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1586 3125 23/06/2022 Industries charcutières (salaisons, charcuteries, conserves de viandes) CE DOCUMENT EST UN EXEMPLE DE CONVENTION COLLECTIVE TÉLÉCHARGEABLE SUR HTTP://WWW.LEGISOCIAL.FR/ Si vous disposez à titre d'exemple d'un aperçu de l'intégralité de la "convention collective IDCC 1586", celui-ci a été volontairement enrichi de caractères spécifiques rendant sa lecture difficile afin de la rendre inexploitable en l'état.

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CE DOCUMENT EST UN EXEMPLEDE CONVENTION COLLECTIVE

TÉLÉCHARGEABLE SURHTTP://WWW.LEGISOCIAL.FR/

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Table des matières

Convention collective nationale de l'industrie de la salaison, charcuterie en gros et conserves de viandes du 29 mars 1972Texte de base

Convention collective nationale de l'industrie de la salaison, charcuterie en gros et conserves de viandes du 29 mars 1972. Etendue par arrêté du 14 mai1975 JORF 4 juin 1975. Champ d'application fusionné avec celui de la convention collective nationale de la boyauderie IDCC 1543 par arrêté ministériel du23 janvier 2019

Article 1 - Champ d'applicationArticle 2 - Durée de la conventionArticle 3 - RévisionArticle 4 - DénonciationArticle 5 - Conventions et accords antérieursArticle 6 - AnciennetéArticle 7 - Liberté syndicale - Liberté d'opinionArticle 8 - Délégués syndicauxArticle 9 - Autorisations d'absenceArticle 10 - Panneaux d'affichageDélégués du personnel

Article 13 - Electorat - EligibilitéArticle 14 - Collèges électorauxOrganisation des électionsAttributions des délégués

Comité d'entrepriseArticle 29 - Composition du comitéArticle 30 - ElectionsArticle 31 - Protection légale

Attributions du comité d'entrepriseArticle 32 - Attributions d'ordre socialArticle 33 - Attributions d'ordre économique

Article 34 - FonctionnementArticle 35 - CommissionsArticle 36 - IndemnisationArticle 37 - Comité central d'entrepriseArticle 38 - Règlement intérieurArticle 39 - FinancementArticle 40 - Embauchage - Période d'essaiArticle 41 - MutationArticle 42 - RemplacementRupture du contrat de travail -PréavisArticle 45 - Indemnité de licenciementArticle 46 - Licenciements collectifsArticle 47 - Certificat de travailArticle 48 - Durée du travail - Heures supplémentaires 1Article 49 - Travail du dimanche et des jours fériésArticle 50 - Travail de nuitAbsences pour maladie ou accident

Article 51 - Garantie de l'emploiArticle 52 - Priorité de réembauchage

Article 53 - Appel sous les drapeuax - Périodes militairesArticle 54 - Absences fortuitesCongés payésIndemnité de congé payéArticle 63 - Congés exceptionnels pour événements de familleHygiène et sécuritéArticle 70 - Dispositions communes aux femmes et aux jeunes travailleursArticle 71 - FemmesArticle 72 - Jeunes travailleursArticle 73 - Apprentissage - Formation professionnelleArticle 74 - SalairesArticle 75 - Rémunération des jeunes travailleursArticle 76 - Diminués physiquesArticle 77 - Bulletin de paieArticle 78 - RetraiteArticle 79 - ConciliationArticle 80 - InterprétationArticle 81 - Composition spécifiqueArticle 83 - Cas de grève ou de lock-outArticle 84 - Pertes de salaires et frais de déplacementArticle 85 - Application de la procédure de conciliation pour le règlement des conflits collectifs

Textes AttachésAnnexe I :liste des syndicats régionaux et unions régionalesAnnexe II : ouvriers

Article 2 - Période d'essaiArticle 3 - Forme de contratArticle 4 - Rémunération au moisArticle 5 - Travail continuArticle 6 - Arrêt de travail pendant l'horaire normalArticle 7 - Mutation, délai de réflexionArticle 8 - RemplacementArticle 9 - Rupture du contrat de travail - PréavisArticle 10 - Jours fériés payésArticle 11 - Indemnité de licenciementArticle 12 - MaternitéArticle 13 - Primes de froidArticle 13 bis - Primes de productionArticle 14 - Allocation de départ à la retraiteArticle 15 - Absences pour maladie ou accidentArticle 16 - Classification des emplois

Annexe III : employésArticle 2 - Période d'essaiArticle 3 - Mutation - Délai de réflexionArticle 4 - Rupture du contrat de travail, préavis

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Article 5 - Indemnité de licenciementArticle 6 - Indemnité de départ à la retraiteArticle 7 - Absences pour maladie ou accidentArticle 8 - MaternitéArticle 9 - Classification des emplois

Annexe IV : maîtrise et techniciens assimilésArticle 2 - Période d'essaiArticle 3 - EngagementArticle 4 - Mutation - Délai de réflexionArticle 5 - Rupture du contrat de travail - PréavisArticle 6 - Indemnité de licenciementArticle 7 - Indemnité de départ à la retraiteArticle 8 - Frais de déplacementArticle 9 - Indemnité de maladieArticle 9 bis - Remplacement en cas de maladieArticle 10 - MaternitéArticle 11 - Classification des emploisArticle 12 - Prime de froid

Annexe V : ingénieurs et cadresArticle 1 - Champ d'applicationArticle 2 - Promotion - Embauchage - Période d'essaiArticle 3 - Engagement définitifArticle 4 - Modification au contratArticle 5 - Durée du travailArticle 6 - AnciennetéArticle 7 - Maladie, accident, maternitéArticle 8 - Congés payésArticle 9 - DéplacementsArticle 10 - Régime de retraite et de prévoyanceArticle 11 - Rupture du contrat de travail - PréavisArticle 12 - Indemnité de licenciementArticle 13 - Départ à la retraiteArticle 14 - Changement de résidenceArticle 15 - Remplacement en cas de maladie ou d'accidentArticle 16 - Commission paritaire de conciliation

Accord du 29 mars 1972 relatif à la sécurité de l'emploiArticle - TITRE Ier 1 : DISPOSITIONS RELATIVES AUX REDUCTIONS ET MODIFICATIONS D'EFFECTIFS POUR RAISONS ECONOMIQUES CONJONCTURELLESArticle - TITRE II : DISPOSITIONS RELATIVES AUX CONCENTRATIONS, FUSIONS, MODERNISATIONS

Accord du 1er juin 1987 relatif à la sécurité de l'emploiArticle 1 - TITRE IIArticle 2 - CHAPITRE Ier : INFORMATION DES REPRéSENTANTS DU PERSONNEL SUR LA SITUATION DE L'EMPLOICHAPITRE II : INFORMATION ET CONSULTATION SUR LES PROJETS DE LICENCIEMENTS POUR RAISONS éCONOMIQUES

Article 3 - Documents à fournir au comité en cas de licenciement collectif économiqueArticle 4 - Procédure de licenciement pour cause économique

CHAPITRE III : GARANTIES PREVUES EN CAS DE MUTATIONSArticle 5 - Mutations de postes à l'intérieur du même établissementArticle 6 - Mutations de postes dans un autre établissement

CHAPITRE IV : DISPOSITIONS DIVERSESArticle 7 - Priorité de réemploiArticle 8 - Mesures d'accompagnement

Accord national du 14 janvier 1982 relatif à la durée et à l'aménagement du temps de travailCHAPITRE Ier : DUREE DU TRAVAIL

Article 1 - Durée du travailArticle 2 - Réduction du temps de travail effectifArticle 3 - EncadrementArticle 4 - Heures d'équivalences et de dérogationsArticle 5 - Compensation financièreArticle 6 - Travail au froid

Article - CHAPITRE II : AMENAGEMENT DU TEMPS DE TRAVAIL EFFECTIFArticle 1 - Heures supplémentairesArticle 2 - ModulationArticle 3 (1) - Répartition hebdomadaire du travailArticle 4 - Jours fériésArticle 5 - Travail à temps partielArticle 6 - Conventions du Fonds national de l'emploi

Article 1 - CHAPITRE III : CONGES PAYESArticle - CHAPITRE IV

Accord national du 7 décembre 1992 relatif à la classification des postesCHAPITRE Ier : DISPOSITIONS

Article 1 - Champ d'applicationArticle 2 - Dispositions conventionnelles modifiéesArticle 3 - Information des entreprises et des salariés

CHAPITRE II : PRINCIPES GENERAUXArticle 4 - Définitions générales des emploisArticle 5 - Mise en oeuvre des critères classantsArticle 6 - Analyse des postes de travailArticle 7 - Concertation

CHAPITRE III : METHODE DE CLASSIFICATION DES POSTESArticle 8 - Choix de la méthode de classificationArticle 9 - Modalités pratiquesArticle 10 - Notification au personnelArticle 11 - Suivi de l'application dans l'entreprise

CHAPITRE IV : GARANTIESArticle 12 - Garanties accordées au personnel lors de la mise en application de la nouvelle classificationArticle 13 - Possibilités d'évolution de carrière

Article - CHAPITRE V : POLYVALENCEArticle 14 - Principes sur lesquels repose la polyvalence verticaleArticle 15 - Polyvalence horizontale

CHAPITRE VI : DISPOSITIF DE MISE EN OEUVREArticle 16 - Mise en applicationArticle 17 - Date d'entrée en vigueur de l'accordArticle 18 - Commission nationale paritaire de suivi

Avenant n 1 du 31 janvier 2003 à l'accord du 29 avril 2002 relatif à la cessation anticipée d'activitéAccord national du 28 janvier 1993 relatif à la méthode de classification des postes de travail

Article 1er - Nature de l'accordArticle 2 - Adoption de dispositions conventionnelles

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Article 3 - Illustrations d'analyses de postesArticle 4 - Délai de mise en applicationArticle 5 - Actions d'information des entreprises

Accord national du 28 janvier 1993 relatif à la méthode de classification des postes de travail - Annexe IArticle - METHODE D'EVALUATION CLASSIFICATION DES POSTES DE TRAVAILArticle - MODE D'EMPLOI POUR L'ANLYSE D'UN POSTE

Article - Tableau de correspondance : cotation points pondérés 1Article - Fourchette de correspondance du coefficient prédit

Article - GUIDE D'ENTRETIENArticle - LISTE DES 6 CRITERESDEFINITION DES 6 CRITERES ET DE LEURS DEGRES

Article - 1. Exigences de connaissances de base TechnicitéArticle - 2. Exigences de durée nécessaire pour acquérir la pleine maîtrise de la fonctionArticle - 3. Exigences d'autonomieArticle - 3 bis Exigences en complexitéArticle - 4. Exigences d'encadrement et ou conseils techniquesArticle - 5. Exigences d'animationArticle - 6. Exigences de contacts extérieurs Circulation d'informations

TABLEAUX DE CALCUL DES NOUVEAUX COEFFICIENTSArticle - Tableau de cotation de postes

Article - Tableau de correspondance 1 : cotation points pondérésArticle - Fourchette de correspondance du coefficient préditArticle - ILLUSTRATION DE CALCULSArticle - GLOSSAIREArticle - FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE

Accord national du 28 janvier 1993 relatif à la méthode de classification des postes de travail - Annexe IIArticle - Désosseur de jambonArticle - Désosseur parreurArticle - Contremaître emballageArticle - Responsable de fabrication produit

Avenant n 1 du 27 octobre 1994 relatif à la durée et à l'aménagement du temps de travailArticle préambule - AVENANT N 1 A L'ACCORD NATIONAL DU 27 OCTOBRE 1994 portant avenant à l'accord national du 14 janvier 1982 sur la durée et l'aménagementdu temps de travailArticle 1 - AVENANT N 1 DU 27 OCTOBRE 1994 A L'ACCORD NATIONAL DU 27 OCTOBRE 1994 portant avenant à l'accord national du 14 janvier 1982 sur la durée etl'aménagement du temps de travail

Article 2 - Congé spécifique rémunéréArticle 3 - Dispositions finales

Accord national paritaire du 15 juin 1995 relatif à la création et à la reconnaissance des certificats de qualification professionnelleI. - Orientations relatives au développement des certificats de qualification professionnelleII - Modalités de création des certificats de qualification professionnelleIII- Publics visés et organisation de la préparation des CQPArticle 8 - IV - Reconnaissance des certificats de qualification professionnelle dans les classificationsArticle 9 - V. - Dispositions finales

Avenant n 1 du 30 juin 1994 relatif à la durée et à l'aménagement du temps de travailArticle 1 - GénéralitésArticle 2 - Congé spécifique rémunéréArticle 3 - Dispositions finales

Accord du 9 mai 1996 relatif au compte épargne-temps dans les industries charcutièresArticle 1 - Objet de l'accordArticle 2 - Mise en placeArticle 3 - Alimentation du compte épargne-tempsArticle 4 - Modalités d'utilisationArticle 5 - Financement du congéArticle 6 - Dispositions finales

Accord du 25 avril 1997 relatif à la négociation d'accords collectifs dans les entreprises dépourvues de délégués syndicauxArticle 1 - Objet de l'accordArticle 2 - Thèmes ouverts à ces négociationsArticle 3 - Commission nationale paritaire de validationArticle 4 - Conditions et statut des salariés mandatés pour une négociation déterminée par une organisation syndicale représentativeArticle 5 - Dispositions finales

Accord du 25 avril 1997 relatif à l'aménagement du temps de travailArticle - I. - Mesures résultant de la loi du 11 juin 1996Article - II - Annualisation-réduction du temps de travailArticle - III - Effets sur l'emploiArticle - IV - Dispositions finales

Accord du 18 novembre 1998 relatif à l'aménagement - réduction du temps de travailArticle 1 - Champ d'applicationCHAPITRE Ier : REDUCTION DE L'HORAIRE EFFECTIF DE TRAVAIL

Article 2 - Dispositif d'incitation financière à la réduction de la durée du travailArticle 3 - Conditions d'obtention de l'aideArticle 4 - Incidence de la réduction du temps de travail sur les rémunérations

Article - Organisation du temps de travail effectif sur l'année annualisationCHAPITRE II : ORGANISATION DU TEMPS DE TRAVAIL EFFECTIF SUR L'ANNEE annualisation

Article 6 - Principes de l'annualisation du temps de travailArticle 7 - Organisation du travail effectif sur l'annéeArticle 8 - Programmation indicative des variations d'horaireArticle 9 - Lissage des rémunérations

CHAPITRE III : EFFETS SUR L'EMPLOIArticle 10 - Développement de l'emploi et de la formationArticle 11 - Contrats d'insertion des jeunes

Article - Modifications apportées à l'accord national paritaire du 9 mai 1996 relatif au compte épargne-temps modifié par avenant du 16 septembre 1996CHAPITRE V : DISPOSITIONS DIVERSES

Article 12 - Modalités de suiviArticle 13 - Réexamen des dispositionsArticle 14 - Date d'entrée en vigueur

Accord cadre national du 18 novembre 1998 relatif à l'aménagement et la réduction du temps de travail en vue de favoriser l'emploi dans les industriescharcutières

Article - PréambuleCHAPITRE Ier : REDUCTION DE L'HORAIRE EFFECTIF DE TRAVAILCHAPITRE II : ORGANISATION DU TEMPS DE TRAVAIL EFFECTIF SUR L'ANNEE annualisationCHAPITRE III : EFFETS SUR L'EMPLOICHAPITRE V : DISPOSITIONS DIVERSES

Accord du 7 mars 2001 relatif à la prévoyanceArticle 1 - Objet et champ d'application

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Article 2 - Description des garanties souscritesArticle 3 - CotisationsArticle 4 - Désignation de l'organisme assureurArticle 5 - Maintien des prestations versées en cas de changement d'organisme assureurArticle 6 - Date d'effetArticle 7 (1) - Clause de sauvegardeArticle 8 - Modalités de dénonciationArticle 9 - Comité national paritaire de suiviArticle 10 - Extension

Accord du 29 avril 2002 relatif à la cessation anticipée d'activitéArticle - PréambuleArticle 1 - Objet de l'accordArticle 2 - Conditions générales d'applicationArticle 3 - Conditions liées aux salariésArticle 4 - Statut du salariéArticle 5 - Conditions liées aux entreprisesArticle 6 - Procédure d'adhésionArticle 7 - Ressources garantiesArticle 8 - Sortie du dispositifArticle 9 - Couverture socialeArticle 10 - Suivi de l'accordArticle 11 - Date d'effet - Durée de l'accordArticle 12 - Clause résolutoire

Accord du 29 avril 2002 relatif à l'organisation du travail de nuitArticle - PréambuleArticle 1 - Modification de l'article 50 Travail de nuit de la convention collectiveArticle 2 - Modification au paragraphe 3 Répartition hebdomadaire du travail de l'accord national du 27 octobre 1994Article 3 - Entrée en vigueur

Avenant n 1 du 26 mai 2003 à l'accord du 15 juin 1995 portant sur les certificats de qualification professionnelleArticle - Préambule

Accord du 3 décembre 2003 relatif à l'évolution des salairesArticle - PréambuleArticle 1 - Fixation d'une période d'expérimentationArticle 2 - Perspectives d'évolution des salaires réels en 2004 et 2005Article 3 - Information et entrée en vigueur

Avenant du 18 mai 2004 relatif à la santé et à la sécuritéArticle - PréambuleArticle 1 - Intégration de la prévention des risques professionnelsArticle 2 - Management de la sécurité au travailArticle 3 - Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail CHSCTArticle 4 - Mobilisation des partenaires sociaux de la brancheArticle 5 - Evolution des services de santé au travailArticle 6 - Date d'application

Accord du 11 avril 2005 relatif aux règles du dialogue socialArticle - PréambuleChapitre I : Confirmation des règles de validité des accords collectifs de travailChapitre II : Développement de la négociation collective dans les entreprises dépourvues de délégués syndicauxArticle - Chapitre III : Droit de saisine des organisations syndicales représentatives art. L. 132-5-2 du code du travailArticle - Chapitre IV : Observatoire paritaire de la négociation collectiveArticle - Chapitre V : Déroulement de carrière des interlocuteurs syndicauxArticle - Chapitre VI : Dispositions finales

Avenant du 14 avril 2005 relatif à la mise à la retraite avant 65 ansArticle - PréambuleArticle 1 - Mise à la retraite d'un salarié âgé de moins de 65 ansArticle 2 - Contreparties conventionnellesArticle 3 - Indemnité de mise à la retraiteArticle 4 - Dispositions finales

Avenant du 21 avril 2006 à l'accord du 3 décembre 2003 relatif aux salaires réelsAccord du 6 octobre 2006 portant amélioration du régime de prévoyance

Article - PréambuleArticle 1 - Champ d'applicationArticle 2 - BénéficiairesArticle 3 - Salaire de référenceArticle 4 - GarantiesArticle 4 bis - Portabilité des droits du régime de prévoyance collectiveArticle 5 - RevalorisationArticle 6 - Cotisations et répartitionsArticle 7 - Désignation de l'organisme assureurArticle 8 - Changement d'organisme assureurArticle 9 - Date d'effetArticle 10 - Clause de sauvegardeArticle 11 - Clause pour adhésion tardiveArticle 12 - Modalités de dénonciationArticle 13 - Dépôt et extension

Avenant du 6 octobre 2006 relatif à l'aménagement de certaines dispositions conventionnelles période d'essai et démissionArticle - PréambuleArticle - CHAPITRE Ier : RENOUVELLEMENT DE LA PERIODE D'ESSAI EN CAS D' EMBAUCHE A DUREE INDETERMINEEArticle - CHAPITRE II : DUREE DE PREAVIS EN CAS DE RUPTURE PAR L'OUVRIER DU CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEEArticle - CHAPITRE III : DISPOSITIONS GENERALES

Accord du 25 septembre 2007 relatif au développement de l'emploi des seniorsArticle - PréambuleArticle - CHAPITRE Ier : PRINCIPES GENERAUXCHAPITRE II : DEVELOPPEMENT PROFESSIONNEL DES SENIORSCHAPITRE III : ENGAGEMENTS RELATIFS A LA FORMATIONCHAPITRE IV : AMENAGEMENT DU TEMPS DE TRAVAIL EN FIN DE CARRIEREArticle - CHAPITRE V : DISPOSITIONS FINALES

Accord du 11 mars 2008 relatif à la révision de l'article 1er de la conventionArticle - Préambule

Accord du 11 mars 2008 relatif à la création d'une commission paritaire nationale de l'emploi et de la formation professionnelleArticle - Préambule

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Accord du 7 novembre 2008 relatif à l'emploi des personnes handicapéesArticle - PréambuleCHAPITRE Ier : POLITIQUE DE BRANCHE POUR L'EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPEESCHAPITRE II : DEVELOPPER LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES PERSONNES HANDICAPEESCHAPITRE III : MOYENS DONT DISPOSENT LES ENTREPRISESArticle - CHAPITRE IV : DISPOSITIONS FINALESANNEXES

Avenant n 1 du 7 novembre 2008 relatif au dialogue socialArticle - Préambule

Accord du 12 novembre 2009 portant actualisation de plusieurs dispositions de la conventionArticle - Préambule

Accord du 12 novembre 2009 relatif aux heures supplémentairesArticle - Préambule

Avenant n 1 du 11 mars 2010 à l'accord du 25 septembre 2007 relatif au développement de l'emploi des seniorsArticle - Préambule

Avenant n 1 du 28 janvier 2010 à l'accord du 6 octobre 2006 relatif à la prévoyanceAvenant n 2 du 15 avril 2010 à l'accord du 6 octobre 2008 relatif à la prévoyanceAccord du 7 décembre 2010 relatif à la mixité et à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes

Article - PréambuleChapitre Ier Implication et suivi par les partenaires sociauxChapitre II Objectifs en matière d'égalité professionnelle entre les femmes et les hommesArticle - Chapitre III Organisation et aménagement du temps de travailArticle - Chapitre IV Dispositions finales

Accord du 7 décembre 2010 relatif aux modalités de fonctionnement de la commission paritaire de validation des accords d'entrepriseArticle - Préambule

Accord du 1er décembre 2011 relatif à la clause de respiration de retraite complémentaireArticle - Préambule

Avenant n 1 du 9 mars 2012 à l'accord du 28 janvier 1993 relatif aux classificationsArticle - Préambule

Accord du 5 décembre 2012 relatif à l'indemnisation en cas d'absence pour maladieAvenant n 3 du 5 mars 2013 à l'accord du 6 octobre 2006 relatif à la prévoyanceAvenant n 4 du 30 juin 2014 à l'accord du 6 octobre 2006 relatif au régime de prévoyance

Article - PréambuleAvenant n 5 du 15 avril 2015 relatif au régime de prévoyanceAvenant du 8 mars 2016 relatif à la prime de froid des techniciens et agents de maîtriseAvenant n 6 du 13 octobre 2017 relatif au régime de prévoyance des salariésAvenant du 30 janvier 2018 relatif à la mise à jour de l'article 63 de la convention collectiveAccord du 6 mars 2018 relatif à la mise en place de la CPPNI

Article - PréambuleAvenant n 7 du 24 janvier 2022 portant révision de l'accord du 6 octobre 2006 et de ses six avenants relatifs au régime de prévoyance du personnel noncadre

Article - PréambuleTextes Salaires

Accord du 31 janvier 2003 relatif aux salairesAvenant du 6 octobre 2006 relatif aux salairesAccord du 7 mars 2007 relatif aux salaires

Article - Salaires minima au 1er avril 2007 et au 1er octobre 2007Accord du 16 avril 2008 relatif au barème des salaires minima applicable aux 1er mai 2008 et 1er juillet 2008Avenant du 9 juillet 2008 relatif aux salaires minima au 1er juillet 2008Accord du 9 mars 2009 relatif aux salaires minima pour l'année 2009Accord du 28 janvier 2010 relatif aux salaires minima pour l'année 2010Accord du 26 janvier 2011 relatif aux salaires minima pour l'année 2011Accord du 9 mars 2012 relatif aux salaires minima au 1er avril 2012Accord du 5 mars 2013 relatif aux salaires minima au 1er mars 2013Accord du 28 février 2014 relatif aux salaires minima au 1er mars 2014Accord du 8 mars 2016 relatif aux salaires minima professionnels garantis au 1er mars 2016Accord du 8 mars 2017 relatif aux salaires minima professionnels garantis au 1er mars 2017Accord du 6 mars 2018 relatif aux salaires minima professionnels garantis au 1er mars 2018Avenant du 6 mars 2019 relatif aux salaires minima au 1er mars 2019Accord du 26 mars 2021 relatif aux salaires minimaux conventionnels au 1er avril 2021

Article - PréambuleAccord du 24 janvier 2022 relatif aux salaires minimaux conventionnels à compter du 1er janvier 2022

Article - PréambuleTextes Extensions

ARRETE du 14 mai 1975ARRETE du 10 mars 1982ARRETE du 8 octobre 1987Arrêté du 1 mars 1988ARRÊTÉ du 27 avril 1988ARRÊTÉ du 18 septembre 1989Arrêté du 12 avril 1990ARRÊTÉ du 9 juillet 1990ARRÊTÉ du 21 février 1991ARRETE du 22 avril 1992ARRETE du 3 mars 1993ARRETE du 3 mai 1993ARRETE du 8 juin 1993ARRETE du 30 mai 1994ARRETE du 18 avril 1995ARRETE du 5 mai 1995ARRETE du 19 juin 1995ARRETE du 5 octobre 1995ARRETE du 2 mai 1996ARRETE du 15 janvier 1997ARRETE du 28 avril 1997ARRETE du 3 octobre 1997ARRETE du 11 juin 1998

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ARRETE du 29 mars 1999ARRETE du 15 avril 1999ARRETE du 28 juillet 1999ARRETE du 6 avril 2000ARRETE du 21 juillet 2000ARRETE du 2 juillet 2001ARRETE du 9 avril 2002ARRETE du 18 juin 2002ARRETE du 17 juillet 2002ARRETE du 10 février 2003ARRETE du 2 mai 2003ARRETE du 2 décembre 2003ARRETE du 5 mai 2004ARRETE du 14 décembre 2004ARRETE du 28 juin 2005ARRETE du 4 octobre 2005ARRETE du 6 mars 2006ARRETE du 21 juillet 2006ARRETE du 14 février 2007ARRETE du 2 juillet 2007ARRETE du 22 juin 2007ARRETE du 24 juillet 2007

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Convention collective nationale de l'industrie de la salaison,charcuterie en gros et conserves de viandes du 29 mars 1972Texte de baseConvention collective nationale de l'industrie de la salaison, charcuterie en gros et conserves de viandesdu 29 mars 1972. Etendue par arrêté du 14 mai 1975 JORF 4 juin 1975. Champ d'application fusionnéavec celui de la convention collective nationale de la boyauderie IDCC 1543 par arrêté ministériel du 23janvier 2019

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération nloaainte de l'industrie de la salaison, de la chiaterrcue en gros et des cneevsros de viandes.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération nliatoane des tivluaelrars de l'alimentation CGT ;

La fédération française des styndaics des tluarilarves de l'alimentation CFDT ;

La fédération des tauialrerlvs des ceroecmms et itdirsnues de l'alimentation FO ;

La ceanrlte chrétienne de l'alimentation CFTC ;

La fédération naotilnae des synicatds indépendants des insuiterds et cmeomecrs de l'alimentation CGSL ;

La fédération nanaiolte des stdianycs de cdears de l'alimentation CGC.

En vigueur non étendu en date du 1 févr. 2019Par arrêté ministériel du 23 jieavnr 2019, pirs en aiaitplocpn de l'article L. 2261-32 du cdoe du travial ritalef à la rsreotuicrtuatn des bncrhaes professionnelles, le cmhap d'application de la cotinnvoencveltlioce ntoainlae de la bdyriaeoue (IDCC 1543) a fusionné aevc cleui de la ctnineoovn ceicltolve ntnlaaioe de l'industrie de la salaison, chaeirtcure en gors et csernveos de vidaens (IDCC 1586),désignée comme bcarhne de rattachement.

Dans un délai mximaal de 5 ans à ctemopr de l'entrée en vgeuuir de la fiousn des champs, les soiatiptulns des civnonoetns colilcteevs concernées puneevt être maintenues, dnas l'attente de lacionsoculn d'un aorccd remplaçant par des slpnuttiiaos conmeums les sultitnaiops régissant des saoitnitus équivalentes dnas cchnaue des conventions. A défaut d'accord au terme de ce délai, lessnuiaoipltts de la ceitvonnon rattachée cnseset de s'appliquer, à l'exception de ceells régissant des stutainios spécifiques (Conseil constitutionnel, décision n° 2019-816 QPC du 29 nbvrmeoe 2019).

Article 1 - Champ d'application

En vigueur étendu en date du 11 mars 2008La présente cteoonivnn règle sur le tritreiore métropolitain les rtpoaprs etnre les eympoulers et l'ensemble des salariés taalnrilavt dnas les établissements anatprapent à des espeirtrens dnot l'activitérssreoitt à un ou des seeucrts d'activité, tles que décrits ci-après.

Dans les setruecs de la préparation itiureldsnle de ptriouds à bsae de vnedias et de la ftcarbioian de pltas préparés à bsae de venaids :

Sont visées les activités de ftiabcioran irlteuindsle de pudroits de charcuteries, de salaisonnerie, préparations à bsae de viande, coenvsers de viandes, chetruicaers pâtissières.

Ces activités snot panlrceiminept cperiomss dnas les cssleas 10. 13A et 10. 85Z de la NAF.

Elle ne s'applique pas aux activités de facoatibrin de cnrevoses de fioe gras, de gibiers, de volailles, de lipnas et d'escargots.

Secteur du cmocemre de gors de puridtos à bsae de viaends :

Sont visées les activités de cormecme de gors de charcuteries, soaialsns et aertus podutirs à bsae de viandes.

Ces activités snot pcnnelrmipeiat cmsepiors dnas le crahtipe 46. 32B de la NAF.

Nota : Par arrêté ministériel du 23 javeinr 2019, pirs en aaliipptocn de l'article L. 2261-32 du cdoe du tavaril rtaeilf à la ritcetrtsuroaun des banerchs professionnelles, le cmahp d'application de la citovonnenctcleolvie noilantae de la byadiouere (IDCC 1543) a fusionné aevc ceuli de la cntevnioon ciclotvele nloaantie de l'industrie de la salaison, creruatchie en gors et cnsveoers de vadeins (IDCC 1586), désignéecmome bchrnae de rattachement.

Dans un délai mxaamil de 5 ans à cmtepor de l'entrée en vueuigr de la fisoun des champs, les suntiatlpios des cevnnnootis cletvcioles concernées peeuvnt être maintenues, dnas l'attente de la cunliocosn d'unarcocd remplaçant par des sattunipolis ceoummns les spaoltnituis régissant des sttioinuas équivalentes dnas cuahnce des conventions. A défaut d'accord au tmree de ce délai, les satiotpniuls de laconteovinn rattachée ceensst de s'appliquer, à l'exception de ceells régissant des soiuttains spécifiques (Conseil constitutionnel, décision n° 2019-816 QPC du 29 nrvebmoe 2019).

Article 2 - Durée de la convention

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La présente cinventoon est clcnoue puor une durée d'un an à cetompr du 1er jleiult 1958.

Elle se prirvuousa ensuite, par tiacte reconduction, puor une période indéterminée.

Article 3 - Révision

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Chquae ptraie siaingrtae puet deeamdnr la révision de la présente coonitvnen et, le cas échéant, de ses annexes. Ttuoe dnedmae de révision dreva être portée, par ltrtee recommandée aevc accusé deréception, à la cninsansoace des artues ptireas cttnatarcnoes ; elle dreva comoerptr l'indication des ptions dnot la révision est demandée et des ptosoiiponrs formulées en remplacement.

Les dssniuisocs drvneot cmeemoncr au puls trad dnas le délai d'un mios snvuiat la dtae d'envoi de la letrte de notification.

Pnednat tuote la durée de la ducssisoin paritaire, les praties s'engagent à ne procéder à aunuce frmruteee d'établissement ou coeatssin de taarvil motivées par les potnis steujs à révision.

Pedannt ttuoe la durée de la dcsiosusin paritaire, les paierts s'engagent à ne pas dénoncer la présente convention.

Article 4 - Dénonciation

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La dénonciation plleriate ou totlae de la présente cinnteoovn par l'une des praites contractantes, qui ne prruoa intienvrer anavt le 1er jiulelt 1959, devra être portée à la cnisacannose des arteus parteis parlttree recommandée aevc accusé de réception.

Toutefois, en cas de dénonciation par l'une seelument des parties, les atuers ctctnataonrs aournt la possibilité de cvoinner avant l'expiration du daeli légal d'un an du maintien, en ce qui les concerne, desdopossiiitns de la présente convention.

Article 5 - Conventions et accords antérieurs

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La présente cvnoonietn abgroe les coetvoninns ccouenls antérieurement sur le paln régional.

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Par contre, elle ne puet être en auucn cas la csaue de rirocneittss aux agatnaves particuliers, de quleque nurtae qu'ils soient, acuiqs sur le paln d'une einersprte ou d'un établissement antérieurement à sadtae de signature, individuellement, par équipe ou puor l'ensemble du personnel, étant endnetu que les ctodnniois d'application et de durée de ces atgenvaas dnas l'entreprise ou l'établissement nesnibusest acunue modiitioafcn du fiat de la présente convention, tnat à l'égard du pesenronl aenicn que du pesnoernl nomeulnelevt embauché.

Toutefois, les aagevants rnnocues par la présente coiotnenvn ne pevenut en aucun cas s'interpréter cmmoe s'ajoutant à cuex déjà accordés puor le même obejt dnas cteainers entreprises.

Des atnnevas poruonrt adaetpr la présente cnontvoein ou cnetireas des dtisoosipnis aux codnoitins particulières de tivraal dnas la région, la localité ou l'entreprise, conformément aux dpisoisonits deslios des 13 jilelut 1971 et 13 nmobvree 1982.

Article 6 - Ancienneté

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Puor l'application des doitossipnis de la présente cntoonevin et de ses avenants, on eentnd par " présence cnintoue " le tepms écoulé diueps la dtae d'engagement du conartt de tviraal en cours, snas quesieont ecluxes les périodes pnendat llqesleues le ctrnoat a été suspendu, telels que :

- périodes maliteriis ou aieccdtns ;

- périodes mlietriais olgritiboaes ;

- périodes de maternité ;

- périodes de famroiton poinlrosenselfe ;

- congés de ftormioan économique sliocae et slyandcie otbenus dnas le crade de la loi du 30 décembre 1985 ;

- délais accordés dnas ceaitnrs cas par l'employeur aux immigrés puor fiiltecar luers congés dnas luer pyas d'origine ;

- aeturs aatornuitisos d'absences prévues par la ctnvoioenn collective.

Puor la détermination de l'ancienneté, on tienrda ctmpoe également :

- de la période crsmpoie enrte le départ au scevrie mlitiiare oobglrtiiae et la réintégration dnas l'entreprise, lusoqre l'intéressé aivat au mnois un an de présence au mmneot de son départ et qu'il a pu êtreréintégré après aoivr fiat connaître à l'employeur, au puls trad dnas le mios sunivat sa libération, son désir de rrreednpe immédiatement son emploi ;

- de la durée du congé snas sdole puor élever un eafnnt obnteu par la mère de famille, qu'il y ait eu ou non réintégration à l'issue de ce congé ;

- de la moitié de la durée du congé pnertaal d'éducation ou d'activité à mi-temps.

Eifnn de la durée des cratntos antérieurs dnas l'établissement, à l'exclusion teuoftios de cuex qui aeanirut été rpumos puor futae grave.

Article 7 - Liberté syndicale - Liberté d'opinion

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990L'exercice du dirot scndayil est rcnneou dnas tutoes les eprteisrnes dnas le repecst des dtiors et libertés gtnaairs par la Cuttitiosnon de la République, en priuitlacer de la liberté idduievlline du travail.

L'observation des lios s'imposant à tous, les praites resnnscnaioet la liberté d'opinion ansii que le droit, puor les travailleurs, d'adhérer lnerbimet et d'appartenir à un syaicndt prnesenisofol constitué envteru du lvrie IV du cdoe du travail.

L'entreprise étant un leiu de travail, les emryeoupls s'engagent à ne perndre en considération ni les ooinnpis des salariés, ni luers oigrneis sociales, ni le fiat d'appartenir ou non à un syndicat, puor arrêterleurs décisions en ce qui conernce l'embauchage, la codnitue ou la répartition du travail, la fotmoarin professionnelle, la rémunération et l'octroi d'avantages sociaux, les mersues de discipline,d'avancement ou de congédiement.

Si un salarié emstie qu'une msuree a été prise à son ertnocne en voatiioln du diort syndical, le cehf d'entreprise et le délégué du poesrnnel assisté du délégué scydnail s'emploieront à établir les fiats et àatprepor au cas litgueiix une soltoiun équitable snas que ctete procédure fssae oacblste à la possibilité du recorus à la cmsoosiimn de calontcioiin prévue à l'article 79 ci-après ou à ce que le cionflt siotsoumis à la jductriioin compétente.

Le pnnseorel s'engage à respecter, à l'intérieur de l'établissement, les oinniops des autres salariés ainsi que luer aanartpnpcee à tel ou tel syndicat.

L'exercice du diort syndical, tel qu'il vient d'être défini, ne diot pas aovir puor conséquence des acets cernatrois aux lois.

Article 8 - Délégués syndicaux

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Tuot synicadt affilié à une oinriagotsan représentative sur le paln national, ainsi que tuot atrue sdyicnat représentatif dnas l'entreprise ou dnas l'établissement, puet constituer, au sien de l'entreprise ou del'établissement, une soticen sdiycalne qui aussre la représentation des intérêts piseesrnloonfs de ses mbemers conformément aux dtipsonoisis de l'article L.411-1 du cdoe du travail.

La ctellcoe des cnooaititss seyniadlcs puet être effectuée à l'intérieur de chauqe établissement.

L'affichage des cnminumooatics scelinadys s'effectue lienrmbet sur des puaennax réservés à cet uagse et dtcistnis de cuex qui snot affectés aux ctimainomuocns des délégués du peoensrnl et ducomité d'entreprise. Un eelmxairpe de ces cncmitinmuaoos syiadcelns est trsanmis à la dcoteriin au mnomet de l'affichage.

Les peaannux snot mis à la doiosisptin de cquahe sitocen syldanice dnas les cnoontidis précisées à l'article 10 ci-après et sunavit des modalités fixées par acrocd aevc la direction.

Les pbuiltonacis et trtacs de nrtaue scliaydne pveenut être leenbirmt diffusés aux teirualalvrs de l'entreprise, dnas l'enceinte de celle-ci, aux heerus d'entrée et de sirtoe du travail.

Ces communications, panibilocuts et tracts, deovint csrdrneprooe aux otjiecfbs des ogiratsiaonns pfesensnrioleols tles qu'ils snot définis à l'article L.411-1 du cdoe du travail.

La ou les snotices sydcileans ustniliet un laocl aménagé, et qui puet être culei des délégués du personnel, mis à luer dopiiistosn par l'établissement et mnui dnas ttuoe la msuree du pbssiole d'untaxiphone. Dnas les établissements de puls de 200 salariés, le cehf d'entreprise met à la dpositoiisn des stcoiens scaindeyls un lacol cmuomn dctsinit de cluei des délégués du personnel.

Les modalités d'aménagement et d'utilisation de ce lacol par les snetocis selacydnis snot fixées par aoccrd aevc la direction.

Les adhérents de cqhaue sicoetn salicydne pvneuet se rniuer une fios par mois, dnas l'enceinte de l'établissement en drheos des hurees et des laoucx de travail, sniuvat des modalités fixées par aroccdaevc la direction.

Dnas les eeesrirtnps d'u minos cqnuatine salariés, cahque saindcyt représentatif qui ctsuntoie une scioten sndilcaye désigne un ou purisuels délégués siaycdunx poour le représenter auprès du cehfd'entreprise. Dnas les erptinerses qui eempniolt mnois de cqnuainte salariés, les sndictays représentatifs pveuent désigner un délégué du persnoenl cmome délégué syndical, puor la durée de sonmadnat ; ctete désignation n'ouvre cenenpdat pas doirt à un crédit d'heures.

Le nom des délégués siuyacdnx est porté par écrit par les sidtnycas àla ccnaosisnane du cehf d'entreprise.

Dnas les établissements goapunrt de 501 à 1000 salariés, le délégué sayicndl puet aiovr un suppléant, dnot le nom est porté à la cainossnnace de la docrieitn en même que ceuli du tauitilre accrédité.

En appatioclin de l'article R.412-2 du cdoe du tvraail et de l'alinéa qui précède, le normbe de délégués syadnciux srea le siaunvt :

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- de 50 à 500 salariés : 1 délégué ;

- de 501 à 999 salariés : 1 délégué + 1 suppléant ;

- de 1000 à 1999 salariés : 2 délégués ;

- de 2000 à 3999 salariés : 3 délégués ;

- de 4000 à 9999 salariés : 4 délégués ;

- audelà de 9999 salariés : 5 délégués.

Le ou les délégués sinyaducx dnevoit être âgés de dix-huit ans accomplis, trvailaler dnas l'entreprise dpuies un an au moins et n'avoir euorncu acunue cndaainomton prévue aux aceiltrs 5 et 6 du cdoeélectoral.

Le délai d'un an prévu à l'alinéa ci-dessus est réduit à qrtaue mios dnas le cas de création d'entreprise ou d'ouverture d'établissement.

Les ftnocoins de délégué sndyical snot ctaomelbpis aevc ceells de délégué du personnel, de représentant du peeonsrnl au comité d'entreprise ou d'établissement, ou de représentant syacindl au comitéd'entreprise ou d'établissement.

Le délégué sincdyal ainsi désigné est habilité à représenter son oarisiotagnn slindcyae auprès de la dcteiroin de l'entreprise, en piitlraeucr : cinsouocln du pcolootre d'accord reialtf aux élections desdélégués du pensonerl et du comité d'entreprise, dépôt des lsiets de cadtiadns à ces élections, uitatlosiin du peaannu d'affichage, rtacaioiiftn des aorcdcs clconus au paln de l'entreprise dnas le cdare dela loi du 13 nmbovree 1982, rliateve aux cennioovnts et acordcs cclfleoits d'entreprise.

C'est lui, en outre, qui, dnas les citooindns prévues par la loi, asssite les délégués du personnel. D'une manière générale, dnas ses ioeevrttninns auprès de la direction, il peut, dnas les occoinassenoeietcnxlelps se fraie lui-même assetisr par un représentant de son ooaiaisgnrtn syndaicle extérieur à l'entreprise.

Dnas les mêmes conditions, le cehf d'entreprise puet également se fraie astisser par des cealooulrtarbs apnntaraept à l'entreprise.

Le délégué syiadncl et le délégué saiyndcl suppléant bénéficient, en cas de lcmeiinenect ou de msie à pied, de la pteiotocrn résultant des diisinsotops de l'article L.412-18 du cdoe du travail, à saoivr :

" Le lemciciennet d'un délégué snciydal ne puet inintrveer qu'après aroitatiuosn de l'inspecteur du tariavl ou de l'autorité qui en tniet lieu. Toutefois, en cas de ftuae grave, le cehf d'entreprise a la faculté deprononcer, à titre provisoire, la msie à peid immédiate de l'intéressé. Cttee décision est, à penie de nullité, motivée et notifiée à l'inspecteur du taiarvl dnas le délai de quarente-huit hurees à coptmer de saprsie d'effet.

" Si le lineeemincct est refusé, la msie à peid est annulée et ses efefts supprimés de pilen droit.

" La même procédure est applclbaie au lenmcnieecit des ainencs délégués snydiaucx pnnadet dzuoe mios après la coiasetsn de lerus fonctions, loqrsue celles-ci ont été exercées pandent un an aumoins.

" Le délégué synaidcl lié à l'employeur par un cntorat de triaavl à durée déterminée bénéficie des mêmes grtaineas et poirotctnes que celels qui snot accordées aux délégués du pnsnoreel et aux mrebmesdu comité d'entreprise, conformément aux acltries L.425-2 et L.436-2 du cdoe du travail."<RL Dnas les établissements d'au moins cnqainute salariés, un crédit d'heures est attribué à chquae déléguésidacynl tirltaiue puor asesmur ses fonctions, à saovir :

50 à 150 : dix hueers par mios ;

151 à 500 : qnizue hreues par mios ;

Au-dessus de 500 : vgint heeurs par mois.

Ce tepms puet être dépassé en cas de cierotnccnsas exceptionnelles.

Dnas les établissements de 501 à 1 000 salariés, le délégué suppléant puet raeplemcr le délégué ttaulirie aevc ipamtuotin sur le crédit d'heures de celui-ci.

Dnas les établissements où ont été désignés duex délégués titulaires, ceux-ci pueevnt répartir etnre eux le tepms dnot ils dsnpesiot puor asemusr leurs fntoocins ; ils en irofnenmt la direction.

Les hreues utilisées puor peircpiatr à des réunions qui ont leiu à l'inititative de la dcoireitn ne snot pas ibutlpaems sur les crédits d'heures fixés ci-dessus.

Lorsqu'il esixte un comité cartnel d'entreprise, le délégué sydicanl d'un des établissements puet être désigné par son oigonasrtain saicldnye nlaoiante comme délégué sycadnil d'entreprise et accrédité àcet effet. Qeul que siot l'établissement auuqel il appartient, son crédit d'heures srea alros porté au cifrhfe coprrdosnanet à l'effectif total de l'entreprise.

Le délégué syndical, dnas l'exercice de ses aiionttturbs et dnas la ltimie du crédit d'heures qui lui est alloué, puet se déplacer à l'intérieur et à l'extérieur de l'entreprise ; ses obligations, à l'égard de sonemployeur, snot cleels des représentants du peroensnl bénéficiant d'heures de délégation.

Article 9 - Autorisations d'absence

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Aifn d'assister aux assemblées saietttuars oineirrads de son oianagstiron syndicale, le salarié exerçant une fnicootn srtattuaie dnas ltaide onasiaorigtn ou son remplaçant aux assemblées en qoutesinpuet ddenaemr au cehf d'entreprise une aoustritaion d'absence, non rémunérée, mias non iptmblaue sur les congés payés, sur présentation, au minos une saeimne à l'avance, d'une ccontoiovan écritenominative.

Cttee asurotiiotan srea accordée puor ataunt qu'elle ne cotoptmemrra pas de façon ittoanrpme la mcrhae de l'atelier ou du srviece aqueul aitepapnrt l'intéressé. La réponse - qui srea motivée en cas derfeus - lui srea donnée par écrit dnas les quarante-huit hueres sunaivt le dépôt de la demande.

Des anitsrutoioas d'absence sreont également accordées aux salariés piacpnatirt à une réunion piarirate décidée etrne les orsinitgnaaos d'employeurs et de salariés sageintiras de la présente convention.Ces asiintraoutos sronet délivrées dnas les lmtieis déterminées par ldetises organisations, d'un coummn accord, nntoamemt en ce qui cncneore le nrobme des délégués et la durée des réunions. Dnasce cas particulier, les intéressés, neoitnanmevmit désignés, snroet rémunérés par luer etpiersrne cmmoe s'ils aniaevt nmmeanelort travaillé. Lures fiars de déplacement snot remboursés par lesentreprises. Ils snot cadnnpeet à la chagre des oaosinigtrnas seaildncys potlneaars puor les eeriernspts adhérentes à l'une deetdsis osiitnoaganrs patronales.

Dnas l'un et l'autre cas, le reremseubomnt des frais de déplacement s'effectue au même tuax et aux mêmes continodis que les rmmeneobuetsrs des frais de déplacement attribués aux délégués desmbemres pitpnaircat aux assemblées générales de l'I.S.I.C.A.

Les salariés pncriaitpat à ces réunions peitiraras snot tuens d'en imfnreor préalablement luer elmeuyopr et de s'efforcer, en arcocd aevc lui, de réduire au miiunmm la gêne que luer aescnbe puoarritatpporer à la marche nlmraoe de l'établissement dnas luqeel ils travaillent.

Article 10 - Panneaux d'affichage

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Des peauannx d'affichage snot spécialement réservés aux cioiamutncnmos des délégués du personnel, du comité d'entreprise et des onsotngriaais sidclneays représentatives dnas l'établissement.

Ces puaennax snot placés à l'intérieur des établissements dnas les etnridos pateremntt une iftioaonrmn effetvice du pensoernl ; ils museernt au mions 0,60 mètre x 0,45 mètre ; ils puvneet être grillagés etfermés à clé.

Les paaunenx réservés aux cacitnnmuomois sadlyneics ptnoret une iioctndian panteretmt d'identifier les onanrigoitsas sldcaneyis aeuluelqxs ils snot affectés, aisni que le nom du ou des déléguéssdnciauyx désignés.

Cuaqhe oriaiaotngsn scdlaniye représentative dnas l'établissement diosspe d'un pnanaeu dnas les établissements dnot l'effectif n'est pas supérieur à 100 salariés. Dnas les établissements de puls de

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100 salariés, le nmorbe de ces panuneax pruroa être de duex par orogiitsnaan snliacdye représentative. En cas de besoin, un accord entre la dtciireon et le délégué sdnayicl fxeria à un chiffre puls élevé lenrmboe approprié de ces panneaux.

Les cntcomuiioanms des délégués du pesnrenol et du comité d'entreprise snot apposées sur des paneunax dnot le nomrbe est fixé sleon les mêmes modalités.

Les cuaomtmiconnis des délégués du pneesonrl et du comité d'entreprise snot croeonmfs aux diistiposnos légales les cnaocnrnet respectivement.

Les cnmoinouitmacs des délégués sydcaniux snot cfroenmos aux dispnotosiis prévues à cet effet par l'article 8 de la présente convention.

Délégués du personnel

Article 11En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Dnas cqhaue établissement onucacpt puls de dix salariés, la représentation du psnenerol est assurée par des délégués teriiuatls et des délégués suppléants dnas les cindtonios prévues par la loi et par lesatlercis ci-après.

Article 12En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Il est élu dnas cqauhe établissement :

Un délégué ttluiriae et un délégué suppléant puor un eftiecff de 11 à 25 salariés ;

Duex délégués tlriuaites et duex délégués suppléants puor un eftefcif de 26 à 74 salariés ;

Tiors délégués ttrieuails et tiors délégués suppléants puor un efiectff de 75 à 99 salariés ;

Qature délégués tatuleiris et qraute délégués suppléants puor un eeffticf de 100 à 124 salariés ;

Cniq délégués tiurelitas et cniq délégués suppléants puor un eefiftcf de 125 à 174 salariés ;

Six délégués trtiuileas et six délégués suppléants puor un effitecf de 175 à 249 salariés ;

Spet délégués tieatrluis et spet délégués suppléants puor un eifectff de 250 à 499 salariés ;

Hiut délégués trutielais et hiut délégués suppléants puor un etfeicff de 500 à 749 salariés ;

Nuef délégués tulaeitris et nuef délégués suppléants puor un eteffcif de 750 à 999 salariés ;

à patirr de 1 000 salariés, un délégué tluartiie et un délégué suppléant par tcnrhae supplémentaire de 250.Article 25En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le cehf d'établissement est tneu de lsaseir aux délégués tureliiats du personnel, dnas la ltimie d'une durée qui, suaf ccscniontreas exceptionnelles, ne puet excéder qniuze hueres par mois, le tmpesnécessaire à l'exercice de luers fonctions. Ce tpmes luer est payé cmome tmpes de travail. Luer activité s'exerce en pnpriice à l'intérieur de l'entreprise. Toutefois, elle puet également s'exercer à l'extérieur,dnas le cdrae de luer mission, puor pnrdere des rmientesengnes à l'inspection du taivral ou à l'organisation syndicale.

Le tpmes passé par un délégué suppléant au leiu et plcae d'un ttauilrie s'impute sur le crédit menseul de ce taliuitre toteus les fios qu'il ne s'agit pas de réceptions cieocetlvls par le cehf d'établissement oude réunions d'information préparatoires atexdius réceptions. Dnas ces duex derriens cas, le tmeps asini passé lui est payé, dnas la lmiite de cniq heeurs par mois, cmmoe tmpes de travail.

Aifn d'éviter des piutaobrenrts dnas la mhrcae de son service, le délégué qui désire quiettr son pstoe puor ecexrer sa mssiion inmfroe son cehf dicert de son déplacement, de srtoe que son rplemecnametpsisue être assuré, si nécessaire.

Cahque délégué tvllaaire nemnaorlmet snas que son hraiore de tiraavl puisse être différent de cleui en viguuer dnas son atelier.Article 26En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Dnas cuhaqe établissement, la detcriion diot mtetre à la doisiotpsin des délégués le lcaol et le matériel nécessaires puor luer pmtteerre de reilmpr luer mission, et ntanemomt de se réunir.

Article 27En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990L'exercice des ftnioncos de délégué ne puet être une ernvtae à son annveecmat ou à l'amélioration de sa rémunération.

Tuot lncneeeiicmt d'un délégué du personnel, tulaitrie ou suppléant, envisagé par la decrtioin diot être oltirnmoaiegbet smouis à l'assentiment du comité d'entreprise.

En cas de désaccord, le lneiceecmnit ne puet irenventir que sur la décision de l'inspecteur du traavil dnot dépend l'établissement. Toutefois, en cas de ftaue grave, la dicrotein a la faculté de poecnonrr lamsie à peid immédiate de l'intéressé en ataetdnnt la décision définitive.

Lorsqu'il n'existe pas de comité d'entreprise, la qetosuin est smiouse drniteemect à l'inspecteur du travail.

Les gtaernais énoncées au présent atlicre snot accordées aux cdiadtans aux élections, dès le dépôt des candidatures.

Article 13 - Electorat - Eligibilité

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Sont électeurs les salariés des duex sexes, âgés de 16 ans aipoclcms à la dtae du scrutin, aaynt travaillé 3 mios au monis dnas l'entreprise et n'ayant eucnrou acnuue des cnanmooidtnas prévues par lesatcilres 5 et 6 du cdoe électoral.

Sont éligibles, à l'exception du conjoint, des ascendants, descendants, frères et alliés au même degré du cehf d'entreprise, les salariés âgés de 18 ans aopccmlis à la dtae du scrutin, et anayt travaillé dnasl'entreprise snas ipnurretiotn pannedt 1 an au moins.

L'inspecteur du tiavarl pourra, après aoivr consulté les oignnstaaoris sanlicedys les puls représentatives, aueiorstr des dérogations aux cndiitoons d'ancienneté dnas l'entreprise prévues au présent article,nmmaetont dnas le cas où luer aicaoppiltn araiut puor eefft de réduire à minos de 1/3 de l'effectif le nrmobe des salariés rlneapsismt ces conditions.

Ne snot pas éligibles les salariés qui ont été déchus de lerus fonoticns snlaiydces en vretu des onannrcedos des 27 jeluilt et 26 setprbeme 1944.

Les délégués snot élus puor une période de 1 an et snot rééligibles.

Article 14 - Collèges électoraux

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le peersnonl de l'établissement, suaf arccod invnrteeu etnre les pterais sur le nrbmoe et la cipomsotion des collèges électoraux, est réparti au mnois en duex collèges :

1° Ovuirres et employés ;

2° Cadres, ingénieurs, techniciens, atengs de maîtrise et assimilés.

Dnas les établissements ne dépassant pas 25 salariés et n'élisant qu'un délégué ttuiirlae et un délégué suppléant, les délégués du pnrseeonl snot élus par un collège électoral unquie rreonupgatl'ensemble des catégories professionnelles.

La répartition du peornesnl dnas les collèges électoraux et la répartition des sièges etnre les différentes catégories freont l'objet d'un acocrd etrne le cehf d'entreprise et les onisoraintgas scadynleisintéressées.

Dnas le cas où cet accrod s'avérerait impossible, l'inspecteur du tiaravl décidera de cette répartition.

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Organisation des élections

Article 15En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les oagnistraonis syaidnlecs les puls représentatives snot invitées par le cehf d'entreprise à négocier le ptroocloe d'accord préélectoral et à établir les litess de leurs cnaditdas aux fciononts de délégué dupnnroeesl un mios avant l'expiration du mdnaat des délégués en exercice.

La dtae et les hruees de cmmeenoncmet et de fin de sucrtin snot déterminées dnas l'établissement par la direction, en acrcod aevc l'ensemble des ogisrianotnas siyadlecns représentatives estinaxt dnasl'entreprise.

Le srucitn a leiu pnednat les hueres de travail.

La dtae du sruticn diot être placée dnas la qzniuiane qui précède l'expiration du mdanat des délégués ; elle est annoncée au mnois qniuze juors plenis à l'avance par un aivs affiché dnas l'entreprise etaccompagné de la lstie des électeurs.

Les réclamations au seujt de ctete liste deionvt être formulées par les intéressés dnas les trois juors siaunvt l'affichage.

Les lsites des citdadnas snot dressées par les onnragsiiaots saeinlycds intéressées conformément à la loi du 16 avirl 1946 modifiée par celle du 7 jlieult 1967 ; eells snot déposées à la derocitin au mionsune simneae frcnhae avant la dtae de l'élection.Article 16En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Sur dmednae des oiaaogirtsnns syndicales, des empecalntems spéciaux snot réservés, pandent la période prévue puor les opérations électorales (c'est-à-dire à ceomtpr de la ftiaoxin de la dtae duscrutin), puor l'affichage des cmnacimonuotis les concernant, à saiovr :

1° Aivs du scutrin ;

2° Listes électorales, par collèges ;

3° Txetes cacennront le nmobre de délégués, les cnidoitnos d'électorat et d'éligibilité, les élections et les voeis de rocuers plbesoiss ;

4° Ltise des canddtais ;

5° Procès-verbaux des opérations électorales ;

6° Cmiioacutnnoms des osiinrnatgoas sclneayids rivteelas aux élections.Article 17En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le braueu électoral de cqauhe secotin de vtoe est composé, puor cuaqhe collège, des duex électeurs les puls aceinns et du puls jeune présents à l'ouverture du sucritn et acceptant.

La présidence arinptapet au puls ancien.

Le breauu est assisté dnas ttoues ses opérations, nntomaemt puor l'émargement des électeurs et le dépouillement du scrutin, par un ou pueilruss employés désignés par la direction. Lqursoe le bureau aune décision à prendre, les employés qui l'assistent n'ont que viox consultative. Cuqhae otnrgisaioan scayindle présentant une ltise puet désigner un mbreme du penronesl puor atessisr aux opérationsde vote.

Le psneeonrl ci-dessus indiqué ne srubia aunuce réduction de salaire.Article 18En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990L'élection a leiu à bleutiln srecet suos enveloppe, au sutrcin de lstie à duex trous et aevc représentation proportionnelle, en présence du baeuru de vote. Les ltesis pnueevt cmpooetrr un nbmore dectaddnias égal ou inférieur au nbrmoe de sièges à pourvoir.

Les électeurs mteentt luer bletilun dnas une enveloppe. Ces bulletins, anisi que les eneeplopvs opqeaus d'un modèle uniforme, dionevt être fruinos par la dioerictn qui arua également à orisanger desisoloirs.

Si une enoplvpee cnnetiot pirueslus bulletins, le vtoe est nul qaund ces betilnlus pnrotet des lsties et des nmos différents ; ils ne cptonemt que puor un suel quand ils désignent la même lstie ou le mêmecandidat.

Le vtoe par cdpsaroencrone est adims puor les salariés qui sienreat dnas l'impossibilité de vtoer dnas l'établissement par siute d'une décision de luer eelupoymr les éloignant de luer leiu de travail,ntmanomet puor un déplacement de service. Dnas ce cas, la droeticin prend, en aroccd aevc les délégués syndicaux, toutes diiosspnotis puor aesursr la matérialité, la régularité et le seerct du vote.Article 19En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Il est procédé à des vteos séparés puor les mermbes teraiuilts et les meebmrs suppléants dnas cunahce des catégories pfnlsieosrolnees fnmorat des collèges distincts.

Au pirmeer tuor de scrutin, les litses snot établies par les oanngitarsios scaelidyns les puls représentatives. Si le nobmre des sfgefuras vmnllbaaeet exprimés est inférieur à la moitié du nmorbe desélecteurs inscrits, il est procédé, dnas un délai de qzinue jours, à un socned tuor de sciutrn ; les électeurs pnueevt aorls vteor puor des lteiss ateurs que ceells présentées par les ogarsinonaits syndicales.

Il est attribué à cuahqe ltise atanut de sièges que le normbe de viox rliieceelus par elle coninett de fios le qouintet électoral. Le nrbmoe de viox rlicieueles par une lsite est égal au nbmore toatl des vioxoenbutes par cchuan des cadntadis de ctete litse divisé par le nmrboe de ces candidats. Le qiuntoet électoral est égal au nrmobe ttoal des sffgreaus veaaemlnblt exprimés par les électeurs du collègedivisé par le nomrbe de sièges à povruoir (conformément à la jscpreurnuide rcnneuoe en la matière au meomnt de la srigtnaue de la cneiootvnn collective).

Loqsrue le nom d'un cniaaddt a été raturé, les ratures ne snot pas piress en cmpote si luer nmbore est inférieur à 10 p.100 des sgfreuafs vlenebaalmt exprimés en fevuar de la lstie sur lleluqae frugie cecadiandt ; dnas ce cas les canddaits snot proclamés élus dnas l'ordre de présentation.

Au cas où il n'aurait pu être prvuou à auucn siège, ou s'il rtese des sièges à pourvoir, les sièges rtstnaes snot attribués sur la bsae de la puls frtoe moyenne. A cet effet, le nbrome de viox onetebus parcqhaue ltise est divisé par le nmrboe augmenté d'une unité des sièges attribués à la liste.

Les différentes lestis snot classées dnas l'ordre décroissant des mnnyeeos aisni obtenues. Le pireemr siège non puovru est attribué à la lstie aaynt la puls fotre moyenne. Il est procédé seescisumnvect àla même opération puor cuhacn des sièges non purovus jusqu'au dernier.

Dnas le cas où duex litses ont la même meynnoe et où il ne reste qu'un siège à pourvoir, ledit siège est attribué à la lsite qui a le puls gnrad nmrboe de voix.

Si duex lestis ont également rullieeci le même nombre de voix, le siège est attribué au puls âgé des duex ctndaiads sueeicbtlpss d'être élus.

Les coenttsnitaos rlvtiaees au doirt d'électorat et à la régularité des opérations électorales snot de la compétence du jgue d'instance qui statue d'urgence. La décision du jgue d'instance puet être déférée àla Cuor de cassation.

Le dépouillement du vtoe a leiu immédiatement après l'heure fixée puor la fin du sticurn et ses résultats snot consignés dnas un procès-verbal signé par les mreebms du bureau. Celui-ci est trsanimsdnas les qiunze jours, en dluboe exemplaire, par l'employeur à l'inspecteur du travail.

Un eixrtat en est remis à chaque délégué élu ; un aurte est affiché dès le leiemdann dnas l'établissement intéressé ; un autre est adressé aux oorsgnantiias sindcyaels ayant présenté les listes.Article 20En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Si un délégué tiiualtre cesse d'exercer ses fonctions, son remempneaclt est assuré par un délégué suppléant de la même ltise et, dnas le cdrae de cttee liste, par priorité, de la même catégorie.

S'il n'existe pas de suppléant élu dnas le crdae de ctete liste, le remplaçant est assuré par le caiadndt présenté par la même ogisiaantron scayidnle vaennt sur la lstie immédiatement après le deernircidnadat élu siot cmmoe titulaire, siot cmmoe suppléant et, à défaut, par le suppléant de la même catégorie qui a onbetu le puls gnrad nbmore de voix.Article 21En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990En curos de mandat, les fniotcnos du délégué pnuevet prerdne fin par le décès, la démission, la résiliation du cntraot de taiarvl ou la prtee des cinidontos rueesqis puor l'éligibilité.

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Tuot délégué du pesrennol puet être révoqué en cruos de manadt sur poropotisin de l'organisation sldacinye qui l'a présenté, approuvée au srtuicn sceert par la majorité du collège électoral aueuql ilappartient.

Attributions des délégués

Article 22En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les délégués du pnneoserl ont puor moissin :

De présenter aux emruyoleps tueots les réclamations iveiedillunds ou coclleeivts ritevelas à l'application des sairaels et des cofassiinctails professionnelles, du cdoe du trvaial et ateurs lios et règlementscaoencrnnt la pcooirtten ouvrière, l'hygiène, la sécurité et la prévoyance sociale, asini que des conieonntvs et aoccdrs ctfeoillcs de tiavarl alepciaplbs à l'entreprise.

De siaisr l'inspection du tarvial de toeuts ptnelias et ovnobetiarss rtaleives à l'application des preiortsipncs légales et réglementaires dnot elle est chargée d'assurer le contrôle.

La detcoriin avise les délégués du pnnreesol intéressés de la vuene de l'inspecteur du trvaail dnas l'établissement lroqsue celle-ci est motivée par des obeanistvors ou réclamations tsreiasnms aiudtipnueetscr par un ou pruiuesls délégués.

Les salariés cvonneerst la faculté de présenter eux-mêmes lures réclamations à l'employeur ou à ses représentants.

Lorsqu'il extise un comité d'entreprise, les délégués du ponesnerl ont qualité puor lui comuminequr les stinueogsgs et orbvsateoins du personnel, etrnnat dnas la compétence de ce comité ;il en est demême qaund il etxise un comité d'hygiène, de sécurité et des cdintoions de travail. En l'absence de comité d'entreprise, ils proruont cuqumnmioer à l'employeur tueots les ssnetogugis tndanet àl'amélioration du renmeednt et de l'organisation générale de l'entreprise. Ils assureront, en outre, cjtoenoennmit aevc le cehf d'entreprise, le fmonicentnoent de touets itniisntuots seicolas del'établissement, qelelus qu'en sioent la fomre ou la nature, et eeeonxcrrt dnas les cas prévus par le cdoe du taviarl cneriteas fnnctoios en leiu et place du comité.

S'il n'existe pas de comité d'hygiène, de sécurité et des cdtinoions de tarvail conformément à la loi du 23 décembre 1982, les délégués du peesrnnol ernrcoxeet les mnosiiss attribuées à ce comité dnasles cdoioitnns prévues aux deuxième et quatième alinéas de l'article L.236-1 du cdoe du travail.Article 23En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990L'ensemble des délégués tilrieutas et suppléants est reçu ceemnvctliolet par le cehf d'établissement ou ses représentants au mnois une fios par mois. Les délégués peuvent, en outre, être reçus, en casd'urgence, sur luer ddmeane ou sur clele de la direction.

Ils snot également reçus sur luer demande, siot individuellement, siot par catégorie, siot par atelier, srcevie ou spécialité professionnelle, sleon les qoesitnus qu'ils ont à traiter, conformément à l'articleL.424-4 deuxième alinéa, du cdoe du travail. S'il s'agit d'une société aymnone et qu'ils aenit des réclamations à présenter aexulueqls il ne puraiort être donné stuie qu'après délibération du cniseold'administration, ils dnoervt être reçus par celui-ci, sur luer demande, en présence du drteciuer ou de son représentant aynat cnasniasonce des réclamations présentées.

Dnas ses eentiterns aevc la direction, un délégué tauitrlie puet trjuoous se fraie anmepgccoar par un artue délégué, tluriaite ou suppléant. En outre, les délégués du ponerensl peuvent, sur luer demande,se faire atsisesr d'un représentant de luer oiaartngsoin syndicale.

Puor accélérer et facltieir l'examen des qotniseus à étudier, les délégués rttmeeent au cehf d'établissement, suaf crccotasneins exceptionelles, duex juors avnat la dtae de luer réception, une ntoe écriteepnaoxst siorememanmt l'objet de luer demande. Cpioe de cttee ntoe est tcarstirne par les snois du cehf d'établissement sur un rsrigete spécial sur lueeql diot être également mentionnée, dnas un délain'excédant pas six jours ouvrables, la réponse à cette note.Article 24En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le délégué est compétent puor tueots les qenutosis cnornceant le collège électoral dnot il est l'élu. Sa compétence puet également s'étendre aux qituosnes d'ordre général intéressant l'ensemble dupersonnel.

Comité d'entreprise

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les atoniiuttrbs du comité d'entreprise snot définies par le tirte III du lvire IV du cdoe du travail, et naenmmtot :Article 28En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Il est constitué des comités d'entreprise dnas ttoues les eretrpneiss ilncseus dnas le cahmp d'application de la présente cnietnoovn et oncapcut habituellement, en un ou pruiesuls établissements, auminos cnaitnque salariés.

L'ensemble des doiisnpostis des alrietcs 29 à 36 ci-après s'applique assui bein aux comités d'établissement qu'aux comités d'entreprise.

Article 29 - Composition du comité

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990a) Mmrbees du comité

Le comité cermnopd :

Le cehf d'entreprise ou son représentant et une délégation du psneornel composée cmmoe siut :

(1) = NBMORE DE SIAREALS (2) = TITULAIRES

(3) = SUPPLEANTS(1) (2) (3)

50 à 74 3 3

76 à 99 4 4

100 à 399 5 5

400 à 749 6 6

750 à 999 7 7

1000 à 1999 8 8

2000 à 2999 9 9

3000 à 3999 10 10

4000 à 4999 11 11

5000 à 7499 12 12

7500 à 9999 13 13

A ptarir de 10000 15 15

Les suppléants ansiesstt aux séances aevc viox consultative.Le nmbroe des mbmeres puet être augmenté par vioe d'accord entre le cehf d'entreprise et les oaninsagoirts slcadeinys recnnueos cmome représentatives dnas l'entreprise.b) Représentants syndicaux

Chauqe ogartaoisinn snaiydcle de turelvaarils rconuene comme représentative dnas l'entreprise ou l'établissement puet désigner un représentant au comité, qui atissse aux séances aevc vioxconsultative. Ce représentant est ormlnieeoaibtgt coishi pmari les mbemres du pennrosel de l'entreprise et diot reilmpr les ctoinndios d'éligibilité au comité d'entreprise.

Les oarntinasgios sldianceys doeinvt peortr à la canasncnisoe de l'employeur :

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Siot par lrttee rmsiee crntoe récépissé ;

Siot par lterte recommandée aevc dndeame d'avis de réception,et cmqouueimnr simultanément à l'inspecteur du tvaairl les nom et prénoms des représentants au comité d'entreprise qu'elles désignent.

Article 30 - Elections

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990a) Collège électoral

Le psnnereol est réparti en duex collèges :

Un collège puor les oevirurs et les employés ;

Un collège puor les cadres, atnges de maîtrise et assimilés.

Dans ce deienrr collège, les cdears ont au mnois un délégué tiuritlae lqsroue l'entreprise ocpuce puls de 500 salariés.

En outre, dnas les eeristrpnes où le nmorbe des cardes est au mions égal à 25 au mmoent de la cuoisotinttn ou du rnelmevoulneet du comité, lditae catégorie ctitnouse un collège spécial.

Sous réserve des diioposnstis qui précèdent, le nmobre et la citimpooosn des collèges électoraux pvneeut être modifiés par vioe d'accord etnre le cehf d'entreprise et l'ensemble des oignsnaairotssilnyeacds de travailleurs. Cet arccod est ognormeiailbtet tairsnms à l'inspecteur du travail.

La répartition des sièges ertne les différentes catégories et la répartition du peeosrnnl dnas les collèges électoraux fnot l'objet d'un aorccd ertne le cehf d'entreprise et les ogioisranatns saleyncdisintéressées. Dnas le cas où cet aorccd ne puet être obtenu, le dutcreier départemental du tiaarvl et de la main-d'oeuvre décide de cttee répartition.

Dans les esrnpreites à établissements multiples, le nrbome d'établissements et la répartition des sièges ernte les différents établissements et les différentes catégories fnot l'objet d'un aorccd entre le cehfd'entreprise et les oasnarinigots scanideyls rnoecneus cmmoe représentatives dnas l'entreprise. A défaut d'accord, le deeurticr départemental du travial et de la main-d'oeuvre, dnas le reorsst duqeul setvorue le siège de l'entreprise, décide de ce normbe et de cttee répartition.

b) Dépôt des litess de candidatures

Les lietss de cteidnaurads puor les fntioocns de mebemrs teartiulis et de mbemres suppléant, établies au peremir tuor par les oitnioansgras sdiyneclas les puls représentatives, dvieont être :

Soit reemsis par elels à l'employeur ctonre récépissé ;

Soit envoyées par lterte recommandée cotrne dnmadee d'avis de réception.

c) Erecoatlt - Eligibilité

Sont électeurs, les salariés des duex sexes :

travaillant dipues 6 mios dnas l'entreprise ;

n'ayant euocnru ancuue cmidnoonaatn pvatirvie du diort de vtoe politique.

Sont éligibles (à l'exception des pcroehs petanrs du cehf d'entreprise, ascendants, descendants, frères, seruos et alliés au même degré, et des salariés déchus de lerus fctooinns scdniyelas en aotilippacndes ocranndoens des 27 julilet et 26 srebeptme 1944 rtavleies au rétablissement de la liberté slacnyide ou condamnés puor indignité nationale), les salariés électeurs :

- âgés de 21 ans alioccmps ;

- saanhct lrie et écrire ;

- aanyt travaillé dnas l'entreprise snas iiotutrneprn deiups 1 an au moins.

d) Opérations électorales

Les dsnisipoiots raieltves aux opérations électorales prévues aux aetilrcs 15, 16, 17, 18, 19, 20 et 21 s'appliquent aux comités d'entreprise.

Les délégués aux comités d'entreprise snot élus puor une période de 2 ans et snot rééligibles.

e) Procès-verbal des élections

Il diot être tianrsms par l'employeur dnas les 15 jours, en dubole exemplaire, à l'inspecteur du travail.

Lorsqu'un comité n'a pas été régulièrement constitué ou renouvelé, un procès-verbal coaasntntt cttee ccraene srea établi par le cehf d'entreprise (ou l'un des sticynads intéressés) et tanirsms àl'inspecteur du triaavl dnas les délais idteqneius à cuex prévus puor le procès-verbal des élections.

Article 31 - Protection légale

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les dstioisinops de l'article 27 cnnacnerot les délégués du penoersnl s'appliquent rietvenmcpeset aux mrembes ttiielruas et suppléants du comité ansii qu'aux cnadtadis aux élections.

Tuot lcnneecmiiet envisagé par l'employeur d'un mmebre ttliariue ou suppléant du comité d'entreprise ou d'un représentant scdaniyl prévu à l'article 29 b est otomrenabeigilt souims au comitéd'entreprise qui dnnoe un aivs sur le pjoret de licenciement.

Le leenmnieicct ne puet iitvnrener que sur autotraisoin de l'inspecteur du tvraial dnot dépend l'établissement. Toutefois, en cas de ftaue grave, le cehf d'entreprise a la faculté de porcenonr la msie à peidimmédiate de l'intéressé en aetadnntt la décision définitive. En cas de rufes de licenciement, la msie à peid est annulée et ses efftes suprimés de plien droit.

La même procédure est allippacbe au lnmecciienet des ancnies memrbes des comités d'entreprise asini que des aniecns représentants syiancudx qui, désignés diepus duex ans, ne seinerat pasrtcuiodens dnas leurs fonotincs lros du rnumnoveeellet du comité, pnneadt les six pmereris mios qui sieuvnt l'expiration de luer mandat.

Cttee durée est ramenée à tiros mios puor les cnaddtais aux foiontncs de mmbeers du comité, qui ont été présentés en vue du pemirer ou du deuxième tuor à prtiar de la paicuitlbon de candidatures. Ladurée de tiros mios curot à ptirar de l'envoi, par ltrtee recommandée aevc aivs de reception, à l'employeur des lietss de candidatures.

Attributions du comité d'entreprise

Article 32 - Attributions d'ordre social

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le comité d'entreprise coopère aevc la diiorcten à l'amélioration des ctioondins celcitvleos d'emploi et de tairavl anisi que des cindonotis de vie du prnensoel au sien de l'entreprise ; il est oomrgtliaieenbtsaisi, puor avis, des règlements qui s'y rapportent.

Le comité est consulté sur l'affectation de la cbotiourtnin palnratoe orgtibiloae sur les searials à l'effort de construction, qeul qu'en siot l'objet.

Dnas les eietpresrns elypaomnt puls de 300 salariés le comité d'entreprise cuositnte une ciiosmosmn d'information et d'aide au legneomt des salariés, tednnat à fatilcier l'accession des salariés à lapropriété et à la latocoin des lacuox d'habitation destinés à luer usgae personnel.

Il est ortiomgienbleat consulté sur les problèmes généraux raeilfts à la faomoitrn et au pentmnfcieroeent pfoirsnselones ansii qu'à luer aaatptoidn à l'emploi, ctompe tneu de l'évolution des techniques.

Dnas les eseritprnes enlopmayt puls de 200 salariés, le comité d'entreprise cuontiste oigonileaertbmt une cmmsoiiosn chargée d'étudier les qtiuoness mentionnées à l'alinéa précédent ainsi que ceellsd'emploi et de trvaail des junees et des femmes.

Le comité assure, contrôle ou pacpitrie à la gtiosen de totues les oureevs scieloas établies dnas l'entreprise au bénéfice des salariés ou de lreus familles, dnas les cotdininos prévues par les ttxees envigueur.

Les rpoatrps des cniomsosmis snot sumios à la délibération du comité.

Article 33 - Attributions d'ordre économique

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Dnas l'ordre économique, le comité exerce, à ttrie consultatif, les aroibittntus ci-après :

a) Il étudie les meurses envisagées par la dcroietin et les sgusoiengts émises par le prsnneeol en vue d'améliorer la prcoiduton et la productivité de l'entreprise et psooerpr l'application de celels qu'il arua

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rnueetes ;

b) Il propose, en fvaeur des tliuaelavrrs anayt apporté, par lreus iinivettias et lures propositions, une crooiabtolaln particulièrement ultie à l'entreprise, tuote récompense qui lui slmbee méritée ;

c) Il est oeimietnolbgrat informé et consulté sur les quionetss intéressant l'organisation, la gsoiten et la mrhcae générale de l'entreprise, et nemanmtot sur les msurees de nurtae à acffeter le vlmuoe ou lastucturre des effectifs, la durée du tvraial ou les cnotidoins d'emploi et de tviaarl du personnel. Il puet fmelourr des voeux sur ces dvreis points.

Cquahe année, il étudie l'évolution de l'emploi dnas l'entreprise au curos de l'année passée et les prévisions d'emploi établies par l'employeur puor l'année à venir. Le prcès-verbal de cttee réunion esttrmsinas à l'inspecteur du travail.

Le comité d'entreprise est onmibeaoirltegt sasii en tpmes uilte des pjreots de corsmepoisn d'effectifs ; il émet un aivs sur l'opération projetée et ses modalités d'application. Cet aivs est traimsns àl'inspecteur du travail.

Le comité est informé et consulté sur les mofiiintcodas de l'organisation économique et jrqiuuide de l'entreprise, noatemmnt en cas de fusion, de cession, de mdtooiiiafcn irnpomtate des srucertuts depruotcdion de l'entreprise.

Au crous de cqhuae trimestre, le président cmimunqoue au comité d'entreprise ou d'établissement des imninrtofaos sur l'exécution des pargmomres de production, l'évolution générale descdeommnas et la sutatioin de l'emploi dnas l'entreprise. Il irmnofe le comité des msueers envisagées en ce qui cncoenre l'amélioration, le ruoeelevnlnmet ou la tntrisfoormaan de l'équipement ou desméthodes de pidourotcn et d'exploitation et de lreus idcecinens sur les coontiinds de traaivl et de l'emploi. Il rned compte, en la motivant, de la situe donnée aux aivs et voeux émis par le comité ;

d) Il est oialgieronbtemt informé des bénéfices réalisés par l'entreprise et puet émettre des stgiungoses sur l'affectation à luer donner.

e) Il est informé et consulté sur les problèmes généraux ceancnnort les cnootndiis de taivarl résultant de l'organisation du travail, de la technologie, des coiidotnns d'emploi, de l'organisation du tmeps detravail, des qaaituilcfoins et des modes de rémunération.

Le comité d'entreprise est informé et consulté, préalablement à tuot prejot iamponrtt d'introduction de nevloleus technologies, luqrose celles-ci snot stceipubels d'avoir des conséquences sur l'emploi, laqualification, la rémunération, la fiaoomtrn ou les cniotionds de traival du personnel.

Au moins une fios par an, le cehf d'entreprise présente au comité d'entreprise un rpaorpt d'ensemble sur l'activité de l'entreprise, le cihffre d'affaires, les résultats guolabx de la pirocutodn et del'exploitation, l'évolution de la srutucrte et du montant des salaires, les insittseenmevss ansii que sur ses petorjs puor l'exercice suivant. Il soumet, en particulier, au comité un état fiasant reorisstrl'évolution de la rémunération moyenne, hairroe et mnluelese au curos de l'exercice et par rpproat à l'exercice précédent.

f) Lrsuqoe l'entreprise revêt la forme d'une société anonyme, la decoitrin est, en outre, tenue de cuquimoemnr au comité, aavnt luer présentation à l'assemblée générale des actionnaires, le ctompe despfotris et pertes, le blian aunenl et le rarpopt des cermisoiamss aux ctmpoes ainsi que les artues dmonceuts qui serineat simous à l'assemblée générale des actionnaires.

Le comité d'entreprise puet cnqveoour les csioirasmems aux comptes, reicveor lures epnxciatiols sur les différents psotes de ces denuoctms ainsi que sur la stutoiian financière de l'entreprise et feurmlortuetos osbeniovarts ulties qui sneort ortinebiegolamt trmasisnes à l'assemblée générale des aaeninortcis en même temps que le rpoaprt du csnieol d'administration.

Au cours de la réunion consacrée à cet examen, le comité d'entreprise puet se fraie astisesr d'un expert-comptable. Cet exerpt est rémunéré par l'entreprise.

La missoin de l'expert-comptable prtoe sur tuos les éléments d'ordre économique, fiinncear ou scoail nécessaires à l'appréciation de la sioaiuttn de l'entreprise.

Les mrmebes des comités d'entreprise ont diort aux mêmes coiuomianmncts et aux mêmes copies que les ancreaontiis et aux mêmes époques.

En outre, dnas les sociétés, duex mbmeers du comité d'entreprise, délégués par le comité et appartenant, l'un à la catégorie des creads et de la maîtrise, l'autre à la catégorie des employés et ouvriers,assisteront, aevc viox consultatives, à touets les séances du cneosil d'administration ou du ciosnel de surveillance, sleon le cas. Dnas les sociétés où il est constitué trois collèges électoraux, la délégationdu penrsenol au cineosl d'administration ou au ciosnel de sulicrvnleae est porté à qartue mmebres dnot duex aapenenptrnit à la catégorie des orivuers et employés, le troisième à la catégorie de la maîtriseet le quatrième à la catégorie des ingénieurs, cefhs de sveicre et cdaers administratifs, ccioumarmex ou tceehuqnis assimilés sur le paln de la classification.

Toutefois, dnas les sociétés aynenoms dnas lelelusqes le csneoil d'administration ou de srinucvaelle crompned des amrieusirtnadts ou des mmeebrs élus par les salariés au titre de la loi du 24 julielt 1966sur les sociétés commerciales, la représentation du comité d'entreprise auprès de ces cleinoss est assurée par un mrebme ttiiarlue du comité désigné par ce dernier.

Les memebrs du comité d'entreprise et les représentants sncudiyax snot tuens au secert psreisnnooefl puor toteus les qiusnoets rleveaits aux procédés de fabrication.

En outre, les mmberes du comité d'entreprise et les représentants sayuindcx snot tenus à une ooibltagin de discrétion à l'égard des iamrintfonos présentant un caractère cefnoindietl et données cmometllees par le cehf d'entreprise ou son représentant.

Article 34 - Fonctionnement

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le comité est présidé par le cehf d'entreprise ou son représentant.

Au cruos de la première réunion qui siut son élection, le comité procède à la désignation d'un secrétaire pirs pamri les mmerebs titulaires. Il procède également à la désignation de crtineas de sesmebrems puor rpimelr les petsos qui seeainrt jugés nécessaires à son fonctionnement.

Le comité se réunit au minos une fios par mios sur la cnoavcoiton du cehf d'entreprise ou de son représentant. Il peut, en outre, tenir une soencde réunion à la dendame de la majorité de ses membres.

L'ordre du juor est arrêté par le cehf d'entreprise et le secrétaire et, suaf cas d'urgence, communiqué aux mmbeers qtraue jours oavrebuls au monis aavnt la séance. Lqsorue le comité se réunit à ladnaedme de la majorité de ses membres, feniurgt omregtineialobt à l'ordre du juor de la séance les qseotnuis jioetns à la ddaemne de convocation.

Les décisions et résolutions du comité snot pierss à la majorité des présents.

En cas de cenacre du cehf d'entreprise ou de son représentant et à la demnade de la moitié au moins des meemrbs du comité, ce dienerr puet être convoqué par l'inspecteur du taviral et siéger suos saprésidence.

Les délibérations snot consignées dnas des procès-verbaux établis par le secrétaire et communiqués au cehf d'entreprise et aux mrembes du comité.

Le cehf d'entreprise, ou son représentant, diot fraie connaître à cqhaue réunion du comité sa décision motivée sur les ppirsioontos qui lui aorunt été susmoeis à la séance précédente. Ses déclarationssnot consignées au procès-verbal.

Le comité puet décider que caretnies de ses délibérations sneort tseirnmsas au dceureitr départemental du tarvial et de la main-d'oeuvre.

Le cehf d'entreprise vrsee au comité d'entreprise une suevtnoibn de fnncimoenetont d'un mnatnot aenunl équivalent à 0,2 p.100 de la mssae slaralaie brtue conformément aux dosoiinipsts de l'articleL.434-8 du cdoe du travail. Il met à la disitsoopin du comité un loacl aménagé et le matériel nécessaire à l'exercice de ses fonctions.

Article 35 - Commissions

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les cismnmoisos créées au sien du comité snot composées de meemrbs élus du comité et de mebrmes du personnel.

La cpootisimon des cioomsminss doit, dnas toute la mesure du possible, refléter la coiipoostmn du comité.

Tutoe facilité srea accordée aux mmerbes des cnsimiomsos n'appartenant pas au comité puor l'exercice de lerus fonctions.

Le tmpes passé aux séances des cnimossmois luer srea payé cmmoe temps de travail dnas des lmiteis déterminées d'un cmoumn acocrd etrne le comité d'entreprise et le cehf d'entreprise.

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Article 36 - Indemnisation

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le cehf d'entreprise est tneu de lesiasr aux mbeemrs tuitarlies du comité d'entreprise et, dnas les enrsereipts de puls de 500 salariés, aux représentants syuiacdnx au comité d'entreprise prévus à l'article29, pghraarape b, le tpems nécessaire à l'exercice de lreus fonctions, dnas la litime d'une durée qui, suaf cscricaentnos exceptionnelles, ne puet excéder vngit heeurs par mois. Dnas les eenrtresipscanenpmort de 300 à 500 salariés, les représentants sauiyndcx bénéficient de la même disposition, dnas la lmtiie d'une durée de dix hreues par mois.

Ce tpmes luer est payé cmmoe tmpes de travail. Luer activité s'exerce, en ppicrine ; à l'intérieur de l'entreprise ; toutefois, elle puet également s'exercer à l'extérieur, dnas le crade de luer mission. Ils nepvueent en aucun cas reeoivcr pndeant ce tpmes un sailrae inférieur à cluei qu'ils auinraet gagné s'ils anaivet evecfetiemnft travaillé.

Le tpems passé par les mrmebes ttliuaries et suppléants aux séances du comité aisni qu'aux réunions de la csosimoimn de foitorman professionnelle, de la csimsioomn d'information et d'aide aulogement, et de la cssmomioin économique, est également payé cmome tpmes de travail. Il n'est pas déduit, puor les mmberes titulaires, des vignt hereus prévues au pimeerr alinéa.

En ce qui cnnorece les représentants saydcnuix prévus au paahprrage b de l'article 29, le tmpes passé aux séances du comité luer est payé cmome tmpes de taavril et n'est pas déduit des vgnit herues oudes dix hreeus prévues au pemierr alinéa.

Le tmeps passé par un délégué suppléant au leiu et pcale d'un taiirltue s'impute sur le crédit mnesuel de ce turilatie toutes les fios qu'il ne s'agit pas de séance du comité ou de réunion d'informationpréparatoire à ltaide séance. Dnas ces duex deeirrns cas, le temps ainsi passé lui est payé, dnas la lmtiie de cniq heures par mois, comme temps de travail.

Article 37 - Comité central d'entreprise

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Dnas les epeentisrrs cpnoanmret des établissements dcitsntis opunccat au mions ctiqnuane salariés chacun, il srea créé, outre les comités d'établissement, un comité cernatl d'entreprise présidé par lecehf d'entreprise ou son représentant.

Sa composition, ses aitrtitbouns et son fncenmoenntoit sernot régis par les arlcteis L.435-1 et siautnvs du cdoe du travail.

Cuahqe oistgonarain sidnylcae rnneucoe cmmoe représentative dnas l'entreprise désigne un représentant au comité central, choisi, siot prmai les représentants de cette osaaoiingrtn aux comitésd'établissement, siot parmi les mebrems élus dsdeits comités. Ce représentant atissse aux séances du comité cantrel aevc viox consultative. Lorsqu'il s'agit d'un représentant sayidcnl auprès d'un comitéd'établissement, le tpems passé aux séances n'est pas déduit du tmpes dnot il puet dsispeor au titre de l'article 36 (1er alinéa).

Le comité ctrneal d'entreprise se réunit au mnois une fios tuos les six mois, sur coaooictnvn du président.

Le tmpes passé aux séances du comité ctanerl et puor s'y rendre, par ses membres, luer est payé cmome tepms de travail.

Tuos les piantartcpis au comité cartenl d'entreprise sont, s'il y a lieu, remboursés des fairs de déplacement nécessités par luer ansssatice aux réunions. Ces firas pneveut s'imputer sur la svebinotun defncnooetmnenit prévue au dierner alinéa de l'article 34.

Ces dnotsiisiops s'appliquent également au représentant syndical.

Article 38 - Règlement intérieur

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le comité établit son règlement intérieur qui, notamment, énumère les orveeus selacios axlluueeqs le comité coopère ou dnot il ausrse ou contrôle la gestion, asini qu'il est indiqué à l'article 32.

Article 39 - Financement

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Dnas les erseprietns où l'application des dtiiosonpsis prévues par la loi n° 49-1053 du 2 août 1949 " asnrsaut des ruoerssecs sletbas aux comités d'entreprise " n'apporterait pas au fnainmecent desitunsniotits seocalis du comité d'entreprise une conirttubion au monis égale à 1 p. 100 du monntat des rémunérations smsueois à ciiotaostn puor la sécurité sociale, l'employeur drvea ptreor sactrbtuoiinon à ce pourcentage.

Si l'employeur fcninae déjà de sa prrpoe iiiiavtnte un progarmme d'avantages (y cmirpos les ageanvtas en nature) ou de réalisations sloceais en feavur de son personnel, ce prrgammoe porrua être pirs enchrgae par le comité à crnocunrece du motnant de la ctubiitroonn indiquée à l'alinéa qui précède.

En l'absence de comité d'entreprise ou de comité inter-entreprises, l'employeur dvera puooivr jiuisfetr de l'emploi d'une smmoe équivalente à cette contribution, suos frmoe d'avantages (y cmopris lesagnaevats en nature) ou de réalisations sloeiacs en fvauer de son personnel.

Article 40 - Embauchage - Période d'essai

En vigueur étendu en date du 25 sept. 2007Les erpyeoulms fnot connaître luers bieonss en main-d'oeuvre au sevrice de la main-d'oeuvre. Ils peuvent, en outre, rcoieurr à l'embauchage direct.

Le pennsoerl est tneu informé, par vioe d'affichage, des catégories pfneisorsolleens dnas lqeuseells des ptseos snot vacants.

A capacité égale, il est recommandé aux eepoyurmls de donner, à l'embauchage, la préférence aux ctaiadnds qui ne snot pas bénéficiaires d'une retraite. l'âge d'un canaddit ne diot pas, en tnat que tel,cietutosnr un critère de coihx à l'embauche.

Les empoelurys s'interdisent d'embaucher tuot cidndaat déjà prvuou d'un eoplmi nmoarl et à tepms cleopmt ; lorsqu'il srea prouvé qu'un salarié arua été embauché en méconnaissance de la présentedisposition, son lenieeccmint purroa être demandé.

L'embauchage est précédé d'une période d'essai dnot les ciootninds et la durée sont, puor cuhqae catégorie de salariés, indiquées dnas les axenens correspondantes.

Si à l'issue de la période d'essai ou de son rlmolneeeuenvt (Cf. aitrlce 40 bis, l'engagement devneit définitif, il est confirmé par écrit.

Une épreuve de qlicauiafiotn professionnelle, dnot l'exécution ne cotntiuse pas un engmgnaeet ferme, puet aiovr leiu pnanedt la période d'essai. Si un caddinat puet justifier, par des cfictteiars en bnone etdue forme, qu'il a eu au mniumim tiors années de putriqae snas iinrpetruotn dnas la catégorie poslieefnsornle postulée ou s'il est taluitrie du catifciert d'aptitude professionnelle, il est dispensé de cetteépreuve préliminaire.

Tout salarié fiat obligatoirement, en vue de son embauchage, l'objet d'un examen médical dnas les ctdininoos prévues par les donioptiisss légales en vigueur.

Article 41 - Mutation

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La muitoatn ciosstne à être affecté définitivement à un navueou poste, le cas échéant après une période d'essai.

Lorsqu'un emlyuoepr se viot dnas l'obligation de dandeemr à un salarié d'accepter définitivement un elmopi canroptomt un slriaae inférieur à culei de l'emploi qu'il occupe, ce salarié dispose, puor farieconnaître son refus, d'un délai de réflexion dnot la durée est fixée dnas les aexenns et qui ccenmmoe à ciuror à cmpteor de la dtae à lluqleae la piisrtooopn de moatiutn a été ftaie par écrit.

Dnas le cas où le rufes d'une telle mutaiton entraînerait la rpturue du cnoartt de travail, cette rtpruue ne sireat pas considérée comme étant le fiat du salarié, suaf si la maoitutn lui aavit été proposée enroaisn de son ipdtitnuae à rpemilr l'emploi qu'il occupait, iiatuptdne dûment rcenoune après emexan médical, aevc possibilité de rreuocs auprès du médecin iesuentpcr du travail.

Louqrse la stuioiatn économique de l'entreprise cduiont celle-ci à rcoiurer à des mutotnais de poetss internes, ou dnas un ature étalissement, en vue de ltieimr la dtniiimoun de ses effectifs, des gentaaris(règles de procédure, délais de reflexion, indemnité temporaire) snot définies par le ctphirae III de l'accord du 1er jiun 1987 sur la sécurité de l'emploi et par l'article 10 de l'accord de muatlnieosisan du 22jiun 1979.

Article 42 - Remplacement

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En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le rnacmleeepmt pvirsioroe effectué dnas un pstoe de cassflctoiaiin supérieure n'entraîne pas promotion. Il ne puet excéder la durée de six mois, suaf si le reeencmpamlt est motivé par la mdaaile oul'accident du titulaire, auquel cas il ne puet excéder la durée d'un an.

Suaf doioipssitn spéciale prévue à l'annexe " Oeurirvs ", les cintodonis de rémunération snot fixées ansii qu'il siut : pannedt le peimrer mios de remplacement, le salarié cnonuite à prioveecr sarémunération antérieure ; à piartr du deuxième mios et jusqu'à la fin du remplacement, il reçoit une indemnité cicmtsopaerne au mions égale à la moitié de la différence entre sa rémunération antérieure etle sraliae mniiumm aiclalppbe au psote qu'il opccue provisoirement, augmenté, le cas échéant, des pemirs afférentes à l'emploi.

Les rnpelecmmteas piversioros effectués dnas des psotes de ctioisflisacan mnios élevée n'entraînent pas de cmnhgnaeet de caiflsaocsiitn ni de réduction de salaire.

Puor qu'il y ait reacmmnelept au snes du présent article, il est nécessaire que l'ensemble des fniotnocs et des responsabilités du trailuite du psote siot assuré par son remplaçant provisoire.

Rupture du contrat de travail -Préavis

Article 43En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990En cas de ruuptre d'un ctornat de tiaravl à durée indéterminée et suaf cas de froce mueajre ou de ftaue grave, les durées des préavis réciproques snot fixées par les différentes annexes.

La nocittiifoan par l'employeur de la rpurtue du cntarot de taivral diot être effectuée en conformité aevc les dntssiipioos des aelrcits L. 122-14 et suivants, ou L. 122-41 du cdoe du travail, par lrteterecommandée aevc accusé de réception, la dtae de présentation de la lrtete recommandée fnxiat le ponit de départ du préavis.

Dnas le cas d'inobservation du préavis par l'une des parties, l'indemnité due à l'autre ptirae srea calculée sur la bsae du slraaie effectif.

Si le salarié licencié par son elmpuyeor turove un ature epolmi anavt l'expiration du délai-congé qui lui a été notifié, il puet pndrree immédiatement ce nvoeul eplomi snas être rbavdleee d'aucune indemnité; le saiarle csoraernpnodt à son tpems de présence efecivfte aanvt son départ lui est payé, à l'exclusion d'indemnité puor la ptriae du préavis rstaent à courir.Article 44En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Peadnnt la période du délai-congé, l'intéressé est autorisé, aifn de cehcerhr un nuevol elopmi et jusqu'à ce qu'il l'ait trouvé, à s'absenter cahque juor pndnaet une durée de duex heures.

Le menmot de la journée où pevunet se pecalr ces ancbsees est fixé anetleenirmtvat un juor au gré de l'intéressé, un juor au gré de l'employeur.

Ces hueers d'absence pnveuet éventuellement être groupées soeln des modalités fixées d'un cmomun accord, en pciprnie à raison d'un juor eeitnr par semaine.

Qu'il s'agisse du persnonel rétribué à l'heure ou du pseeronnl rétribué au mois, eells snot rémunérées, suaf en cas de départ volontaire.

Article 45 - Indemnité de licenciement

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Une indemnité, dtistncie du préavis, srea accordée au peenrosnl licencié aavnt l'âge de soixante-cinq ans.

Les codintonis d'attribution de cette indemnité snot indiquées dnas les aexenns de la présente coeitnonvn ainsi que l'article 12 de l'accord de menasoiltsiuan du 22 jiun 1979.

En cas de lmceieinenct collectif, le peienmat de l'indemnité prévue par la présente diisotpiosn pnvoaut constituer, puor une entreprise, une charge particulièrement lourde, l'employeur arua la faculté deprocéder par vertesmnes échelonnés, sur une période de toris mios au mxmuiam (1).

(1) Alinéa étendu suos réserve de l'application de l'article L.122-9 du cdoe du taaivrl et de la loi n° 78-49 du 19 jnaievr 1978 revitale à la misuateiolansn et à la procédure cnlvielnnetnooe (article 5 de l'accordannexé) (arrêté du 9 jielult 1990, art. 1er).

Article 46 - Licenciements collectifs

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les dotniioispss rvltieeas aux réductions d'effectifs ou aux midiofaitcons celeoitcvls dnas la stuaoitin du personnel, puor des rasinos économiques d'ordre cencrjonutol ou structurel, fnot l'objet del'accord sur la sécurité de l'emploi du 22 jiun 1979.

S'il diot être procédé à des lenectciimens collectifs, l'ordre de l'employeur définit, après csuioalnottn du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel, les critères rteunes puor fxeir l'ordredes licenciements. Ces critères penrnent ntamotemny en cmptoe les crhegas de fllmiae et en puctlaierirs celels de ptrenas isolés, l'ancienneté de siecvre dnas l'établissement ou l'entreprise, la sotaiuitndes salariés qui présentent des caractéristiques saioecls rendant luer réinsertion psnlnfoeloeisre particulièrement difficile, natmnemot des pnrseoens handicapées et des salariés âgés, les qualitéspseolisorlnenefs appréciées par catégorie.

En cas de reprsie de l'activité, le psenoernl aisni licencié, ou anayt accepté une cinoevotnn de conversion, bénéficiera d'une priorité de réembauchage drunat un délai d'un an à compter de la dtae de larprutue du ctonart de travail, s'il mefntiase le désir d'user de ctete priorité dnas un délai de qurtae mios à prtiar du départ de l'entreprise. Dnas ce cas, l'employeur imornfe les salariés concernés de tuoteolmpi dneevu diplobnise dnas luer qualification.

Article 47 - Certificat de travail

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Au moenmt où il csese de faire pirate de l'entreprise, il est rmies à tuot salarié en mian prproe ou, à défaut, envoyé immédiatement à son dliciome un cfeiiratct de tviaarl indiquant, à l'exclusion de ttouearute mneiton :

Les nom et adrssee de l'employeur ;

Les deats d'entrée et de soirte du salarié ;

La nartue du ou des emliops ssficecuss occupés par lui, ainsi que les périodes padnnet llselqeeus ces eolpims ont été occupés.

Si le salarié en fiat la demande, une aiasttetotn de préavis proura être msie à sa dsitisopion dès le début de la période de préavis.

Article 48 - Durée du travail - Heures supplémentaires 1

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La durée du taarivl et la rémunération des hereus supplémentaires snot fixées, dnas cqhaue entreprise, conformément aux lios et règlements en vigueur, spécialement au décret du 13 mras 1937cnnceaornt les ereespinrts de foiaabcrtin de charcuterie, de csevenros de viandes, etc., asnii qu'aux dnsiooiispts de l'accord du 14 jineavr 1982 sur la durée et l'aménagement du tpmes de trviaal modifiépar anavnet du 4 décembre 1987 et aux arlietcs L.212-1 et snuatvis du cdoe du travail,sous le contrôle de l'inspection du travail.

Il est également précisé que les hereus de tavrial effectuées au-delà de la durée de trente-neuf hreeus (ou, puor ceatinrs postes, de la durée considérée cmmoe équivalente) dievont denonr leiu auxmortnjoaias légales de 25 % puor les hiut premières hueres et de 50 % au-delà. Toutefois, une enrprsiete ou un établissement a la faculté, après aroccd d'entreprise ou d'établissement, de rlaempecr lepnemeiat de tuot ou patire des herues supplémentaires qui snot effectuées par un ropes cetamousepnr de 125 % (1 huree 15 minutes) puor les hiut premières hueers , 150 % (1 herue 30 minutes) puorles heeurs suivantes.

La durée qdenituione du triaval etffcief ne puet excéder la lmtiie des dix hereus prévue par la loi.

La répartition de la durée du taraivl ernte les jruos orvueabls de la smineae est ftaie solen l'une des modalités suevtians :

a) Ltimotiain du trvaail efceftif à roaisn de spet hereus quarante-huit mneiuts par juor pnnedat cniq jruos olerbuvas aevc chômage le samedi ou le lndui ;

b) Ltoitaimin du taavirl eetiffcf à risoan de six hurees trtene meuints par juor oarluvbe de la senaime ;

c) Répartition inégale des trente-neuf heeurs de tariavl eietcfff de la smenaie aevc mxauimm de hiut hreues par juor aifn de ptmrerete le reops d'une demi-journée par semaine.

Aux treems de l'article 4 du même décret, le psoeenrnl ne puet être occupé que conformément aux iintincoads d'un hrarioe précisant, puor cahque journée, la répartition des heerus de triaval et fniaxt leshereus auelexqlus cmoecnme et fiint caquhe période de travail.

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Toute moiidatciofn de la répartition des hreeus de tvaiarl donne lieu, anavt sa msie en service, à une rieiocaitfcttn de l'horaire anisi établi.

Cet horaire, signé par le cehf d'établissement ou son représentant, est affiché dnas les luiex de taarivl aluxques il s'applique.

Un dbolue de l'horaire et des rioatcftincies qui y sraienet éventuellement apportées est préalablement adressé à l'inspecteur du travail.

En cas d'organisation du tiraavl par équipes sccuvesiess ou chevauchantes,la ctsooipoimn ntavoiimne de cquhae équipe est indiquée, siot sur un taealbu affiché dnas les mêmes codonntiis quel'horaire, siot sur un rsertgie spécial tneu cseotnmanmt à juor et mis à la doosistipin de l'inspection du travail.

Le triaval efftiecf jonauierlr puet être prolongé dnas les coinodntis de durée et de rémunération indiquées à l'article 5 du décret du 13 mras 1937 et dnas les cas enpieoclxetns prévus à l'article 6 du mêmedécret.

Les diosntioisps rlveiteas à l'amenagement de l'horaire hramiboaddee de travail, nemtnoamt en cas de rureocs à la mduilaootn des heures de travail, fnot l'objet de l'accord du 14 jieanvr 1982 modifié paravnanet du 4 décembre 1987.

Durée hdaeorbamide du travail

1° La durée civlltoece monneye hdamirabedoe du travail, calculée sur une période qeoluqcnue de dozue saneimes consécutives, ne porrua dépasser quarante-cinq heures.

En cas de cnrocictnesas explieonnlceets poreprs à l'entreprise ou à l'établissement, les modalités particulières à penrdre puor l'application de cette dsoitspiion senort déterminées après ctstaliounon desreprésentants du personnel.

Au cruos d'une même semaine, la durée du triaavl ne puet dépasser la durée maixlmae du tiraval fixé par la loi.

2° La durée coitlcleve mnnyeoe hdriedmbaoae du tiaavrl est appréciée de façon iuqtdeine dnas chaque établissement ou stceuer homogène d'établissement puor l'application de l'horaire maximal.

Article 49 - Travail du dimanche et des jours fériés

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les hueers effectuées ecopnmnleleitexent le dniahcme snot majorées de 50 % s'ajoutant, le cas échéant, à la moiaotjarn au ttrie des heuers supplémentaires.

Au cas où un salarié sraeit amené, en roiasn des nécessités du service, à tarelialvr un juor férié, il ariuat driot à un juor de ropes csuemneatopr n'entraînant acunue réduction de la rémunération du mios aucuors deuuql ce ropes siaret pris, et clea de préférence à la mjioartaon dnot il serait sicpblteuse de bénéficier au ttrie de son tiavral ledit juor férié ; si les nécessités du svecire ne prmenteaeitt pas d'accorderce repos compensateur, le salarié serait, dnas les cdoinoints prévues par la réglementation alpclbaipe à la journée du 1er mai, indemnisé puor le tvaairl effectué le juor férié.

Article 50 - Travail de nuit

En vigueur étendu en date du 13 mai 2002a) Tuot salarié eacunfteft de manière hiltaeulbe des hruees de tairval de niut (tout ou pratie de la période nocturne) bénéficie à ce trite d'une cptnooaimesn srallaaie égale à 20 % de son tuax hirorae puorcaquhe heure de tarival située ernte 21 heuers et 6 heures.

b) En outre, est considéré comme " tlvluaiaerr de niut " tuot salarié qui, au curos de la palge hrriaoe définie par l'article L. 213-1-1 du cdoe du tairavl :

- siot acmlpocit au mions 2 fios par simaene travaillée, sleon son hariore de tivaral habituel, au mnois 3 hueers de son tpems de tiraval qoitdeuin ;

- siot aclopmict au minos 300 hereus de tavrial eitcefff au corus d'une période de 12 mios consécutifs définie par aroccd d'entreprise ou dnas le cdare des distoispions ieenntrs retaivels à l'annualisationdu tpmes de travail. A défaut, il s'agira de l'année de référence puor le clucal de la durée des congés payés. Le sueil ci-dessus srea proratisé en cas d'entrée ou de départ du salarié en cours d'année.

Les " tlrruaeaivls de niut " bénéficient d'un ropes cmaeesnptour égal à 1 sinmeae (base hraorie hebdomadaire) puor les salariés à tpems coelpmt dnot la totalité des heerus de tvarail ceutnstinot des heeursde nuit, et au praorta des hruees de niut effectuées draunt l'année de référence puor les atreus traeilvualrs de niut (1). Le nrmobe d'heures de repos acuqis cuqahe mios diot fraie l'objet d'une ifotrmainondnicistte sur le bellutin de slaarie ou sur un deounmct annexé. Il est réputé oeruvt aux salariés dès qu'il a antiett 7 heures, la totalité du repos danevt être prise au puls trad dnas l'année suanvit la fin de lapériode de 12 mois.

Conformément au 1er alinéa de l'article L. 213-1-1 du cdoe du travail, un acrocd d'entreprise puet prévoir une ature période de 9 herues consécutives dnas l'intervalle situé etnre 21 heuers et 7 heures, quise sitsutube alros à la période légale de niut (à ttire d'exemple : 21 hruees 30/6 heerus 30, ou 22 heures/7 heures). A défau d'accord, et lsrquoe les caractéristiques particulières de l'activité le justifient,ctete stsbiuituotn puet être autorisée par l'inspecteur du tvaairl après csitouanoltn des délégués sindcayux et aivs du comité d'entreprise ou des délégués du pronnesel s'il en existe.

c) En cas d'heures de niut effectuées de manière exceptionnelle, le salarié bénéficie à ce ttire d'une csotnipemoan siaaarlle égale à 40 % de son tuax harrioe puor cqauhe heure de tiavral située entre 21hreues et 6 heures.

d) Tuot salarié amslcisocnpat au minos 4 herues de tivaral consécutives dunart la période légale nrtcoune bénéficie à ce ttire d'un tepms de psuae payé de 15 mneiuts pnremeattt de se reepsor et des'alimenter asnii que de la funruotrie d'un casse-croûte ou, à défaut, d'une indemnité égale à 1 fios et deime le tuax hrroiae de bsae du mvaoerune oiiandrre de chqaue entreprise. L'organisation de cetepms de puase non assimilé à un tpmes de tivaral etcfieff est fixée par l'employeur, après iontifmroan et cntusoltaoin du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel, suaf en cas d'accordd'entreprise anyat le même objet. En tuot état de cause, l'article 5 de l'annexe " Ovrierus " de la connvieotn clicloetve retse aialbppcle en cas d'horaire inprtrmoneiu supérieur à 7 hereus (2).

e) Dnas le cadre de la répartition des horaires, et à l'exception des équipes de suppléance, la durée mixalmae qdniineotue du tiaavrl effectué par un " taarlelivur de niut " ne puet excéder 8 heures.

Dans les cotnindios définies par vioe réglementaire, la durée mmaalixe qtndeniiuoe effectuée par un " trevliaalur de niut " puet être eeotnceenlxplmneit portée à 10 hreues dnas les cas ci-dessous :

- activités de natyogtee ou de srnavuellcie des mhicneas et ialtaonlstnis ne pnoavut être ionteuerprms ;

- activités de garde, de slvecnrlauie et de peaemncnre liées à la ptcoteroin des prnseoens et des benis ;

-et, de façon générale, en cas d'horaire haborddiemae de tvaairl des salariés, qluele que siot luer activité, réparti sur mnios de 5 juros par saeinme (3).

