BH

Horaires de ChabbatParachat Tavo - Jérusalem

Entrée : 18h13 - Sortie : 19h24Yé’hi Adoneinou

Morénou Vérabbénou Méle’h HaMachia’h Léolam Vaèd

N°18 - Hebdomadaire Chabbat Parachat TavoEdition française

gueoulanews@gmail.com

High-tech

Kwid, le compagnon de conduite

Robuste et hyper-connecté, high-tech eténergisant, Kwid Concept est le premiervéhicule équipé d’un « Flying Compa-nion », premier instrument de ce type dansle domaine automobile.

Ce « Flying Companion » qui revêt la formed’un drone aurait en outre pour missions decontrôler la vitesse de la voiture, prévenir deszones dangereuses ou encore aider à se sor-tir d’embouteillages. Il filmerait aussi les tra-jets... Pour ne plusrien rater desbeaux paysagestraversés en che-min ! (ID)

Technologies nouvelles

Une maison construite par imprimanteAlors que les technologies de fabri-cation additive se démocratisentdans l’industrie, un projet architectu-ral va plus loin. Une maison entièreest en train d’être imprimée en 3D surles rives du canal d’Amsterdam.

Le KamerMaker est la plus grande im-primante 3D du monde. Fabriquée àpartir d’un conteneur de transport mari-time, elle a été conçue il y a quelquesannées par Utilimaker et ArchitectburoDUS afin de repousser les limites dela fabrication additive en permettantl’impression d’objets de très grandetaille, qu’il s’agisse de meubles ou depetites éoliennes.Le but affiché consistait, à terme, à seconsacrer à des projets architecturaux àéchelle réelle. Il est en passe d’être at-teint. En effet, le KamerMaker travailleen ce moment à la construction d’unemaison entière sur la rive du canald’Amsterdam, dont il a déjà créé l’undes coins. Cela lui a pris une semaine,et la pièce actuelle pèse environ 180 kg.A ce rythme, il lui faudra environ 3 anspour compléter son œuvre. Afin de s’as-

surer de la solidité de l’ensemble, l’en-treprise qui gère la construction utiliseune structure en nid d’abeilles à l’inté-rieur des pièces. Celle-ci sera rempliepar une mousse spécifique avant l’as-semblage final, pour obtenir une soliditéproche de celle du béton. Une fois ter-minée, la maison deviendra un muséedu design. (ID)

Le Coeur des MamansAssociation d’aide

aux familles en difficultéPour vos dons

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058-4261316

18 Elloul : La connectionL’anniversaire du Baal Chem Tov et de l’Admour Hazaken, le 18 Elloul(ce Chabbat) est une date pendant laquelle on va puiser des forces,pour nous préparer à l’année qui vient, qui arrive et qui nous prometde grands bouleversements, nous le savons tous intuitivement.Nous allons vivre un grand moment, c’est certain, mais dans quel genre ? Là est laquestion. Tout d’abord l’année de la Chemita qui arrive avec toutes ses prophétiesconcernant la Guéoula. Mais aussi la fin des ennemis d’Israël qui est, elle aussi, unprélude à la venue du Machia’h et en est une condition incontournable. Ce que l’onsouhaite surtout pour l’année 5775, c’est d’être tous réunis, dès aujourd’hui, dèsmaintenant, en sécurité sur notre terre avec notre roi, le Machia’h au troisièmeTemple, attablés pour le grand festin, celui du Léviathan et du Chor Habar dans laplus grande joie… Celle de la Guéoula. (GB)

T o r a h d e G u é o u l a

Dva r Ma l ’ h ou tExtraits du discoursDu Rabbi de Loubavitch Méle’h HaMachia’h ChlitaChabbat Tavo21 Elloul 5751-1991

La voix qui nous bénit

Alors que le Commandement et l’Alliancequi concernent l’ensemble de la Torah etdes Mitsvot entre D.ieu et Israël se trou-vent dans le Texte directement à la suitede la Mitsva des Bikourim, des prémices(1), il convient de souligner qu’il y a néces-sairement un rapport entre les deux sujets(car la Torah implique une grande préci-sion, ainsi que dans le fil des événe-ments).

