Israël Actualités n°285

GRATUIT - Numéro 285 - Edition du 24 Décembre 8 Janvier 2013 Journal israélien en langue française

3L’information en provenance d’IsraëlEdition du 24 Décembre 8 Janvier 2013

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Grand coup de chapeau à cet habile hac-ker qui a réussi à récupérer la liste de tous les amis nazillons et collaborationnistes de ce diable de Dieudonné. En effet, depuis quelques années, Dieudonné n’a de cesse que de faire de la provocation contre les Juifs et Israël. Aujourd’hui, il se gargarise de la publicité que la com-munauté juive lui fait gratuitement en se faisant passer pour une victime ... Je crois mes amis que cet individu a raison. Nous devrions arrêter de faire une fixation sur cet homme qui ne représente rien pour nous. Arrêtons de relayer les informa-tions sur des média nationaux comme les télés, les radios, les réseaux sociaux ou bien la presse qui, aujourd’hui, le rend de plus en plus populaire auprès des personnes ayant l’esprit antisémite et la haine envers Israël ... Nous avons d’autre moyens pour lui faire fermer son clapet. C’est d’agir comme l’a fait ce génie de hacker qui a su, à lui seul, le stopper en hackant son site … j’espère qu’il ne sera pas le seul à réagir de cette façon et que d’autres suivront dans ce combat en mettant tous les moyens pour lui barrer la route de façon intelligente en lui mettant la pression sur cette liste d’email récupérés. Alors cher lecteur, nous devons être tous mis à contribution. Il est temps au-jourd’hui d’arrêter de lui faire de la « pu-blicité gratuite » comme il l’a dit à l’un des nos confrères sur une chaîne de télé-vision, lors d’une interview. L’ancienne productrice de son dernier spectacle qui aujourd’hui n’a toujours pas été payée (soit dit en passant) lui a posé la question : « Mais comment faites-vous Monsieur Dieudonné pour remplir vos salles sans publicités ? » Réponse : « Je n’en ai pas besoin, les Juifs la font pour moi ». Bien évidemment, dans ce cas, il n’a pas de soucis à ce faire ... C’est pour cela que nous devons arrêter de lui servir de tri-bune ou de nous comporter comme des agités lorsque celui-ci passe au tribunal ... Comportons-nous de façon digne ! Il est hors de question de faire sa promo-tion alors que nous sommes dans notre bon droit ... Aujourd’hui, nous avons, encore une fois, les moyens de lui por-ter des coups de plus en plus durs, à lui

ainsi qu’à tous ces amis, Soral, Zamor et consorts ... mais encore une fois de façon intelligente, avec notre tête ...Il faut continuer à lui faire des procès. Mais combien de procès faudra t-il avoir pour l’envoyer faire un séjour en taule pour incitation à la haine raciale ? En France, le droit pénal réprime les actes qui sont une manifestation de racisme. La loi interdit aussi les déclarations qui justifient ou relativisent les crimes contre l’humanité comme la négation de la Shoah. La loi Gayssot de 1990 ré-prime également la négation des crimes de guerre nazis. La peine prévue est au-jourd’hui « d’un an d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende ou de l’une de ces deux peines seulement », la peine minimale d’un an ayant été introduite à l’occasion de la réforme du Code pénal en 1992.Contrairement à ce que l’on pense, la loi Gayssot n’a pas, à ce niveau, chan-gé grand chose. Ainsi, c’est la loi de 1992 sur la réforme du Code pénal, en vigueur depuis 1994, qui a modifié un certain nombre d’articles en alourdis-sant certaines peines possibles. De plus, Dieudonné n’en est pas à son premier coup d’essai et cela lui permettra certai-nement de fanfaronner beaucoup moins, je vous l’assure. Pour apparaitre plus crédible, Dieu-donné devrait rajouter sur sa tête une coquille d’œuf qui lui ferait ressembler à Calimero. Ainsi, il aura toute la pano-plie du plus grand pleureur ... Dieu-donné/Calimero, même combat. Mais Calimero avait ce côté sincère que vous n’avez pas. Alors aujourd’hui, nous demandons à la justice d’appliquer la loi pour les multirécidivistes comme Dieudonné qui collectionnent les condamnations sans que celles-ci soient dissuasives … car le racisme doit être condamné de la façon la plus dure pour que les agitateurs comme Dieudonné ne puissent répandre leur venin sur la société …

Alain Sayada

Félicitation au hacker de Dieudonné

Il y a maintenant et déjà 1 an, nous quittait Claude Meyer AZRIA Bat Rachel, à l’occasion des 1 an de son décès. Pour sa Femme, ses enfants, la famille, les amis qui l’ont connu et aimé, une cérémonie aura lieu

Dimanche 5 Janvier 2014 à la syna-gogue Sainte Marie, 21 bis avenue Sainte-Marie 94160 Saint-Mandé à 19 Heures, suivie d’une séouda en son souvenir.....

À quelques jours de la nouvelle an-née civile 2014, j’aurais aimé pou-voir faire le constat d’un monde qui se serait amélioré.

J’aurais aimé pouvoir dire que la misère a reculé et que, partout sur la planète, la justice sociale a progressé.

Force est de constater que, malgré quelques efforts çà et là, le nombre de pauvres a augmenté et l’écart s’est encore creusé entre ceux qui chaque jour s’enrichissent et ceux qui luttent pour vivre, se nourrir et se loger.

J’aurais aimé vous dire que la paix règne sur notre planète, que la haine et la folie meurtrière des Hommes a elle aussi reculé. Mais il n’en est rien ! Sur tous les continents le sang a coulé.

Les puissances du mal poursuivent leurs desseins macabres et l’obscu-rantisme gagne du terrain.

On tue au nom de l’intégrisme reli-gieux et on opprime au nom d’idéolo-gies dévastatrices.

La bête immonde est toujours vivante et a même fait des petits.

Les guerres de religion, que l’on pen-sait d’un temps passé, refont surface et des hommes, des femmes et des en-fants sont encore aujourd’hui assassi-nés pour ce qu’ils sont.J’aurais aimé vous dire que l’antisémitisme n’est plus mais malheureusement, il renaît de nos cendres. Il a même pris un vi-sage de plus et s’appelle aujourd’hui l’antisionisme. En Europe, les vieux démons fascistes reprennent force et ont trouvé de nouveaux alliés. Ils sont humoristes, essayistes ou soi disant intellectuels. Ils sont d’ex-trême droite et d’extrême gauche. Ils montrent du doigt pour les premiers, le juif et pour les autres, les sionistes et l’Etat juif. Ils se cachent derrière la liberté d’expression et font partout des émules. Ils insultent la mémoire, veulent refaire et réécrire l’histoire et ont même deux signes de ralliement : l’un déjà ancien d’un bras levé et l’autre aujourd’hui d’un bras baissé qu’ils appellent «quenelle». Ils ont l’un et l’autre des complices, ceux qui se taisent, qui laissent faire ou qui en rient.

J’aurais aimé vous dire que cela va s’arrêter mais j’en doute. Ce que je peux vous dire, c’est qu’il existe des hommes et des femmes mobilisés pour les faire taire, qu’il existe des êtres qui ont encore des valeurs hu-manistes pour lutter contre ces inté-gristes et leur obscurantisme.

Il est encore possible de les vaincre. Nous pouvons encore stopper la toile qu’ils veulent tendre sur toute la pla-nète.

L’humain a cette capacité contre la pauvreté et l’exclusion. L’humanité toute entière doit et peut se mobili-ser. Chaque être humain a le droit de vivre dignement, la terre a suffisam-ment de ressources pour cela. A tra-vers la planète, nombreux sont ceux qui sont prêts à ce combat pour plus de justice.

Pour vaincre les puissances du mal, l’humanité a besoin de plus de volon-té. Pour vaincre la bête immonde de l’antisémitisme et de l’antisionisme, le monde démocratique et libre a be-soin de courage. Le peuple juif, tout au long de son histoire, a contribué à l’amélioration de l’humanité par son implication dans la recherche scientifique, médicale, par sa partici-pation au développement intellectuel de l’humanité et au rayonnement du savoir. Il l’a fait au nom des valeurs humanistes qu’il porte. Il l’a fait car il appartient à l’humanité. Aujourd’hui, il continue avec force, cette marche et cette recherche du vivre ensemble dans un monde meilleur. Il le fait sans compter mais il a aussi un devoir : celui de veiller à ne pas laisser les antisionistes et les antisémites des temps modernes mettre en danger son existence.

Etre sioniste aujourd’hui, c’est non seulement être pour le foyer national du peuple juif mais c’est être huma-niste, ouvert, tolérant et démocrate.

Alors, en cette veille de 2014, fiè-rement fidèle et engagé aux côtés d’Israël, je reste optimiste et vous invite à le rester. Comme disait Golda Meir, «le pessimisme est un luxe que le peuple juif ne peut se permettre».

Bonne et heureuse année à tous !

Gil TAIEB


Etre sioniste aujourd’hui, c’est non seulement être pour le foyer national du peuple juif mais c’est être humaniste, ouvert, tolérant et démocrate.

Suite aux rapports montrant que les Etats-Unis ont surveillé les emails et les appels téléphoniques d’importants ministres israéliens, il a été révélé qu’en juin 2007, peu de temps après qu’Ehoud Barak ait été nommé ministre de la défense, la sécurité israélienne a noté que l’administration américaine avait loué un appartement dans la même rue de Tel Aviv dans laquelle se trouve la résidence de Barak, juste en face de son appartement, a rap-porté dimanche la presse israé-lienne.

Washington a insisté sur la fait qu’il n’y avait pas de lien de causalité entre la nomination de Barak et la location de l’appartement (qui selon eux était pour un Marine travaillant dans l’équipe de sécurité de l’ambas-sade américaine) en dépit du fait que les renseignements israéliens ont dé-tecté des quantités considérables de matériel électronique livrés dans cet appartement.

Des documents parus au cours du week-end ont confirmé la suspicion israélienne, selon lesquels l’agence de sécurité nationale américaine (NSA) et les renseignements britan-niques (GHCQ) ont intercepté les courriers électroniques de l’ex-diri-

geant israélien, alors que Barak était ministre de la défense.

Les rapports, parus dans Der Spiegel, le New York Times et The Guardian, déclarent que les bureaux de l’ancien premier ministre Ehoud Olmert et du premier ministre Benyamin Netanya-hou étaient également surveillés.

Barak a refusé de commenter, mais s’est prononcé sur des questions si-milaires dans le passé, et a toujours dit que depuis sa nomination comme chef de la direction du renseignement militaire en 1983, il a toujours tenu compte du fait qu’il puisse être sur-veillé.

Olmert, qui était premier ministre durant la période pendant laquelle l’espionnage révélé a eu lieu, a sou-ligné que le compte email qui était suivi était « public, et la possibilité que tout dommage sécuritaire ou de renseignement ait été fait est proche de néant. »

Des sources de la défense israélienne estiment néanmoins que les récentes révélations pourraient être la pointe de l’iceberg, et que la plupart des sources contrôlées ne posaient pas de grands risques, mais que des inci-dents de surveillance plus sensibles

pourraient être révélées.

Le ministre des affaires stratégiques, Youval Steinitz, a abordé le sujet, disant que : « nous ne surveillons pas le président des Etats-Unis, la Maison Blanche ou le secrétaire a la défense des Etats-Unis. Nous devons parvenir à une solution avec les américains. »

Steinitz a déclaré qu’Israël était conscient que « tout le monde veut nous espionner », affirmant qu’il « est illégitime » d’espionner de hauts res-ponsables israéliens, car Israël a une alliance de renseignements avec les Etats-Unis. « L’espionnage du pre-mier ministre et du ministre de la dé-fense est inacceptable » a-t-il ajouté.

Des sources israéliennes ont égale-ment souligné que, à la lumière des rapports d’espionnage, la détention de Jonathan Pollard, un espion israélien, est illégitime. « Si l’affaire Snowden parvient à choquer quiconque dans le mur de l’hypocrisie américaine qui détient Pollard, alors peut-être que ce rapport aura fait quelque chose de bien, » a déclaré une source.

Le ministre des transports, Israël Katz, a déclaré : « maintenant le secret est public. Les Etats-Unis ont systématiquement espionné les lea-ders politiques et sécuritaires. Est-ce ce que font les amis ? Pollard a été arrêté pour beaucoup moins. J’ai l’in-tention de proposer au cabinet minis-tériel aujourd’hui qu’Israël exige un engagement américain à arrêter la surveillance et à libérer Pollard à la lumière des récents rapports. »

Espionnage : les Etats-Unis ont loué un appartement en face d’Ehoud Barak


Le surnom donné à la petite Adrienne Jellinek, petite-fille d’un rabbin brillant et distingué, devien-dra plus tard le nom du véhicule de prédilection des Nazis.