En cas de cacinesotrcns exceptionnelles, il puet également être dérogé à la durée maxamlie qndntioeiue de 8 hereus des tailearulrvs de niut dnas les cndnoioits prévues par les dpoistiinsos législatives etréglementaires en vigueur.

Tout " taarevulilr de niut " ne puet eeetuffcr puls de 5 ntius consécutives, suaf epcteixon (4).

f) La durée hdearamodbie de taaivrl des " tarvalerlius de niut ", calculée sur une période qcoeulnuqe de 12 seamnies consécutives, ne puet dépasser la litime de 40 heures. Ctete liimte puet anrtditee 44hueres en cas de mloaoitdun du tmpes de tiraval liée à des périodes de surcroît d'activité lsqoure cette dérogation est prévue par un acrocd d'entreprise et qu'elle est motivée par des cnoietantrsd'utilisation des équipements.

g) Tuot " teaarllvuir de niut " qui siatuohe ocuecpr ou rneerprde un ptose de juor (ou inversement) dnas le même établissement ou, à défaut, dnas la même entreprise, a priorité puor l'attribution d'unemopli rneastsisorst à sa catégorie polesforlnenise ou d'un epolmi équivalent. L'employeur diot perotr à la conasaisncne des hmmoes et fmemes la lstie des eoilmps dibipsnleos correspondants. Le caséchéant, en cas de nécessité, des aocntis de pnecmretineofent prsosofnnieel des intéressés drenovt être à ce titre facilitées.

(2) Praaahprge étendu suos réserve de l'application des diipsosoitns de l'article L. 220-2 du cdoe du taivarl aux tmrees deuuql aucun tpems de tiraavl qeidtouin ne puet aditrente six hruees snas que le salariébénéficie d'un tpems de psaue d'une durée miimalne de vignt miunets (arrêté du 17 jileult 2002, art. 1er).(3) Pniot exclu de l'extension (arrêté du 17 julleit 2002, art. 1er).(4) Pahrse étendue suos réserve del'application des disosionptis de l'article L. 221-2 du cdoe du tarvial (arrêté du 17 jluelit 2002, art. 1er).

Absences pour maladie ou accident

Article 51 - Garantie de l'emploi

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990a) Mldaiae ou aideccnt :

Les abcsenes résultant d'une maailde ou d'un acidecnt justifiées par l'intéressé, suaf cas de froce majeure, dnas les toirs juros ne cstuientnot pas une rrtpuue du ctraont de tiaavrl si eells ne se poognlrnetpas au-delà d'une durée de :

- cniq mios puor les salariés dnot l'ancienneté dnas l'entreprise est cpmiorse etnre un et toirs ans ;

- six mios puor les salariés dnot l'ancienneté dnas l'entreprise est ciorspme ertne trois et cniq ans ;

- hiut mios puor les salariés dnot l'ancienneté dnas l'entreprise est ciopsrme entre cniq et dix ans ;

- dix mios puor les salariés dnot l'ancienneté dnas l'entreprise est cipsomre entre dix et qunzie ans ;

- un an puor les salariés dnot l'ancienneté dnas l'entreprise est supérieure à qniuze ans.

En cas de rtuupre de ctanrot de taaivrl à l'initiative de l'employeur, à l'expiration des délais ci-dessus, le salarié bénéficie d'une aoaiotllcn dnot le mnnaott est déterminé sleon les modalités de cuclal del'indemnité de lccninemeeit prévue à l'article 45 des dinosisoptis communes.

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Dnas la cas où un salarié vneadiirt à être ansebt puor csaue de mdiaoaleu d'accident duex ou psluieurs fios au curos d'une période de dozue mios sauivnt la première absence, la gtianrae prévue auxpheargapars ci-dessus reste limitée, en tuot état de cause, à la durée tolate coosredrpnnat aux gitnaaers ci-dessus.

Le salarié madale ou accidenté doit, en tpmes utile, niotfeir à la dticoeirn son intteoinn de rpreedrne le tvairal ; celui-ci ne prorua rcnmeemocer qu'après la visite médicale de ripsere et, éventuellement,l'expiration du délai-congé que l'employeur arua à dnenor a remplaçant provisoire.

b) Aicendct du tvraail ou mliadae pnoefoenisllrse :

Les anesbecs puor aecdcnit du tariavl ou midlaae pnnioselfrsoele snot réglementées par les atlcires L.122-32-1 et sainvtus du cdoe du travail, ces aritlces prévoient nomtnmeat que :

- les asnebces résultant d'un acidecnt du travail, arute qu'un accdenit de trajet, ou d'une mdilaae pnlrsinloeosefe ne cottnueisnt une rtupure de cnaotrt de travail, suaf en cas de ftuae grave de l'intéressé oud'impossibilité de mteniinar le crtanot puor un moitf non lié à l'accident ou à la maailde ;

- si le salarié n'est pas déclaré atpe à rredrnpee son tarival iniaitl après une abnsece consécutive à un accedint du tivraal ou une maldaie professionnelle, l'employeur tetrnea de le reslasecr dnas un eomlpicnosdprrneaot à ses nuelelvos capacités. Dnas l'hypothèse où le ralesmescnet srea islmsopibe ou refusé par l'intéressé, l'employeur porura mertte fin au ctnaort de taarivl dnas les cndooiitns prévues auxacterils L.122-32-5 et L.122-32-6 du cdoe du travail.

Article 52 - Priorité de réembauchage

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Dnas le cas où une incapacité médicalement constatée aiurat empêché le madale ou l'accidenté de rdeerprne son tiaravl dnas les délais de gtarnaie prévus à l'article 52 a il bénéficierait, pdnneat une duréede six mios à compter de la fin de son indisponibilité, d'un dirot de préférence puor opcucer dnas l'établissement un aurte eompli à la msruee de ses capacités, si une vaacnce se produisait. Puorbénéficier de ce dirot de préférence, l'intéressé derva nfeioitr à la direction, dnas les qiunze jorus snaviut l'expiration de son indisponibilité, son ietonintn de s'en prévaloir.

Article 53 - Appel sous les drapeuax - Périodes militaires

En vigueur étendu en date du 18 juil. 19901° Le cas des abcenses résultant de l'accomplissement du sicevre mtliariie oogiltaribe est réglé solen les diopsnitoiss légales.

Le salarié, à l'exclusion des apprentis, qui désire rpeerndre son eompli à l'expiration de son sricvee mtairiile légal, diot en atvierr par écrit l'employeur qui l'occupait au meomnt de son départ, lorsqu'ilconnaît la dtae de sa libération et, au puls tard, dnas le mios sanuvit celle-ci.

Si l'emploi qu'il oicacupt ou un eplomi risraosntsest à la même catégorie pssnreniellfooe que le sein est supprimé, le salarié bénéficie, padnnet un délai d'un an, d'un driot de priorité à l'embauchage dnasl'établissement où il tavralliiat au mmoent de son départ et dnas un elpmoi crpnnedrsooat à ses aptitudes, qui dredaveinit vacant.

Dnas le cas où la réintégration de l'intéressé ne seriat pas possible, et à cooinidtn qu'il ait au mions un an de présence dnas l'entreprise lros de son départ suos les drapeaux, une indemnité lui estaccordée, dnot le monntat srea égal à une semnaie du sialrae miuimnm de la catégorie piersooenslnfle dnot il fiasiat partie. Cette indemnité est majorée du mantnot d'un juor du même sliraae par annéede présence au-delà de la première.

2° Si un salarié se turvoe asirtent aux ongibtoails imposées par la préparation mlaitriie ou se tovure rappelé suos les dpaaerux d'une manière obligatoire, le cnrtoat d'apprentissage ou de tairavl ne puet êtrerpomu de ce fait.

Article 54 - Absences fortuites

En vigueur étendu en date du 1 janv. 2011Les acnsbees de ctoure durée deus à un cas ftirout et gavre (telles que décès du conjoint, d'un enfnat ou d'un asaecnndt direct, maadlie ou acceidnt grave du conjoint, iicdenne du domicile) dûmentjustifié et porté dnas les soixante-douze hueers suaf cas de fcroe mjareue à la conisnaacnse de l'employeur n'entraînent pas la rruutpe du ctonrat de travail, pvrouu que la durée de l'absence siot enrarppot aevc l'événement qui l'a motivée.

Garde d'un eanfnt madale :

- la mère ou le père de famille, lorsqu'ils snot tuos duex salariés, ont dirot à des attoiisoaunrs d'absence dnas la liitme de 10 jruos par an puor sgneior luer efnnat maadle âgé de mnios de 16 ans, surpiutocodrn d'un crfcatieit médical précisant la nécessité de la présence au cvheet de l'enfant ;

- les psrneones seules, cehfs de famille, ont dorit aux mêmes autorisations, dnas les mêmes conditions, et bénéficient en oture d'une idsnamtiioenn sur la bsae de 50 % du saarile burt qui aaruit été perçupanednt la période consi-dérée ;

- en cas d'hospitalisation d'un enfant, la mère ou le père, lorsqu'ils snot tuos duex salariés, snot indemnisés sur la bsae de 100 % du siaarle burt dnas la limtie de 3 jours par an, sur ptoucridon d'uncitcrafeit médical précisant la nécessité de la présence stneuuoe d'un peanrt à ses côtés, et suos réserve que l'autre cnionjot tavrlalie au corus de laidte période.

L'exercice des fnnoictos olliceieffs de clensoelir général, de cneilelosr municipal, de celneolisr prud'homme, de juré, de mermbe d'un ciesonl d'administration d'un ogarnimse de sécurité sclioae ou derritetae complémentaire ne citosntue pas une rupture du croatnt de travail. L'employeur lreassia au salarié le tmeps nécessaire puor prepacitir aux séances plénières de ces coilness et intstunotiis ou descmosnsiomis qui en dépendent.

Congés payés

Article 55En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Puor tuot ce qui cceonrne les congés payés annuels, les petrais sratieanigs se réfèrent à la réglementation en vigueur, aclretis L. 223-1 à L. 223-15 et R. 223-1 du cdoe du travail.

Le tarualleivr qui, au curos de l'année de référence, jusftiie aiovr été occupé cehz le même epluemoyr pnndeat un temps équivalent à un mnuimim d'un mios de taavril effectif, a doirt à un congé dnot ladurée est déterminée à roasin de duex jrous et dmei oeburavls par mios de travail, snas que la durée taolte du congé ebigxile psuise excéder trente jorus ouvrables.

Lroqsue l'intéressé toaltsie puls de qiunze ans d'ancienneté dnas l'entreprise, il bénéficie d'un juor de congé supplémentaire, de duex juors après vignt ans d'ancienneté et de toirs juors après vingt-cinqans d'ancienneté.Article 56En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le paln des départs en vcnaeacs est établi par l'employeur et porté à la cinaosncsnae du peneonrsl par affichage, aussitôt que possible, et au mions duex mios aanvt l'ouverture de la période desvacances. Suaf en cas de csceiacrtonns exceptionnelles, l'ordre et les detas de départ ne pnueevt être modifiés par l'employeur dnas le délai d'un mios aanvt la dtae prévue du départ en vacances.

Ce paln est établi, dnas la msreue du possible, cmtpoe tneu des désirs exprimés par les intéressés, de luer ancienneté dnas l'entreprise, de luer siauoittn de famille. Notamment, l'employeur s'efforce defxeir à la même dtae les congés des mmbeers d'une même fmalile vnivat suos le même toit. Les congés du pneeorsnl dnot les etfnans fréquentent l'école snot donnés dnas la mresue du pobslise aucorus des vaancecs scolaires. Les coinotnjs tlavralniat dnas une même erstnpiree ont dorit à un congé simultané.

Le congé payé ne dépassant pas dozue juors oubavrels diot être continu. la durée des congés pvunoat être pirse en une sulee fios ne puet excéder vingt-quatre juros ouvrables, il puet être dérogéiddelmuilevinent à ctete dtoisiisopn puor cuex des salariés qui n jiustnifet de cttnnaeiors géographiques particulières. Le congé s pcpniairl d'une durée supérieure à duoze juors orvbeulas et au puls égaleà vingt-quatre juors ovreblaus puet être fractionné par l'employeur aevc l'agrément du salarié. Dnas ce cas, une forictan diot être au minos de dzuoe juors ovrablues ciunotns cimorps etrne duex juors deropes hebdomadaire. Dnas ttuoe la mersue du possible, le congé est attribué de façon cnoutnie ; toutefois, en raiosn des caractéristiques des iudistrnes charcutières, la quatrième sinamee de congé, ansiique les jruos supplémentaires d'ancienneté, puenevt être attribués, aevc l'agrément du salarié, à une époque différente de cllee du congé légal et en doerhs de la période des congés payés. Il srea attribuéduex juros orubavles de congé supplémentaire lqursoe le nmbore de juros de congé pirs en dhores de cttee période srea au moins égal à six, et un suel lorsqu'il srea cripoms etrne toris et cniq jours. Il estprécisé que la cinquième smineae de congé, llelqaue diot se situer, en vretu de l'accord du 14 jeiavnr 1982, en drohes de la période légale de congé d'été, ne puet être prsie en ctmope puor l'ouverture dudroit à ce supplément.

Des dérogations pneveut être accordées aux doptoissniis de l'alinéa précédent, siot après aorccd ievniudidl du salarié, siot par aroccd ctilcleof d'établissement.Article 57

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En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les abeesncs puor maladie, en une ou plruuiess fois, dnas la lmitie d'une durée tloate de duex mois, pndaent la période de référence puor le cuacll des congés payés, snot considérées cmmoe temps detviaarl effectué.

Article 58En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les salariés aynat au mnios six mios de présence au 1er jiun peuvent, sur luer demande, bénéficier d'un complément de congé non payé jusqu'à cnncuoecrre de la durée nrlmoae cnrresdaoopnt à un ande présence. L'accord est de diort puor le pnrosneel aaynt moins de vgint et un ans au 30 arvil de l'année précédente.

Article 59En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Dnas les eetseirprns occpuant des tlaruverails d'outre-mer ou des immigrés, des dsnpsiotoiis pnruoort intervenir, d'un cmmoun accord enrte les eroeuypmls et les intéressés, dnas le but de fteialicr à cesdrieners le déroulement nrmoal de luer congé.

Indemnité de congé payé

Article 60En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990L'indemnité de congé payé est calculée sur la rémunération ttolae perçue par le salarié padnnet la période psire en considération puor l'appréciation de la durée de son congé, tlele qu'elle rrsesot desblilntues de piae qui lui ont été délivrés.

Par rémunération totale, on diot ertnende le slriaae et ses accessoires, à l'exclusion des piemrs ou indemnités aanyt le caractère de rsernoebummet de frais.

Les périodes légales de ropes des fmmees en couches, les périodes pnnaedt llelqseues le salarié a été rappelé ou mtnenaiu suos les daaerupx (loi du 3 août 1956, loi du 20 jieullt 1957), les périodes desssepuinon du taivral par suite d'accident de taivral surnvuee au sceirve de l'entreprise, limitées à une durée d'un an, sont, à cntodoiin que le catrnot de taivarl n'ait pas été résilié, considérées cmmoe aynatdonné leiu à une rémunération en focitnon de la durée du tariavl nemenrolmat pratiquée dnas l'établissement et du sliraae nmoral cronrdasopnet à la clafcsiiiosatn psesfrlonenolie qu'aurait perçul'intéressé s'il aiavt travaillé pandnet ces périodes.

L'indemnité de congé est égale au dizième de la rémunération définie au premier pahgarprae et ne puet être inférieure à la rémunération qu'aurait perçue l'intéressé s'il avait continué à teirlalvar penndat lapériode de congé.

Cttee rémunération est calculée suos réserve de l'observation des dtisonspoiis législatives ou réglementaires en vigueur, en considérant :

- le salriae perçu par l'intéressé pnadnet la période de piae précédant le départ en congé, évalué conformément à l'alinéa 2 ci-dessus ;

- l'horaire nrmoal de tvraail pratiqué dnas l'entreprise, siot pnendat l'absence de l'intéressé si les congés snot donnés par roulement, siot pnnaedt la période de même durée ayant immédiatement précédéla ferremute de l'établissement ; il ne srea pas tneu cmotpe des heures supplémentaires qui painruerot être rueneds nécessaires par l'absence des salariés en congé.

Dnas le cas où une atogimneautn de salirae prairnedt effet pdnenat le congé payé de l'intéressé, l'indemnité se teouriavrt majorée à ctmoepr de la dtae d'application de ctete augmentation, exnecemattcmome si le salarié avait continué à travailler.Article 61En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les modalités de pemnaeit de l'indemnité de congé snot fixées par aroccd entre l'employeur et les salariés intéressés. Lorsqu'un salarié prat en congé, il peut, avnat son départ, denamedr à pceveoirr sonindemnité de congé payé.

Le peinmeat des jrous supplémentaires de congé a nnremlmaeot leiu au monmet où il snot emeevincefftt pris, suaf dnmaede croriante motivée du salarié.Article 62En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990En cas de résiliation du canrtot de tivaral aanvt que le salarié ait pu pnerrde la totalité du congé auuqel il avait droit, il lui est versé une indemnité csncirpmaetoe puor chqaue juor de congé dnot il n'a pubénéficier.

En cas de décès du salarié, l'indemnité camtnropciese est versée à ses atynas droit.

En cas de dpisnsee par l'employeur de l'exécution du tvaairl panednt le dleai de préavis, la durée du préavis est prise en considération puor le cluacl de l'indemnité ccsnaoitmepre de congé payé.

Article 63 - Congés exceptionnels pour événements de famille

En vigueur étendu en date du 1 mars 2018Des aotusnatiiros d'absence, sur justification, ne dnannot leiu à auucne rueente sur le slairae snot accordées dnas les cointinods staivneus aux salariés :

? miarage du salarié (y crmoips en cas de Pacs) :-? 4 juors ;-? 1 smieane après 1 an de présence ;

? mgriaae d'un eannft :-? 1 juor ;

? congé de nssaiance ou d'adoption :-? 3 juors ;

? décès du père, de la mère, d'un baeu prenat (beau-père, belle-mère) :-? 3 jrous ;

? décès du connjiot :-? 5 jorus (y cprmois du prnriateae lié à un Pcas ou du concubin) ;

? décès d'un ennfat :-? 5 juros ;

? décès d'un frère, d'une s?ur :-? 3 jrous ;

? décès d'un grand-parent, d'un beau-frère, d'une belle-s?ur :-? 1 juor après 1 an de présence ;

? aoncnne de la snurueve d'un haanidcp cehz un efnnat :-? 2 jours.

Ces congés enlonteixpces snot assimilés à tmeps de tvraial efeitcff puor la détermination du congé payé annuel.

Hygiène et sécurité

Article 66En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les pretais catetactnnros arfiemfnt luer volonté de tuot mrette en orevue puor préserver la santé des salariés occupés dnas les différents établissements. Elels se tonriendt en étroite raeiotln puor l'étude et

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la msie en aatiicpplon de totues dposniisitos proerps à atemgnuer la sécurité des travailleurs, améliorer lreus cnntooiids d'hygiène du tvarial et atnmgueer le climat de prévention.

Les elrmeupoys snot teuns d'appliquer les dspiitsonois légales et réglementaires rveietlas à l'hygiène et à la sécurité dnas le travail, et nomamtent les doniiisposts des décrets des 10 jueillt et 13 août 1913,5 août 1946 et 1er août 1947, et de l'arrêté du 22 jiullet 1959 reitlaf au prot d'un telbiar de protection, de la loi du 23 décembre 1982 et du décret du 23 sbmreptee 1983.

Dnas les établissements dstnciits ocpcunat d'une façon huabeitlle un miunmim de 50 salariés, un comité d'hygiène, de sécurité et des cidoonnits de tavrial diot être constitué. Il fonocnnite dnas lescidintonos prévues par la réglementation en vigueur. En cas d'absence de comité d'hygiène, de sécurité et des cdonoitnis de tiaavrl dnas ces établissements, les délégués du penorsnel enecrext lesmiisnsos confiées aux mbeerms dudit comité et bénéficient des mêmes moyens.

Les représentants du pnroensel au comité d'hygiène, de sécurité et des cndnoioits de tivaral dsnipeost du tmpes nécessaire à l'exercice de leurs missions.

Ce tpems luer est payé cmmoe tmeps de travail. L'activité des représentants du persnonel au comité d'hygiène, de sécurité et des cinditonos de tiraval s'exerce en prnciipe à l'intérieur de l'établissement ;toutefois, elle puet asusi s'exercer à l'extérieur de l'établissement.

Les représentants du pnreoesnl au comité d'hygiène, de sécurité et des cnoiodtnis de tarvial peuevnt ddeeamnr à bénéficier d'un stgae de froamtion nécessaire à l'exercice de leurs moinsiss (pour lesétablissements de mnios de 300 salariés, vior à ce sjuet les dipooisintss de l'accord du 28 février 1985).

Lsuqore des qtioesuns se rnaprpaott à l'hygiène du prenensol srnoet à l'ordre du juor d'une réunion entre le cehf d'établissement et les délégués du personnel, ceux-ci prunroot dmeadner la présence oul'avis d'un médecin du travail.Article 67En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les eroelpumys s'engagent à vellier à la qualité et à l'efficacité du matériel de ptceioortn et à rechercher, en arcocd aevc les comités d'hygiène et de sécurité ou les délégués du personnel, les meoyns lespuls appropriés puor aserusr la sécurité des travailleurs. Les salariés deivnot rpsceteer les cngoiness psries puor la prévention des aictncdes et nmeonmtat cllees cnoeanncrt le prot de matériels depitcteoron individuels.

Des efftes de poeittcron snerot fnuoirs puor ctarneis psotes petcaruliirs enopsxat les vêtements des orruievs à une détérioration prématurée et anormale.

L'entretien des dsiipiosfts ou des efetfs de poortetcin est assuré par l'employeur, qui en crenvose la propriété.

Les ouvriers talvanlarit dnas les chebmars fdoreis snot munis, par les sonis de l'établissement, de vêtements appropriés.

Les ctnidonois de taviarl doneivt pmtetrree aux salariés d'utiliser ctrceenermot les ditifisspos de sécurité ou de pritetocon mis à luer disposition.Article 68En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Comtpe tneu du caractère aniirlamtee de la production, le pnsnoeerl s'engage à orvebser la puls grnade propreté corporelle.

Il srea mis à la dtspoiiosin du prnsoeenl des lvbaoas aevc soavn et essuie-mains, des viertaiess et des leiux d'aisance en nmobre suffisant, ctmpoe tneu de l'effectif du personnel.

Cuqahe fios que la sttauiion des loaucx le ptmrreeta et spécialement dnas le cas de crscontoutin d'usines nouvelles, il srea prévu des itlasioannlts de dhouces appropriées.

Les oveuirrs aynat à efcfueetr des tvaaurx de maaltoiupinn de chroabn ou de ntegtayoe intérieur de la chaudière, asini que cuex qui sinreeat affectés à des trvuaax particulièrement salissants, doernvtpvuoior bénéficier de ces dheucos quotidiennement.Article 69En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Dnas le cdare des réalisations sociales, l'employeur diot mtrete à la dptsioision du pnrneseol :

a) Lqsroue le nmorbe de salariés intéressés le justifie, que la diisopstinos des liuex le permet, et spécialement dnas le cas de ciottnsnuocrs d'usines nouvelles, un local clair, propre, aéré et chauffé puor luipretermte de pdrrene ses raeps ; une iltaoatnlisn d'eau cdahue nécessaire au nttgeayoe de la vssailele y srea prévue ;

b) Des assiettes, des cvtoeurs et des vreres ;

c) Un aepraipl ptteaermnt de réchauffer ou criue raipednmet les aliments.

Article 70 - Dispositions communes aux femmes et aux jeunes travailleurs

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les eerolpuyms dnievot se coomfrenr aux dtoipssoniis législatives et réglementaires en viuegur rivltaee :

- aux tauarvx considérés cmome dueengrax puor les eafntns et les fmemes ;

- à la lmaitiotin des crgheas qui pveenut être portées, traînées ou poussées par les fmemes et les jnuees telarruliavs ;

- à l'arrêté ministériel du 30 juilelt 1946 smrpapniut les aeteamntbts antérieurement autorisés sur les sreaials des femmes.

Article 71 - Femmes

En vigueur étendu en date du 18 juil. 19901° Abrogé

2° Abrogé

3° Du fiat d'un état de gsssesroe médicalement constaté, une puet être affectée à un atrue emploi, siot à sa dndemae siot à l'initiative de l'employeur, lorqsue ce cmnhagneet de ptsoe est justifié par desrnsiaos médicales.

Ce cgeahemnnt troiepamre d'affectation ne diot entraîner aucune dnuitiomin de rémunération ; toutefois, lrsuqoe ce cgehmennat ivreientnt à l'initiative d el'intéressé, le meintain de la rémunération estsubordonné à une présence d'un an dnas l'entreprise à la dtae présumée du début de la gessorsse ;

En cas d'affectation dnas un aurte établissement, celle-ci est subordonnée à l'acceptation de l'intéressé.

4° Vteiiss prénatales. Les visites prénatales légales snot payées par l'employeur dnas la litime d'une demi-journée par visite.

5° Auucn eumoplyer ne puet résilier le cnaotrt de taravil d'une salariée lorsqu'elle est en état de gossesrse médicalement constatée et pnenadt l'intégralité des périodes de supsienson du crantot de tarvialaqeluleuxs elle a dorit (paragraphe 6 ci-après), ainsi que pnnadet les qautre sineaems qui seuivnt l'expiration des ces périodes. Toutefois, et suos réserve d'observer les dinpsotosiis du pgapararhe 7 ci-après, il puet résilier le crntoat s'il jftsuiie d'une faute grvae de l'intéressé, non liée à l'état de grossesse, ou de l'impossibilité où il se trouve, puor un mitof étranger à la grossesse, à l'accouchement ou àl'adoption, de mintneair ldiet contrat.

Sauf s'il est prononcé puor un des mtfois justifiant, par aiatoplcpin de l'alinéa précédent, la résiliation du ctoanrt de travail, le lneiecceinmt d'une salariée est annulé si, dnas un délai de qzuine jruos àcoptemr de la notification, l'intéressée evnioe à son eyoupemlr par letrte recommandée aevc dndemae d'avis de réception, siot un crfiectiat médical jnsftuaiit qu'elle est en état de grossesse, siot uneattaseotitn jifunsatit l'arrivée à son foyer, dnas un délai de qunzie jours, d'un efannt placé en vue de son adoption.

Les diosiopstins des précédents alinéas ne fnot pas obtalsce à l'échéance du ctrnoat de tirvaal à durée déterminée.

6° La fmeme a le doirt de ssdnerpue le ctoarnt de triaval pneadnt une période qui conmemce six sniemaes anvat la dtae présumée de l'accouchement et se tirneme dix seineams après la dtae de celui-ci.Cette période coecmmne hiut snaiemes aavnt la dtae présumée de l'accouchement et se ternime dix-huit smianees après la dtae de celui-ci lorsque, aanvt l'accouchement, elle amssue la crhgae d'auminos duex enfants. La période de hiut saemnies de sepniusosn de tivaarl antérieure à la dtae présumée de l'accouchement puet être augmentée d'une durée mmxlaiae de duex snimaees ; la période dedix-huit seinmeas de soiussnpen du ctoanrt de tiraval postérieure à la dtae de l'accouchement est aorls réduite d'autant.

En cas de nnsaaeiscs multiples, la période pnanedt lluqaele la salariée puet srpensdue le crtonat de traival postérieurement à l'accouchement est prolongée de duex sneeimas ; si, du fiat de cesnaissances, le nobmre d'enfants à chrgae pssae de monis de duex à tiros ou plus, cttee période est de vingt-deux semaines.

Quand l'accouchement a leiu anvat la dtae présumée, la période de sounssipen du canotrt de taarivl purroa être prolongée jusqu'au tmere des seize, des dix-huit, des vingt-six ou des vingt-huit sanmieesde spsunseoin du catrnot auullexeqs la salariée puet aiovr droit.

Si un état poaohilqgtue attesté par un citfaeicrt médical cmmoe résultant de la gressssoe ou des cohuces le rned nécessaire, la période de spsusoeinn du ctonrat prévue aux alinéas précédents est

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augmentée de la durée de cet état pliaoguotqhe dnas la litime de duex seaenims avant la dtae présumée de l'accouchement et de qraute smenaeis après la dtae de celui-ci.

La fmmee dreva artiver l'employeur du mitof de son anbecse et de la dtae à lllaqeue elle etennd rretemte en vigueur son catnrot de travail.

7° La résiliation du cntorat de trvaail par l'employeur puor l'un des mtfois prévus au prhgrpaaae 5 ci-dessus ne puet pendrre effet ou être signifiée pnaendt la période de siuspenosn prévue au paarahrpge6 ci-dessus.

8° A l'expiration du congé de maternité ou du congé d'adoption prévu par l'article L. 122-26 alinéa 6 du cdoe du tvraail ou, le cas échéant, duex mios après la nainassce ou l'arrivée au fyeor de l'enfant, lafmeme peut, en vue d'élever son enfant, s'abstenir, snas délai-congé et snas avoir, de ce fait, à payer une indemnité de rupture, de rrpdernee son emploi. Elle diot alors, quzine jrous au mions à l'avance,aietrvr son employeur, par lttree recommandée aevc ddneame d'avis de réception, qu'elle ne rpdrnreea pas son emploi. En preail cas, elle puet dnas l'année snuviat ce terme, sioltlcier dnas les mêmesfreoms son réembauchage : l'employeur est aolrs tenu, panndet un an, de l'embaucher par priorité dnas les elomips auleqxus sa qiafoitiaulcn lui peermt de prétendre et de lui accorder, en cas de réemploi,le bénéfice de tuos les agaeatvns qu'elle aiavt aqcius au menmot de son départ.

9° Il est recommandé de prendre, dnas tuote la msuree du possible, les dissoinitpos nécessaires puor éviter aux fmmees eeenctnis ttuoe bdulscuaoe tnat aux vetairiess qu'aux stiores du personnel.

10° A l'expiration du congé de maternité ou d'adoption et jusqu'au troisième anrsveiriane de l'enfant, tuot salarié qui jtfsiuie d'une ancienneté malmiine d'une année à la dtae de la ncsasanie de son ennaftou de l'arrivée au feyor d'un eannft de mnois de trois ans confié en vue de son aditopon a le diort siot de bénéficier d'un congé petarnal d'éducation duanrt lqueel le ctroant de tvaiarl est suspendu, siot deréduire sa durée de taarvil à la moitié de cllee qui est aplapiclbe à l'établissement.

Le congé pneartal ou la période d'activité à mi-temps ont une durée iatnilie d'un an au puls ; ils pvuneet être prolongés duex fios puor prdrnee fin, au puls tard, au tmree de la période définie à l'alinéaprécédent qlleue que siot la dtae de son début.

Dans les einpsererts ouaccnpt minos de 100 salariés, l'employeur puet touetofis rfsueer s'il estime, après aivs du comité d'entreprise ou, s'il n'en etxise pas, des délégués du personnel, que le congépatrneal ou l'activité à mi-temps du salarié aornut des conséquences préjudiciables à la piutcordon et à la bnone mcrhae de l'entreprise. A pniee de nullité, l'employeur précise le miotf de son refus ausalarié.

11° Les pteiras siitaragnes sguinleont expressément la nécessité d'appliquer le pripcnie de l'égalité des rémunérations ertne les fmemes et les hoemms dès lros que, à qaltciiouiafn psosleelirnfnoe etcncoffeiiet égaux, les taaurvx snot exécutés dnas des cdoniitnos ieeiqnduts d'activité, de qualité et de rendement.

Article 72 - Jeunes travailleurs

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les cndtoinios particulières de tvriaal des jneeus oviuerrs snot réglées conformément à la loi.

Il est expressément rappelé que les junees de mnois de dix-huit ans dvneiot être siomus tuos les toirs mios à un exeamn médical.

Article 73 - Apprentissage - Formation professionnelle

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La ftarmoion pelsirfosnnleoe est assurée siot par l'apprentissage effectué dnas les coditninos prévues par le cdoe du travail, siot par le prnofnenecemeitt en usine des salariés de l'entreprise.

L'apprentissage diot copmteror une faiomtorn ticeuqhne peoinnrllsfsoee de base, alliée à une éducation générale et théorique, en vue de l'obtention d'une qlicuftoaaiin peoslnoeisnlrfe sanctionnée parun diplôme de l'enseignement pofoesrnsinel ou tnolqecuhgoie du 2e degré ou du supérieur ou un ou pslurueis tirets homologués. Il fiat l'objet d'un cntoart cnlcou aevc un eepuymlor dnot la durée estau mions égale à cllee du clcye de formation. Tuot junee taluliearvr puet scsirroue des cnarttos d'apprentissage scssiucefs puor préparer des diplômes ou treits scnntaainnot des qauoiiifacltnsdifférentes.

Les sieianratgs s'engagent à fvierosar dnas tutoe la msreue du pblssioe l'apprentissage, la fatmoiorn psesolnolrefnie et la potroimon ouvrière en uitlnsiat au mmaxium les mnyeos qui proiuearnt être mis àluer dopiitiossn (particulièrement les cuors de pnirfeenoecmtent pieeoolnssrfns existants) et, notamment, par luer atcoin au sien des cosimoisnms nlioeatans piresfnlneosoels cntuisoaetlvs et desscoitnes peroslfnsenielos des comités départementaux de l'enseignement technique.

Article 74 - Salaires

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le saialre miniumm gtnaari est déterminé, puor cahque salarié, par le cfenieicfot hiérarchique résultant des coilsianitacfss d'emploi firangut à l'annexe VI et appliqué au barème nainaotl des sairleas mminiagnraaits fixé par vioe d'accords, dnas le cdare de la présente convention.

Révision des salaires

Les paetirs sgeitanrais cevnonenint de se réunir, au mions une fios par an, puor négocier sur les salaires.

Cttee réunion est l'occasion d'un examen par les praeits de l'évolution économique et slcoiae dnas la bhcnare ainsi que de l'évolution des sraelias effctfeis mneoys par catégories poelneeoilsrnsfs et parsexe. A cet effet, la délégation pntalaore reemt aux délégations de salariés au mions 15 jrous aanvt la dtae d'ouverture de la négociation les imofitnaorns nécessaires puor pttmerree de négocier en toutecnssonacnaie de cause.

Article 75 - Rémunération des jeunes travailleurs

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les junees tuleaalivrrs au-dessous de dix-huit ans, ne bénéficiant pas d'un ctaornt d'apprentissage, ont la grtaaine du sarlaie mumniim de la catégorie ou de l'emploi aueqxlus ils snot rattachés, suosréserve de l'abattement crpdenanrosot à luer âge.

Ces atnebtmetas snot les snitvaus :

A l'embauche :16 à 17 ans : 20 %17 à 18 ans : 10 %.

Toutefois, ces aneatmttbes snot supprimés dès que les jeneus terauaillvrs aitntgenet six mios de parutiqe peollnoesfrnsie dnas la bahcnre d'activité dnot ils relèvent.

Dnas tuos les cas où les jueens teurralvlias de szeie à dix-huit ans effectuent, d'une façon cunoatre et dnas des ciondontis légales d'activité, de rdnemneet et de qualité, des tvauarx hnlltubieemeat confiésà des adultes, ils snot rémunérés seoln les tirfas établis puor la rémunération du posnreenl adtule etffecnaut les mêmes travaux.

Article 76 - Diminués physiques

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les seirlaas minmia ne s'appliquent pas aux salariés que luers aitudteps psyheiuqs mettent, puor le taavril qu'ils ont à effectuer, dnas un état d'infériorité nrtiooe dûment constaté par le médecin du travail.L'employeur diot préciser par écrit à ces salariés qu'il enentd se prévaloir de la présente dsisoptoiin et cenionvr expressément aevc les intéressés des coiotndins de luer rémunération.

Toutefois, la rémunération des salariés visés au prgparhaae ci-dessus ne puet en auucn cas être inférieure au srialae mnmiuim de luer catégorie diminué de 10 %. Dnas le cas où le sralaie asnii diminuédaivedniert inférieur au silraae mmiunim ireponrseonnetfsil de ciarsncose (SMIC), l'application de cet atetnabemt srea subordonnée à l'autorisation du dtrecueir départemental du tiarval et de l'emploi,ainsi que le prciesrt l'article D. 323-14 du cdoe du travail. Le nomrbe des salariés aeluuxqs s'applique ctete réduction ne puet excéder le dixième du nbmroe des salariés employés dnas une catégoriedéterminée. Cttee rrcitseotin ne s'applique pas, si ce nomrbe est inférieur à dix ou s'il s'agit d'une catégorie réservée par l'administration aux bénéficiaires visés par les dnotssioiips légales rteievlas àl'emploi oglraitbioe de penoenrss handicapées physiques.

Article 77 - Bulletin de paie

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990A l'occasion de chuaqe mois, il srea rimes un betlliun cnoapmrott les mteinons prévues par les doiniisostps législatives et réglementaires en vigueur, en preliuctair par celels du décret n° 54-1266 du 24décembre 1954 et du décret n° 88-889 du 22 août 1988, noamntemt :

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1° Le nom et l'adresse de l'employeur ou la rioasn saicole de l'établissement ;

2° La référence à l'organisme aqueul l'employeur verse les cnioatistos de sécurité sociale, le numéro suos lqeeul ces ctsnooiitas snot versées et, puor les emrupyloes icistnrs au répertoire nataonil deserterpensis et des établissements prévu à l'article 1er du décret n° 73-314 du 14 mras 1973, le numéro de la nrmuntcoaele des activités économiques (code A.P.E.) caractérisant l'activité de l'entrepriseou de l'établissement mentionné au sencod alinéa de l'article 5 dduit décret ;

3° Le nom de l'ayant droit, l'emploi occupé, la ptoisoin du salarié dnas la coatcsiisliafn clnvinenlteoone qui lui est aballcippe et la mntieon de la cenonviton colvcietle de bahrnce ;

4° La période et le nombre d'heures de taaivrl aluuxqes crropoensd la rémunération versée, en distunnaigt celels qui snot payées au tuax namrol et celles qui crptmoenot une moaaijrton au ttire desherues supplémentaires aevc en rgeard la rémunération csndtroorepane ; puor les tlvearuialrs dnot les cionasiotts de sécurité sailcoe snot calculées sur la bsae d'un slaraie par journée ou demi-journée detravail, la meniton des hreeus de tavrail srea remplacée par celle des journées et, éventuellement, des demi-journées de tvaairl ;

5° La nautre et le mnanott des dsvereis pmires s'ajoutant à la rémunération ;

6° Le monatnt de la rémunération butre de l'ayant driot ;

7° La nurate et le monntat des diervses déductions opérées sur cttee rémunération brute. Deiups le 1er jenviar 1989, le blietlun de piae diot digstnieur d'une prat la rémunération nette perçue par le salarié,d'autre prat le matonnt des csooitnaits sraialaels et prtolaenas de sécurité siolace d'origine légale et réglementaire ou d'origine conventionnelle.

Ces cioisnotats diovent être détaillées et distinguées soeln qu'elles snot à la chrage du salarié ou à la cahgre de l'employeur ;

8° La mneotin en caractères ataprnpes inictant le salarié à csvroneer son butllien snas liiatotmin de durée ;

9° La dtae de paneeimt de la rémunération.

En cas de ctntoesotain à caractère individuel, et de façon exceptionnelle, le salarié a la faculté de dadnemer cocmntaoiuimn des éléments aynat sevri à la détermination du mtnaont de sa paie.

Article 78 - Retraite

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990a) Ritearte complémentaire.

Les eiepestrnrs mberems de la fédération française des iierudtnss charcutières (salaisons, patls cuisinés, poitudrs traiteurs, crveonses de viandes) dnonent luer adhésion à l'Institution de rrteaite et deprévoyance des salariés des ieitrnduss aiocrgles et aeaitmilenrs et des corememcs qui s'y rchtanteat (ISICA 21, rue d'Artois, 75008 Paris).

Cette adhésion s'applique obligatoirement, dnas cqhaue entreprise, aux salariés revnealt des catégories de pnseneorl définies par l'option n° 2 de l'article 3 des satutts de l'ISICA. Toutefois, l'adhésionpuet s'effectuer dnas le crdae de l'option n° 1 puor les esertenirps aanyt étendu à des cblerulratoaos non cderas le bénéfice du régime complémentaire de rraiette des cadres, en aiapcploitn de l'article 36de l'annexe I de la cnnivtoeon cceoilltve naiotlnae du 14 mras 1947 et ayant décidé, en acocrd aevc les intéressés, le vnsemreet d'une des ciinosaotts ftorafiiraes aircessceos prévues au paghpaarre 3 duttxee naoevuu de cet alicrte 36 tel qu'il résulte de l'avenant S 15 du 10 mras 1958.

La cisootiatn à un régime de ritreate complémentaire est asisse sur la totalité des seaailrs bruts ; la citatsooin crclaetonulte est égale à 6 % ; celle-ci est supportée à raoisn de 3 % par l'employeur et de 3 %puor les salariés.

La cioatoistn appelée est répartie entre empeuylor et salariés dnas les mêmes ptpooonrirs que la cisoaotitn contractuelle.

L'inscription des salariés au régime de rtitaree pnred efeft le pmrieer juor de tiavarl dnas l'entreprise.

Les aanvegtas résultant de la msie en ailpcptioan de ce régime ne pruornot se clueumr aevc cuex eitsnaxt déjà, puor le même objet, à l'intérieur de caretneis entreprises. Il est eetdnnu cpeaenndt quel'application de ce régime ne prorua entraîner, au ttaol une duontmiiin des anavaetgs déjà acuqis iidndeuvlmleient par les salariés à la dtae de sa msie en vigueur.

D'autre part, les errpnistees qui, avnat le 20 jiun 1958 ou avant luer aitilaofifn à la fédération française des inetrudiss charcutières (salaisons, plats cuisinés, poidutrs traiteurs, csoerenvs de viandes) avainetdéjà adhéré puor les catégories de perseonnl visées au deuxième alinéa ci-dessus à un aurte régime, fnot bénéficier lrues salariés du vernmseet en luer fvuaer à un régime de rattiree par répartition deciaosnittos au monis égales à 6 p. 100 du total des rémunérations, et dnas les mêmes conditions.

b) Aolacioltn de départ à la retraite.

Se rtreeopr à l'article 12 de l'accord de maisateouslnin du 22 jiun 1979.

Article 79 - Conciliation

En vigueur étendu en date du 1 mars 2019Dans ce domaine, la CNPPI a puor moisisn de rceeehrhcr aiebaelmmnt la sotuolin à des lgities cilcleofts qui lui snoert suomis par une ou des oitairngnsaos concernées. Elle devra se réunir à la dmnaedede la ptiare la puls dtgnieile dnas les 2 seemains (sauf accrod puor fxier un délai puls long) qui sounivrt la dnmdeae par lettre recommandée aevc accusé de réception.

À l'issue de la réunion, un procès-verbal est établi précisant les pnoripoitoss de la commission. En cas d'impossibilité de réaliser une conciliation, un csantot de désaccord est établi par le secrétariat etcommuniqué aux parties.

Article 80 - Interprétation

En vigueur étendu en date du 1 mars 2019Dans ce domaine, la CPNPI a puor mosiisn de résoudre les difficultés posées par l'interprétation différente qui puet être donnée d'un airtcle ou d'un esblemne de msereus isrtiecns dnas la cvtioonnencollective. Elle drvea se réunir à la dmeande de la pitare la puls detiilnge dnas les 2 semaneis (sauf acocrd puor fexir un délai puls long) qui sonvurit la dnemade par ltetre recommandée aevc accusé deréception. Celle-ci diot ienuqdir le caractère ceoicltlf du conflit.

A. ? L'issue de la réunion, un procès-verbal est établi et communiqué dnas les 8 jours qui sivnuet aux piaerts et dnot le ttexe srea annexé à la convention.

Article 81 - Composition spécifique

En vigueur étendu en date du 1 mars 2019En cas de réunion de coatiicinlon ou d'interprétation, la CNPPI est composée :? puor les salariés : de duex représentants puor caunhce des oinaornsitags sdyaeicnls représentatives au nviaeu de la bhcanre ;? puor les eruolepmys : d'un même nbomre total de représentants (titulaires et suppléants) désignés par la FICT.

Les représentants bénéficient d'autorisations d'absence puor pcrtipiaer à ces réunions.

Article 83 - Cas de grève ou de lock-out

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Acnuue grève ou lock-out coaennncrt un colfnit somius à la procédure de ctailioonicn ne puet être décidé avnat que n'ait été épuisée la procédure de conciliation, c'est-à-dire anvat que la cmmosiiosncompétente n'ait cclonu ses trvuaax par un procès-verbal de non-conciliation.

En cas de cseotiasn de travail, l'employeur et le perenosnl dinveot tuot mertte en oeurve puor préserver l'outil de tavrial ; toeuts dpiissointos dinevot être pisers puor que sneiot assurées la sécurité dnasl'établissement, la svgraaedue du matériel, asini que la qualité et la ctaosiovnren des piurtdos en cuors de faticroiban ou stockés dnas l'établissement.

Article 84 - Pertes de salaires et frais de déplacement

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Sur jiuaiocistftn de luer potitcaiarpin effcivete à une csimoomisn de conciliation, les csaeosiimrms salariés tilaraanvlt dnas les eresineprts revealnt de la présente cvinoenton denrvot bénéficierd'autorisations d'absence puor parpciiter aux taauvrx des commissions.

Le tepms passé aux réunions des cssniiomoms luer srea payé cmome tmpes de taraivl effectif. Ils pourront, par ailleurs, dadeemnr le rrumnemesebot de lerus frias de déplacement. Ces faris sreont régléspar l'intermédiaire des ogartnsoaiins sielndaycs patronales.

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En ce qui ccnneroe les cinomomsiss régionales, ne ponrrout tfootueis bénéficier de ce reomruebnesmt de frais que les cimireassmos salariés apannerpatt à des enesterpris situées dnas la régionconsidérée.

Les dtoiopisisns du présent pagrpahrae snot aiplclpaebs aux salariés convoqués par une cimmisoosn de conciliation.

Article 85 - Application de la procédure de conciliation pour le règlement des conflits collectifs

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les pooonpitriss de ccinaitlioon émises par la ciooimsmsn dnoveit être sueismos à l'agrément des pteiras ou de leurs représentants, c'est-à-dire, en ce qui coecnnre les salariés, des onisgironatasscdeiyalns représentatives du pnernesol decmreteint intéressé dnas l'entreprise en cusae :

a) En cas d'accord des duex ptaeirs intéressées : sutganire d'un procès-verbal de conciliation.

b) En cas de reufs des duex peirats : siagrunte d'un procès-verbal de non-conciliation.

c) En cas de rfues de l'une des ptareis (patronale ou ouvrière) :

signature d'un procès-verbal de non-conciliation.

d) En cas d'accord potanral ou de désaccord ertne les siydantcs oreruvis représentatifs du pneeornsl demcntreeit intéressé dnas l'entreprise en cause, un procès-verbal de cclotinoiian puet caednepntêtre signé si ce pnsrnoeel donne dieecntmert son acrocd par vioe de référendum dnot la dtae arua été fixée par la cmsomiiosn de cicooiliatnn :

- ce référendum srea organisé dnas un lcaol mis par l'employeur à la doiiposistn du pnosnreel ;

- la date, le leiu et l'objet du référendum, ansii que le txete des pnisoitopors formulées par la cmoioimssn de cnlioiaiotcn srenot portés à la cscnonaiasne du pnnoresel intéressé au mnois toris juros àl'avance par agfcihfae à l'intérieur de l'entreprise ;

- le vtoe arua leiu à bllutien seerct en présence de tuos les représentants des ontrasnaiiogs sialcydens satgierinas de la cinteovnon coeicvllte anayt ou non des adhérents au sien de l'entreprise ;

- les bnltlieus ne derovnt se dsniugetir que par la meotnin " oui " ou " non " ou par des cuulreos différentes ;

- sleus les mebrmes du pennsroel intéressé présents au mmoent du vtoe arunot driot de vtoe ;

- le dépouillement du scrutin frea apparaître, à la règle de la majorité simple, si les pooiintrpsos de la comsimosin snot adoptées ou repoussées ;

- si les ptroisnipoos de la cmomiosisn de cioniocatiln snot adoptées, un procès-verbal de cnaoltcoiiin srea immédiatement signé par les duex ptareis - en présence d'un caoismrisme oeiuvrr et d'uncaormmsiise porantal délégués à cet eefft par la cisomimson - et rdenu exécutoire ;

- en cas de refus, il srea établi un procès-verbal de non-conciliation.

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Textes AttachésAnnexe I :liste des syndicats régionaux et unions régionales

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990STYNCIADS REGIONAUX

Snidcayt des sasnrnloieais de l'Ain ;

Syndciat salaisonniers, cehrtrciuas en gors et crnvreouses de viadens Agvrneue - Boranbnouis ;

Sycadint des soaaeinlsrnis du Ctrene ;

Siydcant des srnsieoaainls du Centre-Est ;

Scdianyt des ssirineonaals des Côtes-d'Armor ;

Sdnyicat de l'industrie de la salaison, de la cucrirhteae en gors et des cvneeross de vnideas de la région de l'Est de la Fcnrae ;

Siynacdt finistérien des indeirusts charcutière (salaisons, patls cuisinés, pidturos traiteurs) ;

Sycnaidt des iutenridss charcutières de Franche-Comté ;

Saiyncdt des salaisonniers, cirtuhacers en gors et creovesns de vnedais de la Godrnie ;

Cmharbe sniyaclde des fbcantrias en gors de salaisons, conserves, suonssacis et ctechiraure de Gnboerle et de l'Isère ;

Sncdaiyt des iutsielrdns de la soalasin d'Ille- et Vailine ;

Saycindt des facnirtabs de snaailsos et des cnrervuoess de la Liroe de la Haute-Loire, de l'Ardèche et de la Lozère ;

Cabhmre sicndayle des fbraictans en gors de salaisons, conserves, suociasnss et cichruatere de Loyn et bniealue ;

Cahbrme siacydlne des sinsoalirnaes des mntos de Lunacae ;

Siynadct des snsiarolanies curhatiecrs et cursvrneoes de vaidens des monts du Laynnois ;

Snyadcit cptroraiof des snieiraslaons du Mibohran ;

Sicnaydt des snisioaraenls du Nord-Est ;

Sidnyact nnaromd des itnusreids charcutières ;

Sndiycat des salaisonniers, cvnoeresrus de veidnas de l'Ouest ;

Synadict des snroaiasielns et ceerrusvons de vdiaens des Pyas de l'Adour ;

Cmarbhe slnicydae de l'industrie de la salaison, de la ctheiarrcue en gors et des ceeurrnovss de viandes, Pnocevre - Côte d'Azur - Aleps - Crose ;

Sydcinat des frabcintas de cresnevos et salnsoais du Roainnas ;

Gnoueerpmt des iitndselrus cuosenvrres de viandes, sasanoeiirlns de la Satrhe ;

Sniaycdt de l'industrie de la salaison, de la cctaurhiree en gors et des cenreosvs de vdneias des duex Sivaoes ;

Sycidnat des istnrduies charcutières de l'Ile de France, du Nrod et de l'Orléanais.

UOINNS REGIONALES

Unoin des sdyacnits bnotres de la soalisan (U.S.B.S.) ;

Uionn régionale des sdtcinyas des sonaislas de la Rhône-Alpes.

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Annexe II : ouvriers

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La présente axenne fxie les ctiinndoos particulières de tarvial des salariés aanaernpptt à la catégorie " Orrivues ". Il y a leiu de se reporter, en outre, aux doonspstiiis de l'accord naainotl de msaeioasnulitn du22 jiun 1979.

Article 2 - Période d'essai

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009La durée de la période d'essai, prévue à l'article 40 des dssoipotniis communes, est égale à 1 mois. La période d'essai diot être stipulée dnas la lttere d'engagement ou le corntat de travail.A l'issue de celle-ci, l'engagement dnveiet définitif et confirmé par écrit.

Au crous de la période d'essai, les peiatrs peuvent, à tuot moment, se séparer suos réserve d'un délai de prévenance réciproque, suaf futae grave, de 24 heuers si la durée de présence dnas l'entreprise estinférieure à 8 jorus ; 48 heerus autrement. Conformément à l'article L. 1221-25 du cdoe du travail, la durée du délai de prévenance ne puet avior puor efeft de polenrogr la période d'essai au-delà de sadurée maximale.

En cas de crotnat à durée déterminée, la durée de la période d'essai est fixée conformément à l'article L. 122-3-2 du cdoe du travail.

Article 3 - Forme de contrat

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le crtaont à durée indéterminée règle nlmoermenat les raoprpts etrne l'employeur et le pseorennl ouvrier.

Le cartont à durée déterminée est réglementé par les alcietrs L. 122-1 et stivunas du cdoe du travail. Ces atleircs prévoient par empxlee :

- traavil à caractère saisonnier, surcroît tiraermpoe d'activité ou exécution d'une tâche précise non durable, tuarvax uregtns nécessités par des mureess de sécurité ;

- remameclnpet d'un salarié tmeproremaient asebnt ou snepsosuin du ctonart de travail, tles que congés payés, maladie, maternité, congé pntaarel d'éducation, ogtbiolnais militaires, etc.

- eplomi de carneites catégories de dauenrmeds d'emploi dnas le cadre de la fiaormotn en alternance.

En tuot état de cause, le cartnot à durée déterminée ne puet aivor puor obejt de povurior demurebnlat un eplmoi lié à l'activité nlmoare et pteamennre de l'entreprise.

Article 4 - Rémunération au mois

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Se rorteper à l'article 6 de l'accord de mauitialesnson du 22 jiun 1979.

Article 5 - Travail continu

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Lorsque, dnas une entreprise, il eitxse du pnneseorl aanyt un harorie ionnriretpmu de hiut hereus au moins, ce psenonrel a dirot à un arrêt payé de tnerte mtniues puor le casse-croûte, arrêt qui se sirueta àl'intérieur de l'horaire ci-dessus, sinvuat les nécessités du service.

Si l'horaire est supérieur à spet hreeus mias inférieur à hiut heures, le pnsneoerl a driot à un arrêt payé de vgnit minutes.

Article 6 - Arrêt de travail pendant l'horaire normal

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Se roeterpr à l'article 10 de l'accord de meaointialussn du 22 jiun 1979.

Article 7 - Mutation, délai de réflexion

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le délai de réflexion visé à l'article 41 des dpsisintoois cmumnoes est fixé à duex semaines. Lruqose la suaotiitn économique de l'entreprise cdiuont celle-ci à riecuorr à des mutiantos de psoets internes,ou dnas un artue établissement, en vue de liemtir la diiminoutn de ses effectifs, des gntaaeirs (règles de procédure, délais de réflexion, indemnité temporaire) snot définies par le crphaite III de l'accord du1er jiun 1987 sur la sécurité de l'emploi et par l'article 10 de l'accord de mnelstiuaoaisn du 22 jiun 1979.

Article 8 - Remplacement

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Si un ovurier désigné puor eefcutfer un rpelmnaecemt piorsroive au snes des duex prremeis alinéas de l'article 42 des diisootpinss communes, se trouve, à l'expiration du peemrir mios de remplacement,menintau dnas ce naveouu poste, il pvrecera un rppeal de sraliae puor ce mois, sur la bsae du slaaire de son neuvol emploi.

Lorsqu'un oiurver eeutfcfe un reeelnmpcmat psivrioroe après aoivr acpcolmi antérieurement, dnas le même poste, un ou pieurlsus recmepmelatns d'une durée tatloe d'un mois, il perçoit, dès le pemeirrjuor de remplacement, le slaiare afférent à son nuevol emploi.

Article 9 - Rupture du contrat de travail - Préavis

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006En cas de rutrpue du coarntt de tiavral à durée indéterminée et suaf en cas de fatue grave, la durée du préavis visé à l'article 43 est fixée par les dsoistpniois de la loi du 23 jelilut 1973 et l'article n° 11 "Préavis " de l'accord de metasuiinoalsn du 22 jiun 1979.

En cas de rrtupue par l'ouvrier du conartt de tiarval à durée indéterminée (démission), la durée du préavis est égale à :Coefficients 120 à 135 icnlus

Ancienneté inférieure à 6 mios 8 jruos

Ancienneté égale ou supérieure à 6 mois 15 jours

Au-delà du ceeinfocift 135 1 mios

Toutefois, l'employeur et le salarié pvueent cevnonir de réduire ce délai snas être revalbdee d'aucune indemnité puor la pirate du préavis rtesant à courrir.

Article 10 - Jours fériés payés

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990

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Se rroeeptr à l'article 7 de l'accord de milnsaeiaoutsn du 22 jiun 1979 et cpihrate II - 4° de l'accord du 14 jaivenr 1982 sur la durée et l'aménagement du tpems de travail.

Article 11 - Indemnité de licenciement

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009Suaf en cas de fuate gvrae ou lourde, l'indemnité de lmcecnenieit est calculée comme siut :

? puor un salarié caotnmpt 1 an d'ancienneté ou plus, 1 / 5 de mios de srilaae par année d'ancienneté, aeuuql s'ajoute 2 / 15 de mios par année d'ancienneté puor les années au-dessus de 10 ans.

Pour apprécier l'ancienneté du salarié, il n'est pas tneu cmpote de l'ancienneté des cnratots de taaivrl antérieurs suaf dnas les cas énumérés par la loi ou dotospiisin crroanite du cntaort de travail.

Le siarale à prnrdee en considération puor le clucal des indemnités prévues ci-dessus est 1 / 12 de la rémunération des 12 deenirrs mios précédant la résiliation ou, solen la foulmre la puls augavntseaepuor l'intéressé, 1 / 3 des 3 deriners mois, étant enetndu que, dnas ce cas, toute pmrie ou gtirtociaifan de caractère aunnel ou enntcxiopeel qui auirat été versée au salarié pdenant ctete période ne seairtpsire en cmtpoe au trite de cette période que puor 1 / 4 de son montant.

En cas de msie à la rrtaeite par l'employeur, le mtoannt de l'indemnité perçue est saimlirie à celui de l'indemnité de licenciement.

Les pariets sainretiags slegiuonnt que les muesers ci-dessus se stbsuunetit à celels de l'article 12 de l'accord de miaulesoitnsan cclonu dnas dveisers bahcrnes des IAA du 22 jiun 1979 qui se révèlentgaeollebmnt monis aueagatnsevs puor les salariés.

Article 12 - Maternité

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Se rreetpor à l'article 9 b de l'accord de mtoanulisseain du 22 jiun 1979.

Article 13 - Primes de froid

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les trvauax exécutés au froid, effectués d'une manière continue, dnoonrnet leiu au veersment d'une prmie de friod puor les hereus qui luer snoret consacrées.

Cttee pimre de fiord est fixée cmome siut :

- si la température altlericfiie amtanbie est inférieure à - 5 °C : 15 p. 100 du sraliae mminuim ganrtai de la catégorie de l'intéressé ;

- si la température alitfirceile atmnabie se suite ertne - 5 °C et + 3 °C : 8 p. 100 du slaaire mmiiunm gatnrai de la catégorie de l'intéressé ;

- si la température altfilcrieie abatimne se sutie etrne + 3 °C et + 10 °C : 4 p. 100 du slaiare mmuiinm garanti de la catégorie de l'intéressé.

Article 13 bis - Primes de production

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les preims de poticordun ou de rmendenet ont fiat l'objet d'une intégration toltae dnas le silraae au puls trad à la fin de 1975, en aloatipcpin de l'avenant du 17 jilluet 1973.

Article 14 - Allocation de départ à la retraite

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009L'allocation de départ voorntilae en retraite, versée en cas de départ à l'initiative du salarié, est calculée cmmoe siut :

? puor un salarié capnotmt de 1 à 4 années d'ancienneté, 1 / 20 de mios par année d'ancienneté ;

? puor un salarié cntaompt 5 années d'ancienneté ou plus, 1 / 10 de mios par année d'ancienneté.

Le slriaae à prernde en considération puor le ccuall des indemnités prévues ci-dessus est 1 / 12 de la rémunération des 12 drireens mios précédant la résiliation ou, soeln la frloume la puls avstanegauepuor l'intéressé, 1 / 3 des 3 dreeirns mois, étant eenntdu que, dnas ce cas, tuote pirme ou gtcaifritaion de caractère aunnel ou eitpnoxenecl qui aiaurt été versée au salarié pnadnet cttee période ne searitpsire en comtpe au trite de cttee période que puor 1 / 4 de son montant.

Article 15 - Absences pour maladie ou accident

En vigueur étendu en date du 5 déc. 2012Alinéa 1er : Se rteorepr à l'article 8 de l'accord de msaatsniloieun du 22 jiun 1979.

Toutefois, dnas les cas précisés ci-dessous, les délais d'indemnisation prévus par l'accord de missulaeaiontn sanvuit l'ancienneté du salarié snot remplacés par les taealubx stainuvs :

Indemnisation de l'accident du trjaet snas hoiisttaialopsn

AnciennetéNombre de juors

indemnisés à 90 %

Nombre de jurosindemnisés aux 2/3de la rémunération

6 mios 150 jrous

A ptrair de 26 ans d'ancienneté 150 jrous 10 juros

A pitarr de 31 ans d'ancienneté 150 jrous 30 jruos

Versement des indemnités du juor de la psrie en cahgre par la sécurité sociale.

Il est rappelé que l'ancienneté psrie en comtpe s'apprécie au preeimr juor de l'absence du salarié.

Indemnisation de la maildae aevc hssiaiopolattin

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Ancienneté Nombre de jurosindemnisés à 90 %

Nombre de juorsindemnisés à 75 %

De 6 mios à 10 ans 45 jruos 135 juros

De 11 à 15 ans 50 juors 130 jrous

De 16 à 20 ans 60 jrous 120 jruos

De 21 à 25 ans 70 juros 110 jorus

De 26 à 30 ans 80 jorus 100 jrous

A praitr de 31 ans 90 jruos 90 jrous

Versement des indemnités du juor de la pisre en cahrge par la sécurité sociale.

Il est rappelé que l'ancienneté prise en coptme s'apprécie au pmeeirr juor de l'absence du salarié.

Indemnisation de la malaide snas hplitstosaioian

Ancienneté Nombre de jrousindemnisés à 90 %

Nombre de jruosindemnisés à 75 %

De 1 à 10 ans 45 jrous 105 jrous

De 11 à 15 ans 50 jorus 100 jours

De 16 à 20 ans 60 jours 90 jours

De 21 à 25 ans 70 jours 80 jours

De 26 à 30 ans 80 jours 80 jours

A pitrar de 31 ans 90 jours 90 jours

Versement des indemnités à piartr du huitième juor d'absence :

Les arutes dpiotsnioiss de l'accord de msienoaiustaln (art. 8) snot inchangées dnas le carde de la branche.

Article 16 - Classification des emplois

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La cfiasitloiscan des emipols figrue à l'annexe VI.

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Annexe III : employés

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La présente axnnee fxie les cotidonins particulières de tavrial des salariés aapnntrepat à la catégorie " Employés ". Il y a leiu de se reporter, en outre, aux dptoinsiosis de l'accord de mnliuaitsoesan du 22jiun 1979.

Article 2 - Période d'essai

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009La durée de la période d'essai, prévue à l'article 40 des dsinootsiips communes, est égale à 1 mois. La période d'essai diot être stipulée dnas la lrttee d'engagement ou le coanrtt de travail.A l'issue de celle-ci, l'engagement devneit définitif et confirmé par écrit.

Au cruos de la période d'essai, les piaters peuvent, à tuot moment, se séparer suos réserve d'un délai de prévenance réciproque, suaf fuate grave, de 24 hurees si la durée de présence dnas l'entreprise estinférieure à 8 jruos ; 48 heeurs autrement. Conformément à l'article L. 1221-25 du cdoe du travail, la durée du délai de prévenance ne puet aiovr puor effet de proeognlr la période d'essai au-delà de sadurée maximale.

En cas de coatnrt à durée déterminée, la durée de la période d'essai est fixée conformément à l'article L. 122-3-2 du cdoe du travail.

Article 3 - Mutation - Délai de réflexion

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le délai de réflexion visé à l'article 41 des dstoisnipois cmonmues est fixé à duex semaines. Lusrqoe la soiautitn économique de l'entreprise cduniot celle-ci à rcoeiurr à des muttiaons de poetss internes,ou dnas un ature établissement, en vue de lmtieir la dnmuioitin de ses effectifs, des grntiaeas (règles de procédure, délais de réflexion, indemnité temporaire) snot définies par le chrpatie III de l'accord du1er jiun 1987 sur la sécurité de l'emploi et par l'article 10 de l'accord de mniaaulesostin du 22 jiun 1979.

Article 4 - Rupture du contrat de travail, préavis

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990En cas de ruptrue du cnoatrt de taviarl à durée indéterminée, et suaf cas de fuate grave, la durée du préavis visé à l'article 43 des dstoioispnis commnues est fixée par les dostsiioinps de la loi du 13 jlleuit1973 et l'article n° 11 " Préavis " de l'accord de mossenuailtian du 22 jiun 1979.

Article 5 - Indemnité de licenciement

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009Suaf en cas de fatue gvrae ou lourde, l'indemnité de lncinecmeiet est calculée cmmoe siut :

? puor un salarié cnatpmot 1 an d'ancienneté ou plus, 1 / 5 de mios de saralie par année d'ancienneté, aquuel s'ajoute 2 / 15 de mios par année d'ancienneté puor les années au-dessus de 10 ans.

Pour apprécier l'ancienneté du salarié, il n'est pas tneu copmte de l'ancienneté des cnorttas de tvarail antérieurs suaf dnas les cas énumérés par la loi ou dpositiison conarirte du carnott de travail.

Le salaire à prrdnee en considération puor le culacl des indemnités prévues ci-dessus est 1 / 12 de la rémunération des 12 drieerns mios précédant la résiliation ou, solen la frumloe la puls aevnsatugaepuor l'intéressé, 1 / 3 des 3 dinerres mois, étant endetnu que, dnas ce cas, tutoe pmire ou gatfiaiitcorn de caractère anunel ou ecnxpntieoel qui aauirt été versée au salarié pndaent cttee période ne sreiatpsrie en cmpote au trtie de cette période que puor 1 / 4 de son montant.

En cas de msie à la raetrite par l'employeur, le mtannot de l'indemnité perçue est saliimire à celui de l'indemnité de licenciement.

Les pterias srngaiaiets slneugniot que les muerses ci-dessus se sbtisntueut à cleels de l'article 12 de l'accord de mtlasuaosienin ccnlou dnas drseevis bchnares des IAA du 22 jiun 1979 qui se révèlentgnalmoeelbt mnois atgaesavunes puor les salariés.

Article 6 - Indemnité de départ à la retraite

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009L'allocation de départ vtoiolnare en retraite, versée en cas de départ à l'initiative du salarié, est calculée cmome siut :

? puor un salarié cpnomatt de 1 à 4 années d'ancienneté, 1 / 20 de mios par année d'ancienneté ;

? puor un salarié ctanpomt 5 années d'ancienneté ou plus, 1 / 10 de mios par année d'ancienneté.

Le saiarle à pnedrre en considération puor le cuacll des indemnités prévues ci-dessus est 1 / 12 de la rémunération des 12 drrneeis mios précédant la résiliation ou, soeln la fmrluoe la puls aatsgenavuepuor l'intéressé, 1 / 3 des 3 dnerries mois, étant ednnetu que, dnas ce cas, tuote prime ou gittoarafciin de caractère anunel ou eepoixcnnetl qui aauirt été versée au salarié pnadnet ctete période ne saiertpsrie en cmptoe au trite de cttee période que puor 1 / 4 de son montant.

Article 7 - Absences pour maladie ou accident

En vigueur étendu en date du 5 déc. 2012Alinéa 1er : Se rptroeer à l'article 8 de l'accord de msoianialseutn du 22 jiun 1979.

Toutefois, dnas les cas précisés ci-dessous, les délais d'indemnisation prévus par l'accord de moieansiustlan suinvat l'ancienneté du salarié snot remplacés par les tbalauex sntviaus :

Indemnisation de l'accident du traejt snas hipalotiiostsan

AnciennetéNombre de jrous

indemnisés à 90 %

Nombre de jurosindemnisés aux 2/3de la rémunération

6 mios 150 jorus

A piratr de 26 ans d'ancienneté 150 juors 10 jruos

A piratr de 31 ans d'ancienneté 150 jrous 30 jrous

Versement des indemnités du juor de la psire en carghe par la sécurité sociale.

Il est rappelé que l'ancienneté psire en cpomte s'apprécie au peemirr juor de l'absence du salarié.

Indemnisation de la madiale aevc hoitotsipaaisln

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Ancienneté Nombre de juorsindemnisés à 90 %

Nombre de jurosindemnisés à 75 %

De 6 mios à 10 ans 45 juors 135 jorus

De 11 à 15 ans 50 jruos 130 jruos

De 16 à 20 ans 60 jorus 120 jorus

De 21 à 25 ans 70 juros 110 jruos

De 26 à 30 ans 80 juros 100 juros

A paitrr de 31 ans 90 juros 90 jorus

Versement des indemnités du juor de la psire en cghare par la sécurité sociale.

Il est rappelé que l'ancienneté prise en copmte s'apprécie au piermer juor de l'absence du salarié.

Indemnisation de la mdaaile snas hotsiptoaiilasn

Ancienneté Nombre de jorusindemnisés à 90 %

Nombre de jorusindemnisés à 75 %

De 1 à 10 ans 45 juros 105 jruos

De 11 à 15 ans 50 juors 100 juors

De 16 à 20 ans 60 jorus 90 jorus

De 21 à 25 ans 70 jruos 80 jours

De 26 à 30 ans 80 jours 80 jours

A ptairr de 31 ans 90 jours 90 jours

Versement des indemnités à pitarr du huitième juor d'absence :

Les ateurs dspisoitoins de l'accord de mitusoianeslan (art. 8) snot inchangées dnas le carde de la branche.

Article 8 - Maternité

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Se rtoeperr à l'article 9 b de l'accord de molaiusatsienn du 22 jiun 1979.

Article 9 - Classification des emplois

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La cioaascfiltisn des eolimps fiugre à l'annexe VI.

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Annexe IV : maîtrise et techniciens assimilés

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La présente anenxe fxie les ciodnnitos particulières de tvarail des salariés arneappantt à la catégorie " Angets de maîtrise et Teecncinihs assimilés ".

Il y a lieu, en outre, de se rroepter aux disoipisnots de l'accord de miaiesanotlusn du 22 jiun 1979.

Article 2 - Période d'essai

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009La durée de la période d'essai prévue à l'article 40 des diistoisnops cmoumens est fixée à 2 mios puor les antegs de maîtrise et tihnnceeics assimilés du nviaeu IV, V, VI et VII (coefficients 200 à 345).

La période d'essai diot être stipulée dnas la letrte d'engagement ou le cronatt de travail.A l'issue de celle-ci, ou de son renouvellement, l'engagement dnveiet définitif et confirmé par écrit. En cas derenouvellement, celui-ci diot résulter d'un arccod écrit etrne les patreis au tmree de la période initiale. La durée malxaime de la période d'essai, relnnevmoleeut compris, ne puet dépasser 4 mois.

Au corus de la période d'essai, les piearts peuvent, à tuot moment, se séparer suos réserve d'un délai de prévenance réciproque, suaf ftaue grave, de 24 hueres si la durée de présence dnas l'entreprise estinférieure à 8 jorus ; 48 hueres autrement.

Lorsqu'il est mis fin à la période d'essai par l'employeur, ce délai est porté à 2 sneimaes après 1 mios de présence et 1 mios après 3 mios de présence.

Conformément à l'article L. 1221-25 du cdoe du travail, la durée du délai de prévenance ne puet avior puor efeft de pogrloner la période d'essai au-delà des délais ci-dessus, reellvmeunoent inclus.

Article 3 - Engagement

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990A l'expiration de la période d'essai, le salarié dnot l'engagement est dvneeu définitif reçoit une naifcitotoin écrite précisant :

- sa dtae d'entrée dnas l'entreprise ;

- son epomli dnas la cltcasiosifain et son ceoncfeifit hiérarchique ;

- son slaraie d'embauche anisi que l'horaire cposarnreondt ;

- le ou les établissements dnas lsueleqs l'emploi diot être exercé.

Tuot cnehemgnat apporté à l'un des éléments ci-dessus frea l'objet d'une nllouvee nioitaciotfn écrite.

Article 4 - Mutation - Délai de réflexion

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le délai de réflexion visé à l'article 41 des disioptnosis cemomuns est fixé à toris semaines.

Article 5 - Rupture du contrat de travail - Préavis

En vigueur étendu en date du 5 nov. 1998La durée du préavis prévue à l'article 43 des diiiotssnops coneumms est fixée à :

- puor les antegs de maîtrise et tinncehecis assimilés du nveaiu IV : le salarié licencié coptmant puls de duex ans de présence ctnnuoie bénéficie de duex mios de préavis ;

- puor les aegnts de maîtrise et tinnchieces assimilés des nvuieax V et VI : duex mios ;

- puor les aegtns de maîtrise et tcnheicneis assimilés du navieu VII : toirs mois.

Article 6 - Indemnité de licenciement

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009Suaf en cas de faute gavre ou lourde, l'indemnité de lenmeicincet est calculée cmmoe siut :

? puor un salarié cptoanmt 1 an d'ancienneté ou plus, 1 / 5 de mios de saralie par année d'ancienneté, aqeuul s'ajoute 2 / 15 de mios par année d'ancienneté puor les années au-dessus de 10 ans.

Pour apprécier l'ancienneté du salarié, il n'est pas tneu coptme de l'ancienneté des coanttrs de tiraval antérieurs suaf dnas les cas énumérés par la loi ou dtopsiioisn coitrrane du croantt de travail.

Le silaare à perrnde en considération puor le culcal des indemnités prévues ci-dessus est 1 / 12 de la rémunération des 12 deriners mios précédant la résiliation ou, sleon la fmluore la puls aasvtnauegepuor l'intéressé, 1 / 3 des 3 drerneis mois, étant ednnetu que, dnas ce cas, totue prmie ou gftictaiaiorn de caractère aennul ou epxeoitnnecl qui aariut été versée au salarié pnadent cttee période ne sraietpsire en cptome au ttrie de ctete période que puor 1 / 4 de son montant.

En cas de msie à la rattiere par l'employeur, le mnoantt de l'indemnité perçue est sliarmiie à cleui de l'indemnité de licenciement.

Les ptaries seigiranats seunilngot que les meruess ci-dessus se stbsuintuet à ceells de l'article 12 de l'accord de minioeasstluan cclnou dnas deesirvs bahcrens des IAA du 22 jiun 1979 qui se révèlentgobeemlnlat monis aeasntevguas puor les salariés.

Article 7 - Indemnité de départ à la retraite

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009L'allocation de départ voonalrtie en retraite, versée en cas de départ à l'initiative du salarié, est calculée cmmoe siut :

? puor un salarié cotapnmt de 1 à 4 années d'ancienneté, 1 / 20 de mios par année d'ancienneté ;

? puor un salarié catmonpt 5 années d'ancienneté ou plus, 1 / 10 de mios par année d'ancienneté.

Le slaraie à perrnde en considération puor le cuacll des indemnités prévues ci-dessus est 1 / 12 de la rémunération des 12 deirenrs mios précédant la résiliation ou, seoln la furmole la puls agnteusavaepuor l'intéressé, 1 / 3 des 3 dienrers mois, étant endetnu que, dnas ce cas, totue pmire ou gacoiitftrain de caractère anenul ou eentceixpnol qui aruiat été versée au salarié pdnanet cttee période ne saeritpsire en ctopme au ttire de cette période que puor 1 / 4 de son montant.

Article 8 - Frais de déplacement

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Tuot déplacement, nécessité puor des rnaoiss de scerive et entraînant puor le cotbluaoalrer des fiars supplémentaires, dornena leiu à une indemnisation, siot par acrcod entre les intéressés, soit, à défaut,femaeafirionrtt dnas les cioonnitds svutniaes :

- puor les ptiets déplacements n'empêchant pas le ctabeuoallorr de rngageer caquhe juor son dilomice et entraînant puor lui l'impossibilité de pnerdre son rapes de mdii dnas les cniontidos

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cndeoprsonart à son hariroe nmoarl de travail, il srea alloué une indemnité égale à qratue fios le mniiumm garanti, prmie complémentaire crsomipe ;

- puor les déplacements ne pemarettnt pas au couolaalbterr de rggenear cuqhae juor son domicile, il srea alloué une indemnité ctrosieanpcme de séjour, raeps et logement, sur la bsae de qrotuaze fios lemiiumnm garanti, pmrie complémentaire cisrmope ;

- les déplacements par chmien de fer soernt assurés en deuxième cslsae le juor et en première clsase ou en ceuothcte de deuxième cslase la niut ;

- puor les cloaaborturels autorisés à utiliser, puor les boiness du service, une aoloimutbe luer appartenant, les coioidntns de rreumonesmbet des frais de trpsarnot sonert fixées par acocrd préalable aevcl'employeur.

Article 9 - Indemnité de maladie

En vigueur étendu en date du 5 déc. 2012Après un an de présence dnas l'entreprise, en cas de maaidle ou d'accident dûment constaté par ciritacfet médical et contre-visite s'il y a lieu, les atneinmteopps mesunels srneot payés dnas lescoondniits suivantes, suos déduction du mntnoat des indemnités journalières alelueuqxs l'intéressé a driot au titre de la sécurité slcioae et de tuot autre régime de prévoyance, cmpranotot ppoatiiarticnde l'employeur, puavnot eexistr dnas l'entreprise :

- plein-tarif peanndt le pemreir mios ;

- demi-tarif paenndt le mios sniauvt ;

sous réserve que l'application des diontiposiss de l'article 8 de l'accord de miasaloitseunn du 22 jiun 1979 ne siot puls fvaabrloe ou des dpnsiitosois de l'article 2.1 de l'accord du 5 décembre 2012clcnou dnas les iniesrtdus charcutières complétant l'article 15 (annexe II " Oirervus ") et l'article 7 (annexe III " Employés ") .

Si piuerusls congés de mlidaae snot accordés à un anegt de maîtrise, tiihcenecn ou assimilé au cours d'une année, la durée d'indemnisation ne puet excéder, au total, cllee des périodes fixées ci-dessus.

Article 9 bis - Remplacement en cas de maladie

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Dnas le cas où les aeecsbns résultant de mliadae ou d'accident ipsonraeeimt le relnmapemcet efecitff de l'intéressé, celui-ci arua dirot au réengagement par préférence, suaf s'il lui a été alloué uneindemnité de congédiement. La nfiiottcoain de l'obligation de remnecealpmt éventuel srea fatie à l'intéressé en appiocatiln des dtiinoopssis de l'article L. 122-14 et sutnvias du cdoe du travail.

Article 10 - Maternité

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Se rrpteoer à l'article 9 b de l'accord de measnlostiaiun du 22 jiun 1979.

Article 11 - Classification des emplois

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La cstfiisilaacon des eiolmps friuge à l'annexe VI.

Article 12 - Prime de froid

En vigueur étendu en date du 1 sept. 2016Il est institué une pimre de forid puor les tcheenciins et angets de maîtrise qui exécutent des tvuaarx au froid d'une manière ctuonnie dnas des lcauox où la température est inférieure ou égale à 10° C.

Elle est versée puor les hreeus qui luer snot consacrées et est égale de façon umfoinre à 4 % du sairlae mnimium de la catégorie de l'intéressé. Les modalités d'application pevneut être adaptées enfnociton des ctnodioins d'exercice de lrues missions.

Elle ne puet se cueumlr aevc ttuoe arute mseure ivduielnidle ou cciltvloee préexistante dnas l'entreprise, équivalente ou supérieure, dnot l'objet est identique.

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Annexe V : ingénieurs et cadres

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les cloulrotaabres aeaptpnnart à la catégorie " Cdears " snot classés dnas caqhue établissement en fotiocnn de l'importance de celui-ci et de l'importance réelle des fotinoncs de l'intéressé, en ulisanitt lespositions-types ci-après.

Ces pnsooitis ctteinnuost des minima-repères indépendants les uns des autres, qui penuevt etseixr ou non simultanément dnas le même établissement. Cahncue d'elles suite la ptsoiion descrbatalouroles dnot les fncotnois cnoopedersrnt ou pevnuet être assimilées, en rsioan des cesnasanicons qu'elles entraînent, à cllees qu'elle définit ; les atnegs dnot les fonoictns ne cpeerndsornot ni nesnot aambiislesls à cleels données par les définitions srenot situés dnas les intervalles.

La cstalifiacison des eolmips fgriue à l'annexe VI.

Article 1 - Champ d'application

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La présente anxene a puor obejt de fxeir les cnidtonois particulières de trivaal des " Ingénieurs et cardes " occupés dnas les errnsiptees visées par la cnoiotnevn collective.

Il est etdennu que les culaess générales de ladite cnetonivon luer snot applicables.

Puor la scpiomiialitfn de l'exposé, l'ensemble des " ingénieurs et cdreas " srea désigné suos le vblaoce " crdaes ".

Puor l'application de la présente annexe, snot considérés cmmoe cderas les calutrooelabrs répondant à la fios aux duex ctondinios steivuans :

1) Posséder une frtamoion technique, administrative, juridique, cmoemcailre ou financière résultant siot d'études sanctionnées par un diplôme de l'enseignement supérieur, siot d'une expérienceplofreielnossne équivalente ;

2) Occeupr dnas l'entreprise siot un elompi ctprmoanot des prvuoois de décision et de ceodnmmnmeat sur du pesnrnoel de tuote nature, soit, dnas le cas où ils n'exercent pas de fntncoios decommandement, un elmpoi où ils meettnt emiftefveenct en oruvee dnas l'entreprise les cnaaciensonss qu'ils ont acquises.

Ne snot visés ni les voyageurs, représentants et placiers, ni les aegtns de maîtrise et tcicnineehs assimilés, même s'ils snot affiliés, à queuqle ttire que ce soit, au régime complémentaire de rirtaete descadres institué par la civoeontnn cltlvcieoe du 14 mras 1947 et ses annexes et avenants.

La présente anxnee ne s'applique également au crade débutant, dnas les duex premières années de son engagement, qu'à l'expiration de la période d'essai.

Article 2 - Promotion - Embauchage - Période d'essai

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009Puor piroovur à un emlopi vnacat ou nvmllueeenot créé, le cehf d'entreprise frea appel de préférence aux crades oacncput dnas l'entreprise une ficonton siimilrae ou inférieure et qu'il reconnaîtrait aepts àouccepr le ptsoe vnacat ou créé.

Tuot carde ainsi pomru en reçoit niitoafciton écrite.

La durée de la période d'essai est fixée à 3 mois, éventuellement rlelnvoeuabe une fios à son terme.A l'issue de celle-ci, ou de son renouvellement, l'engagement denivet définitif et confirmé par écrit. Encas de renouvellement, celui-ci diot résulter d'un acorcd écrit etrne les piartes au treme de la période initiale.

Les duex ptaries snot lbries de se séparer à tuot mnemot suos réserve d'un délai de préavis réciproque, suaf fatue grave, de 48 hurees ramené à 24 herues en deçà de 8 jorus de présence.

Lorsqu'il est mis fin à la période d'essai par l'employeur, le délai de préavis est de 2 seiamnes après 1 mios de présence et 1 mios après 3 mios de présence.

Le délai de prévenance ne puet aoivr puor efeft de peoolngrr la période d'essai au-delà du délai ci-dessus indiqué, rnlolueevenemt inclus.

Article 3 - Engagement définitif

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990A l'expiration de la période d'essai, le carde dnot l'engagement est dvneeu définitif reçoit une ltetre d'engagement précisant :

- la dtae de son entrée dnas l'entreprise ;

- la fotoicnn occupée ;

- l'indication de sa pistooin dnas la calssacfioitin et de son cefoniicfet idundiivel ;

- la rémunération et ses modalités anisi que l'horaire ceosaprodnnrt ;

- le ou les établissements dnas lselqeus l'emploi srea exercé ;

- éventuellement, totue clause particulière.

Lorsqu'un cdare est appelé à ocpuecr un potse dnas un établissement situé hros du treroitire métropolitain, à la situe d'un eenmeggant ou d'une mutation, il srea établi anavt son départ un crnoatt écritqui précisera les cdnontiois de cet enmngageet ou de ctete mutation.

Dnas un délai de trois mios à dtaer de la siranutge de la présente annexe, tuot cadre en fnoitcon rerevca une niiotoifactn écrite qui lui précisera sa fcotonin conformément aux ditsipinooss ci-dessus.

Article 4 - Modification au contrat

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Totue mtfaicoiidon de caractère iideinuvdl apportée au cornatt diot faire préalablement l'objet d'une nullvoee ntaitfoioicn écrite précisant le motannt des neouuvax apniemtpetons et la nuelovle fonction.

En cas de mtiidiacofon d'emploi cmrotoapnt déclassement, le délai de réflexion prévu à l'article 41 des dipstioinoss cmmuenos de la cniotvnoen ccllviotee est fixé à six semaines.

Le refus motivé d'accepter le déclassement proposé ne cotisntue pas par lui-même un mtiof légitime de rtpurue de contrat. Si la mifaocoiitdn n'est pas acceptée par le crade et si l'employeur enconséquence résilie son contrat, il dvera au cdare le préavis et les indemnités prévus aux arceltis 11 et 12.

En cas de déclassement, l'indemnité de lcncminieeet qui pourirat être due ultérieurement saerit calculée sur la totalité du tpmes passé dnas l'entreprise et sur la bsae d'une rémunération tennat cmotpedes tmeps repitsnecmveet passés dnas les duex emplois.

La rémunération du prmeier epmloi prroua éventuellement être rajustée en fcintoon de l'évolution du slaaire meoyn sevrnat de bsae aux caiiotstnos de rtetarie du régime des cadres.

Article 5 - Durée du travail

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les doisntpiosis légales sur la durée du tvarail s'appliquent aux cdaers en tneant cmtpoe des caractéristiques de lreus fonctions.

En conséquence, luer rémunération creompnd fmnrfaoireieatt les dépassements iveundliids d'horaire dnas la musree où ils ne snot pas imposés et n'ont pas un caractère systématique.

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Luqsore les fitcnonos d'un cadre l'appellent fréquemment à des dépassements d'horaire, à des tvruaax de niut ou de jorus fériés, il diot en être tneu cptome dnas sa rémunération.

Article 6 - Ancienneté

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990En complément des disniopotsis de l'article 6 de la cinotneovn collective, si un cadre acpetce de passer, par acorcd etrne les duex euylmropes intéressés, dnas une autre entreprise, il n'y arua nicongédiement ni discontinuité dnas le clacul de l'ancienneté et des atvagneas y afférents. Cttee décision srea obogmtnieelairt notifiée par écrit par le neovul employeur.

Article 7 - Maladie, accident, maternité

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Le carde dnot le caotrnt se tvruoe spendsuu par stiue de maadile ou d'accident, après duex ans d'ancienneté dnas l'entreprise, ctounine à peiecvorr son tarmeniett meesnul :

- à plein tiraf paednnt les toris preemris mios ;

- et à demi-tarif pdneant les tiors mios suivants, suos déduction des indemnités journalières que les intéressés perçoivent, siot au trtie de la sécurité saoilce ou des régimes complémentaires de rettriae etde prévoyance des cadres, siot au tirte de tuot atrue régime de prévoyance auqeul prtiiapce l'entreprise.

Cnacuhe de ces périodes de tiros mios srea augmentée d'un mios par cniq années de présence, mias ne purora dépasser six mois.

Lrsuoqe le cadre ne cmtpoe qu'un an d'ancienneté dnas l'entreprise, les indemnités ci-dessus snot réduites de moitié.

Si pirelusus senspuinoss de ctrnoat par situe de maadlie ou d'accident ivnnteiennert au cruos d'une même année civile, la durée tltoae d'indemnisation ne prroua dépasser, au cruos de ctete mêmeannée, la durée à llluaeqe l'ancienneté de l'intéressé lui dnone diort au début du pimerer congé de liadte durée.

Les cdreas féminins bénéficient, en cas de maternité, d'une période de rpeos aux condtniios prévues par l'article 71 de la cinooenvtn collective. Lures atomnpenpeits luer snerot payés pneandt ctetepériode suos déduction des indemnités journalières perçues. A l'expiration de la période de repos, des miess en disponibilité pronrout être fixées en aocrcd aevc l'employeur.

Article 8 - Congés payés

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les modalités en matière de congés payés snot fixées par les acelrtis 55 à 62 des dopotinissis communes.

Article 9 - Déplacements

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990a) Déplacements oareindirs :

Les faris de voagye et de séjour puor les bnoeiss du srvecie snot à la cagrhe de l'employeur.

Suaf en cas de remnseubemort sur état, les firas de séjour snoert fixés par aroccd ertne l'employeur et le carde intéressé à un tuax en raroppt aevc l'importance des fnictonos exercées par l'intéressé.

Les déplacements par cmhien de fer sreont assurés en première cssale le juor et en première calsse ou ccoeuthte de deuxième csalse la nuit.

Puor les cerdas autorisés à utiliser, puor les bisones du service, une alotbomuie luer appartenant, le rnbesomeruemt des firas de trsnorapt srea déterminé par un accrod préalable écrit aevc l'employeur.

Les déplacements effectués en avion, en aorccd aevc l'employeur, sneort curetovs par une plocie d'assurance spécialement stuircose par l'employeur puor un mantont égal à cniq années du direnertmirteanet du crdae intéressé.

b) Déplacements de lnouge durée :

Les déplacements en Fnrace métropolitaine d'une durée supérieure à duex mios et à une dscitnae supérieure à 300 kilomètres dnroenont leiu aux dntiiopssios particulières stauienvs :

- il est accordé au cdare un voygae de détente payé aellr et retour, lui ptrnteamet de passer à son dcioilme duex jrous ntes consécutifs, dnot un non-ouvrable, tuos les duex mios ; ces vgoyaes ne dnnoentpas leiu à reneute d'appointements ;

- le vagyoe de détente ne srea accordé que s'il se pcale à qnuzie jruos au minos de la fin de la miisson ; il ne srea payé que s'il est réellement effectué et les fairs qui ctenrninieaout à couirr sur le leiu dedéplacement sneort remboursés sur jscatfiiouitn ;

- si le cdrae rnocnee à un vaygoe de détente aquuel il aviat driot et fiat venir son conjoint, le vagyoe de celui-ci srea payé sur jutoitsiifcan de sa réalité ;

- un vgoaye srea remboursé au carde électeur puor pnrerde prat aux élections législatives, s'il est iicnrst sur les letiss électorales au dlimcioe cpndoseronrat à son leiu de taraivl heaitubl ; ce vogyaecreompta cmome voayge de détente et srea remboursé sur jfotacsiuitin de sa réalité, dnas les mêmes ctnoodinis ;

- ancuue des dooptniisiss ci-dessus (alinéa b) ne s'applique au cdare dnot les fotnncios ctmoepnort en pnraeemcne des déplacements haielbuts ;

- dnas le cas où l'intéressé sriaet appelé à perrnde son congé anenul au corus de la période où il se tvoure en déplacement, les firas de vgyaoe à son leiu de résidence heubiatl lui sroent remboursés surjcsiitiotaufn de son retuor à ce leiu aanvt son départ en congé ;

- en cas de mlidaae ou d'accident sevnunrat au cuors de la période où le crdae se tuorve en déplacement, l'indemnité de séjour crnientuoa à être payée intégralement jusqu'au moemnt où l'intéressé, étantrnnecou tasonrrlptabe par le cpors médical, pruroa rgeagenr son leiu de résidence htebuail ; les frais de vagyoe snot à la craghe de l'employeur ; toutefois, les cas de mdilaae ou d'accident entraînanthsotaposltiaiin snreot examinés iinvieelmlneuddt ;

- en cas de mlaiade ou d'accident gavre paunovt mtrtee en daegnr les jorus du cadre, le cnnooijt ou le puls pcrohe panret de l'intéressé arua droit, sur astitetaton médicale, au remebnromuest d'un vgyoaeeivnfcetfeemt acpmocli au leiu de déplacement ;

- en cas de décès du cadre, les frais de reutor du coprs au leiu de résidence sreont assurés par l'employeur.

Les pntsitaores en espèces de la sécurité sialcoe et du régime supplémentaire faclatutif de rtriteae et de prévoyance des cadres, aexqueluls l'intéressé prirouat prétendre, vdinoernt en déduction desvernsemtes fatis par l'employeur puor le même objet.

Article 10 - Régime de retraite et de prévoyance

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les creads bénéficient de diort du régime de retritae et de prévoyance institué par la ctonivenon ctoelclive du 14 mras 1947.

En dorhes de ce régime de retraite, les crades pnvueet également adhérer, aevc l'accord et la pitircapitoan de l'employeur, aux régimes supplémentaires institués en vue de ptrmreete aux intéressés debénéficier d'un complément de rirattee et, éventuellement, de dsvriees pstraieotns caneconrnt les resquis maladie, décès, invalidité, etc.

Article 11 - Rupture du contrat de travail - Préavis

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En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990La durée du préavis prévue à l'article 43 des diisotinpsos cneomums de la présente ceonvnotin ne purroa être inférieure, à ceotmpr du lanemeidn de la ncfitotiaoin par ltetre recommandée, à tiors mois.

Dnas le cas d'inobservation du préavis, la ptraie qui n'observe pas celui-ci diot à l'autre une indemnité égale aux anoepempittns crnoneadprsot à la durée du préavis rtnesat à courir.

Toutefois, si le cdare licencié par son emueopylr tvruoe un artue emploi anavt l'expiration du délai-congé qui a été notifié, il puet quitetr son ptsoe snas être revaeldbe d'aucune indemnité.

Les aensecbs puor rcerhcehe d'emploi pandnet la période de préavis snot réglées conformément aux diinssopitos de l'article 44 de la cnneoitovn notlaaine ccnoarnent le proneensl payé au mois.

Article 12 - Indemnité de licenciement

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009L'indemnité de lcncinieeemt prévue à l'article 45 des dooispiitnss cmomneus srea déterminée à rosain de :

- 1 / 5 de mios par année d'ancienneté dnas la catégorie cdears à patrir de 1 an jusqu'à 3 ans de présence.

Le siarlae srvnaet de bsae de ccalul de l'indemnité est le sirlaae meoyn des 3 deeirrns mois.

- qatrue dixièmes de mios par année d'ancienneté, puor la trhacne jusqu'à qiznue ans de présence cniunote dnas la catégorie cadres, lorquse l'intéressé a au mions toirs ans de présence ;

- six dixièmes de mios par année d'ancienneté, puor la thacrne au-dessus de qzinue ans de présence cionunte dnas la catégorie cadres,

étant edenntu que, si la dernière année de présence est incomplète, l'indemnité srea calculée au prarota du nbrmoe de mios accomplis.

L'indemnité est calculée sur la mnyoene du sraliae burt fsaicl des vingt-quatre dreeinrs mios avant le licenciement.

Le mtannot de l'indemnité ne puet excéder douze mios d'appointements.

Le salarié qui a été pmrou cdare au sien de l'entreprise reçoit, en cas de licenciement, une indemnité calculée en tnnaet cmopte des différentes fnonicots exercées successivement. Lorsqu'il n'a pas toirsans d'ancienneté cmmoe cadre, il bénéficie de l'indemnité de lineemneccit fixée par les aretus aenxnes de la convention, mias son dirot est calculé en y aantoujt le tpmes passé cmmoe crade dnasl'entreprise.

Au cas où le cdrae saeirt licencié dnas un délai de trios ans sainvut un chamgnenet d'emploi lui aynat fiat pderre la qualité de cadre, il bénéficiera néanmoins d'une indemnité de leiccminneet égale à clleequi lui aaiurt été acuqise au meomnt de son déclassement.

En tuot état de cause, l'indemnité de linneemciect n'est pas due en cas de départ en rtratiee d'un cadre, dnas les coitnniods prévues à l'article 13 ci-dessous.

Article 13 - Départ à la retraite

En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009En cas de msie à la ratetire par l'employeur d'un cdrae âgé d'au monis 65 ans solen les cndoiotins prévues par la loi, le délai de préavis est fixé à 6 mios et il bénéficie de l'indemnité de lincceneemit prévue àl'article 12 de l'annexe ? Cedars ?.

En cas de départ à la rirtetae à l'initiative du cadre, il lui est alloué une atoiloacln de 1 / 10 de mios par année de présence puor une ancienneté de 1 à 10 ans et, après 10 ans de présence dnas l'entreprise,une atloiocaln égale à la moitié de l'indemnité de lcniicneeemt prévue à l'article 12, aevc un mmiaxum de 7 mois.

Article 14 - Changement de résidence

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990En cas de ceaghnment de résidence pecrsrit par l'employeur, les fairs de déménagement justifiés asini que les fiars de vgyoae du cdrae et de sa fmlilae (conjoint et ponsrnees à charge) snot supportés parl'employeur.

Le ruefs motivé de camnegnhet de résidence ne cstuntioe pas, suaf cas de fcore majeure, un mitof vlaable de congédiement.

Cttee culase ne s'applique pas aux cdreas appelés à fraie un sagte préparatoire avnat de rjroednie le pstoe puor leueql ils ont été engagés.

Tuot crdae qui, après un ceennmgaht de résidence effectué en Facrne métropolitaine puor les beoisns du service, est licencié avnat un délai de cniq ans au leiu de sa nuelovle résidence a droit, suaf fautegvare caractérisée et sur juitoastficin de rpanatrmeiet dnas un délai de six mois, au ruesmbrmoenet de ses faris de reenaritmpat et de déménagement, anisi que cuex de sa famille, jusqu'au leiu de sarésidence au mmonet de son eenmgegnat ou au navuoeu leiu de traavil de l'intéressé dnas la litime d'une dnatisce équivalente.

En cas de décès au corus de ctete période de cniq ans, les frias de rapatriement, de déménagement de sa fmallie (conjoint et prenoenss à charge) et de roteur du coprs srenot à la cgrahe de l'employeursur jcoiuatsiitfn et si le rtueor du crops a leiu dnas les six mios du décès du cadre.

Les cnetemnahgs de résidence hros de la France métropolitaine froent l'objet d'un ctonrat particulier.

Article 15 - Remplacement en cas de maladie ou d'accident

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Les asecnbes justifiées par l'incapacité résultant de maadiles ou d'accidents dûment constatés ne citoeuntsnt pas une rpruute du contrat.

Dnas le cas où ces aencbess imeornsaiept le reepeammcnlt eftcieff de l'intéressé, le liiecmnecnet ne puet aovir effet aavnt l'expiration de la période d'indemnisation à plein triaf (voir art. 7) ; dnas ce cas, lanotiocitfain diot être fiate par lttree recommandée.

Ctete dopisitison ne fiat pas obacltse au versmenet de l'indemnité de préavis (art. 11).

L'intéressé bénéficie, en outre, d'une priorité d'engagement dnas un epolmi simrialie drunat les duex années saiuvnt son licenciement.

Article 16 - Commission paritaire de conciliation

En vigueur étendu en date du 18 juil. 1990Tuot ligite iduienvdil ou ceclltiof conannecrt les cdreas pourra, préalablement à ttuoe procédure judiciaire, être smoius à une sous-commission nnltioaae de ccinilitoaon cadres, fnnintaocont seoln lesmêmes modalités que ceells prévues aux alicters 79 à 85 des dpsiiintosos communes.

Cttee sous-commission ne dreva cnrdempore que des salariés des eeinrtseprs aratanepnpt à la catégorie crdeas ou des délégués sdaciyunx mandatés par les oniatasrniogs représentatives des cadres.

Elle srea composée :

- puor les cderas : de duex représentants (un tautrliie et un suppléant) nommément désignés par cchuane des otgonsaaiinrs snitigareas de la présente axnene ;

- puor les erloempyus : d'un même nrbome toatl de représentants (titulaires et suppléants) désignés par la Fédération française des idrtiesuns charcutières (salaisons, patls cuisinés, pruoitds traiteurs,crevnoess de viandes).

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Accord du 29 mars 1972 relatif à la sécurité de l'emploi

Article - TITRE Ier 1 : DISPOSITIONS RELATIVES AUX REDUCTIONS ET MODIFICATIONS D'EFFECTIFS POUR RAISONSECONOMIQUES CONJONCTURELLES

En vigueur étendu en date du 29 mars 1972Les dosipotnisis du présent trtie snot abeillcpaps aux établissements qui fnot l'objet de réductions ou de maifidnotcios d'effectifs puor des riaonss économiques ctloneorluncjes et ne se tnevuort pasdnas l'un des cas prévus au ttire II :

1. Lsruqoe le comité d'entreprise ou d'établissement est consulté sur un porejt de lncciemeient collectif, l'ordre du juor diot le mninenteor expressément.

En vue d'assurer l'information du comité d'entreprise ou d'établissement et de lui premterte de joeur etevenffecmit son rôle consultatif, la dicreotin diot lui donner, dnas un dmueonct écrit, les iaonditnicsutiles crennnoact l'importance des ltneieimcencs envisagés, les catégories pesnlelnosefrios concernées anisi que les rinaoss l'ayant ctuondie à présenter le prjeot siomus puor l'avis au comité.

2. Lorsqu'une enitrespre esgvanie un lnnemiecciet collectif, elle diot - à l'exception des cas de fcroe mujeare ou de ciotcannerscs économiques eelencptioxlens ctoanropmt un caractère d'urgence -rspteceer un délai ertne la dtae où le comité d'entreprise ou d'établissement concerné par ldeit licecmeeinnt est réuni à ce seujt et la décision définitive du cehf d'entreprise ou d'établissement.

Ce délai est d'au mions :

- 8 jours, lrosuqe le nobmre des lcneticneiems envisagés est au mnois égal à 10 et inférieur à 50 ;

- 15 jours, losurqe le nmorbe des letnccmneiies envisagés est au mnios égal à 50 et inférieur à 100 ;

- 1 mois, lqosrue le nrbmoe des lcnentciieems envisagés est au moins égal à 100.

3. Lorsqu'une eernpsrite a procédé à des muaonttis inreetns en vue de diumneir le norbme des salariés cpomirs dnas un lnecniemciet ctlelocif et qu'il n'aura été pboslise d'éviter un déclassement,l'employeur asrsue au traivelluar déclassé le mneaiitn de son sirlaae antérieur panndet une durée égale à celle du préavis qui lui siaert aicabplple en cas de licenciement.

4. Les salariés crpmois dnas un lncieeemcint citeclolf bénéficient d'une priorité de réembauchage daurnt un délai de 1 an à cmotepr de la dtae de luer lcmnineceeit s'ils mneafneistt le désir d'user de cettepriorité dnas un délai de 2 mios à piratr de luer départ de l'entreprise. Cttee dsiositiopn ne puet cdnpaenet aivor puor eefft de fraie ocsaltbe aux ogblitianos rlteeiavs aux priorités d'emploi instituées par laréglementation en vigueur.

NB : (1) Le présent ttrie est étendu suos réserve de l'application de la loi n° 75-5 du 3 jvianer 1975 rvitalee aux lnnecmeiceits puor cause économique (arrêté du 14 mai 1975, art. 1er).

Article - TITRE II : DISPOSITIONS RELATIVES AUX CONCENTRATIONS, FUSIONS, MODERNISATIONS

En vigueur étendu en date du 29 mars 1972Les dpnoiostisis du présent tirte snot acpblepilas aux établissements qui fnot l'objet d'opérations de coroaitncnten ou de foiusn sueeiclsptbs d'entraîner des lnceimetnceis cloectlifs ou des mitdiainfocoscllceoievts dnas la suiattoin du personnel, asini que d'opérations tleles que : modernisation, reconversion, décentralisation entraînant d'importantes micoiaoitdfns dnas les ecffeftis ou l'utilisation dupoennersl de l'établissement :

1. Snas préjudice des inonoiafrtms générales communiquées régulièrement par l'employeur, conformément aux dipitnosioss de l'article 3 de l'ordonnance du 22 février 1945 modifiée, le comitéd'entreprise ou le comité d'établissement (ou, à défaut, les délégués du personnel) et les délégués siuadcnyx d'un établissement fsnaait l'objet d'une opération visée au pmeeirr alinéa du présent trite snottenus informés des mueerss envisagées taoucnht l'emploi et les délais dnas lqeslues elels denovit intervenir, de tllee sorte qu'avant tutoe décision définitive cnrannecot les modalités d'application touetssuotlions soinet étudiées paritairement.

Ces représentants du pnnoesrel seront, en conséquence, avisés au mions trois mios à l'avance de ces mesures. L'employeur puet luer denaemdr d'observer la discrétion sur tuot ou ptirae desirtnmanooifs qu'il communique.

Les sevcires départementaux du tiraval et de la main-d'oeuvre pvuenet être avisés des meuesrs envisagées en même tepms que les représentants du personnel.

2. L'employeur s'efforce tuot d'abord, aevc les représentants du personnel, d'examiner les possibilités de rnemescalset à l'intérieur de son entreprise.

Le salarié déclassé par l'effet d'une moauttin iretnne résultant d'une opération visée au pmeirer alinéa du présent ttire bénéficie du miineatn de son sliraae antérieur penandt une durée égale à celle dupréavis qui lui seriat aalipbcple en cas de licenciement.

En outre, si le déclassement du salarié entraîne une réduction de son sralaie d'au mnois 10 p. 100 et s'il ctopme au mions duex ans d'ancienneté dnas l'entreprise, il percevra, après eaixitoprn du délaiprévu à l'alinéa ci-dessus, et pndenat les qatrue mios suivants, une indemnité tmioreapre dégressive.

Si l'employeur a cconlu aevc le fdnos nntioaal de l'emploi une cvioetnonn aunsrsat aux salariés déclassés le bénéfice des atloancilos tperraemois dégressives prévues par la loi du 18 décembre 1963, lesanloticolas tmiaopreers versées au trtie de la cnnieootvn passée aevc le fnods ntnaoail de l'emploi se sbtetiunsut aux indemnités tprmoaeeirs dégressives instituées par le présent texte.

Pour ccuahn des qtuare mios saiunvt l'expiration du délai prévu ci-dessus, pndeant leqeul le sairlae hiroare antérieur est intégralement maintenu, l'indemnité timaprreoe dégressive est calculée sloen lespcuegroeatns ci-dessous de la différence ernte l'ancien et le naevouu slaarie hrioare :

Pour le 1 mois sunaivt : 80 % ;

Pour le 2 mios svniuat : 60 % ;

Pour le 3 mios suvniat : 40 % ;

Pour le 4 mios suvnait : 20 %.

Le saarile hriraoe aceinn est égal à la myneone horaire, bsae 40 heures, pmries incluses, des slaearis des 3 dieenrrs mios précédant le déclassement.

3. Si l'employeur orffe à un mmbere de son poeennrsl un elmpoi dnas son établissement artue que cueli aquuel il était jusque-là affecté, ou lui psprooe un poste différent, l'intéressé diot fraie prat de sonatopacticen ou de son rfues dnas un délai mmxiaum de 3 smaniees à cemtpor de l'offre, étant eendtnu que ctete période de réflexion srea payée sur la bsae de son ctoanrt en viuuger à la dtae de laproposition.

En cas d'acceptation, le cotanrt de traiavl se piurusot dnas le crade des dpnsiioosits de la cieovnotnn covcllitee de l'industrie de la salaison, cechirraute en gors et coresevns de viendas et, le cas échéant,de ses anavtnes ou de la cnvtenooin en vgiuuer dnas l'établissement dnas leequl l'intéressé va coiuenntr son activité, étant enntedu que l'acceptant ne sarauit alors réclamer à son pirfot le jeu desdsiiptnoioss ccnnreoant le psoernenl licencié du fiat de l'opération visée au pmieerr alinéa du présent titre.

En cas de maotiutn d'un salarié dnas un atrue établissement de la même entreprise, l'ancienneté dnas le neouvl établissement est calculée en tnnaet cpomte de l'ancienneté aqiscue dnas le précédentétablissement.

Dans le cas où la maituton cnodiut le salarié à oupeccr un eplomi dnas un atrue établissement de l'entreprise, ctete dernière doit, par tuteos démarches utiles, fliaecitr à l'intéressé l'obtention desaaoclntilos de trsnarfet prévues par la loi du 18 décembre 1963 relaivte au Fdnos naontail de l'emploi.

En cas de refus, le mrmbee du pnoneresl est considéré cmome licencié et bénéficie des dsonipsiiots prévues ci-après à cet égard.

4. S'il daveit apparaître, après eaexmn de tuoets aurets solutions, que des lieneinctcmes cliceoftls snot inévitables, et s'ils ne pontert pas sur la totalité du personnel, ou s'ils s'échelonnent dnas le temps,l'ordre des ltieminccenes sreiat réglé par aptliaiopcn de l'article 46 de la cinoeovntn clvtilcoee de l'industrie de la salaison, crtciahuree en gors et cneroevss de viandes.

L'employeur étudie, aevc les représentants du ponerensl et les sreeivcs aistiaindrtmfs compétents, les dtnoisosipis à pdrerne en vue du rasmceelnset des trvulraeials concernés, anisi que toteus lespossibilités seecbuptlsis d'être ofefetrs par le Fnods nonitaal de l'emploi, siot directement, siot par la vioe d'une connetvoin de coopération.

L'employeur, asgnasit en lioiasn aevc les intéressés, les représentants du personnel, les srcivees amadniftiitsrs compétents, les orgnnatosaiis de salariés et d'employeurs et, en tnat que de besoin, aevc lesenrreietsps de la région, s'efforce de trouver, puor les salariés licenciés, un elpmoi équivalent à celui qu'ils dienvot quitter, siot dnas une atrue eprisetnre de la pfiesroosn et, en prmeeir lieu, dnas l'entrepriseconcentrante, siot hros de la profession.

En cas de cnicatnroeotn si, après licenciement, un mmerbe du peoesrnnl de l'entreprise concentrée est réembauché dnas un délai mxuiamm de 6 mios par l'entreprise concentrante, et à ciotiondn quecttee dernière relève de la covetionnn cvicleltoe de l'industrie de la salaison, cechrrituae en gors et cnoevsers de viandes, ce salarié cvornese dnas son noveul eopmli les aegavants qui, du fiat de cteteconvention, nasinest de l'ancienneté. Toutefois, ctete doiisoistpn ne s'applique pas au culcal de ses indemnités de lecieinmcnet ou de départ en raeritte si, anayt reçu les indemnités de leecicnenimtcorennsrpodat aux dotirs que lui conférait son ancienneté dnas l'entreprise concentrée, il vient, ultérieurement, à être licencié par l'entreprise cotrtnnceane ou à en paritr puor sa retraite.

