-s s ^ trs · mier choc et qu’il devra se retir-r : mais alors commenceront les difficultés, car...

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Tendredi 19 OctüMwe «. 1 " Anoée. — Parstissant les i MERG POBK'TQOT,:?* QÜItlONQ I astiq uas s Hsr. ra u t aranti) re, «t aTM rantû. ON (Aisne), aphsimscis principaux ion Dugué. ; VImmaculé* hal Soult, ^ ’a jamais été 8 de haut sur : COMBINAI- [ que j’adresse iresser les de- urrter. ÎOT Lf première nqutna louzelitras. 4^ ; DE SUITE SI NI È R E N BOÜEGEOISS u du Journal, pis*» F tT . s Senlis, E^TTCL^^_^ MAMDE IDINIER erval, près Verberie- 0118 certiflcatB. MRC de re de la aation de la ?RIX DES .^dNNEMENTS, On SKRE®. •"1"“? T T ' ÿfr." '!♦ fr. OISE et LMrFBOPHESi ... Sîl fr. 11 fr. a u t r e s DÉPA8TBMBNTS . . 22 fr. If fr. Us abtnnerientsM paimt à’avanee, st continuent jusqu^à réception d'tmi». contraire, et dettent d<* 1 " «t 18 de chaque moie. S’ADRESSER A If. D. EEEÊVRl; fROi^^TAIRE-GÉRANT, Plaéé artftré^une»' <4Hé»). . Touü jeitre tum afprâiMhve gera refwtie. Lêt-manMcrita Mê sont pas rénduto •-kt-HgBf.* ~ ANNONCES JCSIClAIBES ET XËàAEES. . 80 eestimae;^ ANNONCES D I V E E s r a ^ . . . . . . . — ■ R E C L A M E S . ' . ’ i . i . ............. .00 On ne reçoit pat etannoneee,au-deaeiiu:delf^i''0nittmite-4 firfniJti pour'^i'einnôndeerépStéeepUttieurerfùttii BÜI-LÈTIN Senlis, le 17 septembre 1877 Le résultat des élections, sauf les co lonies, est connu depuis deux jours, et, chose bizarre, chaque journal, chaque parti a fait un classement différent. Nous avons nous-mème fait le pointage sur plusieurs journaux et voici le décompte que nous croyons exact. _ Les députés des 528 circonscriptions sont connus. Ils se classent ainsi : 2(fô conservateurs, 313 républicains et 13bal- lotages. La majeuxs>PArtie de ces 13 hallotages appartient d’ores et déjà aux conservateurs, en. sfirte .qu’on peut pré voir que le 6 novembre les partis se présenteront à Versailles avec les;^effec- tifs suivants ; 210 conservateurs, 322 ré publicains. .. Certes, nous savbiis bien que nos amis n’ont pas la majorité, rfiais, neus ne pou vons oublier que les 363 se vantaient_de revenir 400. lîs dnt denc subi un échec matériel et moral. ^ , Aussi les menaces q^u ils font entendre déjà et sar lesquelles nous nous expli quons plus bas sont-elles frappées de stérilité. „ -... , On se demande quelle sera 1 attitude du Maréchal. Il est bien évident que le ministère actuel ne résistera, pas au pre mier choc et qu’il devra se retir-r : mais alors commenceront les difficultés, car les exigences des gauches seront grandes et les concessions que peut fa're le réchal après le manifeste seront forcé- medt restreinteSi , n «st certain, par exemple, que le Ma réchal, qui- a solennellement promis son appui aux fonctionnaires actuels ne pomra pas signer leur révocation en masse, et on comprend jusqu à un cer tain point quel s membres delà gauche demandent la destitution de ces lonc— tionnaires qui les ont Combattus. S’ils étaient habiles, ils ne le deman deraient pas, mais allez donc demander de l'esprit politique à ceux qui ne re culent pas devantla plus monstreusedes alliances, celle qui unit d’honnêtes gens aux souteneurs de la Commune. Nous ne faisons.qu’indiquer une des difficultés de la situation et il y en a bien d’autres. , , . Les conservateurs ne doAvent pas pour cela perdre courage. Il faut qu ils se groupent et qu’ils se serrent en face de, leurs ennemis plus âudacisux que jar- mais, et, si obéissant à uns nécessité qus nous ne voulons pas prévoir, le Maréchal les conviait encore une fois' a la lutte, il faut qu’ils soient prêts.f/'estpar une in fatigable pereisfance que les Républi cains ont Ini par nous battre, c’est par une infatigable persistance que nous res saisirons la victoire. * C’est le 4 novembre prochain qu;’au- ront lieu les élèctiohs pour le renouvel lement triennal des conseils ,généraux. Il faut que les conservateurs prennent leur revanche un peu partout ; il le faut, car ces élections àuront Une impor tance considérable pour le renouvelle ment dû Sénat,_ et le Sénat, ne Tqu- blionspas, est aujourd’hui la deifnière citadelle de l’ordre. Dimanche dernier, pendant que la ba taille électorale se livrait enErançe, une autre bataillé, sanglante cellé-là, se livrait entre, les Turcs et les Russes dans les plaines de l’Asie.Lçs Russes ont pris leur revanche de la longue série d’échecs que leur a infligra Moukhtàr- Pacha. Ils ont mis en complète déroute l’armée de ce général, auquel ilç!,dût pris 50 canons, 7 paChàS 'èlr'pluSifeÙrS mille hommes. Du côté de la Bulgarie, tout est tran quille et un temps affreux suspend les opérations militaires. e’est à tort que plusieurs journaùi de Pa ris out aunoncé que le minis ère avait offert sa démission au Maréchal-Président de la République. Les ministres n’ont pas songé un instant à quitter leur poste,, pas plus que M. le Prési dent à se séparer d|eux. . . La lutté électorale qui a commencé le 14 o tohre, et qui vaut aux conservateurs la pos session de 50 nouveaux sièges législatifs, se conttffuera le dimanche 28, pour, les scrutins de ballottage, et le dimanche 4 novembre, pour les élections départementales , exactement dans les conditions où elle a été engagée.,M. le ministre de l’intérieur s’en est' expliqué au nom du gouvernement, avec tous les préfets qu’il a fait appeler à Paris. De la Modération, S. V. P. n ne faudrait pourtant pas que les B ^u- blicains abusassent de .leur demi-sncsès,. au point Me se rendre ihsùpportablM. Ils ont conservé la majorité, c’est un tait acquis, mais ils l’ont conservée diminuée, amoindrie. Leur chef Clambetta affirmait dans ses discours qu’ils reviendraient, non pas seulement trois.çent soixante-4rqis,;Tsaié»quatre cents, pas un de plus, pas un de moins. Or, «n comptant à leur actif les Tésültats des quatre colonies, en sè monitteat. assez large pour la répartition des bàllo.tages, on peut affirmer qu’ils ne reviendront que trois cent vingt, à peine. Le pays a donc refusé d’endosser les pro messes imprudentes de l’orÿanisateur du la! défaite nationale. Il a atténué les forces dont disposait le {farti républicain dans l’ancienne ; Chambre. - j On a, par oOnséquenf, le dfoit . de déclarer que si les conservateurs ne reiriennent pas 1ns maîtres, les Républicains reviennent moins- forts. Pourquoi donc essaient-ils de donner le change ! Pourquoi menacent-ils déjà ? . Les uns osent conseilîèr la âise en accusa- tioi^des miaistgs^, Lcs Mtaros^^plus .hArdis, affirment qu’il faut'priver ces minisires de Imrs droits de citoyems et confisquer leurs biens. Brochant sur le tout, les membres des gau ches du S ^ t,A q âou:de,&ire.^ la çonei^V ti'on, ,cote>uc, ils .dgnaiontfle teûlér én.^ur quj^^' dé 'Ot dé aôûsHùvs,lvéen- nènt agiter de nouveaux bréndons de dis^ corde. i .i J\a osent promettre aux députés conser vateurs les conséquences d’une invalidation. >Us se permettent d’annoncer aux fonction naires qu’ils n’ont plus rien à perdre et que leur compte est réglé,. Ils se permetttent de s’en prendre soumoir sement au: Maréchal lui-méme,. en affirmant que la majorité républicàtae se tient prête* toutes les éventualités. Noos ne sautions dire quels dédains nous inspirent ces menaces ridicules. Si.nous étions des hommes violents, des gens décidés à tout p ,ur faire triompher nos. idées, nous demaiidericns à'Dieu uue chose ; c’est qu’il.inspirât aux républicains une au dace éncore plus grande et une impudence eucôre plus éhontée. , Etant donné qu’il faut que la Fraui e se' dégoûte eucore une fois d’eux, nous applau dirions à tout ce qui pourrait faire naître ce dégoût. , . ... Etant donné qu’il faut être malade, nous préférerions une maladie aiguë à une mejadià chronique. Et nous pousserions nos adversaires dans la voie sans issue qu’ils semblent vouloir choisir. Mais nous ne sommés pas de çe'sgens-là. Les coups de force noua répugnent; les. dicta tures noUs effraient..- Or, que les républicains se le. tiennent pour dit, s’ils suivent lés ‘enragés qffi; véuteùf les entraîner à des vengeancèsT c’esv la dictàturç militaire qui sortira de la bagairté. Nous nous permettrons donc de leur dire. non pas dans leur intérêt, qui'nonàm ^rte peu; mais dans l’Jntérêt du paya, dans l’inté rêt do la patrie, qu’ils feront bien d’étrs. mo destes et de ne pas aller trop loin dans la voie des exigences. Nous nous permettrons de leur dire que leur attitude actuelle est dépbrable, et qu’ils feront bien d’en changer ; et que s’ila'rentreht àTersaiÙes la' menace û la bouche, Us s’ex posent à en sortir encore' imé 'fois la honte surle front. Nous nous permettrons de leur dire enfin : Citoyens, Dans votre intérêt n’abusez pas de la demi- victoire que vous avez remportés dimanche dernier. ...................... Montrez-vous modestes. Soyez calmes. ■Vojez. Actuellement, tout peut eucore, avec un peu de bonus volonté, s’arranger pacifique ment. Les épées dorment dans les fbafreaux, ne les réveillez pas. Un triste métier Nous avons lu dans 'le Journal^ de Senlis une lettre sur làqUeUe il est inu tile d’insister. Notre.conffiéré's’est, vanté de tenir l’original de cette lettre à la disposition dlû public; ^ Nous serions curieux de savoir com ment le, Journal, de. Senlis se Test procurée; car enfin il fiiut qu’elle lui ait été donnée ou par la personne qui Ta écHte ou par la personne à qui elle était destinée. Si,par hastffd, il ne la tenait ni.de Tune ni de l’autre de çes deux personnes, il ne r oûrrait l’avoir reçue que des mains d’un malhonnête'homme. , Le monsieur qui s'approprie une lettre qui'ne lui ^tait pas destinée est, à notre avis, aussi''blâmable que celui qui ap plique à ses dépenses le contenu" d’un porte-monnaie qiTüa trouvé. Qu’on demande à M. ühauveau, en sa qualité d’avocat, une consulta'ion à ce sujet, et nous le méttqns au défi Me sou tenir une doctrine contràiré à la nôtre. Dans un département voisin du nôtre, un député républicain que nous pour rions nomme); e.û, en _ce moment, pour suivi pour un fait snalogUe à celui que nous dénonçons ici à l’indignation des honnêtes gens. Onlitdans.il£î«fa/refte .- Une imjbrtante réunion a.:éti .tenne.vhiet;' dans la sofrée, chez Ton des membres:les.plai ' infiaents de la gauche. Non seulement un.eectain.nombr. de séna teurs et de députés y assistaient, mais encore . : un grand nombre de notabilités'âü'’ 'psrti' ié- ipublieain, Piyersés quêtons ont été mmes à Fordre : dujppr, ' L’ai ’assembléé a adopté les résolutions sni-' vantes: I* Vérification des élections précédant tout autre acte. 2° Invalidation en bloc de tontes ’-lès -étse- tions frites sous le patronage officiel, oû't»-' commandées comme a r a b le s au Maréchal, - 3° Mise en accusation du, ministère aétiiifi, ’ 4°.'Vote d’un ordre du jour blâniantléfiergi-, quement Tiaterveutiôn du ' Mùéèhal'dfràs b lutte électorale ét fiétrissantté minutère du 16 mai, .li°,'Yote d’une loi mettant à la chaq^;du ministére'toUs'lésfraisd’àffishq* ét.’déjp^' blication des manifestes, ainsi que tous bif fiais avancés pour souaenir 4e»- candidatnrts officielles; - ' J Nomimtiion d'une commission pour établir le montant de,ces fimis; , ^ te R ( ^ absolu dé voter le budget sans ma ministère donnant satisfretioà aux gaûthes ; 7° Remphtesment des prétets et souspré-, frts, ohimgements mmsidorables data le per- ' sonnel des administrations, révocation de tous les miigistrats qui sa sont associés à lia politique dù 16 mai; en cas de; résistance-, re fus de-tout subside et mise en accusation du MaréchaL Nous verrtns bien INFORMATlOliS. Le gouvernement se prépare à nné^-upu;, vsUe campagne électorale, qtii aura sü moiu! autant d’importance que celle qui vient dUss tenninerparle gain de cinquante siégte nou veaux à son profit dans là Chambre dés dé putés. Il s’agit des élections pour les cmuieilsi gé néraux fixées au 4 novembre prochain.. Outre les conséquences, qu’elles doivent avoir pour le renouvellement partieTdu'.Eéjiat en 1879, elles peuvent aussi exercer iuiié^T fiuence morale considérable sur les premièrès résolutions de la nouvelle Chambre âés’db- putss. Aussi croyons nous savoir que des inétruc-' tioBS Toqt ctre envoyées aux pteféts pour leur recommander de ne pas laisser: se dis; seudre les comités élsctoraux. Un grand nombre de préfets smit arrivés h Paris afin dè récevoir du ministre de • Fila. feuilleton DU NOfrWtLfsrE, 19 ocTOsax 18T7, L’ŒIL DU DIABLE. deuxième partie — Du comté .fis Lunpustre,.Madame, répondit P h il^ , devenu à peu près maî tre de sa langue, ■, , — C’est un biqîi,M?“ P^y®- •'® ^ visité il y a quelques apnées, ^ — N 'esi^' pâe, madamé, que c est Joli cliez nouSp dit le vieux soldat, at— igtfé JUIA VUOta liV/UO, Aw ’ • , _ tendritout itçpup,'à.ce spuvejutd!?. natal. Ah l il y;a bien longtemps, jplœ de trente ans, que jé'b’ÿ ai m is les teeds Mais je vois d ici la ferme du père Phi lips, et le village, avec .son école, avec son temple, a.vee .la belle, maison, b l^ - che du pasteur, et la taverne de mütre Gibson, et . la poste. Tout est reste peint là, cûntinûa-t-îl en se frappant le ™nt. , , —'Vous avez .énçpre vos parents I — Je le crois. Mitis, à J W dire, il y a longiemps.que je n’ai ,eu dq leurs nou velles,' ces pauvrés 'BônÛOT'^Ù!', Ils d vent aller tous lés, fieux' sur'leB'quInrei- ■vingta ans, e t,jC ^ ù n Sgè' oèlai SurtOul quand on a jpâu^qa vie 'coùifiié suinta terra. — Et vous n'avez jamais eu l'idée d’aller les revoir? — Oh ! si ; tous leaans, lorsque vient leur jour de naissance et que je pt'nse qu’ils sont réunis là— bas, les entants et les petità-enfants, autour des vieux, et que le père doit dire tristement : C’est dommage, tout de même, que Bab ne soit pas ici. Bab, c’était mon nom quand j’étàit petit. Quant à la inèrë, elle ne dit rien, elle, mais elle pleure un peu.. Quand j ’ai ces idêes;-là, les catnarafies le voient tout de suite,, et ils disent que je suis parti pour le.pays.............. — Pourquoi n’y retournez-vous pas! — Et pourquoi faire ! Ils ne sont pas riches, et je ne suis plus habitué à tr ^ vailler la terré. Je suis vieux, je ne m ÿ rèmèttfàfs plus. Il vaut autant que je lài'sse'mà peau par ici, je lés éinbarras- sérais làt-bas. — Oui, mais si vous leur apportiez Taisance, une petite fortune même? rAh ! madame, ne parlons pas dp cela. La fortune ne se gagne pas d’un seul coup, par les moyens honnêtes, s’en tend. , , : — Parlons-en; au contraire, répliqua Elise, qui marchait à son but. Moi, je vois, dans-q-fièlqué temps, un beau cot tage aux voiets: verts, avee. des arbres *oat autèor- et des champs à côte. Et jnis'dés'.gàfçous de ferihe, qui travail lent ën chantant, et puis, tbiit lin monde heureux, et demande à qùi 'àg^tnent cette maison, ce beau domaine. C’est à moqsieur Philips. — Oui, et moij madame,j e vois au tre chose. Je vois une grosse branche d’arbre à laquelle pend un grand‘fruit, de forme allongée, que le venfTait ba lancer, et quand on passe, et.qu'on de mande ; € Qu’est- ce que c’est donc que c e l a » on répond : C’est monsieur Phi lips, qui apprend là-haut, aux autres bien -entendu, .car po’ut 'lui il n’a-plus besoin dé rién -savoir;, qu’il est dange reux parfois de laisser échàppèr ceux qu’on vous à laissé à garder!-» ■ . — Mais je ne veux_ plus m’échapper, mon bon monsieur Philips. '. —■Vrâîmënt ? Alors poûr^oi' cher chez-vous, madame, à me taire oublier que je suis soldat? Pourquoi me parlez- vous depays,; de fortune, de .bqnJienr? Si c’est uniquement pour youç^fiisl^ire, c’est , mal,-répliqua Philipa>,a^sté et, disons le mot, uu peu désappointé. — Ce' n’est plus de .ngii qu'il s’agit. — Deqni-alors? _ — De ce cavalier qui est venu ce ma tin etquB le;général ;a fait arrêter.- Joli homme, dit Philips senténcièur sement, et brave militaire l J1 seçouài.t tous ces pfilciers .comme un saqgRerrqui emporte une meute-pendue par les dents après lui. Il est à là prison pour l’ins tant. ' Eh bieû; .c’pàtdui:qu’il:fi8trt';&ite •évader.-'-’ — Pourquoi? — Parce que je n'ai pas d’autorité sur les camarades qui gardent la pri son. — Ils sont du même ■ régiment que vous ? — Oui, je crois. — Mais alors, ce devrait être.plua fa cile, En tout caSj ce sefta moips dtBager reux, car moi, je ■yoùs aidëim, n’^t-c,e pas, puisque j’ai là:^fmission d’aller voir le prisonnier, et puis, s’il s’en va, ce n'est pas vous quiètes responsable de lui-- . . . : . . ' -r C’est égal, je ne crois pas laehose possible. ' ' . . — Dites,:moi, monsieur Philips, la terre est-ellë. chère dans. le comte de Lancastrel? Combien pouiïrait-tm. ed avoitpoûK'miUeJiüUiea?. — MUleUvres^imais_,a'yeÇ;Cela^,ûter rait grand, grand pfopriétw!e< -I- Eh bien ! voilà imon -deniier mot, monsieur Philips. Chargez-^vous de 1af faire et, au mmnsirt où mon cousin, le vicomte de jioquetel,' sërà sorti fie prison, je vous remettrai mille : livres sterling. Cela vous va-t-il? ■ ........... ■— Cela nt’irait certainement, .süë s^ vais comment in'y, prendre. Enfin;; je vàisessayess ;i_C’e«iûU’il faudrait ê^ejtedu suc cès, car il est de t ô ù t p i t o à i ^ n ^ ^ mtfin. -matin; le prisonatow»;^^™ “ retourne au milieu deüKWMUk . — Alors, nous n’ayons que jiiste le temps de nous en occuper. — Quels sont vos projets ? — Je n’en ai point encore. , ; 'Voilà ce que je propose : J’iraiairec vous voir M. -dé Roquetel, comnm e’est convenu avec le général. Je lui pcaeisrai une robe de femme ; je lui donnèirm mon , manteau, mes coi&s. Vous Tè'mmile.; rez et. je resterai à sa place dans sphhaL chot. • — C’est une idée, répliqua vivëinent Philips ; c’est une excellente, idée. Et . moi, qui serai censé avoir assisté au travestisBement, moi qui-ai répjg^j^e vous, sur ma tête, mon compte sera ré- ' f ié, et les ■miUe'livres profiteront à mes éritiera. — Qui vous empêche de.partirteyee Gaston? . — Ah ! madame^ .quand on veut moa> rir trauquille dans son paysnàtalj:ôa;ns commence pas par déserter. — C'est vrai. Alors que faire?. — Soyez tranquiUe. Votre,idée i^ên* donné une autre du même gjsWqnffiÿs moins dangereuse. Il faut officier s’en aillesans .que persohitege^ à sa place et que personnes’èm ^^r- goive. R est fie ma taille, je crois. — A peu près. - -Uûjicnimoiitejqtiapourtaqt;. - r Ohl opi, dit.ElTte ën'sQÙfiantmà^ gré un asu moistegn». -

