Revue de presse kylia - semaine 20

12
La revue de Presse KYLIA 1 LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE Du 13 au 19 mai 2013 LES ARTICLES DE LA SEMAINE Immobilier : des augmentations de loyers plus modérées en 2012 Le 13/5/2013 Les loyers ont augmenté de 2,7 % dans l’agglomération parisienne. Les révisions à la hausse lors des relocations ont été moins fortes qu’en 2011. Les loyers des biens immobiliers ont augmenté de 2,7 % dans l’agglomération parisienne - DR

description

Retrouvez une sélection des meilleurs articles de la presse immobilière de la semaine.

Transcript of Revue de presse kylia - semaine 20

Page 1: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 1 

 

LA REVUE DE PRESSE DE LA SEMAINE

Du 13 au 19 mai 2013

LES ARTICLES DE LA SEMAINE

Immobilier : des augmentations de loyers plus

modérées en 2012

Le 13/5/2013

Les loyers ont augmenté de 2,7 % dans l’agglomération parisienne. Les révisions à la hausse

lors des relocations ont été moins fortes qu’en 2011.

Les loyers des biens immobiliers ont augmenté de 2,7 % dans l’agglomération parisienne - DR

Page 2: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 2 

 

Les résultats définitifs ne seront connus qu’en juin, mais d’ores et déjà, l’Olap a livré ses premières

estimations. Selon l’Observatoire des loyers de l’agglomération parisienne, qui établit des

comparaisons avec la province, les loyers des habitations du parc locatif privé ont augmenté en

moyenne de 2,7 % en 2012 dans la capitale entendue au sens large, contre 1,6 % dans les régions.

« L’augmentation reste dans l’agglomération parisienne supérieure à celle de l’IRL [l’indice de

référence des loyers, base des indexations légales, NDLR], dont la croissance a atteint 2,2 % en

moyenne contre 1,5 % en 2011 », note le document de l’Olap. Autrement dit, la hausse des loyers est

restée forte à Paris et dans les alentours l’an passé. En revanche, en province, l’augmentation

moyenne a été « pour la première fois depuis 2001 » inférieure à celle de l’indice légal qui a encore

dépassé les 2 %.

« Les résultats provisoires de 2012 confirment la stagnation, en moyenne, des loyers en province et

une certaine modération de la région capitale », notent globalement les experts de l’Olap. A l’appui de

cette affirmation, ils citent également la hausse moyenne enregsitrée en cas de changement de

locataires.

Mesures d’encadrement

Ce que les professionnels appelle le « saut à la relocation » est encore resté important en région

parisienne (+ 5 % en moyenne), mais a été inférieur à celui enregistré en 2011 (+ 7 %). Une première

conséquence des mesures d’encadrement annoncées en juillet 2012… Dans la proche banlieue, ce

« saut » n’a atteint que 2 % quand dans les régions, il a été nul. Au final, le prix moyen de la location

s’est établi à 24,2 euros le mètre carré à Paris, à 17,6 euros dans la petite couronne et, en moyenne,

à 10 euros le mètre carré en province.

Philippe Bertrand

Source : LesEchos.fr

Page 3: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 3 

 

Les crédits immobiliers servent surtout à

financer la résidence principale

Le 14/5/2013

Selon Cafpi, la majorité des prêts immobiliers servent à acheter sa résidence

principale.

En avril, les dossiers de prêts ont essentiellement concerné les acquisitions de résidences principales.

SALOM-GOMIS SEBASTIEN/SIPA

En avril, selon le courtier de prêt immobilier Cafpi, 85 % des dossiers de prêts immobiliers ont

concerné les acquisitions de résidences principales (contre 82 % le mois précédent). Le courtier a

analysé le profil des acquéreurs qui profitent actuellement des taux de crédit très attractifs, ceux-ci

n'ayant cessé de baisser ces derniers mois. Les primo-accédants investissent toujours aussi

largement dans l’ancien (à 72 % contre 82,1 % le mois précédent). Ils empruntent en moyenne 165

085 euros sur 241 mois, contre 145 732 euros sur 256 mois en mars. Ceux qui achètent pour une

seconde fois plébiscitent encore plus l’ancien : ils représentent 92,29 % des achats dans ce segment

du marché. Ils empruntent moins que le mois précédent : 176 756 euros contre 182 152 euros dans

les statistiques d’avril. L’acquisition de son logement représente 4,83 années de revenu pour un

primo-accédant et 4,53 années pour un secundo-accédant.

