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Newsletter IngCH Engineers Shape our Future NR. 48, MÄRZ / MARS 2014 Kurt Biri, Managing Partner AWK Group SA / membre du comité directeur de IngCH Les défis de la mobilité: les ingénieures et ingénieurs proposent des solutions Herausforderungen der Mobilität: IngenieurInnen liefern Lösungen Kurt Biri, Managing Partner AWK Group AG / Vorstandsmitglied IngCH Mobilität Mobilité La mobilité permet d’accéder à des personnes, marchandises et lieux éloi- gnés. Elle est donc indispensable au progrès et à notre vie personnelle. La mobilité a toutefois un prix: financier, mais aussi territorial et énergétique; sans oublier les accidents, la pollution et les nuisances sonores. En Suisse, pays à forte densité qui possède un réseau de transport déjà fourni et complexe, les conséquences de nos besoins de mobilité sont déjà très perceptibles. Les capacités atteignent leurs limites, en particulier aux heures de pointe, aussi bien au niveau des transports publics que des transports individuels. D’après les prévisions, le trafic devrait continuer d’augmenter fortement. Il est donc nécessaire de développer la mobilité de manière intelligente et responsable. Comme par le passé, les ingénieures et ingénieurs peuvent et doivent apporter une contribution utile. La meilleure utilisation de l’infrastructure à l’aide des technologies modernes de communication et de commande en est un exemple. Dans le domaine de la circulation routière, citons le développement de la technologie car-to-x qui permet la communication entre les voitures et des stations de base et signale par exemple les accidents. Dans le trafic ferroviaire, l’introduction du système européen de contrôle des trains ETCS améliore la sécurité et permet d’augmenter la capacité des lignes. L’introduction précoce d’ETCS, mais aussi les célèbres projets d’envergure que sont les NLFA et la ligne diamétrale démontrent que la Suisse possède la volonté de mise en œuvre et le savoir- faire technique pour relever ces défis. Le niveau élevé de for- mation des ingénieures et ingénieurs suisses est une condition idéale. La recherche de solutions exige souvent une coopération interdisciplinaire qui tire parti des avancées technologiques de tous les domaines. Ainsi naissent des solutions innovantes susceptibles d’être exportées et de contribuer au succès inter- national des entreprises suisses. Mobilität ermöglicht uns den Zugang zu entfernten Orten, Perso- nen und Waren. Damit ist sie ein unverzichtbarer Grundbaustein des Fortschritts und unseres persönlichen Lebens. Mobilität hat jedoch ihren Preis: Sie verursacht Kosten, verbraucht Land- und Energiereserven und führt zu Unfällen, Umweltverschmutzung und Lärmbelastung. In der dicht besiedelten Schweiz, mit ihrem bereits heute dichten und komplexen Verkehrsnetz, sind die Konsequenzen unseres Mobilitätsbedürfnisses stark zu spüren. Die Kapazi- tätsgrenzen sind vor allem zu Stosszeiten langsam erreicht, sowohl im ÖV als auch im Individualverkehr. Für die Zukunft wird aber ein weiterer starker Anstieg des Verkehrs prognos- tiziert. Daher ist es notwendig, Mobilität verantwortungs- bewusst und intelligent weiterzuentwickeln. Wie schon in der Vergangenheit können und müssen Ingenieurinnen und Ingenieure auch weiterhin einen wertvollen Beitrag leisten. Ein Beispiel dafür ist die bessere Nutzung der Infrastruktur mithilfe moderner Kommunikations- und Steuerungstechnologien. Im Strassenverkehr gehört hierzu die Entwicklung der Car-to-X- Technologie, die der Kommunikation zwischen Autos und mit Basisstationen dient und zum Beispiel vor einem Unfall warnt. Im Schienenverkehr führt die Einführung des einheitlichen europäischen Zugsicherungssystems ETCS zu mehr Sicherheit und erlaubt eine Verdichtung der Fahrpläne. Die frühe Einführung von ETCS, aber auch die bekannten Gross- projekte NEAT und Durchmesserlinie sind gute Beispiele dafür, dass in der Schweiz der Umsetzungswille und das technische Können vorhanden sind, um die Herausforderungen zu meis- tern. Der hohe Ausbildungsstandard der Schweizer Ingenieu- rinnen und Ingenieure ist eine ideale Voraussetzung. Bei der Lösungsentwicklung ist es häufig nötig, dass unterschiedliche Ingenieursrichtungen zusammenarbeiten und technologische Weiterentwicklungen aus sämtlichen Bereichen nutzen. So entstehen innovative Lösungen, die gute Kandidaten für den Export sind und zum internationalen Erfolg von Schweizer Unternehmen beitragen. EDITORIAL / ÉDITORIAL

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Newsletter IngCH Engineers Shape our Future NR. 48, MÄRZ / MARS 2014

Kurt Biri, Managing Partner AWK Group SA / membre du comité directeur de IngCH

Les défis de la mobilité: les ingénieures et ingénieurs proposent des solutions

Herausforderungen der Mobilität: IngenieurInnen liefern Lösungen

Kurt Biri, Managing Partner AWK Group AG / Vorstandsmitglied IngCH

Mobilität Mobilité

La mobilité permet d’accéder à des personnes, marchandises et lieux éloi-gnés. Elle est donc indispensable au progrès et à notre vie personnelle. La mobilité a toutefois un prix: financier, mais aussi territorial et énergétique; sans oublier les accidents, la pollution et les nuisances sonores.

En Suisse, pays à forte densité qui possède un réseau de transport déjà fourni et complexe, les conséquences de nos besoins de mobilité sont déjà très perceptibles. Les capacités atteignent leurs limites, en particulier aux heures de pointe, aussi bien au niveau des transports publics que des transports individuels. D’après les prévisions, le trafic devrait continuer d’augmenter fortement. Il est donc nécessaire de développer la mobilité de manière intelligente et responsable. Comme par le passé, les ingénieures et ingénieurs peuvent et doivent apporter une contribution utile. La meilleure utilisation de l’infrastructure à l’aide des technologies modernes de communication et de commande en est un exemple. Dans le domaine de la circulation routière, citons le développement de la technologie car-to-x qui permet la communication entre les voitures et des stations de base et signale par exemple les accidents. Dans le trafic ferroviaire, l’introduction du système européen de contrôle des trains ETCS améliore la sécurité et permet d’augmenter la capacité des lignes.

