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DlItBCTEt R PROPRIETEI IMPRIMEUR Olemeni £ .gloire BUIS YbriNA 1358, Ru* Américain* NUMERO/ $0 CENTIMES Quotidien La perfidie est l'acte le plue odieux eue puisse commettre un li mime, car i secompose Je la préméditation du mal et de l'abas de toute espèce de conhance. la (tiui TÉLÉPHONE W 148 18ème ANNEE 5422 PORT AtOTUNCE (HAÏTI ) LUNM 2 FEVRIER i92i le retour de ootre ém diplomatique à Lia te tsjwp w ** *2Ë ,es Etran fl èr « s flous aven CM le phiiir de re- ir oelre ami (un ille Léon qui ient de Lima, en qualité livoyé Extraordinaire et Minis PléDi| oit-otiaire en mitsion .jille près du Gr uvernemmt du oi, il avait été assister i> la Jbratien du Premier Centenaiie la bataille d'Ayacueho. •n juger par les journaux que j avons tous lis yeux, i o e patriote dont les tire*, nia- it» «l'I cmii e du n ci de ai < om . trnitilne nu aie ut ;-| précâblé )DI 1 ' a<«. mi U » n < i I de } ai e il s isiioas a pleint ment juslilié le oix que le Picsidi ut Porno avait il de lui peur n| poitt-r c< mu- pe de loniriiti u ilé au j.ei pie ruvien./ Ayant éprouvé des difficultés ii.r te lihi^pilu à N i. | >- ilo aloa à Lia a 101.1 l'onveiluie dis li i, noire Envoyé Spécial a<u [li « n i re idée r"e te rei.die à Pa- n- i It joir ni'n e du C< Bt< aaire IMT prérenter les tiorr.nv pet de n Coavfi prinriit au rt piesenlant j Pérou en cette vill- , Vonsitur I.Fosenlhsl, vu que de cell« Léga- ! répètent», s'est-il dit, une mliitftlion de la It ire 1er vien- Il cabl» au forful Céné- d Haïti à Lima de transmiI- iu IIM.VHIU H ci I Péruvitll If s B»lïrr>fi,ls de S. F le Piésidi nt no el du r< ii| le Paitim à Por- itn de celle ftte gloii' ite qui commémore une des épopées loi plus brillantes do l-Iodépenlane; Sud-Amérieaine. Sa mission ter- minée notre Envoyé n'a pas man- qué de saisir l'ecension que lui offrait ton retour dans 11. hmo pour aller offrir ses hommages au Dr Roloiro Chiari, Président de la Hépublt'|iie de Panama el à son Mini-ire des iwlalioas Extérieure* le Durhur lloracio Alfaro. Arrivé à la gare 'I fut salué pur le Chut dn l'i..i... o'e >• la l-hau- eelerie f'anamaei ne el de nu.. doit dans une aulo oïlicielle au Pala.is, un accueil des plus coor lois lui lut fait. \ ici d'ailleurs comment !«* journaux qui >'v éditent rapp r t< ri* r . -io marqué au coin de la meiikurt* allenliou. Du 5" l'iaro de Panama ", du 17 Janvier 1925 <> Nous avons eu I honneur te malin de recevoir la tinte de l'honorable M. ( amille .1. Léon, ex-Secrétaire des Relations Exté rieures d'Ihiti et Envové Extra- ordinaire de son pays en mis son spéciale au Pérou, avec qui nous avons causé agréablement des relations amicales qui exis- tent entre sa patiie et la nôtre. « En prenant eong- 1 .1: tait* Rédaction, l'illustre miteer unis h plié dVxi>rim»r (ViM ; qiiem°n I ses i ru.' i ,cii ents pour les égards dont il a été l'objet ee matin de lt part de Son Excellence Don Ro- dolfo Cliiri et du Secrétaire des Relaiioos Extérieures le Dr llora- cio F. xll'in h l'occasion da ia visite de courtoisie qu'il » eu à laire à ces balte fonctionnaires.» Da " Star and Herald " du tu Janvier (915 L'arrivée de Lima d'uu Agent. Iliplo n a tique Haïtien « Camille i. Léon, Fnvoyé l'x- traorlii. lire el Minisire Pler i- poteotiaira d'Haïti à la Célébia- lio i «I i i tntenaîro «!•• la bauit- le d'\y cui li vi>ile PI» ami en route pour >on paj . « Monsieur Léon a ren lu hier une visite o'KciePe an Président Chiari q«i s r. c » ! Mtaietra 11 * i - tii'M avec c Ile courtoisie qui lai est caractéristique. t Monsieur Léon est enchan'é de l'aaeeuil i n liai qui lui a été fait partout ici.