ne tiennent pas compte de leur réalité, ne sont pas des moyens efficaces pour lutter contre la pauvreté et l’itinérance.

N’oublions pas que la prestation de base est de 616 $, ce qui représente moins de la moitié de la somme, reconnue par le gouvernement lui-même, comme étant nécessaire pour répondre aux besoins de base.

NUIT DES SANS-ABRI

C’est en pleine austérité et en période électorale fédérale que s’est tenue, dans plus d’une trentaine de ville au Québec, la 26e Nuit des sans-abri. Cette année, la Nuit des sans-abri s’alliait à l’ATSA (Action Terroriste Socialement Acceptable), un groupe d’artistes socialement engagés, afin de faire résonner davantage les revendications du communautaire.


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POLITIQUE ET STRATÉGIE JEUNESSE

Avec la Politique québécoise de la jeunesse 2030, le gouvernement définit le cadre de son action en faveur des jeunes autour de cinq axes d’intervention : Saines habitudes de vie, persévérance et réussite éducative, culture et participation citoyenne, travail et économie, entreprenariat et relève.

Quant à la Stratégie jeunesse, un plan d’action et des budgets qui découlent de la politique jeunesse, le gouvernement devrait en faire l’annonce à l’automne. Notons que des représentants des Auberges du Cœur ont rencontré le Secrétariat à la Jeunesse au sujet d’une éventuelle participation des Auberges à la prochaine stratégie. Ce dossier demeure à suivre mais, pour l’instant, nous savons que contrairement à ce qui avait eu lieu avec la dernière stratégie, celle-ci devrait tenir compte des 200 000 jeunes ni en emploi, ni en formation.

LE SOUTIEN PSYCHOSOCIAL : UN SERVICE ESSENTIEL

Dans notre société, les jeunes en difficulté n’ont pas facilement accès aux services dont ils ont besoin. D’une part, il est extrêmement ardu pour nos jeunes majeurs d’obtenir l’aide de dernier recours, alors que d’autre part, les 16-17 ans sont victimes de «trous de services» du côté des Centres Jeunesse. Il n’est donc pas étonnant que des jeunes ne bénéficiant pas, ou peu, de support familial se retrouvent sans abri et en situation d’extrême précarité.

Au niveau personnel, ils sont habités par une détresse profonde, ils ont en général une faible estime d'eux-mêmes, un sentiment d'incompétence, un niveau de stress élevé et une santé, physique ou mentale, fragile. Au niveau familial, ils vivent des relations conflictuelles et sont parfois en rupture avec leurs parents. Aussi, la pauvreté, la violence, la négligence, les problèmes reliés à la toxicomanie ainsi que l'abandon comptent parmi les épreuves vécues.

Provenance à l’arrivée

Famille 44 % Centre ou famille d’accueil 10 %

Amie-e connaissance 13 % Famille élargie 5 %

Autre ressource d’hébergement 18 % Ressource en toxicomanie 5 %

Vécus / dynamiques familiales

Conflits familiaux 97 % Violence 36 %

Négligence / abandon 49 % Toxicomanie / alcoolisme 33 %

Pauvreté /problèmes économiques 49 % État de santé mentale altéré 33 %

Détresse psychologique 44 % Conflit culturel / religieux 33 %


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Dès son arrivée au Service d’hébergement St-Denis les valeurs sur lesquelles s’appuient nos interventions, et qui s’inscrivent dans une approche globale, sont présentées au nouveau résident. Qu’il soit question de respect, d’honnêteté, de communication, d’engagement et de responsabilité, le jeune réalisera rapidement que ces valeurs ne sont pas vides de sens et qu’elles sous-tendent quotidiennement nos interventions. Cette année 47 jeunes en difficulté ont trouvé chez nous un milieu de vie sécurisant et stable. Ces jeunes sont restés dans notre maison pour une durée moyenne de 71 jours. Parallèlement, au niveau du post-hébergement, nous avons supporté 51 anciens résidents pour 309 services.

Le séjour ne permet pas nécessairement de dénouer toutes les impasses et les défis à venir demandent parfois que l’intervention se poursuive. Qu’ils aient besoin de retrouver chez nous un lieu d’appartenance ou qu’ils souhaitent un temps bien à eux pour rencontrer un intervenant, les jeunes qui ont quitté le SHSD savent qu’ils peuvent continuer à bénéficier de nos ressources et services.

