Modèle T3 Modèle T4 Indice - Investeam · Janet Yellen à la présidence de la banque fédérale...
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l y a quelques semaines, le spectre du
« Lundi Noir » est presque passé inaperçu.
Survenu il y a 30 ans, ce Lundi Noir a marqué
la plus importante baisse historique enregis-
trée sur un jour sur le marché d’actions améri-
cain. Mais, aujourd’hui, force est de constater
que tous les cadrans sont au vert aux Etats-
Unis !
Le PIB américain au 3ème trimestre a initiale-
ment affiché 3% de croissance annuelle pour
le deuxième trimestre consécutif, un rythme
supérieur au 2,2% de moyenne depuis la der-
nière récession. Le chômage est à son plus
bas depuis 2000. Quant au marché d’actions
représenté par le S&P 500, il a grimpé de près
de 25% depuis l’élection de Donald Trump,
avec une volatilité historiquement basse. Nous
sommes actuellement sur une série de
48 jours ouvrés consécutifs sans avoir obser-
vé une baisse de plus 0,5% du S&P 500. Du
jamais vu depuis 1965 !
Si certains supporters de Trump justifient
cette situation par l’arrivée du nouveau prési-
dent, nous constatons plutôt les solides fonda-
mentaux de l’économie et surtout la bonne
santé des entreprises.
Selon Bloomberg, ces 457 entreprises ont
affiché en agrégé une croissance de leurs
ventes et de leurs bénéfices de 5,4% et 7,1%
respectivement.
De plus, nombreuses sont les études, les ana-
lyses et les sondages montrant que le senti-
ment des principaux acteurs économiques —
investisseurs, consommateurs ou chefs d’en-
treprise — reste au plus haut. Le niveau de
cash des mutual funds aux Etats-Unis est au
plus bas et l’optimisme reste très fort. Toute-
fois, nous ne voyons pas encore cet environne-
ment d’euphorie, typiquement observé avant
qu’une bulle n’éclate, et le momentum pour-
rait donc perdurer encore quelques temps.
Le candidat de Trump, futur remplaçant de
Janet Yellen à la présidence de la banque
fédérale américaine en février 2018, devrait
confirmer le maintien de la stratégie actuelle
de la Fed et éviter ainsi un chamboulement
des marchés. Toutefois, les doutes sur la ré-
forme fiscale se sont récemment renforcés et
la défaite, dans plusieurs états, de candidats
républicains aux élections de gouverneurs ont
brouillé le paysage politique pour 2018.
Enfin, il est à noter que nous sommes en fin
de cycle économique et, bien que la situation
reste au vert aujourd’hui, le feu devrait passer
à l’orange l’année prochaine.
Grégoire Painvin
13 novembre 2017
e mois d’octobre a été marqué par la te-
nue du XIXe congrès du Parti communiste
chinois.
Organisé tous les 5 ans au palais du peuple,
place Tiananmen à Pékin, ce dernier a permis
d’élire les instances gouvernantes du pays,
dont en particulier le comité central du parti
(environ 200 membres), le bureau politique du
parti (25 membres) et surtout l’instance de
direction constituée de 7 membres perma-
nents. Il a également permis à Xi Jinping d’être
reconduit à la tête du parti pour un second
mandat de 5 ans.
Cette reconduction n’est pas une surprise en
soi. Xi Dada (tonton Xi) avait en effet habile-
ment utilisé la lutte contre la corruption pour
écarter de nombreux adversaires. Toutefois,
sa réélection prend une tournure particulière.
D’abord, il n’y a pas de successeur désigné et
il est donc probable que le « règne » de Xi con-
tinue au-delà de 2022, d’autant qu’aucun des
autres membres du comité permanent ne sera
alors en âge de lui succéder. Ensuite, la pen-
sée et la doctrine de Xi ont été inscrites dans
la charte du Parti communiste chinois. C’est
tout un symbole car aucun de ses deux prédé-
cesseurs n’avait connu un tel honneur. Deng
Xiaoping, l’architecte de la renaissance écono-
mique du pays, l’avait juste approché en n’ins-
crivant dans le marbre que sa théorie. En
définitive, cette entrée dans la charte du parti
place Xi à l’égal du fondateur du régime, Mao
Zedong.
