Le Valmonjoie Edition N°6 juillet 2015

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2015 * Pierre dressée, stèle, ou amoncellement de pierres servant à baliser un chemin de transhumance, un itinéraire de pèlerinage, à marquer la limite d’un territoire, à commémorer une bataille. Le journal de l’établissement est consultable depuis le site internet du Valmont http//www.chs-levalmont.fr SOMMAIRE Focus : le projet médical 2015-2020 P.4-7 Edito P.2 Activité P.3 Projet médical P.4-7 Glossaire P.8 Bilan certification P.9 Journée régionale MDA P.10-11 J.E.D.P. P12-13 Ressources humaines P14-15 Les formations P16-17 Dans l’actu P18-19 Les Brèves P.20 A la rencontre de P21 Les manifestations P.22-23

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2015 * Pierre dressée, stèle, ou amoncellement de pierres servant à baliser un chemin de transhumance,

un itinéraire de pèlerinage, à marquer la limite d’un territoire, à commémorer une bataille.

Le journal de l’établissement est consultable

depuis le site internet du Valmont

http//www.chs-levalmont.fr

SOMMAIRE

Focus : le projet médical

2015-2020 P.4-7

Edito P.2 Activité P.3 Projet médical P.4-7 Glossaire P.8 Bilan certification P.9 Journée régionale MDA P.10-11 J.E.D.P. P12-13 Ressources humaines P14-15 Les formations P16-17 Dans l’actu P18-19 Les Brèves P.20 A la rencontre de P21 Les manifestations P.22-23

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EDITO

Notre dossier de recomposition de l’offre de soins s’accélère. En effet l’établissement a trans-mis à l’ARS le dossier de confirmation cession de ses autorisations d’activité en psychiatrie. Pour le Centre Hospitalier le Valmont cela a consisté à céder son autorisation sur les 56 lits et l’hospitali-sation de jour sur Montélimar à Privas, en psy-chiatrie générale et en pédopsychiatrie. En contre partie, le Centre Hospitalier Le Valmont disposera de l’autorisation d’activité sur les lits de St Vallier, de Romans et de tous les hôpitaux de jour de l’opérateur Hôpital Drôme Nord tant en psychia-trie générale qu’en pédopsychiatrie. Notre projet médical est terminé. L’occasion m’est donné de remercier l’ensemble des profes-sionnels qui ont participé à son élaboration (les professionnels du Valmont, les professionnels des hôpitaux Drôme Nord mais aussi pour certaines thématiques territoriales les professionnels de Privas). Ce projet médical a fait l’objet d’un vote à l'una-nimité de la Commission Médical d’Etablissement et du vote positif de notre conseil de surveillance. Aussi je remercie le conseil de surveillance qui soutient la politique de l’établissement puisqu’au cours de la séance il a approuvé le rapport d’acti-vité et le compte financier présenté par le Direc-teur.

Le projet médical a une importance stratégique fondamentale pour notre établissement car il en-gage celui-ci pour les années à venir et doit per-mettre à cet établissement de se positionner pour être un acteur incontournable de la psy-chiatrie sur ce territoire. Il a vocation à donner du sens et tout agent quelque soit sa place dans notre organisation professionnelle doit en le par-courant se forger une idée précise de ce qui va se réaliser sur son lieu de travail. Ainsi j’ai décidé durant tout le mois de juillet , en me rendant dans toutes les unités et services, d’aller à la rencontre de tous les professionnels du Valmont (Montéléger et de Montélimar) ac-compagné du Directeur des soins et de la Direc-trice des Ressources Humaines pour expliquer ce projet et mettre en évidence les enjeux dans un contexte mouvant et plein incertitudes de notre paysage sanitaire. J’appelle tous les acteurs du Centre Hospitalier Le Valmont à se mobiliser autour de ce projet médi-cal, il en va de l’avenir de cet établissement. Depuis 2013, nous avons franchi de nombreux obstacles avec succès. L’établissement dispose de nombreux atouts pour réussir mais rien n’est possible sans l’adhésion de tous. Dans un cadre budgétaire contraint il nous faut garder le cap.

C. ELDIN Le Directeur

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Activité comparée des premiers trimestres

G. LELOUP, Directeur Financier

Il s’agit rigoureusement des modalités de valorisation des activités prévues par le guide méthodolo-gique du recueil d’activité médicalisé en psychiatrie.

Globalement, la file active de l’hôpital est stable, elle passe de 5 349 patients sur le premier trimestre 2013 à 5 460 patients sur le premier trimestre 2015. On observe une augmentation de 7% de la file active adultes et une diminution de 10% de la file active enfants entre les premiers trimestres 2013 et 2015. Pour ce qui concerne l’ambulatoire, chez les adultes, une progression de 9% de la file active est ob-servée entre les premiers trimestres 2013 et 2015. Chez les enfants, une diminution de 10% est ob-servée sur la même période. S’agissant de l’hospitalisation de jour, la file active est en hausse de 3% chez les adultes et de 6% chez les enfants entre les premiers trimestres 2013 et 2015.

Enfin, la file active en hospitalisation complète pour adultes qui représente 59% des activités de l’hôpital en 2015 diminue de 4% entre les premiers trimestres 2013 et 2015. Ce qui, à volume de journées quasiment identique, se traduit par un rallongement de la durée moyenne d’hospitalisation qui passe de 33 à

35 jours.

*Sur la base de l’indice agrégé d’ac�vité en psychiatrie : 1 pour 1 journée d'hospitalisa�on à temps plein pour adultes, 0,56 pour une venue en journée en HDJ pour adultes, 0,28 pour un acte en ambulatoire pour adultes, 1,29 pour une venue en journée en HDJ pour enfants (source : parangonnage na�onal des RTC).

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Le projet médical 2015– 2020 du centre hospitalier

L’établissement souhaite promouvoir une approche dynamique de la prise en charge des pa�ents centrée sur la limita�on du recours à l’hospitalisa�on com-plète, de la réduc�on des durées de séjours et sur le développement des soins de proximité. Ce8e volonté s’affiche au travers d’une prise en charge graduée et repensée en hospitalisa�on temps complet, d’un développement et d’une consolida�on des alter-na�ves sur tous nos bassins de vie et d’un travail en réseau élargie et renouvelée avec tous les acteurs con-cernés par la santé mentale et le handicap psychique de notre territoire. Cinq orienta�ons stratégiques ont été retenues

1) Développer et consolider l’offre de soins de proximité

Psychiatrie adulte Sur chaque bassin de vie, le Centre Hospitalier Le Val-mont propose de faire évoluer ses CMP en CMP pi-vots. Ces CMP pivots doivent être le cœur du disposi�f de proximité et iden�fiés comme pilotes de l’offre de proximité. Ils seront chargés : - d’apporter une réponse tant en aval qu’en amont de l’hospitalisa�on complète,

- de proposer des prises en charge immédiates (dans le temps et l’espace) pour des pa�ents dont l’hospita-lisa�on n’est pas recherchée ou est évitable,

- de renforcer les missions d’accueil et de première évalua�on des infirmiers,

- de �sser un réseau de rela�ons avec les autres ac-teurs de la santé mentale en s’ouvrant davantage aux demandes formulées par ces partenaires (médecins libéraux, acteurs du social et du médico-social),

-d’assurer le fonc�onnement des antennes psychia-triques garant de l’égalité des soins à la popula�on (Dieulefit, Saint Jean en Royans). Ils seront alors à même de garan�r l’accessibilité, la con�nuité des soins et l’égalité des soins sur tout le territoire dans le cadre d’un maillage per�nent de ce-lui-ci tel que proposé dans ce dossier.