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T e n d r e d i 19 OctüMwe «. 1" A n o é e . —

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SKRE®. •" 1"“? T T ' ÿ f r . " ' !♦ fr.OISE et LMrFBOPHESi . . . Sîl fr. 11 fr. a u tre s DÉPA8TBMBNTS . . 22 fr. If fr.

U s abtnnerientsM paim t à’avanee, st continuent jusqu^à réception d'tmi». contraire, et dettent d<* 1" «t 18 de chaque moie.

S’ADRESSER A If. D. EEEÊVRl; fROi^^TAIRE-GÉRANT,P la é é a r t f t r é ^ u n e » ' <4Hé»). .

Touü jeitre tum afprâiMhve gera refwtie. Lêt-manMcrita Mê sont pas rénduto

•-kt-HgBf.* ~ANNONCES JCSIClAIBES ET XËàAEES. . 80 eestimae;^ANNONCES D IV E E sra ^ . . . . . . . ■ • — ■R E C L A M E S . ' . ’ i . i . ............. .00 —On ne reçoit pat etannoneee,au-deaeiiu:delf^i''0nittmite-4 firfniJti

pour'^i'einnôndeerépStéeepUttieurerfùttii

B Ü I - L È T I N

Senlis, le 17 septembre 1877

Le résultat des élections, sauf les co­lonies, est connu depuis deux jours, et, chose bizarre, chaque journal, chaque parti a fait un classement différent. Nous avons nous-mème fait le pointage sur plusieurs journaux et voici le décompte que nous croyons exact. _

Les députés des 528 circonscriptions sont connus. Ils se classent ainsi : 2(fô conservateurs, 313 républicains et 13bal- lotages. La majeuxs>PArtie de ces 13 hallotages appartient d’ores et déjà aux conservateurs, en. sfirte .qu’on peut pré­voir que le 6 novembre les partis se présenteront à Versailles avec les;^effec- tifs suivants ; 210 conservateurs, 322 ré­publicains. . .