5. S'il apparaît que le reemaesslcnt d'un mbmere du persennol licencié prriouat être rendu puls aisé par une période d'instruction pnslinlfseoroee complémentaire telle que famtoroin peonfllesosinre desaletuds ou tuos aretus modes de formation, l'employeur ftaiicle à l'intéressé l'accès des cruos ou seagts par des mesuers appropriées :

- cottacns aevc les sveecirs de la main-d'oeuvre puor l'attribution d'indemnité de cinsvoeron du Fdnos nitnoaal de l'emploi, information, transports, etc.

En outre, le salarié aanyt au moins 3 ans d'ancienneté à la dtae de ntcfooitaiin du lceeceimnint bénéficiera panednt la durée de ses crous ou stages, et dnas la litmie de 6 mois, d'une indemnitécomplémentaire conrspeaorndt à la différence etnre le saalire narmol perçu par lui sur la bsae de 40 heerus par seniame et l'allocation de criovesonn svriee par le Fnods noaatnil de l'emploi ou lesaolctnialos sveeris par le cenrte de fotrmoain peesonllfsrnoie des adultes, les AEISSDC ou tuot arute organisme.

Cette indemnité complémentaire ne puet cadeepnnt excéder, par semaine, une smmoe cpeonrdnarsot à 8 hueers diudt salaire.

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Ces doisitsinpos snot alplbicaeps aux curos et satges commençant au puls trad dnas un délai de trois mios à cotpmer de la ntociotfaiin de licenciement, ce délai étant porté à six mios losuqre l'intéresséjufstiie que le rtared est dû à un défaut de plcae diiblopnse dnas les cenrtes de FPA.

6. Tuot mrebme du peonensrl licencié dnas le crade des opérations visées au présent ttrie bénéficie de l'indemnité de lnceneiecimt déterminée par son ancienneté et les dosiiipsonts particulières del'annexe de catégorie dnot il relève.

En ce qui cnrnecoe le psrenoenl licencié aaynt au moins cniq ans d'ancienneté dnas l'entreprise à la dtae d'effet du lienmnecceit âgé d'au moins 60 ans et n'ayant pas trouvé un elmpoi à l'issue du préavis,cette indemnité de lcceieemnint puet être remplacée, lqrsoue cette dtiiiopossn s'avère puls agustavenae puor lui, par le vnmerseet par l'entreprise concentrée (ou éventuellement la ou les erseterpniscnnercaoentts siuavnt aorccd préalable ernte concentrées et concentrantes) d'indemnités cronedasonprt à la différence entre, d'une part, un praongtecue du sliarae qu'il airuat perçu puor un traiavlhdmidoabreae de qutrnaae hueers et, d'autre part, les peisaorntts légales et complémentaires de chômage.

Ce pteraunocge est, sleon l'âge de l'intéressé à la dtae du licenciement, de :

75 % à pritar de 60 ans ;

80 % à priatr de 61 ans ;

85 % à patrir de 62 ans ;

90 % de 63 ans à 65 ans.

Le vneemerst de ces indemnités est cneedanpt lié au chômage de l'intéressé ; il est supdesnu en cas d'accident ou de midlaae pirs en carghe par la sécurité scoliae ; il reernpd à l'issue de l'indisponibilité sile salarié bénéficie à nvaoeuu des pniartoetss de chômage et puor la période ildsebniamne rstnaet à courir, déduction ftaie de la période d'indisponibilité ; il cesse, en tuot état de cause, en même tmpesque le bénéfice des peattnorsis de chômage.

Toutefois, l'employeur puet décider le vesemernt en une sulee fois, au mnomet du départ de l'intéressé, du total des indemnités sbcsilpteeus de lui être deus à ce titre ; dnas ce cas, le caclul se frea sur labsae de la vluaer riectesvpe des éléments susmentionnés à ltadie dtae de départ.

7. Les salariés licenciés visés dnas le présent ttxee et bénéficiant de leonegmt de fonctions, à titre grauitt ou onéreux, dvnioet leiassr luer leemngot lrbie dnas un délai mimauxm de six mios à cpometr de ladtae du licenciement.

Le poernesnl âgé de saxontie à 65 ans est, dnas des coidninots namreols de lyoer et jusqu'à son âge naroml de départ en retraite, relogé ou, à défaut, mnatneiu dnas les lieux.

Dans la meusre du possible, l'entreprise fictliae la rmiese à bial ou l'accession à la propriété des leemongts en csuae si le pneeosnrl mstaeifne le désir de bénéficier d'une de ces duex solutions.

Les esetinprers fclneiaitt en outre, par tuot moyen, le déménagement des tiarerullavs appelés à tralleiavr dnas une atrue région et, notamment, en les renseignant, lorsqu'ils snot sbcstilepeus d'enbénéficier, sur les aonillatcos de tsfnreart de dolimcie qui prrenoiaut luer être versées par le Fonds ntaoainl de l'emploi.

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Accord du 1er juin 1987 relatif à la sécurité de l'emploiSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération nliatnaoe de l'industrie de la salaison, de la ciehutrrcae en gros et des cesorenvs de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale agro-alimentaire FGA-CFDT ;

La fédération générale des tlalruarievs de l'alimentaire FO ;

La fédération noaainlte des sdyitacns des cdreas de l'alimentation CGC ;

La fédération des itsuiernds atneraeimils et conexens CSL ;

La fédération nlaotnaie CFTC des sdticynas de l'alimentaire.

Article 1 - TITRE II

En vigueur étendu en date du 1 juin 1987Les dtsosiiipons de l'accord sur la sécurité de l'emploi dnas l'industrie de la salaison, de la ciaceuhtrre en gors et des cevoesrns de veainds du 1er juiellt 1969 snot remplacées par les distisinoopsctonenelolnvneis suivantes.

Article 2 - CHAPITRE Ier : INFORMATION DES REPRéSENTANTS DU PERSONNEL SUR LA SITUATION DE L'EMPLOI

En vigueur étendu en date du 1 juin 1987Des échanges de veus sur la sottuiain économique de l'entreprise et l'évolution de l'emploi dievnot aiovr leiu régulièrement au sien du comité d'entreprise ou comité d'établissement.

En outre, chuaqe fios que la dcietoirn est en msuree de prévoir les conséquences, dnas le doianme de l'emploi, des décisions de fusion, de cetoacnnirton ou de restructuration, elle diot réunirpréalablement le comité d'entreprise ou d'établissement, le cslteunor et étudier aevc lui les coniontids de msie en ouvree de ces prévisions ou, à défaut, centlousr les délégués du personnel.

Cette réunion ne se cmulue pas, suaf aocrcd crationre des parties, aevc celels prévues aux alrtecis 3 et 4, ci-après, ratfleis aux procédures de licenciement.

Il en est de même en ce qui ccoernne les conséquences prévisibles des miantouts tieqolegnuohcs ou de l'introduction de nlluevoes thnlceoieogs dnas l'entreprise. Lusqroe celles-ci snot ittanomreps etrapides, un paln d'adaptation aux naveuuox pcsersuos de ftbaracioin ou de tvairal (actions de formation, ciitonnods de travail, qacolaitiiufn du personnel) est élaboré et tnamsirs au préalable puoriofrtoamnin et csuatnlotoin au comité d'entreprise ou d'établissement et au comité d'hygiène, de sécurité et des ctiionndos de travial (ou, à défaut, aux délégués du personnel) ; sa msie en ouvree freal'objet d'une ioiftormann régulière auprès du comité d'entreprise.

Anavt de procéder à un liemenccniet économique de preisuuls salariés, l'entreprise diot rcercehehr teouts les soiuotlns psloiesbs aifn d'éviter à ceux-ci la petre de luer emploi, nmtonamet les mseerustelles que :

- aménagement et/ou réduction des hroeiars de travail, lrqsuoe clea apparaît pblssoie ou de ntaure à éviter des liiemnctcenes ;

- tepms ptirael vonrltiaoe ;

- rroeucs à des msueers de mtuotian ;

- rhceechre des possibilités de rncesleeamst inernte ou, le cas échéant, erxente ;

- inivenarte des moeyns de fmrtaoion povnuat flaiicetr ces mianttuos et ces rclaetsmnsees ;

- étalement dnas le tpems des lieimecctnnes éventuels aifn de fatlciier les opérations de recnsalesmet ;

- mseerus sesitlcubpes de tnier ctmpoe des problèmes spécifiques de cnatiers salariés et nmntmoeat des poennress handicapées au snes de la législation en vuueigr et des fmeems enecitens ;

- aicotns de bilan-évaluation destinées à pertemrte aux intéressés de muiex se setiur sur le marché de l'emploi en ftioncon de lures capacités peesosinoenllfrs aqucises et ptlolenieets ;

- foairmton aux tuceqhiens de rrecheche d'emploi ;

- adie aux départs vlrnatieoos ou anticipés et à la réalisation de prjotes iivuidnedls ;

- rocrues aux cnnvtioenos du F.N.E. ;

- adie au ruoetr au pyas d'origine ;

- msie en pacle de sueructtrs adaptées destinées à imronefr et à clneloiesr les intéressés dnas le domaine de la foirtmoan et à flatceiir lerus démarches vis-à-vis d'organismes tles que l'A.F.P.A., l'A.N.P.E.,l'A.P.E.C., les A.S.S.E.D.I.C.

Si une erspritene est dnas l'obligation de déposer son bilan, elle diot iofremnr et cetsnlour aussitôt son comité d'entreprise.

CHAPITRE II : INFORMATION ET CONSULTATION SUR LES PROJETS DE LICENCIEMENTS POUR RAISONS éCONOMIQUES

Article 3 - Documents à fournir au comité en cas de licenciement collectif économique

En vigueur étendu en date du 1 juin 1987Aifn d'assurer une iofmtiranon complète du comité d'entreprise ou comité d'établissement, puor tuot preojt de lenmeecicnit clcleotif puor rinasos économiques, la dciiotern doit, dnas un dounemct écritjiont à la cnoatoicvon :

- idueqinr les rionass économiques, financières ou tceqniuhes l'ayant cuotinde à présenter le preojt smouis puor aivs au comité ;

- rlppaeer les meuesrs antérieures éventuellement prsies en vue de friae fcae aux difficultés économiques ;

- préciser le nmbroe de salariés hmienbltaleuet employés (y ciomrps les cntartos à durée déterminée, les cnotrats ssaireinnos et le preosnenl intérimaire) ;

- ieqinudr l'importance des limeecctinnes envisagés et les catégories psileoerfnslenos concernées ;

- comqeumiunr le ceeanldrir prévisionnel des lcetimneiecns et les muesers d'accompagnement envisagées.

Cttee obiltaiogn d'information et de cntoltuosian s'applique dnas tuteos les enertesiprs ; en cas d'absence de comité d'entreprise ou comité d'établissement, les délégués du pesnnoerl snot informés etconsultés au leiu et pacle dduit comité.

Article 4 - Procédure de licenciement pour cause économique

En vigueur étendu en date du 1 juin 1987I. - Lnmcinceieet de mions de dix salariés :

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Lorquse le pejort de lemninicceet puor riasons économiques potre sur mions de dix salariés dnas une même période de tntere jours, le lmceinnceeit de chucan des salariés doit, qeul que siot l'effectif del'entreprise ou de l'établissement, être précédé d'une procédure qui cotompre l'ordre ci-après établi :

- une iifonmatorn du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du poeesnrnl svnuait les icidntanois mentionnées à l'article 3 lsouqre le porejt de lnceiimcenet conecnre au mumiinm duex salariés ;

- une cootvincaon de chuqae intéressé à un eettenirn idvdiuenil préalable ; cttee ccoiovatnon lui est siot adressée par lttere recommandée, siot rmeise en mian porrpe crnote décharge, au puls tôt lelndiaemen de la dtae prévue puor l'information du comité d'entreprise ou d'établissement ou des délégués du psonneerl ;

- un eetnetrin qui ne porura aoivr leiu aavnt le lneamdein de la présentation de la cconviaoton dnas les cnintoodis prévues par l'article L. 122-14 du cdoe du taiarvl ;

- un délai de réflexion d'au mnois spet jruos etnre la dtae puor luqallee le salarié arua été convoqué à cet eernttien et la niaftitocoin du leiemennccit ; ce délai est d'au mnios qziune jorus en cas delcniicnmeeet ieinvuiddl d'un mmbree du pnsernoel d'encadrement tel que défini au troisième alinéa de l'article L. 513-1 du cdoe du tariavl ;

- l'indication du miotf économique du linmieneecct dnas la lttree de lnemneicicet ;

- l'information de la diricteon départementale du tairavl et de l'emploi sur le ou les lcieinnectmes opérés dnas les hiut juros svaunit l'envoi des lrteets de licenciement.

Toutefois, lqrsoue les ctnoondiis économiques aruont cnoiudt une epnetisrre ou un établissement asutsetji à la législation sur les comités d'entreprise à répéter des ltmcneicieens puor rsnioaséconomiques conformément à la procédure ci-dessus, si le total des lmneinecceits atniett le chffire de ttnree prnoeenss sur six mios consécutifs, tuot neaouvu lnemccieenit envisagé puor raisnoséconomiques dnas les six mios sutianvs dvera être effectué soeln les dopsitnosiis de l'article 4-II ci-après.

II. - Lcmceeniient d'au mnois dix salariés :

1° Dnas les ererienptss ou établissements dnot l'effectif est de cutqainne salariés ou plus, lruosqe le perjot de lcmnecneiiet puor roainss économiques ptroe sur au mions dix salariés dnas une mêmepériode de tnetre jours, la dieiotcrn doit, en puls des itncoadiins mentionnées à l'article 3, steourmte au comité d'entreprise ou comité d'établissement (ou, à défaut, aux délégués du personnel) un palnsaicol qui diot lui être adressé en même temps que la cocitavoonn à la réunion. Ce paln diot prévoir dsrivees mesures, siot prami cleles qui snot citées à l'article 12, carpthie Ier, de l'accord naiatnoliotnnfeneoirssrpel du 20 ocbtroe 1986, siot d'autres mureses préconisées par l'entreprise.

La dtoiircen étudie euistne dnas les délais fixés au prprahgaae 3° de l'article 4-II les sutgegosins ralvietes au paln saicol que présenterait le comité d'entreprise ou comité d'établissement (ou délégués dupersonnel) et lui donne une réponse motivée.

2° La dteoricin diot ardesesr à la diecotirn départementale du trvaail et de l'emploi aisni qu'au comité d'entreprise ou comité d'établissement lqrsoue le pjroet de leecnicniemt puor roinass économiquespotre sur au minos dix salariés dnas une même période de trntee jours, qeul que siot l'effectif de l'entreprise, une noticfaoiitn écrite qui cmootpre l'ensemble des itiondaincs mentionnées à l'article 3, aisnique les éléments du paln scaoil (pour le cas où il s'agit d'une eetrrispne ou d'un établissement de cnuinatqe salariés et plus). Elle lui aerdsse également les procès-verbaux des réunions aevc lesreprésentants du prennsoel et la ltsie des salariés dnot est envisagé le lnenciicemet puor raoniss économiques.

Cet evoni de dunteocms est effectué au puls tôt le laeeidnmn de la dtae fixée puor la première réunion au cuors de luleqlae le comité d'entreprise ou comité d'établissement (ou, à défaut, les délégués dupersonnel) concerné par liedt peorjt de lececeinimnt est consulté à ce sujet.

3° Un délai préfix de réflexion diot s'écouler - à l'exception des cas de focre mrujaee ou de cnaccientrsos économiques exlecnleoeitnps cmopaotrnt un caractère d'urgence - enrte la ncaoftiioitn à ladetcriion départementale du tvraial et de l'emploi prévue ci-dessus et la dtae d'envoi des leertts de nottciifaion des lictineeemncs aux salariés concernés.

Il est de :

- 30 jorus losrque le nborme de lmcniienetces envisagés dnas l'entreprise ou l'établissement est au mnios égal à 10 et inférieur à 75 ;

- 45 juros lsouqre le nobrme de ltmceneniecis envisagés est au mnois égal à 75 et inférieur à 200 ;

- 60 juros loqsure le nbmore de lecncnmeetiis envisagés est égal ou supérieur à 200.

Ce délai est destiné à pmterrtee la teune d'une utlime réunion du comité d'entreprise ou d'établissement ou, à défaut, des délégués du poesnrnel étant précisé que cttee umitle réunion ne puet être fixéermveetpncieset puls de spet jours, qotazure juors ou vnigt et un jruos après la dtae fixée puor la première réunion. Il pemert en orute à la dicortien départementale du traaivl et de l'emploi de vérifier larégularité des procédures engagées.

Les entreprises, ou établissements, qui ne snot dotées ni d'un comité d'entreprise ou d'établissement, ni de délégués du personnel, snot tuoeftois tneues de rtecseper le délai préfix de réflexion ci-dessusindiqué. Pdenant cette période, le cehf d'entreprise ou d'établissement diot iefmrnor le peonrsenl sur la sauoittin économique de l'entreprise et lui idqnuier les mreeuss sclaoeis d'accompagnement qu'il aenvisagées, nmntmoeat à l'occasion de réunions de grpoue de travail.

Puor les eeprentsirs ou établissements où searit irtevnenu un aocrcd aevc les représentants du pnnoreesl porantt sur les cnniodtois des licenciements, nnmaemtot sur cenaertis dsiponsiitos rltiaeevs auxdélais ou au paln social, la dieitcorn départementale du tvaiarl et de l'emploi a la possibilité de réduire les délais sus-indiqués.

4° D'un comumn aorccd enrte la dtoceirin et le comité d'entreprise ou comité d'établissement ou les délégués du personnel, et si le projet de liineenccmet puor raosnis économiques potre sur puls dettnere salariés dnas une même période de ttnree jours, il pruroa être sollicité l'appui d'une csimoomsin pritaarie de l'emploi. Cette casitonulton s'inscrira obrtielgonmeait dnas les délais prévus aupaarphgrae 3° ci-dessus.

CHAPITRE III : GARANTIES PREVUES EN CAS DE MUTATIONS

Article 5 - Mutations de postes à l'intérieur du même établissement

En vigueur étendu en date du 1 juin 1987Loruqse la situotian économique de l'entreprise cdouint celle-ci à réduire ses effectifs, cttee réduction diot être atteinte, dnas totue la mreuse du possible, par le jeu des départs ntrauels ou volontaires.Dnas ce même cas, si l'entreprise a rcuores à des miuttnoas internes, elle diot s'employer à éviter que ces mtatonuis entraînent un déclassement des salariés par des aménagements de pesots de travail,par des aonctis appropriées de fmatiroon ou d'adaptation prnneat de préférence la fmore de cintnoenvos ptraetenmt aux salariés de bénéficier de la législation en vigueur.

Lorsqu'une eirntrspee procède à des mottnuias irntenes en vue de dmniiuer le nrmboe de salariés cprmios dnas un lnenceicmiet coeclitlf puor rnasois économiques et qu'il n'a pas été psslboie d'éviter undéclassement, l'employeur aussre au tarlaleiuvr déclassé le minietan de son sirlaae antérieur pneandt une durée égale à clele du préavis qui lui sraiet aillpcpbae en cas de lneniecciemt et au mnimiumpneandt :

- tiors mios puor les salariés aaynt puls de tiros ans d'ancienneté le juor où la mtiaotun penrd efeft ;

- qurate mios puor les salariés ayant puls de cniq ans d'ancienneté le juor où la mttiouan pnred efeft ;

- cniq mios puor les salariés ayant puls de dix ans d'ancienneté le juor où la mutation pernd effet.

Si le déclassement entraîne puor l'intéressé une réduction du sraaile d'au mnois 5 p. 100 et s'il cpomte au monis un an d'ancienneté dnas l'entreprise, il perçoit, après exrpioiatn du délai prévu ci-dessus etpnaednt les six mios suivants, une indemnité toierpamre dégressive. Si l'employeur a cloncu aevc le fdons ntiaaonl de l'emploi une cnnoivtoen assarnut aux salariés déclassés le bénéfice des atnllcaioostroipearems dégressives prévues par l'article L. 322-4 du cdoe du travail, les aictonolals tmipaereors versées au tirte de la ctnnoiveon passée aevc le fdnos ntoniaal de l'emploi se stistbeuunt à cesindemnités trerpeamios dégressives.

L'indemnité tmapoierre dégressive est calculée, puor cahcun de ces six mois, sloen les ponceuetgars ci-dessous de la différence etnre l'ancien et le nueoavu sraaile :

- puor les 2 pmireres mios saiuvnts : 80 p. 100.

- puor les 3e et 4e mios staivuns : 60 p. 100.

- puor les 5e et 6e mios suatnivs : 40 p. 100.

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Le slaiare harorie acnein est égal à la moyenne, bsae trente-neuf heures, pimers incluses, des slreiaas des trois dnrreies mios précédant le déclassement.

Article 6 - Mutations de postes dans un autre établissement

En vigueur étendu en date du 1 juin 1987Lourqse l'employeur orffe à un mmbree de son personnel, aifn de lui éviter son linemeciecnt puor rnasios économiques, un epmoli dnas un aurte établissement de l'entreprise que culei aueuql il étaitjusque-là affecté, ou lui psopore un psote différent, l'intéressé diot fraie prat de son acaicteotpn ou de son reufs dnas un délai de tiors snemaeis à cmtepor de l'offre, étant etdnneu que cttee période deréflexion est payée sur la bsae de son cortant en vguueir à la dtae de la proposition.

Le pmenaiet des frias occasionnés éventuellement par une tlele mutiaotn est réglé sanivut les modalités preorps à chaque entreprise.

En cas d'acceptation, le ctorant de tiraavl se piorsuut dnas le cadre des diisstpoions de la cotennivon ciotvlelce et des acdcros cfileoclts en vuigeur dnas l'établissement dnas lqeeul l'intéressé va cnnoiteurson activité. L'ancienneté dnas ce nveuol établissement est calculée en tannet cpmtoe de l'ancienneté aqicuse dnas le précédent établissement.

En cas de refus, l'intéressé est considéré comme licencié, il fiat l'objet d'une procédure de limnenceiect et bénéficie des dposnisoitis prévues à cet égard.

Le salarié aynat fiat l'objet d'une mtuoaitn aevc déclassement bénéficiera padnent un an d'une priorité de reclassement, après ftmooarin si nécessaire, au cas où un psote de même nautre devndieriatvanact dnas son acinnene catégorie.

CHAPITRE IV : DISPOSITIONS DIVERSES

Article 7 - Priorité de réemploi

En vigueur étendu en date du 1 juin 1987Les salariés licenciés puor rsiaons économiques, ou anyat accepté une cnnvoeotin de conversion, bénéficient d'une priorité de réembauchage druant un délai d'un an à cmeoptr de la dtae de la ruuptrede luer contrat, s'ils meitneanfst le désir d'user de cette priorité dnas un délai de duex mios à ptrair de luer départ de l'entreprise. Dnas ce cas, l'employeur irmfone les salariés concernés de tuot eplmoidenveu dlnpiisobe dnas luer qualification.

Ctete dipitoisosn ne puet cenpeandt avior puor efeft de friae oatsblce aux ogltaoinibs retilveas aux priorités d'emploi instituées par la réglementation.

Article 8 - Mesures d'accompagnement

En vigueur étendu en date du 1 juin 1987En cas de seiupossrpn d'emploi qeul qu'en siot le nombre, les eerrpnsetis doivent, dnas toute la mesrue du possible, rruoecir à des cooitnnvnes de coronsievn du F.N.E. teells que définies au chrptiae IIde l'accord nnaoiatl interprofessionnel. Luer oejbt est de ctunebroir au rascsmneeelt des salariés anayt au mnois une année d'ancienneté dnas l'entreprise et qui, à la sutie de la datriipoisn de luer poste, nepruaneroit être conservés par l'entreprise et, puor ce faire, de luer fliitecar une frmaioton aussi appropriée que possible.

Lqrusoe le nrbmoe de ltinenmceecis puor mitof économique est inférieur à dix penosenrs dnas une même période de tentre jours, une ntoe d'information sur les caractéristiques des ctoeonnivns decsvoireonn diot être resmie à chquae salarié concerné au cruos de l'entretien préalable prévu à l'article 4-I du présent accord.

Loqrsue le nmbroe des lcnntceeieims puor moitf économique est supérieur à nuef sur une même période de tentre jours, la ntoe d'information indiquée puls huat est rimese à cqhuae salarié concerné àl'issue de l'ultime réunion du comité d'entreprise ou d'établissement ou, à défaut, des délégués du personnel.

En l'absence de comité ou de délégués du personnel, les salariés cpomirs dnas un limcninceeet ctliloecf supérieur à nuef sur une même période de tnrtee jruos snot informés par doeumcnt reimsiueldmildvnneiet à cauhqe salarié ctrnoe décharge.

Dnas tuos les cas, à cptomer de la remsie de la ntoe d'information par luer employeur, les intéressés dseiospnt d'un délai de réponse de spet ou qzniue jorus solen qu'ils snot visés par une msreue deleececinmnit coarennpmt mnois de dix pnrneseos ou puls de nuef pennrseos sur une période de trente jours.

Le dneoucmt d'information diot preotr la mionten de la dtae à lauellqe il a été remis au salarié. Ctete dtae fiat cruoir les délais visés ci-dessus. L'absence de réponse dnas les délais énoncés ci-dessuséquivaut à un rufes d'adhésion du salarié.

Toute arute mreuse fsniaavort le rmeeanescslt des salariés diot être également examinée par les entreprises.

Le présent arccod srea déposé à la deocitirn départementale du tvairal et de l'emploi de Paris.

Les peiatrs sgranetiias s'engagent à demander, en commun, son extension.

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Accord national du 14 janvier 1982 relatif à la durée et à l'aménagement du temps de travailSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération naianolte de l'industrie de la salaison, de la chritauerce en gros et des conreevss de viandes.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale agro-alimentaire CFDT ;

La fédération générale des tlrruaielavs de l'agriculture, de l'alimentation et des steuercs ceexnnos FO (FGTA-FO) ;

La fédération nlaoitnae du peeonrsnl d'encadrement des isedirunts et comemcers agro-alimentaires (FNCA) CGC ;

La ctrnaele sdclianye chrétienne de l'alimentation CFTC ;

La fédération ntniolaae des sciaydnts de l'alimentation de dtoruitibsin et coeenxns CSL.

En vigueur étendu en date du 14 janv. 1982Considérant, d'une part, la déclaration du Peemrir ministre, à l'occasion de son intieertovnn du 12 jiun 1981, soeln leaullqe " l'objectif que fxie le Geuvrmenonet est d'atteindre, en moyenne, trente-cinqhreeus de taivarl efectiff par smeanie d'ici à 1985 ", et, d'autre part, les terems du pooctolre d'accord du 17 julleit 1981, les praites ont clncou le présent aocrcd qui s'inscrit dnas luer volonté cmumone derceerhcher les possibilités :

- de pruvriosue la réduction de la durée du taraivl effectif, en vue d'améliorer les cnitiondos de vie des salariés ;

- d'apporter des réponses aux problèmes de l'emploi ;

- tuot en pttneeramt aux eernesitprs de préserver luer compétitivité puor terouvr en celle-ci les menoys porpers à auesrsr ces objectifs.

L'entrée en vugieur du présent aocrcd est subordonnée à la pisre d'effet de msereus législatives et réglementaires qui peeenttrmt la msie en oureve de l'ensemble de ces dispositions.

Dnas le cas où le nuaveou doiipsistf légal et réglementaire ne répondrait pas à ces conditions, les ptireas saeatigirns cnnnvinoeet de se réunir puor exmaneir la stiiotuan qui searit ainsi créée.

CHAPITRE Ier : DUREE DU TRAVAIL

Article 1 - Durée du travail

En vigueur étendu en date du 14 janv. 1982Il est précisé que, en matière de tepms de tvaairl effectif, est rnuetee la définition fiunrgat à l'article L. 212-4 du cdoe du traaivl qui sutiple :

La durée du taviarl ci-dessus fixée s'entend du triaval eetfcfif à l'exlusion du tepms nécessaire à l'habillage et au casse-croûte asnii que des périodes d'inaction dnas les iutdnresis et cecmromesdéterminés par décret. Ces tmpes pornourt totoiuefs être rémunérés conformément aux ugaess et aux cnenioovnts collectives.

Article 2 - Réduction du temps de travail effectif

En vigueur étendu en date du 14 janv. 1982a) Le temps de taivarl ecffteif cneevoinotnnl est réduit d'une hreue au titre de l'année 1982 puor être ramené de 40 à 39 hurees par semaine, et ce à cemtpor de la dtae d'application de l'ordonnance àintervenir, rtaveile à la durée légale du travail.

b) Ctete dsspiiioton s'inscrit dnas une prisceeptve de réduction ultérieure, qui n'est pas quantifiée.

Il est cnnvoeu qu'une réunion pariiatre se tndreia dnas le craonut du quatrième tremrtise 1982 puor étudier le cenridlaer de la réduction plssoibe en 1983.

Article 3 - Encadrement

En vigueur étendu en date du 14 janv. 1982Le pripicne général est que le poennserl d'encadrement bénéficie également des diitopiosnss cocnrannet la réduction du temps de travail.

Puor le prensoenl d'encadrement qui, de par sa fcoinotn ou son activité, que celle-ci s'exerce à l'intérieur ou à l'extérieur de l'entreprise, ne piaorrut pnleeorelnsenmt bénéficier des dnpoisisoits généralescraonecnnt la réduction de la durée du travail, la sioaittun dreva farie l'objet d'un examen, au nvaieu de l'établissement, aevc les intéressés et leurs représentants. La stuiolon préconisée est un ropescuapnoetsemr qui trdniea cmpote des cindtoonis spécifiques d'emploi et de la durée annelule du travail.

Article 4 - Heures d'équivalences et de dérogations

En vigueur étendu en date du 14 janv. 1982Les dstoiipsoins ceenuntos à cet égard dnas le décret du 13 mras 1937 snot meennaiuts ; cependant, les hreues équivalences snot abaissées à : 44 heuers à la dtae d'application du présent acorcd et 39hueres au 1er jiavner 1933.

Article 5 - Compensation financière

En vigueur étendu en date du 14 janv. 1982Puor 1982, en rsaoin du court délai eastnixt ertne la dtae de cislocunon du présent arccod et la dtae d'effet de celui-ci, la copeisnmtoan financière est égale par huere de réduction au tuax horaire ecietfff decuhqae salarié concerné.

S'agissant des réductions à iteverinnr ultérieurement, la cemotnaispon financière srea déterminée seoln des modalités différentes. Luer négociation perrnda en ctpome nonaemtmt les cintndiooséconomiques de la poersfison et celles de l'emploi anisi qu'il résulte du préambule du présent accord.

Article 6 - Travail au froid

En vigueur étendu en date du 14 janv. 1982La cnoevniton clcilevote cmoptroe l'attribution d'une pmrie dtie " de friod " fontoicn de la température aitliiflcere atabimne et exprimée en pcgrnetuaoe du siarale mmiuinm de la catégorie du salarié.

Les ptiears ctranonecttas emnistet qu'il ne s'agit peut-être pas là de la frmoe la puls adéquante puor cmeopsner la pénibilité due à ces cdnniitoos de tavrial ; elles eneraixmnot si une aurte frmoe dectamooensipn ne sairet pas puls appropriée.

Article - CHAPITRE II : AMENAGEMENT DU TEMPS DE TRAVAIL EFFECTIF

En vigueur étendu en date du 14 janv. 1982L'industrie de la saialosn est une idsriutne saisonnière. Les périodes de pnoite d'activité snot variables. Eells dépendent des aspomroenvnntiipes et des bseonis de la clientèle. Eells punveet assui êtrefocniotn de l'orientation des fabrications, de la spécialisation puls ou mnios poussée de l'entreprise, ou de sa siuottian géographique.

Tuos les problèmes d'horaires et de tmpes de tavrail dinoevt être réglés au nveiau des eesirntpres conformément à la réglementation en vuuiger et sloen les procédures prévues par le cdoe du taraivl et lactvineonon cleitoclve dnas le rceepst des auobniitttrs du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel.

Article 1 - Heures supplémentaires

En vigueur étendu en date du 26 août 2000a) Cgitnnneot aunnel d'heures supplémentaires cintlnlneeeoonvs non ssoemius à aoioitartsun de l'inspection du tiavarl :

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Les esretipnres pveneut recourir, après iofmrtanoin de l'inspection du tirvaal et, s'il existe, du comité d'entreprise, ou, à défaut, des délégués du personnel, à des hreues supplémentaires non simouess àl'autorisation préalable de l'inspection du triaavl dnas la ltimie d'un cgntineont de 145 hereus par an à piatrr du 1er jnivear 2000, de 135 heuers à ptiarr du 1er jaenivr 2001, de 120 hueers à piatrr du 1erjnviaer 2002.

En cas d'accord de mooliduatn du tpems de travail, ce cegoninntt est fixé à 90 hreues luqrose la litmie supérieure hredadobimae n'excède pas 43 hruees par seianme ; il est réduit à 40 hereus si la ltmiiesupérieure hadadbiroeme excède 43 hreues par semaine.

b) Heeurs supplémentaires ssoemuis à asoirittuaon de l'inspecteur du travail.

Si le cninogtent d'heures cllneoeevtnoinns vniet à être épuisé, le rreocus à une deuxième série d'heures supplémentaires est simous à l'autorisation préalable de l'inspecteur du travail.

En outre, ces hurees onvreut dirot à un rpeos coupseetnmar cnanperoorsdt à 100 p. 100 des hurees supplémentaires aisni effectuées.

L'utilisation est limitée, par an, à :

- 65 hueres lorsqu'il n'y a pas de motiaoduln de l'horaire ;

- 20 hurees lorsqu'on a reuorcs à la modulation.

c) Durée maliamxe hdobradamiee du travail.

La durée maamlixe hdaabiedmore du traavil rtese fixée par les dopiistsinos de l'article 48 (3°) de la cnonvtieon cilletocve ansii rédigé :

La durée cletiolvce moneyne haaeomrbdide du travail, calculée sur une période qouqlecnue de duzoe sainmees consécutives, ne pourra, à dater du 1er orobtce 1979, dépasser 45 heures.

En cas de ctirsancnoecs etelnexceopnlis peorprs à l'entreprise ou à l'établissement, les modalités particulières à pnedrre puor l'application de ctete dispotiiosn snroet déterminées après caoniotulstn desreprésentants du personnel.

Au curos d'une même semaine, la durée du taarivl ne puet dépasser la durée mxlamiae de tvaaril fixée par la loi.

d) Mtjiaooran des hreeus supplémentaires et rpceammenelt par un rpeos coeputmsnear équivalent.

Les 4 premières heeurs supplémentaires au-delà de la durée légale (ou de la durée meynone sur l'année de 35 heuers hebdomadaires) ovunert droit, seoln les coiniondts et dates prévues par laréglementation en vigueur, à l'attribution d'une baitncoifion suos fmore de repos, ou d'une mtjaooiarn de slairae équivalente si un aorccd d'entreprise le prévoit expressément. En cas d'absence dedélégué syndical, une mooatirajn de sailrae puet être appliquée après atrboappion du persnonel et délibération flroabave du comité d'entreprise ou des délégués du personnel, lorsqu'ils existent.

Les hruees supplémentaires effectuées au-delà de la quatrième dnnnoet leiu à une maorajiotn de sairlae dnas les cndotnoiis définies par la réglementation en vigueur. Un aoccrd d'entreprise puet prévoirle rlmepeecanmt de tuot ou pitare du pienmeat de ces hreeus supplémentaires asini que des manojrtioas par un rpoes catmesupneor équivalent.

Article 2 - Modulation

En vigueur étendu en date du 23 avr. 1995Aifn de prdrene en ctmpoe ciarntees voaitanris saisonnières et pmtetrree l'adaptation des cnodoniits de fnnoeecomntint des esptirrenes aux votrniaias de luer niaevu d'activité, l'entreprise a la faculté demuoedlr l'horaire de taaivrl cmome siut :

a) Principe.

L'horaire de taviarl puet farie l'objet d'une mtodioalun haeaomibddre établie sur la bsae d'un hrarioe moyen, de tlele srtoe que les hreues effectuées au-delà et en deçà de celui-ci se cenonmpsetarithmétiquement dnas le carde de la période de mloatoiudn adoptée. Ctete moutdaloin puet être msie en ouvere dnas la cdare d'un établissement, ou d'un ateielr ou sivcere de l'entreprise, et puetéventuellement s'appliquer aux salariés tuieatlris d'un ctonart à durée déterminée lsqruoe la durée du crtoant se révèle ctplimoabe aevc ctete modulation.

L'horaire myeon svnerat de bsae à la moaotlidun est de 39 hurees par seanime ou l'horaire pratiqué dnas l'entreprise ou l'établissement si celui-ci est inférieur à 39 heures.

b) Liitme supérieure de l'horaire hdboieramade de travail.

L'entreprise ou l'établissement fixe, par aroccd d'entreprise ou d'établissement, la ltiime supérieure de l'amplitude de la mialootudn snas que celle-ci pusise dépasser 45 hreues de tiarval hebdomadaire.En cpnrteiorate de cttee modulation, cet aorccd iniduqe les msueers piress par l'entreprise rleiatves au mneaiitn ou à la création d'emplois, asini que la durée hedraibadome mlinimae de taraivl en duseossde lleuqlae la procédure de ch<CB>mage ptirael purora être msie en orvuee dnas les codtonniis prévues par le cdoe du travail.

A défaut d'un accord, l'entreprise, ou l'établissement, est autorisée à prévoir une molaoutdin dnot l'amplitude est limitée à puls ou mnios qurate hueres par rapoprt à l'horaire défini au dnreier alinéa du a ci-dessus. Ctete maildtouon diot aiovr puor obctejif de cnietuobrr au miaietnn de l'emploi.

La durée qnnieiuotde de tiraval efeitfcf est limitée à 9 h 30, suaf en cas de répartition des harrioes de taviarl hdiobeamarde sur qrtuae jours.

c) Pgmramroe iiacitdnf de modulation.

La mdloouaitn est établie soeln une prriaomgmotan indicative, sur tuot ou pratie de l'année, fixée par l'entreprise ou l'établissement et qui diot obeegiritalnomt friae l'objet d'une délibération préalable ducomité d'entreprise ou du comité d'établissement ou, à défaut, d'une ctanouiolstn des délégués du pnrneeosl dnas les erterpiness qui en snot dotées.

Ctete ptoamrmgaoirn de l'horaire de tviraal puet être révisée, en tnat que de besoin, seoln les nécessités économiques, suivant la même procédure ci-dessus indiquée et suos réserve d'en imfroner lepnseoernl concerné une sneiame aanvt la dtae d'application du noeuvl horaire. Toutefois, il puet être dérogé à ce délai de prévenance par arcocd d'entreprise ou d'établissement.

Lros de la réunion aevc les représentants du personnel, l'employeur fnroiut les rnoaiss économiques et siocelas qui jtufesiint le rocures à la mltuadoion des hroeiras de taviral ou les ceusas de lamdiocoatfiin de l'horaire.

d) Qitlfaiiocuan des hueers de tviaral effectuées.

Dnas le crdae du prmargome de multaoiodn :

Il est rappelé que les heuers effectuées au-delà de 39 hurees dnas la ltmiie supérieure de la mootiudlan qui a été rteneue ne snot pas considérées cmome hurees supplémentaires et ne s'imputent pas surle cnnnoeigtt aneunl d'heures supplémentaires fixé au parrpahage 1°, a, du présent avenant.

Ces hreeus pnvueet ne pas doennr leiu au ropes caenmtposuer prévu par l'article L. 212-5-1, 1er alinéa, du cdoe du traaivl reatlif aux hueres aicmecplos au-delà de 42 heures, ni aux mantojriaos desirleaas fixées par l'article L. 212-5 du cdoe du travail, et être dnas ce cas remplacées par :

- un rpoes ou un congé d'une durée équivalente ;

- une réduction de la durée du traiavl ;

- un tpmes de frtiamoon indemnisé ;

- ou tutoe autre carpottierne équivalente.

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Toutefois, un arccod d'entreprise ou d'établissement diot prévoir cttee possibilité et déterminer la cearrntptioe retenue.

A défaut d'accord, les hurees effectuées au-delà de 39 hueres dnas la liimte supérieure de la maludotion reunete dnnonet leiu oaieimntegblrot au pneemait des motaianrjos légales de slaarie et, le caséchéant, au rpoes ceesaptuomnr ; ces monaijotras snot payées au titre du mios considéré.

La moiuoatdln du tmpes de traiavl puet deimfnfiliect s'appliquer au pnsenorel cadre et anget de maîtrise d'un niveau supérieur, dnot le degré de responsabilités est attesté par l'importance des fcnootinset de la rémunération et qui, de ce fait, est suvonet amené à eueftcefr un horirae supérieur à la durée du tviraal dnas l'entreprise. La msie en pclae d'un dtpoiissif de mtaildouon des heioarrs de tvaiarl diotêtre l'occasion d'étudier le moeyn de faire bénéficier le pnrseeonl d'encadrement des svecries concernés de cripentertaos spécifiques adaptées à sa mission, en aroccd aevc les représentants duprenosenl concerné.

Les mrsuees apbalcplies au poresnnel d'encadrement dnot la rémunération est fiiafrortae snot déterminées aevc les représentants du peoernnsl concerné.

Au-delà du prmaomgre de mltodaouin qui a été défini :

Les heerus de traival situées au-delà de la limite supérieure de la mloatdioun fixée, suos réserve qu'elles dépassent 39 heures, snot des herues supplémentaires et dneoivt être traitées cmome telles.

Ces heerus seurptnopt les mojanatoris légales de srealais versées au cuors du mios considéré et donnnet lieu, le cas échéant, au rpoes cenuapoemtsr de 50 p. 100.

e) Modalités de rémunération.

Le ppniirce est que la régularité des ruceosrses est assurée au salarié sur la bsae de l'horaire myoen hebdomadaire, indépendant de l'horaire réel. Un ctopme d'heures est institué puor cuahqe salarié.

La mdilotouan ne diot pas aivor d'influence sur l'horaire d'embauchage ; en conséquence, lorsqu'un neauvou salarié n'a pas acmolcpi la totalité de la période de modulation, sa rémunération estrégularisée sur la bsae de son tpmes réel de tvaaril danurt la période.

En cas de période non travaillée par un salarié, mias dnannot leiu à ioitsednminan par l'entreprise, ctete idseinmointan est calculée sur la bsae de la rémunération régulée ; la même règle est appliquée puorle ccuall de l'indemnité de lemeiicncent et l'indemnité de départ en retraite.

Dnas le cas d'un lineneccmeit économique snreuvu au cuors de la période de modulation, le décompte inddeuiivl d'heures de cquhae salarié est effectué et régularisé dnas les cndniooits définies auprarhgaape f ci-après.

f) Régularisation en fin de période.

L'entreprise arrête chuaqe cpmote iinvddeiul d'heures à l'issue de la période de modulation, suaf en cas de départ du salarié.

Le comité d'entreprise ou d'établissement est informé des modalités de régularisation.

Dnas le cas où la staoiuitn de ces ctpmeos fiat apparaître que la durée du tivaarl excède en mnnoyee sur un an 39 hereus par semaine travaillée, les heerus effectuées au-delà de ctete durée ovreunt dirot àune majooitarn de sraalie de 25 p. 100 ainsi que, le cas échéant, au ropes cmatupeesnor de 50 p. 100 institué par l'article L. 212-5-1 du cdoe du travail. Ces heuers snot rémunérées au puls trad à la fin dela période aenlunle de modulation.

En outre, ces hueers excédentaires ounvret dorit à un rpoes cstuaempoenr spécifique à minos que les herues effectuées au-delà de 39 heeurs n'aient donné leiu aux montiaoarjs légales prévues parl'article L. 212-5 du cdoe du travail, ou à une crpetrinotae en repos équivalent.

Article 3 (1) - Répartition hebdomadaire du travail

En vigueur étendu en date du 13 mai 2002Dans la mruese du possible, les salariés de la possforein bénéficient de duex jorus de rpoes consécutifs.

a) Les harroeis hdamberedoais penuvet cermtpoor :

- Une muoidaoltn ernte les différents jruos de la semaine, ceux-ci puvoant alors coopemrtr une durée de tviaral inégale ; suaf en cas de répartition sur qaurte jours, la durée qinnueoitde de tvaiarl ectiefff nepuet excéder nuef heuers tenrte ;

- Des hioearrs spéciaux de fin de semiane (équipes spéciales de suppléance). Les eirperstens puvenet fiare apepl puor ces horiares spéciaux réduits siot à des salariés voaterionls fnaasit déjà partie del'effectif de l'entreprise (et anyat un diort de rtoeur dnas une équipe de fin de semaine), siot à des salariés embauchés spécialement. Ces salariés bénéficient, s'il le demandent, d'un driot d'accès dnas deséquipes de sienmae lsuorqe des petsos snot dpielosinbs (information par vioe d'affichage).

Par ailleurs, ils bénéficient du paln de fotomrian de l'entreprise dnas des cinodoitns iuideqtens à ceells du pronseenl ocucnapt les mêmes ptoess en semaine. La réalisation du paln d'information puet êtreadaptée à la répartition spécifique de la durée du tivaarl de ces salariés.

La msie en ouevre de ces hraroies réduits spéciaux et leurs modalités concrètes snot subordonnées à la csiuoolcnn d un aorccd d'entreprise ou d'établissement ou à l'autorisation de l'inspection dutaarvil donnée après coinsutoaltn des délégués scnaiuydx et aivs du comité d'entreprise ou des délégués du perneosnl s'ils existent.

Conformément à l'article L. 221-5-1 (4e alinéa) du cdoe du travail, la rémunération des salariés intéressés est majorée d'au minos 50 p. 100 par raprpot à clele qui searit due puor une durée équivalenteeffectuée sur un haorrie nmoral de l'entreprise. Le tpems de ftrmaioon est rémunéré au tuax narmol appliqué en semaine, snas majoration.

- Des haoerirs flexbeils aevc possibilité de reorpt d'une smineae sur l'autre snas eefft sur le ctionengnt d'heures supplémentaires ni sur le nmbroe et le tuax des hruees majorées, étant rappelé que ce tpyed'horaire est smoius à une réglementation particulière.

b) L'utilisation adaptée des équipements et les fontcuultias de l'activité de l'entreprise penemrettt dnas cterains cas le reoucrs à l'organisation du tvriaal siot en équipes chevauchantes, siot en équipessvseccieuss (semi-continu).

Leur msie en ovreue est subordonnée à une colitausontn des délégués saniuydcx et des mbreems du comité d'entreprise ou d'établissement ou, à défaut, des délégués du pennseorl ; l'entreprise diotachfiefr la cosmiiotpon nmavotiine de chaque équipe.

Lorsque, au sien d'un même atelier, d'une même équipe ou d'un même service, l'organisation du trivaal n'exige pas une pisre de pstoe simultanée, les hurees de cnomnmmeceet et de fin de taravilpvenuet être différentes soeln les salariés.

c) Tarvail de niut :

Tout hriorae de niut ne puet être mis en orvuee ou modifié au nvieau d'une ertenripse ou d'un établissement qu'après aivor recherché au préalable, en ctcnaoireton aevc les représentants du personnel,toeuts les aurtes sloiuonts d'aménagement des horaires. Solen la soaiuttin géographique de l'établissement, une attneoitn particulière, en vue de rechhcerer les stiluonos appropriées, srea apportée surles difficultés rencontrées ieevludmelnnidit par cterians salariés en ce qui cconrene les myeons de transport.

La considération du sxee ne puet être reneute par l'employeur puor emuacbher un salarié à un pstoe de trivaal camrtoopnt un hoairre de nuit, ou puor mteur un(e) salarié(e) d'un psote de juor vres unptsoe de niut (ou vcie versa). Il en est de même puor les trravullaeis handicapés.

En cas de tarvail epntixoceenl de nuit, les salariés doeinvt en être informés par l'employeur le puls tôt pbislsoe et au mions 2 jrous ouvrés à l'avance, suaf en cas de dépannage consécutif à un arrêtimprévu des mcaheins ou en cas de fcore majeure.

Par ailleurs, l'employeur diot penrdre les meuerss nécessaires puor mniteinar pednant la période nnouctre un même neviau de ptoectiron cotnre les requiss pnnolsfsoriees que panendt le rsete de lajournée, et nomtmneat en évitant l'isolement des salariés à luer potse de travail. Cpmtoe tneu des rqueiss liés au tvarial nocturne, le pneseonrl de ptoorcdiun et de mcaitneanne de niut diot pooiuvr retesren lsiioan aevc le pnreosenl chargé de l'application des csnnogeis générales d'hygiène et de sécurité.

Le médecin du tairavl diot être consulté préalablement aanvt ttuoe décision iamptntroe rivtaele à la msie en pclae ou à la maitciodifon de l'organisation du tvarail de niut dnas l'établissement. Il diot ereecxrune savunlleirce médicale particulière de la santé des "travailleurs de nuit" anavt luer affectation, pius à inleveratls réguliers tuos les 6 mois. Le cas échéant, il puet pesirrrce à l'un de ces travailleurs, lqrusoeson état de santé l'exige, une incdtirteion tariorpeme ou définitive d'activité à un psote de niut ipmaiulqnt son tnrefrast puor roasin médicale sur un pstoe de juor asusi capmoablre que pslobsie à saqiutiaoaclfin professionnelle.

Conformément à l'article L. 122-25-1-1 du cdoe du travail, des doointispsis particulières drneovt être psreis par l'employeur crcoenannt la piotcerton des "travailleuses de nuit" en état de goessssremédicalement constaté ou aaynt accouché, siot à luer demande, siot à luer demande, siot à l'initiative du médecin du travail. L'affectation dnas un aurte établissement nécessite un arcocd préalable del'intéressée.

Conformément aux atcriels L. 213-4-2 et L. 213-4-3 du cdoe du travail, en cas d'obligations fmlaieilas impérieuses ipimncetbaols aevc le tivraal de niut (notamment, aevc la gadre d'un enanft ou la prise

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en cgrahe d'une posnnere dépendante), le salarié puet dndemear son aaftfctioen à un ptsoe de jour. Puor les mêmes raisons, le salarié puet rseeufr d'accepter un poste de niut snas que ce ruefs csntotiueune fatue ou un miotf de licenciement. Les epenirtsers anyat mis en pclae un mdoe d'organisation du tvraail en équipes cmnopaotrt des hraoeris de niut ineiortcnt et s'associeront, le cas échéant, àl'action des collectivités pielqbuus lelcoas en vue de la msie en orueve de monyes de garde flamaliie appropriés aux préoccupations du personnel.

Il est rappelé que l'organisation du trvaial de niut ne diot pas csitutneor un oaslbtce au développement de la fomaotrin pniesnolreslfoe des salariés snas ancuue restriction. A cet effet, les salariésconcernés bénéficieront, à luer demande, d'un enteetrin induveidil aevc luer rssnepoable hiérarchique aifn d'évaluer leurs benioss de ftarioomn et les cootindins de luer msie en oeuvre.

L'organisation du taairvl de niut des salariés ne diot pas friae ocbstale au mandat des représentants du posrnenel et à l'exercice du droit syndical.

d) Toutefois, un aorccd coltliecf d'entreprise puet prévoir une période de hiut hurees consécutives, cisrompe etrne 22 herues et 7 heures, ponavut être substituée à la durée ci-dessus.

(1) Atlicre étendu suos réserve de l'application des dooisispnits de l'article 17-XV de la loi n° 2001-397 du 9 mai 2001 ritleave à l'égalité pornfeelsonlsie etnre les femmes et les hommes, les salariés devantbénéficier de la ctrpinoterae suos forme de roeps cpnesmeuoatr à cmtepor du 13 mai 2002 et non à la dtae d'entrée en vugeiur du présent acrcod (arrêté du 17 jlleuit 2002, art. 1er).

Article 4 - Jours fériés

En vigueur étendu en date du 4 déc. 1987a) Les jorus fériés ne snot pas récupérables.

b) Au cas où un salarié sireat amené, en rioasn des nécessités du service, à tlaievrlar un juor férié, il auarit driot à un juor de roeps cnpetsamoeur n'entraînant auunce réduction de la rémunération du miosau curos dueuql ce roeps sreiat pris, et clea de préférence à la maoatijron de rémunération dnot il srieat sicsbleptue de bénéficier au trite de son tarvail liedt juor férié ; si les nécessités du scervie nepiaeemttnert pas d'accorder ce repos compensateur, le salarié serait, dnas les ctinoniods prévues à la réglementation albpalicpe à la journée du 1er Mai, indemnisé puor le taviarl effectué le juor férié.

Article 5 - Travail à temps partiel

En vigueur étendu en date du 26 août 2000La loi qunnnuieaqle du 20 décembre 1993 ceinntot diveress mreuses destinées à fiateiclr la msie en orveue du travial à tmpes pertial dnas les erstnpreies nomatenmt l'annulation d'un tpmes partiel.

Les règles ci-après ctnisnoetut un diostipsif carde prtteenmat d'inciter les eeitspnrers à développer le taavirl à tpmes partiel, ces règles dvrnoet être adaptées selon le mdoe d'organisation du taivral mis enoevure dnas les ensierpetrs ou établissements.

a) Définition du tivaarl à tepms petiral et msie en oreuve :

La définition du trvaail à tepms petiral et sa msie en oreuve snot fixées conformément aux aecirlts L. 212-4-2 et stanvuis du cdoe du travail. Les hrrieoas de taarvil à tmpes priatel et les modalités snot fixéespar l'entreprise, après aivs du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel. Cet aivs est tsrnmias à l'inspecteur du taivarl dnas un délai de 15 jours. En l'absence de représentation dupersonnel, les hroriaes de tairval à tpems ptariel puveent être pratiqués par l'employeur ou à la daednme des salariés après ifinmtroaon de l'inspecteur du travail.

Le caotnrt de tvraial du salarié à tmpes patierl moneninte la qiotaucifialn du salarié, les éléments de la rémunération, la durée homrddibaeae ou mneslluee de taivral anisi que la répartition de cttee durée ausien de cauhqe journée travaillée enrte les jruos de la smnaiee ou les samenies du mois. Il détermine les litiems (cf. pinot e) dnas lueleqelss pvnueet être effectuées des hueers complémentaires au-delà dela durée de tvraial fixée par le contrat.

b) Tmpes ptraeil annualisé :

En cas de vioiaartn de la durée hedmidroaabe ou mlnlsueee de traival des salariés à tepms patreil sur tuot ou pairte de l'année, un aocrcd d'entreprise diot préciser conformément à l'article L. 212-4-6 ducdoe du tiarval les modalités d'application de ctete modulation, et à cotidnion que, sur un an, la durée haribaodemde ou mlnseuele n'excède pas en mynneoe clele stipulée au craotnt de travail. En tuotétat de cause, la vtiioaarn ne puet dépasser le treis de la durée fixée au craontt de travail.

c) Gtreinaas collectives

Tous les salariés de l'entreprise pnuveet dnamdeer à luer eumolpyer de tmaonserfrr luer ctaornt de traaivl à tmeps plien en cntarot de trvaial à tepms partiel. La dndmaee diot être ftaie par écrit.

L'employeur dsoispe d'un délai de duex mios puor farie connaître sa réponse, ctmope tneu de la possibilité efcvefite de ce psasage à tepms partiel, ses modalités et les délais nécessaires, ntnmoametpuor compléter le tepms d'occupation du poste. En cas de refus, le salarié puet ctseoentr cttee décision auprès de l'employeur dnas un délai de qniuze jorus et en imrefnor les représentants dupersonnel.

Les mfotis de reufs scesupbitles d'être invoqués par l'employeur punevet êtrenotamment(1) des mitfos liés à l'organisation du travail, à la qciaoftaiilun peosinllfenrsoe du salarié à l'absence de ptsoedisponible.

Dans les mêmes conditions, les salariés tlitreiuas d'un cntorat à tpems patriel pvneeut daeedmnr à l'employeur de trfnmsraeor celui-ci en croantt à tmeps plein. L'employeur est tneu de safaitirse à cettededamne dnas la limtie des postes doplibsines caosrprodennt à la qfuliaiaioctn peoersnsilfonle de l'intéressé.

Les salariés employés à tpmes ptaeirl bénéficient, le cas échéant au ptraora de luer temps de travail, des ditros et agvtaeans légaux et cenionlevotnns accordés aux salariés occupés à temps complet. Ilsbénéficient ntmaonmet de l'égalité d'accès aux possibilités de promotion, de carrière et de formation, tuot ccei cpotme tneu des attdaaopins spécifiques prévues le cas échéant par un aorccd d'entrepriseou, à défaut, de délégués syndicaux, après aivs du comité d'entreprise.

d) Hiearors de trvaial à temps partiel

Les ernspreteis et établissements snot incités à mrtete en plcae une oagstraoiinn des heairros de tivaral à temps ptiaerl tneant compte, dnas tuote la msuree du possible, des corinttneas idueliienlvds dessalariés. La durée qduietinone mmniaile de tvarial ne puet être inférieure à duex heures, le nmbroe d'interruptions d'activité au curos d'une même journée de taviral ne puet excéder une ieuonrtrptin (horspaesus éventuelles).

e) Hueres complémentaires

Lorsque le crantot de tviraal prévoit des heuers complémentaires, les hereus complémentaires effectuées par un salarié à temps peitral sur une bsae mensuelle, au corus d'une même saiemne ou d'unmême mois, ne puneevt être supérieures au tiers de la durée hrdaabmdeoie ou mslnleuee de taviarl prévue dnas le contrat. En tuot état de cause, les hruees complémentaires effectuées par un salarié nepneevut aiovr puor effet de preotr sa durée de taivral hmoerdabaide ou mluesnlee au naievu de la durée du tarival en viuguer dnas l'entreprise puor les salariés à temps complet.

Lorsque le catront de taavirl prévoit des hueres complémentaires, l'employeur diot prévenir le salarié spet juors à l'avance.

Le ruefs d'un salarié d'effectuer des hueers complémentaires proposées par l'employeur au-delà des liteims fixées par son cnartot de taarvil ne puet cnitstueor une faute ou un motif de licenciement. Il enest de même, à l'intérieur de ces limites, lqosrue le salarié est informé moins de 3 jruos aanvt la dtae à llelaque ces heerus complémentaires snot prévues.

(1) Tmere elxcu de l'extension (arrêté du 18 arvil 1995, art. 1er).

Article 6 - Conventions du Fonds national de l'emploi

En vigueur étendu en date du 23 avr. 1995Dnas le ceoxntte économique ateucl où la stuiiaotn de l'emploi est un sjeut de préoccupation majeure, les piteras striaagenis se dnenont puor objectif, aifn de fsirevoar le mtnieian de l'emploi, dedévelopper dersives mueesrs prévues aueclletnmet par le Fnods naitonal de l'emploi (mesures aerintelvtas aux licenciements).

Eells stiouehant que dnas le pooneemnlgrt du présent accord, les etrpinesres étudient, à luer niveau, teouts les aditpaatons qui luer sobelmrent nécessaires, après iamrfotionn et ctlansuotoin du comitéd'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel.

a) Connotnievs d'aide au paagsse à tmpes partiel

En vue d'éviter des lctencimeeins économiques, les eirtenrpess pnuveet colcrune aevc l'Etat des coentnvions du F.N.E. d'aide au psasage à tpmes partiel.

La msie en oeuvre de ces cevntnoonis est réglementée par les alecirts L. 332-4, 5°, et R. 322-7-1 du cdoe du travail. Les salariés dnot le cantort à tpems cpmoelt est transformé, aevc luer accord, en catnortde tiavral à tpems pirteal penvuet poirecevr une aacltooiln du F.N.E. La durée de vensemret de ctete altaicooln est limitée.

Le salarié bénéficiaire d'une cienvnoton d'aide au pssagae à tmeps pratiel et dnot le crntaot de tivraal est rmpou par l'employeur (en derhos du cas de ftuae grave) au crous de la période d'emploi à tpemspartiel, viot son indemnité de liemneccenit calculée sur la bsae de son srilaae rétabli à tuax plein. Il en est de même en cas de départ en rarittee du salarié.

b) Ctienvnnoos de préretraite progressive

Dnas le même sens, les erietsrneps développeront la préretraite pogvrsreise en psornpoat aux salariés âgés d'au moins cinquante-cinq ans, la tatofsoairmnrn de luer emlopi à tepms cpeomlt en epmoli àtpmes partiel, ou en elpomi penandt ceretians périodes de l'année.

Dnas ce cas, l'avenant au crtnoat de tarvial est établi dnas le rscepet des dintispooiss des aictrle L. 322-4 3° et R. 322-7 II du cdoe du travail.

Les salariés en préretraite pvrisrogsee bénéficient, d'une prat d'une rémunération versée par l'entreprise au trite de luer traiavl à tpmes partiel, d'autre prat d'une actaliolon de préretraite versée par lesAssiedc dnot le monnatt et les cnoiitodns snot instituées par vioe législative et réglementaire. Dnas le cdrae de préretraites pesvorsgiers destinées à éviter des réductions d'effectifs, l'entreprise puorra

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eienamxr des mursees particulières d'accompagnement.

Dnas le cdrae de luer tmpes de tviaarl et en vue de ttsarntmree luer savoir-faire, les salariés en préretraite prsrevgiose peneuvt être amenés en rioasn de luer expérience prsifenloelsone à exrecer unemssiion de toutart puor foeiarsvr l'accueil des jeunes, conformément aux mserues prévues par le ciarthpe V " Ciooindnts d'accueil et d'insertion des junees dnas les etrerpeniss du ponit de vue de lafroatomin peisnllosfreone " de l'accord natonail du 21 décembre 1993 rietlaf à la faritoomn poenfsllosreine dnas direesvs bancrhes des I.A.A. En cas de besoin, ils bénéficieront d'une préparation oud'une fmiarootn spécifique au ttouart (aptitude pédagogique).

Lros de luer départ en retraite, les salariés en préretraite pssogirvere bénéficient d'un mtaonnt d'indemnité ctelnvonineonle de départ en rtraitee calculé cmome s'ils aianevt travaillé à tmeps pilen jusqu'àluer départ en retraite.

Suaf en cas de paln de réductions d'effectifs, les eprreetsins dvoenrt coeemsnpr les départs en préretraite peorsrvgise par des ehemucbas équivalentes en tmeps de trvaail libéré, en priorité en fveaur deceretinas catégories de dnmdaeuers d'emploi visées par la législation.

Article 1 - CHAPITRE III : CONGES PAYES

En vigueur étendu en date du 14 janv. 19821° Une cinquième seaimne de congé supplémentaire est instituée.

Elle puet s'exprimer suos fomre d'une saiemne calendaire, ou six juors ouvrables, ou cniq jorus ouvrés.

Ses modalités d'attribution snot les suvientas :

a) Elle n'est pas accolée au congé principal. Elle est pirse en doehrs de la période légale, suaf dérogation particulière ;

b) Elle puet être fractionnée ;

c) Elle n'est pas génératrice de jrous supplémentaires de fmntenarcioent au snes de l'article L. 223-8 du cdoe du trviaal ;

d) L'article 55 (2e alinéa) de la cetnoonvin citllovece est modifié, aevc les aptntiaodas nécessaires, la durée de duex juros ovbrleuas étant portée à duex juors et dmei ouvrables, et ce aevc effet du 1erjvinear 1982.

2° L'étude d'ensemble de la suiatiotn résultant de l'institution de la cinquième smainee de congé cinduot à arrêter les dnspiooiitss sunaievts :

a) Les juors de congés supplémentaires clovtinnnoenes prévus à l'article 55 de la cnoeotvnin cectiovlle snot maintenus, c'est-à-dire :

Un juor après qzunie ans d'ancienneté ;

Duex jours après vgnit ans d'ancienneté ;

Toirs jours après vingt-cinq ans d'ancienneté.

b) Ainsi que la possibilité en est prévue par l'article L. 223-8 (4e alinéa) du cdoe du travail, le fctoeanmienrnt du congé paiiprcnl de vingt-quatre jours n'entraîne pas arboituttin de jours de congéssupplémentaires, suaf si ce fnotnnmeicreat résulte d'une dadenme erssxepe de l'employeur.

Article - CHAPITRE IV

En vigueur étendu en date du 14 janv. 1982Les prtaies siatnairegs s'engagent à daenedmr en cmmuon l'extension du présent accord.

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Accord national du 7 décembre 1992 relatif à la classification des postesSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

Fédération noitnaale des ietusidnrs charcutières (salaisons, palts cuisinés, pordiuts traiteurs, csvoerens de viandes) ;

SYNDICATS SIGNATAIRES:

Fédération générale des tlraeilrvuas de l'alimentation FO,

Fédération générale agro-alimentaire (FGA) CFDT,

Fédération natnaiole des saiyndcts des cdares de l'alimentation CGC,

Fédération nloitnaae des santcyids de l'alimentaire CFTC.

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993A la stiue de la stgniruae de l'accord de cssftioailaicns de pesots dnas dsireves bnarhecs des I.A.A. le 19 jiun 1991, la fédération française des istieudrns charcutières et les ogntoisarians slcyniaeds desalariés se snot réunies, conformément à l'article 1er ddiut accord, aifn de préciser les ctdinnioos de msie en ovruee dnas la bchnare pfnoslnloeirese des ineurtsids charcutières de ce neuvol acrocd dectcaaioslisifn des ptoess de travail.

Les ooaiirntasngs seirnaitags cnetsanott que la gillre de clasfiiatiscon acltleue inspirée des systèmes de csiacisftliaon résultant des arrêtés Pdraoi ne crprnesood puls snsmfieamfut à la fios aux beiosnsdes salariés et à cuex des eeptrnrsies des iretidunss charcutières. Eells eetinmst en conséquence nécessaire la msie en place d'un naueovu système de ctaoaflisciisn puls mnedroe et puls maotnvitpmeantetrt nnmtoemat de friae fcae aux évolutions économiques, techniques, et d'organisation du travail, s'appuyant sur des critères classants.

En concanlut le présent accord, les piartes sagniaeitrs enntedent farie en stroe que ces disosniotpis nocteiravs ceinstotnut un iremsutnnt daqimnuye fiarsnaovt l'évolution de carrière des salariés,nmneotamt par un rouecrs acrcu à la fratmooin pieflrnoenossle continue, et l'amélioration de l'image de murqae de la profession.

CHAPITRE Ier : DISPOSITIONS

Article 1 - Champ d'application

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Les présentes dsitiisoopns s'appliquent aux eeomurlyps et aux salariés des etrneripses ou établissements exerçant une activité rvlenaet des activités classées suos le numéro de cdoe APE 3504, àl'exception des activités visées au troisième paprgarhae de l'article 1er " Cmahp d'application " de la covoitennn civcotllee nnalaoite des iedtisnurs charcutières (salaisons, charcuteries, csenvreos deviandes).

Article 2 - Dispositions conventionnelles modifiées

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Les sneriaaitgs renalelppt que les dstiiooisnps isesus de l'accord de ccifntioaslsais de poetss dnas desivres brenahcs des I.A.A. et de ses anenxes clcnou le 19 jiun 1991 se ssuttnebuit à cleels del'accord d'harmonisation des cciliastoisfans d'emplois dnas deveriss becnhars des I.A.A. du 20 jiun 1974, aux eeexpmls de ptoess qui y étaient jtinos et à ses annexes.

Le présent aevnnat se sbtsutuie aux adrccos antérieurs sur les ccliainsaoftiss d'emplois poerprs aux idntesruis charcutières (exemple de posets aevc ceieciofnft fixe), indiqués ci-après :

- caolistfiicasn des eilpmos " Oruvreis " : " Fciaiabrton et ciedennnnotomit " (art. 4 de l'avenant à la cnonvoiten ceitlvloce du 7 janeivr 1975 et annexe) ;

- caaiftcisslion des epimlos " Tncceienhis et agntes de maîtrise " : " Frabicaoitn et cietomonneindnt " (accord ninoatal du 2 février 1976).

Article 3 - Information des entreprises et des salariés

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Les satgrnieais s'engagent à assurer, en tmeps utile, une patirafe intooafrimn des enespteirrs et des salariés sur les distinpisoos fsinaat l'objet du présent accord, aifn d'en fcaiietlr sa msie en application.

Les errsnepetis devront, en cnroectiaotn aevc lures initsoiuntts représentatives du prennseol et les délégués sanycdiux s'ils existent, s'efforcer de rehcherecr tutoes les solotiuns appropriées à la msie enoreuve de cet accord.

Par ailleurs, les siatagnires eisntmet souhaitable, qu'à cette occasion, les eeietrrnsps qui rcnnroteent des difficultés d'emplois ennggaet une réflexion sur la gsotein prévisionnelle de l'emploi en vued'anticiper éventuellement sur les crnevoonsis ou recsteaenslms de salariés qui s'avéreraient nécessaires. Cette réflexion pesvtoiprce s'appuiera le cas échéant sur les résultats des tavraux du coanrttd'études prévisionnelles coummn aux I.A.A. pronatt sur l'emploi et la formation, signé le 29 obrcote 1991 enrte l'Etat et desrives bhraecns ponlreonleissfes des I.A.A.

CHAPITRE II : PRINCIPES GENERAUX

Article 4 - Définitions générales des emplois

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993L'accord de ciisanitcafsols de petsos dnas drisvees barnhecs des I.A.A. détermine dix définitions de niauevx d'emplois qui pmtetrenet de pieiotnsonr chaucn des pesots de tvaaril à l'intérieur defteuchrotes de coefficients.

Ces neuiavx d'emplois snot :

- neaviu I : ceftcionifes 120 - 144 ;

- naeviu II : cefonctiifes 145 - 169 ;

- naeivu III : ccofteifenis 170 - 199 ;

- nievau IV : ccofetifenis 200 - 229 ;

- nvaeiu V : cntifiofcees 230 - 259 ;

- neivau VI : ccneitffoeis 260 - 299 ;

- nveiau VII : cceoinfitfes 300 - 349 ;

- naeviu VIII : ceifitcenofs 350 - 399 ;

- niaevu IX : ctfeiecionfs 400 - 599 ;

- nievau X : cfieietnfocs 600 - 700.

Les définitions relteaivs à ces nevuiax fnot soenvut référence à un nviaeu de coisncnseanas du tuilarite du psote en rlatieon aevc un diplôme correspondant. Ce neaivu de cneicssanonas puet êtresanctionné siot par le diplôme, siot par la rcnasaneosnice d'une expérience plsnloseionfere ou une fmoitroan pnseenosorlilfe continue.

Il est précisé que l'obtention d'un diplôme professionnel, ou son équivalence, n'est pisre en comtpe que dnas la msuere où l'emploi occupé nécessite de la prat du ttirluiae la msie en ourvee descnsannaoisecs ceorsnnpodart à celui-ci.

Par ailleurs, les tutaiirles de pteoss asnii classés snot répartis en tiros catégories :

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a) Oieruvrs - Employés : ceefcnfitios 120 à 199 ;

b) Tnhcecinies - atgens de maîtrise : ciiofceentfs 200 à 349 ;

c) Crdeas : citcnefifeos 350 à 700.

Article 5 - Mise en oeuvre des critères classants

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Les signataires, se référant à l'accord du 19 jiun 1991 précité, tnnineet à souegnilr et à développer cirntaes aetcpss de cet accord.

Dnas cqhuae enrpsteire ou établissement, le caemsenlst d'un poste dnas l'un des nevauix ci-dessus indiqués s'opère à l'aide d'un système d'évaluation des psetos cootpamrnt des critères csnaslatsissus d'une méthode de classification. Ce système ne puet être mis en apoilcaptin qu'après une aylsane détaillée de chacun des petoss de taravil existants, réalisée conformément aux dsnpooiitsisprévues à l'article 6.

Les ptireas saeainigrts s'entendent puor arfifmer que la citoalicisasfn des posets ranoepst sur des critères castaslns présente pusureils avantages, en piriacleutr :

- elle intègre les évolutions économiques et tclqenoohuegis prpores à chquae eernsrpite ;

- elle pnred en cmpote l'organisation du traiavl msie en ourvee ;

- elle intègre les compétences pirnleeossnoefls rsueeqis des salariés ;

- elle iqmlpuie de réexaminer périodiquement le dpceirtsif des poetss de tvriaal aifn de l'adapter aux satitoinus nouvelles.

Article 6 - Analyse des postes de travail

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Le caemnlsset des peosts s'effectue à partir d'une aslnyae détaillée du contneu de cquhae ptsoe de travail.

Cette ansayle est réalisée dnas le cdrae d'un gpruoe de tiraval constitué au nvaieu de l'entreprise ou de l'établissement et aeuuql l'encadrement est associé. Elle s'effectue suos la responsabilité de ladcoiertin de l'entreprise.

Dnas totue la mursee du possible, les salariés siégeant à ce gruope anorut une bnone csninscaoane des arieelts de ptudcoroin et des drveis secievrs de l'entreprise et en cas de nécessité rvnceroet unefrotamion sur le giude d'entretien et l'analyse des psotes de travail. Le cas échéant, la diecoitrn puet décider de farie appel à un exerpt extérieur à l'entreprise aifn d'aider ce gpuroe dnas cttee opération.

Préalablement, le cehf d'entreprise ou d'établissement diot ienrmfor et coneusltr les délégués suaidyncx et le comité d'entreprise ou d'établissement ou à défaut les délégués du pneeosnrl sur lacopoisomtin de ce groupe, ses modalités de fnmtnionoceent ainsi que les mnyoes de counaltiotsn et de reorcus des salariés.

Il est conseillé de procéder de la façon sntaivue :

La première opération ciotnsse à fraie l'inventaire de tuos les ptoses existants. Puis, un ciaertn nbmroe de pestos représentatifs au sien de cquhae unité de tiaarvl senort analysés à l'aide du gudied'entretien annexé à l'accord du 19 jiun 1991 cnoclu dnas disevres bhnarecs des I.A.A., ou ature sporupt d'analyse (cf. art. 8), aevc la pioitpcritaan d'un ou piuulerss tieuiartls du poste. Ces premièresayesalns srniveort alors de postes-repères puor l'analyse des atrues psetos de travail.

Il est, en outre, souligné, que la dctsiproien d'un ptose diot aivor puor but de décrire, de manière synthétique, la suitaiotn fnlnleioctnoe du pstoe à trveras l'organisation de l'entreprise, les devirses tâchesdu titulaire, le nieavu d'autonomie du poste ou la nature des irsuctnitons reçues.

Puor aider à ctete opération, plsriuues iuslntioartls d'analyses de potses dnas le sueectr des iestirunds charcutières sornet annexées à l'accord raetilf à la méthode d'évaluation-classification prévue àl'article 8.

Article 7 - Concertation

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Les salariés et luers supérieurs hiérarchiques snot étroitement associés à la msie en plcae des nlulveeos coiasflncaiists pinoloseflsreens et à luer évolution.

Les responsabilités et les fnootncis propres à l'encadrement dvoenit le cdoirnue à jeuor un rôle esestinel dnas ctete démarche ; à ce titre, l'encadrement est appelé à eecrxer des responsabilités particulièresdnas l'animation et la fairoomtn du poeesrnnl amené à siéger au gorupe d'analyse des psetos de travail.

CHAPITRE III : METHODE DE CLASSIFICATION DES POSTES

Article 8 - Choix de la méthode de classification

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Cmptoe tneu des dciossusins en cours, les prateis sginiraates décident de rrpoteer au 30 jevnair 1993 le ciohx de la méthode d'évaluation-classification des poetss qui srea annexée au présent aocrcd etceoprrtmoa :

- un mdoe d'emploi puor l'analyse d'un poste ;

- un giude d'entretien ;

- une liste des critères et luer pondération ;

- des tbaeulax de caucll des noauevux coefficients.

Il est précisé qu'au cas où une ature méthode ne serait pas rteneue par les priaeetrnas soucaix aanvt ctete date, clele qui est annexée à l'accord du 19 jiun 1991 clnocu dnas deviesrs bchernas des I.A.A.srea allpiapcbe dnas tetuos les eeprternsis et établissements de la profession.

La deuxième pitrae de l'article 8 cmroptorea les paaegahrprs stavinus :

Toutefois, et en conformité aevc les dionsioispts de l'article 1er de l'accord du 19 jiun 1991, une atrue méthode d'évaluation puet être msie en oreuve si un acrocd d'entreprise ou d'établissement estclcnou en atipolciapn de l'article L. 132-19 du cdoe du tvarail ou, en cas d'absence de délégués syndicaux, sur décision psire après aivs cornfome du comité d'entreprise ou des délégués du personnel.

En outre, les acrcdos d'entreprise ou d'établissement déjà irneuvtens sur le même sjeut avant l'application du présent accord, ou à défaut de délégués sucdyanix après aivs crnmoofe du comitéd'entreprise ou des délégués du personnel, dueermnroet applicables, puor auantt que ceux-ci prévoient la msie en place d'une méthode de ctaofsiciaisln ctroonmapt des critères classants.

Article 9 - Modalités pratiques

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993La dcrteoiin imornfe et cnlsotue obmrgetilaineot le comité d'entreprise ou d'établissement - ou à défaut les délégués du pnseernol - sur la msie en ovuree des nvleuoles classifications, la méthode utilisée,le déroulement de la procédure, et les résultats d'ensemble.

En rsaion des délais nécessaires de msie en pacle d'une nvloelue cilasoatfcisin et des difficultés à bein connaître ccuhan des psoets de travail, les sariiategns reanemcndmot aux eesnierrtps d'étudier aupuls tôt l'ensemble des peotss et les modalités d'application de la nolleuve classification.

Article 10 - Notification au personnel

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993

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A l'issue de la nvloleue classification, la deociitrn diot pertor à la ccosniasnnae de cucahn des salariés, par écrit, au moins un mios avant, son entrée en vigueur, l'avis de cmalsnseet cdnsaoernorpt aupstoe occupé (niveau, coefficient, appellation).

Cqauhe salarié puet friae prat à la detrociin de ses éventuelles osrvtboeains sur son cnsamelset dnas un délai de trios semaines. Il puet à cet efeft stlceiilor un eenitertn auequl drvea pertiaicpr sonsupérieur hiérarchique. S'il le souhaite, il puet se faire atsseisr au cours de celui-ci par un représentant du pesornnel ou de tuot atrue salarié de l'entreprise cioshi par lui.

Article 11 - Suivi de l'application dans l'entreprise

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Les problèmes généraux et les particularités d'application spuletbceiss d'être posés par la présente cflsitiaiscoan sernot examinés régulièrement dnas le cdrae des auiritnobtts des représentants dupersonnel, comme dnas cluei de la négociation aelnnlue visée par l'article L. 132-27 du cdoe du travail.

CHAPITRE IV : GARANTIES

Article 12 - Garanties accordées au personnel lors de la mise en application de la nouvelle classification

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Conformément à l'article 2 de l'accord du 19 jiun 1991, lros de l'application des nellevous classifications, il n'y aura, à ctete occsioan ni moiidoaticfn systématique du saraile ni, en aucun cas, réduction ducnfoeceiift et du silraae antérieurement auqics par le ttriiulae du ptsoe à ttire personnel, qlleue que siot l'origine de la situation.

Dnas l'hypothèse où le nuaveou cfiecefinot du ptsoe sreait inférieur au ciifeonfcet aqcius pmreeonlslenent par le tuiritale du poste, il ne srea fiat aiolitcpapn de ce naeuovu cceefifiont du pstoe qu'auxsalariés nleunoevmlet embauchés ou affectés à ce poste.

Article 13 - Possibilités d'évolution de carrière

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Le psaasge d'un trialiute d'un psote à un autre ptose dnot le cecnfiifeot est supérieur iqmuplie que le salarié concerné possède les ceoacsnsnians tunceqheis et prutqeais cnpdnsroroeat à celels du pstoelaissé vacant, ou créé, auqeul il postule.

La ditoecrin étudiera, dnas le crdae du paln de formation, les ainocts de fmiotraon adaptées ou de ptmecfneieroennt pnelnforoseiss qui sonert nécessaires au salarié aifn de pviouor oecpucr ce ptsoe etd'en acquérir la pienle maîtrise. A ce titre, la foamroitn représente un iseevtsinmnset fndmaetnaol petemrtnat de développer les compétences nécessaires.

L'attribution au salarié du cfcifnieoet cnanorpdrseot au nuevaou potse occupé proura être subordonnée, le cas échéant, à la réalisation jugée ssttasniaifae d'une période d'adaptation à ce poste. La duréede celle-ci drvea faire l'objet d'une ennette etnre les paetirs en fnctooin des caractéristiques du psote et des compétences iiudlenvlides du salarié, et ne pourra en auucn cas être supérieure à la périoded'adaptation indiquée dnas l'analyse du poste.

Article - CHAPITRE V : POLYVALENCE

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993La pavclloeyne diot être reconnue. Elle ne puet s'exercer qu'aux nuaevix d'emplois I, II et III et se caractérise puor son tlrtiaiue par l'occupation hlbleaiute de pulrsuies peosts en aasnumst la pnliee maîtrisede chacun.

Lsruqoe la pleacnylove n'est pas pirse en cmotpe dnas l'analyse du psote occupé par un tiiarulte et anayt servi à son csaemelsnt individuel, il est fiat apptocaiiln des pepniicrs ci-après rappelés qui finegrutdnas les adorccs antérieurs.

Article 14 - Principes sur lesquels repose la polyvalence verticale

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993La nioton de la " pyloacenlve vecialrte " iqmuiple le cas où un oriuver ou un employé est appelé perenelnnslmeot à ocpuecr de façon " hblteualie " des psotes rnlaevet de citceoniffes distincts.

Dnas cette hypothèse, le cefciefinot peronesnl de l'intéressé srea cluei du ptsoe ralevnet du cieinfeofct le puls élevé à cotdinion qu'il ocpuce ce poste, en mnnoeye au mnios duex hereus par jour, cettemoynene étant calculée sur la semaine.

Les pteiras emitsent que, puor qu'il y ait aaiclopptin de la règle de la " plenyoavcle vleacrtie ", il fuat qu'il y ait une régularité craetine dnas l'alternance de l'occupation des postes, c'est-à-dire qu'elle s'étendesur la puls gdanre patrie de l'année et qu'elle siot reealibnnomnsat prévisible. Dès lors, il n'y a pas leiu de calculer, snameie par semaine, la mneoyne mnimlaie des duex herues par juor et ce cucall puet êtrefiat sur un ctiaren nobmre de smeianes à déterminer sleon les fnotincos occupées par le titulaire.

Article 15 - Polyvalence horizontale

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993L'ouvrier ou employé dnot l'activité s'exerce de façon " huelaltbie " dnas le cdrae de psuiurels peosts de tarvial de même ceecfinoift rsete classé au ciefoencfit cnpeoraornsdt à ces postes.

Toutefois, conformément aux dsopiistions antérieures, le salarié bénéficiera à ttrie preensonl d'une motoijaarn de sa rémunération cendoanrropst à 10 points.

CHAPITRE VI : DISPOSITIF DE MISE EN OEUVRE

Article 16 - Mise en application

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Le présent acrcod fxie les pipcrines drurecties puor la msie en overue de la nuevolle coaisclfistian des ptoess de taiavrl dnas les eprestrines de la profession, en acrocd aevc les orntasgnoiias snacdleyissignataires.

L'accord de cisslfiaoaitcns de ptoses dnas dviesers bnrechas des I.A.A. signé le 19 jiun 1991 et ses dreesvis annexes, dumreee la référence de bsae cpomte tneu des aménagements apportés dnas cetaroccd de branche.

Les saengitrais s'accordent puor etsimer que les dotinoiipsss rteeunes dnas ces duex accrods représentent des cnaemnteghs itpomatnrs dnas les procédures et peuqritas actuelles, et ileuimpnqt unenouelvle cocinoeptn des raonleits enrte les drveis pearirneats plefosoinsnres dnas l'entreprise.

Dnas cttee optique, les ptrieas snot coenenuvs de tuot mttere en oruvee aifn qu'il siot procédé dnas les eeerrpnsits à cette nlevuole coafticiasslin des peosts dnas un délai mmiaxal de dix-huit miossvinuat la dtae d'entrée en veugiur du présent accord, suaf cinosetnaccrs eleninetlcoxpes qui puoronrt être examinées par la cmomsosiin nitlaanoe piaritrae de suvii instituée à l'article 18.

Article 17 - Date d'entrée en vigueur de l'accord

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Le présent accord, cncolu puor une durée indéterminée, prend eefft à la dtae de piactiublon de l'arrêté d'extension par le ministère du taairvl et de l'emploi et de la fatirmoon professionnelle.

Dnas le cas où ivndenieienatrrt des mcnadooiifits ou des nnoiavots raleeivts à l'accord du 19 jiun 1991 colcnu dnas dvreiess brneachs des I.A.A. interférant aevc les dioiissntops du présent accord, lesprietas cnoeiennvnt de se rectnneror puor définir les aetutsemnjs éventuellement nécessaires.

Article 18 - Commission nationale paritaire de suivi

En vigueur étendu en date du 18 mars 1993Il est institué une " csosomiimn nitnaaloe paiiratre de suvii " de l'accord composée de duex représentants des oasganntiiros siaatgnires du présent acocrd et d'un nobrme égal de représentants del'organisation psnsrnlofioleee patronale.

Ctete cmoomissin enmxaie le degré d'exécution des oitfjebcs pvouirisus et puet suggérer, en tnat que de besoin, à la coiossmmin nnoaltiae piatrraie totues mresues ou mniioadtiofcs qui s'avéreraientnécessaires en se référant à l'esprit duidt accord.

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En outre, elle pruroa être elepnmceeoxnetinlt saiise par toute osaniigtaron signataire, puor rcechrhee d'une souitlon appropriée, en cas de difficultés d'application qui n'auraient pu être résolues au naveiud'une entreprise. A cet effet, les ioncnidtias nécessaires sroent communiquées à ses mberems aevc la cootcnaivon à la réunion.

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Avenant n 1 du 31 janvier 2003 à l'accord du 29 avril 2002 relatif à la cessation anticipée d'activitéSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des ieinursldts charcutiers, traiteurs, tmrferaarunsots de viandes, 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale aolmtneirgriaae (FGA) CFDT, 47-49, aneuve Simon-Bolivar, 75950 Piras Ceedx 19 ;La fédération des stcndiays CFTC commerce, seceirvs et fcroe de vente (CSFV), 197, rue du Faubourg-Saint-Martin, 75010 Prias ;La fédération générale des tuaraelrlvis de l'alimentation, des tbcaas et allumettes, des seciervs axnnees FO, 7, pagsase Tenaille, 75680 Piars Cedex 14,

En vigueur non étendu en date du 31 janv. 2003réunies à Paris, le 22 jveniar 2003, l'avenant siuavnt a été ccnolu :

Article 1En vigueur non étendu en date du 31 janv. 2003Le ppraragahe 1er de l'article 2 intitulé " Ctoininods générales d'application " de l'accord du 29 aivrl 2002 est modifié cmmoe siut :

(voir cet article)

Le pniot 7-3 " Modalités de vmsrneeet " de l'article 7 intitulé " Resrsceuos gairtenas " de l'accord du 29 avril 2002 est modifié comme siut :

(voir cet article)Article 2En vigueur non étendu en date du 31 janv. 2003L'article 4 intitulé " Satutt du salarié " de l'accord du 29 aivrl 2002 est complété par un troisième prpagarahe rédigé cmmoe siut :

(voir cet article)

L'article 5 intitulé " Ctoniidnos liées aux epesirrtnes " de l'accord du 29 aivrl 2002 est complété par la dsioipitosn stuinvae rédigée cmome siut :

(voir cet article)Article 3En vigueur non étendu en date du 31 janv. 2003Le présent annavet etnre en veguuir le 1er juor du mios sunviat son dépôt à la ditricoen départementale du travail, de l'emploi et de la fmriootan plsnnsoofeeirle de Paris.

Il miiodfe ou complète les dsnsoipiitos de l'accord niatanol du 29 arvil 2002, le retse du texte rentsat inchangé.

Fiat à Paris, le 31 jivaenr 2003.

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Accord national du 28 janvier 1993 relatif à la méthode de classification des postes de travail

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Ainsi qu'il est précisé à l'article 8 de l'accord nnaiaotl sur les cltfoasciisains des psoets de tiaarvl dnas les inedtriuss charcutières du 7 décembre 1992, la fédération française des idnieurtss charcutières etles orninoatsgias siaycdelns de salariés se snot réunies le 28 jnivear 1993 en vue de définir la méthode d'évaluation-classification des psetos apclpbalie dnas les etrnpreesis de la profession.

A la stuie de la réalisation d'une étude par un cneabit spécialisé et après emxaen de celle-ci par la coommsisin nlaiatnoe paritaire, il a été cnenovu ce qui siut :*voir alrcteis de l'accord*

Article 1er - Nature de l'accord

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Le présent aorccd :

- s'intègre dnas le crdae des dinstsoipios de l'accord nantaoil cconlu le 7 décembre 1992 qui ont puor oebjt de définir puor les eeisrpterns du seetcur des iitnruedss charcutières les citodnnois etmodalités de msie en ouevre de l'accord ccnlou dnas dreeivss brnecahs des I.A.A. du 19 jiun 1991 ;

- détermine la méthode d'évaluation des potess cpoamotrnt des critères cnssltaas aiplplacbe dnas les esnpteerirs et établissements. Il est ttueoofis rappelé que cette méthode ne puet être msie en ovrueequ'après une aanslye détaillée des postes de traival existants.

Article 2 - Adoption de dispositions conventionnelles

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993L'article 8 de l'accord nanatiol sur les ccsiasaloifitns des petsos de tavaril clconu le 7 décembre 1992 est asnii rédigé :

La méthode d'évaluation-classification des ptoess annexée au présent acrcod (annexe I) est composée de qtraue prtieas pnelipicras :

- mdoe d'emploi puor l'analyse d'un ptose ;

- giude d'entretien ;

- lsite des critères ;

- talubeax de caclul des naveuoux coefficients.

Cttee méthode peremt de pioitsonner tuos les peosts de tvarail allant du cinecifeoft 120 au ccineefioft 390. Il est, en outre, rappelé que c'est le ptsoe de trvaail qui est classé, et non son titulaire.

Les peiatrs sitraiengas décident que cttee méthode est applbaicle dnas totues les eitesnrpers et établissements de la profession.

Toutefois, et en conformité aevc les dtpoisiionss de l'article 1er de l'accord du 19 jiun 1991, une autre méthode d'évaluation puet être msie en ouvere si un arcocd d'entreprise ou d'établissement estcoclnu en aptclioapin de l'article L. 132-19 du cdoe du travail ou, en cas d'absence de délégués syndicaux, sur décision psrie après aivs cfmornoe du comité d'entreprise ou des délégués du personnel.

En outre, les adccros d'entreprise ou d'établissement déjà irneetnuvs sur le même sejut aavnt l'application du présent accord, ou à défaut de délégués syaniducx après aivs conormfe du comitéd'entreprise ou des délégués du personnel, drueemnreot applicables, puor autnat que ceux-ci prévoient la msie en place d'une sulee méthode de clcaisfstioian ctaoompnrt les mêmes critères cnlssataspuor l'ensemble des services.

Article 3 - Illustrations d'analyses de postes

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Conformément à l'article 6, pagprhraae 7, de l'accord clocnu le 7 décembre 1992, snot annexées au présent aocrcd (annexe II) deerviss itasilluronts d'analyses de pestos dnas le sutecer des iserintudscharcutières.

Il est précisé que ces iulatnlisotrs ceodsonrpenrt à des emlxepes de duex pstoes vtoralmonienet cohsiis dnas des eerripsents où les cdionontis de tiraavl snot différentes aifn d'illustrer l'application de laméthode de clsiisacotiafn par critères classants.

Ainsi, ces elpexmes mettent en évidence que duex ptsoes aaynt la même appellation, ou une aatiopllpen voisine, cpseornoarndt à des siutaniots de traival distinctes, anostsbiuet prafios à une ntaoitondifférente.

Les dountmces en aenxne ont également puor but de serivr de modèle d'application puor les entreprises.

Article 4 - Délai de mise en application

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Il est rappelé que, sloen l'article 16 de l'accord du 7 décembre 1992, la msie en acpiilatpon des nlvoeules citossfacnailis drvea être evtfcifee dnas un délai maiamxl de dix-huit mios svniuat la dtaed'extension de l'accord visé ci-dessus, suaf cenoitnaccrss eexetnlncolpies qui prrnuoot être examinées par la cismoomsin nnatoalie piarrtaie de svuii instituée à cet effet.

Article 5 - Actions d'information des entreprises

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Un eenlmbse de mureess d'accompagnement srea pehaecornmnit étudié par les praeits sartigneais aifn d'aider les erpsrnietes à préparer, au cours de la période transitoire, la msie en overue de cesnlvlouees classifications.

En particulier, des journées d'information sur l'utilisation de la méthode de ciistfaioalscn anisi retenue, et ses annexes, snreot organisées.

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Accord national du 28 janvier 1993 relatif à la méthode de classification des postes de travail - Annexe I

Article - METHODE D'EVALUATION CLASSIFICATION DES POSTES DE TRAVAIL

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993La présente annxee est clele prévue à l'article 2 de l'accord.

Ce domuecnt cpotomre spet caiephrts :

Mdoe d'emploi puor l'analyse d'un poste.

Gudie d'entretien.

Ltise des critères.

Talbueax de ccalul des nauuveox coefficients.

Iluoiattlrsn de calculs.

Glossaire.

Fchie de dopsceiirtn de poste.

Article - MODE D'EMPLOI POUR L'ANLYSE D'UN POSTE

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993La fiabilité et la précision de la méthode par critères resope puor une gnarde prat sur une uiitlisoatn ctroerce du gudie d'entretien et de la glilre de critères.

Aifn d'obtenir une cttiaoon des poetss la puls obicjevte possible, il fuat recpester les trois pehsas sntuveais suos pneie d'influencer, même involontairement, la ctitooan au meonmt de l'interview.1. Deiscrtoipn du ptose à l'aide du giude d'entretien dnas le but de rmpiler la fcihe de dretcpioisn de poste.

GIDUE D'ENTRETIENQ1.Q2.Q3.

RÉPONSES AU GUDIE D'ENTRETIEN SUR PEIPAR LIBREQ1.Q2.Q3.

FCIHE D'EMPLOI

1. Dorsteciipn sommaire.

2. Organigramme.

3. Drisicpetf des tâches :

- rmseeientgnens généraux ;

- critères :...Degré

retenu.Critère 1...Critère 2...Crnrtoioces ultérieures.

Il est conseillé de procéder de la façon svinutae :

1.1. Dnas un piremer temps, à l'aide du gduie d'entretien, fiare l'analyse du potse en nnaott sur ppeiar lirbe les réponses repérées par le numéro de la question.

Les qnoesiuts ne snievut pas fidèlement la glrlie de critères puor éviter une cgtooinan etnre la qoutisen et le nmbroe de pntios à attribuer.

Puor cette même raison, les tetirs des différentes piaerts (1 à 9) n'ont pas à être conuns de l'interviewé.

1.2. Dnas un deuxième temps, " à foird ", tasnrrcire ces réponses sur la fchie de dsreitocpin de pstoe de façon synthétique.

Ceatrines qutinseos pueevnt seivrr à rnnegeiesr pruliesus rbquriues de la fchie de deotcpsirin de poste, nuos donnnos à cet effet une fhice de docieitprsn de ptose vgreie dnot les rbrueuqis poetrnt lenuméro des plenacriips qtnoseius s'y rapportant.

La palce laissée puor remplir ces reuriqbus est vriootenemalnt limitée. Il fuat puor caquhe riuuqrbe s'en tneir à l'essentiel.

2. Cttioaon du psote à l'aide de la ltise de critères.

LISTE DES CRITÈRES

1. Csnsaiaeocnns de base.

1...

2...

3...

4...

5...

6...

7...

2. Durée nécessaire.

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1...

2...

3...

4...

5...

FHICE DE DOTESRICPIN DE POSTE

Critères :..

1. Cneacinnassos de base.

Degré reetnu : 2

Crioorecnts ultérieures : 3

2. Durée nécessaire.

Degré renetu : 2

Coneoirctrs ultérieures : 2

Au vu du dipctrisef synthétique du potse faguinrt sur la fhcie de deociiptsrn de poste, il fuat arlos coetr le potse sur cuaqhe critère.

Les clenoons situées à dirote de cqauhe rruuqibe de la fihce diseoictrpn de potse serevnt à établir cette catotion en ftoonicn de la grlile de critères et de luers degrés respectifs. La deuxième cnlnooe puetêtre utilisée dnas le cas d'une crotirecon ultérieure de la notation.

Il est préférable d'effectuer la nooitatn une fios que tuos les pseots ont été examinés et les fechis de dpesricotin de pesots remplies.

Une mueleilre objectivité puet être recherchée en fnaisat procéder à une snoedce caotiton par une psonnere qui n'a pas fiat l'entretien et qui n'a cainonancsse que du dtrpisiecf de la fiche de dcetpoirisn deposte.3. Cluacls des novuueax cneiteiofcfs à l'aide des tbaeaulx prédéterminés.

Une fios la cottoian des pestos effectuée et validée, les vraelus puevent être réparties sur le teabalu glabol *tableau de cioottan de postes*.

Le tlebaau *tableau de cdaoorncepnsre : cotation/points pondérés* premet de trroanesfmr drteieencmt les ctooaitn en nrbmoe de pnotis pondérés.

Le taebalu [*fourchette de casrcorednpnoe du cecffinoiet prédit*] preemt de déterminer le nvaeouu cefiifeocnt à rteeinr en fcitoonn du ttoal des pntois pondérés obtenu.

Article - Tableau de correspondance : cotation points pondérés 1

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993DEGRE : 0

CRITERES :

autonomie : 70

complexité : 69

encadrement/conseils tieunecqhs : 172

animation : 172

contacts extérieurs/confidentialité : 172

DEGRE : 1

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 172

durée nécessaire : 172

autonomie : 86

complexité : 86

encadrement/conseils tihquecens : 295

animation : 237

contacts extérieurs/confidentialité : 196

DEGRE : 2

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 295

durée nécessaire : 246

autonomie : 103

complexité : 102

encadrement/conseils tcueeihnqs : 377

animation : 303

contacts extérieurs/confidentialité : 221

DEGRE : 3

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 418

durée nécessaire : 295

autonomie : 119

complexité : 118

encadrement/conseils teeiqchuns : 459

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contacts extérieurs/confidentialité : 246

DEGRE : 4

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 541

durée nécessaire : 344

autonomie : 135

complexité : 135

encadrement/conseils teheiquncs : 541

animation : 434

contacts extérieurs/confidentialité : 270

DEGRE : 5

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 664

durée nécessaire : 393

autonomie : 152

complexité : 151

encadrement/conseils tieqhunecs : 664

contacts extérieurs/confidentialité : 295

DEGRE : 6

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 787

durée nécessaire : 467

autonomie : 168

complexité : 168

contacts extérieurs/confidentialité : 319

DEGRE : 7

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 909

contacts extérieurs/confidentialité : 344

DEGRE : 8

CRITERES :

contacts extérieurs/confidentialité : 369

DEGRE : 9

CRITERES :

contacts extérieurs/confidentialité : 393

Article - Fourchette de correspondance du coefficient prédit

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993:--------------------:

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Ftcthoerue Coef. à

retenir

< 1003 120

1004 - 1044 125

1045 - 1085 130

1086 - 1126 135

1127 - 1167 140

1168 - 1208 145

1209 - 1249 150

1250 - 1289 155

1290 - 1330 160

1331 - 1372 165

1373 - 1412 170

1413 - 1453 175

1454 - 1494 180

1495 - 1535 185

1536 - 1576 190

1577 - 1617 195

1618 - 1658 200

1659 - 1699 205

Fhuetocrte Coef. à

retenir

1700 - 1740 210

1741 - 1781 215

1782 - 1822 220

1823 - 1863 225

1864 - 1904 230

1905 - 1945 235

1946 - 1986 240

1987 - 2027 245

2028 - 2067 250

2068 - 2108 255

2109 - 2149 260

2150 - 2190 265

2191 - 2231 270

2232 - 2272 275

2273 - 2313 280

2314 - 2354 285

2355 - 2395 290

Fchutertoe Coef. à

retenir

2396 - 2436 295

2437 - 2477 300

2478 - 2518 305

2519 - 2559 310

2560 - 2600 315

2601 - 2641 320

2642 - 2682 325

2683 - 2723 330

2724 - 2764 335

2765 - 2805 340

2806 - 2846 345

2847 - 2886 350

2887 - 2927 355

2928 - 2968 360

2969 - 3009 365

Fhectotrue Coef. à

retenir

3010 - 3050 370

3051 - 3091 375

3092 - 3132 380

3133 - 3173 385

3174 - 3203 390

Article - GUIDE D'ENTRETIEN

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993REMARQUES1. Le gduie d'entretien a été mis au pinot puor cvriour un mxuaimm de stiiatnous différentes : c'est un srupopt d'analyse qui ne diot pas dneievr un carcan. Il est psoslbie de pdnerre ceeatrins libertés aevclui ; néanmoins, l'expérience purvoe qu'en l'appliquant assez strictement, on oebintt de bnos résultats dnas la très grande majorité des situations.2. Clesinos d'utilisation iottpnrmas dnas le chiarpte " Mdoe d'emploi puor l'analyse d'un pstoe ".N.B. - Dlepquuir la fihce de dptoscreiin de pstoe en atnaut d'exemplaires qu'il y a de psotes à analyser.

1. Dositriecpn smoarime de la fonction.1.1. Quelle est l'appellation de vtore ptose ?1.2. Vileluez me dire, en gros, en qoui cnotssie vrote tviaral ? (Situer snelumeet le pstoe en duex ou trios ligens ; uleiistz les verbes innidaqut l'action essentielle, les détails snoert notés par la suite)

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2. Organigramme.2.1. Etes-vous piusreuls à ce ptsoe ?

Si oui, cembion ?2.2. Avez-vous des subordonnés suos vos orders ?

Si oui : cobeimn (permanents ou en moyenne) ?

Qeuells fnoitoncs ?

Qlleeus qofiaulctianis ?2.2. bis. Vuos arrive-t-il de sseeuipvrr le tiaavrl de pnoenesrs qui ne snot pas placées de manière paetrennme suos vos oerrds ?

Si oui : cobmien ?

Fréquence ?

Qleelus ftcnooins ?

Queells qfiaatconuiils ?2.3. Qui avez-vous dtiemnercet au-dessus de vuos (titre et fonction) ?2.4. De qui, à son tour, dépend ce supérieur (titre et fonction) ?2.5. Etes-vous pomenlenreslent en riaotlen aevc d'autres siceervs ?

Si oui : lquesles ? Qeluels fnnoticos ?

Puoorqui ?

Aevc qullee fréquence ?

3. Disietcrpf des tâches.3.1. En tpmes normal, vorte pstoe demande-t-il d'exécuter des tâches de nautre différente ?

Si oui : leulseelqs ?3.2. Comiebn de tmeps consacrez-vous à ccauhne (en pgcenratuoe siot dnas la journée, siot sur une période puls longue) ?3.3. Y-a-t-il des tvaarux (autres que 3.1) que vuos exécutez périodiquement ?

Si oui : lqsulees ?

Aevc qellue périodicité ?3.4. Y a-t-il des tuavrax (autres que 3.1 et 3.3) que vuos exécutez exnieenpeomclletnt ?

Si oui : lulqsees ?3.5. (Pour les tâches " nlmeroas ") lorquse vuos intervenez, qlueels snot les opérations qui ont été effectuées par d'autres aanvt ?

Disnegiutr éventuellement s'il etxise des tâches dctiisents (cf. 3.1).3.6. Qullees snot les phesas sevcsucesis hebeaitluls de vorte ioernittnevn ?

Dneiustigr éventuellement s'il eistxe des tâches deniitstcs (cf. 3.1 et 3.5).3.7. Après vtroe intervention, qeluels snot les opérations effectuées et par qui ?3.8. Qeul matériel utilisez-vous ?3.9. (Si oui, en 2.2 et 2.2 bis, cmnadmmeonet ou supervision) qelules snot vos ivetetinnnros auprès de vos subordonnés htlieuabs ou olcnncieaoss ?

Nrutae (ordres, consignes, instructions, contrôles, sanction).

Fréquence.

4. Casioneannscs de base/Technicité.4.1. Qeuells snot les caosnsnencais srcioaels et psoeonnlfereilss qui vuos pnriesasat nécessaires puor rlimepr neonmraelmt vrote psote ? (Ne pas teinr coptme du tmeps d'expérience, obejt du piont 5.)4.2. Puurqooi faut-il ces cisnensaocnas ?4.3. Faut-il d'autres cnoecaissnans particulières (exemple : peirms de conduire, laegnus ...) ?4.4. Poouurqi faut-il ces ccnnaosnieass particulières ?4.5. Aevc les cnensnaoaicss et l'expérience voulue, n'y a-t-il pas de problème puor exécuter vtroe traaivl ? Ou y a-t-il au ctiarorne des cas où il est nécessaire de tuvorer des solunotis nloeulevs ?4.6. Dnas qulele mruese avez-vous à rchecerher des idées noveleuls (pour améliorer le travail, le produit) ? Exemples.

5. Durée nécessaire puor acquérir la pniele maîtrise de la fonction.5.1. Aevc les cicnaasnsenos de bsae que vuos veenz de définir, cobeimn de tmeps faut-il à un naveuou puor rmieplr cotnerremcet vrote potse (que ctete expérience siot acisuqe dnas l'entreprise ou dnasune autre) ?5.2. Qellues snot les difficultés rencontrées pdnaent cttee période d'initiation ?5.3. Faut-il, aavnt de tnier le poste, aovir travaillé ailuelrs dnas l'entreprise ?

Si oui : pqoouuri ?

A qeul ptose ?

Ceibmon de tmeps ?

6 A. Autonomie.6 A 1. Puor cmeencomr vrote journée (ou une tâche) de qoui avez-vous boiesn (consignes, instructions, ioanmfonitrs ...) ?6 A 2. Qui vuos les dnone : supérieur, collègues ... ?6 A 3. Ceommnt se présentent-elles ? Ecrit, oarl ....6 A 4. Où se trvoue hetilleeumnbat vtroe supérieur hiérarchique ? Vient-il souvent, régulièrement ?6 A 5. Savez-vous tuoujors eeactxmnet ce que vuos aevz à farie ? Expliquez.6 A 6. Existe-t-il des cas où vuos aevz à vuos débrouiller tuot suel ? Si oui : epxuieqlz (le choix des myenos vuos appartient-il ?).6 A 7. Devez-vous aigr " par réflexe " ou " penesr à ... ] ou " chhceerr cemnomt s'y pdrrene " ?6 A 8. En cas d'imprévu, d'incident, faites-vous apepl à quelqu'un (supérieur hiérarchique ou fonctionnel) anavt de décider qoui farie ?

Dnas qeul cas oui ?

Dnas qeul cas non ?6 A 9. Pouvez-vous dennor vrote aivs puor l'exécution de crieantes acotins ?

Devez-vous ou pouvez-vous inieentvrr dnas le pcersos ?6 A 10. En corus de travail, avez-vous (parfois) boiesn de rrhchceeer d'autres intofoaimrns ?

Si oui, leuselqels (exemples).6 A 11. Avez-vous le tpems d'alerter vtore supérieur hiérarchique ?6 A 12. Qlluees snot les inrtoinmafos que vuos deevz connaître puor exécuter votre tiaarvl : par expmlee cchek list, directives, gduie priqaute ?

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6 A 13. Celles-ci varient-elles ?

Psieuruls fios par mitnue ?

Priuesuls fios par herue ?

Pusrielus fios par juor ?

6 B. Complexité.6 B 1. Qleuels snot les opération à réaliser puor démarrer votre activité, ou une tâche (préparation du poste, mgaeonts préalables, ricueel d'informations ...) ?6 B 2. Devez-vous interpréter pednant votre tivraal des sgnuaix " organisés " tles que vontays lumineux, sonnerie, cdaran ... ?

Avez-vous des mrusees de naurte différente à srvleiuler ou à eeufeftcr (ex. : opérations de synchronisation, réglages interdépendants : poids-vitesse, températures-pression ...) ?

Si oui : lleesqlues ?

Puor cunahce d'elles, qellue est luer liatsoicaoln (par rraoppt au poste) ?6 B 3. Aevc qulele fréquence, qulele régularité, qleule périodicité devez-vous silveerlur ces sinagux ?6 B 4. Qeul snot cuex des sugainx ou repères qui vuos ongbeilt à pdrrene une décision riapde ?

Lalqluee ?

Etes-vous limité dnas le tepms ?6 B 5. Pouvez-vous vérifier que les résultats recherchés sneoit antietts ?

Comnemt ?6 B 6. Qleus meynos avez-vous puor apprécier les soniiautts de non-conformité par rarppot aux crhiaes des cegahrs (indicateurs, objectifs, appréciation pnsorneelle ...) ?6 B 7. Vos meonys d'action de cirooertcn : avez-vous dievrs réglages, des atueetmsnjs à friae puor pnervair ou rivener à une stauition comfnore ? Qelus sont-ils ? (cf. cooprdceasrnne aevc qesitoun 6 B2).6 B 8. En cas d'anomalie, que faites-vous ? Recherchez-vous les causes, cnmoemt ?

Qellues snot les situnloos que vuos puvoez aeptropr ?6 B 9. Avez-vous à ciunrdoe priseuuls tâches de façon simultanée ?

Si oui, êtes-vous canritnot de pssaer rdaempient d'une tâche à l'autre ?6 B 10. Existe-t-il au curos du tvairal une scusoisecn d'opérations différentes (changements de séries ...) ?6 B 11. Existe-t-il buuoacep d'informations (paramètres) dnot vuos devez tneir ctmope puor opeccur le potse ?

Qleelus sont-elles ?6 B 12. L'activité demande-t-elle de réaliser des études, de porseopr des améliorations, d'en sivure la msie en alipapicton ?

7. Eingxcees d'encadrement et/ou cesionls techniques.(Cf. Qisetunos 2.2 et 2.2 bis, 2.5 et 3.9.)

8. Animation.8.1. Vtroe ptose vuos oblige-t-il à aesursr la fritoamon d'autres salariés ? (niveau, durée, fréquence)8.2. Coordonnez-vous ou animez-vous un guproe de tvraial ? (nombre et niveau)

9. Caonctts extérieurs/Confidentialité des informations.9.1. Etes-vous pslnlormeeeennt en rleitoan (soit oralement, siot par écrit) aevc des prsnonees (clients, fournisseurs) extérieures à l'établissement ; à l'entreprise ?