* Nova renouvelons nos ssmpali- ques aomplicaeats a notre ami Léon pour la leçon aatiafaiiante dont il s'esl acquitté H.- ta mission, la* quelle ne manquera pas, nous en somme* sûrs, «4e contribuer au développement dis bonnes rela- tions et de l'entente cordiale qui doivnl unir no'rfi o-v* anx Ré- pub iques llispano Américaines. LA BOURSE OU LA VIE ht SOHS couleur de nMionalis- e, les papsioi s i o'iti (in s ont uu tel caractère tneseçant 'il est temps que les amis du vernement secouent leur cur, et adoptent une attitu- moin* passive. Eu effet dans la majeure pi * des ea*, le loi.ctioi nairejq ii ns un group», entend dé;«ier Gouvernail nt qi'.l seit, se nlente de hausser les épaules le prendre congé, sans son- que son silenee est une com .Aiiè et son départ une délec- n. C'est une tactique pi u vi le*l qui n'a d'autres résultats, ans notre milieu Celui qui It* le p'us tort, sembla tou* nrs avoir raison, que de rri- sr à lacune d-s m'content , Bl qui jugeant, sur d. s ac.i liions non eoinli illties. leâl xeusables dejugir m; I. Il ne faut poinl rou:i-, île trier avee une conviction s 1, - |ère, les raisons qu'au P da prê- ter ua programme d'o dre et fe progrès à un programme raiarabia. Le grain ainvi semé, r germera p ul ê'M | as lout kntier, il snllit qu'il-s», lève en luetqii'B uprita d- ho, ne loi ?our que la tache n'ait pas été téri'e. Lorsque eédant à la brutali- deson caraclèro, un adver- Hre s'évade de la discussion IM faits, et vous montre ses PCtfigr, il est peut èlre chrétien Me lui tendre une face souriante It résignée, rasis à coup sûr il W plus sage de sa metire en prde, prêt à rendre les coups. Jétendre le (iouvernement,c*. st ^n somme pour loin lenetion- )£/"* te dé!» ndre soi ni. me, dé- je iélat du . lu» ts, qu'on V un i I. i, f , .I,.I, , ( \, e hn>> i j'Ii'i» .t.ié.lu in .j.i'on man- ' i '• -t i - . \ it« d la boum lii,,,,., ., j, rr < Bue le rrie, [A exrilé ou 1.1 Iransluge que tenailla la taira. 7t* le souvenir des beaux jours passé' ; il ne faut pis se lâs*e\" de dire qu'à l'exception de quel ques esprits désintéressés mais butés* lop ori'ion est pénéra- 1-ment une entreprisa commer- ciale, qui comme telle sans doute présent* quelque! ris- que?. , mais qui <ant bien que mal nourrit so" homme. Plus d'un leader uauo laliste. p rli sans containous du moindre ef lort, sans se plier au tiavail pé- nible et honnête mène à la i.i- veur d'une campagne de provo ration* une vie. av. ntur c use ri Ion veu', ptuscjuM y i leco.lt» l en il et ss prescriptif ns, mail en somme une v e au m tni exemple de tout souci de tra- vail el de responsabilité. C'est ad n rab'e.l'ingét u silé, et c'est tout profit, rar .1 ne part, .gràire aux q< éle< p "i ti- ques,' *iis mangent el IDIV.- t eux. leur f mme et leurs parité. et de l'autre ils font ligures 1 •• héros et de mutys., martvrs pleins de vif, héros gras à lard qui ne mai^riss.ntque hers de la prison. l2n vérité, l'industrie île la m "n Ii i'é a I lit des urogrès «I ir mants I lier pour ton. lier n t J c inpis io •, il Iillait montre d^s infirmité* réelles» et souc des huilons souillés, exhiber la prudence d'authentiques plaie». Le l.i.ix miséreux minquait d'i- magination, el toi'' son art se bornait à si mu! r la cécité, au coin des galeries omb euses ou aux po-tes des Eg'is#e| aujour- d'hui c'est un g'illard bien lifi qné ne tourmente pas le plu 1 gC" exzômi. L9 politique e? deve "ie son loin ioe ; il gesti cul-, il menaee, il ittjurie, il h itHculei ci I on ier.ii bten m«l avi é '!