LE CANARD DES AINES
LE CANARD DES AINES
LE CANARD DES AINES
LE CANARD DES AINES
Année 2012 1er semestre
IMPRESSUM
PARUTION
2 fois Par an
TIRAGE
100 Exemplaires
REDACTION:
Atelier Journal
tel : 20 91
N° 12
SOMMAIRE
Souvenir mémorable 2
Anagramme 4
Plaisir des mots 5
Mots cachés 6
Charades 7
Courrier des lecteurs 8
Mots Manquants 10
RBS en images 12
Dans nos cœurs 13
Il est un Coin 14
Moment Mémorables 15
RBS en Images
Sourires de Noel 21
Les Recettes de... 22
Courrier des lecteurs 24
Anniversaires 25
Nos Bénévoles 26
Moment de plaisir 32
Bienvenue chez Nous 27
Carnet Rose 33
Sudoku 34
Calendrier des ….
Un sourire, ici, c’est quotidien!
« Nous ne saurons jamais tout le bien qu’un simple sourire peut être capable de faire. » Rien que le fait de lire cette phrase de Mère Teresa et voilà que votre vi-sage affiche cette expression, timide, pensive ou fran-chement rayonnante…
Comment expliquer ce que l’on ressent lorsque nous partageons cette petite et belle expression du cœur. Car c’est bien du cœur qu’il s’agit ici, à la résidence Bon Séjour. Bon nombre de situations me viennent im-médiatement à l’esprit pour illustrer ce mot tout sim-ple mais essentiel : des bonjours bienveillants des per-sonnes croisées (des employées à la lingerie au jardi-nier, de la secrétaire au directeur, des animateurs au personnel médical) à ce duo émouvant surpris, un jour de début octobre, dans le jardin. Un infirmier emmène une pensionnaire, un jour encore ensoleillé, admirer les derniers bougainvilliers, d’un fuchsia lumineux. Lui n’hésite pas à lui en offrir une petite brassée et el-le, touchée, les accepte en affichant une mine radieu-se. Le sourire est double. Lui parce qu’il a offert. Et el-le, parce qu’elle a reçu. C’est si simple… gratuit et tou-jours si beau. Comme le disait encore Antoine St-Exupéry, « un sourire est souvent l’essentiel. On est payé, et récompensé, à la fois. » Que cette année vous soit douce et remplie de ces cadeaux précieux!
Sandra, atelier Au plaisir des mots
EDITORIAL
Conférence du pasteur Henry Babel, du 3 juillet 1978
à Chambéry
Lors de son culte du dimanche 2 juillet à la Fusterie, le pasteur Babel avait formulé le désir d’être accompagné éventuellement par quelques genevois pour son déplace-ment du lendemain à Chambéry. En effet, il avait été invité par les « Amis de Jean-Jacques Rousseau » de cette ville à faire une conférence sur son récent ouvrage sur « Jeau-
Jacques Rousseau et notre temps » primé par l’académie de Dijon. Un coup de téléphone au domicile de M. Babel qui consent à me prendre comme passager, personne d’autre ne s’étant annoncé. Nous partons à 9h30 de la rue P. Fatio à destination de Chambéry, via St Julien et Annecy. A St Julien nous nous arrê-tons dans une petite librairie où un colis de livres avait été déposé à l’intention du pasteur Babel, puis nous reprenons la route en évitant un « bouchon ». Le temps est clément, mais un peu lourd. Nous suivons la route sinueuse où une circulation assez intense ralentit notre allure. Nous évitons Annecy en prenant une route de contournement qui nous conduira directement à l’autoroute. Ainsi nous arrivons à 11h45 env. en face de la gare SNCF de Chambéry où des « Amis de Jean-Jacques Rousseau » sont venus accueillir le conférencier. Ils sont exacts au rendez-vous et sans tarder, ils nous conduisent à 8 km de la ville, dans une charmante maison de campagne, située au milieu de vignobles, à l’o-rée d’une magnifique forêt, avec le Granier comme horizon. Nous somme reçus chaleureusement par une famille très sympathique et nous prenons place au-tour d’une table bien garnie ; un déjeuner succulent nous est servi, arrosé des vins du crû. Je relève, en passant, le nom d’un professeur d’histoire de l’Acadé-mie de Chambéry, M. Galluet et de Melle Armandine d’A-vignon présidente des amis de J.J. Rousseau et membre du Conseil Communal de Chambéry. Pendant 3 heures d’horloge, toutes les discussions sont centrées sur Jean-Jacques, entrecoupées d’histoires humoristiques de M. H. Babel. Des heures captivantes, croyez-moi ! Il est 16h00 déjà et M. Babel exprime le désir de faire une visite au Charmettes. Ainsi, tous les messieurs ainsi que Melle d’A-vignon prennent place dans deux voitures.
Année 2012 1er semestre Page 2
SOUVENIR MEMORABLE
Année 2012 1er semestre Page 3
¼ h de trajet jusqu’aux Charmettes. Quel ravissant coin de pays ! Et combien nous comprenons l’enthousiasme de J.J. Rousseau qui y passa les plus belles an-nées de sa jeunesse. Le guide de la Mai-son des Charmettes ou plutôt un rem-plaçant à la langue bien pendue nous décrit avec force détails les rapports de Jean-Jacques avec Mme de Warens. Beaucoup d’imagination sans doute de la part de celui qui nous guide dans les diverses pièces, malheureusement pas très bien entretenues. Nous apprenons qu’il est difficiles d’obtenir les crédits nécessaires pour la restauration intérieure de ce bel édifice. M. Babel saisit l’oc-casion pour filmer l’intérieur de cette célèbre maison ainsi que les environs. Le temps passe trop rapidement et nous devons quitter les lieux, l’heure étant pas-sée. Nous nous dirigeons alors sur Chambéry pour découvrir la belle statue de Rousseau, érigée sur un grand socle en pierre taillée en forme d’arbre. Un grand « Rousseau » en bronze marche, pensif, et fait penser aux « Rêveries d’un promeneur solitaire ». Nous nous donnons alors rendez-vous à la place de la Mairie pour 20h30 où le pasteur Babel parlera au Musée de la Salle des Exposi-tions. Nous nous retrouvons tous vers 20h45 où quelques auditeurs, une tren-taine de jeunes gens et jeunes filles écouterons avec une attention soutenue le brillant exposé du pasteur Babel sur son dernier ouvrage. Après la conférence, M. Babel dédicacera une quinzaine de ses livres dont il offre plusieurs exem-plaires à des étudiantes. Il est dommage seulement que les autorités de Cham-béry n’aient pas fait connaître suffisamment cette conférence qui aurait mérité une audience très nombreuse. M. Babel exprima sa grande satisfaction à tous les jeunes qui se sont dérangés. Nous sommes invités vers 22h00 à prendre une collation dans un restaurant voisin où le conférencier fait don d’une quinzaine de ses livres sur Calvin et la force de vivre, écrits récemment. Nous rentrons à Genève en 1 heure par le même itinéraire. La circulation sur les routes est quasi nulle. M. Babel a la grande gentillesse de me reconduire jusqu’à mon do-micile à Chambésy et je lui en suis fort reconnaissant. Une journée mémorable dont le souvenir restera gravé dans ma mémoire.