Adrienne Manuela Ramona Jellinek est née, troisième enfant -mais pre-mière fille- , au foyer d’Emil Jellinek et Rachel Goggman Cenrobert le 16 septembre 1889.

Son grand-père n’était autre que Rabbi Aharon Adolf Jellinek, proba-blement le rabbin et commentateur le plus connu de son temps à Vienne; il était un grand érudit de la littérature midrashique et mystique. C’est lui, le premier, qui postule que le Zohar, le texte principal de la Kab-bale (écriture ésotérique de la Torah), a été écrit par au XIIIème siècle par

Moïse de Léon, contrairement à la thèse établie depuis des siècles qui attribuait ce travail monumental à Shimon bar Yochaï (IIème siècle).

Deux des trois fils d’Adolf Jellinek, Georg et Max, sont professeurs d’uni-versité, le premier en Droit, le dernier en Philologie. Son troisième fils, Emil, pas intel-lectuel pour deux sous -ni même bon élève-, est envoyé au Maroc au début des années 1870 où, grâce aux bons offices d’un ami de son père, il occupe un emploi dans le corps diplo-matique.

Il enchaînera plusieurs emplois consulaires en Algérie où il rencon-trera sa future épouse Rachel Gogg-man Cenrobert, une juive d’Algérie.Pendant quelque temps, Emil travaille

avec le père de Rachel dans sa société d’exportation de tabac algérien vers l’Europe, puis la famille déménage en Autriche et Emil commence à travail-ler pour une compagnie d’assurance, tout en continuant à vivre sa vie de bon vivant.

Adrienne, née à Vienne, sera très vite surnommé affectueusement «Mer-cedes» (qui signifie «miséricorde» en espagnol). Un surnom qui lui restera. Sa mère, Rachel, meurt alors qu’elle n’a que quatre ans, en 1893.

Le décès de sa femme n’empêche pas Emil de mener grand train.Il passe les hivers à Nice et s’y pas-sionne pour les voitures de course.Il commence d’ailleurs à constituer constitue une «écurie» qui baptisera

… Mercedes. Il change à cette époque officielle-ment son nom en Jellinek- Mercedes.

Parallèlement, il poursuit sa car-rière diplomatique et devient consul général de son pays à Nice…tout en commençant à vendre des voitures aux riches célébrités qui se pressent de toute l’Europe sur la Riviera fran-çaise, où ils acquièrent des villas.Il commence à représenter la Daimler Motoren Gesellschaft et devient peu à peu le plus important vendeur de la Riviera.

Il rend visite à Stuttgart aux créateurs et dirigeants de l’entreprise, Gottlieb Daimler et Wilhelm Maybach, les inventeurs du moteur à combustion, pionniers de la construction automo-bile et de camions, leur envoyant ré-gulièrement des notes de suggestions et plaintes sur leurs produits.

En avril 1900, Emil Jellinek- Mer-credes, qui jouit d’une influence gran-dissante dans la société, et Daimler conviennent que la société doit concevoir un nouveau moteur qui sera appelé Daimler-Mercedes.

La première voiture avec le nou-veau moteur Mercedes, le modèle de course de 35 chevaux développé par Wilhelm Maybach, sort des ate-liers fin 1900 et le premier exem-plaire en est livré en gare de Nice le 22 décembre 1900 au baron Henri de Rothschild (au prix de 550.000 Marks, soit l’équivalent de 3 millions d’euros au cours actuel).

En mars 1901, Jellinek participe à plu-sieurs courses en une seule semaine et gagne, à chaque fois... à bord de la nouvelle Daimler-Mercedes.

Paul Meyan, le directeur de l’Auto-mobile Club français, déclare: «Nous sommes entrés dans l’ère Mercedes».

Emil Jellinek continue quelques années encore à représenter Daimler mais il se consacre de plus en plus à son action diplomatique. Pendant la Première Guerre mon-diale, ses biens sont confisqués par la France et lui-même et sa seconde épouse sont accusés d’espionnage. Il meurt le 21 janvier 1918, en France.

Adrienne «Mercedes», sa fille, a en-tretemps épousé un baron autrichien dont elle a eu deux enfants. Le couple est ruiné par la Première Guerre mondiale et Mercédès en est réduite à mendier dans les rues.Après avoir quitté son mari, elle se remarie avec Rudolf von Weigl, un baron… lui aussi sans sans le sou. Mercedes finit ses jours rongée par un cancer des os et meurt le 23 février 1929, à l’âge de 39 ans.

En 1926, la société Daimler qui conti-nue à exploiter le moteur Mercedes, fusionne avec la société Benz et continue à appeler ses voitures Mer-cedes-Benz. Elles deviendront les voitures alle-mandes par excellence. Sept cent soixante-dix modèles de luxe en seront commandées par le régime nazi pour équiper toute son appareil.

Adolf Hitler savait-il seulement que la superbe limousine qui le transpor-tait partout devait son mystérieux patronyme à la petite-fille d’un autre Adolf, Rabbi Aharon Adolf Jellinek ? Là voilà sans doute, la vraie miséri-corde !par Mylène Sebbah

Mercedes, une petite fille juive


L’hypothèse du Shin Bet et des forces de police est que l’attentat de Bat Yam a été exécuté pour des mo-tifs nationalistes. Ou, en d’autres termes, il a été probablement per-pétré par un terroriste arabe.

Michael Yoger, le chauffeur du bus numéro 240, a ordonné à la douzaine de passagers de quitter le bus en ur-gence. Quelques minutes plus tard, la bombe, caché dans un sac à dos, était déclenchée par les démineurs.

Les forces de sécurité n’ont pas reçu de renseignements concernant la possibilité d’une attaque terroriste imminente, pas dans les transports en commun ou n’importe où ailleurs. Dépourvus de tout avertissement pré-alable, une enquête précise et détail-lée doit maintenant être menée, avec des petits bouts de renseignements qui devront être vérifiés dans le but de trouver les auteurs.

Malgré l’absence de préavis, il est impossible d’ignorer le fait que ces derniers mois, il y a eu une forte augmentation des attaques anti-is-raéliennes chez les arabes de Judée Samarie, qui ont causé la mort de plusieurs israéliens. Le nombre d’af-

frontements violents entre l’armée israélienne et les arabes de Judée Sa-marie a également été en hausse ces derniers mois. Pas plus tard qu’hier encore, un autre attentat avait été évité entre Jérusalem et la mer Morte.

Un responsable de la sécurité israé-lienne a déclaré que « l’opinion publique palestinienne n’est pas inté-ressée par une troisième intifada et une détérioration de la situation en matière de sécurité, » mais il ne faut pas oublier que le Hamas cherche également à commettre des attaques terroristes en utilisant ses hommes en Judée Samarie dans le but de com-penser le manque d’attentats lancés depuis Gaza. Certaines activités du groupe terroriste islamiste en Judée Samarie sont dirigées par des pri-sonniers arabes libérés par Israël, et même par certains se trouvant encore en prison. Le Djihad Islamique ainsi que d’autres djihadistes radicaux et autres groupes salafistes ont égale-ment connu une croissance de plus en plus active en Judée Samarie.

A la suite de ces activités et des opéra-tions de prévention du Shin Bet et de Tsahal, près de 16 terroristes arabes ont été tués en Judée Samarie et à

Gaza durant l’année écoulée. Seu-lement cette semaine, quatre arabes ont été tués, deux en Judée Samarie, deux à Gaza. Ces chiffres nourrissent le désir de « vengeance » parmi les terroristes, et pourraient être la rai-son de l’attaque de dimanche contre l’autobus.

La rapidité avec laquelle le Hamas et d’autres groupes terroristes basés à Gaza ont répondu à l’incident ren-force les soupçons selon lesquels ils avaient une part directe ou indirecte dans l’attentat.

Le fait que l’attaque a été définie de manière presque certaine comme était terroriste vient de la manière et du style dans lequel l’attaque a été me-née. Un engin explosif dans un bus est destiné à nuire sans discernement au plus grand nombre de personnes pos-sible. Ce type d’attaque est rarement la forme d’une attaque criminelle, qui vise habituellement des personnes ou des groupes spécifiques dans le but de venger ou envoyer un message. Et ces personnes prennent rarement le bus.

Heureusement, l’évacuation rapide des voyageurs du bus et du chauffeur a empêché la perte massive de vies. L’explosion était relativement faible, mais si le bus avait été plein, le choc aurait causé de graves dommages aux passagers.

Néanmoins, il est à noter que le chauffeur du bus et les passagers qui ont ouvert le sac et ont découvert que des fils électriques sortaient d’un ob-jet ont agi de manière irresponsable et inconsidérée.

Le seul fait d’ouvrir le sac aurait pu déclencher l’explosif. Dans ce cas, la bonne ligne de conduite est de signa-ler l’existence du sac abandonné, et d’évacuer la scène aussi vite que pos-sible en prévenant la police.

Le terrorisme de Judée Samarie se déverse en Israël

Une information que vous n’êtes pas prêt de voir dans les medias français ! La télévision publique britannique, Channel 4, a révélé des nouvelles informations explo-sives, vendredi. Selon son rapport, des hauts responsables syriens ont affirmé que le « Front Populaire pour la Libération de la Palestine – Commandement Général » (FPLP-CG), dirigé par Ahmed Jibril, était derrière l’attentat de Lockerbie en 1988.

Depuis près de deux décennies, la responsabilité de l’attentat a été pla-cée sur la Libye. Maintenant, une transcription d’un entretien de 2001 avec un membre de la CIA, le Dr. Ri-chard Fuisz, dans un palais de justice aux Etats-Unis, expose la culpabilité de l’organisation terroriste palesti-nienne.

Fuisz a affirmé que durant les années 1990-1995, entre 10 et 15 respon-sables militaires syriens lui ont dit que le FPLP-CG basé en Syrie était responsable. Selon son témoignage, les responsables syriens étaient en contact constant avec le leader de l’organisation, Jibril, et qu’il était le cerveau derrière l’attentat.

Fuisz a témoigné à la demande de l’avocat de la défense d’Abdel Basset al-Megrahi, le terroriste libyen accu-sé du crime.

Selon le rapport britannique, l’infor-mation a été présentée trop tard pour être utilisée dans le procès d’al-Me-grahi, qui a pris fin quelques jours après le témoignage. Al-Megrahi était un officier de renseignement au service du dictateur Mouammar Kad-hafi, et a été condamné à la prison à vie par l’Ecosse, mais libéré pour des raisons humanitaires en 2009.

Trois agents de la CIA et un avocat étaient présents pour le témoignage de Fuisz, assurant qu’il répondait au moins de questions possible. Des copies des témoignages et les docu-ments connexes ont été découverts par John Ashton, un chercher de l’équipe de la défense d’al-Megrahi

entre 2006 et 2009.

Ashton a écrit un livre sur l’affaire, intitulé : « La honte de l’Ecosse : pourquoi Lockerbie est toujours d’ac-tualité. »

Le rapport britannique affirme que l’organisation de Jibril était le princi-pal suspect dans la foulée de l’atten-tat.

Des rapports déclassifiés des rensei-gnements américains affirment que l’organisation terroriste palestinienne a été payée par le gouvernement de l’Iran pour venger la mort de 290 pas-sagers tués quand un cuirassé améri-cain a « accidentellement » abattu le vol Iran Air 665 au-dessus du Golfe Persique quelques mois avant l’atten-tat.

Des membres du FPLP-CG ont été arrêtés en Allemagne de l’Ouest deux mois avant l’attentat. Lors de la per-quisition de leur résidence, la police a trouvé une charge explosive dans un lecteur de cassette Toshiba. L’en-quête de Lockerbie a découvert que l’engin explosif qui a détruit l’avion était caché à l’intérieur d’un lecteur de cassettes Toshiba.

« Les gouvernements britanniques et américains ont déclaré en 1991 que la Libye était le seul responsable de l’attentat, mais des années plus tard, des responsables syriens disaient que le FPLP-CG était responsable, » a dé-claré Ashton. « Il semble que c’était un secret de polichinelle que les vrais terroristes étaient hors de Libye. »

L’attentat de Lockerbie a eu lieu le 21 décembre 1988. Le vol Pan Am 103 de Londres à New York a explosé dans le ciel de Lockerbie, en Ecosse, tuant tous les passagers. Il y a égale-ment eu 11 victimes au sol, tuées par les fragments de l’avion.

En 2003, la Libye a accepté la res-ponsabilité de l’attentat. Le régime de Kadhafi a alors accepté de payer 2,7 milliards de dollars d’indemnisation aux familles des victimes.

Attentat de Lockerbie : c’était un groupe terroriste « palestinien »

Antisémitisme : Radio France saisit la justice après des propos de Dieu-donné contre Patrick Cohen.

Des images tournées en caméra ca-chée par France 2 lors d’un de ses spectacles montrent Dieudonné qui évoque l’animateur de France Inter et les chambres à gaz.

