GuéoulaBH

Horaires de Chabbat Jérusalem

Parachat Be’houkotaï Entrée : 18h53 - Sortie : 20h09

Le journal qui ouvre les yeux sur le monde et constate que la Guéoula est là, présente dans le monde, dans la nature, dans le monde des sciences, dans l’air du temps...

NEWSN°46 - Hebdomadaire - Chabbat Parachat Be’houkotaï - Edition française gueoulanews@gmail.com - www.viveleroi770.com - 058-4770055

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La ‘Ho’hma : Elle coule de source…

La période actuelle dans laquelle nous nous trouvons c’est àdire entre la grande joie de Lag Baomer et celle de la fête deChavouot, doit nous entraîner à nous raffiner encore (par lecompte du Omer) afin d’être prêts à recevoir la Torah du Ma-chia’h, « une nouvelle Torah qui sortira de Moi ».Le Dvar Mal’hout de cette semaine nous donne un élément de réflexiontrès intéressant. Le fait que le monde ait été créé par dix paroles, nousdit la Michna dans Pirkéi Avot, et qu’il aurait pu l’être en une seule. Selonla ‘Hassidout, ce n’est pas une contradiction. En effet, le monde a étécréé par dix paroles qui représentent les dix sphères de l’émanation di-vine qui vont permettre la création d’une foule de détails et de créatures terrestres. Par contre,« en une parole », c’est ce que le Ramban va nommer le « ‘Homer Haïouli », c’est une sorte dematière première qui, elle va permettre au monde d’exister, comme en une seule fois, et elle don-nera forme à tous les existants. En dix fois, ou en une seule fois. Le roi David décrit cela dans leverset : « Koulam Be’Hohma Assita, Tu les a tous fais avec la ‘Ho’hma », avec le point de création,la Sagesse. Tout ceci peut réellement être saisit en une seule fois par tous les Juifs et tout se dé-voilera par la suite avec la Torah du Machia’h qui est comparée à la vision qui elle, saisit tous lesdétails en une seule fois, tous comprendront qu’Il nous créée à chaque instant et tous verront etse réjouiront de la Guéoula, de la délivrance véritable et complète. (GB)

Editorial

La Newsletter de cette semaine est dédiée àl’élévation de l’âme de Shaoul Yossef Ben Yehouda Famille Benchimol

Y é ’ h i A d o n e i n o u M o r é i n o u V é R a b é n o u M é l e ’ h H a M a c h i a ’ h L é o l a m V a è d !

High Tech

En 5 Minutes…La start-up israélienne StoreDot a mis aupoint une technologie permettant de re-charger les voitures électriques en 5 mi-nutes chrono. Lors de la conférence« Think Next » de Microsoft qui s’est dé-roulée à Tel Aviv ce mois-ci, la start-up aannoncé que d’ici un an, elle commercia-lisera une puissante technologie permet-tant aux utilisateurs de voituresélectriques de recharger leur véhicule enexactement 5 minutes. A l’heure actuelle, à titre de comparai-son, 5 minutes de recharge dans l’unedes stations de Tesla Motors permettentà la voiture de rouler 8 kilomètres. Avecles 5 minutes de recharge de StoreDot,la voiture pourrarouler 480 kilomè-tres environ. (GN)

Innovation

Imprimer des organesS’il existe de multiples innovations intéres-santes en matière de bio-imprimante 3D, laplupart d’entre elles sont encore loin d’es-sais sur les êtres humains.Mais une des innovations lesplus prometteuses de cesderniers mois – de la struc-ture osseuse orthopédiqueimprimée en 3D de la sociétéchinoise Xi’an Particle CloudAdvanced Materials Technology – en estdéjà à la phase suivante. Lors d’un forumtenu la semaine dernière, cette société chi-

noise a dévoilé leur imprimante PCPrinterBCTM 3D, qui repose sur la technologied’impression 3D, à des spécialistes dessoins de santé, à des investisseurs poten-tiels et des fabricants. Ils ont également an-noncé que des essais cliniques étaient à

venir. Xi’an Technology dé-veloppe des structures os-seuses artificiellesbiomimétiques identiques,qui partagent toutes les ca-ractéristiques physiques etchimiques de l’os, completavec des structures de

pores, de la biocompatibilité et la résistancemécanique nécessaire. (BN)

