N° 12

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LE CANARD DES AINES LE CANARD DES AINES LE CANARD DES AINES LE CANARD DES AINES Année 2012 1er semestre IMPRESSUM PARUTION 2 fois Par an TIRAGE 100 Exemplaires REDACTION: Atelier Journal tel : 20 91 N° 12 SOMMAIRE Souvenir mémorable 2 Anagramme 4 Plaisir des mots 5 Mots cachés 6 Charades 7 Courrier des lecteurs 8 Mots Manquants 10 RBS en images 12 Dans nos cœurs 13 Il est un Coin 14 Moment Mémorables 15 RBS en Images Sourires de Noel 21 Les Recettes de... 22 Courrier des lecteurs 24 Anniversaires 25 Nos Bénévoles 26 Moment de plaisir 32 Bienvenue chez Nous 27 Carnet Rose 33 Sudoku 34 Calendrier des …. Un sourire, ici, c’est quotidien! « Nous ne saurons jamais tout le bien qu’un simple sourire peut être capable de faire. » Rien que le fait de lire cette phrase de Mère Teresa et voilà que votre vi- sage affiche cette expression, timide, pensive ou fran- chement rayonnante… Comment expliquer ce que l’on ressent lorsque nous partageons cette petite et belle expression du cœur. Car c’est bien du cœur qu’il s’agit ici, à la résidence Bon Séjour. Bon nombre de situations me viennent im- médiatement à l’esprit pour illustrer ce mot tout sim- ple mais essentiel : des bonjours bienveillants des per- sonnes croisées (des employées à la lingerie au jardi- nier, de la secrétaire au directeur, des animateurs au personnel médical) à ce duo émouvant surpris, un jour de début octobre, dans le jardin. Un infirmier emmène une pensionnaire, un jour encore ensoleillé, admirer les derniers bougainvilliers, d’un fuchsia lumineux. Lui n’hésite pas à lui en offrir une petite brassée et el- le, touchée, les accepte en affichant une mine radieu- se. Le sourire est double. Lui parce qu’il a offert. Et el- le, parce qu’elle a reçu. C’est si simple… gratuit et tou- jours si beau. Comme le disait encore Antoine St- Exupéry, « un sourire est souvent l’essentiel. On est payé, et récompensé, à la fois. » Que cette année vous soit douce et remplie de ces cadeaux précieux! Sandra, atelier Au plaisir des mots EDITORIAL

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LE CANARD DES AINES

LE CANARD DES AINES

LE CANARD DES AINES

LE CANARD DES AINES

Année 2012 1er semestre

IMPRESSUM

PARUTION

2 fois Par an

TIRAGE

100 Exemplaires

REDACTION:

Atelier Journal

tel : 20 91

N° 12

SOMMAIRE

Souvenir mémorable 2

Anagramme 4

Plaisir des mots 5

Mots cachés 6

Charades 7

Courrier des lecteurs 8

Mots Manquants 10

RBS en images 12

Dans nos cœurs 13

Il est un Coin 14

Moment Mémorables 15

RBS en Images

Sourires de Noel 21

Les Recettes de... 22

Courrier des lecteurs 24

Anniversaires 25

Nos Bénévoles 26

Moment de plaisir 32

Bienvenue chez Nous 27

Carnet Rose 33

Sudoku 34

Calendrier des ….

Un sourire, ici, c’est quotidien!

« Nous ne saurons jamais tout le bien qu’un simple sourire peut être capable de faire. » Rien que le fait de lire cette phrase de Mère Teresa et voilà que votre vi-sage affiche cette expression, timide, pensive ou fran-chement rayonnante…

Comment expliquer ce que l’on ressent lorsque nous partageons cette petite et belle expression du cœur. Car c’est bien du cœur qu’il s’agit ici, à la résidence Bon Séjour. Bon nombre de situations me viennent im-médiatement à l’esprit pour illustrer ce mot tout sim-ple mais essentiel : des bonjours bienveillants des per-sonnes croisées (des employées à la lingerie au jardi-nier, de la secrétaire au directeur, des animateurs au personnel médical) à ce duo émouvant surpris, un jour de début octobre, dans le jardin. Un infirmier emmène une pensionnaire, un jour encore ensoleillé, admirer les derniers bougainvilliers, d’un fuchsia lumineux. Lui n’hésite pas à lui en offrir une petite brassée et el-le, touchée, les accepte en affichant une mine radieu-se. Le sourire est double. Lui parce qu’il a offert. Et el-le, parce qu’elle a reçu. C’est si simple… gratuit et tou-jours si beau. Comme le disait encore Antoine St-Exupéry, « un sourire est souvent l’essentiel. On est payé, et récompensé, à la fois. » Que cette année vous soit douce et remplie de ces cadeaux précieux!

Sandra, atelier Au plaisir des mots

EDITORIAL

Conférence du pasteur Henry Babel, du 3 juillet 1978

à Chambéry

Lors de son culte du dimanche 2 juillet à la Fusterie, le pasteur Babel avait formulé le désir d’être accompagné éventuellement par quelques genevois pour son déplace-ment du lendemain à Chambéry. En effet, il avait été invité par les « Amis de Jean-Jacques Rousseau » de cette ville à faire une conférence sur son récent ouvrage sur « Jeau-

Jacques Rousseau et notre temps » primé par l’académie de Dijon. Un coup de téléphone au domicile de M. Babel qui consent à me prendre comme passager, personne d’autre ne s’étant annoncé. Nous partons à 9h30 de la rue P. Fatio à destination de Chambéry, via St Julien et Annecy. A St Julien nous nous arrê-tons dans une petite librairie où un colis de livres avait été déposé à l’intention du pasteur Babel, puis nous reprenons la route en évitant un « bouchon ». Le temps est clément, mais un peu lourd. Nous suivons la route sinueuse où une circulation assez intense ralentit notre allure. Nous évitons Annecy en prenant une route de contournement qui nous conduira directement à l’autoroute. Ainsi nous arrivons à 11h45 env. en face de la gare SNCF de Chambéry où des « Amis de Jean-Jacques Rousseau » sont venus accueillir le conférencier. Ils sont exacts au rendez-vous et sans tarder, ils nous conduisent à 8 km de la ville, dans une charmante maison de campagne, située au milieu de vignobles, à l’o-rée d’une magnifique forêt, avec le Granier comme horizon. Nous somme reçus chaleureusement par une famille très sympathique et nous prenons place au-tour d’une table bien garnie ; un déjeuner succulent nous est servi, arrosé des vins du crû. Je relève, en passant, le nom d’un professeur d’histoire de l’Acadé-mie de Chambéry, M. Galluet et de Melle Armandine d’A-vignon présidente des amis de J.J. Rousseau et membre du Conseil Communal de Chambéry. Pendant 3 heures d’horloge, toutes les discussions sont centrées sur Jean-Jacques, entrecoupées d’histoires humoristiques de M. H. Babel. Des heures captivantes, croyez-moi ! Il est 16h00 déjà et M. Babel exprime le désir de faire une visite au Charmettes. Ainsi, tous les messieurs ainsi que Melle d’A-vignon prennent place dans deux voitures.

