Vivre à St-Jacques d'avril 2013

Budget2013

Vivre àN° 15AVRIL 2013

M a g a z i n e d ’ i n f o r M at i o n M u n i c i pa l e d e S a i n t- J a c q u e S d e l a l a n d e www.stjacques . f r

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Dossier

Samcha, un SPa urbain TroiS queSTionS à maël le Goff

> SoMMaire

Budget 2013

Mensuel municipal - Mairie - 11, rue des 25-Fusillés35136 Saint-Jacques-de-la-Lande - Tél. 02 99 29 75 30

Directeur de la publication : E. Couet Responsable de la rédaction : Y. TexierRédaction : P. Charbonnier, T. Ruellan, R. VaillotRéalisation : C. Reland, J.CasanellesPhotos : C. Reland, J. Casanelles

Imprimé par l’imprimerie du Chat Noir sur un papier 100% recyclé - Distribution : D.Q.P. Dépôt légal : 2ème trimestre 2013 - Reproduction intégrale ou partielle interdite sans autorisation.

DOSSIER

actualItéS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3Les composteurs collectifs fleurissentOpération TRITOUTPasse de deux pour l’école Jean WienerSamcha, un spa urbain

VIE cultuREllE & aSSOcIatIVE . . 10Un nouvel aménagement pour l’épicerie socialeRoller à travers la villeTrois questions à Maël Le GoffL’Epi invite à la danse

ExpRESSIOnS pOlItIquES . . . . . . .14

VIE munIcIpalE . . . . . . . . . . . . . . . .15

REtOuR En ImagES . . . . . . . . . . . . .16

citoyenneté

Budget

Métro

“

”

Nous avons voté il y quelques jours le budget de la commune pour l’année 2013. La situation financière de Saint-Jacques est saine, vous le savez, grâce notamment au développement de nos zones d’activités économiques et la construction de nouveaux logements. Nous pouvons donc tenir nos engagements : soutien à la vie associative, développement des services à la population, efforts d’investissement pour nos nouveaux équipements, la nou-velle mairie en particulier. Je rappelle que l’investissement des collectivités locales dans cette période de crise, contribue à sou-tenir l’activité économique, les entreprises du territoire et l’emploi.

J’ai eu le plaisir d’accueillir en mairie, le 16 mars dernier, les jeunes Jacquolandins ayant eu 18 ans dans l’année. A cette occa-sion, je leur ai remis leur première carte d’électeur et le livret de la citoyenneté. J’ai rappelé l’importance du droit de vote dans notre démocratie et insisté sur la nécessité de s’exprimer au moment des élections. Utiliser son droit de vote étant le meilleur moyen de ne pas laisser les autres choisir à sa place.

Il y a quelques semaines, les travaux de la deuxième ligne de mé-tro ont démarré dans le secteur Mermoz. Avant le lancement de la construction de la ligne et des deux stations, St-Jacques-Gaîté et Courrouze, il est nécessaire de dévier les réseaux souterrains. Nous veillerons avec la Semtcar qui pilote cette opération, à vous tenir ré-gulièrement informés de l’avancement du chantier jusqu’à la mise en service de cette ligne qui reliera St-Jacques à Cesson en 2019.

P 4 ViVre à Saint-JacqueS avril 2013P 2

Edito du Maire

ViVre à Saint-JacqueS avril 2013 P 3

actualités

le Jacquomalingare aux arnaques aux petites annonces sur InternetAttention ! Une nouvelle forme d’arnaque a vu le jour sur les sites de petites annonces de type Le Bon Coin ou Ebay via Paypal. Cette escroquerie touche essentiellement les ventes de matériel électronique entre particuliers.Une personne vous contacte pour vous signaler qu’elle est intéressée par le produit que vous vendez et s’engage à vous l’acheter via Paypal. Dès l’achat conclu, vous recevez, par e-mail, une notification de paiement Paypal vous indiquant que l’argent a bien été versé sur votre compte.Vous expédiez l’article commandé à l’acheteur avant de vous apercevoir que votre compte Pay-pal n’a pas été crédité de la somme demandée.En fait, la notification de paiement était fausse et très bien imitée !Un seul conseil : pensez à vérifier vous-même sur votre compte Paypal si l’argent a bien été versé. Ne vous contentez jamais de la simple confirmation par e-mail.

Pour plus d’informations :Mce Maison de la consommation et de l’environnement 81 boulevard Albert 1er 35200 Rennes Tél. 02 99 30 35 50 - [email protected] - www.mce-info.org.

les composteurs collectifs fleurissent

> DéchEtS

le tri sélectif est aujourd’hui entré dans les habitudes et de nombreux matériaux sont ainsi recyclés . ce qui reste dans nos poubelles, les ordures ménagères résiduelles, peut encore être réduit car environ 1/3 est constitué de déchets organiques, soit plus de 100 kg par habitant et par an . Rennes Métropole, qui a la compétence collecte, élimination et valorisation des déchets ménagers, incite à composter. Ces dernières années, le compostage s’est beaucoup développé chez les habitants possédant un jardin, mais à pré-sent, de nombreuses personnes vivant dans des immeubles souhaitent s’impli-quer dans cette démarche citoyenne. Trois sites de compostage collectifs ont été installés ces trois derniers mois et d ‘autres sont en gestation. Il suffit de quelques volontaires pour enclencher le processus. L’entreprise Eisenia est mandatée pour mettre en place les sites et assure un accompagnement jusqu’à ce que la pratique devienne parfaitement autonome. Associant la préservation de l’environnement et la création de nou-veaux liens sociaux, cette pratique citoyenne est vivement encouragée par la municipalité.

