Magville mars 2013

N°29 le magazine gratuit du citadin curieux

Bourg-en-Bresse

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Bonne tableLa Rôtisserie de la mer

Fabrice DufourBonne pêche

Opel MOKKAle bon goût

Les conseils bien-êtrede la coach des stars

au PaysBasque

Dans ce numéro

Mars 2013

Echappées belles

01 MAG29 UNE p01 _MEP MAG VILLE 11/03/13 11:58 Page1

p2ecouv Leclerc p2ecouv_MEP MAG VILLE 11/03/13 10:54 Page1

Yes, coach !Vous êtes de plus en plus nombreux à avoir recours à un coach. Un professionnel capable de vous aider à régler vos problèmes de poids, retrouver la confiance en vous, choisir la couleur de la peinture de votre salon, trouver l’âme sœur ou soutenir votre petit dernier dans son travail scolaire. Il n’y a plus un seul domaine qui échappeà cette déferlante du coaching. Il faut dire que les plus grands de ce mondeont largement contribué à développer l’idéequ’un coach est indispensable pour réussirvotre vie privée ou professionnelle.L’ « hyper président » Nicolas Sarkozy n’est bien évidemment pas le premierhomme d’Etat à avoir eu recours aux services d’un coach particulier maisc’est, sans nul doute, celui qui a le plusmédiatisé la fonction. Julie Ferrez, ancienne gymnase dehaut-niveau, originaire d’Hauteville-Lompnes s’est occupée de l’ancien coupleprésidentiel. De retour dans sa région à l’occasion d’un stage, la coach des starsnous livre ses conseils « forme et bien-être ».Sans machine, avec des exercices qui rendent l’effort sympathique, elle assure que sa méthode est un remèdeefficace contre le stress et la morositéambiante. Alors que diriez-vous d’une bonne petite cure de remise en forme, histoire d’aborder au mieux le printemps ? Bonne lecture à tous...

Ghislain Gros

Magville, Voix de l’Ain et Ainterexpo créent l’événementen vous proposant de rencontrer en privé Olivia Ruizavant son concert du 19 avril. Inscrivez-vous sur notr esite ou sur papier libre à l’adresse de Magville afin de par-ticiper au tirage au sort qui donnera à dix d’entre vous l’oc-casion d’approcher l’une des chanteuses fr ançaises les plusen vogue. Côté humour , Roland Magdane fait soncome back à Ambérieu et Anne Roumanoff à L yon.

Eric Bêche, le spécialiste du poisson à Bourg-en-Bresse, nous ouvre les portes de ses cuisines.

Agenda. Olivia Ruiz

Envie de douceur et de soleil, mettez lecap sur le P ays Basque. Plus près de chez

nous, Divonne-les-Bains vous propose reposet quiétude autour de ses thermes , de sonlac et de ses golfs.

Le tout terrain malin, racé et agile du constructeurallemand.

S O M M A I R E

Bonnes tables

Pages 18 & 19

Pages 8 à 16

Pages 20 à 24

ESCAPADES & VOYAGES !

Opel MOKKA à déguster

Traits PORTRAITS Lydie Zannini / Fabrice DufourTélé, radio, la libraire burgienne Lydie Zanniniest incontournable. Tout comme Fabrice Dufour,le patron de la Criée Bressane, fier de son métierde poissonnier.

Pages 26 & 36

Pages 38-39

(Mars 2013 • Ma(g)ville Bourg-en-Bresse (1)

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Le Sir John's is back!Une no uvellequi va réjouirdes générationsde Burgiens quiont f oulé sondancefloor. Le club-disco-thèque d e l'aven ue d es An ciensCombattants a r etrouvé ses lettr es d enoblesse. Rebaptisé le Sir J ohn's, c'est unvéritable revival que proposent, depuis unmois, H ugo d e Sousa, M arie et Thi erryMercey, les nouveaux patrons de la boîte denuit. Aux platines, DJ Graig pour faire revi-vre l'institution.38 av enue des Anciens Combatt ants àBourg-en-Bresse. Entrée gr atuite. Ouv ertles v endredis et samedis . Une soirée àthème chaque week-end.

Sanoé devient EMB 01Même li eu, mêm e m arque, n ouvelleenseigne. En effet, depuis décembre 2012,Sanoé est devenu EMB01. 24 aven ue M aréchal Juin(face Ain terexpo) – 01000BOURG-EN-BRESSETél : 04 74 22 65 46

Ça “piqu’à”Bourg-en-Bresse

QUO

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À l’École d’esthé-tique Dum onceau,les élèves d eseconde en bacca-lauréat pr ofession-nel e xploreront d e n ouvelles f ormes d’ap-prentissage dès septembr e 2013, grâce à lamise en place de tablettes tactiles. Une belleopportunité péd agogique, pour se tenirinformés d es n ouvelles techn ologies appli-quées au domaine de la beauté.

Innovations et nouvellestechnologies

Un Memphis Coffeeet ses “american dinners” sur la zone de la Neuve à Viriat

Le directeur StéphaneRegouby et son épouseKarine entourant unElvis statufié.

Nouveau ven u d ansle cen tre-ville d eBourg-en-Bresse, ce

magasin défend la culture de la rue. Toutela m ode urbain e n ationale et in ternatio-nale est r eprésentée. Cultur e Urbain e leShop est né d ans les têtes d es d euxgérants souhaitan t d onner accès auxBurgiens à un style vestim entaire conn udans d es villes plus importan tes comm eLyon et P aris. Ain si, vous tr ouverez :Casquette Sn apback, En semble joggin g,Sweat, T-shirt et accessoires. Avec anima-tion Dj le samedi après-midi, des horairesd’ouvertures adéqu ats (12h-19h N ONSTOP) d es prix attr actifs toute l’année , des commandes possibles et une présenceactive sur les réseaux sociaux, ce magasinest plein de promesses.

Mardi à samedi12h-19h Non Stop22 rue du Docteur Ébrard Place de la Vizirette01000 Bourg-en-Bresse

Néons, banquettes bleues etrouges pailletées, juke-box, sol àdamier, portes et escaliers inox,cuisine américaine sur fond de rock 'n' roll… le MemphisCoffee est directement inspiré des « dinners »américains.L'inauguration a eulieu lundi 4 mars.Le Memphis Coffeede Viriat est le14e en France àcette enseigne, le premier enRhône-Alpes. Dirigé par StéphaneRegouby assisté de son épouseKarine, il dispose 130 places

assises et emploie une vingtainepersonnes à temps plein.Hamburgers, sandwichs, tex-mex,salades, tartares, hot-dogs, grill,omelettes, milk-shakes, glaces

et pâtisseriesaméricaines… Au total, une

soixantaine deplats et six menus sontprésentés à la carte. De quoi satisfaire tousles goûts et toutes les envies, que l'on

souhaite prendre un repas légerou s'offrir le nec plus ultra desburgers, le "Crazy Memphis", composé de 6 steaks hachés !

le Shop, à la “ Vizirette ”

> Memphis Coffee Centre Commercial La Neuve - Viriat - Tél.: 06 10 30 80

Dans un cad remoderne et ten-dance, le Piqu’enBresse vous proposeun déjeun er à l'ar-doise à partir d e10,50 €, un e f or-mule découverte à18 € ou de visiter la carte , essentiellementcomposée de brochettes, spécialité de l’éta-blissement. Des br ochettes composées d eviande française et de poisson frais accompa-gnées de différentes garnitures du marché.Ouvert le midi du lundi au samedi et le vendredisoir avec une capacité d'accueil de 45 personnes.26 rue des Bons Enfants, Bourg, Réservation au04 74 22 34 85

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3e édition du Grand Marché des AOC-AOP-IGP les samedi 23 etdimanche 24 m ars au P arc Ain terexpo d e Bour g-en-Bresse.Seront présen ts un e cen taine d'e xposants et près d e 150

produits d'excellence issus d e 5 régi ons de France : Rhôn e-Alpes,Bourgogne, Auvergne, Franche-Comté et Corse, et de 3 pays voisins :la Suisse, l'Italie et la Belgique.Au programme durant ces 2 jours , des animations, dégustations-ventes et con cours de cuisine. A n oter : la présen ce d'une quin-zaine de confréries, d'invités prestigieux et de grands chefs.

Le Grand Marché des A OC-AOP-IPG 2013 se déroulera lesamedi 23 mars de 10 h à 21 h puis le dimanche 24 mars de 10 h à 19 h. Prix d’entrée : 2 €. Gratuit pour les moins de12 ans. Toute personne de moins de 16 ans devra être accom-pagnée d’un adulte.


De la mêlée à la meule

Fabien Picard a ouvert le 4 m ars sa fromagerie au 8 d e l’ave-nue Alsace-Lorraine. « Un retour aux sources », pour ce filsd’agriculteur d e lait d e comté, ori ginaire d e Corveissi at.

« Je propose tous les fromages français, bien évidemment du comté,et quelques étrangers (suisses et italiens) mais aussi de l’épiceriefine, des confitures et même de la charcuterie », explique FabienPicard passé notamment par le Cen tre de formation des Sardièreset l’École n ationale d’in dustrie laitièr e d e Poligny et M amirolle. Cet ancien demi de mêlée d u club d e Simandre-sur-Suran espèreque l’ouverture de son magasin participera à la reconquête du com-merce dans le haut de la ville.

Le Fromager, Fabien Picard, 8 avenue Alsace-Lorraine, Bourg-en-Bresse, Tél : 04 27 53 95 02

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Un week-end de gourmandise

Magville et le Grand Marché des AOC vous offrent votre invitation gratuite.

Pour cela, rendez-v ous sur notre site www .magville.frrubrique : « contactez-nous », en précisant dans l’objet“invitation gratuite au Grand Marché AOC” ou en donnantvos coordonnées par téléphone au 04 74 23 80 77.

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❘◗● Texte et photos JP Auray

Très implanté dans le Sud-Ouest de la France,Oliphil, d epuis 5 an s, développe sonattaque sur le terrain du rugbywear, avec en

fond l’image de frères Carbonneau, anciens rugby-men. La marque réalise une percée dans l’Est de laFrance et à Mâcon en parti culier. Moyenne hautde gamm e, Oliphil pr opose polos , ch emises,tee-shirts, pulls, jeans et pan talons, blousonset accessoir es. En plus , elle o ffre aux f ortsgabarits d es tailles jusqu’à 5 XL ! Super…Enfin, Oliphil applique un e charte philoso-phique envir onnementale, soci ale et écon o-mique. Elle donne notamment à ses cli ents dessacs en papier recyclé ou recyclable. Elle expédieses comm andes d ans d es carton s d’emballag ebiodégradable. Elle respecte les règles de l’orga-nisation internationale du travail, comme la luttecontre l’exploitation des enfants ou des femmes.Oliphil - Galerie Mar chande A uchan, Riv e de Saône , Mâcon Nor d - 03.85.59.18.35 - Du lundi au samedi de 9 h à 20 h

Spécialiste du rugbywear

Sylvie Aymard vit depuis plus d e2O ans dans une petite communedu Mâconnais. Grenobloise d’ori-

gine, d eux décenni es à P aris, l’an cienpeintre signe son quatrième roman chezGrasset, C’est une occupation sans finque d’être vivant. Un livre puissant, oùl’auteur grave son style d ans la pi errelittéraire. Avec sa plume incisive, percu-tante, flui de, d’un e gr ande f orce d es-criptive en trois ou quatre mots, chacun

mûri, tr availlé, décortiqué, juste , l’écri-vaine nous raconte l’histoire d’une femmeordinaire. Anna, 40 ans, étranglée le jouroù comm ence sa vi e. Attention, il nes’agit en ri en d’un e œuvr e poli cière.Qu’importe le coupable ! Sylvi e Aymardne le cherche pas. Elle nous plonge dansl’existence en appar ence désinvolte ,mais en réalité d’une grande profondeur,de son hér oïne. On cr oise un e mèr e castratrice et d ominatrice, un pèr e

solitaire, un frère dérangé d’amour pourelle, Lilly, sa seule et éphémère amie…Rythmé, à coups d e flashback et d’e x-traits du journal intime d’Anna, sans lemoindre ven tre m ou, ce très beauroman surprend le lecteur par son fin alétonnant sans mot « Fin ». À lire absolument…« C’est une occupation sans fin que

d’être vivant » - Grasset 177 pages - 14,80 Euros

SYLVIE AYMARD Un roman puissant

Enfin un bar à vins !

Passionné d e viti culture(et d e rugby) d epuistrois décennies, « Tam »

comble un vi de abyssal enouvrant « Le XV À VIN » .Enfin, dans la capitale d e laBourgogne du Sud, un bar àvins ! Un lieu très chaleureuxoù l’on déguste au verr e unpanel impressionnant de fla-cons d e viti culteurs, sélec-

tionnés par ses soins et pro-venant d e toute la Fr anceviticole. Importan t, ce per-sonnage charism atique, findégustateur, au verbe haut etau grand cœur, donne la partbelle à la production locale.Dans un cadre adapté, dès laporte franchie, le bois domine,avec un très beau bar, et uneenvoûtante salle de dégusta-tion. Les Chesterfield, spécia-lement r ehaussés, son t unappel à la dégustation. Instal-lez-vous et laissez vous guiderpar le maître des lieux. Il vous

offrira un voyag e convivi altout en découvertes , avectoujours d es petites ch osessympathiques à gri gnoter.Vous pourr ez mêm e ach eterdes bouteilles au mêm e prixque chez le producteur.

Cerise sur le gâteau, « Tam »propose une cuisine de bistrottout en accor d avec sesvins… À ne pas manquer !

LE XV À VIN2 rue Mathieu - 71 000Mâcon - 03.85.38.12.36 -06.10.52.71.94

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❘◗● Texte Charlotte Vincent


10ansdehip-hop

Le F estival L ’Original fête ses10 ans et ameute la crème duhip-hop à Lyon. Public Enemy,

Keny Arkana, Kery James, Psy4 dela Rime , Disiz, Némir , Scr edConnexion... sont déjà annoncés .Le groupe de danse Pokemon Crewdevrait aussi êtr e de la partie .Enfin, pour fêter dignement sonanniversaire, L ’Original inv estitpour la pr emière fois La Sucrièr e,en plus du Transbordeur. Festival L’Original : du 28 mars au 1er avrilwww.loriginal-festival.com

Avec le sim ulateur de course autom obile I-Way, il est désormais possible de se prendrepour un pilote d e Formule 1 et d e dévaler

les rues à bor d d’un boli de surpuissant. La LyonStreet Race reconstitue les rues de la capitale desGaules. Les plus peureux peuvent se contenter descourses endurance ou rally, réputées plus « douces» que la F1. Mais attention, aux moindres mauvaiscoups de volant, les secousses sont garanties !I-Way : 4 rue Jean Marcuit, Lyon 9e

04 37 50 28 70à partir de 90 €.

Climat, à nos risques et périls : Jusqu’au 30 mars - Archives municipales de Lyon, 1 place des Archives - Lyon 2e - 04 78 92 32 50 Gratuit.

Les Ar chivesmunicipalesde Lyon pr o-

posent une exposi-tion ori ginale, qui

retrace les aléas clim atiques qu’a conn u Lyon,depuis la fin du Moyen Âge. Elle s’appuie sur lesfaits historiques puisés d ans les ar chivespubliques et privées . On appr end ainsi qu’à lafin du Moyen Âge, les Lyonnais furent confron-tés à une terrible vague de chaleur les poussantà migrer pour des raisons climatiques. A contra-rio, le grand hiver glacial de 1608 provoqua uneaffaire de sorcellerie qui défr aya la chr oniquependant plusieurs années.

Découvrir leCLIMATde nos ancêtres

Eboulement de la colline de Fourvière, 13 novembre 1930Lyon, Archives municipales, 15 Ph1-07

Lyon à 320 km/h

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SORTIRVOIRECOUTER

Les amateurs de sensations fortes, de roman noir, et depolar, se retrouveront à Lyon, du 29 mars au 1er avril,au Palais du Commerce. Et pour cette 9e éditi on deQuais du polar, les organisateurs proposent 4 jours defestival. Ils n e se con tenteront pas d’investir

différents lieux de la ville, ils iront poser leurs piles de livres etde BD dans toute la région lyonnaise.