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SOUVENIR MEMORABLE

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¼ h de trajet jusqu’aux Charmettes. Quel ravissant coin de pays ! Et combien nous comprenons l’enthousiasme de J.J. Rousseau qui y passa les plus belles an-nées de sa jeunesse. Le guide de la Mai-son des Charmettes ou plutôt un rem-plaçant à la langue bien pendue nous décrit avec force détails les rapports de Jean-Jacques avec Mme de Warens. Beaucoup d’imagination sans doute de la part de celui qui nous guide dans les diverses pièces, malheureusement pas très bien entretenues. Nous apprenons qu’il est difficiles d’obtenir les crédits nécessaires pour la restauration intérieure de ce bel édifice. M. Babel saisit l’oc-casion pour filmer l’intérieur de cette célèbre maison ainsi que les environs. Le temps passe trop rapidement et nous devons quitter les lieux, l’heure étant pas-sée. Nous nous dirigeons alors sur Chambéry pour découvrir la belle statue de Rousseau, érigée sur un grand socle en pierre taillée en forme d’arbre. Un grand « Rousseau » en bronze marche, pensif, et fait penser aux « Rêveries d’un promeneur solitaire ». Nous nous donnons alors rendez-vous à la place de la Mairie pour 20h30 où le pasteur Babel parlera au Musée de la Salle des Exposi-tions. Nous nous retrouvons tous vers 20h45 où quelques auditeurs, une tren-taine de jeunes gens et jeunes filles écouterons avec une attention soutenue le brillant exposé du pasteur Babel sur son dernier ouvrage. Après la conférence, M. Babel dédicacera une quinzaine de ses livres dont il offre plusieurs exem-plaires à des étudiantes. Il est dommage seulement que les autorités de Cham-béry n’aient pas fait connaître suffisamment cette conférence qui aurait mérité une audience très nombreuse. M. Babel exprima sa grande satisfaction à tous les jeunes qui se sont dérangés. Nous sommes invités vers 22h00 à prendre une collation dans un restaurant voisin où le conférencier fait don d’une quinzaine de ses livres sur Calvin et la force de vivre, écrits récemment. Nous rentrons à Genève en 1 heure par le même itinéraire. La circulation sur les routes est quasi nulle. M. Babel a la grande gentillesse de me reconduire jusqu’à mon do-micile à Chambésy et je lui en suis fort reconnaissant. Une journée mémorable dont le souvenir restera gravé dans ma mémoire.

Monsieur Mauley Aux amis présents

« J'engageai Maman à vivre à la campagne. Une maison isolée au penchant d'un vallon fut notre asile, et c'est là que dans l'espace de quatre ou cinq ans j'ai joui d'un siècle de vie et d'un bonheur pur et plein... »

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T A T O U E U R

E P A U L E R A

C A S S E R A S

M E R I T A N T

R A M O N A I T

T A R T I N E E

S I G N A L E R

P A L O U R D E

A M O N C E L E

R O U M A I N S

TROUVEZ LES ANAGRAMMES DES 10 MOTS DE LA GRILLE DU HAUT POUR FORMER DANS LA GRILLE DU BAS LE NOM DE 10 ANIMAUX

(AVEC EN PRIME UNE ANAGRAMME SUPPLÉMENTAIRE DANS LA COLONNE SIGNALÉE)

ANAGRAMMES

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ATELIER PLAISIR DES MOTS

Poèmes collectifs – Atelier des mots, Sandra

Un oiseau

Etre un oiseau, c’est comme…

S’ébrouer dans la poussière

Caracoler en l’air

Planer dans l’atmosphère

Picorer des miettes par terre.

Etre un oiseau, c’est être…

Léger comme une plume

Fragile et tremblant

Heureux d’être libre

Ingénieux bâtisseur de nids.

Etre un oiseau, c’est comme…

Chanter des airs mélodieux

Emigrer vers d’autres lieux

Quémander à qui mieux-mieux

Virevolter dans les cieux.

Etre un oiseau, c’est être…

Fragile,

Craintif, mais habile

Gardant l’équilibre

Même sur un fil !

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MOTS CACHES Compositeurs

C N E A I S S E M M A R A I S

I H V Y L L U L J A R R E T B

N O O F F E N B A C H G C E M

I S N S T R A U S S L H R S O

S S I D T F F R O U A L N A U

S L N Z V A D E C I I W I I S

O E A E O O K K K O D A W N S

R D M L L L R O Z B R G H T O

R N H U A I V A V V E N S S R

O E C O L S L U K I V E R A G

D M A B K Z E B E V T R E E S

R H R I U T V E R A S C G N K

I C U A E M A R U L S Y H S I

G A M O Z A R T A D N D Y A H

O B R U B E C K F I W E I L L

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MOTS CACHES

JARE

LALO

LISZT

LULLY

MARAIS

MENDELSSOHN

MESSIAEN

MOUSSORGSKI

MOZART

OFFENBACH

ORF

RACHMANINOV

RAMEAU

RAVEL

RODRIGO

ROSSINI

SAINTSAENS

STRAUSS

TCHAIKOVSKI

VERDI

VIVALDI

WAGNER

WEILL

AUBER

BACH

BERLIOZ

BOULEZ

BRUBECK

CHOSTAKOVITCH

DVORAK

FAURE

GERSHIN

GLUCK

HAYDN

Mon 1er est la 11e lettre de l’alphabet Mon 2e est derrière le ventre Mon tout est très apprécié dans la fête.

***

Mon 1er se met à l’index en couture Mon 2e n’est pas « avec » Mon 3e est la 2e lettre de l’alphabet Mon 4e est la 2e note sans accent Mon tout est au bout de l’année

***

Mon 1er aime les souris Mon 2e est une région de faible végétation Mon tout est un personnage très attendu des enfants

Mon 1er est un adjectif possessif Mon 2e se rompt à table Mon tout reste vert toute l’année !

***

Mon 1er est un beau parasite Mon 2e se respire Mon 3e est une région parfois couverte de bruyère Mon tout est très décoratif, les jours de fête !

***

Mon 1er est un opéra japonais Mon 2e est la compagne de « lui » Mon tout est la plus belle des nouvelles !

***

Mon 1er est un pronom collectif Mon 2e est un vélo sans « o » Mon 3e est un animal têtu Mon 4e est au milieu du visage Mon tout est un éternel recommencement !

CHARADES. (atelier plaisir des mots )

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COURRIER DES LECTEURS

JOURNEE DES FONJALLAZ A ST-GEORGES

Le 8 septembre 2001 on m'a demandé de faire pour ce jour, brièvement un inventaire avec amour, des familles Fonjallaz et consorts réunis sous l'oeil vigilant du major! J'ai nommé bien sûr, DUFOUR Gilbert qui, avec Jacqueline ont organisé cette grande première. du jamais vu, c'est fantasti-que! faire connaissance de tous, cousins, cousines, c'est unique! Sans mentir, si le 26 décembre 1891 Julie Corboz, s'est mariée à Robert FONJALLAZ, homme au corps beau! C'est à eux que nous le de-vons d'être réunis car ils se sont bien occupés de leur doux nid! On m'a confié, depuis deux ans, leur Bible de mariage et leurs enfants figurent sur deux pages. les noms de cette importante progéniture y sont inscrits d'une superbe écriture. pour être véri-dique et ne rien tordre, je vous les donne avec res-

pect et dans l'ordre! Paul né le 18 octobre 1892, Cécile et Alfred le 17 janvier 1894, Emile le 07 janvier 1895, Méry le 09 février 1896, Robert le 30 janvier 1898, Ernest le 23 janvier 1899, Samuel le 28 janvier 1900, Jean le 08 janvier 1901, Victor et Gustave le 14 février 1902, Julie le 30 mars 1904, Madeleine le 04 janvier 1907. Mes amis, quelle famille, quel palmarès! et à l'époque, il n'y avait pas de "Pampers" ! Alors notre chère grand-maman Julie, on ne sait pas comment elle s'en est sortie! Parce qu'en plus des douleurs de l'enfantement, el-le connut plusieurs déchirements. En effet, Ernest, Gustave et leur sœur Julie furent repris prématurément par le Seigneur pour une vie meilleure heureuse-ment. N'empêche qu'il en restait une dizaine à nourrir à habiller, à enseigner, à faire obéir. Sans aucun doute, dans sa grâce, Dieu a richement béni .Ce couple qui en l'église de Corsier-Chardonne s'était uni en ce lendemain de Noël 1891. Car pour un bon départ, cela en était un ! Quelques années passèrent et la di-zaine, Avec les conjoints atteignit naturellement la vingtaine. Presque tous ces couples, connaissant la recette, ne tardèrent pas à acheter des poussettes pour y placer et promener vous et moi en tout cas pendant les premiers mois!