Monsieur Mauley Aux amis présents
« J'engageai Maman à vivre à la campagne. Une maison isolée au penchant d'un vallon fut notre asile, et c'est là que dans l'espace de quatre ou cinq ans j'ai joui d'un siècle de vie et d'un bonheur pur et plein... »
Année 2012 1er semestre Page 4
T A T O U E U R
E P A U L E R A
C A S S E R A S
M E R I T A N T
R A M O N A I T
T A R T I N E E
S I G N A L E R
P A L O U R D E
A M O N C E L E
R O U M A I N S
TROUVEZ LES ANAGRAMMES DES 10 MOTS DE LA GRILLE DU HAUT POUR FORMER DANS LA GRILLE DU BAS LE NOM DE 10 ANIMAUX
(AVEC EN PRIME UNE ANAGRAMME SUPPLÉMENTAIRE DANS LA COLONNE SIGNALÉE)
ANAGRAMMES
Année 2012 1er semestre Page 5
ATELIER PLAISIR DES MOTS
Poèmes collectifs – Atelier des mots, Sandra
Un oiseau
Etre un oiseau, c’est comme…
S’ébrouer dans la poussière
Caracoler en l’air
Planer dans l’atmosphère
Picorer des miettes par terre.
Etre un oiseau, c’est être…
Léger comme une plume
Fragile et tremblant
Heureux d’être libre
Ingénieux bâtisseur de nids.
Etre un oiseau, c’est comme…
Chanter des airs mélodieux
Emigrer vers d’autres lieux
Quémander à qui mieux-mieux
Virevolter dans les cieux.
Etre un oiseau, c’est être…
Fragile,
Craintif, mais habile
Gardant l’équilibre
Même sur un fil !
Année 2012 1er semestre Page 6
MOTS CACHES Compositeurs
C N E A I S S E M M A R A I S
I H V Y L L U L J A R R E T B
N O O F F E N B A C H G C E M
I S N S T R A U S S L H R S O
S S I D T F F R O U A L N A U
S L N Z V A D E C I I W I I S
O E A E O O K K K O D A W N S
R D M L L L R O Z B R G H T O
R N H U A I V A V V E N S S R
O E C O L S L U K I V E R A G
D M A B K Z E B E V T R E E S
R H R I U T V E R A S C G N K
I C U A E M A R U L S Y H S I
G A M O Z A R T A D N D Y A H
O B R U B E C K F I W E I L L
Année 2012 1er semestre Page 7
MOTS CACHES
JARE
LALO
LISZT
LULLY
MARAIS
MENDELSSOHN
MESSIAEN
MOUSSORGSKI
MOZART
OFFENBACH
ORF
RACHMANINOV
RAMEAU
RAVEL
RODRIGO
ROSSINI
SAINTSAENS
STRAUSS
TCHAIKOVSKI
VERDI
VIVALDI
WAGNER
WEILL
AUBER
BACH
BERLIOZ
BOULEZ
BRUBECK
CHOSTAKOVITCH
DVORAK
FAURE
GERSHIN
GLUCK
HAYDN
Mon 1er est la 11e lettre de l’alphabet Mon 2e est derrière le ventre Mon tout est très apprécié dans la fête.
***
Mon 1er se met à l’index en couture Mon 2e n’est pas « avec » Mon 3e est la 2e lettre de l’alphabet Mon 4e est la 2e note sans accent Mon tout est au bout de l’année
***
Mon 1er aime les souris Mon 2e est une région de faible végétation Mon tout est un personnage très attendu des enfants
Mon 1er est un adjectif possessif Mon 2e se rompt à table Mon tout reste vert toute l’année !
***
Mon 1er est un beau parasite Mon 2e se respire Mon 3e est une région parfois couverte de bruyère Mon tout est très décoratif, les jours de fête !
***
Mon 1er est un opéra japonais Mon 2e est la compagne de « lui » Mon tout est la plus belle des nouvelles !
***
Mon 1er est un pronom collectif Mon 2e est un vélo sans « o » Mon 3e est un animal têtu Mon 4e est au milieu du visage Mon tout est un éternel recommencement !
CHARADES. (atelier plaisir des mots )
Année 2012 1er semestre Page 8
COURRIER DES LECTEURS
JOURNEE DES FONJALLAZ A ST-GEORGES
Le 8 septembre 2001 on m'a demandé de faire pour ce jour, brièvement un inventaire avec amour, des familles Fonjallaz et consorts réunis sous l'oeil vigilant du major! J'ai nommé bien sûr, DUFOUR Gilbert qui, avec Jacqueline ont organisé cette grande première. du jamais vu, c'est fantasti-que! faire connaissance de tous, cousins, cousines, c'est unique! Sans mentir, si le 26 décembre 1891 Julie Corboz, s'est mariée à Robert FONJALLAZ, homme au corps beau! C'est à eux que nous le de-vons d'être réunis car ils se sont bien occupés de leur doux nid! On m'a confié, depuis deux ans, leur Bible de mariage et leurs enfants figurent sur deux pages. les noms de cette importante progéniture y sont inscrits d'une superbe écriture. pour être véri-dique et ne rien tordre, je vous les donne avec res-
pect et dans l'ordre! Paul né le 18 octobre 1892, Cécile et Alfred le 17 janvier 1894, Emile le 07 janvier 1895, Méry le 09 février 1896, Robert le 30 janvier 1898, Ernest le 23 janvier 1899, Samuel le 28 janvier 1900, Jean le 08 janvier 1901, Victor et Gustave le 14 février 1902, Julie le 30 mars 1904, Madeleine le 04 janvier 1907. Mes amis, quelle famille, quel palmarès! et à l'époque, il n'y avait pas de "Pampers" ! Alors notre chère grand-maman Julie, on ne sait pas comment elle s'en est sortie! Parce qu'en plus des douleurs de l'enfantement, el-le connut plusieurs déchirements. En effet, Ernest, Gustave et leur sœur Julie furent repris prématurément par le Seigneur pour une vie meilleure heureuse-ment. N'empêche qu'il en restait une dizaine à nourrir à habiller, à enseigner, à faire obéir. Sans aucun doute, dans sa grâce, Dieu a richement béni .Ce couple qui en l'église de Corsier-Chardonne s'était uni en ce lendemain de Noël 1891. Car pour un bon départ, cela en était un ! Quelques années passèrent et la di-zaine, Avec les conjoints atteignit naturellement la vingtaine. Presque tous ces couples, connaissant la recette, ne tardèrent pas à acheter des poussettes pour y placer et promener vous et moi en tout cas pendant les premiers mois!