L’introduction précoce d’ETCS, mais aussi les célèbres projets d’envergure que sont les NLFA et la ligne diamétrale démontrent que la Suisse possède la volonté de mise en œuvre et le savoir-faire technique pour relever ces défis. Le niveau élevé de for-mation des ingénieures et ingénieurs suisses est une condition idéale. La recherche de solutions exige souvent une coopération interdisciplinaire qui tire parti des avancées technologiques de tous les domaines. Ainsi naissent des solutions innovantes susceptibles d’être exportées et de contribuer au succès inter-national des entreprises suisses.

Mobilität ermöglicht uns den Zugang zu entfernten Orten, Perso-nen und Waren. Damit ist sie ein unverzichtbarer Grundbaustein des Fortschritts und unseres persönlichen Lebens. Mobilität hat jedoch ihren Preis: Sie verursacht Kosten, verbraucht Land- und Energiereserven und führt zu Unfällen, Umweltverschmutzung und Lärmbelastung.

In der dicht besiedelten Schweiz, mit ihrem bereits heute dichten und komplexen Verkehrsnetz, sind die Konsequenzen unseres Mobilitätsbedürfnisses stark zu spüren. Die Kapazi-tätsgrenzen sind vor allem zu Stosszeiten langsam erreicht, sowohl im ÖV als auch im Individualverkehr. Für die Zukunft wird aber ein weiterer starker Anstieg des Verkehrs prognos-tiziert. Daher ist es notwendig, Mobilität verantwortungs-bewusst und intelligent weiterzuentwickeln. Wie schon in der Vergangenheit können und müssen Ingenieurinnen und Ingenieure auch weiterhin einen wertvollen Beitrag leisten. Ein Beispiel dafür ist die bessere Nutzung der Infrastruktur mithilfe moderner Kommunikations- und Steuerungstechnologien. Im Strassenverkehr gehört hierzu die Entwicklung der Car-to-X-Technologie, die der Kommunikation zwischen Autos und mit Basisstationen dient und zum Beispiel vor einem Unfall warnt. Im Schienenverkehr führt die Einführung des einheitlichen europäischen Zugsicherungssystems ETCS zu mehr Sicherheit und erlaubt eine Verdichtung der Fahrpläne.

Die frühe Einführung von ETCS, aber auch die bekannten Gross-projekte NEAT und Durchmesserlinie sind gute Beispiele dafür, dass in der Schweiz der Umsetzungswille und das technische Können vorhanden sind, um die Herausforderungen zu meis-tern. Der hohe Ausbildungsstandard der Schweizer Ingenieu-rinnen und Ingenieure ist eine ideale Voraussetzung. Bei der Lösungsentwicklung ist es häufig nötig, dass unterschiedliche Ingenieursrichtungen zusammenarbeiten und technologische Weiterentwicklungen aus sämtlichen Bereichen nutzen. So entstehen innovative Lösungen, die gute Kandidaten für den Export sind und zum internationalen Erfolg von Schweizer Unternehmen beitragen.

EDITORIAL / ÉDITORIAL

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(ca) Pourquoi étudier le domaine de la mobilité?AG: La mobilité concerne toutes les personnes sans exception, elle intervient dans toutes les activités. Le transport est un domaine majeur et son impact est primordial dans la société d’aujourd’hui. Les déplacements des voyageurs et des marchandises constituent une branche économique vitale de la communication et des échanges mondiaux.

JB: Dans mon pays d’origine, l’Egypte, les défis de mobilité sont énormes. Je cherchais à comprendre quelles étaient les différentes possibilités d’y faire face. L’approche suisse est très différente, surtout le fait concept des voies de circulation propres au transport public et de favoriser la mobilité douce, qui n’existe pas encore en Egypte.

«L’impact économique des transports est

énorme, tous les projets commencent avec la

planification des voies de communication»

Qu’est-ce qui vous enthousiasme le plus dans votre projet de thèse? AG: Etant un utilisateur des Transports publics genevois (TPG), j’ai la chance d’évoluer au cœur du système. Je suis en contact avec des personnes qui développent et construisent le réseau de demain. Un moment particulier que je retiendrais, c’est d’avoir pu conduire un tram (en circuit fermé).

JB: J’aime bien le côté analytique, on tente de trouver des solutions pratiques pour des problèmes complexes. Les résultats de notre travail sont tangibles et toute la société en profite. Quand j’ai commencé à tester les concepts proposés, j’ai réalisé qu’ils satisfaisaient aux objectifs, j’étais très content de voir qu’un projet simple et peu coûteux pouvait déjà avoir un impact significatif.

Quel est le thème de votre projet de thèse ? Quels sont les défis?AG: Il s’agit de proposer un concept d’exploitation du réseau tramway des TPG à l’horizon 2030 : trouver une solution viable

La mobilité: un défi majeur pour notre futur!

Projet Mobilité – Interview avec Alexandre

Genton (AG), ingénieur civil HES, étudiant de

Master HES et John Barsoum (JB), étudiant

de Master en Ingénierie du Territoire (MIT)

à l’HES-SO

INTERvIEWINHALT / CONTENU

Editorial / Éditorial 1

Interview: Alexandre Genton et John Barsoum «La mobilité: un défi majeur pour notre futur!»

2 – 3

Mobilität heute / Mobilité aujourd'hui:Gitte Jensen, u-blox «Wissen, wo was ist»

4 – 5

Interview: Reto von Salis, Leiter Projektmanagement, SBB«Unsere IngenieurInnen gestalten die Mobilität von morgen»

6 – 7

Kolumne / Chronique: Dr. Andrea Leu «Wie viele Ingenieurinnen und Ingenieure braucht die Schweiz?»

