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PHYS IQUE

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Ether,Quy a-t-il de commun entre lnergie du point zro, les ondes de

torsion, la conscience et le temps ? Rponse : lther. Pressentie par les

scientifiques depuis plus dun sicle puis vacue par la thorie de la

relativit, cette nergie invisible et illimite a t mise en vidence dans

les annes 50 par lastrophysicien russe Nikolai A. Kozyrev, lun des

chercheurs les plus controverss et censurs de lpoque sovitique. Une

dcouverte qui rappelle combien la physique, pour avancer, ne peut

faire lconomie de la mtaphysique

En fait, jusqu la fin du XIX e sicle, les milieux scientifiques ne mettaient gure en doutelexistence de lther ; il a fallu la cooptation, en 1887, de lexprience de Michelson-Morley prouvant que pareille source cache dnergie nexistait pas, pour que cette question soit pro-visoirement abandonne.Cependant, de nouveaux modles cosmologiques impliquant une matire som-

bre , une nergie sombre , des particules virtuelles , un flux du vide ,une nergie du point zro et quelques autres, ont contraint les scienti-

fiques occidentaux reconsidrer lhypothse dun substrat nergtiqueinvisible dans tout lunivers. On en trouvera alors lvocation dans la

presse grand tirage sous le terme de mdium quantique et nonpas, sous peine de ridicule, du politiquement incorrect ther .

Les prcurseursLune des premires dmonstrations de lexistence de lther nousvient dun physicien trs respect, le Dr Hal Puthoff, qui sappuiesur des expriences du dbut du XXe sicle avant quil ne soitquestion de mcanique quantique destines vrifier sil y ade lnergie dans l espace vide . Pour mettre cette hypothse lpreuve en laboratoire, il fallait crer un espace complte-ment dpourvu dair (un vide) et blind avec du plomb contretoute radiation lectromagntique, cest--dire une cage de Fa-raday. Ce vide tait ensuite refroidi au zro absolu, soit 273 C,temprature laquelle sarrte toute vibration de la matire, etdonc toute production de chaleur. On saperut alors quau lieudune absence totale dnergie, il y en avait au contraire dans cemilieu une quantit norme dont la source tait compltementtrangre llectromagntisme !Le Dr Puthoff dfinissait souvent ce phnomne comme un chau-dron effervescent dnergie de trs grande ampleur. tant donn

que cette nergie tait dcelable au zro absolu, elle fut nomme nergie du point zro ou ZPE, et vide physique ou PV par les

scientifiques russes.Des physiciens universellement reconnus tels que John Wheeler et

Richard Feynman calculrent que la quantit dnergie du point zrocontenue dans un espace quivalant au volume dune ampoule lectrique

suffirait porter bullition tous les ocans de la plante !De toute vidence, il ne sagit pas dune force faible invisible, mais dune ini-

Par David Wilcock 2006

es-tu l ?

maginable source de puissance plus quesuffisante pour assurer lexistence de

toute la matire physique.Dans la nouvelle perspective scien-tifique ouverte par la thorie delther, les quatre forces de base

que sont la gravitation, llectroma-gntisme, la force nuclaire faible etla force nuclaire forte, apparaissent

dsormais comme des manifestationsde la ZPE de lther.

Le professeur M.T. Daniels a calcul que la den-sit de lnergie gravitationnelle la surface de l a

Terre gale 5,74 x 1010 t/m3 [tonnes par mtre cube]

(noublions pas que, d ans ce nouveau modle, la gra-vitation nest quune forme de lther). Daprs lesconclusions du professeur Daniels, si lon soutire laquantit non ngligeable de 100 kW de cette ner-gie libre du champ gravitationnel, on ne prlvequun tout petit 0,001 % de l nergie disponible cet

endroit (voir New Energy News, juin 1994, p.4). lissue de ses propres recherches, linventeur ser-be de gnie Nikola Tesla conclut, en 1891, que l ther se comporte comme un fluide par rapport aux so-lides, et comme un solide par rapport la lumireet la chaleur , et que moyennant une frquenceet un voltage suffisants , on pouvait y avoir accs ;ce qui sous-entendait que lnergie libre et les tech-