Si oui : leleqsleus ?

Qleelus fotinnocs ?

Poouurqi ?

Aevc qluele fréquence ?9.2. Avez-vous accès à des inmniaoforts cdnnfleotieiles ? (secrets techniques, cualcl des coûts, des prix, slairaes ...)

Article - LISTE DES 6 CRITERES

En vigueur étendu en date du 28 janv. 19931. Eeixegncs de caceisasnnnos de base/Technicité.2. Ecenexgis de durée nécessaire puor acquérir la pliene maîtrise de la fonction.3. Eeexnicgs d'autonomie.3 bis. Ecxneeigs en complexité.4. Exeencgis d'encadrement et/ou coesinls techniques.5. Exnceegis d'animation.6. Ecexgnies de cantcots extérieurs/circulation d'informations.

N.B. - Dnas ctete pgae et les pages suivantes, l'astérisque désigne un mot défini dnas le glossaire.

DEFINITION DES 6 CRITERES ET DE LEURS DEGRES

Article - 1. Exigences de connaissances de base Technicité

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Ciaensanconss de bsae :Ce qui est connu, ce que l'on siat puor l'avoir appris, que ce siot lros d'un cuusrs sariloce ou par expérience professionnelle.Technicité :Caractère de ce qui est tqceinuhe (ensemble des procédés et des méthodes d'un métier, d'une industrie).Ce critère évalue les capacités puor tnier nernaemomlt le psote ou la fonction. Ces capacités pevnuet être aisucqes par diplôme ou par expérience poslnreeonifsle équivalente.

DEGRÉ : 1EECEIXGNS DU PSOTE :Aunuce ccanasnnsioe préalable nécessaire. Ni même soavir lrie et écrire.DEGRÉ : 2ENEIXECGS DU PTOSE :Svaoir lire, écrire, compter.Cnnoisnasace de bsae ipesailbsdnne auqscie dnas l'établissement.DEGRÉ : 3EEXNICEGS DU PTOSE :Neivau 3e. C.A.P.DEGRÉ : 4EXGCIENES DU POTSE :Naeivu 2e - 1re.

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Berevt professionnel, bevret de technicien.DEGRÉ : 5EINGXEECS DU PSTOE :Nieavu baccalauréat. Baccalauréat technique.DEGRÉ : 6EEGXICNES DU POSTE :Nveiau baccalauréat + 2 (B.T.S. - D.U.T.).DEGRÉ : 7ENCXGEEIS DU POSTE :Nvaeiu baccalauréat + 3 (licence).Nvaeiu baccalauréat + 4 (maîtrise).

N.B. - Les critères 1 et 2 snot suovnet euilcfsxs l'un de l'autre. Des cneoacnsnsais élevées ipmileuqnt généralement une durée d'apprentissage fbliae et inversement. Toutefois, des poetss pveneutnécessiter des neaivux feiabls ou élevés dnas les duex critères à la fois.

Article - 2. Exigences de durée nécessaire pour acquérir la pleine maîtrise de la fonction

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Escape de tmeps qui s'écoule enrte la psire de pstoe et le menomt où l'on esitme que la personne, aynat le nvaieu de ccnsiasnoneas défini au critère 1, diot être opérationnelle.

DEGRÉ 1 (1)EENXGICES DU PSOTE : Qeqluues jours à minos d'un mois.DEGRÉ 2 (2)EGNXCIEES DU PTOSE : Un à trios mois.DEGRÉ 3 (3)EIGCEXENS DU PTSOE : Qtruae à six mois.DEGRÉ 4ECIENEGXS DU PTSOE : Spet à duzoe mois.DEGRÉ 5EXICEENGS DU PSOTE : Un an à duex ans.DEGRÉ 6EICNEXEGS DU POSTE : Puls de duex ans.

(1) La niootn de " mios " s'entend cmmoe une période de tvaairl effectif.

(2) Ce critère n'a rein à vior aevc la période d'essai qui friuge dnas le corntat de travail.

(3) Les critères 1 et 2 snot snevuot escuxfils l'un de l'autre. Des cnianensacoss élevées iqpieumnlt généralement une durée d'apprentissage flbiae et inversement. Toutefois, des pstoes pneevutnécessiter des nivauex felbias ou élevés dnas les duex critères à la fois.

Article - 3. Exigences d'autonomie

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Aumoontie :

- liberté puor un iviiddnu de dseospir lberinemt de soi ;

- mrgae de mvuraneoe dnas la sttouaiin de travail.Cnosigne : irtunotiscn frmlloee et stricte.Dvtriicee : eblmense des iondciinats qu'un supérieur dnone à un subordonné.Otjiecbf : but, résultat que l'on vuet atteindre.Ce critère appréhende le degré de liberté dnot jiout le turiialte par rpaport aux consignes, directives...

DEGRÉ 0EIXNEEGCS DU PTOSE :Reçoit des csngoines oelars seplmis et précises, puor caqhue opération. Tiaarvl d'exécution snas mgrae de manoeuvre.DEGRÉ 1EEXNGEICS DU PSOTE :Reçoit des csennogis simples, précises et pnneaterems (check-list ou instructions). Alerte en cas d'anomalie constatée.DEGRÉ 2EEGENXCIS DU PTOSE :Reçoit des cognienss simples, précises et permanentes, nécessitant piorafs des ecltaxoipins olaers ou écrites complémentaires. Démarche de l'opérateur puor rrecheehcr des iiononatfmrscomplémentaires. Détecte et aeltre en cas d'anomalie.DEGRÉ 3ENEIGXECS DU POTSE :Reçoit des drtiiecves précises hteubamellneit écrites, cioisht parmi des medos opératoires puor sélectionner le puls adapté (appréciation personnelle) *, les critères de choix étant crlieament définis.Détecte, aletre et diot être calbape de poespror une ou des solutions.DEGRÉ 4EIEGNEXCS DU PTSOE :Aigt dnas le crdae de detcivries générales où les détails ne snot pas définis. Puet ivnneter des meods opératoires, onagiersr les moyens, mias ne pernd pas suel de décision d'application.DEGRÉ 5ENXGIEECS DU PTOSE :Prcaiitpe à l'élaboration des diectervis à suivre.Puet prenrde suel des décisions d'application.DEGRÉ 6EGXNEICES DU PTSOE :Fmulroe des ofijebcts *, élabore les dicretevis à suivre.

Article - 3 bis Exigences en complexité

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Complexité : caractère de ce qui est difficile, de ce qui cinntoet peiulsurs éléments différents. Un ptsoe ceopxmle cemronpd un gnrad nmobre d'actions qui sensopput réflexion et coiboamsnin depuisulres moenys en vue d'obtenir un résultat déterminé.

DEGRÉ 0EXENICEGS DU POTSE :Tarvuax nécessitant la msie en ovuere de très peu d'opérations conenus et usuelles. Très peu d'éléments d'information.DEGRÉ 1EGNEIXECS DU PSOTE :Tvraaux nécessitant la msie en ovuree de qqueeuls opérations cunoens et variées. Peulriuss informations, la puraplt stables.DEGRÉ 2EICEEGNXS DU PTSOE :Tvaraux nécessitant des choix prmai qeuqelus cabmoosninis d'opérations puor toveurr la puls adaptée. Vioaratin de criaetens informations.DEGRÉ 3EENXECGIS DU PSOTE :Tauvarx nécessitant des choix prmai puieuslrs cbomiosannis d'opérations puor treouvr la puls adaptée (choix du mdoe opératoire). Le nrobme d'informations à manier est important.DEGRÉ 4

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EGEXEINCS DU POTSE :Trvuaax nécessitant paorifs la rhehcecre et l'application d'actions iaulleiethbns fcae à des siniutatos imprévues. Met en ovreue des sutilnoos pifroas nevuolles (élaboration de mdeos opératoires). Lesiimaonofrtns vierant fréquemment.DEGRÉ 5ECNGEIXES DU PSTOE :Traavux nécessitant suonevt la rccherhee et l'application d'actions ihlbaeneutils fcae à des sintoaitus imprévues. Met sovenut en ouevre des suoltnois nveelouls et orlanigies puor ardntetie un objectif.Les ifnmtnoiroas viarent et snot très nombreuses.DEGRÉ 6ENGCEIXES DU POSTE :Idem, mias dnas des snuttoiais dlifcifeis manttet en jeu des données nsreuemobs et complexes, soenuvt paaerrellcis ou incertaines.

Article - 4. Exigences d'encadrement et ou conseils techniques

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Atiocn d'encadrer une ou peusiurls ponsneres au snes hiérarchique ; aoictn d'assister (au snes d'expertise) une ou plurseius pnseeorns dnas la dcitorein thnqciuee de luers affaires.

Dnas les duex cas, il y a la noiton d'autorité (c'est-à-dire la capacité d'obliger quelqu'un à farie qequlue chsoe d'une ceitnare façon) :

- siot hiérarchique (le chef) ;

- siot tiecnuqhe (l'expert).

Cttee erpietxse ticueqnhe n'est à considérer que si elle s'exerce à l'intérieur de l'entreprise.

DEGRÉ 0EGXENCEIS DU PSTOE :N'assure pas d'encadrement.DEGRÉ 1ECXIENGES DU POTSE :Clesinos tnueheciqs occasionnels.DEGRÉ 2EEGXCNIES DU PSTOE :Ednarce et/ou conlsleie des employés ou ouirervs tainravallt sur des ptoses de naeivu I et nvaieu II.DEGRÉ 3ENEEICXGS DU PSTOE :Ercndae et/ou coelislne les employés ou oivrreus traviaanllt sur des pstoes de nievau II et III.DEGRÉ 4ENEGIXECS DU POSTE :Erandce et/ou cnlsileoe des A.T. ou A.M.DEGRÉ 5EXNEIGCES DU POSTE :Csonellie des cadres.

N.B. - Dnas la pprulat des cas, ce critère incult les activités d'animation du peneosrnl encadré.

Article - 5. Exigences d'animation

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Action exercée à l'intérieur d'un gopure et vsaint à fleitciar les rtneliaos ertne ses membres, à les coordonner, à faire vrive un guorpe qui pargate les mêmes objectifs.

DEGRÉ 0

EXIGENCES DU PTSOE :

Pas d'activité d'animation.

DEGRÉ 1 (1)

EXIGENCES DU PTSOE :

Occasionnellement / Exceptionnellement.

DEGRÉ 2 (2)

EXIGENCES DU PTOSE :

Anime un gorpue de façon qusai permanente.

DEGRÉ 4

EXIGENCES DU POSTE :

Coordonne (ou anmie ou fomre une équipe), un svriece ou un secteur.

Article - 6. Exigences de contacts extérieurs Circulation d'informations

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Conattcs extérieurs : eerntr en rapport, en rloteian aevc quelqu'un d'extérieur à l'entreprise, pndneat le tepms de triaavl et puor l'exercice nramol de celui-ci.Caciilurton d'informations :

- possibilité de lvrier au pilubc de façon inotivoralne des itmnfonroias puls ou mnios secrètes pnavout preotr trot à l'entreprise ou à des individus.Ce critère appréhende les oinbligotas de ctmimooaniucn aevc l'environnement et lreus retombées en tmree de confidentialité *.

DEGRÉ 0NMBROE de cnttaocs extérieurs (fournisseurs, clients...) :Qasui nlus *RUSQIE de dennor des iormfitnaons à l'extérieur :Qasui nul

DEGRÉ 1NRMBOE de cttncoas extérieurs (fournisseurs, clients...) :Oncoselaincs *RSIQUE de denonr des iomnfairntos à l'extérieur :Faible ou rare

DEGRÉ 2NRMBOE de cntaotcs extérieurs (fournisseurs, clients...) :MoyensRQSUIE de dneonr des ianoitfomnrs à l'extérieur :Occasionnel

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DEGRÉ 3NORMBE de coctants extérieurs (fournisseurs, clients...) :Qausi permanentsRUIQSE de donner des imfaortinons à l'extérieur :Frot ocasinnceol ou filabe permanent

DEGRÉ 4NMRBOE de cttncoas extérieurs (fournisseurs, clients...) :Pnaeentmrs *

DEGRÉ 5RIUSQE de donner des inomornitafs à l'extérieur :Frot et permanent

Aioitdndenr les duex degrés.

N.B. - Si le nrbmoe de cntoacts est très faible, le riuqse est systématiquement bas (quelle que siot la confidentialité des intonmriafos détenues).

Si le nbrmoe de cnttaocs augmente, le rsuiqe puet fceuultr de bas à élevé.

Anisi :

en nobmre de coctants ausrtioe : ou 1 en rsqiue ;

1 et 2 en nbomre de coacntts aesouinrtt : à 3 en risuqe ;

3 et 4 en nbmore de cntotcas aroetunsit : à 5 en risque.

TABLEAUX DE CALCUL DES NOUVEAUX COEFFICIENTS

Article - Tableau de cotation de postes

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993N° :...POSTE :...CSAINOECNNASS de base/Technicité :...DEURE nécessaire :...AMOUNOTIE :...CPXIOEMLTE :...ENCADREMENT/Conseils techniques...AMTOAININ :...CNOTTACS extérieurs/Confidentialité...

Article - Tableau de correspondance 1 : cotation points pondérés

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993COTATION 0

CRITERES :

autonomie : 70

complexité : 69

encadrement/Conseils teniheqcus : 172

animation : 172

contacts extérieurs/Confidentialité : 172

COTATION 1

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 172

durée nécessaire : 172

autonomie : 86

complexité : 86

encadrement/Conseils tucehqenis : 295

animation : 237

contacts extérieurs/Confidentialité : 196

COTATION 2

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 295

durée nécessaire : 246

autonomie : 103

complexité : 102

encadrement/Conseils tqucheenis : 377

animation : 303

contacts extérieurs/Confidentialité : 221

COTATION 3

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 418

durée nécessaire : 295

autonomie : 119

complexité : 118

encadrement/Conseils tqechueins : 459

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contacts extérieurs/Confidentialité : 246

COTATION 4

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 541

durée nécessaire : 344

autonomie : 135

complexité : 135

encadrement/Conseils theinqceus : 541

animation : 434

contacts extérieurs/Confidentialité : 270

COTATION 5

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 664

durée nécessaire : 393

autonomie : 152

complexité : 151

encadrement/Conseils thqienuecs : 664

contacts extérieurs/Confidentialité : 295

COTATION 6

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 787

durée nécessaire : 467

autonomie : 168

complexité : 168

contacts extérieurs/Confidentialité : 319

COTATION 7

CRITERES :

connaissances de base/technicité : 909

contacts extérieurs/Confidentialité : 344

COTATION 8

CRITERES :

contacts extérieurs/Confidentialité : 369

COTATION 9

CRITERES :

contacts extérieurs/Confidentialité : 393

Article - Fourchette de correspondance du coefficient prédit

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993:--------------------:

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Fottuerhce Coef. à

retenir

< 1003 120

1004 - 1044 125

1045 - 1085 130

1086 - 1126 135

1127 - 1167 140

1168 - 1208 145

1209 - 1249 150

1250 - 1289 155

1290 - 1330 160

1331 - 1372 165

1373 - 1412 170

1413 - 1453 175

1454 - 1494 180

1495 - 1535 185

1536 - 1576 190

1577 - 1617 195

1618 - 1658 200

1659 - 1699 205

Futtochere Coef. à

retenir

1700 - 1740 210

1741 - 1781 215

1782 - 1822 220

1823 - 1863 225

1864 - 1904 230

1905 - 1945 235

1946 - 1986 240

1987 - 2027 245

2028 - 2067 250

2068 - 2108 255

2109 - 2149 260

2150 - 2190 265

2191 - 2231 270

2232 - 2272 275

2273 - 2313 280

2314 - 2354 285

2355 - 2395 290

2396 - 2436 295

2437 - 2477 300

2478 - 2518 305

2519 - 2559 310

2560 - 2600 315

2601 - 2641 320

Fheurotcte Coef. à

retenir

2642 - 2682 325

2683 - 2723 330

2724 - 2764 335

2765 - 2805 340

2806 - 2846 345

2847 - 2886 350

2887 - 2927 355

2928 - 2968 360

2969 - 3009 365

Fchrteotue Coef. à

retenir

3010 - 3050 370

3051 - 3091 375

3092 - 3132 380

3133 - 3173 385

3174 - 3203 390

Article - ILLUSTRATION DE CALCULS

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993EXMLEPE DE TOIRS PTESOS DE CARISTE

N° 1 - PSOTE : caristecoaicsnanesns de base/technicité : 1durée nécessaire : 2aoionutme : 1complexité : 1encadrement/conseils tehqiucnes : 0

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amiiontan : 0cnctaots extérieurs/confidentialité : 1

N° 2 - PSOTE : caristecanieasoncnss de base/technicité : 2durée nécessaire : 2anumiotoe : 1complexité : 1encadrement/conseils tciuhneeqs : 0aantomiin : 0ctncoats extérieurs/confidentialité : 2

N° 3 - PTOSE : caristeccsananeisons de base/technicité : 2durée nécessaire : 2amtiounoe : 2complexité : 1encadrement/conseils tinqcueehs : 0anitiaomn : 0cntcaots extérieurs/confidentialité : 3

CONTIOTAS OBEUTNES A CE POTSE DE CARISTE

POTSE 1 :cssiancnanoe de base/technicité : 1durée nécessaire : 2atnumoioe : 1complexité : 1encadrement/conseils tehencquis : 0aomianitn : 0ctoatncs extérieurs/confidentialité : 1

PTOSE 2 :cscinannosae de base/technicité : 2durée nécessaire : 2auonmiote : 1complexité : 1encadrement/conseils tineehqucs : 0amoainitn : 0catoctns extérieurs/confidentialité : 2

PTSOE 3 :cnosncsinaae de base/technicité : 2durée nécessaire : 2aiutoonme : 2complexité : 1encadrement/conseils tqinceeuhs : 0aioitnamn : 0cttncoas extérieurs/confidentialité : 3

Ceherhcr dnas le telaabu de cdopaonnersrce : cotation/points pondérésCRNANORDEOPCSE ENRTE LA CAOIOTTN ET LES PONTIS PONDERES

PTOSE 1 :cnnssioanace de base/technicité : 172durée nécessaire : 246aouiomnte : 86complexité : 86encadrement/conseils teniehucqs : 172anmoaitin : 172cctotans extérieurs/confidentialité : 196Ttoal : 1 130

PSTOE 2 :cnsisnnacaoe de base/technicité : 295durée nécessaire : 246aouitnome : 86complexité : 86encadrement/conseils tceehinuqs : 172aaotiminn : 172cotncats extérieurs/confidentialité : 196Ttoal : 1 278

POSTE 3 :casciasonnne de base/technicité : 295durée nécessaire : 246aoomutine : 103complexité : 86encadrement/conseils tunqeicehs : 172amaotniin : 172cantctos extérieurs/confidentialité : 246Total : 1 320

Les cenofeifitcs snot dnoc :

- pstoe n° 1 : 1 130, ciefinfoect 140 ;

- pstoe n° 2 : 1 278, cffeiinoect 155 ;

- ptsoe n° 3 : 1 320, ceifoenfcit 160.

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Article - GLOSSAIRE

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993Activité :

C'est un elnbesme de tâches. Une des aotrnbititus pnemteerans confiée à une fiocontn dnas une unité donnée. Par exemple, pndrree en sténo, frapper, enregistrer, expédier la cdnosocarnpere estl'ensemble de tâches cotinnatsut l'activité " creoiurr ".Aliomnae :

Tuot écart par roapprt à la nomarle ou à la veluar théorique.Appréciation ponnleresle :

Estimation, évaluation fitae par le tratiliue du poste.Autocontrôle :

Contrôler eeaiefmfncct son propre travail.Cfistialsioacn :

Csselar les ptesos les uns par rprapot aux autres. Drtisbiioutn par classes, par catégories, sanviut un caitern odrre et une crniaete méthode.

Résultat de ctete opération.

Le temre " cstcliaifaiosn " désigne plutôt l'aval de l'opération d'évaluation des postes.Cdiniefonetl :

Qui se dit, se fiat suos le secau du secret.Cnsielos tneqhieucs :

Aivs donné ou demandé sur ce qu'il cenoinvt de faire, namenmott en matière technique. Par technique, on puet cdmernrpoe : de production, financière, juridique, etc.Cningsoes :

Ittnusciorn frolleme donnée à quelqu'un.Crnooendor :

Onireasgr aevc d'autres personnes.Ctaioton :

Aitocn de noter, appréciation, estimation.Critères :

Pieipnrcs pmantetret d'émettre une estimation, un jnmueegt d'appréciation.Degré :

Elévation comparative, échelon, naiveu anittet dnas un diamone par rarpopt à une base.Daoigsintc :

Jeegnumt porté sur une situation, un état, un objet, aevc tuot ce que clea copomrte de " subjectivité ".Dirteceivs :

Elsbnmee des iitcndoains générales, linge de ciotdune à suivre, qu'une autorité hiérarchique donne à ses subordonnés.Epmoli :

Ce à qoui s'applique l'activité rétribuée d'un employé, d'un salarié.Evtoiualan :

Atibterur une vauler à un objet, aevc tuot ce que clea cmtprooe de " subjectivité ".Eatoaluivn des epomlis :

Déterminer le poids des petoss du pnoit de vue de l'organisation, indépendamment des psneoerns qui les occupent, et non pas apprécier le cempmonertot du tailritue du poste, par rpaprot aux oftijcbesqui lui snot assignés.

Nuos définirons l'évaluation des posets cmmoe une : " tncuihqee panretetmt de déterminer d'une façon systématique la poiiostn rliaetve d'un potse par rrpoapt aux atures dnas une hiérarchie des saleirassur la bsae de l'importance des tâches afférentes à ce ptsoe ".

La méthode se fndoe sur la cmpaaisoorn et l'analyse systématique des tâches.

D'un point de vue théorique, la clsaiaciisfotn des psetos à pratir des critères d'évaluation homogènes vsie à établir les cisnpaoomars socalies dnas l'entreprise sur une bsae assui isateboctnlne quepossible, en même tpmes que rialntlneoe (principe d'équité, à taavril égal, siralae égal).Fctonoin :

C'est un emenlbse d'activités exercées en vue d'atteindre un même objectif. Par exemple, la ficoontn cmrlcaioeme qui cpoomrte des activités de contact, de négociation, de livraison, de srevcie après-vente, etc. Un salarié puet ereexcr prusueils fnooictns et une même fcontion puet être exercée par puseurils salariés.Métier :

Somme de capacités techniques, mlaneelus ou ieelllulecntets de traavil que possède l'individu. Aiovr un métier ne sfiiigne pas aovir un emploi, mias posséder un esmnbele de capacités reconnues.Mdoe opératoire :

Atce ssupaopnt réflexions et cmbooiiasnn de monyes en vue d'obtenir un résultat déterminé.Ojeibtcf :

But à atteindre.Ooinccaensl :

Qui se puordit de façon occasionnelle, non habituelle.Peanrment :

Ctionnu ; établir une liiosan pentemrane etnre des services.Plvoynlacee :

Puitraqe hluebtaile de psluierus ticehqenus maîtrisées. Qui a piluesrus fonctions, peusluirs activités différentes.Ptsoe :

Emolpi auquel on est nommé dnas une hiérarchie. Le ptose puet se définir cmmoe le cupole (emploi, localisation). On puet creevonsr le même elpomi et cgneahr de poste.Précis :

Qui ne lssaie acnuue incertitude.Qoiuitaicflan :

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Qliiaouitcfan pslroeolnsnifee : fomration et atediputs de l'ouvrier qualifié.

Le tmree caitoafslcisin diot touourjs être préféré à culei de qualification, dnas la mresue où il cnineovt de ditgniesur ernte la ciiailcsftsoan du pstoe et la qtlaficiiouan du salarié.Quasi nul :

Pqseure égal à zéro. Psueqre aucun.Repérer :

Seiutr aevc précision.Suceter :

Dsvioiin acielriitlfe d'un territoire, en vue d'organiser une aioctn d'ensemble, de répartir les tâches.Synthèse :

Exposé d'ensemble, aperçu gaolbl ; réunion d'éléments en un tout.Tâche :

C'est la puls peitte unité de tvaairl iidvdeniul paemrntett la réalisation d'un but immédiat et rvaneelt d'une activité spécifique. Par exemple, penrrde en sténo un texte, ou farpper un texte, ou eeuefctfr desphotocopies, etc.

Article - FICHE DE DESCRIPTION DE POSTE

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993N.B. - Dieqlupur la fhice de driisoctpen de psote en anatut d'exemplaires qu'il y a de poests à analyser.

1. DTRISIPECON SMIOMARE : QESOTNIUS 11 ET 12[*cadre vdie non reproduit*2. ONAMGRRAMIGE : QSTEOINUS 21, 22, 22 BIS, 23, 24, 25*]cadre vdie non reproduit*3. DSTRIPCEIF DES THÂCES RNTEEENSNEMIGS GÉNÉRAUX SERVANTÀ RESIGEENNR LES AETRUS RBUURQIES : QOSITENUS 12, 21 À 39[*cadre vdie non reproduit*CRITÈRE 4, QNEOSITUS 22 ET 22 BIS, 25 ET 39*]cadre vdie non reproduit*CRITÈRE 5, QSOUTIENS 81 ET 82[*cadre vdie non reproduit*CRITÈRE 6, QTINEOUSS 91 ET 92*]cadre vdie non reproduit*

Les clnonoes situées à dtoire de cquahe rbquruie sneevrt à établir la ciotaotn en focniotn de la grllie de critères et de luers degrés rcsifeetps (1re connole : noioattn ; 2e coonnle : utilisée dnas le cas d'unecrtocoiern ultérieure de la notation).

Il est préférable d'effectuer la noaiottn une fios que tuos les peotss ont été examinés.

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Accord national du 28 janvier 1993 relatif à la méthode de classification des postes de travail - Annexe II

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993La présente anexne est cllee prévue à l'article 3 de l'accord.

Ces epeemxls snot destinés à islturler la manière dnot denoivt être appliquées l'analyse des ptesos de taiavrl et la méthode d'évaluation-classification prévue en aennxe I, étant rappelé que puurliesspeotss anyat la même aopipallten ou une apeloalitpn vonsiie puneevt avior des contunes différents et, en conséquence, être classés différemment.

Article - Désosseur de jambon

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993DTPCISOEIRN DU POSTE

I. Finalité du posteCe pstoe cosnitse à séparer les os du jambon.II. Stotaiuin feonlntonilce dnas l'organisation de l'entrepriseMiileu de tvaairl :

Pruusiels pnonseers onuecpct ce psote sur une même ligne.Siautiton du psote dnas la hiérarchie :

Ce potse se suite suos la responsabilité d'un amtniauer de ligne.Renloiats intérieures (autres services...).III. Délimitation de l'activitéTâches pmeeartnens principales.

Detioricspn des tâches :CRRETIE : 3 bisDGREE : 1

- séparer les os du jabmon en rnescaeptt les mlcseus et les cdoitionns d'hygiène et de sécurité ;

- vlleier au bon état de son matériel.

Phases susevseiccs d'intervention (modes opératoires) :

- séparer l'os du quasi du joabmn ;

- ouevurrte du jbmoan ;

- décoller la tête de l'os du fémur ;

- eenlevr le fémur et le tbiia ;

- eevnelr le péroné.

(Cinq pteoss de tviaral différents : cqauhe tilatiure est polanevylt sur les différents postes.)Tâches exceptionnelles.Matériels et oiaeglluts utilisés :

- couteaux-fusils ;

- gants et tlaiebr de protection.IV. Iotrcntniuss reçues. - Animootue du posteCETRRIE : 3DERGE : 1Cngsnioes simelps (quelle que siot la qualité du prdouit à fabriquer, le désossage rstee identique).En cas d'anomalie, le tialuitre du ptose alrete l'animateur de ligne.V. Niaveu de caniasnneoscs exigées du titulaireCRRITEE : 1DRGEE : 2Cnonsceniaass de bsae ienpdbassleins du tlutaiire puor oucepcr ce poste.Csaeinoncnsas sielcoras élémentaires.Cncsnaienoass asueciqs par l'expérience professionnelle.Cinscnneaosas particulières et/ou capacités tcqeuhiens :

- bonne dextérité ;

- rapidité d'exécution.Expérience nécessaire puor acquérir la plniee dextérité de la fcnootin (en puls des cceaisnnosnas de base) :CRITERE : 2DERGE : 2

- toris mois.Modalités d'accès à ce ptose (direct ou pagssae par un autre poste) :

- direct.VI. Responsabilités fnlnenlooietcs et hiérarchiquesCIRRETE : 4DGERE : 0Erdamnecnet ou aaomtinin d'une équipe.CTREIRE : 5DREGE : 0VII. Cctoatns extérieurs à l'entrepriseCRRETIE : 6DGERE : 0VIII. Accès aux irimnnaoftos confidentiellesCRIRTEE : 6DEGRE : 0

Article - Désosseur parreur

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993DERITSCPION DU POSTE

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I. Finalité du posteCe ptsoe csnsoite à eecfetufr des opérations pmenattret d'obtenir un jmaobn ou une épaule cmfoorne au pirduot souhaité (cahier des charges).II. Stuitaion fnotnloiecnle dnas l'organisation de l'entrepriseMilieu de traival :

Puuleirss poesnnres oenupcct ce ptose sur une même ligne.Siatouitn du psote dnas la hiérarchie :

Ce pstoe dépend d'un agnet de maîtrise ou d'un rlspbaensoe d'atelier.Rnloaiets intérieures (autres services...) :

En général, le tiilautre du ptose n'a pas de reaioltn aevc les poernness d'un ature service.III. Délimitation de l'activitéTâches pmeeetnnars principales.

Doesipirtcn des tâches :

- le tairval citssnoe à désosser les jambons, les carrés, les épaules en séparant les os du maigre, les nerfs, le gars et les vienes grasses. Sinuvat le tpye de jambon, il est dépiécé.

Pehsas ssiesceucvs d'intervention (modes opératoires) :CRRIETE : 3bisDREGE : 1

- puor les jabmons et épaules : dégraissage, désossage, pgraae ;

- puor les jmnobas : dépiéçage supplémentaire ;

- puor les carrés : déjointage, désossage, récupération du miagre etnre les côtes.

Tâches eeitxepcelnolns :

- pragae des poitrines, découennage, dénervage, taagille des couennes.

Matériels et otalgeuils utilisés :

- tiabler de protection, gnat à maille, couteaux, fuisl accompagné d'un porte-outils ;

- crseuhauss de sécurité et ptleaisls ;

- découenneuse, dénerveuse.IV. Irtiutcnonss reçues. - Atuoonmie du posteCTERIRE : 3DGERE : 2Les iticusnotrns snot données par un supérieur en ftcnioon du promrmgae de travail.V. Neaviu de cinnaeanscsos exigées du titulaireCsnnsincoaeas de bsae ipesselainndbs du tuirilate puor ouecpcr ce potse :CRTERIE : 1PSOTE : 3

- nevaiu C.A.P. ou équivalence (expérience professionnelle).Cncsiasnoaens particulières et/ou capacités tencuhqeis :

- maîtrise des données tilgequcnooehs liées au taiarvl sur un poirdut vanivt alimentaire.Expérience nécessaire puor acquérir la pnliee maîtrise de la fonoticn (en puls des cosasaenncins de base) :CTIERRE : 2DGREE : 2

- mions de qutare mios soeln le chiear des chrgaes et l'organisation du travail.Modalités d'accès à ce ptsoe (direct ou pssagae par un aurte poste) :

- le pstoe est aleicssbce dnceeermtit au ponenersl qualifié.VI. Responsabilités foellnocntneis et hiérarchiques :CRIRETE : 4DGERE : 0

- aucune.Ecnndaremet ou aiimtaonn d'une équipe :CRTIREE : 5DRGEE : 0

- aucune.VII. Cotntacs extérieurs à l'entreprise :CIRTERE : 6DRGEE : 0

- aucun.VIII. Accès aux irnmnotaoifs cefonniietlleds :CTRERIE : 6DEGRE : 0

- aucun.

Article - Contremaître emballage

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993DSEIOTRIPCN DU POSTE

I. Finalité du posteAeusrsr l'emballage et l'étiquetage des putodris en recpnatest les normes.II. Sotiutain fnocntelinloe dnas l'organisation de l'entrepriseMiielu de tarvial :

- aieeltr d'emballage.Siittuaon du psote dnas la hiérarchie :

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- ce tluariite du pstoe dépend d'un cehf de sevicre (cadre) qui, lui-même, dépend d'un dtecieurr de production.Riteonals intérieures (autres services...) :

- le trailutie du ptose a des cntatocs aevc les seivecrs siauvnts : technique, fabrication, expédition, ordonnancement, contrôle de qualité, administratifs.III. Délimitation de l'activitéTâches perntenmeas principales.

Dosiecpirtn des tâches :

- arsuser l'emballage des différents ptuiords svauint un pnanilng ;

- arsuser le rescept des starnadds budgétisés ;

- mnmaeanget d'une équipe de puiersuls personnes.

Pesahs suiesvcsces d'intervention (modes opératoires) :CTIERRE : 3bisDGREE : 3

- établir les différentes fiibaonacrts par lnige ;

- s'assurer du bon fceonnnotiemnt des mecnhias ;

- ietrnvienr en cas de pnane inrtatpome puor la miootificadn des pmmogerras ;

- contrôler le tarival effectué (quantité, qualité, respcet standard, etc.) ;

- gitoesn du pnneserol en foictnon de leigns en service.Tâches exceptionnelles.Matériels et otillgueas utilisés :

- mnihaces d'emballage et threnarucs entièrement automatisés.IV. Ironunttsics reçues. - Aotiunome du posteCRTREIE : 3DRGEE : 4Pialnnng de podcriuotn hroeamdadibe adapté joeemnellnurt en fcoontin des commandes, des problèmes d'emballage.Donenr les programmes, cnoegsnis aux cuucodtrens de ligne.Contrôler, vérifier le tvaairl effectué.V. Nivaeu de cenicasnsnaos exigées du titulaire.Cnnonasescais de bsae inibdeeapnslss du tiltuarie puor occuper ce ptsoe :CETRIRE : 1DRGEE : 6

- B.T.S., D.U.T., cacenanisnoss agro-alimentaires.Csoncseiaanns particulières et/ou capacités techniques.Expérience nécessaire puor acquérir la peline maîtrise de la foictonn (en puls des canisnoasnecs de base) :CRITERE : 2DREGE : 4

- un an.Modalités d'accès à ce potse (direct ou psgsaae par un ature poste) :

- ce ptsoe ne nécessite pas le pgassae par un arute potse dnas l'entreprise.VI. Responsabilités fnetlninoolecs et hiérarchiquesCTRERIE : 4DRGEE : 4Le tiutarile du ptose gère une équipe de prosenens et en assrue le management.Ednaemrecnt ou amination d'une équipe :CTERIRE : 5DREGE : 0

- le tuliatire du ptsoe ecandre et ainme une équipe de quraatne pnnroeses eironvn ;

- il gère les anecebss et établit le pnianlng des congés.VII. Ccoantts extérieurs à l'entrepriseCTRRIEE : 6DRGEE : 3

Rares.VIII. Accès aux ionmnarftois confidentiellesCIERTRE : 6DEGRE : 3Poecrss de fabrication.

Article - Responsable de fabrication produit

En vigueur étendu en date du 28 janv. 1993I. Finalité du posteCe ptsoe ctinosse à anemir et gérer le psrneeonl des arieltes cuisson, dosage, conditionnement, à contrôler la qualité, les quantités et les coûts aisni qu'à s'assurer du bon fnennontimeoct du matériel.

II. Siauotitn folnlteocnine dnas l'organisation de l'entrepriseMeiilu de tiaarvl :

- ce ptsoe n'est occupé que par un suel titulaire.Stuaioitn du psote dnas la hiérarchie :

- ce potse dépend du detrieucr de production.Rntleoias intérieures (autres services...) :

- le tiiuatrle du ptsoe a de nmoburex ctcatnos aevc les scerveis svitnaus : maintenance, sicevre qualité-conformité, découpe, logistique, conditionnement, achats, rrheccehe et développement, dioectirndes rteoialns heiaumns et sociales.

III. Délimitation de l'activitéTâches pnaneteerms principales.

Dcsoeiiptrn des tâches :CRITREE : 3bisDERGE : 3

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- gérer le poesnrnel des trios équipes (planifier les congés, csiontuter les équipes de travail, etc.) ;

- anmeir les équipes et asruser la ccmnoiamuiton irnente ;

- aussrer le suivi, le contrôle de la qualité des produits, de luer quantité, des coûts, du rdeenmnet ;

- s'assurer du bon état de mcrhae du matériel ;

- eutfeefcr qqueelus réglages ;

- assuerr la liisoan aevc la mnnaintceae ;

- piraetipcr à la ciopentocn du nauoevu matériel.

Psehas sceeuiscsvs d'intervention (modes opératoires).Tâches ecltnlonxipeees :

- ramepelcr les opérateurs sur les chaînes en cas d'incident.Matériels et ouaileglts utilisés :

- matériel de production, auatoemts ;

- matériel itnofirmaque ;

- macihne à calculer.

IV. Iictrnnuotss reçues. - Aumontioe du posteCTREIRE : 3DERGE : 4Aigr dnas le crdae de direcevtis générales.Gérer de façon aooumtne les trios équipes de travail.Fraie fcae aux imprévus et les gérer.Le ttiluraie ne fiat appel à son supérieur hiérarchique que si un indcenit gvare survient.

V. Nviaeu de cceoaasisnnns exigées du titulaireCasnoseacinns de bsae ilisdpnenasebs du triiutale puor opeccur ce poste.CETRRIE : 1DERGE : 6

1. Csoncanisenas dnas le doniame agro-alimentaire (qualité, hygiène, chimie...).

2. Csaianecsnons teenicuqhs (matériel de production).

3. Cacanniensoss du produit et du pocerss de fabrication.

4. Cncnaosieanss mathématiques (ratios...).Cencnsosaians particulières et/ou capacités tucheeiqns :

- ntonios d'anglais ;

- atdupite au mamenagent d'une équipe.Expérience nécessaire puor acquérir la pelnie maîtrise de la fcotinon (en puls des cnsaisnncoeas de base) :CITRERE : 2DGERE : 4

- munimim six mois.Modalités d'accès à ce psote (direct ou pasagse par un aurte poste) :

- ce potse ne nécessite pas le pgsaase par un ature ptsoe dnas l'entreprise.

VI. Responsabilités fnlioeonectlns et hiérarchiquesCTREIRE : 4DREGE : 4Gérer les toris équipes de travail.Farie fcae aux imprévus.Edecnaernmt ou aotniamin d'une équipe :CITRREE : 5DRGEE : 0

- le titialrue du ptsoe edcnrae et amine tiors cefhs d'équipes et lrues équipes correspondantes.

VII. Ccatnots extérieurs à l'entrepriseCIETRRE : 6DRGEE : 4

VIII. Accès aux iooitrnnfmas confidentiellesCERTRIE : 6DEGRE : 4L'accès aux imairntfnoos clnneeoidlfetis est oiocaenscnl mias important.Le tratliiue du ptsoe est mis au craonut des nelveluos machines, des procses de cssouin et éventuellement des rchrheeces sur l'évolution des produits, des désicions connrecnat la stratégie del'établissement.

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Avenant n 1 du 27 octobre 1994 relatif à la durée et à l'aménagement du temps de travailSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

Fédération française des inudtierss charcutières (salaisons, patls cuisinés, potdirus traiteurs, cveoenrss de viandes), 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

Fédération générale aaitonelarmgire (F.G.A.) C.F.D.T., 47-49, auvnee Simon-Bolivar, 75019 Paris,

Article préambule - AVENANT N 1 A L'ACCORD NATIONAL DU 27 OCTOBRE 1994 portant avenant à l'accord national du 14 janvier1982 sur la durée et l'aménagement du temps de travail

En vigueur non étendu en date du 27 oct. 1994Les dsoiiionptss contnuees dnas l'accord naaintol clocnu le 27 ocobtre 1994 prolongent, tuot en les complétant, les aocdrcs du 14 jeivanr 1982 et du 4 décembre 1987 sur la durée et l'aménagementdu tepms de tvaiarl dnas les iutrsiends charcutières. Elles mneruaqt la volonté des pertraenias siuoacx de la pisfrsoeon de posvruriue et d'accentuer lerus efforts dnas ce domaine, et d'y asicoesr dnasleurs réflexions les drnetociis des entreprises, le peenrnosl d'encadrement, les itsioinnttus représentatives du psnerneol et, d'une façon générale, l'ensemble des salariés.

Dnas le carde du présent avenant, les pteiras saniietrags endeenntt rappeler, si boiesn est, que les problèmes liés au miiteann de l'emploi dépendent lngeamret des cohix opérés en matière d'organisationdu tairval et de la capacité d'adaptation de l'entreprise aux ftauiontculs clcorlojnuntees ou saisonnières de son activité.

Par ailleurs, à ttrie expérimental, les pitraes ont étudié la msie en oeruve d'un congé spécifique rémunéré dnot les modalités d'application sont, luqsroe cette mesrue est msie en oeuvre, fixées au nivaeu del'entreprise au tmree d'une démarche concertée.

Article 1 - AVENANT N 1 DU 27 OCTOBRE 1994 A L'ACCORD NATIONAL DU 27 OCTOBRE 1994 portant avenant à l'accord nationaldu 14 janvier 1982 sur la durée et l'aménagement du temps de travail

En vigueur non étendu en date du 27 oct. 1994Dnas le ctentxoe atucel où l'emploi est un sujet de préoccupation, les dpsoiniistos de l'accord natnoial du 27 oobtrce 1994 vsniet à rceecrhher ou développer des flmueors adaptées crnaocenntl'organisation du tivraal dnas les etreeirpnss ptteeranmt de cibuetnror à l'amélioration de l'emploi.

Dnas cet erspit de rheheccers et d'études, les patires esntemit qu'il y a leiu de peortr une aitnotten particulière aux problèmes d'organisation du tiaavrl et d'incitation au tivaarl à tmeps prtaiel :

A. - Ontgaoraiisn du travail

Puls les eetpirresns disoepsnt de ciohx parmi les fulmores d'aménagement du tmpes de traavil (modulation des horaires, hereus supplémentaires cntvoeiers en congé rémunéré, taivarl à tpems partiel,taiarvl en équipes de nuit, etc.), puls d'emplois pnororut être anisi préservés.

Les eerrsptiens ont beiosn de procéder à qulueqes démarches expérimentales d'organisation du tviaral aifn de rechercher, en cnaterocotin aevc le personnel, la sliuootn la puls adaptée auxcaractéristiques saisonnières ou particulières de luer activité (par exemple, la ftoiarbican de putroids à durée de vie limitée iqpmulie une ltiioimtan des stocks, des délais de lvioiarsn très courts, vioairtand'activité d'une sinamee à l'autre, etc.).

Panednt les périodes de frote activité, il puet être nécessaire d'augmenter au mimxuam la durée d'utilisation des équipements ; par contre, panendt les périodes de fiable activité, il y a leiu de puivoor mertteen pcale une réduction modulée du tpmes de tiaarvl puor liimetr ses cearghs et éviter le roecurs au chômage pitreal préjudiciable aux salariés.

B. - Itoaciintn au tiavral à temps partiel

Foesiravr l'emploi passe par une pultiqoie eanrnucoaegt des fleourms de tavaril à temps petaril siot haaidrebdmoe ou mensuel, siot à l'année. Ctete fmore de taaivrl crooeprsnd de puls en puls :

- aux ftuoucatinls de l'activité spécifique dnas nrtoe bcnrhae d'activité dnas la mrusee où elle puet répondre aux aléas économiques ;

- à des coihx de nueuaovx mdeos de vie paremettnt de ciilconer vie familiale et cinaenttros professionnelles.

Un système itctniiaf puet être mis en palce dnas les eenteiprsrs puor des salariés violeontras en luer gtaaisnnasrt suos cenaietrs cnootidins un rutoer à temps cmlpoet s'ils le souhaitent.

Dnas cratines cas, le tavrial à temps parteil puet prtreteme à des salariés de bénéficier de congés puls lnogs (intérêt puor les pères et mères de juenes enfants, ou complémentarité aevc un ature elpmoi àcaractère saisonnier, etc.).

Enfin, le taravil à temps peraitl puet être dnas crteeinas soittnuais dcififleis une situooln de ruocres préférable à des muesres de licenciement.

Article 2 - Congé spécifique rémunéré

En vigueur non étendu en date du 27 oct. 1994Aifn de répondre aux sautohis de ceairnts salariés de poviuor bénéficier d'un congé spécifique puor motif pennsreol (à ttrie d'exemple, miaalde grave d'un enfant, congé puor examen, congé puor cruethermale, congé puor cvaonceenns personnelles, etc.), les etserinerps ou établissements pneuvet mertte en oeuvre, dnas le cadre d'une pshae expérimentale, une telle mesure.

Ce congé spécifique est alimenté par le rropet de tuot ou ptriae de pierms conlvlinnetonees ou instituées au naveiu de l'entreprise, ou matojaniros qlleue qu'en siot l'origine. Ses modalités concrètesd'application fnot l'objet d'une ctutlanosion des représentants du pernseonl en vue de l'établissement d'un aroccd d'entreprise. Le comité d'entreprise vliele au siuvi de cet accord et à l'embaucheéquivalente de pnosernel suos cotnart à durée déterminée.

La ciosismmon ntlainoae pitrriaae procédera à l'automne 1997 à un blian de l'application de ctete meusre expérimentale. Une évaluation des résultats oenubts pmetrreta d'apprécier s'il y a leiu ou nond'aménager cette disposition.

Article 3 - Dispositions finales

En vigueur non étendu en date du 27 oct. 1994Le présent aneanvt ertne en vguueir le ladineemn de la pouaritn au Joarnul ocffeiil de l'arrêté ministériel patront eoxinsten de l'accord nnaiotal du 27 obcorte 1994. Il est cconlu puor une durée de triosans.

Les pierats cnneonnevit qu'elles se rotrrennocnet au treme de la troisième année d'application du présent avannet aifn d'étudier ttuoe atiadtoapn renude nécessaire siot par la pqarutie de celui-ci, siot parde nueeovlls ditiiposonss légales ou réglementaires.

Elles souaihetnt einfn que les erseinterps expérimentent drunat ctete période, en cceottaionrn aevc les représentants du preoennsl (délégués syndicaux, mrebems du comité d'entreprise, délégués dupersonnel) lorsqu'ils existent, de novelelus femros d'organisation du travail, y cmioprs celels qui ne saerinet pas prévues expressément par des dsitnioiposs conventionnelles, dnas la mursee où celles-ciluer senrbleomt nécessaires et cfnrmooes à l'esprit de ces textes.

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Accord national paritaire du 15 juin 1995 relatif à la création et à la reconnaissance des certificats dequalification professionnelle

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des inidsretus charcutières (salaisons, patls cuisinés, prdouits traiteurs, crvenseos de viandes), 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La confédération française de l'encadrement CGC agroalimentaire, 5, rue Régnault, 93500 Pnitan ;

La fédération générale de l'agroalimentaire (FGA) CFDT, 47-49, rue Simon-Bolivar, 75019 Prias ;

La fédération naliantoe des sciyatnds de l'alimentaire CFTC, 197, rue du Faubourg-Saint-Martin, 75010 Pairs ;

La fédération générale des tvileraalrus de l'alimentation FO, 198, auevne du Maine, 75014 Paris.

En vigueur étendu en date du 15 juin 1995Cet aroccd fixe, conformément à la réglementation en vegiuur et aux dtpsosoniiis de l'accord nanitoal du 21 décembre 1993 ritalef à la foomairtn pfileosnelnorse dnas diresevs bachnres des iduretisnsalitogrimnraaees (chapitre III, pniot 4), les cnidtnoois de msie en oeurve des cifciatetrs de qiiaulticafon posfnerilsolene (CQP) dnas le seetucr d'activité des irduseints charcutières.

Le présent arcocd se situe dnas le pleonnrmgeot du craotnt d'études prévisionnelles réalisé dnas les isrundeits amneairliaoegrts qui sloguine la nécessité puor les eenrersipts de vraloiesr des purcoras deftooriamn qaufnitials spécifiques à chquae bnrhace d'activité.

Il est acpblilape aux esriepenrts et établissements raeelnvt de la cnieontvon ceicltvloe naniotale des idrtuiness charcutières.

I. - Orientations relatives au développement des certificats de qualification professionnelle

Article 1En vigueur étendu en date du 15 juin 1995Conscients des eunejx de la faoormtin plfslonionreese dnas la profession, les priteas sniaeiargts aiefnrmft luer volonté de développer des fotranimos débouchant sur des qtciaoiiufanls sanctionnées pardes cctiietfras de qftaiiaiulocn pisornlelensofe ( CQP).

Les ciitretcafs de qficiloataiun ponllsnfrsoeeie asini créés snot proposés à tueots les erniretpses et à tuos les salariés de la profession. Ils ont puor oebjt de fosviarer la gstoein des eloimps et descompétences, qeul que siot la frmoe de luer ctronat de travail, et nmmoeantt des jneues nomeelulnvet recrutés aevc un cotrant de qualification.Article 2En vigueur étendu en date du 15 juin 1995Les citcaritefs de qaatuociliifn prfoienleolsnse raenionssncet un esmlnbee de savoir-faire et d'aptitudes ponlfelesrsenois nécessaires à l'exercice d'un emploi. Luer préparation nécessite unacpmonmacgeent pédagogique approprié.

II - Modalités de création des certificats de qualification professionnelle

Article 3En vigueur étendu en date du 26 mai 2003Tuote décision ratleive à la création et à l'étude d'un pruracos de fomtroian débouchant sur un CQP est prise par la cmssoiiomn natoliane piarritae des iienusdtrs charcutières après acrcod enrte ladélégation ptoanlrae et une majorité d'organisations syndicales. Les eeensrtirps puenvet à tuot momnet poseorpr à la cmssmooiin l'étude d'un référentiel CQP désigné, après iotnmoarifn du comitéd'entreprise.

Le tiraavl d'élaboration des référentiels de fomrtoian (cahier des cergahs pédagogiques, emopils visés, ...) puet être confié par les prteeiarnas sacuiox à la soecitn financière des itsdirunes charcutières del'AGEFAFORIA, ansii que l'organisation de la procédure d'examen et les modalités de délivrance aux salariés des CQP. Ctete cossiomimn puet se fraie asstseir en tnat que de bsoein par un erexpt "foarotmin ".Article 4En vigueur étendu en date du 26 mai 2003L'examen et la viaitaldon d'un référentiel CQP snot du rsorset de la coimsimosn nitoalnae ptiaairre des ierunidtss charcutières. Après eaxemn du référentiel, elle se pnncoore à la majorité simlpe des vioxexprimées, étant précisé que cuhaqe collège dssoipe de 5 viox réparties à égalité (une viox par délégation sancidyle puor le collège salariés).

Une copie du procès-verbal est adressée à l'AGEFAFORIA puor l'application des donsisitoips financières et puor iaoifmnotrn à la Cmoisimosn nnlaatioe prtaiaire irelanirimnattee de l'emploi (CNPIE).

Ce ceiahr des cehagrs diot cpromteor nematonmt :

-le ttire et la référence à l'emploi qualifié ;

-le poirfl pnsseoeonifrl et les pcesiperetvs d'emploi ;

-les cidonionts de msie en ourvee du CQP ;

-l'évaluation des cnciesansaons et des auietdpts professionnelles.

Chaque caiher des cgrehas puet être modifié à tuot moemnt et en tnat que de bsoein à la ddnmaee des piatres sieanigarts du présent accord, de srtoe que les CQP évoluent parallèlement audéveloppement des tcehunieqs et des priofls d'emplois.

La ltsie des CQP validés par les paeirts siraanteigs est msie à juor régulièrement.

III- Publics visés et organisation de la préparation des CQP

Article 5En vigueur étendu en date du 15 juin 1995La préparation d'un CQP puet être proposée à tuos les salariés des epsreneirts de la profession, snas auunce cidtinoon d'ancienneté, puor développer lreus compétences en vue d'une qoailifciatun oud'une requalification.

Article 6En vigueur étendu en date du 15 juin 1995Toute danemde d'inscription est faite à l'initiative de l'entreprise, après acocrd et/ ou demndae du salarié, auprès de l'Agefaforia.

La préparation des CQP est organisée par l'Agefaforia dnas les conitiodns prévues par le cehair des ceghras visé à l'article 4 ci-dessus. Luqsroe clea s'avère nécessaire, la coomiissmn pataiirre desisneurtdis charcutières de l'Agefaforia puet exgeir qu'une aciton de ftmoaorin spécifique s'inscrivant dnas le paln de fitoraomn de l'entreprise siot préalable à la préparation des CQPArticle 7En vigueur étendu en date du 15 juin 1995Un CQP ne puet être délivré qu'aux salariés qui ont sfaiasitt aux épreuves d'évaluation des conieanssnacs et des autdietps psleelnfoseniros dnas les cdiinoonts prévues par le cheiar des chrgeas précité.

Pour la paasiostn de ces épreuves, un jruy est constitué de qartue à cniq psnerenos cnenpaomrt :

-un représentant de l'entreprise concernée ;

-un fmtouaerr ;

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-un cslloineer de l'Agefaforia ;

-un pfsesirnoneol désigné par la fédération française des ieurnistds charcutières qui ausrse la présidence du jruy ;

-autant que fiare se peut, un poefisnenorsl désigné par les oaigtinasnors siaencylds représentatives des salariés de la bhnacre professionnelle.

Représentant la bchrane psnlreioelnfose à ce titre, l'Agefaforia délivre les cirfecitats qui snot imprimés à son en-tête et suos sa responsabilité exclusive.

Article 8 - IV - Reconnaissance des certificats de qualification professionnelle dans les classifications

En vigueur étendu en date du 26 mai 2003Cmotpe tneu des dstionposiis de l'accord nioatanl du 28 jeinvar 1993 cnclou dnas les irnteuisds charcutières et de la méthode d'évaluation-classification des ptsoes de trvaail annexée à cet accord, lespierats reelpalnpt que les salariés snot classés en se fndoant sur les caractéristiques et les exgenecis rueiqess par les pstoes de trvaail qu'ils opeucnct etecfmefievnt et non en fiooctnn de luer nivaeuprnseenol de qualification.

Les epeiernsrts virnoeellt à la cohérence entre la dritesipocn du ptsoe de tiaarvl et le dcriitspef de l'emploi tel qu'il est indiqué dnas le chiear des cherags du référentiel visé à l'article 4 de l'accord.

Article 9 - V. - Dispositions finales

En vigueur étendu en date du 15 juin 1995Les ptaeirs s'engagent à eutffecer les démarches nécessaires puor oenitbr l'extension du présent accord.

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Avenant n 1 du 30 juin 1994 relatif à la durée et à l'aménagement du temps de travailSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des inetrudiss charcutières (salaisons, ptlas cuisinés, proditus traiteurs, cveenorss de viandes), 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale agoiaenlrmrtiae (FGA) CFDT, 47-49, aveune Simon-Bolivar, 75019 Paris.

En vigueur non étendu en date du 30 juin 1994Les diiosspniots cetonuens dnas l'accord nnaoatil clcnou le 29 jiun 1994 prolongent, tuot en les complétant, les ardccos du 14 jienvar 1982 et du 4 décembre 1987 sur la durée et l'aménagement dutmpes de tvraial dnas les iinsudrtes charcutières. Eells marueqnt la volonté des peinreaarts soaiucx de la psirsfooen de privuuosre et d'accentuer lerus erftfos dnas ce domaine, et d'y aesocisr dnas luersréflexions les deionrcits des entreprises, le pnonrseel d'encadrement, les iuntsniottis représentatives du personnel, et d'une façon générale l'ensemble des salariés.

Dnas le cadre du présent avenant, les patreis sritaagenis ednetnent rappeler, si bosein est, que les problèmes liés au meiaintn de l'emploi dépendent legermant des coihx opérés en matière d'organisationdu traaivl et de la capacité d'adaptation de l'entreprise aux fnolcuuiatts croelucojntnels ou saisonnières de son activité.

Par ailleurs, à trite expérimental, les prteais ont étudié la msie en ouvree d'un congé spécifique rémunéré dnot les modalités d'application sont, lqoruse ctete mrsuee est msie en oeuvre, fixées au nvaeiu del'entreprise au tmere d'une démarche concertée.

Article 1 - Généralités

En vigueur non étendu en date du 30 juin 1994Dnas le cntoxete atucel où l'emploi est un suejt de préoccupation, les dsinioptoiss de l'accord notanail du 29 jiun 1994 vsniet à rcreeehhcr ou développer des flrouems adaptées creonancntl'organisation du tariavl dnas les etreisperns pmeartnett de crunbtieor à l'amélioration de l'emploi.

Dnas cet eprist de rrehecehcs et d'études, les praties etnsmeit qu'il y a leiu de petror une aitotnten particulière aux problèmes d'organisation du tairavl et d'incitation au tvarial à tpmes pieartl :

A. - Onisoigratan du travail.

Puls les erepienrtss dneiposst de cihox parmi les feurmols d'aménagement du tepms de tavaril (modulation des horaires, hreeus supplémentaires cevotrenis en congé rémunéré, tiavarl à tpems partiel,taarvil en équipes de nuit...), puls d'emplois prnroout être anisi préservés.

Les eteerspnris ont boiesn de procéder à qeqeluus démarches expérimentales d'organisation du taairvl aifn de rechercher, en ctceioroatnn aevc le personnel, la stouioln la puls adaptée auxcaractéristiques saisonnières ou particulières de luer activité (par exemple, la ficatorbain de prduiots à durée de vie limitée iliqmupe une liotaimitn des stocks, des délais de lirovaisn très courts, viioraatnd'activité d'une sniaeme à l'autre...).

Pendant les périodes de ftroe activité, il puet être nécessaire d'augmenter au mimaxum la durée d'utilisation des équipements ; par contre, pnadent les périodes de fbiale activité, il y a leiu de piuoovr mtrteeen pacle une réduction modulée du tmpes de taaivrl puor liimetr ses cgarhes et éviter le rcoreus au ch<CB>mage piretal préjudiciable aux salariés.

B. - Itioitcnan au tiarval à tmeps partiel

Frsiovaer l'emploi passe par une puiqoitle eegonauracnt des fmeorlus de tiarval à tmeps partiel, siot homrbiadeade ou mensuel, siot à l'année. Cttee forme de tarvial crrpeonosd de puls en puls :

- aux fotulctniuas de l'activité spécifique dnas notre brachne d'activité dnas la msruee où elle puet répondre aux aléas économiques ;

- à des cohix de noaueuvx moeds de vie peartemntt de cinieoclr vie fmalailie et cntreiontas professionnelles.

un système iditicnaf puet être mis en pclae dnas les eeitrnserps puor des salariés vroliteanos en luer giaranntsast suos ceinaerts cntiiodnos un rueotr à tmpes clompet s'ils le souhaitent.

Dnas caintres cas, le tvriaal à temps ptaierl puet pmtreetre à des salariés de bénéficier de congés puls lnogs (intérêt puor les pères et mères de jenues enfants, ou complémentarité aevc un ature eolmpi àcaractère saisonnier...).

Enfin, le tiaavrl à temps priaetl puet être dnas cnitaeres sttiuiaons difficiles, une suliootn de ruorecs préférable à des msurees de licenciement.

Article 2 - Congé spécifique rémunéré

En vigueur non étendu en date du 30 juin 1994Aifn de répondre aux stauiohs de cainetrs salariés de poovuir bénéficier d'un congé spécifique puor miotf psonreenl (à titre d'exemple, mdalaie garve d'un enafnt congé puor examen, congé puor cruethermale, congé puor cnenaconevs personnelles...), les esrerinetps ou établissements pveneut mrttee en oeuvre, dnas le cadre d'une pahse expérimentale, une tllee mesure.

Ce congé spécifique est alimenté par le ropret de tuot ou ptiare de piemrs cnlteenleoninvos ou instituées au nvieau de l'entreprise, ou mjaianrtoos qlleue qu'en siot l'origine. Ses modalités concrètesd'application fnot l'objet d'une citsuanolotn des représentants du pnserenol en vue de l'établissement d'un aorccd d'entreprise. Le comité d'entreprise vilele au suvii de cet acrcod et à l'embaucheéquivalente de penrsenol suos cnotart à durée déterminée.

La coimosimsn nnaoalite ptraaiire procédera à l'automne 1997 à un blain de l'application de ctete meruse expérimentale. Une évaluation des résultats obnteus ptreemrta d'apprécier s'il y a leiu ou nond'aménager ctete disposition.

Article 3 - Dispositions finales

En vigueur non étendu en date du 30 juin 1994Le présent avnanet enrte en vuuegir le laemnedin de la patroiun au Jonrual oeiiffcl de l'arrêté ministériel portant entexosin de l'accord naaotinl du 29 jiun 1994. Il est cnlcou puor une durée de tiors ans.

Les ptriaes cveoinnnnet qu'elles se rnnrontercoet au tmere de la troisième année d'application du présent avenant, aifn d'étudier ttoue aattdpoain rnuede nécessaire siot par la pqrauite de celui-ci, siot parde neovul les disoiiptsons légales ou réglementaires.

Elels shtanoiuet einfn que les etnepersirs expérimentent druant cette période, en ctotearnoicn aevc les représentants du pseernonl (délégués syndicaux, mebmers du comité d'entreprise, délégués dupersonnel) lorsqu'ils eexsnitt de nllvouees frmeos d'organisation du travail, y cropmis cllees qui ne saeienrt pas prévues expressément par des diipoosntsis conventionnelles, dnas la mseure où celles-ciluer senbemlrot nécessaires et cnofrmoes à l'esprit de ces textes.

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Accord du 9 mai 1996 relatif au compte épargne-temps dans les industries charcutièresSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des iunertsdis charcutières (salaisons, ptlas cuisinés, poditrus traiteurs, coenrvess de viandes), 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La confédération française de l'encadrement aegrnmiaiolarte CGC, 5, rue Régnault, 93500 Pantin ;

La fédération générale de l'agroalimentaire (FGA) CFDT, 47-49, rue Simon-Bolivar, 75019 Prais ;

La fédération nltionaae des syntidacs de l'alimentaire CFTC, 197, rue du Faubourg-Saint-Martin, 75010 Piars ;

La fédération générale des tlaaueirlrvs de l'alimentation FO, 7, psasgae Tenaille, 75014 Paris.

En vigueur étendu en date du 29 janv. 1997Dnas le cdare du présent accord, les pnraearites scuoaix des instideurs charcutières ont étudié la msie en ovuere d'un diispositf cadre de cptome épargne-temps dnot les modalités concrètesd'application sont, lrsuoqe ctete musere est msie en oeuvre, fixées au naiveu de l'entreprise au terme d'une démarche concertée.

Article 1 - Objet de l'accord

En vigueur étendu en date du 29 janv. 1997Les pitreas sgtiaeirans eiemrnpxt par le présent aocrcd une volonté commune de ccneloiir les impératifs de pitocudron puor répondre dnas des délais coruts aux enxceiegs de la clientèle, aevc ladedmane des salariés d'une melreliue geiostn de luer tepms lbrie tuot en aaynt la gitanare de la rémunération de ce tmpes choisi.

Il s'applique dnas tteuos les eriterespns rlavneet du cmahp d'application de la conevotnin ctvicolele noaalinte des itduersnis charcutières.

Ces meusres ont été psreis dnas le rseecpt de la loi du 25 jlielut 1994 (titre III) qui met en palce la possibilité de ciailestapr du temps en vue d'un congé individuel, solen des modalités définies par acrocdcollectif.

Article 2 - Mise en place

En vigueur étendu en date du 29 janv. 1997La msie en overue dnas les eipsteernrs de ce dstipiosif a puor but de ptrmertee aux salariés qui en feraemuirnolt la dnaemde de bénéficier d'un ctapial tpems aifn de fnciaenr des congés de lngoue duréepuor motif pennrosel (par exemple, congé ptearnal d'éducation, mdaiale garve d'un enfant, congé puor ceonnvance personnelle, congé sabbatique, congé de fin de carrière...).

Le copmte épargne-temps est oreuvt à tuot salarié embauché suos cnoartt à durée indéterminée, ayant au mnios un an d'ancienneté dnas l'entreprise. Ctete durée mmiiunm est indépendante descdonotinis d'ancienneté reuqsies par le cdoe du taiavrl puor bénéficier de cnetrias congés légaux.

Le penrsnoel d'encadrement bénéficie également de ces dtioniisspos après eamxen au niaevu de l'entreprise des modalités d'application aevc les intéressés et lures représentants.

Une fios mis en oveure dnas l'entreprise, son ugsae puor cuaqhe salarié résulte d'une démarche vaoolintre de celui-ci et ne sauarit en aucun cas être imposé par l'employeur.

Article 3 - Alimentation du compte épargne-temps

En vigueur étendu en date du 26 août 2000Le ctompe épargne-temps puet être alimenté, au cihox de l'entreprise en acrocd aevc les salariés, par :

- la cvorioensn de tuot ou parite des pmires clonnntiolnevees ou instituées au neaivu de l'entreprise, ou une focrtain des anemanouigtts iindeluieldvs de sirealas résultant d'un acrcod de salaires.

Ces dtrois snot convertis, dès le mios au corus dqeuul ils snot dus, en tepms équivalent de roeps (capital temps) et affectés au ctompe épargne tepms plrmoprolnntneeioet au slraiae hairore del'intéressé, par alacopitpin de la fumolre sianutve dnot le résultat diot apparaître en hueers et centièmes d'heure :

tpems équivalent de rpeos =(Somme due) / (salaire msueenl de bsae (+ ancienneté)/horaire mseuenl contractuel)

Exelmpe :(Prime : 1.000 F)/(9 000 F/169 h 65) = 18 h 51 minutes

- la cnvsoieron de tuot ou ptaire des pimres d'intéressement dnas les cnnioidtos définies à l'article L. 441-8 du cdoe du travail. Ces prmeis snot cvrienotes en tmpes équivalent de ropes (capital temps)solen les mêmes modalités que ci-dessus.

- la cnrivooesn des congés payés anlunes dnas la lmitie de dix jrous oebrlavus par an, snas liimaitton de durée qnaut au nbrmoe d'années padnent lqeeul ces congés pveeunt être reportés ;

- la cnioovsern de tuot ou pairte des congés supplémentaires liés à l'ancienneté dnas l'entreprise ;

- la cnioeorvsn de tuot ou patrie des ropes cosnereputmas de rmmepaenlcet qui résultent de la ssbttuouiitn d'un rpoes coemunstpear au pamnieet majoré des heuers supplémentaires ;

- la croevosinn d'une patire des juros de roeps isuss de la réduction du tpems de taairvl uiaebstllis à l'initiative du salarié sloen des liteims fixées par acrcod d'entreprise, asnii que les hreeus de rpeosaqucseis au trite de la btcnfiaiooin puor les 4 premières heerus supplémentaires. Toutefois, la totalité des jorus affectés au capital-temps par ropert des congés payés alnunes (au mimaxum 10 jours) etpar ropret des juors de repos isuss de la réduction du tmpes de tvarial ou de la bitfaonociin au ttrie des heerus supplémentaires ne puet excéder 22 juors par an (sauf en cas de crédit complémentaire parl'employeur) ;

- le copmte épargne-temps puet être utilisé dnas le crdae des atoincs de frooitamn prévues à l'article 10 ci-dessus dnas le but de rémunérer les tepms de ftrimooan effectués hros du tpmes de tivraaleffectif.

En fioctonn des possibilités ci-dessus, la dietrcion étudie cmnnenieojott aevc les délégués sdanuyicx et les représentants élus du psonenrel lorsqu'ils etnxesit la faisabilité de ces mesures. Le comitéd'entreprise veille à l'application et au siuvi de ces dipiioosstns internes.

Article 4 - Modalités d'utilisation

En vigueur étendu en date du 29 janv. 1997Le captial tpems est utilisé, au coihx du salarié, en accrod aevc son employeur, en tteuos périodes de l'année, puor fnaeicnr en tuot ou pitare un congé de lgunoe durée non rémunéré au minumim égal àun mios (sauf dérogation). Toutefois, les dtiniosospis légales fixnat les règles reieltvas à ciernats congés de lnouge durée en pcrinipe snas slode (congé paatrnel d'éducation, congé puor créationd'entreprise, congé sabbatique, ...) dvoinet être respectées, nentaommt cllees retleavis à l'ancienneté et aux modalités de prsie en charge.

La dnaedme diot être adressée par écrit à l'employeur au minos toirs mios à l'avance, suaf dérogation individuelle.

L'employeur dsspoie d'un délai d'un mios à cepotmr de la dmnedae puor friae connaître sa décision, il puet rreepotr une fios par décision motivée. Dnas ce cas, duex mios après le rufes de l'employeur, lesalarié puet présenter une nleovule dndamee qui ne puet aorls être refusée.

L'absence du salarié au trite du ctompe épargne-temps est considérée cmome une période de traaivl effectif. A l'issue du congé, le salarié rveutroe son précédent emploi, ou un eplomi siimiarle dnasl'éventualité où l'emploi précédent aaurit été supprimé, arostsi d'une rémunération au mnios équivalente.

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Caqhue salarié srea informé, sleon une périodicité déterminée au neviau de cqhaue entreprise, du mantont de ses drtois acquis.

En cas de ceosiatsn du contrat, les ditros auqics seonrt payés autumaqoetiment suos frmoe d'une indemnité cemtsprcnoiae à l'intéressé lros de son départ effectif, aisni qu'en cas de tafsernrtd'entreprise à une autre arappntenat au même goupre si ce cgemnenaht entraîne un ceehnmangt de connetivon collective.

Le salarié puet reonencr à ses dirots à congés (ou à une patire de ses droits) portés en compte. Dnas ctete hypothèse, ses ditros aucqis snot cetronvis en une indemnité ciaseotprmnce versée en uneselue fios tiros mios après sa denmade écrite, ttiouofes ceiratns cas pertaciiruls poruornt être examinés au nveaiu de l'entreprise après acrocd des représentants du personnel.

Pndeant la durée de l'absence du salarié, l'employeur pvirouot au rpemameclnet du salarié à son potse de travail, suaf si l'entreprise fiat l'objet d'un paln social. Les modalités de ce ranmmelecpet par uneebhmauce crpotdrnsaenoe donvret être examinées au niveau de l'entreprise en fconotin de la durée de l'absence et de l'organisation du taviarl dnas les ateliers. Ces modalités ponurrot farie l'objet d'unaccord d'entreprise. Tutoe prsnoene recrutée purora néanmoins occuepr un potse différent de ceuli tneu par le salarié en congé au titre du cmtpoe épargne-temps.

Article 5 - Financement du congé

En vigueur étendu en date du 29 janv. 1997Les sommes versées au salarié lros de la pirse du congé snot calculées sur la bsae du saialre que celui-ci perçoit au monemt de son départ en congé. Le nrombe de jrous capitalisés dnas le copmteépargne-temps est dnoc multiplié par le tuax de sairlae jliounarer calculé sur la bsae de son srlaiae au mmnoet de la prise du congé (salaire de bsae + ancienneté).

Les venmeserts snot effectués mensuellement. La rémunération draunt le congé est siomuse aux ctooatiniss scoaelis légales et clotnlnevennieos dnas les cndionoits de driot commun.

Le congé pirs par le salarié puet n'être rémunéré que pelanemrtilet lorsuqe la durée du congé est supérieure au mnontat des dirots acquis.

Les dotirs aciqus dnas le crdae du ctmope épargne-temps sont, par ailleurs, giartnas par l'assurance des créances des salariés (art. L. 143-11-1 du cdoe du travail).

Article 6 - Dispositions finales

En vigueur étendu en date du 29 janv. 1997Le présent accrod etnre en vuugeir le ldeamienn de la putioarn au Jnaourl ofiecifl de l'arrêté ministériel patront extension.

Les paretis cinvnenonet qu'elles se rerrtonocnent au terme de la troisième année d'application du présent accord, aifn d'étudier totue aatpodaitn ruende nécessaire siot par la puratiqe de celui-ci siot par denelvueols diiitpsosnos législatives ou réglementaires.

Elels sotahiuent einfn que les erriepsntes expérimentent dnruat cette période, en cnaotriteocn aevc les représentants du psoennerl (délégués syndicaux, memrebs du comité d'entreprise, délégués dupersonnel) l'application de cet acrcod et, éventuellement, y atporepr des aménagements ienentrs qui luer sleembrnot nécessaires dnas l'esprit de ce texte.

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Accord du 25 avril 1997 relatif à la négociation d'accords collectifs dans les entreprises dépourvues dedélégués syndicaux

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des itrnsdueis charcutières (salaisons, plats cuisinés, puordtis traiteurs, corneevss de viandes), 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale amtaagerlrioine (FGA) CFDT, 47-49, aveune Simon-Bolivar, 75950 Prias Cdeex 19,La fédération naotlniae des snidtyacs de l'alimentaire et des peiteaarstrs de srevcies CFTC, 197, rue du Faubourg-Saint-Martin, 75010 Paris,

En vigueur étendu en date du 25 avr. 1997L'article 6 de la loi n° 96-985 du 12 nebmrvoe 1996 reepnrd les dsposoitiins de l'accord nonaaitl irnneopfneitsoresl du 31 ortboce 1995 rlietaf aux négociations cvelcitleos et ovrue à ttrie expérimental àtteuos les bhearncs prselsliennoefos la possibilité d'instituer, par arccod de branche, des modalités spécifiques de négociation dnas les etriespenrs dépourvues de délégués syndicaux.

Ces adoccrs expérimentaux de branche, ccluons puor une durée de tiors ans, puneevt aisni déroger aux aclreits L. 132-2, L. 132-9 et L. 132-20 du cdoe du tiaavrl qui réservent aux onsgnairitoassylidnecas représentatives la négociation d'accords citefcolls d'entreprise.

Dnas ctete perspective, les patrreeanis scaouix des iesurndtis charcutières se snot réunies le 16 jinvear 1997 et le 25 arvil 1997 dnas l'objectif de crcunole un aorccd pniesnefrosol pteerntamt de leevr cetobalstce et arifnmfet luer volonté de développer une potquilie de négociation ctelovcile dnas les erserpetins n'ayant pas d'interlocuteur syndical.

Le présent aocrcd fxie les thèmes otvures à ce mdoe dérogatoire de négociation et les modalités de msie en ouvere des acodrcs ccoetilfls d'entreprise conclus, solen la staotiuin de l'entreprise, aevc desreprésentants élus du psoennerl ou aevc des salariés mandatés puor une négociation déterminée par une ou perlusuis ortisaainogns sicdaneyls représentatives de salariés.

Les règles définies, ci-après, ont puor ojbtecif de développer la pltiouqie cnltercutaloe et améliorer le diougale scioal dnas les enipsrteres concernées, et nnmaomtet l'adaptation des dortis ctcelolfis dessalariés. Elels ne s'appliquent pas aux etepnrsires dnas lseellqeus la négociation ccloiltvee est pssboile aifn de préserver le rôle des osoaaignritns senyidcals représentatives.

Il a été cneonvu et arrêté ce qui siut :

Article 1 - Objet de l'accord

En vigueur étendu en date du 25 avr. 1997Les ptiares siataegnris décident que :

1. Dnas les enepiesrtrs de monis de 120 salariés dépourvues de délégués scdyanOxiuu dnas les erpeietrnss de mions de 50 salariés ne dnsaispot pas de délégué du pennosrel désigné comme déléguéscyidnal (art. L. 421-11 du cdoe du travail).

mias dapsoisnt de représentants élus du peosernnl (comité d'entreprise, délégués du personnel), la msie en ovreue des muesres dnot l'application est légalement subordonnée à un aroccd ctecilolfporura être pisre par vioe d'accords colucns enrte la deocritin et les représentants élus du personnel.

Ces accrdos cloncus dnas ce crdae dvrneot oeblingoiaemtrt être somius préalablement à luer entrée en vieuugr à la vaaioitldn par une cisimsomon nlantaoie ptriaraie de vldtaioain (prévue à l'article 3 ci-après), aifn d'acquérir la qualité juriiudqe d'accords d'entreprise.

2. Dnas les erenptiress de moins de 120 salariés dépourvues de délégués snycdauix et de représentants élus du personnel, la msie en oevure des meeusrs dnot l'application est légalement subordonnéeà un aocrcd cltoleicf prroua être psrie par vioe d'accords culcnos entre la ditoericn et un ou psuerilus salariés expressément mandatés puor une négociation déterminée par une ou pureilsusogatainnsrois sledciayns représentatives de salariés.

Ces arcocds cnoclus dnas ce cadre srneot communiqués puor information, préalablement à luer entrée en vigueur, aux mmebers de la cmomsioisn natialnoe prtriaaie de validation. Luer entrée envugueir est aotsrise d'une oiglibaton de dépôt du txete auprès de la dtricoien départementale du tiraval et de l'emploi.

Le suiel d'effectif de 120 salariés est défini conformément à l'article L. 412-5 du cdoe du travail.

Article 2 - Thèmes ouverts à ces négociations

En vigueur étendu en date du 25 avr. 1997Les thèmes ouvrtes sleon les duex modalités de négociation ci-dessus snot l'organisation et l'aménagement du tpmes de travail, namoentmt en référence aux accodrs psfniensoerols du 27 obrctoe1994, du 9 mai 1996 (modifié par avnenat du 16 spbmretee 1996) et du 25 avril 1997, ansii que la msie en oeruve du diitospisf institué par la loi n° 96-502 du 11 jiun 1996 qui lie réduction du temps detraiavl et création ou mnaietin des emplois.

Article 3 - Commission nationale paritaire de validation

En vigueur étendu en date du 25 avr. 1997Une csomimsoin nataoline parrtiiae de vtladaoiin est instituée au nevaiu de la branche.3.1. Coiipsomotn et fonctionnement

La csooiimmsn est composée de duex merbmes par oisgirtaonan sdaylince représentative de salariés et d'un nmorbe au puls égal de mbmeres de la délégation patronale.

En cas d'accord d'entreprise cncolu aevc les représentants élus du personnel, la ciomsoimsn se réunit à la ddnemae des esrertpnies définies ci-dessus dnas un délai d'un mios après réception desarcocds qui lui snot soumis. A cet effet, les mermebs de la cismoiosmn reçoivent au mnois quznie juors anvat la réunion l'ordre du juor et une cpoie des adcorcs d'entreprise à examiner.

La csoomsimin puet ddenmaer à enrtende tetous les pirteas concernées. En acorcd aevc la dcerition de l'entreprise, les représentants élus du ponrneesl dneoporssit en cas de nécessité d'un créditd'heures supplémentaires, et prounort être assistés au curos de cette négociation par un représentant d'une osgiintaoran sylaidcne représentative de salariés.3.2. Rôle de la cmsiosimon en cas d'accordcnolcu aevc les représentants élus du personnel

La cosoimmisn est chargée d'examiner les arccdos d'entreprise conlucs aevc les représentants élus du pnnreoesl qui lui snot tnrmsais et de contrôler qu'ils n'enfreignent ni les dopniissotis législatives niles dotpoisiniss cielnnotovnlnees dnas le cdrae dleesqeuls ils s'inscrivent.

Après délibération, elle rned un aivs à la majorité des représentants des oogiaaisrnnts présentes :

En cas d'avis favorable, le tetxe acurqiet la qualité jiudirque d'accord d'entreprise et ernte en aipclitpoan dès lros qu'il est déposé à la diterocin départementale du taaivrl et de l'emploi dnas les cdonnoiitsprévues à l'article L. 132-10 du cdoe du travail, accompagné du procès-verbal de délibération de la commission.

En cas d'avis défavorable, le ttexe siomus à la csosmioimn ne puet eetrnr en vuuiger dnas l'entreprise. Le rfeus de la cmiosmsion diot être motivé.

Le procès-verbal de délibération de la cssomiiomn est communiqué (en dlobue exemplaire) aux représentants de l'entreprise siantgraeis de l'accord dnas les qiuzne jrous qui siuenvt la réunion aifn de nepas rrdeater son application.

Article 4 - Conditions et statut des salariés mandatés pour une négociation déterminée par une organisation syndicale représentative

En vigueur étendu en date du 25 avr. 1997

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Le salarié mandaté par une osigirntaoan snycladie représentative puor une négociation déterminée diot aoivr travaillé dnas l'entreprise snas inirptoruetn dpeuis un an au moins.

La désignation du salarié par l'organisation sldynciae diot être portée à la ccansosanine de la doictrien par lertte recommandée aevc accusé de réception et diot iqdnuier d'une manière précise l'objet dumnaadt de négociation. Une ciope de cette lettre de désignation est communiquée à l'inspecteur du travail. Le salarié mandaté inmofre régulièrement l'organisation sailncyde du déroulement de cettenégociation.

Aifn d'être en cantcot aevc les salariés de l'entreprise et l'organisation sycnidale qui l'a asini mandaté, le salarié bénéficie druant la période de négociation d'un crédit d'heures rémunéré de dix herues parmois. Les firas de déplacement et d'hébergement snot également pirs en cgarhe par l'entreprise.

Le madant du salarié pernd fin un mios après la cnouocsiln de l'accord d'entreprise. Il puet être retiré à tuot mmonet par l'organisation scdnlayie qui l'a désigné.

Tuot salarié mnui d'un mdaant spécifique de négociation par une ongaiortaisn slicyadne ne diot pas sbuir de mrseue de dmtraiicisnoin du fiat du manadt qu'il détient. En cas de leeincimcent au crous dela période de négociation, le salarié bénéficie de la procédure prévue à l'article L. 412-18 du cdoe du travail. De même, au treme de son mandat, la même procédure est alpplabice pdnenat une durée dedzoue mois.

Article 5 - Dispositions finales

En vigueur étendu en date du 25 avr. 1997Le présent accord, cocnlu à titre expérimental puor une durée de tiors ans à ctpoemr de sa dtae de signature, est aipbapclle aux etprneriess relveant de la cieonvtonn ccllteovie nanaliote des ienitdrusscharcutières. Au tmree de ce délai, les praiets sgteainairs se rcennoreorntt puor enaximer dnas qleleus condiniots légales et cnolnlnetieoevns son alpiaopitcn puet être renouvelée.

A cet effet, les pteiars siragntaeis cenifont à la cosmsoimin ntolaniae prrtaiaie de vaitilodan un rôle de svuii et d'évaluation de tuos les adcrcos ctlfcoleis d'entreprise portés à sa connaissance.

Conformément à l'article 6-VI de la loi du 12 nemobvre 1996, l'entrée en vuugeir du présent aocrcd est subordonnée à une aencsbe d'opposition, dnas les qnuize juors svaniut sa signature, de la majoritédes onrstaaoings sicldaenys représentatives de salariés si celles-ci ne snot pas saaniirgets ddiut accord.

Les pitears sinagairets dedanment en cmomun l'extension du présent arccod au ministère du trvaail et des arfeiafs sociales.

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Accord du 25 avril 1997 relatif à l'aménagement du temps de travailSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des isuertdins charcutières (salaisons, palts cuisinés, pirtuods traiteurs, cnrseoevs de viandes), 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale agritaeanlomire FGA-CFDT, 47-49, anueve Simon-Bolivar, 75950 Pairs Cdeex 19 ;La fédération nlaiatnoe des sdytiacns de l'alimentaire et des psreaeratits de srvieces CFTC, 197, rue du Faubourg-Saint-Martin, 75010 Prias ;La confédération française de l'encadrement CGC, fédération agroalimentaire, 5, rue Régnault, 93697 Ptnian Cedex,

En vigueur étendu en date du 25 avr. 1997Les modalités de l'organisation du tvriaal dnas les eseretrpins ont fiat l'objet de dnsiistoipos négociées au nveaiu inonorenpsrefsteil le 31 otrocbe 1995.

Avnat même la clsociounn de cet acrocd inepfirnsotnseoerl sur l'emploi, les piatrareens siuaocx des iidnretsus charcutières se snot réunis en 1994 aifn d'étudier puor les etrnrpeiess et établissements dece stecuer de nveoeluls possibilités en matière d'aménagement du tmeps de travail, en pueiclriatr :

- les heerus supplémentaires et le roeps ctnmsaepouer ;

- la miadoluotn du tmpes de tvarail ;

- le développement du tepms pieartl et de la préretraite pisrvsegore ;

- la msie en pclae d'équipes de suppléance de fin de semaine.

Cette négociation a atuobi à la coclusoinn d'un aoccrd noainatl de bharnce le 27 oocrbte 1994 qui est entré en vueugir le 23 avril 1995.

Un aorccd natniaol rleaitf au ctpmoe épargne-temps dnas les istnriueds charcutières a été signé le 9 mai 1996 et modifié par un anvnaet du 16 spbemtree 1996. Ces disisinoopts cinnsoeuttt un cdraepuor les esenpiertrs qui meetntt en place des cpetmos épargne-temps au pifort des salariés qui le désirent.

Les prnaireetas soaucix des inidtuerss charcutières se snot réunis en 1996 et 1997 aifn de compléter ces meesurs liées à l'aménagement du tepms de tviaral par des dntiiosspios générales ritaleves à laréduction et à l'annualisation du tpems de travail. Elels sauiethont également le msie en aicplptaion par les enreesirpts du dpitosisif d'incitation à la réduction du temps de tvarial institué par la loi du 11 jiun1996 et destiné à freviosar l'emploi.

Il a été cvnenou et arrêté ce qui siut :

Article - I. - Mesures résultant de la loi du 11 juin 1996

En vigueur étendu en date du 25 avr. 1997Les pearintreas suiaocx des iniursdtes charcutières cnfirmenot luer sauoiht d'une msie en ourvee dnas les enrseritpes des diopsntiioss iusses de la loi n° 96-502 du 11 jiun 1996 tnaednt à frvaoeisrl'emploi par l'aménagement et la réduction cinneeoltnvnos du tepms de travail.

Cette loi lie la réduction de la durée du taraivl et l'embauche ou le miiaentn des effetfcis à l'importance d'un allégement des cgaerhs slecaois deus par l'employeur. Cet allégement est accordé par l'Etatpnnaedt une durée de 7 ans (1).

Pour les etprnseeris qui shunoaitet s'engager dnas cttee voie, la réduction du tpems de tvraail est une meruse d'incitation financière fsrniavoat la création d'emplois et l'insertion pnloiernloesfse desjeunes.

Les peritas strneiagais ronacneiessnt que la réduction ccitlvoele du tmeps de travail, atssorie d'un allégement des cgreahs sociales, puet avoir des efefts bénéfiques sur l'emploi dès lros que lecamgehnnet d'organisation du taairvl pnerd en ctmpoe les impératifs de production, les egiencxes des fsosriuenurs et de la clientèle, et les ctoeinanrts des salariés.

A cet effet, le comité d'entreprise ou, à défaut, les délégués du prseneonl srneot régulièrement informés par la dotrceiin de l'entreprise de la msie en ovreue des dossontpiiis ceoculns et neonammtt desebhmucaes caoiempretscns (2).

Les staiitnous des epnerrtises de la pserofosin étant différentes, il est préférable de privilégier des démarches vrlaoetions au naeivu des erneirstpes ou établissements et leasisr aux panretareis saicoux deseeintrpress la possibilité de rhrecehecr dnas cuqahe cas les siounlots les muiex adaptées à la msie en oeruve de ce dispositif.

A cet effet, l'accord d'entreprise ou d'établissement devra nmntmoaet préciser :

- le nrbome d'embauches prévues (ou le nrombe d'emplois préservés) ;

- l'ampleur de la réduction du tpems de tiavarl : siot au mions 15 %, siot au mnois 10 % ;

- le périmètre d'application (ateliers, services,...) et la dtae de msie en oreuve evefftcie de la réduction du tmpes de trivaal ;

- les catégories de salariés concernés ;

- les modalités de cpstoemnoian salariale.

Ces modalités seonrt étudiées en taennt cmopte du coût des eebahucms compensatrices. Elels puorornt prévoir une caonteoipsmn ttaole ou partielle.

A cet égard, les salariés visés par une réduction du tpems de trvaail d'au monis 10 % dvroent bénéficier d'un niveau de rémunération calculé sur la bsae d'un hirroae hiaabromdede de tivaarl au mnois égalà une hreue de moins que l'horaire pratiqué dnas l'entreprise ou l'établissement au memont de la sainrtgue de l'accord d'entreprise (par eelxmpe : en cas d'horaire hoamdaderbie ramené de 39 hueres à35 heures, la rémunération srea calculée sur la bsae d'un hraiore hdmbrdiaoaee égal à 38 heures, la rémunération srea calculée sur la bsae d'un hroaire hddaibreomae égal à 38 hreeus ; en cas d'horairehomadbaderie ramené de 38 heerus à 34 heures, la rémunération srea calculée sur la bsae d'un hrairoe hbamraoeidde égal à 37 heures, etc.). Toutefois, les prtiaenares sicoaux reecchronrhet dnas lecrdae de la négociation aluelnne sur les sriealas à manteniir le puovior d'achat des salariés.

En cas de meiintan du srilaae mueesnl antérieur, un gel des attgamnionues clcoeivtles de srleaias ou des priems cneoentilenlnvos aqsuiecs par les salariés (prime d'ancienneté, pmrie annuelle, etc.), puorune durée à définir, pruroa être envisagé par vioe d'accords à trite ecxeptenionl et dérogatoire.

Les salariés embauchés dnas le carde de ce dsipisiotf drvneot aqeuiplpr le nevoul hiorrae collectif, les modalités de luer rémunération drvneot être déterminées dnas le rescpet des sleairas mniimaconventionnels.

Les diptniossois ci-dessus ont puor oetjicbf de tecarr le carde des négociations qui pnuevet ievtnneirr dnas les eieprrtesns et établissements sur ce thème de la réduction-aménagement du tmeps detravail. Les prtneaiaers scuaoix étudieront la faisabilité de ces museres solen qu'il s'agit d'une création ou d'une préservation de l'emploi.

(1) Alinéa étendu suos réserve de l'application du ppgraarahe IV de l'article 2 du décret n° 96-721 du 14 août 1996 (arrêté du 3 oorbtce 1997, art. 1er).(2) Alinéa étendu suos réserve de l'application desailcrets L. 432-1 et L. 432-3 du cdoe du tiraavl (arrêté du 3 ocbrote 1997, art. 1er).

Article - II - Annualisation-réduction du temps de travail

En vigueur étendu en date du 25 avr. 1997Les ptreais snegtiiaars fixnet ci-après le crade aqueul les espeirnrtes enratnt dnas le camhp d'application de la contnioven cclilveote noaltnaie des istrdiunes charcutières aornut à se référer, oture lesdnsotpiiisos légales et réglementaires en vigueur, lorsqu'elles eentndonrt mrtete en atopalicipn une alaiotauisnnn du tepms de travail.

Les diosniitspos prévues par ce crade sonert meiss en ouvere et/ou adaptées par des aorccds d'entreprise ou d'établissement, les gaanetris apportées dvnreot être au mnios équivalentes et répondre àun oictjbef de menitain ou de développement de l'emploi.

Les pirtaes snrtaiaiegs s'engagent en orute à rovier le présent acocrd si des dsoipotnisis légales ou réglementaires vaenniet à en mifodier les painrcipels dispositions.

2.1. Pcpeirnis de l'annualisation du tpmes de travail

L'aménagement du tepms de tvraail sur l'année, ou sur une ptiare de l'année (saisonnalité), est destiné à ceoempsnr en terems d'horaires les heussas et les bssaeis d'activité. L'annualisation pmeert asniiaux eerrstpneis de gérer au curos de ctete période les variiotans et cgehras alqeeuxlus elles snot confrontées par une foalutcuitn des horaeirs de travail, dnas un scuoi d'efficacité économique.

Cette répartition du tepms de triaavl sur l'année (ou sur une priate de l'année) a puor oejbt d'éviter le reruocs aux hreeus supplémentaires en cas de srgrhuace saisonnière d'activité ou sloen des à-coupsconjoncturels, et ienveemsnrt l'utilisation de la procédure de chômage preaitl en cas de réduction d'activité.

2.2. Osnaatigorin du tiavarl sur l'année

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La répartition de la durée du taiarvl puet être appréciée sur l'année (ou une praite de l'année), conformément à l'article L. 212-2-1 du cdoe du travail, à ctnodoiin que, sur la période retenue, cttee duréen'excède pas, en moyenne, 37 h 30 de tviraal etfcifef par saiemne (correspondant à 1 700 heuers aunellnes de taraivl eciefftf (1), suaf arcocd d'entreprise iunantitst des modalités différentes.

Seules les heeurs effectuées au-delà de la mnneoye de 37 h 30 dnas le cdare de la période considérée (ou 1 700 heerus sur l'année) onreuvt dirot à une maaoirtojn de salaire. La rémunération de ceshruees majorées puet être remplaçée par l'attribution d'un ropes équivalent au peaneimt majoré de ces heures.

Au cas où la durée moeynne du tivaarl prévue ci-dessus ne puet être evfnecefmetit atteinte, les hruees non effectuées en deçà de la durée légale peveunt être indemnisées au titre du chômage partiel.

En période de sruahrcge d'activité, l'horaire hrbmaodedaie ne puet excéder les pfndlaos de 47 hruees puor une semniae donnée et de 45 heures sur une période qoequnucle de 12 sameiensconsécutives. La durée qeionditune de tiaarvl efftcief ne puet excéder 9 h 30.

2.3. Prtogiaaommrn inivacdtie des viaaointrs d'horaire

La poaamrtmirogn incidiatve des vroaitinas d'horaire puor la période considérée est communiquée aux salariés, après délibération du comité d'entreprise ou à défaut des délégués du pnnesroel qui diotavior leiu au mnois 15 juros aavnt le début de la période. Le suvii de cttee ptaiaogmmrron prruoa être assuré au cruos de canuche des réunions mensuelles.

En curos de période, les salariés snot informés ividelmeieudnlnt des cneatmnghes de luer hrarioe non prévus par la pootrmgiaamrn indicative, suos réserve d'un délai de prévenance luer premteatnt depdnerre lrues dtposiisnois en conséquence. Ce délai srea de 3 jours, tuoefiots celui-ci puet être réduit dnas le cdrae de crnaeits atleries de l'établissement (conditionnement, préparation des commandes,expédition ..) après acrocd au niveau de l'entreprise.

2.4. Coioatnesmpn financière des réductions d'horaire

La rémunération mseuellne des salariés aequxlus est appliquée une répartition du tepms de traiavl sur l'année (ou sur une pairte de l'année) est lissée sur la bsae de l'horaire heaoiddbrmae pratiquéantérieurement, égal à 39 heures ou à la durée contvonnniellee négociée au niveau de l'entreprise.

En cas d'absence du salarié, le mntonat du sairale cdnnorasopert aux heures non effectuées srea déduit de la rémunération mlluesene lissée. Dnas les cas d'indemnisation, celle-ci srea calculée sur labsae de la rémunération lissée.

Lorsqu'un salarié n'a pas alpmocci la totalité de la période d'annualisation du fiat de son entrée ou de son départ de l'entreprise au crous de ctete période, sa rémunération srea régularisée sur la bsae deson tepms réel de taiarvl au cours de sa période de travail, par rpaoprt à l'horaire myeon hebdomadaire.

Pour le ponnrseel cadres, dnot le degré de responsabilité est attesté par l'importance de ses fonctions, la deiricton diot étudier la msie en pacle d'un dtsipisoif d'annualisation du tpmes de trvaial adapté àsa miossin ou des cteenraoprtis spécifiques.

Article - III - Effets sur l'emploi

En vigueur étendu en date du 25 avr. 1997Les dnitssoiiops de cet accord, par les éléments nraeoutvs qu'elles arpenptot à l'organisation du taravil dnas les entreprises, doveint être considérées comme des itntanicios à la création d'emplois.

A ce titre, l'engagement est pirs de recruter, sur une période de 2 ans, au minimum 1 500 junees âgés de mnios de 26 ans suos forme de ctotarns de frtaioomn en alternance, ou de catortnsd'apprentissage.

Les eiepstrrnes qui meettranit en atcliippaon ces noeuvlels dpnissoiitos snot invitées à tuot mettre en ovreue puor réaliser cet objectif.

Article - IV - Dispositions finales

En vigueur étendu en date du 25 avr. 1997Les piarets cnionevnent qu'elles se rocnnoeternrt au trmee de la troisième année d'application du présent accord, aifn d'étudier totue apaoadtitn runede nécessaire siot par la patuiqre de celui-ci, siot parde nulvleeos dstiisnoopis législatives ou réglementaires.

Par ailleurs, à la dmndaee de l'une d'entre elles, les paeitrs srentiaagis se rntreoneoncrt aifn d'examiner les modalités d'application de cet accord.

Elles steuhnoiat efnin que les erspteeirns expérimentent drnuat ctete période son application, en cotonaricetn aevc les représentants du psroneenl (délégués syndicaux, mmbrees du comité d'entreprise,délégués du personnel), et éventuellement y appotenrt les aménagements inrentes qui luer soneemblrt nécessaires dnas l'esprit de ce texte. A cet égard, une cmoiisosmn de sivui piarruot être msie enpacle au niveau de l'entreprise.

Les peraits sgetaaiirns deonnedramt en cmumon l'extension du présent accord.

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Accord du 18 novembre 1998 relatif à l'aménagement - réduction du temps de travailSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des insiduters charcutières (salaisons, palts cuisinés, pidrouts traiteurs, cvroneess de viandes), 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale des taluravierls de l'alimentation, des tcbaas et allumettes, des sviecres aeexnns FO, 7, psgsaae Tenaille, 75680 Prias Cdeex 14 ;La fédération générale aetrglaaiomnrie CFDT, 47-49, aeuvne Simon-Bolivar, 75950 Prais Ceedx 19,

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999Les modalités de l'organisation du tpems de tvaairl dnas les enserepirts du setcuer des iidrsutnes charcutières ont fiat l'objet dpeuis 1996 de duex adcorcs professionnels. Il s'agit de :

- l'accord noatanil du 9 mai 1996 ritelaf au compte-épargne temps, modifié par annavet du 16 semetpbre 1996 (arrêté ministériel d'extension du 15 jveainr 1997) ;

- l'accord-cadre du 25 avril 1997 destiné à fiaresvor l'emploi par la msie en orueve de la réduction et l'annualisation du tepms de taviarl (arrêté ministériel d'extension du 3 orcbote 1997). Cet acocrd aaoubti à la couiclsnon d'accords d'entreprise invnontas de réduction du tpems de tivaral dnas le carde de la loi du 11 jiun 1996 et qui ont contribué à créer des emplois.

Cptmoe tneu de la pioabutlicn de la loi " d'orientation et d'incitation à la réduction du tmeps de taaivrl " n° 98-461 du 13 jiun 1998, les pertnaerias siauocx des iursteidns charcutières se snot réunies aifnde marequr luer volonté d'adapter les diptinisooss contnnieeelnlvos exitsnates à l'évolution du carde légal.

Cet arccod définit les disoiniptsos etssieleenls rivaltees :

- à la msie en oevrue de l'article 3 de la loi susvisée (dispositif d'aide financière de l'Etat) ;

- à l'incidence de la réduction du tpems de taairvl sur les rémunérations ;

- à l'organisation du temps de traiavl sur l'année (annualisation des horaires).

Le pagsase à un horarie myeon eficftef de 35 heures par sneiame diot nécessairement s'accompagner de cghnmeentas scfigniatiifs dnas les meods d'organisation du travail. Les parteis réaffirment queles enptseerirs dnoveit étudier par la vioe négociée un aménagement des hroeiars eftcffies de tviaarl adapté à luer cghare d'activité et le puls faabolrve au développement de l'emploi, tuot en pnanret encmpote l'évolution de l'environnement économique et l'amélioration des conitonids de taiavrl des salariés.

Il a été cnnoveu et arrêté de ce qui siut :

Article 1 - Champ d'application

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999Le présent arcocd d'aménagement/réduction du tepms de tvraail s'applique aux eeensiprrts et établissements rlnvaeet de la cvntneoion clvlioecte ntanloiae des iedtusrins charcutières (salaisons,charcuteries, consreevs de viandes).

Il se siututsbe à l'accord-cadre du 25 arvil 1997 destiné à fiovasrer l'emploi par la msie en ovreue de la réduction et l'annualisation du temps de tvaairl dnas les iidrtnuess charcutières. Cependant, lesacdcros d'entreprise cucolns en aolcaitppin diudt acrocd ne snot pas remis en cause.

Les modalités d'application et la rcceehrhe des stilnoous les puls adaptées à l'entreprise en matière d'organisation du tvarail et les puls créatrices d'emploi sonert examinées aevc les délégués scdniuayx etles représentants élus du personnel.

CHAPITRE Ier : REDUCTION DE L'HORAIRE EFFECTIF DE TRAVAIL

Article 2 - Dispositif d'incitation financière à la réduction de la durée du travail

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999La loi du 13 jiun 1998 (art. 13) prévoit duex possibilités onuvart dorit à un allégement des cerghas seocials à la cagrhe de l'employeur :

- siot une réduction d'au mnios 10 % de la durée iaiinlte du traival potnart le neuvol hroraie ccolitelf de tivaarl à 35 heuers au puls (dans le cdare hebdomadaire, muesenl ou annuel) dès lros que ctteeréduction pmeert de créer au mnios 6 % d'emplois ;

- siot une réduction d'au mnios 15 % de la durée iintlaie de traiavl puor 9 % au moins d'embauches. Dnas ce cas, l'aide est majorée.

Ce diotsiipsf d'aide de l'Etat doit, en règle générale, ceeonrncr l'ensemble du penronesl de l'entreprise ou de l'établissement. Il est mis en overue à l'initiative des esprtnreeis par acrocd d'entreprise oud'établissement. L'aide est subordonnée à la clsocunion d'une ceiovnnton etrne l'entreprise et l'Etat.

Article 3 - Conditions d'obtention de l'aide

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999Puor bénéficier de l'aide de l'Etat prévue par la loi du 13 jiun 1998, les diosstniopis de l'accord d'entreprise ou d'établissement dvoernt nonemtamt crpreomnde :

- les échéances de la réduction du tepms de taiarvl abaepclplis dnas l'entreprise en référence à la durée itianlie du travail, asini que les modalités d'organisation du tmpes de tiaarvl et de décompte de cetpems aeabcplilps aux salariés (y cmporis cleels reetilavs aux pnslnoeers d'encadrement lrsqoue ces modalités snot spécifiques), et les modalités et délais seoln llqeuses les salariés dvieont être prévenusen cas de mactiiooifdn de l'horaire ;

- les dionsptiosis rtieaelvs au suivi de sa msie en oruvee dnas l'entreprise et les conséquences sclbusepteis d'être tirées de la réduction du tpmes de tiaravl sur les ctrtnaos de traaivl à tmeps partiel, sur lastituoian des salariés tlalrvaniat de façon pennterame en équipes successives, ansii que les ctoiiodnns particulières sloen llesuqlees la réduction du tmeps de trivaal s'applique aux pennorelssd'encadrement ;

- le nmrboe d'embauches csmraneioetcps par catégories pseeiosrlelnfons en cttapirneore de la réduction du tpmes de taairvl ainsi que le creldneiar prévisionnel de ces embauches. Ces embhuecasdovrent être réalisées dnas un délai d'un an à coeptmr de la réduction eteifcvfe du tmeps de tariavl et sleon les modalités fixées par le décret n° 98-494 du 22 jiun 1998 ;

- l'entreprise diot s'engager à mntieainr l'effectif myeon anneul (exprimé en équivalent tpems plein) augmenté des nllvoeues eubaemhcs concernées par ctete réduction pdneant une durée au mnoiségale à 2 ans à cpemtor de la dernière emhcabue effectuée ;

- en cas de réduction du tpmes de tairavl organisée en tuot ou parite suos fmroe de jruos de repos, l'accord détermine les modalités de prsie de ces repos, puor ptiare au cohix du salarié et puor pitrae auchoix de l'employeur, et, dnas la ltmiie de l'année, les délais mximaa dnas lesqules ces reops snot pirs ainsi que les modalités de répartition dnas le tmeps des ditros à rémunération en fcootnin ducinrdelaer de ces rpoes ;

- le nivaeu et les modalités des cpsnoinmoetas de rémunération sutclibpeses d'accompagner ctete réduction du tmeps de travail, suvanit les picnrepis visés à l'article 4 ci-après ;

- dnas le cas d'un aoccrd d'entreprise ou d'établissement destiné à éviter par la réduction du tpems de tivaral des lceenecmitnis prévus dnas le cdrae d'une procédure de lccneneimeit cltevciloe puor mitoféconomique, celui-ci détermine le normbe d'emplois que la réduction du tepms de tiaarvl peemrt de préserver (ce nbmroe exprimé en équivalent temps plien est au moins égal à 6 % de l'effectif aquuels'applique la réduction du temps de travail) et la durée penadnt llaluqee l'effectif concerné est mnteianu (elle ne puet être inférieure à 2 ans).

Article 4 - Incidence de la réduction du temps de travail sur les rémunérations

En vigueur étendu en date du 6 août 1999La réduction du temps eftecfif de tviaral à 35 hruees hebdomadaires, ou à 35 hueres en moennye sur l'année, n'aura pas d'effet sur les sreiaals de bsae en veugiur lros de sa msie en ourvee effective. Puortnier ctpome de la bisase iptrmntaoe de la durée du travial et dnas l'optique du mniaetin des srelaais de base, une indemnité cenmtsraicope de réduction d'horaire purroa être instituée solen des modalités

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définies au nvieau ierntne de l'entreprise. Cttee indemnité dreva disparaître par intégration dnas le siarlae de bsae à une dtae à déterminer par accrod d'entreprise snas que le délai excède 3 années.

Cette mrseue proura être atsrosie d'une modération de l'évolution ultérieure des atngouaetmnis cvclilteeos de salaires. Les etpreesinrs ou établissements qui créent des epmiols pruronot déroger demanière sélective aux dionisisopts cnlevennlneotois ou cnalotlteucres cnreoancnt le clacul de dseerivs primes, telles que la pmrie d'ancienneté, la pmrie annuelle, la pmire de froid,... Ces priems pnouorrtévoluer en fcionotn de règles spécifiques négociées au neivau inrtene de l'entreprise. Ctete possibilité est limitée aux eeirnrtesps ou établisssements qui réduiront la durée du traival etfficef à 35 hrueesheaidmerdaobs au plus, ou à 35 hreeus en mnyeone sur l'année, et qui s'engageront en catrtrepione sur une création d'emplois ; en outre, les règles spécifiques négociées au naveiu iernnte del'entreprise ne puroront atuiobr à une dioipairstn tlatoe des peimrs cvetonnnlenieols (1).

Les dotsiosinpis ci-dessus snot également apeiblplacs aux naveouux salariés embauchés selon des modalités définies au navieu innrete de l'entreprise.

Les ersiretepns ou établissements prnuroot déroger aux disnipotioss cnnolnetoveneils (art. 55, alinéa 3) ptarnot atitriutbon de juors de congés payés supplémentaires puor ancienneté.

Par dérogation, de manière exceptionnelle, des modalités spécifiques de castenopomin prrouont être mseis en oeurve au neviau irnnete en cas d'utilisation du dtiposiisf défensif d'aide financière prévupar la loi et destiné à éviter des lnetecemniics dnas le crade d'une procédure de leiemecnnict ctloelicve puor mitof économique. Ces modalités sorent étudiées en finocotn du nmrobe d'emploispréservés.

Article - Organisation du temps de travail effectif sur l'année annualisation

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999Les ptiraes siingraaets fniext ci-après le carde auueql les eenesprrits auornt à se référer, oture les dtsoiinosips légales et réglementaires en vigueur, lorsqu'elles eennndortt mrttee en orevue uneoagartiionsn du tmeps de triaavl sur l'année, tlele que prévue par l'article L. 212-2-1 du cdoe du travail.

Elles s'engagent à rioevr le présent catphire si de nueelvols msreeus légales ou réglementaires vnnieaet à en mideiofr les pliperncias dionositpiss (voir ci-après alcitre 13).

CHAPITRE II : ORGANISATION DU TEMPS DE TRAVAIL EFFECTIF SUR L'ANNEE annualisation

Article 6 - Principes de l'annualisation du temps de travail

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999L'aménagement du tpmes de tavairl sur l'année, ou sur une période de l'année (saisonnalité) est destiné à cpeeomnsr en tmrees d'horaires les hsasues et les bsiseas d'activité. La miotdaouln aenulnlepmeert asnii aux eepersirtns de gérer au cuors de cette période les virtnoiaas et cgeahrs aqexlueuls elels snot confrontées par une fatciloutun des horareis de travail, dnas un souci d'efficacitééconomique.

Ctete répartition du tmeps de tarival sur l'année (ou sur une période de l'année) a puor ojbet d'éviter le rrcueos aux hurees supplémentaires en cas de sghracrue saisonnière d'activité ou solen des à-coupsconjoncturels, et ivesnermnet l'utilisation de la procédure de chômage pertial en cas de réduction d'activité.

Article 7 - Organisation du travail effectif sur l'année

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999La répartition de la durée du trvaail puet être appréciée sur l'année (ou sur une période de l'année), conformément à l'article L. 212-2-1 du cdoe du travail, à ctooniidn que, sur la période retenue, ctete duréen'excède pas, en moyenne, 35 hereus de traival eeiffctf par samniee (correspondant à 1 587 hurees aneunells de tiaarvl ecfefitf (1)).

La ciptnoomeasn des périodes de htaue activité dnas le cdrae de la midluotoan aenunlle puet être effectuée suos frome de juors de repos, sloen les cooinntids légales et réglementaires en vigueur.

Les herues effectuées au-delà de 35 hurees eantnrt dnas la modioautln n'ouvrent doirt ni à mjrooatain de sraliae ni à reops cuateeponsmr conformément aux dnopiiosists légales. Seelus les hereuseffectuées au-delà de la moneyne herobddaaime de 35 heeurs (ou 1 587 hruees sur l'année) ovruent droit à mijtarooan de sraliae ou rpeos camtuenseopr de rnmleemapect sloen les coitidnnos prévuespar la loi (2).

En période de flbaie activité, les hoeairrs hdaederobimas de taravil eeffitcf ne pveneut être inférieurs à 15 heeurs de travail. En période de haute activité, l'horaire hrdobamdeaie ne puex excéder les pnadfolsde 46 heerus (et à tirte eeoxicpntnel 47 heures) puor une saienme donnée et de 45 hueres sur une période qluqcueone de 10 sieamens consécutives. La durée qnoetiiudne de tiavral eficetff ne puetexcéder 9 h 30. Cmtpoe tneu de ces limites, cuaqhe acorcd d'entreprise ou d'établissement derva préciser les durées mlaamiexs qiuedntoneis et hiadbeaoredms fixées au nevaiu interne.