T o r a h d e G u é o u l aDva r Ma l ’ h ou tExtraits du discours du Rabbi de LoubavitchMéle’h HaMachia’h Chlita,Parachat Behar-Be’houkotaï 5751-1991

Bonne nouvelles

Une Torah pour tousLe sujet de Roch Hodech Sivan est ex-pliqué dans l’Ecriture (1) : « Pendant letroisième mois… en ce jour (de RochHodech-2), ils sont arrivés dans le dé-sert du Sinaï ». Or, le désert du Sinaï estrelié au don de la Torah : « Moché a reçula Torah du Sinaï (3) », et « le désert (duSinaï) », comme l’expliquent nos Sages :« Elle a été donnée dans le désert…dans un endroit où la propriété n’existepas, quiconque désire la recevoir, qu’ilvienne et la reçoive ».

Il nous faut alors expliquer ce que signifiel’endroit au monde dans lequel fut donnéela Torah (sur le mont Sinaï, dans le désertdu Sinaï). Car a priori, puisque la Torah agitsur le monde entier, quelle est l’importancede l’endroit dans lequel la Torah fut don-née ? Car on peut penser que le choix d’unendroit précis dans le monde, capable d’ac-cueillir le don de la Torah, a été prédéter-miné et symbolise l’action de la Torah dansle monde.

Dix paroles ou une seule ?Pour ceci, nous devons expliquer les motsde la Michna (4 ) : « Le monde a été créépar dix paroles, et se pose la question,n’aurait-il pas pu être créé en une parole ?La Michna répond : pour punir les mé-chants qui détruisent le monde qui a étécréé par dix paroles, et pour donner une ré-compense aux Tsaddikim (les justes) quifont vivre le monde qui a été créé par dixparoles ». Se pose alors la célèbre question(5) : « Puisqu’il aurait pu être créé en uneseule parole », pourquoi la punition et la ré-compense interviendraient dans le mondequi a été créé en dix paroles, alors qu’ilpeut être créé en une seule parole, en unmot, « s’Il a voulu multiplier les paroles,pourquoi faire dépendre cela du méchant etdu juste ? ». En fait, on doit expliquer que dans la créa-tion du monde, il y a deux aspects : « Enune parole », et « en dix paroles ».« En une parole », est apparue la créationdu néant à l’existant, ce que l’on appelle :« La matière première » (6), qui est équiva-lente en toute créature existante au monde.Et « en dix paroles », a été créée et s’estdévoilée la formation des différents détailsque l’on trouve en chaque créature séparéel’une de l’autre grâce aux dix paroles, ycompris « les unions et inversement des let-tres que l’on retrouve dans les 231 portesface et dos, comme il est écrit dans le SeferHaYétsira », car par cela, ont été créés tousles détails des créatures dans le monde (7).

Le processus du don de la TorahLa Torah interagit dans le monde par lebiais d’une seule parole et parallèlement,des dix paroles. C’est pourquoi la prépara-tion à la réception de la Torah est accen-tuée par le compte du Omer depuisPessa’h jusqu’à Chavouot. Le don de laTorah est introduit par la sortie d’Egypte lorsde laquelle, « Le Roi des rois, le Saint bénisoit-Il s’est dévoilé dans toute Sa gloire etles a sauvé (8) » dans l’idée que « Lorsquetu sortiras le peuple d’Egypte, vous servirezD.ieu sur cette montagne (Chemot 3.12) ».