Noces de Diamant à la RBS

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Bien sûr, suite à ces mariages, il fallut se disperser, se perdre de vue et à beau-coup de choses renoncer, car après la guerre 14-18, il fallait bosser dur, dur pour assurer l'habillement, les soins et la nourriture A toute l'équipe que nous

formons aujourd'hui cousins, cousines Fonjallaz et puis j’ajoute les âmes soeurs trouvées en cours de route pour obéir à l'ordre de Dieu coûte que coûte! Biens aimés, encore une chose, si nous sommes là Ce n'est pas seulement parce qu'on descend des Fonjallaz, C'est que nous sommes tous, les heureux bénéficiaires d'une quantité importante de prières de la part de nos aïeux Invoquant sur nous, la protection de Dieu. Les années ont passé, maintenant ce merveilleux rôle tout et tout, reposent sur nos épaules, car, à notre tour, nous sommes devenus parents, grands-parents et arrières et c'est à nous qu'incombe ce ministère. Avec quelle fidélité l'assumons-nous? Cette question, je me la pose avec vous! Pas facile de prier et veiller sur notre progéniture dans les derniers temps que nous prédit les Ecritures où l'ennemi de nos âmes fait tout pour dé-molir ce qu'avec eux, nous avons voulu construire! Mais ne perdons pas coura-ge, cousins, cousines, levons les yeux Vers Jésus assis maintenant à la droite de Dieu . Mais qui va bientôt mettre un terme à nos souffrances, Lorsqu'Il appa-raîtra sur les nuées, quelle merveilleuse espérance! Voilà chers cousins, avant de me taire. J'aimerais redire que l'idée de se réunir a été super! Car je ne peux m'empêcher de penser a chacun des nôtres qui nous ont déjà devancé soit par maladie, accident ou tout simplement par vieillesse pour rejoindre leur Sauveur et goûter aux promesses qu'il réserve à tous ceux qui l'ont reconnu comme tel et qui jouissent maintenant de la vie éternelle. Sachant que c'est peut-être l'un d'entre nous. Qui peut soudainement être appelé à ce divin rendez-vous Biens aimés sommes nous prêts à partir quand Dieu dans sa grâce voudra intervenir? Je vous laisse encore trois paroles de vie Inscrites dans la Bible du couple Ro-bert et Julie Soyez remplis du St-Esprit (Eph.5-18b). Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement comme Dieu vous a pardonné enChrist(Eph.4-32). L'herbe sèche, la fleur tombe, mais la Parole de notre Dieu demeure éternellement (Es..40. 8).

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MOTS MANQUANTS

C’est la Romance de Paris (1941)

Ils s’aimaient depuis . . . . .jours à peine Y a parfois du . . . . . . .dans la peine Mais depuis qu’ils étaient . . . . . . . . Leur destin n’était plus malheureux, Ils vivaient avec un rêve étrange

Et ce . . . . était bleu comme les anges Leur amour était un vrai . . . . . . . . . , oui Aussi pur que leurs tendres . . . . . ans

{Refrain:}

C’est la ……. de Paris Au coin des rues, elle fleurit Ça met au coeur des ……..

Un peu de rêve et de ciel bleu Ce doux refrain de nos ……... Parle si gentiment d’amour Que tout le monde en est ….. C’est la romance de Paris

La …….. était leur vrai domaine Ils partaient à la fin de la semaine Dans les bois pour cueillir le …... Ou sur un bateau pour naviguer

Ils buvaient aussi dans les ……….. Du vin blanc qui fait tourner la tête

Et quand ils se donnaient un baiser, oui Tous les couples en …….se disaient

{au Refrain}

C’est ici que s’arrête mon histoire Aurez-vous de la ….. à me croire?

Si j’vous dis qu’il s’aimèrent chaque jour Qu’ils vieillirent avec leur tendre amour

Qu’ils fondèrent une famille ……... Et qu’ils eurent des enfants adorables

Qu’ils moururent gentiment, inconnus, oui En partant comme ils étaient venus

MOTS MANQUANTS

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RBS EN IMAGES

Air d’opéra Tour du monde musical Mère Royaume et sa marmite

The dansant La vente annuelle Les enfants des écoles

Moment de tendresse Chorale de l’école Allemande Sortie au musée de L’Ariana

La mer les a bercés……. Distribution des cadeaux de noël La Chorale Epsilon

Sortie avec la Protection civile Noel des enfants Fondue sous la Yourte

Mme Brand Edith Mr Clerc Robert

Mme Martin Georgina Mme Guillot Odette

Mme Bohren Yvonne Mme SttrohbachNelly Mme Buholzer Yvonne

Mme Cloux Hélène Mme Cuenin Andrée Mme Varrin Agnes

Mme Pesenti Mathilde Personne ne sait encore si tout ne vit que pour

mourir ou ne meurt que pour renaître. Marguerite Yourcenar

DANS NOS COEURSDANS NOS COEURSDANS NOS COEURSDANS NOS COEURS

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Il EST UN COIN BAINS DE VERSOIX (Anciens)

Les Bains publics de Versoix ont été inaugurés le 18 juin 1899. Le bâtiment a été construit sur les plans d e M.M. Morzier et Weibel, il comprenait des cabines particulières, des cabines générales, douches, péniche de secours, chambre de direction, avec meubles à l'usage des malades. M. César Courvoisier, adjoint, a remis les bains au public, au nom de la société anony-me dont il est président. Les travaux ont duré dix-huit mois, il a fallu trouver 10'000 francs; l'Etat a of-fert 2000 et la commune 500.

Monsieur Degallier, maire, a reçu les bains en insistant sur l'utilité publique de l'établissement; les enfants et les adultes avaient des heures gratuites fixées par le comité; les dames et les fillettes avaient aussi des moments spéciaux à elles réservés. Lors de la journée d'inauguration, un concours de natation avait été organisé; la Fanfare municipale, les gymnastes et le Sauvetage étaient au milieu de la foule nombreuse et des salves nourries accompagnaient les dis-cours.Un repas a été servi à cette occasion au restaurant Garneret. Les autori-tés, le conseil d'administration, les patrons et ouvriers ont tous gaiement fêté Versoix-les-Bains. La Société des bains cessa son activité en 1939. Les comptes-rendus administratifs de 1939 et 1940 nous disent que (...). Les premières an-nées, cette institution a joui d'une certaine vogue. L'Etat l'a favorisée d'une al-location annuelle continuée par la suite par la Commune. Les recettes dimi-nuant et les frais d'entretien allant croissant, cette somme n'a bientôt plus suffi à combler le déficit d'exploitation; une statistique de la fréquentation de l'Eta-blissement des Bains prouve que la Société n'était plus viable et que les efforts du Comité ne rencontraient plus d'échos dans la population. (...). Les Bains du Lac, sur terrain de l'Etat, ont disparu. Les douanes suisses ont obtenu d'y cons-truire un garage pour leur canot automobile. Le bâtiment des bains sera recons-truit sur le chantier de l'avenue Deshusses à destination de hangar pour les cantonniers. La terrasse sera aménagée en promenade et mise à la disposition du public. Ce belvédère remarquable sera apprécié de nombreux amateurs du lac qui viendront s'y reposer les soirs d'été). C'est encore le cas aujourd'hui.