Les conn aisseurs pourr ont r encontrer d es plum es célèbr es,Français, Américains, Allemands, Suédois… et des auteurs venusd’Asie, con tinent que les or ganisateurs on t ch oisi d’e xplorer.Parmi les auteurs que l’on cr oisera dans les allées d u Festival,Harlan Coben, Henning Mankell, Patricia Cornwell, Joël Dicker,Jean-Christophe Gr anger, PD J ames et Donn a Leon. Lesorganisateurs on t égalem ent déci dé d e s’aven turer d ans lascience-fiction et le fantastique aux côtés de Bernard Weber etNorman Spinrad.

Quais du polar, ce sont des conférences sur des thématiques enprésence d’auteurs , d es r encontres avec le publi c. Lesspectateurs pourront assister à des enregistrements d’émissionsde radio. Le Festival s’associe à L’Institut Lumière pour proposerdes projections de films noirs tout le week-end. Deux réalisateursont été conviés, Pascal Thomas et Georges Lautner, pour fêter lecinquantième anniversaire des Tontons Flingueurs.

Au musée des Beaux-Arts, des écrivains feront la conversati onautour d’une œuvre. Les plus curieux participeront à L’enquête,un parcours-suspense sur 2 jours dans les rues de Lyon. D’autressuivront les visites or ganisées avec l’Offi ce d e Tourisme pourdécouvrir les en droits où on t eu li eu d es crim es et aff airescélèbres, ou assisteront aux représentations théâtrales. Quais dupolar n’oublie pas les petits lecteurs. De nombreuses animationsleur son t dédiées , d es ateli ers d e créati on, d’investi gationscientifique, de discussion, des rencontres…

Roman noir et science-fiction à Quais du polar

Bourg-en-Bresse Les contes dits

du bout des doigtsThéatre

Une comédienne et deux lecteur s. Elleraconte des contes dans une langue dessignes particulièr ement imagée . Euxmêlent leur s v oix à cette chorégr aphiedes mains. Sur le texte La sorcière du pla-card aux balais de Pierr e Gripari. Descontes qui tr ansportent le spectateur

dans un univ ers b urlesque à la T exAvery.

Durée 40 mn. Au Petit Théâtre Jean Vilar Mercredi 27 mars à 10 h et 14 h 30,

samedi 30 mars à 10 h et 14 h 30Dès 6 ans. Tél. 04 74 50 40 00.

Lyon au XVIIIe siècleExposition

Architecture, urbanisme, pouvoir et lutte d’in-fluence, économie et dév eloppement, com-merce, réseaux eur opéens, L yon et lesLumières, l’exposition proposée par le muséeGadagne est composée d’un parcours en 4 par-ties. 2e ville du royaume au XVIIIe siècle, Lyona connu à cette période des év olutionsmajeures. L ’Hôtel-Dieu, le nouv eau quartierdes Br otteaux, le pont Mor and… f ont par

exemple partie des gr ands projets lancés àcette époque.

Lyon au XVIIIe, un siècle surprenant ! Au musée Gadagne, 1 place du Petit Collège,

Lyon 5e. 7 €/gratuit - 26 ans. Tél. 04 78 42 03 61.

www.gadagne.musees.lyon.fr

Les plantes et leurs secretsExposition

Redécouvrez, à tr avers cette e xposition tem-poraire réalisée en partenariat av ec les P arcsnaturels régionaux du Massif des Bauges et dela Chartr euse et l’association Jar dins dumonde, les savoir-faire attachés aux plantes :usages médicinaux et vétérinair es, alimen-taires et religieux, pratiques et symboliques… Dis-moi, que faisais-tu, que fais-tu, que ferais-tuavec des plantes ? Du 20 mar s au 1er juin. À la Maison des Parcs et de la Montagne,Quartier Curial, 256 rue de la République,Chambéry. Tél. 04 79 60 04 46.

Michel BoujenahHumour

Enfin libre !, dernier spectacle de MichelBoujenah, dans lequel l’artiste r evisite,après 30 ans de carrière seul en scène, sonunivers et les personnages qu’il a créés etaborde à la f ois des thèmes intimes ,sociaux ou politiques . Drôle, léger, intelli-gent. Enfin libre ! Vendredi 22 mars, à 20 h 30, à l’Allegro. 30/28/14 €. Tél. 04 78 55 80 [email protected]

Lyon

Chambéry Miribel


Les plus curieux participeront à L’enquête, un parcours-suspense sur2 jours dans les rues de Lyon.

❘◗● Caroline Guérin

Les organisateurs.

[email protected]

Et encore...

Quais du polardu 29 mars au 1er avril, à Lyon. Le Palais du Commerce - 20 place de la Bourse - Vendredi 30 mars, de 12h à 19h - Samedi 31 mars, de 10h à 21h - Dimanche 1er avril, de 10h à 19h

Le Grand Salon de l’Hôtel de ville accueille des conférences et tables-rondes.

Sur la Place des Terreaux, c’est le point de départ de l’Enquêtedans la ville, samedi 31 mars, de 9h à 16hEntrée gratuite. www.quaisdupolar.com

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Janvier 1895, dans leMissouri. Une famille est àtable, tranquille. Dehors, ungroupe d’hommes armés s’ap-prête à donner l’assaut. Cesont les hommes de l’agencePinkerton, la famille est cellede Franck et Jessie James, les« Robin des bois de l’Ouest ».Malheureusement pour lesPinkerton, leurs informations sont fausses, les frèresJames ne sont pas là. L’assaut aura lieu, la maisonincendiée et un enfant de 9 ans va y perdre la vie.Petite péripétie pour les Pinkerton, la traque reprend… Les frères James n’étaient pas des anges,mais un « jus-ticier » ne saurait être au-dessus de la loi ! L’agencePinkerton est restée dans les mémoires comme uneagence de police privée particulièrement efficace. Si,sur ce point, elle donnait toute satisfaction à sesclients, on ne peut pas dire pour autant qu’elle recru-tait des enfants de chœur et les méthodes utiliséesn’étaient guère conformes à l’éthique d’une véritablejustice. Verser le sang et semer les cadavres au nom dela justice était la façon d’agir des Pinkerton ; ilsn’éprouvaient pas plus de pitié que les criminels (vraisou supposés) qu’ils traquaient. L’album présentel’agence sans concession et décrit ses dirigeants sousun éclairage cru, bien loin des images d’Épinal forgéespar la légende. Le grand intérêt de cette nouvelle sérieest bien de remettre les pendules à l’heure, merci auxauteurs de s’être attelés à ce dépoussiérage salutaire. Pinkerton, Tome 1 : Dossier Jesse James - 1875, RémiGuérin & Sébastien Damour. Éditions Glénat, 48 pages,13,90 €.

• La sélection BD de François Membre •

news BD news BD news BDEn route pour l’aventure Dossier Jesse James - 1875


EXPO

«Un bestiaire qui conduit à s’interroger personnel-lement sur les rapports que l’on entretient soi-même avec les animaux : animaux captifs, ani-

maux en liberté, animaux empaillés, animaux domestiques.Ces démarches artistiques toutes plus singulières les unesque les autres résonnent, dialoguent ou s’opposent et nousdonnent à réfléchir. En cheminant, nous retrouvons toutd’abord, pour les dessins de Gilles Aillaud, artiste peintredécédé en 2005. Scar abée, bison, m anchot, ou gir afe,hyène, hibou et lion… se juxtaposent, se répondent dansune association digne des plus beaux livres d’images dontles dessins sont capturés sur le vif. Éric Pillot, photographe,polytechnicien agrégé de mathématiques a visité de trèsnombreux zoos en Europe et su capturer l’image d’animauxdans l’univers si artificiel de leur captivité. En parallèle, leplasticien et vi déaste suisse Christi an de Gonzenbachraconte dans un très court film, la fable de la conversionentre une poule solitaire et une fouine… nous ne vousraconterons pas la suite, le mieux étant de se laisser sur-

prendre ici parune fin quel’on aur aitpu im agi-ner s’il n es’était agi d’unfilm d’animation.Vous découvri-rez e ncore l adémarche de laphotographe JulietteAgnel et ses clichés surfond noir qui rendent vieet âme à ce que l’on ne pour-rait imaginer n’être autres quedes animaux empaillés . M aisaussi les br onzes de QuentinGarel : éléphant patiné commedu bois ou grand singe au visage expressif. Le bestiaire leplus étonnant est celui du Franc-Comtois, Benoît Huot, quirevêt de parures somptueuses de drôles d’animaux anthro-pomorphes entre objets de chamanisme et vanité. Et enfinFeng Fangyu qui donne vie aux douze hommes animaux duzodiaque chinois, qui influen t l’imaginaire asiatique etaujourd’hui occidental ».

Dialogues de bêtes au Centre culturel Aragon

Exposition à découvrir jusqu’au 6 avrilCentre culturel d’Oyonnax • 88 cours de Verdun, salle Miklos, 3e étage • Entrée libre. Heures d’ouverture : mardi 14 h-19 h. Mercredi 10 à 12 h et de 14 à 18 h ;jeudi, vendredi et samedi de 14 à 18 h, le 1er dimanche du mois de 14 h à 18 h et sur réservation. Renseignements 04 74 81 96 80.

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Le 21 mars (19h)

Beth Hart

« La belle Américaine est de retour ! Née il y a main-tenant quarante ans près de Los Angeles, la petite BETHHART squatte les conservatoires et tâtent plusieurs ins-truments. À la fin des années 90, elle sort les premiersalbums sous son nom, rencontre le succès avec son titre“LA Song” et est choisie pour jouer Janis Joplin dansune comédie musicale. Ensuite, la reconnaissance ne vacesser de grandir, grâce à un DVD Live explosif, enregis-tré à Amsterdam, des collaborations avec Joe Bona-massa et le chevelu Slash ! Après un carton plein auNinkasi l'an dernier, Beth Hart est de retour à Lyon, pourun show blues, rock et soul de haut vol ! »------------

Le T ransbordeur • 3 bd Stalingrad, V illeurbanne • www.transbordeur.fr • Tarif : 29,80 €.

Vendredi 22 mars (20h)

Julien Clerc« Compositeur et chanteur, Julien Clerc cherche tou-jours les mots qui vont faire les chansons, les phraseset les images qu’il va faire s’envoler. Sa quête est abou-tie quand douze textes font sens, quand douze textesdeviennent musique , quand douze te xtes f ont unalbum. Après sa magnifique tournée s ymphonique,Julien Clerc choisit de revenir tout naturellement versson instrument de toujours. C'est donc accompagné dedeux pianos que le chanteur nous fera vibrer dans uneambiance chaleureuse et intimiste ».------------

Bourse du T ravail • 205 place Guic hard • L yon 3e • 04 74 50 40 00 • Tarifs de 42 à 49 €.

ÇA SE PASSE PRÈS DE CHEZ VOUS


Vendredi 22 mars (20h30)

Le soleil brille pour tout lemonde ?Fred Nevchehirlian + Ottilie [B] (1re partie)

« Dans cet inventaire, version rouge colère, MonsieurPrévert, entré au Patrimoine de l’Éducation Nationaleavec ses Paroles et ses jeux infinis avec la langue fran-çaise, sort des préaux des écoles. Il rejoint son clan natifdes insoumis grâce à Nevchehirlian qui, en équilibristeentre slam et rock, s’affirme aujourd’hui comme l’unedes figures émergentes de la chanson militante . »« Dans la voix de Frédéric Nevchehirlian, la langue dePrévert trouve un écho et une modernité insoupçonnés.------------Théâtre de Bourg-en-Bresse • 11 place de la Grenette • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com• Durée 2h (avec 1re partie) • Tarifs de 10 à 24 €.

Dimanche 24 mars (13h)

Rencontre autour des musiques actuelles« La Tannerie et l’Addim de l’Ain s'associent pour propo-ser un moment de rencontres destinées aux acteurs etpublics des musiques actuelles. Que vous soyez musi-cien ou intéressé par la musique, technicien ou inté-ressé par les métiers de la technique, amateur ou pro-fessionnel, cet après-midi est conçu pour favoriser leséchanges entre tous ceux qui f ont le monde de lamusique sur le département, se retrouver autour despratiques de chacun et imaginer des collabor ationsfutures. Cette rencontre se terminera par la découvertede groupes locaux qui jouer ont dans les différ entsespaces de la Tannerie ». ------------

La Tannerie • 123 place de la Vinaigrerie • Bourg-en-Bresse •Tél : 04 74 21 04 55 • www.latannerie.com • Gratuit.

Le 26 mars (19h)

Tété« Né à Dak ar un 25 juillet, TÉTÉgrandit en Fr ance à Saint-Dizier .Bercé dans sa jeunesse par T omWaits, le jazz américain et la popanglaise, ce sont les influencesde sa mère antillaise et la gui-tare qu’il reçoit à ses 16 ans, qui l’em-mènent vers ses premières composi-tions. On y sent déjà les mélo-dies, la mélancolie , l’humour ,

l’amour des lettres et de la poésie , qui caractérisentl’œuvre de Tété. Dix ans, mille concerts et un demi-mil-lion d’albums vendus plus tard, le chanteur guitaristebalade toujours son élégance atypique aux quatre coinsdu monde et multiplie les e xpériences. Tété prépareactuellement son nouvel album, troublant mélange d’ef-ficacité intemporelle et d’élégance brute ».------------

Le T ransbordeur • 3 bd Stalingrad, V illeurbanne • www.transbordeur.fr • Tarif : 27 €.

Le 27 mars (20h)

Tryo

« La scène a toujours été le moteur de Tryo. Leur pre-mier album de chansons, Mamagubida, en 1998, avaitmême été enregistré live. Il y a eu depuis plus de milleconcerts, des spectacles en DVD, et une tournée, com-mencée à la MJC de Fr esnes et terminée à Ber cy endécembre 2009, couronnant un quatrième album, cer-tifié triple platine, aux chansons de venues des nou-veaux classiques comme "Toi et moi" ou "Ce que l'ons'aime". Et maintenant ? Après deux tournées en Amé-rique du Sud, du r epos, des collabor ations, deuxconcerts exclusifs aux Eurockéennes de Belfort et auFestival La Semo en Belgique, le groupe a commencéune nouvelle tournée à l'automne 2012. Et un cin-quième album, qui s'annonce mélodique, mais aux cou-leurs d'une époque toujours plus rugueuse ».------------

Halle T ony Garnier • 20 place Docteurs Charles et Christophe Mérieux • L yon 7e • Tél : 04 72 76 85 85 •www.halle-tony-garnier.com • Tarif : 37 €

Jeudi 28 mars (19h30)

RebetikoComme le blues ou le f ado, mais beaucoup moinsconnu, le Rebetiko grec n’est pas qu’une musique, c'estaussi une histoire, celle d’un million d’Hellènes chassésde Turquie et obligés de s’installer en Grèce, qui n’étaitpas prête à recevoir tant de monde. Ces immigrés selogent dans des quartier s pauvres des villes tellesAthènes, Le Pirée, Thessalonique, Syros... et font faceà un choc psychologique, économique bien sûr, maisaussi culturel. Les « déracinés » se rassemblent alorsautour du Rebetiko, entre narguilé et ouzo, pour chan-ter leurs peines, la misère, la drogue et l'exclusion.

Porté par ses deux instruments fétiches, le bouzoukiet le baglamas, le Rebetiko fut la voix d’un sous-prolétariat urbain pendant les soixante premières

années troublées du XX e siècle en Grèce . D’abordréprouvé, honni, puis durement censuré, il sortit de l’os-tracisme en 1949 et fut alor s comparé à la tr agédiegrecque antique. Devenu de nos jours le chant de touteune nation, véritable institution dans son pays, où il

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MUSIQUE

8-16 AGENDASORTIESMGV29 p 8-16_Mise en page 1 07/03/13 15:50 Page1

Envoyer sur papier libre votre participation au jeu, en précisant vos :Nom, prénom, adresse, téléphone (obligatoire), mail

et envoyer à : Magville “Jeu Olivia Ruiz” 16, rue Lalande 01000 BOURG-EN-BRESSE

----Ou par internet sur notre site www.magville.fr

rubrique “contactez-nous”, en précisant dans “Objet” “Jeu Olivia Ruiz”


est joué partout par dejeunes compagnies, il f aitl’objet d’études nom-breuses, de polémiques, defilms, de « chats » passion-nés sur Internet. Cette soi-rée Rebetiko à la T annerierassemblera des musiciensd'Athènes, de Florina, deGrenade et de Str asbourg.