8

Reportage:«Mobilität im Wandel»

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IngCH-Aktivitäten / Activités de IngCH 10 – 12

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dans une agglomération genevoise en plein développement. L’offre doit s’adapter à la demande de demain.

JB: Celui du réaménagement de la place de la gare de Fribourg. La situation actuelle présente plusieurs points de conflit entre les différents modes de transport, notamment pendant les heures de pointe. La lisibilité des transports publics dans la zone de la gare est considérée comme faible. Les problèmes existants seront aggravés avec l’augmentation démographique dans le futur.

Que diriez- vous à une jeune personne souhaitant se diriger dans les domaines de la mobilité? AG: Je lui dirais de prendre cette voie si elle souhaite s’investir dans l’analyse complexe de l’évolution des déplacements. Etre ingénieur, c’est d’avoir un pas d’avance sur demain.

JB: L’impact économique des transports est énorme, tous les projets commencent avec la planification des voies de com-munication. Un ingénieur de mobilité touche à différents domaines, car les projets d’infrastructure de mobilité ont aussi une dimension politique, environnementale et sociale.

Quelles sont vos attentes et perspectives professionnelles après cette thèse? AG: Je me verrais volontiers continuer sur cette lancée en travaillant chez un exploitant comme les TPG. Si l’occasion ne se présente pas, je me tournerais sûrement vers un bureau d’étude en mobilité.

JB: Le domaine de la mobilité m’attire et j’espère que mon parcours professionnel me permettra également de travailler pour des grands projets dans différents pays avec une entre-prise internationale.

Alexandre Genton John Barsoum

Kennen Sie ...?

… George Stephenson? Der britische Ingenieur holte die Stahlrösser aus den Eisen- und Berg wer-ken heraus und verbesserte die Schienentechnik. 1825 wurde die erste Eisenbahnstrecke der Welt unter seiner Bauleitung eröffnet. Auf den vorwie-gend gewalzten Schienen zwischen den englischen Städten Stockton und Darlington bewältigte Stephensons Lokomotive «Locomotion» die ersten 40 Kilometer der modernen Eisenbahngeschichte.

Für viele Menschen war die Eisenbahn zu dieser Zeit noch Teufelswerk. Man ängstigte sich vor den hohen Geschwindigkeiten und befürchtete, davon krank zu werden. Man glaubte ausser-dem, die Rauchwolken der Lokomotiven würden hindurchfliegende Vögel töten und Kühe in der Nähe von Bahnhöfen davon abhalten, Milch zu geben. Aber die Proteste verschwanden so schnell, wie die Eisenbahn sich fortentwickelte.

Quelle: planet-wissen.de Bild: Locomotion, commons.wikimedia.org

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Wissen, wo was istEine kombinierte Technologie macht’s möglich

MOBILITÄT HEUTE / MOBILITÉ AUJOURD'HUI

Gitte Jensen, u-blox

Mobilfunk- und Satellitenortungssysteme sind heute fast so präsent wie Fernsehgeräte oder Computer. Es gibt kaum einen Lebensbereich, in den sie nicht vorgedrungen sind. Ob im Auto, im Handy, beim Einkaufen oder auf Reisen, die Möglichkeiten dieser Technologien sind äusserst vielfältig. Und die Entwicklung geht rasant voran. u-blox, ein Mitgliedunternehmen von IngCH, ist einer der Treiber dieser Entwicklung.

Das Unternehmen ist Anbieter von Chips und Modulen für Mo-bilfunk- und Satellitenortungssysteme. Die Kombination beider Technologien ermöglicht eine Fülle nützlicher Anwendungen und Dienste, hinter denen Ingenieurinnen und Ingenieure der verschiedensten Disziplinen stehen. Einige Bereiche stellen wir nachfolgend vor.

Persönliche OrtungsgerätePersönliche Ortungsgeräte sind noch relativ neu auf dem Markt. Sie ermöglichen durch kombinierte Mobilfunk- und Positionie-rungstechnik die Ortung in Echtzeit von Personen und Haustieren an jedem Ort der Welt mit Mobilfunkabdeckung.

MauterhebungSchon bald könnten Autofahrer in der EU nutzungsabhängige Mautgebühren ohne Halt zahlen, so wie dies bereits heute in einigen Ländern für Lastwagen der Fall ist. Der Dienst auf Abonnementsbasis nutzt ein mit GPS- und GSM-Technologie ausgestattetes Bordgerät.

Flottenmanagementsysteme Sie gehören zu den frühesten Einsatzgebieten der kombinierten Mobilfunk- und Positionierungstechnik. Flottenmanagement-systeme dienen in Taxis, LKW und öffentlichen Transportmitteln dazu, die aktuelle Position zu melden sowie Routen, Fahrzeug-zustand und Fahrerverhalten zu überwachen.

Mini-OrtungsgerätChip für Mobilfunk- und Satellitenortungssysteme

Pourquoi les métiers de l’ingénierie sont-ils importants ? Lucas Mourot, 17 ans, 2MG03, Lycée Denis-de Rougemont, Neuchâtel

L’importance des métiers de l’ingénierie, dans notre société, est marquée dans la quasi-totalité des objets du quotidien. Que ce soit pour des rai-sons de sécurité, de productivité, de rendement ou encore de marketing, l’ingénieur effectue la conception, l’étude puis la construction pour

arriver à la mise en service d’un produit technique ou industriel. Les métiers de l’ingénierie sont donc indispensables pour toutes commercialisations de produits, qu’ils soit complexes ou non. L’ingénierie est, par conséquent, essentielle à nos industrie, à notre société, à notre vie.

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eCallDas Notrufsystem eCall, ein Projekt der Europäischen Kom-mission, wird Autofahrern bei einem Unfall überall in Europa rasche Hilfe bringen. Der Dienst, der 2015 eingeführt werden wird, stützt sich auf die Kombination von Mobilfunk- und Sa-tellitenortungstechnologie.