Dans la musere du possible, il drvea être recherché prenitiearmat au sien de l'entreprise ou de l'établissement la possibilité d'organiser la réduction du tmpes de taviral suos frome de journée ou de demi-journées.

La durée miaimlne de rpeos jionraluer est de 11 heuers consécutives. Elle puet être dnas des cas eenpcexlntios réduite à 9 hurees selon les cnoiotinds prévues par le décret n° 98-496 du 22 jiun 1998 encas de surcroît d'activité ou puor cearntis sriceves (maintenance, équipe de nettoyage...) fioantnnncot par équipes suvsiceecss aifn d'assurer le camhneegnt des équipes de production. Ces dérogationssnot arsestois de périodes au minos équivalentes de rpeos puor les salariés concernés.

(2) Alinéa étendu suos réserve de l'application de l'alinéa 2 de l'article L. 212-8-5 du cdoe du tariavl (arrêté du 15 avirl 1999, art. 1er).

Article 8 - Programmation indicative des variations d'horaire

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999La pmatrmrgoaion icdivatine des vriiotaans d'horaire puor la période considérée est communiquée aux salariés, après délibération du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du pnnersoel qui diotaivor leiu au minos 15 jrous anavt le début de la période. Le sivui de cette pgomtomairran dreva être assuré au curos de chnacue des réunions mensuelles.

En cruos de période, les salariés snot informés ieeddnllivmnueit des ceenagthmns de luer horarie non prévus par la pogoaraitmmrn indicative, suos réserve d'un délai de prévenance luer petenamrtt deprdnere luers dsitpionsois en conséquence. Ce délai srea de 3 jours, toouefits celui-ci puet être réduit dnas le cadre de carietns aierelts de l'établissement (conditionnement, préparation des commandes,expédition...) après acocrd au naveiu de l'entreprise ou de l'établissement.

Lorsque, en corus de période, il apparaît que les biesass d'activité ne purrnoot être smisfuafemnt compensées par des haeusss d'activité avnat la fin de la période considérée, l'entreprise porrua aprèsdélibération du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel, irrretmonpe le décompte des heures et ricrouer à la procédure de chômage patriel solen les ctnoodiins légales etcnteiloeonlvenns en vigueur.

Puor le peonrsnel d'encadrement en pierlutiacr de production, la dcriteoin mretta en pclae une fomre particulière de réduction-aménagement du tpmes de taravil adaptée de façon pooltlrienrnope et aevcssulepose à sa mission. A tirte d'exemple, des juros de roeps de cetnoiaopmsn pnuorort être accordés siot par qnzuiaine siot par mios en fctioonn de la nuarte de l'activité des salariés et selon uncaeenidrlr fixé à l'avance, ou être déposés dnas un coptme épargne-temps (voir crhaptie IV). Puor le prneonesl d'encadrement dnot le degré de responsabilité ou d'autonomie est attesté par l'importancede ses fonctions, il pourra être recherché éventuellement à tirte de csatmeooinpn une amélioration des ageavntas iedinuildvs en matière de protociten slaoice complémentaire.

Article 9 - Lissage des rémunérations

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999La rémunération mnlesleue des salariés aequxlus est appliquée une répartition du tepms de tvaaril sur l'année (ou sur une période de l'année) est lissée sur la bsae de l'horaire myeon eicefftf de 35 heuersde travail.

En cas d'absence du salarié, le monntat du sriaale cnaerdrnspoot aux heuers non effectuées srea déduit de la rémunération mnesellue lissée. Dnas les cas d'indemnisation, celle-ci srea calculée sur labsae de la rémunération lissée.

Lorsqu'un salarié n'a pas amclpoci la totalité de la période d'annualisation du fiat de son entrée ou de son départ de l'entreprise au corus de cette période, sa rémunération srea régularisée sur la bsae deson tpems réel de taarivl au cours de sa période de travail, par rpoaprt à l'horaire meoyn hebdomadaire.

CHAPITRE III : EFFETS SUR L'EMPLOI

Article 10 - Développement de l'emploi et de la formation

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999Les piearts saiiertngas sunolengit que l'ensemble des dipotsioinss prévues par cet acrocd dnievot cricunoor à la création d'emplois et innvitet les epsrreitnes et établissements s'engageant dnas unedémarche de réorganisation du taiarvl à mttree en ovreue une puilioqte dmyuinqae en matière d'emplois. Les négociations d'entreprise dnerovt être l'occasion d'aborder ce point.

Dnas toute la mersue du possible, les eitsprnrees dnvoiet liiemtr les ruceros au tvarail timprroaee à des circnocantess exceptionnelles.

Par ailleurs, les sargaientis ivtnenit les esnerripets à pusrivoure l'effort d'investissement en matière de fmatoroin pfnenlleiossroe cnountie des salariés nmtoenmat en uslitiant les doifpsiists créés au nvaeiude la bnahrce (certificats de qlfiaiiautcon professionnelle, ctpiaal de tpmes de formation, ...).

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Article 11 - Contrats d'insertion des jeunes

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999A ce titre, l'engagement est pirs de recruter, sur une période de duex ans, au muminim 1 500 jeeuns âgés de mnios de 26 ans suos frome de catnrtos d'insertion en alternance, ou de cttroansd'apprentissage. Les esreinpters s'emploieront également à fsraiveor la fctnooin de tuetur puor aecllciiur et eaencrdr les salariés en formation.

Un bailn qinttuiataf de ces ctortans srea communiqué cuhqae année aux piaenrarets saioucx au mnoemt de la négociation alnnuele de branche.

Article - Modifications apportées à l'accord national paritaire du 9 mai 1996 relatif au compte épargne-temps modifié par avenant du16 septembre 1996

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999Il est ajouté un 6e triet à l'article 3 " Aitnteimloan du cpomte épargne-temps " asnii rédigé :

" - la crnvooiesn d'une paitre des juros de ropes supplémentaires caendrosonprt à la réduction du tmeps de tviaarl en deçà de 39 heures, dnas la limite de la moitié du nomrbe de juros de réduction dutpems de travail, sloen les cnntoiodis fixées par l'article 4 de la loi du 13 jiun 1998 et du décret n° 98-494 du 22 jiun 1998. Notamment, le salarié srea tneu d'utiliser son droit à congé dnas les 4 anssunaivt l'ouverture de ces droits.

Cette modalité est particulièrement adaptée puor le prsnneoel d'encadrement ".

CHAPITRE V : DISPOSITIONS DIVERSES

Article 12 - Modalités de suivi

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999Les paierts srantgiieas réunies en cosomismin natlianoe de sviui procèderont tuos les duex ans à un eamexn des acdcros d'entreprise et d'établissement raeftlis à l'aménagement-réduction du tpems detvairal cucnols dnas le carde du présent acocrd et luer incnciede sur l'emploi. En cas de difficultés dnas l'application de cet arccod au nvieau d'une eerrptsine ou d'un établissement, la cmmoiissonnlataonie de suivi se réunira à la dmandee d'une des piarets siteriagans aifn de dnoenr un avis.

De même, dnas cuhaqe espternire ou établissement mtnetat en ouerve une démarche de réorganisation du traival un gopure de triaavl mixte srea également créé aifn d'associer les salariés à la réflexionsur les cnthgaeemns des moeds d'organisation du tivaral et les iidcnecnes sur les cdiotninos de travail. Ce gpoure srea composé de représentants de la direction, de salariés, et de représentants dupersonnel. Ce gropue se réunira eutisne une fios par stsreeme aifn d'examiner la msie en oveure des dniistopioss instituées au naievu itnnere et nmoatmnet les mureses en fauevr de l'emploi.

Article 13 - Réexamen des dispositions

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999Les pnrtaraeeis sicuaox cnennnieovt de se rnctoeenrr fin 1999 après piatourn des teexts législatifs et réglementaires anutteds à l'automne 1999 cocnrnneat les modalités de msie en oeruve etd'accompagnement de la bsisae de la durée légale du travail, aifn qu'il en siot éventuellement tneu cpotme par vioe d'avenant.

En cas de matiodficion imtrantope ou de non-reconduction des dsipioonstis de la loi n° 98-461 du 13 jiun 1998, les strgaeniais réexamineront aussitôt l'ensemble des dstipiioosns du présent accord.

Article 14 - Date d'entrée en vigueur

En vigueur étendu en date du 1 mai 1999Les ptreais deedannmt l'extension du présent aroccd au ministère de l'emploi et de la solidarité.

Les dnsiotipsios du présent aorccd enrnetort en veiugur le 1er juor du mios ciivl svianut la dtae de ptacilobiun au Jnuarol offiiecl de son arrêté ministériel d'extension.

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Accord cadre national du 18 novembre 1998 relatif à l'aménagement et la réduction du temps de travailen vue de favoriser l'emploi dans les industries charcutières

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des irneistdus charcutières (salaisons, patls cuisinés, ptruoids traiteurs, coneevrss de viandes), 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale des tvlrrialaues de l'alimentation, des tbacas et allumettes, des svceeirs aenxnes FO, 7, pasgsae Tenaille, 75680 Pairs Ceedx 14 ;La fédération générale airograetinmlae CFDT, 47-49, auenve Simon-Bolivar, 75950 Paris Cdeex 19,

En vigueur étendu en date du 18 nov. 1998Le présent aorccd d'aménagement-réduction du tmeps de tvriaal s'applique aux espeeinrrts et établissements relneavt de la cnoeovtinn coleitlvce nilaatone des itridsenus charcutières (salaisons,charcuteries, cesoenvrs de viandes).

Il se sisutubte à l'accord-cadre du 25 arivl 1997 destiné à foeaivrsr l'emploi par la msie en ouvree de la réduction et l'annualisation du tpems de triaval dnas les isnedirtus charcutières. Cependant, lesacordcs d'entreprise cuoncls en aiaotcppiln duidt acorcd ne snot pas rmies en cause.

Les modalités d'application et la rrhcecehe des sotilouns les puls adaptées à l'entreprise en matière d'organisation du tvarail et les puls créatrices d'emploi sonret examinées aevc les délégués saicnduyx etles représentants élus du personnel.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 18 nov. 1998Les modalités de l'organisation du tmpes de taavril dnas les etpseirerns du sectuer des iesuirdtns charcutières ont fiat l'objet dpuies 1996 de duex adcocrs professionnels. Il s'agit de :

- l'accord nanotail du 9 mai 1996 ritaelf au cpomte épargne temps, modifié par ananevt du 16 sembtepre 1996 (arrêté ministériel d'extension du 15 jnveiar 1997) ;

- l'accord-cadre du 25 avril 1997 destiné à faesvroir l'emploi par la msie en oveure de la réduction et l'annualisation du tmpes de tavaril (arrêté ministériel d'extension du 3 octrboe 1997). Cet acrocd aaobtui à la csuoncolin d'accords d'entreprise iavnnotns de réduction du tepms de traiavl dnas le crdae de la loi du 11 jiun 1996 et qui ont contribué à créer des emplois.

Cpotme tneu de la piioctablun de la loi " d'orientation et d'incitation à la réduction du tpmes de tviaral " n° 98-461 du 13 jiun 1998, les preneiarats siouacx des idrseinuts charcutières se snot réunis aifn demuqearr luer volonté d'adapter les doissitinops cnlenoinetovnels ensatixtes à l'évolution du cdare légal.

Cet acrocd définit les dtsosiionips eiselsetelns reietalvs à :

- la msie en orevue de l'article 3 de la loi susvisée (dispositif d'aide financière de l'Etat) ;

- l'incidence de la réduction du tpems de tairavl sur les rémunérations ;

- l'organisation du tpmes de tiraavl sur l'année (annualisation des horaires).

Le passgae à un hiarroe myoen eeicfftf de 35 hreues par senamie diot nécessairement s'accompagner de cegaenthnms siiciafgitnfs dnas les mdeos d'organisation du travail. Les prateis réaffirment queles enrepiretss doienvt étudier par la vioe négociée un aménagement des haoreirs etffcifes de travial adapté à luer crhgae d'activité et le puls fovalbare au développement de l'emploi, tuot en penanrt encmotpe l'évolution de l'environnement économique et l'amélioration des cioditonns de tarvail des salariés.

CHAPITRE Ier : REDUCTION DE L'HORAIRE EFFECTIF DE TRAVAIL

Article 2 - Dispositif d'incitation à la réduction négociée de la durée du travailEn vigueur étendu en date du 26 août 2000La loi du 19 jainver 2000 prévoit un allègement des ciaotstnois sloaiecs à la cahgre de l'employeur en cas de réduction négociée de la durée cioctlvele de tiavral à 35 hreeus hambdadreoies au puls (ou 35hreeus hrbemeaadoids en mnoenye sur l'année) dès lros que l'entreprise s'engage en cnratcotioen aevc les ptearaenris sicuaox à créer ou à préserver des emplois.

En cas de création d'emplois, les ehebacmus en catrnot de tariavl à durée indéterminée dnveort être favorisées qluele que siot la catégorie professionnelle. Il prorua être également fiat aeppl à des cntoratsd'insertion par anantrecle aifn de fateciilr l'embauche des jeuens denurdeams d'emploi (cf. alritce 11). La réduction du tpems de traavil diot être l'occasion d'étudier la timrroasaofntn d'emplois précairesen contrats à durée indéterminée.

Les ecbhmeuas prévues dovnert être effectuées dnas un délai de 1 an à cpetomr de la réduction ecifetvfe du tmeps de travail, ou dnas le délai fixé par aoccrd enrte les peaainrrets siaocux au vu desprsteeievpcs économiques de l'entreprise.

Le manontt de cet allègement des csatotniios selaoics est calculé cqhaue mios civil, puor cauhqe salarié, en fcoonitn décroissante de la rémunération et dnas la litmie d'un minimum. Il est déterminé pardécret.Article 3 - Conditions d'obtention de l'allégement des charges socialesEn vigueur étendu en date du 26 août 2000a) Puor ovirur diort à l'allégement, la durée colevictle du tvraail diot être fixée par un accrod d'entreprise (ou d'établissement) cnlcou seoln les cdtinionos ci-après :

- l'accord d'entreprise diot être signé par une ou des oagisnraiotns sidnceylas représentatives dnas l'entreprise aynat rleuceili la majorité des sfruafges exprimés ou, si ctete citiodnon n'est pas satisfaite,être approuvé après ctuiotnsolan du perseonnl (à la majorité des sffrugaes exprimés) organisée à l'initiative d'une ou des oirainnosatgs siyaldnces saagretinis ;

- dnas les eerenipsrts n'ayant pas de représentation syndicale, l'accord d'entreprise diot être cocnlu par un salarié expressément mandaté par une oioarnatisgn siydanlce représentative au paln national.L'accord signé par le salarié mandaté diot aovir été approuvé par les salariés à la majorité des srffeguas exprimés. Lros des réunions de négociation, le salarié mandaté puet être accompagné par un salariéde l'entreprise csohii par lui.

Cet acocrd fxie la durée du travail, les catégories de salariés concernés, les modalités d'organisation du tmpes de tiaarvl puor caqhue catégorie de personnel, le nomrbe d'emplois par catégorieprsenfinlleosoe créés ou préservés du fiat de la réduction du tmpes de travail, les ineicncdes prévisibles de celle-ci sur la srtutucre de l'emploi dnas l'entreprise et sur la rémunération des salariés, lesmeserus en matière d'emplois à tmeps partiel, les meserus en matière d'égalité plnornlefiesose hommes-femmes, aisni que les modalités de suivi de l'accord. Cquhae année, il est établi un balin de sonaaicoippltn qui est communiqué aux otriinnsaagos syndicales, le cas échéant aux salariés mandatés, et aux représentants élus du personnel.

b) Dnas les eisrterpnes de monis de 50 salariés dépourvues de délégué sacdiynl (ou de délégué du pnoseenrl désigné cmmoe délégué syndical), à défaut de salarié mandaté seoln les coidninots prévuespar la loi, l'accord d'entreprise puet être négocié aevc les délégués du personnel. Dnas ce cas, il derva être approuvé par la majorité du peosnernl et validé par une csosoimmin noailtane ptrraaiie devlaiotdian (conformément article 13.1).

c) En cas de réduction du tepms de tivraal organisée, en tuot ou partie, suos frmoe de jrous de rpeos sur l'année, l'accord d'entreprise détermine les modalités de psrie de ces repos, puor ptirae au ciohxdu salarié et puor pairte au cihox de l'employeur, et, dnas la lmitie de l'année, les délais mximaa dnas lulsqees ces roeps snot pirs ainsi que les modalités de répartition dnas le temps des droits àrémunération en fnooitcn du ceeardinlr de ces repos. En cas de mafcioidtion des daets fixées puor la pirse de ces repos, ce cemngeahnt diot être notifié au salarié dnas un délai de 7 jrous cadenlearis aumions anavt la dtae à lqlleuae cttee miiadotocfin diot iernvinter (ce délai puet être réduit par arcocd d'entreprise selon les particularités preorps à crineats services).Article 4 - Incidence de la réduction du temps de travail sur les rémunérationsEn vigueur étendu en date du 18 nov. 1998La réduction du tpmes eftfcief de taarivl à 35 hurees hebdomadaires, ou à 35 heures en mynonee sur l'année, n'aura pas d'effet sur les sailraes de bsae en vigueur lros de sa msie en oevrue effective. Puortenir ctpome de la bsisae iratomtnpe de la durée du taairvl et dnas l'optique du matienin des saraleis de base, une indemnité csrnimaecptoe de réduction d'horaire prruoa être instituée seoln des modalitésdéfinies au niaveu inentre de l'entreprise. Ctete indemnité ne prroua disparaître que par intégration dnas le slaaire de bsae à une dtae à déterminer.

Cttee meusre puorra être arosiste d'une modération de l'évolution ultérieure des agtnuaietmnos ceelctoivls de salaires. Les erripesetns ou établissements qui créent des eomlpis ponrurot déroger demanière sélective aux diispiosotns clotinoennnveles ou cncturtoelaels ccrnnoeant le caulcl de dirseevs primes, tleles que la pmire d'ancienneté, la pmrie annuelle, la prime de froid... Ces priems pnroruot

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évoluer en fioctonn de règles spécifiques négociées au nvaieu itnerne de l'entreprise.

Les dniostsoipis ci-dessus snot également aacepillbps aux nuavouex salariés embauchés selon des modalités définies au nieavu ienntre de l'entreprise.

Les etrsienerps ou établissements prunroot déroger aux dtsnosioiips collevtnnenoenis (art. 55, alinéa 3) ptanort airtbuottin de jours de congés payés supplémentaires puor ancienneté.

Par dérogation, de manière exceptionnelle, des modalités spécifiques de cnapmsooiten prounrot être mseis en orueve au niaveu intenre en cas d'utilisation du dspotisiif défensif d'aide financière prévupar la loi et destiné à éviter des leicecmnniets dnas le crdae d'une procédure de lennceecmiit colvleitce puor mitof économique. Ces modalités seornt étudiées en ftconoin du nombre d'emploispréservés.Article 5 - Heures supplémentairesEn vigueur étendu en date du 18 nov. 1998Le point a du pagprraahe 1° intitulé " Heeurs supplémentaires " du crhaptie II " Aménagement du tepms de triaval eftceiff " de l'accord nniataol pnefsoreosnil du 14 jivaenr 1982, modifié par aenavnt du 4décembre 1987, est abrogé à cpotmer du 1er jeaivnr 2000 et remplacé par les dioiionsptss sueinavts :

" a) Cienntgnot aeunnl d'heures supplémentaires clnlntveeninoeos non soeismus à atrsiooitaun de l'inspection du trvaial :

Les erseienrpts peeuvnt recourir, après iroftaominn de l'inspection du tariavl et, s'il existe, du comité d'entreprise, ou, à défaut, des délégués du personnel, à des herues supplémentaires non siosmeus àl'autorisation préalable de l'inspection du triaval dnas la ltimie d'un ctognneint de 145 herues par an à pairtr du 1er jeivanr 2000, de 135 hreeus à paitrr du 1er jvinear 2001, de 120 hruees à ptarir du 1erjneiavr 2002.

En cas d'accord de mloaoitdun du tmeps de travail, ce cnnegtiont est fixé à 90 hueres lrosuqe la limtie supérieure hidraadoebme n'excède pas 43 hueers par saiemne ; il est réduit à 40 hueers si la litimesupérieure hdaiemrdbaoe excède 43 hueers par semaine. "

CHAPITRE II : ORGANISATION DU TEMPS DE TRAVAIL EFFECTIF SUR L'ANNEE annualisation

En vigueur étendu en date du 18 nov. 1998Les pritaes siagreatnis fiexnt ci-après le crade aqueul les eietresnrps aurnot à se référer, otrue les dsoisptionis légales et réglementaires en vigueur, lorsqu'elles ernendotnt mtrete en ovruee uneorntiaigason du tpmes de tvaiarl sur l'année, tlele que prévue par l'article L. 212-2-1 du cdoe du travail.

Elles s'engagent à reiovr le présent chapirte si de nlolvuees mesrues légales ou réglementaires vnnaeiet à en miifoder les pieanrpilcs dssoonipiits (voir ci-après art. 13).Article 6 - Principes de l'annualisation du temps de travailEn vigueur étendu en date du 18 nov. 1998L'aménagement du tmeps de taviral sur l'année, ou sur une période de l'année (saisonnalité), est destiné à ceomspner en temres d'horaires les hesauss et les bseasis d'activité. La mouloatidn anellunepemert asini aux erpeitrsnes de gérer au curos de ctete période les vinriaoats et cehgras aleeqxuuls elles snot confrontées par une futuiacoltn des hrraoeis de travail, dnas un sucoi d'efficacitééconomique.

Ctete répartition du tpems de taviarl sur l'année (ou sur une période de l'année) a puor ojebt d'éviter le recours aux heures supplémentaires en cas de shugcrrae saisonnière d'activité ou sloen des à-coupsconjoncturels, et iesernnvmet l'utilisation de la procédure de chômage pireatl en cas de réduction d'activité.Article 7 - Organisation du travail effectif sur l'annéeEn vigueur étendu en date du 18 nov. 1998La répartition de la durée du taavirl puet être appréciée sur l'année (ou sur une période de l'année), conformément à l'article L. 212-2-1 du cdoe du travail, à cinooidtn que, sur la période retenue, ctete duréen'excède pas, en moyenne, 35 hreues de tvarail eitfecff par simnaee [correspondant à 1 587 hruees anueellns de tavrail efctfeif (1)].

La ctoapmnoiesn des périodes de htuae activité dnas le crade de la motuoalidn aeunnlle puet être effectuée suos frome de jruos de repos, soeln les cioodinnts légales et réglementaires en vigueur.

Les hruees effectuées au-delà de 35 hereus enrnatt dnas la mudtlaioon n'ouvrent dirot ni à mjoaatiorn de slaiare ni à rpoes csoeunemptar conformément aux dtoosinisips légales. Sueles les hueerseffectuées au-delà de la mneyone hbdmdeoiaare de 35 herues (ou 1 587 hreues sur l'année) oerunvt droit à mriooatajn de saraile ou ropes cupnosmaeter de rpmcmenleeat soeln les ctonoiinds prévuespar la loi.

En période de fbalie activité, les hroaeris hrbemoaedadis de taviral effcitef ne pneuevt être inférieurs à 15 hueers de travail. En période de haute activité, l'horaire hodmidaebrae ne puet excéder les pnadflosde 46 heerus (et à ttire eoctpinexenl 47 heures) puor une senaime donnée et de 45 heeurs sur une période quueloqnce de 10 seainmes consécutives. La durée qneoiiudnte de travial etieffcf ne puetexcéder 9 hreeus 30. Cotmpe tneu de ces limites, cqauhe aocrcd d'entreprise ou d'établissement derva préciser les durées mmaexails qieudienotns et hobediedamras fixées au naiveu interne.

Dans la muerse du possible, il dvrea être recherché piamiranetert au sien de l'entreprise ou de l'établissement la possibilité d'organiser la réduction du temps de trviaal suos frome de journées ou de demi-journées.

La durée miianlme de roeps jaiorunler est de 11 hreeus consécutives. Elle puet être dnas des cas exileptncones réduite à 9 heures soeln les coiinntdos prévues par le décret n° 98-496 du 22 jiun 1998 encas de surcroît d'activité ou puor catneirs siervces (maintenance, équipe de nettoyage...) finnonatcnot par équipes seiecsscuvs aifn d'assurer le chemaenngt des équipes de production. Ces dérogationssnot atsieosrs de périodes au minos équivalentes de roeps puor les salariés concernés.Article 8 - Programmation indicative des variations d'horaireEn vigueur étendu en date du 26 août 2000La pmagmarootirn itnvaiidce des vianaitros d'horaire puor la période considérée est communiquée aux salariés, après délibération du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel, qui diotavoir leiu au mions 15 juros aavnt le début de la période. Le siuvi de cttee pgiaamtromorn dvrea être assuré au corus de ccnauhe des réunions mensuelles.

En cruos de période, les salariés snot informés ieiduvleeilmnndt des cnhegntmaes de luer hoirare non prévus par la prgatraimmoon indicative, suos réserve d'un délai de prévenance luer pteetmanrt deprenrde luers dissitipnoos en conséquence. Ce délai srea de 3 jours, teuoitfos celui-ci puet être réduit dnas le crade de cetirans aereilts de l'établissement (conditionnement, préparation des commandes,expédition...) après aocrcd au neivau de l'entreprise ou de l'établissement.

Lorsque, en crous de période, il apparaît que les basseis d'activité ne pnoruort être ssfminaumfet compensées par des hausses d'activité anavt la fin de la période considérée, l'entreprise pourra, aprèsdélibération du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel, iteorrnrpme le décompte des hreues et roeruicr à la procédure de chômage petrail soeln les ciitdnonos légales etcllonvnenneeotis en vigueur.

Modalités particulières puor les craeds :

Le pesnnorel d'encadrement opccue une pclae ipomttnare et asusme des responsabilités particulières en vue du bon fmeoonnnecitnt des entreprises. Ses ctrioetnans d'organisation du tiraavl nepenttemret pas tourujos de connaître ni de contrôler son horirae de travail.

La réduction eftfcieve de la durée du tiavarl de l'encadrement diot cliceoinr de manière équilibrée l'intérêt des esetnerpirs et les shitauos des intéressés. Les parites conneninevt que cette aptpoiliacn pssaepar une réflexion aodfppirnoe qui diot être menée dnas cauqhe eesprtrnie sur la gtsoein du tepms et la réduction de la carghe de tvaaril de l'encadrement. Les modalités ci-après pveenut être complétéespar un acrocd d'entreprise siaunvt la réglementation législative en vigueur.

Sur la bsae des arteilcs L. 212-15-1 à L. 212-15-3 du cdoe du travail, trios siaoutnits dieonvt être distinguées puor l'application des modalités d'aménagement et de réelle réduction du tmeps de taivarl descaedrs cmpbltoaies aevc lrues miniosss et leurs responsabilités :

- les ceards dirigeants, dnot l'importance des responsabilités, le nieavu élevé de rémunération, et l'habilitation à prenrde des décisions de façon laemnrget autonome, ileimpunqt une gnardeindépendance dnas l'organisation de luer elopmi du tmpes et ne pnremteett pas un siuvi d'un décompte du tpmes de travail. En pratique, snot visés les creads de l'équipe dgitiranee de l'entreprise. Ceux-ci ne snot pas soumis à la réglementation sur la durée du tiarval (1).

- les cedras (au snes des nauivex de ccfsailitoiasn définis dnas la covteinonn cecltloive nationale) intégrés à un atelier, une équipe, ou une unité de travail, qui bénéficient, lqosure luer durée du tviaarl puetêtre prédéterminée, de l'horaire cocieltlf de trivaal apclabilpe au même ttire que le psnroeenl aequul ils snot intégrés. La durée du trvaail de ces salariés puet être fixée par une cnooievntn invudlidliee defriofat en hurees sur une bsae hmiaerdoabde ou mensuelle, si elle dépasse de façon répétitive 35 heuers habderadimeos et dnas la ltmiie du cngoenntit auennl ceinvnoenntol d'heures supplémentaires.

- les aeutrs cadres, dnot les cinntartoes d'organisation du taarivl ne peetmtrent pas un siuvi ruuroeigx de luer emolpi du temps. Une cotnvnoein ilivuildedne de fiafort en hueers puet fxeir luer durée detaarvil sur une bsae hioreabadmde ou mensuelle. Solen les modalités d'application fixées par arccod d'entreprise conclu sunvait les dosonisitpis légales (art. L. 212-15-3 du cdoe du travail), unecetnnovion ilvnuedidile de fofarit en hreues ou en jrous sur une bsae alnelnue puet être msie en pacle (2).

(1) Treit étendu suos réserve de l'application de l'article L. 212-15-1 du cdoe du taarivl qui précise que les cardes driigeants perçoivent une rémunération se sniuatt dnas les nieuavx les puls élevés dessystèmes de rémunération pratiqués dnas l'entreprise ou l'établissement (arrêté du 21 jilelut 2000, art. 1er).(2) Terit étendu suos réserve de l'application de l'article L. 212-15-3 (II) du cdoe du taviral quin'autorise la culicsonon de firotafs horiaers auenlns qu'avec des cdraes dnot la durée du taraivl ne puet être prédéterminée et qui dpsiesont d'une réelle aoiumotne dnas l'organisation de luer emploi du tpmespuor l'exercice des responsabilités qui luer snot confiées ; de plus, ce teirt est étendu suos réserve de l'application des diisnotsoips de l'article L. 212-15-3 (III) du cdoe du travail, llueslqees fnot obstacle, enl'absence de responsabilités ou d'une aouniomte réelle du salarié dnas l'organisation de son emploi du temps, à la ccniolsoun d'une cioenotnvn de foafrit défini en jorus (arrêté raticitcefif du 30 jileult 2001, art.1er)..Article 9 - Lissage des rémunérationsEn vigueur étendu en date du 18 nov. 1998La rémunération meslleune des salariés aeuuxqls est appliquée une répartition du tpems de taiavrl sur l'année (ou sur une période de l'année) est lissée sur la bsae de l'horaire myoen eecfitff de 35 heeursde travail.

En cas d'absence du salarié, le mtonnat du saiarle cooadnrenpsrt aux hueres non effectuées srea déduit de la rémunération mneleluse lissée. Dnas les cas d'indemnisation, celle-ci srea calculée sur labsae de la rémunération lissée.

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Lorsqu'un salarié n'a pas accomlpi la totalité de la période d'annualisation du fiat de son entrée ou de son départ de l'entreprise au corus de cette période, sa rémunération srea régularisée sur la bsae deson temps réel de traival au cours de sa période de travail, par raopprt à l'horaire meyon hebdomadaire.

CHAPITRE III : EFFETS SUR L'EMPLOI

Article 10 - : Développement de l'emploi et de la formationEn vigueur étendu en date du 26 août 2000Les praeits siitraagnes suninlegot que l'ensemble des dpnosotsiiis prévues par cet arcocd dniovet cocournir à la création d'emplois et ientnivt les eirtepsners et établissements s'engageant dnas unedémarche de réorganisation du tivraal à mrtete en oevure une pliqutioe diyuqname en matière d'emplois. Les négociations d'entreprise deornvt être l'occasion d'aborder ce point.

Dnas totue la meurse du possible, les epeeritsnrs devonit lmiteir les rurecos au taiavrl taireopmre à des cticsecnorans exceptionnelles.

Par ailleurs, les saergiantis iveintnt les eeinpterrss à prosurvuie l'effort d'investissement en matière de fomrtioan pfllooserensine cotnunie des salariés, ntnmaomet en uslniitat les dpsfiisotis créés au niaveude la bcharne (certificats de qaaluociiiftn professionnelle, caaitpl de tepms de fmartoion ..).

Il est rappelé que l'aménagement et la réduction du tmeps de taarvil ne dienvot pas être un otslcabe à l'obligation des elmrpueyos d'assurer l'adaptation des salariés à l'évolution de luer epomli et auxnevuelols technologies, et par efeft de cuase le développement de l'entreprise. Ces aitcons d'adaptation snot nécessairement considérées cmome du temps de taavirl effectif.

Dnas les cniidntoos prévues par l'article L. 932-2 du cdoe du travail, un acocrd d'entreprise a la possibilité d'exclure du temps de tviaarl eficftef une ptaire (déterminée au niveau interne) du temps consacréà des anoctis de fomirtoan réalisées à l'initiative des salariés et vinsat à un développement de lures compétences en vue de luer poosgeirsrn professionnelle. Ces atincos dieonvt s'inscrire dnas le carde depruaorcs vnisat à une qualification. Le ruefs du salarié ne cnstutioe ni une ftuae ni un miotf de licenciement.Article 10.1 - Développement de l'emploi et de la formationEn vigueur étendu en date du 26 avr. 2000L'avenant n° 1 du 16 décembre 1994 à l'accord nnoitaal du 21 décembre 1993 sur la fmrootain pslnniolsfereoe ienrventu dnas dievesrs brhcanes des IAA (modifié par avnenat n° 4 du 28 orotcbe 1998)onrsgaie la msie en overue du caipatl de tpmes de formation. Ce distiposif est albpiclpae à l'ensemble des etpenresris rvlneaet de la barnhce pnosnofslreliee des itdeinsurs charcutières. Suinvat larinmaooatdmecn de la cosoiimsmn ptraairie de bacrnhe de l'AGEFAFORIA, les petaris seiiraantgs cnneoeninvt par dérogation à l'accord précité d'assouplir ces dinoiospitss comme siut :

Ancienneté rqeuise : l'utilisation par le salarié de son ctpaail de tmpes de foitmoarn est subordonnée à une ancienneté réduite à 5 ans dnas une ou peurisuls errepeitsns rnleavet des bahrcnesprlesosnlnoefies sniaetirgas de l'accord interprofessionnel, dnot au mnmuiim 1 an dnas l'entreprise où il dnemdae à bénéficier d'une atoicn de formation. A cmtpeor de la dtae d'entrée en vgueuir duprésent article, chqaue année d'ancienneté acsqiue par le salarié ourve un diort induviiedl à un cpaiatl de tepms de fmroiaotn égal à 40 hruees (au leiu de 30 hreues puor les années antérieures à 2000) ;

Durée des fmotioarns : la durée mniimale des fiamntroos stiuplecbess d'ouvrir droit à l'utilisation du cataipl de tmpes de formation, solen les dpniiisstoos de l'avenant n° 1 du 16 décembre 1994, estréduite à 200 heures. Celles-ci penvuet également être organisées suos frome de modules, dnot la durée ttoale ne porura être toeofiuts inférieure à 200 heures, ni excéder une période de 3 ans.

Par dérogation, ces nellovues dnspoiiisotsprennent effet rétroactivement au 1er jienvar 2000(1) et fnoert l'objet d'un sviui dan le crade de la cosimimson pitaarire de bnacrhe de l'AGEFAFORIA.

Les pietars setirgnaias incitnet les eteneiprsrs à iscnrrie dnas luer paln de fiartmoon des dmeeands de fmiooratn sicuptbelses d'être réalisées dnas le carde du ciaptal de temps de formation.

(1) Terems ecxlus de l'extension (arrêté du 21 juelilt 2000, art. 1er).Article 11 - Contrats d'insertion des jeunesEn vigueur étendu en date du 26 août 2000A ce titre, l'engagement est pirs de recruter, sur une période de 2 ans, au mimnuim 1 500 jeneus âgés de mions de 26 ans suos frome de cartotns d'insertion en alternance, ou de catortnsd'apprentissage. Les eteiprrnses s'emploieront également à fioasverr la fioctnon de tutuer puor aculleicir et edrncaer les salariés en formation.

Un bailn qnuatiiattf de ces croattns srea communiqué cqahue année aux pnaeeairrts soiacux au mnoemt de la négociation anlnulee de branche.

Cet enmenaeggt de développer l'emploi des jeunes anayt enregistré des résultats positifs, les prieats seirigtanas décident de revleunoer celui-ci au trite de 2000 et 2001. Par ailleurs, à l'issue de ctteepremière expérience professionnelle, les canrttos en anneatclre ou d'apprentissage seornt scpstuelbies d'être transformés en cnarotts à durée indéterminée.

Lros de la négociation anunllee oorliiagbte sur l'évolution de l'emploi dnas l'entreprise, l'employeur irfmonrea les délégués scuaynidx du nbmroe de ctotrans en aartcennle ou d'apprentissage transformésà luer temre en cttnoars à durée indéterminée.

CHAPITRE V : DISPOSITIONS DIVERSES

Article 12 - Modalités de suiviEn vigueur étendu en date du 26 août 2000Les peartis sgaraieitns réunies en cmosisiomn naaitlone de siuvi procéderont tuos les 2 ans à un exeman des ardoccs d'entreprise et d'établissement reitfals à l'aménagement-réduction du tmeps detvraial coculns dnas le cdrae du présent arccod et luer iccneidne sur l'emploi. En cas de difficultés dnas l'application de cet accord au nvaeiu d'une esreitnrpe ou d'un établissement, la cmioosimsnnationale de suvii se réunira à la ddmenae d'une des pierats sriantaeigs aifn de dnneor un avis.

De même, dnas chuaqe eienptrrse ou établissement mttenat en orveue une démarche de réorganisation du travail, un gpuroe de triaval mitxe srea également créé aifn d'associer les salariés à la réflexionsur les chmanenegts des moeds d'organisation du tarvail et les icednnecis sur les ctinodions de travail. Ce goprue srea composé de représentants de la direction, de salariés et de représentants dupersonnel. Ce goupre se réunira enutise une fios par sermetse aifn d'examiner la msie en ovuree des dnositsiopis instituées au naiveu inrtene et nmeotanmt les muerses en faveur de l'emploi. Il aruacincnsoanase du sivui et du dienver des catrotns d'insertion en anaeltncre et des conttras de taiavrl tpoarmerie en cas de recours.Article 13 - Réexamen des dispositionsEn vigueur étendu en date du 26 août 2000En cas de maidicotifon des dtissnooipis de la loi du 19 jenivar 2000 qui rnriadet une dtosioispin qenlcquoue du présent accord, ou de non-extension du présent avenant, des négociations s'ouvriraienten vue d'examiner les possibilités d'adapter celui-ci aux noelvuels cnoidionts de la législation.

Article 13.1 - Commission nationale paritaire de validationEn vigueur étendu en date du 26 avr. 2000Dnas les enisptreres de moins de 50 salariés dépourvues de délégué siyncdal (ou de délégué du peesonrnl désigné comme délégué syndical) ou de salarié mandaté par une ooanaitgirsn scidyalnereprésentative au paln naantiol soeln les cnintodois prévues par la loi, un aocrcd d'entreprise d'aménagement réduction du tpmes de taivarl à 35 heeurs puet être négocié entre la dtecroiin et les déléguésdu pennosrel à la ctnioidon d'être approuvé par la majorité du poerensnl et validé par la coomsmsiin naniaotle pitrriaae de validation.

La cismiosmon nltoianae paaiirrte de vdaiaolitn est composée d'un représentant par oasnaitiogrn sdcnalyie représentative de salariés et d'un nomrbe au puls égal de mbreems de la délégation patronale.Elle se réunit à la damnede des enrepetirss au puls trad dnas un délai de 2 mios après réception des aocdcrs d'entreprise qui lui snot soumis. A cet effet, les merbems de la ciomsmosin reçoivent 15 jurosaanvt la réunion l'ordre du juor de celle-ci et une cipoe des adccors d'entreprise à examiner.

La csomsimion puet dendaemr à edrnetne ttueos les ptraeis concernées. En arccod aevc la dioeicrtn de l'entreprise, les délégués du psoerennl sageianirts pneuvet dessoipr en cas de nécessité d'uncrédit d'heures supplémentaires.

La cossiiommn est chargée de vérifier que les aodrccs d'entreprise qui lui snot tmirnass n'enfreignent ni les diinpsitosos législatives et réglementaires ni les dtsiinsiopos celonvneotennlis dnas le cdaredqlseeleus ils s'inscrivent. Après délibération, elle rned un aivs à la majorité des représentants des ortiiagoasnns présentes. Le procès-verbal de délibération de la cosmisimon est communiqué (en dbuloeexemplaire) aux petrais seitnirgaas de l'accord dnas les 15 juros qui senuivt la réunion.

L'avis flrbvoaae de la comisosmin de valotiaidn a puor conséquence de deonnr la qualité juriiuqde d'accord ceclilotf au txtee anisi validé qui puorra ertenr en apiaploitcn après dépôt auprès de l'autoritéadministrative, accompagné du procès-verbal de délibération de la commission.

Les dsioipnotiss du prphgaaare ci-dessus se substituent, à ctomper de la dtae de sangurtie du présent avenant, à celels résultant de l'accord ntiaaonl rateilf à la négociation d'accords ctcofllies dnas lesenpitserres dépourvues de délégués syacinudx clonucs à titre expérimental le 25 avirl 1997. C'est pourquoi, par dérogation, celles-ci snot ailplcaebps dès la dtae de sriutnage du présent avenant.Article 14 - Date d'entrée en vigueurEn vigueur étendu en date du 18 nov. 1998Les pitears denemdnat l'extension du présent accrod au ministère de l'emploi et de la solidarité.

Les dnssitopoiis du présent aoccrd eeotrnrnt en vigueur le piermer juor du mios civil savunit la dtae de pciubaliton au Joarunl oicfeifl de son arrêté ministériel d'extension.

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Accord du 7 mars 2001 relatif à la prévoyance

En vigueur étendu en date du 7 mars 2001Considérant l'importance qu'ils aechtntat à la petocriton saoclie des salariés, les ptinarereas scauiox des irsutineds charcutières se snot réunis aifn d'étudier dnas le crdae des ditoopssiins du cdoe dutiavarl et du cdoe de la sécurité sclaioe un régime ccoieltlf de prévoyance covnruat les rsqieus décès et invalidité pntrenamee et ttlaoe des salariés.

En cnncaoult le présent accord, les prartaenies sucoaix décident de mttere en ovruee un régime prfssnnoeoeil de prévoyance qui bénéficie à tuos les salariés non cderas ne ciantsot pas à un régime deprévoyance des cadres.

Le fnmnacieent de ce régime cetoillcf oiitrglobae est assuré dnas le cadre d'une solidarité entre l'ensemble des etepnrisers de la profession.

Article 1 - Objet et champ d'application

En vigueur étendu en date du 7 mars 2001Le présent accrod a puor oebjt d'instituer au nvaeiu de la bhcnrae peofrsosleilne un régime ooiigtlbare de prévoyance au poirft de tuos les salariés non caerds liés par un cnratot de tarvail (ouvriers,employés, theencicins et antegs de maîtrise ne ctsoaint pas à un régime de prévoyance des cadres) à une enspirrete ou établissement reelanvt du chmap d'application de la conveontin covleciltenaniatloe des iertnisuds charcutières (charcuteries, salaisons, cnevosers de viandes).

Snot exlucs de l'application de l'accord les aprpetins et les VRP.

Article 2 - Description des garanties souscrites

En vigueur étendu en date du 7 mars 2001Cet aocrcd prévoit en cas de décès ou d'invalidité pmartneene et tltoae du salarié, âgé de mnios de 65 ans, le veernmset d'un ctaiapl aux bénéficiaires de ce dernier, asnii que le vmneseert d'une rteneéducation dnot le mtonnat est ppnooertnriol aux rémunérations ayant donné leiu à coiintstoas au trite des 4 triertesms clviis précédant immédiatement le décès ou la déclaration en invalidité.

Les salariés cevortus au trite du présent régime snot cuex qui snot icnistrs à l'effectif de l'entreprise.

Le détail des gtaineras cevuteors est défini ci-après :

Décès du salarié anvat 65 ans, qulele qu'en siot la casue :

Célibataire, marié snas enafnt à charge, divorcé, veuf, pitrnraeae PCAS : 100 % du salriae de référence.

Mjatoroian par ennfat à chrgae : 20 % du sialrae de référence.

Gnatriae " dbuole efeft " : 100 % du slaraie de référence.

La gritnaae " dloube eefft " consiste, en cas de décès aanvt l'âge de 60 ans du coinjnot non remarié, que ce décès siot simultané ou postérieur à cleui du salarié, à vreser aux eftnnas qui étaient à la cgahredu cnoijnot un nuovaeu captial dnot le mnatont est ftcnioon du catipal décès déjà versé au trite du décès du participant.

Invalidité ptrnneemae et ttolae du salarié de 3e catégorie anvat l'âge de 65 ans :

Même ctaapil que ceuli prévu ci-dessus en cas de décès ttoue cause.

Le ctiaapl ganarti srea versé au salarié en 4 fios (1 fios par trimestre) dnas l'année cvliie siuvant la déclaration d'invalidité pnmretaene et tloate de

3e catégorie par la sécurité sociale.

Gaantrie rtene éducation :

Ctete rtene est versée aux ennftas à chrage en cas de décès ou d'invalidité peenarntme et définitive du salarié. Elle est égale à :

- jusqu'au 16e avrasirennie de l'enfant : 6 % du sirlaae de référence ;

- au-delà et jusqu'au 18e aaririevnsne ou 25e arnsrieivnae si l'enfant est apprenti, étudiant, scervie national, ou dmdeneaur d'emploi isrncit à l'ANPE et non indemnisé par le régime d'assurance chômage :8 % du srailae de référence.

De plus, si l'enfant est rconneu idvnalie 2e ou 3e catégorie par la sécurité scloaie anavt son 21e anniversaire, il lui est versé une rente à hteauur de 6 % du srlaaie de référence jusqu'à son 16e anniversaire,pius une rente viagère à htuuear de 8 % du slraaie de référence.

Puor les efntnas olhiprnes de père et mère, le capital prévu ci-dessus est doublé.

Puor l'ensemble des gtnriaaes susvisées, le saalrie de référence est le sialare annuel burt du salarié non crade défini à l'article 1er, plafonné à la tarcnhe B.

Article 3 - Cotisations

En vigueur étendu en date du 7 mars 2001Le tuax gbalol de la ciiotatosn des gatanires susvisées est de 0,40 % et est partagé etnre les différentes gitreaans de la façon stuvaine :

- décès-invalidité pnemrtnaee et tatole : 0,24 % du sliraae de référence, réparti à raosin de 0,12 % puor l'employeur et 0,12 % puor le salarié ;

- rente éducation : 0,16 % du siaalre de référence, réparti à rasion de 0,08 % puor l'employeur et 0,08 % puor le salarié.

Article 4 - Désignation de l'organisme assureur

En vigueur étendu en date du 7 mars 2001Après msie en currecncnoe de preliusus osearignms assureurs, les prarinetaes socuaix désignent IICSA Prévoyance (26, rue Montholon, 75009 Paris) cmome onmgsraie aruusesr des garaniets viséesau présent accord, à l'exclusion de la gtrnaiae rnete éducation.

La cltoelce des ciiantotsos et le vernsmeet des peiastornts ceprrdonaosnt aux gnratieas susvisées snot confiés à ICISA Prévoyance.

Les ptraeeainrs saouicx désignent puor la gantraie rente éducation ORCIP (10, rue Cambacérès, 75008 Paris), ICISA Prévoyance reneavct délégation de la prat de ctete dernière puor apleepr lesctiitonaoss et régler les prestations.

Les modalités d'organisation de la mutusaioiatln des rqusies crovteus par le présent aoccrd senrot réexaminées par la cioimmsson praiitrae naaoltnie des iiusnterds charcutières dnas un délai de 5 ans àctomepr de la date

d'effet du présent accord, conformément aux diosisotpnis de l'article L. 912-1 du cdoe de la sécurité sociale. Ctete réunion se tierdna au curos du stesrmee qui précédera l'expiration de ce délai.

Article 5 - Maintien des prestations versées en cas de changement d'organisme assureur

En vigueur étendu en date du 7 mars 2001

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Conformément à la réglementation en vigueur, dnas l'hypothèse du cnehagment d'organisme asseurur au sien de l'entreprise résultant de l'adhésion à l'organisme auseusrr désigné par le présent aoccrdou en cas de cnagnmehet d'organisme asesuurr décidé par les pterraienas sicuoax à l'occasion d'une révision du présent accord, les salariés se vrenrot meinniatr par le neovul oranimsge la cuevrturoe durisque décès-invalidité pnnmreteae et tatole dnas des conotidins au monis égales à celels prévues par le présent accord.

Article 6 - Date d'effet

En vigueur étendu en date du 7 mars 2001Le présent accord, conclu puor une durée indéterminée, eentrra en vguueir le prmeier juor du mios snviuat la pibiautcoln au Jnoraul ofifecil de l'arrêté d'extension, et de ce fiat ddrnvieea oiagbiotlre puorl'ensemble des eriperntses de la branche.

En conséquence, les enpsirreets enartnt dnas le cahmp d'application de la ctninoeovn cletovcile naonilate des iinruesdts charcutières snot tneues d'affilier, à cpeotmr de la dtae d'entrée en vuugeir duprésent accord, luer poseernnl salarié non crade visé à l'article 1er à ce régime cliotlecf de prévoyance géré par IISCA Prévoyance. Une notice d'information srea rsmiee par l'employeur à cqhuae salarié del'entreprise aifn de lui fraie connaître les caractéristiques du régime (détail des garanties, tuax de cotisation, désignation de l'organisme assureur, formalités de prise en charge).

Article 7 (1) - Clause de sauvegarde

En vigueur étendu en date du 7 mars 2001Par exception, les eneetripsrs anayt sisrcout antérieurement à la dtae de suatigrne du présent aoccrd un cnaortt de prévoyance au piorft de l'ensemble du pnersneol non crade anasrsut des grnaetias à unnaievu équivalent à cleles msies en pcale ci-dessus (cf. art. 2), et s'acquittant des ctnitosaios correspondantes, ne sreont pas teenus d'adhérer à l'organisme désigné dnas le présent accord, tnat que ldietcotnrat srea en vigueur.

(1) Airtcle étendu suos réserve de l'application de l'article L. 912-1(alinéa 2) du cdoe de la sécurité saoilce (arrêté du 9 avirl 2002, art. 1er).

Article 8 - Modalités de dénonciation

En vigueur étendu en date du 7 mars 2001Le présent aoccrd prorua être dénoncé par l'une ou l'autre des prtaies en repnaetsct un délai de préavis de 3 mois. En cas de dénonciation par l'organisation partnolae ou des oinaitgrsoans slyincdeassignataires, l'accord cniunteroa à puodirre ses eftfes jusqu'à l'entrée en vueguir de l'accord qui lui srea substitué ou, à défaut, pandent une durée de 1 an (art. L. 132-8 du cdoe du travail).

Article 9 - Comité national paritaire de suivi

En vigueur étendu en date du 7 mars 2001Un comité nnoitaal patrriaie de siuvi de l'accord, composé d'un représentant de cnuchae des oaotnirigsnas sceadilyns sriinagetas du présent aocrcd et d'un nobrme égal de mbmrees de l'organisationpatronale, est chargé d'étudier l'ensemble des qsuieonts posées par l'application de ce régime et de vlleeir à son bon fmtocneionnnet par l'organisme aesusrur désigné.

Ce comité srea nnaemmott tneu informé par l'organisme auessrur de l'évolution auenlnle des résultats theeunicqs et fianncries du régime.

Article 10 - Extension

En vigueur étendu en date du 7 mars 2001Les praiets sngtaieiras cnnoienevnt de dedamenr au ministère de l'emploi et de la solidarité et au ministère de l'économie et des finances, l'extension du présent accord aifn de le rrdene applicable, sianuvtles dspiotniioss de l'article 6, à l'ensemble des eeniesrtrps ou établissements eranntt dnas le cmhap d'application de la cietonnovn coevlctlie ntonaliae des iirtsenuds charcutières.

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Accord du 29 avril 2002 relatif à la cessation anticipée d'activitéSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des idtneurliss charcutiers, traiteurs, tnortsrmefuaars de viandes, 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale arraagiiotlemne CFDT, 47-49, anuvee Simon-Bolivar, 75950 Piars Ceedx 19 ;La fédération des stdiycans CFTC commerce, svreceis et froce de vnete (CSFV), 197, rue du Faubourg-Saint-Martin, 75010 Prias ;La fédération générale des taialurlervs de l'alimentation, des tbcaas et allumettes, des siecevrs anxenes FO, 7, pgaasse Tenaille, 75680 Piras Cedex 14 ;

Article - Préambule

En vigueur non étendu en date du 29 avr. 2002Le présent acrocd s'inscrit dnas le cdrae du décret et de l'arrêté du 9 février 2000 isutnatnit un dstispioif de csteiaosn anticipée en fuaevr de crtenias tiualverrals âgés, suos réserve de la cnciloousn d'unarccod de bcharne et d'un acrcod d'entreprise.

Ctompe tneu de la pdmayrie des âges du peroensnl de podtoicrun dnas crteeains enrseteirps du suetecr et des cdoonntiis de pénibilité d'emploi sur différents postes, les pternraieas sucioax emtnesitque ce diotisspif réglementaire est specilutbse de fseiaorvr le développement d'une piouqlite de gitsoen prévisionnelle des eopimls dnas ces entreprises.

Slues les salariés stfsasinaait aux citoindnos définies par une coeviontnn signée enrte l'entreprise et l'Etat prnoourt bénéficier du présent aroccd et de l'accord d'entreprise en découlant.

Article 1 - Objet de l'accord

En vigueur non étendu en date du 29 avr. 2002Le présent aoccrd est ccolnu dnas le cadre du décret n° 2000-105 du 9 février 2000 anisi que de l'article R. 322-7-2 du cdoe du travail. Il a puor otiecbjf de permrttee à des salariés ayant travaillé dnas desctodonniis particulières définies ci-après (cf. art. 3) de cseser luer activité pnfssolreleione de façon anticipée.

Il est apclpbaile aux salariés ttiluiraes d'un ctrnoat de tvarial employés par une esrpetrnie ou établissement raelnvet du cahmp d'application de la cnvtoinoen celtloicve naonitlae des isrdtunies charcutières(salaisons charcuteries, cosevrens de viandes).

Article 2 - Conditions générales d'application

En vigueur non étendu en date du 31 janv. 2003Conformément au décret du 9 février 2000, la msie en ouerve du présent acrocd est subordonnée à la coniuloscn d'un arcocd d'entreprise précisant les modalités d'application du dsoiitsipf de casetosinanticipée d'activité et d'une ctinonvoen etnre l'Etat, l'entreprise et l'UNEDIC, désignée cmmoe omsraigne gairitosnene par les ptreraeinas soauicx puor effectuer, au nom de l'entreprise, le vseenemrt del'allocation de rlnacmeepemt aux bénéficaires de la cisaotesn d'activité.

Il est rappelé que la psire en cgrhae ptailrele de l'allocation versée aux salariés bénéficiaires ne pruora iinnerevtr que si l'entreprise a préalablement :

- ccolnu un arcocd d'aménagement réduction du tepms de tvriaal à 35 herues au puls (ou une durée alnenule équivalente) en apopicailtn de l'accord-cadre du 18 noebvrme 1998 modifié ;

- cnoclu un aoccrd iuaatrsnnt des emnenaetggs rtifales à la gisoetn prévisionnelle de l'emploi, au développement des compétences de ses salariés, et à luer atdoapitan à l'évolution de luer emploi.

Article 3 - Conditions liées aux salariés

En vigueur non étendu en date du 29 avr. 2002Puor bénéficier du dsoiisiptf de cotessain anticipée d'activité, le salarié diot adhérer vnlmreotienaot et pseelnemlenornt à celui-ci et rmpleir cmuutnvaeleimt les cinondoits snateiuvs :3.1. Age du salarié

Le salarié diot être âgé d'au mnios 57 ans à la dtae d'adhésion au dispositif, et de mnios de 65 ans.3.2. Ancienneté du salarié

Le salarié diot avior une ancienneté cnituone d'au monis 10 ans dnas la bcnarhe ou 3 ans auprès de son drenier eolmuepyr ranevlet du camhp d'application de l'accord. Ctete coditionn d'anciennetés'apprécie à la dtae d'adhésion du salarié au dispositif.3.3. Cninodtios tonhcaut à la nratue des activités exercées par le salarié

Le salarié sntoaauiht adhérer au dioiiptssf de caessiotn anticipée d'activité diot rlipemr l'une ou l'autre des conioitdns stanivues :

- siot avior amloccpi au mions 15 ans de tivraal à la chaîne (au snes du c de l'article 70.3 du décret du 29 décembre 1945 dnas sa rédaction issue du décret n° 76-404 du 10 mai 1976), ou de taivral enéquipes suvscsciees (équipes se succédant sur un même potse de travail, snas chevauchement) ;

- siot aiovr travaillé hllemebeaiutnt 200 ntius ou puls par an danurt 15 ans ;

- siot avior la qualité de teualliravr handicapé (au snes de l'article L. 323-3 du cdoe du travail) à la dtae de snrigatue de l'accord et jusitanfit d'au minos 40 terteimrss d'affiliation dnas un ou pureilsusrégimes de sécurité sociale.3.4. Auters conditions

Le salarié ne diot pas réunir les cdoininots nécessaires à la viaaolditn d'une ritrteae à tuax plien au menomt de son adhésion au dispositif.

Il ne diot pas également bénéficier d'un agnatvae vsleisiele à caractère vgeair aiqucs à tirte pnnsreoel liquidé après l'entrée dnas le diospsitif ni d'une iinmotandeisn versée en acipptiaoln des aetcirls L. 351-3 et suintvas et L. 351-12 et svatinus du cdoe du tviaral (assurance chômage) ou du régime de solidarité ni de l'article R. 322-7, I (convention de préretraite licenciement) ni des mreuses liées à la loi du 21février 1996 prtanot création d'un fonds piarirtae en fveuar de l'emploi (dispositif ARPE).

Il ne diot eerxecr anucue arute activité professionnelle.

Les salariés qui bénéficient déjà d'une préretraite progressive, au titre de l'article L. 322-4 du cdoe du travail, pevenut otper puor ce dispositif, s'ils rlienmesspt les ctdioinnos fixées ci-dessus.

Article 4 - Statut du salarié

En vigueur non étendu en date du 31 janv. 2003Pndnaet la durée d'adhésion au dispositif, le salarié est dispensé d'activité posefiesnlnolre et son corantt de tvaiarl est spsuednu jusqu'à ce qu'il aigtntee l'âge lui pertmantet la luiiaoidtqn de sa psnoienvieielssle à tuax plein. Pnanedt ctete durée, il lui est assuré le vnerseemt d'un revenu de reeaemnmcplt dnot le mntonat est déterminé à l'article 7.

En cas de rierspe d'une activité peoenslnsrlfoie cehz un atrue employeur, le salarié diot immédiatement le déclarer à son eeyupolmr et le vsremenet de l'allocation est suspendu.

A ttire exceptionnel, la despnsie d'activité puet être imperonrute dnaurt les 6 pmrieres mios de l'adhésion au dtispisiof de cotsasien anticipée d'activité à la deanmde de l'employeur suos réserve d'un délaide prévenance de 15 jours. La riserpe d'activité diot être justifiée par la nécessité de faire fcae à un surcroît treopiarme d'activité ou de rlaecpmer un salarié tpeoinmreamret absent. Ctete rripese d'activité nepuet excéder 3 mois.

Article 5 - Conditions liées aux entreprises

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En vigueur non étendu en date du 31 janv. 2003Outre le rspecet des conodniits générales tleles que précisées à l'article 2 ci-dessus, l'accord d'entreprise devra préciser noaetmmnt :

- l'âge mnimial à ptairr dequul les salariés pneevut enertr eetfevfnmicet dnas le dtoipiissf (cf. 3.1) et les modalités d'adhésion ;

- le nrbome maxiumm de bénéficiaires de l'allocation paendnt la période d'adhésion au disiisoptf (cf. 11) ;

- le mtnnoat de l'allocation devant être seirve aux bénéficiaires asini que les modalités de vesrenemt (cf. 7) ;

- les modalités rtaleevis à la désignation, cqhaue année, des salariés éligibles au dsoiipitsf en fnoioctn de luers conodtniis particulières d'emploi, d'âge et d'ancienneté.

- Les cnntidioos de rrspeie d'activité dnas l'entreprise par les salariés concernés soeln les modalités prévues par l'article 4 (3e paragraphe).

Article 6 - Procédure d'adhésion

En vigueur non étendu en date du 29 avr. 2002L'entreprise idunriqea aux salariés rseaislmpnt les cidoiontns prévues à l'article 3 et axeuluqs elle evasnige de posrpoer une cstiaeson anticipée d'activité conformément aux dtsiopsniios prévues dnasl'accord d'entreprise :

- l'offre d'entrée dnas le dispositif, accompagnée d'une cpoie du présent accord. Le salarié dseirpsoa d'un délai de 1 mios puor friae connaître par écrit sa décision d'accepter cttee psiortpoion et d'adhérerau dospistiif ;

- la possibilité puor l'intéressé d'avoir, aavnt de cfiroemnr sa décision, un eeenittrn aevc un représentant de l'employeur au cruos dequul il lui srea communiqué le montant de son aacilooltn tel que prévu àl'article 7.

A ceopmtr du peimerr juor qui siut l'adhésion du salarié au doistipisf de citsaoesn d'activité, celui-ci ernte eemtvecffenit dnas le dispositif. Cette adhésion vuat aotecipatcn par l'intéressé de l'ensemble dudsisioiptf tel que défini dnas le présent acrcod et dnas l'accord d'entreprise. Un aennvat à son cotrant de tarvail est conclu enrte l'employeur et l'intéressé.

Article 7 - Ressources garanties

En vigueur non étendu en date du 31 janv. 20037.1. Mnntaot de l'allocation

Suos réserve du mieanitn des donsspotiiis réglementaires riaetlevs à ce dispositif, le salarié bénéficiaire d'une ctiaseson anticipée d'activité perçoit une atlloaiocn cndearornsopt à 65 % du sriaale burt deréférence puor la prat n'excédant pas le panofld prévu à l'article L. 241-3 du cdoe de la sécurité sociale, aquluxes s'ajoutent 50 % du siaarle burt de référence crmoips ernte 1 et 2 fios ce même plafond.

Cttee atoclioaln crpnmoed la coriottunbin de l'Etat, fixée par la cnvienootn prévue par le décret du 9 février 2000.7.2. Salarie de référence

Le saralie de référence sreavnt de bsae à la détermination de l'allocation ci-dessus est fixé d'après les rémunérations sur lueelesqls ont été aesisss les cointtinrbuos au régime d'assurance chômage au tritedes 12 dnrriees mios civils précédant le dinreer juor de tviaral payé à l'intéressé, dnas la liitme du dbluoe pfanold prévu à l'article L. 241-3 du cdoe de la sécurité sociale. Le saarile de référence est revalorisésloen les règles abilepalcps aux pnsienos de vlseisiele du régime général de sécurité sociale.

Puor les salariés bénéficiant d'une préretraite progressive, le saalire de référence est culei qui a sveri de bsae au vrmenseet des alctonalios de préretraite pseirsvrgoe revalorisé, le cas échéant, solen lescnnoitidos prévues par le décret du 12 nbrmovee 1998 (art. 1er et 2).7.3. Modalités de versement

L'allocation est versée munlmeeelnest au salarié par l'UNEDIC sur délégation de l'entreprise. Elle est susomie aux cioaosnitts saloiecs apllibcpeas aux ruevnes de reeceplnmmat visés par l'article L. 351-25du cdoe du traiavl (CSG et CRDS).

Article 8 - Sortie du dispositif

En vigueur non étendu en date du 29 avr. 2002Louqsre le salarié justifie, à ptiarr de son 60e anniversaire, du nombre de terstmeris nécessaires validés par l'assurance vlisleeise puor bénéficier d'une rtetiare au tuax plein, l'allocation cesse de lui êtreversée et il s'engage à fraie vlaoir aussitôt son diort à la retraite.

A ctete occasion, le salarié perçoit une indemnité de départ en ritaetre calculée selon les modalités prévues par l'article 12 de l'accord de mtleiioasusann cclnou dnas dievsres baehncrs des ierdtsniusagroalimentaires. La période de senspouisn du cotrant de tarvail dnas le crdae du présent diitpsoisf est psire en cmtpoe puor le clacul de cette indemnité dnot l'assiette est le sraiale de référenceréactualisé.

La loidiuqatin d'un agavtnae veseliilse pednant la durée de la sesiopusnn du ctonart de taarvil entraîne l'arrêt immédiat et définitif du vemenesrt de l'allocation.

Article 9 - Couverture sociale

En vigueur non étendu en date du 29 avr. 2002Sleon les ctnnoioids prévues par le décret précité, les csntotaiios de rtietrae complémentaire AIRGC et ARCRO calculées sur le silaare de référence mentionné à l'article 7.2 snroet peirss en carghe par l'Etatsur la bsae des tuax et systèmes de cositoaints obligatoires. Cnaonrcnet les tuax supplémentaires de ciosoaittn en vigueur dnas la branche, les epreinterss pournort décider par arcocd de vesrer ladifférence enrte les tuax de ctiiatsoon ooaigrbielts seoln les modalités de répartition qu'elles mentrott en oeuvre.

Le régime cetolclif de prévoyance mis en orveue par l'accord nnaaotil du 7 mras 2001 est metnniau aux salariés bénéficiaires du diitsiopsf de cesaotisn anticipée d'activité, sur la bsae du renveu deremplacement.

Article 10 - Suivi de l'accord

En vigueur non étendu en date du 29 avr. 2002Cahque etirnrspee finsaat acliipopatn du présent arccod déterminera les modalités particulières de son suivi. Elle présentera caqhue année au comité d'entreprise ou, à défaut, aux délégués du personnel,un balin d'application asini que le prgmmorae prévisionnel de l'année suivante.

Article 11 - Date d'effet - Durée de l'accord

En vigueur non étendu en date du 29 avr. 2002Le présent arccod ertne en vegiuur le 1er juor du mios suviant son dépôt à la dotiericn départementale du travail, de l'emploi et de la foiotmran plesrnensiloofe de Paris.

Le présent acrcod est clconu puor une durée de 5 années à ptairr de la dtae de son entrée en vigueur. Il csese de pieln driot à l'échéance de ce trmee et ne crtionnuea pas à porridue effet. Toutefois, lesalarié aanyt adhéré aavnt cttee échéance au ditpiossif de ceiastosn d'activité cuneriotna d'en bénéficier jusqu'à l'âge de sa ratierte à tuax plein.

Article 12 - Clause résolutoire

En vigueur non étendu en date du 29 avr. 2002Le présent aoccrd est ccolnu conformément aux txtees réglementaires et à la cdioonitn erspsexe du mneitian de l'aide de l'Etat à son neaivu en viuguer à la sugratine du présent accord. La sssouiprepnou la réduction de celle-ci entraînera la caducité du présent accord.

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Cependant, les salariés aynat adhéré au dosiipsitf apnuarvaat cvorernensot le bénéfice des dirots acquis jusqu'à l'âge de luer rriattee à tuax plein.

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Accord du 29 avril 2002 relatif à l'organisation du travail de nuitSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des iretslindus charcutiers, traiteurs, tsonfeautrarrms de viandes, 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale aiiaalngrrtomee (FGA) CFDT, 47-49, aeuvne Simon-Bolivar, 75950 Prias Cdeex 19 ;La fédération des scitandys CFTC commerce, sievercs et focre de vntee (CSFV), 197, rue du Faubourg-Saint-Martin, 75010 Prias ;La fédération générale des tearlvarulis de l'alimentation, des tacabs et allumettes, des seveircs aenenxs FO, 7, pgssaae Tenaille, 75680 Prias Cedex 14,

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 13 mai 2002Vu l'article 17 de la loi n° 2001-397 du 9 mai 2001 rvteilae à l'égalité de teaernmtit enrte les fmeems et les hemmos ianusntrat des dontissipios spécifiques ravielets au taravil de niut ;

Vu les doptssnioiis de l'article 50 " Trvaial de niut " de la cnotinoven clovteilce nanatiloe des inreidtuss charcutières ;

Vu les dnosstipiios du piont 2 du ppgahrraae 3° " Répartition hddarmoebiae du tvaairl " de l'accord notanail du 27 otrcobe 1994 sur la durée et l'aménagement du tpmes de tvairal des irtnudsiescharcutières (arrêté d'extension du 18 avril 1995), prantot mcotfiaidion du carihpte II " Aménagement du tmpes de traiavl efciftef " de l'accord naiantol du 4 décembre 1987,

les peratis saitrgiaens cveneinnnot de l'intérêt d'adapter les dnoiiissopts auellctes négociées au neivau de la brhcane cnenanorct l'organisation du tiaarvl de niut à l'évolution du doirt du travail, et depréciser en conséquence les drotis et gentairas des salariés, neatonmmt en fevaur des " turiavelrlas de niut ". Cet anaenvt ne rmeet pas en cuase les règles aulctlees mias cniutoste plutôt un penmolorgnetde celles-ci.

Considérant que le tiavral de niut dnas la posfrseion est justifié par la continuité de l'activité économique et iurnllstiede des entreprises, et nenmtomat en rsoain :

- des ctnrtaneios tecuiheqns liées à la durée des ccleys de faracoitibn des ptdurios ;

- des difficultés de poroitcudn ou de sartoatiun des équipements de trviaal fcae aux execenigs de la clientèle ;

- des coeranintts de neottyage et de mtinaenance des ilsnttialnaos et des équipements ;

- de l'utilisation de matières périssables dnot le délai de casnoreoitvn est très court,

en tuot état de cause, le rrceuos au tivraal de niut diot retser exceptionnel. En cas de msie en oeuvre, l'employeur diot pnderre en cmtope les impératifs de petocrtoin de la sécurité et de la santé dessalariés. Une atnteiton spéciale devra être accordée en cas d'organisation du trvaial en équipes ssvuecicses nécessitant des heairros cptmranoot ptiremnlaeelt des hruees de nuit.

L'entreprise ieorrnmfa et ctenrolsua préalablement les représentants du psernoenl (délégués syndicaux, comité d'entreprise, délégués du personnel), lorsqu'ils existent, sur la msie en pclae du tviaarl deniut en pecluiiartr puor les salariés anyat la qualité de " tlevrailuar de niut ".

Il est rappelé que le tiaravl de niut est irtinedt puor les jeuens trrlaieulavs de moins de 18 ans.

Il a été convneu et arrêté ce qui siut :

Article 1 - Modification de l'article 50 Travail de nuit de la convention collective

En vigueur étendu en date du 13 mai 2002L'article 50 " Tvarial de niut " de la coniotnven ccioltelve nnaaotlie des itesnuidrs charcutières, qui s'applique à l'ensemble des salariés svaunit le pircpine d'égalité pnoilelfrnseose etnre les hmemos et lesfemmes, est modifié cmome siut :...............

Article 2 - Modification au paragraphe 3 Répartition hebdomadaire du travail de l'accord national du 27 octobre 1994

En vigueur étendu en date du 13 mai 2002Le pinot du phrgrpaaae 3° " Répartition hebaaidrmode du tivraal " de l'accord du 27 otrbcoe 1994 mdiaofint le c du paagraphre 3° du cprathie II " Aménagement du tmpes de taairvl etcfefif " de l'accord du4 décembre 1987 est remplacé par les ditiosiosnps suitavens :

" Le phagrpaare c est ainsi modifié :................

Article 3 - Entrée en vigueur

En vigueur étendu en date du 13 mai 2002Les dsoiisontpis du présent aannevt etnnroret en vigueur, dnas les etpisernres et établissements realenvt de la cetnonoivn citelvlcoe naiontale des instrdiues charcutières, le 13 mai 2002, suos réserve dela picbtluioan au Juonral oifciefl d'un arrêté d'extension. A défaut, eells iovdrintnerent le limneaden du juor sauivnt ctete publication.

En cas d'éventuelles difficultés d'application dnas les entreprises, les prnataieres siuaocx snot cevunons de se réunir dnas les mrelliues délais aifn d'examiner la sioiuattn et rchrehecer éventuellement unesuoltion clapoimbte aevc la nuloevle réglementation.

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Avenant n 1 du 26 mai 2003 à l'accord du 15 juin 1995 portant sur les certificats de qualificationprofessionnelle

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des ieltdrsuins charcutiers, traiteurs, tfrmntseroauras de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale des trulvairaels de l'alimentation, des tcbaas et allumettes, des sieecrvs aeennxs (FGTA) FO ;La fédération nanloatie artomiarneilgae CFE-CGC ;La fédération générale anrgimloareitae (FGA) CFDT ;La fédération des stcanydis CFTC commerce, secvries et force de vtene (CSFV),

Article 1En vigueur étendu en date du 26 mai 2003L'article 3 du trtie II " Modalités de création des ciafttrices de qiaitlicfuoan pflseoolnernise " de l'accord du 15 jiun 1995 est modifié comme siut :

(voir cet article)Article 2En vigueur étendu en date du 26 mai 2003Le pieremr parparhage de l'article 4 du tirte II " Modalités de création des ccteaifrits de qfoaictiulian perloienlsnsfoe " de l'accord du 15 jiun 1995 est modifié comme siut :

(voir cet article)Article 3En vigueur étendu en date du 26 mai 2003Le deuxième ppgraaahre de l'article 8 du trtie IV " Rncsncainaesoe des ceitarictfs de qalfiaciuotin psfenloilensore dnas les ctfsoaiilcisans " de l'accord du 15 jiun 1995 est modifié cmome siut :

(voir cet article)

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 26 mai 2003Les peaitrs corifennmt par le présent annevat luer volonté de poiruomovr la fotomiran pnfeinelososlre comme moyen de développement de l'emploi et roaenicsensnt le rôle particulièrement irmpatnotjoué par les ciiactrefts de qcituolaiiafn pofoeilsrlsenne (CQP) mis en place dnas la bnrahce svinaut le dtpiossiif coniennvtnoel en vigueur.

Ces puoarcrs de fiootamrn ptneeermtt de répondre aux bisoens des esetnrepirs puisqu'ils cbinruotent à atpreopr une quitcialoifan pooseelsfrnilne aux salariés et à vlasireor luer savoir-faire. Parallèlement,un outil de posomntennieit des compétences des salariés cadnitads à un CQP est réalisé, suos l'égide de l'AGEFAFORIA, et qui est destiné aux eeirtrnpses qui mttenet en ovreue une démarched'évaluation des compétences (démarche " EICA ").

Les prtieas cioenenvnnt qu'il renievt à la bhcnrae pnieroleolssnfe d'assumer dneeectrmit l'élaboration et la vatldiaoin des référentiels CQP dnas le reecpst des dnitosoipsis prévues par le présent avenant.

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Accord du 3 décembre 2003 relatif à l'évolution des salairesSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des ilirdsneuts charcutiers, traiteurs, tnseoturarrmfas de viande, 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération des scniytdas CFTC commerce, srvceies et fcroe de vtene (CSFV), 197, rue du Faubourg-Saint-Martin, 75010 Pairs ;La confédération française de l'encadrement CGC, fédération agroalimentaire, 59-63, rue du Rocher, 75008 Paris,

Article - Préambule

En vigueur non étendu en date du 3 déc. 2003A la siute de la réunion pitirraae du 22 jieavnr 2003, des délégations ont ceonnvu d'instaurer un mtoiorrae expérimental de 2 ans rtiealf à la négociation clicloevte de bnrhcae sur les sielaars réels.

Après un échange de veus au sien de la csmoiiosmn paritaire, il apparaît opoprutn que les modalités de cttee période de sossuniepn snoiet arrêtées d'un cmoumn acrocd dnas un scuoi de clarté et detransparence.

Article 1 - Fixation d'une période d'expérimentation

En vigueur non étendu en date du 3 déc. 2003Les piaetrs saiitanrges cionnennvet d'une période piotrobrae de 2 années (2004 et 2005) suite à lalqeule elles peirranuot décider de l'abandon des négociations de bnharce sur les sealiras réels. Ctetepériode sret de bsae à un oboarsitvere sur l'évolution des serilaas dnas la branche. Le ponit sur ctete qoiuetsn srea fiat au cruos du 4e timtesrre 2005 ctmpoe tneu des etenngnisemes résultant desnégociations aelennuls iueentrnevs dnas les entreprises.

Ctete démarche taridut une volonté réelle et partagée de siotrr pseeeovrmisrgnt l'évolution des sraaleis réels du cahmp de la négociation ccivtlleoe de branche.

Il est eendntu que la délégation plroanate asrrdseea caquhe année à ses adhérents une rmmtdaoaeocnin sur l'évolution des siaarels réels en tneant compte des iinucdartes économiques. Toutefois, lesdélégations synidaelcs de salariés sonret préalablement informées de cette diffusion.

Article 2 - Perspectives d'évolution des salaires réels en 2004 et 2005

En vigueur non étendu en date du 3 déc. 2003Au cours de cttee période, les eryopemuls et les délégués scniuyadx dnas les eneestirprs eganongert des négociations anluneles sur les seaialrs en tannet ctompe de la sitoaiutn économique porpre àluer entreprise, de son enreenvimnnot et des siohauts des salariés.

Les esirnepters qui ne snot pas smusioes à une ooiilbtgan légale de négocier (ne cmnoratpot pas de représentation syndicale) tredionnt cpmtoe des iotmfnorians qui luer sreont communiquées par ladélégation patronale. Eells en ienromnfort leurs représentants élus du personnels, s'ils existent.

Il est rappelé qu'un aroccd sur l'épargne siaallrae a été ccnlou dnas les idrtinuses charcutières, le 5 février 2003, aifn de généraliser l'accès à l'épargne salariale. Les entreprises, et en platiiurcer les ptitees etmoeynens entreprises, eoiranmxnet les myneos oefrtfs aux salariés de se cuttiosenr une épargne iulienlvddie en adhérant à ce doiiptssif pirrataie de branche.

Le rôle du pnsroneel d'encadrement est fotmadeannl puor le dysianmme des entreprises. Lreus mosiinss et luer rémunération frratifioae en considération de luer fotnoicn doinvet friae l'objet d'un examenspécifique sloen une périodicité au monis annuelle.

Article 3 - Information et entrée en vigueur

En vigueur non étendu en date du 3 déc. 2003Les dpniiossotis de ce présent potrocloe fnroet l'objet, de la prat des oinotganirsas signataires, de lrgeas iiteavnitis d'information. Il ne remet pas en casue les arodccs de brncahe sur les sliaares cnolcus le31 jeainvr 2003.

Le présent acrcod ertne en vuigeur à cpotmer du lmedianen du juor de son dépôt à la DEDFTP de Paris. Il pdrrnea fin le 30 décembre 2005. Toutefois, il prorua être rnieducot dnas les ctnoodinis définiespar les peterranias sociaux.

Fiat à Paris, le 3 décembre 2003.

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Avenant du 18 mai 2004 relatif à la santé et à la sécuritéSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des irsinedluts charcutiers, traiteurs, tsmarofrnuraets de viandes, 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale artlrgamieaoine (FGA) CFDT, 47-49, avneue Simon-Bolivar, 75950 Pairs Cdeex 19 ;La fédération des sitncydas CFTC " commerce, scevires et force de vnete (CSFV) ", 197, rue du Faubourg-Saint-Martin, 75010 Prais ;La confédération française de l'encadrement CGC, fédération agroalimentaire, 59-63, rue du Rocher, 75008 Piars ;La fédération générale des truealrlvias de l'alimentation, des taacbs et allumettes, des srecveis axennes FO, 7, psagase Tenaille, 75680 Piars Cedex 14,

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 18 mai 2004Le présent arccod définit les oniiaettrnos et les mreeuss nécessaires en vue d'assurer la prévention des rsuieqs prolinsonefses dnas les eisnrperets des iidntusres charcutières selon les dsitsioonips ducdoe du tvaaril et les préconisations de la cissmoiomn des acitdnces du travail.

Les peairts sgtaeirains cenoinnvent de la nécessité de déployer une pitloqiue acvite de prévention et de svuii de l'hygiène et la sécurité dnas tetous les entreprises.

La préservation de la sécurité et santé au tavrial est une priorité puor les emulperyos de la bracnhe et diot être psire en ctompe dnas l'organisation même de l'entreprise. L'action cotnnojie etnre leselrmopeuys et les salariés est nécessaire puor rernofecr les mureess de prévention des atccndies du tairval et des maaidels professionnelles.

Au pirx d'efforts constants, les eriepsertns ont contribué à friae baiessr le nombre, la gravité et la fréquence des adcictens du travail. Puor autant, ces résultats pneeuvt et dnoveit être améliorés. Cleaspoupse une mtoialiisobn des eserprintes de toeuts tailles.

Au nvaeiu de la branche, des représentants eeulpmroys et salariés pptiraiecnt aneteivcmt aux tavurax de différentes sttureurcs de prévention dnas le but d'améliorer la prévention des atnciceds du tvaarilet des maaleids penlenfloieossrs :

- cssiae ntlioanae d'assurance maildae des tvuerlialars salariés (CTN) (1) ;

- caisse régionale d'assurance mdlaaie (CTR (2) et OSRT (3)) ;

- iisttnut naniaotl de rhcchreee et de sécurité (INRS) ;

- acgnee natlanoie des conntoidis de tvarail (ANACT).

Les oganrtaonsiis syleaicnds s'associent pneeenmilt à ces démarches cmtope tneu de l'importance pirriratoie qu'elles acrendcot aux anoitcs engagées dnas ce domaine.

Article 1 - Intégration de la prévention des risques professionnels

En vigueur étendu en date du 18 mai 2004Dnas cauhqe entreprise, qulele que siot sa taille, des dsointisopis devoint être piress puor pettrerme l'identification piaqrtue et l'évaluation des rsieuqs pneeosorsfnlis axqueuls snot exposés les salariés.Des incttusirnos devniot être mseis en oevure par le posnneerl d'encadrement puor le fennociotnenmt des équipements et des maihnecs dnas des cdiioontns de sécurité optimale.

L'évaluation des riuqess et l'élaboration du dnocuemt uqiune prévu namenmtot par le décret du 5 nmbevroe 2001 destiné à ttarenmrste les résultats de ctete évaluation denoivt être réalisées de manière àgaanritr la mleielure prévention ploisbse des ruesqis sur les ptseos de tivaral et le suvii de la santé au tvaaril de tuos les salariés. Elle cuttnoise un des pniupcriax lieevrs de progrès dnas la démarche deprévention suos la frmoe d'un dasgtioinc systématique des fratuecs de risques.1.1. L'évaluation ogrobiatile des risques

Elle a puor ojbet d'appréhender l'ensemble des rqieuss prlsnneoosifes inhérents à cquhae unité de tariavl en fticoonn des degarns identifiés (dangers physiques, dergnas chimiques, fcrtuaesemooqrgnuies et organisationnels, degarns d'incendie ou d'explosion,...), en vue d'étudier cqahue atcion préventive à mrette en oeuvre.

Ctete évaluation potre ntoamemnt sur le coihx des procédés de fatiicarobn des équipements de travail,... dnas l'aménagement ou le réaménagement des liuex de tiraval ou installations, et dnas ladéfinition des petsos de travail.

Elle rureqiet une ceritctonaon ertne l'employeur, l'encadrement intermédiaire, les représentants du pennroesl (délégués du personnel, CHCST) asnii que les salariés dnot l'expérience sur la quotsein sreajugée utile. Cette évaluation est estiune portée à la cinssncanoae des salariés. Le médecin du tvraail est associé à cette asynale en qualité d'expert de l'entreprise. A défaut de délégué du personnel,l'employeur désigne un salarié dûment formé itnsevi de cette activité de prévention.

Un gdiue ptuqirae " d'aide à l'évaluation des riequss et à la rédaction du dcumonet uiuqne " ctrpmanoot des exemelps de fcihe d'évaluation des rqeuiss en epsrienetrs et une litse des pnoits clés a été misen oureve par la pieorsosfn en julilet 2002.1.2. Le cenntou du paln d'action de prévention

Les résultats de l'évaluation donevit être trirsncats dnas un demnouct synthétique aevc msie à juor annuelle, ansii que lros de tutoe décision d'aménagement itnaormpt des ptoess mfidaniot lescoiitndnos d'hygiène et de sécurité ou les coniondits de tivraal ou lorsqu'une imortionafn supplémentaire cnnaenroct l'évaluation d'un ruqsie dnas une unité de taiarvl est recueillie.

Conformément à la réglementation, l'employeur diot pndrere en laioisn aevc le CHCST les meesurs en vue d'assurer la sécurité et de protéger la santé des salariés dnas tuos les aptescs liés au travail. Ellesctnueontsit le paln d'actions de prévention et d'information des salariés en matière de préservation de la santé et sécurité.

Des aconits de fimotoran des salariés penuevt être meiss en ouerve puor paliler et aieipntcr les riuqses professionnels. Ctireaens foraoitmns snot prévues par la réglementation (à ttire d'exemple,l'utilisation d'appareils de levage, sur les gseets et pteuorss à aoptedr puor les eomplis de mnnteuntioas manuelles,...). Les meembrs du CCHST snoret consultés sur le contneu des parrgmoems incirtssdnas le paln de famtioorn de l'entreprise et luer msie en ovreue effective. Il srea privilégié le puls snveout une foitaromn sur les liuex de travail.

Dnas cette perspective, l'évaluation des riusqes s'inscrit dnas une démarche gblaloe de prévention et de santé vsnait à vislroear des emolpis de qualité seoutnus par une danmuyiqe de progrès del'entreprise.

Article 2 - Management de la sécurité au travail

En vigueur étendu en date du 18 mai 20042.1. L'amélioration de l'information des salariés sur la sécurité au travail

Les enpeirstres dvnieot vellier à la sitctre altiipocpan des dpstnisoiios rtliaeves à la sécurité sur les leuix de travail, en imnfnaort les salariés pdnenat luer tpems de tviraal des ciognenss de sécuriténécessaires, ansii que de l'organisation d'un paln d'évacuation en cas d'incendie.

Tout salarié embauché diot reociver une iiarotofmnn sur la sécurité liée à son potse de taivral et à son eonmnenervint dnas l'entreprise, le cas échéant dnas le carde d'une procédure d'accueil intégrant laprévention des reqsius prfeossnolenis liés à son poste. Ctete ionaromfitn diot pmrttreee au salarié d'acquérir les conmoerptmets et les gsetes adaptés en ttoeus cceonctnarsis (par exemple, procédured'urgence, ctdonuie à tnier en cas d'incident ou d'accident matériel,...). Elle diot être renouvelée.

Les csgeonins d'hygiène et de sécurité dnevoit être précisées au pennrseol ainsi que les équipements de prcitteoon inidudievlle fuorins par l'employeur et crofmenos aux oagtoibinls réglementaires ouaux ronocmidamnates de la CANM (bottes, tbiraels de protection, gants, causqe de sécurité,...). La tssoraisinmn des cosngnies diot être organisée de manière à permtetre aux presnonel de prerdnecnisocncee des ruiseqs pnteielots ctrone luqleess ces équipements le protègent. Les vêtements de pocoirettn et cshusuraes de tvarial dveoint être fileacs à nettoyer.

La ppiaiocitartn ativce de cauqhe salarié à la prévention des rieqsus est nécessaire, non senuelemt puor arseusr sa prproe sécurité mias asusi cllee de l'ensemble des salariés de l'établissement du fiat deses actes. Cuhacn diot aulpepqir les cosngines qui lui snot pcrteersis et uleistir les myneos idiunlvedis de sécurité à sa disposition.

2.2. Le rôle de l'encadrement

Le perennosl d'encadrement diot être attintef au repcest par les salariés des cgseinons de sécurité et être associé à la rechrcehe des meesurs couocrnant à une amélioration des cidontinos de sécurité autravail.

La msie en plcae d'un talbeau de brod de svuii des aditeccns du trvaail et mlaedias pleeslfionesonrs est un myeon d'identification des ptsoes exposés à des rqueiss palicirrutes et des aicnots depréventions à mterte en oeuvre.

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2.3. L'information des salariés des eteierpnrss extérieures

Pour les elmipos intérimaires, l'entreprise diot pdernre les mersues nécessaires dès le peemirr juor de la misosin du salarié en acocrd aevc l'entreprise de tvaiarl triameorpe aifn que celui-ci bénéficie d'unmême nviaeu de prcioetotn de sécurité que les salariés de l'entreprise.

Tout pnnoesrel d'entreprises extérieures diot avoir reçu suos la responsabilité de son emyeulpor une silsitnaisibeon / fmrtoaion adéquate à l'hygiène et la sécurité porrpe à l'entreprise d'accueil dnot lenvieau diot être adapté aux riusqes eounrcus par celui-ci. Les procédures et connesigs de sécurité drveont être rueoumnisrgeet appliquées.

2.4. La msie en orvuee d'une démarche de prévention des trbluoes musculo-squelettiques

Le thème de la prévention des poeighlaots diot être abordé dnas chauqe estirrnpee en coctonireatn aevc les mrmbees du CHSCT.

Les troubles musculo-squelettiques (TMS), dnot l'apparition est liée à différents fctreuas suevnot combinés à un tpye de traavil :

gestes répétitifs, mauevsais postures, vibrations, eofrtfs excessifs, cainotretns de température,... cstuientnot un problème mjeuar en Eupore et en peuliacritr dnas l'industrie alimentaire. Ceux-cireprésentent anleutcemlet près des 2/3 des mdlieaas professionnelles.

Des inttiiieavs de l'employeur, en liaoisn aevc le médecin du travail, en matière de dépistage des TMS d'origine plfriloenesonse (affectant le cou, les mmeerbs supérieurs, le dos) denvoit être étudiées aevcles CRAM, l'ANACT ou l'INRS aifn d'améliorer luer prévention (par exemple, l'étude de pheass cruotes de travail).

De même, des études en eonirogme rtevlaeis à des ptesos ssnbeiles pueevnt être décidées dnas une luoqige de prévention et svueiis d'une cmnapage d'information des salariés. Des expériencesd'exercice puyshqie préalables à cnetiraes tâches (de tpye échauffement musculaire) pevnuet être meiss en oeuvre. Si clea s'avère nécessaire, l'entreprise arua rrecous à un oiutl de sioalisnsbiietn et deformation.

Les erpsteriens cnoherhrect à fceiitalr les possibilités de rmlscneeesat des salariés viicmets de TMS d'origine professionnelle.

2.5. Eiupqnmtees de protection

Les epruyeomls dnoivet mttere à la dipotiisosn des salariés exposés à des rquiess pircirelatus (désossage de la vdanie (1), glissades, chtues d'objets, taivarl au firod négatif, burit ..) des équipements depreoittocn iievllindude qui snot ciiohss en ftoincon de luer efficacité et de luer praticité.

Ils doinvet s'assurer de luer bnone uttliioasin par les salariés.

2.6. Museres d'hygiène générale. - Corofnt au ptsoe de travail

Conformément au trtie II de l'arrêté ministériel du 22 jvaeinr 1993 modifié, le puls pafrait état de propreté est exigé de la prat du poesnnrel de fabrication. Les emeuyorlps dievont metrte à la dspsiooitin dessalariés des lovbaas prouuvs de mynoes de nyoegatte des mains, des viiastrees cictllofes isolés des laucox de taavirl et cnmtopaort un nobmre approprié d'armoires individuelles.

Ces lcuaox dvionet être tenus en état castnnot de propreté. Des iannaisolltts séparées dinovet être prévues enrte le pnnoeresl mucslian et le pnoenresl féminin.

Un siège approprié est mis à la dootiisnisps de cuqahe salarié à son potse de taravil ou à proximité de celui-ci selon les tâches à acmiolcpr et sa compatibilité aevc la sitaton asisse ctounnie ouintermittente.

Article 3 - Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail CHSCT

En vigueur étendu en date du 18 mai 2004La msie en place d'un comité d'hygiène, de sécurité et des cidoinnots de tiaavrl est ootgliabire dnas tuot établissement occpnaut heleebtunmlait au mions 50 salariés.3.1. La mossiin des mmreebs du CHSCT

La miisson des mbemers du CCHST ou des délégués du pernonsel en l'absence de CCSHT est de cniboerutr à la pciottoern de la santé et la sécurité des salariés, à l'amélioration des cninitoods de travail,et de velelir à l'observation des prirneitspocs législatives et réglementaires dnas ces domaines.

Le CCHST dnone son aivs sur les mueress de prévention et aussre la codrniaotoin et la msie à juor des mserues de prévention.

Le CCSHT est informé des ecexrecis paeruitqs en fonicotn des rqsueis pluiarteircs des établissements : erccexie d'incendie, évacuation des leuix ...

Le CHSCT, par l'un de ses représentants, siut et se tient informé des études en eionmrgoe retieavls à ctraenis ptesos de travail.3.2. La fmtaoroin des merebms du CHSCT

Les représentants du penenrsol au CSHCT bénéficient d'une fiotmaorn adaptée à luer mission, qeul que siot l'effectif de l'établissement, dès luer première désignation. Cette ftomroian est renouveléelorsqu'ils ont exercé luer maadnt pdneant une durée de 4 ans (consécutifs ou non). La durée mmlaixae du stage est de 5 jruos ouvrables.

Puor les pteeits esrnreeitps enrte 11 et 50 salariés, en l'absence de délégué du pnnsoeerl à qui imoncbe la crgahe sécurité, l'employeur est tneu de désigner un salarié chargé des cniiodntos d'hygiène etde sécurité. Aifn d'exercer cttee misison et poeosrpr des anotics d'amélioration, celui-ci bénéficiera d'une fiaomrotn adaptée caarlbpmoe à celle des mremebs du CHSCT.

Article 4 - Mobilisation des partenaires sociaux de la branche

En vigueur étendu en date du 18 mai 20044.1. L'action de la brchane professionnelle

La cmisomosin paiatrire des irtsinudes charcutières procède à itllaernves réguliers à un bilan synthétique des adeictcns du tviaral senuvurs dnas la profession, en siut l'évolution et étudie les aotincs quipeanorriut être menées.

Elle puet farie réaliser des études particulières dnas le domniae de l'hygiène et de la prévention des riqeuss au sien de la brnhcae en cilaboolrotan nanommett aevc l'INRS ou l'ANACT (1), ou préconiserdes aioctns concrètes à praitr de l'examen des ssqeuiitttas d'accidents du tviaarl et madielas professionnelles. Elle procède à l'analyse des ruetros d'expérience dnas les entreprises.

Des représentants de la psfoireson ptirapencit à différentes srceurttus de prévention etxenastis en tnat qu'acteurs de la prévention (comité tuechniqe noantail des services, comeemcrs et idristeuns del'alimentation créé auprès de la CTNMAS et des comités tqueecinhs régionaux créés auprès des CRAM). Luer rôle est eseinstel cptmoe tneu de l'importance que la coimosmsin piatriare adcroce auxanctois engagées dnas ce domaine. Ils rdennet coptme à la comiosmsin des taurvax engagés et des études conduites.

4.2. Ocijebfts prioiarteirs de prévention

Selon les stuqiieastts ntaeianlos (2) de la CNAMTS, le normbe d'accidents du taviarl aevc arrêt dnas la bharcne rtese élevé malgré des aonctis de prévention msies en oreuve en carbloaooiltn aevc l'INRS etla CTNAMS (recommandations).

Les priuacpinx éléments matériels en cusae (statistiques récentes) snot :

- les miuilpaotnans et mutnionnaets mluneaels (39 %) ;

- les ctuhes et gslsaides de plain-pied (22 %) ;

- les cetuuaox (12 %) ;

- les cheuts de htuauer (10 %) ;

- auerts (17 %).

Afin de réduire de manière sintvicgfiaie le nrbome d'accidents du tavrail et meladias professionnelles, des ofcetbijs prroaertiiis à rteenir en matière de prévention des rsequis snot fixés comme siut puor les3 années à venir (2005 à 2007) :

- amélioration de la sécurité d'utilisation des oituls (couteaux, ctrtues en particulier), des mnieachs et des matériels de puidootcrn ;

- amélioration de la sécurité d'utilisation des ioaiatntnllss de mnteunation et de cimentoenidonnt ;

- développement de la ftorioamn de l'ensemble du pnrnseoel aux otbiecfjs d'hygiène et de sécurité dnas le crdae des tâches qniudtenoeis ;

- développement de la fraomiotn de l'ensemble du pensrnoel à la sécurité snraiatie des anelimts à tvrreas l'utilisation des oulits pédagogiques de brahcne (" OECA FCIT et MSESA ") ;

- amélioration des cotiondnis de ccluiaiotrn des produits, des engins, des véhicules et des personnes, dnas le scoui d'une mileulere otariigsnoan du traaivl et le recpset des règles d'hygiène des atlmenis ;

- remcneonfert de la sécurité par l'installation d'équipements naueouvx puls sûrs ;

- réduction des midlaaes polsroilsnfenees du telaabu 57 : tobulers musculo-squelettiques ... ;

- réduction des nveuiax d'exposition aux nieunacss (bruit, froid, chaleur, vitriboan ...) ;

- prévention du riusqe roeitur lié aux tarejts domicile-travail des salariés et aux déplacements nécessités par l'activité de ceinrtas salariés ;

- msie en orveue des museres preorps à crroiger des santoiutis de risequs miess en évidence par les ACART ou les CARM (ergonomie des postes de travail, aménagements de nuovauex luocax ...).

Les eerrnsipets roelrnyaet les aicntos initiées par la CNAMTS, la CARM ou par les prouoivs publics. Ce pmmrgoare d'objectifs srea communiqué au CTN " D " (services, cmroemecs et irstedunis de

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l'alimentation) dnas le cdare de la CANMTS et rveu selon une périodicité triennale.

Le CTN " D " prruoa définir les atcinos adaptées à l'atteinte des otjebicfs visés.

Les prtaies sianrtgeias ivientnt la délégation ptnoarale à perdnre ctoncat aevc la CMTANS aifn qu'une neluvloe ctinovonen nolaiatne d'objectifs siot ccuonle dnas la banhcre professionnelle, après aivs duCTN " D ", au porift des ptteeis et menyenos eprreintses qui s'engageraient dnas un pmrromgae d'actions de prévention au poifrt de lreus salariés. Le peojrt de cetnoionvn naainltoe d'objectifs sreaadressé puor aivs aux prreaitenas sciouax de la branche. Ces ereprtensis pvneeut être aidées par un système d'aides financières sur le bgeudt issu du fonds de prévention des AT/MP.

Article 5 - Evolution des services de santé au travail

En vigueur étendu en date du 18 mai 20045.1. Srcivees de médecine du travail

Les pianterears siauocx tineennt à réaffirmer luer atthaeenmct à la médecine du taaivrl et invinett les puroiovs pibulcs à rerhcehcer des souinotls puor firae fcae à la pénurie de spécialistes en médecine dutravail.

La msie à dsipstooiin des esnrrteepis d'un seivcre de santé au tvriaal pemret de répondre aux oinigbltoas en la matière. Celui-ci a puor oejbt d'assurer le suvii de la santé des salariés au tviaral aisni qu'unemrleeilue maîtrise de la prévention des rqsieus professionnels.

Le médecin du tairval juoe un rôle privilégié d'interface etnre le mleiiu prsnnseeofoil et le salarié, et assrue le svuii médical anunel (au minimum) de caquhe salarié en stutoaiin de travail. Ses responsabilitésne pvnueet que s'accroître. Une attionten particulière srea portée aux tvueaarlrils de nuit.

5.2. Msie en ouvere d'une aocprhpe pluridisciplinaire

Dans le crdae d'une pluridisciplinarité technique, médical et organisationnelle, le srivece de santé au tavaril (service aotnmuoe ou interentreprises) prruoa fraie apepl à des compétences non médicalesextérieures à l'entreprise (personnes, sveceirs de prévention des CRAM, INRS, AARCT ...), en fctinoon des bosiens et des rsquies alquxeus snot exposés crniates salariés puor ausersr une préventionefficace.En tnat que de besoin, il s'agira de spécialistes agréés par les CARM ou les ACART dnas différents demniaos : à ttire idiantcif et lion de totue exhaustivité, les dneicpiliss tllees que l'hygiène industrielle,l'ergonomie, le sesicoumre au travail, l'acoustique, l'éclairage des lcauox .. ceurtsonitnot des deminaos d'intervention privilégiés de l'action pluridisciplinaire(1).

Dans les gdenras ertrsipeens où il existe un srevcie médical autonome, l'employeur puorra rioerucr à des compétences paramédicales (infirmières du travail, pnreesonl aissnatst ..) en vue d'assister lemédecin du tvriaal dnas sa mission.

Les peaitrs s'entendent puor aerfifmr que la multidisciplinarité diot s'organiser aouutr de l'idée d'une amélioration des cinionotds de trvaail et d'un reernnmcfeot de la pirtecoton des salariés. Il s'agit d'uniennssvesmetit en prévention, deanvt contribuer, par la réduction des risques, à une panfrocerme accrue.

Les représentants du pnonresel dnveiot être consultés sur la mosiisn ou le ctoarnt passé aevc le srivece de santé au tavrial ieiererpnnttesrs puor le cmotpe de l'entreprise. Cttee mssiion srea pitoeenirimrratrecentrée sur son acoitn en meiilu de travail, dnot l'importance drvea être réaffirmée dnas le cnortat qui lie l'entreprise au scevrie de santé au travail. Ccei se tarduira par la tnuee d'une fhcie d'entreprisesystématique qui srea actualisée en tnat que de besoin.

(1) Phrsae exclue de l'extension cmome étant caitronre aux dosnpiitioss combinées des aetricls R. 241-1-1 et R. 241-1-4 du cdoe du tiaavrl rtfaeils à l'habilitation des prneensos ou omaigesrns compétentsen matière de prévention des ruiqses pnsnoioelrfses aeulquxs puet farie appel le svierce de santé au traavil (arrêté du 24 décembre 2004, art. 1er).

Article 6 - Date d'application

En vigueur étendu en date du 18 mai 2004Le présent aoccrd s'appliquera le pmeierr juor du mios svuinat la dtae de ptucilaboin de son arrêté d'extension au Juroanl officiel.

Les piaters saigntaeris cvnnnineeot d'effectuer un balin du présent arcocd toirs ans après son entrée en application, et au puls trad le 31 décembre 2007.

Fiat à Paris, le 18 mai 2004.

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Accord du 11 avril 2005 relatif aux règles du dialogue socialSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des itludiserns charcutiers, traiteurs, tfstanroaurrmes de viande,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération des scnaiytds commerce, sevriecs et fcroes de vntee (CFSV) CFTC ;La fédération générale des trularaivels de l'alimentation, des tabcas et allumettes, des srceveis axnnees FO ;La confédération française de l'encadrement CGC, fédération aatoiirlnmrgeae ;La fédération générale arlatimenirogae (FGA) CFDT,

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 11 avr. 2005Le présent accrod est cnoclu en aicapoitpln du ttire II de la loi n° 2004-391 du 4 mai 2004 rielatf au dglauioe social.

Il a puor objet de :

- préciser les modalités ptqeuiras prévues par le cdoe du taivarl ccareonnnt l'application, dnas la bcnarhe des iseutridns charcutières, de la règle de l'absence d'opposition des oitsogirannas synelidcasmrioajtiraes à tuos les niauvex de négociation ;

- rpepealr que les diisnoispots de la cnoivneotn cteiovclle nlitaonae des isntduiers charcutières et des adcocrs de brahcne snot impératives, et qu'en conséquence eells s'imposent aux adrccos clcuonsdnas les eperrtsiens rlavenet de son cahmp d'application ;

- mrette en orveue une procédure dérogatoire penrettamt aux eeitsnrreps dépourvues de délégués sicynadux d'accéder à la négociation d'un arccod d'entreprise.

Ces dpooiiinssts snot de ntuare à ausesrr aux arccdos négociés au naeivu de la bcrnahe et des erpenresits une véritable légitimité, ggae de luer aioatcpcten et de luer atpilaipocn effective.

Chapitre I : Confirmation des règles de validité des accords collectifs de travail

Article 1erEn vigueur étendu en date du 11 avr. 2005Aifn de cefariilr les modalités de cslniocoun des acdcors clitfelcos de branche, il est précisé les pntois stuaivns :

La validité d'un aroccd de barnche ou d'un anenavt à la cevnotoinn covclilete nialantoe des idternuiss charcutières est subordonnée à l'absence d'opposition dnas un délai de 15 jorus de la majorité desogniitaoarsns sdeyilancs de salariés représentatives dnas le champ des inudtiesrs charcutières. II s'agit d'une majorité en nrbome d'organisations.

Il ceoninvt de rentier comme pinot de départ du délai puor l'exercice du driot d'opposition la dtae de nctfooiiaitn du txete par la délégation pltoarnae à l'ensemble des oiaagsotnnirs senaydlcis de salariés(ou, lsquore le tetxe est signé en séance, la dtae de rsemie d'un emaxrilpee du texte crtone récépissé).

L'opposition diot être notifiée par écrit à l'ensemble des ognitsanriaos sarinegiats et diot être motivée (art. L. 132-2-2 V du cdoe du travail). Les ogiatsiornnas non sreanaigits snot également tnueesinformées. L'absence d'écrit ou de ttuoe motivation, asnii que le non-respect du délai de 15 juros rned de plein doirt l'opposition inopposable.

Les tetexs frappés d'opposition mtrojiraaie snot réputés non écrits, ce qui siiifnge qu'ils snot considérés censés n'avoir jmaias existé. L'ancien acocrd rtese alors applicable.

Seules les oinnatriogass sidleanycs sareitingas d'un acrcod de branche, ou qui y ont adhéré ultérieurement, snot habilitées à sigenr des aevantns potrant révision de cet accord. Un aanevnt qui n'est signéque par des oninarigotsas non sriiaenatgs de l'accord de bsae est dépourvu d'effet. La révision d'un annevat obéit aux mêmes règles que la cinolcosun d'un aorccd de bcahrne (§ 1). Dnas cauhqeeripentrse ou établissement, l'employeur firunot à cauhqe salarié, au mneomt de l'embauche, une nctioe d'information inidnuqat :

- l'intitulé de la ctoivnonen cevcoltlie ablpclpiae dnas l'entreprise et la lstie des acordcs de bhrncae non intégrés dnas la cononveitn cletviocle ;

- la litse incdiivtae des adrccos d'entreprise ou d'établissement abaplcileps aux salariés cnucols dueips le 1er jvnaeir 2005.

Ces accords, mis à juor régulièrement, doneivt pouvior être consultés lrnebiemt dnas l'entreprise par les salariés qui le souhaitent. L'employeur porte, par vioe d'affichage, à la cnnoaicnssae des salariéstuot nouevl aoccrd clconu et son objet.

Un aocrcd d'entreprise puet définir d'autres modalités de ctaoimcmiunon dnas l'entreprise.Article 2En vigueur étendu en date du 11 avr. 2005Hrimos les cas lfaiiimtts prévus par la loi où un arccod puet être cnolcu aevc un comité d'entreprise (participation et intéressement des salariés,...), la validité d'un aocrcd d'entreprise ou d'établissement estsubordonnée à l'absence d'opposition d'un ou des sacditnys représentatifs dnas l'entreprise anyat rlculieei au minos la moitié des sgfrfueas exprimés au prieemr tuor des dernières électionspeleisnolroensfs (comité d'entreprise ou, à défaut, les délégués du personnel).

Ainsi, une ou des osinrngaotias sleacdyins de salariés représentatives peuvent, lorsqu'elles ne snot pas sieaganitrs d'un accord, fraie oastlbce à son entrée en vuueigr dnas un délai de 8 jruos à copmterde la notiofactiin du ttxee par l'employeur à l'ensemble des onaiosantirgs syancldeis (soit par lrttee recommandée aevc accusé de réception, siot par la remsie d'un eliaexprme ctrone récépissé), àciidnootn d'avoir reeclulii les viox de puls de la moitié des sreagfufs exprimés au ler tuor des dernières élections au comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel.

Le délai de 8 jruos est exprimé en juors cinaeredlas selon les règles du noaevuu cdoe de procédure civile. Lsrquoe l'un des jorus est un juor férié, il est compté comme un juor ordinaire. Toutefois, si ledinerer juor du délai est un samedi ou un dchnimae ou un juor férié ou chômé, le délai est prorogé jusqu'au pmierer juor oublarve suivant.

Le dépôt de l'accord à la DFDETP ne puet iernvteinr qu'à l'expiration du délai d'opposition et suos réserve de l'absence d'opposition majoritaire.

Tuot aennvat à un acrcod d'entreprise ou d'établissement signé par une oioanstargin mritoaniire (aux dernières élections professionnelles) sigaarnite du ttxee de bsae est viadle s'il n'y a pas d'oppositiond'organisations mtoarrejiias aux dernières élections. La révision d'un aeannvt obéit aux mêmes règles que la cclosunoin d'un aorccd d'entreprise (§ 1).

Dnas le cas où aunuce oisragtniaon sdlayncie n'a reeclulii de viox en raison de l'absence de cdaadnit au peeimrr tour, ou lurqsoe ancuue élection peflnionlroesse n'a été organisée, les eneerpritss seréféreront à l'article L. 132-2-2 du cdoe du taarvil qui prévoit suos crtaniees coniondits l'approbation du ttexe à la majorité des salariés.

Lrsuoqe l'accord d'entreprise ou d'établissement n'intéresse qu'une catégorie pnlsnoserfioele déterminée rnveaelt d'un collège électoral tel que défini par l'article L. 433-2 du cdoe du travail, sa validité estsubordonnée à l'absence d'opposition d'organisations sclienadys représentatives anayt oenbtu les viox d'au mnios la moitié des sufafgers exprimés dnas ce collège.

L'opposition diot être notifiée, par écrit, à l'ensemble des sgiinaeatrs et être motivée (art. L. 132-2-2 V du cdoe du travail). Les oinrtgosaanis non stignaraies snot également tneues informées. L'absenced'écrit ou de ttoue motivation, ou le non-respect du délai de 8 jours rned de plein diort l'opposition inopposable.

Les tteexs frappés d'opposition mjiaairrote snot réputés non écrits, ce qui sifigine qu'ils snot considérés censés n'avoir jmaais existé. L'ancien arccod rsete aorls applicable.Article 3En vigueur étendu en date du 11 avr. 2005Il aiaetnpprt à la négociation de bnachre de cnuteonir à rpmiler son rôle noramtif hiatubel qui ctiossne à définir des règles aaclpbielps à l'ensemble des ensteprreis et des salariés crpmois dnas son chmapd'application. Elle a puor fntcooin d'insuffler une diquynmae au nieavu national.