Certes, nous savbiis bien que nos amis n’ont pas la majorité, rfiais, neus ne pou­vons oublier que les 363 se vantaient_ de revenir 400. lîs dnt denc subi un échec matériel et moral. ,

Aussi les menaces q u ils font entendre déjà et sar lesquelles nous nous expli­quons plus bas sont-elles frappées destérilité. „ „ - . . . ,

On se d em ande q u e lle se ra 1 a tt i tu d e du M aréchal. I l e s t b ien év id en t q u e le m inistère a c tu e l n e résistera , p as a u p re ­mier choc e t q u ’i l d ev ra se r e t i r - r : m ais alors com m enceron t le s d ifficu ltés , ca r les exigences des g a u c h e s se ro n t g ra n d e s et les concessions q u e p e u t f a 'r e le réchal ap rès le m an ife s te se ro n t fo rcé - medt restrein teS i ,

n «st c e r ta in , p a r exem ple, q u e le M a­réchal, qui- a so le n n e lle m e n t p ro m is son appui a u x fon c tio n n a ires ac tu e ls ne pom ra p as s ig n e r le u r révocation en masse, e t on com prend ju s q u à un cer­tain po in t q u e l s m em bres d e l à g a u c h e dem andent la d e s titu tio n de ces lonc— tionnaires q u i le s o n t Com battus.

S’ils étaient habiles, ils ne le deman­deraient pas, mais allez donc demander de l'esprit politique à ceux qui ne re­culent pas d e v a n t l a plus monstreusedesalliances, celle q u i u n i t d ’h o n n ê te s g en s aux sou teneurs de la C om m une.

Nous ne faisons. qu’indiquer une des difficultés de la situation et il y en a bien d’autres. , , .Les conservateurs ne doAvent pas pour cela perdre courage. Il faut qu ils se groupent et qu’ils s e serrent en face de,le u r s e n n e m is plus âudacisux que jar-mais, et, si obéissant à uns nécessité qus

n o u s n e v o u lo n s p a s p rév o ir, le M aréchal le s co n v ia it enco re u n e fo is ' a l a lu t te , i l f a u t q u ’ils so ien t p r ê t s . f / 'e s tp a r u n e in ­fa tig a b le pere isfance q u e les R épub li­c a in s o n t I n i p a r n o u s b a ttre , c ’e s t p a r u n e in fa tig a b le p ersis tan ce q u e no u s res­sa is iro n s la v ic to ire . *

C’est le 4 novembre prochain qu;’au- ront lieu les élèctiohs pour le renouvel­lement triennal des conseils , généraux. Il faut que les conservateurs prennent leur revanche un peu partout ; il le faut, car ces élections àuront Une impor­tance considérable pour le renouvelle­ment dû Sénat,_ et le Sénat, ne Tqu- blionspas, est aujourd’hui la deifnière citadelle de l’ordre.

Dimanche dernier, pendant que la ba­taille électorale se livrait enErançe, une autre bataillé, sanglante cellé-là, se livrait entre, les Turcs et les Russes dans les plaines de l’Asie.Lçs Russes ont pris leur revanche de la longue série d’échecs que leur a infligra Moukhtàr- Pacha. Ils ont mis en complète déroute l’armée de ce général, auquel ilç!,dût pris 50 canons, 7 paChàS 'èlr'pluSifeÙrS mille hommes.

Du côté de la Bulgarie, tout est tran­quille et un temps affreux suspend les opérations militaires.

e ’est à to rt que plusieurs jou rn aù i de Pa­ris out aunoncé que le minis ère avait offert sa démission au Maréchal-Président de la République.

Les ministres n ’ont pas songé un in stan t à quitter leur poste,, pas plus que M. le Prési­dent à se séparer d|eux. . .

La lu tté électorale qui a commencé le 14 o tohre, e t qui vaut aux conservateurs la pos­session de 50 nouveaux sièges législatifs, se conttffuera le dimanche 28, pour, les scrutins de ballottage, e t le dimanche 4 novembre, pour les élections départementales , exactement dans les conditions où elle a été engagée.,M. le ministre de l’intérieur s’en est' expliqué au nom du gouvernement, avec tous les préfets qu’il a fait appeler à Paris.

De la Modération, S. V. P.

n ne faudrait pourtant pas que les B ^ u - blicains abusassent de .leur demi-sncsès,. au point Me se rendre ihsùpportablM.

Ils ont conservé la majorité, c’est un tait acquis, mais ils l’ont conservée diminuée, amoindrie. Leur chef Clambetta affirmait dans ses discours qu’ils reviendraient, non pas

seulement trois.çent soixante-4rqis,;Tsaié»quatre cents, pas un de plus, pas un de moins.

Or, «n comptant à leur actif les Tésültats des quatre colonies, en sè monitteat. assez large pour la répartition des bàllo.tages, on peut affirmer qu’ils ne reviendront que trois cen t vingt, à peine.

Le pays a donc refusé d’endosser les pro­messes imprudentes de l’orÿanisateur du la! défaite nationale. Il a atténué les forces dont disposait le {farti républicain dans l’ancienne ; Chambre. - ’ j

On a, par oOnséquenf, le dfoit . de déclarer que si les conservateurs ne reiriennent pas 1ns maîtres, les Républicains reviennent moins- forts.

Pourquoi donc essaient-ils de donner le change ! Pourquoi menacent-ils déjà ? .

Les uns osent conseilîèr la â ise en accusa- tioi^des miaistgs^, Lcs Mtaros^^plus .hArdis, affirment qu’il fau t'p riv e r ces m inisires de Im rs droits de citoyems e t confisquer leurs biens.

Brochant sur le tout, les membres des gau­ches du S ^ t , A q âou:de,& ire.^ la çonei^V ti'on, ,cote>uc, ils .dgnaiontfle teûlér é n .^ u r q u j^ ^ ' dé 'Ot dé aôûsHùvs,lvéen-nènt agiter de nouveaux bréndons de dis^ corde. i .i

J\a osent promettre aux députés conser­vateurs les conséquences d’une invalidation.

>Us se perm ettent d’annoncer aux fonction­naires qu’ils n’ont plus rien à perdre et que leur compte est rég lé ,.

Ils se perm etttent de s’en prendre soumoir sement au: Maréchal lui-m ém e,. en affirmant que la majorité républicàtae se tien t prête* toutes les éventualités.

Noos ne sautions dire quels dédains nous inspirent ces menaces ridicules.

Si.nous étions des hommes violents, des gens décidés à tout p ,ur faire triompher nos. idées, nous demaiidericns à'Dieu uue chose ; c’est qu’il.in sp irâ t aux républicains une au­dace éncore plus grande et une impudence eucôre plus éhontée. ,

E tan t donné qu’i l faut que la Fraui e se' dégoûte eucore une fois d’eux, nous applau­dirions à tout ce qui pourrait faire naître ce dégoût. , . ...

E tan t donné qu’il faut être malade, nous préférerions une maladie aiguë à une mejadià chronique.

E t nous pousserions nos adversaires dans la voie sans issue qu’ils semblent vouloir choisir.

Mais nous ne sommés pas de çe'sgens-là. Les coups de force noua répugnent; les. dicta­tures noUs effraient..-

Or, que les républicains se le. tiennent pour d it, s’ils suivent lés ‘ enragés qffi; véuteùf les entraîner à des vengeancèsT c’esv la dictàturç militaire qui sortira de la bagairté.

Nous nous permettrons donc de leur dire.

non pas dans leur intérêt, q u i 'n o n à m ^ rte peu; m ais dans l’Jn té rê t du paya, dans l’inté­rê t do la patrie, qu’ils feront bien d ’étrs. mo­destes e t de ne pas aller trop loin dans la voie des exigences.

Nous nous permettrons de leur dire que leu r attitude actuelle est dépbrable, et qu’ils feront bien d’en changer ; e t que s’ila'rentreht àTersaiÙes la' menace û la bouche, Us s’ex­posent à en sortir encore' imé 'fois la honte s u r le front.

Nous nous permettrons de leur dire enfin : Citoyens,Dans votre intérêt n’abusez pas de la demi-

victoire que vous avez remportés dimanchedernier. ......................

Montrez-vous modestes. Soyez calmes. ■Vojez. Actuellement, tout peut eucore, avec

un peu de bonus volonté, s’arranger pacifique­m ent.

Les épées dorment dans les fbafreaux, ne les réveillez pas.

U n t r i s t e m é tie r

Nous avons lu dans 'le Journal^ de Senlis une lettre sur làqUeUe il est inu­tile d’insister. Notre.conffiéré's’est, vanté de tenir l’original de cette lettre à la disposition dlû public;^ Nous serions curieux de savoir com­ment le, Journal, de. Senlis se Test procurée; car enfin il fiiut qu’elle lui ait été donnée ou par la personne qui Ta écHte ou par la personne à qui elle était destinée.

Si,par hastffd, il ne la tenait ni.de Tune ni de l’autre de çes deux personnes, il ne r oûrrait l’avoir reçue que des mains d’un malhonnête'homme., Le monsieur qui s'approprie une lettre

qui'ne lui ^tait pas destinée e s t, à notre avis, aussi''blâmable que celui qui ap­plique à ses dépenses le contenu" d’un porte-monnaie qiTüa trouvé.

Qu’on demande à M. ühauveau, en sa qualité d’avocat, une consulta'ion à ce sujet, et nous le méttqns au défi Me sou­tenir une doctrine contràiré à la nôtre.

Dans un département voisin du nôtre, un député républicain que nous pour­rions nomme); e.û, en _ce moment, pour­suivi pour un fait snalogUe à celui que nous dénonçons ici à l’indignation des honnêtes gens.

Onlitdans.il£î«fa/refte .- Une im jbrtante réunion a .:é ti .tenne.vhiet;'

dans la sofrée, chez Ton des membres:les.plai ' infiaents de la gauche.

Non seulement un.eectain.nombr. de séna­teurs e t de députés y assistaient, m ais encore .

: un grand nombre de notabilités'âü'’'p s rti ' ié - ipublieain,

Piyersés q u ê to n s ont été mmes à Fordre: dujppr,

' L’ai’assembléé a adopté les résolutions sni-' vantes:

I* Vérification des élections précédant tout autre acte.