Radio France a annoncé vendredi avoir porté à la connaissance de la justice des « propos ouvertement antisémites » tenus par Dieudonné à l’encontre de Patrick Cohen, l’un de ses animateurs. Ce dernier avait récemment estimé choquant que Dieudonné puisse encore être invité à

s’exprimer sur des plateaux de télé-vision.

Dans une vidéo tournée en caméra cachée par une équipe de Complé-ment d’enquête, diffusée jeudi soir sur France 2, on peut entendre Dieu-donné déclarer : « Tu vois, lui, si le vent tourne, je ne suis pas sûr qu’il ait le temps de faire sa valise. Moi, tu vois, quand je l’entends parler, Patrick Cohen, je me dis, tu vois, les chambres à gaz… dommage. »

NDR : cette phrase honteuse est suivie par les rires gras de l’assis-tance !

Extrait du reportage de Complé-ment d’enquête diffusé jeudi soir

« Suite aux propos ouvertement anti-sémites tenus par l’humoriste Dieu-donné visant notre confrère Patrick Cohen, diffusés jeudi 19 décembre dans le cadre d’un reportage de l’émission Complément d’enquête sur France 2, la direction de Radio France a décidé de signaler ces faits à la justice. Le procureur de la Répu-blique jugera s’il ouvre ou non des poursuites judiciaires à l’encontre de Dieudonné », a fait savoir Radio France dans un communiqué diffusé sur le site de France Inter.

Dans un communiqué, la société des journalistes de Radio France condamne les propos de Dieudonné et exprime sa solidarité avec Patrick Cohen. « Ce n’est pas uniquement par solidarité professionnelle, c’est aussi en réaction à des mots, des pensées, des comportements que la bêtise et l’ignorance n’expliquent pas et ex-cusent encore moins. »

Dieudonné a déjà été condamné à six reprises par la justice pour des propos antisémites. Fin novembre, il a écopé de 28 000 euros d’amende pour dif-famation, injure et provocation à la haine et à la discrimination raciale.

Libération

Dieudonné promet la chambre à gaz à Patrick Cohen


Le premier ministre Benjamin Netanyahu a déclaré hier mercredi 18 décembre, lors de la convention du Likoud, le parti de centre droit, que si un accord de paix est trou-vé avec les arabes palestiniens, la signature des négociateurs ne suf-fira pas. L’accord devra être validé par la Knesset, le parlement israé-lien. Et si la Knesset approuve les conditions de l’accord, il sera alors soumis au vote populaire par réfé-rendum.

Sa déclaration a déclenché un ton-nerre d’applaudissements.

Netanyahu a joué ici une excellente carte et a fait d’une pierre quatre coups.

• D’une part, il a désarmé la bombe à retardement John Kerry, qui est entré dans les négociations en déclarant Israël coupable de présence illégitime en Judée et en Samarie, contraire-ment à ce que dit le droit internatio-nal (sur ce point, Israël est totalement responsable en ce sens que personne n’a jamais vu l’accusé d’avoir volé une terre renoncer à sortir son titre de propriété pour faire valoir les droits qu’il détient).

Kerry en outre pousse vers une so-lution de paix dans des conditions de sécurité que les américains eux-mêmes, en 1967, avaient jugé impos-sible à assurer, alors que les arabes ne possédaient pas encore de roquettes kassam et de missiles.

Netanyahu a retiré la pression formi-dable exercée sur lui par l’administra-tion Obama, sans qu’à aucun moment il puisse lui en être fait reproche. Au-cun diplomate de l’Union européenne élu démocratiquement ne pourrait trouver les arguments pour accuser le premier ministre israélien de faire appel à la voie démocratique sans se déjuger.

• D’autre part, il anéantit toute contestation au sein de la coalition gouvernementale, et coupe les ailes à la gauche radicale israélienne, dont le pouvoir de nuisance a certes considé-rablement diminué depuis les années 2000, mais qui est toujours consti-tuée des intellectuels, des leaders d’opinion et des journalistes les plus visibles du pays.

• Ensuite, il démontre une fois de plus qu’il est, comme les grands hommes

d’Etat de l’histoire, habité des valeurs qui font les grands hommes d’état de l’histoire, en ceci qu’il replace le peuple au centre de la vie politique, en rappelant que c’est dans l’intérêt exclusif de la population et pour son bien être que les élus sont élus et tra-vaillent, et non afin d’utiliser la popu-lation comme animaux de laboratoire pour tester des nouvelles idéologies progressistes fantaisistes, ou pour financer leur train de vie décadent.

• Et pour terminer, s’il est en phase avec l’opinion des israéliens, il ne les infantilise pas pour autant et il les met face à leur destin, à leurs res-ponsabilités et à leurs choix. Eux et eux seuls décideront de leur sort et nul ne pourra contester le droit d’un peuple à disposer de lui-même, sauf à affirmer que ce droit, revendiqué pour les arabes palestiniens et le reste du monde, n’est pas destiné aux juifs.

Ma conclusion : C’est du peuple qu’un gouvernement reçoit ses pou-voirs pour des raisons techniques de bonne gestion. C’est au peuple, dont il est au service, qu’il obéit et non l’inverse. Netanyahu ne l’oublie pas. Le premier ministre israélien rappelle qu’un gouvernement de passage pour quelques années ne peut pas engager l’avenir de tout un peuple et de toute une nation. Ce matin, je me sens fier d’être israélien. Ce n’est pas toujours le cas.

© Jean-Patrick Grumberg

Négociation de paix: Netanyahu envoie Kerry et Obama dans les cordes

Que voyons-nous depuis quelque temps ? Nous voyons de jeunes musulmans vivant parmi des occi-dentaux se révéler être de terribles tueurs.

L’islam enjoint à ses fidèles d’islami-ser le mode.

Comment islamiser ? Il y a bien sûr la conversion, c’est un long processus.

Il reste une méthode, très prisée en islam, le meurtre.

Certains musulmans vivant parmi des non musulmans se transforment un jour en tueurs.

Souvenons-nous des attentats du 11 septembre 2011 de New-York,

de Londres, de Madrid, de Boston, de Toulouse. J’en oublie beaucoup mais

je me dois de rappeler le terrible trai-tement infligé par des sauvages à Ilan Halimi, il y a aussi l’horrible meurtre à Toulouse d’enfants dans leur école juive.

Un musulman, un jour, vous assas-sine vous et vos enfants et vous ne comprenez pas pourquoi.

Le soldat dépecé à Londres, il y a en-viron un an, ne pouvait comprendre pourquoi ces malades l’ont agressé. Ou encore le soldat agressé à La Dé-fense doit se demander pourquoi ?

A chaque fois, nos policiers avaient des informations, connaissaient le tueur, mais ne pouvaient l’empêcher de nuire. Vous ne pouvez appréhen-der le tueur que lorsque le malheur est arrivé.

Par:Bernard Atlan

Nos pays vont avoir beaucoup de mal à contrer ces malades assas-sins.

Israël n’avait qu’une solution pour arrêter les tueurs fous venus de Judée-Samarie. Ils ont assassinén pendant de nombreuses années, de très nombreux innocents.

La seule solution était le mur de séparation.Depuis son érection, Israël réussit à gérer ce terrible fléau des assassins venus d’islam.

Ils comprendront bientôt pourquoi un mur en Israël

8L’information en provenance d’IsraëlEdition du 24 Décembre 8 Janvier 2013 8L’information en provenance d’IsraëlEdition du 24 Décembre 8 Janvier 2013

Le secrétaire d’état américain John Kerry semble appuyer un plan na-tional, conçu à Washington, auprès du premier ministre Benyamin Ne-tanyahou. La proposition s’inscrit dans le cadre des « pourparlers de paix » avec l’autorité palestinienne, et comprend le déracinement des communautés juives de la vallée du Jourdain.

L’équipe de Kerry a loué 50 chambre dans un luxueux hôtel de Jérusalem pour le mois de janvier, pour « atta-quer » Netanyahou et lui demander d’accepter le plan américain, a rap-porté vendredi la presse israélienne.

Le plan, qui selon plusieurs ana-lystes est un « piège mortel » pour Israël, laisserait le pays partiellement conserver, pour 10 ans, la bande de 15 kilomètres de large de la vallée du Jourdain comme une zone de sécu-rité. En fait, le plan ne répond même pas au minimum requis pour des fron-tières d’Israël « défendables » tel que déterminé par le chef de l’état major américain en 1967, même en fonction des réalités politiques de l’époque.

Le chef de l’équipe sécuritaire de Kerry, le général John Allen, a parlé il y a un mois devant Tsahal et le minis-tère de la défense des arrangements sécuritaires. Après que les israéliens y aient ajouté des notes, le plan d’Al-len a été présenté à Netanyahou il y a deux semaines.

Selon plusieurs rapports, Netanya-hou n’aurait pas exclu le plan, et a dit être prêt à accepter certaines parties, mais seulement si les graves préoccupations sécuritaires d’Israël étaient comprises dans ce plan. De cette façon, on pense que Netanyahou a essayé de déplacer la pression amé-

ricaine sur le ministre de la défense Moshé Yaalon, peut-être en s’atten-dant à ce que Yaalon écarte ce plan.

Le vice-ministre Ofir Akunis (Likoud) a fermement rejeté l’idée de déraciner les communautés de la val-lée du Jourdain.

« Nous devons dire : cela n’arrivera jamais ! Dans la vallée, à une distance de 70 kilomètres de la mer Méditerra-née, les pionniers y ont installé notre génération. Dans des conditions dif-ficiles, éloignées des grands centres urbains, ils ont développé un désert. Il n’y a pas de problème démogra-phique, parce que les « palestiniens » ne s’y sont jamais installé, » a déclaré Akunis.

« Quand la nation juive est retournée dans sa patrie, après l’exil d’Egypte (il y a plus de 3500 ans), elle est en-trée par la vallée du Jourdain. Nous ne devons pas accepter de conces-sions, des retraits ou des expulsions : pas dans la vallée du Jourdain, et pas dans tout autre endroit de notre pays, » a déclaré le député.

Les nouvelles tensions entre les Etats-Unis et Israël viennent alors qu’Israël a connu un fort rapprochement avec la Chine, mis en évidence par la première visite en Israël du ministre chinois des affaires étrangères Wang Yi cette semaine. Plusieurs rapports ont également détaillé qu’un pacte a été scellé entre Israël et la Russie, lors d’une rencontre entre Netanyahou et Poutine, avec la Russie s’engageant à défendre les besoins sécuritaires d’Israël, Poutine ayant même déclaré que si Israël était attaqué, la Russie ne resterait pas neutre et défendrait la souveraineté de l’état juif.

Kerry va pousser son plan sécuritaire auprès de Netanyahou

Les gels antibactériens sont dans le viseur de la Food and Drug Ad-ministration (FDA). L’organisme américain souhaite en effet l’ins-tauration d’une règle obligeant les fabricants de ces produits à prou-ver que leurs gels sont plus sûrs et

plus efficaces contre les infections que le savon ordinaire et l’eau. La FDA s’appuie sur de récentes études qui semblent indiquer que les gels contiendraient des produits qui brouillent les niveaux d’hor-mones.

Selon Colleen Rogers, microbio-logiste de la FDA, « de nouvelles données suggèrent que les risques associés à l’utilisation quotidienne de savons antibactériens peuvent l’em-porter à long terme sur les avantages ». Le triclosan et le trilocarban, conte-nus dans ces produits, pourraient en effet contribuer au renforcement de la résistance bactérienne aux antibio-tiques. Si la modification hormonale entraînée par les gels antibactériens a été prouvée sur les animaux, les résultats des tests n’ont encore rien démontré chez l’homme.

La proposition de la FDA ne s’ap-plique toutefois pas aux désinfectants

ni aux produits à base d’alcool utili-sés dans les établissements de santé. L’organisme donne aux fabricants jusqu’à la fin 2014 pour présenter les résultats de leurs essais cliniques, pour une finalisation des nouveaux règlements en 2016. Si le projet de la FDA arrive à son terme, les entre-prises seraient tenues de fournir les preuves des bénéfices de leurs pro-duits pour la santé. S’ils ne sont pas en mesure de le faire, leurs gels se-ront toutefois étiquetés de manière à pouvoir rester sur le marché.

La démarche de la FDA a été initiée par le Natural Resources Defense Council. Cette association à but non lucratif a, en effet, intenté un procès à la FDA pour l’obliger à examiner les effets du triclosan sur la santé. Une action approuvée par une cour d’ap-pel fédérale, en mars dernier.

http://www.atlantico.fr/

La FDA s’inquiète des dangers pour la santé des gels antibactériens


Les dépenses publiques sociales françaises sont aujourd’hui les plus élevées de l’OCDE. Et l’écart ne cesse de se creuser avec les autres pays.