DS

collecte gratuite d’encombrants, un caisson de dépôt est à votre disposition pendant toute la durée de l’opération .

> quand ?Le samedi 16 avril de 8h30 à 16h30

> quoi ?Les encombrants (petits appareils électriques, meubles...) et les déchets spécifiques (piles, solvants, produits d’entretien, radios...).

> Où ?Parking à proximité de la station service de Carrefour Market, Boulevard Jean Marin au centre-ville.

opération tritout

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> DanSE

passe de deux pour l’école Jean Wieneraprès avoir obtenu le label conservatoire à rayonnement intercommunal pour la musique en 2011, l’école Jean Wiener décroche le label pour la danse .

Cette labellisation n’est que la juste reconnaissance du travail mené par les professeurs de danse*, l’équipe de l’école, les élus, les élèves et leurs parents. « Le conservatoire de Rennes et notre école intercommunale sont les seuls éta-blissements du département qui affichent la double labellisation », se réjouit Véronique Renard, directrice de l’établissement. Fondée en 2004, cette section “ danse ” s’adresse aux petits comme aux grands. Elle compte quelque 180 élèves qui se partagent entre la danse contemporaine (à partir de 5 ans, ados et adultes), la danse Hip-Hop (à partir de 8 ans et ados), la danse modern’jazz (à partir de 8 ans, ados et adultes).

Deux semaines d’inspectionLa rédaction d’un rapport d’une centaine de pages par la directrice de l’école, des rencontres avec les enseignants, les élèves, les partenaires et les élus du Syndi-cat intercommunal ont emporté la conviction de l’inspectrice du ministère de la Culture en charge du dossier. Deux semaines ont été nécessaires. « L’évaluation a porté sur divers points, poursuit la directrice : originalité du programme pé-dagogique, ambition artistique que porte ce programme, ouverture à toutes les classes d’âge, rayonnement sur le territoire, cohérence et transversalité entre projets développés en musique et en danse... »

* Agnès Chevalier, Hector Sudry le Du et Maëla Trémeur.

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> REnDEz-VOuS

6 nouvelles chaînes de la TNT :Depuis le 26 Mars, St Jacques reçoit les 6 nouvelles chaînes de la TNT. Cette opéra-tion implique des modifications techniques sur les émetteurs qui peuvent perturber la réception des chaînes préexistantes.Renseignements :> Par téléphone : 0 970 818 818du lundi au vendredi de 8h à 19h (Prix d’un appel local)> Sur internet : www.recevoirlatnt.fr

Stop aux déjections caninesLes crottes de chiens parsèment trottoirs et espaces verts. Difficile d’y échapper surtout à proximité des écoles. C’est une pollution et aussi une infraction passible d’une amende. La ville demande à chacun de faire preuve de civisme, les propriétaires de chiens doivent ramasser les déjections laissées par leurs animaux sur l’espace public. Il est facile de se munir d’un sac, d’effectuer le ramassage avant de jeter le tout dans les poubelles.

CARNAVAL Départ à 14h Super U rue de NantesArrivée 16h terrasse du parc

Dimanche14 avril à 14h

Un défi lé avec 7 chars, le roi canaval, plusieurs fanfares, poupées russes, etc.

Carnaval

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actualités

Charlotte Bellay, 24 ans, est es-théticienne masseuse, Samuel Sachet, 26 ans, est devenu édu-cateur sportif après avoir exercé

comme plombier. Les deux conjoints et associés ont réuni leurs compétences et leur désir d’entreprendre pour ouvrir le 7 janvier dernier un spa urbain, projet qu’ils ont conçu de A à Z. Au programme, comme ils se plaisent à le dire, « une balade sur les sentiers de la forme et de la détente. Nous privilégions le cadre du plaisir, du bien-être, du temps pour soi, pour son corps et son esprit en éli-minant les notions de performance. Nous proposons une prise en charge globale de la personne, individuellement ou par petits groupes pour un accompagnement de qualité. »