Fort de ses pleins pouvoirs, Xi Jinping va dé-
sormais régner sur le pays en ayant toute
latitude pour le transformer.
Dans son discours de trois heures et demi au
congrès, le président a donné sa feuille de
route, se référant de nombreuses fois à la
renaissance du rêve de grandeur de la nation
chinoise. Son ambition n’est pas moins que de
mettre la Chine sur les rails afin qu’elle de-
vienne une puissance leader en 2050 et se
libère de l’étiquette du « plus grand des pays
en voie de développement ».
Les implications sont multiples. En premier
lieu, cela signifie une Chine puissante avec
une armée moderne. Cela augure une Chine
entreprenante qui avance ses pions sur l’échi-
quier international, ce qui s’inscrit parfaite-
ment dans le jeu d’alliances tissées depuis
trois ans dans le cadre de l’initiative « la Cein-
ture et la Route ». Cela suppose ensuite une
Chine prospère avec des Chinois qui bénéfi-
cient d’un meilleur niveau de vie. Cela im-
plique enfin une Chine qui dispose de leaders
mondiaux dans de nombreux secteurs d’activi-
té en prenant, notamment, le leadership dans
des secteurs comme les véhicules électriques,
l’intelligence artificielle ou la Blockchain.
Impossible à ce stade de savoir si la Chine
réussira dans ses objectifs. Retenons simple-
ment le pronostic du patron de Google : il a
indiqué récemment que les Etats-Unis de-
vraient conserver leur leadership sur la Chine
dans le domaine de l’Intelligence artificielle
pour les cinq prochaines années avant de se
faire dépasser par la suite.
David Dehache
8 novembre 2017
as de doute, la conjoncture actuelle pour
investir en actions ne pourra guère être
plus favorable qu’en ce moment et cet aligne-
ment optimum de constellations pourrait durer
encore un certain temps au vu des chiffres
prometteurs du troisième trimestre, révisés à
la hausse aux Etats-Unis comme en Europe.
De plus, les investisseurs semblent captivés
par les chiffres entiers sur les indices et cer-
tains d’entre eux, au comble de la fascination,
scrutent ces arrondis magiques (100, 2 000,
5 000, 15 000…) en ouvrant des yeux tout
aussi ronds ! Bien sûr, cette chorégraphie de
chiffres peut être amusante, mais il convient
de relativiser son importance car, plus un
indice monte, moins le pourcentage de varia-
tion est important. Prenons le cas du Dax, en
Allemagne, lancé à un niveau de 1 000 à sa
création en 1989. En passant de 1 000 à
2 000 points, la mise est doublée. En re-
vanche, le saut de 13 000 à 14 000 points,
pourtant égal à 1 000 points, ne représente
plus qu’une progression de 8% !
Cela dit, que peut-on encore anticiper sur les
marchés d’actions pour le reste de l’année ?
Traditionnellement, après un mois de sep-
tembre parfois difficile, les deux derniers mois
sont souvent les périodes où se réalisent les
meilleures performances de l’année.
En 2017, le rallye de fin d’année a commencé
relativement plus tôt. En effet, les investis-
seurs ont anticipé une évolution favorable des
cours dès septembre, pourtant réputé comme
le mois de tous les dangers. Et après le bon
mois d’octobre que nous venons de vivre, il
n’est pas exclu que le meilleur de l’année
puisse être déjà derrière nous.
Cependant, avec le maintien d’une politique
plus qu’accommodante de la BCE et sous
réserve qu’il n’y ait pas d’accident majeur aux
Etats-Unis, il n’est pas exclu que le CAC 40
puisse passer la barre des 6 000 points, et le
Dax celle des 14 000 points, portés par de
possibles arbitrages entre les classes d’actifs
en faveur des actions et au détriment des taux
(les obligations).