Nous offrons aussi à nos jeunes un milieu de vie dynamique et leur proposons des activités telles que : la tenue d’une vente de garage pour financer un repas au restaurant, une journée de plein air à l’Auberge du P’tit Bonheur, le Tour de l’île, une visite à Voiles en Voiles, assister à un match des Alouettes, cinéma en plein air l’été, parade des zombies pour Halloween, visite au Peur Dépôt, jeux de société, activités de mise en forme, etc.

Des ateliers ont aussi été à l’horaire cette

année. Qu’il soit question de cuisine, de

saine alimentation, de sexualité, de budget, de préparer un départ en appartement ou

de discuter politique dans le cadre de la campagne électorale fédérale, ces ateliers sont

des occasions pour nos jeunes, soit d’acquérir, soit de parfaire leurs habiletés.

Les repas du soir sont également l’occasion de vivre des moments positifs et d’enjoliver

le quotidien. Au SHSD on profite de ces moments en groupe pour festoyer en

soulignant les anniversaires et les départs des jeunes dont le séjour tire à sa fin.

Au total cette année : 28 activités collectives auxquelles 129 jeunes ont participé.


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Notons que les difficultés rencontrées par les jeunes ont tendance à se complexifier et, malheureusement, il n’est plus rare qu'ils soient aux prises avec plusieurs problématiques d'importance (santé mentale et/ou de dépendances qui interagissent entre elles, s'entremêlant, et parfois même se renforçant l'une l'autre. Au final, cette détresse est souvent telle qu'elle les a menés jusqu'à l’idéation suicidaire, la violence, l'automutilation et le décrochage social.

Évidemment, la complexification des problématiques n'est pas sans répercussions : les intervenants doivent constamment parfaire leurs compétences cliniques et adapter leurs façons de faire au quotidien et, parallèlement, afin de répondre aux besoins des jeunes, nos critères d'admission sont constamment requestionnés et élargis. Offrir des services adaptés est le cœur de notre mission et le défi posé par l'alourdissement des difficultés, notre équipe le relève avec brio.

Les intervenants travaillent essentiellement à responsabiliser les jeunes, à développer leur autonomie et à les outiller afin qu’ils soient en mesure de faire

Mineurs67 %

Majeurs33%

Âge à l'admission

Vécus / dynamiques des jeunes

Manque d'estime de soi 77 % Placements 28 %

Isolement social 72 % Dépendance affective 28 %

État de santé mentale altéré 67 % Trouble de comportement 28 %

Propos /idées suicidaires 59 % Automutilation 21 %

Décrochage scolaire 49 % Tentative de suicide 18 %

Pauvreté 49 % Victime d'agression sexuelle 18 %

Détresse psychologique 46 % Problèmes légaux /juridiques 15 %

Toxicomanie/alcoolisme 41 % Déficience intellectuelle 15 %

Intolérances aux refus 38 % Délinquance 15 %

Trouble d'apprentissage 38 % Comportement agressif/violent 15 %

Médication psychotrope 31 %

Féminin44%Maculin

56%

Genre


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des choix éclairés et de prendre des actions pour rencontrer leurs objectifs. Leur objectif ultime est de les aider à développer leur potentiel afin qu’ils ne soient pas des spectateurs en marge de leur collectivité, mais bien qu’ils deviennent des citoyens à part entière.

Occupation durant le séjour

Démarches personnelles 72 % Travail à temps partiel ou temps plein 26 %

Recherche d'emploi 72 % Démarches juridique /judiciaires 18 %

Études formation 59 % Travail via programme/stage 10 %

Suivi thérapeutique 36 % Démarches, santé physique 8 %


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LE CONSEIL D'ADMINISTRATION

À l'interne l'organisme est dirigé par une directrice Shirley Trigg et une directrice adjointe (Jenny-Nadia Boisvert) qui cumulent respectivement 23 et 19 ans d'expérience - au sein même du SHSD – quant au conseil d'administration, fidèles à leur engagement, notre président siège au conseil depuis 19 ans, le vice-président depuis 16 ans et la trésorière depuis plus de 9 ans.