Remède contre le stressLe projet est ambitieux. Sur une surface de 350 m², ils associent en un seul et

même endroit des activités que l’on trouve habituellement dans un institut de beauté, un spa et une salle de sport. D’un côté, des soins esthétiques, massages, bains bouillonnants et sauna : « Des appareils autonomes sont mis à disposition comme des lits pour masser le dos, des fauteuils massant avec bain à bulles pour les pieds. Nous sommes aussi distributeurs exclusifs d’une gamme de produits cos-métiques artisanaux naturels et parfums d’intérieur.» De l’autre côté, dans la partie forme, on peut disposer de divers appareils cardio, rameurs, vélos et autres tapis de course. Des cours collectifs de trente minutes, sur réservation, sont dispensés avec un maximum de cinq personnes ainsi que des cours individuels pour bénéficier des conseils personnalisés de Samuel. Dès que le temps le permet, des activités en exté-rieur, footing et marche active, complètent la prestation. Les différents espaces peuvent être réser-vés pour les groupes qui le souhaitent ou pour un anniversaire. La politique tarifaire se veut très accessible : plusieurs formules et abonnements sont proposés. Les dé-buts se révèlent prometteurs de par, entre

autres, la proximité de l’établissement avec le centre d’affaires. « Nous envisageons de créer une asso-ciation de commerçants pour nous faire connaître sur ce nouveau quartier. Très vite, nous prévoyons de créer des emplois si la clientèle est au rendez-vous. » Ouvert du lundi au samedi en journée continue.

TR> CoNTaCTSamCha spa urbain La Courrouze 13 avenue Germaine Tillion> Tél : 02 99 65 35 66 ou 06 16 43 20 17> www.samchaspa.fr

Samcha, un spa urbain Samuel Sachet et charlotte Bellay ont lié leurs compétences pour créer Samcha spa urbain dans le nouveau quartier de la courrouze . Forme, détente et bien-être sont au programme . . .

> pORtRaIt

BuDgEt 2013le budget est un acte obligatoire qui autorise le maire à engager des dépenses et percevoir des recettes

pour la période qui s’étend du 1er janvier au 31 décembre . Décryptage .


Dossier


dossier> un tRaVaIl SuR SIx mOIS

comprendre la préparation budgétaireLe vote du budget s’est déroulé le 25 mars à Saint-Jacques. Pourquoi cette date ? « Pour disposer de toutes les informations nécessaires à la construc-tion du budget comme les bases de fiscalité* et les concours financiers de l’Etat**. Mais aussi pour que le conseil municipal puisse voter en même temps le compte administratif, document finan-cier qui reprend les résultats de l’exercice clôturé », explique Norbert Goupil, res-ponsable finances à la Ville. Plusieurs mois de travail sont néces-saires en amont du vote du budget :> mi-septembre de l’année précédente : démarche associant les quatre directions de la ville : générale des services ; amé-nagement urbain ; solidarité, éducation, enfance, jeunesse ; culture, sport, vie associative.> D’octobre à novembre : élaboration du budget de chaque direction : les besoins sont détaillés et les évolutions anticipées.> mi-décembre et mi-janvier : le maire, les adjoints et les conseillers municipaux délégués arbitrent les choix pour le fonc-tionnement et les investissements cou-rants. En parallèle, le service finances

évalue les recettes prévisionnelles. Elles s’équilibrent avec les dépenses.> Février : débat d’orientations budgé-taires. Le conseil municipal s’exprime sur la stratégie financière et les priorités du budget principal de la commune.

* Matière imposable sur un territoire : valeur locative

des logements livrés...

** Dotations en fonction de la superficie du territoire,

de la population, du nombre de logements sociaux,

du revenu moyen par habitant.

PC

SEP.

OCT.

NOV.

DEC.

FEV.

25 MARS

Vote du budget

Débat d’orientationsbudgétaires

Arbitrages politiques

Déterminationdes projets

d’investissements

Estimation des dépenses

pour le fonctionnement des services publics

Lettre de cadragepour fixer

les objectifsaux services municipaux

comment se carac-térise le budget ?Dans le contexte social et écono-mique que nous connaissons, c’est un budget maîtrisé,

qui prépare l’avenir de St-Jacques. Nous avons souhaité poursuivre le programme d’investissement ambitieux sur lequel nous sommes engagés et préserver notre capa-cité d’autofinancement tout en maintenant la stabilité des taux d’imposition commu-nale.

23 millions : un montant important ?Effectivement, cette année le budget atteint près de 23 millions d’euros dont 12 pour le fonctionnement et 11 pour l’investissement. La maîtrise, depuis plusieurs années mainte-nant, de nos charges de fonctionnement et le dynamisme de nos recettes nous permettent de dégager un autofinancement significatif. Ce cercle vertueux permet de poursuivre le cycle d’investissement avec le démarrage des travaux de la mairie, le lancement des études pour un équipement public sur le quartier Courrouze/Pigeon-Blanc et la requa-lification du mail Louis Aragon.

quelles sont vos priorités ?Nous avons choisi d’assurer le même niveau de fonctionnement de nos équi-pements, le même niveau de finance-ment aux associations et de préserver la qualité des services à la population. Pour autant, nous devons intégrer de nouvelles dépenses : gestion du parking souterrain du centre-ville, augmentation des effectifs scolaires, mise en service de l’équipement de la Gautrais, application de la réforme des rythmes scolaires et lancement d’une troisième tranche de travaux sur le parc.