L’offre de soins en CMP est complétée par une offre en CATTP. Celle-ci doit se différencier de celle qui est proposée en hospitalisa�on de jour. En effet ces structures CATTP et HJ servent les mêmes objec�fs, les ac�ons parfois se superposent et elles accueillent bien souvent les mêmes pa�ents. Le CATTP s’adresse plus par�culièrement à des pa-�ents a8eints de pathologies chroniques ou aigues. La prise en charge est groupale et doit perme8re un ac-compagnement afin que les pa�ents puissent, en complément d’un autre mode de prise en charge par exemple des consulta�ons en CMP, poursuivre leur parcours de vie hors de l’hospitalisa�on temps com-plet qui doit demeurer l’ul�me recours. Enfin, sur chaque bassin de vie le CH Le Valmont pro-pose d’implanter ou de développer l’hospitalisa�on de jour polyvalente. Ce type de structure doit s’accompagner d’une forte médicalisa�on et d’une prise en charge individuelle le plus souvent, afin d’offrir des presta�ons de soins différenciées par rapport à l’ac�vité de CATTP. Ils seront alors à même de garan�r l’accessibilité, la con�nuité des soins et l’égalité des soins sur tout le territoire dans le cadre d’un maillage per�nent de ce-lui-ci tel que proposé dans ce dossier. Par ailleurs, sur le bassin de vie valen�nois, le plus urbanisé, le CH Le Valmont propose la créa�on d’un hôpital de jour de 15 places dédié à la prise en charge de l’épisode aigu ou post aigu avec une DMS très courte (10 jours) pour perme8re d’éviter une hospita-lisa�on en temps complet ou pour faciliter une sor�e plus rapide de l’hôpital. Psychiatrie infanto juvénile L’offre de soins de proximité se décline aussi sur l’en-semble de nos bassins de vie de notre territoire au-tour d’un CMP-CATTP-HJ. L’ac�vité est structurée en filières par tranche d’âge : - Pe�te enfance et périnatalité - Moyenne enfance - Adolescence Dossier

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La périnatalité en pédopsychiatrie La filière périnatalité propose sur le territoire la mise en œuvre d’ac�ons coordonnées de ses ac-�vités et une organisa�on adaptée aux pra�ques en cours et à de futurs développements. Ce8e filière sera organisée autour de 3 grands bassins de vie (Sud, Centre, Nord). La pe�te et moyenne enfance Sur le bassin Valen�nois le regroupement de toutes les structures sur une plateforme est envi-sagé (CMP-CATTP Poussin, HJ Monnet,) afin de donner plus de visibilité à notre offre et faciliter les prises en charge de toutes les tranches d’âge. Toutefois le main�en d’une antenne CMP est né-cessaire pour les villes ardéchoises du bassin va-len�nois. Sur le bassin de Dieulefit il convient d’implanter un CMP-CATTP afin de répondre aux besoins de proximité de la popula�on à noter d’ailleurs qu’une bonne par�e de la popula�on du canton (Nord et Est) consulte sur Crest ou Die. Ce dispo-si�f viendra donc compléter celui de Crest et Die. Pour densifier l’offre en HJ celle-ci sera implantée sur Nyons, soit 4 places d’HJ pour les deux bas-sins (Dieulefit Nyons). Sur Crest il est proposé la créa�on d’un véritable CATTP et 3 places d’HJ pour enfants et adoles-cents avec une équipe spécifique et des locaux dédiés pour prendre en charge : - les TED (enfants jeunes, prise en charge pré-coce)

- les troubles de l’adapta�on rela�onnelle

- les adolescents présentant des troubles dépres-sifs, des troubles affec�fs et du comportement, des troubles de la personnalité. Il est proposé la créa�on d’une équipe mobile de pédopsychiatrie pour répondre aux enjeux de ce territoire en ma�ère d’accessibilité aux soins . Pour les adolescents sur Valence : Pour ce8e filière il convient d’accentuer le carac-tère territorial de la M.D.A. L’accueil et l’orienta-�on bi partenarial (sanitaire, associa�f, médico-social) des adolescents au sein de la MDA sera renforcée. Le travail en réseau sera conforté et élargi à des partenaires actuellement peu pré-sents (MDE, CD). Un HJ pour adolescent de 12-18

ans complètera l’offre. Enfin la pédopsychiatrie de liaison (centrée sur les adolescents mais pas seulement) dans le ser-vice de pédiatrie du CH valence est à consolider par l’apport de moyens nouveaux . Enfin les interven�ons pour avis et évalua�on des adolescents admis aux urgences pédiatriques du CH Valence doivent être mieux formalisées.

2) Moderniser l’hospitalisa�on temps complet

L’hospitalisa�on complète s’ar�cule autour d’une prise en charge graduée facilitant le parcours pa-�ent et une orienta�on plus précoce vers l’ambulatoire ou l’hospitalisa�on de jour. Le disposi�f de l’urgence psychiatrique Il est proposé d’implanter des lits de psychiatrie de courte durée (lits de 72 heures) auprès du service des urgences du CH Valence (8 lits) et du service des urgences du CH Drôme-Nord (4 lits). Sur Le site de Montéléger Une unité d’accueil d’évalua�on d’orienta�on de 18 lits Ce8e unité à rota�on rapide (DMS 7 à 10 jours) s’adresse aux pa�ents en crise adressés en soins sans consentement en provenance le plus sou-vent des urgences avec cependant quelques en-trées directes. Elle gère l’admission de premier niveau et doit faciliter l’accès sans délai à l’hospitalisa�on si né-cessaire. Elle permet une évalua�on et une orienta�on précoce (moins de 10 jours) vers le disposi�f de proximité extrahospitalier ou les uni-tés polaires. Elle n’a pas voca�on à cons�tuer un SAS car il serait très vite saturé et l’objec�f d’améliorer le parcours pa�ent ne serait pas a8eint. Elle ne subs�tue pas non plus aux lits d’urgence. Du fait de sa posi�on centrale et de son rôle de première ligne ce8e unité doit �sser des liens étroits avec les urgences psychiatriques le dispo-si�f de soins de proximité (CMP-HJ) et les unités polaires (ces rela�ons doivent être protocoli-sées).

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Unité d’hospitalisa�on temps complet Si le pa�ent doit poursuivre son hospitalisa�on ou est ad-mis en service libre les soins sont délivrés dans les unités polaires selon la structura�on de l’établissement : une uni-té de vingt cinq lits fermés et une unité de vingt cinq lits ouverts dans chaque pôle ( = 150 lits ). Ces unités des�nées aux hospitalisa�ons tradi�onnelles (30j à 40 jours) perme8ent compte tenu d’une DMH plus longue de me8re en œuvre des techniques de soins plus sophis�quées ou de travailler sur des pathologies résis-tantes dans de meilleures condi�ons. Enfin l’hospitalisa�on temps complet doit répondre aux enjeux de la longue évolu�ons de la réinser�ons de la réa-dapta�on et de la réhabilita�on psychosociale. Une unité de 20 lits de longue évolu�on dont 4 lits réservés aux sé-jours de rupture des pa�ents hébergés dans le médicoso-cial (dans le cadre d’un contrat d’accueil entre l’hôpital et la structure adresseuse). Une unité de 20 lits de réhabilita-�on psychosociale en lien avec les l’HJ et le Centre de réha-bilita�on psychosociale de Valence (plateforme d’exper�se et d’évalua�on territoriale en lien avec le centre de réfé-rence de Grenoble et ReHpsy . Une unité de 20 lits de prépara�on à la sor�e en lien avec tous les disposi�fs de réinser�on (social, médico-social, socio-professionnel) Enfin l’hospitalisa�on complète est complétée par une USIP de 15 lits à voca�on territoriale pour accueillir les dé-tenus du futur centre péniten�aire de Valence et les pa-�ents présentant des graves troubles du comportement et du caractère qui ne peuvent être prise en charge dans un premier temps dans les unités polaires ou sectorisés. Psychiatrie infanto-juvénile Les lits actuellement implantés à Saint-Vallier (8 lits) seront relocalisés sur le site de Montéléger auquel il convient d’ajouter 2 lits soit 10 lits au total.

