La philosophie française Sartre et Foucault

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La philosophie française Sartre et Foucault. La philosophie française. la philosophie anglaise : Hobbes / Locke la liberté négative : l’individu la philosophie allemande : Kant / Hegel la liberté positive : l’histoire la philosophie française : Sartre / Foucault - PowerPoint PPT Presentation

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La philosophie françaiseSartre et Foucault

 la philosophie anglaise: Hobbes /Locke

la liberté négative : l’individu

la philosophie allemande: Kant / Hegel

la liberté positive : l’histoire la philosophie française: Sartre/Foucault

la liberté radicale : l’imaginaire

La philosophie françaiseLa philosophie française

 chaque séquence : intégrer de nouveaux champs du savoir à la philosophie

philo anglaise : l’économie philo allemande : l’histoire, la

sociologie philo française: l’art, la littérature

La philosophie françaiseLa philosophie française

 

Paris capitale de l’art Paris capitale de l’art modernemoderne

 

Paris capitale de l’art Paris capitale de l’art modernemoderne

surréalisme

psychanalyse

 

Parti Communiste Parti Communiste dominantdominant

 le sujet

= quelque chose de plus vaste que la conscience / le « moi »

= forces créatrices inconscientes

La philosophie françaiseLa philosophie française

  champ politique + profond

≠ subjectif (individu) ≠ objectif (histoire)

= imaginaire, symbolique

La philosophie françaiseLa philosophie française

 Sartre = « existentialisme »

phénoménologie (Husserl/Heidegger)

Foucault structuralisme (Lévi-Strauss)

La philosophie françaiseLa philosophie française

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

Études de philo ENS

Simone de Beauvoir

La nausée (1938)

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

la guerre; la résistance

L’être et le néant (1943)

Les Mouches (1943)

Huis-clos (1944)

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

« intellectuel total »

Les Temps Modernes

théâtre

romans, essais

Saint-Germain-des-Prés

« existentialiste »

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

engagements politiques

« compagnon de route » du PC

1952-1956

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

engagements politiques

du côté des opprimés et de leurs leaders

pas de souci pour sa réputation/postérité

refuse le Prix Nobel 1964

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

engagements politiques

Guerre d’Algérie FLN

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

engagements politiques

Cuba

Fidel Castro

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

engagements politiques

peuples arabes

Nasser

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

engagements politiques

peuples colonisés

préface de

Franz Fanon, Les Damnés de la terre

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

engagements politiques

Guerre du Vietnam

Tribunal Russell

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

engagements politiques

ouvriers

femmes

homosexuels

condamnés à mort

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

philosophie de la liberté radicale

L’être et le Néant (1943)

L’existentialisme est un humanisme (1946)

Critique de la Raison Dialectique (1960)

Jean-Paul Sartre (1905-1980)

« Essai d’ontologie phénoménologique »

phénoménologie

Edmund Husserl

(1859-1938)

Idées directrices pour une phénoménologie (1913)

L’être et le néant

« Essai d’ontologie phénoménologique »

phénoménologie

Martin Heidegger

1889-1976

Etre et Temps (1927)

L’être et le néant

phénomène : ce qui apparaît à la conscience; le donné, la chose même

« retour aux choses mêmes »

objet ; image; souvenir ; nombre; etc.

mise entre parenthèse de l’objectivité et de l’existence des choses, au profit de son apparaître

Edmund HusserlEdmund Husserl

intentionnalité :

« toute conscience est conscience de quelque chose »

visée d’un objet « transcendant »

lien vécu entre sujet et objet

Edmund HusserlEdmund Husserl

la conscience n’est plus une instance qui réfléchit, représente, mais se projette, se lance vers les choses

recherche d’une vérité + profonde que « l’objectivité » scientifique

« La terre ne se meut pas »