TroiS queSTionS à emmanuel coueT, maire

ViVre à Saint-JacqueS avril 2013P 8

le centre de loisirs

296 OOO €

les équipements sportifs

284 OOO €

Soutien au sec-teur associatif

503 OOO €

pôle petite enfance

1 070 OOO €

Fonctionnement des écoles

1 900 OOO €

médiathèque485 OOO €

Soutien aux établissements

publics*636 OOO €

Entretien de l’espace public

1 247 OOO €

> DES équIpEmEntS Et DES SERVIcES À DEStInatIOn DES JacquOlanDInS

le chiffre

23 Millions D’EURos

12 Millions

pour le fonctionnement

11 Millions

pour l’investissement

> DEttE Du BuDgEt VIllE : 6,75 mIllIOnS €St-Jacques s’est fortement désendetté :

2007 2010 2012977 €/hab 740 €/hab 646 €/hab

934€/habitantDette moyenne des communes de 10 à 20 000 habitants

de la France Métropolitaine en 2010

> capacIté DE DéSEnDEttEmEnt DE St-JacquES : 3,1 anS

Zone verte (moins de 8 ans) considérée comme favorable

RappEl DES taux *> Taxe d’habitation : 19,97 %> Taxe foncier bâti : 19,97> Taxe sur le foncier non bâti : 54,75 %* Stables depuis 10 ans

* école de musique, Aire Libre, Epi, CCAS


dossier

fonctionnement :

> En BREF

les principaux investissements prévus en 2013 :

Dépenses d’équipement : 8,3 Millions €> La construction de la nouvelle mairie : 4,7 Millions €

> L’aménagement d’une 3ème tranche du Parc : 658 OOO €

> La réalisation de pistes cyclables : 360 000 €

> Etudes : 180 000 € (équipement public ; rénovation salle polyvalente de l’Aire Libre ; requalification Mail Louis Aragon)

> 456 000 € pour solder des marchés d’opérations achevées en 2012

> Rénovation du CTM (Centre Technique Municipal) : 90 000 €

> 1 Million € pour les investissements annuels :• 30% fléchés vers les économies d’éner-gie, la mise en sécurité et l’accessibilité 304 000 € • Rénovation du hall d’accueil du théâtre de l’Aire Libre 50 000 €• Achat de trois véhicules et d’une fau-cheuse à bras hydraulique : 93 000 €

> pOuR 100 EuROS DépEnSéS En FOnctIOnnEmEnt ::

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administrationgénérale

aménagement et services urbains

Intérêts de la dette

culture, sport et vie associative

Solidarité, éducation, enfance, jeunesse

24 €

14 €

41 €

18 €

3 €


> malika, conseillère enéconomie sociale et familialeMalika, conseillère en économie sociale et familiale, est à votre service à l’Espace vie sociale au premier étage de l’Epi Condorcet. « Je peux répondre à des demandes ponctuelles concernant les droits et les démarches à effectuer selon les situations : séparations, pertes d’emploi, litiges avec une administration... Mais aussi, pour expliquer un courrier, aider à la rédaction d’un formulaire. Je suis également amenée à accompagner les familles dans la gestion de leur budget avec des outils pour anticiper les dépenses ce qui aboutit parfois à la constitution d’un dossier de surendettement ». N’hésitez pas à prendre rendez-vous.

> permanences• assistantes sociales du CDaS de Chartres sur RDV - tél. 02 99 41 19 19.• CIDFF 35 : Centre d’Information sur les Droits des Femmes et de la Famille, le lundi de 14h à17h sur rendez-vous Tél. 02 99 30 80 89• Conciliateur de justice, 1er et 3e mardi de chaque mois de 9h30 à 12h sur rendez-vous au 02 99 35 36 16 auprès de Sylvie Trotoux.• La Plume. Aide pour remplir un papier administratif, un CV, une lettre de motiva-tion ... Vendredi de 9h30 à 11h30.• Planning familial, le mardi tous les 15 jours de 16 h30 à 18h30 (hors vacances scolaires). Sur rendez-vous au 02 99 35 31 46 auprès de Sylvie Trotoux.• Borne CaF. Au 1er étage de l’Epi. Se munir du n° d’allocataire et du code confidentiel.

> cEntRE DE la lanDE

l’épicerie sociale s’organise !

D e plus en plus de familles en difficulté, orientées par les intervenants sociaux, frappent à la porte de l’épice-

rie sociale. Il était urgent d’améliorer l’accueil réservé à ces familles et valo-riser les produits présentés. « En plus des produits reçus par la banque alimentaire de l’Union euro-péenne, l’épicerie sociale s’appro-visionne tous les vendredis matin à la banque alimentaire de Pacé » explique Malika Mouquouch. Une équipe de bénévoles se mobilise pour assurer le transport et l’appro-visionnement des rayons. Depuis cet été, l’équipe a imaginé un nouvel aménagement des locaux : « Nous avons acquis un nouveau présentoir pour les fruits et légumes. Avec le sou-tien de la ville, nous avons pu acquérir une vitrine réfrigérée qui remplace les anciens réfrigérateurs familiaux. La banque alimentaire nous a fait

don d’un bahut-congélateur. Désor-mais, l’épicerie est plus accessible : Cette nouvelle organisation facilite le suivi de la distribution, la gestion du stock et les inventaires que nous devons réaliser chaque trimestre. » Une équipe de trente bénévoles sou-tient activement l’épicerie sociale et la Pause-café. Mais il manque quelques personnes pour un suivi des points d’hygiène et de sécurité alimentaire, de 10 h 30 à 12 h 30 : « Nous faisons appel aux personnes intéressées pour nous rejoindre. La tâche consiste à relever les tempéra-tures, désinfecter les plans de travail et nettoyer les réfrigérateurs. »