Association Patrimoine Versoisien 2010-2011 - [email protected] Espace Patrimoine, Maison du Charron, rue des Moulins 6, 1290 Versoix

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Année 2012 1er semestre Page 15

Aconcagua 1976

L'Aconcagua, 6974m, un sommet facile par sa voie normale, sans aucune difficulté technique, en fait une ex-périence unique face à l'altitude, qui elle est une difficulté qu'il faut savoir maitriser et qui donne son lot de surprises et de situations difficiles surtout lorsque les conditions na-turelles changent brusquement. Les vents violents d'Est, dans cette hémisphère sud à partir de 3000mts ,présentent

des dangers soudains qu’il faut absolument savoir maitriser et anticiper et c'est la son principal succès. Quant à la face sud, elle présente une succession de ro-ches instables et de glaciers suspendus qui avec ses 2800 m de dénivelée en fait une des plus redoutable paroi au monde. Longue avait été l'approche depuis le départ à 2700 m, (sur la route qui mène au Chili depuis Mendoza), jusqu'au camp de base a 4200 m le long d'une rivière qu'il fallait enjamber plusieurs fois, et une période d'acclimatation avec des montées et nuits passées entre ce camp et une altitude de 5600 ms. Nous formions une expédition de 2 personnes ainsi déterminée par les autorités militaires qui fiscalisaient ainsi toutes les activités dans les alentours de l'Aconcagua (6974 m) à cette époque qui heureusement n'était pas encore ce qu'elle est devenue aujourd'hui, plus de 6500 personnes durant de décembre à février 2011.Les jours de beau temps étant restreints plusieurs expéditions se joignaient ainsi au fil des accointances et objectifs de chacune, C’est ainsi que nous partions 4 pour l'attaque finale à mi février 1976, mon compagnon connaissant un jeune mendocino qui accompagnait un jeune Français solitaire venu faire son expérience avec l'altitude. Ce Français, guide, avait pour nom Marc Batard, plus tard connu pour avoir gravi l' Everest en moins de 24 heures.Ce dernier n'ayant pas le même rythme de montée nous laissa vite tomber à notre sort et c'est à 3 que nous arrivions à notre objectif du jour, un bivouac à 6300 mètres environ. Le len-demain, le jeune mendocino (de 21 ans) ne se sentant pas bien du tout, mon compagnon qui le connaissait bien, decida tout naturellement de le ramener au camp de base. Lorsque nous passions au refuge de Berlin, à (5900 ms), il y avait un Espagnol d' environ 32 ans que son

MOMENTS MEMORABLES

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compagnon d'expédition avait abandonné au camp de base ne se sentant pas bien.qui allait passer la nuit, pour faire le sommet le lendemain. En accord avec mon compa-gnon d' expédition qui redescendait au camp de base, je restais donc à 6000 mè-tres pour tenter le lendemain le sommet. Me voilà parti le lendemain pour faire la montée vers le sommet en compagnie de l'espagnol qui se révéla un gars super en-trainé , car vivant à Mexico city, il s'entrai-nait régulièrement sur les pentes des vol-

cans mexicains avoisinant les 6000 mètres. Avec lui je montais jusqu'à 6800 mètres, mais devant sa rapidité de montée et ne pouvant plus suivre son train, je le laissais monter seul au sommet et redescendais tranquillement au refuge de 6000 mètres sachant que mon collègue d'expédition devait monter à nouveau pour me trouver et faire le sommet ensemble. Je res-tais dans ce petit refuge( 4x2x2mts) les deux journées suivantes et ne le voyant pas arriver, le beau temps se maintenant, je décidais de partir seul tenter le sommet le troisième jour. Etant seul à cette altitude, je préparais mon sac de montagne minutieusement, avec sac de couchage, sac de survie, sur pantalon, jambon cru, fromage, un peu d'eau, du chocolat et du sucre en morceau, piolet, crampon, etc...car on ne sait jamais lorsque l'on est seul, et bien m'en a pris comme on le verra par la suite.

Il me reste à décrire le chemin depuis ce refuge jusqu'au sommet, parcours qui ne présente aucune difficulté technique mais qui se situe à plus de 6000 m, avec une vue extraordinaire sur toutes les montagnes environnantes qui, elles ne dépassent pas cette altitude .Au départ ce n' est qu'une sorte de sentier plus ou moins marqué par les nombreux passages au fil des années sur une sorte de permafrost évitant de amas de roches volcaniques de dimensions et formes variables qui souvent ont provoqué des sortes d'hallucinations dans les récits des nombreux Andinistes qui ont fréquenté ces lieux entre 6000 et 6400 mètres d'altitude, tout ce passage exposé au nord est souvent recouvert de passages de neige accumulée par le vent du sud- est prédominant provenant du pacifique. C'est alors que l'on arrive à un petit refuge (indépendencia) en forme de triangle pour 3-4 personnes avant de changer de cap et se diriger au sud menant à une sorte de mamelon, nommé "paso del viento" (col du vent)

Qui nous permet d’arriver sur la partie haute d'un immense pierrier (" el gran accareo") avec plus de 45 degrés qui s'étend entre 6770 et 5400 m, le plus souvent recouvert de neige souf-flée et extrêmement dure , passage qui se présente plein sud qu'il faut franchir la plupart du temps, des crampons aux pieds avec le vent en pleine face.

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On arrive alors contre une sorte de mur volcanique qui s'élève jusqu'à l'arrête som-mitale et une sorte d'’arrête horizontale surplombant le grand pierrier au dessus du sentier que l'on emprunte depuis le col de vent. Ces deux arrêtes déterminent une sorte d'’entonnoir assez large et sans diffi-culté qui donne accès à la pente qui mène au sommet, quelque 200 mètres de dénive-lé formés de gros blocs de roches volcani-ques, très instables ce pourquoi on ôte gé-néralement les crampons, ceci pour facili-

ter l'ascension finale .Mon compagnon d' origine ne réapparaissant pas depuis plus de 3 jours, le temps se maintenant au grand beau ,je partais donc seul vers le sommet que j'avais approché par deux fois. J'arrivais sans encombre à la pente sommitale, ôtais mes crampons et poursuivais vers le sommet. Cependant la visibilité diminuait et une sorte de nuage com-mençait à envelopper le sommet depuis l'arête séparant le paroi sud du chemin facile de la voie nord (normale) et des flocons de neige commencèrent à tomber de plus en plus serrés. Regardant le chemin parcouru depuis l'endroit ou j'avais ôté les crampons, tout devenait de plus en plus blanc, si bien qu’à 16 heures de l'après-midi étant passée, malgré la proximité du sommet à moins de 100 ms de dénivelé, je décidais le retour afin de ne pas me trouver piégé dans un enfer tout blanc en altitude. Arrivé à la partie supérieure du grand pierrier, et estimant que je pouvais passer de grosses pierres en grosses pierres, je m'abstenait de remet-tre les crampons (les anciens, avec longues lanières ,et bien les fixer prend à cette altitude et avec la fatigue une demi-heure, au minimum).