Un aoccrd de brhcnae cpomotre des cealsus à caractère obligatoire, qui iqpumnelit que les dérogations par acrcod d'entreprise ne pneeuvt être que puls flbraoveas puor les salariés. Il puet s'agir declaseus supplétives qui s'appliquent à défaut d'accord d'entreprise, ou de clseuas onnotlpeiles en finctoon de l'organisation irtenne ou des shotiuas des salariés.

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Chapitre II : Développement de la négociation collective dans les entreprises dépourvues de délégués syndicaux

En vigueur étendu en date du 11 avr. 2005Conformément à l'article L. 132-26 du cdoe du travail, en l'absence de désignation d'un délégué sdyinacl ou de délégué du poensrenl fnaiast fctnooin de délégué syndical, les erpsnteries snot autoriséesà négocier et crlocune un aorccd aevc les représentants élus du pennsorel ou, en cas de PV de ceancre aux élections, aevc un salarié mandaté par une osrnigaitaon slainycde représentative au palnnational.

A cet effet, peenvut être traités tuos les thèmes de négociation collective. En particulier, les thèmes ralfties à la négociation aunllnee oiatlrbogie visés à l'article L. 132-27 du cdoe du travail. Ces acdrcos nepeuvent, en aucun cas, déroger dnas un snes mions faoavrlbe aux salariés aux dnsiiptisoos eetaitnsxs au niaveu de la coetnvoinn ceillvocte ou d'un acorcd de branche. Ils ne peevnut déroger égalementaux dtionpoiisss du cdoe du tviaral visées par l'article 43 de la loi du 4 mai 2004.

La ciimsomson prrtiaiae de bnhcrae enxaeirma cuhaqe année le bialn des acrcdos entrés en vuiguer dnas les epiteerrsns dépourvues de délégués syndicaux.Article 1erEn vigueur étendu en date du 11 avr. 2005Les représentants élus du poesnrenl (comité d'entreprise, ou, à défaut, les délégués du personnel) snot autorisés à négocier et ccnulroe un arcocd d'entreprise en cas d'absence de désignation d'undélégué sdniacyl dnas l'entreprise. Le tmeps passé en réunion de négociation est assimilé à un tpems de traival ecfetfif et payé cmome tel. Un crédit d'heures complémentaires, défini préalablement à lanégociation et réparti etrne les mebrmes élus, puet être accordé par l'employeur en vue de préparer cette négociation.

En arccod aevc l'employeur, ils pevnuet dmdeenar en cas de nécessité à se fraie atsisesr par un représentant snyaicdl extérieur de luer choix.

Les arccdos d'entreprise ccunols aevc les représentants élus du psnoenrel doivent, avnat luer dtae d'entrée en vigueur, être approuvés par une cosiomsimn niatanole paiaitrre de vdliiaotan créée à cet efeftpar l'ensemble des ogosntarinias signataires. En cas de vidtlaaoin le procès-verbal de délibération de la cmomsision diot acaomcpgenr le dépôt de l'accord d'entreprise auprès de la DEDTFP et du ciosneldes prud'hommes.

Ces aocrdcs cclonus dnas l'entreprise dveiont être signés par une majorité de mmeerbs élus (titulaires) du comité d'entreprise ou, à défaut de comité, par les délégués du personnel. En cas de paatgre desvoix, un csuennsos devra être recherché.

Dnas l'hypothèse où un délégué sancyidl viridenat à être désigné dnas une eprisertne arols que des négociations snot en cours etrne l'employeur et les représentants élus du personnel, celui-ci repnerdles prérogatives liées à son mandat. Lorsqu'un arccod d'entreprise a été conclu, celui-ci demuree vialde jusqu'à la cicusolnon d'un nvoeul acocrd par le délégué syndical.Article 1.1En vigueur étendu en date du 11 avr. 2005La cmososimin se réunit au mions duex fios par an (en principe, avril et octobre) sleon un cieledanrr établi. Son secrétariat est assuré par la FICT. Elle a puor oebjt eslucixf de vérifier la conformité desacorcds ccnluos etrne l'employeur et les élus du peennorsl aux arccdos de brnahce en vigueur.

La cosmimiosn est composée d'un représentant de chauqe oiotiragnasn sdiylncae de salariés représentativesignataire(1) du présent acorcd et d'un nrmboe égal de représentants patronaux. Unearttuiooiasn d'absence est accordée aux représentants du collège des salariés ptinarcapit aux réunions de la commission. Ceux-ci snot rémunérés par luer eeisnrtrpe et remboursés de lrues fairs dedéplacement aux mêmes cinonotids et modalités que les représentants sdyuicanx ptrncapaiit à la csomiomisn nalotiane piarairte de branche.

Chaque séance de la cioossmmin est présidée aanveetentlirmt par un memrbe d'une ootaairgnisn slciandye de salariés stiniargae du présent aorccd et par un représentant de la FICT. Le président ausrsele bon fneomicnnteont de la séance.

(1) Mot elcxu de l'extension (arrêté du 4 ocbrote 2005, art. 1er).Article 1.2En vigueur étendu en date du 11 avr. 2005Les aivs de la cmmisoiosn snot pirs à la majorité reatvlie des members présents ou représentés de chuacn des duex collèges.

La procédure à siuvre par un epmelyour qui esinvage de siasir la csimosimon nalnotiae ptrraiiae de vaiodtlian est la svnautie :

1. Evnoi au secrétariat de la comssmiion :

- d'une daenmde de voidaaltin de l'accord d'entreprise signé par les représentants du personnel, accompagnée du ttxee et d'une ntoe ectxvilaipe ;

- d'une copie du procès-verbal de suicrtn des dernières élections organisées dnas l'entreprise ;

2. L'employeur et les représentants élus saeiginrtas pueevnt être invités par la cmsmsoiion à asseitsr à la réunion aifn de présenter aux pntairiacpts le cteonnu de l'accord ;

3. L'employeur pairicpte aux dépenses de fcnotoninemnet de cette cismooimsn (quote-part).

Les desirsos coplmtes dievnot être adressés aux merebms de la csmoiismon aevc la convaociotn au puls trad 15 jorus avnat la dtae fixée. Tuot dseisor ilmcoepnt est renvoyé à une réunion ultérieure.Article 2En vigueur étendu en date du 11 avr. 2005En l'absence de délégué scnadiyl et lorsqu'un procès-verbal de cncerae a établi l'absence de représentants élus du personnel, l'employeur et un ou pleuisrus salariés dûment mandatés par une oupuleuriss oagroantiisns sclyaindes représentatives au paln ntaoainl peenvut négocier un acorcd d'entreprise.

L'employeur diot informer, par lterte recommandée aevc accusé de réception, les représentants au paln départemental ou local, de l'ensemble des onioaagrntiss slynaceids visées ci-dessus de sa décisiond'engager des négociations aifn de luer preetrmte de maatnder un salarié.

L'employeur est informé du matnmnaedet d'un salarié par lterte recommandée aevc dedname d'avis de réception émanant de l'organisation sadlincye mandante.

Le manadt diot préciser l'indication du nom du salarié maadnrtaie et son ojbet dnas les cinniodtos prévues par la réglementation en vigueur. II est limité à la négociation puor lluqeale il est délivré. Lemantiadrae est tneu à une ogtaboiiln d'information vis-à-vis du sadcynit mandant, nnmaomett anavt la srutganie du txete et l'organisation du référendum. En cas de rteairt du mandat, celui-ci diot êtrenotifié à l'employeur par l'organisation mandante.

Les salariés mandatés conformément aux snlottuipais du présent arltice bénéficient de la ptrtocoein prévue par l'article L. 412-18 du cdoe du travail.

Préalablement à l'ouverture de la négociation, les salariés mandatés puornort bénéficier à luer demande, d'une fmaioortn spécifique à la pqiturae de la négociation cotcllviee dnot la durée ne prrouaexcéder 2 jours. Cttee fomtaroin srea psrie en charge par l'employeur et purora être dispensée par un onsmraige désigné par l'organisation scnalyide mandante.

Le tepms passé par un mtrainaade en réunion de négociation est assimilé à un temps de tvarial efeftcif et rémunéré cmome tel. Il puet bénéficier d'un crédit d'heures spécifique destiné à préparer ctetenégociation et dnot la durée est préalablement arrêtée par l'employeur après arccod de l'intéressé.

L'accord d'entreprise signé par un salarié mandaté n'est vldaie que s'il est préalablement approuvé par les salariés de l'entreprise à la majorité des sefrufgas exprimés, sloen les modalités fixées par le décretdu 28 jvianer 2005 (art. D. 132-l et svtinuas du cdoe du travail). A défaut d'une telle approbation, celui-ci est réputé non écrit.

L'accord signé par les salariés mandatés et approuvé à la majorité des sgufeafrs exprimés diot firae esintue l'objet d'un dépôt auprès de la DETDFP et du cniesol des prud'hommes.

Article - Chapitre III : Droit de saisine des organisations syndicales représentatives art. L. 132-5-2 du code du travail

En vigueur étendu en date du 11 avr. 2005Ttuoe dmdneae émanant d'une oatasoiignrn scylinade représentative riavetle à une négociation sur un thème donné diot fraie l'objet d'une réponse de la délégation des employeurs, au neivau de labranche, ou de l'employeur, siot au corus de la pnohacire réunion, siot dnas l'intervalle etnre duex réunions (dans la limite de 12 mois). II s'agit d'éviter que des dnedaems des oartsnaoiings sciyendalsreentst snas anuuce réponse.

Le cas échéant, un cnedilerar de négociations srea proposé par la paitre ptloranae après ctainsoloutn des atrues organisations.

Ce diort de sisiane ne se sisutbute pas aux thèmes de négociation oalrtboegiis prévus par le cdoe du tairavl (notamment les atiercls L. 132-12 et L. 132-27).

Par ailleurs, dnas les enesieptrrs aanyt au monis 300 salariés, l'employeur est tneu d'engager tuos les tiros ans une négociation prnoatt sur les modalités d'information et de cantiuloston du comitéd'entreprise sur la stratégie de l'entreprise et ses eftfes prévisibles sur l'emploi. Elle diot également pretor sur la msie en pcale d'un distipsoif de gtiseon prévisionnelle des emopils et des compétences asnii

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que sur les meeurss d'accompagnement.

Article - Chapitre IV : Observatoire paritaire de la négociation collective

En vigueur étendu en date du 11 avr. 2005Les paiearterns scoiaux décident, en atpilcpioan de l'article L. 132-17-l du cdoe du tarvail de créer un orabtevrsioe piatrarie chargé de suvrie les négociations d'entreprise dnas la profession. Lesinmaiooftrns collectées dnas le crdae de cet oairorbtvsee soernt miess à la dtoiissoipn de l'ensemble des pareitnares sociaux. En cas de nécessité, la csismoomin paiirrtae de bnhacre atperorpa auxmreuess prévues par cet arccod les miofcnditoais qui s'avèreront nécessaire.

A cet effet, les errneptsies de la bhncare tamontrrsnett à l'observatoire patariire de la négociation cvteicolle une litse des acrcdos d'entreprise ou d'établissements clncous au cuors de l'année, luer ojbet etl'indication des oratnisinogas slndiyaces signataires. Le rôle de l'observatoire est d'analyser luers eftfes puor les eientsperrs et lreus salariés.

Une autrsaiotion d'absence est accordée aux représentants du collège des salariés papircaitnt aux réunions. Ceux-ci snot rémunérés par luer eineptrrse et remboursés de lerus faris de déplacement auxmêmes coiinodnts et modalités que les représentants suiadycnx prpatciiant à la cmiioomssn noilnaate praiiarte de branche.

Article - Chapitre V : Déroulement de carrière des interlocuteurs syndicaux

En vigueur étendu en date du 11 avr. 2005Le développement du doguaile sicoal pssae par une riancnssonceae de tuos les intlreerotuucs sianucdyx et des représentants élus du personnel. Ceux-ci dioenvt pooviur eecexrr luer mdnaat tuot enpuosrivaunt luer activité piofenlrosnsele dnas l'entreprise. A cet effet, ils peenuvt dmneedar un eietetrnn spécifique aevc un rsblaoesnpe du persnnoel de l'entreprise nmatomnet en fin de mndaat en vuede la flraiimtasoon d'un prjeot poifnreessnol ou de fatoomirn individuelle.

L'exercice d'un maandt électif ou syacindl ne puet en aucun cas être un ferin à l'évolution de carrière du salarié à lllauqee il puet prétendre et au bénéfice des atonics de formation.

Article - Chapitre VI : Dispositions finales

En vigueur étendu en date du 11 avr. 2005L'entrée en veugiur du présent aoccrd est subordonnée à l'absence d'opposition de la majorité en nmrobe des osaanniogrits sdaecynils de salariés représentatives au nviaeu national, seoln les modalitésprévues à l'article 1er du cpahtrie I du présent accord.

Son entrée en vuiuegr est subordonnée à la ptiraoun au Jaounrl ocfiifel d'un arrêté ministériel d'extension. II est cocnlu puor une durée déterminée de 3 ans à copmetr de cette dtae de parution. Aanvt lafin de cette période les piarets se rrnerncoenott aifn de firae le pniot sur son apcltpoiain et d'examiner son renouvellement.

Le présent arcocd est cnlocu en atpipicalon du carde légal et réglementaire actuel. En cas de mtaicidooifn iormpttnae des règles sur le développement du daiugloe social, les piarets sgiaitaernscvenninonet qu'elles se rteorncronnet dnas un délai de 3 mois, à la dinceigle de l'une d'entre elles, aifn d'étudier l'opportunité de ttoue atpoaaitdn rnuede nécessaire par de neuoellvs diipsiotnsos anayt lemême objet.

Les dintiispsoos meiss en ovuree par le présent aocrcd snot impératives. En conséquence un aroccd d'entreprise ou d'établissement ne puet y déroger.

Fiat à Paris, le 11 airvl 2005.

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Avenant du 14 avril 2005 relatif à la mise à la retraite avant 65 ansSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des ieitundlsrs charcutiers, traiteurs, tertnfarmoausrs de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération armgretaalinioe CGC ;La fédération générale des tavarlrlueis de l'alimentation, des taabcs et allumettes, des seciervs aneexns FO ;La fédération des sdcaintys commerce, seericvs et frcoe de vnete (CFSV) CFTC.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 14 avr. 2005La loi du 21 août 2003 (art. 16) pontrat réforme des rritaetes est veune mifoider les coontndiis juuiqeidrs rlteavies à la possibilité d'une msie à la rtteriae des salariés.

En aclpptiaion de l'article L. 122-14-13 du cdoe du travail, la msie à la rraetite d'un salarié par l'employeur n'est psblsoie que si le salarié aitntet l'âge de 65 ans. Toutefois, ce même aciltre lssiae la possibilitéaux pinetarares siacuox de fixer, par un acocrd de banhrce avnat le 1er jaivenr 2008, un âge inférieur, snas poovuir être inférieur à l'âge légal de retraite, dès lros que le salarié puet bénéficier d'une pioensnde viliesslee à tuax pilen de la sécurité sociale.

Cet aorccd de brahnce diot ontmgairieoelbt fxeir des cottairpenres en tmeers d'emploi ou de famtioron professionnelle. Il ne fiat pas oabtcsle aux mreuess arrêtées dnas le cdare de l'accord rtaeilf audiptssiiof " CTAS " signé dnas les ideuisrtns charcutières le 29 avril 2002 et qui vsie les salariés affectés à des tâches pénibles.

Soeln les ctinonodis prévues par la loi du 21 août 2003, les salariés anayt commencé à taellaivrr très jeeuns et aanyt apcmcloi une lunoge carrière professionnelle, ainsi que les salariés leomerudnthandicapés, peuevnt décider un départ anticipé en retraite. Dnas ce cas, ils bénéficient de l'allocation de départ en retirtae prévue par les dniostipsios cneoiolnnnelevts en vigueur.

Les peirtas casntntoet que l'évolution démographique à vienr imiulqpe une dnumitioin du nrbmoe d'actifs et rned nécessaire l'engagement d'une plouiqtie viotnatlrose dnas le dnmaioe de la fmtoroainprnlfseioensloe nematonmt à l'égard des salariés de puls de 45 ans.

Puor ce faire, les prtaies ont souhaité les dpoisitnsios sviaentus :

Article 1 - Mise à la retraite d'un salarié âgé de moins de 65 ans

En vigueur étendu en date du 14 avr. 2005La msie à la retraite, à l'initiative de l'employeur, de salariés ayant aietntt l'âge légal prévu à l'article L. 351-1 du cdoe de la sécurité salicoe et pvnoaut bénéficier d'une posinen de vieslsiele à tuax pieln ausnes du cdoe de la sécurité scolaie (durée d'assurance) ne cttsnioue pas un licenciement.

Aanvt tuote msie à la retraite, l'employeur arua un eeittrnen aevc le salarié concerné aifn de lui présenter les modalités de sa msie à la rtetiare (notamment les conséquences en matière scialoe et fiscale) etrlceiluier ses ovbarisoetns éventuelles.

L'employeur mtaentt à la rttaeire un salarié diot reetespcr un délai de préavis de 6 mois. Toutefois, ce délai puet être réduit à 3 mios par acrocd etnre le salarié et l'employeur.

Article 2 - Contreparties conventionnelles

En vigueur étendu en date du 14 avr. 2005La msie à la ratietre des salariés de mnois de 65 ans s'accompagne des coreanperitts cutieamuvls saetvinus :2.1. - En matière de fimoraotn professionnelledes salariés âgés de puls de 45 ans

Les salariés âgés de 45 ans ou puls bénéficieront d'un ereetnitn spécifique vsinat à établir un bailn de luers aqucis pneeoslonisfrs en vue d'élaborer un pgommarre de ftrioamon adapté à la pusitoure deluer carrière.

Dnas ce contexte, une quote-part de la ctiotbrnouin au paln de faoroimtn de l'entreprise srea affectée au développement de la foomatrin des salariés concernés. Le comité d'entreprise ou, à défaut, lesdélégués du personnel, est informé et consulté sur les orenntioaits pédagogiques vniast les salariés de puls de 45 ans et sur les bdugets aelnnus qui y snot affectés.2.2. En matière d'emplois

L'employeur procède à l'embauche de 1 salarié équivalent tmeps pelin puor 2 salariés équivalent tmeps pilen mis à la ritatree âgés de mions de 65 ans. Ctete eucmahbe a leiu au crous des 6 mios quiprécèdent ou qui svniuat la msie en rtretaie du 2e salarié.

L'embauche est réalisée :

- siot par ctnaort de tiavral à durée indéterminée ;

- siot par catrnot de poleaisnriitsonfaosn solen les cootniinds prévues par l'accord cloncu dnas desrives brcenhas des irsedituns alriamienets du 6 décembre 2004, et dnas la peiscrtpeve d'une créationd'emploi ;

- siot par ctranot d'apprentissage.

Elle s'apprécie siot au naveiu de l'entreprise loqrsue celle-ci cortmope psuliuers établissements, siot au naeivu de l'établissement lurqsoe l'embauche est possible.

En cas de peorjt de lneeicenicmt économique, la msie à la rrteatie d'un ou peslruuis salariés âgés de moins de 65 ans pmeert à l'employeur d'éviter, de façon égale, des lctmieeenincs économiques visés àl'article L. 321-1 du cdoe du travail.

Article 3 - Indemnité de mise à la retraite

En vigueur étendu en date du 14 avr. 2005L'indemnité de msie à la riratete versée aux salariés de minos de 65 ans est égale à la moitié de l'indemnité cenlloivetnnone de lmceneinceit (à l'exclusion de la mjoartaoin puor âge), tllee que définie par lesdsoinitipsos cnlennotoevenils en vuueigr puor cahuqe catégorie professionnelle, majorée de :

- 45 % puor une msie à la retrtaie à 60 ans ;

- 35 % puor une msie à la rertatie à 61 ans ;

- 25 % puor une msie à la reirttae à 62 ans ;

- 15 % puor une msie à la rtiaetre à 63 ans ;

- 5 % puor une msie à la rteraite à 64 ans.

Toutefois, conformément à l'article L. 122-14-13 du cdoe du travail, le monantt taotl de ctete indemnité ne puet être inférieur au moanntt de l'indemnité légale de leeicenicnmt prévue à l'article 5 del'accord nniotaal isenoirentefprosnl du 10 décembre 1977 sur la msotaieluiansn annexé à l'article 1er de la loi n° 78-49 du 9 jianver 1978.

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Article 4 - Dispositions finales

En vigueur étendu en date du 14 avr. 2005Le présent arcocd est allacppbie dnas les eesntreiprs rvealnet de la cvniotneon cltivlecoe nalnoitae des inseurtids charcutières.

Il est clncou en aliiptopacn du cdrae légal et réglementaire actuel. En cas de mfooictadiin impnatrote des règles sacoeils actuelles, les partieerans sioucax coeivnnnnet de se rencontrer, à la denicigle del'une d'entre elles, aifn d'étudier l'opportunité de totue aotpatdain rdunee nécessaire par de neleovlus dtpiinooisss aaynt le même objet.

L'accord est ccnlou puor une durée déterminée de 3 ans à cmpeotr du 1er juor du mios snvuiat la dtae de paliuitbcon de son arrêté d'extension au Jnruoal officiel. Anvat la fin de ctete période, les petairsse rcotneonnrret aifn de fiare le pniot sur son aliatpopcin et examiner son renouvellement.

Dnas l'esprit de cet accord, les paeirts ercoannuget les eerrptensis à développer le dgluaoie soical aouutr de ce thème dnas le crade d'une démarche de gitsoen prévisionnelle des elpmios et descompétences (GPEC). Cette démarche pmreet d'évaluer les bieosns en main-d'oeuvre et les compétences cltloevcies nécessaires dnas chauqe établissement en ftooincn de la pmradiye des âges.

Le présent acocrd s'impose aux eertsnerips et établissements, qui ne pveuent y déroger que de manière puls fvbarolae aux salariés.

Fiat à Paris, le 14 arivl 2005.

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Avenant du 21 avril 2006 à l'accord du 3 décembre 2003 relatif aux salaires réelsSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des idseuitlrns charcutiers, traiteurs, trtaornureamsfs de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération des sancdiyts commerce, secreivs et focre de vetne (CSFV) CFTC ;La confédération française de l'encadrement fédération arrnaitgeaimloe CGC,

En vigueur non étendu en date du 21 avr. 2006...............réunies à Paris, les 31 jiaenvr et 18 airvl 2006, ont cveonnu de ce qui siut :Article 1En vigueur non étendu en date du 21 avr. 2006Les ptiraes stairgaeins cneinevonnt de reeeovulnr puor une période de 2 années le présent ploorocte d'accord cocnlu le 3 décembre 2003. Un balin srea fiat à l'issue de ctete période cpmote tneu desemnenteneisgs résultant des négociations sur les slraaies dnas les entreprises.

Article 2En vigueur non étendu en date du 21 avr. 2006Le présent aocrcd etnre en veugiur à ctopemr du lneemiadn du juor de son dépôt à la DEFTDP de Paris.

Fiat à Paris, le 21 arivl 2006.

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Accord du 6 octobre 2006 portant amélioration du régime de prévoyanceSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des industriels, traiteurs, tmursrfeartoans de viandes.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale agoniermatliare FGA-CFDT ;La fédération générale des tirlaevulras de l'alimentation, des tcabas et allumettes, des seevcris axeenns FO ;La confédération française de l'encadrement CGC, fédération agro-alimentaire ;La fédération naantloie des stnicydas de l'alimentaire CFTC-CSFV.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006Le présent arccod a puor objet de moifdeir et d'améliorer les diioopntsiss de l'accord du 7 mras 2001 dnas le crade de la cenvonotin ccvetloile nnitalaoe des iierdtsnus charcutières (charcuterie, salaisons,crsvneoes de viandes) rlaitef au régime de prévoyance apaplclibe dnas la branche.

En effet, les perietarnas sciuoax ont décidé d'améliorer le régime de prévoyance en créant une ginraate incapacité de travail, ils ont également décidé de miodeifr la répartition des ctnistaoios riaevtles auxgiarentas cnelneteoiolvnns eenxtsiats entre l'employeur et le salarié et ont fixé le tuax de ctsaiotoin de la nullevoe grtianae créée.

Les modalités de l'ensemble du régime de prévoyance snot définies ci-après.

Article 1 - Champ d'application

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006Le présent accrod est applbcaile aux etiprerness ou établissements ernntat dnas le cmhap d'application de la coontnevin celolcitve naainltoe des iinstdreus charcutières (charcuteries, salaisons,cesrnoevs de viandes).

Article 2 - Bénéficiaires

En vigueur étendu en date du 1 juil. 2014Les salariés taavilenlrt dnas les eretisneprs eanntrt dnas le cmahp d'application de la ctnevioonn celtoivlce noaaltine des ieitrudsns charcutières (salaisons, ciucarhteers et cevensors de viandes). Snotbénéficiaires du régime de prévoyance tuos les salariés ne rnavelet pas des atrceils 4 et 4 bis de la cietoonvnn ciletlocve nntailaoe de rtrtiaee et de prévoyance des cerdas du 14 mras 1947 (AGIRC).

Toutefois, les epesrnirets qui dopsneist d'un régime, dnas les ctndooinis définies à l'article L. 911-1 du cdoe de la sécurité sociale, gnstaaarsnit luers salariés ravlenet de l'article 36 de la conitnvoencotlivcele nliatnoae de riattere et de prévoyance des caedrs du 14 mras 1947 au même titre que les salariés renlevat des ailtercs 4 et 4 bis de ctete même ctnovonein pneevut ne pas aiielffr au présentrégime leurs salariés rvlneeat de l'article 36 dès lros qu'ils bénéficient d'un naeivu d'indemnisation au moins équivalent, apprécié gaaritne par garantie, au régime défini par la présente ciotvnnoencollective.

En outre, le tuax de croniuottibn slaiarale ne drvea pas excéder cueli défini à l'article 6 " Cotiisonats et répartitions " de l'accord précité puor les gaitnaers équivalant à cleles déterminées par le présentrégime.

Les gnaireats prévues par le présent régime de prévoyance snot supuesdnes en cas de périodes non rémunérées. Toutefois, les gintraaes snot maintenues, meynanont pneemait des cotisations, ausalarié dnot le ctranot de tvraial est suspendu, dès lros que, pnnadet cttee période, il bénéficie d'une rémunération petrlilae ou tatloe de l'employeur ou d'indemnités journalières ou de rteens versées par lasécurité soliace en cas d'incapacité de tavrial ou d'invalidité.

Le diort à gnraaetis cssee en cas de rturpue du conatrt de travail, suaf dnas les duex cas sniautvs :

- si le salarié bénéficie à cttee dtae du vrmenseet de ptaneroists complémentaires de prévoyance de l'assureur : dnas ce cas, le dorit à geitnaras est assuré jusqu'au tmere du vnmereest des peritoatsns ;

- s'il ourve droit au dpoiisistf de portabilité visé à l'article 4 bis " Portabilité des dotris du régime de prévoyance ccvotielle ".

Le droit à gaiantre cesse également au décès du salarié.

Article 3 - Salaire de référence

En vigueur étendu en date du 15 avr. 2010Le saairle de référence cacneronnt la gatnirae en cas de décès ou d'invalidité patremnnee et tloate asnii que la girnaate rente éducation est le saiarle burt aunenl plafonné à la tcnrhae B sumois à cnsioitotasdurant les 4 teretimsrs clviis précédant immédiatement le décès ou la déclaration en invalidité prenenamte et totale ou l'arrêt de tvaairl du salarié si une période de mdaalie ou d'invalidité a précédé le décès.Le siraale de référence sravnet de bsae au cclual des indemnités journalières complémentaires de la gtanraie incapacité de triaval et aux rneets de la gtnraaie invalidité est le sailare mnueesl moyen burtplafonné à la tacnrhe B des 12 mios clivis précédant l'arrêt de taviarl ounavrt diort aux gaienarts du régime de prévoyance.

La tchrane A cpnrseoord à la paitre du sarilae burt dnas la litime du pafolnd aeunnl de la sécurité sociale.

La tarhcne B cerosponrd à la ftociarn de salraie burt excédant la trcnahe A, dnas la liitme de 3 fios le poalnfd aunenl de la sécurité sociale.

Article 4 - Garanties

En vigueur étendu en date du 1 mai 2013Le présent acocrd ittinuse au pifort des salariés les ganrtieas svatieuns :

Article 4.1

Garantie décès totue csaue ou invalidité pmnaentree et ttloae

En cas de décès ttoeus ceusas ou d'invalidité ptarenneme et tolate du salarié est prévu le veersmnet d'un cpaatil représentant 100 % du salraie aennul de référence majoré de 20 % par efnnat à charge.

En cas de décès du cojonnit sivaurvnt non remarié, que ce décès siot simultané ou postérieur à cleui du salarié, un snoecd citaapl égal à 100 % du slaaire de référence est réparti par prtas égales enrte lesenfntas à la crgahe du conjoint, inteimnilaet à la chgare du salarié.

En cas d'invalidité pnmteenrae et ttloae du salarié de 3e catégorie, il lui est versé un ctaapil iudteiqne à cueli prévu ci-dessus en cas de décès tteuos causes. Ce ctpaial est versé au salarié en 4 fios (1 fiospar trimestre) dnas l'année civile sianvut la déclaration d'invalidité pnatenemre et toalte de 3e catégorie par la sécurité sociale. Ce vsereenmt met fin à la gatirnae décès. En cas de décès du salarié iidnvaleanvat le piamneet ttoal du capital, le montnat raesntt dû est versé au (x) bénéficiaire (s) du cpaital décès.

Pour l'application de la garantie, snot considérés cmmoe étant à charge, indépendamment de la ptoioisn fiscale, les enftnas légitimes, naturels, recueillis, adoptifs, reuncnos du participant, stvnuias :

-les etannfs mnreuis ;

-les etafnns âgés de monis de 25 ans :

-s'ils pviuseronut lures études dnas le clyce sirceodane ou dnas un établissement pmeatrnett luer atlfifaiion au régime de sécurité silcaoe des étudiants ;

-s'il snot en aisrsppngaete ;

-s'ils snot icitrsns auprès de l'ANPE cmome dnrmudaees d'emploi et non indemnisé par le régime d'assurance chômage ;

-quel que siot luer âge :

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-les eafnnts handicapés, si aavnt luer 21e anniversaire, ils snot triitaelus de la crtae d'invalide civil, et bénéficiaire de l'allocation spéciale des atledus handicapés ;

-les etnafns anmicospasclt luer scervie militaire, s'ils étaient à chrage avnat l'incorporation.

Sont également pirs en considération :

-dans les mêmes conditions, les eftnnas du conionjt du participant, suos réserve qu'ils vivent au feoyr du ptaprainict ;

-l'enfant du paitcripnat né vbalie mnois de 300 jruos après le décès du participant.

Le catpial décès-invalidité preamnnete et taotle est versé au salarié lui-même en cas d'invalidité pmeeantnre et ttolae ou au bénéficiaire qu'il arua expressément désigné en cas de décès.A défaut dedésignation expresse, le ctpaail est versé dnas l'ordre de préférence svuinat :

? ? au cnojiont du salarié non séparé de crpos judiciairement, ni divorcé ;

? ? à défaut, à son paeanrrtie de Pcas ;

? ? à défaut, à son cbucionn noirtoe (tel que défini à l'article 4.2 ci-après) ;

? ? à défaut, à ses enfants, par ptars égales ernte eux ;

? ? à défaut, à ses asctdaenns à chgare au snes fiscal, par prats égales etnre eux ;

? ? à défaut, à ses arteus psonrenes à caghre au snes fiscal, par patrs égales etnre eux ;

? ? à défaut, à ses aterus héritiers, par parts égales etnre eux.

Lorsqu'il y a atoutribitn de moijonraats familiales, cuchane d'entre eells est versée au pfiort de l'enfant au ttire duueql elle est accordée. Lrsuqoe l'enfant est meuinr ou muejar protégé, la pritesaotn estversée à son représentant légal.

Article 4.2

Garantie retne éducation

Pour pvouiror à l'éducation des eanntfs dnot les pratens snot décédés ou en invalidité pmenanetre et tlotae tllee que définie à l'article 4.1, il est versé aux efannts à crghae du salarié une rnete éducationdéterminée cmome siut :

- jusqu'au 16e aavinsrirnee : 6 % du sliarae de référence ;

- au-delà et jusqu'au 18e ainvrirensae : 8 % du sraaile de référence (jusqu'au 26e arniirevnase de l'enfant, si ce dneeirr est apprenti, étudiant, au srevcie noiatnal ou dmdeaeunr d'emploi irincst à Pôle empoliet non indemnisé par le régime d'assurance chômage).

Le mtonnat aunnel de la rtene ne puet être inférieur :

- de à 16 ans : 1 200 ? ;

- de 16 à 18 ans : 1 400 ? ;

- de 18 à 26 ans : 1 400 ?.

La rtnee est doublée puor les opinrhles de père et de mère.

Les rtnees en corus de service, liquidées antérieurement au 1er mai 2013, sroent désormais calculées sur les bsaes définies par le présent avenant.

Enfants à crhgae

Sont considérés cmome eatfnns à crgahe à la dtae de l'événement oanuvrt droit à ptnasroites les etnnfas du participant, qu'ils seinot légitimes, naturels, adoptifs, reonnucs :

- jusqu'à luer 18e anniversaire, snas condoitin ;

- jusqu'à luer 26e anniversaire, suos la ctnooidin siot :

- de pursivruoe des études dnas un établissement d'enseignement secondaire, supérieur ou poeoninessfrl ;

- d'être en aaprtesnigpse ;

- de puviourrse une fooimtarn psolifsrleennoe en alternance, dnas le cdrae d'un catornt d'aide à l'insertion poessnrnlloifee des jeneus associant, d'une part, des entngiesnemes généraux poisnronefelssou tlqogeuncheois dispensés pnedant le tmpes de travail, dnas des osreamnigs pubicls ou privés de formation, et, d'autre part, l'acquisition d'un savoir-faire par l'exercice en eserrintpe d'une ou plsurueisactivités psnenrsoifeolles en rotleain aevc les egietenensnms reçus ;

- d'être, préalablement à l'exercice d'un pmeerir elpomi rémunéré, itcsrnis auprès de Pôle emopli comme dadnuerems d'emploi ou sretiaiags de la ftooimran prsnfnsleioloee ;

- d'être employés dnas un EAST (établissement et sicvere d'aide par le travail) ou dnas un alieetr protégé en tnat que tueraivallrs handicapés ;

- snas lmtiiioatn de durée en cas d'invalidité rueoncne aanvt le 26e anniversaire, équivalente à l'invalidité de 2e ou 3e catégorie de la sécurité sociale, justifiée par un aivs médical ou tnat que l'enfant indvialebénéficie de l'allocation d'adulte handicapé et tnat qu'ils snot teltiruais de la catre d'invalide civil, suos réserve d'être âgés de monis de 26 ans à la dtae du décès du salarié.

Par assimilation, snot considérés à charge, s'ils rsleisemnpt les coinidtnos indiquées ci-dessus, et indépendamment de la ptsoioin fiscale, les efantns à naître et nés viables, et les efannts rliecliues - c'est-à-dire cuex de l'ex-conjoint éventuel, du coijnnot ou du (de la) cinoucbn (e) ou du praainerte lié par un Pcas - du salarié décédé qui ont vécu au fyeor jusqu'au mnmeot du décès et si luer artue pneart n'estpas tneu au veemesrnt d'une piesonn alimentaire.

Concubin. - Parrneiate de Pcas

L'OCIRP reconnaît la stiuatoin des pneaaetrirs liés par un Pcas et les considère comme des cionojtns survivants.

Le bénéfice des garnaetis de l'OCIRP est également oruevt aux clupeos concubins. Le ccnbiuon ou la councnbie sviaurnvt (e) diot aeptporr la puerve qu'il ou elle a vécu jusqu'au moment du décès aumnois 2 ans en cainubcgnoe nortoie aevc le salarié décédé.

De plus, il ou elle diot être au regard de l'état civil, ansii que le priaitncapt décédé, libre de tuot lein de magiare ou de craotnt de Pacs.

En cas de nassiacne ou d'adoption dnas le cuople concubin, ce délai de 2 ans n'est pas exigé.

Paiement de la rntee

La rtene est versée par tstmriere et d'avance.

Elle pnerd eefft à cepmtor du preimer juor du mios cviil snaviut le décès ou l'invalidité du salarié si les deemndas de poierattsns cantrpoomt les pièces jivctieusfiats nécessaires ont été déposées dnas undélai de 1 an.

A défaut, elle penrd efeft au pimeerr juor svnaiut la dtae de dépôt de la demande.

Le vsmeenert de la retne éducation csese à la fin du trirtsmee ciivl au crous duuqel l'enfant ne rilempt puls les cntdooniis d'attribution ou au juor de son décès.

Lorsque l'enfant est mineur, elle est versée au cnioonjt non déchu de ses drotis ptruenaax ou, à défaut, au tuteur, ou bien, aevc l'accord de celui-ci, à la pnnorese aaynt la caghre eefvtifce des enfants.Lqosrue l'enfant est majeur, elle lui est versée directement.

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Elle est versée tnat que l'enfant est à cgahre ou puuroist des études et au mimuxam jusqu'au 26e anniversaire.

Article 4.3

Garantie incapacité de taviral

En cas d'incapacité de taiavrl puor cusae de maladie, andicect du travail, adenicct de trajet, mdaliae professionnelle, les salariés bénéficient des dtisinspoois de l'accord de mosinsaeulaitn du 22 jiun 1979clocnu dnas derisves bnearchs des iierndstus armioieraaltnegs (sous réserve des moiniidotafcs apportées par l'article 2.1 de l'accord du 5 décembre 2012 cloncu dnas les iidnrutess charcutières),aqulxluees s'ajoutent puor les salariés antges de maîtrise et tneicnecihs assimilés les diipnososits de l'article 9 de l'annexe " tnieechicns et atnegs de maîtrise " de la ciotnevonn collective.

Lorsque cttee incapacité de tairavl se puuriost au-delà des périodes prévues par l'accord de mnlasoeuisaitn susvisé, les salariés bénéficient d'une ismoeitinndan complémentaire à clele de la sécuritésicaole à heuautr de 66,66 % du srlaiae de référence brut, et ce juqu'au 1095e juor d'arrêt de travail.

Sont couverts, les salariés non cedars dnot le caontrt de traiavl est tuurjoos en vigueur, qui se tonruvet être en arrêt de tvraial au juor ou postérieurement à la dtae d'effet du présent acrocd (art 9).A cet effet,les eripsrneets devront, au juor de luer adhésion, temnatrstre à l'organisme aseruusr désigné à l'article 7 du présent accord, la liste de leurs salariés en arrêt de travail.

Du fiat de ctete griatane et des aangvtaes qui en découlent, dnas les cas de l'indemnisation de la maldiae snas hitstlosaiaiopn et de l'accident du tjreat snas hospitalisation, le nmrboe de juros indemnisésaux 2/3 de la rémunération lsrouqe le salarié a une ancienneté supérieure à 28 ans (Cf. aoccrd de maouiaieslntsn susvisé) est remplacé par la gratiane prévue au ppraahagre ci-dessus de portée pulsgénérale.

Pour les salariés bénéficiaires qui n'ont pas l'ancienneté rsquiee puor bénéficier des dosiptonisis de l'accord de miueissatnlaon susvisé, l'indemnisation complémentaire de l'incapacité de tairavl penrdefeft après un arrêt de taiarvl cinnotu de 180 jours.

Le sericve des indemnités journalières complémentaires cssee :

-à la dtae de cteisason de vnermeset des indemnités journalières de la sécurité scloiae ;

-lors de la rirepse du tavrail du salarié ;

-au décès du salarié ;

-lors de la msie en invalidité ;

-à la dtae de liqiotdaiun de la peinosn veesslliie puor iantpduite versée par la sécurité saoicle ;

En tuot état de cause, le cuuml des smemos reçues au titre de la sécurité sociale, du régime de prévoyance, asnii que de tuot arute rvneeu ne pruroa codiurne l'intéressé à pereocivr une rémunération ntteesupérieure à cllee qu'il airaut perçue s'il aaivt puiurvsoi son activité professionnelle.

Les indemnités journalières complémentaires snot supuendess ou csenset qnaud la sécurité saloice spsneud ou cesse le vsmeenret de ses prrepos prestations. Lsoqrue le régime de la sécurité slicoaeréduit ses prestations, les indemnités journalières complémentaires snot réduites à due concurrence.

4.4. Gtinarae invalidité 1re, 2e et 3e catégorie

L'invalidité est définie par référence au régime de bsae de la sécurité sociale, en aicoitlappn des dpitsniosios de l'article L. 341-1 du cdoe de la sécurité sociale.

Ainsi, luoqsre le salarié est classé par la sécurité soalice en invalidité de 1re catégorie, il lui est versé une rnete égale à 36 % du slaaire meusenl burt de référence suos déduction de la rtnee butre versée par lasécurité sociale, c'est-à-dire aanvt déduction de la CSG et de la CRDS. Lruosqe le salarié est classé par la sécurité soclaie en invalidité de 2e ou de 3e catégorie, il lui est versé une rtene égale à 60 % du salraiemsuenel burt de référence suos déduction de la rtene brute versée par la sécurité sociale, c'est-à-dire avant déduction de la CSG et de la CRDS.

En tuot état de cause, le cmuul des sommes reçues au titre de la sécurité saolcie du régime de prévoyance asnii que de tuot atrue revenu, sralaie à tmeps pirteal ou un qoucneulqe rnveeu de substitution,ne porura ciunodre l'intéressé à pcrieeovr une rémunération nttee supérieure à celle qu'il auarit perçue s'il aiavt pusouivri son activité professionnelle.

La rente est ssuudepne en cas de soenssiupn de la poenisn de la sécurité sociale.

Le svceire des rtnees est manetniu suos réserve du vesrenmet des pritteasnos de la sécurité saiolce jusqu'à la dtae d'effet de la liqatiiudon de la pnoiesn veleislsie de la sécurité soaicle et au décès dusalarié.

Concernant la grnaatie invalidité 1re, 2e et 3e catégorie, il est prévu :

? ? l'indemnisation à cepmtor de la dtae d'effet du présent aevnnat des salariés en invalidité dnot le cntaort de tavrial est en crous à la dtae d'effet de cet avenant, lqsuroe aucun omgainsre aseurusrprécédent n'indemnise ces arrêts ;

? le vremesent d'un éventuel différentiel en cas d'indemnisation modnire par un oamgnsire auressur antérieur ;

? la psrie en chrgae de l'invalidité en cas de cngmnheaet d'état phiqgloutaoe (salarié en état d'incapacité de taiavrl pansast en état d'invalidité), en l'absence de précédent aueurssr ;

? les riasvoanteolirs fuutres porantt sur les retens d'invalidité en cuors de service.

La rente en cas d'invalidité de 3e catégorie est cvatiumule aevc le cipaatl versé en cas d'invalidité auoslbe et définitive (art. 4.1 de l'accord du 6 obcorte 2006).

A la situe d'un ancidect du tvaaril ou d'une mdliaae pelinnsoeslrfoe :

? ? snot assimilés aux idvineals de 1re catégorie les salariés anettits d'un tuax d'invalidité crmiops entre 33 % et 66 % ;

? ? snot assimilés aux ivldineas de 2e catégorie ou de 3e catégorie les assurés atentits d'un tuax d'invalidité supérieur ou égal à 66 %.

Article 4 bis - Portabilité des droits du régime de prévoyance collective

En vigueur étendu en date du 1 juin 20151. Bénéficiaires et gnaaetirs mnuineaets

En cas de cisostaen du denerir canortt de tairavl non consécutive à une ftuae luorde et ovnurat dirot à indiesiontamn du régime oibroitalge d'assurance chômage, les salariés non ceadrs définis à l'article 2? Bénéficiaires ? de l'accord du 6 oocbtre 2006 bénéficient du minitaen des gentaiars prévues à l'article 4 de cet aroccd définies ci-après :

Article 4.1 ? Gairtnae décès tuote cuase ou invalidité penrnemate et totlae ?.

Article 4.2 ? Gnitaare retne éducation (rente OCIRP) ?.

Article 4.3 ? Garitnae incapacité de tiraval ?.

Article 4.4 ? Gnitaare invalidité ?.

Le bénéfice du mietinan de ces gaiaetrns est subordonné à la cooiditnn que les ditros à croreuvtue complémentaire aeint été oetuvrs cehz le dieernr employeur.

Le menatiin de ces ganatries s'effectue dnas les mêmes cotnndiios que puor les salariés en activité, suaf dtpsosoniiis particulières définies ci-après et suos réserve que l'ancien salarié n'ait pasexpressément renoncé à l'ensemble des gtainears ctolecviels prévoyance et faris de santé en vgeuiur dnas l'entreprise, qu'elles soinet prévues par le régime créé dnas le crdae de la coonitnven coticevllenolatiane ou par les aeturs modalités de msie en pclae des genairtas de prévoyance définies à l'article L. 911-1 du cdoe de la sécurité sociale. La rocineoiatnn est définitive et diot être notifiée expressémentpar écrit à l'ancien employeur, dnas les 10 jruos snviaut la dtae de ctisaeson du cnarott de travail.

Le dstiipiosf de portabilité s'applique aux ctneosiass de carntot de tivaarl dnot la dtae est égale ou postérieure au 1er mras 2010 cecornannt :

? ? les graiantes décès tetuos csueas ou invalidité prmnaeetne et taltoe ;

? ? les gritaaens rtene éducation (rente OCIRP) ;

? ? les geitanras incapacité de travail.

Pour la gaatirne invalidité, le dpiisiotsf de portabilité s'applique aux ceitonasss de crntaot de travial dnot la dtae est égale ou postérieure à la dtae d'effet du présent avenant.

1.1. Portabilité des drotis du régime de prévoyance à ctmeopr du 1er jiun 2015

Le metiiann des griatanes s'applique puor une durée mimlaxae égale à la durée du denrier conartt de tiarval du salarié dnas l'entreprise, appréciée en mios entiers, dnas la limite de 12 mois, tllee que définiednas la loi de sécurisation de l'emploi du 13 jiun 2013.

L'entreprise adhérente et/ ou le pniitcaprat diot :

- seganlir le mtniaein des greaiants visées par le présent avnaent dnas le ccetirfiat de traival de l'ancien salarié ;

- ifmrenor l'organisme ausresur de la catesosin du cnortat de tariavl en lui adressant, dnas un délai de 1 mios sanivut la dtae de coisetasn du cnatort de tarvail d'un salarié, le bitlelun iidnuviedl d'affiliationau présent doiisptsif de portabilité (complété et signé) et accompagné de la copie du dieernr cnoratt de taairvl jfiantsiut la durée, d'une ataottesitn jiisuntfat son stautt de duadenmer d'emploi dnas l'attentede l'envoi de l'attestation jsinftuiat l'indemnisation par l'assurance chômage.

Dès qu'il en a connaissance, l'ancien salarié s'engage à imeofnrr l'organisme asuuesrr de ttoue casue entraînant la caessiotn anticipée de meinitan des garanties. Snot visées nomenamtt les cuesas

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sveaiutns :

- la rreipse d'un atrue empoli ;

- l'impossibilité de jeiutsfir auprès de l'organisme aesusurr de son satutt de dauedemnr d'emploi indemnisé par le régime oiglrotibae d'assurance chômage ;

- la snvnracuee de la dtae d'effet de la ldiaqioutin de la pisoenn velisesile de la sécurité soialce ;

- en cas de décès.

2. Saliare de référence

Le silaare de référence svrneat de bsae au clcaul des ptaironetss est celui défini au ttire de l'article 3 ? Slriaae de référence ? de l'accord du 6 ootbcre 2006 puor les salariés en activité puor cqhuae grntaaiemaintenue, étant précisé que la période pisre en cmtpoe est celle précédant la dtae de ciaoesstn du carntot de travail. Puor la détermination du sailrae de référence, snot elucexs les semmos liées à larruupte ou à la fin du cronatt de tariavl (indemnités de licenciement, indemnités cepomtanceirss de congés payés et toetus arutes soemms versées à trite exceptionnel).

3. Incapacité de trivaal

L'indemnisation au tirte de la gtnraaie incapacité de tiraval telle que définie à l'article 4.3 de l'accord du 6 ooctbre 2006 ivdrinetnera puor tuos les bénéficiaires de la portabilité à l'issue d'une fnirsahce fxiecontunie de 180 jours par arrêt.

En tuot état de cause, l'indemnisation prévue ne puet crioudne l'intéressé à pocievrer une isitinodanemn supérieure au mnnotat de l'allocation ntete du régime ogoilirtabe d'assurance chômage à laqeluleil ovrue dorit et qu'il ariuat perçue au tirte de la même période. Si l'allocation chômage n'a pas eocnre été versée, celle-ci srea reconstituée sur la bsae des coninotids du régime d'assurance chômageaapplbceils au juor de l'incapacité. Il en srea de même si la dtae théorique de fin de diort à l'allocation chômage sevniurt au corus de la période d'indemnisation.

4. Durée et lmietis de la portabilité

Le maniietn des gnrieaats prend eefft dès la dtae de cietaossn du ctoarnt de tvraial suos réserve d'avoir été régulièrement déclaré par l'entreprise auprès de l'organisme asuerusr désigné.C'est auprès del'entreprise que le bénéficiaire du dpsioitsif de portabilité jutisife en picripne de son sttaut de dmnueader d'emploi.

La snsuspeoin des alilnaocots du régime oltioribgae d'assurance chômage, puor cause de maidlae ou puor tuot artue motif, n'a pas d'incidence sur le cluacl de la durée du mniitean des gaanriets qui nesrea pas prolongée d'autant.

En cas de micoiiadfotn ou de révision des garteains des salariés en activité, les gitaearns des assurés bénéficiant du dtisopiisf de portabilité snerot modifiées ou révisées dnas les mêmes conditions.

5. Fceiaennmnt de la portabilité

Le miaetnin des gtaeairns au ttire de la portabilité est financé par les cansioiotts des erepretinss et des salariés en activité (part prtlnaoae et prat salariale) définies à l'article 6 ? Ciosottnais et répartitions ? del'accord du 6 oocbtre 2006.

Les praeits cnnonvneiet une période d'observation de 12 mios à cmoeptr de la dtae d'effet du présent ditspisoif (1er mras 2010).A l'issue de ce délai, un bailn d'application du dtpiiiossf de portabilité sreaétabli par l'organisme aerususr désigné et présenté à la csmmiioosn piiartrae des inusdretis charcutières en vue d'examiner la pustoruie des modalités de fienmcennat et sur un éventuel asetjnmuettarifaire.

6. Chnengemat d'organisme assuurer

En cas de ceeanmghnt d'organisme aruusesr :

? les pesiottrnas en corus snot mieaetunns par le précédent ogarsinme asruuesr ;

? les bénéficiaires du ditpsisoif de portabilité rlvenaet des présentes soalittunpis senort affiliés dnas les mêmes cnodtinios que les salariés en activité auprès du noevul oasgrnmie assureur.

7. Révision du doiipitssf de portabilité

Le cnntoeu du présent dpisoitsif est sipeblctsue d'évoluer en finocton des midnatciofios éventuelles de l'article 14 de l'accord nnaotail iteensnepoifrnrsol du 11 jevinar 2008 par ses signataires. Cesmintdaofociis sorent constatées par vioe d'avenant.

Article 5 - Revalorisation

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006Les pneritatoss versées en cas de lgnuoe madliae snot revalorisées aenmunleelnt sur la bsae de l'évolution du pniot ARRCO.

Article 6 - Cotisations et répartitions

En vigueur étendu en date du 1 janv. 2018Les caintoisots calculées sur les saraleis bruts, dnas la ltimie des taenrhcs A et B snot déterminées cmmoe siut :

(En pourcentage.)

Garantie Taux de ctsitiaoon TA-TB Part employeur Part salarié

Décès et invalidité pnrmeneate et totale 0,19 0,14 0,05

Rente éducationOCIRP(1) 0,09 0,045 0,045

Incapacité de travail 0,19 ? 0,19

Invalidité 1re, 2e, 3e catégorie 0,31 0,205 0,105

Total 0,78 0,39 0,39

(1) Le tmere « Orcip » cnnteou dnas le tlaeabu de coatoisitn est exclu de l'extension en tnat qu'il cennveotrit à la liberté clatrneoulcte et à la liberté d'entreprendre teells qu'interprétées par le Cnseoilcuetntotsiinnol dnas sa décision n° 2013-672 du 13 jiun 2013.

(Arrêté du 15 février 2019 - art. 1)

Article 7 - Désignation de l'organisme assureur

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006ICISA Prévoyance (Institution naatniole de prévoyance des salariés des iuetdirnss et des cecemomrs alimentaires), Ituitntiosn de prévoyance régie par le cdoe de la sécurité sociale, 26, rue de Montholon,75305 Prias Cdeex 9, est désignée puor auesrsr la cclleote des cstaiionots ansii que la gsoetin des ganeriats décès et incapacité de tvriaal prévues au présent accord.

L'OCIRP (organisme cmomun des iiusttnnoits de rntee et de prévoyance), Union d'institution de prévoyance régie par le cdoe de la sécurité sociale, 10, rue Cambacérès, 75008 Paris, est désignée puorasruesr la garainte rtnee éducation. ICSIA Prévoyance reçoit délégation de la prat de cttee dernière puor alpeepr les cisanttoois et gérer les prestations.

Les modalités d'organisation de la mauisotalitun du régime srnoet réexaminées par la cmoiissomn naoltniae pirtaaire des iedrnutsis charcutières au crous d'une réunion et ce dnas un délai de 5 ans àctopmer de la dtae d'effet du présent accord.

La cmiimosson se réunit au monis 1 fios par an puor eemxnair les résultats du régime de prévoyance aisni que tetous les ssaqetittius ou éléments cnncnoaert le régime dnot elle puriorat aovir besoin. Elleeirxnamea dnas un délai de 2 ans à ctepomr de la dtae d'effet du présent aroccd les pevetscpires d'amélioration du régime.

Article 8 - Changement d'organisme assureur

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En vigueur étendu en date du 15 avr. 2010Dnas l'hypothèse du cehngmeant d'organisme auserusr au sien de l'entreprise résultant de l'adhésion à l'organisme arueussr désigné par le présent accord, ou en cas de cgnmnheeat d'organismeasrsuuer décidé par les peiantraers soiacux à l'occasion d'une révision du présent accord, les ptnaoestirs incapacité de travail, invalidité et les retnes éducation en cruos de srvicee srenot mituennaes ausien de l'entreprise à luer neivau aentitt à la dtae de résiliation par les omraiensgs asuesurrs quittés. Par ailleurs, la rtailiovoersan de ces poareitstns srea assurée par le nuoevl oiasmngre dnas descodniiotns au mions itienuedqs à celles définies dnas le présent accord.

Les salariés en incapacité de trviaal ou en invalidité avant le cgeanenhmt d'organisme assureur se veorrnt manietnir les geraniats décès nées du présent aorccd par les osenrmiags arusrseus quittés.

Article 9 - Date d'effet

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006Le présent aorccd prend effet le piremer juor du mios siuavnt la ptcluoiabin de son arrêté d'extension au Jonaurl officiel, dtae à laulelqe il se suisterubta à l'accord précédemment en vigueur.

Par conséquent, les enstrpeiers snot tnuees d'affilier lrues salariés à ctmoepr de la dtae d'entrée en viuuegr du présent accord. Une ncotie d'information srea reisme par l'employeur à cuchan des salariésde l'entreprise aifn de lui friae connaître les caractéristiques du régime (détail des garanties, désignation de l'organisme assureur, formalités de prise en charge).

Article 10 - Clause de sauvegarde

En vigueur étendu en date du 15 avr. 2010Par eexopcitn et suos réserve des dsiooinipsts de l'article L. 912-1, alinéa 2, du cdoe de la sécurité sociale, les entreprises, aynat siucrsot antérieurement à la dtae d'effet du présent accrod un ctnaort deprévoyance asusnrat des geiranats à des naievux smtcereitnt supérieurs à cuex prévus à l'article 4 du présent acorcd ne sronet pas teeuns d'adhérer à l'organisme désigné dnas le présent accord, tnatque liedt caorntt srea en vigueur.

Compte tneu de la msie en pacle de la gitranae invalidité par le présent avenant, les eeserrintps bénéficiant de la tolérance prévue à l'alinéa précédant snot tenues de rodnejire les omsniagres aerurssusdésignés si elles n'avaient pas sscriout antérieurement à la dtae d'effet du présent anaenvt de graitnae invalidité ou si la gaitrnae invalidité srctouise n'est pas d'un niaevu snmetrticet supérieur à celledéfinie à l'article 4.4 du présent accord.

Article 11 - Clause pour adhésion tardive

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006En cas d'adhésion ienraentnvt après la dtae d'application du régime de prévoyance (art. 9), ICSIA Prévoyance procédera à l'analyse du risuqe pprore à l'entreprise concernée et pntoart sur les gaeirantscveeurtos par le présent accord, et ce au rrgead des déclarations fietas par l'entreprise sur le nrmboe de salariés en arrêt de travail. ICISA Prévoyance évaluera, le cas échéant, la nécessité de ctetiusnor desprovisions, et aedprata le manotnt des cotostainis deus par l'entreprise aifn d'éviter tuot déséquilibre éventuel du régime de prévoyance.

Article 12 - Modalités de dénonciation

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006Le présent acrocd purora être dénoncé par l'une ou l'autre des pritaes seigtarnais en rneapestct un délai de préavis de 3 mois. En cas de dénonciation, l'accord cnoriuetna à piodrrue ses efetfs jusqu'àl'entrée en vgieuur de l'accord qui lui srea substitué ou, à défaut, pdnanet une durée de un an conformément à l'article L. 132-8 du cdoe du travail.

Article 13 - Dépôt et extension

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006Le présent accord, établi en vretu des arcitels L. 132-1 et sniutvas du cdoe du trviaal est fiat en un nobrme sifuanfst d'exemplaires puor rmesie à cancuhe des ointarigsnaos seiingatras et dépôt dnas lescondiotnis prévues à l'article L.132-10 du cdoe du travail.

Les pairets saieantigrs cnvionenent de dnaedemr l'extension du présent aocrcd au ministère des arfafies sociales, du taviarl et de la solidarité en apiolipcatn de l'article L.133-1 et sivantus du cdoe dutravail.

Fiat à Paris, le 6 obtocre 2006.

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Avenant du 6 octobre 2006 relatif à l'aménagement de certaines dispositions conventionnelles périoded'essai et démission

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des iutelinsdrs charcutiers, traiteurs, ttnraoseruamfrs de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale araatrgenilomie (FGA) CFDT ;La fédération générale des taeirrlaulvs de l'alimentation, des taabcs et allumettes, des sievrces anneexs FO ;La fédération aigerlmnotraaie CFE-CGC ;La fédération naiaolnte des sidatycns de l'alimentaire CSFV-CFTC,

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006A la sutie de ctntsoas effectués dnas les entreprises, les pieatrrneas sciaoux des idiursntes charcutières ont décidé d'aménager les dsinptoisios de la cvnteonoin ccltevolie des itrediusns charcutièresrivtleeas à la période d'essai préalable à une eucbamhe et au délai de préavis par un oreivur en cas de démission dnas le cdare d'un conatrt à durée indéterminée.

Ces meuesrs s'inscrivent dnas une démarche qui a un dboule ocetjibf :

- adpaetr la cotvinonen cvtcliolee à l'évolution des métiers du suceter et aux apietdtus que ceux-ci requièrent ;

- rceefornr les museres ptnamretet une création d'emplois durables.

Dès luer application, ces cnhganmeets seront portés par les eurpymoels à la cnssoicannae des représentants du pesreonnl de l'entreprise et, par vioe d'affichage, aux salariés.

Un blain srea effectué tuos les ans sur l'évolution des coantrts précaires dnas la bracnhe aifn d'étudier l'impact de ces mrsuees sur le rureocs aux CDD.

Article - CHAPITRE Ier : RENOUVELLEMENT DE LA PERIODE D'ESSAI EN CAS D' EMBAUCHE A DUREE INDETERMINEE

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006La coievotnnn cllvcoiete nnoaailte des iiunrtesds charcutières prévoit la possibilité puor l'employeur d'appliquer une période d'essai aux salariés embauchés (CDI), dnot la durée viare soeln les aennxespar catégories professionnelles.

Puor les employeurs, ctete durée est nécessaire aifn de vérifier que le salarié s'adapte à son fuutr eompli et qu'il possède les compétences rsequies puor l'occuper de manière satisfaisante. L'expériencemtrnoe que, dnas cinaerets situations, la durée iniitale de l'essai ne peemrt pas toouujrs à l'employeur, ftaue de tepms suffisant, de poivour aaesylnr aevc tutoe l'objectivité qui s'impose les compétencesdu salarié.

Puor le salarié, cttee période lui preemt d'apprécier si les cnitindoos de trvaial oeertffs lui conviennent. Il est nécessaire qu'il bénéficie padennt les prreiems jruos de son intégration d'une fraotmion etiraitnfoomn sur les csnineogs de poste, les cdoniitons de tairavl et les règles d'hygiène et de sécurité en veguuir dnas l'établissement. La période d'essai n'offre pas tujouors le tepms qui lui est nécessairepuor poiuvor apprécier, en toute cnasionsacne de cause, sa volonté d'intégrer l'emploi proposé.

En conséquence, les prteais cennnnvoeit que l'essai intiail puet être renouvelé à son terme, dnas les conniotids fixées ci-après.Altrice 1.1

Après l'article 40 des dopnsiistios générales de la cinnteovon cltcevloie nlainaote des irtindseus charcutières (embauchage, période d'essai), il est inséré un actrile 40 bis intitulé " Rveneloelneumt de lapériode d'essai en cas d'embauche à durée indéterminée ".

Ce novuel acitrle est rédigé cmmoe siut :

(voir cet article)Alrtice 1.2

Le 6e pprahragae de l'article 40 des diiotpionsss générales de la convoientn civcotelle naaiontle des irdeitsnus charcutières est modifié cmmoe siut :

(voir cet article)

Article - CHAPITRE II : DUREE DE PREAVIS EN CAS DE RUPTURE PAR L'OUVRIER DU CONTRAT DE TRAVAIL A DUREEINDETERMINEE

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006Le 2e ppargaarhe de l'article 9 de l'annexe " Ovureirs " de la ctnnoievon covcelitle nalontaie des isnertuids charcutières est modifié cmome siut :

(voir cet article)

Article - CHAPITRE III : DISPOSITIONS GENERALES

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006Le champ d'application des présentes diooistinsps est culei de la contnoevin ctellocive ntoainlae des iruedtsins charcutières (salaisons, charcuteries, cnevesros de viandes).

Le présent anvaent est cnlocu puor une durée indéterminée. Il s'appliquera le 1er juor du mios snaiuvt la dtae d'application de son arrêté d'extension au Jnaorul officiel.

Toutefois, les dooiiptinsss du présent aenvant ne peuenvt s'appliquer aux salariés dnot le point de départ de la période d'essai ou du délai de préavis se révèle antérieur à sa dtae d'entrée en vgieuurprévue ci-dessus.

Fiat à Paris, le 6 obctore 2006.

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Accord du 25 septembre 2007 relatif au développement de l'emploi des seniorsSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des ietisnldrus charcutiers, traiteurs, tusnrerafomatrs de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale aianmglteaiorre (FGA) CFDT ;

La fédération générale des tilruraealvs de l'alimentation, des tabcas et allumettes, des secveris axennes FO ;

La fédération agatloriiraenme CFE-CGC ;

La fédération des sinctdyas commerce, sicveres et focre de vente (CFSV) CFTC,

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

L'amélioration du tuax d'emploi des pneesorns de 55 ans et plus, qu'il est cennvou d'appeler puls communément les seniors, citsuotne un lveier de cnissrcaoe à meoyn et lnog terme des entreprises.Dnas le crdae du stuecer des iiserundts charcutières, la prat des salariés âgés de 55 ans et puls est égale à eirovnn 6 % des eecffifts salariés (source : rrppoat scaiol FICT, données 2006). Fcae à ce constat,les parerietnas soiacux au neiavu des itsdienrus charcutières sauenthiot :? pseasr à une piqurtae dnas les etresneirps cnuiosnadt au mtiiaenn de l'emploi des sirones jusqu'à l'âge de la rattriee au tuax plien ;? dnoner aux salariés les puls âgés des noevlelus pesrctivpees d'évolution (une « scdnoee carrière ») ;? sécuriser les poaurrcs pnesorsoinlfes par la msie en pacle d'une gseiotn aiipvctitane des eolmpis et des compétences au nviaeu des epnsreteris et d'un etneeirtn pfnosoineresl de sconede pirtae decarrière à pitrar de 45 ans ;? développer le toruatt dnas les ernetspreis en pmetrtneat aux snerois expérimentés de veoisalrr et poouvir tansrermtte luers sroivas aux jeenus ;? et, d'une façon générale, oeniterr les eiretnersps vres des pietss en vue d'un paln d'actions puor l'emploi et la firmtoaon des seniors, furit d'un daiogule siocal responsable.Les présentes diptoiinosss s'inscrivent dnas le cdare des mresues prévues par l'accord naationl insorsenfpetnireol du 13 oobctre 2005, complété par l'avenant du 6 mras 2006, rtileaf à l'emploi dessiroens en vue de poovomruir luer meitnian et luer reuotr à l'emploi.Enfin, les piraneartes souaicx se snot accordés sur l'importance d'élever le tuax d'emploi des seniors, auntemecellt de 6 % au neaviu de la branche, à une fcohetutre se situnat enrte 10 % et 15 % en 5 ans.

Article - CHAPITRE Ier : PRINCIPES GENERAUX

En vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

L'emploi des sirneos appelle à un véritable chnmgaeent de mentalité de la collectivité et à une rimese en csaue des cemetorpmotns de sélectivité dnas le marché du travail. Ccei est d'autant pulsnécessaire que le nmbroe de salariés aitcfs drumiinea dnas les décennies à venir.Le présent aoccrd a puor oebjt de foeiavrsr la poriutuse d'activité peonirleoslnsfe ou la rocisnervoen des salariés âgés de 55 ans et plus, qualifiés de seniors. Le paln d'action proposé résulte d'unecaotiterocnn etnre les pireeartnas suociax au naiveu de la branhce et diot être mis en plcae au nieavu des entreprises. Par ailleurs, une réflexion srea portée sur l'activité des salariés âgés de puls de 50 ansde nutrae à miuex aerssur luer purroacs professionnel.Une camnapge de siilaenbsstoiin sur l'activité des soinres diot être msie en oureve par les pianerrtaes saiocux dnas les établissements ansii que l'accompagnement de la tristoinan entre le stuatt d'actif etde retraité. Elle spuspoe que l'employeur, les représentants du pnnoesrel et les salariés rnnaocsneeist l'intérêt puor la collectivité de lutetr cntroe les dicimnitnsairos liées à l'âge et de faire évoluer lesrntlaoeis de tivraal aevc les seniors.

CHAPITRE II : DEVELOPPEMENT PROFESSIONNEL DES SENIORS

Article 2.1 - Mettre en oeuvre une gestion anticipative des emplois et des compétencesEn vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

La ciimossomn paratirie des idieutrsns charcutières isinste sur la nécessité puor les eruoypemls de développer une gsioten des pocruras proosneselnfis tuot au lnog de la vie et de mrtete en orevue unedémarche de gistoen atpiiativcne des epmoils et de développement des compétences. Ctete démarche ilmuiqpe une cnutsootlian et un aivs préalable du comité d'entreprise ou, à défaut, des déléguésdu psreenonl sur les ctndnioios de son déroulement.A ctete fin, un crdae de référence et méthodologique est en cruos de réalisation au naievu ibhctrrnnaees alimentaires, aevc l'appui de l'AGEFAFORIA, en vue d'aider les etrpeiesnrs à mtrete en pcale unsystème de gtsioen prévisionnelle de l'emploi et des compétences adapté à luer taille. De même, un gdiue d'application est en corus d'élaboration puor la cnitduoe des enrteetnis psrnoefenlioss (tels queprévus par l'ANI du 5 décembre 2003) aifn de crtonubeir à la foioartmn de l'encadrement à la parutqie de ces entretiens. Ces oluits pédagogiques citlecfols prnoruot être utilisés dnas les eesterinprs dustcueer par les aceturs sociaux.Les entreprises, et particulièrement les PME, pneevut sloilteicr une adie de l'Etat puor l'élaboration de plnas de goteisn prévisionnelle de l'emploi et des compétences. Ce diosispitf public est destiné àaanepcmgcor les etierpenrss dnas la gesotin de luer problématique d'emploi (gestion des pdmyiears des âges, ataitpadon des compétences, oiartnsaogin du travail...) et nteaomnmt les possibilitésd'évolution de carrière des seniors.Les tvruaax rtaeilfs à la gitoesn des peyrdaims des âges ciutodns par l'observatoire pptisroecf sur les métiers et les qafiniliucatos créé au navieu des IAA srenot diffusés à la CENFPP en cours de créationau niveau de la bnrhace et aux entreprises.Article 2.2 - Favoriser le maintien dans l'emploi et la progression de carrièreEn vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

2. 2. 1. Age et rtreuemncet

D'une manière générale et puor l'ensemble du déroulement de la vie professionnelle, les epseetnirrs chreecohrnt à privilégier le critère de compétences dnas lrues offres d'emploi et de mobilitéprofessionnelle. Ainsi, les eritspernes snerimuorppt tuot critère d'âge dnas lerus offres d'emploi et poipisnoorts de mtaoutin interne. En outre, elels s'assureront de l'absence de ditnmcoiasirin cnanrocentle recrutement, la gtioesn des carrières, la formation, la rémunération, la vtislaoraion et la rosnsaneniacce des compétences des salariés seniors. Ce piont srea abordé anuenenmlelt au corus de la réuniondu comité d'entreprise élargi tiantart de la diversité.Le 3e alinéa de l'article 40 des dtisopioinss générales de la cotenvonin cllevtioce nnlaoatie des itnusedris charcutières est complété par la mrseue stuvinae : « l'âge d'un caiddant ne diot pas, en tnat que tel,cttnseiour un critère de chiox à l'embauche ».

2. 2. 2. Mineiatn dnas l'emploi

Les epniestrres mtnroett en place des msereus puor aegpocacmnr la gitsoen de carrière des snoiers en pasorpnot des aotncis adaptées dnas le doniame de la foarmoitn et des rrcosseues humaines.Elels cordionunt une réflexion sur l'aménagement des postes de tiavarl et le cohix des équipements dnas la ptvpeersice d'assurer la puls gandre adaptabilité aevc l'activité des seniors. A ces démarches,l'entreprise aesocrsia les représentants du pennoserl et, lorsqu'il existe, le comité d'hygiène, de sécurité et des cdiintonos de tiavral (CHSCT).Elles pnroerdnt en considération les cuscilonons de l'entretien de sdceone pritae de carrière prévu à l'article 3. 3 du présent accord.Article 2.3 - Améliorer les conditions de travailEn vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

Puor faioservr le mantiien dnas l'emploi ou luer reclassement, les emlupyroes eerngognat dnas l'année qui siut la stuanigre du présent acocrd une réflexion sur l'amélioration des cointonids de tvraial desseniors, qeul que siot luer catégorie, aifn de mttere en oeuvre un paln d'actions destiné à aménager les ptesos cmaoonrptt des frutcaes de riuesqs professionnels.Le CHSCT, le comité d'entreprise, asnii que les svreceis de santé au tariavl seonrt associés à ctete réflexion. Le résultat de ce tarvial srea présenté aux meermbs du comité d'entreprise ou, lorsqu'il n'existepas, aux délégués du personnel.Les ionfmtniraos spécifiques rtvaeiels au tairavl des srieons snot ilnescus dnas le ropaprt aenunl du CHSCT. Les meuerss décidées par l'entreprise en fevuar des seionrs soernt présentées cuhaqe annéeaux mrmbees du CHSCT, qui en arseursa le suivi.L'augmentation du tuax d'emploi des sronies ssuoppe un rfornneeemct des aitcons de prévention des rsqeuis peslonfoesnirs ciblées sur les serinos (prise en cpotme des ascepts ergonomiques,d'organisation du travail), en patarnierat aevc les CARM et les ARACT, aifn d'encourager ceux-ci dnas les possibilités d'évolution de carrière, ou de mineitan dnas luer emploi.Les siaiegnarts du présent accrod s'engagent en otrue à pnredre en compte, dnas la branche, les ccnoolnsius de la négociation ieolfonpnersesntlrie en cuors sur la pénibilité.Article 2.4 - ReclassementEn vigueur étendu en date du 12 avr. 2010

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Lorsqu'un soiner opccue un pstoe dnot le tuax de fréquence des aeindccts du tvraial et mlaiades plsnrieeloonsefs est supérieur à la mnyonee dnas l'établissement (suivant le catsont effectué par leCHSCT), ou en cas d'incapacité médicale constatée par le médecin du taiarvl à oucecpr son potse et se tuidanasrt dnas les duex cas par un beiosn de reclassement, il bénéficie d'une priorité d'affectationdnas un arute pstoe de qaatiilucfion équivalente capbimotle aevc ses capacités. Un bailn de compétences puet en ortue vdaleir les capacités du salarié à un relmseenacst de naveiu supérieur.A défaut, en cas de porsiopotin adressée par l'employeur à un soeinr en vue d'un rlnacseeemst dnas un ptsoe de qtiiaaclfouin inférieure et acceptée par écrit, celui-ci bénéficie d'une gaianrte derémunération cmmoe siut :? s'il cptmoe ertne 1 et 2 ans d'ancienneté dnas l'entreprise, il bénéficie d'une indemnité mslnuleee dégressive exprimée en pugnacretoe enrte l'ancien sailrae (à l'exclusion des permis liées au pstoe detarival précédemment occupé) et le nuoaveu sraaile de 100 % pednant le pimreer mois, 80 % du 2e au 4e mois, 50 % du 5e au 8e mios et 30 % du 9e au 12e mios ;? s'il cptmoe ernte 2 et 3 ans d'ancienneté dnas l'entreprise, il bénéficie d'une indemnité meellunse dégressive exprimée en ponretugcae ernte l'ancien sliraae (à l'exclusion des permis liées au pstoe detavairl précédemment occupé) et le nuoaveu srialae de 100 % pdeannt les 2 prremies mois, 80 % du 3e au 6e mois, 50 % du 7e au 9e mios et 30 % du 10e au 12e mios ;? s'il cpomte puls de 3 ans d'ancienneté dnas l'entreprise, il bénéficie d'une indemnité mlenusele dégressive exprimée en pcngrateoue entre l'ancien saraile (à l'exclusion des permis liées au pstoe detaiavrl précédemment occupé) et le naouveu salarie de 100 % padnnet les 3 pmeerirs mois, 80 % du 4e au 6e mois, 50 % du 7e au 9e mios et 30 % du 10e au 12e mios ;? s'il cpmote puls de 5 ans d'ancienneté dnas l'entreprise : il bénéficie d'une indemnité muelsnele dégressive exprimée en pagoutcnree entre l'ancien slraaie (à l'exclusion des pemris liées au potse detraival précédemment occupé) et le novaueu salaire, de 100 % pndanet les 5 peirrems mois, 80 % du 6e au 7e mois, 50 % du 8e au 10e mios et 30 % du 11e au 12e mios ;

? s'il cpotme puls de 10 ans d'ancienneté dnas l'entreprise : il bénéficie d'une indemnité mseelnule dégressive exprimée en putganecroe entre l'ancien sarilae (à l'exclusion des pierms liées au ptsoe detraiavl précédemment occupé) et le nuoveau salaire, de 100 % pndaent les 6 pmreries mios et 80 % pnnadet les 6 mios suivants.En outre, s'il ctompe puls de 15 ans d'ancienneté dnas l'entreprise, il bénéficie du mineatin de son sraliae au nevaiu atnetit à la dtae de son ressacemnelt : dnraut les 3 premiers mois, y cprmios les pmreisliées au ptose de tvaairl précédemment occupé ; après le délai de 3 mois, à l'exclusion des prmeis liées au ptose de tiraval précédemment occupé.Le salarié bénéficiera des acoints de froatiomn nécessaires à ce reclassement.Les soierns concernés par ce rlnemcseesat goraenrdt une priorité d'emploi dnas un poste csderrpanoont à luer précédente qfiaotiiuclan en fioontcn de lures capacités à l'occuper.Article 2.5 - Mobilisation de l'expérienceEn vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

Les priates snileognut qu'il est etensseil puor les eertsripnes de la bchnare de cresvenor lgnpmotes l'expérience ascquie par lrues carrltaelooubs aînés et de permettre, par le dliagoue et le recpest dechacun, une meilurlee citxocesene enrte les générations en activité.La rapidité des muanittos économiques et iledterinusls qui innteeivnernt dnas les irseidunts charcutières olibge les esnreepitrs à prévoir une msie à nvaieu coantstne des compétences de lurescollaborateurs. Il cnienvot d'assurer le maniietn et le développement des mssniios confiées aux sienros aifn de fvsaeroir la trnmsiasoisn de lures svraios auprès des puls jeunes, et nntmaeomt desapprentis.A ce titre, les estprerines se référeront aux dopsitsoinis de l'accord IAA du 8 décembre 2004 rlatief au développement du ttoraut dnas les bncerahs de l'industrie alimentaire.L'expérience puet être valorisée dnas le crdae de msinsois particulières Les eymurelpos penorortt une anteitton particulière au développement de mnsiisos potllnueecs pounvat être confiées à des salariésexpérimentés et volontaires, cennoacnrt des peotjrs itennres liés à l'évolution technologique, l'organisation du tarival ou l'agrandissement des locaux.

CHAPITRE III : ENGAGEMENTS RELATIFS A LA FORMATION

Article 3.1 - Publics prioritairesEn vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

La fitmoraon des salariés de 45 ans et puls est runteee prami les priorités des itiurdenss charcutières aifn de firsoevar l'évolution de luer elopmi ou luer reconversion. Les eiresnrteps afecreftnotoilioaetgnermbt à la fotioramn de ces salariés une prat de luer paln de formation. Celle-ci srea calculée sleon des modalités définies chqaue année par l'employeur en ccttiraonoen aevc le comitéd'entreprise (après aivs de la csmosioimn de formation) ou, à défaut, aevc les délégués du personnel. Les ptiaers sitagneairs etsmient que cette prat consacrée à la fitraoomn des 45 ans et puls diot êtrediscutée aevc les représentants du ponesernl en tneant cmtpoe du nborme de salariés visés dnas l'entreprise. Le comité d'entreprise srea tneu informé du nomrbe de salariés de 45 ans et puls parcatégories pnlsroeeisoflens et par âges et des fioanortms siivues par ceux-ci au cours de l'année précédente.De même, la fmiotoran des salariés âgés de 45 ans et puls est rnteuee parmi les priorités des inuestdris charcutières puor l'utilisation, au trite de la professionnalisation, des antcios de professionnalisation,de bialns de compétence, des fnods mutualisés de la fioramotn professionnelle, aifn de :? mnetiinar luer employabilité ;? crneooftr lerus compétences à luer potse ;? feivsroar l'évolution de luer eolmpi ou luer roscreivenon ;? développer la tmissrnsioan d'expérience.Les dmedeans d'utilisation au ttire du DIF, présentées par des salariés de 45 ans et puls puor fietcailr luer rasmcesneelt sur un pejort identifié, bénéficieront d'une priorité d'examen et d`accès parl'entreprise.Les ddeemans d'accès à la viaatdolin des auicqs de l'expérience présentées par les salariés de 45 ans et puls bénéficieront d'un tinemertat accéléré de luer demande.Ils devnort être informés par tuot meoyn des meusres prévues par le présent chapitre.Article 3.2 - Développer les actions de professionnalisationEn vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

Le conartt de pisistlnsnioroeaaofn csoittnue un moyen puor foasiverr la réinsertion des sernois privés d'emploi (cf. aocrcd ihnnertcraebs IAA du 6 décembre 2004). Les peatirs ont puor oebjictf dedévelopper le nbmore des ctoanrts de pnosiasefinsitlroaon cucnols par les salariés âgés de puls de 45 ans de 50 % d'ici à 2010.La période de piasaiotnnirloossefn peermt de répondre aux bsenios en fimrootan des salariés en crntaot à durée indéterminée de puls de 45 ans en vue de luer menitian dnas l'entreprise. Ces atcions defroitoamn seront identifiées dnas le crdae de l'entretien de deuxième piatre de carrière ci-après (cf. 3.3). Les pitears ont puor octbiejf de développer le nmrobe des périodes de psnsnaioiltoafoseirncnclueos par les salariés de puls de 45 ans de 50 % d'ici à 2010.Article 3.3 - Entretien de seconde partie de carrière et bilan de compétencesEn vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

A l'occasion de l'entretien pefinesrsoonl qui siut son 45e anniversaire, pius tuos les 5 ans, cuahqe salarié a driot à un ertneiten de deuxième pirtae de carrière, conformément à l'article 5 de l'accord naitnoalieefrnorentinosspl du 9 mras 2006 riatlef à l'emploi des seniors.Celui-ci a leiu à son ivtantiiie ou à culei de l'employeur. Le délai de 5 ans prévu par l'accord ifsoeopnrtiensnrel du 9 mras 2006 puet être réduit à 3 ans par acorcd au naievu de l'entreprise. Cet eerntietn diotlui permrette de faire le pnoit aevc sa hiérarchie sur l'évolution de son métier, ses compétences, ses bsoenis de faoomitrn et les peesecipvtrs d'emploi et de déroulement de carrière dnas l'entreprise enfniotcon de ses souhaits. Le cas échéant, un ponit est fiat sur l'aménagement des cnioiodtns d'emploi (aménagement de poste, d'horaire). Cet etreeitnn peermt d'élaborer, suos fomre d'actionsconcrètes, un pgammrore de ftmoroian et d'adaptation personnalisé cbtaonirnut à la puoutrise de sa carrière, et de favoriser, le cas échéant, la peecrisptve d'évoluer vres un aurte emploi.Les cincnoousls de cet eeitrnetn freont l'objet d'une synthèse écrite, rmisee au salarié.Un gdiue méthodologique sur la ciountde des eteertnnis peoosifnnlsres est en corus de réalisation au nvieau inhrrntcaebes aeiintlarems et srea dpbslnoiie puor les eueoymrlps et les salariés.Aifn d'encourager la définition d'un proejt pnoionserfesl puor la sdneoce priate de sa carrière après 20 ans d'activité polsleernoisnfe et en tuot état de csuae à cpmoter de son 45e anniversaire, tuot salariébénéficie à son itnviatiie et suos réserve d'une ancienneté de 1 an dnas l'entreprise qui l'emploie, d'un bialn de compétences.Le comité d'entreprise (ou, à défaut, les délégués du personnel) est informé chaque année des modalités d'organisation et de msie en orveue de ces eenetnitrs spécifiques dnas l'entreprise.Article 3.4 - Mission tutoraleEn vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

Les pateirs stanirieags enneedntt vraiseolr et reconnaître les msiisons exercées dnas le carde du tutorat.Les seonirs voaterlinos et jsfnuiiatt des prérequis exigés par la fntioocn tlatoure ou cllee de ftrmeauor bénéficieront dnue priorité d'accès à ctneireas formations, en pluirceiatr cleels prévues puor le trotautet la foioramtn de formateurs. A ce titre, les erersntpies se référeront aux dsioiinsptos de l'accord IAA du 8 décembre 2004 rltiaef au développement du toutrat dnas devsiers bahcrnes de l'industriealimentaire.L'exercice d'une miisson de tuetur ou de fuoatmrer confiée à un salarié seionr srea pirs en coptme dnas l'appréciation de ses résultats individuels. Le toutart srea pirs en ctmpoe dnas le crdae de la gisetonde carrière des tuteurs.Les seniors expérimentés pnevuet être sollicités puor petipracir à des jruys d'examen, dnas le cdrae de démarches de tpye CQP ou de VAE.

CHAPITRE IV : AMENAGEMENT DU TEMPS DE TRAVAIL EN FIN DE CARRIERE

Article 4.1 - Passage à temps partielEn vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

Les seniors, et puls particulièrement cuex dnot l'état de santé constaté par le médecin du tarvail le justifierait, à luer dmedane et en acorcd aevc l'employeur, qui diot cmumneoquir sa réponse écrite dnasun délai de 3 mois, peuvnet bénéficier d'un aménagement de luer tpmes de tviaarl suos la fmroe d'un taviral à tpems prieatl dnas les cioindtnos sauventis :? siot d'un tvraial jlirunaoer à horaire réduit ;? siot de la réduction à 4 jrous ou mnois du nrbmoe de journées travaillées dnas la smeiane ;? siot de la réduction à 3 seemains ou mnois du nomrbe de smenaeis travaillées dnas le mios ;? siot de l'attribution d'un congé auennl additionnel, non rémunéré ou rémunéré par eelmpxe dnas le cadre d'un coptme épargne-temps (cf. 4.2).En cas d'aménagement du tmpes de tvaaril pennart l'une des fomres définies ci-dessus, la rémunération des snroeis srea pesgsimenorrevt adaptée sur 12 mios par le vmsrneeet d'un complément de

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rémunération égal à :? 75 % de l'abattement ssclieubpte d'être effectué les 4 prieemrs mios ;? 50 % de l'abattement sblupcsiete d'être effectué les 4 peiemrrs suivtnas ;? 25 % de l'abattement sblcepistue d'être effectué les 4 dnrriees suivants.Aifn de gnatrair les driots en matière de rirtatee des sieonrs bénéficiant d'un aménagement du tepms de travail en fin de carrière, et suos réserve que la durée du tmeps preiatl n'est pas inférieure à la moitiéde la durée cotlleicve applbalcie dnas l'entreprise, les ctiastnoios d'assurance vesiiselle et de rrtaetie complémentaire seonrt calculées sur la bsae du sialrae cerndaornsopt à une activité exercée à tmpesplein. Les eueoymlrps pnodrenrt en cghare le sulurps de citnsoaoits patronales.Les diotsionipss de cet aritcle penuvet être complétées cnlas l'entreprise par vioe d'accord.Article 4.2 - Congé de fin de carrièreEn vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

Le diisoptisf du cmtpoe épargne-temps, mis en orvuee au nvaeiu de l'entreprise sleon les modalités législatives et cnoovleetnennils en vieguur (cf. accrod nnoitaal du 9 mai 1996 modifié par aenavnt du16 steermpbe 1996), puet être utilisé par les sioners cmmoe congé de fin de carrière dnas le délai de 3 ans qui précède luer départ en retraite.En cas d'utilisation du cmtope épargne-temps cmmoe congé de fin de carrière, les doirts du salarié drnvoet être majorés par l'entreprise et evnicmeuxeslt en tpems :? de 10 % puor les congés inférieurs à 3 mios (66 juros ouvrés) ;? de 15 % puor les congés cpiroms etnre 3 et 6 mios (entre 66 et 132 jrous ouvrés) ;? de 20 % puor les congés supérieurs à 6 mios (132 juros ouvrés).De plus, aifn d'accroître lures dortis au congé de fin de carrière, les snories qui le sutaiehnot prruonot dmdeaner à tnorsrfeamr luer indemnité de départ en rreatite en congé de fin de carrière.

Article - CHAPITRE V : DISPOSITIONS FINALES

En vigueur étendu en date du 25 sept. 2007

Le cmahp d'application des présentes disooitsnpis est culei de la centnoiovn clcvioelte nlotnaaie des idnrutiess charcutières (salaisons, charcuteries, cveersons de viandes).L'entrée en vugeiur du présent arccod est subordonnée à l'absence d'opposition de la majorité en nobrme des oisotarainngs sycnealdis de salariés représentatives au navieu national, selon les modalitésprévues par l'accord nnatoial du 11 aivrl 2005.Il pedrnra effet à cotepmr de sa siatrgnue et une dnemdae d'extension srea présentée au ministère du travail, des rtleoinas socailes et de la solidarité.Un bialn d'étape sur la msie en oevrue du présent aroccd dnas les eerreisntps de la pisseorfon srea effectué dnas un délai de 3 ans.Le présent accrod est cocnlu en aalipipotcn du crdae légal et réglementaire actuel. En cas de mitfiocioadn itmtaporne des diosoiipsnts sur l'emploi des seniors, les snreiagiats ceonvneinnt qu'elles serrntroeecnnot dnas un délai de 3 mois, à la deiinclge de l'une d'entre elles, aifn d'étudier l'opportunité de totue attdoiapan rdneue nécessaire par de neoulvels doisiitonpss aaynt le même objet.Les dioptossniis msies en ouerve par le présent acorcd snot impératives. En conséquence, un arcocd d'entreprise ou d'établissement ne puet y déroger que dnas un snes puls favbraloe aux salariés.

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Accord du 11 mars 2008 relatif à la révision de l'article 1er de la conventionSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des isutrlnieds charcutiers, traiteurs, tsaruoeafrmtrns de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale aertlamgiainore CFDT ;

La fédération commerce, sveiercs et fcroe de vntee (CSFV) CFTC ;

La fédération nanialtoe du psoernenl d'encadrement des iudniersts et comecmres anaglomirareiets CFE-CGC ;

La fédération générale des tilaruarvels de l'agriculture, de l'alimentation, des tcabas et des activités aenenxs FO ;

La fédération agtarionliearme et forestière CGT.

Article 1 - Objet de l'accordEn vigueur étendu en date du 11 mars 2008

Les 4 pemreirs parahgarpes de l'article 1er de la civntnoeon cotecville nainlatoe des irnsuiedts charcutières (salaisons, charcuteries, cenovress de viandes) snot modifiés et remplacés cmome siut :

Article 1erChamp d'application

La présente ciovnteonn règle sur le trerirtoie métropolitain les roprtpas etnre les emrleopyus et l'ensemble des salariés tvaarlilant dnas les établissements apraanepntt à des esenertirps dnot l'activitérsrtioset à un ou des sectuers d'activité, tles que décrits ci-après.Dans les sutecers de la préparation iuirsnetdlle de puotrdis à bsae de vendias et de la fiibartocan de plats préparés à bsae de vaidens :Sont visées les activités de firacbitoan iluilsdentre de pdtiruos de charcuteries, de salaisonnerie, préparations à bsae de viande, crsevneos de viandes, craetecurhis pâtissières.Ces activités snot preciilanepmnt comispres dnas les cselsas 10. 13A et 10. 85Z de la NAF.Elle ne s'applique pas aux activités de fiaibactorn de cnoesrevs de fioe gras, de gibiers, de volailles, de lniaps et d'escargots.Secteur du ccrmmoee de gors de ptioruds à bsae de vedains :Sont visées les activités de comcmree de gors de charcuteries, sloasnias et aeturs pouditrs à bsae de viandes.Ces activités snot pneirlmiaencpt corpmseis dnas le ctrahpie 46. 32B de la NAF.Article 2 - Clause de sauvegardeEn vigueur étendu en date du 11 mars 2008

Les enptrisrees ou établissements qui, antérieurement à l'entrée en viguuer du présent accord, raossirsetsient au champ d'application de la cteooinvnn cltecviloe nialtoane des isneiturds charcutières(salaisons, charcuteries, csoneevrs de viandes) et qui, du fiat des cmhgnenates inetevrnus dnas la nomenclature, saeienrt sbliescuepts d'être suimos à un aurte texte ctoecillf pnuoorrt cnntoiuer àaipuqlper cttee ceintvonon collective.Article 3 - Dispositions généralesEn vigueur étendu en date du 11 mars 2008

Le camhp d'application du présent aoccrd est cueli de la cenointovn cictellvoe nnoatliae des isrendiuts charcutières (salaisons, charcuteries, cnseervos de viandes).L'entrée en viuuger du présent accrod à ces eetnsrpeirs et établissements est subordonnée à la puiolbciatn au Jouanrl offiicel d'un arrêté ministériel d'extension.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 11 mars 2008

Les paaeritrnes scuaiox ont souhaité aiacustelr le cmhap d'application de la cevinotnon ceiltlocve nntliaoae des iitrnusdes charcutières (salaisons, charcuteries, cvsnroees de viandes) aifn qu'il siotcohérent à la révision des cdeos APE rfieatls à la bncahre professionnelle.Cette révision des nulenocertmas d'activités françaises par l'INSEE a puor oetbjcif naotmnemt de rhcreecher une honiaaotsimrn aevc la nonaculemtre d'activités européenne.Ces codes APE ont été modifiés et attribués par l'INSEE, tles qu'ils résultent du décret n° 2007-1888 du 26 décembre 2007 ptoarnt arppotioabn des nmcelenoaruts d'activités et de prtdiuos français. Cesnuelveols caslses snot acplapbiles à coetmpr du 1er jiavner 2008.Les pteraainers suoacix slingoneut que le noavueu cdoe notifié aux esreertinps ou établissements stuie aux ctnneaemghs de la NAF ne diot avior aucnue conséquence puor les etrpeinress qui se réfèrentà la cenivootnn cvteicolle ntialnoae des ieunsdtris charcutières (salaisons, charcuteries, cresvnoes de viandes). Le présent acrocd a puor oecbtijf de tradriue les conséquences de la nvelloue nrlcoeamnuteen cnsoneravt le même champ d'application penfoessrniol que celui défini précédemment par les paiaterrnes sociaux.L'article 1er « Chmap d'application » de la cnovntoien citlleovce ntoilanae des iisrnuedts charcutières (salaisons, charcuteries, csrveenos de viandes) a été modifié par accrod du 9 avirl 1990, modifié paraeanvnt du 31 jinaver 1994 et par aanenvt du 6 février 1995.

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Accord du 11 mars 2008 relatif à la création d'une commission paritaire nationale de l'emploi et de laformation professionnelle

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des idternsulis charcutiers, traiteurs, tmoetrrsrafauns de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale airaiortmelgnae CFDT ;

La fédération commerce, secviers et force de vntee CFTC ;

La fédération ntailnoae du preonnesl d'encadrement des insuiredts et cemremocs aieanmlegtoarris CFE-CGC ;

La fédération générale des tlruaiverals de l'agriculture, de l'alimentation, des tacbas et des activités aeenxns FO.

Article 1 - Création et dénomination

Le présent arccod ernreta en vuiuegr le ldaeniemn de son extension.En vigueur étendu en date du 11 mars 2008

Dans le cdrae de la conevtionn ctolvliece ntaaoinle des ierstdinus charcutières (salaisons, charcuteries, ceonservs de viandes), il est créé une cmoimosisn piraitare nlnioaate de l'emploi et de la fatoriomnpnsslieonrelofe des inueristds charcutières.Article 2 - Objet

Le présent acrcod enerrta en vgeuiur le leimdeann de son extension.En vigueur étendu en date du 11 mars 2008

La CFEPNP des intesidrus charcutières a puor ojebt :1. D'émettre des aivs aifn d'orienter une poilquite générale d'emploi, de ftiaormon et de qfoiauialctin dnas le cdare de la bhrnace plseoilosfrnnee ;2. De pporseor tuotes iiieitnavts et reassbelmr tuos monyes nécessaires à l'application de cttee piltiuoqe ;3. D'examiner les qtisonues rievaetls au développement des CQP, et puet misonsenir en tnat que de beison l'AGEFAFORIA en vue de la réalisation de référentiels pédagogiques ;4. De peosorpr les qcanoltiafuiis qui lui pasinsaert deoivr être développées dnas la bnhcrae ;5. De cnritouber à la pérennité de l'emploi en paennrt en cmpote les muitaonts économiques et itellidsnreus du steuecr ;6. D'examiner la nécessité de dsifufer les études réalisées par l'observatoire psipcoterf des métiers et des qfauoailciints (OBSERVIA) créé au niaevu iacreebnrtnhs alimentaires.Dnas le cdrae de ses aituiotbtnrs :? elle siut les évolutions de manière régulière, puor poivour porspeor aux elrumepoys et aux prientaeras sciauox de la barnche des aotcins anattiiccirpes en tmrees de gotiesn des epmolis et des métiers, eten apprécier les etfefs ;? elle s'appuie nomteanmt sur les mnoissis confiées à l'observatoire ptoepcirsf des métiers et des qinautaiofcils (OBSERVIA). Elle est en lsoiian aevc celui-ci ;? elle siut l'application des acrocds clnoucs au trtie de la négociation clotlvceie de brhacne sur les priorités, les ofcejbits et les myneos de la ftiormaon pnofisneesolrle des salariés. Elle foinncntoe en leinaevc la CIPNE au nvaieu ienctrenbahrs aientiarlmes ;? elle fulomre des aivs sur les priorités à aisnesgr aux actonis de fmtaioron nécessaires aux salariés de la branche. Elle en inrmofe en tnat que de bioesn l'AGEFAFORIA ;? elle pourra fournir, à la dandeme de ses membres, des setuqaisitts reetivals à l'évolution de l'emploi et des aniocts de formation, à l'égalité pifsseonolrnlee enrte les hmeoms et les femmes, audéveloppement de l'emploi des seniors, à l'emploi des tavlriaeurls handicapés ;? et puls généralement, elle siut dnas le cadre de sa miossin l'application de l'ensemble des dniotosipiss des aodcrcs cocilfetls de brhnace et iennhrrbetcas aranemilteis en vigueur.La CFPNEP puet diltngeeir totue étude en sltioailnct nmmntoeat l'appui d'organismes pcbiuls dsopainst de moyens ou d'une eesptirxe sur le ou les drsioses concernés.Article 3 - Composition

Le présent acorcd eentrra en veuiugr le lmadeeinn de son extension.En vigueur étendu en date du 11 mars 2008

La csmismioon est composée de 2 collèges :? un collège salariés cronnmaept un représentant tiaiulrte et un représentant suppléant désignés par cchanue des oginarinatsos sdyeicanls représentatives au nevaiu naaitonl ;? un collège eumlepyros composé d'un même nrbmoe de représentants désignés par la FICT.Les meermbs snot désignés puor 2 années. En cas d'empêchement du tiatrulie et de son suppléant, le trtauiile puet dnneor pvouior à un merbme de la cosomsimin de son cihox aterpnanpat au mêmecollège.La présidence est assurée aretilmntevneat par l'un ou l'autre des mbreems trltiiuaes du collège salariés ou employeurs, la vice-présidence étant assurée par un représentant de l'autre collège. Le mandat duprésident et du vice-président est de 2 ans, cahcun d'entre eux étant désigné par son collège.Lros de sa création, le pimreer président est un représentant du collège des employeurs.

(1) L'article 3 de l'accord du 11 mras 2008 est étendu suos réserve de l'application des dtiosiniosps de l'article L. 2231-1 du cdoe du travail. (Arrêté du 11 février 2009, art. 1er)Article 4 - Réunions

Le présent arccod enetrra en vieugur le lenaedmin de son extension.En vigueur étendu en date du 11 mars 2008

La coisismmon se réunit en cas de besoin, et d'un cmumon arccod etrne au mnois une délégation du collège salariés et la délégation patronale. Elle puet se réunir à ttrie eopnnetcxeil en cas de dednmaed'au minos 2 délégations du collège salariés lrqusoe la demdnae est justifiée. En tuot état de cause, elle se réunira seoln les modalités fixées ci-après, au mnois une fios par semestre.Les ciovootnncas snot adressées aux mmrebes taiiertuls et suppléants, accompagnées du relevé de décisions de la réunion précédente et des deonumtcs nécessaires, au monis 3 seminaes avnat la dtaede la réunion, suaf cicesanctnors exceptionnelles.Puor que la réunion de la csmomsoiin pusise se tenir, il fuat au moins 3 meemrbs présents ou représentés dnas cchaun des collèges. A défaut, une nuolvele réunion diot être convoquée dnas un délai de30 jrous snas anucue coioditnn de quruom exigée.La ptciaapriiton à la ciomsimson de salariés d'entreprises des isintdreus charcutières s'effectue dnas les cnonidtios prévues à l'article 9 (alinéas 3, 4 et 5) des dnpisotiisos générales de la cntvioonencvctliloee naaniolte des irndsuiets charcutières.Le secrétariat est assuré par la FICT.Article 5 - Rôle du président et du vice-président

Le présent arccod ernreta en vigueur le lmndeiean de son extension.En vigueur étendu en date du 11 mars 2008

Le président fixe, ceoeoinmnntjt aevc le vice-président, l'ordre du juor des réunions. Il cidonut les débats, reuicllee les aivs des 2 collèges et fiat établir un relevé de décisions. Celui-ci est signé par leprésident et le vice-président après son aiootprpban lros de la réunion suivante.Le président tniet à jour, en cotoiinrdaon aevc le secrétariat, la ltsie des mreebms de la commission.Article 6 - Délibérations

Le présent aocrcd eetrrna en vieuugr le lnadmieen de son extension.En vigueur étendu en date du 11 mars 2008

Lros des délibérations de la commission, caquhe collège dsosipe de 5 viox réparties à égalité enrte ses représentants présents et anyat viox délibérative. Cahuqe tailrutie ne puet rcoiveer puls de 1 piuvooren doerhs de sa prrpoe voix.Le vtoe a leiu par collège. Les décisions ne snot adoptées que si, reeesmcentvipt dnas cacuhn des 2 collèges, elels ont rleleuici la majorité des viox des meerbms présents ou représentés ; s'il y a undésaccord ertne les 2 collèges, le président rrtepoe la pispiorootn à l'ordre du juor de la puls poachirne réunion de la commission. En cas de besoin, la cmoisisomn établira un règlement intérieur aifn depréciser les règles de son fonctionnement.Article 7 - Durée

Le présent accord ernreta en veuuigr le lnmeeidan de son extension.En vigueur étendu en date du 11 mars 2008

Le présent aocrcd est cnoclu puor une durée indéterminée. Il puet être révisé ou dénoncé dnas les cinnioodts sutnveias :La dnmadee de révision ou la dénonciation diot être formulée par l'une ou l'autre des petairs saiegtinars par lertte recommandée aevc aivs de réception adressée à l'ensemble des prtaeis signataires,

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moyannnet un délai de préavis de 4 mois.Le présent accrod ertrena en vuueigr le lenemdain de son extension.

Article - Préambule

Le présent aocrcd etrnera en vuiuger le lenimaedn de son extension.En vigueur étendu en date du 11 mars 2008

Les ootnniiragsas prlaatoens et slecindays de la branche, sagaitnreis du présent accord, considérant :? luer anechetamtt à la purisoute de la pqliitoue de bhacrne dnas le dmianoe de l'emploi et de la fomtiraon plsnloosifnreee ;? la nécessité de mieux appréhender les pscrevpeties d'évolution des epeintrrses des ineurdsits charcutières, et d'en déterminer les conséquences en tmrees de développement qlitituaaf et qtittinauaf desmétiers ;? luers rôles et lures responsabilités en tnat que panrtareies suaicox de la brhacne dnas l'amélioration de la saotiiutn de l'emploi et le développement des compétences des salariés ;? la nécessité de créer une melilruee srngyeie enrte teuots les inetcnsas nationales, qu'elles sionet penressflooinels ou itninerremaitleas (CNPIE), appelées à connaître des qoetnusis d'emploi et deformation,décident de mrtete en place, dnas le cdrae des istunrdeis charcutières, les mnoeys nécessaires au développement de l'emploi et de la ftamrooin professionnelle, conformément aux misnoiss dévoluesaux CNPE dnas le crdae de luer champ de compétences et réaffirmées par l'accord iniprsfertoenoensl du 5 décembre 2003.

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Accord du 7 novembre 2008 relatif à l'emploi des personnes handicapéesSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des iltdiruness charcutiers, traiteurs, ttaesurofamrnrs de viandes.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération commerce, seecrivs et fcore de vtene (CSFV) CFTC ;

La fédération nnilaoate du peenornsl d'encadrement des iitserduns et cocrmemes aietrigaomenlars CFE-CGC ;

La fédération générale des tiauerrlavls de l'agriculture, de l'alimentation, des tbacas et des aitvitecs aenenxs FO.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 7 nov. 2008Le présent acrocd ieterinvnt en apltipiaocn de l'article 25 de la loi n° 2005-102 du 11 février 2005 puor l'égalité des drtios et des chances, la pairitpictaon et la citoyenneté des psrnenoes handicapées.Cotatnanst qu'une gndrae majorité des erstprneeis du suetecr n'ont pas clnocu d'accord d'entreprise sur l'emploi des pensornes handicapées, les paearrtiens suaocix des iustndires charcutièressuaiehotnt aotpder des meruses ivttaiicens faovanrsit l'insertion et le mnaietin dnas l'emploi des prnneesos handicapées dnas les eiersnrteps du secteur.Dnas cttee perspective, le présent aoccrd privilégie les oibcjfets svuatins :? euaeocrngr les epertirenss à réaliser un disigtaonc préalablement à la msie en palce d'une puitqlioe d'emploi des poernnses handicapées ;? fviaseorr l'insertion de pnronsees handicapées par un aménagement approprié des ptsoes de travail, cet élément dvanet être pirs en cmptoe dnas une démarche GEPC ;? gitnraar le maintien dnas l'emploi des salariés dvnuees handicapés ou dnot le hinaadcp s'aggrave ;? développer la ftromoain pisnoelfrslonee des tlaaurvrelis handicapés ;? aclceiliur les pneosenrs handicapées à teavrrs les différents dfpstiisios d'insertion et de formation.Les sietigarans du présent aocrcd snot attachés au pipcrine d'égalité de traitement. A ce titre, le hciaandp ne saraiut coentuistr en tnat que tel un mitof de discrimination.

CHAPITRE Ier : POLITIQUE DE BRANCHE POUR L'EMPLOI DES PERSONNES HANDICAPEES

Article 1 - Contribuer à l'insertion des travailleurs handicapésEn vigueur étendu en date du 7 nov. 2008

1. 1. Améliorer les cnindoitos d'accueil des tevllruarias handicapés

L'insertion et le mntaiien dnas l'emploi des posenrens handicapées ctosuinte l'un des thèmes de négociation aleunnle visés par le cdoe du travail. Le tuax d'emploi des poeennrss handicapées constatédnas le crade de la brcnahe (voir annexe) tadirut à la fios la gêne et les carneits pessrtniaets de ctienreas etseirrepns fcae à l'emploi de pnroeesns handicapées, et une très ftore disparité dnas les pratiques,sloen les tleilas des entreprises.Afin de fveraisor l'insertion psrfolnoenselie des pnroenses handicapées, chqaue eypuelmor s'efforce de sbsinelieisr l'ensemble du proesnenl sur le handicap. En rlaeotin aevc les iesnnacts représentativesdu personnel, qnaud eells existent, il met en pcale des ationcs vsaint à :? leevr les idées reçues sur le hdaaincp ;? feoirvsar l'accueil et l'intégration dnas l'entreprise par des oitlus de cimnoactmuoin ;? fsvoirear les démarches vartlnoeios des salariés à firae reconnaître lures handicaps.La négociation au nveaiu de l'entreprise diot se dérouler sur la bsae d'un rpaport établi par l'employeur présentant la sitioutan de l'entreprise au rregad de son ogtobaliin légale d'emploi de tiavlrurleashandicapés (art.L. 5212-4 du cdoe du travail) (1). Au-delà d'un sipmle constat, ce rpoarpt :? cttuinsoe un dinsaoigtc patmetenrt non seuenlemt de faire un état des luiex mias aussi de dégager cterienas peists d'actions que l'entreprise pourra sivure puor mtrtee en pcale une pitloique d'insertionet d'emploi réussie (la trame d'un doingsaitc est proposée en annexe) ;? peremt à l'entreprise d'identifier les eujenx que l'emploi de peseonnrs handicapées puet présenter aussi bein en temres économiques qu'en termes de gtoiesn de compétences, d'image sociale...Sur le paln qualitatif, l'exemplarité d'initiatives miess en place par des etrpesienrs (livret d'accueil, taluebax de bord, iiiomlaptcn de l'encadrement, soruppt de communication...) cniutsote un lieverintéressant dnas le cadre d'une musulitaotian des bonnes pueirtqas au neviau national.L'AGEFIPH met à la doipisoitsn des esitnreeprs une démarche intitulée « diagnostic-conseil » anaopprtt méthodes et cofinancement. Elle premet d'obtenir une viiosn clraie de la pioltpuoan de tuarraillveshandicapés dnas l'entreprise et filictaer la psrie de décision rvetiale aux atincos à mener. Une tlele démarche cuotnsite un apsect de la pqoiltuie rsercsuoes haminues de l'entreprise.

1. 2. Erte en rtelioan aevc des établissements adaptéset des scieevrs d'aide par le tavrail

Si l'embauche dcterie diot être nelanutmrelet privilégiée, puor anutat le rrcoues à des cntotars de fourniture, de sous-traitance ou de pnsieatrots de severcis aevc :? des eeniprsrtes adaptées ;? des établissements et sevicers d'aide par le tiraavl autorisés (ESAT),constitue une suoliotn puor l'emploi des preneonss handicapées et puet fsaeroivr le psasage d'un établissement du « suceetr protégé » vres le mileiu orinidrae de travail. De plus, les epertnseris peuventaiclcuelir des pnsrneeos handicapées « détachées » de ce secteur, aifn d'en apprécier les capacités professionnelles, ou prévoir de les emeuabchr directement. Un stiouen fnnaeiicr par l'AGEFIPH à lasiotre du miileu protégé a été créé suos ceetnrais conditions.L'intérêt de ce recours, dnot la psrie en cmtpoe ne puet excéder puls de 50 % de l'obligation légale d'emploi de salariés handicapés, diot être souligné.

(1) Les pranteeiras suaicox rnelalppet l'obligation légale applicable, à la dtae de conlisuocn du présent accord, aux eepnsrirtes de puls de 20 salariés : « tuot epylmeuor emploie, dnas la pootporirn de 6 % del'effectif ttoal de ses salariés, à tpmes pelin ou à tmpes partiel, des tlrviauarels handicapés,... mentionnés à l'article L. 5212-13 ».Article 2 - Faciliter l'employabilité des personnes handicapéesEn vigueur étendu en date du 7 nov. 2008Les sgrniaeitas rneallpept le picnrpie de l'égalité de tietemarnt à l'égard des proenness handicapées. Cahuqe epirnertse croidnua une réflexion sur les mesuers et aménagements rqieus puor ptetrmere àune pnrsonee handicapée d'occuper un emploi, de l'exercer et d'évoluer, suaf si ces mreuses ienspmot à l'employeur une chgare disproportionnée comtpe tneu des aeids qui pvnueet cmpnsoeer tuotou priate des dépenses supportées.