•• lu j-.iej etu | sous- Il D'à ni r.bje , m b «a e, ni '..i- loti ; ?nx u iifl m t.i'i'i tle«i il neten I plus ion g )ùv lot . i seux aux chaudl salés de chari- té, et ses pieds enveloppés do l'erse et de vernis, ne redoutent plus les cailb ux du henain- Sa voix u'.'st plus plaintive »-t ne •'ioflécl p'us en atlendrissan t's «upp'ieations : ayez pitU du pan'T6 impotent. Il «h c'est un p.oédé lélUOt. Anjourl'hi votre aumône doit éenir à lui, s'insnire sur une liste, rhing r de nom He n'est plus nin» obol»*, c'est uriP ni!raodfl UOe SOilSC'i - tion palrimi j e Kli bi n non, la m n li«'i é même ing-rveus» reste hon- teute f t in'm » n habit, mène en prison r- lui qui vole noire njl".é a'e," notre argent ej-t Jeux fois voleur» C'eef le d voir des amis du Gouvernement le f ire remai- qiiRi- an Y timide, aux gog..-, auv xn'oités |*te ''opposn*, en bi n d s cas. br T ' ci qu'il a adoré. Loiig'etnps il iWt tenu- sur une réserve rnenieinte qui disait c < renient à Mr l'orno : iinr/. n.oi le pos'e de New- Y"» lv, nommez moi au Conseil d'Etat, sinon pare à vous » et cel» lapp.renie assez étroite- ment au noetume gentilhom- me, qui au e in drsert d'un boi«,vous met -"-n coûte tu s-ms 11 gorge et fra : 'ement vous ré- clame : lu bo»rtê ou la vie. Cercle Forf-ou- Priaeien Hier ont eut lieu les élections pour le.renouvel ement du bureau Cent trois membres prennent part à celte séance solennelle au cours de laquelle fut disputée la révision des Statuts. Voici le résultai de> el-'cti'>ng : Comi ê ,lt Dinction : Président. Abel N. Léger. Secé t<ire, Eu ile R. Ras ien. Tréso ' r. Jules | h ; i - ConaeiHar : Pierre Un U mi '. t'.lé nfiil I) «I- n.|"s. i r Da ii.' 1 .'mon I Maegoriè t f,'.!•/.• ,/ ra'i'iM : i •- « P. « --1 ' mi !•• ./i r,J .HT H. !»• é I' ile tlon él il '„• é v| ' P. >^i urn4 si n c i n u éri .1 rot, K«t. de l. M<» r I. L*o À e.xis. Léon Mén^ ll^nri !; i / i, E. CerrU, ' h. L. r „itc, L. Chsiej «t Franck Cuâud. «Non, Berihier, vous êtes plus IODJ que moi.u l.n jour, Napo'éon 1er travail- lait daDs s>n cabiaet . ux Tuile- rie . A an momen , il ut btteeia d' IH livre placé sur un daa rayon*, élevés de la bibliothèque; et eéstr eut beau -e dresser sur la pointe de ses escarpins de salin, il ne put atteindre le volume. Le mare'liai l'.uitlii r en'rait à ee moment; Uertrnet éla t du hau- te taille, il B'avanea : «. S.re, rmelte/. raoii'e voua liidir, je.soi» pi n 41.m I \n- voua. «. Non, Rertbier, r< pondit Napoléon à soa maiariial, vous nV 1 , pas plus grand, vous êtes pi is long ']ue m'i. ht les deux honnies de i u rre rirent, ee jour-là, de bon co»ur. ÛlattM. Hier, aujonrd'bui, demain Hier, il y f9 irt «tn 1er IV- TriVr *8CJ) qu'arriva en rade du Cap, l'isci.lr- fraafaiaa lransr«r- laut le générai Ltclcrc el i\\ Oi.O hommes, de I oupes expédilion* saal es envi y.'s par Renapa te replieei Sain -Do .m-«ue. sous la complète .Ion i latl m «' la Fran e. Henry Chrlpto h* qui commandait au C-tp iaeeadic la « 1 ..|.i - ritioo de a folle. Anjou l hui. i y a I S ans ( t re«i » l?V7 ] qim i> n.jnr, >•- lit le vieux général 'ilruchien Wurmser et prit Mantoue L) mai'i, il y aura H ans ( * Fé- vrier I»l7 ) que les B*ala (J 1-. a ..!.'