L’OCDE publiait récemment un état des lieux des dépenses sociales pour les 34 pays le composant. C’est donc l’occasion de faire le point sur celles-ci ainsi que sur sa

principale composante qui est la dépense sociale d’origine publique. Cette dernière est, comme nous le verrons, largement responsable de l’augmentation des dépenses publiques, et par conséquent des déficits et de la dette. Voici d’abord le classement par pays des dépenses publiques sociales, exprimées en pourcentage du PIB :

Pourquoi la France est en Faillite et le restera ...La France est assez nettement en tête de ce classement (2,2 points de plus que le second, le Danemark). Celui-ci est globalement « dominé » par les membres de la zone euro. Cette dernière est d’ailleurs classée en 1ère place depuis 1999, à l’ex-ception de 2003 où elle fut seconde, juste derrière la Suède.

Comme on le voit, si les dépenses

publiques sociales ont augmenté dans tous les pays, elles l’ont fait de manière particulièrement régulière en France ces 50 dernières années. Alors que les dépenses publiques sociales allemandes étaient plus élevées qu’en France jusqu’au début des années 1980, la situation s’est ensuite inver-sée grâce à leur stabilisation (mise à part la période succédant à la chute du mur de Berlin).

Non seulement les dépenses publiques sociales françaises sont aujourd’hui les plus élevées, mais l’écart ne cesse de se creuser avec les autres pays. Ainsi, les écarts de dépenses entre la France et l’Allemagne et la moyenne de l’OCDE atteignent en 2013 un plus haut historique (respectivement 6,8 et 11,1 points de PIB) :

Les augmentations des dépenses publiques sociales se sont toutefois faites à des rythmes très différents au sein des différents pays de l’OCDE et on peut même remarquer quatre exemples de réductions des dépenses significatives. Celles-ci se sont d’ail-leurs toutes réalisées dans la première moitié des années 1990 au Canada, en Nouvelle-Zélande, en Suède et en Finlande. Ces derniers sont ceux qui ont sans doute fourni l’effort le plus spectaculaire puisque les dépenses publiques sociales y ont été réduites de pas moins de 8 points de pourcen-tage de PIB entre 1994 et 2002 :

Le graphe ci-dessous indique les prin-cipales composantes de ces dépenses publiques sociales au sein de l’OCDE et l’origine de leur augmentation dans les principaus pays la compo-sant (malheureusement, les données relatives aux composantes s’arrêtent en 2009) :

Comme on le voit, les deux princi-paux postes sont la vieillesse (12,3% du PIB en 2009) et la santé (9,0%), qui représentent à eux seuls près de deux-tiers des dépenses sociales.

Dans le cas de la France, les pen-sions versées aux retraités atteignent 13,7% du PIB, ce qui est plus que l’Allemagne (11,3%) qui bénéficie pourtant d’une démographie moins favorable. Seule l’Italie affiche un niveau de dépenses plus élevé (15,4%). Les systèmes de retraite par capitalisation permettent de réduire considérablement la note, comme on peut le constater dans les pays où ils sont beaucoup plus développés qu’en France (par exemple 6% en Grande-Bretagne et 5% aux Pays-Bas).

Malgré sa démographie plutôt favo-rable, les dépenses vieillesses de la France ont significativement aug-menté :

Concernant les dépenses publiques dans le domaine de la santé, c’est en France qu’elles sont les plus élevées parmi les membres de l’OCDE :

Bien entendu, les dépenses sociales ne sont pas toutes publiques. Une partie, qui peut parfois être non négli-geable est en effet d’origine privée. Si l’on regarde l’ensemble des dépenses

dans la santé (c’est-à-dire en rajou-tant le secteur privé), les États-Unis deviennent les plus dépensiers.

La proportion d’origine privée sur l’ensemble des dépenses sociales va-rie sensiblement selon le pays :

Les États-Unis n’ont pas été intégrés dans le graphique afin que celui-ci reste lisible. La dépense privée amé-ricaine s’élève à 10,6% du PIB, ce qui représente 35,6% de l’ensemble des dépenses sociales.

Pour définir les dépenses totales so-ciales nettes, l’OCDE additionne ces dépenses publiques et privées aux crédits d’impôt avant de retrancher les cotisations sociales, les taxes et les impôts (directs et indirects). Le classement initial s’en trouve sensi-blement modifié :

La France est toujours en tête, mais la seconde place est désormais occupée par les États-Unis.

Pour redresser la barre sur le plan économique, une réduction des dé-penses publiques est urgente et celle-

ci devra impérativement passer par le domaine social. L’acte manqué de la réforme des retraites en France est d’autant plus dommageable du fait du poids des pensions parmi les dépenses sociales. Les perspectives démographiques, si elles sont moins mauvaises en France qu’ailleurs, laissent malheureusement présager de grandes difficultés pour inverser les tendances haussières dans les domaines des pensions et de la san-té. Le courage politique qui fait tant défaut depuis plusieurs décennies sera pourtant nécessaire pour porter

des réformes indispensables au réta-blissement français. Ainsi le dévelop-pement (parfois l’introduction) des systèmes de retraite par capitalisation et la liberté de choix pour l’assurance maladie apparaissent comme inévi-tables pour relancer l’économie fran-çaise.

— Publié initialement sur 24hGold.

Note méthodologique : les agrégats pour les années 2010 à 2013 sont des estimations.Contrepoints.

12L’information en provenance d’IsraëlEdition du 24 Décembre 8 Janvier 2013 12L’information en provenance d’IsraëlEdition du 24 Décembre 8 Janvier 2013

La haine de l’Etat d’Israël ne se cache plus ! Tout doit faire ventre, autrement dit montrer l’état juif comme la réincarnation du mal. Dans un énième article diffusé, évidemment, dans le quotidien Le Monde et intitulé « En Israël, un système de détention pour les im-migrés africains illégaux » Laurent Zecchini s’en donne à cœur joie.

Sa vision de l’état juif se confirme. Le « racisme » de celui-ci n’est plus à débattre, il est confirmé.

La preuve ? « les députés israéliens ont décidé de créer un double régime, qui s’appliquera dans un premier temps aux quelque 1 700 immigrés africains qui sont détenus dans une prison de sinistre réputation »

« double régime », « sinistre répu-tation »…Une véritable démocratie se conduirait-elle ainsi ? Pas à sa connaissance !

D’ailleurs, nous rappelle t-il, « Le 16 septembre, la Cour suprême avait décidé à l’unanimité de ses membres que la loi permettant d’incarcérer sans jugement pendant trois ans des migrants illégaux était inconstitu-tionnelle. Elle bafouait une autre loi garantissant ‘’ la dignité humaine et la liberté’’ ».Un pays dont « Plusieurs commen-tateurs ont en revanche souligné que les Noirs en Israël, qu’ils soient mi-grants clandestins ou juifs originaires d’Ethiopie, pâtissent du racisme ».

Auraient-ils oublié les Arabo-israé-liens si souvent défendus dans les colonnes du quotidien ?

Des commentateurs lesquels incluent certainement la journaliste israé-lienne vivant au sein des ‘’Palesti-niens’’ Amira Hass qui établit dans le quotidien Haaretz « un parallèle entre l’Afrique du Sud de l’apartheid et l’attitude des autorités israéliennes envers les Palestiniens ».

Une publication qui dans son édito-rial affirme que l’Etat d’Israël « sous le leadership de M. Netanyahou, où la ségrégation, les législations racistes et la discrimination sur la base de la nationalité, se développent quasiment sans entraves, ne peut pas dire qu’il respecte l’héritage de Mandela, pas plus qu’il ne peut joindre la famille

des nations dont les valeurs primor-diales sont la lutte pour l’égalité et le combat contre le racisme ».

On l’aura compris, la messe est dite par Laurent Zecchini qui en très bon journaliste la fait dire par des cita-tions multiples et diverses. N’est-ce pas le BA BA du métier que de rap-porter l’information telle qu’elle est ?

La déontologie ‘’garantie’’ jusqu’au bout des ongles !Sauf qu’il n’en reste pas moins qu’une énigme reste à solutionner ! Une question logique (encore une) que peu, voire aucuns journalistes ne se posent lorsqu’il s’agit de ‘’l’entité sioniste’’.

Quelles sont les raisons du refus ab-solu des clandestins de quitter ce pays ‘’raciste’’ ? Un pays qui leur offre un billet d’avion et trois mille dollars s’ils le quittent de leurs propres vo-lontés. Une proposition à ce jour reje-tée car préférant de loin être reconnu comme réfugiés et rester à demeure dans un état gouverné, rappelons le, par « M. Netanyahou, où la ségré-gation, les législations racistes et la discrimination sur la base de la natio-nalité, se développent quasiment sans entraves…».

Le ciel leur est-il tombé sur la tête, ou Laurent Zecchini n’a-t-il montré, encore une fois, que le visage haineux qui sied tant au journal l’Immonde ?

Chacun en décidera !

Publié par Victor Perez

La messe anti-israélienne dite et redite par Laurent Zecchini

Dans une pleine page publiée il y a quelques jours dans le Parisien et dans d’autre quotidien nationaux, Brigitte Bardot par le billet de sa fondation, s’adresse en ces termes à François Hollande : « M. Le Pré-sident, Le changement, pour les animaux, c’est maintenant ! »

Elle égraine ici et là plusieurs reven-dications sur le traitement des ani-maux en parlant de la réglementation française et européenne qui imposent l’étourdissement préalable des ani-maux de consommation, à l’excep-tion notable des animaux « sacrifiés » dans le cadre de l’abattage rituel (mu-sulman et juif). L’égorgement « cruel » des bêtes sans insensibilisation pré-alable qui est considéré dit-t’elle par la Fédération des vétérinaires d’Eu-

rope, comme relevant d’une pratique « inacceptable » et dénoncée par les instances scientifiques, jugée non pertinente par le culte musulman…

Mais BB reste pour le moins assez évasive lorsqu’elle aborde le sujet des bêtes de chasse de gibier abattu par centaine de tonnes en France…ou encore le nombre d’IVG auxquelles elle eu recourt. Elle site pour terminer cette phrase de Ghandhi : « On peut juger de la grandeur d’une nation par la façon dont les animaux y sont trai-tés ». Jugez en en France par exemple on abat les bovins et les ovins au pis-tolet, ou encore au pieu dans la boite crânienne ou dans la poitrine pour les chevaux !. Bon appétit bien sûr.

YL

BB fait reparler d’elle ...


Le BNVCA se réjouit du jugement que vient de prononcer la 1ère chambre civile du TGI de Saint Etienne, qui suite à la plainte dépo-sée par le BNVCA a condamné Mr Fabrice Blanc auteur d’un blog antisémite « Un citoyen engagé » à payer à titre de dommages et intérêts 3000 euros au BNVCA et 5000 euros à son président Sammy Ghozlan .

Il est de surcroît condamné à payer au BNVCA et à son président Sammy Ghozlan 2000 euros sur le fondement de l’article 700 du Code de Procédure civile.

Nous rappelons que le sieur Blanc a été poursuivi par le BNVCA pour faits de provocation à la discrimina-tion nationale raciale et religieuse,par parole écrit image communication électronique,commis du 4 décembre 2011 au 10 juillet 2012 à Firminy, France.

La plainte déposée par le BNVCA le 6/12/2011 concernait le site « Un citoyen engagé » qui prétendait, après l’élection de Miss France, que « Même les Miss doivent être juives » ou « En France Pour accéder à la lumière, il faut être juif » ou encore « Endemol, société israélienne qui domine la production médiatique en France est dirigée par des Juifs » etc

etc.

Ce jugement intervient sur plainte déposée le 6/12/2011 par le B N V CA. L’enquête a permis d’identifier à Firminy(42700) l’auteur du blog haineux et diffamant. L’instruction a abouti au renvoi de cet individu devant le Tribunal correctionnel de Saint Etienne, qui l’a condamné le 12/11/2012 .

Le BNVCA et son président Sammy Ghozlan que le jugement déclare vic-times de ces faits, ont décidé d’assi-gner le sieur Blanc en dommages et intérêts et avait donné des ins-tructions dans ce sens, à ses avocats Maître Charles Baccouche à Paris, et Maître Florence Carafa-Peyrache de Saint Etienne.

Le Tribunal a retenu que l’auteur des faits antisémites avait déclaré « La crapule juive de Sammy Ghozlan salue ses congénères de la chambre correctionnele de St-Etienne…. » ajoutant » Le juif Sammy Ghozlan va essayer de dépouiller l’auteur du blog Le Citoyen engagé « ..

Le BNVCA reste vigilant et conti-nuera de poursuivre devant la justice tous les auteurs antisémites qui lui sont signalés.

BNVCA

Un bloggeur antisémite condamné à St-Etienne

L’ex-directeur de banque Dan Dankner, condamné pour abus de confiance, s’ajoute à la longue liste de banquiers qui se retrouvent der-rière les barreaux.