Nikolai Aleksandrovich Kozyrev (1908-1983) estpeu connu du monde occidental. Pourtant,loin dtre un scientifique farfelu, il est considrcomme lun des penseurs russes les plus minentsdu XXe sicle. 17 ans, il publiait un premier papier scientifique qui surprit ses confrrespar sa profondeur et la clart de sa logique. Sondomaine de prdilection tait alors lastrophysiqueet particulirement ltude des atmosphres duSoleil et des toiles, les phnomnes des clipsessolaires et lquilibre des radiations. 20 ans, il taitdj diplm en physique et mathmatiques luniversit deLeningrad, et 28 ans, en tant quastronome distingu et

renomm, il donnait des cours dans plusieurs collges.La carrire fconde de Kozyrev prit une tournure tragiqueen 1936 lorsquil fut arrt en vertu des lois rpressivesde Josef Staline. En 1937, commencrent pour lui onzeannes pouvantables marques par toutes les horreurs descamps de concentration. Du fond de son enfer, il mditaprofondment sur les mystres de lunivers, sabsorba danslobservation des schmas du vivant, relevant notammentque nombre dorganismes manifestent des asymtries et/oudes croissances en spirales. De ses observations claires,Kozyrev dduisit que, outre leurs aptitudes normales prendre de lnergie par lalimentation, la respiration et laphotosynthse, toutes les formes de vie puisaient peut-treaussi dans une source dnergie spirodale invisible.

Kozyrev postula que le sens de croissance spiral duncoquillage et la place du cur gauche du corpshumain sont dtermins par le flux de cette nergie. Silexistait quelque part un lieu de lespace-temps o ce fluxdnergie tourne dans la direction oppose, alors lescoquillages y crotraient dans lautre sens et notre cursimplanterait droite. Kozyrev suggra que la vie ne

peut se former dune autre faon parce quelle puise sanscesse dans cette nergie spirale pour se sustenter et se

trouve donc contrainte den suivre constamment la direction.En ce sens, nous pouvons considrer le systme osseuxcomme une antenne de captation de cette nergie.En 1948, lorsquenfin libr et rhabilit, Kozyrev put

reprendre ses activits professionnelles, il mit propos dela Lune, de Vnus et de Mars, des prdictions qui furentconfirmes par les sondes spatiales sovitiques dix ansplus tard. Il devint ainsi un pionnier dans la course spatialesovitique. En 1958, il provoqua une controverse lchellemondiale en dclarant que la Lune manifeste une activitvolcanique, prcisment dans le cratre Alphonsus.Comme une poigne de scientifiques de lpoque, le prixNobel amricain Harold Urey soutenait la thorie volcaniquede Kozyrev, et il suggra la NASA une exploration lunaire.Cest ainsi que le fut lanc le projet Moon Blink, qui mit envidence des missions de gaz sur la Lune, prouvant une foisencore les assertions de Kozyrev.

Kozyrev, astronome maudit puis rhabilit

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nologies anti-gravitation taient possibles. [NdT :rappelons que les brevets de Tesla ont tt t con-

fisqus par certains pouvoirs et que les technolo-gies voques sont aujourdhui exploites dansle plus grand secret par les militaires, essentiel-lement amricains, dans des buts inavouables.Un fait que la dsinformation gnrale cachetoujours lopinion publique mondiale. Voir ce sujet plusieurs articles dans NEXUS, dont

ceux de Steven Greer.]

Naissance de la temporologiePendant lhiver de 1951-52, le Dr Kozyrev com-

mena ses incursions dans le monde de la phy-sique exotique, entamant trente-trois annesdexprimentations tonnantes et controver-ses. Alors quil tait en camp de concentra-tion (voir encadr page 71), il avait dcouvertla frquence des structures spirales d nergie

de la nature. Par sa connaissance immdiate ,il avait compris que cette nergie en spirale tait

en fait la vritable nature et manifestation du temps .Il lui tait alors paru vident que le temps , telque nous le connaissons aujourdhui, est bien plusquune simple mesure de dure. partir de cetteintuition, Kozyrev propose de rflchir loriginedu temps, quelque chose de tangible et didenti-