Et puisque l’intention lors du don de laTorah est de relier les supérieurs avec lesinférieurs, « les supérieurs descendrontvers les inférieurs et les inférieurs monte-ront vers les supérieurs (9) ». Or, la vérita-ble connection ne se fait que lorsque lesupérieur, reste ce qu’il est et s’assemblenéanmoins avec l’inférieur qui reste ce qu’ilest. Et ceci ne peut se produire quelorsqu’intervient une préparation commecelle du compte du Omer.

Lag BaomerTout ceci se retrouve a petite échelle lors deLag Baomer, Hod Chebé Hod, la splendeurdans la splendeur et cette sphère est letotal et la perfection, le plus central des sen-timents, et par cela passe l’influence de l’in-térieur vers l’extérieur. Et ainsi, la lumièresuprême brille, celle qui est au-dessus de ladivision entre les sentiments grâce à la su-périorité de l’annulation qui est du niveaude Hodaa, remerciement, ce que l’on ap-pelle, Hod Chebé Hod, la splendeur, dansla splendeur. Par cela, se dévoile l’intérioritéde la Torah.On retrouve tout ceci dans la ParachaBehar-Be’houkotaï : « Behar, sur le mont »,fait allusion à la grandeur et à la fierté (10),qui est surnommé « le végétal dans le mi-néral (11) » qui fait allusion à la subdivisionen parties et en détails (les dix paroles), carici, l’on remarque le mouvement de déve-loppement de niveau en niveau, « ils irontde force en force (12) ».« Be’houkotaï, dans Mes décrets », vientétymologiquement du mot ‘Hakika, la gra-vure, comme les lettres, sur les tables de laLoi, qui étaient gravées d’un côté commede l’autre. Ce qui fait référence au point dela quintessence qui est au-dessus de toutesubdivision en détails (une parole), et parcela, on arrive à l’abnégation qui est au-dessus de toute compréhension « J’ai dé-crété une loi, J’ai formulé un décret (13), et« Tu n’as pas le droit de le remettre encause (14) ».

Sur la montagneEt puisque l’ordre du travail va de l’aisé audifficile, ainsi, dans la Paracha Behar-Be’houkotaï, qu’on lit pendant Chabbatavant Roch ‘Hodech Sivan, on retiendraqu’il y a deux extrémités qui, toutes deuxmentionnent le « Mont Sinaï », le mont etnon le désert qui fait allusion à une réalitésubdivisée en une foule de détails, et la Pa-racha BaMidbar qu’on lit pendant le Chab-bat qui vient avant le don de la Torah, onrappelle principalement la liaison entre lesdeux extrémités par le niveau qui est au-dessus de celles-ci, « Le désert, dans le-quel personne n’a jamais habité ».

Notes : 1/ Yitro 19.1, 2/ Rachi sur le verset, 3/ Début de lapremière Michna de Avot, 4/ Avot 5.1, 5/ Midrach Chmouelsur la Michna, 6/ voir Ramban au début de Béréchit, 7/Chaar Hayi’houd VeHaémouna Ch.1, 8/ Texte de la Hag-gada de Pessa’h, 9/ Tan’houma Vaéra 15 etc., 10/ Sota 5a,11/ Torat Haïm, Béréchit 20-1, etc., 12/ Ps.84.8, 13/ MidrachBaMidbar Rabba au début de ‘Houkat etc., 14/ Rachi audébut de ‘Houkat etc., 15/ Yerouchalmi Haguiga fin Ch2.1,Likoutei Si’hot début part.15, 16/ Yerouchalmi au même en-droit etc., 17/ Midrach HaNéelam Chir Hachirim dans ZoharHadach etc., 18/ Isaïe 9.6 etc., 19/ Sefer Haara’him Habad,20/ Vayikra Rabba fin Ch. 32, et les derniers Dvar Mal’houtetc., 21/ Yerouchalmi Yebamot Ch.1.6, 22/ Chir HachirimRabba Ch1.4, Likoutei Si’hot part. 28 p315, 23/ Rambam,lois de la Techouva Ch.9.2. Likoutei Torah Tsav 17a etc.,24/ Jérémie 31.33, 25/ Isaïe 30.20