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> PRaTIqUe> L’épicerie est ouverte chaque vendredi, de 13 h à 18 h, à la ferme de la Morinais. Contact : 02 99 35 36 16

pour mieux accueillir et valoriser les produits proposés à l’épicerie sociale, quelques aménagements ont été réalisés . Visite guidée avec malika mouquouch .

C ’est en essayant les rollers de sa sœur, que Solenn Simon s’est passionnée pour cette discipline sportive. Depuis, elle n’hésite pas

à braver tous les temps pour prendre la route, randonner avec cette sensation de vitesse et de liberté. Il y a deux ans, elle a parcouru ainsi les Pays-Bas pendant toute une semaine. Depuis 2011, elle préside l’association Les Rouletabille jacquolandins qui compte actuellement soixante-cinq ad-hérents. « Nous proposons une action de patinage ouverte aux enfants et adultes ainsi qu’une section de roller-hockey. Cha-cun évolue à son rythme. Notre club privi-légie avant tout le plaisir de la rencontre et du partage. »

24 heures du mans . . . pour le fun !Chaque semaine, les amateurs se re-trouvent dans la salle du stade Allende. Les cours s’organisent entre apprentissage, tenue et évolution sur les rollers, slalom, exercices divers, jeux de ballon, parties de hockey... Aux beaux jours, des randon-nées extérieures sont proposées dans les

rues de la ville : « Nous participons aussi aux randonnées du jeudi soir proposées à Rennes ou des rassemblements comme Rennes sur roulettes... À deux reprises, nous nous sommes rendus aux 24 heures du Mans roller au cours d’un week-end et avons eu la chance de patiner sur le circuit des 24 heures du Mans... pour le fun ! » L’association est labellisée Fédération française de roller sports et agrée Jeu-nesse et Sports. Les cours de patinage enfants et adultes sont assurés par des

moniteurs diplômés. « Pour les enfants, l’apprentissage se veut ludique et amu-sant. Nous leur apprenons les premiers rudiments de la glisse et les guidons dans leur perfectionnement. L’école propose un créneau pour les 5-8 ans et deux créneaux pour les 9-14 ans. » La section roller-hockey, équipe de douze adultes, dont deux femmes, participe au championnat départemental. Les per-sonnes intéressées sont invitées à par-ticiper à la prochaine rencontre qui aura lieu le 17 avril au stade Allende. Plusieurs matchs seront proposés tout au long de la journée, de 10 h à 18 h. « La ville a mis en place des balustrades amovibles au sein du stade pour offrir un confort de jeu et une sécurité des spectateurs. Cet équipe-ment est très apprécié de tous les joueurs, ceux de la ville mais aussi des équipes extérieures. Nous invitons les personnes intéressées à rejoindre notre club. »

TR

> CoNTaCTTél. 06 15 05 34 34.www.roller-stjacques.fr

roller à travers la ville

avec les rouletabille

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Vie associative

ViVre à Saint-JacqueS avril 2013

> OFFIcE JacquOlanDIn DES SpORtS

Rendez-vous le 17 avril pour participer à la rencontre départementale de roller hockey . Explications avec Solenn Simon, présidente des Rouletabille jacquolandins .

> l’aIRE lIBRE

trois questions à maël le Goff, directeur de l’aire libre


Depuis plusieurs années déjà, l’aire libre accueille le festival mythos, présentez-nous les spectacles programmés dans le cadre du festival lors de cette édition 2013 . . . On a décidé de proposer du théâtre, de la pa-role, des histoires, de la musique... On aura des artistes en résidence qui vont prendre le risque de la création et mettre face au public des spectacles encore tout frais. Ce sera no-tamment le cas pour Nadia Xerri-L qui vient créer une petite forme dans la salle polyva-lente. C’est un spectacle intitulé Je suis/tu es/Calamity Jane (1), C’est une espèce de western déglingué, enmusiqué par le musi-cien Gaël Desbois et joué par deux comé-diennes. Ce devrait être jubilatoire.

que nous proposez-vous d’autreque vous connaissez ?Calamity Jane démarre la soirée. Les spec-tateurs pourront se restaurer sur place avant d’embarquer vers un autre voyage auprès de Pépito Matéo (2). Son spectacle intitulé 7 [Monologues] a été créé à L’Aire Libre en janvier. Pépito Matéo, conteur, détourneur de mots allumé, la tête dans les étoiles... a décidé d’explorer le monde du théâtre et a écrit sept monologues qu’il a confiés à sept metteurs en scène. Chaque monologue offre une couleur dif-férente, aussi bien par l’écriture que par la scénographie. Donc sept tableaux où l’on

découvre un Pépito Matéo à sept facettes. C’est très intéressant, excitant, savou-reux et, là encore, jubilatoire. Ça dure 77 minutes. Dans ce spectacle, il s’est par exemple intéressé aux gens qui ont du mal à se tenir debout dans le monde. Je crois que Pépito Matéo est aussi un artiste enga-gé politiquement et socialement. Ce spec-tacle est à la croisée de tous ses talents...