•- la proclamation dt la guerre sous-marine à outrance, rompi- rent lea re at O'.s .lî> r 1 n al iques avec l'Empire d'Allemagne. Malfaiteurs Hier soir, vers 4 <* heures, à la rue Tra*ersi«T«ï,ileu* lu puis, qui s'étaient- lu-qués dais Pot scu rite «Ii n* galerie, loraireut b s quem. i.l de l'ombre et se. jenf' t sut une pauvie IVmmequi |a sait, portaol un paniir pon'enaBt des bi"cuils Ni'i.ii nt r* f|» •>!«| 1. « n «s ni as attardai aeeoanu ux s 'e la ma heur' v. les deux nnl'ni leurs lai niaient, saa* 1 ou e, fait un nmuai- pai i. A la vi.edu coa tome kl» d'un gendarme qui arri vi.it «u loin, ils piinnt u fuie sans qj on pu* les rattraper. \ mil s si n me ni du i>oi veau dans nos u ii'iiis. Vais aussi pour qun n<» place t on pas une lampe é'ectriqne dana ce «piailler qui n ) a pas et qui, de- qu il fait nuit. e»i plonge .lins la p'us com plète ob«curi'é .' L'ombre favorise les actions dé> bon notes. MM ci Faal E. (\uxila a'Irgtat M lait pas le boiilieut'... '. Mais laul E. Auxila j contribue en vendant É lus nril ilt» beaui n«sui el une quantité d'autres articles. Libin Lubtn '' Vous voulez ollrir un <• 1 leiù el è»»e 1 n nié ne |>S II ll|-.||\? «•Il••li'/. -I t lin-/ un II 1 c u «le par!a u lOBIU.en vente dans louUa Ua bol nés mtii^o'i > la situation yailiiaire alle- mande sera bientôt nette ment établie PARIS— Le comité militaire .•llié V< rsailles compte re«evoir dans e courant de la si mtine pro cham un rwpport déiailie de la comm tsion de cortrôle militeiie interalliée sur les amumen'i l'Alliui gne. Le comité Irai senti Ira ce rapport avec ses remaïques Le consei des an.ba>sadeui« de mandeie vraisemblabh n.ent l'avu dumar. chai l'och Le ce nseil des ambassadeurs rédigera er i uite une note adessée à Berlin qui donne ra les ri isons pour leaqu lies l'oc cupation de la i."-:.- du poi t de Co logue doit être n, ii,:un r. Le Dr TrenjJeli\ilif.r<j,eBef de la délégation nommer < i.iii' .-.In. m.ui'li- sera, croit-on, remnlacé sous peu l'\HIS- Le Dr Trendelenburg rhf de la délégation commerciale allemande va probablement être remplacé par M. Pellinger, mena lire du paili de l'ext'cnie droite lorsqi e les eé^ocialions repren- dront. Dms lot milieux bien in- formés, on décl re que le DrTren d*'enburg a perdu 'e* bonnes ara ees du cabinet Luther et s n m c^ seor L ulier et ou -1 eeesseur éfiituel e-l un p r nlégé du Dr eiihaus, nouveau ministre de l'é- conomie nationale. L'o|)inion de la Suède à propos de rudinivMonde l'Allemagne, | Ii S'"'->»' , t«î des Nations GEN'KVE —L'Allemigne.devrait faire perde de la Socié e .1H« Na tiona et obtenir un ri.ge p. rrna neiit au conseil ina ; s on n»* de- vrait pat lui seeorder une position pr.vi é i^e n ee q. i concerne l'ap plications des lactiout >mposéet par le paete. Telle ett l'opinion olfieielle d". Suède exprimée pu bliquement à Cenève hier. AU Maroc I140RID Keiiouli, le e lèbre ch f des brigandt maioctiins est a--i>'. «j dans MI vile natale Taaa- roui . ar i--» tribus rilliin s c >m ovui L'es par Aâdel Kn n. rtnf re belle n guerre ont e l'E«p une. Il'ap es dot nonve es reçiiet de Mad d la bataille 'ou nerait en faveurdt» Risouli et let r faina auraient perde plnt de 10J hom mes. Nouvelles Diverses La mission aéritnne Paris Tchad et airivée à Adr u I'\RIS - La nouvelle que M. Barthrni irait ofliciellemeiu à VV 1 sbinglon expisiT aux autorité) a aéricaiaea le point de vue frau j a -ur l< q '«l'on d « délits est absolument tant fondement. Le Qouvern mentlraneai* obtient un nouveau vote de confiance PARIS— A l'oceation dat in- t' 1,. ' t'ioui »ur la réintégration des cheminots, la chambre a volé < » 111 » r, r .