Ortsbezogene Dienste für mobile GeräteDienste, die die beiden Technologien miteinander verbinden, sind bereits auf Mobiltelefonen, Tablets und Freizeitgeräten verfügbar. Bei Geräten mit grossem Display und Internetver-bindung können sie interessante Informationen liefern, die sich auf den jeweiligen Standort beziehen:

• Welche Dienstleistungen sind in der Nähe verfügbar? Läden, Restaurants, Geldautomaten, öffentliche verkehrsmittel, Touristeninformationen, Polizei?

• Welche Personen befinden sich in einem bestimmten Umkreis? Sind Freunde oder Familienmitglieder gerade in der Nähe? Wie komme ich zu ihnen?

Die Kombination von Mobilfunktechnologien wie GSM und UMTS mit Satellitenortungssystemen wie GPS, GLONASS und BeiDou hat eine vielversprechende Zukunft. Viele neue Dienst-leistungsangebote für den Massenmarkt können realisiert werden. Services, die Bestehendes weiterentwickeln, aber auch Anwendungsmöglichkeiten auf den Markt bringen werden, die wir uns heute noch gar nicht vorstellen können.

Ortungsdienste

vor knapp 400 Jahren …

… fand laut einer Sage der erste Fallschirmsprung statt: Faust Vrancic, Diplomat und Gelehrter aus dem heutigen Kroati-en, soll einen Fallschirm gebaut und erprobt haben (siehe Bild). Doch erst der Sprung von 1783 von Louis-Sébastien Lenormand gilt als der Beginn des modernen Fallschirms. Den zusammenlegbaren Fallschirm erfand dann eine Frau: Käthe Paulus (1868–1935). Der Entwurf von Leonardo da Vinci aus dem Jahr1483 eines pyramidenförmigen Fallschirms aus Leinen und Holz wurde erst 2000 erfolgreich getestet und soll auch Vorbild für Faust Vrancic gewesen sein.

Quelle: Wikipedia | Bild: Homo volans, commons.wikimedia.org

Pourquoi les métiers de l’ingénierie sont-ils importants ? Lucas Mourot, 17 ans, 2MG03, Lycée Denis-de Rougemont, Neuchâtel

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(al/is) Wie wichtig ist für Sie persönlich die Möglichkeit, sich schnell und ohne Umwege von A nach B zu bewegen? Welche Bedeutung hat für Sie die Mobilität?Schnelle Verbindungen bedeuten mehr Flexibilität. Sei es bei der Wahl des Arbeits- oder des Wohnortes, beim Einkauf oder bei den Freizeitaktivitäten. Die Geschwindigkeit alleine ist je-doch nicht entscheidend. Wichtig ist, dass ich die Zeit, in der ich mich von A nach B bewege, sinnvoll nutzen kann, zum Beispiel indem ich mobil arbeiten, lesen oder Musik hören kann. Dazu kommt die Zuverlässigkeit und Pünktlichkeit des Transportmit-tels. Hier hat das Reisen mit dem Zug entscheidende Vorteile gegenüber dem Auto.

Was sind Ihrer Meinung nach zukünftige Herausforderungen in der Mobilität – für Ingenieurinnen und Ingenieure, aber auch für das Unternehmen SBB? Die SBB betreibt das meistgenutzte Bahnnetz der Welt. In der Hauptverkehrszeit morgens und abends stossen wir auf vielen Strecken an Kapazitätsgrenzen. Deshalb plant die SBB zusammen mit dem Bund zahlreiche Ausbauten, damit wir auch in Zukunft für noch mehr Reisende gute Verbindungen mit genügend Sitzplätzen anbieten können. In der Öffentlichkeit geht gerne der Unterhalt des bestehenden Netzes vergessen. Für einen pünktlichen und sicheren Bahnbetrieb ist es unabdingbar, dass genügend Mittel in die Instandhaltung fliessen.

Was sind in Ihrem Unternehmen ganz typische Einsatzgebie-te für Ingenieurinnen und Ingenieure?Ingenieure haben bei der SBB ein breites Tätigkeitsfeld und sind sehr gefragte Mitarbeitende. Im Projektmanagement der Infrastruktur arbeiten beispielsweise über 400 Ingenieure aus dem Bau-, Elektro- und Maschinenbereich an den zahlreichen Infrastrukturvorhaben der SBB. Gefragt sind Engineering-Fähigkeiten im Bereich der Eisenbahnanlagen und Kompe-tenzen im Projektmanagement. Ein weiteres Tätigkeitsgebiet für Ingenieure bei der SBB sind das Produktmanagement und die Weiterentwicklung von bahnspezifischen Komponenten, wie zum Beispiel Rollmaterial, Stellwerke, Elektro- und Ener-gieanlagen und alle baulichen Anlagen.

Wie stellen Sie sicher, dass Sie über genügend Ingenieur-Nachwuchs verfügen? Was tun Sie konkret im Bereich Nachwuchsförderung?Die SBB bietet den Hochschulabgängern spezifische, auf In-genieurberufe abgestimmte einjährige Traineeprogramme an. Zudem ist die SBB an praktisch allen Hochschulmessen präsent, um den Studierenden die vielfältigen Einsatzgebiete im Ingenieurwesen vorzustellen. Am nationalen Zukunftstag bieten die verschiedenen Geschäftsbereiche zudem den Schü-lerinnen und Schülern einen abwechslungsreichen Einblick in die faszinierende Technik des Eisenbahnwesens.

Die SBB fördert aber auch den Nachwuchs in den verschiedenen Ingenieurbüros, welche als Auftragnehmer für die SBB in den Projekten arbeiten, indem sie in den Verträgen das sogenann-te «Göttiprinzip» anwendet. Dieses macht es möglich, junge Ingenieure als Schlüsselpersonen in den Projekten einzuset-zen, ohne dass die Ingenieurbüros bei der Auftragsvergabe benachteiligt werden.