Edmund HusserlEdmund Husserl

contemplation

rapport authentique au monde

>< technique

rapport inauthentique au monde

la vérité : ancrée dans la certitude du vécu, dans la subjectivité

Edmund HusserlEdmund Husserl

« l’être est et le néant n’est pas »

« l’homme est l’être par qui le néant vient au monde »

L’être et le néant

être de la chose : être-en-soi

être = être

identité, plénitude, inertie

être de l’homme : être-pour-soi

être = ne pas être

projet, imagination, négation

L’être et le néant

« L’homme est d’abord ce qui se jette dans l’avenir, un projet qui se vit subjectivement, au lieu d’être une mousse, une pourriture ou un chou-fleur. L’homme sera d’abord ce qu’il aura projeté d’être »

L’existentialisme est un humanisme, p. 30

intentionnalité

« la conscience est purifiée, elle est claire comme un grand vent, il n’y a plus rien en elle, sauf un mouvement pour se fuir, un glissement hors de soi »

Situation I , p. 30

intentionnalité

Husserl : contemplation

Sartre : pratique

agir, création

L’être et le néant

intentionnalité

le sujet = + vaste que la réflexion, la représentation

être-au-monde

sujet décentré

L’être et le néant, p.29

intentionnalité

« ce n’est pas dans je ne sais quelle retraite que nous nous découvrirons : c’est sur la route, dans la ville, au milieu de la foule, chose parmi les choses, homme parmi les hommes »

Situation I , p. 32

intentionnalité

« la conscience est un être pour lequel il est dans son être question de son être, tant que cet être implique un être autre que lui »

L’Etre et le néant, p.30

« l’existence précède l’essence »

« cela signifie que l’homme existe d’abord, se rencontre, surgit dans le monde, et qu’il se définit après. L’homme (…) n’est d’abord rien. Il ne sera qu’ensuite, et il sera tel qu’il se sera fait ».

L’existentialisme est un humanisme, p.28

le sujet ≠ nature

= praxis : action, création

la conscience = imageante : faire des « trous » dans l’être-en-soi

importance de l’imaginaire

importance de l’art = gage de liberté

Sartre

la liberté n’est pas une valeur éthique; c’est une modalité de l’être

« l’homme est condamné à être libre  »

L’existentialisme est un humanisme, p.39

« jamais nous n’avons été aussi libres que sous l’Occupation »

exister = nier, résister

Situations III, p.11

maladie, handicap, caractéristique physique

une autre situation

subjectivité intacte

toute situation ouvre des possibilités pour le sujet

L’Etre et le néant

soit l’H assume sa liberté

vit le pour-soi sur le mode du pour-soi

authenticité

soit l’H n’assume pas sa liberté

vit le pour-soi sur le mode de l’en-soi

inauthenticité : inertie

L’être et le néant

Ex : file de l’autobus

« pratico-inerte »:

praxis : conscience, volonté pour-soi

inertie = sérialité: consciences séparéesen-soi

Critique de la raison dialectique, p.384

Ex : file de l’autobus

praxis engluée dans l’extériorité/sérialité« l’impuissance subie est le mastic de la sérialité »mais minimum incompressible de liberté

Critique de la raison dialectique, p.384

critique du marxisme / psychanalyse

refus de l’objectivisme : déterminisme

infrastructure économique (Marx)

= praxis aliénée

inconscient-refoulement (Freud)

= conscience qui se ment à elle-même

Critique de la raison dialectique

problème moral = politique

condition de possibilité / d’impossibilité de ma liberté : autrui

j’ai besoin d’autrui pour être libre

c’est autrui qui menace ma liberté

« dialectique du maître et de l’esclave »

« l’enfer, c’est les autres » (Huis-clos )

« dialectique du maître et de l’esclave »

l’homme a besoin de reconnaissance

j’existe à travers le regard de l’autre

mais : rapports de domination

=> consciences « chosifiées », réifiées dans un rôle, une fonction, un identité

aliénation

« dialectique du maître et de l’esclave »

comment ma liberté peut-elle rencontrer la liberté d’autrui sans se figer, s’aliéner ?