> au goav-rnement par 315 voix contre t 3 N nivelle et viol-nie t r, m j»ji il nenje i New Toilv ALB NV NRK~ Uaa de» p'us >'• s I.met de neige qu en ait vuee depuis 10 ant t'est abvt tee sur l'hiat de .New Voik para lytaot la eireulatien et causant de nombreax aeeideats. La réponse du Gbancelier allemand aux accusations de 1. Herriot [j HbIRUN- Le ehancalier Lu- ther a répondu à la presse étran gère aux récentes accusation! da M. Herriot et a nié que l'Allemi gne s'annat secrètement et fut une menace pocr la sécurité de la IVu.ce. M. Luther admet cepen d mt qu'il y eut quelques irré^ula rilésde peu «1 imp >rtaeca. Le goa verne nent allenmd est prit à re uer à ces légères infractions au lé? irinemeiit si les alliés four nissent al'\tlemagne le texte de la djm.nisaiou de cootr.Me. Le chaicelier prétendit que l'entr. I em-nt postble de que'quaa ntl li *r< 1 •étudiaita était a<gllieaata p isque I' \llemagne n'avait p ' d ai m -s. La pi i ten lue découvar'e de matériel le guerre est iasig. i fiante en comparaion de ee qui a été ditn.it par ordre des alliés... Ku ce qui C3ueerne la p'oiee, M Luther explique que 'a situa 1 on •• teneur* de n VUemagae «xi geait une p-'ice bien tiiiraluée partie, u iem'ni ; 1 la '0 ominis me devenait plue fort. L'Allema- gne û'u pas d iab ! muni t.ons de l'Ktit, pas de f»rleressa modeme et peu dailil'erie Le ehanrelier termine eu >li-inl qu'il cceper.tit poir l'All'mvgee la pro<r«rnm* .l'art» Ira ra de s* inte * et de dus irmeoieul de M. Marri >t. Frunze rcmjilace Trotiky M'I-vCOU— La comité entrai exéeut f ruste a relevé Tro'iky de ses fonrlions el e nommé Kr 1 /•, commissaire du peuple à la guarr 1 et à la laa.iae. Dans les relirions diplo- matiques Iraneo-auiéri- eaioes WVSHINCrON-Vi. Daeesaoef a présenté hier tes .lettres à«cé aneara M. Ctoli.lge. Dais ^on dis cours, il a déclaré que la France conservait précieusement la seave air de l'aTorl de la nation aaa ri aaine peadanl et apret la guerre. k'Uitloir* qui se répéta, a t il dit, a «onirique la Fnuce at l'Arsé que se aont prêtées tour a teaa I d a aaoïaauta criîiquea de laar xisteaea uaa aide effleaae payant au -i i' uis d 'es de remeuai-san ee mulutlle t.ml comme allas eat oni in-uti 1^ ca- éehéant tur le remboursement de leurs deltee matérielles. M. Uaeschner ajouta que la jour favorable sont lequel ta prêtante le plan d'orgaiisatien bnaeciire inauguré récemment aaontre combien précieuse et collée tiva est la sollahoradun de l'Ame ri nie Mon gouvernement espère que cette eotlaboratioa te eonli uuera aussi bien pour l»s qeeft tiens d'imén'l i; 'u•' 1 il qus pour let ornblèmes intéressant fa-li:u liérement nés il -ux paye. M. Cooli'tg» répondit qt'il ap ]u> ail l'aluision A l'amitié fidèle maintenue depu>s que I Amérique a vu le jour. L'aide 1 ier, w illaule que la Franc** nous acrorda dans la I 1 t" p IUIl'indépendante a rlon niissance à une amitié perma nenle et ee fut le privilège de mil liont de j unes américaine de sa battra aux rotéa det hémii'nee soldats d* la Franae pour la déf«a le da la liberté. Ils ont ainsi p*.vé notre datte de gratitude et comme vous Pave/ si justement 'ail ra marquer nos goavernementt doi v> nt éprouver une profonde aai a fic.lion deva"t les elfnris drpi.y a depitel «la lie |>our le Pcg.C mit des dettes mttéiitlles. Ap èa r#a»pilon, M. Daescii aa>--' ndit h Ar'in^ ,n députée u e . ronne sur la tombe du 1 .Idat uis il vi-ite à M. Riano. ambt» denr é t bpscae, iOm : do jeu c'a Corp» DiptonaU |ti.