La justice israélienne vient de rendre son verdict : Dani Dankner, l’ex-directeur de banque charismatique est condamné à un an de prison et à une amende d’un million de shekels (200.000 euros). Il a été reconnu coupable de plusieurs manipulations financières : abus de confiance, blan-chiment d’argent, gestion fraudu-leuse, emprunt illégal, etc. Toutes ses malversations se sont produites au sommet de la première banque pri-vée d’Israël, dont le capital est détenu aujourd’hui par la famille Harisson.

MONTÉE ET CHUTE D’UN BANQUIER

Dani Dankner est né à Haïfa en 1960. Avec ses cinq frères, il crée un empire

financier, Dankner Investments. En 1997, l’Etat d’Israël vend une banque au groupe Harisson-Dankner. Ted Harisson en devint l’actionnaire prin-cipal et la famille Dankner un action-naire minoritaire.

En 1999, Dani Dankner fut nommé directeur-adjoint de la banque, fonc-tion qu’il devra abandonner en 2003 à demande de la Banque centrale d’Israël qui refusait à un actionnaire de la banque de remplir aussi un poste de direction. Il continuera d’exercer des fonctions importantes à la société de crédit Isracard et dans l’industrie israélienne. En 2007, la famille Dan-kner céda ses actions de la banque à la famille Harisson, ce qui permit à Dani de retrouver son poste de direc-teur de la banque.

Dès sa nomination à la tête de la banque, Dani Dankner fut soupçonné de toute une série de malversations, et notamment d’investissements ha-

sardeux aux Etats-Unis et en Europe de l’Est. En avril 2010, la police israélienne arrêta le banquier sous l’accusation d’abus de confiance et de corruption, ce qui l’a conduit à sa condamnation à un an de prison ferme.

LES BANQUIERS DEVANT LEURS JUGES

Dani Dankner n’est pas le premier banquier israélien à passer devant la justice et à être envoyé en prison. C’est en 1977 que, pour la première fois, une banque israélienne, la Israel-British Bank, fit une faillite fraudu-leuse ; son directeur Yehoshua Ben-Zion fut condamné à 12 ans de prison ferme.

Mais la faillite bancaire la plus spec-taculaire en Israël remonte à 2002 : la Banque pour le Commerce et l’In-dustrie fut victime de détournements de fonds dont s’est rendue coupable Ety Alon, une des employées de la banque : elle fut condamnée à 17 ans de prison pour avoir détourné 217 millions de shekels.

Vingt ans plus tôt, en 1983, plusieurs banquiers israéliens furent accusés de malversations pour faire monter les actions de leur banque. La Banque centrale nationalisa les cinq grandes banques israéliennes, après avoir démis leurs directeurs de leur fonc-tion. En 1985, c’est la North America Bank qui fut mis en faillite fraudu-leuse et ses dirigeants condamnés à des peines de prison.

Jacques Bendelac (Jérusalem)

Dani Dankner n’est pas le premier banquier israélien à être condamné


Chaque langue est porteuse de valeurs, d’une vision du monde, d’un système de pensée. Jusqu’aux années 80, les Tunisiens étaient clairement bilingues. A condition bien-sûr qu’ils soient passés par l’école. Aujourd’hui, ils sont nom-breux à être devenus bibègues tout en se targuant d’être de véritables arabophones.

Que s’est-il passé pour qu’en trente ans, un pays perde sa boussole lin-guistique et alimente désormais l’in-tégrisme et le terrorisme ? Peut-on dire que la perte de la langue fran-çaise a contribué à faire le lit du fon-damentalisme et de la violence ?

La réponse à ces questions nécessi-terait une longue analyse. Essayons toutefois d’au moins défricher cette problématique qui mérite d’être dis-cutée. Quelques remarques devraient ainsi nous permettre d’ouvrir la dis-cussion en évoquant quelques points contradictoires, quelques éléments porteurs de rupture.

1. Comment un pays perd-il sa deu-xième langue ? Question ardue car, en réalité, c’est une stratégie d’Etat qui a mené à cette nouvelle situa-tion linguistique. Dans les années soixante, l’arabisation mise en œuvre dans le domaine de l’éducation a por-té ses fruits douteux et fait basculer un pays entier.

En un peu plus de deux décennies, cette politique qui combattait la langue française a débouché sur des résultats graves. Le bilinguisme tuni-sien était sapé à la base. La langue française était victime d’une tentative d’éradication marquée du sceau de l’hypocrisie.

En effet, ceux qui menaient tambour battant la politique d’arabisation avaient en ce qui les concerne pris le soin d’inscrire leurs enfants dans les établissements français. Rien que pour cette raison, le projet arabisant s’apparentait à une confiscation de la langue française à laquelle le peuple n’aurait plus accès et qui devenait le privilège des élites du pays. De fait, détruire la langue française revenait à préparer le terrain à une montée du fondamentalisme.

Cette dépossession du français a été d’ailleurs le seul véritable résultat de l’arabisation en Tunisie. Car, par ail-leurs, l’enseignement de l’arabe était si catastrophique que la Tunisie a fini par se retrouver avec cette génération bibègue et ce pouvoir burlesque qui la représente.

2. La langue des medias est d’ailleurs à l’image de cette situation linguis-tique. A la radio surtout, on parle un arabe populiste qu’on saupoudre de quelques termes en français pour faire bonne mesure. Cette langue névrotique tend d’ailleurs à devenir celle du débat politique. Ce qui est

surprenant, c’est que cette langue sans queue ni tête s’est banalisée à l’extrême, portant les germes d’une déroute linguistique.

3. Pourquoi affirmer que c’est aussi la perte du français qui a fait le lit de l’intégrisme et de la violence ? Parce que cette perte a justement fait bas-culer dans un référentiel qui n’est pas celui de la Tunisie de toujours. Avec l’arabisation telle qu’elle fut menée, il devenait pour un Tunisien plus aisé d’accéder au discours d’un prêcheur wahabite et cathodique qu’à celui d’un intellectuel francophone. Je parle bien du Tunisien moyen car la classe aisée n’a jamais rompu avec la langue française devenue un pépie-ment solitaire, confiné dans les salons de la bourgeoisie et les cercles uni-versitaires privilégiés et ignorants du pays profond voire du pays tout court.Simultanément, les petits écrans étaient envahis de productions en-fantines doublées en dialecte arabe du Golfe qui venaient supplanter la production nationale y compris en langue dialectale. Ceci est d’ailleurs un fait essentiel et indiscutable : la langue française a été éradiquée du paysage télévisuel national et se résu-mait à la production d’un télé journal. D’autre part, avec des complicités qu’il faudra un jour démêler, la télé-vision a commencé à s’adresser aux enfants en... saoudien ! Je le répète ce sont là des faits indiscutables.

4. Le recul du français est aussi le résultat de la politique culturelle fran-çaise en Tunisie. Cette politique a fait le choix d’accompagner les élites et seulement les élites. Des sommes impressionnantes ont été dépensées pour les caprices d’une certaine bour-geoisie tunisoise qui contrôlait les ré-seaux et se targuait de créativité artis-tique. Ces connivences ont d’ailleurs connu leur apogée sous le ministère Mitterrand. Malheureusement, rien n’est fait pour le moment afin de rectifier le tir et soutenir la langue française dans sa vocation à demeu-rer l’une des deux langues d’usage du peuple tunisien.

Pourtant, les responsables culturels français peuvent aisément com-prendre que celles et ceux qui font la queue pour s’inscrire en cours de langue ne sont pas les enfants de la bourgeoisie mais bien ceux des classes moyenne et populaire, dépos-sédées du français. Pourquoi donc cette perte du français ? Parce que la langue de Voltaire est devenue en Tunisie une langue de classe à cause d’une arabisation mal pensée côté tunisien et d’une politique mal ciblée côté français.

5. Pour sortir de cette impasse, pour éduquer une nouvelle génération dans une véritable égalité des chances, il est temps de rendre à la langue française sa vocation de langue d’ouverture sur le monde, aux côtés de l’anglais qui n’est pas mieux prati-qué en Tunisie. Sinon, la Tunisie sera condamnée à faire encore et toujours le lit de l’intégrisme tout en prépa-rant le terrain à un protectorat de fait : celui des monarchies du Golfe qui considèrent que la Tunisie est d’ores et déjà tombée dans leur escarcelle.

Y.PEREZ

Tunisie : La perte du français a fait le lit de l’intégrisme

Sous prétexte de concurrence, le gouvernement israélien veut créer des ports privés en Israël : la so-ciété Bolloré a répondu à l’appel d’offres.

En fin de semaine, les employés du port d’Ashdod ont déclenché une grève surprise : ils refusent de por-ter le gilet de sécurité jaune que les règlements intérieurs rendent obli-gatoire. C’est justement pour évi-ter des grèves sauvages de ce type, tout comme pour briser les comités d’entreprise, que le gouvernement israélien veut créer un ou deux nou-veaux ports qui seront gérés par des entreprises privées. Ces ports seront installés à Ashdod ou à Haïfa, voire simultanément dans les deux villes.

PRÉTEXTE DE CONCUR-RENCE

Le gouvernement israélien veut donc

étendre le processus de privatisation aux installations portuaires du pays ; son credo est simple: en augmentant la concurrence entre les ports israé-liens, les salariés du secteur public réfléchiront par deux fois avant de déclencher un conflit ou d’exiger une augmentation de salaire.

Le prétexte de la privatisation est donc la relance de la concurrence dans le secteur portuaire. Un appel d’offres a été lancé pour choisir la société qui prendra en charge l’ex-ploitation de nouveaux terminaux portuaires qui seront créés sur la côte méditerranéenne d’Israël. Quatre propositions ont été soumises par des groupes internationaux : le groupe hollandais Terminal Investment Limited (TIL), le groupe allemand Eurogate, la société International Container Terminal Services Inc. (ICTSI) enregistrée aux Philippines, et le français Bolloré.

PARTENARIAT PORTUAIRE PUBLIC-PRIVÉ

Le cahier des charges détaillé dans l’appel d’offres est strict : le candidat doit faire preuve d’une expérience d’exploitation de trois installations portuaires au cours des deux der-nières années, tandis que chaque ter-minal doit justifier d’un trafic annuel de conteneurs de 750 TEU (unités équivalents à 20 pieds).

Selon la décision du gouvernement israélien, c’est l’Etat d’Israël qui financera la création des nouveaux

ports pour un coût estimé à 5 mil-liards de shekels (1 milliard d’euros) chacun. Les sociétés privées rece-vront la concession du port, et elles seront responsables de son exploita-tion, y compris de l’emploi des sala-riés et de l’achat du matériel lourd.

PRÉSENCE EN AFRIQUE

Le groupe français Bolloré répond à toutes les exigences de l’appel d’offres d’Israël. L’entreprise ex-ploite 15 terminaux à conteneurs et 11 ports secs dans le cadre de parte-nariats public-privé. Les métiers lo-gistiques de Bolloré sont le transport routier, la logistique de projets indus-triels, la gestion des colis exception-nels, le transport ferroviaire, le trans-port aérien, le transport par barge, la manutention portuaire, les services maritimes, la réparation de navires et la gestion d’entrepôts.

C’est en 1927 que le groupe français débute ses activités au Sénégal. En 2008, la société Bolloré Africa Logis-tics est créée pour regrouper les acti-vités d’infrastructure et de logistique du groupe Bolloré sur le continent africain. La société est déployée dans 55 pays dans le monde, dont 45 en Afrique, avec 250 filiales et 25.000 salariés en 2013. La société compte notamment des filiales en Chine, en Inde, en Australie, aux Philippines, à Dubaï, en Grande-Bretagne, aux États-Unis, en Espagne, au Portugal et en France.

Jacques Bendelac (Jérusalem)

Privatisation des ports israéliens : le français Bolloré est en lice

Notre paracha annonce l’amorce de la Guéoula-la délivrance. Pour-tant, nous voyons le peuple d’Israël subir des souffrances atroces en Egypte et ses cris « ébranlent » même le Trône divin. Aucun peuple de l’antiquité avant lui ne pu s’ex-traire de l’Egypte et pourtant nos pères y ont cru de toutes leurs forces. Nos sages disent que la sor-tie d’Egypte est le fondement même de la Emouna-la foi juive. «Zeker létsiat Misraïm», cette sortie d’Egypte est mentionnée partout dans toutes les prières, le kidouch, le Chema Israël etc …D’ailleurs lorsque D-ieu se révèle au Mont Sinaï au Bné Israël il déclare : «Ani Achem élokhékha Achér otsitékha meérets Mitsraïm Mi bêt avadim» Je suis l’Eternel ton D-ieu qui t’es fait sortir d’Egypte de la maison d’esclavage! . Le Rav Fraji Uzan zatsal faisait remarquer : «Achem

dans sa toute puissance aurait du déclarer d’emblée : «Ani Achem Béritekha - Je suis l’Eternel ton D-ieu qui ta créer!», mais les hommes disait-il, auraient douté de cette affirmation, étant donné que nul homme n’y avait assisté! C’est la raison pour laquelle D-ieu a dit : «Je vous ai fait sortir d’Egypte!». «Vos yeux ont vu ce que nul homme avant vous n’a pu voir! Ces pro-diges et ces miracles que vous avez vécus en Egypte, vous ne pourrez jamais les renier». Achem se pré-sente effectivement, comme celui «qui a fait sortir Israël de l’Egypte» et non pas comme le Créateur du monde. Pourquoi cette centralité de la sortie d’Egypte et pourquoi celle-ci a-t-elle prééminence sur la dimension d’Achem créateur? La réponse nous est donnée au début de la paracha Vaéra. D-ieu dit a Moché que c’est seulement à lui et à

sa génération qu’il se révèle dans la dimension d’Achem (youd hé vav hé) c’est-à-dire du Tétragramme ineffable alors qu’aux patriarches, il n’avait révélé que la dimension d’El Chaddai!.