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La Tannerie • 123 place de la Vinaigrerie • Bourg-en-Bresse •Tél : 04 74 21 04 55 • www.latannerie.com • Ambiance intimiste avec tapis et coussins • T arif unique : 5 € (assiette gourmande incluse).

Du 28 au 31 mars

L'original festival / 10e édition"Le Festival L'Original fête cette année ses 10 ans ! Pourcet anniversaire, le Collectif L'Original vous propose unesélection d'artistes très prometteuse. Les artistes quiont déjà confirmé leur présence sont : Disiz, K eryJames, Pockemon Crew, Keny Arkana, Public Enemy,Psy4 de la rime, 1995, Cody Chesnut, Némir, Medine,Les sages poètes de la rue…------------

Le Festival se déroule sur plusieurs sites : La Sucrière, La Radiant-Bellevue, Le Ninkasi Kao et le T ransbordeur • Collectif L’Original, 69140 Rillieux-la-P ape, tél 09 67 08 46 63 •www.loriginal-festival.com • Tarif : pass 5 concerts : 100 €, de 25 à 35 € par concert.

Le samedi 30 mars (20h)

Patricia Kass"Kaas chante piaf" “Kaas chante Piaf“ est le nouveauprojet initié par Patricia Kaas. 21titres m ythiques de la gr andePiaf, arr angés par Abel K orze-niowski, le nouveau wonder boyde la musique de film hollywoo-dienne, depuis sa nomination auxGolden Globes pour A single Manréalisé par Tom Ford, Abel a éga-lement composé la musique deW.E, réalisé par Madonna. Ce spectacle, qui célèbre les 50 ans de la disparition dePiaf, sera joué sur les plus grandes scènes du mondeentier : Royal Albert Hall de Londres, Carnegie Hall àNew York, Olympia de Paris, Operetta Theatre à Moscou,Sejong Cultural Center à Séoul…Dans une mise en scène inédite, ce show unique se veutavant tout contemporain et urbain. Une installationvidéo dont les lumières seront à contre courant de toutce qui se fait dans la variété actuelle. Des images iné-dites de Piaf, jamais montrées, incroyables, seront leclou de cet événement extraordinaire ».------------

Halle Tony Garnier • 20 place Docteurs Charles et ChristopheMérieux • Lyon 7e • Tél : 04 72 76 85 85 • www.halle-tony-garnier.com • Tarif : de 39 à 69 €

Samedi 30 mars (20h30)

Battle Rock II le retourAvec The Traders, One ThousandDirections, Diego Pallavas, TringlesEn partenariat avec 98dB« Après la belle victoire du rock and roll l’an passé, lepartenariat détonnant « La Truffe et les Oreilles / 98 db» remet le couv ert avec son Battle Rock. Dans uneambiance digne d’un stadium de catch américain, les4 groupes vont s’affronter sans merci pour notre plusgrand plaisir ! Les règles n’ont pas changé, la victoire sejoue à l’applaudimètre et évidemment les « vanneries» en tous genres vont compléter cette belle affiche. Onvous attend nombreux pour un concert rock pas commeles autres qui a convaincu les participants de la précé-dente édition. Et que vive le rock libre ! »------------

La Tannerie • 123 place de la Vinaigrerie • Bourg-en-Bresse •Tél : 04 74 21 04 55• www.latannerie.com • Tarif : de 7 à 12 €.





Le mercredi 3 avril (19h30)

BB Brunes

« À seulement 22 ans, et leur 3e album en poche, cejeune quatuor rock a bel et bien mûri et s’envole versde nouv eaux horizons . C’est accompagné d’ AlanO’Connell, nouvelle recrue de l’écurie de Mark Ronson- qui a collaboré notamment sur les albums de Gossip,Singtank, Plan B, Sir Paul Mc Cartney… - que les BBBRUNES ont choisi d’amorcer leur virage artistique. Sil’univers reste rock et les guitares omniprésentes, le sonest aujourd’hui plus aérien et nous transporte dans ununivers oscillant entre sonorités planantes à la Metro-nomy, synthés à la Gossip et french pop à la Daho ».------------

Le Radiant-Bellevue • 1 rue Jean-Moulin • Caluire-et-Cuire • 04 72 10 22 19 • www.radiant-bellevue.fr • Tarif : 27 €.

Le mercredi 3 avril (20h)

Concert de trompettesquatuorGillesPellegriniLe Rotary de Bour g-en-Bresse, le RotaryBourg Jacobins et leRotary Bourg Rever-mont organisent unconcert de trompettes quatuor avec Gilles Pellegrini auprofit de l’action « Polio Plus ». Un défi pour en finiravec la Polio dans le monde. Ce concert sera organisé enl’église Notre-Dame, où l’accoustique naturelle des lieuxsacrés semble transcender l’émotion que l’on ne peutmanquer de ressentir à l’écoute d’un répertoire spécial,pour trompettes et orgue (Bach, Schubert, Mozart…).La musique se trouve sublimée par la pureté du son desinstruments. Ce concert sera précédé d’une conférence-film Polio par Philippe Dangelser.------------

Église Notre-Dame Bourg-en-Bresse • Tarif : 15 € sur place

Vendredi 5 avril (20h30)

Serge LamaShowman généreux, exubérantet enthousiaste, la voix tendreou lyrique, Serge Lama alternechansons légères et graves. Àécouter sans modération.------------

Le Spot • avenue Pierre Bérégovoy • Mâcon • 03 85 21 30 00• http://www.macon-evenements.com • Tarif unique : 55 €.

Vendredi 5 avril (20h30)

Mélissmell« Entre ritournelle et chansonréaliste, entr e h ymne élec-trique et passion pour lesmots/maux, la musique deMélissmell v ous par courtl’échine tel un frisson de luci-dité. Mélissmell, toute fraîcherecrue dans l’univ ers de lachanson française, a cultivé 25ans durant un don qu’elle par-

tage aujourd’hui sur scène avec générosité. Au-delà d’unverbe qui puise sa source dans les écrits des plus grandspoètes de ces deux derniers siècles, Mélissmell parvientà trouver les mots qui font mouche, ceux qui touchent,ceux qui font sourire. Mélissmell, c’est aussi et surtoutune voix incroyable, redoutable, abyssale et pénétrante.Tantôt écorchée, tantôt enfantine, elle vous parcourtl’échine tel un frisson de lucidité. Quelque part entreritournelle et chanson réaliste, entre hymne électriqueet passion pour les mots/maux, la musique de Méliss-mell s’impose comme une évidence ».------------

Théâtre de Bourg-en-Bresse • 11 place de la Grenette • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com• Chanson • Durée : 1h30 • Tarifs de 10 à 24 €.

Le samedi 13 avril (20h30)

Sexion d’AssautPremière partie : WATI B« Après l'immense succès de L'Apogée qui est disque dediamant avec plus de 700 000 ventes, la Sexion d'As-saut remporte deux NRJ Music A wards le 26 janvier2013 : celui du Groupe/Duo francophone de l'année etcelui de la Chanson francophone de l'année pour AvantQu'Elle Parte. Le groupe, composé exclusivement de Pari-siens, se distingue par une démarche consistant à renoueravec l'esprit originel du hip-hop, très loin du « bling-bling » qui prévaut dans le rap français actuellement. Lestyle old school de Sexion d'Assaut fait de ce groupe unoiseau rare dans le paysage musical français ».

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Le Spot • avenue Pierre Bérégovoy • Mâcon • 03 85 21 3000• http://www.macon-evenements.com • Tarif de 34 à 42 €.

Mardi 16 avril (20h30)

Cœur de Pirate« Avec sa nouvelle tournée, Béatrice Martin fait redécou-vrir son répertoire dans sa plus simple expression : unevoix, un piano. Une première pour l’artiste qui se lancedans un spectacle solo qui ramène aux racines, à la fra-gilité et à la douceur qui sont à l’origine de Cœur depirate ».

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Le Radiant • 1 rue J ean Moulin •Caluire-et-cuire • 04 72 10 22 19 •www.radiant-bellevue.fr • Tarif de 25à 30 €.

Le 18 avril (20h)

Lorie« Révélé au grand publicavec son single « Près deMoi », Lorie va vite deve-nir l’idole des petitesfilles. Après plusieur salbums et concerts, Lorierevient sur scène avec un5e album studio « 2lor enmoi ? » .

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L’Amphithéâtre • 1 quai Charles de Gaulle, Cité Internationale •Lyon 6e • Spectacle pour les enfants • Plein tarif : 40 €.

Le 19 avril (20h30)

Olivia RuizDans son tout nouvel album "Le calme et la tempête",Olivia Ruiz nous offre un opus beaucoup plus sombre et

brut que dans le précédent.Pour la première fois de sacarrière, la chanteuse signel'intégralité des textes et desmusiques de cet album, sur-prenant, mais sans f aussenote.------------

Ainterexpo • Bourg-en-Bresse •04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Tarifs 33 €.

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Du 25 mars au 6 juillet

PRINTEMPS DEPÉROUGE 2013Lundi 25 mars • Bel Canto au Car o de Lyon à20h. Tous vos sens seront en éveil lors de cedîner lyrique.Lundi 15 avril • Chimène Badi Soul and GospelTour à 21h Amphithéâtre Cité internationale deLyon.Lundi 6 mai • Roberto Alagna, little Italy ,Amphithéâtre Cité internationale de Lyon à 21h.Mercredi 5 juin - Julien Clerc au Centre interna-tional de Saint-Vulbas à 21h.Jeudi 6 juin• Nolwenn Leroy au Centre interna-tional de Saint-Vulbas à 21h.Mercredi 3 juillet • Christophe « l’intime tour »au Parc des oiseaux de Villars les Dombes à 21h.Jeudi 4 juillet • Maurane au Parc des oiseaux deVillars les Dombes à 21h.Vendredi 5 juillet • Les orgues de Barback auParcdes oiseaux de Villars les Dombes à 21h.Samedi 6 juillet • Emilie Loizeau au P arc desoiseaux de Villars les Dombes à 21h.

Renseignements et réservation : 0 826 30 24 68 et surwww.festival-perouges.org/


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DU 25 FÉVRIER AU 1ER AVRIL 2013

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Jeudi 21 mars (20h30)

Le Tribun

« Un chef d’œuvre du répertoire du théâtre instrumen-tal pour dénoncer avec distance et humour grinçant lesentreprises démagogiques des chefs d’État. Un orateur, letribun, tour à tour, et simultanément, parrain de la Mafia,politicien véreux et populiste, dictateur fatigué, prononceun discours, évoquant complaisamment les questionsd’État et de politique nationale. Très vite cependant, toutse détraque. Langage et musique dérapent, deviennentinsolites, absurdes… Une musique drôle , savante etpopulaire, s’amuse des marches militaires censées menerau pas des combattants décérébrés. Un texte militant,comique et grotesque, parodie le langage des dictateurspopulistes de tous les pays et de tous les temps. Le Tri-bun, chef d’œuvre du répertoire du théâtre instrumental,dénonce, avec distance et humour grinçant, les entr e-prises démagogiques des chefs d’État ».------------

DÈS 12 ANS Théâtre Mâcon • 1511 avenue Charles de Gaulle • Mâcon • 03 85 22 82 99 • www.theatre-macon.com • Théâtre musical• Durée : 1h30 • Tarif : de 5 à 23 €.

Mercredi 27 (19h) et jeudi 28 mars (20h30)

TACPhilippe Minyana / Laurent Brethome

« Un homme a accu-mulé tellement dansson appartement que leplancher s’eff ondre…et tous les pans de savie ensuite . C’est lerécit d’une chute : celled’un homme différ entdans un monde or di-naire. Une femme ,assise en avant-scène,regarde le public et luisourit. Derrière elle, desmarches montent v ersune grande fenêtre qui

donne à voir un horizon sans per spective. Soudain lafemme se lève, gravit les marches avec frénésie et sejette les bras en croix par la fenêtre. Immédiatementapparaît sur le plateau quelqu’un qui pourrait être MikeBrant… Pourquoi cette femme s’est-elle défenestrée ?Où sommes-nous ? Qui est Tac ?TAC. Un homme, si différent des autres hommes qu’ila accumulé journaux et collections jusqu’à ce qu’on nepuisse plus pénétrer chez lui. Et la logique sociétale

s’est mise en place . Dénonciation. Év acuation. Expulsion. Alors il erre, se met en quête de ses origines,recompose sa famille, ses amis éparpillés, ses souvenirs(cette femme défenestrée…). Il perd pied. Il a quittéla réalité. Il a « chuté ».------------

Théâtre de Bourg-en-Bresse • 11 place de la Grenette • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com• Tarifs de 10 à 24 €.

Mercredi 27 et samedi 30 mars (10h, 14h30)

Les Contes-dits-du-bout-des-doigtsLes Compagnons de Pierre Ménard

« Comme un dessinanimé en dir ect ! Lacomédienne jongleavec une langue dessignes très imagéependant que ses deuxcompères donnent voixà tous les personnages.Sur scène, un peu enretrait, deux lecteur sderrière des pupitres ;au centre, une comé-

dienne qui s’exprime dans cette langue corpor elle «étrangère » et fascinante qu’est la langue des signes. Enparfaite synchronisation, leurs voix, ses mains et soncorps racontent l’histoire d’une maison hantée par laméchante sorcière du placard aux balais… ».------------

À PARTIR DE 6 ANS Petit Théâtre Jean Vilar • rue des Remparts • Bourg-en-Bresse •04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Contes en voix etlangue des signes • Durée 40 minutes • Plein tarif : de 5 à 9 €.

Le samedi 30 mars (20h30)

N°9 DEBIGARD« Bigar d se livr eune f ois de plusdans un numér otrès personnel où ilnous parle de sesanecdotes les pluscroustillantes… Unnouveau spectaclesur le thème dutemps qui passe :passé, présent, futur, on ne v a pas tous à la mêmevitesse... c'est vertigineusement drôle quand on y pense! Un n°9, qui, comme il le suggère, met en scène unnouveau Bigard. Il est intransigeant et ne laisse rien decôté : la vie, la mort, l’amour, la vieillesse. Des banali-tés de la vie, néanmoins hilarantes lorsque Bigard nousles conte ». ------------

Bourse du T ravail • 205 place Guic hard • L yon 3e •04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Tarifs de 25 à 55 €• Durée 1h

Mardi 2 (14h, 20h30), mercredi 3 avril (19h)

Living !Compagnie Décalée« Il y a de la magie dans cespectacle, du jonglage, desacrobaties, de la musiqueet une grande poésie. Dansleur petit living, tr oishommes laissent passer lesjours avec les mêmes rites,les mêmes gestes . L ’un,sérieux et obstiné, joueinlassablement la mêmemélodie sur son harmo-nium. Le second, le cheveuhirsute, change sans arrêtles choses de place, en grignotant de petits biscuits. Letroisième, le plus désinvolte semble-t-il, change de pos-ture comme de chemise. Mais leur petite ritournellequotidienne est bientôt contaminée par l’absur de,défiant même les lois de la ph ysique : les gouttesdeviennent des balles de cristal, les boulettes depapiers envahissent l’espace et le haut ne se distingueplus du bas ! Living, c’est du théâtre, du cirque, maisaussi de la magie, de la musique et de la jonglerie ; c’estétonnant, drôle et poétique à la fois ».------------

À VOIR EN FAMILLE À PARTIR DE 6 ANSThéâtre de Bourg-en-Bresse • 11 place de la Grenette • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com •Cirque • Durée : 1h05 • Tarifs de 10 à 24 €.