Lag Baomer

Har Meiron : Le jourde la Hilloula deRabbi Chimon BarYo’haï, les élèves dela Yéchiva de Tsfatse sont tenus dumatin jusqu’au soir, dans plusieurs stands afin de per-mettre à tous les Juifs, de tous les courants de se re-lier au Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h parl’intermédiaire des Igueroth Kodech et de recevoir sabénédiction. Un écran géant avec des vidéos duRabbi, des drapeaux, les Mivtsaïm et la joie de laGuéoula ont été présents sur le mont de Meiron ! (GN)

Jérusalem Centre :Des centaines d’en-fants se sont réunisafin de clamer lesPsoukim, les versetsde Torah. Une joiedéferlante à saisit lesrues piétonnes ducentre ville avec unefanfare, des dra-peaux de Machia’h. Même les rails de la Rakevet (letramway) ont accueillis la manifestation de Guéoula enl’honneur de Rabbi Chimon ! (GN)

Jérusalem à Baka :C’est vers 15h30 quetout a commencé. LeBeit ‘Habad de Baka,dirigé par la familleLévy, comme chaqueannée, a organiséune parade géantequi s’est achevé parun spectacle et une loterie dirigée par le Rav Avraham‘Haviv, un moment de joie et de rires, de chants et deplaisir. Par la suite les enfants ont eu accès aux tobog-gans et jeux gonflables, aux kartings et aux trotti-nettes… En bref, encore une Guéoula. (GN)

Jérusalem à Arnona-Talpiot : Cette année les deux Beit ‘Habad de Talpiot et d’Ar-nona ce sont unis pour créer un défilé massif avec unecentaine d’enfants qui ont manifesté leur attachementà Rabbi Chimon et au Rabbi Chlita Méle’h HaMa-chia’h. Un rassem-blement a étéorganisé dans legrand local de larue Guiladi, avecdes prix, des his-toires et une extra-ordinaireanimation de bal-lons… (GN)

Par la suite des activités florissante du Beit‘Habad, s’est ajouté un autre Chalia’h, leRav Chalom Dov Ber Dikstein qui connaîtune grande réussite auprès des israéliens.L’un des moyens qu’il utilise afin de renforcerson attachement au Rabbi est l’utilisationdes Igueroth Kodech. Il y de cela quelquesmois, est arrivé un miracle que le Rav Dik-stein raconte à tous ceux qui veulent bienl’entendre…« Il y a ici à Melbourne, un business-man‘hassidique, un sympathisant de ‘Habad dé-nommé Elie Marcus. Un Juif très particulieren son genre. Il ne ressemble pas, a priori, àun ‘hassid ‘Habad classique, mais son« passif » en tant que Chalia’h qui rapprochede nombreux Juifs de leurs source est assezlourd. Grâce à lui, nombreux sont les Juifsqui pour la première fois ont mis les Téfi-lines, d’autres ont fait la Brit Mila etc. Enbref, Elie est un véritable Chalia’h caché…Il m’a appelé il y a quelques temps de celaen m’annonçant visiblement ému, un miracledu Rabbi. En effet, il a un collègue dans lesaffaires à Sydney. Un Juif qui est convaincuque ce que veut Hachem, c’est que l’on soitbon avec les autres, un point, c’est tout. Jelui ai proposé de mettre les Téfilines à plu-sieurs reprises, mais rien n’y fit. J’étaismême prêt à lui en offrir une paire en ca-deau. Mais il n’était pas preneur.Il m’a appelé là maintenant, ce soir-même enme posant une seule question : « Où achètet-on des Téfilines ? ». Je me dis étonné :« Que se passe t-il qu’il veuille soudain ac-quérir une paire de Téfilines ? Lui qui penseque les Mitsvot hormis celle de l’amour duprochain, sont obsolètes ? Pourtant, il me ra-conta les faits suivants : « Mon père a ététransporté à l’hôpital suite à une maladie etsa situation s’est détériorée rapidement. Cequi a directement agit sur son moral qui s’estlui aussi dégradé en parallèle. Il m’a carré-ment demandé de lui acheter une place aucimetière… Mais la divine providence en avoulu autrement et j’ai rencontré un Chalia’hlocal qui m’a dit que l’on pouvait écrire auRabbi Chlita Méle’h HaMachia’h pour lui de-mander sa sainte bénédiction par l’intermé-diaire des Igueroth Kodech et j’ai donc écritpour mon père, bien entendu. La réponse fut, écoute bien… « Je vous de-manderai d’écrire à votre fils, M…. qu’il ait