2° Invalidation en bloc de ton tes ’-lès -étse- tions frites sous le patronage officiel, oû't»-' commandées comme a r a b l e s au Maréchal, -

3° Mise en accusation du, ministère aétiiifi, ’ 4°.'Vote d’un ordre du jo u r blâniantléfiergi-,

quement Tiaterveutiôn du ' Mùéèhal'dfràs b lu tte électorale é t fiétrissantté m inutère du 16 mai,

.li°,'Yote d’une loi m ettant à la ch aq ^ ;d u m inistére'toU s'lésfraisd’àffishq* ét.’d é jp ^ ' blication des manifestes, ainsi que tous b if fiais avancés pour souaenir 4e»- candidatnrts officielles; - ' J

Nomimtiion d'une commission pour établir le m ontant de,ces fimis; , ^

te R ( ^ absolu dé voter le budget sans ma ministère donnant satisfretioà aux gaûthes ;

7° Remphtesment des prétets e t souspré-, frts , ohimgements mmsidorables d a ta le per- ' sonnel des administrations, révocation de tous les m iigistrats qui sa sont associés à lia politique dù 16 mai; en cas de; résistance-, re­fus de-tout subside et mise en accusation du MaréchaL

N ous v e r r tn s b ien

IN F O R M A T lO l iS .Le gouvernement se prépare à nné^-upu;,

vsUe campagne électorale, qtii aura s ü m oiu! autant d’importance que celle qu i vient dUss tenn inerparle gain de cinquante siégte nou­veaux à son profit dans là Chambre dés dé­putés.

Il s’agit des élections pour les cmuieilsi gé­néraux fixées au 4 novembre prochain..

Outre les conséquences, qu’elles doivent avoir pour le renouvellement partieTdu'.Eéjiat en 1879, elles peuvent aussi exercer iu iié ^ T fiuence morale considérable sur les premièrès résolutions de la nouvelle Chambre âés’d b - putss.

Aussi croyons nous savoir que des inétruc-' t io B S Toqt ctre envoyées aux pteféts pour leur recommander de ne pas laisser: se dis; seudre les comités élsctoraux.

Un grand nombre de préfets smit arrivés h Paris afin dè récevoir du m inistre de • Fila.

f e u il l e t o n DU N O frW tL fsrE ,19 ocTOsax 18T7,

L’Œ IL DU D IA B L E .

d e u x iè m e p a r t ie

— Du comté .fis Lunpustre,.Madame, répondit P h i l^ , devenu à peu près maî­tre de sa langue, ■, ,

— C’est un biqîi,M?“ P y®- •'® ^visité il y a quelques apnées, ^

— N 'e s i^ ' pâe, madamé, que c est Joli cliez nouSp dit le vieux soldat, at—

ig tfé

JUIA VUOta liV/UO, Aw ’ • , _tendritout itçpup,'à.ce spuvejutd!?. natal. Ah l il y;a bien longtemps, jplœ de trente ans, que jé'b’ÿ ai m i s les teeds Mais je vois d ici la ferme du père Phi­lips, et le v i l l a g e , avec .son école, avecson temple, a.vee .la belle, maison, b l^ -che du pasteur, et la taverne de m ütre Gibson, e t . la poste. Tout est reste peint là, cûntinûa-t-îl en se frappant le ™nt. , ,

—'Vous avez .énçpre vos parents I — Je le crois. Mitis, à J W dire, il y a

longiemps.que je n’ai ,eu dq leurs nou­velles,' ces pauvrés 'BônÛOT'^Ù!', Ils d vent aller tous lés, fieux' sur'leB'quInrei- ■vingta ans, e t ,jC ^ ù n Sgè' oèlai SurtOul quand on a jpâu^qa vie 'coùifiié suinta terra.

— Et vous n'avez jamais eu l'idée d’aller les revoir?

— Oh ! si ; tous leaans, lorsque vient leur jour de naissance et que je pt'nse qu’ils sont réunis là—bas, les entants et les petità-enfants, autour des vieux, et que le père doit dire tristement : C’est dommage, tout de même, que Bab ne soit pas ici. Bab, c’était mon nom quand j ’étàit petit. Quant à la inèrë, elle ne dit rien, elle, mais elle pleure un peu.. Quand j ’ai ces idêes;-là, les catnarafies le voient tout de suite,, et ils disent que je suis parti pour le.pays..............

— Pourquoi n’y retournez-vous pas!— Et pourquoi faire ! Ils ne sont pas

riches, et je ne suis plus habitué à t r ^ vailler la terré. Je suis vieux, je ne m ÿ rèmèttfàfs plus. Il vaut autant que je lài'sse'mà peau par ici, je lés éinbarras- sérais làt-bas.

— Oui, mais si vous leur apportiez Taisance, une petite fortune même?

—rA h ! madame, ne parlons pas dp cela. La fortune ne se gagne pas d’un seul coup, par les moyens honnêtes, s’en­tend. , , :

— Parlons-en; au contraire, répliqua Elise, qui marchait à son but. Moi, je vois, dans-q-fièlqué temps, un beau cot­tage aux voiets: verts, a v e e . des arbres *oat autèor- et des champs à côte. Etjnis'dés'.gàfçous de ferihe, qui travail­lent ën chantant, et puis, tbiit lin monde heureux, etdemande à q ù i ' à g ^ t n e n t ce tte

maison, ce beau domaine.C’est à moqsieur Philips.

— Oui, et moij madame, j e vois au­tre chose. Je vois une grosse branche d’arbre à laquelle pend un grand‘ fruit, de forme allongée, que le venfTait ba­lancer, et quand on passe, et.qu'on de­mande ; € Qu’est- ce que c’est donc que c e l a » on répond : C’est monsieur Phi­lips, qui apprend là-haut, aux autres bien -entendu, .car po’ut 'lu i il n’a-plus besoin dé rién -savoir;, qu’il est dange­reux parfois de laisser échàppèr ceux qu’on vous à laissé à garder!-» ■ .

— Mais je ne veux_ plus m’échapper, mon bon monsieur Philips. '.

—■ Vrâîmënt ? Alors poûr^oi' cher­chez-vous, madame, à me taire oublier que je suis soldat? Pourquoi me parlez- vous depays,; de fortune, de .bqnJienr? Si c’est uniquement pour youç^fiisl^ire, c’est , mal,-répliqua Philipa>,a^sté et, disons le mot, uu peu désappointé.

— Ce' n’est plus de .ngii qu'il s’agit.— Deqni-alors? _— De ce cavalier qui est venu ce ma­

tin etquB le;général ;a fait arrêter.-Joli homme, dit Philips senténcièur

sement, et brave militaire l J1 seçouài.t tous ces pfilciers .comme un saqgRerrqui emporte une meute-pendue par les dents après lui. Il est à là prison pour l’ins­tant. ■ '

Eh bieû; .c’pàtdui:qu’il:fi8trt';&ite •évader.-'-’

— P o u rq u o i?— Parce que je n'ai pas d’autorité

sur les camarades qui gardent la pri­son.

— Ils sont du même ■ régiment que vous ?

— Oui, je crois.— Mais alors, ce devrait être.plua fa­

cile, En tout caSj ce sefta moips dtBager reux, car moi, je ■yoùs aidëim, n’ t-c,e pas, puisque j ’ai là:^fm ission d’aller voir le prisonnier, et puis, s’il s’en va, ce n'est pas vous quiètes responsable delui-- . . . : . . '

- r C’est égal, je ne crois pas laehose possible. ■ ' ' . .

— Dites,:moi, monsieur Philips, la terre est-ellë. chère dans. le comte de Lancastrel? Combien pouiïrait-tm. ed avoitpoûK'miUeJiüUiea?.

— M U leU vres^im ais_,a'yeÇ ;C ela^,ûter rait grand, grand pfopriétw!e<

-I- Eh bien ! voilà i mon -deniier mot, monsieur Philips. Chargez-^vous de 1 af­faire et, au mmnsirt où mon cousin, levicomte de jioquetel,' sërà sorti fie prison, je vous remettrai mille : livres sterling. Cela vous va-t-il? ■ ...........

■— Cela nt’irait certainement, .süë s ^ vais comment in'y, prendre. Enfin;; je vàisessayess

;i_C ’e«iûU’il faudrait ê ^ e jte d u suc­cès, car il est de t ô ù t p i t o à i ^ n ^ ^ mtfin. -matin; le prisonatow»;^^™ “ retourne a u milieu deüKWMUk .

— Alors, nous n’ayons que jiiste le temps de nous en occuper.

— Quels sont vos projets ?— Je n’en ai point encore. , ;

'Voilà ce que je propose : J ’iraiairecvous voir M. -dé Roquetel, comnm e’est convenu avec le général. Je lui pcaeisrai une robe de femme ; je lui donnèirm mon , manteau, mes coi&s. Vous Tè'mmile.; rez et. je resterai à sa place dans sphhaL chot. •

— C’est une idée, répliqua vivëinent Philips ; c’est une excellente, idée. E t . moi, qui serai censé avoir assisté au travestisBement, moi qui-ai rép jg^ j^e vous, sur ma tête, mon compte sera ré- '

f ié, et les ■miUe'livres profiteront à mes éritiera.— Qui vous empêche de.partirteyee

Gaston?. — Ah ! madame^ .quand on veut moa> rir trauquille dans son paysnàtalj:ôa;ns commence pas par déserter.

— C'est vrai. Alors que faire?.— Soyez tranquiUe. Votre,idée i^ên*

donné une autre du même gjsWqnffiÿs moins dangereuse. I l faut officier s’en aillesans .que persohitege^ à sa place et que personnes’è m ^ ^ r - goive. R est fie ma taille, je crois.

— A peu près.- -U û jicn im o iite jq tiap o u rtaq t;.

- r Ohl opi, dit.ElTte ën'sQÙfiantmà^ gré un asu moistegn». -

Page 2: -s s ^ trs · mier choc et qu’il devra se retir-r : mais alors commenceront les difficultés, car les exigences des gauches seront grandes et les concessions que peut fa're le réchal

'‘i .

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pftrti*

Jjpi|iia 3VUA ’

M .a ù » o n Jê W ,m .u n te n « n ty e l^

i i ^ i i , e s t ô ^ ^ . ' l ’» « ^ j . - adopté le ao» otdre d . toute et que 1» eu

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tu re p te » e n W p M « - l^ d , ^ . ^ d e

“» de Vemée teTritoride u .

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active. l*fdevront SOT artideeS te t 35de 1»

vtinbre 18mI5.

^ ^ f e r r e - w i ' « ae ié p a t é e e t de l9“ * ^ S '^ sW e ra la réuMon d «

S u «dem an d e s d p ré ^j^ ,g a u o lO T q M f » '» ^ POMdé,*elopper w » E t^

f ô ^ *“ Angleterre les

g j ^ ' d e a p a r t i a ^ ^ g ^ r t t a . o'eat finiS’i l ld e e e c e a o in a a i .

¥ i ; a ^ ' * " " * i s a s ' s c ^Il puisse, »»“ w flam betta, aua. ^

S ' . ' S J S C w - ^ ^ ’Ï Ï T . Î i ï . E “ i S s r a S K - î ' - ' “ - “opinioiu^'

Î L E C T I O N S d e 4 4 O C T O B R E

Bleotenia i n i ^ t » : 2-éW.Votante :8.16B- ^ 16B e a u r^ a ire ................. g æ

‘ Brasseuse,. .............. 91F le u ^ o B .. . ............ 112

/ 399

i l ’SBotiwval ■ • • • • • • • ■ lo ' ^3 ^ni-Yaaat-de-Long • 140Verberle . . . . • • • • 89Vem niT. . . • • • ^ - '6 3 57ViUaneave-B.-VetDeneBoUetina nnla : U

CM i«*>a d e ,* » * * * " 'B l e c t e u r a t o ^ t a i S .^ -VoW ita : 3.100- Aumont.