Die verkehrsdichte hat in den letzten Jahren ständig zuge-nommen. Was bedeutet das für die SBB? Welchen Chancen und Risiken sehen Sie sich gegenüber?Nirgends auf der Welt verkehren so viele Züge pro Bahnkilo-meter wie in der Schweiz. Das ist vor allem für die Sicherheit eine Herausforderung. Zugfolgezeiten von zwei Minuten sind nur mit moderner Bahntechnik möglich. Unser Bahnnetz ist historisch gewachsen und hat deshalb bekanntermassen Lücken. Die SBB arbeitet mit Hochdruck daran, diese Lücken mit modernster Sicherungstechnik zu schliessen. Dies nimmt aber mehrere Jahre in Anspruch.

Damit der Bahnbetrieb in Zukunft noch effizienter abgewickelt werden kann, werden sämtliche Signale und Weichen künftig von vier Betriebszentralen aus gesteuert. Damit schafft die SBB die Voraussetzungen, den prognostizierten Mehrverkehr gut abwickeln zu können.

Unsere IngenieurInnen gestalten die Mobilität von morgenInterview mit Reto von Salis, Leiter Projektmanagement, SBB

Reto von Salis

INTERvIEW

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Wie sieht der verkehr in Zukunft aus? Welchen Stellenwert wird der öffentliche verkehr haben? Die Bahn ist das Rückgrat einer nachhaltigen Mobilität in der Schweiz. Die SBB will als nachhaltiges Unternehmen ihren Bei-trag dazu leisten, dass die ökologischen Vorteile der Bahn in Zukunft noch besser zum Tragen kommen.

Alleine kann die SBB aber nicht alle Herausforderungen der Zukunft meistern. Wenn es uns als Gesellschaft insgesamt ge-lingt, die Hauptverkehrszeiten zu entlasten, muss die beste-hende Bahninfrastruktur weniger stark ausgebaut werden. Über den gesamten Tag gesehen, sind unsere Züge zu einem Drittel ausgelastet. Es hätte also schon heute genügend Platz. Deshalb begrüsst und fördert die SBB alle Anstrengungen, um die Reisenden vermehrt auf die Nebenverkehrszeiten zu lenken.

Wie wird die Bahn von morgen aussehen? Wo sind Innovati-onen am wichtigsten? Und warum? Die SBB ist bestrebt, auf die sich stetig verändernden Bedürfnis-se ihrer Kundinnen und Kunden schnell reagieren zu können. Heute besitzen die meisten Reisenden ein Smartphone. Mit SBB Mobile stellen wir sozusagen einen Billettautomaten in der Hosentasche zur Verfügung. In diesem Bereich werden wir in wenigen Jahren Dinge realisieren, an die heute vielleicht noch gar niemand denkt.

Was sich ständig verändert, sind unsere Bahnhöfe. Da bieten wir heute unseren Kundinnen und Kunden vielfältige Einkaufs-möglichkeiten an und nehmen auch Trends der Zukunft auf. Eine schnelle und unkomplizierte Verpflegung, wie wir sie heute kennen, war noch vor zwanzig Jahren fast undenkbar.

Zahlen, die beeindrucken:

354 Millionen Fahrgäste sind jedes Jahr mit der SBB unter-wegs. Mit ihrem Streckennetz von 3138 Kilometern Länge hält die SBB einen grossen Anteil am 5124 Kilometer langen Eisenbahnnetz der Schweiz. Mit Ausnahme von Herisau und Appenzell sind alle Kantonshauptorte direkt über die Gleise der SBB und ihrer Tochterunternehmen miteinander verbunden. An über 800 Bahnhöfen und Stationen halten die Züge im Stunden- oder Halbstundentakt. Zwei Drittel des gesamten Transitgüterverkehrs transportiert die Bahn durch die Schweizer Alpen. 29'240 Eisenbahnerinnen und Eisenbahner sorgen rund um die Uhr für einen sicheren und pünktlichen Bahnbetrieb. Damit ist die SBB nicht nur die grösste Reise- und Transportfirma der Schweiz, sondern auch eine der grössten Arbeitgeberinnen in der Schweiz.

Die SBB ist seit Oktober 2013 Mitglied bei IngCH.

… dass der «Etagenbahnhof» nur erfunden wurde, um kon-kurrierende Eisenbahngesellschaften voneinander zu tren-nen? In Europas grösstem Turmbahnhof – so der moderne Begriff –, dem Berliner Hauptbahnhof, ist das nicht mehr der Fall. Das Bahnhofsgebäude hat zwei Hauptebenen, die dem Fern- und Regionalverkehr, der S- und U-Bahn dienen, sowie drei Verbindungs- und Geschäftsebenen. 2006 wurde der Bahnhof mit der imposanten Glaskonstruktion neu eröffnet.

Im Bereich der Infrastruktur dauert die Planung und Realisie-rung natürlich viel länger. Aber auch als Ingenieure müssen wir ständig am Ball bleiben, um von den neusten Entwicklungen profitieren zu können.

Quelle: Wikipedia | Bild: www.berlin.de

Hätten Sie gedacht …

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KOLUMNE / CHRONIQUE

Wie viele Ingenieurinnen und Ingenieure braucht die Schweiz?Dr. Andrea Leu, Geschäftsführerin IngCH

Seit vielen Jahren steht der Fachkräft e-man gel zuoberst auf der Traktandenliste von Bundesrat, Parteien, Wirtschafts- und Branchenverbänden. Ingenieurinnen und Ingenieure fehlen allenthalben. von einem Wettbewerbsnachteil für die Schweiz ist die Rede, dem unbedingt entgegengewirkt werden muss. Inge-nieurInnen sitzen an den Schalthebeln der Innovationstätigkeit. Fehlen sie, stehen Unternehmen vor Problemen, deren Konsequenzen sich in naher Zukunft negativ manifestieren werden.