Page 4: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 4 

 

Toujours des niveaux historiquement bas

En avril, Cafpi a décroché en Ile-de-France un taux d’intérêt fixe à 2,33 % pour un crédit immobilier

sur 10 ans. Le mois précédent, l’établissement bancaire le mieux disant proposait 2,39 %. Qui dit

mieux ? Les conditions de marché restent donc exceptionnellement favorables pour les acquéreurs.

Elles se vérifient aussi sur les taux à 15 ans et à 25 ans, tous deux inchangés sur un mois. Ces

circonstances attractives vont perdurer, estime le courtier, pour deux raisons : d’une part, il est

pratiquement certain que l’on n’observera pas cette année de remontée de la courbe des taux, qui ont

reculé d'un point en 18 mois. D’autre part, les prix du mètre carré sont en pente douce, et cela, pour

un bon moment. Cette conjonction rare d’événements permet aux accédants de retrouver la solvabilité

qu’ils avaient perdue.

Un pouvoir d'achat immobilier en hausse

Dans certaines villes, le gain de pouvoir d’achat est tel qu’il permet, comme à Metz, de s’offrir

pratiquement une chambre supplémentaire de 14 mètres carrés. Même à Paris et à Lyon, où les prix

continuaient pourtant de grimper jusqu’à une période récente, les acquéreurs ont pu s’offrir

respectivement un et deux mètres carrés supplémentaires. Pour autant, le millésime 2013 n’égalisera

peut-être pas celui de 2011 qui fut une année exceptionnelle en termes de production de crédits.

Cette année-là, les primo-accédants bénéficiaient d’aides à l’accession dans l’ancien (prêt à taux zéro

+) qui n’existent plus désormais.

E.J.-B.

Source : LeNouvelObs.com

Page 5: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 5 

 

Immobilier : l’affichage des étiquettes

énergétiques peine à être respecté

Le 14/5/2013

© REA

Près de deux ans après son entrée en vigueur, l’obligation d’affichage de performance énergétique

sur les petites annonces immobilières est encore loin d’être respectée, selon une enquête de la

CLCV. Certes, 85% des annonces relevées en vitrine par l’association de consommateurs sont

désormais conformes. Mais ce taux tombe à seulement 43% sur internet.

Pour établir cette étude, la CLCV a passé au crible près de 35.475 annonces de logements à la vente

ou à la location dans 937 agences immobilières. Plus de 4.000 offres publiées sur quatre sites web

références - dont un portail de transactions entre particuliers et un site de petites annonces

généralistes -, ont par ailleurs été analysées.

Les professionnels, eux-mêmes, ne s’étonnent guère de ces médiocres résultats. "Malgré multiples

rappels à l’ordre, trop de petites annonces ne respectent en effet pas ces obligations d’affichage. La

faute, certainement à l’absence de sanction", confirme Jean-François Buet, président de la Fédération

nationale de l’immobilier.

Page 6: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 6 

 

En effet, contrairement aux autres diagnostics obligatoires, le non respect de l’affichage de la

performance énergétique n’est pas réprimandé par la loi. « Un vendeur qui n’a pas respecté ses

obligations de diagnostics amiante ou termites ne peut, par exemple, invoquer la garantie de vice

caché en cas de conflit avec son acheteur. De même, si l’état des risques naturels n’a pas été réalisé,

l’acquéreur sera en droit de demander une baisse de prix. Rien de tel n’est dit sur le diagnostic

énergétique », note Davide Rodrigues, spécialiste logement au sein de la CLCV.