Saf«(e.Jlfcnéfto«!d .r-,M aiga«® (3® ® ^’ , élu.. - ■ ™

y itry -le^F ra n ça i* .1 c n r t (363), élu.

• A lphonse P i -

P ü Y -D E-D O M E

Clermont, 1” c ire . B ard o u x , ré p ., é lu 2" c ire . T a lio n , r é p ., é lu Ambert. Ç osw s, ré p ., é lu Issoire. G ito d - ^ u jo l , ré p .,Riom, 1 " c ire . E u g . E o u h e r (158),2* o irc. H onoré R o u x , r é p ., é lu Thiers. D u ch asse in t, ré p ., e iu

Aumont. . . . . . • ; • • 47BaAeqr. '■■.> ?:' 68 |»

A r r o n d is s m e n td e Senlts

Caort***- * • ■ • * • •

P ar arrSté en î u d v I S ie ï î^ r f ^ -57

an. sera

«nverte le » 0“»°'’'® ^ ’Ï a Æ ^ Æ d u b a c a l a u r é a t .

U prinee de Hobedohe,am6«^^eur

lemagne en F ^ e ^ d î d de? ®^®®*^T “aue le réaultat g e n ^ gai,.

dea instructions. . — i:slnmateira AMvavnaut

in s tru c x i--- eediploinateOTn rU c . de Bism arck, é VarB u retpuru»— - -visite au pnmce

ÿ P .

Blecteurs iusçrita : 9 .3 H 'Votants". 2ilS8> Phuivsw,comwœ» «.eawvsw,Acy-en-Multien..........AntillV V • • • iJ V '.l ' ■ ■ 78Authenil-en-Valoia.. ............................... 76B ats..................................... 26Bouillancy......................... 30BouUarre.....................Boursonne....................

- ............................ ...................B tavigny, ...................Oondreville , . . . , ■• • , >

L aN euvilie-s.-Thury,Lévignen ..............M areuil-sur-O urcq. •M arolles.......................N eufchdles ............Onnoy-le-DaOTn.. • • •Béez-Fesse-M artin..EeuvresBoxoy-en-Multien........X hu^ren*^alois., . . •,

v ù ^ ^ S i in t - G e n e s t . . Bulletins nuls : 10.

H. Picard 116

B arbery ................. • . • » > 68 sChamant. .......... - 14 K

<% gÏ S & v . : ; ; r . g gMorte&ntame. 9 *20Oanon. . m WéOOT-la-Vhle. . . . , • • jQQPlafU y.. ................ ; 41 ™pontarmé . , ............. ^87 SSainb-ftomin .......... »S aint-L éonard g^j 381 ...................... ; 13 10T h ie rs ., , . ! ! ! 1 ! ’ ' â i IIQV illerâst-Pram ooürg.B ulletlnanul8 : l t ,

BÉCAPrrDLATION

CanioDSI B etz

Creil Crépy .

1 N anteuil

I P o n ^ te s - i la K e n c e

1 Senlis

Chaavsatt993

3 ,8241,091

9501 ,928

Picard1,1311 ,6242 ,4571,230

laO w1,678

11,558 9,*

P Y R E N E E S (B A SSES-)

P a u 1” c ire . B a llo tta g e e n tre M arcel

2 * c ire . D a n s te (Iw )» ®yi;Rayonne, L a b a t Mavléon. ^ a n 8p e (15?), é luOloron. Lacaze, ré p ., é luOrthex. P la n té (off.), é lu

P Y R E N E E S (H.4.UTES-)

Tarbes, 1"2* c irc . D’A m a u d e t . ( l ^ k f A rgelès. D e B re te u il (off-)-élu B agnères. B a ro n L arrey (off.), é lu

s e ï n e ^b t - ^ ® ^ ®

Melun. - D e C h o ^ « l . “ luCoMiowtwtier-s.— P less ie r m ),F o n ta i n e b lM U .~ f ^ ° ^ ’ ^ ^ - ‘Meauoo. - Metu^sr é lu . Provins. — S a lla rd (363), é lu

S E IN B -E T -O IS E

Pontoise, r - • c ire . — L a n g lo is (3fô), ^

K T L - i l x Æ ^

SEV R ES (D EU X -)

Piche fil«viale. - Interdiction absolue de la plohe dans les rieOres du département 0 u la truite est Vespéee prédominante.

Beauvais, le 6 octobre l ^ - Le Préfet de l’Oise à MM. las Maires u

psTtenicnt.

L’a rtic feT d u ré lîrc td u lO a .ù tl8 7 5 , por­tan t règlement général de .1» P«® ® ordonne que des publications soient faites dans les communes dix jours au moms avan t début de chaque Période d’in w r d ic t^ de la pêche, pour rappeler les dates du oommen

dite du ao octobre au 1" “ “ S, dans OT n

de leurs iffiuents ; e t l’anicle 4 du decmt du ,10 août exige que q’" “ " 4«e, p sndan^période d’interdiction, transporte on d^OTL s poissons dont la pêche est prohibes, Jums qui v ie n n e n t des étangs et réservoirs, est tenu de justM er de l’origine de ces P « “ ® ^ ’

Les réglemente précités sont ^cueil des Actes administratifs, le décret du 10 août, pages 329 e t suivantes d e J U ^ e 1875 ; l’arrêté préfectoral du 30 décembre , naoe 27 de l’année 1876.

J’ai l’honneur d’appeler votre attention site les disDOsitions des actes sus-enonces, no­tam m ent su r les dispositions décret de 1875, et de vous prier, vouloir bien faire procéder sans ^vos communes respectives, aux prescrites en vue de prévenir les contraven

Agrées, Messieurs, l ’assuraneo de m a con­sidération très-distinguée.

■ E M d »

S0Ü S-PB ÉFE C 5TU B E D E S E N L IS

AvrlB

C am M m C **U .

, . , A’A v isn o n v ie n n e tit IL es ta d ic n u x “ ^ o u s e n em -

Electeurs inscrit» : Ô.216. Votftots • 5.484e

î ^ n t d ’A v i ^ , «‘ -“ “ “’ o i d e t des Bon- communes b®'*” P ^ n a it à Avignon hors la

cbes^?:5^® “ ®- ! ! Æ o c a l K a lè c ^ ’e . „ „ „ t

Aprrtnont... B iaiocoûrt. . Chantilly . . .C oye ,.;........C ram ouy, ■Creil. ........Gouvieux.. Lsanorlaye.Maysel........Mello..........Montstwre, V.

élu

EURE R w e « a !, l i e cire.

é lu

©ü V XV»*-’ / 1Niort, 1 " c i r c .— A n to n in P ro u s t, r é p . .

31226

Nogent-les^Vierge»-

S ^ S ' s ; , r . 7 î i S E E . . - „ . l i f e S i p * ’ -

• • . — .1 a s s a ^ r S i ivlilers-sous-iain^Leu

111

132108

i e » A n d elys .

, N « a r * * ' 'Chartres, 1 ' c irc.

'^ ^ h a r t r e s , 2 ' c irc. - U tsnonrj (363),

(36®)’

2 - c ir c .-D e La Porte, rép., élu

( lu 8 ) , é lu g o j i ü E

élu.25

l iuegau.»,

” i “ ê te fie t,le aenté û la poOTJe l a s j g | , ^ a t i o n d’ouvrir.dizaine d e soldats. A formels entreon a répondu par lésisterons iVive lajnêles des “ « ^ v e l’armée ! La troupe est avecBépublique! vive 1 armaàhS l etc, tous les argumente «

Aorè» avoir épnise to™ ^ obligépctelasion, \ C ‘ M éxttêmes, etpar ^ ^ ^ft wcoürip sux ttt y sa iss 6 c bélisr^

^ c h a r r s to n c o n tw te s pon t, du reste, cède , P _jgf avec les chefs

n a fa l ln a lo '? avec le leaderdeV a^stezO T. e n j ^ ^ l ^ ^ e , qui e s t maire

4129 I élu.

Avittefte,

Æ ’ o e L n v U i e « (off.), é l j M o n td id ier . J a m e ta l, r é p ., é lu

2821

BuUerins nuls : 8». _C â m te m * • vr* V 7 -

Electeurs 3,942.

Votant» •• 2,6n».A uger4» t-l^ccen t....

l l f e B t e M â ; t t e .V ; .

B S ^ m ^ c n ^ ^ c l s . . .

C répy ................ .” . . . .E n^v iÙ e................ ; ’

76

F IN IS T È R E « V 1 « o i r . — D e G asté (363), é lu . Brest, 1 Çti*. (158), é lu .

IvpiTo. — D e K e ijé g u (158),

TA RN

9040

187

\4»30»167555

■I44SV V -

FteSoy-la-^v*® !*’ ................

117

*“ M X i : r e c c e l a l a ^ ^ ^ ^ ^ ]pour évacuer la salle, pérorait M.î i passage j u ^ u à l es jocua,»saire de |

M w tin. Force a ete au^^.^ r e croUer la baïonn étaientc h a r ^ r le s armes aux

G laignes.. M onenval..

3520

111

9518

4201567

.jiarKOA sw« — ,avec liïi. ^ d a n s la saüe unA cet instant, ç a été aggezanlfo indeacnpl»bl^“ i,g assistants,d’ouvertures P ^ ^ ® l “ ptemier; on essayaitc’étaitA :q '“ P“ ® ~ ^ „ i e e fenêtres. . , m ê m e de s’éch ap p e r^ hommes 2“) '

E t pourtant, „„ -ig m atio n insensés et v .ffle,^dans “ ^ P ^ t e m n c e d ’u n e . g u e r» fcrihonde.m enaçaient _ ,„„M fo„e venait a

Néry. . •.•,,■■•O rm oy-Y 'llers..Orrouy.H ocquem ont.. •BottvillS/ • e • •Eussy^Bémont........... grjSaintines. ■ 20Sérj-M agneval., , - • • 27 ..................... . 63Vauoiennes. • » • ' ■ ' , 25Vaumoise..................... 31

IS le l in s n i^ - - W.C n m tn te dP vmmee,

367860

12457

134124§1127

B re s t, 3" c irc .

1 *?S Æ k 1”

. 1 -i élUe «

OMimper, 2 " c irc .

20497424

A m o u lt (363),

^ ^ % s » v « p e W é .- D o ro is (offici^^^ ^1’’ ’c o ^ e C o r e n t iu - G u y o t (3 6 3 ) .

IL L E -E T -V IL A IN E

A«6». Baron Gors8e(off.)^ld- Gaillac. B ernard-Laverie, P-. Castres, 1”2 ' c irc . B a ron R e iU e '( Iw ) . é lu L a m u r . D a g u ilh o n -P u jo l (off,), é lu

TA RN -ET-G A RO N N E

m,nM»Le Sous-Préfotdel’arrondissementde Sm IU

dnTina avis a tous intéressés que les p l ^ , S s rescriptives e tc ., relatif, a ^ ^ ^ t e d’emplacement des stations du Denis NeuiUy-en-Thelle, Fresnoy-Moranglei. S s e t UUy-St.Ge.rges, à établir sur le !h tm te de fer d 'intérêt local deBeaum ont a Hermes, resteront déposés p e n d m th u itjo w . An 21 au 29 octobre courant inclus, saTOir *

de la station du Mesnü-St-Denis, à la Mairie du M esnil-St-l^m s. „

Celui de la station de Fresnoy-Moranglea à la Ma.rie de Neuilly-en-TheUe.