longue vie, qu’il mette les Téfilines tous lesjours, qu’il soit pointilleux à ce sujet (sauf leChabbat et les fêtes). Et même s’il ne peutles mettre le matin, qu’il les mette du moinsavant le coucher du soleil. Expliquez-lui dansvotre lettre que la Mitsva des Téfilines estune Mitsva en elle-même et qu’elle ne dé-pend aucunement de sa situation en ce quiconcerne les autres Mitsvot. La force decette Mitsva-là, est la longue vie et le fait derentrer chez soi ».Je l’ai donc guidé au plus vite dans sonachat d’une paire de Téfilines car il était sûret certain que : « la force de cette Mitsva-là,

est la longue vie et le fait de rentrer chezsoi ». Depuis, se sont écoulés près de deux mois.Elie Marcus a appelé ces jours-ci le Rav Dik-stein pour lui raconter la suite de l’histoire.« Vous souvenez-vous de mon ami qui avaitcommencé à mettre les Téfilines suite à lalettre qu’il a reçu du Rabbi ? Et bien sonpère est rentré chez lui peu après, il est sortide l’hôpital, est en rééducation, mais il est enpleine santé, grâce à D.ieu ! Comme leRabbi Chlita Méle’h HaMachia’h l’avait pro-mis, « le fait de rentrer chez soi… ». (Traduitde la Si’hat HaGuéoula)

H i s t o i r e s d e G u é o u l aUne intervention de la Divine Providence

En Australie, comme dans de nombreux paysdans le monde, il existe un Beit ‘Habad pour lesisraéliens à Melbourne non loin du Beit ‘Habadlocal. La singulière augmentation en nombre aufil des années des touristes israéliens a créé lebesoin de monter une institution spécifique poureux par le fait du Rav Doudou Lidder, Chalia’hdu Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h…

Machia’h & Guéoula

La bénédiction de la GuéoulaL’interruption entre les malédictions de la Pa-racha Be’houkotaï et Chavouot est soulignéepar la réalité (les dix paroles). Et le besoin decette interruption se fait parce que la Torah està l’origine de toutes les bénédictions, commela lettre Beth du début de la Torah fait allusionaux Bra’hot (15), les bénédictions, à commen-cer par la bénédiction la plus importante quel’on peut remarquer dans la forme de la lettreBeth qui est « fermée de chaque côté et ou-verte d’un côté (16) ». Car le monde qui a étécréé par le Saint béni soit-Il est environnée partrois vents et non par le vent du Nord (17).Ceci dans l’optique quel’homme, par son travail,complète et capture le ventdu Nord car tel est le rôle del’homme, qui, grâce à lui,permet au monde d’être en-touré par les quatre vents.De même, le dessin du MemSofith (fermé) dans « LéMarbé Hamissra, sonrôle est d’agrandir l’empire (18) » (un Memfinal au milieu d’un mot), qui fait allusion (19) àla délivrance, la Guéoula, qui arrive par le tra-vail de l’homme qui insère et dévoile le Alef(Aloufo Chel Olam) au milieu de « Gola, l’exil »pour en faire « la Guéoula, la délivrance (20) »