Face à ce constat, l’association en appelle au gouvernement afin que le défaut de communication du

diagnostic de performance énergétique soit désormais sanctionné par une amende de 38 euros.

L’enjeu est d’autant plus important que ces informations ont une réelle incidence sur les transactions.

"En banlieue des grandes villes, une maison traditionnelle énergivore classée F ou G peut par

exemple aujourd’hui se négocier avec un rabais de 10% par rapport au même bien noté C ou D", note

ainsi Jean-François Buet, président de la Fnaim. Et certaines passoires thermiques ne trouvent

désormais même plus preneurs.

Guillaume Chazouillères

Source : Capital.fr

Page 7: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 7 

 

Plus-values immobilières : ces travaux qui

vous permettent de réduire la facture

Le 15/5/2013

© REA

Pas de chance pour les propriétaires. La décote exceptionnelle de 20% que le gouvernement avait un

temps envisagé d’appliquer en 2013 pour alléger l’imposition des plus-values immobilières ne verra

jamais le jour. Les gains réalisés sur les ventes de propriétés (hors résidence principales et cession

de moins de 15.000 euros) restent donc taxés à 19%. En y rajoutant les prélèvements sociaux

(15,5%), le taux d’imposition atteint toujours 34,5%.

Pour diminuer la facture, vous pouvez bien sûr toujours compter sur l’abattement pour durée de

détention qui conduit à une exonération au bout de 30 ans. Mais tous les propriétaires n’ont pas les

moyens de différer leurs ventes…

Dans ce cas, sachez que vous avez aussi la possibilité de diminuer le montant de la plus-value en

intégrant au prix d’acquisition le coût des travaux réalisés pour rénover votre bien.

Lors de votre passage devant le notaire, celui-ci applique un premier calcul automatique : passé cinq

ans de détention, le prix d’achat de votre bien immobilier est forfaitairement revalorisé de 15% au titre

des travaux que vous êtes supposé avoir réalisé. Et ce sans justificatif. Mais dès lors que vous

Page 8: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 8 

 

estimez que les dépenses investies dans votre logement dépassent cette somme ou que vous

revendez avant ces cinq années, il vous est possible, factures à l’appui, de revaloriser le prix d’achat

des investissements effectués.

La loi précise que seules les dépenses de construction, reconstruction, agrandissement et

amélioration peuvent être ajoutées au prix d'acquisition pour leur montant réel. Par dépense

d’amélioration, comprenez tout ce qui apporte un confort supplémentaire visible à l’habitat (installation

d'un ascenseur, du chauffage central ou d'une climatisation dans un immeuble qui en était dépourvu,

réalisation de travaux d'isolation…)

Plusieurs exclusions sont toutefois prévues :

- Tout d’abord, seuls les travaux réalisés par une entreprise sont pris en compte dans le calcul.

"Autrement dit, tous les chantiers que les propriétaires ont entrepris eux-mêmes ainsi que le coût des

matériaux achetés ne sont pas éligibles ", note Pierre Bazaille, ex président de l’Institut notarial de

l’immobilier.

- Impossible également d’intégrer le coût des travaux qui ont déjà été déduits de vos revenus fonciers

(dans le cas des propriétaires-bailleurs), ou qui vous ont déjà permis de bénéficier d’un crédit d’impôts

ou de l’Eco prêt à taux zéro.

- Sont enfin exclues toutes les dépenses d’entretien courantes ainsi que les menues réparations

(changement de joints, remplacement des interrupteurs, raccords de peinture…) que l e propriétaire

est légalement en droit d’exiger de son locataire (voir le décret n°87-712 du 26 août 1987 relatif aux

réparations locatives). "A moins que ces petites dépenses ne soient indissociables de travaux de gros

œuvre", souligne Gilles Etienne, directeur du pôle expertise chez Cyrus Conseil.