Celui de la station de N e ^ J-e n -T h e la Mairie de NeuiUy-en-Thelle.

Celui de la sta tion d’Ercuis à la Marne

‘ ’ c e te fd e la station d-GUy-St-Georges a la

“ t l ^ r r X t e u t e s les ^ r t i te g ,r !“ autorisées à prendre connaissante

nièces déposées, e t à consigner sur Îe reS stre ouvert a cet effet dans ch^uemai” f!lesobs.rvationsetreclam ation.quelles

croirontutUe de présenter. c-„i;s i,F a it à la Sous-Préfecturs de Senlis

n octobre 1877.4.AXVA -------

i t f o « i a « & a « , l " c i r c . P r a x - P a r i s ( 1 5 8 ) ,

^^2* circ. D e Loequeyssie (o®’];C a^ i* arm sm . La-erre^jép., élu Moissac. Trubert (off.), élu \ VAR

Le Sous-Préfet,Signé : La Pxeetit.

Voici les conseiUers généraux sortante cette année :

Toulon, r circ. Daumas, rép., élu2 ’ c irc . A llè g re , ,g0 gt é lu ,

30

Eoger Marvaise

Électeurs in sc rits ; 2,461.Votants : 2,1»**

civile im m w » ”- - - , , t, g guin u» » — être violée qn __ de nesf soldats en^ l i e r s e t t f ^ c a p o ^ ; ^ leur faire évacuer gmg et en d é t a i l , - P “ la place l , tnstice est saisie de l a^

g j i S Ï Ï S . a .

1642

’ *^è«srvri****.

M le général Berthault, gom-

^ d a n t s d isp o s W o u é ^ S ir

ziden ii des n nevembre 1875,A ux termes de la 1 ^ , 4^ m atncul»

lor.qd’u n l i ^ » ^ ^ 7 „ 4 tenu d’en fm « cbabg» délai de-deux mms,la déclaration ^ ^ , ^ 4 au commandant i» Jverbalement v u | « é c ^ ^ oh i l e s tv e M

Vmsé l i ^ t L S y un i tt’« F ^ "

B s ro n .............Boissy-Fresnoy . • • - Borest.. . • • • ’ ; ,Chevreville. • • • • ,Brmenonvuie. » • •

S S æ S k ii i" ;p f w y - l i ^ ’°“ ^^*® : :Bosiere». SUly-le-Lo“ *Ver.Versigny • • • • • •

................B oran . --------” ; .Chambly. • VCiresdes-McUo,

12124720352718

30116472

6b

1267760977767653260437948 87 3149 36

114100

42

R en n es, 1” circ.

(®6,2)’ M artin-Feuillée (363), élud é p a r t e m e n t

1 ^ ^ ^ ^ c i r c ''— D e R oux in (off.), é l»' V ," r îé . '-L e G o n id e c ffe ïra i8 8 a n (1 5 8 ) ,

IN D R E

jsso u d u n . — î ’®“ ?**® ,|E l?’é tu

rî’r Æ . s . ï ^ p - ' ” ’Monsieur le Président,

I L e ^ u n e .

17052

128237

67

.l6»-»eim , • •Crboy-en-TbeUe . • •DieudoDieuâonne Brcttifl’

!»4878235877

1327096

17117212é

BuUstto»

m a n c h e

circ,— Leclère (off.), élu

m a r n e

Chalon. — ®'®’î*®’/.^^/Qftqvélu

mou»*»*** —„„„ l'a i eu l ’honneur de

®®“ “ "mettre Te 8 octobre dernier, je vousvous soumettre J® ^ .jj _ aurait a con-ai entretenu de lu t ih 7stituer auprès de mo P chargée d’étu-mission testions s . rattachant àdier les diveOT q France.l'aménagement des ^

Vous avez bien vom concertéposée» d anscera^P de^ ' gjjgaggg pour la dé- avec .“ “ “ embres qui devront représen-aignationdesm em ore H dans la som-

»®^®.“ ' S e T r e dTTO Ténagem ent des® ‘*“ “5e viens aujourd’hui, tn®?®^®"^®eaux. Je viens j constituer d e to t i -eident, vous jggfou e t je vous pne , sivement cette j’ai l’honneurvous ‘ P P ^ ^ z U (®.v««? -1®

P a sis .

BC :C O N S E I L G É N É R A L

Arrondissement de Beauvais MM

Beauvais (S.-0.)... Audte^®®®®“ ®’Chaumont............. Brossard de Beauchéae.P®™®u®............... JustP lé.Marseille............... duc de Mouchy.NoaiUeS' d u ^ ^^ jSongeons................... r

A rrondissem ent de Clermont. . Genet de Chaten»,

Creyecœur Levavasstsr (Eugéte)................. ., Moison.

S ü s t o ' . ' . ' ' ' " ' deGoussencourt.A rro n d issem en t de CompièÇ^

GuisçarJ............... ^Lassigny......................... viUars. ,S “ourt-.V.V.'.'.'.‘' comteEobertdelAgl..

Arrondissem ent de Senlis Picard.

Boiuis

CONSEU. D’ARRONDISSEMENT

jAnmt instituant une commission Suit un décret in su tu diverses

' eftux ©Il

Arrondissem eut de „ ■„ IK F 7 Paul de SaUs (cooWC r . ! " : BÎullenger.Coudray-8t-GermerGrandviUiers........S é ru ......................... Perruchon.N iv ille rs ............... ,

jirrondissem ent de Cte Crévecoiur.............. ^ J® ® /® ’

K : : : : : ; ; : : : ' . cafan.St-Just-en-Chauss. Bouche.

Arrondissement de Compie!»>>

G u is o a rd . . . . '. . . " S ï®®L as»8» y •; Sibarre.

Boureti

A rro n d isse

C r.il • "Nsnteuil-le-Haud.ÿeüüly-©n-Tbelle..

b t a t - c i v i î

Junger (Fernande^

Mizen (Jean), œ a j Lcdue (Pierre-MavVallet (Louis-Th

EntreM . Bunel ( inaht, e t Mlle Van tique à SenUs.

Dimanche proch_^d e l’après-midi a ^ prix cantonaux poiteton de Senlis.

Cette s. lenm te t sien évêché.

_ L a distributio cours d’adultes ai:to b re ,è 2 heuTesd<Evêché. Avec le coric a l e et.de l’Orpheoij

Les cSursd’adu ltt le L u n d i5 N ovem b|ge feire inscrire ch*rier-de la Société.

de dimanche :P r ix de Porch

m ètres.—^Lanten P r ix d^Balatte, '

Macédoine, 1er ; L , P r ix de la Table^

—Dartagnan, l e r f P r ix de Condé, •

Solliciteuse, Ire ; f P r ix de (IM tea

2,400 mètres. — te8se ,2e; Stania

iS a rea t. — ^et adjoint à Maredque'io-peupliers I j cenüm ètos du soq La ^ r t e W de 5M teûr de cette m éi^

B tb ë e o u P t .eendie, dû a la tr placés près des cH ture du bâtim ent j d â ’usine de prod z’êst déclaré dan nier.

A l’aide de la ] zède déployé p a r | que, par la £ Eibécoart, on se' bout d 'un quart j 100 f r , , est couvç Compagnie le P è à MM. Judas etO

T l t e r d a n n e ^taire, maire de T Isu ts < uo co&texi rouge renfeimé c commode de la 1 serrée avec soin^ mode.

D epuis le mo^ Itottelier avait < pas ouvert ce pd

5 4 ,0 0 0 francs I 11 a été im poi

feuille. iLes numéros <

ne déaespère pa

FAll

On annonc ancien officiel de s’évader d j la peine de ds détails que p i et qui ne p e | nos lecteurs f

Page 3: -s s ^ trs · mier choc et qu’il devra se retir-r : mais alors commenceront les difficultés, car les exigences des gauches seront grandes et les concessions que peut fa're le réchal

1817. du d«-'

n s , por- fluvialey

Qt faites jia avant lietipn de commen-

î préfecto- rendu en du décret ru ite e t de 1 est inter- ins les n~ la BcMle,

a Brèche e t 1 décret du pendant la B ou débite ohibéet m aisservoirs, e s t e t poissons. Lscrés au Re- le décret du i de Tannée

attention sur .énoncés, no* s Tarticle 3 du Messieurs, de

» retard , dans 1 pubUcatiooa les contraven-

lee de m a con»

P . T a i P i s a *

d e s e n l is

Bsementde S e i^ s 8 que les p la u , latifs aux projets is du MeÉJiil-St-.■esnoj-Morangtes»

à établir su r la il de Beaumont à )endant hu it jours, ( inclus, savoir itt Mesnil“St“Benls,

ineuB.seuilly-en-Thelîe àtelle. _ .3rcuis à la Maine

Uy-St-Georges a la

toutes les parÜee endre connaissanee. t à consigner sur t edet dans chaque, réclamations qu* eU ^ er. . . _•;Cture de Senlis w

Xtf Sous*Préfet, jixé î La B ïf f a i t .

I eénératix sorta«t*-

îeaucbèB#"

M0I9 . Bugto®)"

» •

l e b o n d :

m e u t de ■ .p»nl d« S ilU BonllengW'-

rÀxbTj.Pemîcbao>

. Floury.de Clermonf

. Vasaal. , -. CafBn-

I, Bouch*-m e n t de Cotnp .. Soyw- .. . P i^ - . . ; iK j , , ■

^ r r o n d ts s e m ^ de Senlts„ .........5®*?,’............ VaiUajit.®,nte'aiWe-Haud. L e W . Seuülj-«“ -Tl>elle.. Labbé.

E T A T - C I V I L D E S E N L I S

6 eu 13 oetotra 1877.

lUisaaKCBS juager (Fernaode-Angèle).

nàcàs

S V ^ r r l Œ . 2 3 a n s . .Wallet (Louis-Théodule), 1 m o n .

paBLIOATlONS« Bunel (Eugène), charretier a Lha-

nifat e tlille Van Melkabeke (Louise), domes­tique à Senlis.

„ b e p c o c b . ^ ^ ^ ^ ^

prix e ' S * » P ° "* ° S e t " n i t é se fera dans la salle del'an-

“ '^U ^distributiondes/4*ttHiiltss a ira lieu le Dimaocue 28 Oc

T Z tou“ . d” ’.p rèsm id i dans I W nKvêche* Ivoe le coneou» de la Soeiste m us.-

°*Les eàurs d’adultes serontrepris cette annee

se faire inscrire chez M. uesnais poio, riersle la Société.

ç , , , , « n y . —Voici le résultat des courses

- î ï r s Æ Æ t - t ï & ï . ; -Solliciteuse, Ire ; Statbouder, 2e t Cactus, 3e. ®“ hMÙau-LaffiUe, 3,000 francs. - 2 , W r e s . - PileK.u-Face, I r e ; Vicom- te<ae, 2e ; Stania, 3e.

La perte est de50 fr. On ne connaît pss la uteur de cette méchanceté. ■ , .