Quelle différence y-a-t-il entre ces deux noms de D-ieu? Le premier cité se dévoile dans la nature, celle qui organise et structure les lois de cette même nature qu’il a créé. Le nom de Elokhim connote également cette même dimension, c’est parce que créer, implique forcément assigner des limites à l’univers pour qu’il soit stable et surtout durable. Mais qui dit limite, dit aussi justice, qui est à l’ opposé de la «Rahmanout»-la mi-séricorde divine qui elle ne connaît aucune limite, comme nous le disons dans les supplications quotidiennes. Le Ari zal akadoch écrit que dans l’acte de créer, Achem, paradoxa-lement, «s’éloigne» de ses attributs qui sont la bonté et la miséricorde. Par conséquent, le monde a été créé par l’attribut de justice. Et c’est cette dimension là qu’Achem a révélée à nos patriarches. Leur mérite fut d’ailleurs d’autant plus grand, qu’ils ont cru à la dimension supranaturelle sans que celle-ci ne s’exprime encore dans le monde de manière mani-feste comme ce fut le cas en Egypte par des phénomènes surnaturel. La grandeur que D-ieu dévoile à Moïse, puis aux Béné Israël, c’est celle d’un D-ieu intervenant directement dans l’histoire en modifiant les lois de la nature qu’il avait lui-même fixés lors de la création initiale. À l’image d’un «technicien, ou d’un ingénieur qui in-tervient sur un système extrêmement sophistiqué» C’est tout cela la sortie d’Egypte, disaient notre maitre le Rav Emmanuel Chouchena zatsal. Le verset dit : «L’Eternel parla à Moïse et Aaron et leur ordonna au sujet des enfants d’Israël... Rachi explique : «l’Eternel recommanda à Moise et Aaron de les conduire avec beaucoup de patience et de tolérance» il leur dit : «Mes enfants sont irritables et

difficiles à convaincre «Am kache oref». Soyez avertis! Ils pourraient même vous agresser et peut-être vous lyncheront-ils». Le devoir pour un dirigeant juif est d’être patient et bienveillant comme il est rapporté dans le Talmud Sanhédrin qui décrit les qualités requises pour devenir Juge Dayane.»Jusqu’à quel degré peut-il être à l’écoute des gens et tolérer leurs turpitudes?» demande-t-il. «Porte-le dans ton sein comme la nourrice porte son nourrisson» . Même si un plaideur a un compor-tement particulièrement impétueux, le Dayane se doit de rester calme et patient et l’écouter jusqu’au terme de son plaidoyer.L’importance de la patience ne se limite pas au seul devoir des juges, mais s’applique à toutes les relations humaines: Maitre à l’élève, parent à enfant, mari à l’épouse, un dirigeant à un subordonné. En un mot tout lea-der se doit de retenir ses impulsions, à l’image de Moïse qui fut un exemple. La Sortie d’Egypte est le prototype de toutes les libérations futures. Mais avant cela il y aura trois buts à atteindre! Le premier sera de faire connaître les attributs de la Rahma-nout de D-ieu- de sa clémence et nous l’observons dans chacune des 10 plaies que D-ieu fait subir aux égyp-tiens dès le début de cette paracha.

Le second but est d’octroyer le Bien à tous individus, c’est-à-dire de faire disparaître le mal sur terre afin que seule la bonté divine soit manifeste! Cette dimension de la fin des temps n’apparaitra qu’avec le Machiah dont nous avons eu « un avant goût » à la sortie d’Egypte le 15 Nissan. Il res-tera à atteindre alors, le troisième but, car si le Bien règne en Maître absolu cette nuit du 15 Nissan, il n’en de-meure pas moins que Pharaon n’a pas encore reconnu le Bien comme seule source de tous les êtres sur terre, y compris lui-même.

La troisième finalité est en effet que le mal doit reconnaître que sa source est

le Bien ! C’est la raison pour laquelle dit le Midrach, Pharaon dira dans la Chira-le Cantique de la Mer Rouge que nous récitons tous les matins : «Mikamoka Baélim Achem mikamo-kha néédar bakodéch» « Qui t’égale parmi les d-ieu, oh Eternel qui est comme toi, habillé de sainteté».

Et lorsque le monde reconnaîtra enfin cette souveraineté divine, on pourra alors affirmer que l’époque messia-nique est bien arrivée. Nous verrons ainsi s’élever le monde de la matéria-lité dans laquelle il se trouve, vers la spiritualité parfaite, y compris même la «matérialité» se trouvant à l’inté-rieur même de nos synagogues…

Nous avons en tant que juif une part importante à prendre pour atteindre cet objectif, grâce notamment à notre investissement dans l’étude de la Thora et à la diffusion des ensei-gnements de nos sages mais aussi en soutenant des œuvres de thora. On comprend mieux ainsi pourquoi il est important pour nous de rappeler nuit et jour la Sortie d’Egypte «Kol yémé haiékha» à chaque jour de notre vie.

Yvan Lellouche

Cette paracha est dédiée à la mé-moire de Yossef-Max Bar Esther Levy qui nous a quittés la semaine dernière et qui manquera à toute la grande famille de Chivté Israël dans le 12éme arr.


Parachat Vaéra : L’aube de la délivrance d’Israël

La start-up israélienne TabTale est l’une des sociétés de jeux actuelles les plus prospères. Elle développe des livres interactifs, des jeux et des applications éducatives pour les enfants. TabTale dispose d’un catalogue de plus de 240 applica-tions, dont une grande partie gra-tuite, (présentées sur l’App Store d’Apple, Google Play et Amazon App Store), conçues pour les en-fants âgés de 7 à 13 ans. Ce cata-logue a été établi par la société en seulement trois ans; aboutissant à un total de 220 millions de téléchar-gements, 20 millions d’utilisateurs actifs par mois et générant 15 mil-lions de dollars de revenus annuels.

Actuellement, les applications mo-biles éducatives rencontrent un vif succès et la demande de contenu d’apprentissage de qualité est en croissance rapide. Le marché est donc porteur pour les éditeurs d’applica-tions.

En septembre dernier, TabTale a atteint la 8ème place des téléchar-gements sur App Annie (la start-up spécialisée en data mobile permettant le suivi de performances d’applica-tions). Cela place TabTale parmi les leaders du secteur, à côté d’Electronic Arts, Rovio (éditeur de Angry Birds) et Disney.

La société a récemment commencé à

distribuer également des jeux d’autres sociétés. Quelques mois après la sor-tie du jeu «Pet a Pet «, qui permet aux enfants de prendre soin d’un chiot vir-tuel, il distribue Disky développé par les Studios israéliens Plaid Games. Tabtale a racheté le développeur d’applications, Kids Games Club, en janvier 2013 et envisage de nouvelles acquisitions.

L’entreprise a été fondée en 2010 par Sagi Schlisser (PDG), Oran Kushnir (Président) et Nir Bejerano (Direc-teur de la Technologie). A ce jour, elle compte environ 50 employés dans son centre de R&D à Petah Tikva.Une croissance rapide

TabTale a également annoncé avoir levé 12 millions de dollars lors de son second tour de financement. Magma Venture Partners , l’investisseur principal du premier tour, a conduit le nouveau cycle et a été rejoint par Qualcomm Ventures, avec la contri-bution de Vintage Investment Par-tners et d’investisseurs privés. Depuis la création de TabTale, Magma Ven-ture Partners a mené tous les tours de financement depuis le premier inves-tissement de la société enregistré en 2011. Ce dernier tour de financement porte l’investissement total de la

société, à ce jour, à 13,5 millions de dollars.

Le PDG et co- fondateur, Sagi Schlis-ser, a expliqué que “le capital aidera TabTale à poursuivre la réalisation de sa stratégie de croissance rapide pour devenir l’une des sociétés de jeux de premier plan dans le monde”. L’entre-prise a l’intention d’utiliser le capital pour acquérir d’autres sociétés du secteur et embaucher de talents sup-plémentaires.

Sagi Schlisser a ajouté :“En moins de trois ans, nous avons atteint la rentabilité et nous sommes toujours l’un des meilleurs éditeurs dans App Store, Google Play et Amazon Mar-ket Place. Magma Venture Partners et Qualcomm Ventures ne sont pas sim-plement des investisseurs énormes, ils sont aussi de véritables partenaires nous aidant à construire notre entre-prise”.

Modi Rosen , directeur général de Magma Ventures a déclaré, “Nous avons investi dans TabTale dès ses débuts car nous avons réalisé le po-tentiel du marché et les qualités de son équipe de direction et nous sommes très heureux de sa croissance rapide et de son expansion. Nous espérons

que ce tour de financement permettra à TabTale de devenir une entreprise véritablement multinationale.”

Pour Mony Hassid , de Qualcomm Ventures, “Le jeu et l’éducation sont au cœur de l’évolution mobile. Les enfants utilisent des appareils mo-biles et des applications à un rythme croissant,TabTale est à la pointe des médias utilisés par les enfants”.

Quand le PDG de TabTale parle de croissance rapide, il fait référence à la stratégie d’avenir de l’entreprise de rechercher des producteurs de contenu et de leur offrir la possibilité de voir leurs marques ludifiées, (gamified en anglais) par TabTale. C’est l’image mise en avant par Elinor Schops, la responsable du business développe-ment chez TabTale; «D’abord, nous avons préféré mettre en place notre propre marque et construire notre propre contenu. Désormais, avec notre large base d’utilisateurs, nous avons ce qu’il faut pour contacter d’autres fournisseurs de contenu et leur offrir la possibilité de vendre leurs propres applications

Vanessa Lamaire

Source: http://siliconwadi.fr

Tab Tale : la petite start-up israélienne qui défie Disney


Un soldat juif de l’armée améri-caine était parmi les militaires tués dans un accident d’hélicoptère en Afghanistan, selon un communiqué publié par l’armée américaine.

Diplômé de l’École Schechter,dans le Missouri, Salomon Silverman, est l’un des six soldats américains tués ce mardi 17 Décembre 2013, dans leur hélicoptère UH-60 Black Hawk qui s’est écrasé dans le sud de l’Afgha-nistan.

L’adjudant-chef Joshua B. Silver-man, 35 ans, est mort de ses blessures suite à l’accident, qui est actuelle-ment sous enquête.

Silverman était diplômé de Schech-ter en 1990. Il laisse derrière lui ses parents, Susie et Barry Silverman, qui vivent maintenant à Aurora, dans le Colorado. Il était membre à vie de la Congrégation B’nai Emouna selon le rabbin Shalom Carnie.

Le ministère de la Défense a déclaré que cinq des six soldats, dont Silver-man, avaient été affectés à la Première Division d’infanterie Brigade d’avia-tion à Fort Riley, Kansas. Silverman a vécu à Scottsdale, en Arizona.

Un service commémoratif a eu lieu ce vendredi 20 Décembre 2013 à 08h00, à l’école communautaire juive de Saul Mirowitz.

Un soldat juif de l’armée américaine tué en Afghanistan

Les sapeurs de la police ont re-cueilli ce matin ( lundi ) des frag-ments d’une roquette Kassam que les Palestiniens ont tiré cette nuit à partir de la bande de Gaza vers la zone de Hof Ashkelon.

La roquette a été retrouvé plusieurs heures après près d’un arrêt de bus

utilisé par les écoliers. Personne n’a été blessé dans l’attaque mais l’arrêt de bus a subi des dommages. Dimanche soir, le code rouge a été declanché dans plusieurs collectivités de la région à l’est de la ville d’Ash-kelon, cette alerte met en garde les habitants du Sud contre des roquettes ou des missiles en provenance de la

bande de Gaza.

Plus tôt ce mois-ci , trois roquettes Qassam ont été tirées de la bande de Gaza vers le territoire israélien, toutes ont atterri dans des terrains vagues de la bande de Gaza.