Traduire tout ceci dans la réalitéOn se doit de relier tout ceci à notre travail ac-tuel. 1/ De réunir des assemblées chaqueChabbat dans les synagogues et maisonsd’étude afin qu’il y ait des cours publics car le

Chabbat bénit toute la semaine et aussi à plusforte raison, le « Temps du don de notreTorah ». 2/ Et de réveiller chez chacun la vo-lonté d’aller écouter les dix Commandementslors du « temps du don de notre Torah », afinque soient tous les enfants Juifs dans les sy-nagogues (même les plus petits et même lesbébés-21) car ils sont les garants du don de laTorah « Nos fils sont nos garants (22) ».

La délivranceEt que soit Sa volonté, et c’est le principal, ques’éveille la volonté des Juifs de s’unir pour sepréparer à la réception de la Torah. Et ceciprécipitera et activera l’annulation de la Ga-lout, l’exil, et ainsi apparaîtra la Guéoula, ladélivrance véritable et complète par notre juste

le Machia’h, car ainsi auralieu la perfection du don dela Torah : « une nouvelleTorah sortira de Moi ».Puis nous arrivons vers letemps du don de notreTorah, dans la perfection,sur notre Terre Sainte, à Jé-

rusalem, ville Sainte, sur la montagne Sainte,dans le Beit HaMikdach et dans le Saint dessaints, « une nouvelle Torah sortira de Moi »,la Torah que le Machia’h enseignera à tout lepeuple (23), jusqu’à ce que l’on apprenne duSaint béni soit-Il, lui-même (de Moi Mamach,véritablement), comme il est écrit : « Unhomme n’apprendra plus de son prochain…car tous Me connaîtront (24) » et « ton Maîtrene se voilera plus et tes yeux verront ton Maî-tre (25) », de la manière la plus immédiate Ma-mach. (Dvar Mal’hout)

Beit ‘Habad à Melbourne

L ’ è r e d e l a G u é o u l a

L E C A R N E TPour la réussite de : ‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël BenMercedès, Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, Noa SarahBat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, David Ben Tserouya. Pour la bonnesanté de : Mercedès Bat Fifine, Esther Bat Pnina Leilouï Nichmat de : JuliaBat Elie, Meyer Benchoam, Fifine Bat Habiba, Ayala ‘Haya Bat Méïr Raphaël etSerouya Beya Bat Myriam

Une autre histoire

Par la pensée…Le Professeur Jérémie Branover arencontré une personnalité impor-tante dans le monde ‘hassidique,Reb Mendel Pouterfass (de mémoirebénie) à Kfar ‘Habad. Il était devenuelà-bas le « Machpiah » de la Yéchiva,il est difficile de traduire le termeMachpiah en un seul mot car il re-groupe à lui seul plusieurs fonctions.Disons qu’il s’agit d’une personnechargée de transmettre l’esprit ‘has-sidique aux élèves de la Yéchiva et lamotivation nécessaire pour qu’ils ap-prennent à raffiner leur personnalité.De plus, il répond à leurs questionspersonnelles de manière immédiatecomme un père le ferait à son enfant.En fait, Reb Mendel est une sorte desymbole, car il représente le « Mach-piah » par essence…