3) Améliorer les filières d’aval l’hôpital souhaite développer toute une pale8e d’alterna-�ves à l’hospitalisa�on - 10 places d’accueil familial thérapeu�que - 3 appartements collec�fs de 5 places chacun La collabora�on avec Odias et le Cald dans le cadre des différentes formes d’hébergement mais aussi l’u�lisa�on des places de Samsah et de toute structure de réinser�on sociale cons�tuent des priorités. Pour accroître la fluidité de la circula�on de nos pa�ents vers les lieux les plus adaptés nous proposons la créa�on d’une équipe mobile en sou�en des structures médico-sociales et sociales. Ce8e équipe proposera une aide à la décision et à la réduc�on des indica�ons inadaptées, un accompagnement des équipes de terrain partenaires, une informa�on aux problèmes du handicap liés aux troubles psychiatriques par des ac�ons de sensibilisa�on

4) S’inscrire dans une vision territoriale pour certaines ac�-vités en partenariat avec le Centre Hospitalier Sainte Marie

L’Electroconvulsivothérapie (ECT) Le CH Le Valmont souhaite me8re en œuvre ce soin pour l’ensemble des pa�ents du territoire Drôme Ardèche. Par�culièrement indiqués dans les états dépressifs résis-tants, certains états psycho�ques et chez le sujet âgé ces séances seront pra�quées en ambulatoire dans les blocs du CH Valence. Elles associeront les pra�ciens du Valmont et ceux de Valence (anesthésistes) et du personnel soi-gnant du Valmont formé à ce8e technique. L’Unité de soins intensifs en psychiatrie Ce8e unité territoriale de 15 lits s’inscrit dans la volonté de l’établissement à répondre à 3 enjeux : L’augmenta�on de la capacité du centre péniten�aire de Valence qui à l’horizon 2016 va passer de 156 places à 456 places (300 places de maison d’arrêt et 156 places de cen-trale). L’améliora�on de la qualité des soins pour les détenus hospitalisés et la sécurité des personnels dans un contexte architectural adapté. L’accueil des pa�ents présentant des graves troubles du comportement pour des séjours courts et transitoires. Prise en charge médicamenteuse La prise en charge médicamenteuse bénéficie d’une ap-proche territoriale sur le territoire Rhône alpes sud depuis 2010 avec la créa�on du Groupement de Commandes Pharmaceu�que Drôme Ardèche qui regroupe l’ensemble des établissements publics de santé du territoire, coordon-né par le CH Le Valmont.

5) Développer et renouveler nos partenariats

Le disposi�f des urgences psychiatriques Ce disposi�f doit être développé et consolidé aux urgences du CH Valence et implanté aux urgences de Romans. Il est organisé autour de 3 modes de prises en charge l’accueil sans hospitalisa�on, l’hospitalisa�on de courte durée (moins de 72h) 8 lits à Valence et 4 lits à Romans et la psy-chiatrie de liaison dans les deux établissements. La Gérontopsychiatrie Le disposi�f actuel sera renforcé par la créa�on d’une uni-té cogni�vo-comportementale de 15 lits portée par le CH Valence dans laquelle le CH Le Valmont prendra toute sa place. L’addictologie La réponse aux comportements addic�fs est pris en charge dans un réseau dense de partenaires dont l’ELSA du Val-mont Notre équipe de précarité sur le bassin valen�nois de-mande à être renforcée pour me8re en œuvre de manière plus efficace les ac�ons en direc�on de ce public fragilisé. La précarité Les soins soma�ques L’éduca�on thérapeu�que des pa�ents

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Moderniser l’hospitalisation temps complet

La capacité définie en hospitalisa�on complète est la suivante : 265 lits

• 12 lits d’urgence psychiatrique adulte (8 lits CH de Valence 4 lits CH Drôme-Nord) • 253 lits d’hospitalisa�on complète dont : - UAEO, 18 lits - USIP Territoriale, 15 lits - Unités polaires, 150 lits - Longue évolu�on Réhabilita�on Réinser�on, 60 lits - Psychiatrie infanto-juvénile, 10 lits

Au 1er Janvier 2016

M. ELDIN C. Directeur du CH Le Valmont

Mme le Dr MORIAMEZ E. Présidente de la Commission Médicale de

l’Établissement et Vice-présidente du Directoire

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GLOSSAIRE

Organisation Départementale d’Insertion et d’Accompagnement Social

Centre Hospitaliser

Centre Médico Psychologique

Centre d’Accueil Thérapeutique à Temps Partiel

Hôpital De Jour

Troubles Envahissants du Développement

Maison Des Adolescents

Maison Des Enfants

Conseil Départemental 26

Unité d’Accueil d’Evaluation et d’Orientation

Unité de Soins Intensifs Psychiatriques

Service d’Accompagnement Médico-Social

Electroconvulsivothérapie

Equipe de Liaison et de Soins en Addictologie

Education Thérapeutique du Patient

Centre d’Amélioration du Logement en Drôme

Durée Moyen de Séjour

Durée Moyenne d’Hospitalisation

CH

CMP

CATTP

HDJ

TED

MDA

MDE

CD 26

UAEO

USIP

SAMSAH

ECT

ELSA

ETP

ODIAS

CALD

DMS

DMH

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Management de la quali-té et gestion des risques

Parcours du patient Droits des patients PEC du médicament Dossier patient PEC de la douleur

Les points positifs

La politique est définie. La politique EPP est axée sur le DPC. La formation des professionnels est en place. Un travail sur les staffs protocolisés est commencé. La gestion des évènements indésirables est organisée. Les plans d’urgence sont définis. La gestion des plaintes est organisée. La satisfaction des pa-tients est suivie.

La politique est en cours d’élaboration avec la ré-daction du projet médical et du projet de soin. L’organisation des gardes et astreintes sont définie. Les organigrammes, fiches de missions des médecins et fiches de poste existent. Des formations sont en place (suicide, détenus, gestes d’urgences…)

La politique est rédigée. Les droits des patients sont intégrés au projet médical avec la partici-pation des usagers. La CRUQ fonctionne et les usagers en sont parties prenantes. Les formations (la loi des soins sans consen-tement, la bientrai-tance) sont en place, ainsi que des actions de sensibilisation. L'affi-chage sécurisé permet une information des patients sur leurs droits.

La politique est définie et elle intègre la thématique du sujet âgé. Une réflexion a été menée autour des HDJ. Le responsable qualité de la prise en charge médicamen-teuse est identifiée. L’organisation est définie. L'analyse pharmaceutique est en place. Quelques ana-lyses des causes ont été formalisées. Il existe des fiches d'infor-mation à destination des patients. Les médicaments à risque sont identifiés et des protocoles sont en place. Un indicateur de l’adminis-tration est en place. Des audits sont réalisés. Une analyse à priori a été effec-tuée.

Le pilotage est effec-tué par le COPIL qui est pluriprofessionnel et permet donc la concertation. Les référents Cariatides sont identifiés. Les règles d'utilisa-tion des supports sont définies. La formation à Caria-tides est effective tout comme aux droits des patients. L'accès au dossier par le patient est protocolisé. Les IPAQSS sont en place.