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  • DlItBCTEt R PROPRIETEI R

    IMPRIMEUR

    Olemeni .gloire BUIS YbriNA

    1358, Ru* Amricain*

    NUMERO/ $0 CENTIMES

    Quotidien

    La perfidie est l'acte le plue odieux eue puisse commettre un li mime, car i secompose Je la prmditation du mal et de l'abas de toute espce de conhance. la (tiui

    TLPHONE W 148

    18me ANNEE N 5422 PORT AtOTUNCE (HATI ) LUNM 2 FEVRIER i92i

    le retour de ootre m diplomatique Lia te tsjwp w***2,es Etranflrs flous aven CM le phiiir de re- ir oelre ami (un ille Lon qui ient de Lima, o en qualit livoy Extraordinaire et Minis

    PlDi| oit-otiaire en mitsion .jille prs du Gr uvernemmt du oi, il avait t assister i> la Jbratien du Premier Centenaiie la bataille d'Ayacueho.

    n juger par les journaux que j avons tous lis yeux, i o e patriote dont les tire*, nia-

    it l'I cmii e du n ci de ai < om . trnitilne nu aie ut ;-| prcbl )DI 1 ' a- ilo aloa Lia a 101.1 l'onveiluie dis li i, noire Envoy Spcial arimr (ViM;qiiemn I ses i ru.' i ,cii ents pour les gards

    dont il a t l'objet ee matin de lt part de Son Excellence Don Ro- dolfo Cliiri et du Secrtaire des Relaiioos Extrieures le Dr llora- cio F. xll'in h l'occasion da ia visite de courtoisie qu'il eu laire ces balte fonctionnaires.

    Da " Star and Herald " du tu Janvier (915

    L'arrive de Lima d'uu Agent. Iliplo n a tique

    Hatien

    Camille i. Lon, Fnvoy l'x- traorlii. lire el Minisire Pler i- poteotiaira d'Hati la Clbia- lio i I i i tntenaro ! la bauit- le d'\y cui li vi>ile PI ami en route pour >on paj .

    Monsieur Lon a ren lu hier une visite o'KciePe an Prsident Chiari qi s r. c '! Mtaietra 11 * i - tii'M avec c Ile courtoisie qui lai est caractristique.

    t Monsieur Lon est enchan' de l'aaeeuil i n liai qui lui a t fait partout ici.*

    Nova renouvelons nos ssmpali- ques aomplicaeats a notre ami Lon pour la leon aatiafaiiante dont il s'esl acquitt H.- ta mission, la* quelle ne manquera pas, nous en somme* srs, 4e contribuer au dveloppement dis bonnes rela- tions et de l'entente cordiale qui doivnl unir no'rfi o-v* anx R- pub iques llispano Amricaines.

    LA BOURSE OU LA VIE ht

    SOHS couleur de nMionalis- e, les papsioi s i o'iti (in s ont

    uu tel caractre tneseant 'il est temps que les amis du

    vernement secouent leur cur, et adoptent une attitu-

    moin* passive. Eu effet dans la majeure pi * des ea*, le loi.ctioi nairejq ii

    ns un group, entend d;ier Gouvernail nt qi'.l seit, se nlente de hausser les paules le prendre cong, sans son-

    que son silenee est une com .Aii et son dpart une dlec- n. C'est une tactique pi u vi

    le*l qui n'a d'autres rsultats, ans notre milieu o Celui qui

    It* le p'us tort, sembla tou* nrs avoir raison, que de rri- sr lacune d-s m'content , Bl qui jugeant, sur d. s ac.i liions non eoinli illties. lel

    xeusables dejugir m; I.