Noces de Diamant à la RBS
Année 2012 1er semestre Page 9
Bien sûr, suite à ces mariages, il fallut se disperser, se perdre de vue et à beau-coup de choses renoncer, car après la guerre 14-18, il fallait bosser dur, dur pour assurer l'habillement, les soins et la nourriture A toute l'équipe que nous
formons aujourd'hui cousins, cousines Fonjallaz et puis j’ajoute les âmes soeurs trouvées en cours de route pour obéir à l'ordre de Dieu coûte que coûte! Biens aimés, encore une chose, si nous sommes là Ce n'est pas seulement parce qu'on descend des Fonjallaz, C'est que nous sommes tous, les heureux bénéficiaires d'une quantité importante de prières de la part de nos aïeux Invoquant sur nous, la protection de Dieu. Les années ont passé, maintenant ce merveilleux rôle tout et tout, reposent sur nos épaules, car, à notre tour, nous sommes devenus parents, grands-parents et arrières et c'est à nous qu'incombe ce ministère. Avec quelle fidélité l'assumons-nous? Cette question, je me la pose avec vous! Pas facile de prier et veiller sur notre progéniture dans les derniers temps que nous prédit les Ecritures où l'ennemi de nos âmes fait tout pour dé-molir ce qu'avec eux, nous avons voulu construire! Mais ne perdons pas coura-ge, cousins, cousines, levons les yeux Vers Jésus assis maintenant à la droite de Dieu . Mais qui va bientôt mettre un terme à nos souffrances, Lorsqu'Il appa-raîtra sur les nuées, quelle merveilleuse espérance! Voilà chers cousins, avant de me taire. J'aimerais redire que l'idée de se réunir a été super! Car je ne peux m'empêcher de penser a chacun des nôtres qui nous ont déjà devancé soit par maladie, accident ou tout simplement par vieillesse pour rejoindre leur Sauveur et goûter aux promesses qu'il réserve à tous ceux qui l'ont reconnu comme tel et qui jouissent maintenant de la vie éternelle. Sachant que c'est peut-être l'un d'entre nous. Qui peut soudainement être appelé à ce divin rendez-vous Biens aimés sommes nous prêts à partir quand Dieu dans sa grâce voudra intervenir? Je vous laisse encore trois paroles de vie Inscrites dans la Bible du couple Ro-bert et Julie Soyez remplis du St-Esprit (Eph.5-18b). Soyez bons les uns envers les autres, compatissants, vous pardonnant réciproquement comme Dieu vous a pardonné enChrist(Eph.4-32). L'herbe sèche, la fleur tombe, mais la Parole de notre Dieu demeure éternellement (Es..40. 8).
Année 2012 1er semestre Page 10
MOTS MANQUANTS
C’est la Romance de Paris (1941)
Ils s’aimaient depuis . . . . .jours à peine Y a parfois du . . . . . . .dans la peine Mais depuis qu’ils étaient . . . . . . . . Leur destin n’était plus malheureux, Ils vivaient avec un rêve étrange
Et ce . . . . était bleu comme les anges Leur amour était un vrai . . . . . . . . . , oui Aussi pur que leurs tendres . . . . . ans
{Refrain:}
C’est la ……. de Paris Au coin des rues, elle fleurit Ça met au coeur des ……..
Un peu de rêve et de ciel bleu Ce doux refrain de nos ……... Parle si gentiment d’amour Que tout le monde en est ….. C’est la romance de Paris
La …….. était leur vrai domaine Ils partaient à la fin de la semaine Dans les bois pour cueillir le …... Ou sur un bateau pour naviguer
Ils buvaient aussi dans les ……….. Du vin blanc qui fait tourner la tête
Et quand ils se donnaient un baiser, oui Tous les couples en …….se disaient
{au Refrain}
C’est ici que s’arrête mon histoire Aurez-vous de la ….. à me croire?
Si j’vous dis qu’il s’aimèrent chaque jour Qu’ils vieillirent avec leur tendre amour
Qu’ils fondèrent une famille ……... Et qu’ils eurent des enfants adorables
Qu’ils moururent gentiment, inconnus, oui En partant comme ils étaient venus
MOTS MANQUANTS
Année 2012 1er semestre Page 11
Année 2012 1er semestre Page 12
RBS EN IMAGES
Air d’opéra Tour du monde musical Mère Royaume et sa marmite
The dansant La vente annuelle Les enfants des écoles
Moment de tendresse Chorale de l’école Allemande Sortie au musée de L’Ariana
La mer les a bercés……. Distribution des cadeaux de noël La Chorale Epsilon
Sortie avec la Protection civile Noel des enfants Fondue sous la Yourte
Mme Brand Edith Mr Clerc Robert
Mme Martin Georgina Mme Guillot Odette
Mme Bohren Yvonne Mme SttrohbachNelly Mme Buholzer Yvonne
Mme Cloux Hélène Mme Cuenin Andrée Mme Varrin Agnes
Mme Pesenti Mathilde Personne ne sait encore si tout ne vit que pour
mourir ou ne meurt que pour renaître. Marguerite Yourcenar
DANS NOS COEURSDANS NOS COEURSDANS NOS COEURSDANS NOS COEURS
Année 2012 1er semestre Page 13
Il EST UN COIN BAINS DE VERSOIX (Anciens)
Les Bains publics de Versoix ont été inaugurés le 18 juin 1899. Le bâtiment a été construit sur les plans d e M.M. Morzier et Weibel, il comprenait des cabines particulières, des cabines générales, douches, péniche de secours, chambre de direction, avec meubles à l'usage des malades. M. César Courvoisier, adjoint, a remis les bains au public, au nom de la société anony-me dont il est président. Les travaux ont duré dix-huit mois, il a fallu trouver 10'000 francs; l'Etat a of-fert 2000 et la commune 500.
Monsieur Degallier, maire, a reçu les bains en insistant sur l'utilité publique de l'établissement; les enfants et les adultes avaient des heures gratuites fixées par le comité; les dames et les fillettes avaient aussi des moments spéciaux à elles réservés. Lors de la journée d'inauguration, un concours de natation avait été organisé; la Fanfare municipale, les gymnastes et le Sauvetage étaient au milieu de la foule nombreuse et des salves nourries accompagnaient les dis-cours.Un repas a été servi à cette occasion au restaurant Garneret. Les autori-tés, le conseil d'administration, les patrons et ouvriers ont tous gaiement fêté Versoix-les-Bains. La Société des bains cessa son activité en 1939. Les comptes-rendus administratifs de 1939 et 1940 nous disent que (...). Les premières an-nées, cette institution a joui d'une certaine vogue. L'Etat l'a favorisée d'une al-location annuelle continuée par la suite par la Commune. Les recettes dimi-nuant et les frais d'entretien allant croissant, cette somme n'a bientôt plus suffi à combler le déficit d'exploitation; une statistique de la fréquentation de l'Eta-blissement des Bains prouve que la Société n'était plus viable et que les efforts du Comité ne rencontraient plus d'échos dans la population. (...). Les Bains du Lac, sur terrain de l'Etat, ont disparu. Les douanes suisses ont obtenu d'y cons-truire un garage pour leur canot automobile. Le bâtiment des bains sera recons-truit sur le chantier de l'avenue Deshusses à destination de hangar pour les cantonniers. La terrasse sera aménagée en promenade et mise à la disposition du public. Ce belvédère remarquable sera apprécié de nombreux amateurs du lac qui viendront s'y reposer les soirs d'été). C'est encore le cas aujourd'hui.