Marc Cudia Président

Entrepreneur Président ÉcoRécréo

Ancien résident du SHSD

Été 2015 Marc Cudia, en entrevue avec Pénélope

McQuade pour parler de son parcours. Antoine Durocher Vice-Président

Gestionnaire principal des biens immobiliers, voies navigables au Québec, Parcs Canada

Rosalie Kott Trésorière

Avocate, Centre intégré de services de santé et de services sociaux du Centre-Sud de

l'île de Montréal

Jean-Philippe Duchesneau Secrétaire

Président Strategio Marc Randoll Administrateur

Directeur de production, Montréal en histoires

Émilie Gagné Administratrice, Représentante des employés

Intervenante psychosociale au SHSD

Shirley Trigg Administratrice Directrice du SHSD

Nous les remercions sincèrement de partager si généreusement leur précieux temps et leur expertise avec nous.


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L'EXERCICE FINANCIER 2015-2016

Sur le plan financier, les dernières années ont été particulièrement difficiles. Depuis

2011, nos états financiers ont affichés des déficits. Encore l’an dernier, nous affichions

un déficit de - 7 253 $. L’année 2015-2016 rompt avec la triste tradition puisqu’elle s’est

terminée sur un surplus.

Nous devons ce répit à de nouvelles fondations et communautés religieuses qui ont

choisi de nous aider et à plusieurs donateurs qui, fort probablement sensibles à notre

situation précaire, ont significativement augmenté leur don annuel.

Nous soulignons aussi la générosité de M. Gaétan Barrette, ministre de la santé et des

services sociaux et de Mme Lucie Charlebois, ministre déléguée à la Réadaptation, à la

Protection de la jeunesse, à la Santé publique et aux Saines habitudes de vie.

Aussi, en mai dernier nous avons contacté des auteurs qui avaient participé à nos

encans littéraire Ad Litteram1 : « Nous nous rappelons à votre souvenir aujourd’hui

parce que notre situation devient critique et que nous avons besoins de tous nos alliés,

présents et passés, afin de nous assurer un futur. Pouvons-nous, encore une fois,

compter sur votre support ? » Plusieurs d’entre eux nous ont à nouveau offert leur

support en répondant généreusement à notre appel.

Cependant, c’est sur un budget plutôt équilibré que nous aurions terminé l’année n’eut

été d’un revenu non-récurrent de 14 700 $ pour lequel la discrétion a été demandée.

Conséquemment, cette somme se retrouve dans « autres revenus ».

1 Né en 1998, Ad Litteram avait obtenu une participation inespérée d’auteurs, artistes et personnalités publiques. En 2002 un recueil Ad Litteram avait été publié aux Éditions du Boréal.

Salaires82 %

Administration4 %

Hébergement9 %

Logement5 %

Répartition des dépenses


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REVENUS

Programme de Soutien aux

organismes communautaires 385 919

Fondation Marcelle et Jean Coutu 12 000

Fondation des Auberges du Coeur 4 613

Fondation ECHO 5 000

Fondation SSQ 2 500

Autres fondations 2 500

Ministre déléguée, protection de la jeunesse 5 000

Ministre de la santé et des services sociaux 3 000

Premier Ministre (secrétariat à la jeunesse) 500

Ministre responsable de Mtl 500

Subvention SHQ 385

Support à l'action bénévole 700

Emploi été Canada 2 718

Crédit pour l’emploi, Revenu Canada 1 353

Dons communautés religieuses 17 700

Dons particuliers 3 882

Dons syndicats 550

Dons corporations 1 450

Fonds de justice sociale d’Unifor 2 500

Événement de financement 3 499

Intérêts et autres revenus 15 685

Pensions des jeunes 17 543

Cotisation des membres 65

Total des revenus 489 652 $ 488

DÉPENSES

FRAIS SALARIAUX 391 754

FRAIS D’HÉBERGEMENT 40 835

FRAIS D’ADMINISTRATION 20 811

FRAIS DE LOGEMENT 21 898

Total des dépenses 475 298 $

RÉSULTAT 14 264 $


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Un Merci tout particulier cette année aux nombreux nouveaux donateurs, ainsi qu’à

ceux qui, devant nos déficits des dernières années ont contribué davantage. Les hausses de dons ou subventions ont fait une différence, nous permettant d’éviter un autre déficit.

FONDATION MARCELLE ET JEAN COUTU

Nous remercions infiniment toutes les fondations, communautés religieuses, compagnies, syndicats et particuliers. Soyez assurés que nous sommes très reconnaissants de votre intérêt et de votre générosité à l'égard des jeunes en difficulté. Merci.

NOS COORDONNÉES

Demande d’aide 514.374.6673

Administration 514.374.6091

heberg . stdenis@ oricom.ca

www.hebergementstdenis.com

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