Nous remarquons ceci plus particulièrementdans le commentaire de Rachi (2) : « En cejour, l’Eternel ton D.ieu t’ordonne… et tu l’ob-serveras et l’accompliras », c’est une bénédic-tion qui vient suite à l’accomplissement de laMitsva des Bikourim dont on parle précéde-ment (3), : « Une voix sortait du ciel et bénis-sait : aujourd’hui tu as amené les Bikourim, ilen sera de même l’année prochaine » (4).

Une multitude de louanges à D.ieuPour comprendre tout ceci, il nous faut toutd’abord expliquer la différence existant entreles autres sortes de remerciements et delouanges à D.ieu et la Mitsva des Bikourim.Le sens de l’apport des Bikourim, des pré-mices est que : « C’est de Lui, qu’Il soit béni,que nous sont dispensées toutes les bénédic-tions du monde (5) » la bénédiction du Saintbéni soit-Il donne au Juif l’abondance des ré-coltes et des fruits de son champ, c’est pourcette raison qu’il apporte à D.ieu : « Le com-mencement de tous les fruits de la terre (6) »,les premiers et les meilleurs de tous les fruitsdu champ, et il remercie le Saint béni soit-Ilpour les fruits dont il a été béni par D.ieu etpour toutes Ses bontés : « Et tu diras à hautevoix devant l’Eternel ton D.ieu », « l’on racon-tera Ses bontés, qu’Il soit béni, à notre atten-tion, et pour tout le Peuple Juif engénéral (7) ».Le sentiment de reconnaissance envers leSaint béni soit-Il, toutes Ses bontés, les re-merciements et la louange envers D.ieu pourceux-ci, est un sujet fondamental dans la vied’un Juif. En effet, il entame sa journée dèsqu’il s’éveille de son sommeil (8) grâce à lareconnaissance et à la déclaration : « ModéAni Lefanei’ha, reconnaissant je suis devantToi… puisque Tu m’as restitué mon âme (9) »,et c’est la base-même, le premier portique duservice de D.ieu, puis, l’on enchaîne avec lesbénédictions du matin et les prières (commelorsque l’on dit : « On Te remerciera… pournos vie qui sont livrées dans Ta main… etpour Tes merveilles et tout le bien que Tunous dispenses soirs, matins et après-midis

(10) », ainsi que les bénédictions sur les ali-ments et réjouissances différentes et nom-breuses qu’un Juif doit faire pour remercier etbénir D.ieu pendant toute sa journée et tousles jours pour tout le bien dont il profite y com-pris et essentiellement le Birkat Hamazone, labénédiction finale sur le repas, qui provient di-rectement de la Torah (11) « Il nourrit lemonde entier de Sa bienveillance et par Sagrâce, Sa bonté et Sa miséricorde… (12) ».

Les « Prémices de D.ieu »Nos Sages ont déclaré (13), que les enfantsd’Israël sont appelés « les Bikourim, les pré-mices », comme il est écrit : « comme les pre-miers fruits mûrs sur le figuier, J’avaisconsidéré vos ancêtres (14) » et « Israël estune chose sainte, appartenant à l’Eternel, lesprémices de Sa récolte (15) ». Car de mêmeque les prémices sont les premiers fruits de larécolte et « les prémices ont précédé toutechose (16), de même les enfants d’Israël sontle commencement du monde (17), ils sont audébut et au-dessus de tout ce qui a été créé« La pensée d’Israël a précédé toute chose(18) ». Et comme l’on précisé nos Sages(Rachi) sur le verset : « Au commencement,D.ieu créa le ciel et la terre (19) », le monde aété créé « pour Israël qui a été appelé ledébut de Sa récolte (20) ».