Es fehlt nicht an Massnahmen zur Behebung des Ingenieurman-gels. Auch IngCH setzt sich seit über 25 Jahren dafür ein. Mit Technik- und Informatikwochen, Informationsveranstaltungen für Lehrpersonen und Berufsberatende, Mädchen-Techniktagen und vielem mehr. Ob die Schweiz jedoch in naher Zukunft genügend VertreterInnen dieser Berufsgattung hervorbringen kann, ist fraglich. Denn parallel zum steigenden Output – die Studierenden- und Absolvierendenzahlen an technischen Hoch-schulen sind in den letzten Jahren kontinuierlich gewachsen, nimmt die Nachfrage nach ausgebildeten Fachkräften zu.

Trotz dieser Situation besteht kein klares Gesamtbild. Welche Branchen suchen IngenieurInnen in wie hoher Anzahl? Welche Fachrichtungen werden für welche Tätigkeitsbereiche nach-gefragt? Wie wird sich dieser Bedarf in Zukunft entwickeln? Diverse Zahlen geistern durch die Medien: Manchmal ist von 100'000 fehlenden IngenieurInnen die Rede, dann wieder von 10'000 bis 20'000. Vereinzelt sind sogar Stimmen zu hören, die den Mangel als herbeigeredet qualifizieren. Was ist richtig?

Ein Überblick über das genaue Ausmass des Ingenieurbedarfs wäre nur schon deshalb wichtig, weil es den Skeptikern den Wind aus den Argumentationssegeln nehmen würde. Er wäre aber vor allem deshalb von Bedeutung, weil in der Nachwuchs-förderung noch gewichtiger aufgezeigt werden könnte, dass IngenieurInnen hoch im Kurs stehen und überall nachgefragt werden. Mit Sicherheit würde klar, dass unser Land auch in Zukunft IngenieurInnen im Ausland rekrutieren muss, da der Schweizer Hochschulmarkt diese nicht in genügender Anzahl liefern kann. Eine Tatsache würde mit eindrücklichen Fakten untermauert: Der Beruf des Ingenieurs, der Ingenieurin ist in jenen Branchen von grösster Wichtigkeit, in denen hohes Innovations- und Wertschöpfungs- und damit enormes Gestal-tungspotenzial liegt.

Wussten Sie, dass …

… Ferdinand Graf von Zeppelin von Kaiser Wilhelm II. als «Narr vom Bodensee» bezeichnet wurde? Trotzdem verfolgte der Graf sein Ziel, ein lenkbares Luftschiff zu bauen, beharrlich. Die Idee kam ihm Ende des 19. Jahrhunderts, als zu Aufklärungsflügen im deutsch-französischen Krieg Heissluftballone zum Einsatz kamen. Da diese vollständig dem Wind ausgeliefert waren, arbeitete Zeppelin zusammen mit Ingenieu-ren am Prototyp eines mit Hilfe von Propellern ma-növrierbaren Luftfahrzeugs. Am 2. Juli 1900 hob die «Zeppelin 1» ab. Trotz Notlandung wegen technischer Pro bleme bewies der Jungfernflug, dass es funktionierte.

Immer wieder gab es Rückschläge, doch die fliegenden Zigarren – wie sie im Volksmund hiessen – etablierten sich. Die Deutsche Luftschifffahrts AG transportierte auf mehr als 1'500 Flügen rund 34'000 Menschen. 1924 wurde der erste Zeppelin in die USA ausgeliefert. Die Luftschiffe flogen sogar nach Afrika und in die Arktis. 1929 folgte die erste und einzige Erdumrundung. Ab 1931 gab es regelmässige Fahrten zwischen Friedrichs-hafen und Rio. Am 6. Mai 1937 brannte der Zeppelin LZ 129 in New York vollständig aus, 36 Passagiere und Besatzungsmitglieder starben. Dieses Unglück war das Ende der Luftschiff-Ära.

Als Werbeträger und Touristenattraktion sowie zu For-schungszwecken sind einzelne Nachfolgemodelle noch heute weltweit unterwegs. Die Hoffnung, die Luftschiffe gewinnbringend für Schwertransporte einzusetzen, erfüllte sich nicht.

Graf Zeppelin beobachtet den Flug seines Zeppelins.Quelle: BR.de, das Angebot des Bayerischen Rundfunks im Internet

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REPORTAGE

Mobilität im Wandel

es zwar schon eine anschauliche Palette von reinen Elektro-fahrzeugen und Forschung und Entwicklung dazu laufen auf Hochtouren. Und die Entwicklung geht weiter: Vor gut zehn Jahren kamen die Hybridfahrzeuge, die Kombination Benzin- und Elektromotor, alle aus Japan. Heute stellen praktisch alle grossen Autohersteller Hybride her. Ein Wandel ist also im Gange und wird unsere Mobilitätsmöglichkeiten verändern.

(mw) Anfang letzten Jahres hat die Europäische Kommission ein Massnahmenpaket zum Bau von alternativen Tankstellen in ganz Europa angekündigt. Im Bereich der Elektromobilität plant die EU hunderttausende öffentlich zugängliche Ladestationen für Elektroautos. Als Produzentin von Schnellladestationen ist ABB bei dieser Entwicklung an vorderster Front dabei und will 2014 die grossen Märkte erobern.

Das Angebot und der Verkauf von Elektrofahrzeugen sind noch immer gering. Doch die Verkaufszahlen steigen, und die Prognosen sind gut. Damit diese Entwicklung weiterhin anhält und Elektroautos wirklich zu einer valablen Alternative zum herkömmlichen Auto mit Verbrennungsmotor werden, drängt sich der Aufbau einer Batterieladeinfrastruktur auf. Estland hat sich dabei als Pionier profiliert. ABB erhielt den Auftrag, hier die europaweit grösste Ladeinfrastruktur für Elektroautos zu errichten.

«Wieso gerade Estland?» Christian Morf, Verantwortlicher für Elektro-Mobilität Schweiz bei ABB, erklärt: «Estland darf nicht unterschätzt werden, es herrscht dort eine Art Aufbruchstim-mung, eine Silicon-Valley-Atmosphäre. Skype kommt z.B. auch aus diesem Land. Das Projekt Elektro-Mobilität wurde durch den Verkauf von CO

2-Zertifikaten finanziert.»