Je crois qu’on nous emmène dans l’Océan Indien . . .Avec son spectacle Kok Batay (3). Sergio Grondin, conteur, nous vient en effet de l’île de la Réunion. Il nous propose un récit poignant, une généalogie autour d’un fils qui devient père, il nous raconte la violence de son île, etc. Sergio a travaillé avec le metteur en scène David Gauchard. C’est la rencontre assez foudroyante, radicale

et puissante entre le monde du théâtre et le conte. C’est une création présentée à Mythos avant une série de représentations à La Réunion au festival Le Tempo en mai prochain. Enfin, on accueillera Mathieu Boogaerts (4) qui incarne le minimalisme de la chanson française. C’est un orfèvre de la parole qui sera seul sur scène avec ses instruments.De bons moments en perspective...

PC

> LeS DaTeS> (1) mercredi 17, jeudi 18 et vendredi 19 avril à 19h> (2) mardi 16, mercredi 17 et jeudi 18 avril à 20h30> (3) vendredi 19 avril à 20h30 et samedi 20 avril à 17h> (4) jeudi 18 et vendredi 19 avril à 22h30

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> agEnDaEpi CONDORCET> Tout le mois d’avril :• Exposition de Philippe Pengrech, plasticienDes œuvres de cet artiste ont déjà été ex-posées à plusieurs reprises à St-Jacques.Entrée libre

> Mercredi 17 avril à 15h30 et jeudi 18 avril à 13h30Banc publicDuo pour une danseuse et un jongleur. Un banc pour décor, un journal et trois balles pour accessoires. Tout le reste passe par le regard. Gratuit

STADE SALVADOR ALLENDE> Mercredi 1er mai à 14h30Danse : 1er roundTrois hommes, un ring, un arbitre et un accordéon, une table tournante... On s’observe, on se jauge, on s’évalue. La danse s’entremêle, tendre ou féroce.Gratuit

MéDIATHEQUE LUCIEN HERR> Samedi 6 avril • 10h30 : Heure des Bébés lecteursHistoires et comptines pour les enfants de moins de 3 ans accompagnés d’un adulte.Réservation conseillée au 02 99 31 18 08• 11h30 : Moment musical autour de la musique de chambre.Le répertoire sera très éclectique : musique klezmer, musique classique, musiques de films...Gratuit

> Samedi 20 avril à 16h30Balade en bulleAvec Elise Nouvelon de l’association Tribu en filigrane.Histoires pour les enfants de plus de 3 ansRéservation conseillée au 02 99 31 18 08

> Mercredi 24 avril à 16h00Ciné enfantsProjections de dessins animés et de films d’animation pour enfants. Programmation disponible à la médiathèque.Gratuit

> EpI cOnDORcEt

invitation à la danse !

Vie culturelle

Des habitants sont invités à rejoindre la compagnie pied en sol pour créer un spectacle . Explications .

La Compagnie Pied en sol est en résidence de territoire à l’Epi Condorcet durant 10 mois. Elle y était en janvier pour créer le

spectacle Spring. Elle reviendra régu-lièrement jusqu’aux 12 et 13 octobre, à l’occasion du week-end final des 10 ans de l’Epi. « Ce spectacle Spring qui a pour thème les 4 saisons et les 4 âges de la vie sera un aller-retour entre la création professionnelle et la création attendue des habitants », explique Ma-rie-Joëlle Brisseau, directrice de l’Epi.

Quatre groupes d’habitants reflétant les quatre âges de la vie (enfants, jeunes, adultes et personnes à la retraite) seront en effet constitués pour participer au spectacle final. Les propositions corporelles seront adap-tées à chaque tranche d’âge. « Le but

de cette manifestation est multiple, poursuit Marie-Joëlle. Il s’agit de faire découvrir l’Epi au public, mener à bien un projet collectif, réinviter des ar-tistes qui se sont déjà produits à Saint-Jacques et relier symboliquement les trois structures jacquolandines qui proposent des cours de danse*. » * Centre de la Lande (country, orientale, de

salon, bretonne et contemporaine), école de

musique et de danse Jean Wiener (modern jazz,

hip-hop et contemporaine), Office Jacquolandin

des Sports (zumba et danses du monde).

PC

> INFoUne réunion d’information sur ce projet et cette création d’habitants reflétant les 4 âges de la vie est programmée le 18 avril à 18h à l’Epi. Venez nombreux vous inscrire.