Je commençais donc la descente recherchant les aspérités du terrain afin de ne pas glisser. Ce qui finalement arriva lorsque je dus pour passer d' une pierre sure à une autre faire un pas sur de la neige très dure ce qui provoqua ma chute sur le derrière et une glissade pieds en avant que je ne pus pas enrayer avec le piolet que je tenais à la main. J'arrivais quelques 10 mètres plus bas sur plusieurs cailloux , pieds en avant et cela me faisait basculer tête en avant jusqu’à d'autres aspérités caillouteuses, tête et mains en avant, ce qui arrêta ma glis-sade heureusement, m' envoyant quelques minutes dans les pommes.

En reprenant mes sens, je constatais une douleur intense en haut de la jambe droite, comme si je m’étais cassé quelque chose, ainsi que je voyais mon pouce gauche pointant vers le coude. Le considérant démis je le pris avec la main droite le tirant en avant de la main, ce qui le fit rentrer dans sa position normale.

Année 2012 1er semestre Page 18

Pensant ne plus pouvoir marcher, je

me mis à appeler au secours, mais la

réalité se rappela bien vite à moi, je

me trouvais à quelques 6500 mètres

d'altitude , le camp de 6000 m, avec

probablement personne dedans et

pas en ligne directe, de gros rochers

et blocs volcaniques me séparant de

lui, et plus de 3000 m de distance

avec le camp de base. Donc pas per-

dre de l'énergie pour rien et essayer

de s'en sortir tant qu'il y a de l'espoir. J’essayais de bouger la jambe droite et m'aperçu qu'il

n'y avait rien de cassé, mais qu'est-ce qui me faisait don si mal?. Bien plus tard je compris

ce qui était arrivé, en constatant la camera de photo (contax de Zeiss Ikon ) toute cabossée.

En fait, dans la glissade à plat ventre sur un amas de pierre,

cette camera avait amorti mon corps, plus particulièrement la hanche gauche et me l'avait

probablement fait sortir de son logement naturel avant que cette dernière ne rentre dans ce-

lui-ci. Ceci fut confirmé quelques dix jours plus tard à l'infirmerie militaire qui me révisait

et évacua presque 200 cm3 de sang au niveau de l’articulation de la hanche.

Je me trouvais donc plusieurs mètres en dessous du sentier heureusement marqué par un

gros bloc volcanique dans cette immensité totalement blanchie par la neige et dans une pé-

nombre peu réjouissante. Il me fallait remonter d'une manière ou d'une autre pour retrouver

le niveau du sentier et c'est à genoux que je le fis bien lentement jusqu'au gros roc, seul

point qui me le signalait , dans cette immensité blanchâtre.

C'est alors que je décidais de passer la nuit, me mis dans la sac de couchage, puis me, m'en-

roulais dans la toile de tente mangeais jambon, fromage et chocolat tout en délaçant et ôtant

mes souliers dans le sac de couchage , histoire de ne pas les laisser geler pendant la nuit et

sombrais dans une torpeur profonde , Me réveillant au petit jour, je me pressais de me re-

mettre en ordre de marche, et une fois debout je ne pouvais marcher normalement le han-

che droite me faisant souffrir horriblement, je ne pouvais que ramener la jambe droite d'ar-

rière à la verticale et péniblement poser le poids du corps dessus. Pour situer la douleur, je

fis le chemin jusqu'au refuge de 6400 m (Indepencia) en 2 heures alors qu'à la montée

j'avais parcouru cette distance en moins de 30 minutes. Arrivé dans ce refuge, le brouillard

Année 2012 1er semestre Page 19

et la neige régnant encore, je me recouchais et somnolais de 09 h 00 jusqu'à 12 h 00 , réveil-

lé alors par une bonne chaleur, car le ciel s'était dégagé et le soleil se mit à briller. Je m'équi-

pais nouvellement et renouvelais la descentes vers le refuge situé à 6000 m.

Arrivé en fin d'après -midi , dans celui-là, je pus me faire à boire soupe, café au lait ,thé, gaz

avec les provisions laissées par tous lors des descente , ceci pouvant être une question de

survie. Le lendemain, alors que je sortais pour ramasser de la neige afin de la faire fondre en

eau, je ne pouvais maintenir les yeux ouverts, En fait lors de ma glissade du jour précédent,

j' avais perdu mes lunettes de soleil et ayant passé quelques six heures au soleil, je consta-

tais que j'étais victime d' une ophtalmie des neiges qui m' empêchait de maintenir les yeux

ouverts. Je rentrais dans le refuge er me confectionnait à l'aide de carton léger provenant de

soupe lyophilisée une sorte de lunette avec en lieu et place de verre une fente extrêmement

fine me permettant de voire ce que je faisais.

C'est avec cet accoutrement, que je pouvais voire à peu près dehors sans avoir mal aux

yeux et qu'il me faudrait rester dans la pénombre du refuge quelques jours avant de descen-

dre au camp de base.

Je passais ainsi 3 jours dans le refuge à dormir et faire fondre de la neige pour toute sorte de

boissons, car il faut en altitude boire énormément, plus de 2 litres par jour et à partir de nei-

ge cela prend beaucoup de temps.

C' est alors qu'arrivèrent en fin de journée un groupe de 4 espagnols, tous heureux de me

trouver là, car au camp de base on me donnait pour disparu sinon mort quelque part sur la

montagne. Parmi ce groupe un entraîneur de football, qui après m'avoir révisé physique-

ment, accepta de continuer vers le sommet le lendemain et de ne pas me descendre immé-

diatement au camp de base. Le jour suivant ils partirent vers le sommet, mais ne purent

monter plus haut que le "col du vent" , ce

dernier s'étant levé en tempête et à leur re-

tour je me joignais à eux pour la descente

au camp de base descente muni d' une paire

de lunette de soleil que ces montagnards

avait en réserve au cas d' un incident.

Tout finissait au mieux et il ne me restait que le retour sur la route , donc 42 km que je fis à dos de mule, ce qui constitue une aventure en soit. Monsieur Eric Frei

Année 2012 1er semestre Page 20

RBS EN IMAGES

Un petit coup de schwyzerörgeli

galopade calèche et tintébin Paella sur la terrasse goûter avec L’EMS st Loup

Aperitif à Port Choiseul "Master Chef" au Coin des gourmand Repas de Noël

Intermedzo musical Gambille de Maître coq

Pas de deux ( thé dansant ) Tango du 31 Décembre

Collation au musée du cheval

Bain de soleil à Nernier En attendant la croute ( Couvaloup)

Ritournelles et orgue de Barbarie

Année 2012 1er semestre Page 21

Sourires de noël 2011

Année 2012 1er semestre Page 22

LES RECETTES DE MAMIE BOTSIE

Entre tradition et tendance

Les Paupiettes à la marjolaine sont une version à la fois tendance et tradition.

Classique: le choix du bœuf pour envelopper la farce et la cuisson en dou- ceur

au vin rouge. Tendance: la farce de légumes, légère et parfumée, ain-

si que la jolie présentation: coupées en biais, les paupiettes ouvrent

leur cœur aux gourmets et dévoilent leur farce appétissante. Bon

appétit!

Les paupiettes font recette

Elles adorent qu'on leur fasse des farces! Les paupiettes et autres oiseaux sans tê-te (en Italie on les appelle involtini) ont de quoi faire battre le cœur des gourmets. Ces apprêts faits d'une mince tranche de veau ou de bœuf, masquée de farce puis enroulée, font recette en toute saison. Parfumées aux herbes fraîches et mijotées lentement dans du vin, les paupiettes sont un régal.

Chaque pays sa paupiette

Quand un touriste allemand étudie la carte

d'un restaurant en Suisse alémanique ou

quand une Allemande achète un livre de

cuisine typiquement suisse, il leur arrive de

froncer les sourcils. Notamment lorsqu'ils

tombent sur des oiseaux sans tête: alors

comme ça, les Suisses mangent des oiseaux?!