On ne pouvait distinguersur son vieux visage au-cune traces des années detortures et de souffrancesqu’il avait vécu. Reb Men-del avait passé 14 ans enSibérie dans les camps detravail. Pourquoi avait-ilpassé autant de temps dans les camps,dans la Sibérie glacée, dans un hiverperpétuel, dans la servitude d’un travailstérile, avec la faim au ventre. Pour-quoi ? Quelle était sa faute ?A l’après-guerre, Reb Mendel participaità la fuite d’un millier de Juifs de l’empirecarcéral russe en direction de la Po-logne, puis du monde libre. Alors quefut bientôt terminée sa mission, il fut ar-rêté. En premier lieu, il fut condamné àla peine capitale. Il resta emprisonnédans un pénitencier, en isolement où ilattendit là l’exécution du jugement. Endernier recours, il fut gracié et l’ontransforma sa peine en de nombreusesannées d’exil dans un camp de travail. Professeur Branover : « Que faîtes-vous de votre temps libre ? RebMendel : Je passe mon temps à étudierla Torah et à m’occuper d’œuvres debienfaisance ». PB : « Comment res-sentez-vous, aujourd’hui, quand vous yrepensez, toutes ces années de souf-frances ? RM – Ce furent les annéesles plus heureuses de ma vie ! ». PB :« Je ne comprends pas, pouvez-vousm’expliquer ? RM – Tout à fait, vousavez bien entendu, ce furent là des an-nées de pur bonheur ! J’étais tout à faitconscient d’avoir offert ma vie pour desJuifs et pour le Judaïsme. Là-bas, dansle camp de travail, je n’ai jamais trans-gressé le Chabbat… Je travaillais pluspendant la semaine. De même, je n’ai

jamais mangé non-Cacher, alorsque j’étais parfois au bord de l’éva-nouissement, je ne transgressais pasles règles de la Cacherout.Ce n’est que cinq ans après le début demon emprisonnement que je reçu d’unemanière non conventionnelle, une pairede Téfilines. Ce fut pour moi un instantde joie indescriptible. Les non-Juifs quiétaient enfermés avec moi m’ont aidé.Ils disaient me jalouser car j’étais àleurs yeux, attaché à une entité spiri-tuelle, une sorte d’idéal que personnene pouvait me prendre –pas mêmeceux qui m’avaient enfermé derrièredes barreaux de fer – alors qu’on leuravait volé à eux les choses qui don-naient un goût à leur vie, tous leurs plai-sirs et leurs ambitions.Certains d’entre eux étaient prêts à tra-vailler pour moi le Chabbat. Ainsi, alorsque je n’avais parfois aucune possibilitéde mettre mes Téfilines à cause de lasurveillance perpétuelle, ils m’entou-

raient, dans la forêt, ils mecachaient de leur corps auxyeux des gardiens. C’est decette façon que j’ai pu prieravec mes Téfilines. Jusqu’àce qu’une fois, alors que lefroid était descendu au-des-sous des 50 degrés Celsius,la lanière des Téfilines avaitgelé sur mon bras et elle se

brisa comme si elle avait été faite deverre… PB : « Comment avez-vous tenu lecoup ? ». RM : « J’ai écris au Rabbi…En fait – sourit Reb Mendel – dans matête, je lui envoyais des télégrammes.Je lui décrivais les conditions de viedans le camp, ce qu’il m’arrivais ici, et jene sais comment, je captais ses ré-ponses. Et il se trouve qu’en effet, leRabbi avait reçu une partie des lettresque je lui avait écrit dans ma tête… ».PB : « Pardon ??? ». RM : « Oui !Cette histoire est particulièrement an-crée en ma mémoire, c’était un jour deLag Baomer. J’étais alors enfermé aucachot, j’attendais l’instant où ils vien-draient me prendre pour la condamna-tion à mort. Je sentais mes forcesphysiques et spirituelles me quitter.Dans mon imagination, j’envoyais un té-légramme au Rabbi (c’était dans les an-nées 40 et il s’agissait donc de l’ancienRabbi, Rabbi Yossef Its’hak)… Des an-nées après, lorsque finalement je fus li-béré, et que je fus autorisé à quitter laRussie, je rentrais chez moi à Londres.Mon épouse me donna une pile decourrier qui m’était destiné pendanttoutes ces années, on trouva à monétonnement une lettre datée de LagBaomer (ce fameux Lag Baomer) et leRabbi m’écrivait une réponse au « télé-gramme » que je lui avait envoyé cejour-là ! ». (Navi Mikirbe’ha)