Association Patrimoine Versoisien 2010-2011 - [email protected] Espace Patrimoine, Maison du Charron, rue des Moulins 6, 1290 Versoix
Année 2012 1er semestre Page 14
Année 2012 1er semestre Page 15
Aconcagua 1976
L'Aconcagua, 6974m, un sommet facile par sa voie normale, sans aucune difficulté technique, en fait une ex-périence unique face à l'altitude, qui elle est une difficulté qu'il faut savoir maitriser et qui donne son lot de surprises et de situations difficiles surtout lorsque les conditions na-turelles changent brusquement. Les vents violents d'Est, dans cette hémisphère sud à partir de 3000mts ,présentent
des dangers soudains qu’il faut absolument savoir maitriser et anticiper et c'est la son principal succès. Quant à la face sud, elle présente une succession de ro-ches instables et de glaciers suspendus qui avec ses 2800 m de dénivelée en fait une des plus redoutable paroi au monde. Longue avait été l'approche depuis le départ à 2700 m, (sur la route qui mène au Chili depuis Mendoza), jusqu'au camp de base a 4200 m le long d'une rivière qu'il fallait enjamber plusieurs fois, et une période d'acclimatation avec des montées et nuits passées entre ce camp et une altitude de 5600 ms. Nous formions une expédition de 2 personnes ainsi déterminée par les autorités militaires qui fiscalisaient ainsi toutes les activités dans les alentours de l'Aconcagua (6974 m) à cette époque qui heureusement n'était pas encore ce qu'elle est devenue aujourd'hui, plus de 6500 personnes durant de décembre à février 2011.Les jours de beau temps étant restreints plusieurs expéditions se joignaient ainsi au fil des accointances et objectifs de chacune, C’est ainsi que nous partions 4 pour l'attaque finale à mi février 1976, mon compagnon connaissant un jeune mendocino qui accompagnait un jeune Français solitaire venu faire son expérience avec l'altitude. Ce Français, guide, avait pour nom Marc Batard, plus tard connu pour avoir gravi l' Everest en moins de 24 heures.Ce dernier n'ayant pas le même rythme de montée nous laissa vite tomber à notre sort et c'est à 3 que nous arrivions à notre objectif du jour, un bivouac à 6300 mètres environ. Le len-demain, le jeune mendocino (de 21 ans) ne se sentant pas bien du tout, mon compagnon qui le connaissait bien, decida tout naturellement de le ramener au camp de base. Lorsque nous passions au refuge de Berlin, à (5900 ms), il y avait un Espagnol d' environ 32 ans que son
MOMENTS MEMORABLES
Année 2012 1er semestre Page 16
compagnon d'expédition avait abandonné au camp de base ne se sentant pas bien.qui allait passer la nuit, pour faire le sommet le lendemain. En accord avec mon compa-gnon d' expédition qui redescendait au camp de base, je restais donc à 6000 mè-tres pour tenter le lendemain le sommet. Me voilà parti le lendemain pour faire la montée vers le sommet en compagnie de l'espagnol qui se révéla un gars super en-trainé , car vivant à Mexico city, il s'entrai-nait régulièrement sur les pentes des vol-
cans mexicains avoisinant les 6000 mètres. Avec lui je montais jusqu'à 6800 mètres, mais devant sa rapidité de montée et ne pouvant plus suivre son train, je le laissais monter seul au sommet et redescendais tranquillement au refuge de 6000 mètres sachant que mon collègue d'expédition devait monter à nouveau pour me trouver et faire le sommet ensemble. Je res-tais dans ce petit refuge( 4x2x2mts) les deux journées suivantes et ne le voyant pas arriver, le beau temps se maintenant, je décidais de partir seul tenter le sommet le troisième jour. Etant seul à cette altitude, je préparais mon sac de montagne minutieusement, avec sac de couchage, sac de survie, sur pantalon, jambon cru, fromage, un peu d'eau, du chocolat et du sucre en morceau, piolet, crampon, etc...car on ne sait jamais lorsque l'on est seul, et bien m'en a pris comme on le verra par la suite.
Il me reste à décrire le chemin depuis ce refuge jusqu'au sommet, parcours qui ne présente aucune difficulté technique mais qui se situe à plus de 6000 m, avec une vue extraordinaire sur toutes les montagnes environnantes qui, elles ne dépassent pas cette altitude .Au départ ce n' est qu'une sorte de sentier plus ou moins marqué par les nombreux passages au fil des années sur une sorte de permafrost évitant de amas de roches volcaniques de dimensions et formes variables qui souvent ont provoqué des sortes d'hallucinations dans les récits des nombreux Andinistes qui ont fréquenté ces lieux entre 6000 et 6400 mètres d'altitude, tout ce passage exposé au nord est souvent recouvert de passages de neige accumulée par le vent du sud- est prédominant provenant du pacifique. C'est alors que l'on arrive à un petit refuge (indépendencia) en forme de triangle pour 3-4 personnes avant de changer de cap et se diriger au sud menant à une sorte de mamelon, nommé "paso del viento" (col du vent)
Qui nous permet d’arriver sur la partie haute d'un immense pierrier (" el gran accareo") avec plus de 45 degrés qui s'étend entre 6770 et 5400 m, le plus souvent recouvert de neige souf-flée et extrêmement dure , passage qui se présente plein sud qu'il faut franchir la plupart du temps, des crampons aux pieds avec le vent en pleine face.
Année 2012 1er semestre Page 17
On arrive alors contre une sorte de mur volcanique qui s'élève jusqu'à l'arrête som-mitale et une sorte d'’arrête horizontale surplombant le grand pierrier au dessus du sentier que l'on emprunte depuis le col de vent. Ces deux arrêtes déterminent une sorte d'’entonnoir assez large et sans diffi-culté qui donne accès à la pente qui mène au sommet, quelque 200 mètres de dénive-lé formés de gros blocs de roches volcani-ques, très instables ce pourquoi on ôte gé-néralement les crampons, ceci pour facili-
ter l'ascension finale .Mon compagnon d' origine ne réapparaissant pas depuis plus de 3 jours, le temps se maintenant au grand beau ,je partais donc seul vers le sommet que j'avais approché par deux fois. J'arrivais sans encombre à la pente sommitale, ôtais mes crampons et poursuivais vers le sommet. Cependant la visibilité diminuait et une sorte de nuage com-mençait à envelopper le sommet depuis l'arête séparant le paroi sud du chemin facile de la voie nord (normale) et des flocons de neige commencèrent à tomber de plus en plus serrés. Regardant le chemin parcouru depuis l'endroit ou j'avais ôté les crampons, tout devenait de plus en plus blanc, si bien qu’à 16 heures de l'après-midi étant passée, malgré la proximité du sommet à moins de 100 ms de dénivelé, je décidais le retour afin de ne pas me trouver piégé dans un enfer tout blanc en altitude. Arrivé à la partie supérieure du grand pierrier, et estimant que je pouvais passer de grosses pierres en grosses pierres, je m'abstenait de remet-tre les crampons (les anciens, avec longues lanières ,et bien les fixer prend à cette altitude et avec la fatigue une demi-heure, au minimum).
Je commençais donc la descente recherchant les aspérités du terrain afin de ne pas glisser. Ce qui finalement arriva lorsque je dus pour passer d' une pierre sure à une autre faire un pas sur de la neige très dure ce qui provoqua ma chute sur le derrière et une glissade pieds en avant que je ne pus pas enrayer avec le piolet que je tenais à la main. J'arrivais quelques 10 mètres plus bas sur plusieurs cailloux , pieds en avant et cela me faisait basculer tête en avant jusqu’à d'autres aspérités caillouteuses, tête et mains en avant, ce qui arrêta ma glis-sade heureusement, m' envoyant quelques minutes dans les pommes.
En reprenant mes sens, je constatais une douleur intense en haut de la jambe droite, comme si je m’étais cassé quelque chose, ainsi que je voyais mon pouce gauche pointant vers le coude. Le considérant démis je le pris avec la main droite le tirant en avant de la main, ce qui le fit rentrer dans sa position normale.