= la révolution

= l’abolition du capitalisme : condition nécessaire mais non suffisante de la liberté

marxisme: « l’horizon indépassable de notre temps »

Critique de la raison dialectique

la Révolution : processus radical individuel / collectif politique / économique / culturel

les consciences/praxis se soulèvent se rencontrent

Critique de la raison dialectique

Mai 68

Prise de la Bastille

la révolte se fixe dans le serment=> institution => pouvoir =>

aliénation=> retombée dans le pratico-inerte

Critique de la raison dialectique

liberté radicale = révolution permanente

Critique de la raison dialectique

la philosophie sartrienne de la liberté radicale ne peut déboucher que sur une philosophie de la violence

R.AronHistoire et dialectique de la violence

« La Critique raconte, en une sorte de roman philosophique, l’odyssée de la conscience qui s’aliène dans l’objet, se perd dans le pratico-inerte, la matérialité et la sérialité, s’arrache ensuite à la servitude ou, mieux encore, à la glu qui l’enserre et l’enferme, se reconquiert elle-même par la révolte, par le combat et enfin, pour vaincre, perd ses raisons de vaincre » (…)

R.AronHistoire et dialectique de la violence

« (…) La révolte, pour ne pas succomber aux coups de ses ennemis, devient révolution ; celle-ci ne survit que par l’organisation, puis l’institution ; l’État, les souverains naissent ou renaissent de la révolution triomphante, trahie par son triomphe »

R.AronHistoire et dialectique de la violence

Michel Foucault (1926-1984)

Ecole Normale Supérieure

homosexualité ; troubles psychologiques

Michel Foucault (1926-1984)

Histoire de la folie à l’âge classique (1963)

Michel Foucault (1926-1984)

Les Mots et les choses (1966)

« mort de l’homme » = critique du sujet-conscience

querelle avec Sartre

Michel Foucault (1926-1984)

Collège de France (1969)

Michel Foucault (1926-1984)

Groupe d’Information des Prisons

dissidents Pologne, URSS

mouvement gay

Michel Foucault (1926-1984)

Révolution iranienne (1979)

Michel Foucault (1926-1984)

le structuralisme

Michel Foucault (1926-1984)

méthode scientifique expérimentée en linguistique

Eléments de linguistique générale (1960)

Roman Jakobson Roman Jakobson (1896-1982)(1896-1982)

Ferdinand de Saussure

Cours de linguistique générale (1916)

1906-1911

Le structuralisme

il y a structure où il y a langage

tout langage (parlé, écrit, visuel, mythologique, religieux, etc.)

= structure

= système de signes

Le structuralisme

tout signe =

signifiant (Sa) = « forme » : son, image, objet, attitude, etc.

signifié (Sé) = « contenu » : idée, concept

Le structuralisme

conception traditionnelle

le langage est l’instrument de la pensée

primat du Sé : ce que le sujet a voulu signifier

Le structuralisme

méthode structurale :

la pensée est le produit du langage

comprendre un système symbolique: redescendre jusqu’à la structure inconsciente

Le structuralisme

phrase : combinaison de sons => mots

per-tu-a-s-é l-eu-ch

« tu perds le chassis »

« Père, tu le chassais »

« Sacha a tué le père »

Le structuralisme

les phrases : Sa dans des combinaisons + complexes

=> récits collectifs

Ex : fait divers dans un journal

« Sacha a tué le père »

Le structuralisme

sémiologie

étudier l’inconscient idéologique de la société moderne

fait divers

Tour de France

photo de guerre

Roland Barthes Roland Barthes 1915-19801915-1980MythologiesMythologies (1957) (1957)

les phrases : Sa dans des combinaisons + complexes

=> récit « individuel »

psychanalyse

« Sacha a tué le père »

« Sache, tu es le père »