Beaucoup d’investisseurs sont conscients du
fait que les obligations ne les rémunèrent que
très faiblement, voire leurs font perdre de
l’argent à long terme, car beaucoup de titres
obligataires sont à des cours au-dessus de
leur nominal pour un remboursement à 100 %
à l’échéance. Ainsi, il est préférable de maté-
rialiser des profits sur cette classe d’actifs au
lieu d’attendre leur décrue inexorable vers
100 % à maturité.
De plus, le risque de contagion des durcisse-
ments monétaires en Angleterre et surtout aux
Etats-Unis (hausse de 25bp attendue en dé-
cembre) devrait accélérer ce mouvement bais-
sier. Ainsi, le potentiel de hausse des actions
trouverait un soutien significatif qui pourrait
nous permettre d’atteindre de nouveaux som-
mets en fin d’année.
De plus, l’analyse technique sur les indices
européens plaide pour une poursuite de la
hausse. Bien entendu, cette hausse ne sera
pas linéaire et sans risque étant donné que
nous n’avons pas subi de correction majeure
depuis des années. Cependant, nous pouvons
rester positifs car toute baisse des cours pour-
rait être une très bonne opportunité pour
acheter des titres à meilleur compte.
Armin Zinser
10 novembre 2017
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’ils pouvaient ressusciter le temps d’une
conférence, les pères fondateurs de cette
confédération en 1867 ne seraient pas éton-
nés de sa destinée. Cent cinquante ans plus
tard, ils constateraient que leur pays existe
toujours et qu’il est devenu un modèle univer-
sel en matière de liberté, de diversité cultu-
relle et de performance économique. Ces qua-
lités rayonnent dès que vous franchissez les
frontières de cette grande nation qu’est le
Canada.
Contrairement aux générations de nationa-
listes qui leur ont succédé, ces fondateurs
visionnaires savaient exactement pourquoi ils
bâtissaient ce pays et comment ses institu-
tions pouvaient lui permettre de survivre et
grandir pour exister. L’année dernière, l’es-
sayiste Stephen Marche affirmait que le Cana-
da était « une lumière vive sur une scène poli-
tique sombre » et, quelques mois plus tard, le
magazine The Economist titrait “Liberty Moves
North” (La liberté se déplace vers le nord).
Dans ce monde qui tend à s’obscurcir, le Ca-
nada s’impose comme un paradoxe sur le
continent nord-américain : il est le dernier
pays à faciliter l’immigration.
Comprenons bien ses motivations : avec près
de 10 millions de km2 pour à peine plus de 36
millions d’habitants — soit approximativement
une superficie 20 fois plus grande que la
France pour deux fois moins d’habitants — le
Canada ne peut se développer et prospérer
durablement qu’à la condition de s’ériger en
une société multiculturelle, accueillante et
libre, qui cultive la diversité comme une res-
source naturelle.
Le Canada réussit ce tour de force parce qu’il
sait d’où il vient et reconnait ses fondements
politiques et religieux : un siècle après sa fon-
dation le 3 juillet 1608 par Samuel de Cham-
plain (pour le compte de la compagnie de
Pierre de Mons), la ville de Québec ne compte
que 80 habitants, presque tous français. Con-
quise par les Anglais à l’issue de la bataille
des plaines d’Abraham, la ville devient le ber-
ceau symbiotique d’une société anglo-
française (ou inversement) qui fait du Canada
d’aujourd’hui une des plus grandes nations au
monde par son rayonnement et son esprit de
liberté. Ce pays s’inscrit donc courageusement
en faux contre les discours populistes et xéno-
phobes qui gagnent du terrain un peu partout
dans le monde, aux États-Unis, en Grande-
Bretagne, en France, dans les pays scandi-
naves et en Europe de l’Est.