La stratégie est définit et suivi par le CLUD qui est piloté par 2 per-sonnes ressources qui collaborent avec les référents. Les formations, la sensibilisation et le partage d’expé-rience sont en places. Les outils d’évalua-tion sont dispo-nibles et connus des profession-nels. Les protocoles sont accessibles. La traçabilité est prévue dans le Dpi est suivi par un indicateur.

Les points à travailler

- Définir des objectifs mesurables dans la poli-tique - Poursuivre la réorgani-sation du pilotage - Améliorer le suivi du programme d’actions et la communication - Former les profession-nels du COVIRIS à l'analyse de causes et les médecins aux EPP. -Sensibiliser pour aug-menter les signalements des évènements en lien avec les soins - Tester les plans d’ur-gence

-Poursuivre l’actualisation des fiches de poste -Définir les contrats de pôles avec des indicateurs - Former sur les conten-tions physiques et actuali-sation le protocole - Finaliser le dépôt d’un programme d’éducation thérapeutique à l’ARS - Améliorer l’accueil des détenus - Systématiser la forma-tion aux gestes d’urgence - Respecter les délais d’envoi du courrier de fin d’hospitalisation.

-Prioriser les objectifs de la politique - Améliorer les locaux vétustes - Systématiser la traça-bilité de l’information donnée au patient

- Éliminer les retranscrip-tions (NAP) - Obtenir un indicateur sur l’analyse pharmaceutique - Pérenniser une formation sur le risque d’erreur médi-camenteuse et un audit sur le circuit du médicament -Améliorer la traçabilité des températures des frigos des sites extra

- Formaliser la poli-tique du dossier patient - Améliorer les délais d’envoi des dossiers au patient - Homogénéiser les pratiques de traçabi-lité - Réaliser des con-trôles des règles établies

- Valider la poli-tique en projet

L’établissement a accueilli les experts visiteurs du 30 juin au 3 juillet 2015 pour la visite de certification V2014.

Voici un premier bilan synthétique des retours des experts visiteurs. Il faudra attendre le retour du pré-rapport dans quelques

semaines pour avoir une vision plus précise.

Les experts ont relevé un bon accueil de la part des équipes dans toute leur rencontre .

Les professionnels de l’UCOVIRIS remercient les équipes pour leur implication et participation à la démarche de certification.

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L’adolescent occupe une place décalée dans le passage de la psychiatrie entre l’enfance et l’âge adulte, entre les mots et les gestes, entre le sexuel et le non sexuel. Place originale, charnière et médiane dans laquelle la médiation en petits groupes occupe une place privilégiée. L’outil spécifique de soins aux adolescents est le groupe qui permet un accrochage thérapeutique et un étayage thérapeutique renforcé par des soins indirects car l’hospitalisation est rare pour les adolescents. La posture soignante est particulière, elle fonctionne le plus souvent en binôme, rendant plus aisée l’accès aux soins des adolescents. La problématique des adolescents est à l’origine de nouvelles modalités de soins. La médiation est l’intermédiaire dans le contexte de petits groupes justifiant une rencontre des Maisons Des Adolescents pour partager cette clinique car elle concerne plusieurs domaines des relations humaines, sociales et familiales, celui de la Justice avec le médiateur, celui du soin, faisant inter-venir un tiers supposé extérieur au système donc neutre.

Qu’est ce que la médiation ?

C’est un processus de transposition, de transformation qui œuvre au changement, déteste le conflit, pour donner un

nouvel éclairage, dans le banal. L’altérité est nécessaire au processus de reconnaissance de soi.

Penser l’adolescence, c’est accepter l’inachèvement par opposition à la structure établie.

Pas de médiation sans tiers, qui dans le domaine de la pensée convoque la fonction transitive, transitionnelle de cet

espace « la zone d’expérience de Winnicott » (de la pédiatrie à la psychanalyse, paru en français en 1969). L’adoles-

cent n’est pas totalement lui-même, tout en l’étant un peu, aire de créativité, sillon entre l’interne et l’externe, rela-

tion silencieuse d’étayage mutuel. La médiation s’oppose à l’idée de conflit que l’adolescent fuit. Ce balancement

entre l’environnement et celui de la réalité psychique plaide pour un aménagement du cadre thérapeutique permettant

à l’adolescent de s’approprier le sentiment d’une créativité de sa vie fantasmatique et imaginaire.

Les petits groupes à médiation : une réponse

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Sans doute, sous l’influence des neurosciences, le discours sur cette période à évolué ces dernières années,

avec l’idée de maturation des structures cérébrales qui est venue se superposer à celle de la rupture, de crise,

d’inondation hormonale. La connaissance de l’adolescence s’est faite à partir de la pathologie d’où les notions

de cassure et de rupture. En effet, l’adolescence est une période de vulnérabilité propice à l’émergence des pa-

thologies. Le concept MDA est né pour faire du lien. L’idée a germé que l’adolescence était certes une rupture mais sur-

tout une transformation (corporelle, effective, cognitive). Des lieux, des personnes à disposition sont requis

avec l’utilisation de la médiation. En triangulant la relation, le décentrage convient souvent bien mieux aux

adolescents qui fuient la dépendance à l’autre. Les pairs prennent alors la place du parental, entre ressem-

blance au groupe des pairs et différenciation au sein même de ce groupe. Construire soi, réaménager ses relations pour conserver le sentiment d’être toujours le même dans un corps et

psychisme engagés dans un profond changement. Une belle image de l’adolescence nous est donnée par le Cid : « A vaincre sans péril, on triomphe sans

gloire ». Tout groupe qu’il soit spontané ou thérapeutique oscille entre besoin de ressemblance et besoin de différencia-

tion, entre nécessité du rapproché et peur de l’indifférenciation . La mise en groupe fait surgir des fantasmes archaïques de vide, de morcellement et de persécution qui sont

limités dans le temps car l’objet de médiation offre un possible détournement de l’attention initialement cen-

trée sur l’objectivation des membres du groupes. Permettre un nouveau départ, construire l’avenir, s’engager ensemble l’adolescent et sa famille, nous même ,

l’institution scolaire, médicosociale ou médico éducative, en cohérence et en continuité est un des objectifs de

ces rencontres et de cette journée des Maison Des Adolescents Rhône Alpes pour des analyses nuancées du

processus adolescent. Au fil des rencontres, celles des adolescents qui ont éprouvé nos limites, celle de nos

partenaires qui nous ont sollicitées, ensemble nous pansons et pensons les adolescents.