Jeudi 4 avril (20h)

BRONXAvec Francis HUSTERMise en scène : SteveSuissa Adaptation française : Alexia Perimon« Dans le Bronx des années 1960, la Mafia règne sanspartage. Le petit Cologio est submer gé d'admirationpour le chef du gang, Sunny, et par le monde des affran-chis. Son père, Lorenzo, ne sait plus comment calmer lafascination de son fils pour ces malfr ats. Cologio estalors le témoin d'un meurtre perpétué par Sunny, maisne dit rien. Ni à son père, ni à la police. Comment résister à l'attrait de l'argent facile alors quetout le quartier s'y prête ? Seul sur scène, Francis Hus-ter n’interprète pas moins de 18 rôles. Le metteur enscène Steve Suissa a tellement été fasciné par le filmIl était une fois le Bronx, tiré de la pièce de Chazz Pal-minteri, qu’il en a fait une adaptation française. Il s’estentouré d’Alexia Perimony, dont la traduction fidèle destextes renforce l'atmosphère tumultueuse du quartiernew yorkais ».------------

Bourse du T ravail • 205place Guichard • Lyon 3e• 04 74 50 40 00 •www.theatre-bourg.com •Tarifs de 22,50 à 60 € •Durée 1h

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Dimanche 7 avril (17h)

Kromoritmos

« Quatr e artistes zigzaguent av ec malice entr e lemarimba, le vibraphone et la batterie, pour une échap-pée dans le vaste monde des percussions. Quatre musi-ciens, quatre claviers à percussion, quatre batteries etdes dizaines de baguettes… ça donne quoi ?Kromoritmos propose un parcours follement énergique,savant et drôle , de la musique contempor aine auxmusiques traditionnelles. Quatre artistes zigzaguentavec malice entre le marimba, le vibraphone et la bat-terie, pour une échappée en couleur s et en rythmesdans le vaste monde des percussions – un univers peu-plé d’instruments en bois, peaux, ou surfaces chromées,que l’on frappe, caresse, secoue, gratte… Leur pointcommun ? Le tempo souverain et des couleurs qui sur-prennent souvent et émerveillent toujours ».------------

À PARTIR DE 8 ANSThéâtre de Bourg-en-Bresse • 11 place de la Grenette • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com• Chanson • Tarifs de 10 à 24 €.



Du jeudi 4 au dimanche 21 avril (18h, 20h)

12 hommes en colère de Réginald Rose« 12 jurés se retrouvent en salle de délibération pourdécider de la culpabilité d'un gamin quant au meurtrede son père. Si les éléments à charge présentés lors duprocès sont retenus, il sera condamné à la chaise élec-trique. Les jurés doivent se prononcer à l'unanimité...Commence alors un huis-clos passionné ».------------

ACTE2THEATRE • 32 quai Arloing • Lyon 9e • 04 78 83 21 71• www.acte2theatre.fr • Tarifs de 10 à 15 €.

Jeudi 11 et vendredi 12 avril (20h30)

"Anne[Rouge]Manoff"“La maturité va bien à Anne Roumanoff. Dans ce nou-veau spectacle, la pétillante “Dame en Rouge” revientplus mordante que jamais pour croquer à pleines dentsdans l'actualité.Rien n'échappe à son regard acéré : lesobsédés du bio, Facebook, la crise de la dette, les dik-tats alimentaires... Elle sait raconter, mieux que per-sonne, l'égoïsme, la suffisance et la superficialité denotre époque. Pourtant, on ressort de son spectacle lecœur léger, car elle parvient, avec finesse et humanité,à nous faire sourire de tout ce qui nous angoisse ».------------

Bourse du T ravail • 205 place Guic hard • L yon 3e • 04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Tarifs 34,50 €• Durée 1h

Cies ou associations théâtrales,chorales, groupes...

faites-nous part de votre agenda, nous le relaierons

dans le nôtre. Une seule adresse :

[email protected]

Présentez-nous votre spectacle :C’est un spectacle en pleine mutation. J’ai lancé« Attention c’est show ! » en 2010, mais je lui airégulièrement apporté des modifications. Il y auramême à Ambérieu de nombreuses nouveautés enavant-première. La thématique reste la même :c’est le couple. L’homme et la femme sont-ils faitspour vivre ensemble ?Répondez-vous à cette question ?Pas du tout. Je me garderais bien d’y répondre. Je parle de choses vécues dans mon spectacle.Mais ce n’est pas un spectacle sur ma vie. Je parsd’un détail et je tire sur la pelote de laine jusqu’à

arriver à l’absurde et à la bande dessinée. Et noussommes souvent plus près de la BD que de la réa-lité. Je ne donne surtout pas de leçon de morale.Mon nouveau spectacle va s’appeler « Rir e » etc’est vraiment mon credo. Rions, oublions ce quinous entoure, marrons-nous !Vous inspirez-vous de l’actualité pour écrir evotre spectacle ? Je rebondis rarement sur l’actualité, car cela sedémode très rapidement. Je m’en suis aperçu avecl’affaire DSK. Je l’ai enlevé, parce que c’est fini, lesgens sont passés à autre chose. J’ai la prétentiond’écrire des sketchs qui ne se démodent pas trop.L’autre jour, une personne m’a dit : « Je viensd’entendre votre nouveau sketch « le Merdier » ».Mon nouveau sketch… mais ça fait 12 ans qu’il aété écrit ! J’évite également le caractère local.Mais vous allez voir que les spectateurs, hommeset femm es d’ Ambérieu, von t se r econnaître.Quand je parle du couple à Bruxelles ou à Mar-seille, l’homme et la femme sont les mêmes par-tout, partout ! Quand revenez-vous à la télé ou au cinéma ?Je fais actuellement 150 galas par an, donc je n’aipas vraiment de temps à consacrer au tournaged’un film ou d’une série. Je suis obsédé par monécriture. J’ai écrit entièrement mon dernier spec-tacle. M aintenant, qu and je vois que la séri e

« le Tuteur » repasse actuellement sur France 3 ledimanche après-midi, cela doit être au moins ladixième fois avec autant de succès… Peut-êtreque les patrons de télé vont se décider à me pro-poser un rôle aussi intéressant ! Ce que l’on m’aproposé jusqu’à aujourd’hui ne l’était pas. Et puis,si j’ai à choisir entre la scène et l’écran, c’est lascène sans hésitation. Comment tenez-vous le rythme ? Je dois être dans les trois plus gros tourneurs enFrance. L’autre jour, dans un théâtre, il y a un res-ponsable qui est allé voir mon âge (63 ans) surWikipédia, en se demandant comment je faisaispour enchaîner toutes ses dates ? Je suis obligéd’avoir une hygiène de vie. Et puis le travail, celadoit conserver.Quel message pour les spectateurs ?Cela fait 33 ans que je fais rire les gens, je donnetout sur scène. Ils vont voir 2 heures de spectacleoù je peux leur certifier qu’ils vont rire toutes lesdix secondes, d’un vrai rire comme quand on seretrouve en tre copain s. Et si les salles son tpleines en ce moment, c’est parce que les gensont envie de rire. Renseignements : Pavillon du Tourisme - Les ArcadesRue Alexandre Bérard - Ambérieu-en-Bugey Tél : 04 74 38 18 17

Roland Magdane « Attention c’est show ! »à l’Espace 1500 d’Ambérieu le 30 mars

Interview


Que signifie AMEPI ?C’est une A ssociation des M andats E xclusifs desProfessionnels de l’Immobilier. Il s’agit d’une basede données na tionale gérée par une as sociationloi 1901 perme ttant la mise en c ommun desbiens à la v ente, en a yant une lar ge diffusiongrand public . De t els fichiers c ommuns existentaux Etats-Unis depuis une quar antaine d’années,ils r eprésentent aujour d’hui 95% du mar chéanglo-saxon.

Pourquoi v os 6 agenc es on t-elles décidéd’adhérer à cette association ?L’objectif est double :➠ Accélérer la v ente des biens qui sont c onfiés

en exclusivité par les v endeurs à l’une de nos6 agences, dans la mesure où ils sont « travail-lés » par nos 30 c ollaborateurs de terrain. Lesstatistiques démontrent qu’un mandat exclusifconfié à no tre gr oupement es t v endu 7 f oisplus vite qu’un mandat simple.

➠ Proposer aux ac quéreurs une o ffre la plusdiversifiée et exhaustive possible.

Dans les deux cas , nos clients n ’ont qu’un seulinterlocuteur avec une offre démultipliée. Ce ser-vice est entièrement gratuit puisque la cotisationest assumée par nos agences.

Que représente votre groupement ?Aujourd’hui, notre groupement, c’est :

➠ 30 collaborateurs tous les jours sur le terrain,

➠ 210 manda ts e xclusifs, c e chiffr e é tant enconstante augmentation,

➠ 320 ventes enregistrées en 2012 sur le bas-sin de Bour g-en-Bresse : 125 appart ements, 150 maisons, 40 terrains et 5 divers.

Qu’en est-il du marché burgien et environs ?Sur c es 320 v entes, 80 % se sont situées au-dessous de 200.000 €. Seulement 3 transactionsont franchi le seuil des 400.000 €. C’est la réalitédu marché actuel.

Comme beaucoup de villes préfectures en France,Bourg-en-Bresse a c onnu un ne t ralentissementen v olume e t en prix depuis 2008. M ais plut ôtque parler de « baisse » de prix, il est plus exactde parler de « réajustement ». Le marché ne pou-vait pas éternellement connaître une augmenta-tion à deux chiffr es chaque année , c omme audébut des années 2000.

On parle d’un décalage en tre prix a ffiché surle net, souvent virtuel, e t prix de v ente réel.Qu’en est-il ?Il s’agit de vendre au juste prix.Quelques prix a ffichés sur le ne t sont e ffective-ment déconnectés de la r éalité du marché, dansdes proportions allant parfois de 30 à 40 %.

Un autr e a vantage d’un gr oupement d’agencescomme le notre réside, du fait du volume impor-tant de tr ansactions r éalisées, en une visionbeaucoup plus exacte de la réalité du marché. Dece fait, nos clients béné ficient d’une informationpointue e t a visée, c e qui peut leur é viter degrandes désillusions.

Nous constatons en e ffet des négocia tions limi-tées entr e 5 e t 7 % des prix sur nos manda tsexclusifs.

On peut dire qu’un bien proposé à la v ente à unprix de mar ché aboutira à une tr ansaction dansun délai très raisonnable.

Nous avons réuni autour d’une table les r esponsables de c es six agenc es pour découvrir ce qu’est l’AMEPI e t évoquer l’é tat du mar ché immobilier sur Bourg-en-Bresse et ses environs.

PUBL

I-IN

FO

MM000 AMEPI_MEP MAG VILLE 12/03/13 09:33 Page1

Mardi 16 (20h30), mercredi 17 avril (19h)

GyromancesRoland Shön« Roland Shön, colporteur d’images, raconte la longueet étrange histoire de la gyromance (du grec gyro, cer-cle, et de r omance, pièce poétique populair e) qu’onpeut considérer comme la préhistoire de la bande des-sinée et du cinéma. Cet art singulier , disparu de nosrues et de nos scènes, consistait à raconter une histoireen déroulant des images peintes sur un rouleau de toile.À la fois conteur et érudit déjanté, Roland Shön se jouedes mots, des images, des objets, des sons, pour embar-quer le public dans une croisière gyrocambolesque, quicommence au XVe siècle dans le port de Dieppe , pours’achever à l’aube du siècle dernier… On peut dire ce queGyromances n’est pas (seulement): un concert, une piècede théâtre, un spectacle de marionnettes… Il est plus dif-ficile d’en conclure ce qu’est la gyromance. Il faut en fairel’expérience. Et c’en est une, sensuelle et cocasse ! ».------------

À PARTIR DE 8 ANSPetit Théâtre Jean Vilar • rue des Remparts • Bourg-en-Bresse •04 74 50 40 00 • www.theatre-bourg.com • Théâtre de machines à images • Durée : 1h • Plein tarif : 12 € • Réduit : 8 €.



Samedi 13 avril (20h30)

JohnnyTara Théâtre

« Johnny exprime toute la force et la gaieté grinçantede l’écriture de Jack London. Une réflexion sociale, poé-tique et burlesque, sur le droit à l’enfance. "Si tu t’lèvespas Johnny, j’te donne rien à manger !" 1906 en Amé-rique. Johnny est un gamin, il travaille à l’usine. Il estl’ainé de sa f amille, 5 enf ants qui v ont à l’école ets’amusent. Lui courbe l’échine. Un soir, épuisé, il tombemalade. Fièvre, délires de machines… rêves d’enfancecolorés… Il s’éveillera, prêt à changer sa vie ! Dans unemise en scène ciselée, Johnny exprime toute la force etla gaieté grinçante de l’écriture de Jack London. Uneréflexion sociale, poétique et burlesque, sur le droit àl’enfance. »------------

À PARTIR DE 8 ANSSalle des fêtes de la Tranclière • Théâtre de Bourg-en-Bresse •11 place de la Grenette • Bourg-en-Bresse • 04 74 50 40 00• www.theatre-bourg.com • Théâtre noir de marionnettes •Durée : 55 min • Tarifs de 6 à 9 €.

Du 19 au 24 mars (10h30-19h30)

Hubert Gaillard (1912-2003)

Ce peintre lyonnais du XXe siècle, "à contre courant",a recherché tout au long de sa vie la perfection, tout enignorant les honneurs et la notoriété. Influencé toutd’abord par le cubisme des années 50, où son penchantpour l’architecture a pu s’e xprimer par des tableauxstructurés et très per sonnels, des éclair ages auxlumières v ertes et f antastiques le fer ont flirterquelques années avec le surréalisme. Il travaille ensuitele "clair-obscur" dans des "vies silencieuses ", auxthèmes souvent poétiques ou parfois plus engagés. Desrencontres marquantes le feront se joindre aux Peintresde la Réalité et du T rompe-l’œil à Paris et créer ungroupe lyonnais de même tendance. Sa dernière grandeexposition avant sa disparition fut au Musée Fry e àSeattle, dans l’État de W ashington. Cette expositionveut montr er au public qu'Hubert Gaillar d a unedémarche artistique à l'inverse des autres artistes deson époque. Une œuvre vraiment à contre- courant.------------

Exposition-Vente • Hôtel Marron de Meillonnas • Espaced’Art Contemporain • 5 rue Teynière • 01000 Bourg-en-BresseRenseignements : Galerie Art et Évasion • 33(0)6 62 31 17 17 • www.galerie-art-et-evasion.fr

Oscar, célèbre comédie française,se jouer a sur les planches duThéâtre de Bourg en mars. Un bonmoment en per spective au vu del’équipe de passionnés qui lajoue.Claudette Verrieux est un personn age !Elle voue un véritable culte à sa passion :metteur en scèn e, décor atrice, costu-mière… un investissem ent à 100 %,qu’elle exerce en plus de son métier derelaxologue. En 2005, elle décide de créerla compagnie Clavachka, hommage à sesorigines slaves (Ndlr : « Clavachka » signi-fie « Claudette » en russe). Des comédiens passionnés…Elle dirige une petite, mais très talen-tueuse, équipe d e neuf joyeux lur ons :Frédéric, Clémence, Valérie, Jean, Jany,Michel, J oëlle, Philippe et Clau dette.

La visi on très optimiste d e la vi e d e Claudette lui fait toujours se diriger versdes comédies, du théâtre de boulevard oudes vaudevilles. Cette année , c’est lapièce Oscar qui est à l’honneur. C’est undes comédi ens, Frédéri c V enet, qui,depuis toujours, rêve de jouer cette pièce.Claudette a donc voulu lui faire ce petit « cadeau ».Oscar sur les planches !Oscar a été rendu célèbre par le film deLouis de Funès en 1967. Cette f ois-cil’histoire reprend vie, avec l’adaptation dela pièce de C. Manier.Pour faire simple : Oscar, c’est l’histoired’un directeur qui har cèle et persécuteson homme de confiance pour que cedernier épouse sa fille , déjà en ceinte. S’en suit une succession de quiproquos.Cris, pleurs et fou-rire garantis !

« Oscar » Compagnie Clavachka

Oscar se jouera le samedi 23 à 20h30 et le dimanche 24 mars à 15h30 au Théâtre de Bourg-en-Bresse.