« Dans la famille des bois, j’appelle les clarinettes, les flûtes traversières et les saxophones. Dans la famille des cuivres, j’appelle les trombones et les trompettes ». Ce n’est pas au jeu de 7 familles que l’école Jean Wiener vous invite, mais bien à un Mercredi en Scène où plus de 30 élèves musiciens se retrouvent le 17 avril à 18h30 sur

la scène de l’auditorium de l’Epi . Par groupe de 4 à 5 élèves puis en grand collectif, ils vous joueront des airs de blues, jazz... Florence Evrat, profes-seur de flûte traversière et saxophone coordonne la soirée en équipe avec les professeurs des classes de vent. Cette manifestation intitulée “Les vents soufflent”, devrait décoiffer !

mercreDi en Scène

Qui se rappelle qu’en 1982 aucune région, aucune métropole n’existaient. Ainsi, il y a un peu plus de 30 ans, la vie démocratique de notre pays se réglait au niveau des 36 000 communes (de la plus petite avec à peine 10 habitants à la plus grande, Paris) et des départements dont l’existence date de 1790.Aujourd’hui, impulsée par la ministre de la Réforme de l’État, de la Décentralisation et de la Fonction Publique, une nouvelle étape se dessine. Celle de l’acte 3, troisième étape très atten-due de la réforme des collectivités territo-

riales. Le calendrier est désormais arrêté. Le projet de loi de décentralisation sera pré-senté en Conseil des ministres en avril et la première lecture débutera fin mai au Sénat.Notre agglomération a su anticiper depuis plusieurs décennies. Ainsi depuis 2000, la communauté d’agglomération Rennes Métro-pole a succédé au district urbain de l’agglo-mération rennaise créé en 1970. Un des premiers districts à avoir mis en place une fiscalité propre. Partageant intelligem-ment, au niveau du territoire, l’ancienne “ taxe professionnelle”.

Il restera, pour les élections municipales de l’an prochain, à désigner les représentants de chaque commune au Conseil d’aggloméra-tion, en quelque sorte le “Conseil municipal” de Rennes Métropole. Une démocratisation réclamée par notre majorité actuelle.Nous souhaitons que cet acte 3 permette de moderniser de nombreux services publics, de multiplier les initiatives de développement local et de démocratiser davantage les pro-cessus de décision.

> ExprEssion dE la majorité

Décentralisation : l’acte 3 pas à pas

non aux “accords” de la honte !> ExprEssion dE luttE ouvrièrE

> ExprEssion dE st-jacquEs tous EnsEmblE

enfin un nouvel hôtel…

Le chômage ne cesse de s’aggraver avec près de 1 000 chômeurs de plus par jour. Ici, à Saint-Jacques, on approche le millier de chô-meurs, sans compter les CDD, les intérimaires et les temps partiels imposés : un jacquolan-din sur dix !Pourtant, le grand patronat et le gouverne-ment veulent imposer une machine à licencier supplémentaire. Suite à des “ accords ’ entre

le patronat et certains syndicats, le gouver-nement compte faire voter une loi qui détruira encore plus les quelques rares protections qui restaient pour les travailleurs dans le Code du travail. Le patronat pourra, par un chantage à l’emploi, imposer des baisses de salaires, des mutations jusqu’à 100 km du domicile ou augmenter le temps de travail. Si le travailleur refuse, ce sera le licenciement.

Avec l’aide du gouvernement, la rapacité du patronat pour maintenir ou augmenter les profits des actionnaires est sans limite. Sauf une : l’explosion de colère de l’ensemble du monde du travail.

Fabrice Lucas, le 15 mars 2013> Blog : http://fabrice-lucas.blogspot.com

Après des années d’absence d’activité dans le bâtiment Giboire au rond-point de la gaïté, nous pouvons féliciter la venue de l’hôtel Campanile.

Ce bâtiment a été construit dans le but de voir s’installer des entreprises tertiaires. Mais à la livraison, aucun loueur ou acheteur ne s’est présenté et cet endroit est resté tel quel pen-dant plusieurs années.

Campanile possède déjà quelques hôtels sur Rennes et son agglomération. Situé sur

le boulevard, à proximité de la rocade, avec l’opportunité les salons du parc des exposi-tions, les séminaires, les clients de passage, ce nouvel établissement ne devrait pas connaître de difficulté pour pérenniser son activité.

Pour Rennes et son agglomération c’est un nouvel hôtel qui va pouvoir répondre aux be-soins et à la demande, mais est-ce suffisant ?

Une leçon néanmoins à retenir : Ne plus construire de bureau sans acquéreur car les

bureaux se vendent difficilement et coûtent cher à l’administration, privée de taxe fon-cière.

Le groupe de la minorité “St Jacques tous ensemble” : Françoise Edom, Sébastien Girard, Marie Sauvée et Jean-Yves Riand, Patrick Vallée.