R lb é c o u r* . — ü n commencement d'in- c e " e ,d lT l . trop grande c h a l e u r des tuyaux nlacés près dos chevrons e t lattes de la toi L e du bâtiment oii se trouve le del’usinede produits chimiques de B becourt, , ’est déclaré dans la journée de vendredi der

“ ï ' i ’aide de la pompe de l’usine, «

q te ,Ï a r ° rg e n L rm s r ir è rU ^ habUant^s de

r u : r ’ ; v r d C t . T r p L t e , ^ a ^ ^ ^100 tr est couverte par une assurance i la Compagnie le .P hé»» . Cette à MM. Judas et Cie, négociants a Pans.

T la e n d o n n e . - M. B*«elien proprié^ taire, maire de Therdonne, f leurs que contenait un "rouge renfeimé dana un pupitre p a commode de la chambre, «t <iont la clef etmt serrée avec soin dans le tiroi

“ d ' uIs le moU d’août, cate à M’Battelier avait détaché des coupons, il n avau pas ouvert ce portefeuille.

14,000 francs avaient disparu.Il a été impossible de retrouver le porte

^ 'ï ï iu m é r o s ayant été relevés avec ®oin on ne désespère pas de découvrir le coupable.

FAITS DIVERS

X T IM B ! É B - V A S I O T « ï

sfacierB sdtomsncn vinrent ne- plaosr AsSaad table voisine, et, comriie leur c^v e» a tio n avait naturellement lieu en françms, unne ces offleiers leur intim a l’ordre de M. Lebisin s’excusanur ce que n ’enteDdaif paa cette langue; mais pniBsion; n’admit pas, c e t t e ^ s n n ; ^ poussa rudement du poing JA cette insulte. M. Lebrun f Sdavantage, il répliqua par “»Toya son adversaire^: roulergrande jubilation des co n so m m a ti^L urgeo is , qui criaient'en allemand . Bruf,

l e s m ilitairesaiiem ands présents . . . i vj„. Des coups furent échanges, m ais lad o rp eB ^ blique allemande é tan t accourue, n œ deM ofaders furent arrêtés, f avaient nris leur parti, et enfermés uans laprison de S t r a s b o u r g . .où. i l r restèrent îprévention depuis le 23 avril jusqu au 27 ju il

’ ^Acrtm date, les détenus furent tradu itsdevant un conseil de guerre ptussiem qw corndamna MM. Lebrun e t 'F leury a ^ ans de réelusiou pour voies de ^ ‘ v m v e rs .^ v S m ^allemand, e t seiaeStrasbourgeois a d iv e r ^ peines variant entre un an de prison e t six

e J.,- «,C.,t,vatrtn . ,v

[, toutesles chM ^.jd e_ T ^rég

t g i m k T . r, âgé de ‘: i « de phambi;e,Xect P ^ ^caUer dé m ù » '«lot. ün“ dês vmrins, r a y j i t vu tfaps » t a coupé la'cof.le encorps; de sorte q n n lS i malheureux est.

, dont

; avoir- reçu !«■h ra rs p 6r t r â lW ta I ,ê î î r o r " e ip e * e i r iver. :i.\, 'L K\L'd’-i yi’J'-

Coars du 17

■ T ■ - — ^

années de réclusion. \n u % e W n etAprès cefte oqndamnation IM -LeW un

ï i T fthrun il résista mieux. Penoann mx longues années, il »’“ q“ tta c o u ^ w ^ ^ t d e s tâches qu’on lui imposait et n ’esperait ai^

r p " “7 r d e r e L r n T Æ ^ ^

“S.tSÏÏ:*.»— -y “S J î J i :s’enfuir sans etre ^ qui rendaitcostume gris des .P"Sounierp, q

‘‘t S “ ^ » c h e n , :a p r i ta e présenîer à u n % t e u r P ^ c t f J “ ,* L it Sianger changer

r r e e o n rL u d a t io n pour

î n»rvtai 1 ^ 2 6 août, c’estrà-dire cinq jours i ? r è o n évasion, et où il

S Ü f S É Shord du paquebot le Séverin. ^

Conduit à la place, son .'dcutite y ^ ‘connue, e t l’on espere' que dans quelques isurs il pourra être dirigé sur son “ Çim r ^g,m e n t , actuellement en garnison a Uialons- sur-Marhe. - ■

V A t ^ i Ê T É .

L es I r i s o n s d a lÿ i^ issous L A C O M M U N S

On annonce l ’a rriv ée ancien officier d u 8 ' d’a r tille r ie de s’évader d ’A lle m a g n e , o u i l s n W i t la peine de dix a n s d e réc lusion . VoiçM es d é l i l s q u e p u b lie le P e tit et qui n e p eu v en t m a n q u e r d in té resse rnos lec teurs ;

M. Charles Lobrun est né à 1852, à l’âge de dix-sept ^ s , il dans le 8.sivementpar tous le» gradesnommé lieutenant en second rotenant en premier le 9 août loiOt .

A o rts l a retraite de W œrth, i l d t partie de

ordre» du Marédhal de Mac-ÎIab J^P P ^ aux combats dé Beaumont et de ®"fut féit prisonnier a Sedan ; mais i l » «chappa bientôt après sou» le» habits d un garçon meunier et . arriva ainsi à ^ u rg e ^ <m incorporé dans le 15» corps d’armee, q“ i P“ tait Mur Orléans, sous le commandement dugénérU d’AuteÜes dePaladine. j

Blessé â la cuisse gauche au combat de Coulmier», le 8 novembre 1870, il tomba, pou la seconde fois, entre les mains des et fut transporté â Tours, puis dmge sur Magdebourg, on Prusse, où U resta prisonnier d e^erre jusqu’en 187L Arrives a btrasbourg, le 23 avril, par le» voies ferrees, sous c duite des autorités aUem-mdes, les officiers français furent autorise» à descendre en vüle, tandte que les soldau restaient consigne» dans les Vragons. m -» -, n».

M. Lebrun entra alors avec M. ^ « “'7 ’ “? ,Mt de CharlBvüle et s o u s - l ie u te n a n t au OS* aoligne,ancafé Schneider, situé Huer-A-peiiirj ««wnt-Biinsteûlé» V®

LA MONSAiB coMMONsaoE, La Patrie pu

exact, car il s’agit

" ’r s P i S e l a C o m m u n e ont fmt frap­per, on ne sait eù ni eommeut, une piece d ar^ uent ayant la circonférence et 1 épaisseurg r p i ^ e s d e c i n q f r a n s . B l l e e n a a u s s i l e

“ su r la fC fo m 8 ” ;” ® ® y ” TUera““ âme sur les mennaies, la tete de M. Thiers, a l’entour, nue guirlande fouets, symboles del’obscurantum.' e t du châ-

“ ^ d e sso u s , la date de 1685, ayant à droite et il gauche un sabre de cavalerie.

Ote sabres sont sans ^ u t e i m e ^ u ^ j adragonnades du règne de Louis XIV . “laT ate 1685, elle est là pour ™ P f } f J ® vocation de • l’édit de Nantes », a la suite de S î e ées milUers de famille protestantes s’mi allèrent à l’étranger leurs foyers, leur richessse e t leur»industries diverses.

C’est là une allusion (vraiment trop flate t e S i e 0 aurm isérables de, la Commune ^ i , après anoir rempli Paris d’horreurs, de teu et r s a i î ? , in t éteLorcés de disparaître les uns. par une fuite heùrèose, qui les a conduits en Suisse, en Belgique, en Angleterre: les autresen sedirigeant vers N oui^a , en vertudes i ugements des conieils de ^e rre . 1

Passons au revers de cette pièce 7 'A l’entour sont graves les mots . « Bepu

blique française », puis la e““™nu® l e chene c tL la u r ie r . Au centre, sur un fond raye, se détaène en réUef un écusson ■l'"'tableau : il représente un peloton de f a n ^ sins fusillant un condamné qui, fimoment campé la poitrine eu avan t,,la tê te rejeteeen â S e ’, av e“ une pose mél'odramatique, est

'“‘C q u ? “n T n ^ puisse se tromper sm la signification de cette sçène, on a dessus : .,Satory ». AVécuBSon : A fr- ;,su ’>“ “ A Su

Cette médaille révélera une foie de plim a public lès haines sourdes et j^yi.travaillent dans l’ombre, la conspiration mvi sible qu'on entretient dans les démagogie, e. les aspirations à la revM u» nn'nn inculcus à tous los amis de 1 amnistie.

sissuLiiaE maSièee ns n*?»®*®,;™®®?

E E f e s s r Æ r »

(suite) , I Adoiphe-Alphonse Àssi, un des associés les

plus influent» de l’Internationale, e t qui dans les dernières années de l’Empire avait eu la spécialité des. .a®taJgons parmi }fis o igpers des forges dû Creuzot, membre de la Com­mune, délégfié'li-lâfbommissibnl do la sûreté générelf, président d u , Oomtté; . c e n t r ^ j presque d ictateuf,' cominandanf! m ilitaire de l’H6tel-de-Ville, ■ est am iné ^ dépôt le l«i avril su r Pordré du général Djival, contre­signé Raoul E igault. ' . 4.

Il avait eu la loyale imprudence de soute­n u , ah conseil d e là Commune, que.celle-ci outre-passait tous sespouvqirs et mentait à Bomprogramme qui, sé Uinitant aux libertésm ^ e ip a le s , n 'àvà ifjam ais 'fa it allusion auxchoses diu gouvernement général d o n | ons’emparait. i ■ lêrfè

îb ifd h ^ aB d t pas-plus pour exaspWér i «jacobins e t lés héberlistes. . , . . .

Assi fut tra ité de réaiMiohnajts ; on lui n tcomprendre,, a m ots peu couverts, qu’e n le soupçonnait d’avoir été agent secret de M . Kouher, et, sur l’injonction de Deleacluze, on le m it en cellule. _ ■

Il ne s'y tin t pas tranquille; c’e ta it un homme exalté, emporté, , poseur, a im ant,-lorsqqd d iscu ta it.'à promener un poignard autour du visage de son interlocuteur, ivre d orgueil c o m L la p'lupart des fruits secs dusoeia-lism 'è 'et d ’h u m e ü r naturellement violente. .

La claaètratioii et la solitude du secret augmentèrent singulièrement ses lustincts irascib es ; il appelàit: les surveillants a toute minute, faisait venir le directeur et deman­dait des jugés. .4. , . il

On lui répondait qu’il n y en avait plus-, urefusait dé l e i e r o i r e , et cependant ce n était que la vérité'. . - ,

1,0 dépôt fut enfin-débarrasse «et enrar, gumène de vingt-sept ans, qui faisait plus de b ru it à lui tout seul que tou» les autres déte­nus ' le 6 avril, on le transporta à la Grande- a ^ u e t t e ; il en sortit le 11 pour être .interne sur parole dans l’Hôtel-de-ViUe e t devenir aussitôt après directeur du comité des. sub- sist&QCCS*

Quel qu’eût été le sort do la Commune, Lullier et Assi n ’y auraient jam ais pu jouer qu‘unrÔle secondaire, l’un à cause de son L ractère incohérent e t mobile, 1 autre a cause de son- ignorance e t de sq vnnite. in -sensée. . •

Le 2 avril, le lendemain da, jour où Assi avait été écroué, la veille de celui où L idliet devait s’évader, le personnel. fut surpris de voir arriver Louis Eossel, arrêté par ordre du commandant; de la place de Paris.'e pourcause politique ». ■ , , , .