Renseignements et réservation : Office de Tourisme 04 74 22 49 40



Tel père, tel fils . Le dicton s’applique bien à la f amille Flor entin. Lu cas, le fils d u Bressan Philippe Florentin, est tombé dans

la marmite de la cuisine. Comme papa...À 23 ans, Lucas Florentin est déjà à la tête d e« Nos bons plats chez vous ». Il propose la livrai-son de plats cuisinés aux entreprises lyonnaises. « L’idée m’est venue pendant mon stage auxÉtats-Unis. Je me suis rendu compte que beau-coup de gens déjeunaient au bureau », expliquece jeune diplômé d’école de commerce. Il étudiele marché et se rend compte que ses concurrentsproposent des plats « chers, souvent froids etdans des packagings en plastique ». Lucas Flo-rentin décide de miser sur du haut de gamme.

Les bons petits platsdu Bressan Lucas Florentin

pour

les p

apille

s

Grands chefs Il s’entoure de grands chefs lyonnais pour imagi-ner des recettes simples, bonnes et accessibles.Mathieu Viannay, Joseph Viola, Frédéric Berthodet Christophe Marguin répondent à l’appel. Côtépackaging, il imagine des bocaux en verre afinde garantir un plat chaud à la livraison et livreavec des couverts Guy Degrenne. Enfin, il inves-tit dans une grande cuisine de 500 m2 près deVillefranche-sur-Saône, où son équipe cuisine lesplats la veille pour le lendemain.

Ses clients sont des grandes entreprises commeVéolia, Rh odia, Ern st & Y oung, la Caissed’Épargne... qui commandent des déjeuners pen-dant leurs réunions ou organisent des cocktails.Lucas Florentin voit grand. « Nos bons plats chezvous » devraient investir Paris en janvier 2014.

du lundi au vendredi de 9h à 18hNosbonsplatschezvous 25 rue Guynemer 69002 LyonTéléphone : 04 37 42 68 [email protected]

Lucas Florentin en compagnie de son père Philippe propriétaire de plusieursrestaurants à Paris et Lyon et Bruno Metzlé, associé de Nos bons plats chez vous.

❘◗● Texte : Charlotte Vincent

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A

Nous avons travaillé trois ans ensemble, maisj’avais envie de monter ma propre affaire. Enrestant à Cuisery, cela aurait toujours été le res-taurant de mon père et sa cuisine, pas lamienne ». Entre-temps, il r encontre sonépouse Joscia, qui travaillait à l’époque dansun cabin et d entaire, prête à accompagn erson homme dans l’aventure. Le couple s’em-barque pour Bourg-en-Bresse pour racheterune pizzeri a sur le boulevar d d e Br ou en1996. « Nous avons gardé le four en y instal-lant une rôtissoire », explique Éric Bêche, quipropose alors un plat du jour et des viandes

rouges et blan ches grillées . M ais lamayonnaise ne prend pas vraiment. Éric

Bêche décide alors d e changer de cap,profitant de la ferm eture du restaurantl’Atlantide, rue d e la République , pourproposer son m enu tout poisson. Etchanger le n om d e son r estaurant en« Rôtisserie de la M er » en 1998. « Il y

avait un créneau à prendre. J’aimais déjàbeaucoup le poisson. En regardant mon par-cours, je me suis aperçu que, finalement, c’estque je savais le mieux cuisiner. Nous sommespartis là-dessus. Et d’un seul coup, ça a décollé.Et depuis, nous ne faisons plus que cela ».


Le secret pour réussir un plat à base depoisson ? « C’est la cuisson. Les gens onttendance à faire cuire le poisson de trop.

Cela ne doit pas cuire plus de cinq ou sixminutes. Après, c’est trop cuit, trop sec, celaenlève le moelleux », répond avec assuranceÉric Bêche le patron de la Rôtisserie de la Mer,boulevard de Brou à Bourg-en-Bresse.Le seul restaurant à Bourg à vous pr oposerun menu exclusivement à base d e poisson.« Nous avons quand même une douzaine d’es-cargots ou une entrecôte sous le coude. Maisrien d’autre. Chez moi, les gens viennent pourmanger du poisson », garantit, en souriant,Éric Bêche. Né dans une famille de restau-rateurs à Cuisery (l’H ostellerie Bressane)près de Tournus, l’homme connait assu-rément son métier. « Mes parents nem’ont pas forcé la main. C’est vrai-ment par passion que j’ai souhaitéfaire restaurateur. La pr euve ?Je n’ai pas voulu r eprendrel’affaire familiale. J’ai préféréfaire mes preuves et voler demes propres ailes ». Après saformation à Chalon-sur-Saône,il fait ses classes auprès de grands Chefsétoilés : A ux Rousses, à l’Hôtel d eFrance, à Reims, chez Courville,maître cuisini er d e Fr ance, Ed en Rock àAntibes, Beaune… parcourt le monde pourassurer la promotion culinaire à Singapour,aux États-Unis, en Russie… avant de revenirau pays dix ans plus tard, mais pour mieuxrepartir. « Mon père commençait à fatiguer.

Et de proposer un seul menu à 30 euros, quise décline avec six ou sept entrées, dont unequi change tous les jours, suggestion selonla pêche, puis huit poissons. Mais égalementune carte de cinq desserts faits maison, dontl’un change tous les jours : parfait glacé aucafé, m eringue, île flottan te aux pr alinesroses sur crème anglaise, marquise au choco-lat et tranche d’orange confite, baba au rhumtradition et chantilly. « Je ne fais pas une cui-sine bourgeoise. Je reste sur du grillé, du rôti.J’ai un beurre blanc pour accompagner certainspoissons. Je peux aussi décliner ce beurre blancavec des épices, de la vanille ou diverseschoses, suivant la texture du poisson. J’apportema touche personnelle. En ce moment, je faisun bar rôti à la vanille ».

Son plat préféré ?« Le homard. J’adore le cuisiner et j’en suis

d’ailleurs devenu un spécialiste ». Il proposeun menu « le tout homard bleu de nos côtesbretonnes », qui se décline avec des pinces etdes pattes en tartare de légumes, vinaigrettede crustacés , puis la queue rôti e d ans sacoque, beurre blanc, huile d’olive citronnée etfleur de sel (47 € avec fromage ou dessert).

Éric Bêche et son épouse

Joscia

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Pour les papilles

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Le chocolat du mois

Ganache au réglisse

Disponible à la vente du 15 mars au 12 avrilà la chocolaterie MONET Rue Bichat.

A deguster


De haut en bas : Saumon fumé maison,

pain grillé et beurre saléTartare de saumon

et dorade au single MaltCouscous de homard rôti

au beurre salé et flan de Potiron

Feuilletés aux poires,chantilly, sauce caramel

« Le poisson est cher, confie Éri c Bêch e. Surtout le sauvage et le frais. Je travaille tou-jours selon la pêche et le poisson de mer pourme différencier de mes confrères. Et quand iln’y en a plus, il n’y en a plus », ajoute ÉricBêche. Mieux vaut donc arriver à l’heure pourdéjeuner ou penser à réserver.

Pour la carte des vins C’est vers M adame qu’il f aut se tourn er. À côté d es « classiques » vin s rosés Tavel,Bandol, Château Minuty, Blanc Viré, Clessé,

Astuce : si vous rêvez de déguster un plat spécial, le chefpeut, sur réservation, vous le cuisiner. Dernièrement, unmonsieur qui fêtait ses 80 ans a souhaité manger un plat deson époque à base de homard.

La Rôtisserie de la Mer134, boulevard de Brou - 01000 Bourg-en-Bresse

tél : 04 74 23 20 03

• Menus de 30€ à 52€. Menu Croisière des saveurs : 30€ (35€ avec

fromage et dessert), Menu p’tit mousse (filet de pois-son rôti, légumes, glace, une boisson) 11€.

Menu le Tout homard bleu de nos côtes bretonnes :47€ (et 52€ avec fromage et dessert)

et à la carte.

Éric Bêche aime les cartes qui bougent etcuisine son poisson en f onction d es

disponibilités et d es saison s. En cemoment, il propose un velouté aux moulessafrané, tartare de dorade et de saumon auSingle M alt, millefeuille d e tourteauxcoulis crustacés, gambas rôti es au th ym,banc de sardines grillées, filet de bar à lavanille, Sain t-Jacques rôti e, palour dessautées avec un peu d e th ym et d’ail,saumon fumé maison.

Une carte qui change avec les saisonsL’été, Éri c Bêch e pr opose d es ch oses plusfraîches, comme le carpaccio de tomates avecquenelle de tourteau, des soupes froides, despoissons crus , d es m arinades d e sar dinesfraîches avec h uile d’olive et citr on vert,tartare de thon ou de daurade, d’espadon ouencore de rascasse. À l’automne, il cuisine despoissons avec d es champi gnons, comm e unturbot grillé avec des pieds de mouton. Il faitaussi la vr aie bouillabaisse avec d es vr aisbeaux poissons, découpés devant le client.

• Ouvert du mardi au vendredi le midi et le soir à partir de 19h30,

ouverture jusqu’à 23h le samedi.

Saint-Véran, Chablis , M eursault, San-cerre, San tenay, Cr ozes-l’Hermitage,Joscia Bêche ajoute toujours une sug-gestion, son coup d e cœur . En cemoment, elle pr opose un « ChâteauLausade », Côtes d e Pr ovence blan c.« J’essaye de trouver des produits bons etpas trop chers. Pour certains vins, je tra-vaille en direct avec une amie qui est viti-cultrice pour le Pouilly-Fuissé (VieillesVignes) et le Mâcon, ainsi que pour lechampagne Philipponnat ».

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Aux portes de la Suisse , au pied du Jur a, bor dé par le lac Léman, se tr ouveDivonne et son art de vivr e,

nonchalamment posé entr e rêv e et bien-être...

Ville d'eau au climat apaisant et ressourçant, à500 m d'altitude, Divonne offre un cadre idyl-lique avec un balcon sur le m assif du Mont-Blanc, et juste ce qu'il faut de tranquillité pourvaincre les ten sions accumulées durant l'an-née.

Pour combattre le stress, des escales de remiseen forme sont proposées aux thermes du cen-tre Valvital, qui vont d'une heure à une semainepour de réels bienfaits. Tout évoque le repos etla quiétude. Zen, harmonie et sérénité sont lesmaîtres mots de l'établissement.

Dès l'accueil, il vous est remis un peignoir etune serviette, puis l'on passe aux soins. Munide son bonnet de bain et d e ses sandales, onaccède aux soins “hydro 2”, le soin “h ydro 1”étant réservé aux cures médicales. La partie ins-titut propose des modelages aux huiles essen-tielles et ar omatiques, ain si qu’aux pi erreschaudes.

Dans sa cabine individuelle, un jet doux d'eautiède nous réconcilie avec la vie. On se laissebercer par une atmosphère douce et chaleu-reuse. On profite du jet, puis du bain hydro-massant, On est ailleurs...

L'envie de flâner n'est pas terminée, on se pro-mène dans Divonne : autour d u lac, avec unpetit arrêt le long de l'hippodrome, pour s'ins-truire sur le ch emin d es planètes avec un ereprésentation du système solaire. On se baladeaussi d ans la ville mêm e, et l'on ad mire les

nombreux massifs de fleurs qui l'ornent. Avecun peu plus de temps, et de courage, on par-court les 1167 hectares de la forêt communale.

On se pose un peu plus lon guement pourdécouvrir le r estaurant d e Dominique Roué« Gourmand'in ». Ch ef étoilé, il a passéquelques années de perfectionnement chez lesplus grands (Le Crillon, La Tour d'Argent, JoëlRobuchon, Georges Blanc, Troisgros et PierreGagnaire). Il propose une cuisine raffinée etcomme il se plaît à le dire, « bistronomique ».L'intitulé seul des plats suffit à vous titiller lespapilles... Salade de homard en picolo à l'huiled'aneth, T urbot sau ce pamplem ousse, et sapolenta crém euse. De qu oi su ccomber san scomplexe, Divonne est réservée à la qualité devie et au bien-être.

Esc pades

Pour se rendre à Divonne :Depuis Bourg-en-Bresse : Autoroute A 40, sortiePéage de Viry, puis Saint-Julien-en-Genevois -Douanes Bardonnex – Coppet.Temps approximatif : 1h30

• Sylvie Cheuzeville

Espace bien-être aux thermes du centre Valvital

Restaurant de Dominique Roué « Gourmand'in »

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GolfDivonne compte deux golfs :

Le pr estigieux g olf d u Dom aine d e Divonn e,considéré comme l’un d es plus beaux par coursd’Europe : 18 trous par 72, et in pitch an d putt9 tr ous situé sur le site d e l’hippod rome. Cedernier vi ent d'êtr e rén ové, et o ffre un gr andconfort d e jeu. T ous les dim anches m atins d el'année, une initiation gratuite est proposée.

Pêche dans le lac La pêche est un sport très pr atiqué dans le lactrès poissonneux. De plus en plus d’enf ants etd’adolescents s’adonnent à ce sport, reprenant leflambeau d e leurs aînés . M oyennant quelqueseuros pour la carte de pêche, ce loisir est un réelmoment de détente.

Casino Comme la plupart d es villes thermales, Divonnepossède un Casino, né en 1954 sous l'impulsionde son m aire d e l'époque , M arcel An thonioz.Désireux d'ouvrir sa ville sur la m odernité et lebien-être, il en treprend, n otamment, leschantiers du lac artifi ciel, de l'hippodrome, dugolf et d'autres infrastructures toujours en place.

Eau minérale Reconnue « eau minérale naturelle » par décretdu 31 mai 1994, l'eau de la source Mélodie est,dit-on, ri che en calcium, m agnésium et flu or.Avec un débit de 80m3/h, 480 millions de litrespar an peuven t êtr es pr oduits par le f orage.Seules les eaux d’Évian, Vittel, Contrex et Volvicont un tirage supérieur.

ForestlandParcours acrobatique à 4 niveaux. Activitéludique et sportive , à la f ois accessible et f amiliale, permettant d e se déplacerd'arbre en arbr e par l'in termédiaired'ateliers divers : passerelles, tyroliennes,pont de singe, filet à grimper, lianes deTarzan, pas d e géan t... Grâce à un etechnique d'auto-assur age emprun tée à l'escalad e en m ontagne et à la Via-Ferrata, le parcours est entièrementsécurisé. Différ ents niveaux d edifficulté son t pr oposés : enf ants,juniors, adultes, sportifs.• Ouvert du 1er avril au 31 octobre.Plus d'informations : 06 76 64 20 31

www.forestland.fr

Parc Joy’s club• Parcours de Minigolf : Au bord du lac,entraînez-vous sur un parcours californien 18 trous.• Jeux pour enfants sur 1500 m2 :Mini karts - bateaux tamponneurs - trampolines- Château gonflable.• Location de Rosalies (vélos à 3, 4 ou 5 places)pour faire le tour du lac.• Restaurant - Pizzeria - Bar - Glacier.• Ouverture du 1er avril au 30 octobre tous lesjours de 10h à 23h.Plus d'informations : 04 50 20 14 12Le Joy’s Club communique avec le parcaventure Forestland.

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Envie de douceur et de soleil pour terminerce long hiver et entamer du bon pied lesbeaux jours du printemps ? Mettez le cap

sur le Pays Basque ! Sous l’influen ce du GulfStream, il bénéficie d’un climat tempéré et dedouces températures tout au long de l’année.En mars, avril, il y f ait souvent pas moins de15°, un temps idéal pour découvrir, côté fran-çais, l’Euskal Herria : le Pays Basque… Le nomde cette destination résonne comme une pro-messe d’air vivifiant de l’océan et d’authenticitépuisée dans l’arrière-pays.

Entre France et Espagne, ce pays cultive sa sin-gularité en préservant jalousement sa langue ettout ce qui fait son charme entre Pyrénées etAtlantique. Ri en d’étonn ant à en tendre, unsamedi, jour de marché sur la place de Ciboure,quelques minots dialoguant en basque… tan-dis que leurs mères remplissent leur panier desmeilleurs produits frais du terroir environnant.

Avec ses jolies maisons ripolinées de blanc puret de rouge sang, ses vastes plages de sable finoù s’alignent les transats et les parasols unifor-mément coloré, la Côte Basque a tout du clichépour cartes postales . Et plus en core si vousvenez en juin, en sillonnant les villes et villagesà l’heure de la Saint-Jean, vous ne saurez man-quer des hordes de festayres qui arborent, plusque jamais, les deux couleurs fondamentales du

pays : le r ouge et le n oir. Foulard rubicondautour du cou, béret noir de laine et ceintureen écharpe autour de la taille… C’est sûr, il yaura ici de la fête dans l’air.