Soyons clairs, le Canada est une démocratie
libérale et capitaliste florissante et paisible où
il fait bon vivre parce qu’il ne tolère aucun
écart à ses règles et valeurs dont celles, en
particulier, du vivre ensemble : l’honnêteté, la
courtoisie, le respect d’autrui et des religions.
Cette liberté encadrée et respectée offre une
contrepartie indéniablement constructive, la
libre entreprise, encouragée et facilement
accessible. D’un point de vue sociétal, per-
sonne n’aurait l’idée de remettre en cause ces
libertés individuelles ou des noms de rues de
Montréal ou Québec tels que Sainte Famille,
Sainte Catherine, Saint Denis, etc.
Finalement, ce bout de France que nous avons
oublié — à tort et à la grande tristesse des
Québécois — a su bâtir la société à laquelle
notre propre nation des droits de l’homme
aspire depuis 1789.
Le succès du Canada dans cette entreprise
n’est pas un secret et repose sur une formi-
dable liberté, assortie d’un seul interdit, l’irres-
pect des règles qui appelle une sanction ferme
et rapide. Ce principe vertueux constitue une
forte incitation à la confiance à l’investisse-
ment local. Pour toutes ces raisons, Investeam
est fière de commercialiser la société de ges-
tion canadienne AGF et d’accueillir prochaine-
ment son président à Paris.
Didier Jug
14 novembre 2017
Economie mondiale
Un quatrième trimestre optimiste et prudent
Comité AGF Investments
Marchés actions Europe
Le meilleur des mondes
Armin Zinser, Société de Gestion Prévoir
Marchés actions US
Momentum
Grégoire Painvin, JMC Asset Management
Chine
La terre promise de l’intelligence artificielle
David Dehache, Société de Gestion Prévoir
a dynamique des marchés mondiaux ob-
servée au premier semestre 2017 s’est
poursuivie au troisième trimestre.
La baisse du dollar US et le raffermissement
des prix des produits de base, conjugués à
des données économiques largement posi-
tives, se sont traduits par de fortes perfor-
mances, notamment sur les marchés émer-
gents.
Les marchés d’actions ont conservé leur
calme malgré la persistance des tensions
géopolitiques et la survenue de plusieurs ca-
tastrophes naturelles majeures.
Le Comité conserve un optimisme prudent à
l’entrée du 4e trimestre, une période générale-
ment favorable qui invite à ajuster la réparti-
tion des actifs. L’exposition aux actions passe
donc à une modeste surpondération de 64%
(vs 60% au trimestre précédent). Une alloca-
tion hors indice de 2% est conservée en cash
(vs 6% au trimestre précédent) pour tenir
compte des opportunités du marché d’actions.
Le poids des titres à revenu fixe reste inchan-
gé à 34%, en sous-pondération par rapport à
l’allocation de 40% de l’indice.
Source : Comité d’allocation AGF, sept. 2017.
Figure 1.
Evolution de la composition globale de l’actif
L’exposition aux obligations à taux fixe demeure inchangée à 34% et en
deçà des 40% de l’indice de référence de base. La poche cash est ré-
duite de 6% à 2% en faveur des actions.
Le Comité prévoit que les rendements obligataires se maintiendront
pendant tout le trimestre. Plusieurs banques centrales ont resserré leur
politique ces derniers mois et le Comité prévoit d’autres hausses de
taux au cours du trimestre, hausses qui ne devraient pas perturber
outre mesure les marchés car largement annoncées et anticipées.
Dans cet environnement de poursuite de la croissance, les perspectives
restent positives, mais notre comité reste prudent au regard du niveau
de valorisations quelque peu élevé des actions.