Le Dr P. CHEVALLIER

Pôle infanto Juvénile

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Journée Européenne des Droits des Patients

L’objectif de la journée : mieux faire connaitre les droits des usagers et le rôle de leurs représentants. La 5éme édition de la Journée Européenne des Droits des Patients, organisée par le CISS Rhône Alpes (Collectif Inter associatif sur la santé en Rhône Alpes) a eu lieu le 9 Avril 2015 dans plus de 100 hôpitaux et cliniques de la région. Le Centre Hospitalier le Valmont, établissement spécialisé en santé Mentale s’est associé pour la première fois à cet événement. Des psychiatres, des personnels soignants, des représentants d’usagers (l’UNAFAM, l’association BIPOL’AIR, le GEM Air Libre) ont accueilli les professionnels, les malades, leurs familles à l’espace des Usagers à Montélèger, au Centre Médico Psychologique Cathelin à Valence, à la mairie de Nyons, Pour cet événement, C. ELDIN le Directeur, a souhaité mettre à l’honneur les usagers et leurs droits en proposant des points d’information et des débats sur la communication du dossier médical et plus généralement sur la thé-matique « droit et information du patient ». A Montélèger, N. ZAVARONI, cadre supérieur de santé a été modérateur des débats auxquels le Dr MORIAMEZ (présidente de la Commission Médicale de l’Etablissement), le Dr VAQUETTE, Chef de pôle, et le Dr FOURNEL an-cien psychiatre de l’établissement et membre du Conseil de Surveillance ont apporté leur expertise. Les profession-nels du Centre d’Activé Auguste Renoir ( CAAR) , ont organisé un atelier avec une dizaine de patients qui ont pu exprimer ce qui, pour eux, était représentatif des droits des malades à l’hôpital Leurs expressions ont été reprises et exposés en parallèle d’extraits de la loi KOUCHNER de 2002. A Valence, au CMP Cathelin le Dr MESONA a présenté et expliqué la réglementation en matière de communica-tion du dossier médical aux représentants des usagers et aux professionnels présents sur la structure. A la mairie de Nyons, le Dr COHEN a débattu de ces questions avec l’UNAFAM.

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Les droits individuels

Les droits individuels sont nombreux. Ils comprennent des droits fondamentaux, reconnus à toutes per-

sonnes et des droits spécifiques reconnus à l’usager du système de santé.

Droits fondamentaux

- Le droit à la personne à la protection de santé : garanti de l’égal accès de chaque personne aux soins nécessités par son état de santé, toute discrimination étant proscrite. - Le droit de la personne au respect de dignité - Le droit de la personne au respect de sa vie privée, de son intimité. - Le droit de la personne au respect de ses croyances et de ses convictions.

Droits spécifiques aux usagers de la santé

• Le droit de la personne de choisir librement l’établissement de santé et du praticien

qui la prendra en charge • Le droit de la personne de quitter l’établissement à tout moment. • Le droit de la personne de refuser un traitement ou un acte médical/obligation

d’obtention du consentement libre et éclairé de la personne pour tout traitement ou

acte médical ainsi que pour tout examen dans le cadre d’un enseignement clinique. • Le droit de la personne à participer activement aux décisions la concernant.

CHOIX / CONSENTEMENT

INFORMATION

• Le droit de la personne au secret des informations la concernant. • Le droit de la personne à l’information sur son état de santé • Le droit de la personne au respect de sa volonté de ne pas être informée sur son état

de santé. • Le droit de la personne à être informée, sur sa demande, sur les frais auxquelles

elle est exposée en raison de sa prise en charge ainsi que sur ses conditions de sé-

jour dans l’établissement de santé.

RECOURS

• Le droit de la personne d’être entendue par un responsable de l’établissement pour

exprimer ses griefs. • Le droit de la personne de demander réparation d’un préjudice subi.

FIN DE VIE

• Le droit de la personne à une vie digne jusqu’à la mort.

PRISE EN SOINS

• Le droit de la personne au soulagement de sa douleur • Le droit de la personne d’être traitée avec égards • Le droit de la personne de bénéficier des soins les plus appropriés et des thérapeu-

tiques les plus efficaces et garantissant sa sécurité sanitaire. • Le droit à la continuité des soins • Le droit de la personne de désigner une personne de confiance • Le droit des enfants à un suivi scolaire • Le droit de la personne de rédiger des directives anticipées.

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Les agents qui ont une carrière mixte (c'est-à-dire qui relèvent de plusieurs caisses de retraite, exemple : CARSAT si vous avez cotisé au régime général ; CNRACL pour la carrière de fonctionnaire hospitalier ; MSA si

vous avez cotisé au régime agricole …),

Et qui liquident une première pension de retraite de base après le 1er janvier 2015 (par exemple à la CARSAT) tout en restant en activité au sein du Valmont ne généreront pas de nouveaux droits retraite à la CNRACL malgré leurs cotisations. Ces cotisations seront versées au titre de la solidarité mais ne leur ouvriront aucun

droit supplémentaire auprès de la CNRACL. Exemple : Demande de retraite à la CARSAT le 1er janvier 2015 puis à la CNRACL le 1er avril 2015 : du 1er janvier 2015 au 31 mars 2015 l’agent versera des cotisations retraite auprès de la CNRACL ; elles seront dites « solidarité » et ne lui ouvriront aucun avantage vieillesse supplémentaire, aucun trimestre supplémentaire ne sera pris en compte pour le calcul de sa pension auprès de la CNRACL.

A compter du 1er janvier 2015 les règles de cumul emploi-retraite ont changé. Le principe de cotisations

retraite non génératrices de droits nouveaux à la retraite a été instauré.

RETRAITES

IMPORTANT

DON DE JOURS DE REPOS A

UN AUTRE AGENT PUBLIC

(Décret n°2015-580 du 28 mai 2015) Un agent public civil, peut, sur sa demande, renoncer anonymement et sans contrepartie, à tout ou partie de ses jours de repos non pris, enregistrés ou non sur son compte épargne-temps, au bénéfice d’un autre agent public rele-vant du même employeur, qui assume la charge d’un enfant âgé de moins de 20 ans atteint d’une maladie, d’un handicap ou victime d’un accident d’une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue et des soins contraignants.

POINTS PRINCIPAUX Agent public donateur :Tout agent dont le régime des congés est fixé par référence au Code de la santé ou aux lois n° 83-634 et n° 86-33. Employeur : Chaque établissement public quel que soit son statut juridique.

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ORGANIGRAMME DE LA DIRECTION DES RES-

SOURCES HUMAINES ET DES AFFAIRES MEDICALES

Objet du don : - tout ou partie des jours RTT, - les jours de congés annuels pour la partie excédant 20 jours ouvrés, Le don de jours épargnés sur un CET peut être réalisé à tout moment. Le don de jours non épargnés sur un CET peut être fait jusqu’au 31 décembre de l’année au titre de laquelle les jours de repos sont acquis. Modalités du don : - par écrit, avec mention du nombre de jours, - caractère définitif du don après accord du Directeur d’établissement. Bénéficiaire du don : - demande formulée par écrit, accompagnée d’un certi-ficat médical détaillé remis sous pli confidentiel, établi par le médecin qui suit l’enfant, - l’autorité investie du pouvoir de nomination dispose de

15 jours ouvrables pour informer l’agent bénéficiaire du don, - la durée du congé dont l’agent peut bénéficier à ce titre est plafonnée à 90 jours par enfant et par année ci-vile, - possibilité de fractionnement du congé à la demande du médecin qui suit l’enfant, - le don est fait sous forme de jour entier, - possibilité d’absence à ce titre supérieure à 31 jours con-sécutifs, - maintien de la rémunération, à l’exclusion des primes et indemnités, - période assimilée à une période de service effectif, - les jours accordés ne peuvent alimenter le CET du béné-ficiaire, - les jours qui n’ont pas été consommés par l’agent béné-ficiaire au cours de l’année civile sont restitués à l’autorité investie du pouvoir de nomination.

M. ORTU , DRH

Il est demandé à tous les agents de contacter directement les référents concernés sans passer par le

secrétariat afin d’éviter d’encombrer celui-ci.

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Coup d’œil sur les formations

Très

intéressante

« Riche

Professionnellement

et personnellement »

Bénéfique

La bientraitance

Un document appelé passeport de formation est remis à chaque agent par l’établissement. Les actions de formation auxquelles l’agent a participé comme bénéficiaire y sont mentionnées. Ce

passeport, rempli, mis à jour et conservé par l’agent est sa propriété.