St-Jean-de-Luz, joyaux de la côte À Sain t-Jean-de-Luz en parti culier, la fêtedébute pieusement par un office dans l’égliseSaint-Jean-Baptiste, haut lieu du mariage deLouis XIV et de l’infante d’Espagne Marie-Thé-rèse, sous les d orures d’un ri che chœurbaroque… Danses basques, au sortir sur leparvis, avant une ouverture en fanfare sur laplace Louis XIV : pelote basque, toro de fuego,feux d e la St-J ean… P artout, les fêteségayent les petits villages, sur la place cen-trale où s’impose le fronton. L’occasion de voirles pelotaris à l’œuvr e, à m ains nues ouavec la chister a ou lacesta pun ta (gr andechistera), pour un matchspectaculaire.

Saint-Jean-de-Luz es tassurément l’un d e sesjoyaux de la côte. La petiteville touristique a gar déson âme. Les traces de l’his-toire sont ici bien tangibles.Ce petit port de pêche tradi-tionnel conserve encore ses

belles maisons d'armateurs du XVIIe siècle. Lelong de sa magnifique promenade surplombantla plag e, on se pr end à se cr oire à la BelleÉpoque, tant les charmantes maisons à passe-relles, les demeures bourgeoises évoquent l'ar-chitecture fin du XIXe de cette cité balnéaire etson art de vivre côté plage. La cité regorge dejolies boutiques pour « les shoppeuses » et lesamateurs d e pr oduits basques que l’on ditauthentiques, avec le linge basque pour produitemblématique (voir notre encadré).

À la Maison Adam, vous n’aurez pas de surprisesur la provenance de ses produits dits « m ai-son ». Depuis 1660, la Maison cuit les macaronscomme personn e… Royaum e basque d e laconfiserie, de la chocolaterie et de la pâtisserie,

vous reconnaîtrez sa devanture peinte ennoir avec ses chapelets et guirlan desd’énormes piments rouges qui ornent safaçade sur la place Louis XIV . Gâteaubasque et tourons sont à rapporter sansconteste de cette très belle adresse.

Car, s’il est un d omaine où le P aysBasque offre l’un de ses plus délicieuxplaisirs, c’est sa gastronomie. Grâce àses petits ports et ses m arins partisdans tout le Golfe d e Gascogne, lapêche est fraîche, abondante et l’as-siette en témoigne : anchois, crabes,

De gauche à droite : • Le port entre

Ciboure et St-Jean-de-Luz

• Chistera à St-Jean-Pied-de-Port

• Danses basquesdans les rues de

Saint-Jean.

entre terre et mer

Texte et photos • Corinne Garay et OT St-Jean-de-Luz

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dorades et th ons. U npetit conseil entre nous,rendez-vous sous la

halle d es pêch eurs àCiboure. À l’heure du retour

de pêch e, le ban c est acha-landé de merveilles de l’océan. Et aux menusdes restaurants les chipirons (encornets), lamorue à la Biscaye , ou le ttor o, la soupe,spécialité de Saint-Jean-de-Luz… se mêlentaux produits de la terre et de l’intérieur. Il ya, bi en sûr , l’agn eau et le jambon d eBayonne, et d es fromages forts en g oût :l’Ossau-Iraty, le Roncal et l’Idaizbal et l’in-contournable piment d’Espelette, une insti-tution qui réveille les papilles et d onnetoute sa typicité à la cuisine basque. En pleinterritoire AOP, le piment a son syndicat quiveille à l’appellati on et à la pr omotion duproduit. À quelques dizaines de kilomètres dela côte, n’hésitez pas à faire le voyage à l’in-térieur du pays, jusqu’à Espelette. Dans cepetit village très basque, tout tourne autourde ce piment au subtil équilibre aromatique.Vendu en corde, en poudre, il mêle arômesgrillés et fruités, entre délicatesse et force de

caractère. Le d ernier week-endd’octobre, la Confréri e d uPiment d’Espelette y or ganise,depuis près de 40 ans, la Fêtedu piment. Mais, en toute sai-son, vous pourrez faire le pleinde ce trésor épicé.

Sur la r oute d e l’arrièr e-paysbasque, vous allez découvrirquelques-uns d es plus beauxvillages de France, comme Ain-hoa, une bastide sur les ch e-mins de Saint-Jacques-de-Com-postelle, toute proche du trainde la Rhune, petit train à cré-maillère qui offre le plus beaupanorama sur le Pays et la Côtebasques. Immanquable est aussiSaint-Jean-Pied-de-Port, ni chéau pied du col d e Roncevaux.Dans ses ruelles r omanes, d’in-nombrables m aisons ouvr entleurs portes aux pèlerin s d eCompostelle qui, plus quejamais, font halte i ci avant depasser la frontière espagnole.

Voyages

De gauche à droite : • Détours par le village

basque d’Ainhoa ou baignade à St-Jean-de-Luz

Mincissez intelligemment… et là, vous stabiliserez

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L’esprit du linge basqueLe linge basque est un e tradition séculairequi se perd ; si quelques fabricants se sontlaissés tenter par une production au Maghrebou en Inde, d’autres, comme Lartigue, per-siste à pr oduire en Fr ance d u vr ai lin gebasque. À Ascain, l’entreprise a récemmentimplanté un atelier contemporain de créationet de confection, le tout sur 700 m2, atelierque l’on peut visiter . Philippe Larti gue, ledirecteur et r eprésentant d e la qu atrièmegénération de tisserand a voulu moderniserles collections et in suffler de la créativitédans ce linge de maison, auquel il a donnéun nouveau nom de marque : Lartigue 1910.C’est une juste référence à la création, prèsdu Gave d’Oloron au pied des Pyrénées, decette entreprise de tissage par son ancêtre

Calixte Lartigue. Il a réinstallé à Ascain des machines à tisser et pudévelopper de larges gammes : linge d’office, linge de table, espa-drilles, toiles pour transat… où la rayure basque est totalement revisi-tée dans les coloris de nos intérieurs d’aujourd’hui. Coton, chanvre etlin, Lartigue ne tisse que des matières naturelles et nobles. L’entreprisedétient aussi à Bidos, un plus vaste atelier. Les deux sites possèdentdeux magasins d’ateliers, ouverts toute l’année.

• À Ascain : Zone artisanale de Larre Lore, 64310 Ascain - Tél 05 59 26 81 81

• À Bidos : 2 avenue Georges Messier, 64400 Bidos - Tél 05 59 39 50 11



Voyages

Une thalassothérapie en Pays Basquepour le bien-être

Et si vous profitiez de cette fin d’hiver pour redémarrerla belle saison dans une forme olympique ? Une « petitethalasso » au Pays Basque est revigorante.

Le thermalisme en terre basque a attiré les plus renom-més, d’Edmond Rostand au r oi Edouard VII d’ Angle-terre… au point qu’aujourd’hui, il est un pays de renomde la thalassothér apie. C’est là que Ser ge Blan co aimplanté son centre de thalasso, nouvellement rénovéà Hendaye. Hélianthal est aussi présent à Saint-Jean-de-Luz, avec tout son univers Thalasso et Spa. Desmoments pour soi avec soin d’hydrothérapie, modelagedétente, sauna, hammam…

À Saint-de-Luz également, Loreamar compte parmi lescinq plus beaux spas d'Europe. Le Grand Hôtel Loreamarest posé sur la plage face à l'océan. Soins de thalassothé-rapie, enveloppements dans son Loreamar Thalasso Spa.

Serge Blanco Thalasso et Spa :125 boulevard de la Mer,64700 Hendaye Tél. : 05 59 51 35 35

Hélianthal : place Maurice Ravel - 64500 Saint-Jean-de-Luz. Tél. : 05 59 51 51 51

Loreamar Thalasso spa : Grand Hôtel, 43 boulevardThiers 64500 Saint-Jean-de-Luz Tél. : 05 59 26 35 36

L’autre langue basque : la langue des surfersDe retour sur la Côte, l’offre touristiqueet sportive est si vaste qu’un e esca-pade ne saurait suffire. Biarritz, stationbalnéaire bourgeoise et royale, est aussiun paradis pour les surfeurs… Lorsqueles gros rouleaux se f ont rares, ils sebousculent un peu sur les quelques « grosses » vagues… L’océan, « être vivant »que la ville promeut partout, est aussi valoriséautour de l’un d es plus beaux aqu ariums deFrance décliné autour de deux sites : le Muséede la Mer et la Cité de l’Océan.

À Sain t-Jean-de-Luz, on s’initi e aussi austand’up paddle avec sa planche de surf et sapagaie. Dans la charm ante cité d e Guéthary,coupée en deux par la voie ferrée, on surfe aussidepuis des lustres. Qui sait, sous la conduite desmeilleurs vous deviendrez peut-être un véritablewaves rider et vous jargonnerez l’autre languebasque, celle des surfers, qui « en frontside ontdû pas mal ducker pour atteindre le line up… ».Dans les eaux vivifi antes de l’océan, de nom-breux clubs proposent un petit tour en voile ouen catamaran, pour un baptêm e ou une croi-sière, mais aussi des plongées à la rencontre desraies torpilles ou des congres.

De Bayonne à Hendaye, en passant par Anglet,Bidart et Guéthary, la Côte Basque est une mer-veille… Ne manquez pas la côte sauvage avant

Hendaye, où lesvagues se brisen t àflanc d e f alaisesabruptes. Totalementdédié au tourism e,aux voyag eurs etaux pèlerins, le Pays

Basque est enchanteur. Si c’est le meilleur spotfrançais des surfers, c’est aussi un poin t idéalpour partir plus loin en core. En tr aversant lafrontière espagnole, vous n’êtes qu’à quelquesdizaines de kilomètres de Bilbao, l’ancien portdocker et de son immanquable Musée Guggen-heim, dont l’architecture du bâtiment, signée deFranck Gehry , vaut pr esque à elle seule ledétour. Sur la côté can tabrique, Donostia-SanSébastian, - San Sébastien en français- mérite lavisite. La ville est bien plus qu’une très jolie sta-tion balnéaire… mais aussi une ville très com-merçante et culturellement bourrée de sites àvisiter : musée, églises, funiculaire, aquarium…Un conseil pour débuter la visite, prenez le bustouristique à étage. Il vous fera appréhender lemeilleur de la ville, du front de mer aux deuxrives de l’Urumea.

En prenant la route du Pays Basque, c’est cer-tain, vous ne devriez pas vous ennuyer, à moinsque vous vous n e préfériez paresser le tempsd’une thalasso-cocooning, auquel cas, là encore,l’offre est pléthorique et de qualité.

Comment s’y rendre ? • Vol aller Lyon-Biarritz

à partir de 171 € avec Air France.

• Par la route :Bourg-en-Bresse/Saint-Jean-de-Luz :

via l’A9 et A64 : 9h17 de voyage (L’idéal : faites étape à Toulouse).

909 km. Coût : 65,40 € d’autoroute et 100,98 € de carburant avec un véhicule essence.

On a aiméL’Hôtel Chilhar pour un séjour de charme

Izarbelar, Lilipa, Kotoi, Iratze, Nabar-lore… ne soyez pas surpris,ici chacune des chambres porte un nom basque. Dans cet hôtel decharme, trois étoiles, au matin on ouvre les volets sur la joli ecampagne environnante et ses montagnes verdoyantes. Au cœurd’Espelette, l’hôtel-restaurant offre beaucoup de calme avec sonjardin et ses terrasses en plein air et couvertes, où l’on prend,aux beaux jours, le petit-déjeuner. Côté table, le chef fait ici par-tager son goût pour une gastronomie locale revisitée, autourd’une table goûteuse et forcément pimentée. On est à Espeletteou on ne l’est pas !

Restaurant Chilhar : Xilareneko Karrika 64250 Espelette. Tél. : 05 59 93 90 01.



En matière de perte de volume, les femmes ont souvent essayé

beaucoup de choses… et les résultats ne sont pas toujours

au rendez-vous. Chez Physioligne, on est assuré de perdre jusqu’à 4cm de

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Quel procédé utilisez-vous ?Pour le corps j’utilise la Strawberry. C’est une machinequi utilise un procédé à base de lumière froide, sansdanger, qui tr averse la peau pour attein dre les cel-lules adipeuses . En répon se à la lumièr e r eçue, lescellules adipeuses von t se vi der et se dég onfler. Lerésultat est immédi at dès la pr emière séance de 10minutes avec une perte de 1 à 5 cm. La seconde machine est le Magic Red. C’est un appa-reil d’amincissement de haute technologie qui utilisedes infrarouges et l’électr ostimulation. Les résultatssont déjà très intéressants mais j’ai décidé d’aller plusloin en pr oposant la d ernière évoluti on d e cettemachine. Celle-ci associe toujours électrostimulationet infrarouge mais elle ajoute la chr omothérapie. Etlà, les résultats sont vraiment spectaculaires.

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MAGV29_PHYSIOLIGNE p25 _MEP MAG VILLE 06/03/13 15:30 Page1

«Enfant, je voulais un mari quim’offre vingt livres par mois ».Elle a fin alement ouvert sapropre librairie. « Lire, ça a tou-jours été ma maladie », avoue

Lydie Zannini, fondatrice de la Librairie du Théâ-tre à Bour g-en-Bresse, un virus attr apé trèsjeune. Née à Gray en Haute-Saône, à 9 ans, ellearrive à P ont-d’Ain où ses par ents tiennent laMaison de la Pr esse. Lieu de formation idéal,Lydie Z annini bai gne d ans son univers . Elledévore tout ce qui lui passe sous la m ain.« Gamine, je lisais n’importe quoi et surtout ce quemon père me défendait ! » La télé, elle ne sait pasce que c’est. Si, par malheur, elle se laisse tenterpar un film, c’est le d oute, le dilemme. « Il vam’empêcher de lire un livre », soupire la libraire.

Au cinéma, un bouquin d ans le sac à m ain…pour l’entracte. Dans le train, à la maison, entredeux clients… « Je suis malheureuse si je ne lispas. » De ses symptômes, elle fait son métier.

Pays des merveillesÀ 22 ans, en 1976, elle se lance. Au 51 avenueAlsace Lorraine à Bourg, 90 heures par semaine,elle ouvr e un e petite libr airie. L’antre d e sesdésirs, son pays des merveilles. Mais la maladie lagrignote : pas assez de choix, il faut plus grand,plus de place pour son opium. L’addict’ redescendde quelques rues en 1987, 8 cours d e Verdun,face au Théâtre : 180 m2 de livres et papeterie.Une boutique qu’elle connaît comme sa poche.Un auteur, un titre, un conseil ? D’un pas sec, leverbe bien tranché, les lunettes remontées sur

ses cheveux blonds, elle va droit au but, imper-turbable, directe, là où se trouvent les quelquesheures d’évasion qu’elle a promis à son client : leroman, le polar, le r ecueil qui va f aire tilt. Unradar dans ses rayons tapissés de livres. « Je n’aipas le droit de voler mes clients. Ni leur temps, nileur argent. Un bouquin, c’est pour être bien, je nepeux pas me permettre d’offrir une demie heure delecture nulle à mes clients, je n’aimerais pas qu’onme fasse ça », décrète la libr aire. Elle sait lavaleur d’un bouquin et qu’un seul peut r endreaccro. Et pour cerner ses visiteurs, « je cuisine lesgens ». Un conseil qu'elle a répété 20 f ois à lavingtaine d'appr entis passés par ch ez elle .« Quand on est libraire, c'est du matin au réveil ausoir quand on se couche ! Il faut être curieux »,prêche Lydie Zannini à la relève.