Fort heureusement, il n'en est rien car l'oiseau sans tête, en Suisse alémanique,

n'est pas un vrai oiseau, mais un apprêt fait d'une mince escalope farcie, enroulée,

et maintenue en forme par de la ficelle ou des cure-dents. En Autriche, le nom est

le même, en Italie on parle de petits oiseaux uccellini ou d'involtini («petits rou-

leaux»), et en France de paupiettes, quoique le terme d'oiseau sans tête soit aussi

répandu. Quant aux Allemands, ils ont emprunté au français le mot roulade pour

désigner une paupiette, alors que le même mot, en Suisse alémanique, signifie un

biscuit roulé, donc un apprêt sucré.

Année 2012 1er semestre Page 23

Plat principal pour 4 personnes

4 grandes tranches de bœuf très fines (d’env. 150 g chacune) les faire aplatir par le boucher

1 c. a soupe de ketchup

1/2 c. a café de sel

1/4 c. a café de poivre

1/4 c. a café de paprika

1 gousse d’ail, pressée

Farce

1 grande pomme de terre

4 c. a soupe de feuilles de marjolaine,

finement hachées

1/2poivron rouge, en fines lanières

1 échalote, finement hachée

1 c. a soupe de farine

huile d’olive ou autre

1 dl de vin rouge

2 c. a soupe de ketchup

3 brins de marjolaine

1 dl de bouillon de viande

Présentation: couper les paupiettes en biseau et les servir avec un miroir de sauce sur des assiettes préchauffées. Décorer de feuilles de marjolaine. Présenter la sau-ce séparément.

Se marie avec: pates, polenta ou purée de pommes de terre.

bien mélanger le tout, masquer les tranches sur une face

couper en lamelles, poser sur les tranches assaisonnées

repartir dans l’ordre sur les lamelles de pommes de terre, rou-ler, bien fermer avec

Y passer les paupiettes , enlever le surplus de farine

chauffer dans la poêle, rôtir les paupiettes de toute parts et par

Verser, cuire un moment ajouter le tout, et laisser mijoter

a couvert env. 1 h. a petit feu.

Sortir les paupiettes, les garder

en attente au chaud, passer

la sauce dans une casserole et

Année 2012 1er semestre Page 24

COURRIER DES LECTEURS

Samedi 31 décembre,

Jour de fête et invitation dès 16h30 au "tango" à l’EMS de Bon Séjour. Sept couples, tous charmants et sur leurs "31" pour nous faire connaître le vrai tango argentin. Au milieu des dan-ses, un petit entracte avec la visite impromptue d’une dame munie d’une cravate qu’elle voulait absolument mettre sur une personne consentante mais elle n’a pas trouvé grand succès,

hélas. Par contre, nous avons pu apprécier ses talents de clown et de mime qui étaient irrésistibles. Quel plaisir a été pour nos résidantes (ts) pour ce mo-ment si précieux, tant de souvenirs devaient ressurgir dans les mémoires sur ces sons si prenants et envoutants du tango.

Merci à la direction de Bon Séjour de faire partager ces joies à nos ainés conquis par ce spectacle.

Décidément, la direction de l’EMS de Bon Séjour nous gâte particulière-ment ce samedi 14 janvier en nous offrant un magnifique concert avec les choristes d’epsilon sous la direction de Mr Marius Marcu.

Tout d’abord , quelques chants de Noël et un en particulier venant tout droit d’Angleterre , très beau. Nous avons eu droit à l’Ave Maria de Schubert chanté par le directeur, puis deux pièces de Bach interprétées au piano par ce dernier. Ensuite, "Jésus que ma joie demeure" qui rappelle Dinu Lipatti, toujours aussi émouvant. A un certain moment, révélation, deux petits jeunes hommes ( en Smoking, vous permettez!) ont interprété " l’enfant au tambour " avec leur père soliste, ses fils qui battaient le tambour, nous étions vraiment conquis par ce trio si brillant de cette famille musicienne. Puis est venu " chanson pour Elise" de Beethoven, également joué au piano et le chœur des Hébreux de Nabucco de Verdi, interprété par l’ensemble des choristes.

Au final, un moment de pur bonheur avec un extrait de l’oratorio de Camille Saint-Saens " Tolite Hestia".

Voilà un moment de partage où l’on oublie tous ses soucis, ses douleurs, sa tris-tesse, car il reste toujours en nous ce plaisir d’être réunis pour écouter de la vraie musique. Un grand merci à tous les chan-teurs, leur directeur, ses fils qui sont venus partager un mo-ment avec nos ainés qui j’en suis certaine ont eu du plaisir à croire encore aux vraies valeurs de la vie . Myrielle

DOUX TENDRES ET JOYEUX ANNIVERSAIRES

Janvier.

03 GANDER Claudine.

04 TAVEL Renée.

19 BERGDORF Sonia.

22 GRIVEL Emilie.

26 MOTTAS Germaine.

28 FONJALLAZ Denise.

Février

03 LACROIX Suzanne.

06 DOEBLI Jean Charles.

08 DAVID Anne.

13 PERROT Denise.

16 CHAPUIS Muguette.

17 IBANEZ Carmen.

19 MARGOT Rose.

23 FONJALLAZ Roger

27 VOLTENAUER Gertrude

27 VOEGTLIN Rose-Marie

28 DUCHOUD Yvonne

Mars.

03 GIMENO Marie.

08 GRIVEL Rosalina

11 ROSSIER Florence.

11 MOJONNIER Alain.

12 MICHEL Bertha.

15 SEREX GIRARDET Gabrielle.

17 CHEVALAZ Roger.

20 FERNANDES M.-Teresa.

20 HORNUNG Jean-Pierre.

25 SCHURTER Germaine

Année 2012 1er semestre Page 25

Avril.

04 GHEGHIOS Edith.

08 LOEFFEL Jolanda.

15 CLERC Marie Louise

27 GAILLARD Isabelle

27 GOLAZ Jean-Jacques.

MAI.

03 GOLAZ Rosine

10 FOUVY Irma

10 ROCH BOURGEON Jeanne

11 ZULLIG Yvette

12 DUTOIT Paulette

13 BAUD Maurice

18 MORE Odette

22 LEHMANN Pierrette

28 LANDOLT Raymonde

30 BRUNNER Roland

JUIN.

01 BOSSHARD Josiane

04 GISIGER Jeannine

06 KROUG Marcel

11 MARTIN Danielle

22 RÜEGGER Desidera

22 MARGOT Pierre

25 RUMO Thérèse

Année 2012 1er semestre Page 26

NOS BENEVOLES

.

Je suis arrivée par curiosité à la Résidence de

Bon Séjour, il y a deux ans. J’ai été « happée » par Mme An-

ne Marie Bovier lors de ma troisième visite me demandant si

j’étais intéressée pour devenir bénévole. J’ai accepté avec

plaisir ayant été accueillie par mes collègues qui m’ont tout

de suite témoigné confiance et me donnant leur amitié.

Je dois dire que j’ai derrière moi un passé de bénévole étant

pendant huit ans accompagnatrice des voyages allant à Lourdes m’occupant

principalement de la maintenance. Je vais les mardis à l’éveil de la foi donnant

le gouter sirop pain chocolat aux enfants. Je viens chaque mercredis matin à la

Résidence de Bon-Séjour pour un temps de prière et de partage, ceci m’apporte

bien des satisfactions car j’ai le bonheur de rencontrer les résidants qui ont tant

de choses à dire de leur passé si riche, j’espère continuer encore longtemps ce

bénévolat.