Le Comité continue de marquer sa préférence pour les obligations à
haut rendement — son allocation à ce secteur est le double de celle de
l’indice de référence — considérant que le risque de défaillances est
faible et que les fondamentaux des entreprises du secteur se renfor-
cent. Les obligations sur les marchés émergents sont également privilé-
giées, bien que l’exposition ait été légèrement rognée, reflétant notre
posture prudente. Concernant les obligations plus sensibles aux taux,
les perspectives sur les obligations d’entreprise investment grade ont
été revues à la baisse compte tenu des perspectives d’augmentation
des taux. Enfin, les obligations d’Etat n’ont toujours pas la cote.
Figure 3.
Evolutions des allocations d’obligations
Source : Comité d’allocation AGF, sept. 2017.
Les marchés d’actions sont favorisés par rap-
port au marché obligataire dans la mesure où
la croissance mondiale se poursuit dans cette
dernière phase du cycle économique actuel.
Le Comité reste vigilant sur les risques à court
terme liés à la géopolitique et aux possibles
faux-pas des banques centrales, mais reste
convaincu que les marchés d’actions dispo-
sent encore d’une marge de progression au
quatrième trimestre, d’où une modeste sur-
pondération.
Le Comité a baissé ses attentes sur les ac-
tions canadiennes, principalement en raison
de la forte hausse de la monnaie locale qui
pourrait peser sur les exportations à court
terme. De même, la confiance dans le secteur
énergétique reste faible malgré le raffermisse-
ment des prix du pétrole. De plus, les risques
qui pèsent sur le marché immobilier et le com-
merce international ont augmenté. De fait,
l’exposition aux entreprises canadiennes a été
réduite au profit des actions US, qui surpondè-
rent désormais l’indice de référence. Le con-
texte aux Etats-Unis reste favorable et le flé-
chissement du dollar US devrait continuer de
stimuler la croissance de ce marché.
Les perspectives du Comité sur les marchés
émergents se sont améliorées par rapport au
trimestre précédent dans la mesure où les
fondamentaux se sont renforcés et les ré-
formes engagées continuent de soutenir la
croissance économique. Ainsi, l’allocation a
été augmentée quasiment au niveau de
l’indice de référence.
Les expositions aux marchés européens et
d’Asie Pacifique, y compris le Japon, ont été
relevées par rapport au cash, bien que les
perspectives du Comité sur chacune de ces
régions restent inchangées par rapport au
trimestre précédent.
Figure 2. Evolution des allocations d’actions
Source : Comité d’allocation AGF, sept. 2017.
ndice de référence : Canada 16.5%, US 24.2%, Europe 9.3%, EM 4.8%, Japon 3.5%, Asie Pacifique 1.7%.
ndice de référence : 10% Canada, 25% Global, 2.5% US high yield bonds, 2.5% Emerging Market Debt.
Indice : 5% FTSE TMX Canada 91-day T-Bill Index / 9% FTSE TMX Canada Universe Bond Index / 21% Citigroup World Broad Investment Grade / 2.5% Bank of America/Merrill Lynch
U.S. High Yield Master II Total Return Index / 2.5% JPMorgan EMBI Global Total Return Index / 15% S&P/TSX Capped Composite Total Return Index / 21.5% S&P 500 Total Return
Index / 11% MSCI Europe / 3% MSCI Japan / 2% MSCI Pacific ex-Japan / 5% MSCI Emerging Markets / 1.5% MSCI World Energy / 1% MSCI World Materials.
Ce commentaire s’appuie sur une information disponible au 11 septembre 2017 et ne doit pas être considéré comme un conseil d’ investissement ou une sollicitation d’achat ou de
vente d’or ou d’actions or. Les conditions du marché évoluent, impactant les portefeuilles et le prix de l’or. AGF décline toute responsabilité dans des décisions prises du fait de
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Actions Obligations Cash
Modèle T3 Modèle T4 Indice
Canada Etats-Unis Europe Marchésémergents
Japon Asie Pacifique exJapon
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Obligationscanadiennes
Obligationsmondiales
Obligations highyield US
Obligationsémergentes
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ndice de référence de base : 60% actions, 40% obligations.