fiable dans lunivers que nous pourrions associer autemps. Aprs rflexion, nous nous apercevons quele temps nest finalement rien dautre que du purmouvement... en spirale. Nous savons que les tracsorbitaux de la Terre et du systme solaire nous fontparcourir dans lespace des trajectoires spiralescomplexes.Et voil quaujourdhui, luniversit dtat de Mos-cou et la Fondation humanitaire russe, inspirespar le travail de Kozyrev, se livrent des recherchesactives dans le domaine de la temporologie , ouscience du temps. Sur leur site Internet, nous lisons : Selon notre perception, la nature du temps estle mcanisme qui fait apparatre des changementset produit des renouvellements dans le monde.Comprendre la nature du temps, cest dsigner... unprocessus, un phnomne, un vhicule du mondematriel dont les proprits correspondent cellesdu temps . premire vue, une telle conception du temps peutparatre trange, car la chute dun arbre dans vo-tre jardin, par exemple, peut tre attr ibue leffetdun vent violent, pas lcoulement du temps .Mais quest-ce qui fait souffler le vent ? On pourraitdsigner comme responsable, au degr suivant, larotation de la Terre sur son axe [NdT : via la loi deCoriolis]. Autrement dit, tout changement est causpar lune ou lautre forme de mouvement ; sans mou-

La spirale Phi du nautile

et sa gomtriecache (D.R.).

vement, pas de temps.Plusieurs chercheurs, dont les comptes-rendus ontt publis au sein de lInstitut russe de Temporo-logie, saccordent penser que si Kozyrev avait em-ploy une terminologie plus scientifique, parlantde vide physique ou d ther plutt de que

temps , son travail aurait t mieux et plus vitecompris.

Une physique de la torsionEn 1913, Einstein et Cartan posaient labase thorique de lexistence de champsde torsion ; ils prdisaient quil y avaitdans lespace, suivant le lieu, des tor-sions dextrogyres ou lvogyres. Lesdcouvertes ultrieures de la physiquequantique confirmaient, concernant le spin , que lon peut observer des lectrons spin dextrogyre ou lvogyre. Tous les atomeset les molcules entretiennent des degrs varisdquilibre entre les spin droite et ceux gau-che.Il est gnralement admis aujourdhui que les-pace autour de la Terre, et peut-tre autour dela galaxie entire, est anim dun spin dex-trogyre, cest--dire que lnergie est con-duite en giration dans le sens horlogiquetandis quelle se meut dans le vide phy-sique [voir encadr p. 72].

Selon Sciama et al., des champs de torsion stati-ques sont crs partir de sources giratoires done rayonne aucune nergie. Toutefois, ds quunesource en rotation libre de lnergie sous nim-porte quelle forme, comme le Soleil ou le centre dela galaxie, et/ou quune source giratoire est ani mede plus dune forme de mouvements simultans,telle une plante qui la fois tourne sur son axe etgravite autour du Soleil, il se produit alors automa-tiquement une torsion dynamique. Ce phnomnepermet aux ondes de torsion de se propager danslespace au lieu de demeurer en un l ieu statique.Tout comme la gravitation ou llectromagntis-me, les champs de torsion peuvent donc se dplacerdans lunivers.Kozyrev a galement prouv que ces champs sedplacent des vitesses supraluminiques (plus

vite que la lumire). Or, sil existe une impulsionqui se dplace travers le tissu de lespace-temps des vitesses supraluminiques et indpendammentde la gravit et de llectromagntisme, nous nous

trouvons devant une dcouverte capitale enphysique, car cela implique que le videphysique , l nergie de poi nt zro , cest--dire l ther existe effectivement.

De la matire la conscienceLes expriences du Dr Kozyrev ont dbut

en 1950 et ont bnfici, partir de 1970,de lassistance du Dr V.V. Nasonov pour la

standardisation des mthodes de laboratoire et desanalyses statist iques des rsultats. Des dtecteursutilisant les rotations et les vibrations furentconus et construits pour ragir la prsence du

champ de torsion, que Kozyrev appelait le fluxdu temps .