Gervaise

Qui suis je ? - - - - - - - -

- - - - - - - - - -

Talon réponse à envoyer au servi-

ce animation de la Résidence de

Bon-Séjour

Avant Juin 2012

Votre nom- - - - - - - - - - - - Votre

Prénom - - - - - - - - - - - - - - - -

Année 2012 1er semestre Page 27

Mme Andrée Burlet

Entrée à la Résidence, Mme Burlet a aujourd’hui 95

ans. « Même avec une mémoire qui s’évapore quelque

peu, je me souviens très bien de ma vie. Très belle et,

j’ose l’avouer, facile. » Entourée très tôt par une fa-

mille aimante, elle grandit à Lausanne, plus exacte-

ment à Pully. Entre un papa, tailleur de vêtements et

une maman dévouée à l’éducation de ses deux filles.

Andrée Burlet est l’aînée. A 19 ans, après le gymnase, elle part faire des séjours

linguistiques, tour à tour en Autriche, à Vienne, et en Angleterre. « J’y ai appris

l’allemand puis l’anglais. Et je dois dire que passer d’une langue à l’autre, à

deux semaines d’intervalle, je dirai qu’elles se sont heurtées, chicanées», nous

confie notre interlocutrice. Elle a pratiqué, mais seulement pour ces loisirs et

pour rentrer en contact avec d’autres personnes, « mais sans plus », finit-elle

par dire. De son enfance, Mme Burlet se souvient de voyages extraordinaires

avec ses parents et sa sœur. « Mon père, au volant de sa Delage d’occasion, nous

a emmené visiter la Suisse, ses vallées, ses cols magnifiques et magiques. Des

vacances inoubliables. Une fois, nous sommes sortis des frontières pour revoir

son pays d’origine, l’Autriche, et retrouver, notamment en Tchécoslovaquie, une

partie de sa famille. Nous sommes revenus par le sud de l’Allemagne. » Jeune

fille, Madame Burlet a aidé son papa dans l’entreprise. « Il avait notamment

besoin d’une secrétaire comptable. » Puis elle rencontre son mari dans un bal,

« il y en avait souvent à l’époque ». Ils se marient et ont eu deux enfants : une

fille et un garçon. C’est presque de façon naturelle que Madame Burlet dit

avoir songé à entrer en résidence. «Tout devenait compliqué dans mon apparte-

ment à Pully. Et puis, j’avais des soucis de santé. Nous avons tout simplement

parlé avec mes enfants de cette possibilité. » Ici, elle aime particulièrement le

jardin « pour s’y promener et y trouver le soleil », prend un peu de temps pour

se plonger dans ses albums de photos et lit les journaux et d’autres magazines

et livres. Bienvenue à elle ! (sj)

BIENVENUE CHEZ NOUS

BIENVENUE CHEZ NOUS

Année 2012 1er semestre Page 28

M. Georges Buchs

Né le 26 octobre 1916 à Romont (Fribourg).

Après une enfance heureuse, ses parents adoptifs

déménagent à Fribourg où il fait son apprentissa-

ge de compositeur-typographe. Sa passion de jeu-

nesse ? « La montagne », dit-il. « Nous partions à pied, avec des amis monta-

gnards, en direction, notamment, du lac noir. Nous dormions dans des cha-

lets à bétail et, le matin, nous grimpions ces montagnes magnifiques. »

Puis, il se marie avec sa femme et de cette union naissent trois enfants : Mi-

chel, Jean (aujourd’hui décédé) et Madeleine. Dès qu’il est devenu père, il

arrête immédiatement de partir gravir les sommets. Ensuite, le couple

s’installe à Versoix, « entre ville et campagne », dans un vaste appartement

à Pont-Céard, et peu après le mariage où Georges reprend une imprimerie.

De sa femme, il ne tarit pas d’éloges. « C’était une très bonne épouse et une

excellente maman. Une couturière hors pair aussi, elle n’achetait pas de vê-

tements pour les enfants, elle les confectionnait ! » Les enfants devenus

grands, cette femme « courageuse » reprend un autre métier : « Elle a été

engagée au Crédit Suisse où elle y est restée jusqu’à sa retraite. »

A la retraite, leur souhait était de repartir à Fribourg. « Après 61 ans de

mariage, ma femme est décédée. » Monsieur Buchs a continué à résider à

Pont-Céard, jusqu’à ce son entrée à la Résidence Bon Séjour le 19 septem-

bre. Depuis, il « repart » dans sa montagne, dans cette nature qu’il affec-

tionne. « Je suis assez seul, mais j’aime ça. Je rêve, je pense, je vagabonde…

Je me revois, et je m’imagine, à ski ou à peaux de phoque partir dans la nei-

ge… Il n’y a que les traces de mes amis et moi. C’est magique ! » Dame na-

ture n’a plus de secrets pour lui : « Vous savez, une fleur ou un arbre, c’est

tellement beau. On restait des heures, une journée entière, à les admi-

rer ! » (sj)

Année 2012 1er semestre Page 29

Mme Rosalina Grivel

Sa fille Nathalie, qui vit à Versoix, raconte l’histoire de

vie de sa maman : Mme Grivel est née, le 8 mars 1950, au

Portugal et la famille – les parents et leurs dix enfants - a

émigré en France (en Saône et Loire). Après avoir perdu son

frère et son père, l’aînée devient, à 16 ans, la cheffe de famil-

le. Elle se marie, en 1971 avec un Suisse, qui travaillait aux CFF. Ils ont eu

deux filles : Nathalie (en 1972) et Véronique (5 ans plus tard). Elle accomplit

des métiers dans plusieurs domaines pour élever ses enfants, autant dans la

restauration que dans un laboratoire médical. Puis, elle partira en 2005 vivre

au Portugal après des vacances plutôt plaisantes. Mais début mars, elle est ra-

patriée par sa fille. Et elle est entrée à la Résidence Bon Séjour le 30 septembre

dernier. Nous souhaitons la bienvenue à cette dame qui aime beaucoup cuisi-

ner, les « choses bien faites », comme le ménage, les fleurs, le jardin et écouter

de la musique. (sj)

BIENVENUE CHEZ NOUS

AUX PETITS MAUX, LES GRANDS REMEDES.

Piqûres de d’insectes

Pour les piqures de moustiques, frottez quelques brins de persil

frais sur les boutons pendant quelques secondes et laissez agir à

l’air libre (au moins 1/2h).

Si vous êtes piqué par un autre moustique et que le persil vous

manque et que vous disposez d’un pied de géranium dans votre jardin, cueillez

une fleur de votre plante et l’écraser délicatement dans vos mains. Appliquez

ensuite la fleur écrasée sur la piqure, ce qui la calmera instanta-

nément.

Pour les piqures de guêpes, prendre un oignon, l’éplucher et le cou-

per en deux. Frottez ensuite sur la piqure pendant quelques minu-

tes (au moins 10 minutes).

BIENVENUE CHEZ NOUS

Année 2012 1er semestre Page 30

Mme Danièle MARTIN

De belles photos mettent en lumière la

famille de Mme Danièle Martin : elle et son

mari, ainsi que ses filles, Laurence et Audrey

et ses quatre petits-enfants : Benjamin, Tim,

Titouan et Manon. Mme Martin est entrée à la

Résidence début septembre, après avoir séjour-

né huit ans aux Jardins du Rhône. Elle est, on

peut le dire, revenue aux « sources », puisqu’elle a résidé trente ans à Versoix et

s’est occupée, durant vingt ans, du Restaurant scolaire de Bon-Séjour.