Le rapport entre l’Alliance et les BikourimLa réponse en ce qui concerne le lien entreles prémices et l’Alliance est la suivante : Lesprémices dévoilent le but de l’accomplisse-ment de la Torah et des Mitsvot chez le Juif,en tant que Nechama (âme) dans un corps,dans ce monde matériel, on dévoile qu’il estles « Bikourim », le « début » du monde entiercar il n’est qu’un avec le Saint béni soit-Il« Devant l’Eternel ton D.ieu », « Israël et leSaint béni soit-Il ne font qu’un ».

Le mois d’Elloul évoque l’amourCe sujet a aussi un lien spécial avec le moisd’Elloul, le moment du bilan spirituel (21) del’année qui vient de s’écouler, et de la prépa-ration à l’année qui arrive :Le mois de Elloul comporte les initiales de« Je suis à mon bien-aimé et mon bien-aiméest à moi (22) ». C’est le moment où chaqueJuif se sent proche du Saint béni soit-Il, etcette proximité a pour origine l’amour et l’atta-chement comme le montre le nom affectif de« Dodi, mon bien-aimé » (23). Comme l’imageque donne l’Admour Hazaken (24), alorsqu’au mois d’Elloul, le Saint béni soit-Il res-semble à « un roi dans les champs », « alors,

chacun a la permission (celui qui le désire)d’accueillir le roi, et lui se montre bienveillantenvers chacun et sourit à tous », et chacunpeut demander tout ce dont il a besoin.

Se soucier de l’autreEt de plus, chacun, doit se soucier d’influen-cer chaque Juif autour de lui, afin que tous ac-complissent leur travail de la manière la plusparfaite au mois d’Elloul, pendant les Seli’hot,et par la suite pendant le mois de Tichri.Et principalement, l’on doit s’éveiller plusparticulièrement en tout ce qui concerne ledon de tous leurs besoins aux nécessiteuxpour les fêtes et pour Roch Hachana avanttout et durant tout le mois de Tichri par lasuite.

Appeler la Guéoula d’une voix forteEt puisque l’on doit « dire d’une voix forte », etque cela vient d’un Juif, qui est l’un des « Bi-kourim, prémices » de D.ieu, il n’est qu’unavec le Saint béni soit-Il, et il dira d’une voixforte, devant l’Eternel ton D.ieu, et il est clairque lorsqu’il « dira d’une voix forte », il aurala force de précipiter la Guéoula, la déli-vrance de la manière la plus concrètepuisqu’« avant même qu’ils ne m’appel-lent, Je leur répondrais (25) ».Et même si l’on a dit : « Je fauterais et feraisTechouva ! On ne lui accorde plus l’accès à laTechouva (26) », pourtant, le Saint béni soit-Ila envoyé les enfants d’Israël en exil… dans lebut d’élever les enfants d’Israël à un niveauplus élevé, grâce à l’appel d’une voix forted’un Juif, il possède la force d’annuler le voileet la chute momentanée de l’exil et d’intro-duire le « Alef » d’Aloufo Chel Olam, le Maîtredu monde, afin de dévoiler la délivrance totaleet définitive.

Notes1 – Sifri au début de notre Paracha, 2 – 26.16, 3 –Likoutei Torah sur notre Paracha, 4 – voir LikouteiSi’hot vol.19, 5 – Hinou’h Mitsva 72 et 606, 6 –26.2, 7 – Hinou’h Mitsva 606, 8 – Siddour de l’Ad-mour Hazaken ainsi que dans son Choul’hanArou’h, 9 – Siddour au début, 10 – prière de laAmida, 11 – Bra’hot 48b, 12 – première bénédictiondu Birkat Hamazone, 13 – Zohar 3ème partie, 14 –Osée 9.10, 15 – Jérémie 2.3, 16 – Troumot 3.7, 17– Likoutei Torah sur Pin’has, 18 – Béréchit RabbaCh.1, 19 – Béréchit 1.1, 20 – Jérémie 2.3, 21 –Sefer HaMaamarim 5696 p.141, 22 – Cantique descantiques 6.3 – Aboudaram sur la prière de RochHachana, 23 – Bait ‘Hadach : Tour Ora’h Haïm 581,24 – Likoutei Torah sur Réeh, 25 – Isaie 65.24, 26 -Michna fin du traité Yoma