> Mail : [email protected]> Permanence le 1er samedi de chaque mois de 10h à 12h au 23 rue du Temple de Blosne.

expression politique


> consEil municipal du 18 mars 2013


ÉTaT ciVil

Vie municipale

naISSancES Lou-Ann Bahurel,

40 mail Léon Blum, le 29.01.13 Melly Sissoko,

15 rue des Munitionnettes, le 10.02.13 Tilio Izel,

68 rue de la Pilate, le 12.02.13 Hugo Hillion Renaudin,

51 rue de la Pilate, le 13.02.13 Farah Krifif,

2 rue Marguerite Yourcenar,le 15.02.13

maRIagES Anna Bublei et Ludovic Chazal,

27 bis rue de la Pommerais, le 02.03.13 Sandra Sebban et Erwan Abgrall,

54 rue de la Pilate, le 02.03.13

DécèS Christian Le Roy (60 ans),

49 rue de la Pilate, le 21.02.13 Jean Keravel (88 ans),

1 Place Salvador Allende, le 25.02.13 Annick Tessier (90 ans),

1 Place Salvador Allende, le 06.03.13 Sébastien Saulais (36 ans),

38 B rue du Temple de Blosne, le 06.03.13 Michaël Vallet (41 ans),

46 mail Léon Blum, le 19.03.13

PermanenceS DeS aDJoinTS

chaque samedi de 10h à 12h à la mairie .

6 avril : Marie Ducamin (éducation et jeunesse)

13 avril : Bernard Bougeard (administration générale

et personnel) 20 avril : Monique Michelet

(culture et animation) 27 avril : Yann Texier (économie,

emploi et communication)

nouvelle procédure de délégation de service public pour l’accueil de loisirs sans hébergement La gestion de l’Accueil de Loisirs Sans Hébergement (ALSH), autrefois dénommé Centre de Loisirs Sans Hébergement ou Centre Aéré, fait l’objet d’une Délé-gation de Service Public (DSP) depuis 2006. Cette délégation a été attribuée au Centre de la Lande pour une période de 3 ans, du 1er janvier 2011 au 31 décembre 2013. Le contrat arrivant à échéance en cette fin d’année, il y a lieu de procéder à son renouvellement. Il est donc proposé de lancer une nouvelle procédure pour déléguer la gestion de l’ALSH de St-Jacques-de-la-Lande pour une durée de 4 ans, du 1er janvier 2014 au 31 décembre 2017.

Subvention exposition 30 décembre 1942La ville de St-Jacques de la Lande a souhaité faire de la commémoration du 70ème anniversaire de la Fusillade de la Maltière un rendez-vous particulier. Au-delà de la cérémonie organisée comme chaque année sur le site de la Maltière, une exposition péda-gogique et itinérante a été réalisée afin de présenter le parcours de 25 hommes dont les destins se sont croisés un matin de décembre 1942. L’exposition rend également hommage aux 54 autres fusillés de la Maltière qui ont sacrifié leur vie pour la liberté.Cette exposition a circulé dans plusieurs lieux afin de sensibiliser des publics différents en amont de la cérémonie du 30 décembre. Le catalogue de l’exposition, ainsi qu’un livret intitulé “ la Maltière, 79 hommes y ont été fusillés... pour que vive la France ”, réalisé par Madame Renée Thouanel, ont été publiés et largement diffusés.L’Office National des Anciens Combattants et Vic-times de Guerre (ONACVG) est chargé de préserver la

mémoire des conflits grâce à des opérations mémo-rielles et civiques, en particulier auprès des jeunes générations. A ce titre, l’ONACVG a décidé d’accorder à la ville de St-Jacques une subvention de 800 € TTC pour la réalisation de l’exposition “30 décembre 1942, des hommes face à leur destin » et la publica-tion des livrets.

Rentrée 2013-2014 pour les écoles de la communeLe Directeur Académique des Services de l’Education Nationale (DASEN) a informé la ville de St-Jacques des mesures soumises pour avis aux membres du Comité Technique Départemental et du Conseil Départemental de l’Education Nationale concernant la rentrée scolaire 2013-2014 pour les écoles de la commune : affectation d’un emploi élémentaire à l’école primaire Suzanne Lacore, affectation d’un emploi à l’école maternelle Gabriel Péri, affectation d’un emploi maternel à l’école Eugène Pottier.Ces mesures d’affectations de postes viennent accompagner l’évolution de la population scolaire, consécutive aux récentes livraisons de programmes immobiliers : 225 logements livrés en 2010, 286 en 2011 et 418 en 2012.Ces postes supplémentaires permettront aux écoles concernées de retrouver des conditions de fonction-nement plus propices à des apprentissages scolaires de qualité.Cependant à l’école Suzanne Lacore, les effectifs par classe resteront très élevés à la prochaine rentrée, et il ne sera toujours pas possible d’y accueillir les enfants de “ toute petite section ”.La Ville escompte par conséquent que les moyens disponibles en Ille-et-Vilaine pourront permettre à la prochaine rentrée scolaire une seconde ouverture sur cette école.

Zoom sur les principales décisions prises lors de la séance

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> Les Jacquolandines rassemblées au stade Allende pour la journée de la femme > Présentation du projet de ville au employés municipaux

> 25ème du printemps des anciens

> Cérémonie de la citoyenneté à la mairie le 16 mars dernier

Vivre à St-Jacques d'avril 2013

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