Le passeport est destiné à recenser les diplômes et les titres obtenus au cours du cursus de formation initiale et les expériences professionnelles acquises pendant les périodes de forma-tion ou de stage. Il permet de mentionner la réalisation de bilan de compétences, la nature et la durée des actions suivies au titre de la formation professionnelle continue, les certifications à finalité professionnelle obtenues dans le cadre de la formation continue ou de la validation des

acquis de l’expérience.

Au Centre Hospitalier Le Valmont, ce passeport n’est pas remis automatiquement à l’embauche.

Tout agent peut à tout moment en faire la demande auprès de la DRH, à Mme FOURCADE, gestionnaire de la

formation .

Référence : Décret du 21 Août 2008 modifié relatif à la formation des agents hospitaliers : article 3.

M. ORTU, DRH

S. DUBOST

Cadre Mas Van Gogh

- Des outils et techniques variés, riches, et réutilisables, sur le terrain - Un petit groupe permettant une bonne dynamique, une individualisation, une meil-

leur écoute, possibilités de parler de cas concrets

Cette formation a permis: -une remise en question,

- une prise de recul sur la pratique, - un apport d’outils d'aide et d'écoute ==> le formateur a été très apprécié

Selon le formateur, ce groupe a été très impliqué et a permis la démarche participative. Ainsi il a pu faire des aller

retour entre la théorie et la pratique. Une ASH qui a participé avait peur de ne pas trouver sa place mais elle en ressort très satisfaite ayant beaucoup ap-

pris, très contente d'être venue.

Conclusion très positive.

Bilan :

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L’autisme

Toucher massage

Cet article a pour but de témoigner d’une expérience posi-

tive et enrichissante concernant la formation intitulée

« sensibilisation à la relation d’aide par le toucher-

massage ».

Cette formation organisée par le Valmont s’est tenue in situ

les 1er et 2 Juin 2015. Nous étions douze soignantes de

divers services (MAS, ULSD, Pédo-psychiatrie, intra et extra

hospitaliers) de diverses catégories (AMP, aides-soignantes,

infirmières) pour recevoir cet enseignement dispensé par

Madame Carole MATASSONI, infirmière et formatrice de

l’institut Joël SAVATOFSKI.

Cette formation a pu être proposée au titre des formations

institutionnels grâce à l’implication de Madame le Dr RO-

BLIN, présidente du CLUD et de Madame G. ECHAHED,

infirmière coordinatrice, dans le souci de promouvoir les

méthodes non médicamenteuses de prise en charge de la

douleur.

En effet, M. CELERIEN et N. BOURNAS, soignantes au sein

de l’unité DALI et formées à cette technique ont œuvré au

sein de cette instance et plus largement pour faire connaitre

leur pratique en Toucher-massage dont elles font bénéficier

les patients.

La pratique du Toucher-massage est décrite par Joël SARA-

TOFSKI comme « une intention bienveillante qui prend

forme grâce au toucher et à l’enchainement de gestes sur

tout ou une partie du corps, ayant pour but de détendre,

relaxer, rassurer, communiquer ou simplement procurer du

bien être ».

« Ouvert à tous les acteurs de soin, ce programme propose

à chaque participant de revaloriser sa façon d’être présent à

soi et à l’autre par le toucher, de prendre conscience de

l’importance et de l’impact du toucher au cœur de la rela-

tion de soin ».

La formation est essentiellement dispensée autour de la

pratique. Nous avons été initiées à différentes technique

telles que le Massage Minute des différentes parties du

corps adapté au quotidien des soins, la Relaxinésie, le Tou-

cher-massage bien être, le massage anti-stress. Nous avons

pu expérimenter le fait de donner et recevoir le massage

dans le souci du confort du patient et du soignant.

Madame MATASSONI a su faire les liens entre nos attentes

respectives, notre quotidien, nos pratiques et son enseigne-

ment.

Il est à souhaiter que cette formation puisse être reconduite

voire étoffer d’un jour supplémentaire afin que tous ceux qui

le désirent puissent s’y inscrire.

L. PIRRERA

Cadre pole infanto juvénile

Le 3 juillet 2015, s'est déroulée au Pavillon Rousseau une journée de formation pour tous les professionnels du pôle infanto-juvénile sur le thème de l'autisme. Ce jour là, les différentes structures du pôle se sont organisées pour permettre aux agents, tous professionnels confondus, de se réu-nir pour enrichir leurs connaissances et s'informer sur l'évolution des prises en charge de l'autisme. Cette thématique d'actualité ( 3ème plan autisme 2013-2017) est en lien direct avec la prise en charge des patients du pôle infanto-juvénile et participe au projet de pôle.

Dispensée par le Dr Véniard, médecin Cmp Poussin qui intervient également au CEDA ( Centre d'évaluation et de diagnostic de l'Autisme), cette forma-tion a permis aux agents du pôle de corréler leur pratique aux recomman-dations actuelles, tout en validant leur DPC une obligation pour tout pro-fessionnel de santé. La chaleur caniculaire n'a pas découragé les participants, attentifs jusqu'au bout de la journée, la séance fut riche en échanges et en informations.

Pour la première fois sur l’établissement, tout un pôle valide simultanément son DPC (Développement Professionnel Continu).

S. MOREL

Infirmière et membre du C.L.U.D.

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Page 18: Le Valmonjoie Edition N°6 juillet 2015

Focus sur la fonction logistique

Dans l’actu

Dimanche 31 mai 2015, 08h09. Le Centre de Traitement des Appels des sapeurs-pompiers reçoit un

appel pour départ de feu dans un champs au sud de l’hôpital de

Montéléger.Rapidement sur les lieux, le premier Camion Citerne

Feux de Forêts est confronté à violent feu de forêt, avec menace de

propagation aux pavillons de l’hôpital. Il demande le renfort de moyens pour l’attaque du feu et la protec-

tion des bâtiments. Il est rapidement rejoint par de nombreux ca-

mions incendie et ambulances. Ils sont dirigés vers le lieu du si-

nistre par l’agent de sécurité. Le confinement des usagers est réali-

sé par le personnel soignant de l’établissement. La cellule de crise

de l’hôpital est déclenchée. Après 03h d’intervention le feu est éteint, et l’hôpital reprend son

fonctionnement normal. Bien qu’étant qu’un exercice, qui a créé une certaine curiosité des

résidents et personnels, cela a permis aux pompiers de mettre en

application leurs techniques de commandement et d’extinction dans

le cadre d’un feu de forêts, en collaboration avec les services de

l'hôpital : direction, sécurité, standard, techniques.

Donner les renseignements suivants :

• Votre Nom, et adresse (n°, rue, commune, département)

• Nature du sinistre (feu, secours personnes, ..)

• Lieu (pavillon, chambre, cuisine, ..) sans oublier l’étage

• Nombre et état des victimes / personnes manquant à l’appel

• Dangers particuliers (oxygène, essence, …) Moyens mis en œuvre (évacuation, confinement, attaque du feu)

Ne raccrochez jamais le premier.

RAPPEL NUMEROS D’URGENCE

En cas d’incendie, d’urgence vitale : à l’hôpital depuis un téléphone fixe composer le numéro d’urgence : « 55 ».

Vous serez mis en liaison avec un agent (standard ou sécurité), qui prendra en compte vos renseignements et les transmettra aux pompiers par la « ligne directe pompiers » Application des protocles et procédures relatives à l'incendie. à l’extérieur de l’hôpital : composer le 18 ou 112

Le week-end de Pentecôte dernier, un problème technique important est intervenu sur la chaudière de notre éta-blissement, entraînant en blanchisserie, un arrêt de production inopiné de deux jours, amplifiant par là même la quotité de textiles à traiter due au week-end. Dès l’annonce de l’incident, les services logistiques concernés ont démontré leur capacité d’adaptation et de ré-action afin de minimiser au mieux, un manque de textiles lors de la réalisation des dotations. Je remercie : - Le CH de Valence qui à accepter dans la précipitation une surcharge de travail supplémentaire de plus de 1.5 tonnes - le service transport qui à su répondre rapidement à la problématique des allées et venues vers le CHV.