H i s t o i r e s d e G u é o u l aPanique à bord (un miracle époustouflant)

Notre ami de Paris, le Chalia’h David Tordjman,raconte : « Il y a quelques mois de cela, je suisparti en Terre Sainte. Comme à mon habitude jepasse toujours à mon arrivée au 770 de Kfar‘Habad (la copie conforme du QG de ‘Habad àNew York) afin de solliciter la bénédiction duRabbi Chlita Méle’h HaMachia’h pour la réussitede ma mission et j’en fais de même avant mondépart ; je fais un compte-rendu des événements,puis je rentre dans le bureau du Rabbi pour luidemander la bénédiction pour un bon voyage.

Lorsque j’étais à Kfar ‘Habad, j’avais rencontréun ‘hassid qui s’occupe de fabriquer des ‘Hitat(Le ‘Houmach, les Téhilim et le Tanya que nousétudions quotidiennement) au format microfilmet cela donne une sorte de carte de visite et surune face on a une photo du Rabbi et de l’autrela Tefilat Hadere’h. J’en ai donc commandé unequantité. Six mois plus tard, c’est à dire cemois-ci, le mois d’Elloul, j’ai fait de nouveau unvoyage en Israël pour préparer le grand voyagede Tichri au 770 de New York avec une équipede jeunes français. J’avais rendez-vous avec le ‘hassid pour macommande. Mais il n’arrivait toujours pas, je mesuis demandé s’il fallait que j’attende encoremalgré toutes les occupations pour mon retourà Paris, mais j’ai ressenti comme s’il y avait uneimportance toute particulière dans l’acquisitionde ces cartes. Je suis donc resté et en effet le‘hassid arriva. Il me transmit 270 cartes. Puis, je me suis rendu au 770 de Kfar ‘Habadpour rendre compte au Rabbi et lui demandersa bénédiction pour un bon voyage. Mon ami leRav Lattard n’était pas là et quelqu’un d’autre adû m’ouvrir la porte du vestibule qui précède lebureau du Rabbi. Il ne possédait pas la clé du« Kodech Kodachim » et j’ai dû me contenterde rester dans le vestibule, devant la porteclose, pour dire quelques Tehilim et demanderla bénédiction pour mon départ à Paris.Vers midi, j’ai pris un taxi pour l’aéroport BenGourion. Là je rencontrais mon ami Yossef quise joint à moi et tout se passa bien jusqu’ànotre entrée dans l’avion. C’était un vol El Al etnous étions rassurés car cette compagnie areçu la bénédiction du Rabbi. On nous a placé à côté de la porte de secoursen nous demandant de ne pas déposer d’objetà proximité etc., toutes sortes de consignes desécurité. Après le décollage, nous avons sortisnos livres d’étude, Rambam, ‘Hitat, nous avonsfait la Tefilat Hadere’h et dit des Tehilim. Au bout d’un moment, nous entendîmes desbruits bizarres. Nous n’étions pas très rassurésmais nous étions confiants, pas de panique.Mais les bruits persistaient et peu à peu l’am-biance se dégrada dans l’avion pour les 300passagers du vol. Et là, le commandant debord prit la parole et annonça : « Nous avons