Il importe de rappeler que ces expriencesont t menes dans les conditions les plusrigoureuses, reproduites des centaines,voire, des milliers de fois et consignes

En vertu dune convention universelle,le sens de rotation anti-horlogiquese nomme, pour les mathmaticiens,le sens gomtrique et pour lesastronomes le sens direct ; le senshorlogique, se dit rtrograde .Dans la sphre cleste gocentrique,le plan de rfrence est celui delcliptique (plan de lorbite terrestreet approximativement celui de toutesles plantes). Lhmisphre boralede cette sphre contient, comme sonnom lindique, les ples nord detoutes les plantes (sauf Uranus dontlaxe de rotation est bascul plus de90). La convention nous prsente cect boral vers le haut , cest--

dire vers la tte de lobservateur. Dece point vue, la Terre gravite autourdu Soleil, et sur elle-mme, dans lesens direct, cest--dire lvogyre. quelques exceptions prs, ce sensest la rgle gnrale pour tous lesobjets du systme solaire. Laxe desples de lcliptique constitue doncune rfrence directionnelle utilisable

dans les limites du systme solaire, etventuellement de notre galaxie.Lorsque lauteur David Wilcock parlede rotation dextrogyre du flux delther, il induit une confusion puisquecest linverse de la rgle gnrale.Cependant si lon abandonne laconvention qui veut que le ctboral soit vers le haut , le sens degiration dpend du ct par lequelon observe lobjet en rotation (ce quiest videmment le cas pour nimportequoi, par exemple, une roue debicyclette !). Par consquent, lireD. Wilcock, soit il y a une erreur dansle texte, soit il regarde le systmesolaire par-dessous , soit, et ce

serait capital, la torsion de lther estinverse la rotation privilgie desobjets du systme solaire. Quelle estdonc la rfrence ? Et plus loin danslespace, quelle rfrence avons-nous ? Les galaxies se prsententdans toutes les positions. Mmequestion si lon aborde linfinimentpetit, le microcosme.

Nous lui avons pos la question paremail. Voici sa rponse :Hlas ! Nous sommes encore ettoujours tributaires dun systmegocentrique. La gomtriedtermine par nos hmisphresnord et sud sest impose tous lesautres domaines de la physique, enOccident, chez les Russes et ailleurs.Par consquent le ple galactiquenord de notre galaxie est dans lamme polarit relative que le plenord terrestre.Comme je lexplique brivementdans Divine Cosmos, le Dr A. M.Mishin, utilisant son propre matrielde dtection des champs de torsion,dcouvrit que lunivers entier possdeun axe central de rotation. Celareprsente une rfrence absolue de position dans lunivers, et infirme,du mme coup, un des lmentsfondamentaux de la thorie de larelativit. Au lecteur de juger si celarpond notre question A.D.

Pour nous permettre de suivre son raisonnement, Dr N.A.Kozyrev nous invite visualiser tous les objets physiques delunivers comme des ponges plonges dans leau. Noussupposons quelles ont t immerges suffisamment longtempspour tre compltement satures deau. partir de l, nouspouvons, par un moyen mcanique trs simple, augmenter oudiminuer le volume deau contenu dans les ponges.1. Diminuer : si une ponge immerge sature est presse,refroidie ou mise en giration, une partie de leau quelle contientest libre dans son voisinage et la masse de lponge diminue.Si nous cessons toute action sur lponge, la pression sur lesmillions de petits pores est relche et elle se remet absorberde leau en gonflant pour recouvrer sa masse au repos initiale.

2. Augmenter : nous pouvons galement pomper de leau souspression dans lponge, par exemple en la chauffant (ce qui estune vibration), ce qui provoque la dilatation de certains poresqui absorbent plus deau quils ne contiennent normalement.Ici nouveau, si nous mettons fin la pression, lponge librenaturellement lexcs deau et retourne sa masse au reposinitiale.Bien que cela puisse paratre impossible, Kozyrev dmontrequen secouant, en faisant tourner, en chauffant, enrefroidissant, en faisant vibrer ou en brisant des objetsphysiques, leur poids augmente ou diminue dans des valeurscertes infinitsimales, mais mesurables ce qui prouveque le vide nexiste pas !

Une question de bon sens

Lanalogie de lponge

Sil existe une impulsion qui se dplace travers le tissu de lespace-temps des vitessessupraluminiques et indpendamment de lagravit et de llectromagntisme, nous noustrouvons devant une dcouverte capitale enphysique, car cela implique que le videphysique , l nergie de point zro , cest--dire l ther existe effectivement.