Exercice feu de forêt

J. HERNANDEZ

Gestionnaire Restauration et Blanchisserie

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M. DUCHEMANN

Responsable sécurité

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Le 2 avril 2015, Le Dr Bellier et l’équipe soignante du CMP-CATTP Miquel Barcelo de Crest a organisé sa 4ème rencontre avec les médecins généralistes des secteurs de Crest et Die. Cette rencontre annuelle a plusieurs objectifs :

Faire plus ample connaissance avec des interlocuteurs réguliers du CMP

Préciser les missions, les possibilités d’intervention et aussi les limites du CMP

Répondre aux multiples questions des généralistes sur les modes de prise en charge des problématiques psy-chiques des patients et tracer les contours d’une col-laboration primordiale au regard du peu de psy-chiatres libéraux sur les secteurs

Donner une information sur les évolutions de la loi sur les hospitalisations sous contrainte

Informer les généralistes sur les différentes structures de soins psychiatriques de la région (listes des cliniques)

Renforcer les liens avec eux, en particulier sur la circula-tion de l’information suite aux prises en charge réali-sées par Le Valmont en intra comme en extrahospita-lier et mettre en avant le rôle d’interface que peut jouer le CMP entre les médecins et le Valmont.

Mettre en place une organisation minimale pour améliorer les prises en charge conjointes de plus en plus nom-breuses.

Dans un climat très convivial, autour d’un buffet froid aimablement préparé par l’équipe de M. Hernandez, cette réunion a permis une fois de plus de développer des relations très utiles à la prise en charge des patients que nous avons en commun. Nous avons pu repréciser les diverses modalités de coopé-ration :

• Échanges au cas par cas pour faire le point sur diverses prises en charge.

• Demandes de VAD de la part des médecins généralistes pour des patients connus ou non du CMP auxquelles nous donnons toujours suite.

• Possibilité pour le CMP de fournir des informations utiles sur certains patients pris en charge par les géné-ralistes (sans suivi en cours au CMP)

• Possibilités de prise en charge en CMP – CATTP de pa-tients suivis par les médecins généralistes (qui contri-buent à les suivre)

Bien entendu, toutes ces modalités devant être validées par le psychiatre du CMP

De l’avis des participants, cette rencontre, est à renou-veler.

Pour l’équipe du CMP ; T.PEMEANT Cadre de santé

A VOS AGENDAS

CMP – CATTP Miquel BARCELO Rencontre avec les médecins généraliste du Crestois et du Diois

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Dans le cadre de culture et santé

Lundi 23 Septembre , Concert (Le train théâtre)

—-> Vincent GAFFET « Vous »

Mardi 27 Octobre, 20h, Théâtre (La comédie de Valence)

—-> Lancelot Hamelin / Maïanne Barthes « Une abeille d’Arménie »

L’Association des Etablissements participant au service public de Santé Mentale et la Conférence Nationale des Présidents de Commis-sions Médicales d'Etablissement des Centres Hospitaliers Spécialisés ont le plaisir de vous annoncer que les 4ème Journées Nationales de

l’Information Médicale et du Contrôle de Gestion en Psychiatrie se dérouleront les jeudi 17 et vendredi 18 septembre 2015 à Valence

Le CH Le Valmont accueille et organise les Journées qui se dérouleront à l'INEED à proximité de la Gare TGV

Jeudi 17 Septembre 14H00 – 16H30 Atelier Médecins DIM et Atelier Contrôleurs de Ges-

tion 17H00 – 18H00 Atelier Commun : Rôle des DIM et des CG dans le

pilotage interne des établissements

Vendredi 18 Septembre 9H00 – 09H30 Ouverture par le CH le Valmont qui accueille et organise

les journées 9H30 – 10H00 Retour des ateliers 10H00 – 11H00 Economie de la santé mentale : Diagnostic et prospec-

tives 11H15 – 12H15 Point sur l’Enquête nationale des coûts en psychiatrie

par l’ATIH 12H15 – 14H00 Déjeuner 14H00 – 15H00 Comment le RIMP et la comptabilité analytique peu-

vent-ils participer à la construction d’un projet de recomposition de

l’offre de soins d’un territoire ? 15H00 – 16H00 Table ronde sur le thème de l’intervention précédente 16H00 Conclusion par les Présidents de l’ADESM et de la CN-PCME-CHS

Le thème : Comment piloter l’offre de soins, les activités et les ressources sur le territoire en psychiatrie ?

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LES BREVES

Perte d’autonomie ?

Appartement collectif Ouverture prochaine « le 14 Septembre 2015 » d’un appartement collectif à Matisse. Cette résidence est réservée à six personnes sortantes d’hospitalisation, stabilisées pour lesquelles une insertion, hors de l’institution est envisageable à terme. ==> plus d’information dans le prochain Valmonjoie.

L’Odias, conjointement avec le CH le Valmont et le CH Ste Marie répond à un appel à projet lancé par l’ARS Rhône Alpes et les conseils Départementaux Drôme et Ardèche, 10 places SAMSAH dans la Drôme, 10 places SAMSAH dans l’Ardèche. Cet appel à projet vise à répondre aux besoins d’accompagnement de personnels adultes qui se situent en milieu ordinaire de vie, et dont le handicap limite l’autonomie et l’adapta-tion à la vie sociale, et rend complexe l’accès à des soins coordonnés. Les personnes doi-vent bénéficier d’une orientation en SAMSAH par la Commission des Droits et de l’Autono-mie de parcours handicapées. Le SAMSAH doit s’inscrire dans son environnement local afin de promouvoir l’insertion et la participation sociale des personnes accompagnés. Des partenariats doivent être formalisés avec les acteurs associatifs et d’autres établis et services médico-sociaux accompagnant les usagers du SAMSAH. Le SAMSAH doit égale-ment collaborer avec le secteur sanitaire, qu’il s’agisse des services hospitaliers, des pro-fessionnels de santé libéraux et des secteurs de psychiatrie avec lesquels des conventions sont passées afin d’organiser le suivi des personnes accompagnées.

Création de places SAMSAH Service d’accompagnement médico-social

Perte d’autonomie ? Des réponses à vos question et des adresses sur : Www.pour-les-personnes-agees.gouv.fr Téléphone : 0820 10 39 39 La caisse Nationale de Solidarité pour l’Autonomie (CNSA) lance le portail national d’infor-mation pour les personnes âgées et leurs proches. Il renseigne sur les aides, les démarches et les interlocuteurs à contacter.

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A la rencontre de ...

Arrivé : Septembre 2014

Pourquoi la pédopsychiatrie ? C’est après avoir rencontré le professeur TRIDON, pédopsychiatre et neuropédiatre que

ma vocation pour la pédopsychiatrie est née.

Localisation : CMP Poussin Valence CMP CREST / DIE

Son parcours : médecine générale : 2 ans psychiatrie adulte : 2 ans Géron psychiatrie : 1 an

Pédopsychiatrie : 25 ans

Arrivée : Mai 2015

Localisation :

Direction des achats, des services logistiques, techniques et des travaux

Son parcours :

8 ans à la Direction des Affaires Financières , Bureau Des Entrées et Système d’Information au Centre Hospitalier de Montélimar

(Auparavant : CHU De Dijon, CH de Mâcon)

Comment s’est passée votre prise de poste ? Très bien. J’avais envie de diversifier mon parcours, voir des choses nouvelles et différentes. C’est exactement le ressenti que j’ai eu à mon arrivée avec les importants projets en cours. Notamment celui de la BIH et de la recomposition du territoire. Ce sont des projets spécifiques et uniques , et

là c’est tout l’intérêt de la fonction.