Lydie Zannini,la “camée” des livres

La femme du moisFe

mmes

26-27 MAGV29_ FEMME p26-27_MEP MAG VILLE 07/03/13 17:17 Page1

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Servis sur un plateau« Et c’est à nous d’apporter de nouvelles chosesaux lecteurs. » Des manuscrits servis sur un pla-teau. Car la libraire ne se limite pas à ses rayon-nages. Elle va chercher l’écrivain, la perle, le let-tré qui fait mouche. Lit tout ce qu’elle reçoit, deslivres encore sous forme de tas de feuilles, le pri-vilège du libraire. « C’est un vrai boulot de défri-cheur », explique-t-elle. Quand elle aim e, ellen’hésite pas à pr endre son téléph one pourcontacter les auteurs. Les inviter, les faire connaî-tre, parfois les faire naître. Et bien avant que lenom ne f asse les têtes d e gondole. « ValérieTuong Cuong, par exemple, ça fait six ans qu’on lareçoit. Aujourd’hui, elle fait partie des incontour-nables », lance la visionnaire, relais des hommeset femmes de plume. Lydie Zannini fait, elle aussi, aujourd’hui partiedes incontournables. Dans sa boutique à Bourg-

en-Bresse, comme à la radio ou à la télé. Depuisquelques années , la passi onnée a infiltré lesondes et le petit écran avec ses critiques et sescoups de cœur : France Inter, LCI, RCF, la GrandeLibrairie sur France 5. Dernièrement, c’est le Pari-sien qui la m andatait de trouver un recueil denouvelles pour une chronique littéraire. « Je merégale », jubile la libraire. Pas pour les paillettes,mais pour la thérapie de groupe : « Je rencontredes tas de gens qui ont la même maladie… »incurable !• Texte et photos : Marion Villeminot


« Je suis malheureusesi je ne lis pas. »

Les rendez-vous de Lydie Zanniniavec les auteurs :le samedi 23 mars Émilie Frêche, Deux Étrangers :Élise, m ariée, d eux enf ants, par aîtheureuse. Un coup de fil de son pèreva tout chambouler : elle n e l'a pas vu pen dant 7 an s, m ais cet appelimpératif fait qu'elle obéit. Le voyageen Renault 5, héritage de sa mère et symbolede tendresse et d e bonheur, se tr ansforme enpériple pendant lequel elle réfléchit sur sa vie.Son enfance avec son frère, sa mère, l'humouret la tendresse, et surtout l'amour enfoui pourson père. Tout ceci remonte à la surface. Quellesera sa décisi on qu and elle le r encontrera ? Le présent ou l'avenir ?

le samedi 28 mars Olivier Truc, Le dernier Lapon :La Laponi e, sa n uit polair e, et lefroid. Le décor est plan té. Leséleveurs de rennes, le peuple Sami,vivent en m arge d e la ville . U neexposition d ans la petite ville d eKantokeino et le m eurtre d’un éleveur von tbouleverser la vi e tr anquille d e ce peuple .Deux flics mènent l’enquête, un troisième veutse l’approprier à des fins politiques.

Ethno-polar qui n ous emporte, nous glace etfait que l’on a envie d’aller voir ces gens, richesdans leur cœur.

26-27 MAGV29_ FEMME p26-27_MEP MAG VILLE 07/03/13 17:17 Page2

Beauté - Bien-être - détente

Mots pour maux avec la coach des stars :

(28) Magville Bourg-en-Bresse • Mars 2013)

Femm

es

Julie FerrezQuels les signes corporels nous disent qu’il est temps de faire appel

à un coach ?En tant que coach, la première chose que je regarde chez quelqu’un, ce n’est pasle poids, c’est sa posture ! Le reste, c’est du superflu. Le but premier n’est pasde maigrir, mais d’être bien dans son corps et d’éviter les problèmes de dos, detransit, améliorer la fréquence cardiaque. Aujourd’hui, avec les emplois dutemps surchargés, les gens viennent me voir et me disent : « Si je continuecomme ça, je vais claquer ! », ils sont stressés, pas bien, le moral en berne,mais ils ont besoin de quelqu’un derrière leurs fesses pour se reprendre enmain. C’est une philosophie. Le sport, ça permet de mieux gérer ses émotions,de s’aérer la tête. On sécrète de l’endorphine !

Quel défaut ou mauvaise habitude revient le plus souvent ?Le défaut universel, c’est que les gens ne font pas attention

à leur corps. Ils sont souvent incapables de dire oùils ont mal et se plaignent de maux qu’ils

pourraient éviter en s’en tretenant,mais ils ne s’écoutent pas. Il y a unevraie méconnaissance du corps. Beau-coup en prennent conscience à 40 ans.La crise d e la qu arantaine, c’est trèsbien pour ça ! C’est toujours récupéra-

ble, avec d u boulot. M a méthode estaxée sur le yoga. J e travaille beaucoupsur les m uscles postur aux, les plusproches du squelette. Il en découle untravail sur l’équilibr e et le cen tre degravité. J’ai appelé m a méthode « lamaison », avec, à la base, le muscle dupérinée : « le plancher ».

Les « allergiques » au sportpeuvent-ils finir par y trouverdu plaisir ?Mes clients ne sont pas des spor-tifs. J e tr availle san s machine,juste le swissball (gros ballon degymnastique), d es altèr es d e 3 kg maximum et un tapis avec

Elle a coaché l’ « hyper-président », sa femme, Carla Bruni, les stars du Ritz…À 30 ans , Julie F errez, ancienne gymnaste de haut-niv eau originaired’Hauteville-Lompnes, est r epassée par la ville qui l’a vue gr andir

prodiguer ses secrets « forme et bien-être ». Rencontre avec la coach des stars.

❘◗● Texte : Marion VilleminotPhotos : Amaryllis Joskowicz

28-29 MAGV29_BEAUTE P28-29_MEP MAG VILLE 11/03/13 10:15 Page1

Quel coach à éviter à tout prix ?Celui qui ne vous parle pas de posture, de fré-quence cardiaque, d’anatomie. Et surtout celuiqui vous crie dessus. Dans ce cas, fuyez ! Uncoach doit être calme.

Vous avez coaché Nicolas Sarkozy,quels conseils à François Hollande ?Ce son t d eux personn alités, d eux postur es différentes. Dans les deux cas, il y a du boulot,car ils porten t un e lour de r esponsabilité. Le seul con seil que j’ai à d onner à Fr ançoisHollande, comme à tout chef d’État, c’est deprendre de lui, de se vider la tête. Le sport,c’est un e soupape qui perm et aussi d e sereconnecter.

Retrouvez la méthode et les conseils de Julie Ferrez sur www.julieferrez.com

Comment avoir un corps dedéesse quand on n'est pas lafille de Vénus ?Celle qui a tout d’une Vénus sortira le 20 marsson premier livre « Comment avoir un corps dedéesse quand on n’est pas la fille de Vénus ».Résumé : « Le printemps arrive à grands pas etvotre corps, telle une marmotte, a tellement

hiberné que vous ne rentrez plus dans aucun vêtementd'été ? Pas de panique ! On est là pour vous aider ! Avecce petit livre drôle et bourré de trucs et astuces faciles àmettre en œuvre, trop facile de retrouver une silhouette desylphide, des fesses en béton, des cuisses en acier et desbras de danseuse ! Grâce à Julie Ferrez, la coach de stars, retrouvez rapidement et sans(trop) d'efforts ligne et tonus ! »

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des exercices qui rendent l’effort sympathique.Je conseille souvent à mes clients de compléteravec une activité qu’ils aiment, par exemple ladanse. La base, c’est de prendre du plaisir.

Des astuces pour rendre le sport indo-lore ou presque ?Il n’y a pas d e secret, on n’a ri en sans rien.Mais par exemple, regarder la télé en faisantdu sport, c’est à 50 % inefficace, car on n’estpas connectés à son corps, alors qu’avec de lamusique, on augmente notre capacité sportivede 10 %, c’est stim ulant. Si on habite audeuxième étage, évidemment, on ne prend pasl’ascenseur, mais l’escalier. Et appuyant sur lestalons, on fait travailler les fesses. De la mêmefaçon, qu and on f ait sa vaisselle , c’est lesépaules basses, le ventre rentré et le périnéeserré. C’est toujours ça de pris ! Il faut comp-ter 30 à 40 minutes de sport par jour pour quele corps commence à se dessiner.

Vous-même, quels sont les ex ercices quevous pratiquez le plus ?Je fais beaucoup de yoga. Chaque m atin auréveil, je comm ence par ça. Et aussi d e lamarche rapide, de la course à pied avec monchien et d eux ou tr ois exercices d’étirement.Mais san s r entrer à qu atre pattes . C’est d e l’entretien. En tan t qu’an cienne sportive d ehaut-niveau, je sais ce que c’est d’avoir mal ! Je n’irais pas courir un marathon !

Votre parcours vous a permis de coacherdes personnalités . Ont-elles les mêmespréoccupations, les mêmes demandesqu’une personne lambda?

Dans le cas des personnes médiatisées,elles viennent pour tr availler leurimage. U ne personn e lambd a vi entpour perdre 1 ou 2 kg et se redresser.Quand on tr availle dans le mili eu duluxe, il y a des codes à connaitre, c’estune discipline exigeante. Je viens depasser huit mois avec une cliente russe,je n’avais pas d e vi e. Et ça d emandebeaucoup d e disciplin e. Les h ommesd’affaires, les ch efs d’État on t besoind’être en forme. Ce sont des bons élèves.

Pas trop difficile de s’imposer ?Un client qui vient, à la demande de sonmédecin ou pour faire comme les copines,demande plus de psychologie. Une fois, j’aiclaqué la porte. On a des résultats à la hauteurde son investissement.

C’est plus facile avec les hommes ou lesfemmes ?Avec les hommes, le travail est souvent plusefficace, on va droit au but. Avec une femme,il faut parfois faire preuve de plus de psycho-logie, arrondir les angles.

Y a-t-il des différences entre le publicd’Hauteville ou de pro vince et celui deParis ? En province, les gens sont beaucoup plus dis-ciplinés, car ils ont moins le temps. Ils sontdans une bulle pendant cinq jours et en pro-fitent à fond. Pour moi, c’est très agréable. Ilsviennent à moi et sont là pour le sport, l’es-sence même de mon métier.

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FLORIOT promet une superbe salle

Thierry Gloriès

Le groupe Floriot est l’un des partenaires les plusimportants du club. C’est fort logiquement que nousle retrouvons à la base de la création d’Ain Team, leclub des partenaires privilégiés de la JL. « J’ai immé-diatement été séduit par le projet. Cette idée d’ac-compagner le club dans sa montée en puissance estparticulièrement intéressante. J’y vois un parallèleavec notre entreprise qui a doublé son chiffre d’af-faires pour le porter en 2013 à près de 100 millionsd’euros et 240 salariés. Tout comme les joueurs de laJL Bourg qui ont des matches à gagner, nos salariésont des échéances à tenir et des projets à livrer entemps et en heure », explique Thierry Gloriès. Et le prochain chantier à livrer est particulièrementattendu des supporters bressans. Le groupe Floriot aété retenu dans le cadre d’un appel d’offres pour laconstruction de la nouvelle salle culturelle et sportivede Bourg-en-Bresse, l’Ekinox. « La livraison est prévueà l’automne (septembre 2013). Cette salle sera vrai-ment très belle autant pour les acteurs que pour lesspectateurs. Nous avons tout particulièrement soignél’environnement avec des conditions d’accueilmoderne, une acoustique particulière. Tout sera réunipour passer de très belles soirées. C’est aussi un signefort pour le club, mais également pour l’Agglo bur-gienne de se doter d’une telle structure ». Un équipement qui devrait permettre à la JL, dans un

Le groupe Floriot et la JL Bourg sont partenaires depuisune vingtaine d’années. Un partenariat qui plait par-ticulièrement au patron du groupe Floriot, Thierry Glo-riès, qui a racheté l’entreprise il y a 6 ans. « J’ai tou-jours eu la fibre basket. J’ai commencé à jouer enbenjamin. J’aime ce sport et ses valeurs », confie-t-il.

futur proche, de retrouver l’élite du basket français.C’est le vœu formulé par Thierry Gloriès, qui espèreégalement que, d’ici la fin de la saison, un spectateurréussira les fameux tirs permettant, à la mi-temps dumatch, de remporter une maison d’une valeur de100 000 euros. « Je ne tremble pas, car d’une part,nous sommes assurés et d’autre part, car je souhaitede tout cœur qu’un spectateur puisse réussir ses tirset gagner cette maison. Cela me rendrait très fier depermettre à une famille de faire bénéficier d’une mai-son ». Citoyenneté, social, le groupe Floriot se veutimpliqué sur son territoire, et son partenariat avec laJL Bourg en est un parfait exemple.

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«Nouveau et intéressant ». Voilà comment Anthony Frenet, le capitain e d e l’U S Br essane, a qu alifié sa séance mode dans le magasin Territoire d’homme,

9 rue Gambetta à Bourg. Ballon en main, l’arrière des Violetss’est très vite mis à l’aise, écoutant avec attention les conseilsde notre photographe Corinne Bertrand. Vêtu d’un blouson etd’un polo de la marque Ruckfield de Sébastien Chabal, AnthonyFrenet confie aimer « être bien habillé ». Et pour cela il faitconfiance à sa femme Marianne qui soigne le “look” de sonhomme. « C’est son truc à elle. Elle me connaît bien et setrompe rarement », conclut Anthony.

• Blouson, coupe-vent, Ruckfield, rugby classic, marine et rose, 110 €

• Polo rose, Ruckfield, rugby ocean, 67 €

• Jean Tommy Hilfilger, 119 €

Territoire d’homme9 Rue Gambetta, 01000 Bourg-en-BresseTél : 04 74 23 53 29Du mardi au vendredi de 9h15 à 12h et de 14h15 à 19hLe samedi de 9h à 12h et de 14h à 19h

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L’invité du mois

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miers revers. Avant de mettre le cap vers LeLou à Lyon, Grenoble, puis Bourg. Dans l'Ain,son accent ardéchois le trahit parfois lorsqu'ilprend la parole avec énergie ou qu'il fête unevictoire en chantant « l'Ardèche » au milieu departenaires un brin « chambreurs ». Mais dèsqu'ils sont sortis des vestiaires, ces dernierssuivent sans hésiter les pas du capitaine Fre-net. Toujours casqué, mais courageux. Prêt àtout donner pour défendre les couleurs vi o-lettes. Il aimerait permettre à l'USB de remon-ter en Pr o D2. Et pouvoir se présen ter avecson équipe triomphante en bas de la tribuneCGT. Avec du violet dans les yeux…

Du bleu d ans les yeux. Le rugbym anAnthony Fr enet a tr oqué sa tuniqueviolette contre un maillot bleu à la fin

du mois de février. Pour la cinquième fois desa carrière, le capitaine de l'US Bressane étaitsélectionné en équipe de France Fédérale, aumilieu des meilleurs joueurs du rugby amateur.« Une merveilleuse expérience, confie AnthonyFrenet. Enfiler le maillot bleu, entendre la Mar-seillaise et jouer pour son pays, c'est extraordi-naire ». Contrairement à l'année 2010, il a cette fois connu la défaite en Angleterre(27 – 7). Malgré son premier essai inscrit enéquipe nationale, il est amer : « Nous avonsperdu contre plus fort et j'aurais préféré ne pasmarquer et gagner ». Sur ce match, AnthonyFrenet ne s'est « pas trouvé très bon ». Critiqueet lucide quand il r ate un m atch, ce cen tre d'1 m 83 pour 96 kg est néanmoins l'une desvaleurs sûres en divisi on fédérale. Titulair eindéboulonnable et capitaine de la sélectiondu Lyonnais aussi. « C'est grâce à cette sélec-tion, mais aussi par les performances réaliséesen club, que j'ai pu intégrer cette équipe deFrance, alors je suis heureux de représenterBourg chez les bleus », glisse-t-il.

Leader par la parole À 29 ans, Anthony Frenet est identifié au clubburgien. Au centre de l'attaque, ou à l'arrière,depuis 2008 et l'aven ture en Pr o D2. Il estresté fidèle au club , apportant son vécu d uhaut niveau à un gr oupe plus jeun e.« Anthony est un mec d'aplomb, avance sonentraîneur Yoann Boulanger. Un joueur trèsgénéreux qui montre l'exemple par l'envie qu'ildégage et ses qualités mentales. Un compéti-teur et un leader par la parole. Même s'il n'estpas d'origine bressane, Anthony s'est bien inté-gré et fait même partie des meubles ». Complè-tement intégré même, puisque sa fille Dianeest née à Bourg et qu'il intervient auprès d'uneéquipe de jeunes de l'USB.