Année 2012 1er semestre Page 18
Pensant ne plus pouvoir marcher, je
me mis à appeler au secours, mais la
réalité se rappela bien vite à moi, je
me trouvais à quelques 6500 mètres
d'altitude , le camp de 6000 m, avec
probablement personne dedans et
pas en ligne directe, de gros rochers
et blocs volcaniques me séparant de
lui, et plus de 3000 m de distance
avec le camp de base. Donc pas per-
dre de l'énergie pour rien et essayer
de s'en sortir tant qu'il y a de l'espoir. J’essayais de bouger la jambe droite et m'aperçu qu'il
n'y avait rien de cassé, mais qu'est-ce qui me faisait don si mal?. Bien plus tard je compris
ce qui était arrivé, en constatant la camera de photo (contax de Zeiss Ikon ) toute cabossée.
En fait, dans la glissade à plat ventre sur un amas de pierre,
cette camera avait amorti mon corps, plus particulièrement la hanche gauche et me l'avait
probablement fait sortir de son logement naturel avant que cette dernière ne rentre dans ce-
lui-ci. Ceci fut confirmé quelques dix jours plus tard à l'infirmerie militaire qui me révisait
et évacua presque 200 cm3 de sang au niveau de l’articulation de la hanche.
Je me trouvais donc plusieurs mètres en dessous du sentier heureusement marqué par un
gros bloc volcanique dans cette immensité totalement blanchie par la neige et dans une pé-
nombre peu réjouissante. Il me fallait remonter d'une manière ou d'une autre pour retrouver
le niveau du sentier et c'est à genoux que je le fis bien lentement jusqu'au gros roc, seul
point qui me le signalait , dans cette immensité blanchâtre.
C'est alors que je décidais de passer la nuit, me mis dans la sac de couchage, puis me, m'en-
roulais dans la toile de tente mangeais jambon, fromage et chocolat tout en délaçant et ôtant
mes souliers dans le sac de couchage , histoire de ne pas les laisser geler pendant la nuit et
sombrais dans une torpeur profonde , Me réveillant au petit jour, je me pressais de me re-
mettre en ordre de marche, et une fois debout je ne pouvais marcher normalement le han-
che droite me faisant souffrir horriblement, je ne pouvais que ramener la jambe droite d'ar-
rière à la verticale et péniblement poser le poids du corps dessus. Pour situer la douleur, je
fis le chemin jusqu'au refuge de 6400 m (Indepencia) en 2 heures alors qu'à la montée
j'avais parcouru cette distance en moins de 30 minutes. Arrivé dans ce refuge, le brouillard
Année 2012 1er semestre Page 19
et la neige régnant encore, je me recouchais et somnolais de 09 h 00 jusqu'à 12 h 00 , réveil-
lé alors par une bonne chaleur, car le ciel s'était dégagé et le soleil se mit à briller. Je m'équi-
pais nouvellement et renouvelais la descentes vers le refuge situé à 6000 m.
Arrivé en fin d'après -midi , dans celui-là, je pus me faire à boire soupe, café au lait ,thé, gaz
avec les provisions laissées par tous lors des descente , ceci pouvant être une question de
survie. Le lendemain, alors que je sortais pour ramasser de la neige afin de la faire fondre en
eau, je ne pouvais maintenir les yeux ouverts, En fait lors de ma glissade du jour précédent,
j' avais perdu mes lunettes de soleil et ayant passé quelques six heures au soleil, je consta-
tais que j'étais victime d' une ophtalmie des neiges qui m' empêchait de maintenir les yeux
ouverts. Je rentrais dans le refuge er me confectionnait à l'aide de carton léger provenant de
soupe lyophilisée une sorte de lunette avec en lieu et place de verre une fente extrêmement
fine me permettant de voire ce que je faisais.
C'est avec cet accoutrement, que je pouvais voire à peu près dehors sans avoir mal aux
yeux et qu'il me faudrait rester dans la pénombre du refuge quelques jours avant de descen-
dre au camp de base.
Je passais ainsi 3 jours dans le refuge à dormir et faire fondre de la neige pour toute sorte de
boissons, car il faut en altitude boire énormément, plus de 2 litres par jour et à partir de nei-
ge cela prend beaucoup de temps.
C' est alors qu'arrivèrent en fin de journée un groupe de 4 espagnols, tous heureux de me
trouver là, car au camp de base on me donnait pour disparu sinon mort quelque part sur la
montagne. Parmi ce groupe un entraîneur de football, qui après m'avoir révisé physique-
ment, accepta de continuer vers le sommet le lendemain et de ne pas me descendre immé-
diatement au camp de base. Le jour suivant ils partirent vers le sommet, mais ne purent
monter plus haut que le "col du vent" , ce
dernier s'étant levé en tempête et à leur re-
tour je me joignais à eux pour la descente
au camp de base descente muni d' une paire
de lunette de soleil que ces montagnards
avait en réserve au cas d' un incident.
Tout finissait au mieux et il ne me restait que le retour sur la route , donc 42 km que je fis à dos de mule, ce qui constitue une aventure en soit. Monsieur Eric Frei
Année 2012 1er semestre Page 20
RBS EN IMAGES
Un petit coup de schwyzerörgeli
galopade calèche et tintébin Paella sur la terrasse goûter avec L’EMS st Loup
Aperitif à Port Choiseul "Master Chef" au Coin des gourmand Repas de Noël
Intermedzo musical Gambille de Maître coq
Pas de deux ( thé dansant ) Tango du 31 Décembre
Collation au musée du cheval
Bain de soleil à Nernier En attendant la croute ( Couvaloup)
Ritournelles et orgue de Barbarie
Année 2012 1er semestre Page 22
LES RECETTES DE MAMIE BOTSIE
Entre tradition et tendance
Les Paupiettes à la marjolaine sont une version à la fois tendance et tradition.
Classique: le choix du bœuf pour envelopper la farce et la cuisson en dou- ceur
au vin rouge. Tendance: la farce de légumes, légère et parfumée, ain-
si que la jolie présentation: coupées en biais, les paupiettes ouvrent
leur cœur aux gourmets et dévoilent leur farce appétissante. Bon
appétit!
Les paupiettes font recette
Elles adorent qu'on leur fasse des farces! Les paupiettes et autres oiseaux sans tê-te (en Italie on les appelle involtini) ont de quoi faire battre le cœur des gourmets. Ces apprêts faits d'une mince tranche de veau ou de bœuf, masquée de farce puis enroulée, font recette en toute saison. Parfumées aux herbes fraîches et mijotées lentement dans du vin, les paupiettes sont un régal.
Chaque pays sa paupiette
Quand un touriste allemand étudie la carte
d'un restaurant en Suisse alémanique ou
quand une Allemande achète un livre de
cuisine typiquement suisse, il leur arrive de
froncer les sourcils. Notamment lorsqu'ils
tombent sur des oiseaux sans tête: alors
comme ça, les Suisses mangent des oiseaux?!
Fort heureusement, il n'en est rien car l'oiseau sans tête, en Suisse alémanique,
n'est pas un vrai oiseau, mais un apprêt fait d'une mince escalope farcie, enroulée,
et maintenue en forme par de la ficelle ou des cure-dents. En Autriche, le nom est
le même, en Italie on parle de petits oiseaux uccellini ou d'involtini («petits rou-
leaux»), et en France de paupiettes, quoique le terme d'oiseau sans tête soit aussi
répandu. Quant aux Allemands, ils ont emprunté au français le mot roulade pour
désigner une paupiette, alors que le même mot, en Suisse alémanique, signifie un
biscuit roulé, donc un apprêt sucré.