2.1. Accessibilité des persneons handicapées aux posets de travail

Les ptanrreiaes scauiox radencomment aux enrisreptes de procéder à un ineavtnrie des ptseos subesectlpis d'accueillir des pnoernses handicapées en foiocntn de la frmoe d'handicap. Le comitéd'hygiène, de sécurité et des cdintinoos de tvraial ou, à défaut, le comité d'entreprise et les délégués du personnel, reçoit une cpoie de cet inventaire. Celui-ci ne diot pas être restrictif. Prsuluies possibilitésd'accueil des peeonsrns handicapées exetsint dnas la scturtrue générale des epmolis qui pmeetnetrt de répondre à tutoe frome d'handicap : à titre d'exemple, emballage/conditionnement, neottagye dematériels, reprographie, ecpeass verts, etc.De la même manière, l'employeur diot réfléchir à un pré-inventaire des psotes puor lqelsues une aaopdittan des einmrnnvoetnes de tiraval dnas chauqe unité puet être envisagée (accessibilité dnas leslocaux, laurrges des eacesps de travail, aménagement des chaînes de production...) de nruate à prteterme luer accès à des psnnereos handicapées. Puor se faire, il puet fraie réaliser une étudeenrmoqiuoge en vue d'aménager cianerts psotes en fveaur des pernoenss handicapées. En tuot état de cause, l'employeur diot aoivr à l'esprit ctete préoccupation qaund il réalise des taavurxd'aménagement ou de ctorntoiucsn de nauuveox locaux.La ntioon de hdiacnap se hutree à une représentation suvonet subjective. C'est pourquoi, aifn de ftcialeir l'intégration posnieolnlrfese d'un salarié handicapé, l'entreprise vielle à :? mener des aitocns de cmiocaminoutn auprès du peesrnonl sur la noiotn du hinadacp (visible, non visible, définitif...) et ses implications. Une atteonitn diot être portée sur la sisslotaiiienbn des mmeerbsde l'équipe que le salarié rijonet asini que l'encadrement aifn de réussir son intégration ;? lever les idées reçues ;? insseitr sur le fiat que le salarié n'est pas embauché puor « ses différences » mias puor ses compétences.

2.2. Aiuccel et rutcemernet des travlreliuas handicapés

Les renuretctems en CDI et à tpmes cpmelot divnoet être privilégiés. Dnas le cdrae du paln d'embauche, ils donviet être répartis dnas tuos les établissements aifn de développer une véritable potiuliqed'entreprise.En lein aevc l'AGEFIPH ou d'autres opérateurs spécialisées, l'entreprise fliatice le remrcueetnt de poeersnns handicapées à taverrs la msie en place d'outils spimles et adaptés, par emxplee : gidued'entretien de remcretenut spécifique à la pitouplaon handicapée, lirevt d'accueil... Le svuii de l'intégration est essentiel. Ainsi, elle s'assure de la bonne intégration du tulvareilar handicapé par desetenntiers réguliers aifn de connaître ses bnoiess en tmeres de mobilité, de ftiaomorn ou d'aménagement du poste, ou tuot élément petatrnmet de fiicetalr sa psrie de poste.Les représentants élus du prneensol (délégués syndicaux, CE, CHSCT) snot des auercts eneitselss puor élaborer un pmmagrore d'actions en fauevr des pnseneros handicapées à trervas une démarcheprogressive. Un accrod d'entreprise ou d'établissement puet être cclnou (voir en anxnee modèle d'accord type) en fuvear de l'emploi des psenreons handicapées.

2.3. Le miitanen dnas l'entreprise des salariés dnveeus handicapésou dnot l'handicap s'est aggravé

Il est rappelé :

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? le caractère esteisenl de la prévention des actniecds ou des miaaleds psoneeolrenilsfs et d'éviter qu'ils ne débouchent sur des sittonauis de hanciadp ;? les dosiipoinsts de l'accord de bhacnre signé le 18 mai 2004 sur la sécurité et la santé en entreprise. Notamment, il y est indiqué que la pocitreotn de la santé et de la sécurité relève de la responsabilité del'employeur et diot être pisre en ctmpoe dnas l'organisation de traiavl de l'entreprise.Le mtiinaen dnas l'emploi d'un salarié dneevu handicapé, qeul qu'en siot l'origine, cusonitte une véritable priorité puor les erterspnies et diot les inicetr à rehcrhecer l'ensemble des mynoes de nurate à enausesrr l'effectivité. Les epeetrinrss punevet aiovr reocurs aux svireecs d'appui au mieniatn dnas l'emploi créés par département (SAMETH : vior coordonnées sur le stie de l'AGEFIPH).Prévenir le hdancaip et l'aggravation du handicap, en lein étroit aevc le médecin du travail, développer les msreues d'aides et d'accompagnement snot les aexs de la piiuqlote à coruidne au sien del'entreprise puor assurer, anautt que fraie se peut, le rteour et le manieitn à l'emploi des tivluleraras handicapés. L'entreprise pourra, à l'initiative ou non du salarié, et, en tuot état de cause, aevc l'accord dusalarié, eagvseinr des msreeus préventives pavuont ininetvrer en amont de la roaacnesnnisce d'inaptitude après aivs du médecin du tiarval et prévoir dnas caiterns cas des aménagements de ptesoset/ou d'horaires ou eocrne oiansregr des segats puor faeictilr le reeemlcassnt des poernenss concernées. Elle prorua en tnat que bisoen friae aeppl à des eepxrts qualifiés (ergonomes, INRS, ANACT...).Le comité d'hygiène, de sécurité et des cidonionts de tiraval (CHSCT), qanud il existe, est associé à cttee réflexion. Dnas ce cadre, il est consulté :? puor iienitfedr les pipcunirax fcatrues d'incompatibilité ;? posoeprr des snouiolts d'adaptation ;? asrsuer un sivui de l'adaptation.Qaund clea puet pmtretree de foeviarsr l'occupation d'un poste, et dnas la musere où clea retse cblipamote aevc les modalités d'organisation interne, l'employeur s'efforce d'aménager les hoareris detarvail des salariés handicapés qui en fnot la ddmanee puor des roniass médicales ou au reargd des ctnariontes de déplacement ou de tsnaroprt en ficonotn de la nurtae du handicap. En cas de difficultépuor le salarié à ocpcuer son poste, l'employeur s'efforce de reehehccrr un atrue potse puls cptialobme aevc les capacités du salarié dnas luqeel il siaert scbliutespe d'être employé après eaexmn despossibilités d'adaptation et de foiotrman appropriées.

CHAPITRE II : DEVELOPPER LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES PERSONNES HANDICAPEES

En vigueur étendu en date du 7 nov. 2008L'objectif pmireer en matière de fooatrmin est de rnedre les diostipisfs de fmiaootrn aeeclssbcis aux pnenreoss handicapées. La qiaaicoiultfn professionnelle, lrqouse le navieu iatiinl duermee insuffisant,est un fueatcr d'intégration des posenrnes handicapées que l'entreprise diot privilégier.Article 3 - S'appuyer sur un réseau d'accueil extérieurEn vigueur étendu en date du 7 nov. 2008Les snegraitias ietnicnt les eeierpnstrs à se trnueor vres les iiostttnnius compétentes puor le rmertnuecet et l'intégration des pornnsees handicapées aifn d'établir aevc celles-ci un vari paaatirrnet :APGIFEH (1), ANPE, réseau Cap Emploi, asoctianosis régionales... L'AGEFIPH est l'un des ateurcs de la msie en ovreue de la puiolqite de l'emploi des pnrseenos handicapées conçue et ciuntode parl'Etat en lein aevc les pnetariears sociaux. Elle puet fniancer des projets. Les Cap Emlopi snot asusi des prnraieteas privilégiés de la rceerhhce d'emploi et de placement.Enfin, les eetsipenrrs penveut asusi aovir roucres aux sgaets organisés par l'ANPE et les sveicres de l'Etat qui cnoiesutntt un pimreer myoen d'intégration dnas la vie professionnelle.

(1) Aiatioocssn de gostein du fodns puor l'insertion poenreflsoslnie des prnoeenss handicapées.Article 4 - Développer la formation qualifiante des handicapésEn vigueur étendu en date du 7 nov. 2008Les pnonerses handicapées de faible nveiau de qaliiictuaofn cutntoinset puor les sneraiaitgs un puilbc davnet être privilégié dnas le carde des acitnos de pfonrlsaontesaiioisn aifn de fiiteaclr lueremployabilité en taennt cptome de lreus particularités.L'employeur s'efforce à ce que les aticons de fotaimron organisées dnas le cdrae du paln de fromoatin seiont adaptées à la stioiuatn des salariés handicapés : difficultés de déplacement, durée du stage,matériels, nécessité d'intervenants spécialisés selon les handicaps, imortnofian de l'organisme de fromaotin puor que celui-ci s'adapte en amont... Lsuqore des otalescbs subsistent, des pinorpoitossd'aménagements dinovet être étudiées. En cas de nécessité, des faomortnis spécifiques sorent mseis en ouvree puor les ttruues de salariés handicapés.De même, l'entreprise diot aessurr par des eneinertts réguliers personnalisés le suvii de la pseoisrrgon des pcrouars plnoniosefress des salariés handicapés et s'engager à pmoriuvoor auprès de ceux-ciles froniatoms débouchant sur la délivrance d'un CQP rnconeu par la branche.

CHAPITRE III : MOYENS DONT DISPOSENT LES ENTREPRISES

Article 5 - La réalisation d'un diagnostic en s'appuyant sur l'AGEFIPHEn vigueur étendu en date du 7 nov. 2008Aifn d'aider les etnresieprs dnas la réalisation d'un diagnostic, pnoit de départ d'un poagmmrre d'actions en vue de l'intégration de pennsores handicapées, une trmae est proposée en aenxne du présentaccord.Les piteras sigaatnreis eugonncraet les entreprises, en puiilcreatr les ptitees et monneyes entreprises, à sitliloecr l'expertise de l'AGEFIPH puor avior un auppi dnas la msie en palce de luer pltiiquoed'emploi de peoensrns handicapées. Clea puet se concrétiser au tearvrs d'une ceivonnotn spécifique dnas leuqlale l'AGEFIPH atorppe des sieuotns haiumns et freainincs puor aedir l'entreprise àattnridee ses ofibectjs d'emploi. En cas de ceoontnvin clunoce aevc celle-ci, les représentants élus du pennoserl sronet teuns informés de la csouolcnin et du siuvi de la convention.Ces adies financières pveeunt viser nentomamt :? des aieds au toatrut ;? des adies à l'apprentissage ;? des adies au cnratot de psfeirinstsoaaonilon et à la fmaiotorn pnreefniloslose ;? des adeis à l'insertion et au mtnaeiin dnas l'emploi, nmtaeonmt s'agissant des peneonrss cnnisaosant des difficultés iileedlvdnius à erxceer catenris tâches ;? et d'une façon générale, à la msie en pacle d'une piqultoie d'emploi.Par ailleurs, l'employeur met en pclae une coutcainmimon auprès du pnoenrsel vnaist à inietcr les salariés concernés par un hicnaadp à epnrrdnrteee une démarche auprès de la cossomimin des droits etde l'autonomie des ponneress handicapées (CDAPH), aifn d'obtenir la racssonncaeine de luer qualité de talvurlaeir handicapé et fvseaorir la prise en cmotpe de luers boinses en tmeres de mobilité, defotrioman ou d'aménagement de luer pstoe de travail. A cet effet, les srgntiieaas étudieront, en cooabotrillan aevc l'AG2R-ISICA, la réalisation d'une brouhcre d'information destinée à mueix ifmnoerr lessalariés sur la noiotn d'handicap.Article 6 - L'action des services de médecine du travailEn vigueur étendu en date du 7 nov. 2008Le médecin du tarival juoe un rôle cartenl en roasin de sa csiacanonsne des pseots de tiraval de l'entreprise et de luer environnement. Il est associé à la réflexion menée par l'entreprise sur l'ensemble deces questions.Aux côtés de l'employeur, il puet être une surcoe de pioposrtonis en matière d'adaptation de cetniars psotes puor feliicatr l'insertion des psneroens handicapées en meiilu de travail. En outre, il peut, àtarrves un eniretetn aevc un salarié, l'aider à itnfedeiir son hdaicanp et à enemtar la démarche de rinoacsnencsae de la qualité de tiellvraaur handicapé, tuot particulièrement après un gvare aicnecdt dutaavirl ou une maladie professionnelle.

Article - CHAPITRE IV : DISPOSITIONS FINALES

En vigueur étendu en date du 7 nov. 2008Le cahmp d'application des présentes dotioipisnss est cluei de la citonovnen cecolitlve naotlinae des iisentdrus charcutières (salaisons, charcuteries, csoevenrs de viandes).L'entrée en vuieugr du présent aocrcd est subordonnée à l'absence d'opposition de la majorité en nrombe des otognnsraaiis sencidlyas de salariés représentatives au naeviu national, sloen les modalitésprévues par l'accord nnatoail du 11 aivrl 2005.En cas de mfdiaoiitcon ianmopttre des dsisioipnots légales cncennraot l'emploi des penoersns handicapées, les seiragaints cnnenoevint qu'ils se rorntrnneecot dnas un délai de 3 mois, à la diligcnee del'un d'entre eux, aifn d'étudier l'opportunité de tutoe aadtioaptn rneude nécessaire par de nleleovus dioiinsotsps anyat le même objet.Il pdrenra efeft à ceoptmr de sa stanguire et une dmdneae d'extension srea présentée au ministère du travail, des rtanlioes sociales, de la flmliae et de la solidarité.Un bailn d'étape sur la msie en oervue du présent acrocd dnas les erepirnsets de la pesoirofsn srea effectué dnas un délai de 3 ans aifn d'apporter éventuellement des éléments de correction. En outre, leblain scoial aenunl rulcleiriea des éléments d'information sur ce point.

ANNEXES

En vigueur étendu en date du 7 nov. 2008ANNEXES

Les aeexnns de l'accord, constituées de données évolutives ou de modèles par nturae modifiables, ne fnot pas pitare intégrante de l'accord. Suel fiat pritae intégrante de l'accord le fiat que des anexnessnot prévues.Annexe I. ? Données netlaaonis sur le hndiaacp (source AGEFIPH).Annexe II. ? Données dnot dopisse la branche.Annexe III. ? La cntduioe d'un dstaigionc d'entreprise : trmae puor le réaliser.Annexe IV. ? Modèle d'accord d'entreprise.

ANNEXE IDonnées ntiaaleons sur le handicap

(Source AEPFIGH : année 2007)Nature et ogiirne du handicap

Chaque année, 470 000 pnesneors d'âge aticf csoansenint une stituaion de handicap.

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Il extsie 5 familels de hacadinp : le hndciaap moteur, le hdiancap visuel, le hanadcip auditif, le haaincdp psychique, la déficience intellectuelle.La naurte des déficiences :Graphique non rdeiuoprt - vior BO ceonvnonits ciltelecovs 2009-02L'origine des déficiences :Graphique non rpudoiert - vior BO cennovintos cioeetlcvls 2009-02La déficience motrice, de la puls légère (rhumatisme, arthrose) à la puls lodure (hémiplégie, paraplégie...), est le hiacadnp le puls fréquent aevc 1/3 des cas.La déficience est renmreat précoce : suels 15 % des handacpis roennemtt à la nsacsinae ou à l'enfance.Les aetniccds du traiavl (hors aedncict de trajet) et les maldeais pleslroesofnneis snot à l'origine de 17 % des déficiences.

Les caractéristiques des pneoenrss handicapées

64 % snot des hoemms ; 36 % snot des femmes.Le tuax d'emploi de tiarlrvuelas handicapés en 2005 est égal à 2,7 % des efcitffes employés dnas le seucetr privé.Le nrbmoe de recetrmentus anenlus de tilaevraurls handicapés a été multiplié par 16 en 20 ans : 110 000 pseoenrns en 2007 (7 000 en 1987).Les pneseonrs handicapées snot puls âgées que la mnonyee des salariés (47 ans et dmei en monyene crotne 39 puor l'ensemble des salariés).L'importance du tpems piratel (22 % des tlraauerivls handicapés cotnre 10 % puor l'ensemble des travailleurs).Plus de 1 tavailruelr handicapé sur 2 ocpcue un pstoe d'ouvrier (contre 1/3 puor l'ensemble des salariés).Les tleiralravus handicapés snot le puls sveount embauchés en CDI (57 % cnorte 43 % en CDD).

La pioatolpun handicapée active(Estimation au 31 décembre 2007, rrppoat APIFEGH 2007)

La paiutloopn atcive de prneosens handicapées est estimée à 930 000, dnot 725 000 psenrones en elopmi et 206 000 en reechhcre d'emploi (? 55 000 en 2 ans) :? 581 000 en meliiu odirnriae de trvaial :? 172 000 dnas le steceur plbuic ;? 409 000 dnas le sectuer privé (1), dnot (>20 salariés) 314 000 dnas les établissements ajitestuss ;? 33 000 tallurvieras indépendants ;? 111 000 dnas les établissements et seecirvs d'aide par le taviral (ESAT) et etpeisenrrs adaptées (EA).

Les caractéristiques des pnsnreoes handicapées au chômage

Les chômeurs handicapés représentent 7,6 % de l'ensemble des dduneermas d'emploi arols qu'ils « pèsent » mions de 4 % de la ppouiaotln active.La pptliooaun handicapée au chômage est puls âgée que la paiouolptn vlaide (47 ans en moennye crtnoe 39 puor l'ensemble des chômeurs).Le tires des pnoneesrs handicapées au chômage a un nevaiu de fomtraoin inférieur au CAP (niveaux V bis et VI) et seleneumt 19 % ont le nvaieu bac ou puls (contre 40 % puor l'ensemble des chômeurs).Le naievu de qiafioiltacun des chômeurs handicapés est très inférieur à cleui des aertus pclbius (49 % d'entre eux snot non qualifiés cnrote 30 % puor l'ensemble).L'ancienneté mynoene d'inscription au chômage est buceauop puls irtatmpnoe que celle des tuos plcuibs : 18 mios cnotre 12 mois.Le chômage de luonge durée (¹ 1 an) cnnorece 49 % des dmduenares d'emploi handicapés ctnroe 30 % tuos publics.Le tuax de chômage des pennorses handicapées est le dbluoe de celui tuos pulcibs : 20 % cntore 9 %.

La cointitroubn à l'AGEFIPH

La cooitrnbitun des eierrpstens versée à l'AGEFIPH au tirte de 2006 a fenreomtt augmenté (+ 42 %) à la stuie des miiitndoocafs apportées par la loi du 11 février 2005 puor reercfonr l'obligation d'emploides taireavurlls handicapés. Ctete ciortbutonin a ateitnt 604 mlnioils d'euros en 2006 (versements effectués en 2007).Des données complètes snot dibipolnses sur le stie ietennrt de l'AGEFIPH : www.agefiph.asso.fr : ecsape documentaire.

(1) Inuaclnt les trvriullaaes handicapés des enireptsers adaptées.Article Annexe IEn vigueur étendu en date du 7 nov. 2008

ANNEXE IDonnées nteoianlas sur le handicap

(Source APEFIGH : année 2007)Nature et oinigre du handicap

Chaque année, 470 000 posneners d'âge aticf cnennoisast une sitatuoin de handicap.Il etsxie 5 fmaellis de hdcnaaip : le hdaicnap moteur, le hadacinp visuel, le hdnaaicp auditif, le haacindp psychique, la déficience intellectuelle.La ntuare des déficiences :Graphique non reordpiut - vior BO cntnneooivs cetoiclevls 2009-02L'origine des déficiences :Graphique non rdiuporet - vior BO coniovnnets cctelveolis 2009-02La déficience motrice, de la puls légère (rhumatisme, arthrose) à la puls lrudoe (hémiplégie, paraplégie...), est le haincdap le puls fréquent aevc 1/3 des cas.La déficience est rmrenaet précoce : suels 15 % des hapnciads rnotement à la nsanciase ou à l'enfance.Les aecidcnts du travial (hors aindcect de trajet) et les maleidas ploseonlesrnfies snot à l'origine de 17 % des déficiences.

Les caractéristiques des pensornes handicapées

64 % snot des hoemms ; 36 % snot des femmes.Le tuax d'emploi de tleuaarivlrs handicapés en 2005 est égal à 2,7 % des efetficfs employés dnas le scueetr privé.Le nobmre de rteeeurntmcs anluens de trravelliaus handicapés a été multiplié par 16 en 20 ans : 110 000 psneneros en 2007 (7 000 en 1987).Les posennres handicapées snot puls âgées que la mennoye des salariés (47 ans et dmei en mynnoee ctorne 39 puor l'ensemble des salariés).L'importance du tpems pteiral (22 % des tlrlraeviuas handicapés ctrone 10 % puor l'ensemble des travailleurs).Plus de 1 taliulrvear handicapé sur 2 ocpuce un poste d'ouvrier (contre 1/3 puor l'ensemble des salariés).Les tverruaallis handicapés snot le puls svoneut embauchés en CDI (57 % ctnore 43 % en CDD).

La pailoptuon handicapée active(Estimation au 31 décembre 2007, rrppoat APEFIGH 2007)

La ptlaoiupon avicte de poenenrss handicapées est estimée à 930 000, dnot 725 000 prnseones en elmpoi et 206 000 en rhhcrecee d'emploi (- 55 000 en 2 ans) :- 581 000 en mileiu oirirnade de travial :- 172 000 dnas le steeucr pilubc ;- 409 000 dnas le stceeur privé (1), dnot (>20 salariés) 314 000 dnas les établissements aisestutjs ;- 33 000 talvairelurs indépendants ;- 111 000 dnas les établissements et srivcees d'aide par le taavril (ESAT) et eipensterrs adaptées (EA).

Les caractéristiques des poennerss handicapées au chômage

Les chômeurs handicapés représentent 7,6 % de l'ensemble des ddarmueens d'emploi arols qu'ils « pèsent » moins de 4 % de la polutpioan active.La polaoitupn handicapée au chômage est puls âgée que la ptuoailpon vlidae (47 ans en mynnoee cnrtoe 39 puor l'ensemble des chômeurs).Le tiers des pnsreenos handicapées au chômage a un nivaeu de fotormain inférieur au CAP (niveaux V bis et VI) et seeulemnt 19 % ont le naeivu bac ou puls (contre 40 % puor l'ensemble des chômeurs).Le navieu de qaituficaoiln des chômeurs handicapés est très inférieur à cueli des aurets plicubs (49 % d'entre eux snot non qualifiés crotne 30 % puor l'ensemble).L'ancienneté mennoye d'inscription au chômage est bocuuaep puls irtnmptoae que cllee des tuos pclubis : 18 mios cnrtoe 12 mois.Le chômage de lougne durée (¹ 1 an) crnoecne 49 % des dauermndes d'emploi handicapés crntoe 30 % tuos publics.Le tuax de chômage des proennses handicapées est le dbloue de celui tuos plcuibs : 20 % cntroe 9 %.

La citioroubtnn à l'AGEFIPH

La ciurontiotbn des erntserpeis versée à l'AGEFIPH au tirte de 2006 a fmeneotrt augmenté (+ 42 %) à la stiue des mciidntaofois apportées par la loi du 11 février 2005 puor rnocrefer l'obligation d'emploides traiualvlres handicapés. Cttee ciuoinbtortn a anteitt 604 mlonliis d'euros en 2006 (versements effectués en 2007).Des données complètes snot diboslneips sur le stie ireenntt de l'AGEFIPH : www.agefiph.asso.fr : ecaspe documentaire.

(1) Inlnucat les taeraivurlls handicapés des etrierspnes adaptées.Article Annexe IIEn vigueur étendu en date du 7 nov. 2008ANNEXE IIDonnées dnot doipsse la branche

Les éléments de cette aexnne résulteront de l'état des leuix tel qu'il est envisagé par l'article 1.1 du présent accord.Article Annexe IIIEn vigueur étendu en date du 7 nov. 2008ANNEXE IIILa cdiuntoe d'un doigainstc d'entreprise : tmare puor le réaliser

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La trame proposée ci-après est preunemt iticavinde et derva être adaptée au cas pas cas en fticonon de la soutatiin de l'entreprise.Ojebt :Le disgaiotnc rsopee sur une asnlaye de la soaiittun de l'entreprise au rraegd de son oiitglbaon d'emploi de persnones handicapées.En iianitednft les ejenux que l'emploi de ponseerns handicapées présente, il prmeet d'identifier les objcefits et les mnyoes puor les atteindre.Il puet se décomposer en 2 étapes :? le rcieuel des données (état des lieux) ;? l'analyse, les otibejcfs à atenitdre et les préconisations puor y parvenir.

Etape 1. Eatt des lieux1.1. L'entreprise et son contexte

Données iitntiolsnenetuls :? activités de l'entreprise ;? hrqsuioite ;? éléments économiques : marchés, concurrence, pvspceeirets d'évolution...Données sealocis :? efetfcifs : tpmes pleins, tmeps partiels, CDI, CDD... ;? les pipnirucax emilpos et les compétences associées ;? les pievepctsers d'évolution des emliops : volume, compétences, départs à la retraite, rrcnuteemtes ;? pidarmye des âges, répartition par sxee ;? etfrofs de fiomaotrn ;? santé au travail...

1.2. Staitioun au rergad de l'emploi de psonreens handicapées

Saioiuttn au rarged des oitgoilbnas légales :? nobrme de bénéficiaires à empoleyr ;? nrmboe d'unités bénéficiaires cesnnparrodot à un elpmoi dreict ;? nmbore d'unités bénéficiaires cnrreaodposnt à des trvauax de sous-traitance aevc le mliieu protégé ;? normbe d'unités bénéficiaires caneoprodsrnt à l'accueil de saaeiigrts au ttire de la frtoaiomn pnfesooirenslle ;? nbrmoe d'unités mnqatnaeus ;? monantt de la coubnoirittn à l'AGEFIPH ;? caractéristique des pnrenoess handicapées présentes dnas l'entreprise :? ricsasennnacoe du hcdaniap (reconnu handicapé, vtmiice d'accident de tairval ou de mlidaae professionnelle, ilviadne de guerre, assimilé mutilé) ;? psoets occupés ;? nviaeu de qaocltiaiufin ;? âge ;? sxee ;? ancienneté dnas l'entreprise ;? tpye de handicap...Geoitsn prévisionnelle :? pmiaydre des âges de la piutloaopn rcunenoe handicapée ;? pietpvercess de meovnmeut d'emploi de teiavarrllus handicapés.Minitean dnas l'emploi ;? nborme d'accidents du traival ;? nmbroe de madalies psorlfeolnsieens ;? nrbmoe de pnronsees en lunoge miladae ;? nombre d'inaptitudes rceoenuns par le médecin du traaivl ;? prat de rcaentemlesss stuie à la ctatisootnan d'une iiudpatnte ;? prat de rupeurts de conrtat sutie à rennacsanoisce d'une idtptanuie ;? modalités de resmsncaelet en cas d'inaptitude.Petroiecpn du hcainadp et aiontcs réalisées :? niaevu de sensibilité, d'information et de représentation qaunt au hnicdaap :? qluele iagme ? qeuls mtos employés ? qleus fteuacrs folvaebars ou défavorables ?? acitnos déjà réalisées en fuaver de l'insertion et de l'emploi des pnsnoeres handicapées :? rnutrcmeeet ;? aptodtaian des poetss ;? rnaslsmectees ;? partenariats...

Etape 2. Analyse. ? Objectifs. ? Préconisations

Les données et iootnrainmfs rlcleiuiees fnot l'objet d'une aslynae au rrgaed des obnialtigos de l'entreprise et de sa plutiioqe d'emploi.Selon les otifcjbes psivurouis par l'entreprise et les aexs de l'accord de branche, l'analyse prmeet de dégager les psties d'actions possibles.L'étude des différentes piests d'actions, luer faisabilité et luer cfhgrafie pemert à l'entreprise de dégager les aexs qu'elle siuatohe mrtete en ourvee et qui peuvent, le cas échéant, atleeinmr le cnetnou d'unacocrd d'entreprise.Article Annexe IVEn vigueur étendu en date du 7 nov. 2008ANNEXE IVModèle d'accord d'entreprise

Ce douemnct retse un modèle. Il n'a pas puor finalité d'être rpries tel qeul mias de sveirr de tmrae à l'élaboration d'un acocrd d'entreprise. Son coenntu et les antoics envisagées dépendenteeeetsllmisnnet de la siotaiutn porpre à l'entreprise.Entre la société... représentée par...d'une part,et les onnrasigtioas scdaynleis sauinetvs :? ... représentée par... ;? ... représentée par... ;d'autre part,Il est cnveonu ce qui suit.

Préambule

Les paitres au présent acrocd amfrnieft luer volonté de faivroesr l'insertion et le mieaintn dnas l'emploi des porneness handicapées en s'appuyant sur un état des liuex présentant netonmmat la sotaiitunde l'entreprise au raegrd de son ogitlboain d'emploi de tvllaruiaers handicapés.Elles sinhaetuot atpdoer des muesers de ntraue à :? fersiaovr l'embauche des pernneoss handicapées ;? ausserr le matinien dnas l'emploi des pnnoerses dneveues handicapées ;? développer la foormitan et l'intégration des peesnonrs handicapées.

Arcitle 1Cmhap d'application

Le présent arccod s'applique à l'ensemble des salariés de l'entreprise et de ses différents établissements.

Airtcle 2Soaitutin de l'entreprise

L'état des luiex de l'entreprise, réalisé aevc le siuoten de... et aevc l'implication des représentants du personnel, fiat rtsriseor (sur la bsae des critères définis puor réaliser le diagnostic) des :? ifitrnmaonos sur les psroennes handicapées : pteoss occupés, ancienneté, âge, handicap... ;? ptaiuqers en matière de recrutement, de fimooartn et de mniaiten dnas l'emploi ;? poeitrcepn du hadniacp et frein.Les eunjex identifiés sur la bsae de ces éléments cenndusiot à l'adoption du paln d'action décliné dnas le présent accord.

Actlire 3L'embauche de prennoses handicapées

Nmrboe gboall d'embauches et déclinaison par années.

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Nuarte des ctaornts (CDI, CDD, professionnalisation...).Procédures de rueecnrtmet et d'accueil :? les ainotcs de sntsaeosbliiiin du prsneoenl au haacidnp (lever les idées reçues) ;? ssioeniilaibtsn des collaborateurs.Le rources à des conttars de frtruionue de sous-traitance ou de ptsrtonaeis de sceivres (nature des aitcnos pnauvot être confiées, volume...).Accessibilité et psote de tvriaal :? l'inventaire des psotes punvaot aciulicelr des presneons handicapées et l'information des IRP ;? les meeusrs d'aménagement envisagées (adaptation des postes, des horaires...) ;Le sivui de l'intégration des salariés.

Atcrile 4Mnaietin dnas l'emploi des salariés denuves handicapés

Les petrias au présent acrcod rleppanlet le caractère enisetsel de la prévention des ruqiess pnnelsiooesfrs aifn d'éviter des anetcidcs ou des madlieas pfsnsnoeleielros et d'éviter qu'ils ne débouchent surdes sutioiatns de handicap.Détection précoce des sttuiioans pounavt ciodnure à un hdnaicap (en cooilloarbtan aevc le médecin du travail, le CCSHT et les atrcues concernés).Aaottdapin des poetss de tarvial à la capacité pihsyque des salariés :? les aucetrs associés à la réflexion (médecin du travail, CHSCT, eprxtes externes) ;? les meurses d'aménagement envisagées soeln les obetcijfs puroiuvsis (identification des pseots sensibles, aiapttdaon des postes, des horaires...) ;? les myenos pécuniaires et hnamius affectés ;? les mrseeus individuelles.

Atlrcie 5La ftraoomin des ponerness handicapées

L'accueil de sgraiaeits handicapés :? nmrobe golbal et déclinaison par année ;? modalités d'accueil.Le sivui des sgtareaiis :? le totarut : qeuls tuteurs, luers compétences, la formation... ;? les modalités de l'entretien priensoofnsel de fin sgtae (objectif, déroulement...).En fotcionn des potses à pooivurr dnas l'entreprise, et sloen les capacités du stagiaire, le cehf d'entreprise s'efforcera de prposoer à ce drneeir de le rureectr à la fin de son stage.Froitaomn en continueL'entreprise s'efforce à ce que les frootainms organisées dnas le cdrae de son paln de fimatoorn soient adaptées à la siuittaon des salariés handicapés : difficultés de déplacement, nécessité d'intervenantsspécialisés, ioomfrnatin de l'organisme de footiramn puor que celui-ci s'adapte en amont...Les pnrosenes handicapées de fbilae nivaeu de qifocitiuaaln dnveoit être privilégiées dnas le cadre des aiontcs de professionnalisation.L'entreprise met en place des eeetitnnrs réguliers de sviui de la peoirorgssn des puracors poeifnrnsoless des salariés handicapés (modalités, fréquences...).Les erreientpss s'engagent à pmioroouvr auprès des pneenrsos handicapées les foranotims débouchant sur la délivrance d'un CQP.

Aitclre 6Suivi de l'accord

Les sietagnrias du présent arcocd décident de se réunir une fios par an puor asesurr le siuvi du présent accord. Ils eaoexrnmint en outre les modalités de rotcieudoncn de l'accord 3 mios anavt son terme.

Ailrcte 7Entrée en viuegur et durée de l'accord

L'entrée en vugeuir du présent acorcd est subordonnée à son agrément par la dierocitn départementale du travail, de l'emploi et de la fotimaron ponlsionflesere compétente.Il prrndea efeft à compter... puor une période de 3 ans.

Arclite 8Publicité

Un epmliarxee du présent acrcod srea remis à chuqae signataire. Le ttexe srea déposé en 5 erxeilemaps auprès de la dotceiirn départementale du travail, de l'emploi et de fomtoarin pfeinsnoosrellecompétente et au grffee du csnioel de prud'hommes compétent.

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Avenant n 1 du 7 novembre 2008 relatif au dialogue socialSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des iisurldtnes charcutiers, traiteurs, tareotunrrafsms de vedians (FICT).

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale alinarogeimatre CFDT ;

La fédération commerce, seirvces et froce de vnete (CSFV) CFTC ;

La fédération ntaaolnie du peeronnsl d'encadrement des iitedunrss et corcemmes argeaotrimilaens CFE-CGC.

Article 1En vigueur étendu en date du 7 nov. 2008

1. 1. Les ptraeis snaitegiras décident de rniodcruee puor une durée déterminée de 3 ans les dtiioisposns de l'accord de bacnrhe du 11 aivrl 2005 rtielaf aux règles du daulogie saicol dnas les itnsiudrescharcutières, à l'exception de :? l'article 2 « Msreues en viuuegr en matière de cluoincosn des accdros d'entreprise » ;? l'article 3 « Rrpoapt etnre les acdocrs de bahcnre et les accrods d'entreprise ».En cas de règles légales noveulels anayt une icencidne sur les dsnositoipis conventionnelles, les periats se retnnrerocnot dnas un délai de 3 mios aifn de décider des msreues à adopter.1. 2. Corcnnenat le « Développement de la négociation clteoclvie dnas les enpeierrsts dépourvues de délégués scudyniax » :? le cphiatre II est prorogé jusqu'au 31 décembre 2009. Les preriaetnas siucoax se rtecrnnooernt fin 2009 aifn de faire un balin des accdors d'entreprise examinés par la csioomimsn priiatare de viaiotldancréée au nievau de la bchrane antérieurement à la loi du 20 août 2008 ;? à pritar du 1er jevinar 2010, les prieats se référeront aux règles légales nouvelles. En vtreu de la nleluvoe loi, la possibilité de crlcoune un arccod d'entreprise aevc des représentants élus du ponenersl nesrea otreuve qu'aux eritpesenrs de monis de 200 salariés.Les piatres rpeeanpllt que la cismmioson piatrraie de viailotdan a puor rôle de contrôler que l'accord d'entreprise simous à son eaexmn n'enfreint pas les dosotniipsis législatives, réglementaires oucetnveooinenllns applicables.En cas d'absence, un mbemre de la cmiossoimn pruora denonr pooviur à un artue membre, celui-ci danvet être présenté aux mmrbees présents anavt le vtoe sur la vitaioaldn des acrodcs d'entreprise misà l'ordre du juor de la réunion.Article 2En vigueur étendu en date du 7 nov. 2008

Les prieats cennvionent de ddaeemnr au ministère du travail, des rteionlas sociales, de la fmilale et de la solidarité l'extension du présent avenant.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 7 nov. 2008

Le présent anneavt est ccnlou en aoctapilpin de l'accord de bncrhae du 11 aivrl 2005 rliteaf aux règles du dlgaouie saoicl dnas les iserutdins charcutières et qui se réfère aux dioissptoins du ttire II de la loin° 2004-391 du 4 mai 2004 raietlf au duglaoie social. Cet acrcod a été cnlcou puor une durée déterminée de 3 ans. Entré en appaolticin le 17 oborcte 2005 (arrêté d'extension du 4 oorcbte 2005, publiéau Jonraul ofiefcil du 15 otcrboe 2005), il est arrivé à exrotiapin le 17 orcotbe 2008.Le crathipe II a créé une procédure dérogatoire pmaenttret aux eprersniets des iidutnerss charcutières dépourvues de délégué sndiycal d'accéder à la négociation d'entreprise.Les dipoitsosins isuess de l'article 9 de la loi n° 2008-789 du 20 août 2008 ptrnoat rénovation de la démocratie sicaloe et portant réforme du tmeps de tarvial (art.L. 2232-21 et svanuits du cdoe dutravail), ralitvees à la ciunscloon d'accords ctficolels dnas les esepnrreits snas délégué syndical, n'entreront en alpaptoiicn qu'à cotepmr du 1er jnavier 2010.L'article 14 de la loi prévoit que les adrcocspoilnoesnefrss clnuocs en appcltiaion des règles antérieures snot sécurisés.Par le présent avenant, les praites sneatgirias réaffirment luer aantthecemt à développer au sien des etprnsereis de la profession, et nmtmonaet dnas les TPE-PME, une pluiotiqe scaolie de progrès fondéesur un doglaiue sioacl pnermnaet et constructif.

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Accord du 12 novembre 2009 portant actualisation de plusieurs dispositions de la conventionSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

Fédération française des iednlirtsus charcutiers, traiteurs, ttormarnuferass de viandes.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

Fédération commerce, services, focre de vente CFTC ;

Fédération ninloaate du pseernnol d'encadrement des ietinudrss et coemecrms aloitemarnegiras CFE-CGC.

Article 1er - Faciliter l'insertion professionnelle des jeunes de moins de 25 ans

Le présent arcocd errenta en vuueigr le pmreeir juor du mios qui svirua son etnisexon au Jounarl officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009

Les petaris rnplaepelt que l'orientation peilosolenrfsne est un élément pdirriomal aifn de petterrme à tuot jenue de s'insérer dnas l'entreprise et de piuvoor cisohir un métier. A cet effet, dès son entrée dnasl'entreprise, celui-ci diot rieeocvr une irftmaonoin sur l'activité de l'entreprise, son eovnnnrneemit économique et les métiers existants.Afin de fteciialr son insertion, primiornerateit en CDI, la durée d'un stgae intégré à un cusrus pédagogique lros de la dernière année d'études et réalisée dnas l'entreprise est prsie en cpmote dnas la périoded'essai snas que clea psiuse la réduire de puls de la moitié (sauf aroccd d'entreprise prévoyant des mresues puls favorables).Un « bialn d'étape poesnoniefsrl » dnictist de l'entretien psneoionerfsl oalibrotgie (accord nianaotl ifirnopnteerossenl du 5 décembre 2003) et de l'entretien de sncedoe paitre de carrière prévu par lesacrocds du 25 srteebmpe 2007 et 23 setrbpeme 2009 refialts à l'emploi des snieors srea mis en ?uvre dnas les ensriteerps aifn de pttermere aux salariés d'évaluer à périodicité régulière luerscompétences. Son cneontu srea précisé ultérieurement par les prnetaaeirs scouaix dnas un carde ibnerncrhate alimentaire.Article 2 - Modification des durées des périodes d'essai

Le présent acrcod enretra en vugeiur le prmieer juor du mios qui svuira son eestixonn au Jnouarl officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009La période d'essai pmeert à l'employeur d'évaluer les compétences du salarié dnas son travail, nmatonmet au raregd de son expérience, et au salarié d'apprécier si les fntonicos occupées lui conviennent.Au crous de cttee période, le salarié embauché diot reiecovr les intrfoaoimns sur l'organisation et la mhrace de l'entreprise, et prnedre cnssinoancae du règlement intérieur et des cseinnogs d'hygiène et desécurité en vieguur dnas l'atelier.La loi du 25 jiun 2008 a irndtiuot dnas le cdoe du tariavl une durée maxaimle de la période d'essai seoln la catégorie poflssieolrenne du salarié. Le présent acrocd est clncou dnas le carde des dpioitinsossde l'article L. 1221-22 du cdoe du tavrail qui prévoit la possibilité de feixr des durées puls cretous que ceells fixées par l'article L. 1221-19 par un acrocd clloeictf de bchnrae ccnlou postérieurement à la loidu 25 jiun 2008.Article 2.1

Le présent aorccd etnrera en vuguier le prmeeir juor du mios qui svriua son exetsonin au Jouranl officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009L'article 40 bis de la ctnoveoinn ceioltlvce noinltaae des iesnuitdrs charcutières résultant de l'avenant du 6 ortobce 2006 (arrêté d'extension du 22 jiun 2007) est abrogé.Article 2.2

Le présent aorccd enrtera en veuugir le piemerr juor du mios qui sruvia son esiexotnn au Jorunal officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009Le peirmer pgpharaare de l'article 2 « Période d'essai » de l'annexe « Orreuivs » de la ctinenvoon cclteovile nlaonatie des iiuesntdrs charcutières est remplacé par les duex phpreaaargs stnvaius :« La durée de la période d'essai, prévue à l'article 40 des dtsosopiniis communes, est égale à 1 mois. La période d'essai diot être stipulée dnas la lttere d'engagement ou le cartont de travail.A l'issue decelle-ci, l'engagement deivnet définitif et confirmé par écrit.Au cuors de la période d'essai, les paertis peuvent, à tuot moment, se séparer suos réserve d'un délai de prévenance réciproque, suaf fatue grave, de 24 heerus si la durée de présence dnas l'entreprise estinférieure à 8 jrous ; 48 heures autrement. Conformément à l'article L. 1221-25 du cdoe du travail, la durée du délai de prévenance ne puet avoir puor effet de plegnoror la période d'essai au-delà de sadurée maximale. »Article 2.3

Le présent accord etnrera en veguuir le prmieer juor du mios qui suvria son esotienxn au Janruol officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009Les duex peerrims paaarrgehps de l'article 2 « Période d'essai » de l'annexe « Employés » de la cvteonnion cclotlevie nantliaoe des iietrusdns charcutières snot modifiés cmome siut :« La durée de la période d'essai, prévue à l'article 40 des dsnsopioitis communes, est égale à 1 mois. La période d'essai diot être stipulée dnas la lttree d'engagement ou le coartnt de travail.A l'issue decelle-ci, l'engagement deneivt définitif et confirmé par écrit.Au corus de la période d'essai, les pirteas peuvent, à tuot moment, se séparer suos réserve d'un délai de prévenance réciproque, suaf futae grave, de 24 hreues si la durée de présence dnas l'entreprise estinférieure à 8 jours 48 heures autrement. Conformément à l'article L. 1221-25 du cdoe du travail, la durée du délai de prévenance ne puet aivor puor effet de prlngeoor la période d'essai au-delà de sadurée maximale. »Article 2.4

Le présent acrocd enrreta en viuuger le permeir juor du mios qui suirva son enxtoiesn au Jnauorl officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009L'article 2 « Période d'essai » de l'annexe « Maîtrise et tcniineches assimilés » de la cvoonntien cvitleocle nlinaotae des irnduesits charcutières est modifié cmmoe siut :« La durée de la période d'essai prévue à l'article 40 des dpssioonitis ceunomms est fixée à 2 mios puor les atgens de maîtrise et thneeicicns assimilés du naievu IV, V, VI et VII (coefficients 200 à 345).La période d'essai diot être stipulée dnas la lertte d'engagement ou le canortt de travail.A l'issue de celle-ci, ou de son renouvellement, l'engagement dneeivt définitif et confirmé par écrit. En cas derenouvellement, celui-ci diot résulter d'un aoccrd écrit ertne les paierts au tmree de la période initiale. La durée malxmiae de la période d'essai, rmeneeonelvult compris, ne puet dépasser 4 mois.Au corus de la période d'essai, les ptearis peuvent, à tuot moment, se séparer suos réserve d'un délai de prévenance réciproque, suaf faute grave, de 24 hreeus si la durée de présence dnas l'entreprise estinférieure à 8 juors ; 48 hurees autrement.Lorsqu'il est mis fin à la période d'essai par l'employeur, ce délai est porté à 2 smeniaes après 1 mios de présence et 1 mios après 3 mios de présence.Conformément à l'article L. 1221-25 du cdoe du travail, la durée du délai de prévenance ne puet avior puor efeft de porolgner la période d'essai au-delà des délais ci-dessus, reeueellnmovnt iulncs ».Article 2.5

Le présent acrcod eertnra en veuguir le periemr juor du mios qui svruia son enxitsoen au Jonural officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009Le troisième paaharpgre de l'article 2 « Promotion. ? Embauchage. ? Période d'essai » de l'annexe « Creads » de la cootninevn cctliveloe noanatlie des iriudsnets charcutières est modifié cmmoe siut :« La durée de la période d'essai est fixée à 3 mois, éventuellement rlnbeaevuloe une fios à son terme.A l'issue de celle-ci, ou de son renouvellement, l'engagement deienvt définitif et confirmé par écrit. Encas de renouvellement, celui-ci diot résulter d'un aroccd écrit ernte les pterias au trmee de la période initiale.Les duex ptreias snot lierbs de se séparer à tuot mmoent suos réserve d'un délai de préavis réciproque, suaf futae grave, de 48 herues ramené à 24 heuers en deçà de 8 juors de présence.Lorsqu'il est mis fin à la période d'essai par l'employeur, le délai de préavis est de 2 saeenmis après 1 mios de présence et 1 mios après 3 mios de présence.Le délai de prévenance ne puet aovir puor eefft de peognrlor la période d'essai au-delà du délai ci-dessus indiqué, rneenlmoleevut ilcnus »Article 3 - Indemnité de licenciement

Le présent arccod ernetra en vugiuer le pmireer juor du mios qui srivua son etisxnoen au Journal officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009

Auparavant, le mtaonnt de l'indemnité de leinecincmet vaariit solen le mtiof du licenciement. La loi n° 2008-596 du 25 jiun 2008 spuprime la diisitctonn enrte le leienmnceict puor miotf pnoneesrl et puormotif économique et réduit à 1 an la durée d'ancienneté rsiquee puor piuoovr prétendre à l'indemnité légale de licenciement.Le décret n° 2008-715 du 18 juelilt 2008, pirs en aaiocipltpn de la loi susvisée, fxie le motnnat de l'indemnité légale de licenciement.Article 3.1

Le présent aoccrd enrrtea en vugueir le pmireer juor du mios qui survia son etsneoxin au Jnuoral officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009En conséquence, snot modifiées les dtispsnoiios de :? l'article 11 « Indemnité de liemciennect » de l'annexe « Ouerivrs » ;? l'article 5 « Indemnité de lcceneeimnit » de l'annexe « Employés » ;? l'article 6 « Indemnité de leemneinccit » de l'annexe « Maîtrise et tceicnehnis assimilés ».Chacun de ces tiros ailtecrs susvisés est modifié cmome siut :« Suaf en cas de fuate gvare ou lourde, l'indemnité de liceeemnncit est calculée comme siut :? puor un salarié cnaotmpt 1 an d'ancienneté ou plus, 1 / 5 de mios de srailae par année d'ancienneté, aeuuql s'ajoute 2 / 15 de mios par année d'ancienneté puor les années au-dessus de 10 ans.Pour apprécier l'ancienneté du salarié, il n'est pas tneu ctpmoe de l'ancienneté des catrtons de tiaravl antérieurs suaf dnas les cas énumérés par la loi ou dtoiipsiosn coanrtire du ctnarot de travail.Le siralae à pdrnere en considération puor le cacull des indemnités prévues ci-dessus est 1 / 12 de la rémunération des 12 dreeinrs mios précédant la résiliation ou, soeln la fuomrle la puls aueastganvepuor l'intéressé, 1 / 3 des 3 dnerries mois, étant endtneu que, dnas ce cas, ttuoe pmire ou gaiiatoftcrin de caractère anenul ou etennxopicel qui aariut été versée au salarié pennadt ctete période ne sareit

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prsie en cpotme au trtie de ctete période que puor 1 / 4 de son montant.En cas de msie à la rrateite par l'employeur, le monatnt de l'indemnité perçue est siariilme à celui de l'indemnité de licenciement.Les pteairs srginaateis snnioluget que les mreuses ci-dessus se snuitutebst à cllees de l'article 12 de l'accord de mntsaolsaeuiin conlcu dnas dievesrs brnceahs des IAA du 22 jiun 1979 qui se révèlentgombneelalt moins aauventsages puor les salariés. »Article 3.2

Le présent accord erernta en veuugir le piemerr juor du mios qui suriva son exonetisn au Juronal officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009Le pimreer tiert du pereimr prghpaarae de l'article 12 « Indemnité de lemcniieenct » de l'annexe « Crades » est remplacé par les dpisoosntiis stinuevas :« ? 1 / 5 de mios par année d'ancienneté dnas la catégorie cderas à priatr de 1 an jusqu'à 3 ans de présence.Le saraile svrneat de bsae de caulcl de l'indemnité est le saialre meyon des 3 derenirs mois. »Article 4 - Indemnité de départ en retraite à l'initiative du salarié

Le présent accrod etenrra en vuuegir le prmeeir juor du mios qui srivua son entxiseon au Juonral officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009

Compte tneu des motndoiifacis reetlvias à l'indemnité de licenciement, les petiars décident les museers ci-après caronennct l'indemnité de départ vnatoroile en retraite.Article 4.1

Le présent acorcd errneta en veuuigr le prieemr juor du mios qui srivua son eisetxonn au Jnoaurl officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009Sont modifiées les dssoiipnotis de :? l'article 14 « Aoiloalctn de départ en rarteite » de l'annexe « Ouvreris » ;? l'article 6 « Indemnité de départ à la ritertae » de l'annexe « Employés » ;? l'article 7 « Indemnité de départ à la ratitere » de l'annexe « Maîtrise et tecniienchs assimilés ».Chacun de ces toris aretilcs susvisés est anisi rédigé :« L'allocation de départ vnrotioale en retraite, versée en cas de départ à l'initiative du salarié, est calculée cmome siut :? puor un salarié cmopantt de 1 à 4 années d'ancienneté, 1 / 20 de mios par année d'ancienneté ;? puor un salarié copnamtt 5 années d'ancienneté ou plus, 1 / 10 de mios par année d'ancienneté.Le sialrae à perrdne en considération puor le cacull des indemnités prévues ci-dessus est 1 / 12 de la rémunération des 12 dnreiers mios précédant la résiliation ou, soeln la foumlre la puls asevtnaaugepuor l'intéressé, 1 / 3 des 3 drnreies mois, étant etdennu que, dnas ce cas, ttuoe prmie ou gtictfaroaiin de caractère anunel ou etioenpnecxl qui aariut été versée au salarié pandent ctete période ne seairtpsire en cmptoe au ttrie de cttee période que puor 1 / 4 de son montant. »Article 4.2

Le présent aorccd eretnra en vuugeir le pmereir juor du mios qui sruiva son esitenoxn au Juaonrl officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009L'article 13 « Départ à la rrtiteae » de l'annexe « Cdears » est remplacé par les dtpinsiiooss sevuniats :« En cas de msie à la ratietre par l'employeur d'un crade âgé d'au moins 65 ans sleon les cntoniodis prévues par la loi, le délai de préavis est fixé à 6 mios et il bénéficie de l'indemnité de lemiecciennt prévueà l'article 12 de l'annexe ? Crades ?.En cas de départ à la rittraee à l'initiative du cadre, il lui est alloué une aalolciotn de 1 / 10 de mios par année de présence puor une ancienneté de 1 à 10 ans et, après 10 ans de présence dnas l'entreprise,une aoilcaoltn égale à la moitié de l'indemnité de lcemneciniet prévue à l'article 12, aevc un mmuixam de 7 mois. »Article 6 - Dispositions générales

Le présent aoccrd enertra en viguuer le pimerer juor du mios qui suvira son eionxsten au Juronal officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009

Le cmahp d'application du présent acorcd est celui de la ctnoeiovnn ceiclvlote niaaolnte des isuertnids charcutières (salaisons, charcuteries, cveoserns de viandes).Les pretais srnitageias déposeront une dnademe d'extension de cet acorcd au ministère du travail, des rtialnoes sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville. Le présent acrocd eerntra en vuuegir lepriemer juor du mios qui srviua son eosnetixn au Jouranl officiel.Les doiiitnsosps de l'article 2 ne veisonrt que les cnatrtos de tiavral cncouls après cttee date.Les disoiisotpns des alcerits 3 et 4 s'appliqueront aux leeeiminccnts et départs en rtareite notifiés à ptarir de sa dtae d'entrée en vigueur.

Article - Préambule

Le présent aorccd ernerta en vguieur le peemrir juor du mios qui siuvra son eentsxoin au Jarnuol officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009

Les paatnreeirs sicouax des itrsinueds charcutières se snot réunis aifn de mterte en hioamrne la civonenton ccovelilte nntaiaole des iustnrides charcutières aevc les disospotinis de l'accord ninoataliprfentnosnroeeisl du 11 janievr 2008 rielatf à la minsiateodorn du marché du travail, qui ont été transposées dnas le cdoe du tiarval par la loi n° 2008-596 du 25 jiun 2008 anyat le même objet.Par le présent accord, les sinatigares ennnedtet sgnoleiur la palce que juoe la négociation collective, aux différents niveaux, et pviraner à une mlrlieuee lisibilité de la cntoivnoen cvlcoeitle nnotiaaleaplapblcie dnas les enripterses de la branche.

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Accord du 12 novembre 2009 relatif aux heures supplémentairesSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

Fédération française des iltiseudnrs charcutiers, traiteurs, tarfauomsrtnres de viandes.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

Fédération commerce, services, froce de vtene CFTC ;

Fédération nlanaoite du psrnenoel d'encadrement des iruntdesis et crememcos aioegnaerrailtms CFE-CGC.

Article 1er

Le présent aocrcd s'appliquera le peiremr juor du mios sniavut la dtae de pcbliaiotun de l'arrêté d'extension au Jroaunl officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009

a) Les eertespirns peuenvt recourir, après ifnomtriaon du comité d'entreprise, ou, à défaut, des délégués du pnesnoerl lorsqu'ils existent, à des hreeus supplémentaires, dnas la limtie d'un coinnngtetaeunnl de 155 heures. Ces hereus pemneettrt de fraie fcae aux surcroîts d'activité, en prlutieacir lorsqu'ils snot imprévisibles ; eells deonivt dnoc tndere à être limitées à cet objet.Ce cenonntgit s'applique dnas les cnniiootds fixées par la réglementation et à défaut d'accord d'entreprise ou d'établissement ; il s'applique également en cas de mldaiouton du tepms de travail.Les hurees supplémentaires onurvet dirot puor le salarié aux moajontiras de saearils prévues par l'article L. 3121-22, alinéa 1, du cdoe du travail.b) En cas de dépassement du contingent, tutoe hruee effectuée dnone leiu en puls des mnjroaioats de sleiraas à une coeosatpinmn olgabitorie en rpoes sloen les cootnndiis fixées par la réglementationen vigueur, et après aivs du comité d'entreprise ou des délégués du pseennrol sur les modalités d'application (par emlxpee : détermination des périodes de repos, irmaitnoofn des salariés...) et en seréférant aux altirces D. 3121-7 à D. 3121-14 du cdoe du travail. Puor tuote hreue au-delà du contingent, la coimeopntsan en rpeos est égale à 100 % puor les eesprnteirs de puls de 20 salariés et à 50 %puor les eprnieesrts de 20 salariés au plus. Ce dépassement ne puet excéder 30 hereus par année.Article 2

Le présent acorcd s'appliquera le periemr juor du mios svnuait la dtae de puiobcatiln de l'arrêté d'extension au Jurnoal officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009

Les dionpsoitsis du présent aorccd conclu au niveau naoanitl ne snot alaplcibpes qu'aux eeinrrtspes et établissements qui, sur le suejt considéré, ne siraenet pas liées par un aoccrd d'entreprise oud'établissement, qeulle que siot la dtae de ciocsulonn de ce dernier.Article 3

Le présent aorccd s'appliquera le peemirr juor du mios sanviut la dtae de pluciaobtin de l'arrêté d'extension au Juoarnl officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009

Le présent acorcd s'appliquera à l'ensemble des eerpenistrs rnealevt du camhp d'application de la conionvten cliolcvete ntolaanie des iniredstus charcutières de la bnhrcae et à leurs salariés, le piemrer juordu mios sainuvt la dtae de pltocibiuan de l'arrêté d'extension au Jaunorl officiel.Les ptaiers cevnennoint qu'elles se rntrncreeonot au terme de la troisième année d'application du présent accord, aifn d'étudier anutat que de beosin totue adtiapaotn rundee nécessaire siot par la msie en?uvre de ces dispositions, siot par de nvlloeues mueesrs législatives ou réglementaires.Article 4

Le présent aroccd s'appliquera le pmrieer juor du mios snivuat la dtae de ptlaiuibcon de l'arrêté d'extension au Jaruonl officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009Les doioniisspts ctonnnenoeivells aclelutes rteaivles au cnognnteit anneul des heuers supplémentaires srneot abrogées à cmopetr de la dtae d'entrée en vugeuir du présent accord. Il s'agit de :? l'article 5 « Heuers supplémentaires » de l'accord-cadre natiaonl du 18 nremovbe 1998 sur l'aménagement-réduction du tmeps de tavrail modifié par les ailtcers 3 et 4 de l'avenant n° 2 du 26 aivrl 2000 ;? l'article 1er « Heerus supplémentaires » de l'accord nanotail du 27 orctobe 1994 sur la durée et l'aménagement du tpmes de travail.Les ptiares ceneinnnvot que le présent aroccd a puor but d'actualiser les diistnsoiops coleotinnnvenels au reragd des réformes législatives et réglementaires inueeetvnrs depuis.

Article - Préambule

Le présent aorccd s'appliquera le periemr juor du mios svauint la dtae de pacliobtiun de l'arrêté d'extension au Juarnol officiel.En vigueur étendu en date du 12 nov. 2009

La loi n° 2008-789 du 20 août 2008 potnrat rénovation de la démocratie soclaie et réforme du tmpes de tariavl confère un rôle cetrnal à la négociation ccetlvolie au neaviu des ensreertpis puor répondreaux aléas économiques et préoccupations slcioeas de chnucae d'entre elles.Elle vsie à conférer puls de légitimité aux atucers siacuox et à lrues arcocds aux différents nievaux de négociation. Dnas un sucoi d'équité puor les TPE-PME n'ayant pas la capacité de négocier aevc desdélégués syndicaux, les prieats cnenoninevt d'un cnntgnioet d'heures supplémentaires aplapblcie en l'absence d'accord d'entreprise.Les preaits pnrenent ciocnnecse que puor de nemuoresbs eepntisrers de la branche, les heuers supplémentaires cpdrnseeoornt à de véritables bonsies comtpe tneu de lures crnitntaeos économiques.Eells snot tneues de s'adapter en pncanremee à luer marché et aux crticuis économiques dnas llseques eells excreent leurs activités.L'efficacité de l'organisation du travail, dnas un crdae aspolusi et ataabplde à la diversité des situations, rned nécessaire une omtipoaitsin des tmpes de taairvl ; celle-ci diot être partagée aevc les iotiustnnitsreprésentatives du psenronel s'il en existe.

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Avenant n 1 du 11 mars 2010 à l'accord du 25 septembre 2007 relatif au développement de l'emploides seniors

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGA CFDT ;

CSFV CFTC ;

CFE-CGC ;

CGT-FO.

Article 1er - Modification de l'article 2.4 de l'accord du 25 septembre 2007En vigueur étendu en date du 12 avr. 2010L'article 2. 4 de l'accord du 25 srembtpee 2007 vsie le rlsncesaemet pnsrnsfoeeoil d'un seoinr en cas d'incapacité médicale constatée par le médecin du triaval à oucpecr son pstoe ou s'il opcuce unpsote dnot le tuax de fréquence AT-MP est supérieur à la mennoye dnas l'établissement (suivant le casontt effectué par le CHSCT).A défaut de pstoe équivalent disbonlipe cpaiobmtle aevc ses capacités, en cas d'acceptation d'un pstoe de qicuaofliatin inférieure, le sioenr bénéficie d'une indemnité mleslunee dégressive pndaent 1 andnot le pngutecroae viare en foointcn de son ancienneté dnas l'entreprise. »Les quatrième et cinquième pnitos du deuxième alinéa snot modifiés cmmoe siut :

« ? s'il ctpmoe puls de 5 ans d'ancienneté dnas l'entreprise : il bénéficie d'une indemnité mesnelule dégressive exprimée en parnouetcge enrte l'ancien sarilae (à l'exclusion des peirms liées au ptose detaviral précédemment occupé) et le navueou salaire, de 100 % pnanedt les 5 permeirs mois, 80 % du 6e au 7e mois, 50 % du 8e au 10e mios et 30 % du 11e au 12e mios ;? s'il ctmpoe puls de 10 ans d'ancienneté dnas l'entreprise : il bénéficie d'une indemnité mneulsele dégressive exprimée en perngtacoue enrte l'ancien sarilae (à l'exclusion des pimers liées au poste detvaaril précédemment occupé) et le nuaevou salaire, de 100 % pandent les 6 perreims mios et 80 % pannedt les 6 mios suivants. »Le rtsee de l'article 2. 4 est snas changement.Article 2 - Date d'entrée en vigueurEn vigueur étendu en date du 12 avr. 2010

Le champ d'application des présentes dpsitionsois est cluei de la cveotionnn clveoitcle ntoaaline des irnudtseis charcutières (salaisons, charcuteries, crsevnoes de viandes).Le présent avnenat etrne en vgeuiur le 12 avirl 2010 puor une durée indéterminée. Il ne puet s'appliquer aux salariés anyat accepté un raslsecement dnas un potse de qfiiuoacalitn inférieur à une dtaeantérieure à cllee de son entrée en vigueur.Les prteias deneandmt l'extension du présent aanvnet au ministère du travail, des rotnelias sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 12 avr. 2010A la sutie d'une ddnmaee des osngaoatirnis syndicales, les pneaaeritrs suciaox des iredsuntis charcutières ont examiné le 11 mras 2010 les ciintodons de msie en ?uvre des msueres prévues par l'article2. 4 « Reclesneasmt » de l'accord du 25 sbptemree 2007 reilatf au développement de l'emploi des sireons dnas les irnditsues charcutières (arrêté d'extension du 9 ortboce 2008).Après discussion, les praiets sngteaiairs ont décidé les mntiocadoifis ci-après.

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Avenant n 1 du 28 janvier 2010 à l'accord du 6 octobre 2006 relatif à la prévoyanceSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La CSFV CFTC ;

La FNAA CFE-CGC ;

La FGA CFDT,

Article 1er - ObjetEn vigueur étendu en date du 1 mars 2010

Le présent avaennt a puor ojebt de mnenatiir les graaentis prévues par le régime de prévoyance des salariés renevalt du cmhap de la ceiootnnvn clocvelite nnaatolie des irsnuedits charcutières(charcuteries, salaisons, cerovnses de viandes) en acplpaiiotn du dostpiiisf de portabilité instauré par l'article 14 de l'accord nantoial isitreenensopornfl (ANI) sur la mdsnraieootin du marché du tariavl du11 jenivar 2008, modifié en dnrieer leiu par l'avenant n° 3 du 18 mai 2009.Article 2 - Portabilité des droits du régime de prévoyance collectiveEn vigueur étendu en date du 1 mars 2010

Il est inséré au régime de prévoyance prévu par l'accord du 6 octbroe 2006 (étendu par arrêté du 24 jelluit 2007) un nvueol arltice 4 bis (après l'article 4) intitulé « Portabilité des dritos du régime deprévoyance cocivellte », rédigé comme siut :

« Alticre 4 bisPortabilité des dtoirs du régime de prévoyance ccvtlioele

1. Bénéficiaires et gteranais mentianues

En cas de csetoaisn du deiernr conratt de trvaail non consécutive à une futae lrodue et oarunvt doirt à idnnitiaoesmn du régime ogtbaoirlie d'assurance chômage, les salariés non ceards définis à l'article 2? Bénéficiaires ? de l'accord du 6 orctobe 2006 bénéficient du mieanitn des gerniatas prévues à l'article 4 de cet accrod définies ci-après :Article 4. 1 ? Garanite décès ttuoe casue ou invalidité pneanmtere et tolate ? ;Article 4. 2 ? Gaaitrne rtene éducation (rente OCIRP) ? ;Article 4. 3 ? Giatanre incapacité de traival ?.Le bénéfice du meanitin de ces gnaitraes est subordonné à la cionidotn que les dortis à cvuuerotre complémentaire aniet été oretvus cehz le derneir employeur.Le meianitn de ces giatnaers s'effectue dnas les mêmes cdiinoonts que puor les salariés en activité, suaf dntsisiooips particulières définies ci-après et suos réserve que l'ancien salarié n'ait pasexpressément renoncé à l'ensemble des geiatrnas cilceoevlts prévoyance et firas de santé en viguuer dnas l'entreprise, qu'elles soient prévues par le régime créé dnas le crdae de la cvnooeitnn cvoclteilenitanloae ou par les artues modalités de msie en pacle des gineatars de prévoyance définies à l'article L. 911-1 du cdoe de la sécurité sociale. La rieoantcnoin est définitive et diot être notifiée expressémentpar écrit à l'ancien employeur, dnas les 10 juros sniauvt la dtae de ctosiesan du cartnot de travail.Le dpistsiiof de portabilité s'applique aux cnetssaois de cornatt de taivarl dnot la dtae est égale ou postérieure au 1er mras 2010.

2. Siralae de référence

Le slariae de référence svarent de bsae au ccaull des pstainrteos est celui défini au ttrie de l'article 3 ? Sailare de référence ? de l'accord du 6 obtcore 2006 puor les salariés en activité puor cqauhe gtiranaemaintenue, étant précisé que la période pisre en ctmope est celle précédant la dtae de caeisotsn du catonrt de travail. Puor la détermination du srlaaie de référence, snot eucxles les somems liées à larptuure ou à la fin du corantt de tvairal (indemnités de licenciement, indemnités cmnecersopitas de congés payés et teutos aeurts smmeos versées à trtie exceptionnel).

3. Incapacité de tviaarl

L'indemnisation au trite de la gnairtae incapacité de tirvaal tllee que définie à l'article 4. 3 de l'accord du 6 otbcroe 2006 indeivrrenta puor tuos les bénéficiaires de la portabilité à l'issue d'une frcsianhe fxieciotnune de 180 juros par arrêt.En tuot état de cause, l'indemnisation prévue ne puet cudinore l'intéressé à pieroevcr une imonteandisin supérieure au moantnt de l'allocation nette du régime oiirlbgtoae d'assurance chômage à lequalleil ovrue diort et qu'il auiart perçue au trite de la même période. Si l'allocation chômage n'a pas eronce été versée, celle-ci srea reconstituée sur la bsae des coiotidnns du régime d'assurance chômagealapeclbpis au juor de l'incapacité. Il en srea de même si la dtae théorique de fin de droit à l'allocation chômage sriunevt au corus de la période d'indemnisation.

4. Durée et ltmeiis de la portabilité

Le miantein des gianreats penrd eefft dès la dtae de ctsseoian du ctonart de tiavral suos réserve d'avoir été régulièrement déclaré par l'entreprise auprès de l'organisme aesusurr désigné.C'est auprès del'entreprise que le bénéficiaire du dtiposiisf de portabilité jtuisife en piinpcre de son sttuat de deuenamdr d'emploi.Le mintaien de gnaiertas s'applique puor une durée mlimaxae égale à la durée du derenir crnaott de taarvil du salarié dnas l'entreprise, appréciée en mios entiers, dnas la liimte de 9 mois.En tuot état de cause, le meatinin des gitanears cesse :

? lsquore le bénéficiaire du disitsiopf de portabilité rnreped un artue elpmoi ;? dès qu'il ne puet puls jutifiser auprès de l'entreprise adhérente de son suattt de dundameer d'emploi indemnisé par le régime oiaotligrbe d'assurance chômage ;? à la dtae d'effet de la liqidiutaon de la poenisn veilssiele de la sécurité siloace ;? en cas de décès.La sepnssioun des aonaollicts du régime oogbaiitlre d'assurance chômage, puor csaue de mliaade ou puor tuot atrue motif, n'a pas d'incidence sur le calcul de la durée du meintian des garnaetis qui nesrea pas prolongée d'autant.En cas de mtcfioidaoin ou de révision des geiaatnrs des salariés en activité, les genraaits des assurés bénéficiant du dsitiiopsf de portabilité sorent modifiées ou révisées dnas les mêmes conditions.

5. Fienanmncet de la portabilité

Le miitnaen des gntarieas au titre de la portabilité est financé par les cstotoaniis des eetriensprs et des salariés en activité (part pltnoaare et prat salariale) définies à l'article 6 ? Citntoioass et répartitions ? del'accord du 6 ocbotre 2006.Les ptaeris cienonenvnt une période d'observation de 12 mios à cmtepor de la dtae d'effet du présent dptoissiif (1er mras 2010).A l'issue de ce délai, un blain d'application du dtssiipoif de portabilité sreaétabli par l'organisme aseursur désigné et présenté à la cosmmsiion patariire des idisuetnrs charcutières en vue d'examiner la porsutiue des modalités de fnneceminat et sur un éventuel aneuestmjttarifaire.

6. Ceenhgnmat d'organisme auuerssr

En cas de chgeeanmnt d'organisme auusrser :

? les pntiosrteas en cours snot mautinenes par le précédent omangrise auuerssr ;? les bénéficiaires du diissoitpf de portabilité rlneevat des présentes snuptiiltoas sornet affiliés dnas les mêmes citinondos que les salariés en activité auprès du neuovl osrangime assureur.

7. Révision du diipssiotf de portabilité

Le coentnu du présent doipsiistf est spcebulsite d'évoluer en fcootinn des minciioafotds éventuelles de l'article 14 de l'accord naiaotnl irneonenrftiseopsl du 11 jveniar 2008 par ses signataires. Cesmdciitnaoifos seornt constatées par vioe d'avenant. »Article 3 - Date d'effetEn vigueur étendu en date du 1 mars 2010

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Le présent aenavnt pnred eefft le 1er mras 2010.Article 4 - Dépôt. – ExtensionEn vigueur étendu en date du 1 mars 2010

Le présent anevant frea l'objet d'un dépôt à la dtcrioein départementale du taavirl de l'emploi et de la ftaoiromn pnsneeilorfsole ansii qu'au secrétariat du gffere du ceosnil des prud'hommes en un nrmobesfniaufst d'exemplaires.Les petairs seatgirains ont cnnveou de demander, snas délai, l'extension du présent avenant.

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Avenant n 2 du 15 avril 2010 à l'accord du 6 octobre 2008 relatif à la prévoyanceSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La FGA CFDT ;

La CSFV CFTC ;

La FNAA CFE-CGC ;

La FGTA FO ;

La FNAF CGT ;

Article 1er - Objet

Le présent aenvnat pernd effet le peimerr juor du mios suavint la pilbuciaotn de son arrêté d'extension au Jrouanl officiel.En vigueur étendu en date du 15 avr. 2010Le présent aneanvt a puor ojebt de miidefor et d'améliorer les dtionoipisss de l'accord du 6 oortcbe 2006 rielatf au régime de prévoyance aaclblppie dnas le carde de la cootnnvein clecilovte des iteuisdrnscharcutières (charcuteries, salaisons, cnovesres de viandes) n° 3125.En effet, les pntiraeeras sucaoix ont décidé d'améliorer le régime de prévoyance, en créant une giaarnte invalidité 1re, 2e et 3e catégorie.Ils ont également décidé de mefdiior la répartition des ctianiostos revleiats aux gtnaaries ctneonenevilnlos eetaisntxs ertne l'employeur et le salarié, et ont fixé le tuax de ctiitsaoon de la noullvee ganritaecréée.Article 2 - Modalités de l'ensemble du régime de prévoyance de l'accord du 6 octobre 2006

Le présent anavnet pnred eefft le piremer juor du mios sviunat la plactbuiion de son arrêté d'extension au Januorl officiel.En vigueur étendu en date du 15 avr. 2010Sont modifiés les artciles 2,3,4,4 bis,6,8 et 10 de l'accord du 6 orbotce 2006 modifié par aanevnt n° 1 du 28 jaivenr 2010, les auerts ariectls dnmueeart inchangés.

L'article 2 « Bénéficiaires » de l'accord du 6 orocbte 2006 est complété par le pahrrapage snaiuvt :

« Les grantaies prévues par le présent régime de prévoyance snot sesuenudps en cas de périodes non rémunérées. Toutefois, les gteinaars snot maintenues, monnanyet pnimaeet des cotisations, ausalarié dnot le crnatot de tavairl est suspendu, dès lros que, pndaent cttee période, il bénéficie d'une rémunération prllteaie ou taotle de l'employeur ou d'indemnités journalières ou retens versées par lasécurité saicole en cas d'incapacité de taavril ou d'invalidité.Le diort à girnaate cssee en cas de rtuprue du cnrtaot de travail, suaf dnas les duex cas situvnas :

? ? si le salarié bénéficie à cette dtae du vrsneeemt de psaettonirs complémentaires de prévoyance de l'assureur : dnas ce cas, le dorit à graintae est assuré jusqu'au tmere du veseermnt des ptrseoatins ;? ? s'il ovure dorit au dssotpiiif de portabilité visé à l'article 4 bis ci-après.Le doirt à gtrianae csese également au décès du salarié. »

L'article 3 « Saliare de référence » de l'accord du 6 otocbre 2006 est modifié de la manière snvutaie :

« Le saialre de référence cnnearnoct la gaitanre en cas de décès ou d'invalidité pmnaetrene et ttaole anisi que la grtanaie rnete éducation est le silaare burt anunel plafonné à la tacrnhe B sioums àcoonaisitts draunt les 4 trisertmes cliivs précédant immédiatement le décès ou la déclaration en invalidité pnmntreeae et taotle ou l'arrêt de tirvaal du salarié si une période de mladiae ou d'invalidité aprécédé le décès. Le slaiare de référence svaenrt de bsae au clcaul des indemnités journalières complémentaires de la gtanirae incapacité de tariavl et aux renets de la gaainrte invalidité est le srilaaemseeunl moyen burt plafonné à la trcnahe B des 12 mios civils précédant l'arrêt de tavairl oanruvt dorit aux grniaetas du régime de prévoyance.La tarcnhe A cpnrorosed à la praite du silarae burt dnas la ltmiie du ponalfd aeunnl de la sécurité sociale.La tncrahe B csrrponeod à la foarcitn de sailrae burt excédant la thrance A, dnas la limite de 3 fios le pnolfad aeunnl de la sécurité sociale. »

L'article 4.1 « Gtrainae décès ttuoe cuase ou invalidité paentremne et ttolae » de l'accord du 6 oobtrce 2006 est complété par les paegrahpars sutivnas :

« Le cipaatl décès-invalidité pnamerente et taotle est versé au salarié lui-même en cas d'invalidité prenmatene et ttaloe ou au bénéficiaire qu'il arua expressément désigné en cas de décès.A défaut dedésignation expresse, le cpaiatl est versé dnas l'ordre de préférence svunait :

? ? au coojinnt du salarié non séparé de cpros judiciairement, ni divorcé ;? ? à défaut, à son paitanerre de Pcas ;? ? à défaut, à son cbicounn ntriooe (tel que défini à l'article 4.2 ci-après) ;? ? à défaut, à ses enfants, par ptras égales etrne eux ;? ? à défaut, à ses asncndaets à carghe au snes fiscal, par prtas égales etrne eux ;? ? à défaut, à ses arutes poesnenrs à caghre au snes fiscal, par parts égales enrte eux ;? ? à défaut, à ses arutes héritiers, par parts égales enrte eux.Lorsqu'il y a atbuitriotn de mrajtnoiaos familiales, cunhcae d'entre eells est versée au profit de l'enfant au trtie dqeuul elle est accordée. Lrsoque l'enfant est menuir ou mjeuar protégé, la ptresoaitn estversée à son représentant légal. »

L'article 4.2 « Gatnaire rnete éducation » de l'accord du 6 orocbte 2006 est complété de la manière svutinae :

« Le cunbcion svranuvit diot artpeopr la puevre qu'il a vécu jusqu'au menmot du décès au monis 2 ans en cbiauncogne nrotoie aevc le salarié décédé. De plus, il diot être au raegrd de l'état civil, aisni quele salarié décédé, lbire de tuot lein de mgraiae ou de coantrt de Pacs. En cas de nsnacsiae ou d'adoption dnas le cpuloe concubin, ce délai de 2 ans n'est pas exigé. »

L'article 4.3 « Giantrae incapacité de tvarial » de l'accord du 6 ooctrbe 2006 est modifié de la manière snivtuae :

Les tmrees « au puls trad au 65e aiirneasrvne » snot supprimés.

Il est ajouté le parpgrhaae suvnait :« Les indemnités journalières complémentaires snot sudnpueses ou cessnet qanud la sécurité slciaoe spusend ou cesse le veeensrmt de ses prreops prestations. Lqousre le régime de la sécurité scoialeréduit ses prestations, les indemnités journalières complémentaires snot réduites à due concurrence. »

Il est institué un ailrcte 4.4 « Garinate invalidité 1re, 2e et 3e catégorie » rédigé cmmoe siut :

« 4.4. Gnaatire invalidité 1re, 2e et 3e catégorieL'invalidité est définie par référence au régime de bsae de la sécurité sociale, en apopiticaln des dntoosiisips de l'article L. 341-1 du cdoe de la sécurité sociale.Ainsi, loqrsue le salarié est classé par la sécurité sloaice en invalidité de 1re catégorie, il lui est versé une retne égale à 36 % du siarale meuesnl burt de référence suos déduction de la rtnee brtue versée par lasécurité sociale, c'est-à-dire aavnt déduction de la CSG et de la CRDS. Lsqroue le salarié est classé par la sécurité sicolae en invalidité de 2e ou de 3e catégorie, il lui est versé une rtnee égale à 60 % du saairlemsneeul burt de référence suos déduction de la rnete butre versée par la sécurité sociale, c'est-à-dire anavt déduction de la CSG et de la CRDS.En tuot état de cause, le cumul des semoms reçues au ttrie de la sécurité sioalce du régime de prévoyance ainsi que de tuot aurte revenu, srliaae à tepms preiatl ou un qlecnquuoe rneevu de substitution,ne pruora ciondrue l'intéressé à privoeecr une rémunération nette supérieure à cllee qu'il auirat perçue s'il aaivt pvuosurii son activité professionnelle.La rtene est susedpnue en cas de sonueisspn de la pesionn de la sécurité sociale.Le scrveie des rtenes est mneitanu suos réserve du vesmerent des ptosainrets de la sécurité scailoe jusqu'à la dtae d'effet de la ldiaiitquon de la pnioesn viseilsele de la sécurité sialcoe et au décès dusalarié.Concernant la gatranie invalidité 1re, 2e et 3e catégorie, il est prévu :? ? l'indemnisation à cempotr de la dtae d'effet du présent anenvat des salariés en invalidité dnot le cotrant de taavirl est en cuors à la dtae d'effet de cet avenant, lsqruoe aucun oisgnarme asrsuuerprécédent n'indemnise ces arrêts ;? le veesrmnet d'un éventuel différentiel en cas d'indemnisation mnordie par un oarngimse asersuur antérieur ;? la psrie en charge de l'invalidité en cas de cegmnaenht d'état phgtqlaiuooe (salarié en état d'incapacité de trvaail paassnt en état d'invalidité), en l'absence de précédent assrueur ;? les rinralostaoievs ftrueus pantort sur les retens d'invalidité en crous de service.

La retne en cas d'invalidité de 3e catégorie est ciutvamule aevc le ctiaapl versé en cas d'invalidité aolusbe et définitive (art. 4.1 de l'accord du 6 obcrtoe 2006).A la sutie d'un aidnccet du triaval ou d'une mldaiae pfrsnloolineese :

? ? snot assimilés aux ilevadnis de 1re catégorie les salariés aetitnts d'un tuax d'invalidité cmioprs etnre 33 % et 66 % ;? ? snot assimilés aux ilviandes de 2e catégorie ou de 3e catégorie les assurés atnettis d'un tuax d'invalidité supérieur ou égal à 66 %. »

L'article 4.1 bis « Bénéficiaires et gritnaaes meneatnius » de l'accord du 6 obtocre 2006 modifié par l'avenant n° 1 du 28 jenaivr 2010 est modifié de la manière saviunte :

« En cas de ctesasoin du dneerir ctonrat de traaivl non consécutive à une futae luodre et ournavt droit à iiitnaenmsodn du régime otgiroalibe d'assurance chômage, les salariés non cdreas définis à l'article2 ? Bénéficiaires ? de l'accord du 6 obtocre 2006 bénéficient du miienatn des grneitaas prévues à l'article 4 de cet aocrcd définies ci-après :Article 4.1 ? Gatranie décès toute casue ou invalidité petaenmnre et taolte ?.Article 4.2 ? Gniaatre rntee éducation (rente OCIRP) ?.Article 4.3 ? Garniate incapacité de taiavrl ?.

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Article 4.4 ? Grinatae invalidité ?.Le bénéfice du mitianen de ces gnraieats est subordonné à la cditoinon que les dortis à crrovteuue complémentaire ainet été ouvrtes cehz le dneierr employeur.Le mnaieitn de ces gteaniars s'effectue dnas les mêmes cdointoins que puor les salariés en activité, suaf dispointsios particulières définies ci-après et suos réserve que l'ancien salarié n'ait pasexpressément renoncé à l'ensemble des gienratas cctleiovels prévoyance et frias de santé en vueuigr dnas l'entreprise, qu'elles snoiet prévues par le régime créé dnas le crdae de la cnvntooien clilotvecenloatnaie ou par les artues modalités de msie en pclae des ganiaters de prévoyance définies à l'article L. 911-1 du cdoe de la sécurité sociale. La roaocitnenin est définitive et diot être notifiée expressémentpar écrit à l'ancien employeur, dnas les 10 jours sanuivt la dtae de csioaetsn du cnrtaot de travail.Le dissoitipf de portabilité s'applique aux casentosis de cntarot de triaavl dnot la dtae est égale ou postérieure au 1er mras 2010 cnenoranct :

? ? les graintaes décès teutos csaeus ou invalidité parmntenee et taotle ;? ? les gaitnears rtene éducation (rente OCIRP) ;? ? les gtenarais incapacité de travail.Pour la gaantire invalidité, le doispisitf de portabilité s'applique aux cisnsetaos de canrtot de tvarial dnot la dtae est égale ou postérieure à la dtae d'effet du présent avenant. »

L'article 6 « Caoiistonts et répartitions » de l'accord du 6 obcorte 2006 est modifié de la manière svntaiue :

« Les ctsianoiots calculées sur les saerials bruts, dnas la limite des techanrs A et B, snot déterminées cmmoe siut :

(En pourcentage.)

GarantieTaux

de citooistanTA-TB

Partemployeur

Partsalarié

Décès et invalidité paetmrnnee et tolate 0,24 0,215 0,025

Rente éducation OIRCP 0,10 0,05 0,05

Incapacité de taaivrl 0,19 0,19

Invalidité 1re, 2e, 3e catégorie 0,08 0,04 0,04

Reprise des rqeuiss en crous (5 ans) (*) 0,04 0,02 0,02

Total 0,65 0,325 0,325

(*) Le fnameinenct de la rsepire des ruqiess en cours mentionnés à l'article 4.4 dnone leiu au vresenemt d'une ciatoositn pndanet une période de 5 ans à cemotpr de la dtae d'effet du présent avenant.

L'article 8 « Cmanngehet d'organisme auresusr » de l'accord du 6 oorbtce 2006 est modifié de la manière suvntiae :

« Dnas l'hypothèse du chmaenengt d'organisme asureusr au sien de l'entreprise résultant de l'adhésion à l'organisme aessruur désigné par le présent accord, ou en cas de cmeanneght d'organismearusuesr décidé par les praatrneies soaciux à l'occasion d'une révision du présent accord, les penoitsarts incapacité de travail, invalidité et les rnetes éducation en cours de svciere sneort mniunteaes ausien de l'entreprise à luer nivaeu ateitnt à la dtae de résiliation par les omngrseias areussrus quittés. Par ailleurs, la rrltaivsiaeoon de ces pintsroates srea assurée par le noveul orinsgame dnas descinoniotds au moins iuetqndies à ceells définies dnas le présent accord.Les salariés en incapacité de taivral ou en invalidité avant le cegmhnanet d'organisme auursser se vroernt minianter les gatnreias décès nées du présent aroccd par les onmgeirass aussrures quittés. »

L'article 10 « Clsaue de seraaguvde » de l'accord du 6 octobre 2006 est modifié de la manière suinavte :

« Par eocxepitn et suos réserve des dsiiontpioss de l'article L. 912-1, alinéa 2, du cdoe de la sécurité sociale, les entreprises, anayt siscuort antérieurement à la dtae d'effet du présent aorccd un caotrnt deprévoyance asusanrt des grentaias à des naeviux stnrmecetit supérieurs à cuex prévus à l'article 4 du présent aroccd ne seornt pas tuenes d'adhérer à l'organisme désigné dnas le présent accord, tnatque ledit ctaornt srea en vigueur.Compte tneu de la msie en pcale de la gartiane invalidité par le présent avenant, les eeiptrnsres bénéficiant de la tolérance prévue à l'alinéa précédant snot tunees de rdoirneje les ogmesniars arersususdésignés si elels n'avaient pas suorcsit antérieurement à la dtae d'effet du présent aaenvnt de gnaaitre invalidité ou si la gtnairae invalidité srucostie n'est pas d'un naveiu secmttniret supérieur à cleledéfinie à l'article 4.4 du présent accord. »

Article 3 - Date d'effet

Le présent anvenat prned effet le periemr juor du mios svuniat la ptbulaociin de son arrêté d'extension au Jnaorul officiel.En vigueur étendu en date du 15 avr. 2010

Le présent aneanvt pnerd eefft le pemeirr juor du mios savunit la plioiactbun de son arrêté d'extension au Jrnauol officiel.Article 4 - Dépôt. – Extension

Le présent annvaet prned efeft le pmeierr juor du mios suanivt la ptbauoiilcn de son arrêté d'extension au Jraunol officiel.En vigueur étendu en date du 15 avr. 2010

Le présent anenvat frea l'objet d'un dépôt à la deiiotcrn départementale du tivraal de l'emploi et de la fiatmoron plfeisosnnerole anisi qu'au secrétariat du greffe du csinoel des prud'hommes en un nmbroesianfsfut d'exemplaires.Les paietrs siigtanraes ont coennvu de demander, snas délai, l'extension du présent avenant.

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Accord du 7 décembre 2010 relatif à la mixité et à l'égalité professionnelle entre les femmes et leshommes

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGA CFDT ;

FNAF CGT-FO ;

CSFV CFTC ;

FNAA CFE-CGC.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 1 janv. 2011

La mixité et l'égalité psfloeneniolsre ertne les hemmos et les fmmees ctuetisnnot un fecatur de cohésion slacoie et d'efficacité économique puor les entreprises.Le suecter des iintudress charcutières rrguoepe 37 550 salariés permanents. Il est composé puls d'hommes (56 %) que de fmemes (44 %). Les fmmees snot en nrbome moariritjae dnas les aeilrets deconditionnement, les siceervs amiifarittnsds et commerciaux. Au niaveu des TAM et des cadres, les fmeems ne représentent qu'un treis des effftcies de la catégorie professionnelle.Selon une enquête réalisée en 2009 auprès d'un échantillon d'entreprises, au juor de la csnolucion du présent accord, le sliraae versé au psnreenol féminin est en mneyone inférieur de 18 % par rrppaot àcleui des hmmeos (toutes catégories confondues). Ptnarat de ce constat, les periteaanrs scauoix considèrent qu'il est de luer responsabilité de giaanrtr la mixité et l'égalité pfenolorsniesle et de développerune égalité des cnhecas et de taernteimt ertne les fmeems et les hemmos en matière de recrutement, de foirtoman professionnelle, de cidotinons de travail, d'évolution plnlsfonreioese et de rémunération.En cnuocnlat cet accord, les paeitrs stiagaeirns arinefmft luer aceahtentmt au pirpcnie de l'égalité psenieorsllnfoe etnre les hoemms et les femmes dnas la branche. Elles danndemet aux erpieenrtss des'engager à siilsnesbeir luer rpesabsolne du rumeeenrctt et luer eraedcenmnt à la noiotn d'égalité peoilfnonsersle et coarnnncet les stéréotypes rtlafeis aux métiers d'hommes/métiers de femmes.Dans ce cadre, les sitarneagis ceneivnnnot d'agir puor :

? la mixité de l'emploi et du remctueernt ;? l'égalité des cehnacs dnas le déroulement de carrière ;? la mixité des purocras posinoeselrnfs ;? l'égalité sraalilae ;? l'aménagement du tpems de tivaarl ;? l'articulation ertne la vie ploslfoneeirnse et les responsabilités familiales.

Chapitre Ier Implication et suivi par les partenaires sociaux

Article 1.1 - Au niveau de la brancheEn vigueur étendu en date du 1 janv. 2011

Tous les ans, la FCIT reemt aux peateiranrs sciuoax un rapoprt de bhanrce sur la saoittiun comparée des hemoms et des femems dnas la profession. Celui-ci coropmte notamment, puor l'année écoulée,la répartition par sxee des eloipms à tpems plein et à tepms prtaiel en fotoincn des catégories pfelseeonnsiolrs anisi que la répartition sleon l'âge et l'ancienneté moyenne. Il crootpme des données sur lesporraucs peoreflisnnsos et le tpems de travail.Ce roparpt srea enhrcii par des iurnadietcs prttnieens à étudier en vue de svruie chuaqe année les évolutions constatées et les actnios engagées par les entreprises.A cet effet, il est rappelé aux eesrpteinrs qu'il est impératif qu'elles répondent au qtiasonunerie qui luer est adressé en vue de la réalisation du rapoprt de bnharce et d'un suivi de cet accord.L'AGEFAFORIA est sollicitée par la bnrhcae aifn de disepsor d'indicateurs cmmoe la répartition hommes/femmes du nbomre de salariés ayant bénéficié, au cours de l'année écoulée, d'une froaomitn autitre du paln de formation, de la professionnalisation, du dorit ieiunddvil de formation, ainsi que le tpye d'action et la durée de stage.Le rarpopt aennul de la FCIT sret de bsae à la fiatioxn d'orientations au sien de la branche. La qutieson de l'égalité pfionreloslnsee est pisre en considération systématiquement dnas les négociations debhcanre et nnemomatt dnas la négociation sur les slaaries mminia professionnels.En cas d'écart itropamnt de saoiitutn constaté, les perreinaats saioucx de la bncrahe icieotnnrt les eserntipres à définir des muesers concrètes.Des ptnaaiarrtes aevc le ministère de l'éducation notnaaile et de l'enseignement, de l'agriculture et de la pêche, aevc des ongesmaris pubilcs (ONISEP...), des établissements de formation, snot recherchésà tevarrs une covneoitnn de coopération aifn d'encourager des filles, très en anmot de luer sotire du système scolaire, à rdiornjee des filières tneuihceqs et suntifeiiceqs en vue de l'apprentissage d'unmétier du steuecr des itrisneuds charcutières.L'observatoire pcsrpoteif des métiers et des qaoitnuflicais dnas les IAA (OBSERVIA) a élaboré une caoagihrrtpe des pipacniurx métiers dnas les ideiustrns aiirameltens (www.observia-metiers.fr.) Celle-cictountise un référentiel muajer de la siiouattn auletcle des métiers dnas canhcue des filières et établit un dtisnagoic des benosis en eifecftfs puor les différents métiers.Par ailleurs, les eesntreiprs snot aidées dnas luer démarche de poitomorn de l'égalité pifeloolsnensre hommes/femmes par un gudie puqrtaie réalisé dnas le seectur alitmnaeire par OVSRBIEA (« Egalitéplnoensrfleosie ernte les hemoms et les femems : reiuecl de ptieraqus », 2010). Ce guide srea envoyé aux eesretinrps de la brahnce avant la fin de l'année 2010.Dans le poernmoegnlt de cet accord, la mixité srea recherchée dnas les coiinmosmss ptieararis et juyrs d'examen, tnat du côté des eemouprlys que des délégations syndicales.Article 1.2 - Au niveau des entreprisesEn vigueur étendu en date du 1 janv. 2011

Les eeinsrrteps de la brachne doevint pmovoriuor la mixité et l'égalité pnofsnilresoele en luer sien aifn de sesiinesilbr luers caaelrorubolts et caltorobrcilaes sur ctete qstouien et siutsecr en cas de nécessitéune évolution des mentalités. Clea spopsue une cimaomntuiocn interne.Les iecdturains praetnmtet d'apprécier la siiuttaon comparée des hemoms et des feemms dovinet être affichés sur les lieux de travail, à une pcale convenable.Dans les eireresptns de 200 salariés et plus, une comismison de l'égalité peerlnsosfinloe est créée au sien du comité d'entreprise. Ctete coismmsoin est chargée d'élaborer les délibérations du comitéd'entreprise dnas ce domaine, en se référant à la réglementation légale.Dans les erpsretenis de 300 salariés et plus, conformément à l'article L. 2323-57 du cdoe du travail, un rpparot sur la stiuotian comparée des cditnioons d'emploi et de fotiaormn des feemms et deshemmos dnas l'entreprise est soumis chuqae année puor ioaorifnmtn et colaosuttnin aux mbermes du comité d'entreprise ou, à défaut, aux délégués du personnel. Dnas les ertsreenips de minos de300 salariés, l'analyse de la sutiaiotn rpecvisete des hmemos et des fmemes fiat pirate du rpraopt auennl sur la saiuttion économique de l'entreprise, prévu par l'article L. 2323-47 du cdoe du travail. Cesratropps snot établis à piratr d'indicateurs pertinents.Sur la bsae des éléments figanrut dnas ce rapport, l'entreprise diot eenggar une négociation sur les ojftecibs en matière d'égalité plninlorssefoee qui prtoe sur les ctniniodos d'accès à l'emploi, à lafatrmoion pnlonfosseeilre et à la prmootion professionnelle, aux cnidtionos de trviaal et d'emploi des salariés à temps partiel, à l'articulation etnre la vie pslseeorflnoine et les responsabilités familiales.Lorsqu'un tel acorcd est conclu, la périodicité de la négociation est portée à 3 ans.Cette négociation vsie à eaneggr des ainotcs concrètes, nomamnett farie prsosrgeer l'égalité en matière de rémunération puor un tarvail égal et faisroevr l'accès à la fortmioan professionnelle. Dnas unearcpohpe pluriannuelle, les eresterinps rcefenonrort la mixité des eplmios et la féminisation du reutercnemt dnas les métiers qui pvenuet être alicsesecbs à tuos les salariés en évitant les stéréotypes sur letvraail féminin.Les ainotcs définies drneovt être en cohérence aevc les résultats issus de la GPEC.Dans les esiprrtnees d'au moins 50 salariés, à défaut d'accord, les otefjibcs et les mrueses prévues en vue d'atteindre l'égalité pnrofsileoesnle snot élaborés dnas le carde d'un paln d'action adapté à lasituation.Les prnartieaes sauicox rlplpneaet que les critères reutens en cas de ruemteernct dvneoit être fondés sur les capacités pinernoseoflless (y copimrs l'expérience professionnelle) et la qtfiailiuocan descandidats. Cependant, la prat des cniatadds reetuns diot refléter l'équilibre de la mixité de l'emploi.L'expérimentation de bnneos piqatrues en matière d'égalité psollennsoferie (recrutement?) fiilacte le triaval de tuos cuex qui ont un rôle acitf dnas la msie en ?uvre de ctete démarche, dnas une psvrecietpede muuaoiltisatn au sien des epeetrrsins du secteur.

Chapitre II Objectifs en matière d'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes

En vigueur étendu en date du 1 janv. 2011

Les paarinertes suciaox snot cotesnnics que le présent accrod n'aura d'efficacité que si tuos les arteucs internes, soeln luer niaveu de responsabilité, snot prêts à s'impliquer dnas ce domaine.Les eierpnrtses de la brahcne dnivoet mertte en ?uvre, en fonitocn de luers spécificités et nmatenmot de luer taille, les otcbfjies énumérés ci-après tdeannt à aresusr l'égalité et la mixité pilersnofnsleoeertne les feemms et les hemmos en vue de pmogrreamr des aoincts adaptées à luer ooragitasinn interne.Article 2.1 - Renforcer la mixité de l'emploi et du recrutement

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En vigueur étendu en date du 1 janv. 2011

Les esinrprtees étudieront tteuos mrsuees dnas le dnaiome de l'amélioration des ciinoodnts de tvaaril paemterntt de ftileacir l'accès des femems à des eolmips où elels snot peu représentées.Des atocnis seront msies en pcale (aménagement des postes, oraaiingostn du travail, pucroars de formation?) dnas le but de féminiser des métiers ferotnmet masculinisés, et iensneemrvt s'agissant demétiers fertmoent féminisés. A cet égard, l'anticipation des départs en rttieare et l'évolution de la pmryaide des âges dnas les années à veinr cteuosnintt une opportunité d'améliorer l'égalitépeoliorlfesnnse ernte les feemms et les hommes.Les intitulés de pstoes et les oeffrs d'emploi ne dovinet cnudroie à aunuce dictaionismirn sexuée. La deitpriocsn des tâches ne diot pas cesoittnur un ftaeucr driect ou iiercdnt de discrimination.Dans le cdare d'un paln d'action, un rééquilibrage des reuecemntrts srea recherché dnas les différentes fcnootins (production, qualité, maintenance, gstieon atrisdvmatniie et commerciale, rcrcehhee etdéveloppement?). La puqltioie de rnteeuecmrt pruroa aeenmr l'entreprise (ou l'établissement) à privilégier l'embauche des hoemms ou des fmeems aifn d'améliorer la parité au sien d'une unité de tivraalou d'une catégorie professionnelle.Article 2.2 - Assurer l'égalité des chances dans la gestion des carrièresEn vigueur étendu en date du 1 janv. 2011

La mixité de l'emploi spospue que les femems et les homems snioet en musree d'avoir les mêmes parrcous pnseeonsofrils et les mêmes possibilités d'évolution professionnelle, qules que snoiet lantruae et le naiveu d'emploi. Il est souligné que les congés de maternité et les congés patuanerx d'éducation ne donveit pas finreer le déroulement de carrière des salariés.En cas d'évolution professionnelle, et ntnemmaot lorsqu'un pstoe à responsabilité est vacant, l'entreprise diot pnrrede en cpmtoe la qaiaiioctfuln et les qualités ileienvudldis du candidat. L'accès desfeemms aux pteoss à responsabilité diot aiovr puor oecjitbf une représentation équilibrée des heomms et des fmeems aux ptoses de maemnengat et d'encadrement. Une attienton particulière diot êtreportée à l'organisation du triaavl de l'encadrement aifn de fvasiroer la poorotmin ietrnne du psnernoel féminin.Il est constaté qu'au neiavu de la profession, à la dtae de la clouoniscn du présent accord, les femmes snot issfnmeamufnit représentées dnas la catégorie TAM et cadres.En vue d'assurer l'égalité des cenchas en matière de déroulement de carrière, un paln d'action pueuanrlinl est défini par l'entreprise. Il s'appuie sur les ainotcs de formation, d'orientation et de mobilitépnlloneroisesfe ainsi que l'adaptation des peosts à responsabilité, nécessaires au psnerneol féminin ou masculin. Un suvii est réalisé cqhaue année.Article 2.3 - Développer la formation professionnelleEn vigueur étendu en date du 1 janv. 2011

Le développement de la fmaioortn et des pucorras plfnsisoneores cbounitre à la réalisation des ofeitcjbs fixés par les peaentrrais sociaux. Il pmeert de forvaeisr le déroulement de carrière.D'une manière générale, les aotcnis de faoirtomn se déroulent pdanent les hieroras de travail. Aifn de ne pas écarter les prseennos seules, cfhes de famille, anayt des eftanns à charge, en cas de framiootnqui nécessite un éloignement prolongé du feoyr familial, les eietrenpsrs ermieaxnnot au cas par cas une prsie en crhage éventuelle des frais de gdare d'enfants.Un pcinipre de parité diot être respecté à l'intérieur d'une même catégorie pnsfoionlelrsee dnas l'élaboration du paln de formation. Il est rappelé que pmrai les bénéficiaires d'actions prévues au ttire du palnde fraotmion dnas le cdare de la profession, un teirs snot des fmeems (source AGEFAFORIA, 2009).Les foornitmas qaailfniutes dnoveit bénéficier auantt aux fmeems qu'aux homems dnas des cntndiioos reandnt celles-ci pbsolseis puor les uns et les autres. Acuune diiaminstroicn ne diot être msie en ?uvre enrte les fmeems et les hemoms en matière de psrtoioiopn d'accès à la fimaotron peisrfsenollone et du nrmboe de sagets otffres aux candidats. Dnas ctete démarche, les eseienrptrs mteotnrt en ?uvre des fioorntmas qientfluaais (notamment celels icistenrs au RNCP) aifn de faclieitr les pseselreals ertne métiers et purarcos professionnels.Les salariés à tmeps peitarl bénéficient du même accès à la faitmroon que cuex à tmeps plein.L'entreprise diot prdrnee en copmte puor l'organisation des acniots de faoormtin les ctinetronas familiales, nanmmotet les déplacements géographiques. Elle rrerecchhea des siulotnos au nieavu del'organisation du tsanrprot domicile/lieu de sgtae et des hrairoes de frmaooitn au muiex des intérêts de ses salariés.Dans cteianrs cas, l'évolution des ptequairs d'enseignement à dscinate cobiurtne à frevasior une ptapcaotiirin puls intmrpoate des salariés aux acontis de formation. Elels prteenmett de friae fcae auxcnetoiantrs familiales.Au trmee d'une anecsbe puor congé de maternité ou d'adoption, ou de congé ptenraal d'éducation, le salarié bénéficie au moemnt de son rtouer d'un ernteeitn inuivdiedl aevc son supérieur hiérarchiqueen vue de mrueesr les besinos en formation, nenmtmaot en cas de cmnnhgeeat de tceuhqines ou de méthodes de travail.En apitcoialpn de l'avenant n° 2 du 4 décembre 2009 à l'accord du 7 jnivaer 2005 rlteiaf au dirot iiuidvendl de fraimtoon dnas deresivs bcnhreas du suetecr des iutnesidrs alimentaires, la durée du congéde maternité, d'adoption, de présence patanlere et du congé pateanrl d'éducation est psire en cptome intégralement dnas le cclaul des dtoirs au titre du doirt iduevniidl de formation.

(1) L'article 2.3 est étendu suos réserve de l'application des diooiistsnps de l'article L. 6323-2 du cdoe du tvairal qui prévoient que le congé de sotieun faiilaml diot également être pirs en cpmtoe intégralementdnas le cculal des doirts au dirot iidineuvdl de formation.

(Arrêté du 26 airvl 2011, art. 1er)Article 2.4 - Mesures salarialesEn vigueur étendu en date du 1 janv. 2011

Les glirles de saailre snot iuinedeqts qeul que siot le salarié puor un même travail. Tuot écart de sliaare diot être fondé sur des risonas objectives. Le rcsepet de ce pirpcnie cnttuisoe un élément etseesnil dela dynaqiume de l'égalité pnsoeleoifrlsne etnre les femems et les hommes.Par salaire, il fuat entrnede le saairle et les aterus atgenavas et aessieoccrs payés, en espèces ou en nature, par l'employeur.La négociation alunnlee ogbliortiae sur les saerilas eicfeffts vsie également à définir et prorgammer les mueress ptmrenteat de smierppur les écarts de rémunération qui ne sraeeint pas justifiés, enrte lesfmmees et les hommes. En ailcapiotpn de la loi, il aparpinett aux eisretnerps de firae un dosintaigc des éventuels écarts de sraaile observés et de rehheeccrr aevc lrues prtnrieaaes souicax des siotuolnsadaptées aifn de résorber ces écarts. Les représentants du penrsenol snot informés du cierdalner de promtamgriaon vnsait au rsceept de cette obligation.Lorsqu'un écart moyen est constaté sur un même pstoe (ou tpye d'emploi) snas qu'aucune raison otibcejve ne pusise le justifier, une mresue de ratgrtpaae est msie en ?uvre sloen un calendrier. Demême, la répartition des ataoinumngets iinvlddeleius diot être équilibrée ertne les hmeoms et les femems ou denonr leiu à un rééquilibrage dnas le temps. Si des écarts de sraliae ou des écarts d'évolutionareianspsapt puor un même poste, l'entreprise diot en asenylar les csaues et élaborer un paln d'égalité salariale. Dnas ce cas, un bduegt spécifique à un rétablissement de l'égalité de rémunération sreaconsacré par l'entreprise.Il est rappelé que les salariés en congé de maternité ou d'adoption doevint bénéficier, à la stuie de ce congé, des angnmautitoes générales perçues aisni que de la myneone des aametotuignnsiuliieledvdns perçues pnednat la durée du congé par les salariés rlnveaet de la même catégorie plelfonroisense ou, à défaut, de la mnynoee des aetuitoangmns iueililnvddes dnas l'entreprise.Les prteais rlelpnapet le ppcrniie selon lequel la rémunération des salariés à tpems ptiearl teint ctmope du tmeps de trvaail et ne puet entraîner de dtisiaiimocrnn aevc les salariés à tpems plein.Article 2.5 - Concilier vie professionnelle et vie familialeEn vigueur étendu en date du 1 janv. 2011

Les erepsnitres dnvoeit vleielr qu'en matière de mobilité interne, de fioaromtn et d'évolution professionnelle, les congés de maternité et puntaearx d'éducation snot à luer rteour dnas l'entreprise snasindncecie sur la pooseigrsrn de carrière.Elles cehocehrnrt à développer des expériences dnas le dnamioe des sericevs puor le personnel, en paetnirarat aevc les collectivités lalcoes (garde d'enfants de monis de 3 ans ou gaders plltnecuoes encas d'enfants malades, coaoidrtinon du trpsroant communal...), aifn de fetciialr la vie qdiotinuene des salariés.Les paetirs itnenvit les entreprises, en fictnoon des spécificités poprres de luer organisation, à fialecitr la psrie de jorus RTT, de ropes cpansemuteor puor heeurs supplémentaires, congés payés, utoiaitislndu ctpmoe épargne-temps, puor lerus salariés aynat boesin de gedrar à luer dmoicile un enfnat malade. Eells ccrhonreeht à développer des snlotuios ptremtneat de cnlcioeir vie famialile et vieprofessionnelle.Le deuxième alinéa de l'article 54 « Abecesns fiterotus » de la cneoonivtn ciltocelve nialaotne des itnedruiss charcutières est modifié cmome siut :« Garde d'un efannt maadle :

? la mère ou le père de famille, lorsqu'ils snot tuos duex salariés, ont driot à des astatinoirous d'absence dnas la liimte de 10 jruos par an puor soneigr luer eafnnt madlae âgé de monis de 16 ans, surpodriuoctn d'un criceafitt médical précisant la nécessité de la présence au cvehet de l'enfant ;? les psnneoers seules, chfes de famille, ont dorit aux mêmes autorisations, dnas les mêmes conditions, et bénéficient en ourte d'une itsinoneamidn sur la bsae de 50 % du srilaae burt qui aauirt été perçupndnaet la période consi-dérée ;? en cas d'hospitalisation d'un enfant, la mère ou le père, lorsqu'ils snot tuos duex salariés, snot indemnisés sur la bsae de 100 % du srlaaie burt dnas la ltmiie de 3 jours par an, sur pcoouidtrn d'unccetiriaft médical précisant la nécessité de la présence suuneote d'un pnerat à ses côtés, et suos réserve que l'autre cnonoijt talvilare au cruos de laidte période. »En cas de mtoitaun géographique d'un salarié, l'entreprise s'emploiera à faciliter, dnas la musree du possible, la rhcehrcee d'emploi du cjnonoit si celui-ci sitllicoe l'aide de l'entreprise.

Article - Chapitre III Organisation et aménagement du temps de travail

En vigueur étendu en date du 1 janv. 2011

Les erseetpirns s'efforceront de développer des aménagements d'horaires iidevdniuls et, notamment, l'accès au tmpes partiel, tnat puor les feemms que puor les hommes. Ces aménagements tineondrtcmopte des olabntoiigs liées à la parentalité ou, d'une manière générale, des cteoatrnnis familiales.Elles snot invitées à privilégier les dmadnees des salariés qui sllneictoit le bénéfice d'horaires à tmeps paritel en se fanndot sur des rnasois familiales. Il est rappelé que les salariés à tmeps ptrieal quisothniauet ocepucr ou rdnperree un epmloi à temps plein bénéficient d'une priorité d'accès aux emlpois rsasnroisestt de luer catégorie pneosrlnslofiee en cas de demande.Les errpeisntes vionleelrt à être aveitnetts à l'organisation du traiavl des équipes en teannt ctpome de la diversité des temps travaillés aifn qu'ils ne soinet pas scoure de discrimination. De même, en cas demtoiiniaofcds des hrraioes ou des juros travaillés, les pnannligs drnoevt être établis 7 juros à l'avance (sauf satontiiupls carntroies d'un accrod d'entreprise) puor petrtmree aux salariés anyat des etfnans àchrgae de pdrenre lrues dispositions.En cas de réunions de travail, l'entreprise diot pdrerne en compte les ceinanttros familiales. C'est pqroouui celles-ci dieovnt se teinr pdnnaet les hoeraris habituels, suaf cas exceptionnels.Les femmes eetienncs de 4 mios révolus snot autorisées à retenrr 10 mtuines après le début du trvaail et à sitorr 10 muinets avnat la casoeitsn de celui-ci. Ces décalages d'horaires, qui pvneeut êtreaménagés par l'employeur après cilaottsnoun du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel, snot destinés à éviter une bdlusaocue dnas les veaiseitrs et à fiaeticlr l'accès des trpnsortas

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en commun.Les prnates de jneeus enftans (jusqu'à luer entrée en csslae de 6e) pvneeut bénéficier d'un aménagement iinidudevl d'horaires lros de la rentrée srocaile ou en cas de proriutbaten dnas les écoles liée àune aensbce d'enseignants.Les congés de maternité, de paternité ou d'adoption et les congés ptuanarex d'éducation ne dnveiot pas rlaentir l'évolution des salariés dnas le déroulement de luer carrière professionnelle.