Le mois dernier, Israël et Gaza ont célébré l’ anniversaire des un an de l’Opération » Pilier de la Défense « , une offensive de huit jours lan-cée par Israël pour enrayer les tirs de roquettes à partir de Gaza. Le tir de cette nuit vient se rajouter a l’attentat de Bat Yam et la tentative d’attentat prés de Maalé Adumim.

Il est clair que ce tir de roquette ne sera pas impuni, Tsahal a déja pré-venu a maintes reprises que tout tir de roquette sera suivi d’une replique sévère de la par d’Israël…

par David ILLOUZQuoi de 9 en israel

Une roquette tombe près d’un arrêt de bus pour enfants à Ashkelon !

La tentative d’attentat a eu lieu près d’un barrage de police à Mis-hor Adumim (route entre Jérusa-lem et la mer Morte), près de Maalé Adumim.

Trois arabes sont sortis d’un taxi près du barrage et ont commencé à avan-cer vers les policiers. Un d’entre eux tenait un couteau.

Un des policiers a vu l’homme au couteau et a prévenu ses équipiers. Ils ont réussi à arrêter les trois arabes, qui ont été emmené pour interroga-toire.

Personne n’a été blessé dans l’inci-dent.

Une autre attaque terroriste déjouée près de Jérusalem

Les passagers du bus à Bat Yam où a explosé une bombe dimanche après-midi ont attribué le fait que personne n’a été tué à un miracle. La police a déclaré que sur la base de leur enquête initiale, l’explosion dans le bus numéro 240 reliant Bnei Brak à Bat Yam était due à une bombe placée par des terro-ristes arabes.

Une personne, un agent de l’équipe de déminage de la police, a été blessé alors qu’il s’approchait du colis sus-pect dans le bus. Un porte-parole de

la compagnie de bus Dan a dit qu’il y avait une douzaine de passagers dans le bus quand un passager a alerté le chauffeur qu’il y avait un objet sus-pect a bord. L’objet était dans un sac, que l’un des passagers a ouvert. Re-marquant qu’il y avait des fils sortant du sac, le passager a alerté le chauf-feur, qui a immédiatement évacué les passagers.

Des témoins ont déclaré qu’il y avait beaucoup de dégâts à l’arrière du bus, indiquant que l’engin explosif était assez puissant. « Imaginez si le bus

avait été plein, ou que le chauffeur n’avait pas évacué tous les passa-gers du bus, ou si tout le monde avait ignoré le sac, » a déclaré un témoin. « C’est un vrai miracle que tout le monde a été sauvé. »

Le policier qui a été blessé quand la bombe a explosé a été légèrement touché, a indiqué la police. L’engin a explosé alors qu’il se rendait dans le bus, et il a été blessé par des éclats de la bombe qui l’ont frappé alors qu’il entrait dans le bus.

Le conducteur du bus, Michael Yo-ger, a déclaré aux journalistes que « une femme m’a dit qu’il y avait un sac sans surveillance dans le bus. J’ai demandé à qui il appartenait, mais personne n’a répondu, et quand j’ai réalisé qu’il avait été abandonné dans le bus, j’ai pressé tous les passagers de l’évacuer. Dans les dix minutes, la bombe explosait. »

« Le sac était grand, » a déclaré Yoger. « Un des passager l’a ouvert et a vu des fils. C’était vraiment un miracle que nous avons tous été sauvés. »

Israël – Une explosion dans un bus à Bat Yam fait un blessé


EXCLU : le hacker de Dieudonné se confie à i24news«Les racistes qui se cachent der-rière un écran doivent comprendre qu’ils ne sont pas à l’abri»Depuis une dizaine de jours, la toile s’agite autour d’un piratage informa-tique : le site Internet de Dieudonné M’bala M’bala a été piraté - on parle de l’affaire Dieudoleaks.

Le hacker a mis en ligne près de 10 000 noms, prénoms, courriels et adresses postales de personnes qui suivent l’actualité de Dieudonné, de clients de sa boutique en ligne ou de «quenelleurs.»

Jusqu’au début des années 2000, Dieudonné était un humoriste de talent qui jouait en binôme avec un comédien juif nommé Eli Sémoun. Mais un jour, invité sur un plateau de télévision pour faire un sketch, il dérape. D’un ode à un invité (ce qui était prévu), il tente de faire rire le pu-blic, habillé en «colon de l’axe amé-ricano-sioniste» et termine son show avec un Heil Israel, le bras tendu à la mode nazie.

Depuis, Dieudonné va de mal en pis. En 2008, il créé le Parti Anti-Sioniste pour les élections européennes. Il affiche le logo du Hezbollah sur ses affiches de spectacle, il rencontre à plusieurs reprises Mahmoud Ahma-dinejad. Et il ne se cache plus derrière l’anti-sionisme. Sur scène, il congra-tule des antisémite et négationnistes de la Shoah. Banni des médias tra-ditionnels, il est condamné à plu-sieurs reprises pour antisémitisme.... Malgré cela, il n’en reste pas moins «l’artiste» qui vend le plus de DVD en France.

I24News : Qui est derrière le pira-tage du site Dieudosphère ?Je suis seul. J’ai plusieurs fois nui aux sites Internet de Dieudonné et d’Alain Soral (ndlr: un idéologue d’extrême droite). J’ai aussi déjà atta-qué d’autres sites, mais c’était moins médiatisé.

Dieudonné ne peut pas m’identifier et jusqu’à présent, toutes les informa-tions qui circulent sur les probables «hackers», les photos et les adresses, n’ont rien à voir avec moi.

I24News : Quel était votre objectif en piratant le site Dieudosphère.com ?C’est tout simplement de nuire à Dieudonné et à ceux qui le sou-tiennent.

Dieudonné se sert de la scène, de son métier d’humoriste, pour glisser un message antisémite. Et c’est là le plus dangereux. S’il se présentait tel qu’il est réellement, c’est-à-dire comme un homme politique, il ferait rire beau-coup moins de monde avec le même message. C’est donc quelqu’un de dangereux. D’autant plus dangereux

quand on voit que son public est sou-vent inculte.

Il est anti-américain, conspiration-niste, antisémite et anti-sioniste.

Il parle des Juifs en des termes qui déshonorent l’humanité. «Ilan Halimi (juif enlevé à Paris puis séquestré et torturé en janvier 2006 par un groupe se faisant appeler le « gang des bar-bares »), on en a fait un panini...» je ne vois pas où on peut rigoler avec ça !

I24News : Donc vous ne regrettez pas la mise en ligne des données personnelles de ses fans?Non. Ce sont des gens qui se cachent derrière Internet pour libérer la parole antisémite.

Internet ne doit pas et ne peut pas être un refuge pour la haine. Les racistes qui se cachent derrière un écran doivent comprendre qu’ils ne sont pas à l’abri et que leur identité peut être dévoilée. Ils doivent prendre leurs responsabilités.

I24News : Que dire à ceux qui pen-sent que la quenelle n’est pas anti-sémite ?Il y a des gens qui vont devant un camp d’extermination avec pour idée de faire ce signe antisémite. Et quand bien même ce geste ne serait pas antisémite, comment quelqu’un peut aller à Auschwitz, ou dans la maison d’Anne Franck, pour relayer le geste d’un «humoriste» qui se moque de la Shoah. C’est de la haine !

Celui qui fait une quenelle avec ses amis, j’en ai rien à faire. Mais réflé-chissez : il faut quand même avoir de la suite dans les idées pour se faire prendre en photo et l’envoyer chez Dieudonné pour participer à un concours de la «plus belle quenelle.»

I24News : Les fans de Dieudonné dénoncent «les listes» que vous avez mises en ligne. Ils affirment que vous répétez ce que faisaient les délateurs...Ces gens sont les premiers à compa-rer tout ce que nous faisons à ce qu’ils nous ont fait !

Pour eux, Israël c’est le 3ème Reich. Les Juifs sont des SS. Aujourd’hui, ils nous accusent de publier des listes, comme leurs grands-parents le fai-saient ! Mais cela n’a rien à voir, je ne donne pas les emails d’innocents ! A partir du moment où ils font quelque chose que je juge illégal, c’est-à-dire faire de la politique raciste et antisé-mite, je continuerai à agir.

Dieudonné est un politicien. Son compère n’est plus Elie. Mais Alain (ndlr : Soral) - celui-là même qui écrivait les discours de Jean-Marie Le Pen. Ses autres compères sont

Yahia Gouasmi, le responsable de la propagande iranienne en France. Il a créé une liste politique dite Parti An-ti-Sioniste. Il pose en photo avec des écharpes du Hamas ou du Hezbollah, deux organisations terroristes.

Dieudonné est un homme politique antisémite. Il devrait être interdit. S’il était skinhead, il serait en prison. Tout le monde l’aurait dénoncé. Mais là non. Des gens rigolent. Alors oui, il sait bien faire des grimaces, mais il sait aussi que c’est facile de se mo-quer des Juifs. Il dit qu’il prend des risques ? Mais jamais un Juif n’a jeté un cocktail Molotov contre un oppo-sant.

I24News : Certains disent que vous lui faites de la publicité en le com-battant...Ceux qui pensent comme ça sont ceux qui nous posent des problèmes ; à nous les Juifs.

Il faut arrêter de tendre l’autre joue pour se faire bien voir. Nous sommes

dans un monde où on ne respecte que les forts. Il faut arrêter de baisser la tête et d’accepter de prendre des claques.

Je suis certain que le piratage, malgré tout ce qu’il dit, l’embête vraiment.

Les gens ont aujourd’hui peur d’aller sur son site. Petit à petit, ils prennent conscience de la réalité.

La solution de facilité, celle de ne rien faire, est la pire de toutes.

I24News : Pourquoi ne laissez-vous pas faire la justice ?Cela fait des années que la justice ne fait rien. Depuis quelques semaines, les choses semblent évoluer. Manuel Valls et François Hollande ont pris la parole pour dénoncer la haine de Dieudonné. Mais comment peut-on laisser en liberté quelqu’un qui com-pare les Juifs à des chiens ? Je crois vraiment que l’on peut rire de tout. Des Juifs... Même de la Shoah, même si j’ai du mal avec ça. On peut en rire,

mais avec de la haine dans le regard. Le racisme, ce n’est pas un droit ou une opinion. C’est un délit !

La direction de Radio France a décidé vendredi de saisir la justice après des propos antisémites de Dieudonné visant l’un de ses journalistes Patrick Cohen. Un reportage diffusé dans l’émission Complément d’enquête sur France 2 jeudi montrait Dieudon-né s’en prendre à Patrick Cohen, le présentateur de la matinale de France Inter, lors d’un spectacle au théâtre de la Main d’Or, à Paris. M. Cohen avait récemment estimé choquant que Dieudonné puisse encore être invité à s’exprimer sur des plateaux de télé-vision.

Dieudonné a déjà été condamné six fois par la justice pour avoir tenu des propos antisémites. Fin novembre, il a du verser une amende de 28 000 euros pour diffamation, injure et pro-vocation à la haine et à la discrimina-tion raciale.Propos recueillis par Simon Urbain

Quels sont pour vous, en 2013, les actes du gouvernement qui ont le plus malmené la France ?La mission d’un gouvernement est d’assurer le bien-être de sa popula-tion.

Renforcer la liberté d’expression, améliorer le processus démocratique, assurer la sécurité sans laquelle une société ne peut fonctionner harmo-nieusement, gouverner sans faire d’injustice, améliorer son niveau et ses conditions de vie, font donc partie de ses obligations.

Hélas, c’est à une lame de fond méprisante, anti-démocratique, une succession d’atteintes à la liberté de parole et au respect du peuple, une offensive tous azimuts contre les fon-

dements du droit naturel : la famille, la propriété, la jouissance du fruit de son travail, que les Français se sont heurtés, en 2013.

A bien y regarder, cela envoie l’image d’un président agressif derrière son humour, intransigeant derrière sa bonhomie, implacable derrière l’image de faiblesse que les médias ont construit, indifférent à la misère grandissante, et froidement déterminé à visser dans une France humiliée, exsangue et agenouillée, la présence irréversible d’une immigration arabo-africaine destructrice de ses repères, et des beautés de sa culture.

De toutes les offenses dont le gou-vernement socialiste s’est rendu cou-pable, laquelle ou lesquelles vous ont le plus heurté ?

© Hervé Roubaix


Comment notre couillon de premier ministre a-t-il pu demander le rapport sur l’intégration ?

Je regarde une superbe émission sur France 2, elle nous présente les trésors que recèle notre pays.

Nous voyons à travers de magni-fiques paysages, une faune des plus intéressante.

Ce reportage nous présente des ani-maux mais aussi des hommes et des femmes qui soignent et protègent ces animaux. Nous voyons une femme s’occuper de jeunes biches bles-sées, de jeunes renards, tout autant d’oiseaux qu’elle soigne comme ses propres enfants.