Année 2012 1er semestre Page 23
Plat principal pour 4 personnes
4 grandes tranches de bœuf très fines (d’env. 150 g chacune) les faire aplatir par le boucher
1 c. a soupe de ketchup
1/2 c. a café de sel
1/4 c. a café de poivre
1/4 c. a café de paprika
1 gousse d’ail, pressée
Farce
1 grande pomme de terre
4 c. a soupe de feuilles de marjolaine,
finement hachées
1/2poivron rouge, en fines lanières
1 échalote, finement hachée
1 c. a soupe de farine
huile d’olive ou autre
1 dl de vin rouge
2 c. a soupe de ketchup
3 brins de marjolaine
1 dl de bouillon de viande
Présentation: couper les paupiettes en biseau et les servir avec un miroir de sauce sur des assiettes préchauffées. Décorer de feuilles de marjolaine. Présenter la sau-ce séparément.
Se marie avec: pates, polenta ou purée de pommes de terre.
bien mélanger le tout, masquer les tranches sur une face
couper en lamelles, poser sur les tranches assaisonnées
repartir dans l’ordre sur les lamelles de pommes de terre, rou-ler, bien fermer avec
Y passer les paupiettes , enlever le surplus de farine
chauffer dans la poêle, rôtir les paupiettes de toute parts et par
Verser, cuire un moment ajouter le tout, et laisser mijoter
a couvert env. 1 h. a petit feu.
Sortir les paupiettes, les garder
en attente au chaud, passer
la sauce dans une casserole et
Année 2012 1er semestre Page 24
COURRIER DES LECTEURS
Samedi 31 décembre,
Jour de fête et invitation dès 16h30 au "tango" à l’EMS de Bon Séjour. Sept couples, tous charmants et sur leurs "31" pour nous faire connaître le vrai tango argentin. Au milieu des dan-ses, un petit entracte avec la visite impromptue d’une dame munie d’une cravate qu’elle voulait absolument mettre sur une personne consentante mais elle n’a pas trouvé grand succès,
hélas. Par contre, nous avons pu apprécier ses talents de clown et de mime qui étaient irrésistibles. Quel plaisir a été pour nos résidantes (ts) pour ce mo-ment si précieux, tant de souvenirs devaient ressurgir dans les mémoires sur ces sons si prenants et envoutants du tango.
Merci à la direction de Bon Séjour de faire partager ces joies à nos ainés conquis par ce spectacle.
Décidément, la direction de l’EMS de Bon Séjour nous gâte particulière-ment ce samedi 14 janvier en nous offrant un magnifique concert avec les choristes d’epsilon sous la direction de Mr Marius Marcu.
Tout d’abord , quelques chants de Noël et un en particulier venant tout droit d’Angleterre , très beau. Nous avons eu droit à l’Ave Maria de Schubert chanté par le directeur, puis deux pièces de Bach interprétées au piano par ce dernier. Ensuite, "Jésus que ma joie demeure" qui rappelle Dinu Lipatti, toujours aussi émouvant. A un certain moment, révélation, deux petits jeunes hommes ( en Smoking, vous permettez!) ont interprété " l’enfant au tambour " avec leur père soliste, ses fils qui battaient le tambour, nous étions vraiment conquis par ce trio si brillant de cette famille musicienne. Puis est venu " chanson pour Elise" de Beethoven, également joué au piano et le chœur des Hébreux de Nabucco de Verdi, interprété par l’ensemble des choristes.
Au final, un moment de pur bonheur avec un extrait de l’oratorio de Camille Saint-Saens " Tolite Hestia".
Voilà un moment de partage où l’on oublie tous ses soucis, ses douleurs, sa tris-tesse, car il reste toujours en nous ce plaisir d’être réunis pour écouter de la vraie musique. Un grand merci à tous les chan-teurs, leur directeur, ses fils qui sont venus partager un mo-ment avec nos ainés qui j’en suis certaine ont eu du plaisir à croire encore aux vraies valeurs de la vie . Myrielle
DOUX TENDRES ET JOYEUX ANNIVERSAIRES
Janvier.
03 GANDER Claudine.
04 TAVEL Renée.
19 BERGDORF Sonia.
22 GRIVEL Emilie.
26 MOTTAS Germaine.
28 FONJALLAZ Denise.
Février
03 LACROIX Suzanne.
06 DOEBLI Jean Charles.
08 DAVID Anne.
13 PERROT Denise.
16 CHAPUIS Muguette.
17 IBANEZ Carmen.
19 MARGOT Rose.
23 FONJALLAZ Roger
27 VOLTENAUER Gertrude
27 VOEGTLIN Rose-Marie
28 DUCHOUD Yvonne
Mars.
03 GIMENO Marie.
08 GRIVEL Rosalina
11 ROSSIER Florence.
11 MOJONNIER Alain.
12 MICHEL Bertha.
15 SEREX GIRARDET Gabrielle.
17 CHEVALAZ Roger.
20 FERNANDES M.-Teresa.
20 HORNUNG Jean-Pierre.
25 SCHURTER Germaine
Année 2012 1er semestre Page 25
Avril.
04 GHEGHIOS Edith.
08 LOEFFEL Jolanda.
15 CLERC Marie Louise
27 GAILLARD Isabelle
27 GOLAZ Jean-Jacques.
MAI.
03 GOLAZ Rosine
10 FOUVY Irma
10 ROCH BOURGEON Jeanne
11 ZULLIG Yvette
12 DUTOIT Paulette
13 BAUD Maurice
18 MORE Odette
22 LEHMANN Pierrette
28 LANDOLT Raymonde
30 BRUNNER Roland
JUIN.
01 BOSSHARD Josiane
04 GISIGER Jeannine
06 KROUG Marcel
11 MARTIN Danielle
22 RÜEGGER Desidera
22 MARGOT Pierre
25 RUMO Thérèse
Année 2012 1er semestre Page 26
NOS BENEVOLES
.
Je suis arrivée par curiosité à la Résidence de
Bon Séjour, il y a deux ans. J’ai été « happée » par Mme An-
ne Marie Bovier lors de ma troisième visite me demandant si
j’étais intéressée pour devenir bénévole. J’ai accepté avec
plaisir ayant été accueillie par mes collègues qui m’ont tout
de suite témoigné confiance et me donnant leur amitié.
Je dois dire que j’ai derrière moi un passé de bénévole étant
pendant huit ans accompagnatrice des voyages allant à Lourdes m’occupant
principalement de la maintenance. Je vais les mardis à l’éveil de la foi donnant
le gouter sirop pain chocolat aux enfants. Je viens chaque mercredis matin à la
Résidence de Bon-Séjour pour un temps de prière et de partage, ceci m’apporte
bien des satisfactions car j’ai le bonheur de rencontrer les résidants qui ont tant
de choses à dire de leur passé si riche, j’espère continuer encore longtemps ce
bénévolat.