Guillaume Chazouillères

Source : Capital.fr

Page 9: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 9 

 

Les ventes de logements neufs plongent, les

prix fléchissent

Le 16/5/2013

© REA

Alors qu’elles avaient déjà atteint leur plus bas niveau depuis 16 ans en 2012, les ventes de

programmes neufs se tassent encore. Aucune région n’est épargnée.

Le marché du logement neuf n’a visiblement pas encore touché le fond. Au premier trimestre, les

ventes de nouveaux programmes ont encore dévissé de 6,9% par rapport à la même période un an

plus tôt, selon la Fédération des promoteurs immobiliers.

Ce décrochage tient à plusieurs facteurs, à commencer par l’extrême retenue des professionnels.

Refroidis par la mauvaise conjoncture, la plupart d’entre eux ont préféré différer les lancements de

nouveaux programmes afin de maîtriser leurs stocks.

Parallèlement, les ventes aux investisseurs (qui représentent près d’un tiers du marché) ont continué

de plonger. Sur les trois premiers mois de l’année, à peine 4000 logements ont en effet été vendus

par le biais du dispositif d’investissement locatif Duflot, en repli de 23% sur un an. Malgré l’attrait de

cette loi qui offre une réduction d’impôts de 18% aux particuliers achetant dans le neuf pour louer, la

dégringolade n’épargne aucune région.

Page 10: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 10 

 

Il faut dire que le "Duflot" s’avère encore instable. Jusqu’au 1er juillet, les préfets de région ont en effet

la possibilité de mettre fin à cette carotte fiscale dans la plupart des communes de la zone B2 (villes

de 50.000 à 250.000 habitants), et de rabaisser les plafonds de loyers autorisés partout ailleurs. "Du

coup, les promoteurs hésitent encore à pousser les ventes et les acheteurs restent frileux", observe

François Payelle, président de la Fédération des promoteurs immobiliers.

Compte tenu de ce contexte, les professionnels du secteur espèrent au mieux atteindre 70.000 ventes

sur l’ensemble de l’année (contre 73.700 en 2012). Selon eux, rien ne permet d’entrevoir un rebond

dans les prochains mois : "bien sûr les récentes annonces du gouvernement sur le gel des normes de

construction, la mise à disposition du foncier public ou la lutte contre le recours abusifs freinant les

permis de construire vont dans le bon sens. Mais toutes ces mesures n’auront pas d’effet immédiat",

déplore François Payelle.

En attendant, et malgré des stocks plutôt bien maîtrisés, les professionnels seront sans doute

contraints de réduire un peu plus leurs prix pour vendre leurs programmes. En un an, les tarifs des

logements neufs ont déjà baissé de 1,3%. Et dans certaines agglomérations, les décrochages sont

beaucoup plus nets : Marseille (-11% à 3954 euros le mètre carré), Angers (-8,8% à 3086 euros le

mètre carré), Caen (-8,7% à 3136 euros le mètre carré), …

Les villes où les prix baissent depuis un an :

Page 11: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 11 

 

Source : Capital.fr

Page 12: Revue de presse kylia  - semaine 20

 

La revue de Presse KYLIA 12 

 

A propos de KYLIA

KYLIA, nouvel acteur du marché immobilier, est un réseau 100% web composé d’une famille d’enseignes immobilières toutes spécialisées dans un domaine de transaction. Le concept KYLIA repose sur 3 idées fortes : • La dématérialisation de l’agence avec vitrine permettant une meilleure rémunération des agents et la pratique de taux de commission jusqu’à deux fois inférieurs par rapport aux agences immobilières traditionnelles. • L’hyperspécialisation des agents engendrant une plus grande réactivité sur le terrain, plus de professionnalisme mais surtout plus d’efficacité vis-à-vis des clients. • La culture du partage permettant de fédérer l’ensemble des équipes autour d’un objectif commun : La croissance ! Plus d’information sur le site Internet : http://www.kylia-immo.com Contact Presse : KYLIA Immobilier

Marie LAURENT / [email protected] / 01 47 70 24 18