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  • DlItBCTEt R PROPRIETEI R

    IMPRIMEUR

    Olemeni .gloire BUIS YbriNA

    1358, Ru* Amricain*

    NUMERO/ $0 CENTIMES

    Quotidien

    La perfidie est l'acte le plue odieux eue puisse commettre un li mime, car i secompose Je la prmditation du mal et de l'abas de toute espce de conhance. la (tiui

    TLPHONE W 148

    18me ANNEE N 5422 PORT AtOTUNCE (HATI ) LUNM 2 FEVRIER i92i

    le retour de ootre m diplomatique Lia te tsjwp w***2,es Etranflrs flous aven CM le phiiir de re- ir oelre ami (un ille Lon qui ient de Lima, o en qualit livoy Extraordinaire et Minis

    PlDi| oit-otiaire en mitsion .jille prs du Gr uvernemmt du oi, il avait t assister i> la Jbratien du Premier Centenaiie la bataille d'Ayacueho.

    n juger par les journaux que j avons tous lis yeux, i o e patriote dont les tire*, nia-

    it l'I cmii e du n ci de ai < om . trnitilne nu aie ut ;-| prcbl )DI 1 ' a- ilo aloa Lia a 101.1 l'onveiluie dis li i, noire Envoy Spcial arimr (ViM;qiiemn I ses i ru.' i ,cii ents pour les gards

    dont il a t l'objet ee matin de lt part de Son Excellence Don Ro- dolfo Cliiri et du Secrtaire des Relaiioos Extrieures le Dr llora- cio F. xll'in h l'occasion da ia visite de courtoisie qu'il eu laire ces balte fonctionnaires.

    Da " Star and Herald " du tu Janvier (915

    L'arrive de Lima d'uu Agent. Iliplo n a tique

    Hatien

    Camille i. Lon, Fnvoy l'x- traorlii. lire el Minisire Pler i- poteotiaira d'Hati la Clbia- lio i I i i tntenaro ! la bauit- le d'\y cui li vi>ile PI ami en route pour >on paj .

    Monsieur Lon a ren lu hier une visite o'KciePe an Prsident Chiari qi s r. c '! Mtaietra 11 * i - tii'M avec c Ile courtoisie qui lai est caractristique.

    t Monsieur Lon est enchan' de l'aaeeuil i n liai qui lui a t fait partout ici.*

    Nova renouvelons nos ssmpali- ques aomplicaeats a notre ami Lon pour la leon aatiafaiiante dont il s'esl acquitt H.- ta mission, la* quelle ne manquera pas, nous en somme* srs, 4e contribuer au dveloppement dis bonnes rela- tions et de l'entente cordiale qui doivnl unir no'rfi o-v* anx R- pub iques llispano Amricaines.

    LA BOURSE OU LA VIE ht

    SOHS couleur de nMionalis- e, les papsioi s i o'iti (in s ont

    uu tel caractre tneseant 'il est temps que les amis du

    vernement secouent leur cur, et adoptent une attitu-

    moin* passive. Eu effet dans la majeure pi * des ea*, le loi.ctioi nairejq ii

    ns un group, entend d;ier Gouvernail nt qi'.l seit, se nlente de hausser les paules le prendre cong, sans son-

    que son silenee est une com .Aii et son dpart une dlec- n. C'est une tactique pi u vi

    le*l qui n'a d'autres rsultats, ans notre milieu o Celui qui

    It* le p'us tort, sembla tou* nrs avoir raison, que de rri- sr lacune d-s m'content , Bl qui jugeant, sur d. s ac.i liions non eoinli illties. lel

    xeusables dejugir m; I.

    Il ne faut poinl rou:i-, le trier avee une conviction s1, - |re, les raisons qu'au P da pr- ter ua programme d'o dre et fe progrs un programme raiarabia. Le grain ainvi sem, r germera p ul 'M | as lout kntier, il snllit qu'il-s, lve en luetqii'B uprita d- ho, ne loi ?our que la tache n'ait pas t tri'e.