Gervaise
Qui suis je ? - - - - - - - -
- - - - - - - - - -
Talon réponse à envoyer au servi-
ce animation de la Résidence de
Bon-Séjour
Avant Juin 2012
Votre nom- - - - - - - - - - - - Votre
Prénom - - - - - - - - - - - - - - - -
Année 2012 1er semestre Page 27
Mme Andrée Burlet
Entrée à la Résidence, Mme Burlet a aujourd’hui 95
ans. « Même avec une mémoire qui s’évapore quelque
peu, je me souviens très bien de ma vie. Très belle et,
j’ose l’avouer, facile. » Entourée très tôt par une fa-
mille aimante, elle grandit à Lausanne, plus exacte-
ment à Pully. Entre un papa, tailleur de vêtements et
une maman dévouée à l’éducation de ses deux filles.
Andrée Burlet est l’aînée. A 19 ans, après le gymnase, elle part faire des séjours
linguistiques, tour à tour en Autriche, à Vienne, et en Angleterre. « J’y ai appris
l’allemand puis l’anglais. Et je dois dire que passer d’une langue à l’autre, à
deux semaines d’intervalle, je dirai qu’elles se sont heurtées, chicanées», nous
confie notre interlocutrice. Elle a pratiqué, mais seulement pour ces loisirs et
pour rentrer en contact avec d’autres personnes, « mais sans plus », finit-elle
par dire. De son enfance, Mme Burlet se souvient de voyages extraordinaires
avec ses parents et sa sœur. « Mon père, au volant de sa Delage d’occasion, nous
a emmené visiter la Suisse, ses vallées, ses cols magnifiques et magiques. Des
vacances inoubliables. Une fois, nous sommes sortis des frontières pour revoir
son pays d’origine, l’Autriche, et retrouver, notamment en Tchécoslovaquie, une
partie de sa famille. Nous sommes revenus par le sud de l’Allemagne. » Jeune
fille, Madame Burlet a aidé son papa dans l’entreprise. « Il avait notamment
besoin d’une secrétaire comptable. » Puis elle rencontre son mari dans un bal,
« il y en avait souvent à l’époque ». Ils se marient et ont eu deux enfants : une
fille et un garçon. C’est presque de façon naturelle que Madame Burlet dit
avoir songé à entrer en résidence. «Tout devenait compliqué dans mon apparte-
ment à Pully. Et puis, j’avais des soucis de santé. Nous avons tout simplement
parlé avec mes enfants de cette possibilité. » Ici, elle aime particulièrement le
jardin « pour s’y promener et y trouver le soleil », prend un peu de temps pour
se plonger dans ses albums de photos et lit les journaux et d’autres magazines
et livres. Bienvenue à elle ! (sj)
BIENVENUE CHEZ NOUS
BIENVENUE CHEZ NOUS
Année 2012 1er semestre Page 28
M. Georges Buchs
Né le 26 octobre 1916 à Romont (Fribourg).
Après une enfance heureuse, ses parents adoptifs
déménagent à Fribourg où il fait son apprentissa-
ge de compositeur-typographe. Sa passion de jeu-
nesse ? « La montagne », dit-il. « Nous partions à pied, avec des amis monta-
gnards, en direction, notamment, du lac noir. Nous dormions dans des cha-
lets à bétail et, le matin, nous grimpions ces montagnes magnifiques. »
Puis, il se marie avec sa femme et de cette union naissent trois enfants : Mi-
chel, Jean (aujourd’hui décédé) et Madeleine. Dès qu’il est devenu père, il
arrête immédiatement de partir gravir les sommets. Ensuite, le couple
s’installe à Versoix, « entre ville et campagne », dans un vaste appartement
à Pont-Céard, et peu après le mariage où Georges reprend une imprimerie.
De sa femme, il ne tarit pas d’éloges. « C’était une très bonne épouse et une
excellente maman. Une couturière hors pair aussi, elle n’achetait pas de vê-
tements pour les enfants, elle les confectionnait ! » Les enfants devenus
grands, cette femme « courageuse » reprend un autre métier : « Elle a été
engagée au Crédit Suisse où elle y est restée jusqu’à sa retraite. »
A la retraite, leur souhait était de repartir à Fribourg. « Après 61 ans de
mariage, ma femme est décédée. » Monsieur Buchs a continué à résider à
Pont-Céard, jusqu’à ce son entrée à la Résidence Bon Séjour le 19 septem-
bre. Depuis, il « repart » dans sa montagne, dans cette nature qu’il affec-
tionne. « Je suis assez seul, mais j’aime ça. Je rêve, je pense, je vagabonde…
Je me revois, et je m’imagine, à ski ou à peaux de phoque partir dans la nei-
ge… Il n’y a que les traces de mes amis et moi. C’est magique ! » Dame na-
ture n’a plus de secrets pour lui : « Vous savez, une fleur ou un arbre, c’est
tellement beau. On restait des heures, une journée entière, à les admi-
rer ! » (sj)
Année 2012 1er semestre Page 29
Mme Rosalina Grivel
Sa fille Nathalie, qui vit à Versoix, raconte l’histoire de
vie de sa maman : Mme Grivel est née, le 8 mars 1950, au
Portugal et la famille – les parents et leurs dix enfants - a
émigré en France (en Saône et Loire). Après avoir perdu son
frère et son père, l’aînée devient, à 16 ans, la cheffe de famil-
le. Elle se marie, en 1971 avec un Suisse, qui travaillait aux CFF. Ils ont eu
deux filles : Nathalie (en 1972) et Véronique (5 ans plus tard). Elle accomplit
des métiers dans plusieurs domaines pour élever ses enfants, autant dans la
restauration que dans un laboratoire médical. Puis, elle partira en 2005 vivre
au Portugal après des vacances plutôt plaisantes. Mais début mars, elle est ra-
patriée par sa fille. Et elle est entrée à la Résidence Bon Séjour le 30 septembre
dernier. Nous souhaitons la bienvenue à cette dame qui aime beaucoup cuisi-
ner, les « choses bien faites », comme le ménage, les fleurs, le jardin et écouter
de la musique. (sj)
BIENVENUE CHEZ NOUS
AUX PETITS MAUX, LES GRANDS REMEDES.
Piqûres de d’insectes
Pour les piqures de moustiques, frottez quelques brins de persil
frais sur les boutons pendant quelques secondes et laissez agir à
l’air libre (au moins 1/2h).
Si vous êtes piqué par un autre moustique et que le persil vous
manque et que vous disposez d’un pied de géranium dans votre jardin, cueillez
une fleur de votre plante et l’écraser délicatement dans vos mains. Appliquez
ensuite la fleur écrasée sur la piqure, ce qui la calmera instanta-
nément.
Pour les piqures de guêpes, prendre un oignon, l’éplucher et le cou-
per en deux. Frottez ensuite sur la piqure pendant quelques minu-
tes (au moins 10 minutes).
BIENVENUE CHEZ NOUS
Année 2012 1er semestre Page 30
Mme Danièle MARTIN
De belles photos mettent en lumière la
famille de Mme Danièle Martin : elle et son
mari, ainsi que ses filles, Laurence et Audrey
et ses quatre petits-enfants : Benjamin, Tim,
Titouan et Manon. Mme Martin est entrée à la
Résidence début septembre, après avoir séjour-
né huit ans aux Jardins du Rhône. Elle est, on
peut le dire, revenue aux « sources », puisqu’elle a résidé trente ans à Versoix et
s’est occupée, durant vingt ans, du Restaurant scolaire de Bon-Séjour.