Fier de ses racinesToutefois, il r este fier de ses r acines. Et lesrevendique. « Frenuche » a grandi dans unquartier d'Annonay en Ardèche. À un drop dustade de rugby du club local. C'est là qu'il aappris les rudiments de ce jeu qu'il chérit dèsl'âge de 5 ans. Là qu'il a connu ses premierscontacts, ses premières victoires et ses pr e-

Anthony Frenet, le Violet des Bleus

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affirme-t-il, le même qui s’est fait une placeau menu du mariage princier de Kate et Wil-liam, ou lors du jubilé de la Reine d’Angleterre.Poisson r oyal, que Fabri ce Duf our pr oposedepuis 20 ans, l’un des quatre labels rougesd’Écosse, du petit producteur Loch Duart. CarFabrice Dufour est un fidèle. Avec ses fournis-seurs, pour beaucoup depuis des années, c’estun coup de fil quotidien chaque matin, com-mande ou pas. Et un coup d’œil à la météo.Sur le fil à chaque instant, comme le pêcheurou le marin, le climat est son allié, comme sonpire ennemi. « On est dépendant du temps,confie-t-il, et on s’adapte à la mer et aux sai-sons. » Et du même coup, les cli ents aussi.Comme un marin plus qu’un pêcheur, car le pas-sionné de poisson et du milieu marin n’est pasun amateur de pêche. Un exercice sans doutetrop calme pour celui qui, même en vacancesavec Sophie, sa femme depuis 20 ans, ne peutpas s’empêch er d e courir les étals d e sesconfrères. Mais l’œil inquisiteur il le réserve àson étal, in traitable avec ce poisson qu’iladore : « On est notre propre concurrent »,affirme le fondateur de la Criée Bressane, quiréceptionne chaque jour les nouveaux arrivagesdès 5 h du matin. De l’extra-frais, rien d’autre !

Il est 3 heures du matin, il y a 23 ans.Fabrice Dufour choisit son poisson surles étals du marché-gare de Lyon. Unevirée nocturne qu’il répète 7 jours sur 7pendant 5 ans. « C’était l’insouciance

de ma jeunesse », sourit le responsable de laCriée Bressane. Il y a 23 an s, il a 23 an s etl’insouciance gonflée de vouloir convertir lesBressans à son poisson. Seul et à son compte,il ouvre son premier magasin : la Criée Bres-sane, aven ue M aginot à Bour g-en-Bresse.« J’ai dû faire mes preuves avant que çatourne », avoue Fabri ce Dufour. Auprès desfournisseurs d’abord, « Quand j’ai commencé,ils ne me livraient pas, j’allais chercher mes pro-duits au marché-gare », et d’une clientèle enterre plus volaillèr e. « Il fallait y croire et j’y crois toujours ! », lâch e celui qui a,aujourd’hui, pignon sur rue.

L’exceptionÀ l’époque, ils sont trois poissonniers à Bourg,aujourd’hui, il n’en reste qu’un, lui. Et quatredans l’Ain. Un métier en voie d’extinction, qu’ilchoisit sans se poser de question, ni étude demarché, mais par passion : « J’ai toujours été

attiré par le poisson, ça me branche, c’est un vraicentre d’intérêt », lance-t-il. Originaire de Beau-jeu, des faux airs d e Lino Ventura, le terri enaurait pu se tourner vers le cinéma ou la vigne,mais c’est en Ecosse ou en Bretagne, qu’il faitses classes. Un diplôme de commercialisationet magasinage de produits alimentaires périssa-bles en poche, il se spécialise dans la grenouilleet les produits d’aquaculture. Avant de se jeterà l’eau et d’ouvrir sa boutique . Il arpente lescriées à la r echerche du meilleur. Normandie,Côte d’Opale, Arcachon… « Chaque port a saspécificité, explique l’expert, la sole la plusbelle, par exemple, vient exclusivement de laCôte vendéenne ». Et recrute directement sesfournisseurs sur leur terr ain. Aussi sourcil-leux qu’un Bressan pour choisir son poulet deBresse, il s’interdit le poisson de « batterie» et n e jure que par la ven te directe et lapêche côtière. « Je suis poissonnier, pas mar-chand de poissons ». C’est le poisson d’excep-tion qu’il veut dans ses filets. Pas moins.

Poisson royalEt pour ça, il a le nez aussi fin qu’un Windsor.« Notre saumon, c’est notre poulet de Bresse »

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L’homme du mois

Sel, poivre, huile d’oliveLes médecins sont ses meilleurs commerciaux,mais interdiction de lui jurer : « Je n’aime pasle poisson », ça le hérisse . Plus d e 20 an sdans le méti er, lui n e s’en lasse pas . Larecette : sel, poivre, huile d’olive, « Quand ils’agit d’un bon poisson ».

Aujourd’hui, la Criée Br essane, c’est un edeuxième boutique à Ambérieu, ouverte il y adeux an s, le rêve d’un e tr oisième d ans leBeaujolais et dix salariés, une équipe fidèle,des collaborateurs, même. Et quand le père defamille n’a pas la tête dans ses poissons, c’estvers ses tr ois enf ants et sa femm e qu’il setourne pour prendre le temps, ou vers le ballonbressan, sa deuxième passion. « J’oublie toutquand je suis dans les tribunes de la JL » avoueFabrice Dufour, né sous le signe du poisson.

« Je suis poissonnier, pas marchand de poissons »

❘◗● Texte et photos : Marion Villeminot

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«U ne très belle ligne ». Avant même deprendre le volan t Nadège et An thonyDuraffourd, responsables de l’entreprise

Pro Eco N et à T ossiat sont séduits. Le n ouveau compact urbain (SUV) d’Opel, baptisé Mokka, leur a« tapé dans l’œil ». Il faut reconnaître que les designers du constructeurallemand ont décidément du talent. Ils ont signéune li gne évocatri ce, râblée , et sculptée , juste ce qu’il faut pour donner envie. Avec ses 4,28 m, il se positionne entre un Nissan Juk e (4,14 m), l’un des plus petits SUV, et un Qashqai (4,33 m) ouun Volkswagen Tiguan à 4,42 m. L’opération séd uction con tinue à l’in térieur. Laplanche de bord conjugue d essin harmonieux et réalisation soignée. La position d’assise surélevéevous permet de dominer la route. Anthony Duraf-fourd, qui roule en Opel Insignia, a très vite retrouvéses repères au sein d’un habitacle jugé spaci eux.« Je suis vraiment bien installé. Le siège ergonomiqueépouse parfaitement mon dos et mes jambes. Pourmoi, qui passe plusieurs heures par jour dans ma voi-ture, c’est un élément déterminant ».

Offre d’équipement pléthoriqueMadame a, elle , été parti culièrement sensible auvolant chauffant qui permet en moins d’une minutede garder ses mains bien au chaud pendant le froidhivernal. Notons aussi que les sièges sont eux aussichauffants sur la version Cosmo Pack. Nadège Duraffourd a également remarqué l’accou-

doir très pratique qui soutient votre coude exacte-ment à l’endroit où vous en avez besoin et améliorevotre confort de conduite. « Les rétroviseurs qui ren-trent automatiquement, cela rend bien service quandnous croisons un autre véhicule sur les petitesroutes », note Anthony Duraffourd. L’habitacle du Mokka est généreux pour l’ensembledes passagers, avec un espace aux jambes et un egarde au toit suffisante pour la majorité des gaba-rits. La place arrière du milieu est tout de même àréserver à un enfant. Le coffre dispose d’un volumede 356 litres et peut monter jusqu’à 1 372 litres, unefois l’assise et les dossiers de la banquette arrièrerabattus. Le Mokka propose, en option, un très astu-cieux porte-vélos, intégré au pare-chocs arrière quis’avère invisible grâce à son système de glissière. Autre élément apprécié par nos entrepreneurs, la caméra de r ecul (en versi on Cosmo Pack). « En marche arrière, elle vous donne un aperçuprécis de la zone située derrière le véhicule et simplifie vos manœuvres pour vous garer », relèveAnthony Duraffourd.Le Mokka est décidément un véhicule bien équipéavec l’an ti-recul et l’ai de à la d escente, leStop&Start, le Bluetooth, la prise USB et le régula-teur/limiteur de vitesse d e série dès l’en trée degamme Edition. En version Cosmo, nous retrouvonsle passage automatique des feux de route en feux decroisement et le radar de recul. Et si vous passez parla case des options, vous trouverez la caméra OpelEye de détection des panneaux de signalisation(400 euros) et l’éclairage directionnel bi-xénon avecfeux statiques d’intersection (1 000 euros). En version 4x4, le Mokka passe automatiquement,sans aucune action du conducteur, en transmissionintégrale. Sur les routes mouillées, un peu de neigefondue, lors de notre essai, notre Mokka n’a jamaisété pris en défaut en termes de motricité. « Je mesens en sécurité dans cette voiture », confie Nadège

Duraffourd dans une descente près de Tossiat. Il fautdire que dès la finition de base, le Mokka est équipéd’un système anti-recul au démarrage et d’un sys-tème de retenue en descente !« Elle est compacte sans être massive comme certains4x4. Très accessible, protectrice et pratique. Et mêmesi le coffre est peut-être un peu juste pour notrefamille (5 personnes), c’est une voiture pour laquelleje pourrais craquer », assure en conclusion NadègeDuraffourd. Imitée par son m ari, prêt à chan ger sa voiture de direction pour le séd uisant Mokka. Couleur blanche, comme le reste de la flotte d esvéhicules de Pro Eco Net, il ne manque plus que le flocage…

Compact, agile, racé et économique,l’Opel Mokka n’est pas un SUV ordi-naire. C’est un t out-terrain malinqui bénéficie de la qualité et de la technologie allemande. Avec sesjantes imposantes et son allur eaudacieuse, le Mokka est prêt pourpartir à l’aventure.


Fiche TECHNIQUEMarque : OPEL Modèle : Mokka

Cosmo Pack 1.7 CDTI 130 Stop&Start 4x4Motorisations : 3 moteurs : 2 essence, les 1.6

115 ch (uniquement en deux roues motrices)et 1.4 Turbo 140 ch (en 4 roues motrices) et un diesel, le 1.7 CDTi 130 ch disponible

en boîte mécanique et automatique (2 et 4 roues motrices).

Boite : manuelle et automatique 6 rapports(BVA 6 en option sur CDTI)

Finitions : 3 niveaux : Edition, Cosmo, Cosmo Pack + packs et options

Volume du coffre : 356 l (à 1 372 l) Prix : De 18 990 € à 27 040 €

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OPELMOKKALe bon goût !

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(Octobre 2012 • Ma(g)ville Bourg-en-Bresse (31)(Mars 2013• Magville Bourg-en-Bresse (39)

AAnthony et Nadège DURAFFOURDresponsables de l’entreprise Pro Eco Net

Nadège et Antony Duraffourd sont à la tête de la société Pro Eco Net dans la Zone du Molard à Tossiat. La société est spéci alisée dans le n ettoyage écologique et compte 12 salariés .

À la base, Antony Duraffourd, qui a monté sa société en juillet 2010, l’avait axée sur le nettoyagedes déchets de chantier. Mais, très rapidement, l’entreprise a élargi son offre pouvant désormaisintervenir aussi bi en sur le n ettoyage de bureaux, de bâtiments ou d e salles d e laboratoire, toujours à destination des entreprises. Antony Duraffourd propose également le ramonage pour les particuliers. Le savoir-faire reconnu et apprécié de Pro Eco Net vient de lui ouvrir de nouveauxmarché à Ambérieu, Oyonnax, Dijon et bientôt Ferney-Voltaire et Lons-le-Saunier. Pour son activité, l’entreprise dispose d’un parc de 6 véhicules : une voiture de direction (Opel Insi-gnia), deux Opel Combo, une Opel Movano et un Ben Iveco (3,5 t). « Pourquoi Opel ? J’ai unerelation de confiance avec Mondial Autos, assure Anthony Duraffourd. Ils sont bien placés par rap-port au budget de mon entreprise et les véhicules sont de qualité. Mais surtout, chaque fois que j’aieu besoin d’eux, ils ont répondu présent. Pour un chef d’entreprise comme moi qui a besoin que sesvéhicules fonctionnent, cela est prépondérant. Et puis c’est un garage « humain » avec qui j’ai plai-sir à échanger ». À titre personnel, le couple dispose d’une Chevrolet Orlando, une voiture familialeapte à loger la petite famille de trois enfants des Duraffourd.

Le haut de gamme Cosmo Pack comporte pour sa part la camérade recul, la sellerie cuir, les sièges avant et le volant chauffants,ainsi que le système de navigation avec écran 7 pouces

Dès l’entrée de gamme, la dotation est complète avec l’aide au démarrage en côte, 6 airbags, les antibrouillards avant,les jantes 18 pouces, les rétroviseurs extérieurs électriques...

Le coffre dispose d’un volume de 356 litres (jusqu’à 1 372 litres)

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Bressan de l’année 2012• Mardi 6 février au Théâtre de Bourg-en-Bresse

MENSUEL GRATUIT édité par HCR

Tirage : 10 000 exemplairesDirecteur de la Publication : Bernard BienvenuRédacteur en chef : Ghislain Gros • [email protected]é Ma(g)villeMarie Pagès • [email protected] - 04 74 23 80 78 / 06 01 44 15 69Publicité Voix de l’Ain & Ma(g)villeMarie Pilar Martinez • [email protected]éverine Vavrille • [email protected] Vanden Steene • [email protected] Cazanove • [email protected]

Ont collaboré à ce numéro Jean Philippe Auray, Serge Blanc, Charlotte Vincent, Caroline Guerin,Sylvie Cheuzeville, Marion Villeminot, Corinne Garay, François Membre,Julien Veyre, Marine Ponsard, Alain Lelandais.Photos : Corinne Bertrand.Siège social : 16, rue Lalande • 01000 Bourg-en-Bresse Impression : AGBListe des points de diffusion et précédents n° consultables surwww.magville.frRetrouvez-nous aussi sur

Jean-Charles Ri chard a été sacré, m ardi 6 févri er, auThéâtre d e Bour g-en-Bresse, Br essan d e l’année 2012.Jean-Charles Ri chard, sax ophoniste, est ori ginaire d eMézériat. Il a appris la m usique à l’harmonie de Mézériatavec J ean-Paul Ni collet, puis à l’École d e m usique d eBourg avec Bernard Guyennon. Diplômé du Conservatoirenational de musique de Lyon, il a obtenu en 2012 le GrandPrix de l’Académie Charles Cros, pour son album « Traces ».

Ont été sacrés Bressans d’honneur :- Jeannine Bernolin, dite « La Jeanne », dont le café estincontournable pour d es génér ations d e lycéen s etd’étudiants de Bourg-en-Bresse,

- Michel Ducrot, maître des poulardes de Bresse,- Philippe Florentin, directeur de plusieurs restaurants àParis et Lyon.

En février votre Magvillevous a été distribué dansles rues d e Bour g-en-Bresse par n os anim a-teurs d otés pour l’occa-sion du gyropode Segway.Un véhi cule électrique ,silencieux et « n on- pol-luant ». U ne opér ationmenée en parten ariatavec la JL Bour g basket.Prochain r endez-vous enavril.

L’association des Secouristes Français de la Croix Blanche Pays de Bresse a vu le jour en juin 2012, àPolliat. Composée uniquement de bénévoles, elle est agréée sécurité civile et a pour missi on la miseen place de postes de secours à l’occasion de manifestations culturelles et sportives. Elle propose uneformation aux gestes de premiers secours, qui s’adresse à tous, dès l’âge de 10 ans, sans aucun pré-

requis. Les prochaines formations se déroulent sur Bourg le 23 mars, 20 avril, 29 juin et 13 juillet.Tarif : 50 € adultes et 40 € étudiants/mineurs.

Renseignements: [email protected] ou 06.36.98.20.36.

Jeannine Bernolin

Philippe Florentin

Jean-Charles Richard, Bressande l’année, en compagnie deLionel Nallet

Prix coup de cœur du jury àl’association Blue Monday

Se former au secourisme• Vendredi 23 février Bourg-en-Bresse


Magville in the street• Vendredi 8 février au centre-ville

de Bourg-en-Bresse

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Magville mars 2013

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