    Lorsque edant la brutali- deson caraclro, un adver-

    Hre s'vade de la discussion IM faits, et vous montre ses PCtfigr, il est peut lre chrtien Me lui tendre une face souriante It rsigne, rasis coup sr il W plus sage de sa metire en prde, prt rendre les coups. Jtendre le (iouvernement,c*. st

    ^n somme pour loin lenetion- )/"* te d! ndre soi ni. me, d- je ilat du . lu ts, qu'on

    V un i I. i,f, .I,.I, , (\,e hn>>i j'Ii'i .t.i.lu j in .j.i'on man-

    ' i ' -t i - . \ it d la boum lii,,,,., ., j, rr < Bue le rrie, [A exril ou 1.1 Iransluge que tenailla la taira. 7t* le souvenir des beaux jours

    pass' ; il ne faut pis se ls*e\" de dire qu' l'exception de quel ques esprits dsintresss mais buts* lop ori'ion est pnra- 1-ment une entreprisa commer- ciale, qui comme telle sans doute prsent* quelque! ris- que?. , mais qui n.jnr, >- lit le vieux gnral 'ilruchien Wurmser et prit Mantoue

    L) mai'i, il y aura H ans ( * F- vrier Il7 ) que les B*ala (J 1-. a..!.'- la proclamation dt la guerre sous-marine outrance, rompi- rent lea re at O'.s .l>r

    1 n al iques avec l'Empire d'Allemagne.

    Malfaiteurs Hier soir, vers 4',t des Nations

    GEN'KVE L'Allemigne.devrait faire perde de la Soci e .1H Na tiona et obtenir un ri.ge p. rrna neiit au conseil ina;s on n* de- vrait pat lui seeorder une position pr.vi i^e n ee q. i concerne l'ap plications des lactiout >mposet par le paete. Telle ett l'opinion olfieielle d". l Sude exprime pu bliquement Cenve hier.

    AU Maroc I140RID Keiiouli, le e lbre

    ch f des brigandt maioctiins est a--i>'. j dans MI vile natale Taaa- roui . ar i-- tribus rilliin s c >m ovui L'es par Adel Kn n. rtnf re belle n guerre ont e l'Ep une. Il'ap es dot nonve es reiiet de Mad d la bataille 'ou nerait en faveurdt Risouli et let r faina auraient perde plnt de 10J hom mes.

    Nouvelles Diverses La mission aritnne Paris Tchad

    et airive Adr u I'\RIS - La nouvelle que M.

    Barthrni irait ofliciellemeiu VV 1 sbinglon expisiT aux autorit) a aricaiaea le point de vue frau j a -ur l< q 'l'on d dlits est absolument tant fondement.

    Le Qouvern mentlraneai* obtient un nouveau vote de confiance PARIS A l'oceation dat in-

    t' 1,. ' t'ioui ur la rintgration des cheminots, la chambre a vol t < 111 r, r .> au goav-rnement par 315 voix contre t 3

    N nivelle et viol-nie tr,m jji il nenje i New Toilv

    ALB NV NRK~ Uaa de p'us >' s I.mp et de neige qu en

    ait vuee depuis 10 ant t'est abvt tee sur l'hiat de .New Voik para lytaot la eireulatien et causant de nombreax aeeideats.

    La rponse du Gbancelier allemand aux accusations

    de 1. Herriot [j

    HbIRUN- Le ehancalier Lu- ther a rpondu la presse tran gre aux rcentes accusation! da M. Herriot et a ni que l'Allemi gne s'annat secrtement et fut une menace pocr la scurit de la IVu.ce. M. Luther admet cepen d mt qu'il y eut quelques irr^ula rilsde peu 1 imp >rtaeca. Le goa verne nent allenmd est prit re m uer ces lgres infractions au l? irinemeiit si les allis four nissent al'\tlemagne le texte de la djm.nisaiou de cootr.Me. Le chaicelier prtendit que l'entr. I em-nt postble de que'quaa ntl

    li *r< 1 tudiaita tait a ail l'aluision A l'amiti fidle maintenue depu>s que I Amrique a vu le jour. L'aide 1 ier, w illaule que la Franc** nous acrorda dans la I 1 t" p IUI l'indpendante a rlon n niissance une amiti perma nenle et ee fut le privilge de mil liont de j unes amricaine de sa battra aux rota det hmii'nee soldats d* la Franae pour la dfa le da la libert. Ils ont ainsi p*.v notre datte de gratitude et comme vous Pave/ si justement 'ail ra marquer nos goavernementt doi v> nt prouver une profonde aai a fic.lion deva"t les elfnris drpi.y a depitel la lie |>our le Pcg.C mit des dettes mttiitlles.

    Ap a I r#apilon, M. Daescii aa>--' ndit h Ar'in^ ,n dpute u e . ronne sur la tombe du 1 .Idat uis il vi-ite M. Riano. ambt denr tbpscae, iOm : do jeu c'a Corp DiptonaU |ti.