Née le 1er juin 1941 en terre lausannoise, Madame Martin a quelques passions,
dont le sport. « J’ai fait du basket, beaucoup de gymnastique étant jeune. J’ai
continué avec du tennis, de la natation et du vélo. Heureusement que j’ai fait
autant de sport, cela m’a aidée dans mes problèmes de santé. » Le sport, c’est de
famille. Sa fille, Audrey, court avec son mari et leurs enfants. « Ils font la Cour-
se de l’Escalade et d’autres compétitions aussi. » Titouan, notamment, est pri-
mé dans sa catégorie. Une autre passion l’anime également : la musique, et
plus spécialement le jazz. « Je suis beaucoup allée au Festival de Montreux et à
Nyon, où j’avais un copain qui organisait des concerts. » Ses filles, elles, ont des
goûts différents. « Une aime le classique et l’autre l’opéra », nous confie t-elle,
amusée. Comme elle ne peut lire que difficilement, son souhait serait de pou-
voir avoir « un appareil pour écouter les livres. »
Année 2012 1er semestre Page 31
BIENVENUE CHEZ NOUS
Roselène Dérolus
Originaire de la côte d’Ivoire. Je suis la ca-
dette d’une famille de 4 enfants. Je suis arrive à
Genève voilà 14 ans. Pays où je suis devenue l’heu-
reuse maman de deux magnifiques rayons de soleil
qui ensoleille mes journées en ces mois d’hivers.
Petit clin d’œil à mon beau pays ensoleillé. J’aime
par dessus tout partager le plus temps avec mes enfants après mon travail qui
me donne beaucoup de satisfaction tant par la diversité que par le côté humain.
Gordana Jovanovic
Infirmière depuis 12 ans, j’ai essentiellement
travaillée en EMS, j’aime le contact avec les per-
sonnes âgées. J’ai 37 ans, trois enfants de 6 ans, 10
ans et 12 ans d’origine Serbe. Je vis à Genève de-
puis 23 ans.
J’aime beaucoup la lecture, et comme je suis pas-
sionné par mon métier je fais des recherches sur internet afin de connaître tous
les nouveaux médicaments. Avec le cadre magnifique qu’offre la RBS, je retrou-
ve ma passion pour mon métier.
REBUS : Citation d’Alphonse Allais
Duo Lyrique à la Résidence
Lundi 7 novembre dernier, les résidents ont eu le
bonheur d’entendre un magnifique duo : le baryton Lucio
Fersurella et la pianiste Yasmine Ambroise Siddiqui.
Quelques minutes après 15h, la voix puissante et chaude
s’élève dans la cafeteria, comme par magie. Il ne manque
que des tentures carmines pour se croire devant une scène
d’opéra. Le duo interprète tour à tour neuf extraits d’airs
célèbres, comme Les Noces de Figaro de W. A. Mozart ou encore le Chant du
Toréador de Carmen de Bizet. Un répertoire tout en rondeurs, mais aussi plus
subtil comme la Nocturne opus 9 de Frédéric Chopin. L’écoute est totale, pres-
que religieuse. Il n’y a que les oiseaux qui entonnent des refrains et semblent
vouloir rivaliser avec ces professionnels. En vain… Chacun écoute avec son
cœur cet ancien choriste du Grand
Théâtre de Genève, engagé dans la
troupe Opérafolies et son accompa-
gnatrice, Yasmine Ambroise-
Siddiqui, directrice de l’école Croq’-
notes et pianiste émérite. L’auditoi-
re était comblé. Merci à ce duo de
nous avoir enchanté un jour gris de
novembre ! (sj)
MOMENT DE PLAISIR
Année 2012 1er semestre Page 32
REBUS : Citation de Jean Paul SARTRE
Année 2012 1er semestre Page 33
10 petits doigts, 10 petits orteils, des yeux
comme des étoiles et un charmant petit nez!
Je m appelle AymeriK
je suis né le le 8 Décembre 2011 je pèse
3.950 kg et mesure 51 centimètres .
Je comble déjà les nuits et les jours de mon
père Vincent votre cuisinier et de ma maman
Karine.
CARNET ROSE
José Cordeiro Miranda
Je suis arrivé en Suisse en 1981, j’ai travaillé dans la restauration pendant 27 ans. Pendant mon temps libre, j’aime voyager avec mes 2 enfants et mon épouse. J’adore prendre mon vélo pour parcourir des ki-lomètres.
J’ai intégré la RBS le 3 octobre 2011, d’ailleurs je re-mercie aussi bien les résidants que mes collègues de
l’accueil qu’ils m’ont fait.
BIENVENUE CHEZ NOUS
Eveline Laurence Kouame Adjoua
Originaire de la côte d’Ivoire. Je suis la cadette d’une fa-mille de 4 enfants. Je suis arrivée à Genève voilà 14 ans. Pays où je suis devenue l’heureuse maman de deux magni-fiques rayons de soleil qui ensoleillent mes journées en ces mois d’hiver. Petit clin d’œil à mon beau pays ensoleillé. J’aime par dessus tout partager le plus de temps avec mes enfants après mon travail, qui me donne beaucoup de satisfaction tant par la diversité que par le côté humain.
SUDOKU n°11
Année 2012 1er semestre Page 34
6 3 8 7 5 5 9 7 8 2 6
7 2 4 5 1 9
8 7 3 6
6 5 2 4 8 3 1 7
7 1 9 6 4 8
2 9 1 6 7 3
8 7 5 1
1 6 7 3 4 Les chiffres de 1 à 9 figurent obligatoirement
une seule fois sur chaque ligne, chaque colonne
et chaque carré de 3x3
Année 2012 1er semestre Page 35
CALENDRIER DES MANIFESTATIONS
VENDREDI 06 FEVRIER
Galette des Rois
Musique Mme Barbasini
JEUDI 2 FEVRIER
Fête de la Chandeleur
Musique Mr Perenoud
VENDREDI 17 FEVRIER
Récital Duo violoncelle Avec Mme Vladislava Morales Kisselova et au piano
Nouchine Schopfer
MARDI 21 FEVRIER
Mardi Gras The Dansant Avec mme Liliane Martin
DIMANCHE 18 MARS
Ecole de musique de Versoix
SAMEDI 24 MARS
Concert de Gospel avec le groupe Jordan Spiritual Singer
SAMEDI 07 AVRIL
Jazz avec Mr Raymond Graissier
SAMEDI 21 AVRIL
Concert de Mme Hertach
MARDI 1er MAI
Récital de Piano avec Mr Dalberto Riva
SAMEDI 13 MAI
Concert pour la fête des mères
VENDREDI 22 JUIN
Thé dansant avec Mr jean louis Lanchet
Année 2012 1er semestre Page 36
Pour prochain N° : dernier délai pour les textes fin Mai 2012
SOLUTION DES JEUX
Deux , printemps, faubourgs, guinguettes
Bonheur, vingt, épris, dansant
Amoureux, romance, banlieue, peine
Rêve, amoureux, muguet, admirable
MOOTS MANQUANTS PAGE 5
SUDOKU PAGE 34
t o u r t e a u
l a p e r e a u
r a s c a s s e
m a r t i n e t
t a m a n o i r
r a i n e t t e
s a n g l i e r
p o u l a r d e
c a m e l e o n
m a r s o u i n
ANAGRAMME
CHARADES: CADEAU, DECEMBRE, CHALLANDES, SAPIN,GUIRLANDES,NOEL, NOUVELLE ANNEE
tout est dans tout et vice versa
L’homme est à inventer chaque jour
REBUS
Top Related