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avec tous les dtails mathmatiques. Ces rapportsont fait lobjet darbitrages par des comits delecture et dautres chercheurs de renom ont obtenuindpendamment les mmes rsultats.Au fil des annes, il sest avr que tous les processusnumrs ci-aprs ont engendr en laboratoire un flux temporel dondes de torsion provoqupar les formes diverses de perturbation de lamatire : la dformation dun objet physique ; larencontre dun jet dair avec un obstacle ; lefonctionnement dun sablier ; labsorption de lalumire ; la friction ; la combustion ; linterventiondun observateur, telle quun mouvement de tte ;le chauffage ou le refroidissement dun objet ; lechangement dtat dune substance (du solide auliquide, du liquide au gazeux, etc.) ; la dissolutionet le mlange de substances ; le fltrissement

dune plante ; la radiation non lumineuse dobjetsastronomiques ; et mme les variations soudaines

de la conscience humaine. Hormis le surprenant

dernier point de cette numration, nous voyonsque chaque processus de perturbation de lamatire, provoquant labsorption ou le rejet duneinfime quantit de fluide thrique, ce queKozyrev explique travers lanalogie de lpongeimmerge (voir encadr p. 73) : si nous modifionsla structure de lponge par une pression, unerotation ou une vibration, elle va cder une partiede son eau lenvironnement.Kozyrev a montr que les champs de torsionpouvaient tre absorbs, masqus et parfoisrflchis. Par exemple, les molcules fortementdextrogyres, comme le sucre, peuvent masquer les

effets de torsion ; tandis que celles prdominancelvogyre, comme la trbenthine, les renforcent.Le chercheur a observ galement quen prsencede ce flux dnergie, les objets rigides et nonlastiques changent de poids, tandis que les objetsflexibles, lastiques, changent dlasticit ou deviscosit. Il a montr aussi que le poids dunetoupie en giration change si elle subi une vibration,un rchauffement ou un refroidissement ou si on yfait passer un courant lectrique. Les recherchesrusses subsquentes tablirent aussi que le filmde polythylne ordinaire constitue un masque

efficace des ondes de torsion et ces propritsfurent utilises dans une varit dexpriences

dont certaines sont relates par le Dr AlexandreFrolov.

Ondes torsion et motionPlus remarquable encore, le Dr Kozyrev et dautresscientifiques ont dmontr de nombreuses reprisesquune forte nergie motionnelle tait susceptible deprovoquer une raction distance mesurable, et cestl quinterviennent nos concepts sur les phnomnesdu psychisme et de la conscience.Ces concepts ont pris une importance spectaculaireau moment des vnements du 11 Septembre 2001.Dean Radin et son quipe de lInstitut des sciencesnotiques ont pu mesurer un formidable changementdans le comportement des gnrateurs informatiquesde nombres alatoires pendant la priode encadrantlattaque, tant immdiatement avant celle-ci quaprs

(pour en savoir plus, rendez-vous sur http://noosphe-re.princeton.edu/fristwall.french.html).

Les donnes attestent quautour du 11 Septembre,un changement de la conscience globale de lhu-manit a agi sur lnergie lectromagntique descircuits informatiques dans le monde entier etparticulirement mesure que lon sapprochaitde lAmrique du Nord. Cela laisse supposer que lesondes de torsion et la conscience sont fondamenta-lement des manifestations identiques dune ner-gie intelligente.

Traduction : Andr Dufour

Autour du 11 Septembre, un changementde la conscience globale de lhumanit aagi sur lnergie lectromagntique descircuits informatiques dans le monde entier etparticulirement mesure quon sapprochaitde lAmrique du Nord

Graphique tmoignant dun changement de la conscience globaleautour du 11 Septembre 2001 (Radin/INS).

propos de lauteurDavid Wilcock est confrencier, cinaste et chercheur spcialisen civilisations anciennes, sciences de la conscience et nouveauxparadigmes lis la matire et lnergie. Son prochain film,Convergence, expose les preuves que toutes les vies sur Terre sontunies dans un champ de conscience.David est la fois le sujet et lauteur de The Reincarnation of EdgarCayce, qui explore les similitudes remarquables entre Edgar Cayceet lui-mme, relate un grand nombre de visions psychiques et rvlela preuve scientifique documente de la NASA dun changementclimatique interplantaire et de son impact sur notre ADN. Visitezson site Internet : http://www.divinecosmos.com.

Note de lditeurLe texte complet de David Wilcock sur les dcouvertes du Dr N.A.

Kozyrev, avec illustrations et notes de fin, est visible sur : http://www.divinecosmos.com.