Née le 1er juin 1941 en terre lausannoise, Madame Martin a quelques passions,

dont le sport. « J’ai fait du basket, beaucoup de gymnastique étant jeune. J’ai

continué avec du tennis, de la natation et du vélo. Heureusement que j’ai fait

autant de sport, cela m’a aidée dans mes problèmes de santé. » Le sport, c’est de

famille. Sa fille, Audrey, court avec son mari et leurs enfants. « Ils font la Cour-

se de l’Escalade et d’autres compétitions aussi. » Titouan, notamment, est pri-

mé dans sa catégorie. Une autre passion l’anime également : la musique, et

plus spécialement le jazz. « Je suis beaucoup allée au Festival de Montreux et à

Nyon, où j’avais un copain qui organisait des concerts. » Ses filles, elles, ont des

goûts différents. « Une aime le classique et l’autre l’opéra », nous confie t-elle,

amusée. Comme elle ne peut lire que difficilement, son souhait serait de pou-

voir avoir « un appareil pour écouter les livres. »

Année 2012 1er semestre Page 31

BIENVENUE CHEZ NOUS

Roselène Dérolus

Originaire de la côte d’Ivoire. Je suis la ca-

dette d’une famille de 4 enfants. Je suis arrive à

Genève voilà 14 ans. Pays où je suis devenue l’heu-

reuse maman de deux magnifiques rayons de soleil

qui ensoleille mes journées en ces mois d’hivers.

Petit clin d’œil à mon beau pays ensoleillé. J’aime

par dessus tout partager le plus temps avec mes enfants après mon travail qui

me donne beaucoup de satisfaction tant par la diversité que par le côté humain.

Gordana Jovanovic

Infirmière depuis 12 ans, j’ai essentiellement

travaillée en EMS, j’aime le contact avec les per-

sonnes âgées. J’ai 37 ans, trois enfants de 6 ans, 10

ans et 12 ans d’origine Serbe. Je vis à Genève de-

puis 23 ans.

J’aime beaucoup la lecture, et comme je suis pas-

sionné par mon métier je fais des recherches sur internet afin de connaître tous

les nouveaux médicaments. Avec le cadre magnifique qu’offre la RBS, je retrou-

ve ma passion pour mon métier.

REBUS : Citation d’Alphonse Allais

Duo Lyrique à la Résidence

Lundi 7 novembre dernier, les résidents ont eu le

bonheur d’entendre un magnifique duo : le baryton Lucio

Fersurella et la pianiste Yasmine Ambroise Siddiqui.

Quelques minutes après 15h, la voix puissante et chaude

s’élève dans la cafeteria, comme par magie. Il ne manque

que des tentures carmines pour se croire devant une scène

d’opéra. Le duo interprète tour à tour neuf extraits d’airs

célèbres, comme Les Noces de Figaro de W. A. Mozart ou encore le Chant du

Toréador de Carmen de Bizet. Un répertoire tout en rondeurs, mais aussi plus

subtil comme la Nocturne opus 9 de Frédéric Chopin. L’écoute est totale, pres-

que religieuse. Il n’y a que les oiseaux qui entonnent des refrains et semblent

vouloir rivaliser avec ces professionnels. En vain… Chacun écoute avec son

cœur cet ancien choriste du Grand

Théâtre de Genève, engagé dans la

troupe Opérafolies et son accompa-

gnatrice, Yasmine Ambroise-

Siddiqui, directrice de l’école Croq’-

notes et pianiste émérite. L’auditoi-

re était comblé. Merci à ce duo de

nous avoir enchanté un jour gris de

novembre ! (sj)

MOMENT DE PLAISIR

Année 2012 1er semestre Page 32

REBUS : Citation de Jean Paul SARTRE

Année 2012 1er semestre Page 33

10 petits doigts, 10 petits orteils, des yeux

comme des étoiles et un charmant petit nez!

Je m appelle AymeriK

je suis né le le 8 Décembre 2011 je pèse

3.950 kg et mesure 51 centimètres .

Je comble déjà les nuits et les jours de mon

père Vincent votre cuisinier et de ma maman

Karine.

CARNET ROSE

José Cordeiro Miranda

Je suis arrivé en Suisse en 1981, j’ai travaillé dans la restauration pendant 27 ans. Pendant mon temps libre, j’aime voyager avec mes 2 enfants et mon épouse. J’adore prendre mon vélo pour parcourir des ki-lomètres.

J’ai intégré la RBS le 3 octobre 2011, d’ailleurs je re-mercie aussi bien les résidants que mes collègues de

l’accueil qu’ils m’ont fait.

BIENVENUE CHEZ NOUS

Eveline Laurence Kouame Adjoua

Originaire de la côte d’Ivoire. Je suis la cadette d’une fa-mille de 4 enfants. Je suis arrivée à Genève voilà 14 ans. Pays où je suis devenue l’heureuse maman de deux magni-fiques rayons de soleil qui ensoleillent mes journées en ces mois d’hiver. Petit clin d’œil à mon beau pays ensoleillé. J’aime par dessus tout partager le plus de temps avec mes enfants après mon travail, qui me donne beaucoup de satisfaction tant par la diversité que par le côté humain.

SUDOKU n°11

Année 2012 1er semestre Page 34

6 3 8 7 5 5 9 7 8 2 6

7 2 4 5 1 9

8 7 3 6

6 5 2 4 8 3 1 7

7 1 9 6 4 8

2 9 1 6 7 3

8 7 5 1

1 6 7 3 4 Les chiffres de 1 à 9 figurent obligatoirement

une seule fois sur chaque ligne, chaque colonne

et chaque carré de 3x3

Année 2012 1er semestre Page 35

CALENDRIER DES MANIFESTATIONS

VENDREDI 06 FEVRIER

Galette des Rois

Musique Mme Barbasini

JEUDI 2 FEVRIER

Fête de la Chandeleur

Musique Mr Perenoud

VENDREDI 17 FEVRIER

Récital Duo violoncelle Avec Mme Vladislava Morales Kisselova et au piano

Nouchine Schopfer

MARDI 21 FEVRIER

Mardi Gras The Dansant Avec mme Liliane Martin

DIMANCHE 18 MARS

Ecole de musique de Versoix

SAMEDI 24 MARS

Concert de Gospel avec le groupe Jordan Spiritual Singer

SAMEDI 07 AVRIL

Jazz avec Mr Raymond Graissier

SAMEDI 21 AVRIL

Concert de Mme Hertach

MARDI 1er MAI

Récital de Piano avec Mr Dalberto Riva

SAMEDI 13 MAI

Concert pour la fête des mères

VENDREDI 22 JUIN

Thé dansant avec Mr jean louis Lanchet

Année 2012 1er semestre Page 36

Pour prochain N° : dernier délai pour les textes fin Mai 2012

SOLUTION DES JEUX

Deux , printemps, faubourgs, guinguettes

Bonheur, vingt, épris, dansant

Amoureux, romance, banlieue, peine

Rêve, amoureux, muguet, admirable

MOOTS MANQUANTS PAGE 5

SUDOKU PAGE 34

t o u r t e a u

l a p e r e a u

r a s c a s s e

m a r t i n e t

t a m a n o i r

r a i n e t t e

s a n g l i e r

p o u l a r d e

c a m e l e o n

m a r s o u i n

ANAGRAMME

CHARADES: CADEAU, DECEMBRE, CHALLANDES, SAPIN,GUIRLANDES,NOEL, NOUVELLE ANNEE

tout est dans tout et vice versa

L’homme est à inventer chaque jour

REBUS