ABB engagiert sich stark in Europa, das Wachstumspotenzial und die Absatzmöglichkeiten werden als gross eingestuft. In Holland zum Beispiel planen private Investoren das weltgrösste Tankstellennetz für Elektroautos mit ABB-Ladestationen. Auch Dänemark hat ABB-Schnellladestationen für das landesweite Elektroladenetz bestellt.

In der Schweiz sind rund 50 Schnellladestationen für Elektro-autos geplant, und ABB ist mit verschiedenen Interessenten im Gespräch. Allerdings gibt es keine zentrale Stelle, die zuständig wäre und eine Ladenetzinfrastruktur koordinieren würde. Einzig der Verband Swiss eMobility treibt die Elektromobilität in unserem Land voran.

Wie sieht die Situation ausserhalb von Europa aus? Mitte Februar wurde bekannt, dass ABB im Rahmen einer strategischen Kooperation mit Shenzhen BYD Daimler New Technology Co., Ltd. (BDNT) über die nächsten sechs Jahre Gleichstrom-Schnelllader für DENZA, das batterieelektrische China-Modell von Daimler und seinem chinesischen Partner BYD, liefern wird. China entwickelt sich damit zur weltweit führenden Nation im Hinblick auf die Schnellaufladung von Elektrofahrzeugen.

Hat der Verbrennungsmotor ausgedient? Christian Morf ist überzeugt, dass das nicht vor 2050 zu erwarten ist. Heute gäbe

Dank den Schnellladestationen von ABB

Gleichstrom-Schnellladestation Terra53

Was heisst «Schnell»ladestation?

Normalerweise lädt man sein Elektroauto während 6 bis 8 Stunden über Nacht zu Hause auf. An einer Schnelllade-station kann man in 20 Minuten Energie für 100 km laden. Die Entwicklung ist rasant. Es gibt Ladestationen von Tesla, die schon in 30 Minuten für 300 km laden können.

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IngCH-AKTIvITÄTEN / ACTIvITÉS DE IngCH

(lh) Am 15. November 2013 trafen sich rund 80 ausgewählte Vertreterinnen und Vertreter aus Wirtschaft, Forschung und Verwaltung im Swiss Re Centre for Global Dialogue in Rüschlikon für den ETH – Industry Dialogue on the Future ein. Der Dialog wird bereits seit 1999 von IngCH in Zusamme-narbeit mit der ETH Zürich und der EPF Lausanne organisiert. Im Zentrum standen 2013 die häufig genannten Schlagworte Risiko, Sicherheit und Datenschutz und deren Bedeutung für die Widerstandsfähigkeit und Stabilität unserer Gesellschaft.

Die Referate behandelten sichere Informationssysteme, Ursprung, Prävention und Bekämpfung aktueller Risiken, Analysetools für riesige Datenmengen sowie Genom-Daten-schutz. Die Ausführungen boten einen exklusiven Einblick in die aktuelle Forschung der beiden ETH’s und in die Erfahrungen und Strategien bedeutender Konzerne wie Shell, Google, UBS und Swiss Re.

Der ETH-Industry Dialogue on the Future 2014 findet am 19. September in Rüschlikon statt.

ETH – Industry Dialogue on the Future 2013: «Risk, Security and Privacy: Is robustness in a globalised society an illusion?»

World Robot Olympiad 2013 in Jakarta

Beat Michel, World Robot Olympiad

Am 1. Juni 2013 fand in Aarburg die erste Austragung der World Robot Olympiad WRO in der Schweiz statt. In Kooperation mit dem deutschen Partner «technik begeistert», gelang eine in allen Teilen überzeugende veranstaltung. Mitte November konnte der Sieger der WRO Schweiz an die Endrunde nach Jakarta reisen.

Das vierköpfige Schweizer Siegerteam mit Timon Künzler und Michael Sommerhalder (Team Avaloq) sowie Jan Koch und Beat Michel («National Organizer» & Teamcoach) traf am Dienstag, 12. November 2013 in Jakarta ein. Nach der Erholung vom Jetlag und einer Sightseeing-Tour am Donnerstag startete die WRO am Freitag mit Feierlichkeiten. Die Besonderheit des Wettbewerbs ist es, einen komplett zerlegten Roboter während dem Wettbewerb neu zusammenzusetzen und damit eine komplexe Aufgabe zu lösen, die einige Wochen vorher kommuniziert wurde. Erschwerend kommt hinzu, dass vor dem Startsignal eine Überraschungsregel bekannt gegeben wird. Das fordert sowohl im Bereich der Konstruktions- als auch der Programmiertechnik. Michael und Timon vom Schweizer Team hatten damit allerdings keine Mühe. In der Vorbereitung gelang es den beiden, zuverlässig alle Punkte einzufahren. Die Zusatzregel wurde gut gemeistert.

Am Samstag gelang im ersten Lauf ein sehr gutes Ergebnis, sodass die Erwartungen stiegen. Leider wurde das Schweizer Team vor allem von asiatischen Teams zeitlich unterboten, sodass im zweiten Lauf zugunsten einer besseren Zeit auf Tempo gesetzt wurde.

Endrunde der WRO 2013 in Jakarta

ETH – Industry Dialogue on the Future 2013

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World Robot Olympiad 2014 Die World Robot Olympiad WRO ist ein Wettbewerb für tech-nisch begeisterte Jugendliche zwischen 13 und 19 Jahren. Der Wettbewerb kombiniert sportlichen Nervenkitzel mit einer schulischen Herausforderung.

Anmeldung:

Bis 30. April 2014 auf www.wro2014.ch

Aufgabenveröffentlichung:

1. Februar 2014 auf www.wro2014.ch

vorbereitungsphase:

Bestellung und Zusammenbau des Spielfelds sowie Bau und Programmierung des Roboters

Wettbewerb:

Am 31. Mai 2014 treten die besten Schweizer Teams in der Hauptstadt Russlands, Moskau, gegen die besten Teams aus über 40 Ländern an.