Celui-là passait pour un homme de valeu r, du moins il en-avait l’appsrence, apparence trompeuse et qui cachait un vide profond ou s’agitaient des rêveries sans but e t des pro­je ts ‘sans formule.

E u e fut pas longtemps m aintenu en.prison. Dès le 3 avril, Raoul Eigault, qui voyait en lui un homme d action prêt à tout, le fit deli-vrer. ;

Selon lui, il avait été arrête pour avoir, essayé d’introduire quelque discipline dans l’armée de la fédération; selon le_Comité central, qui l’envdya soùs les verrous, on s’en était promptement débarrassé parceque l’ona v a i t 'prèssénti qu’il’ 'risait à la dictature;quelques bons apôtres ont prétendu, après la défaite de la Commune, qu’ils avaîènt cher­ché à l’annihiler-dès le début,-parceque sascience miliiaire e t ses connaissances spé­ciales lùi p erm etta ien t'dé :* n ir en .échec L’armée française : oM tàit. g rand.M nneur qu’on lui feisàit e f gros menSohgè '-qde l ’on proférait. .iV' -i: -

n avait été arrête simplément parce que sanatu rs raide efcassante n’avait point paru se plier aux fla^iméries qui saules jplaüaient aux maîtres du jour.

Raoul E igault prit sur lui de lever immé­diatement son écron ; il devança de la.sorte uhe décision qui n’était pas douteuse, par la Commune se . serait; hâtée de tendre à la liberté .un-homme vêts lequel ses régSMs se tourindent avec complaisance et qui trançhxit siùfiùHèfèment sur le» Duval, lé» .S u (i^ ,„ l^ ■ B e^ re t^ ii^ i’-Liàb^

ép»nlette,»dpelle é tü t ’p iù em barrassé p& % a® 8Bttl.

Louis -Eossel avait-d tt‘ reste, comme lo udit, îddn^-Metz, il »fetait montréjun d é p lu s mécon­tente ; ü avait fo f^ W 'llw i’ pétft complot «t avait ’m«BMa8»n»a«é»K’oijaté8, msnmmi-nn dictateur imptoiasé^ .iu:.-..-i - : ^

Evadé.'«m;è8'lai; capitulaUon, i l é ta it venu s e m e t t r p , ù l q ; d t s 8 q s i t i o n , | B >

Tours- e t ,avajt laissé, .antrevom des . |té jm -

doute ; ü recoùniit lin nomme a m et indé!BJ8i'‘%ïin8' dj^iniène- bien ^sisefce t oe- vom p»r )m é;afflqition:,4(>n.i;^^M Si’ '^ ‘'jrait.peu1^8tPèeil6»mêm6vUlflhjlBOp^j^ d’emblée, -m aâ Ta'Cbargda devait ,1e tenir éloigné dea opéTOons^mm- tairearpr^renieatr^ites.- ~:T”' Louis Eossel se cru t méconnu et fut pris

derhahié’ Tpohr-'i le» -gouvéfàemeùto; sfiéghliec»- ou non, ,qui, dédaigaaieiit' léa capacités ex­traordinaires quTrs’a lltrlbualtr être colonelde génie à viuWMinq «asme lui s s ^ a i t pas.Son mépris h é t d ^ apparaît.dans les notesqu’lLenvoiaà la délégation de ■Tours :

i j ’ai vù des préfets . générauxi asse? ;unUçrme»„Lé»; p^ fe ts tous avocats, ,les généraux tôus empailles. » -

Le 1 9 'mars 1871, i--était au camp de Ne- vers ■ ü sxp'édïe Sa déffiissioù am'mmiBtre de la guerre et accourt à Péris se mettre aux o r d r e s diiC ém itê central; on ne le connaît guère, e t eependant il obti. n t à l’electienleg r a d e d e chef de là-17-légion. '

Il fu t încarcécéî comme'nous venons 00 ledire, mais cela ne nuisit pas à sa fo r^® - puisque le .l3 avril.il est nommé chef d état- major au ministère de la guerre.■ Servir. sous^Cluseret'dttt'lui paraître nunu- liant, c a r i l ne professait ^>our les talents de c e l u i - c i qu’une estime fort inéitioqre.

Rbssel se c r^ m t doué de' faculté a militai­res de premier ordre ; qr, il était tout, excepte

* i i eût pu être un écrivain .spériàl cpmme Jom inî, un géomètre, un mathêmàficien, un savant, mais il n’aiirait jaihaiS. pu être un hqmme d’action; hésitant et troublé deyjmt l . m . b 4 t* d ,i l té ta i t’:ittcapablede m e iten k bonne fia une opération de |;uerre.

Deux fois il s’éssaya sous Pans contre les trbupes de -Versailles, e t deux fois ü fu t ! initimive, sans feergie et presque ridicule.Les combinaisons -, plaisaient A “ u espn |,q m > s u , r e p i d ^ t , ; Ü. ;rêvaiï e t h a ^ « ^ <

^ G ’el»aeTempêchait.guère4 .’asp iter,auxde^tinées les plus hautes; dans ses visions, ü avait aperçu le profil du générri Bonaparte, il avait entendu le hait des sorcières de Mac- beth. Il croyait ingénûmenï-que le hum âih'était-fait poùr-lai Obéir e t s estimait

- d e f o r c e à le''«>Sin^dér-Il s’était composé'"une attitude q u il ne

démentit jamais W pubûc; dur et hautain avec seé inférie'ure, dédaigneux avec ses supé­rieurs, il s’appliquait à écrire “ pu­bliques insptontes, concises,- om les lettres senteiit une recherche d’imitation qui n e s t088 do boli fiioL. ,

C’est un homme de bronze, d is a i^ n alors. C’était un homme, oscillant, timide,

ten t des autre»; imécontent de lui-m em é,o»qui s’ouvrait parfois dans des epsnchemente infimes dent toute trace n’est pas perdue.

La le ttrp suivante fait foi d é l état de cetteâme treùbléé :

m Ministère de laÿaerre-, -•» Msrbien-aimés,

...Je suis horriblement fatigué de vous n’en serez point étonnes. A useri« ^ e révolution rait».:uù groupe d ncapables s enempare, chacim demande des fonctions, ^ a

' de la sorte un gouvernement repubheain s m s républicains, un gouvernement revolution-

■ naire sans révolutionnaires. L ù PèJ?: “ ®®‘ plus qu’un vaste fromage de Hollande, oùchacun séconstru it son P®*’* .

. Je vais aux avant-postes f e m un to u r , si je suis blessé, je me trouverai honorable­m ent dispensé de eontinuer.

“ je vo“ s émbhisse, je vous aime et je vous

regrette. . l . Eossel.

. 17 avril 1771, 3 heure». de l ’après-midi. » ,

Son rô le-lu ipesait et lui p laisa it; il ne su t ni l’accepter résolûment, ni le "j®t®r : aveu­glé par son ambition, il s’était précipité dans L e impasse où il devait nécessairement

(Astevr*)

'--rvi.*. ’.z-r'*yx' ••- vr.r-.: -f*.

inoûte renf.-rmant la quantité de sucre néces*. sidre à unebonnecuvaison, on obtiendrait m-.. fiilliblement, im nP«!o<^tê“^ * ® T ? '^ l$ié etCpïhaî iàoraogéne qné p i t .to4t;~ai»t» moyen. ;\ Nous voyons dans-4e-Midi les petits tin»

cBts Aramons cotés 16,17 e t 18 francs ITw»1 tiilitc^ ’ i tBSnSlêur é ta t^ p e u a v a n c é id » t»L flcation rempliraient à s o t i i i t l'offlce aniffl».

rhnt què noua-'i««nsé01on»,. Q uw t > nx tin» blancs du Midi vendus sous le nom de Bergte iBc, ils rempliraient lè” mïine office dansin ÿréparation-dn via»-blanes de.aiosanontrée», dnf proviennent de .i^sins t o p peu mûrs pour m espérer de bons produits .; Les Mmaims. - - Les travaux de» smnaiUg»

qe poursuivent spus4 e meilleura auspiees que lés vendangesTcèpêiidsnt bëaùcOiip de culti- •teteurs sé'plàignént de là séeheresS» éxBes- Sive du ,so l, surtout d ^ les te rea fo rt» qu’onhe neufiéussir à dhrtser sUffisammeiit.

r v t o l ^ ^ ^ ^ ^ d a ù B là iplùpSttdeS eonttéss à céréales; to te '.^ ilà ' pluie e^t’ déadrée, pour les semailies de blé, la continuation du beau tem ps-est souhuitée avec moins d ’atdeur pour les récoltes d’automne, surtout-pour l’a rra ch ép des pommes de terre e t des bette­raves, q S est éh pïsine activité pendM t cette semaine. - -

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28 . . . - Seigle,'19 ,Và'80 . . . -i- ^ . 2 8 . .a - a - 'Avoine, ® . . à % . . . Fmine, . .

le s l5 T M . :CEÉPT,i3 oCt.'.

2’ qte as 00., — m uiBoii^ ',. . -7 ■Seigle 18 501. — Ôrge 22 . . . ^ Avoine 8 50, dite les lOOkil. 19 50. 1 i- oon; P ain , le kl., 1” qte 42 c., 2* qte æ c.! MÉEÜ, 24a o û t . ’ , , '

Froment,.le»10ÇMtil. 34 41; d’_ I h e ^ i t r e ,28 8 7 Méteil, 20 45 — Seigle, ,3 WO r ^ 14 89 — Avoine, 10 17; d’ les -100- laL

.^L ain , le kil, 1™ qté 41 c.2/3,2" qté 38 c. 2/3.

^ m e n ^ M lOO W l .» A d

S T. ?3s t l i a - Æ -Pain, le kil. 1” qté 42 c., ’2 ' qte 37 c. PONT-SAINTE.MÀSENCB, 13 oct.

F ro m e n ^ îS to ii tre 1 " 9 t é ^ ^ 6 0 , fi’ q te 24 14, 3« qtè 22 30 .— Métoil 20 14 Oel— Orge 13 C’A— Avome 1™ qté 9 20,2*

Etude d» M* »■•»»*, notaire à SenUs, rne Ballon, Ifi, 25.

BULLETIH COMBERCWL

La température est la même que la semaine dernière'. Q’uélques heure» dé soleil elevent am p a ù la tem pérature pendant le jour.:,™” » «

heures du soir à sept heures , du matin le temps est'pVesqùe au thermomètre de 1» »»>- svn hivomale. Les vendanges sbntien pleme activité, à p eu près parh)u t, dans ces condi­tions dàaVorebles. C’est dire q u e ls vriicu-r ture se débat péniblement contre un obstacle tavincible à l a bonne qualité de ses pmdu>ts- Nous àTOns-ïappe!^ les moyens” les plus usi- tes e t nous Croyons utUe

ble sous tous les rapporte, «uvmage des vms ♦ ntfnita avec des spiritueux, ou le cou p le

pln»iaitodkduM idi.rart»»*«“ ^ ' * ^

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Page 4: -s s ^ trs · mier choc et qu’il devra se retir-r : mais alors commenceront les difficultés, car les exigences des gauches seront grandes et les concessions que peut fa're le réchal

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Enregistré A Senlis» le 1 folio , case . Beju

Vu par nous. Maire de la vüle (Oise), pour la légalisation de la

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