    Il ne faut poinl rou:i-, le trier avee une conviction s1, - |re, les raisons qu'au P da pr- ter ua programme d'o dre et fe progrs un programme raiarabia. Le grain ainvi sem, r germera p ul 'M | as lout kntier, il snllit qu'il-s, lve en luetqii'B uprita d- ho, ne loi ?our que la tache n'ait pas t tri'e.

    Lorsque edant la brutali- deson caraclro, un adver-

    Hre s'vade de la discussion IM faits, et vous montre ses PCtfigr, il est peut lre chrtien Me lui tendre une face souriante It rsigne, rasis coup sr il W plus sage de sa metire en prde, prt rendre les coups. Jtendre le (iouvernement,c*. st

    ^n somme pour loin lenetion- )/"* te d! ndre soi ni. me, d- je ilat du . lu ts, qu'on

    V un i I. i,f, .I,.I, , (\,e hn>>i j'Ii'i .t.i.lu j in .j.i'on man-

    ' i ' -t i - . \ it d la boum lii,,,,., ., j, rr < Bue le rrie, [A exril ou 1.1 Iransluge que tenailla la taira. 7t* le souvenir des beaux jours

    pass' ; il ne faut pis se ls*e\" de dire qu' l'exception de quel ques esprits dsintresss mais buts* lop ori'ion est pnra- 1-ment une entreprisa commer- ciale, qui comme telle sans doute prsent* quelque! ris- que?. , mais qui n.jnr, >- lit le vieux gnral 'ilruchien Wurmser et prit Mantoue

    L) mai'i, il y aura H ans ( * F- vrier Il7 ) que les B*ala (J 1-. a..!.'- la proclamation dt la guerre sous-marine outrance, rompi- rent lea re at O'.s .l>r

    1 n al iques avec l'Empire d'Allemagne.

    Malfaiteurs Hier soir, vers 4',t des Nations

    GEN'KVE L'Allemigne.devrait faire perde de la Soci e .1H Na tiona et obtenir un ri.ge p. rrna neiit au conseil ina;s on n* de- vrait pat lui seeorder une position pr.vi i^e n ee q. i concerne l'ap plications des lactiout >mposet par le paete. Telle ett l'opinion olfieielle d". l Sude exprime pu bliquement Cenve hier.

    AU Maroc I140RID Keiiouli, le e lbre

    ch f des brigandt maioctiins est a--i>'. j dans MI vile natale Taaa- roui . ar i-- tribus rilliin s c >m ovui L'es par Adel Kn n. rtnf re belle n guerre ont e l'Ep une. Il'ap es dot nonve es reiiet de Mad d la bataille 'ou nerait en faveurdt Risouli et let r faina auraient perde plnt de 10J hom mes.

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    Barthrni irait ofliciellemeiu VV 1 sbinglon expisiT aux autorit) a aricaiaea le point de vue frau j a -ur l< q 'l'on d dlits est absolument tant fondement.

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    li *r< 1 tudiaita tait a ail l'aluision A l'amiti fidle maintenue depu>s que I Amrique a vu le jour. L'aide 1 ier, w illaule que la Franc** nous acrorda dans la I 1 t" p IUI l'indpendante a rlon n niissance une amiti perma nenle et ee fut le privilge de mil liont de j unes amricaine de sa battra aux rota det hmii'nee soldats d* la Franae pour la dfa le da la libert. Ils ont ainsi p*.v notre datte de gratitude et comme vous Pave/ si justement 'ail ra marquer nos goavernementt doi v> nt prouver une profonde aai a fic.lion deva"t les elfnris drpi.y a depitel la lie |>our le Pcg.C mit des dettes mttiitlles.

    Ap a I r#apilon, M. Daescii aa>--' ndit h Ar'in^ ,n dpute u e . ronne sur la tombe du 1 .Idat uis il vi-ite M. Riano. ambt denr tbpscae, iOm : do jeu c'a Corp DiptonaU |ti.