un problème hydraulique et nous devons fairedemi-tour vers Tel Aviv ». Nous étions déjà de-puis deux heures en vol. Les gens étaient trem-blants certains pleuraient, d’autre faisaient leChéma Israël, on sentait réellement la Te-chouva du mois d’Elloul…D’un coup, il y eut un énorme fracas, les passa-gers étaient épouvantés, blêmes. Le comman-dant reprit la parole et dit : « Rassurez-vous,nous avons dû lâcher une grosse quantité decarburant pour alléger l’avion »… Panique àbord !J’ai immédiatement écrit une lettre au Rabbi.Puis je me souvins que lorsque j’étais au 770de Kfar ‘Habad, la porte du bureau du Rabbiétait fermée. Quelle serait l’issue… Je regar-dais mon ami Yossef et nous étions soudainétonnés du silence. Je lui dit : « regarde par lehublot, l’avion vole sur les nuages, peut-êtreque nous retournons en Terre Sainte pour allerau Beit HaMikdach !!! ».L’atterrissage fut lui aussi surprenant. Lorsquenous descendîmes vers Tel Aviv, nous distin-guâmes soudain des dizaines de véhiculesd’urgence. Pompiers, police etc. Au sol, on nous annonça que nous pouvionsaller manger dans un restaurant aux frais de lacompagnie, en attendant qu’ils décident com-ment se passerait la suite des événements.Moi, j’avalais un sandwich en vitesse, je devaisabsolument me rendre au Beit ‘Habad de l’aé-roport pour demander au Rabbi sa précieusebénédiction pour notre départ.

Sur place, un groupe de français venait d’arri-ver et l’on me demanda de les aider à mettreles Tefilines. Je fus très occupé par cette acti-vité et vint l’heure de la prière d’Arvit. Alors queje cherchais l’endroit où l’on se lave les mains,je tombais face à face à un écran plasma etlà… Le Rabbi Chlita Méle’h HaMachia’h enplein Farbrengen se leva et en encourageant lafoule des présent par un mouvement du bras, illança le chant : « Ki Besim’ha Téetsé… Tu par-tira dans la joie ! », voilà ma bénédiction, il n’yavait plus rien à craindre, nous pouvions partirtranquilles.Mais tout ne s’arrête pas là. On nous annonçaque l’on devait reprendre l’avion… le mêmeavion. Trente personnes refusèrent et restèrentdans l’aéroport. Le reste, monta et je les encou-rageais moi-même en leur annonçant que nousavions la bénédiction du Rabbi. Dans l’avion,un groupe de jeunes chantait timidement lechant de la Guéoula : « Ye’hi Adoneinou… », jeme dirigeais vers eux et relançais le chantd’une voix forte avec des danses et je distri-buais à chacun la Tefilat Hadére’h en versionfrançaise. Les gens me l’arrachaient littérale-ment des mains. Puis je m’installais sur lemême siège avec mon ami Yossef. Je me mis àréfléchir et me rendis compte que dans ma va-lise, dans la soute, il y avait 270 ‘Hitat en micro-film et nous étions exactement le mêmenombre à bord… Inutile de préciser que levoyage se passa dans la joie et nous sommesarrivés à bon port, Barou’h Hachem. (GN)

Nous allons dès maintenant en Terre d’IsraëlEt que soit Sa volonté que par cet appel d’« une voix forte » d’unJuif, qui demande du Saint béni soit-Il : « S’il Te plaît, aie pitiéde nous et fais nous sortir de l’exil, nous, Enfants d’Israël, et apporte-nous la délivrance véritable et entière par l’intermédiaire du Ma-chia’h, notre juste ». Et que soit la volonté d’Hachem que tout ceci agisse enfinet nous apporte la délivrance de la manière la plus rapide, de manière immédiateet instantanée Mamach, et tous les enfants d’Israël, chaque Juif et chaque Juive,vont (Tavo) : « dans le Pays que l’Eternel ton D.ieu te donne afin que tuen hérites et t’y installes, et tu prendras les prémices de tous les fruitsde la terre… ». « Et tu diras d’une voix forte », que ce soit de la ma-nière la plus immédiate, Mamach. (Dvar Mal’hout Tavo 5751)

L ’ è r e d e l a G u é o u l a

Petites AnnoncesCours de TorahJérusalemBeit Machia’h du centre ville8, rue Yaavets. 054-5731430BakaChabbat : Minyane‘Habad à 10h30 suivi deFarbrengen et Min’ha.Synagogue Tefila LeDavid - 1, rue Dan