Le structuralisme

psychanalyse

« l’inconscient est structuré comme un langage »

« Ça parle »

Jacques Lacan 1901-1981

ethnologie

Structures élémentaires de la parenté (1949)

Anthropologie structurale (1958)

Claude Lévi-Strauss Claude Lévi-Strauss 1898-20091898-2009

atome de parenté

alliance

défi à la philosophie de la conscience / praxis de Sartre = philosophie du sujet

le structuralisme: primat des structures symboliques inconscientes sur le sujet conscient

Le structuralisme

alternative à l’opposition Freud / Marx

quelle infrastructure ?

base matérielle

psychisme

le structuralisme : pas d’infra-structure

il n’y a que des structures: primat du Sa

Le structuralisme

une culture se définit par ce qu’elle institue (conscient), mais aussi par ce qu’elle exclut (inconscient)

« C’est qu’il y a un échiquier de cases grises, à peine perceptibles, qui définissent la modalité d’une culture : c’est la trame de ces cases « négatives » que j’ai voulu appliquer à l’étude de l’histoire des systèmes de pensée »

Michel FoucaultDits et écritsDits et écrits, n°83, n°83

« archéologie »: identifier les strates historiques qui nous permettent de penser, d’être, d’agir

« généalogie » : identifier les conflits, les résistances, pour repérer les points de transformation possible

V° Nietzsche, Généalogie de la morale

Foucault

Histoire de la folie à l’âge classique (63)

Surveiller et punir (72)« Histoire de la sexualité »

La Volonté de savoir (76)Le souci de soiL’usage des plaisirs (84)

Cours au collège de FranceNaissance de la biopolitique (79)

Michel Foucault

modernité : valorisation de la raisonproductivité / utilité

« case négative » : la folierien de naturelconstruction historique

Histoire de la folie à l’âge classique

jusqu’à la Renaissance

fous maltraités mais libres

Jérôme BoschStultifera Navis(Nef des fous)

Histoire de la folie à l’âge classique

17e : rationalismele « Grand Renfermement » des « inutiles »

Histoire de la folie à l’âge classique

19e : médicalisation de la folie « humanisation » exclusion

asiles

Histoire de la folie à l’âge classique

faire entendre la parole des fous

murmures, cris, souffrancesfulgurances, capacité créatriceexpérience-limite de la liberté

Histoire de la folie à l’âge classique

Surveiller et punir. Naissance de la prison

Ancien Régime enfermement : cachot peine : spectacle

Surveiller et punir. Naissance de la prison

19e siècle enfermement : contrôle peine : redressement

Surveiller et punir. Naissance de la prison

panoptique

Surveiller et punir. Naissance de la prison

prison : matrice disciplinaire pour toute la société

asile école atelier caserne hôpital etc.

Surveiller et punir. Naissance de la prison

« échec » de la prison ?

déchetterie sociale production d’illégalismes lieu d’exclusion, pas de sanction

v° abus de la préventive

derrière ce qui se présente comme positif, repérer les rapports de force qui fixent le normal / pathologique

vrai / raison /justice / santé / etc.

faux/ folie/délinquance/maladie/etc.

Michel Foucault

La Volonté de savoirHistoire de la sexualité 1

2 principes « le pouvoir est partout »

≠ UN lieu central, souverain (Etat)

le P = immanent à la société, traverse les corps

biopolitique: P qui s’exerce sur la vie les corps / populations

La Volonté de savoirHistoire de la sexualité 1

2 principes « là où il y a pouvoir, il y a

résistance » ≠ UN lieu du « Grand Refus »

(Parti) résistances mobiles, transitoires

résistance = liberté radicale

Foucault

Ex: homosexualité

1. droits individuels (liberté N)

2. transformation de la société (liberté P)

3. invention de nouveaux modes de sexualité/parenté/sociabilité (liberté R)

recherche d’un style de vie

esthétique de l’existence

« faire de sa vie une œuvre d’art »