Un homme nous est aussi présenté, il travaille à donner une identité aux oiseaux mais prévient les paysans de ne pas rouler sur des oiseaux qui nichent à terre.

Voila, je voulais parler de cette civili-sation d’hommes et de femmes géné-reux qui soignent, protègent les ani-maux. Est-il nécessaire de parler de ceux qui aident les humains ?

Cela pour dire aux couillons que nous avons à la tête du pays, comment pou-vez vous envisager le remplacement de populations auquel vous travaillez.

Vous proposez de remplacer cette ma-gnifique civilisation généreuse, par une autre qui ne vit que dans le com-bat, la haine des humains et des ani-maux. Une civilisation qui ne consi-dère pas la femme égale de l’homme, qui la contraint à cacher le corps et le visage dont la nature l’a dotée. Une civilisation que nous voyons se combattre avec la plus sauvage des barbaries. Ne vous souvenez vous pas de ces africains humiliés, mas-sacrés, par des musulmans au seul motif qu’ils étaient noirs. Ne voyez vous pas ce qui se passe en Syrie. Des sauvages ont aussi pillé les morts et blessés du train qui avait déraillé dans la banlieue Parisienne.

Faits que vous avez lamentablement tenté de cacher.

Ne vous souvenez vous pas de ce que les sauvages du FIS, faisaient subir à leurs frères algériens. La liste de ces sauvageries est énorme. C’est pour-quoi je vous demande : Vous rendez vous compte de l’énormité de votre projet ? Et pensez vous sincèrement que les Français vous laisseront faire ?Par:Bernard Atlan


20 employés de la companie des eaux de Tel-Aviv ( Water Corporation Tel Aviv ) ont été arrétés ce matin, y compris des cadres de l’entreprise, ils auraient touché des pots de vin d’un entrepreneur en échange du paie-ment de fausses factures listant des réparations fictives.

L’enquête a été menée par l’unité 433 et l’administration fiscale ( les unités d’ enquêtes sur la TVA et les impôts sur le revenu). Des agents du trésor accompa-gnés par le procureur de Tel Aviv ont perquisitionné ce matin avec la police les maisons des suspects et leurs bu-

reaux, ils ont procédé a des recherches approfondies. L’enquête a duré plu-sieurs mois dans le plus grand secret.Les employés ont été arrêtés pour cor-ruption, falsification de documents d’entreprise, fraude, abus de confiance, escroquerie, faux, blanchiment d’ar-gent et la fraude fiscale.Dans l’après-midi, la police décidera du nombre de détenus qui seront pré-sentés devant la Cour de Rishon Lezion pour discuter de la prolongation de leur détention.

Koide9 in israelPublié par David ILLOUZ

Corruption présumée au sein de la « Water Corporation Tel Aviv » : 20 suspects arrêtés

Cent ans après sa découverte, la supraconductivité est l’un des sujets de recherche les plus étudiés à tra-vers le monde, autant pour sa com-préhension du côté fondamental que pour ses nombreuses applications. L’institut Weizmann a fait un saut quantique vers la compréhension de la « supraconductivité », phéno-mène quantique qui se produit uni-quement lorsque certains matériaux sont refroidis à des températures extrêmement basses. Ces matériaux perdent alors toute résistance au courant électrique et expulsent les champs magnétiques en leur sein.

Bien qu’ils soient utilisés dans toutes sortes de scanners IRM ou pour les accélérateurs de particules, la physique qui sous-tend le comportement des supraconducteurs n’est pas encore plei-nement comprise. Entre autres, les ma-tériaux supraconducteurs se trouvent dans les mêmes SQUIDs utilisés pour mesurer les propriétés supraconduc-trices.

Des Nano-SQUID sont placés sur des sondes pour analyser et mesurer le champ magnétique en différents points sur un échantillon, formant une image de la surface – un peu comme la création d’une carte de température d’une main par la mesure de la température à diffé-rents points sur les doigts et la paume. Même des SQUID très sensibles pré-sentent des défis géométriques quand il s’agit de balayer des matériaux: ils doivent être aussi petits que possible

pour atteindre la plus haute résolution possible, et ils doivent se rapprocher le plus possible de l’échantillon pour ima-ger des caractéristiques magnétiques les plus infimes.

Selon le Dr Christophe Couteau, en-seignant-chercheur à l’Université de Technologie de Troyes, (Laboratoire de Nanotechnologie et d’Instrumen-tation Optique, CNRS UMR 6279) et membre du comité Scientifique d’Is-raël Science Info : « ces travaux sont importants car la résolution spatiale du SQUID/magnétomètre de l’institut Weizmann est bien meilleure que celle des SQUIDs commerciaux ».

Inter : Un SQUID entourant la pointe de 46 nm de diamètre

Les Drs Yonathan Anahory et Denis Vasyukov, et le doctorant Lior Embon, avec leurs collègues du laboratoire du Pr Eli Zeldov du département de physique de la matière condensée ont relevé le défi grâce à une configuration unique : ils ont pris un tube de quartz creux et l’ont étiré en un point très pointu, puis ont réussi à fabriquer un SQUID entourant la pointe mesurant à peine 46 nm de diamètre réalisant le plus petit SQUID à ce jour. Ils ont ensuite construit un microscope à ba-layage autour de la pointe – un exploit qui leur a permis d’obtenir des images magnétiques à des distances petites de quelques nanomètres de l’échantillon. Les méthodes industrielles actuelles de fabrication SQUID limitent la taille et

la capacité à se rapprocher très près de la surface.

« Le problème est inverse : nous de-vons empêcher la sonde de s’écraser contre l’échantillon » explique Lior Embon. Bien qu’il existe des SQUID avec des sensibilités plus élevées aux champs magnétiques uniformes, la combinaison d’une grande sensibilité, la proximité de la sonde de l’échan-tillon et ses dimensions minuscules font de la précision globale du dispositif un record. Ce nano-SQUID-sur-pointe pourrait, à l’avenir, être en mesure de mesurer le champ magnétique du spin d’un électron unique, le « Saint Graal » de l’imagerie magnétique. Selon Eli Zeldov, qui utilise déjà le nouveau dis-positif pour étudier des phénomènes supraconducteurs dans son laboratoire, « cette invention devrait conduire à une meilleure compréhension de la supra-conductivité et des flux de vortex pour l’application efficace de la technologie supraconductrice, mais aidera aussi à obtenir un aperçu de nouveaux phéno-mènes physiques. De plus, ce nouveau SQUID semble être capable de mesu-rer de nombreux matériaux autres que les supraconducteurs. Le Pr Eli Zeldov est le titulaire de la Chaire professorale David et Inez Myers.

Publication dans Nature Nanotech-nology

Source: israelscienceinfo.com

Première ! L’Institut Weizmann a créé un nano SQUID, le plus petit au monde. Une étape clé dans la compréhension de la supraconductivité.

Tal Keinan, américano-israélien gère un portefeuille de 6 milliards de she-kels dont une partie vient des pays du Golfe.

Tal Keinan semble partagé entre deux mondes. Né et élevé aux Etats-Unis, ce gestionnaire de placements de 44 ans a immigré en Israël après avoir terminé le lycée et a servi comme pilote de chasse dans l’armée de l’air israélienne. Après avoir démarré une carrière dans la finance de retour en Amérique, il est re-tourné en Israël il y a sept ans pour fon-der la société d’investissements KCPS Clarity . Aujourd’hui, il gère un por-tefeuille de 6 milliards de shekels (1,7 milliard de dollars), dont une grande partie comprend des dotations pour des établissements d’enseignement et des musées dans le monde entier

Une proportion non négligeable de l’argent géré par Keinan provient d’une source plutôt surprenante pour un éta-blisement de placement situé dans les tours Azrieli de Tel-Aviv : de riches particuliers de pays arabes. Grâce à son expérience, Keinan a des contacts d’affaires que d’autres gestionnaires de placements israéliens n’ont pas. « Les clients du Golfe Persique travaillent généralement avec les institutions fi-nancières basées en Suisse. Ce sont ces dernières qui les orientent vers nous », explique-t-il.

Est-ce que travailler avec les Israéliens constitue pour eux une option ?

«Il est vrai qu’il y a des familles dans les pays arabes qui ne feront pas d’affaires avec nous, mais certains n’ont rien contre nous en tant qu’israéliens. J’ai récemment rencontré un homme d’af-faires de haut rang d’Arabie saoudite qui n’était pas gêné de me dire qu’il n’y a qu’une seule nation dont les citoyens ont une pleine confiance lorsqu’il s’agit de choisir un cardiologue, un avocat ou un gestionnaire financier».

Pourquoi des clients issus du monde arabe vous choisissent-ils ?« La plupart de mes clients s’adressent à nous sur recommandation d’un tiers. Lors de rencontres d’affaires avec des partenaires des Émirats Arabes Unies, ils ne se soucient guère du fait que nous venions d’Israël.

Keinan explique qu’il sent qu’une transformation générationnelle se produit dans le monde arabe. « Les représentants plus agés de ces pays ont une opinion souvent tranchée faconné par le souvenir de l’humiliation de la guerre des Six Jours, mais pour la jeune génération le fait d’être israélien est généralement sans conséquence ».Avner Myers d’après un article ori-ginal de Hagai Amit pour Haaretz

Des millions issus du monde arabe gérés depuis les tours de Tel-Aviv

26L’information en provenance d’IsraëlEdition du 24 Décembre 8 Janvier 2013LOISIRS

La page d’Eliora

Un prêtre fait du porte-à-porte pour prêcher la bonne parole.Il toque à une porte et toto ouvre.

L’homme de foi lui dit :- Je t’apporte la lumière et la clarté mon fils.Entendant cela, toto se retourne et crie :- Maman, c’est EDF !

BlaguesUn escargot appelle un ami :

- Allo ?- Salut ! Est-ce que tu as une demi-heure de libre ?- Oui pourquoi ?- Parce qu’il faut que je te parle 5 minutes j’arrive !!

Sudoku

Réponse la semaine prochaine

Parasha Vahéra

25 Tevet 5774 Vendredi 27 Decembre

2013

PARIS:•EntréE: 16:41•SortiE : 17:55

LYON:•EntréE: 16:44•SortiE : 17:54

NICE:•EntréE: 16:42•SortiE: 17:50

MARSEILLE:•EntréE: 16:51•SortiE: 17:58

Les horaires de Shabath

Le Film de la semaine

. Les aventures de Bilbon Sacquet, paisible hobbit, qui sera entraîné, lui et une compagnie de Nains, par le magicien Gandalf pour récupé-rer le trésor détenu par le dragon Smaug. Au cours de ce périple, il mettra la main sur l’anneau de pouvoir que possédait Gollum...

Résumé

La recette de la tarte aux fraises !!

175 g de beurre doux 60 g de sucre glace

1 œuf 1 pincée de sel

½ sachet de sucre vanillé 60 g d’amandes en poudre

Crème pâtissière 1 litre de lait

100 g de farine 200 g de sucre 4 jaunes d’œuf,

1 gousse de vanille

Méthode de préparationPréparation : 20minutes › Cuisson : 20minutes › Prêt en :40minutes Pâte sablée :Mélanger le beurre coupé en pe mor-ceaux avec les sucres, le sel, la fa-rine et la poudre d’amandes. Ajouter

l’œuf. Ne pas trop travailler la pâte. La rassembler en boule et l’envelop-per de film étirable. Laisser reposer une heure avant d’étaler. Pendant ce temps, préparer la crème pâtissière. Crème pâtissière :Dans un bol, mélanger les jaunes d’œuf avec le sucre. Battre au fouet jusqu’à que le mélange blanchisse. Ajouter la farine tamisée puis un verre de lait froid. Dans une cas-serole à fond épais, faire tiédir le reste du lait. Dans la casserole, mettre la préparation dans le lait. Mettre une gousse de vanille fen-

due. Mélanger au fouet jusqu’à ébullition. Arrêter la cuisson quand la crème épaissit. Retirer la gousse de vanille. Laisser refroidir. Faire cuire la pâte sablée, 15 minutes dans un four préchauffé à 200°C.Au dernier moment, étaler la crème pâtissière sur la pâte froide.Laver les fraises, les équeuter, les couper en deux et les arranger joli-ment sur votre crème. Faire chauf-fer la confiture et badigeonner les fraises afin que la tarte brille.

IngrédientsNb de personnes : 6

2 grosses barquettes de fraises

4 cuillères à soupe de confi-ture de fraises Pâte sablée

250 g de farine

A l’opéra, un petit garçon demande à son père :

- Papa, quel est le monsieur qui fait peur à la dame en faisant de grands gestes ?

- Il ne veut pas lui faire peur, c’est le chef d’orchestre

- Mais alors pourquoi la dame, elle crie ?

Israël Actualités n°285

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