Quels sont les changements auxquels vous avez dû vous

adapter en arrivant ? Je dois me familiariser avec le domaine de l’achat et celui des services logistiques car je n’avais pas vraiment abordé ces éléments lors

de mes expériences précédentes. Alors certes, en étant à la direction, j’en avais tout de même une représentation, mais dans la pratique un travail d’adaptation est nécessaire Je m’entoure pour cela de mes collaborateurs directs, ceux qui ont connaissance des dossiers

pour pouvoir les comprendre et les faire avancer.

Quels sont les projets à venir dans votre service ? Ils sont tracés en fonction des projets de l’établissement et aujourd’hui, l’actualité c’est principalement le redécoupage territorial.

Si vous deviez décrire le Valmont en trois mots ? Nouveauté, projet très intéressant, environnement complexe

Quelle est la complexité de votre poste ? Au niveau clinique, il est très délicat de diagnostiquer la gravité de la maladie chez l’enfant, cela demande beaucoup

d’expérience. Je joue avec eux, analyse leurs comportements dans la vie sociale (en faisant passer un questionnaire au professeur par exemple), je reçois les parents… c’est un travail de longue durée.

Chez l’enfant, multiplier les actes court n’est pas toujours constructif. Une première consultation peut durer jusqu’à une heure et demie. L’autre difficulté est de bien connaitre la culture des parents. C’est un élément important puisque Valence est une terre d’accueil, il y a un bras-sage socio culturel très important , la culture d’origine des parents est souvent très différente de la notre. C’est la raison pour laquelle , dans le

cadre du DPC, j’ai fait une formation sur l’approche transculturelle.

Qu’est ce qui vous a marqué à votre arrivé au Valmont ? La taille de l’hôpital par rapport à la population Valentinoise qui est très importante. Mais le fait d’être une petite structure favorise le coté

convivial, j’ai retrouvé beaucoup de solidarité et les équipes y sont très dynamiques.

Votre quotidien en quelques mots :

Les journées sont toutes différentes. On peut parfois passer toute une journée sur un cas difficile, pour un adolescent en grande difficulté ou décompensation, par exemple en reprenant toutes les observations des infirmières et des travailleurs sociaux, en faisant des points cliniques,

comme on peut enchainer les consultations. Par exemple, le Mercredi ont peut recevoir 10 à 15 consultations.

Mr le Dr DESSAUX Christophe , Pédopsychiatre

Mme SALLIER Sabine , Directrice adjointe

Qu’est ce qui vous y plait ? «Je dirais le coté relationnel avec l’enfant et les parents mais également le travail en équipe pluridisciplinaire. Nous

travaillons en réseau avec beaucoup d’interlocuteurs différents, infirmières scolaires, PMI...etc ), c’est très enrichissant .

La cellule communication remercie Mme SALLIER et Mr DESSAUX .

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Fraich’Attitude

Le Jeudi 18 juin, le C.A.AR. a organisé la traditionnelle

fête de la musique avec animations diverses et pique-nique.

La semaine fraîch’attitude est une semaine entièrement dédiée aux fruits et légumes frais et a pour vocation de faire découvrir ou redécouvrir ces

produits auprès d’un large public.

A cette occasion , lundi 15 Mars, le CAAR a organisé une rencontre fruité au

café boutique.

Et le Mardi 16 Juin, tout un menu respectant ce thème était proposé au self.

Les manifestions

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FÊTE À LA MAS VAN GOGH

Au son de la musique espagnol vendredi 12 juin

c’était « la fiesta à la MAS Van Gogh ».

La fête est un moment privilégié.

Ici en maison d’accueil spécialisé, la qualité de vie que nous nous efforçons d’apporter aux résidents

ne peut exclure ces moments festifs.

Comme à la maison la fête permet un temps de création de spontanéité et de rassemblement. C’est un

temps hors du temps du quotidien.

Avec la participation de tous dans un même élan bon enfant la fête est un tourbillon qui permet de

suspendre le temps d’un après midi les conventions et d’être ensemble femme et homme dans un élan de vie.

Après un temps d’accueil, nous avons pu gouter au son du flamenco.

Au travers des couloirs du service coté Iris, résidents familles et personnels ont pu jouer soit aux quilles, au jeu de massacre ou à

la pêche à la ligne.

Tous rassemblés sous le chapiteau, devant jongler avec la pluie, nous avons écouté nos musiciens pour un spectacle sur l’histoire du

flamenco puis chanté au rythme de chansons françaises.

Un apéritif avec tapas et sangria nous a permis d’attendre une magnifique paella servi pour 50 personnes sur une grande table

installée dans le service coté Tournesol.

Merci à Monsieur le directeur au service

des cuisines et au service technique

Merci à toute l’équipe pour son investisse-

ment dans la préparation et la réalisation.

« El sol no estaba allí sino la fies-ta estuvo conseguida »

le soleil n'était pas là mais la fête était réussie

S. DUBOST

Cadre Mas Van Gogh

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ANTON Jean-Pierre Adjoint Administratif Hospitalier Qualité/ELSA CORNUT Sandrine Aide-soignante De Vinci (Pôle Sud) COMBE Ruthy IDE Pôle Sud

MATHIEU Marine ASH CAE Pool ASH PHILIPPON Maud IDE Michel Ange (Pôle Sud) IMBAUD Pascale DE Pôle Sud PASTRE Marie-Pierre Assistante médico-administrative Pôle Sud FARGIER Jessy Aide-soignante De Vinci (Pôle Sud) BAHLOUL Akim Aide-soignant De Vinci (Pôle Sud)

POUPAERT Dominique Agent de sécurité CAE Sécurité Montélimar BONIN Adeline IDE Delacroix (Pôle Sud) DELUGIN Laure Assistante de service social Pôle Sud AMORIN-POMMAREL Annabelle Psychologue Mise à dispo Mission Locale REBUFFAT Simon Psychologue CMP Poussin CACI José Agent de sécurité CAE Sécurité Montéléger

MAGRANER Floriane IDE MAS (Pôle RPSLE)

CARRON Séverine IDE Tapies (Pôle RPSLE) DUPUY Jonas IDE Michel Ange (Pôle Sud) LAMBERT Florence IDE Delacroix (Pôle Sud)

CHERY Anne-Sophie Interne De La Tour (Pôle Centre) DUCLOS Nicolas Agent de sécurité CAE Sécurité Montélimar BROCHIER Anthony Aide-soignant Tapies JEZEQUEL Nicole Cadre Supérieure de Santé Qualité LEGUILLON Serge Assistant de service social CMP Viallat CAUCAT Brigitte IDE Centré réhab ; psycho-social

BONNET Florence ASH CMP Cathelin

REDACTION

Le VALMONJOIE, Journal de l’Etablissement Réalisation: Cellule Communication du CH Le Valmont

Renseignements: Rédaction - Le Valmonjoie C.H. Le Valmont -Domaine des Rebatières –B.P.16

26760 MONTELEGER tél: 04.75.75.60.02 –Fax: 04.75.75.60.50

35 Jours Durée Moyenne d’Hospitalisation

RECRUTEMENTS 2éme TRIMESTRE 2015

DEPARTS 2éme TRIMESTRE 2015

Le chiffre du trimestre :

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