Michel Foucault (1926-1984)

pas de « grand récit » du progrès Lumières : expérience de notre

liberté

« comment dégager, de la contingence historique qui nous a fait être ce que nous sommes, la possibilité de ne plus être ce que nous sommes »

« Qu’est-ce que les Lumières ? »Dits et écrits n°339 (cours 1983)

pas de « grand récit » du progrès Lumières : expérience de notre

liberté

« un travail de nous-mêmes sur nous-mêmes en tant qu’êtres libres »

« ce travail critique nécessite le travail sur nos limites, càd un labeur patient qui donne forme à l’impatience de la liberté »

« Qu’est-ce que les Lumières ? »Dits et écrits n°339 (cours 1983)

critique des sciences humaines

psychologie / sociologie

= étude « objective » de l’homme, mais qui le conserve comme sujet conscient de ses représentations

v° sondages

Les Mots et les chosesUne archéologie des sciences humaines

ce qui est manqué par les sciences H: l’inconscient, le symbolique

= champ +profond:

l’inconscient (psychanalyse)

les structures symboliques (ethnologie)

Les Mots et les chosesUne archéologie des sciences humaines

l’homme= effet de surface

appelé à disparaître au profit du langage

v° littérature moderne

Mallarmé

Kafka

Artaud

« le Nouveau Roman »

Les Mots et les chosesUne archéologie des sciences humaines

l’homme va bientôt « s’effacer, comme à la limite de la mer un visage de sable »

« de nos jours, on ne peut plus penser que dans le vide de l’homme disparu. Mais ce vide ne creuse pas un manque ; il ne prescrit pas une lacune à combler. Il n’est rien de plus, rien de moins, que le dépli d’un espace où il est enfin à nouveau possible de penser  » (p.353)

Les Mots et les chosesUne archéologie des sciences humaines

critique de Sartre :

sujet-conscience

Histoire-dialectique

« querelle de l’humanisme »

critique de Sartre

« La Critique de la Raison Dialectique, c’est le magnifique et pathétique effort d’un homme du XIXe siècle pour penser le XXe siècle. En ce sens, Sartre est le dernier hégélien, et je dirais même le dernier marxiste ».

Dits et écrits, n°39 (1966)

«  querelle de l’humanisme »

Sartre : Entretien L’arc 1966

« Foucault ne nous dit pas ce qui serait le plus intéressant : comment chaque pensée est construite à partir de ces conditions, ni comment les hommes passent d'une pensée à une autre. Il lui faudrait pour cela faire intervenir la praxis, donc l'histoire, et c'est précisément ce qu'il refuse ».

« querelle de l’humanisme »

Sartre : Entretien L’arc 1966

« Derrière l'histoire, bien entendu, c'est le marxisme qui est visé. Il s'agit de constituer une idéologie nouvelle, le dernier barrage que la bourgeoisie puisse encore dresser contre Marx. Faute de pouvoir « dépasser » le marxisme, on va donc le supprimer ».

« querelle de l’humanisme »

Sartre / Foucault : pas si éloignés

le sujet = champ plus vaste que le « Je »

Moi psychologique

conscience-représentation

« querelle de l’humanisme »

Sartre : part de la conscience

sujet décentré, qui se projette vers le monde

Foucault : part de la structure inconsciente (rapports de force)

forces de résistance / libération

« querelle de l’humanisme »

Sartre / Foucault : pas si éloignés

(…) Si l’on persiste à appeler sujet une sorte de je substantiel, ou une catégorie centrale, à partir de laquelle se développerait la réflexion, alors il y a longtemps que le sujet est mort. J’ai moi-même critiqué cette conception »

(Entretien L’Arc 1966) 

« querelle de l’humanisme »

le sujet = historicité, plasticité

aliénation

assujettissement

liberté

subjectivation

Différence Sartre / FoucaultDifférence Sartre / Foucault