Har ‘HomaCours pour femmes surla pureté familiale. Unmercredi sur deux à20h30 chez Mme Zerbib,27 rue Its’hak Nissim.055-6654123Exclusif ! Le livre duDvar Mal’hout (discoursdu Rabbi Chlita MHM1991-1992) en françaisest enfin disponible... 054-9204694

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L E C A R N E TPour la réussite de : De nos soldats qu’Hachem les protège‘Hanna Bat Mercedès, Line Bat Mercedès, Michaël Ben Mercedès,Henri ‘Haïm Ben Julia, Perla Bra’ha Bat Menou’ha Ra’hel, NoaSarah Bat Menou’ha Ra’hel, la famille Liraz Touval, Gary ChlomoBen Tserouya, David Ben Tserouya Pour la bonne santé de : Mercedès Bat Fifine, Moché Ben Fifine,et Morde’haï Tsvi Ben Ra’hel Leilouï Nichmat de : Norbert Avra-ham Ben Pnina, Yossef Ben Solika, Meyer Benchoam, Fifine BatHabiba, Yossef Abitbol Ben Clara et Ayala Bat Méïr.

Igueroth KodechPour consulter les Igueroth Kodechet vivre les miracles de la Guéoulagueoulanews@gmail.com

Le journal «Guéoula News» est édité par l’association «Vive Le Roi Machia’h». Directrice de la publication : Menou’ha Ra’hel Beckouche - Graphisme-Journalisme : Gabriel BeckoucheSecrétariat : Léa Bensimon - Correspondant à Paris : ‘Haïm Benchoam 0177127044 - Site Internet:www.viveleroi770.com - Email : gueoulanews@gmail.com - Tél. 058-4770055 ou 0177501175

Sociologie

Un défi pour l’humanitéComment faire vivre 7 milliards de per-sonnes tout en respectant l’équilibre dela planète ? Le défi est immense et ap-pelle des réponses nouvelles. Aux in-dustriels d’innover pour préparer lemonde de demain !

En cinquante ans, la population mondialeest passée de 3 à 7 milliards de per-sonnes. Les besoins en énergie sont sanscesse croissants tandis que les énergiesfossiles (pétrole, gaz…) se raréfient.Face à l’immensité de la tâche, certainssont tentés de renoncer. Ils proposent lerepli sur soi et la décroissance écono-mique. Et s’ils avaient tort ? Et s’il étaitpossible de préserver notre niveau de vie? Après tout, les dernières décennies nousdonnent des raisons d’espérer : dans lespays émergents, des millions de femmeset d’hommes sont sortis de la pauvreté…Et dans le même temps, des progrèsconsidérables ont été accomplis pour ré-duire la pollution urbaine et industrielle.Tout cela n’a été possible que parce quedes hommes et des femmes ont su inven-ter de nouvelles façons de produire – etdans tous les domaines. Ils ont aussi in-venté des produits qui changent notre viede tous les jours. L’immensité descontraintes nouvelles libère la créativité.Antithèse du découragement, le dévelop-pement, grâce à la recherche et à l’innova-tion, s’impose comme le seul choixpossible pour imaginer l’avenir.L’industrie, comme elle l’a déjà fait, conti-nuera donc à innover pour apporter dessolutions face aux enjeux de la santé, de lasécurité, du transport ou encore des com-munications.