Fragen:

[email protected]

Damit stieg das Risiko – die Zeit war zwar besser, aber die Punkte - zahl tiefer. Der letzte Lauf brachte ebenfalls kein besseres Resultat, sodass eine Finalteilnahme leider nicht erreicht wurde. Das Schweizer Team schaffte es aber, sich im im vorderen Drittel der 72 Teams aus aller Welt zu platzieren. Bei den Finals am Sonntagmorgen siegten asiatische Teams in Wunderzeiten, sodass wertvolle Erkenntnisse im Koffer mitreisten, als am Sonntagnachmittag die lange Rückreise startete.

Einen Erfolg konnte die Schweiz dennoch verbuchen. Dem National Organizer wurde nicht nur, wie üblich, der Veranstalter-vertrag verlängert. Die überzeugende Leistung von Veranstalter, Coach und Team resultierte in einem Dreijahresvertrag für die Durchführung des Wettbewerbs. Damit wird die WRO Schweiz auch 2014 einen Sieger küren, der im November am weltweiten Finale in Moskau teilnehmen darf.

Die WRO Schweiz wird von einem leidenschaftlich motivierten kleinen Team organisiert. Dieses Engagement wird unterstützt von Sponsoren wie IngCH, Nonprofit-Organisationen sowie der Stadt Aarburg. Viele Gönner und Helfende trugen zum Erfolg der ersten Austragung der WRO Schweiz bei. Wir möchten uns bei allen herzlich bedanken!

Der Sieger der WRO Schweiz konnte nach Jakarta reisen

Pourquoi les métiers de l’ingénierie sont-ils importants ?

Comme la Suisse ne possède aucune matière première, elle doit se baser sur la vente de produits à haute valeur ajoutée provenant du domaine de l’ingénierie: Par exemple la

production de montres et la création des nouveaux médicaments. Pour stimuler son économie et survivre à la concurrence, elle encourage l’innovation.

Quentin Bouttefeux,17 ans, 2MG03, Lycée Denis-de Rougemont, Neuchâtel

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Klosbachstrasse 107CH-8032 ZürichT: +41 (0)43 305 05 90F: +41 (0)43 305 05 99 [email protected]

ABB (Schweiz) | Accenture | ACUTRONIC Switzerland | AdNovum Informatik | Alstom (Schweiz) | AWK Group | Axpo Holding | Basler & Hofmann | Belimo | Bühler | Chemgineering | Conzzeta Holding | F. Hoffmann-La Roche | Hasler Stiftung | Hilti | Holcim | LIST AG | Meggitt | Nestlé | PHONAK | Rieter Holding | SBB | Siemens Schweiz | Sulzer | Swisscom | Swiss Re | u-blox | UBS | Zimmer

Redaktion / Rédaction: Dr. Andrea Leu (al), Inci Satir (is), Maggie Winter (mw)| | Redaktionelle Mitarbeit / Rédacteurs: Céline Auberson (ca), Lea Hasler (lh) | Korrektorat / Relecture: Supertext AG, Zürich | Gestaltung, Layout / Mise en page, réalisation: Picnic Terminal Visuelle Kommunikation, Zürich | Druck / Impression: Sihldruck AG, Zürich | Auflage / Tirage: 3000 ex. | Erscheinung / Parution: Zweimal jährlich / Deux fois par an

Anregungen und kurze Beiträge werden gerne entgegengenommen.Des propositions et contributions sont les bienvenues.

IngCH-MITGLIEDERFIRMEN / LES MEMBRES DE IngCH

www.ingch.ch | www.facebook.com/ingch2

Technik- und Informatikwochen Semaines techniques et informatiques

Gymnase d’Yverdon, VD 03 – 07.03.2014

KS am Burggraben, SG 10 – 14.03.2014

Collège de l'Abbaye de St-Maurice 10 – 14.03.2014

Untere Waid, SG 24 – 28.03.2014

BKS Chur, GR 17 – 21.03.2014

Sek Affoltern a A. 07 – 11.04.2014

KS Romanshorn, TG 22 – 25.04.2014

KS Hohe Promenade, ZH 14 – 17.04.2014

KS Schaffhausen, SH 28 – 30.04.2014

KS Kreuzlingen, TG 05.2014

Freies Gymnasium Bern 23 – 27.06.2014

Lycée Denis-de-Rougemont, NE 23 – 27.06.2014

KS Solothurn, SO 30.06 – 04.07.2014

Kantonsschule Zürcher Oberland, ZH 30.06 – 04.07.2014

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IngCH-AKTIvITÄTEN / ACTIvITÉS DE IngCH

Seit Oktober 2013 ist LIST AG Mitglied von IngCH. LIST AG ist Weltmarktführer in der Technologie zur lösungsmittel-armen Herstellung wichtiger Kunststoffprodukte wie Superabsorbents (bekannteste Anwendung in Kinder-windeln) oder hochwertiger synthetischer Gummisorten (Reifenzusatzstoffe sowie hochbeanspruchte Dichtelemen-te). Das in Arisdorf bei Basel angesiedelte Unternehmen lässt mehrheitlich in der Schweiz produzieren, beschäftigt insgesamt 100 Mitarbeitende – vor allem Ingenieure und Ingenieurinnen – und hat Zweigstellen in den USA, Japan, Singapur und Indien. Als strategischer Partner geniesst LIST das Vertrauen führender, global tätiger Polymer- und Elastomerhersteller. Herzstück der Technologie sind Knet-Reaktoren, die bis zu 60 Tonnen wiegen. Für einen World- Scale-Auftrag werden ca. 400 Tonnen komplexe Anlageteile zu Kunden in China, Japan, Korea, Indien, Saudi-Arabien, Russland und in den USA verschifft.

LIST AG ist neues Mitglied bei IngCH

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