Guéoula NewsPour plus d’infos, contactez :

Menou’ha Ra’hel Beckouche au

058-4770055gueoulanews@gmail.com

Le monde d’Atsilout se dévoileLa terre des trois peuples nous accordera une harmonie sup-plémentaire dans l’intellect et les sentiments. On recevra alorsla nouvelle Torah qui sortira de Moi. Et tous ne s’occuperontplus que de connaître Hachem, même les nations et toute lacréation (minéral, végétal et animal). Et dans tous lesmondes se dévoilera le monde d’Atsilout qui est proche deSon Essence béni soit-Il. Et de cela on en viendra à « Hachemse dévoila à lui », « tes yeux verront ton Maître », âmes vê-tues de corps en pleine santé et dans la plus grande pléni-tude. Et de plus, et c’est le principal, que cela se passeimmédiatement, tout de suite concrètement. (DM Le’h Le’ha)

D v a r M é l e ’ h - P a r o l e s d u r o i

La Newsletter de cette semaineest dédiée à l’élévation de l’âme

de Norbert AvrahamBen Gavriel et Julie Pnina

Nano Technologie

Bienvenue aux MicroTugsDes chercheurs de l’Université de Stan-ford ont construit de minuscules robots quipeuvent tirer des objets près de 2000 foisleur propre poids horizontalement, ou de100 fois leur poids verticalement sur unesurface en verre. Pour vous donner une idée, ces robots sont dela taille et du poids d’une balle qui rebondit, mais qui peuvent dé-placer des poids en fer de 21 kg. Autrement dit, ils sont l’équiva-lent d’un être humain tirant une baleine bleue sur une plage, ou,dans le cas du remorqueur vertical, d’une personne qui escaladeun gratte-ciel avec un éléphant sur leur dos. (IHT)

Surveillance médicale

Un capteur de litMurataManufacturing a mis au point un dis-positif à base de capteur qui est placé surun lit afin de mesurer le pouls, la fréquence de respiration, le vo-lume de sang pompé, la fluctuation des pouls d’un patient ou d’unbénéficiaire de soins. Le dispositif de capteur, nommé «Capteurde lit avec module sans-fil intégré » (Bed Sensor With Built-in Wi-reless Module). Avec un capteur d’accélération, le dispositif me-sure l’information biologique d’une personne couchée sur le lit endétectant les vibrations périodiques par minutes transférées à par-tir du corps humain dans le lit. Il transmet les données mesurées àun ordinateur externe en utilisant un module sans fil intégré. (BN)

Remèdes & Astuces

Comment arrêter de ronflerLe ronflement se produit lorsque les struc-tures de la gorge vibrent et commencent à produire du bruit.Donc, si vous ronflez régulièrement, il est nécessaire de prendredes mesures pour régler ce problème. Par exemple, la Menthepoivrée : Les propriétés anti-inflammatoires de la menthe poivréeaident à réduire le gonflement des membranes de la muqueusede la gorge et des narines, favorisant ainsi une respiration facile eten douceur. La menthe poivrée est un remède fonctionnant bienpour le ronflement temporaire. Ajoutez 1 ou 2 gouttes d’huile es-sentielle de menthe poivrée dans un verre d’eau. Gargarisez-vousavec avant d’aller vous coucher. Assurez-vous de ne pas avalercette solution. Renouvelez tous les jours jusqu’à ce que vous ob-teniez le résultat désiré. L’Huile d’olive : Etant un fort agent anti-in-flammatoire, l’huile d’olive assouplit les tissus le long des voiesrespiratoires, ce qui réduit leur gonflement et permet un libre pas-sage de l’air. Elle peut aussi réduire la douleur. Utilisez ce remèderégulièrement pour réduire également les vibrations dans la gorgeet arrêter de ronfler. Prenez 2 ou 3 gorgées d’huile d’olive avantd’aller au lit tous les jours. Et voilà… (GN)