De nouvelles idées de génieUn exemple ? Le téléphone portable. Il arévolutionné la communication et leséchanges dans le monde entier… Et de-puis peu, certains fonctionnent avec desbatteries solaires. Il est maintenant possi-ble d’être en contact avec le monde entiersans consommer d’énergie qui ne soit pasrenouvelable ! Dans le même esprit, onpeut désormais produire de l’énergie

grâce à des ballons gonflables qui montentet descendent au gré de la houle marine –une source inépuisable ! On pourrait citeraussi le développement des véhiculesélectriques, ou encore les industries ba-sées sur le recyclage…L’industrie israélienne est l’une des plusdynamiques au monde en matière de Re-cherche et Développement. Son déficonsiste aujourd’hui à transformer cette re-cherche en produits qui sauront faire valoirleur différence sur leur marché.Performance, différenciation, valeur ajou-tée : dans un contexte mondial trèsconcurrentiel, c’est par l’innovation que lesentreprises technologiques et industriellesisraéliennes relèveront le défi de la compé-titivité – non seulement par les coûts, maispar la création de valeur. Avec, à la clé, lacréation de nouveaux emplois.

Le défi de la vie éternelleLa Guéoula s’inscrit aujourd’hui toutd’abord dans l’esprit de notre temps. Lessciences nouvelles, les nouveautés scien-tifiques et médicales sont là pour nous rap-peler que la grande découverte se trouvedans la Torah, dans la Torah ‘Hadacha. La‘Hassidout dont c’est l’anniversaire le 18Elloul (ce Chabbat) avec la naissance duBaal Chem Tov et celle de l’Admour Haza-ken, Rabbi Chnéour Zalman de Lyadi, lefondateur de la ‘Hassidout ‘Habad. Et àpartir de lui, il y eut encore six générationsde Rabbis de ‘Habad et le septième qui estle chéri d’entre toutes les générations estcelui qui a le plus étudié les sciences etc’est celui qui a le plus dévoilé de secretsdans la Torah. C’est celui qui nous a ensei-gné la Torah ‘Hadacha, la ‘Hassidout etc’est aussi celui qui nous enseignera trèsbientôt « la nouvelle Torah qui sortira deMoi ». C’est le Rabbi de Loubavitch Méle’hHaMachia’h qui nous sauvera de tous nostracas et nous emmènera au troisièmeTemple sur les nuages du ciel de façon im-médiate dans la plus grande joie « AzImalé S’hok Pinou, Il emplira nos bouchesde rires ». Miyad Mamach ! (ID – GN)

High-Tech

Le StratobusAmi-chemin entre ledrone et le satellite,découvrez le Strato-bus, un objet spatialencore au stade deprojet imaginé parThales Alenia Space.Cet étrange dirigeable gonflable serait installé dans lastratosphère, immobile par rapport au sol. Samission ? Compléter les services offerts par les satellites,comme par exemple la surveillance, la cartographie oules télécommunications. Un premier prototype est prévud’ici 5 ans.

Robots chirurgiensLes robots débarquent égalementen salle d'opération. Dès 1998, unnouveau robot d'intervention «DaVinci», développé par une sociétéaméricaine Intuitive Surgical Inc,est utilisé lors d'une opération ducœur, pratiquée par le ProfesseurCarpentier.Les principales innovations de cesystème comprennent un poignetartificiel (encore bien plus performant que la main du chi-rurgien !) et une caméra tridimensionnelle. Derrière saconsole, le chirurgien opère virtuellement à l'aide de pe-tites manettes. Ses gestes sont analysés puis retranscritspar les bras articulés du robot au contact du malade. Les robots d’aujourd’hui, peuvent assister le chirurgien enguidant les instruments chirurgicaux sur la zone cibléeavec une extrême précision, minimisant ainsi les risquesde dommages cérébraux. Le robot Pathfinder de la firmeArmstrong Healthcare est le premier robot capable d'éta-blir une cartographie du cerveau à partir d'une visualisa-tion par scanner du crane d'un patient et d'aider lepraticien dans le choix du parcours.Ces découvertes ne représentent que trois grands axesde recherche et ne prétendent en rien être exhaustives.Les techniques d'imagerie médicale avec la mise aupoint d'endoscopes toujours plus performant ou de tech-niques non invasives de plus en plus précises sont au-tant de domaines qui préfigurent sans nul doute lachirurgie du futur. Demain, passer sur le billard pourraitêtre un jeu d'enfant ! (GN)