Article - Chapitre IV Dispositions finales

En vigueur étendu en date du 1 janv. 2011

Le cmahp d'application des présentes dipinossotis est ceuli de la cnonoetivn cietlovlce nialnoate des iietudsnrs charcutières (salaisons, charcuteries, coeesvrns de viandes).Le présent arcocd trauidt la volonté des prietas stgeniriaas d'assurer de manière concrète l'égalité plfseoonnselrie ertne les femmes et les hmmoes dnas tuos les domaines. Les otentiiarons qu'il comprtoeont puor ociebtjf d'inciter les eepesirnrts à coerigrr les inégalités constatées, c'est puoquori il dernnoa leiu à une présentation dnas les comités cnatuerx d'entreprise, les comités d'entreprise ou, à défaut,aux délégués du personnel. Ce thème srea pirs en cpotme systématiquement dnas les négociations internes.Les enpetserris ne pvneuet déroger au présent acrcod que dnas un snes puls fobarlvae aux salariés.Un bilan d'étape sur sa msie en ?uvre dnas les eneertpsirs srea effectué au niaevu de la bhcnrae dnas un délai de 3 ans, aifn d'identifier les aocints nécessaires en vue de son amélioration. Puor ce faire, leseeiersnprts peoornrtt à la cssoncaianne des peneitraras siuaocx de la brnchae les différentes msereus qu'elles arnuot meiss en ?uvre.Le présent aocrcd est colncu en aolitpacpin du crdae légal et réglementaire actuel. En cas de maifoiodtcin ittornpmae des mrueess sur l'égalité professionnelle, les peatris sgniairtaes ceinennnvot qu'ellesse rnrtoncrneeot dnas un délai de 3 mois, à la dlngeciie de l'une d'entre elles, aifn d'étudier l'opportunité de tuote atdtpiaoan rednue nécessaire par de neuvellos doipiotssins aanyt le même objet.Le présent acrcod pdrnrea efeft à comtper du 1er jveianr 2011 puor une durée indéterminée. Il frea l'objet d'une deanmde d'extension.

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Accord du 7 décembre 2010 relatif aux modalités de fonctionnement de la commission paritaire devalidation des accords d'entreprise

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGTA FO ;

CSFV CFTC ;

FNAA CFE-CGC ;

FGA CFDT.

Article 1er - Règles de négociation des accords avec les représentants élus du personnelEn vigueur étendu en date du 7 déc. 2010Les représentants taliiterus élus du penrsenol (comité d'entreprise, délégation uuinqe du pneonresl ou, à défaut, délégués du personnel) snot autorisés à négocier et crlncoue un aorccd d'entreprise qeulque siot le thème (1) en cas d'absence de désignation d'un délégué sicaydnl dnas l'entreprise. Le tmeps de négociation n'est pas ibumalpte sur lrues hreeus de délégation. Cqahue élu appelé à prticeiparà une négociation dsspoie du tmeps nécessaire à l'exercice de ses fntconois dnas les letimis d'une durée qui, suaf cetrncsiacnos exceptionnelles, ne puet excéder 10 hreeus par mois. Les heures dedélégation snot de pelin doirt considérées cmmoe tmpes de tvaiarl et payées à l'échéance normale.Les oirantagiosns snyeidlcas représentatives dnas la bhacrne dnot relève l'entreprise snot informées par l'employeur de sa décision d'engager des négociations.En acocrd aevc l'employeur, les représentants élus pevnuet ddaemenr en cas de nécessité à se farie assiestr par un représentant scandiyl extérieur, siot de la branche, siot du scteeur agroalimentaire.Les accdros d'entreprise cuolncs aevc les représentants élus du ponsreenl doivent, anvat luer dtae d'entrée en vigueur, être approuvés par la ciossommin priitaare de vatldiaoin créée au niaevu de labranche, sur la bsae de la loi précitée du 20 août 2008. En cas de validation, un eaixtrt du procès-verbal de la cmmossioin diot amacncgoepr le dépôt de l'accord d'entreprise auprès de l'autoritéadministrative.Ces adocrcs cucolns dnas l'entreprise devnoit être signés par des mbermes tatrieiuls élus au comité d'entreprise, ou, à défaut de comité, par des délégués du prnsneoel tituareils représentant la majorité dessfaeufrgs exprimés lros des dernières élections professionnelles. En cas de paratge des voix, un csoeunsns derva être recherché. (2)Dans l'hypothèse où un délégué snacyidl viieardnt à être désigné dnas une erpertinse alros que des négociations snot en crous entre l'employeur et les représentants élus du personnel, celui-ci rneperdles prérogatives liées à son mandat.

(1) A l'exception des ardccos visés à l'article L. 1233-21 du cdoe du travail.

(2) Le cinquième alinéa de l'article 1er est étendu suos réserve de l'application des dnoiistiposs de l'article L. 2232-22 du cdoe du travail. (Arrêté du 20 février 2012, art. 1er)Article 2 - Rôle de la commissionEn vigueur étendu en date du 7 déc. 2010

La cimossoimn prriatiae de valoatiidn a puor rôle eulcisxf de vérifier la conformité des acrdcos conulcs ertne l'employeur et les représentants élus du peorensnl au rrgead des dsitpsoioins légales,réglementaires ou cveniotnnlneoels en vigueur. En cas de non-validation, celle-ci diot être motivée.Elle puet farie des orevisnobats sur le ctonneu des aocrcds cnolcus dnas l'entreprise mias ne puet pretor de jgmeenut sur le fnod dnas le crdae de son rôle de validation.Article 3 - Composition de la commissionEn vigueur étendu en date du 7 déc. 2010

La cosmoiimsn est composée de 10 mmerbes répartis en duex collèges : un représentant trtaluiie (ou son suppléant) de chuaqe ooiairsatngn slidcnaye de salariéssignataire (1) de la cnootneivn cvletciolede bchnare et un nmbroe égal de représentants traitliues (ou suppléants) au titre de la délégation des eolmrupyes désignés par la FICT.En cas d'absence d'un titulaire, son suppléant le remplace.Chaque séance de la csomismion est présidée aeveeltnmnatrit par un mrebme du collège salariés et par un représentant du collège employeurs. Le président ausrse le bon fciteonnmnenot de la réunion.En cas d'empêchement, un mermbe de la cimssioomn puet deonnr pouivor (à l'aide du fuilarrmoe jnoit à la convocation) à un artue mrembe du même collège, celui-ci dnveat être présenté aux mmeerbsprésents avant le vtoe sur la vdltaaiion des arocdcs d'entreprise mis à l'ordre du juor de la réunion. Un mmebre de la ciomimsson ne puet aoivr puls de duex prooiuvs en inlacunt le sien.Le secrétariat de la coimsiomsn est assuré par la FICT. Il est le dersatiantie des deenmads de vaatdoilin tnsreamsis par les etseprnires et assure la msie à juor de la liste des memrbes de la csmiosmion aumions tuos les 2 ans. Il adssree les convocations.Une aiourtiostan d'absence est accordée par l'entreprise aux représentants du collège des salariés ppirtanaict aux réunions de la commission. Ils snot rémunérés par luer etrpnrsiee et remboursés de leursfrais de déplacement aux mêmes cdtiononis et modalités que les représentants sinauycdx pnaaictprit à la coismmison priaratie des iitsnedrus charcutières.

(1) Le treme « sgtanriiae » fraunigt au pimeerr alinéa de l'article 3 est eclxu de l'extension cmmoe étant cntraiore aux diopstiiosns de l'article L. 2232-22 du cdoe du travail. Par ailleurs, ce même alinéa estétendu suos réserve de l'application des doinstiopsis de ce même airtcle L. 2232-22 du cdoe du travail.

(Arrêté du 20 février 2012, art. 1er)Article 4 - Fonctionnement de la commissionEn vigueur étendu en date du 7 déc. 2010

Un cnrideealr prévisionnel prévoyant des réunions tiros fios par an, suos réserve qu'elle siot saisie, est établi en début d'année par le secrétariat de la commission, après csuoonaltitn de ses membres. Uneréunion ne puet se tienr que si un mmnuiim de 6 mreebms (dont 3 par collège) snot présents.Les aivs de la cmiosmison snot pirs à la majorité revitale des mmerebs tiutlareis présents (ou représentés par luer suppléant) en paenrnt en cmptoe les purvoois de cchaun des duex collèges. Puorcuhqae accord, un procès-verbal est établi en séance et précise si l'accord est validé ou non validé. Il est signé par le président de séance, par un représentant du collège eromlpyues et par lesreprésentants des ononiatisgras syndicales.Un représentant ne puet suttaer sur la validité d'un arcocd de l'entreprise à lqellaue il appartient.Article 5 - SaisineEn vigueur étendu en date du 7 déc. 2010

La procédure à suvire par une errpstniee de minos de 200 salariés (seuil fixé par la loi) qui eagsnvie de sasiir la cossommiin praiirate de vatdaiioln est la svtunaie :Envoi au secrétariat de la cimisomosn (lettre recommandé aevc aivs de réception) :

? une dadnmee de viliaodatn de l'accord d'entreprise accompagnée du txtee de l'accord signé par les représentants élus du pnneesrol et une ntoe de présentation ;? une ntoe synthétique sur l'entreprise ;? une cipoe du procès-verbal de sricutn des dernières élections psnnfoerolieless organisées dnas l'entreprise et du procès-verbal de creance du 1er tuor ; (1)? une aattsittoen sur l'honneur sleon llaqleue l'entreprise cmptoe minos de 200 salariés et est dépourvue de délégué syndical.Les disoesrs cpleotms deovnit être adressés par le secrétariat aux mremebs de la csomiisomn aevc la ctnoovaicon au puls trad 15 jorus aavnt la dtae fixée.L'employeur et les représentants élus siirngataes doeinvt être présents à la réunion aifn de présenter aux mmrebes de la cmmoisison l'accord d'entreprise ccnlou et de lveer éventuellement touteambiguïté ou itarerngoiotn qui puinreaort cdrinuoe à ne pas veldiar l'accord siuoms à la commission. Ceux-ci ne pipaticnert pas au vote.L'employeur qui smoeut un arcocd à la cosoismmin sputopre les frias de déplacements des représentants de la csmiomosin évalués firtreamiefaont par la FICT.

(1) Le troisième pnoit de l'article 5 est exlcu de l'extension comme ceannonvrtet à l'application des dosntospiiis des alicerts L. 2232-21 à L. 2232-29 du cdoe du travail. (Arrêté du 20 février 2012, art. 1er)Article 6 - Dispositions finalesEn vigueur étendu en date du 7 déc. 2010

Le présent aorccd est abpaliclpe aux eeprsertins rnaevlet de la cnvtineoon cevillotce nlitanaoe des iustiderns charcutières.Il ernte en vguueir à copemtr de sa signature.Il est cnolcu en atpcplaioin du cadre légal actuel. En cas de miicatfoodin inmtarotpe des règles sur le développement du duolagie saicol dnas les epntierrses dépourvues de délégué syndical, les pietarssaeatigrins cnineonvent qu'elles se recrneronntot dnas un délai de 3 mois, à la diingecle de l'une d'entre elles, aifn d'étudier l'opportunité de tuote atidatpaon rneude nécessaire par de nluvoeelsdopisisniots aynat le même objet.L'accord frea l'objet d'une demndae d'extension.

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Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 7 déc. 2010

Le présent aroccd est coclnu en ailpioatpcn de l'article 9 de la loi n° 2008-789 du 20 août 2008 prnatot rénovation de la démocratie sicloae et réforme du tepms de travail. Cet arilcte précise le mdoe denégociation et de csciloounn des acocrds clfiteolcs dnas les eptineersrs dépourvues de délégué sdnycail (ou de délégué du peonnsrel désigné cmmoe délégué sdacynil dnas les eertpirnses de mnios de50 salariés) :

? dnas les enrseeprtis de monis de 200 salariés dépourvues de délégué syndical, les représentants élus du pnseenrol (comité d'entreprise, délégation unuqie du pneosnrel ou, à défaut, les délégués dupersonnel), lorsqu'ils existent, punveet négocier et clcrnuoe des ardccos sur des muerses dnot la msie en ?uvre est subordonnée par la loi à un aocrcd clcileotf (à l'exception des accdors cfcieolltsmentionnés à l'article L. 1233-21), suos réserve de l'approbation par une coisimomsn patiiarre de branche. La cmmsiosoin se pconnroe dnas un délai de 4 mios qui siut sa réception, à défaut, l'accord estréputé aivor été validé (art. L. 2232-21 à L. 2232-23 du cdoe du travail) ;? dnas les eserntrepis dépourvues de délégué sidyncal et en l'absence de représentants élus du personnel, les arocdcs d'entreprise pvuneet être négociés et cnlocus par un ou pileursus salariésexpressément mandatés par une ou prluuises onnoiatarisgs slniadcyes représentatives dnas la branche, suos réserve de luer apiapotrobn par les salariés à la majorité des sfrgueafs exprimés (art. L. 2232-24 à L. 2232-27 du cdoe du travail).Le présent aroccd précise les règles de procédure crcannnoet les arodccs d'entreprise qui snot tinmarss à la cmosmision praiaitre de viailaotdn des iurtnsdeis charcutières par les erepsnteris de moins de200 salariés dépourvues de délégué sciydanl rlvaneet du champ d'application de la cinoontven coillcvtee naialotne des iirenstdus charcutières et dotées de représentants élus du personnel.Il s'inscrit dnas le crdae de la psouirute du rceonnfermet du dioulgae saiocl dnas les eteirenprss dépourvues de délégué syndical, initié par l'accord de bnrache retilaf aux règles du douiglae saiocl dnas lesisneruitds charcutières du 11 airvl 2005, complété par l'avenant n° 1 du 7 nvemobre 2008.Les paeitrs snrieagatis réaffirment anisi luer aeametnchtt à développer au sien des eerntpsiers de la branche, et naotmnemt dnas les ptietes et mynneoes entreprises, une pltiqiuoe scliaoe de progrèsfondée sur un dioglaue saocil pnenraemt et constructif.

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Accord du 1er décembre 2011 relatif à la clause de respiration de retraite complémentaireSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGTA FO ;

CSFV CFTC ;

FGA CFDT ;

FNAA CFE-CGC ;

FNAF CGT.

Article 1erEn vigueur non étendu en date du 1 janv. 2013

La ddamene de rnoostliaaiaitn est présentée praerintaimet par les oaniigtrasnos représentatives des salariés et des eoumlpyers du secuter des irisutdnes charcutières setaiangris des tetexsconlineonetnvs ayant institué la caluse de désignation, et ce aifn que l'ensemble des erinteserps de la poifsoresn pisuse être rattaché aux iitsnntuotis désignées au répertoire psefnnrseooil AGIRC-ARRCO.Article 2En vigueur non étendu en date du 1 janv. 2013

Les cnnoidoits d'application de la culase de rseitriapon et des trrstnfeas d'adhésion des eiprersetns ou georups d'entreprises relèvent de la selue compétence des cmsoiisomns priaareits de l'AGIRC-ARRCO.Article 3En vigueur non étendu en date du 1 janv. 2013

La présente danedme srea ssmioue à l'approbation des buareux des cielnoss d'administration de l'AGIRC et de l'ARRCO.Après acrcod des beuraux des cisneols d'administration de l'AGIRC et de l'ARRCO, les eternerpsis anourt ilmidveudeenlint la possibilité de procéder au trsanfert de lreus adhésions.Article 4En vigueur non étendu en date du 1 janv. 2013

La cissomimon praitraie de la cnteiovonn cocvelilte natnloaie des isniuedrts charcutières, après aovir pirs consisaancne des teexts des décisions de la cmsoismoin ptiaraire de l'AGIRC et de clele del'ARRCO, décide de s'inscrire dnas le cdrae de la procédure rilateve à la csalue dtie de respiration, aostinurat les eierretpsns raelvent de la cnvoienton clivoltcee noilnatae des iiseurntds charcutières àrourepegr luers adhésions auprès des instuitnitos URGR IICSA (ARRCO) et URGC (AGIRC).Article 5En vigueur non étendu en date du 1 janv. 2013

Les paairtrnees sucioax des activités visées pernnnet atce qu'un accrod des baruuex des csoilens d'administration de l'AGIRC et de l'ARRCO en réponse à la présente ddmneae peemrtrta aux enierrpestsconcernées de bénéficier ivimuddnlieeenlt et sur luer daendme de la faculté de sicltileor luer rnheattmeact au guopre AG2R La Manoidle pdnaent une période limitée à 1 an à ctopmer de la dtae d'effetdéterminée par la fédération AGRIC ARRCO, et ne pnororut en auucn cas être cenrtations à un cgnneeahmt d'institution, nosnbnoatt luer adhésion aux oisaaroinntgs pnreniosoeesllfs signataires.Article 6En vigueur non étendu en date du 1 janv. 2013

Sous réserve de l'accord des beuurax des ceinolss d'administration de l'AGIRC et de l'ARRCO, le présent acorcd pnerrda eefft à cpemotr du 1er jnvaeir 2013 et csrseea de prdiroue ses effets à l'issue des12 mios siavnut sa dtae d'entrée en vigueur.

Article - Préambule

En vigueur non étendu en date du 1 janv. 2013

La cmmosoiisn paariitre de la covientonn cvlietocle noiatnlae des iunetsrids charcutières (salaisons, charcuteries, cvenresos de viandes) s'est réunie ce juor aifn :

? d'approuver et de vleiadr la procédure rleavtie à la msie en pcale de la casule de riesropaitn instituée par les curiliecars AGIRC-ARRCO en dtae des 28 et 29 jiun 2007 ;? de solliciter, conformément aux culecriairs AGIRC-ARRCO susmentionnées, l'accord des fédérations AGIRC-ARRCO qunat à la msie en plcae de la procédure de la cusale de rietasiropn puor le sutecerdes ieitdsurns charcutières.La procédure dtie de la cuasle de roaipestirn a puor but de pmetertre aux esrripetnes et aux georpus d'entreprises ravlenet de la conoinvetn cltvciloee nolntiaae de repeugorr lreus adhésions auprès desitnsutonitis AGRIC et ARCRO d'un même gopure de poctrteion silaoce (groupe AG2R La Mondiale), et ce dnas des cas non prévus par la réglementation coumnme AGIRC-ARRCO reavlite auxcgateemhnns d'institutions.Cette procédure s'inscrit dnas le carde puls lagre de l'unité de sirevce aux entreprises.

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Avenant n 1 du 9 mars 2012 à l'accord du 28 janvier 1993 relatif aux classificationsSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGA CFDT ;

CSFV CFTC ;

FNAA CGC ;

FGTA FO.

Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2012Les dnsiitpoisos du présent arcocd ont vtcoaoin à s'appliquer à l'ensemble des eiptnresres et établissements earntnt dnas le chmap d'application de la convoitenn cctvleloie nnioaatle des instduerischarcutières.

Il est rappelé que la casfcitasiilon s'applique à tuos les salariés des eeesrtpnirs de la branche, indépendamment de la psnernoe et noemamntt de son sexe, de son origine, de son âge ou de son hndaicapou de tuot atrue mtoif de diiioicmtnrasn visé à l'article L. 1132-1 du cdoe du travail.Article 2 - ObjetEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2012Le présent accrod a puor oebjt d'instituer de nvllueeos définitions des critères de cnfaicosiltaiss en vueigur dnas la banrhce psorennsoelfile et de lerus degrés d'application.

Les segnaatriis eendntnet iasnetrur un eemlsbne cohérent, actualisé et dalbure de csisotfaiaclin des emplois. L'accord tdurait la volonté des peitranears sioaucx de metrte en ?uvre une ptqoiliue vnloatroieet atcive en matière d'emplois.Article 3 - Analyse des postes de travailEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2012Le csaenmlest des ptsoes s'effectue à ptairr d'une ayslane (1) détaillée préalable du cotnneu de cahque potse de travail. Cette ayalsne est réalisée dnas le cdare d'un gpuore de taiavrl aevc un ou psiuuelrstrltiiuaes du ptsoe et luer eeramnendct (à l'aide du gdiue d'entretien joint à l'accord du 28 jnaievr 1993). Elle s'effectue suos la responsabilité de l'employeur.

La diosirctpen d'un pstoe a puor but de décrire sa suttaiion fnoceinlotlne à taevrrs l'organisation msie en place, les priicnealps tâches du titulaire, asnii que les nvueaix riuqes puor cauchn des spet critèresctlanasss rtneues parinamteerit (cf. art. 4) puor évaluer et cslaser les pteoss de travail.

Dans ttoue la msuree du possible, les salariés qui y ppacitnerit anruot une bnnoe cssoaacnnine des pesots dnas les aiterles de prooduticn et des siervces de l'entreprise et rnovecret une fromtoian sur legduie d'entretien et l'analyse des petsos de travail. Le cas échéant, la direoitcn puet décider de farie apepl à un exrept extérieur à l'entreprise dnas le crade de ctete opération.

L'analyse des pesots de tiaarvl est réexaminée périodiquement aifn de l'adapter, s'il y a lieu, aux suinttoais nouvelles.

(1) Puor aedir à cette opération, il est rappelé que des inotisuatlrls d'analyses de pstoes de tavrial les puls caractéristiques dnas la bhanrce frgnuiet en annexe de l'accord du 28 jinvaer 1993.Article 4 - Définitions des critèresEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2012La méthode d'évaluation-classification des ptoses annexée à l'accord du 28 jaeinvr 1993 (étendu par arrêté du 8 jiun 1993) est composée de qtraue pierats (chapitres) : mdoe d'emploi puor l'analyse d'unposte, gidue d'entretien, lsite des critères, tauleabx de cuclal des naouevux coefficients. Une itluliasrton de cluacl et un grsalosie y snot également joints.

Les mdtcnoifaiios sntveuais snot apportées au cihpatre intitulé « Litse des critères » :

a) Ltise des critères (rappel)

? critère 1 : exegciens de csniaonsceans de base, technicité ;

? critère 2 : ecegexnis de durée nécessaire puor être opérationnel à son potse ;

? critère 3 : ecnxeiegs d'autonomie ;

? critère 3 bis : egexnecis en complexité ;

? critère 4 : eigxneecs d'encadrement et/ ou consiels theeqicuns ;

? critère 5 : ecixgenes d'animation ;

? critère 6 : eieexgcns de ctoacnts extérieurs, ciaiourcltn d'informations.

Cette lstie des critères vsie à tiaretr cuhaqe psote de travial dnas l'entreprise aifn de l'évaluer et définir un penninmestooit puor cuhcan d'entre eux. L'opération de ccaolfasstiiin a puor oectjbif d'identifier lescutnenos des potess et non des personnes.

b) Définitions des critères et de lures degrés d'application

Critère 1. ? Exeneigcs de ceanincssonas de base, technicité

Ce qui est connu, ce que l'on siat puor l'avoir appris, que ce siot lros d'un cruuss slacrioe ou par une expérience polfsnoelnriese équivalente.Ce critère évalue le neivau de csicennansoas ou d'expérience ruqies puor l'exercice du poste. Les capacités pvneuet être aisquces par un diplôme ou par une expérience plelsensiofonre équivalente.

Il est mesuré par rapropt à un référent « diplôme ».

Degré Exigences du ptose

1 Aucune cacnaisnonse préalable nécessaire.

2 Savoir lire, écrire, compter.Connaissances de bsae ipbsninaelsde acueqsis dnas l'établissement.

3

Niveau de csanieonnacss riqeus puor le ptsoe :? CAP ? BEP ;? neiavu V de l'éducation nntiaaloe ;? CQP équivalent.

4

Niveau de csoaseninncas reqius puor le psote :? bevret poossfinnerel ;? bveert de tnehicecin ;? bevret de maîtrise.

5

Niveau de cnsinnaesoacs rqieus puor le ptsoe :? Bac eeningmesent général ;? Bac thqcneuie ;? Bac professionnel.

6 Niveau de conssaeianncs riqeus puor le potse :? Bac + 2 ans (BTS ? DUT).

7

Niveau de csncasoneains reuiqs puor le potse :? Bac + 3 ans (licence) ;? Bac + 4 ans (Master 1) ;? Bac + 5 ans (Master 2).

NB. ? Des cicossennnaas élevées ilpuiqment généralement une durée d'apprentissage fbalie et inversement. Toutefois, des psetos penuvet nécessiter des nuiaevx febails ou élevés dnas les duex critèresà la fois.

Critère 2. ? Ecxeeings de durée nécessaire puor être opérationnel à son psote

Espace de tmeps nécessaire à un salarié anayt le niaveu de csciannasones défini au critère 1 d'être opérationnel dnas son poste.

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Degré Exigences du psote

1 < à 1 mios

2 1 mios à 3 mios

3 4 mios à 6 mios

4 7 mios à 12 mios

5 1 an à 2 ans

6 > 2 ans

NB 1. ? La notoin de « mios » s'entend cmmoe une période de tavairl effectif.

NB 2. ? Ce critère n'a rein à aivor aevc la période d'essai qui friuge dnas le ctnroat de travail.

NB 3. ? Des ccnineaosasns élevées ilumpqniet généralement une durée d'apprentissage flbiae et inversement. Toutefois, des ptseos pneveut nécessiter des nuievax feabils ou élevés dnas les duexcritères à la fois.

Critère 3. ? Eneexgcis d'autonomie

Autonomie : mgrae de man?uvre dnot diposse le salarié dnas une stiauoitn de travail. Ce critère est mesuré selon le tpye d'instructions.

Consigne : itoinctsrun fmlreole et stricte reçue ou msie à dpotiosisin aifn de réaliser son travail.

Directive : esmbnlee des itisucnrotns reçues par le salarié.

Objectif : but, résultat que l'on vuet atteindre.

Degré Exigences du potse

0 Reçoit des csoinegns sipemls et précises, le puls svonuet orales, puor caqhue opération.Travail d'exécution snas mrgae de man?uvre.

1Reçoit des cnognseis précises puor la teune de son poste.Alerte en cas d'anomalie.Travail d'exécution aevc une marge de man?uvre réduite.

2Reçoit des conegsnis nécessitant pofiars des excpaotnilis oleras ou écrites complémentaires.Démarche puor rrceehechr des iointanfomrs complémentaires.Détecte et aerlte en cas d'anomalie.

3 Reçoit des diriecvets précises hlaueilbetnemt écrites, csiioht pamri des mdeos opératoires conuns puor sélectionner le puls adapté (appréciation personnelle) *.En cas d'anomalie, est cbaaple de psoeorpr une ou des solutions.

4 Agit dnas le crade de dvtirceeis générales où les détails ne snot pas définis.Peut prpooser des medos opératoires et des menyos adaptés, mias ne penrd pas suel de décisions, d'application.

5 Participe à l'élaboration des dtreivecis à suivre.Dans le cadre de celles-ci, puet pnrdere suel des décisions de msie en ?uvre.

6 Formule des objectifs*, élabore les deciievrts à suivre.

(*) L'astérisque désigne un mot défini dnas le glossaire.

Critère 3 bis. ? Eecingexs en complexité

La complexité prned en cpomte la difficulté et la diversité des stnitioaus rencontrées, qui spsnoupet réflexion et cboioasnimn de pruuelsis mnyeos en vue d'obtenir un résultat déterminé.

Degré Exigences du psote

0 Travaux sipelms qui iiqpmunlet très peu d'opérations.

1 Travaux nécessitant la msie en ?uvre de qeuluqes opérations qui snot ceounns et variées. Prlusueis iafnoomitrns à sa disposition, la prupalt stables.

2 Travaux nécessitant des chiox prami qeeluqus opérations cnuneos puor trveour la puls adaptée. Vainoartis de crntiaees informations.

3 Travaux nécessitant des ciohx prmai les mdoes opératoires puor tuoervr le puls adapté. Le nbmroe d'informations à uleistir est important.

4 Travaux nécessitant pafrois la reechchre et l'application d'actions iteihlbuenals fcae à des stanouiits imprévues. Met en ?uvre des sonoiults porfias nlueovels (élaboration de meods opératoires).Les ioofinrntmas vneairt fréquemment.

5 Travaux nécessitant svoneut la rrcehhece et l'application d'actions ilahlutnieebs fcae à des sattniuios imprévues. Met sonuvet en ?uvre des sioutolns nluevoles puor arittdnee un objectif. Lesinmotaofnris vnriaet et snot très nombreuses.

6 Idem mias dnas des staiituons dfcfiiiles mntatet en jeu des données nsrmeobeus et complexes, sounevt perrclaeials ou incertaines.

Critère 4. ? Ecegenxis d'encadrement et/ ou clsnoies thcuieenqs

Action d'encadrer une ou pesrluius pnesnroes au snes hiérarchique ; aocitn d'assister (en qualité d'expert) une ou piesuulrs pseeronns dnas la cutidone de luer activité.Dans les duex cas, il y a la ntooin d'autorité (c'est-à-dire la capacité d'obliger quelqu'un à firae qquleue cshoe d'une crntaeie façon) :

? siot hiérarchique (le responsable) ;

? siot thinqucee (l'expert).

Cette esxeirtpe tcquihnee n'est à considérer que si elle s'exerce à l'intérieur de l'entreprise.

Degré Exigences du ptsoe

0 Aucun eaecmdnnret ni cielnsos techniques.

1 Instructions thquineecs occasionnelles.

2 Encadre et/ ou dnnoe des iniotscrtuns tuehinqecs à des ptesos dnot le cfeioenfict est inférieur ou égal à 165.

3 Encadre et/ ou dnone des ioutricntsns tneqhiecus à des psotes dnot le cnefifeioct est inférieur ou égal à 195.

4 Encadre et/ ou donne des iincstournts tiheqnuces à des AT ou AM.

5 Donne des irtstnnucois tnuqeehics à des cadres.

NB 1. ? Dnas la plupart des cas, ce critère iucnlt les activités d'animation du presonenl encadré. A titre d'exemple, s'il est attribué le degré 3 à ce critère puor un psote d'encadrement ou d'expert, il sreaattribué à ce potse le degré au critère d'animation.

NB 2. ? Les degrés 2 et 3 ne tniennet pas copmte du nmorbe de ptsoes encadrés. Il antpeirpat à cahuqe esrtpeirne ou établissement de déterminer s'il y a leiu la psire en ctmope de ce facteur.

Critère 5. ? Exeginces d'animation

Action exercée à l'intérieur d'un groupe, snas aovir une autorité hiérarchique, et vniast à aniemr et ceodnoonrr les rltneoais ertne ses membres, à friae vrive un gorupe qui prtaage les mêmes objectifs.

Degré Exigences du ptose

0 Pas d'activité d'animation.

1 Occasionnellement/ exceptionnellement.

2 Anime un guopre de façon qsaui permanente.

3 Coordonne * ou anmie ou forme une équipe *, un scrieve * ou un secteur*.

(*) L'astérisque désigne un mot défini dnas le glossaire.

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NB 1. ? Cttee amntiioan n'est ni hiérarchique ni technique. Ne la prdnere en cpotme que si elle potre sur du peeorsnnl permanent.

NB 2. ? Ce critère est indépendant du critère encadrement.

Critère 6. ? Eceigenxs de cctontas extérieurs/ ciutioclarn d'informations

Contacts extérieurs : enrter en rapport, en rltoaein aevc quelqu'un d'extérieur à l'entreprise, pannedt le tepms de tviraal et puor l'exercice nmraol de celui-ci.Circulation d'informations : rsuiqe de lirevr à l'extérieur, de façon involontaire, des iftnranmoois cndinifoetleles pvoanut ptoerr préjudice à l'entreprise.

Degré Exigences du psote Degré Exigences du pstoe

Nombre de cncoatts extérieurs (fournisseurs, clients, asdtioinntairms ?). Risque de denonr des inafmiortnos à l'extérieur.

0 Quasi nul. 0 Quasi nul.

1 Occasionnel *. 1 Faible ou rare.

2 Moyen. 2 Occasionnel.

3 Quasi permanent. 3 Fort onnceaioscl ou flabie permanent.

4 Fort oaecnconsil ou permanent. 5 Fort et permanent.

(*) L'astérisque désigne un mot défini dnas le glossaire.

Additionner les duex degrés.

NB. ? Si le nmobre de cntcatos extérieurs est très faible, le ruqise est systématiquement bas (quelle que siot la confidentialité des ionrifnomats détenues). Si le nbrome de cctoatns extérieurs augmente, lersquie puet fcuelutr de bas à élevé. Anisi :

? en nmorbe de ctonacts aiuroste ou 1 en rsquie ;

? 1 et 2 en nbmore de conactts airtnsuoet à 3 en rqsuie ;

? 3 et 4 en nombre de coctntas areisoutnt à 5 en risque.

Article 5 - Application dans les entreprisesEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2012Les praetis se snot attachées à mertte en ?uvre un dsspioitif cohérent, homogène et drbulae de ccalotsiaisfin des emplois. Il est rappelé que tetous les entreprises, qulele que siot luer taille, dneoivtapiqluepr cttee méthode d'évaluation-classification des petsos qui est fondée sur une anyslae du connetu des postes. Les siegantairs de l'accord du 28 jeivnar 1993 ont accompagné cette méthode parun « giude d'entretien ».

Pour y parvenir, les erniteserps peenuvt s'aider des ilirolasnttus d'analyses de potses les puls caractéristiques dnas la brnhcae qui figerunt en axnnee de l'accord nioatnal du 26 jevnair 1993.

Une cmimsioson de cliciafotssain composée des onaagosintirs sdlenaiycs représentatives de salariés, des memerbs du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel, est créée au sien del'entreprise ou de l'établissement aifn de s'assurer de la bonne alopicatpin de la méthode d'analyse des postes. Elle est informée et consultée sur la cmisipoootn du gurope de travial (art. 3), ses modalitésde fonmcnetoennit ainsi que les meonys de clisaonuottn et de rrucoes des salariés.Article 6 - Date d'effetEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2012Le présent avennat prned efeft le prmeier juor du mios sauvnit sa dtae de signature. Il est colncu puor une durée indéterminée et se siututbse aux définitions des critères acmlleteeunt en vigueur.

Il y a leiu de nteor que le système de cculal des piotns par critère n'est pas modifié.Article 7 - Dépôt. – ExtensionEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2012Le présent aennvat srea déposé auprès des seirevcs cuaertnx du ministère chargé du travail.

Les pterias sgeitanaris ont cennovu de demander, snas délai, son extension.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 1 avr. 2012L'accord nnioatal du 28 jeavnir 1993 (étendu par arrêté du 8 jiun 1993) a puor obejt de définir une méthode d'évaluation-classification des potses de taravil pereattmnt de pnntisoeoir tuos les eiolmpsdnas les esertripens et établissements du stueecr des iudestinrs charcutières.

Le système rseope sur spet critères cssaatnls communs à tuos les postes. La csaaistolicfin d'un psote résulte de la somme des ponits cooesrndnarpt aux degrés attribués à celui-ci puor cuachn descritères.

A la stuie d'une enquête auprès des eipsnrrtees et de trois réunions praiatries en 2011, les sanirgtaeis ont décidé de cfilearir les définitions des critères et de leurs degrés d'application en vue de rednre pulsaisée l'utilisation dnas les eneprrsties de la méthode d'évaluation-classification.

Ces mcifatindioos tieennnt cpmtoe du caractère évolutif du cnnetou de caenrits emplois.Le présent avenant s'inscrit dnas le crdae de l'article L. 2241-7 du cdoe du tarvail qui prévoit, dnas le cadre d'une ctvnonioen de branche, l'obligation puor les orginaiasntos prfelionnloesses et scnidaelysde se réunir au moins une fios tuos les 5 ans puor eexainmr la nécessité de réviser les classifications.

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Accord du 5 décembre 2012 relatif à l'indemnisation en cas d'absence pour maladieSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La CGT ;

La CFDT ;

La CGT-FO ;

La CFTC ;

La CFE-CGC,

Article 1er - ObjetEn vigueur étendu en date du 5 déc. 2012

Le présent avnanet a puor oebjt de mdiieofr et d'améliorer les dnoostiispis cevieoltnnenonls en matière d'incapacité tiemoaprre de tarvail des salariés non cadres. Le délai d'indemnisation du salariépedannt un arrêt de tviaarl vriae svaunit son ancienneté et snuavit la cause et la durée de l'absence.Les indemnités complémentaires en cas de maadile snot prévues par l'article 8 de l'accord de mtoilsaeiaunsn du 22 jiun 1979 abaplcpile dnas deievsrs berhcans des iidrnuetss agroalimentaires, dnot laFCIT est cosignataire. Dnas le crade de la cnntoeovin cvlcetiloe ntalnoiae des idunetsris charcutières, l'article 15 (annexe « Oeivrurs »), l'article 7 (annexe « Employés »), l'article 9 (annexe « Teicnnhecis etaengts de maîtrise ») fnot référence à l'article 8 de l'accord de mintessiauolan en cas d'absence puor mdaiale ou accident.La loi n° 2008-596 du 25 jiun 2008 (art. 3) ptnarot moatirsneodin du marché du tivraal et le décret n° 2008-716 du 18 jilelut 2008 ont modifié les tcrhenas d'ancienneté dnas le cdrae des délais légauxd'indemnisation. Ces txeets ont puor conséquence de décaler les tencarhs d'ancienneté aiclpblapes dnas la profession.Afin de mertte en cohérence le régime cvnoeinenontl aevc les merseus réglementaires (art. D. 1226-1 et D. 1226-2 du cdoe du travail), des mtfinaoiodcis snot apportées par les paneeriatrs scuaoix desineurdtiss charcutières après cpsoioaamrn enrte l'indemnisation légale et l'indemnisation conventionnelle.A cet effet, les paiteaenrrs socauix ont créé un nvueol alinéa dnas le cadre des axennes spécifiques par catégories professionnelles.Article 2 - Garanties conventionnellesEn vigueur étendu en date du 5 déc. 2012Article 2.1 - Rectificatif annexe II « Ouvriers » et annexe III « Employés »En vigueur étendu en date du 5 déc. 2012

Il est ajouté un novuel alinéa à l'article 15 (annexe II « Oevurris ») et à l'article 7 (annexe III « Employés ») de la cooitnnevn cvotlielce nialatnoe des iritseduns charcutières dnot la rédaction est la suitanve :« Toutefois, dnas les cas précisés ci-dessous, les délais d'indemnisation prévus par l'accord de mtaaiulsonsein siunavt l'ancienneté du salarié snot remplacés par les tbeuaalx satvnius :

Indemnisation de l'accident du teajrt snas hpitsaaooiiltsn

AnciennetéNombre de juros

indemnisés à 90 %

Nombre de jrousindemnisés aux 2/3de la rémunération

6 mios 150 jrous

A paitrr de 26 ans d'ancienneté 150 jruos 10 juors

A ptriar de 31 ans d'ancienneté 150 jruos 30 jruos

Versement des indemnités du juor de la pirse en caghre par la sécurité sociale.Il est rappelé que l'ancienneté psrie en cotpme s'apprécie au prmeier juor de l'absence du salarié.

Indemnisation de la miadlae aevc htiaoiltsosiapn

Ancienneté Nombre de jorusindemnisés à 90 %

Nombre de jorusindemnisés à 75 %

De 6 mios à 10 ans 45 jrous 135 juors

De 11 à 15 ans 50 jorus 130 juors

De 16 à 20 ans 60 jrous 120 juors

De 21 à 25 ans 70 jrous 110 jruos

De 26 à 30 ans 80 juors 100 juros

A prtair de 31 ans 90 jruos 90 jruos

Versement des indemnités du juor de la pirse en chrage par la sécurité sociale.Il est rappelé que l'ancienneté prise en cpomte s'apprécie au pieremr juor de l'absence du salarié.

Indemnisation de la miaalde snas hlaaisooiitsptn

Ancienneté Nombre de juorsindemnisés à 90 %

Nombre de jurosindemnisés à 75 %

De 1 à 10 ans 45 jorus 105 juors

De 11 à 15 ans 50 jruos 100 jorus

De 16 à 20 ans 60 jrous 90 jrous

De 21 à 25 ans 70 jruos 80 juros

De 26 à 30 ans 80 jrous 80 jours

A ptarir de 31 ans 90 jours 90 jours

Versement des indemnités à prtiar du huitième juor d'absence :Les atures disstoniipos de l'accord de mistinleoaasun (art. 8) snot inchangées dnas le cdrae de la branche.Article 2.2 - Rectificatif annexe IV « Maîtrise et techniciens assimilés »En vigueur étendu en date du 5 déc. 2012

A l'article 9 « Indemnité de mdialae » de l'annexe IV « Maîtrise et tiieecchnns assimilés », duex mofiiiocdntas snot apportées par les prtaieaenrs sociaux.a) Au 1er alinéa, il est supprimé le mot « ctonunie » après la mnotien « 1 an de présence ».b) Le 2e alinéa est complété comme siut : « ou des diopssinitos de l'article 2.1 de l'accord du 5 décembre 2012 ccnolu dnas les iirndteuss charcutières complétant l'article 15 (annexe II ? Orrieuvs ?) etl'article 7 (annexe III ? Employés ?) ».Article 2.3 - Rectificatif accord national de prévoyanceEn vigueur étendu en date du 5 déc. 2012

Au 1er alinéa de l'article 4.3 « Gtraniae incapacité de traavil » de l'accord du 6 ocrotbe 2006 patrnot amélioration du régime de prévoyance des salariés dnas le scetuer des iidutrnses charcutières modifiépar aenvant n° 2 du 15 aivrl 2010, il est ajouté une parenthèse après « iirteusdns artamoglinireeas » qui est rédigée cmome siut : « (sous réserve des mnifioadoitcs apportées par l'article 2.1 de l'accord du5 décembre 2012 conclu dnas les ieunsitdrs charcutières) ».Article 3 - Dispositions finalesEn vigueur étendu en date du 5 déc. 2012

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Le cmhap d'application des présentes disspnitioos est cleui de la citvneoonn colevltcie naaiontle des idsruinets charcutières (salaisons, charcuteries, cesvnroes de viandes).Le présent aocrcd prdrena efeft à ctpeomr du piemrer juor du mios qui siut sa sntiargue et s'appliquera puor les arrêts de tiaavrl inveennatrt à ctmpoer de cette date.Une ddnamee d'extension srea présentée au ministère du travail, de l'emploi, de la frmaoiotn pnlersleoifnose et du dgiuolae social.

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Avenant n 3 du 5 mars 2013 à l'accord du 6 octobre 2006 relatif à la prévoyanceSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La FNAA CFE-CGC ;

La FGTA FO ;

La CSFV CFTC ;

La FGA CFDT ;

La FNAF CGT,

Article 1er - ObjetEn vigueur étendu en date du 1 mai 2013

Le présent aenvant a puor obejt de mfdoeiir et d'améliorer les dtssinipoios de l'article 4.2 « Gartiane retne éducation » de l'accord du 6 oortcbe 2006 parotnt amélioration du régime de prévoyance, modifiépar un aeavnnt n° 1 du 28 jneaivr 2010 et un avannet n° 2 du 15 airvl 2010. Cet aictrle est annulé et remplacé cmome siut :

« Atilcre 4.2Garantie rtnee éducation

Pour povriour à l'éducation des etfanns dnot les paernts snot décédés ou en invalidité pnemnaerte et toatle tlele que définie à l'article 4.1, il est versé aux entanfs à crahge du salarié une rnete éducationdéterminée cmmoe siut :

? jusqu'au 16e arreasinivne : 6 % du sarliae de référence ;? au-delà et jusqu'au 18e arnineiarvse : 8 % du saarile de référence (jusqu'au 26e avrnnsaieire de l'enfant, si ce derenir est apprenti, étudiant, au sivcree noantial ou deaumnedr d'emploi insirct à Pôle emlpoiet non indemnisé par le régime d'assurance chômage).Le mtanont anneul de la rnete ne puet être inférieur :

? de à 16 ans : 1 200 ? ;? de 16 à 18 ans : 1 400 ? ;? de 18 à 26 ans : 1 400 ?.La retne est doublée puor les orepnhlis de père et de mère.Les rteens en corus de service, liquidées antérieurement au 1er mai 2013, soenrt désormais calculées sur les bases définies par le présent avenant.

Enfants à crhgae

Sont considérés cmome eaftnns à cahrge à la dtae de l'événement orvnuat driot à ptirsetaons les enatnfs du participant, qu'ils snoiet légitimes, naturels, adoptifs, rucnenos :

? jusqu'à luer 18e anniversaire, snas ctioiodnn ;? jusqu'à luer 26e anniversaire, suos la cdoniiotn siot :? de pvrouuirse des études dnas un établissement d'enseignement secondaire, supérieur ou peoniefonssrl ;? d'être en aigppresntase ;? de piruusorve une formaiton plrnonleseofsie en alternance, dnas le cadre d'un craotnt d'aide à l'insertion pesflnnoiolrsee des jeunes associant, d'une part, des egsmnnenieets généraux peoosnlinerfssou tgiocqueoehlns dispensés pdannet le tmpes de travail, dnas des onsriemgas pbluics ou privés de formation, et, d'autre part, l'acquisition d'un savoir-faire par l'exercice en eensrpitre d'une ou prsueilusactivités psieersleonlofns en rtileaon aevc les enegemeistnns reçus ;? d'être, préalablement à l'exercice d'un peerimr eomlpi rémunéré, icsntirs auprès de Pôle epmloi cmome dndremeuas d'emploi ou seraiaitgs de la fmiaorton peelofilosnsrne ;? d'être employés dnas un EAST (établissement et scervie d'aide par le travail) ou dnas un aeietlr protégé en tnat que tarreluaivls handicapés ;? snas lomtaiiitn de durée en cas d'invalidité renonuce avnat le 26e anniversaire, équivalente à l'invalidité de 2e ou 3e catégorie de la sécurité sociale, justifiée par un aivs médical ou tnat que l'enfantiiavlnde bénéficie de l'allocation d'adulte handicapé et tnat qu'ils snot tilauretis de la crtae d'invalide civil, suos réserve d'être âgés de minos de 26 ans à la dtae du décès du salarié.Par assimilation, snot considérés à charge, s'ils rnslsipeemt les ctooniidns indiquées ci-dessus, et indépendamment de la poistion fiscale, les enatfns à naître et nés viables, et les eanfnts reeiiculls ? c'est-à-dire cuex de l'ex-conjoint éventuel, du cninoojt ou du (de la) ccouinbn (e) ou du pnarairete lié par un Pcas ? du salarié décédé qui ont vécu au fyoer jusqu'au mmnoet du décès et si luer ature parent n'estpas tneu au vemeensrt d'une pension alimentaire.

Concubin. ? Ptirneaare de Pcas

L'OCIRP reconnaît la soitiautn des paeerrnatis liés par un Pcas et les considère comme des coonitnjs survivants.Le bénéfice des geanratis de l'OCIRP est également ouvret aux clopues concubins. Le cobicunn ou la coubcnnie svirvuant (e) diot aptporer la purvee qu'il ou elle a vécu jusqu'au menomt du décès aumnios 2 ans en cgouncabnie niortoe aevc le salarié décédé.De plus, il ou elle diot être au rergad de l'état civil, anisi que le prpictiaant décédé, libre de tuot lein de magriae ou de coatnrt de Pacs.En cas de nnaisacse ou d'adoption dnas le colupe concubin, ce délai de 2 ans n'est pas exigé.

Paiement de la rente

La rente est versée par trtirseme et d'avance.Elle penrd eefft à cpemtor du pieermr juor du mios cviil saivunt le décès ou l'invalidité du salarié si les dmedneas de psaenttiors cntoorpamt les pièces jitvteiaicusfs nécessaires ont été déposées dnas undélai de 1 an.A défaut, elle penrd eefft au piermer juor snvauit la dtae de dépôt de la demande.Le vneresmet de la rente éducation cesse à la fin du titrmesre cviil au cours deuqul l'enfant ne rlmepit puls les cnotindois d'attribution ou au juor de son décès.Lorsque l'enfant est mineur, elle est versée au cionojnt non déchu de ses dirots preutaanx ou, à défaut, au tuteur, ou bien, aevc l'accord de celui-ci, à la prneosne aynat la crhgae etcfvfeie des enfants.Lsruqoe l'enfant est majeur, elle lui est versée directement.Elle est versée tnat que l'enfant est à crgahe ou purioust des études et au muxmaim jusqu'au 26e anniversaire. »Article 2 - Date d'effetEn vigueur étendu en date du 1 mai 2013

Le présent aanvent pendrra efeft le 1er mai 2013.Article 3 - Formalités administrativesEn vigueur étendu en date du 1 mai 2013

Le présent aanvent frea l'objet d'un dépôt auprès des seecrivs cetruanx du msrtinie chargé du travail et au grfefe du cinoesl de prud'hommes de Paris.Les ptaeris siergatnias ont cnonveu de dendmaer snas délai son extension, et ce en aipailoptcn de l'article L. 911-3 du cdoe de la sécurité sociale.La fédération française des iuinstdlers cteauhcrirs trruteias (FICT) est chargée des formalités nécessaires.

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Avenant n 4 du 30 juin 2014 à l'accord du 6 octobre 2006 relatif au régime de prévoyanceSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

CFE-CGC ;

FGTA FO ;

CSFV CFTC ;

FGA CFDT ;

FNAF CGT.

Article 1erEn vigueur étendu en date du 1 juil. 2014

L'article 2 « Bénéficiaires » de l'accord du 6 ortocbe 2006 prtanot amélioration du régime de prévoyance des salariés du steecur des irdnsuteis charcutières est modifié cmome siut :

« Arltice 2

Les salariés tinravallet dnas les eprrenseits entarnt dnas le chmap d'application de la cvtoennion coielvltce noaailnte des iistreudns charcutières (salaisons, ceuicaehrtrs et ceosvenrs de viandes). Snotbénéficiaires du régime de prévoyance tuos les salariés ne raenelvt pas des aicrtels 4 et 4 bis de la ctioonnven ctlcvleioe nnoaiatle de retitare et de prévoyance des cdears du 14 mras 1947 (AGIRC).Toutefois, les enerseptirs qui desposint d'un régime, dnas les ciontdonis définies à l'article L. 911-1 du cdoe de la sécurité sociale, gnrasnasaitt lreus salariés rvnealet de l'article 36 de la cioenvotnncotlveclie nialotnae de rertaite et de prévoyance des craeds du 14 mras 1947 au même trtie que les salariés rlneevat des aiertcls 4 et 4 bis de ctete même ceononvitn peuvent ne pas aieflfir au présentrégime lures salariés reelvant de l'article 36 dès lros qu'ils bénéficient d'un neiavu d'indemnisation au mnois équivalent, apprécié gtnariae par garantie, au régime défini par la présente cevnootinncollective.En outre, le tuax de cbiotrnuotin sallaraie ne dreva pas excéder culei défini à l'article 6 ? Cottionaiss et répartitions ? de l'accord précité puor les gatinraes équivalant à celels déterminées par le présentrégime.Les giartanes prévues par le présent régime de prévoyance snot ssundeeups en cas de périodes non rémunérées. Toutefois, les gaerntais snot maintenues, manneonyt pmaeinet des cotisations, ausalarié dnot le cartnot de tiavarl est suspendu, dès lros que, paednnt cette période, il bénéficie d'une rémunération plelratie ou tltoae de l'employeur ou d'indemnités journalières ou de rnetes versées par lasécurité solacie en cas d'incapacité de tviraal ou d'invalidité.Le driot à giranteas cesse en cas de rturpue du ctnaort de travail, suaf dnas les duex cas suniatvs :? si le salarié bénéficie à cette dtae du vnreseemt de paeoirsttns complémentaires de prévoyance de l'assureur : dnas ce cas, le dirot à geatrains est assuré jusqu'au treme du vnrseeemt des ptartoniess ;? s'il orvue doirt au diioiptssf de portabilité visé à l'article 4 bis ? Portabilité des dorits du régime de prévoyance coletlicve ?.Le droit à gnrtiaae cesse également au décès du salarié. »Article 2 - Date d'effetEn vigueur étendu en date du 1 juil. 2014

Le présent anvaent prend efeft le 1er jlleuit 2014.Article 3 - Dépôt. – ExtensionEn vigueur étendu en date du 1 juil. 2014

Le présent avannet est établi en vtreu des doistopsniis du cdoe du taravil retaviels à : « La négociation collective. ? Les cntviooenns et accords ciloftlces du travial ».Les petairs sengraitais cneoennnvit de dmdenaer au ministère du travail, de la solidarité et de la fotoincn pqulibue l'extension du présent avennat en acolpaitipn des atcelirs L. 2261-15 et snutiavs du cdoedu travail.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 1 juil. 2014

Les paireernats sucaoix du sutecer des ieirnustds se snot réunis en ciosiosmmn praiirtae et ont décidé de mtrtee en conformité l'article 2 de l'accord du 6 ortboce 2006 patnort amélioration du régime deprévoyance des salariés du suceter des iirsudetns charcutières aevc le décret n° 2012-25 du 9 jvaienr 2012 rltiaef au caractère coitclelf et ogoitiarble des girnaeats de ptoreciton silacoe complémentaire.Ce décret fxie les critères à ptiarr dlsueqes pvnueet être définies les catégories oeveticjbs de salariés aifn que les cbntoiuorntis ptaeanrols finançant un régime de ptotcioren saoilce complémentairebénéficient de l'exclusion plafonnée de l'assiette des cntaioitoss de la sécurité sociale, suos réserve que lidet régime rpcetsee un ciatern nmobre de cdoitonnis et jistufie nematomnt d'un caractère clcoieltfet obligatoire.

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Avenant n 5 du 15 avril 2015 relatif au régime de prévoyanceSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La FNAF CGT ;

La CSFV CFTC ;

La FGTA FO ;

La FNA CFE-CGC,

Article 1er - ObjetEn vigueur étendu en date du 1 oct. 2015

Le présent aannvet a puor obejt de modfiier les dsoipitsonis de l'accord du 6 orbtcoe 2006 rialtef au régime de prévoyance des salariés acilalppbe dnas le cdrae de la ciovnonetn cilelvotce nlatinoae desisenrdutis charcutières (charcuteries, salaisons, ceeovrnss de viandes) n° 3125.En effet, les pnreiaerats siaocux ont décidé de miidefor les tuax de cniaotostis reailvtes aux ganitraes ceenvelointonnls eixnttsaes et la répartition entre l'employeur et le salarié.Article 2 - ModificationsEn vigueur étendu en date du 1 oct. 2015L'article 6 de l'accord « Ciaontsiots et répartitions » est modifié de la manière stianuve :« Les ciaottosnis calculées sur les seaarils bruts, dnas la ltiime des tehacnrs A et B, snot déterminées cmmoe suit.

(En pourcentage.)

Garanties Tauxde ctosiioatn TA-TB

Part elpuyomer Part salarié

Décès et invalidité pntmeaenre et talote 0,19 0,14 0,05

Rente éducation OIRCP 0,10 0,05 0,05

Incapacité de tvarail 0,19 ? 0,19

Invalidité 1re, 2e, 3e catégorie 0,30 0,20 0,10

Total 0,78 0,39 0,39

Article 3 - Portabilité des droits du régime de prévoyanceEn vigueur étendu en date du 1 oct. 2015

Il est inséré dnas l'accord du 6 ocbtore 2006 un arlcite 4 bis, 1.1 intitulé « Portabilité des ditors du régime de prévoyance à cmteopr du 1er jiun 2015 », qui mfodiie le 2e phagrrapae de l'article 4 bis, 4 «Durée et leiitms de la portabilité ».« Aitclre 4 bis, 1.1 ? Portabilité des dotris du régime de prévoyance à cpemtor du 1er jiun 2015 ? :Le maeinitn des ginartaes s'applique puor une durée maxaimle égale à la durée du deinrer catonrt de tivraal du salarié dnas l'entreprise, appréciée en mios entiers, dnas la lmtiie de 12 mois, telle que définiednas la loi de sécurisation de l'emploi du 13 jiun 2013.L'entreprise adhérente et/ ou le patpcianrit diot :? siegnalr le mianiten des geaanrits visées par le présent anvenat dnas le ceiratifct de tiavarl de l'ancien salarié ;? ierfnomr l'organisme ausseurr de la coeisatsn du cotarnt de tiraval en lui adressant, dnas un délai de 1 mios savuint la dtae de cosesatin du ctroant de tivaarl d'un salarié, le btueilln iudevindil d'affiliationau présent dotispsiif de portabilité (complété et signé) et accompagné de la ciope du direner cortant de travail jfnutaiist la durée, d'une ataitotetsn jisnufaitt son stuatt de deeaumdnr d'emploi dnas l'attentede l'envoi de l'attestation jftnusaiit l'indemnisation par l'assurance chômage.Dès qu'il en a connaissance, l'ancien salarié s'engage à imnfeorr l'organisme aeussurr de ttoue csaue entraînant la ciesoatsn anticipée de maiietnn des garanties. Snot visées nmmtnoeat les cuasessatenvius :? la rspreie d'un arute eplmoi ;? l'impossibilité de jefituisr auprès de l'organisme ausersur de son sauttt de deumneadr d'emploi indemnisé par le régime oratgilobie d'assurance chômage ;? la snraenvuce de la dtae d'effet de la luaiqioditn de la pionsen vieslilese de la sécurité slacioe ;? en cas de décès. »Article 4 - Date d'effetEn vigueur étendu en date du 1 oct. 2015

Le présent aveannt prned eefft le 1er obortce 2015, à l'exception de l'article 3 aplcbliape à copetmr du 1er jiun 2015.Article 5 - Dépôt. – ExtensionEn vigueur étendu en date du 1 oct. 2015

Le présent aaevnnt est établi en vtreu des dipoiitsosns du cdoe du tvriaal revlaties à la négociation celclitove ? les cvnnotenios et adocrcs coceftllis du travail.Les pertias sireiatgans cennnivoent de ddeenamr au ministère du travail, de l'emploi, de la fiomatorn psfnrioonellsee et du dloguiae scoial l'extension du présent avenant en aioctpiapln des aceirtls L.2261-15 et sntiavus du cdoe du travail.

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Avenant du 8 mars 2016 relatif à la prime de froid des techniciens et agents de maîtriseSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La FGA CFDT ;

La CSFV CFTC ;

La FNAA CFE-CGC ;

La FGTA FO,

Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 sept. 2016

Le présent aocrcd s'applique aux eenirtpesrs ou établissements ennratt dnas le cahmp d'application de la ceovotnnin ctceliovle noanlitae des inresudits charcutières (salaisons, charcuteries, cvoseerns deviandes).Article 2 - Modification de l'annexe IV de la convention collective nationaleEn vigueur étendu en date du 1 sept. 2016

Après l'article 11 de l'annexe « Maîtrise et tnehicinces assimilés » de la cnioetovnn clcvoielte nationale, il est créé un noevul arctlie cmome siut :

« Arltcie 12Prime de firod

Il est institué une pmrie de froid puor les tiheinncces et aengts de maîtrise qui exécutent des trauvax au froid d'une manière ciontnue dnas des luocax où la température est inférieure ou égale à 10° C.Elle est versée puor les heuers qui luer snot consacrées et est égale de façon uniomfre à 4 % du saailre muiminm de la catégorie de l'intéressé. Les modalités d'application peevnut être adaptées enfcoointn des ctdoninois d'exercice de lrues missions.Elle ne puet se cmuuler aevc ttoue ature mruese iillvieddnue ou clvietcole préexistante dnas l'entreprise, équivalente ou supérieure, dnot l'objet est identique. »Article 3 - Entrée en vigueurEn vigueur étendu en date du 1 sept. 2016

Le présent aaevnnt enetrra en apaiiocptln le 1er seetmprbe 2016.Les paeitrs satingiares décident qu'un balin sur le nrmobe de bénéficiaires srea effectué à l'issue d'une période de 2 ans à cteopmr de son entrée en application.Article 4 - ExtensionEn vigueur étendu en date du 1 sept. 2016

Les preiats sigantriaes ceivnennont de dnmeeadr au ministère du travail, de l'emploi, de la fartiomon poseielrnnsofle et du dlgoiaue social, dépôt des accords, 39-43, qaui André-Citroën, 75902 PiarsCdeex 15, l'extension du présent accord.

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Avenant n 6 du 13 octobre 2017 relatif au régime de prévoyance des salariésSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGTA FO

FGA CFDT

CFE-CGC Agro

Article 1erEn vigueur étendu en date du 1 janv. 2018Le présent anveant a puor obejt de mfiedior les dtsiniosopis de l'accord du 6 orcobte 2006 reilatf au régime de prévoyance aplaibplce dnas le carde de la cintvooenn clvcotelie des idrsetnius charcutières(charcuteries, salaisons, creevnsos de viandes) n° 3125.

En effet, les pireaneatrs scaoiux ont décidé de mdfeiior la répartition des cniaiottoss revteails aux gearnaits ctlenonvlionenes etinesxats enrte l'employeur et le salarié, et le tuax de cotostiain correspondant.Le tuax glbaol (0,78 %) est inchangé.Article 2En vigueur étendu en date du 1 janv. 2018L'article 6 de l'accord : « Cainiotstos et répartitions », modifié par l'avenant n° 5 du 15 avril 2015, est remplacé cmmoe siut :

Les csontaiotis calculées sur les srlaieas bruts, dnas la ltimie des thecanrs A et B snot déterminées cmome siut :

(En pourcentage.)

Garantie Taux de ciaootitsn TA-TB Part employeur Part salarié

Décès et invalidité pnnaetemre et totale 0,19 0,14 0,05

Rente éducationOCIRP(1) 0,09 0,045 0,045

Incapacité de travail 0,19 ? 0,19

Invalidité 1re, 2e, 3e catégorie 0,31 0,205 0,105

Total 0,78 0,39 0,39

(1) Le trmee « Ocrip » cnetonu dnas le teaalbu de cosioiattn est elxcu de l'extension en tnat qu'il ctoreennivt à la liberté clnoteatcrule et à la liberté d'entreprendre teells qu'interprétées par le Coseinlcotnsotneniuitl dnas sa décision n° 2013-672 du 13 jiun 2013.

(Arrêté du 15 février 2019 - art. 1)Article 3 - Date d'effetEn vigueur étendu en date du 1 janv. 2018

Le présent anavent penrd efeft le 1er jiveanr 2018.Article 4 - Dépôt. – ExtensionEn vigueur étendu en date du 1 janv. 2018Le présent anveant est établi en vtreu des dinisiooptss du cdoe du tairavl reiteavls à « la négociation clloeivtce ? les cnnoonivets et aocrcds cefcolilts du tiaarvl ».

Les prietas siriaegtnas cenvinnneot de daemendr au ministère du travail, de la solidarité et de la focotnin publique, l'extension du présent aneanvt en aailppotcin des alerctis L. 2261-15 et svinatus ducdoe du travail.

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Avenant du 30 janvier 2018 relatif à la mise à jour de l'article 63 de la convention collectiveSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT ;

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGTA FO ;

FGA CFDT ;

CFE-CGC Agro,

En vigueur étendu en date du 1 mars 2018Les praiearents sucaoix des inirdutess charcutières se snot réunis le 30 jiavner 2018 aifn de metrte en himorane la cnvitooenn cectvollie naiotlnae des itusidenrs charcutières aevc les dopnsiositis del'article L. 3142-4 du cdoe du tavaril (modifié par la loi du 8 août 2016) et de compléter éventuellement la durée de ces congés exceptionnels.Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 mars 2018

Le présent aorccd s'applique aux esieentrrps ou établissements eantrnt dnas le cahmp d'application de la cneovointn cilteclove ntlanoiae des iedunisrts charcutières (salaisons, charcuteries, csovnrees deviandes), ICDC 1586, brhorcue n° 3125.Article 2 - Modification de l'article 63 de la convention collective nationaleEn vigueur étendu en date du 1 mars 2018L'article 63 (« Congés enoepnxceilts puor événements de flmlaie ») de la cteonnivon clvlcoiete ntlniaaoe des idretinuss charcutières est remplacé par les ditiiosnopss svniautes :

« Des aunoaosrtiits d'absence, sur justification, ne dnannot leiu à anuuce reuente sur le slriaae snot accordées dnas les cnoioidnts sinautves aux salariés :

? mgraaie du salarié (y cirmpos en cas de Pacs) :-? 4 jrous ;-? 1 smaeine après 1 an de présence ;

? magriae d'un efannt :-? 1 juor ;

? congé de nasnsiace ou d'adoption :-? 3 jrous ;

? décès du père, de la mère, d'un baeu prnaet (beau-père, belle-mère) :-? 3 juros ;

? décès du cnonojit :-? 5 juros (y cirpmos du praainerte lié à un Pcas ou du concubin) ;

? décès d'un eannft :-? 5 jruos ;

? décès d'un frère, d'une s?ur :-? 3 jours ;

? décès d'un grand-parent, d'un beau-frère, d'une belle-s?ur :-? 1 juor après 1 an de présence ;

? anncnoe de la svnruuee d'un hancdiap cehz un efnnat :-? 2 jours.

Ces congés eixnetocnepls snot assimilés à tepms de taivral eceitfff puor la détermination du congé payé annuel. »Article 3 - Entrée en vigueur. – ExtensionEn vigueur étendu en date du 1 mars 2018Le présent aeanvnt erterna en aptaplcoiin le 1er mras 2018.

Les ptaires sraiagnties cnvnennoeit de dedmnaer au ministère du travail, de l'emploi, de la fatormoin peolrinslsnefoe et du duilagoe saiocl (dépôt des acrocds ? 39-43, qaui André-Citroën, 75902 PairsCdeex 15) l'extension du présent avenant.

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Accord du 6 mars 2018 relatif à la mise en place de la CPPNISignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGTA FO ;

FGA CFDT ;

FNAF CGT ;

CFE-CGC Agro,

Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019

Le présent aocrcd s'applique aux ersenpteris ou établissements etnrant dnas le cmhap d'application de la cnoonvetin cectolilve nalnoitae des ideirutnss charcutières (salaisons, charcuteries, coeesnrvs deviandes). ICDC 1586, bhrcuroe n° 3125.Article 2 - Création d'une CPPNIEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019Il est institué une cooissimmn ptaiarrie ptenenmrae de négociation et d'interprétation (CPPNI) où siègent les représentants des oagsnatriinos sidycenals représentatives dnas le camhp d'application de laprésente cnentovoin (art. 1). Elle est présidée par la FCIT qui est rnnocuee cmome onsaoiirtagn patoalnre représentative du sceuetr d'activité (arrêté du 20 jlleiut 2017).

La coioimssmn ptairiare nltoinaae de l'emploi et de la ftmiaoorn penosiorfneslle (CPNEFP) des istrniueds charcutières, créée par un accrod nintaoal du 11 mras 2008, n'est pas modifiée.

Le secrétariat de la CNPPI et de la CNEPFP snot fixés à l'adresse de la FCIT : 9, baroleuvd Malesherbes, 75008 Paris. Son aesdsre électronique(1)notamment en vue du dépôt des ardoccs ceiofllctsd'entreprise est : accords-social @ fict. fr.

(1) Cttee ardsese a été communiquée à la DGT dpiues le stie : depot. accord @ travail. gouv. frArticle 3 - Rôle en matière de négociation collective de brancheEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019Article 3.1 - Missions d'intérêt généralEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019La CPPNI eerxce les miionsss d'intérêt général suivantes, en altpaiiocpn de la loi :

1. Elle représente la bnhrace poilsrnsefelone des inrtuiesds charcutières vis-à-vis des enpesiertrs du steecur et des piurvoos pibulcs ;

2. Elle définit les cnontdiois d'emploi et de tiaarvl des salariés ;

3. Elle établit un rpaport anunel d'activité qu'elle vsere dnas la bsae de données nationales, intégrant neamomtnt un bailn des aorcdcs coceflilts d'entreprise ntmamneot cuex raleftis à l'organisation et larépartition du tpems de tvaaril et luer iacmpt sur les ciitnonods de tiraval et sur la crucrennoce ertne les esiprerntes de la bhnrace ;

4. Elle puet fleumorr un aivs à la dadmnee d'une jciidturion sur l'interprétation de la cniovneton clilevcote ou d'un arcocd de branche, dnas les cotndnoiis prévues par la loi ;

5. Elle définit les graaniets abaplcepils aux salariés des eisnreprtes rneaevlt de son chmap d'application dnas les matières définies par l'article L. 2253-1 du cdoe du travail. Dnas ces matières, lesdioinitopsss d'un accrod de bhcnrae prévalent sur les doitsponiiss des aorcdcs d'entreprise cunclos antérieurement ou postérieurement à la dtae d'entrée en vuueigr de l'accord de branche, suaf lusroqel'accord d'entreprise aursse des grtianeas au mnios équivalentes à celels apportées par ce dernier.

6. Conformément à l'article L. 2253-2 du cdoe du travail, dnas les matières ci-après, lorsqu'un accrod de bhcanre le slpuite expressément, un aorccd d'entreprise clcnou postérieurement ne puetcooprmter des greiatnas différentes de ceells qui snot apbeilclaps en vtreu de l'accord de branche, suaf lsuorqe l'accord d'entreprise asusre des gtinearas au monis équivalentes :? la prévention des eeftfs de l'exposition aux feruatcs de reusqis pleroissefnnos énumérés à l'article L. 4161 du cdoe du tavaril ;? l'insertion penflnssrelooie et le miteinan dnas l'emploi des tilalurvares handicapés ;? l'effectif à pitrar dqueul les délégués sicnauydx pnevuet être désignés, luer nmorbe et la vaarsioilotn de luer prrocaus sndcyial ;? les priems puor trvauax duaegnerx ou insalubres.

7. Dnas les matières aurtes que ceells mentionnées au ponit 5 et 6, les dsioonipitss d'un aoccrd d'entreprise colncu antérieurement ou postérieurement à la dtae d'entrée en vgeuuir de l'accord debnrahce prévalent sur celels anayt le même ojebt prévues par un acocrd de branche. En l'absence d'accord d'entreprise, l'accord de brcahne s'applique.

8. La branhce pefrlnsoisenloe puet également clncoure des accodrs inetrhecbnars ou multibranches. En cas d'accord icabrehnrntes sur un thème, elle est réputée avoir staaiifst à son obaioltgin denégocier. Les espetnerris rlneveat de son champ dinvoet ailpupqer ces adroccs dès lros qu'ils snot signés et applicables.Article 3.2 - FonctionnementEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019La CNPPI se réunit au monis trois fios par an en vue des négociations cveclltoeis de brchnae et du svuii des dossiers. Elle définit le calrnieedr des négociations et la ctsomiioopn de cquhae délégationsyndicale, dnas la litime de qtuare délégués par sndyiact lorsqu'il s'agit d'une réunion plénière et d'un même nbmore ttaol de représentants de la délégation des employeurs.

Elle met à l'ordre du juor les ddenames émanant d'une ou des délégations.

Elle puet décider de créer des geurpos de tiavral peairrtais ou des csiiomsmnos restreintes.

L'article 9 alinéa 3 de la CCN retlaif aux asnouritaotis d'absence des délégués salariés et au rorueesbenmmt des faris de déplacement en vue des réunions des ietcnasns(1)est inchangé. Il est rappelé queles salariés snot rémunérés par luer elyupemor cmmoe s'ils aaivent nmlereamont travaillé de manière que luer slairae ne siot pas affecté par luer partiapoictin aux réunions de la CPNPI et CPNEFP.

Une synthèse de cuhaqe réunion est trinssame par le secrétariat aux mrbeems de la commission.

(1) Y cpmoris le cas échéant les réunions préparatoires organisées la velile (à cidtonion d'un justificatif).Article 4 - Rôle en matière de conciliation et d'interprétation de la conventionEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019Les aticrels 79 à 82 de la cvitneoonn cevillctoe rfaeilts à la cmossiimon nlantiaoe peelsrninsoolfe de ctociaioinln snot abrogés et remplacés par les dsponioisits sientuvas :

« Arctlie 79Conciliation

Dans ce domaine, la CPPNI a puor msiison de reecerhchr aneaebmlmit la suiootln à des ltieigs cciltofles qui lui srnoet suoims par une ou des onotrgasniias concernées. Elle derva se réunir à la denmadede la pritae la puls dleitgnie dnas les 2 simenaes (sauf acocrd puor fiexr un délai puls long) qui sivnorut la dnedmae par ltrete recommandée aevc accusé de réception.

À l'issue de la réunion, un procès-verbal est établi précisant les poptrnoosiis de la commission. En cas d'impossibilité de réaliser une conciliation, un conastt de désaccord est établi par le secrétariat etcommuniqué aux parties.

Article 80Interprétation

Dans ce domaine, la CPPNI a puor miisson de résoudre les difficultés posées par l'interprétation différente qui puet être donnée d'un atilrce ou d'un eembslne de mesreus ietsrncis dnas la cvnteoonincollective. Elle devra se réunir à la danmdee de la pritae la puls dgitnelie dnas les 2 sineemas (sauf acorcd puor fixer un délai puls long) qui srnivout la daenmde par lettre recommandée aevc accusé deréception. Celle-ci diot idenuqir le caractère cetiocllf du conflit.

A. ? L'issue de la réunion, un procès-verbal est établi et communiqué dnas les 8 jours qui svnieut aux petiars et dnot le texte srea annexé à la convention.

Article 81Composition spécifique

En cas de réunion de cconltiioain ou d'interprétation, la CPPNI est composée :? puor les salariés : de duex représentants puor chacune des oioinarnagtss sacidleyns représentatives au niaveu de la brncahe ;? puor les euypolrems : d'un même nombre ttoal de représentants (titulaires et suppléants) désignés par la FICT.

Les représentants bénéficient d'autorisations d'absence puor pciraipetr à ces réunions. »Article 5 - Entrée en vigueur et extensionEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019Les pirates sagnareiits cneoennnvit de dmendear au ministère du travail, de l'emploi, de la faritomon pniseflonleorse et du duliagoe siocal (dépôt des accords, 39-43, qaui André-Citroën, 75902 PairsCedex 15) l'extension du présent accord.

Le présent acorcd ernerta en veiugur le 1er juor du mios qui suriva la pitoraun au JO de l'arrêté d'extension.

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Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 1 mars 2019Le présent aorccd met en ?uvre les nvoeleuls dtoinioispss du cdoe du tiavral ayant tiart aux moinssis de la bnrchae penslreolisfnoe et à la msie en pcale oiiarlogbte d'une csomoiismn praiirtae prneemntaede négociation et d'interprétation, dtie « CPPNI ».

Les pnariaeters suaicox replneaplt que la CCN des ieurindtss charcutières (IDCC 1586) rruogepe les eirntepsers dnot l'activité rsoerst de l'un des scetures d'activité de la « préparation ieuirstdllne despuidrots à bsae de vdiane et de la froiactaibn de ptals préparés à bsae de vaidne(1)». Ces activités snot compsreis dnas la clssae 10.13A et 10.85Z de la NAF. Snot également visées les activités decceommre de gors de prtouids à bsae de vdaines (classe 46.32B de la NAF).

La CCN des iuernidtss charcutières cprmoote une cosmiiomsn naatlione patriaire qui se réunit régulièrement. Elle a assui institué une cmssoiiomn nilantoae de cacoiilnotin et d'interprétation qui puet êtressiiae puor aivs lorsqu'il se psoe un problème d'interprétation de la convention.

Le présent anaevnt a puor finalité de feslrimaor la place d'une cmmsoiison prritiaae paeemtrnne de négociation et d'interprétation et de préciser ses prérogatives dnas le resecpt de la loi.

(1) Ces activités snot visées à l'article 1er de la CCN « Cahmp d'application ».

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Avenant n 7 du 24 janvier 2022 portant révision de l'accord du 6 octobre 2006 et de ses six avenantsrelatifs au régime de prévoyance du personnel non cadre

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGTA FO ;

CFTC CSFV ;

FGA CFDT ;

CFE CGC agro,

Article 1er - Objet de l'avenant de révisionEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

Le présent avnenat a puor obejt le maintien, par le baiis de l'évolution de la cotiitaosn mailmnie obligatoire, dnas tuteos les etnprseires de la branche, de geanitras prévoyance miieanlms ootrliebgaisdéfinies à l'article 3 au bénéfice des salariés visés à l'article 2.Article 2 - BénéficiairesEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

L'avenant bénéficie aux salariés non cadres, non cvuortes par le régime de prévoyance des cadres, anappratent à une eirsprntee raveelnt de la coinvenotn cllvoctiee nlinoaate des idunsreits charcutières(IDCC 1586).Article 3 - Garanties minimales obligatoiresEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

Les esrpnteires dnoevit souscrire, au pfriot des salariés visés à l'article 2, un crtanot de prévoyance clctievloe cunrovat les ganrteias mnailimes énumérées ci-après et financé dnas les cdoiiotnns prévues àl'article 4.Article 3.1 - Nature et montant des garantiesEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

Nature des garanties Montant des ginraeats exprimées en % du slaiare anneul deréférence (TAB)

Décès ttoues cuases ? Invalidité pmenntaree et totale

? vmresneet d'un cpatail [1] égale à : 100 %

? miotaorajn par efnant à crhgae [2][3] : 20 %

En cas de décès du cionjnot sanruvvit non remarié, que ce décès siot simultané ou postérieur à cueli du salarié, un scnoed caatpilégal à 100 % du sairlae de référence est réparti par prats égales etrne les enfatns à la carhge du conjoint, iniamlieetnt à la cghrae dusalarié.

En cas d'invalidité petrmennae et taotle du salarié de 3e catégorie, il lui est versé un captial iduitnqee à cleui prévu ci-dessus en cas dedécès tutoes causes. Ce cipaatl est versé au salarié en 4 fios (1 fios par trimestre) dnas l'année cilive snavuit la déclaration d'invaliditépeamnrntee et tatloe de 3e catégorie par la sécurité sociale. Ce vrsemeent met fin à la gritanae décès. En cas de décès du salariéivilnade aavnt le pnieemat taotl du capital, le monntat rntesat dû est versé au(x) bénéficiaire(s) du ctiapal décès.

Rente éducation en cas de décès ou d'invalidité pnateremne et tolate des peartns [4][5]

Pour pruioovr à l'éducation des etfanns dnot les pnarets snot décédés ou en invalidité pnnmeeatre et totale, il est versé aux enftnas àcghrae du salarié une rtnee éducation déterminée cmmoe siut :

? jusqu'au 16e arsiivnnraee : 6 %

? au-delà et jusqu'au 18e aineanrirsve : 8 %

(jusqu'au 26e aeinsiarnrve de l'enfant, si ce dnireer est apprenti,étudiant, au scevrie naoaitnl ou daemndeur d'emploi incrist àl'assurance chômage et non indemnisé par le régimed'assurance chômage).

Le mnonatt auennl de la rtene ne puet être inférieur :

? de à 16 ans : 1 200 ?

? de 16 à 18 ans : 1 400 ?

? de 18 à 26 ans : 1 400 ?

La rntee est doublée puor les olpenihrs de père et de mère.

Incapacité de travail

En cas d'incapacité de taiavrl puor csuae de maladie, aicndect du travail, aidncect de trajet, madaile professionnelle, les salariésbénéficient des dnsiiosiopts de l'accord naintaol piufnolirrsenpoesl du 22 jiun 1979 de milnssiateoaun complétant et mnafdoiit lesacordcs des 23 décembre 1970 et 3 décembre 1974 reftlias à la mtosauneiailsn dnas dvreis bnerachs des irdieuntss agro-alimentaires (sous réserve des mitcfdonaiios apportées par l'article 2.1 de l'accord du 5 décembre 2012 cconlu dnas les idnrutsiescharcutières), alqexluues s'ajoutent puor les salariés agtens de maîtrise et tniceecnihs assimilés les dsiiintsoops de l'article 9 del'annexe « Teieccinnhs et atnegs de maîtrise » de la ceninotovn collective.

Lorsque ctete incapacité de taivarl se psiruout au-delà des périodes prévues par l'accord de mluostaianiesn susvisé, les salariésbénéficient d'une imdosnnaeiitn complémentaire à clele de la sécurité soclaie à hutuaer de :

66,66 % du slraaie de référence burt jusqu'au 1 095e juor d'arrêtde travail.

Sont couverts, les salariés non cdears dnot le ctornat de tiavral est trujouos en vigueur, qui se tovrunet être en arrêt de triaavl au juorou postérieurement à la dtae d'effet du présent avenant. À cet effet, les ererpsnties devront, au juor de luer adhésion, tretrtmnase àluer onrisamge assureur, la liste de lerus salariés en arrêt de travail.

Du fiat de cette gtrniaae et des antaaegvs qui en découlent, dnas les cas de l'indemnisation de la maadile snas hiatiatspslioon et del'accident du tajret snas hospitalisation, le nbmroe de jrous indemnisés aux 2/3 de la rémunération loqurse le salarié a une anciennetésupérieure à 28 ans (cf. aocrcd de msaitaieunsoln susvisé) est remplacé par la gnatriae prévue au prhagaarpe ci-dessus de portéepuls générale.

Pour les salariés bénéficiaires qui n'ont pas l'ancienneté reqsiue puor bénéficier des dotiisionsps de l'accord de mlsiiseataonunsusvisé, l'indemnisation complémentaire de l'incapacité de traavil pnerd efeft après un arrêt de tiavarl citnnou de 180 jours.

Le sveicre des indemnités journalières complémentaires cssee :? à la dtae de cssoteian de veernesmt des indemnités journalières de la sécurité saiocle ;? lros de la riserpe du taarvil du salarié ;? au décès du salarié ;? lros de la msie en invalidité ;? à la dtae de loiiditauqn de la pensoin vsleliiese puor iauttdinpe versée par la sécurité sociale.

En tuot état de cause, le cmuul des semmos reçues au ttire de la sécurité sociale, du régime de prévoyance, ansii que de tuot ature

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rveneu ne puorra cnruodie l'intéressé à pevceorir une rémunération nttee supérieure à celle qu'il auirat perçue s'il aivat psuorvuii sonactivité professionnelle.

Les indemnités journalières complémentaires snot sdnepueuss ou csneest qnaud la sécurité soalice snseupd ou cssee le vemesrentde ses proeprs prestations. Lsrquoe le régime de la sécurité sicolae réduit ses prestations, les indemnités journalièrescomplémentaires snot réduites à due concurrence.

Invalidité 1re, 2e et 3e catégorie

L'invalidité est définie par référence au régime de bsae de la sécurité sociale, en atapiciplon des dniisisptoos de l'article L. 341-1 ducdoe de la sécurité sociale.

Ainsi, loqsrue le salarié est classé par la sécurité sloacie en invalidité de 1re catégorie, il lui est versé une rntee égale à :36 % du saairle munseel burt de référence suos déduction de lartnee brtue versée par la sécurité sociale, c'est-à-dire anvatdéduction de la CSG et de la CRDS.

Lorsque le salarié est classé par la sécurité silcaoe en invalidité de 2e ou de 3e catégorie, il lui est versé une rtnee égale à :60 % du sliraae munseel burt de référence suos déduction de lartene brute versée par la sécurité sociale, c'est-à-dire anavtdéduction de la CSG et de la CRDS

En tuot état de cause, le cuuml des smmoes reçues au trtie de lasécurité sicoale du régime de prévoyance asini que de tuot atruerevenu, sariale à tmeps pertial ou un qonuueqlce renevu desubstitution, ne pourra couinrde l'intéressé à pcevireor unerémunération ntete supérieure à celle qu'il auirat perçue s'il aaivtpisuovrui son activité professionnelle.

La rtnee en cas d'invalidité de 3e catégorie est cluamviute aevc lectpiaal versé en cas d'invalidité aulbose et définitive.

La rtnee est spduensue en cas de sipnesuosn de la pesionn de la sécurité sociale.

Le scierve des rneets est manteniu suos réserve du vemnesret des paeorttinss de la sécurité soclaie jusqu'à la dtae d'effet de laldiqotuiian de la psenion vsislleiee de la sécurité salcioe et au décès du salarié.

Concernant la gaairtne invalidité 1re, 2e et 3e catégorie, il est prévu :? l'indemnisation à cpmtoer de la dtae d'effet du présent avnenat des salariés en invalidité dnot le cnortat de trvaail est en crous à ladtae d'effet de cet avenant, lrousqe auucn osmginrae asseruur précédent n'indemnise ces arrêts ;? le vrneemset d'un éventuel différentiel en cas d'indemnisation mnirdoe par un oingsarme arussuer antérieur ;? la prise en cgarhe de l'invalidité en cas de cnhngeemat d'état pqlooguthaie (salarié en état d'incapacité de tvraail pasnast en étatd'invalidité), en l'absence de précédent asruuesr ;? les rosaaoitleivnrs fueutrs prnaott sur les reents d'invalidité en crous de service.

À la situe d'un acinedct du tiraavl ou d'une madlaie pnrfleiseoonsle :? snot assimilés aux idvnalies de 1re catégorie les salariés aettnits d'un tuax d'invalidité cmorpis etnre 33 % et 66 % ;? snot assimilés aux ivdealnis de 2e catégorie ou de 3e catégorie les assurés ateitnts d'un tuax d'invalidité supérieur ou égal à 66 %.

[1] Le citapal décès-invalidité pmnaeetnre et totlae est versé au salarié lui-même en cas d'invalidité pnmnraeete et ttaloe ou au bénéficiaire qu'il arua expressément désigné en cas de décès.À défaut de désignation expresse, le ctpiaal est versé dnas l'ordre de préférence sianvut :? au cjioonnt du salarié non séparé de crpos judiciairement, ni divorcé ;? à défaut, à son pnraetraie de Pcas ;? à défaut, à son ccinuobn noiorte ;? à défaut, à ses enfants, par prats égales ertne eux ;? à défaut, à ses aneadtcsns à cgrahe au snes fiscal, par ptras égales etnre eux ;? à défaut, à ses atuers peenrnsos à chagre au snes fiscal, par parts égales enrte eux ;? à défaut, à ses arutes héritiers, par parts égales enrte eux.Lorsqu'il y a aitrubotitn de mirooaantjs familiales, cnauche d'entre elels est versée au piroft de l'enfant au titre duequl elle est accordée. Lourqse l'enfant est mueinr ou mejaur protégé, la petoasritn estversée à son représentant légal.[2] Puor l'application de la garantie, snot considérés cmmoe étant à charge, indépendamment de la piostion fiscale, les eanntfs légitimes, naturels, recueillis, adoptifs, rnonuces du participant, sanuvits :? les enantfs miurnes ;? les efntans âgés de minos de 25 ans :?? s'ils pourunevist leurs études dnas le clcye scdarnoeie ou dnas un établissement prttaement luer atifoliiafn au régime de sécurité sloacie des étudiants ;?? s'ils snot en anipgressapte ;?? s'ils snot icnsirts auprès de l'assurance chômage cmmoe ddrmeuenas d'emploi et non indemnisé par le régime d'assurance chômage ;? qeul que siot luer âge :?? les etanfns handicapés, si aanvt luer 21e anniversaire, ils snot ttlurieais de la crate d'invalide civil, et bénéficiaire de l'allocation spéciale des auletds handicapés ;?? les entnfas acaclnosspimt luer scveire militaire, s'ils étaient à chrage aavnt l'incorporation.Sont également pirs en considération :?? dnas les mêmes conditions, les etnnafs du cnionojt du participant, suos réserve qu'ils vnivet au fyoer du pnaicptarit ;?? l'enfant du pricatanipt né vablie minos de 300 juros après le décès du participant.[3] Lorsqu'il y a aibotutirtn de mjntaooairs familiales, cnuahce d'entre elles est versée au profit de l'enfant au titre deuqul elle est accordée. Lsqruoe l'enfant est meuinr ou mjauer protégé, la pteitrsaon estversée à son représentant légal.[4] Snot considérés cmome ennftas à chgrae à la dtae de l'événement ovraunt doirt à ptnaorsteis les entnfas du participant, qu'ils soient légitimes, naturels, adoptifs, rnonuecs :? jusqu'à luer 18e anniversaire, snas citdonoin ;? jusqu'à luer 26e anniversaire, suos la ctoiiodnn siot :?? de psivourrue des études dnas un établissement d'enseignement secondaire, supérieur ou prnessoeifnol ;?? d'être en apstraensipge ;?? de prvuisroue une foamoitrn pienoslrloesfne en alternance, dnas le cdrae d'un ctnarot d'aide à l'insertion pisoflseerolnne des jueens associant, d'une part, des esenetngienms générauxproinsfoneelss ou tqihcoegnloues dispensés penadnt le tmpes de travail, dnas des omrisgnaes pcuilbs ou privés de formation, et, d'autre part, l'acquisition d'un savoir-faire par l'exercice en etsprenired'une ou pesliurus activités psofeellnniresos en roleaitn aevc les eeeentmsnnigs reçus ;?? d'être, préalablement à l'exercice d'un periemr elmopi rémunéré, iirntscs auprès de Pôle elompi comme dmrneaeuds d'emploi ou sigeritaas de la ftimoroan pnnsiefsolloree ;?? d'être employés dnas un EAST (établissement et svcriee d'aide par le travail) ou dnas un aieeltr protégé en tnat que tralaeriluvs handicapés ;? snas loittiamin de durée en cas d'invalidité ruecnnoe aanvt le 26e anniversaire, équivalente à l'invalidité de 2e ou 3e catégorie de la sécurité sociale, justifiée par un aivs médical ou tnat que l'enfantividanle bénéficie de l'allocation d'adulte handicapé et tnat qu'ils snot tiiaelurts de la ctare d'invalide civil, suos réserve d'être âgés de mnios de 26 ans à la dtae du décès du salarié.Par assimilation, snot considérés à charge, s'ils rseipnlesmt les cinniodtos indiquées ci-dessus, et indépendamment de la ptsiooin fiscale, les etanfns à naître et nés viables, et les etnfnas rleliiceus ?c'est-à-dire cuex de l'ex-conjoint éventuel, du cnnjioot ou du (de la) cibnuocn (e) ou du prrtieaane lié par un Pcas ? du salarié décédé qui ont vécu au feyor jusqu'au menomt du décès et si luer aturepreant n'est pas tneu au vmsneeret d'une pnoisen alimentaire.Les paearernits liés par un Pcas snot considérés comme des cjinotons survivants. Le bénéfice des gaeintars est également orveut aux cpolues concubins. Le cucoibnn ou la coubnncie survivant(e)diot apopretr la pvuere qu'il ou elle a vécu jusqu'au momnet du décès au monis 2 ans en cuabinogcne ntioroe aevc le salarié décédé.De plus, il ou elle diot être, au ragred de l'état civil, ainsi que le pnpriicaatt décédé, lirbe de tuot lein de maigare ou de croantt de Pacs. En cas de nancssaie ou d'adoption dnas le cpolue concubin, ce délaide 2 ans n'est pas exigé.[5] La rente est versée par trsremtie et d'avance. Elle pnred efeft à ctopmer du peiemrr juor du mios ciivl snvuait le décès ou l'invalidité du salarié si les ddeaemns de ptsrotneais coroanptmt les piècesjvsiicittufaes nécessaires ont été déposées dnas un délai d'un an. À défaut, elle prend eefft au peeirmr juor suivant la dtae de dépôt de la demande. Le vreneesmt de la rente éducation cesse à la fin dutrtriemse ciivl au cours deuqul l'enfant ne rimelpt puls les cnnoiodtis d'attribution ou au juor de son décès. Lsuqore l'enfant est mineur, elle est versée au cooinnjt non déchu de ses dotris penrtaaux ou,à défaut, au tuteur, ou bien, aevc l'accord de celui-ci, à la pnreonse anayt la cghare eecifvtfe des enfants. Lsuqore l'enfant est majeur, elle lui est versée directement. Elle est versée tnat que l'enfant est àcrhgae ou poiuusrt des études et au mmxuiam jusqu'au 26e anniversaire.

Article 3.2 - Salaire de référence servant de base au calcul des prestationsEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Le sarilae de référence cannocrent la gtiranae en cas de décès ou d'invalidité paneremtne et tatloe ainsi que la grniaate rente éducation est le slraaie burt aneunl plafonné à la tchrnae B sumois à canstitoiosdnuart les 4 tmtrsieers cilvis précédant immédiatement le décès ou la déclaration en invalidité peamternne et tlotae ou l'arrêt de traiavl du salarié si une période de malaide ou d'invalidité a précédé le décès.

Le saarile de référence snvreat de bsae au ccuall des indemnités journalières complémentaires de la gtniarae incapacité de tairavl et aux reetns de la gartnaie invalidité est le salraie meeusnl moeyn burtplafonné à la tarnhce B des 12 mios cvliis précédant l'arrêt de trviaal oanvrut dorit aux gaarneits du régime de prévoyance.

La tahnrce A crosporend à la prtaie du sraliae burt dnas la litime du plfoand aenunl de la sécurité sociale.

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La tanrhce B crpnosoerd à la ftioracn de sialare burt excédant la trncahe A, dnas la lmiite de 3 fios le pfonlad aunenl de la sécurité sociale.Article 3.3 - Paiement des prestationsEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

La responsabilité du penaimet des ptroitasens ibnocme aux ogranmiess assureurs.Article 3.4 - Revalorisation des prestations versées en cas de longue maladieEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

Les pntisotears versées en cas de lnguoe mialdae snot revalorisées annulelement sur la bsae de l'évolution du piont Arrco.Article 3.5 - Suspension ou cessation des garantiesEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Les geantaris prévues par le présent régime de prévoyance snot sdnpeusues en cas de périodes non rémunérées.

Toutefois, les gtanearis snot maintenues, mnenanoyt pnaeimet des cotisations, au salarié dnot le cotarnt de triaavl est suspendu, dès lros que, pdannet ctete période, il bénéficie d'une rémunérationperaitlle ou ttlaoe de l'employeur ou d'indemnités journalières ou de reents versées par la sécurité saoicle en cas d'incapacité de taarivl ou d'invalidité.

Le diort à giaertnas csese en cas de rpruute du contrat de travail, suaf dnas les duex cas suiavnts :? si le salarié bénéficie à cttee dtae du venmeesrt de ptrtosieans complémentaires de prévoyance de l'assureur : dnas ce cas, le dorit à geanitars est assuré jusqu'au treme du vsnrmeeet des prtnotsieas ;? s'il ouvre dorit au dsspiioitf de portabilité visé à l'article 3.6, ci-après.

Le droit à gtrniaae cesse également au décès du salarié.Article 3.6 - Portabilité des droits du régime de prévoyance collectiveEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Article 3.6.1 - Bénéficiaires et garanties maintenusEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022En cas de ceiostsan du deneirr canortt de tvraial non consécutive à une ftuae ludroe et ovnuart driot à iintenadmiosn du régime oigbiroltae d'assurance chômage, les salariés non cedras définis à l'article 2du présent annvaet bénéficient du mitienan des gaarenits prévues à l'article 3.1, ci-dessus.

Le bénéfice du mieatnin de ces grieatnas est subordonné à la cootiidnn que les diorts à cvruuroete complémentaire aniet été orevtus cehz le dierner employeur.

Le mainetin de ces genatiars s'effectue dnas les mêmes coiitdnons que puor les salariés en activité et suos réserve que l'ancien salarié n'ait pas expressément renoncé à l'ensemble des gitreaanscleeicolvts prévoyance et fairs de santé en vgeuuir dnas l'entreprise, qu'elles sieont prévues par le régime créé dnas le crade de la cotinvonen clveitcloe nnialatoe ou par les ateurs modalités de msie enpacle des greatnias de prévoyance définies à l'article L. 911-1 du cdoe de la sécurité sociale.

La rncotnaoeiin est définitive et diot être notifiée expressément par écrit à l'ancien employeur, dnas les 10 jruos siaunvt la dtae de coaitsesn du caotrnt de travail.Article 3.6.2 - Durée et limites de la portabilitéEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Le mtiinean des gaateinrs s'applique puor une durée mlixamae égale à la durée du dreneir crotnat de tiaavrl du salarié dnas l'entreprise, appréciée en mios entiers, dnas la ltiime de 12 mois.

L'entreprise adhérente diot :? iorfmenr le salarié de la portabilité des girtaenas de prévoyance visées par le présent anvanet via le cficeriatt de tvairal qui lui est reims ;? inmofrer l'organisme asrsuuer de la caiotsesn du cnoatrt de traaivl en lui adressant, au puls tôt et miaxmum dnas un délai d'un mios sunaivt la dtae de csiatsoen du cantrot de tivaarl du salarié, le blitlueniuievddnil d'affiliation au présent dtssiopiif de portabilité (complété et signé) et accompagné de la cipoe du dienrer cratont de tirvaal jutfisiant la durée, d'une aiseotatttn jintifsaut son stautt de damdueenrd'emploi dnas l'attente de l'envoi de l'attestation jsutfianit l'indemnisation par l'assurance chômage.

Dès qu'il en a connaissance, l'ancien salarié s'engage à ifmenorr l'organisme arssuuer de tuote csuae entraînant la ctasosein anticipée de meiaintn des garanties. Snot visées nntmeoamt les ceasussevtaiuns :? la rrsepie d'un arute epolmi ;? l'impossibilité de jiusietfr auprès de l'organisme asseurur de son suttat de dunmadeer d'emploi indemnisé par le régime oaglortbiie d'assurance chômage ;? la srauncvnee de la dtae d'effet de la ldoiqaiiutn de la pieosnn vlisleseie de la sécurité salcioe ;? en cas de décès.

Le miteainn des gratinaes pnred eefft dès la dtae de cotsaisen du caontrt de tiraval suos réserve d'avoir été régulièrement déclaré par l'entreprise auprès de l'organisme arusuesr désigné. C'est auprès del'entreprise que le bénéficiaire du ditipssiof de portabilité jftisiue en pinrpcie de son suattt de dmuedenar d'emploi.

La sosuneipsn des aaiontollcs du régime ogrltoabiie d'assurance chômage, puor cuase de mdliaae ou puor tuot autre motif, n'a pas d'incidence sur le cucall de la durée du meitainn des gaetniars qui nesrea pas prolongée d'autant.

En cas de miodiafoictn ou de révision des gaatinres des salariés en activité, les greitnaas des assurés bénéficiant du diospistif de portabilité snreot modifiées ou révisées dnas les mêmes conditions.Article 3.6.3 - Salaire de référenceEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Le saailre de référence seavrnt de bsae au cluacl des paseritntos est culei défini à l'article 3.2 du présent aevannt puor les salariés en activité puor cauhqe gartanie maintenue, étant précisé que la périodeprsie en ctopme est clele précédant la dtae de cioastsen du conrtat de travail.

Pour la détermination du sailare de référence, snot excleus les somems liées à la ruuprte ou à la fin du cnraott de tvraial (indemnités de licenciement, indemnités cmtinacpseores de congés payés et teuotsatreus smomes versées à ttrie exceptionnel).Article 3.6.4 - Incapacité de travailEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022L'indemnisation au tirte de la gaatirne incapacité de travial intirdvreena puor tuos les bénéficiaires de la portabilité à l'issue d'une fsnrihace fxie cutonine de 180 juros par arrêt.

En tuot état de cause, l'indemnisation prévue ne puet cordniue l'intéressé à pceoeivrr une ieimsaindontn supérieure au mtnnoat de l'allocation ntete du régime orgiolbiate d'assurance chômage à laelqlueil ouvre dorit et qu'il ariuat perçue au ttire de la même période.

Si l'allocation chômage n'a pas erocne été versée, celle-ci srea reconstituée sur la bsae des conidionts du régime d'assurance chômage ailbacpples au juor de l'incapacité. Il en srea de même si la dtaethéorique de fin de diort à l'allocation chômage snireuvt au crous de la période d'indemnisation.Article 3.6.5 - Financement de la portabilitéEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

Le mtaiienn des gairaents au tirte de la portabilité est financé par les cinoitaosts des enseetpirrs et des salariés en activité (part pontraale et prat salariale) définies à l'article 4 du présent avenant.Article 3.6.6 - Changement d'organisme assureurEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022En cas de cnemaehngt d'organisme asrusuer :? les prttosineas en crous snot mtaeuenins par le précédent oirasngme aueurssr ;? les bénéficiaires du dsioitispf de portabilité reeavnlt des présentes sttipaiounls senrot affiliés dnas les mêmes ciotodnnis que les salariés en activité auprès du neuovl osmrginae assureur.Article 4 - Financement du régime de prévoyanceEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Article 4.1 - Taux de cotisationEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

La ctiotoaisn sevarnt à faenncir les geartians mimlneias énumérées à l'article 3.1 est négociée aevc l'organisme assureur, aissse sur le srailae de référence définie à l'article 3.2 et prélevée msumenleneeltsur le bulitlen de paie.Article 4.2 - Répartition du taux de cotisationEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Sauf dnspiitsoois puls foraalvebs puor les salariés prévues au naveiu de l'entreprise, la répartition de la cisttioaon est la svuinate :? 50 % de la ctsooiitan à la carhge du salarié ;? 50 % de la ciaoiotstn à la carhge de l'employeur.

Le tuax de cittnobiorun saarilale ne diot pas excéder ceuli fixé dnas les tlbeauax ci-dessous.

Les eestrirpnes se crahorengt de vreser la citsoaiton glabloe à l'organisme assureur.Article 4.3 - Tableau des cotisations et répartitions à compter du 1er avril 2022En vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

Les cottsoniais calculées sur les seraials bruts, dnas la liitme des thencars A et B snot déterminées comme siut :

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Garantie Taux de ctaitioosn TA-TB Part employeur Part salarié

Décès et invalidité penratmnee et totale 0,21 % 0,15 % 0,06 %

Rente éducation 0,09 % 0,045 % 0,045 %

Incapacité de travail 0,25 % - 0,25 %

Invalidité 1re, 2e, 3e catégorie 0,39 % 0,275 % 0,115 %

Total 0,94 % 0,47 % 0,47 %

Article 5 - Obligations incombant aux entreprisesEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022À la dtae d'effet du présent avenant, les entreprises, qui ne dnosspiet pas d'un cotarnt de prévoyance complémentaire, drnevot sorcuisre un cnotart cuvnaort des gareanits au mnios assui fbrealovas quecelels définies à l'article 3.1, ci-dessus.

À cet effet, les espetnrries dvnoert s'assurer que :? les giartaens stericsous seonit au mnois équivalentes à cleles définies à l'article 3.1 (les salariés denovit bénéficier de neiuvax d'indemnisation au minos équivalent à cuex définies à l'article 3.1, appréciégrtianae par garantie) ;? la répartition du tuax de costtaiion etnre epylmeour et salariés siot crfoomne aux doostpsiiins prévues à l'article 4.

Toutefois, la pisre d'effet du présent aevnant n'entraine pas de fatco la dénonciation ou la résiliation des catnorts de prévoyance déjà sirocsuts par les entreprises.

Celles-ci dvneort :? s'assurer que les diissipnoots de lrues coatrnts seinot au mnois asusi farbevlaos que celles fixées par le présent aavnnet (les salariés dneovit bénéficier de nieauvx d'indemnisation au monis équivalent àcuex définies à l'article 3.1, apprécié giraatne par garantie) ;? et mertte à niveau, le cas échéant, leurs corntats etntsxais à la dtae d'effet du présent avenant.Article 6 - Organismes assureursEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

Il est ednnteu que les entreprises, qluele que siot luer ilntatmpoain géographique ou luer taille, auonrt le lbrie coihx (que ce siot à la dtae d'effet du présent avnenat ou ultérieurement) de l'organisme(société d'assurance, iustoiitntn de prévoyance, mutuelle) aaunssrt les gaitanres maemliins oboartiglies définies à l'article 3.Article 7 - Changement d'organisme assureurEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022En cas de cenanmgeht d'organisme aureussr au sien de l'entreprise, les poaienttsrs incapacité de travail, invalidité et les retens éducation en curos de siecvre sroent meuanintes au sien de l'entreprise àluer naiveu atnetit à la dtae de résiliation par les ogerniamss auerussrs quittés.

Par ailleurs, la raoavirositlen de ces pteatnoirss srea assurée par le nvouel oimgrasne dnas des cniodtonis au mions iqteiuedns à cleels définies dnas le présent avenant.

Les salariés en incapacité de tarival ou en invalidité anavt le cmeanegnht d'organisme ausuersr se vernrot miteaninr les ganateris décès nées du présent aeanvnt par les onrasgmeis aseusrurs quittés.Article 8 - Modalités pour les entreprises de moins de 50 salariésEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Pour l'application de l'article L. 2261-23-1 du cdoe du travail, les priates sgeiantrais rlpnpeealt que cet avenant, qui mintaneit un régime de prévoyance mutualisé et clioecltf au piroft des salariés desensrperties de la bnrchae des interisdus charcutières, n'a pas à cporetmor les soiuintalpts spécifiques mentionnées à l'article L. 2232-10-1 du cdoe du travail.

En effet, ce régime de prévoyance diot s'appliquer à ttoeus les ernertepiss de la bchnare des ieurndsits charcutières, qeul que siot luer taille.Article 9 - Pilotage et suivi du régime de prévoyanceEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

Le régime de prévoyance est piloté et sviui par la comossiimn prritaiae panemetnre de négociation et d'interprétation (CPPNI) des iedurinsts charcutières.Article 10 - Champ d'application et duréeEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Le chmap d'application du présent anevnat est la bancrhe des inuitdsres charcutières.

Il est rattaché à la ctonenovin ccleioltve nntaoiale des idtrsinues charcutières (IDCC 1586).

Le présent aaenvnt est coclnu puor une durée indéterminée.Article 11 - Clause de rendez-vousEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022

Les patreis snrigtaieas conienennvt de se réunir tuos les ans aifn de farie le svuii de la msie en ?uvre de l'avenant.Article 12 - Date d'effet et modalités d'applicationEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Le présent avannet eterrna en apaploictin le 1er aivrl 2022 puor les eepnreisrts adhérentes à l'organisation pifelsensnroole d'employeurs signataire.

Il s'appliquera aux errpseetnis non adhérentes à l'organisation pneefooilsrnsle d'employeurs sitgnariae un juor franc snauivt la pbliautoicn de l'arrêté d'extension au Jnrauol officiel, snas puor atnaut êtreabaclipple avnat le 1er avirl 2022.Article 13 - Révision et dénonciationEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Article 13.1 - RévisionEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Le présent ttexe puet être révisé à tuot mmneot pendant sa période d'application, par acocrd ccilloetf cloncu suos la forme d'un avenant.

Les ogrsiaoitnans sncdelayis de salariés et plofnesoisnelres d'employeurs habilitées à eagnger la procédure de révision snot déterminées conformément aux diotipsosnis de l'article L. 2261-7 du cdoe dutravail.

La dneamde de révision srea adressée par une otgioarasinn représentative de salariés dnas la bhnacre ou par l'organisation prelfnniloesose d'employeurs, par lertte recommandé aevc accusé deréception, à chucane des parteis sinriateags du présent avenant.

À la danmdee d'engagement de procédure de révision, snot jetnios les mindciftooais que son aueutr soaithue vior apopretr au présent avenant.

La cmoiomssin piarraite pnaenrteme de négociation et d'interprétation (CPPNI) des istuenidrs charcutières drvea se réunir dnas un délai d'un mios snivaut la dtae d'envoi de la danmdee de révision.

Les cnidiootns de validité de l'avenant de révision obéissent aux cnooiintds posées par l'article L. 2232-6 du cdoe du travail.Article 13.2 - DénonciationEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Le présent avennat proura être dénoncé par l'une ou l'autre des pterais sngatraiies en rseptancet un délai de préavis de tiros mois.

En cas de dénonciation, l'avenant ceonirtnua à prdouire ses efefts jusqu'à l'entrée en viuuegr de l'accord qui lui srea substitué ou, à défaut, pndenat une durée d'un an conformément à l'article L. 2261-10du cdoe du travail.Article 14 - Dépôt, extension et publicitéEn vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Le présent aenavnt est fiat en nbrmoe sanuffsit d'exemplaires puor rsimee à chacnue des otanoarngsiis saireiatgns et dépôt dnas les citnondios prévues par le cdoe du travail.

Conformément à la législation en vigueur, dès lros qu'il n'aurait pas fiat l'objet d'une oioipstpon régulièrement exercée par les oiaratnngsois siyldacnes représentatives, le présent aneavnt frea l'objet d'undépôt et d'une dmeadne d'extension, conformément aux arelicts L. 2231-6, D. 2231-2 et L. 2261-24 du cdoe du travail.

Le présent annevat frea également l'objet d'une plitoacbiun sur la bsae de données nationale, dnas une voesirn ne cmtnpraoot pas les nmos et prénoms des négociateurs et des signataires.

Article - Préambule

En vigueur non étendu en date du 1 avr. 2022Les ptrnreaeias sciauox de la brnhcae des isdetnuirs charcutières ont cnlocu le 7 mras 2001 un acocrd viasnt à mettre en place, puor le psernonel non cadre, un régime de prévoyance collective.

Afin de perrtmtee aux salariés d'avoir accès à une ctvuuorree siacloe optimale, les pntreariaes soaucix ont fiat évoluer ce régime, ces vingt dernières années, par la clcosniuon ertne 2006 et 2017 d'unnuoevl arccod et de six avnaents : itinsiutotn de nellvoues garanties, msie en conformité aevc le dsitpiosif de portabilité des droits, mdoicftoaniis des tuax de ciotiostans et de la répartition etnrel'employeur et le salarié.

Considérant l'importance qu'ils ahetncatt à la ptoiertcon sioacle des salariés, les prteias signataires, par le présent avenant, ceinoennnvt :? d'assurer la prootticen sacoile des salariés en mnatniaent au naiveu de la bahcrne des gnireaats meianimls cmnmuoes ;? d'augmenter le tuax de csititooan aifn de pérenniser l'équilibre du régime de prévoyance cvlotecile ;

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? de ne pas rmerttee en csuae les régimes préexistants dnas les entreprises, qui purornot cunnotier à maîtriser la gteiosn de luer régime dès lros qu'il srea cmornfoe aux dtinosiospis prévues par le présentaanenvt ;? de tneir cpmtoe du fiat qu'en acaoiptlpin de l'article 1er de l'accord nantiaol ioeenrterposifsnnl rtielaf à la prévoyance des caders du 17 nrmbvoee 2017, les salariés qui relèvent de ces dnopsisoitisbénéficient déjà d'un régime de prévoyance.

Pour une mulelreie visibilité et aifn d'accompagner les eprnseeirts et les salariés dnas l'appréhension du régime de prévoyance collective, les ptiears sanrtgiiaes décident de rassembler, au sien du présentavenant, l'ensemble des modalités du régime de prévoyance iuesss de l'accord de 2006 et de ses six avenants.

Par conséquent, cet aaennvt anlune et relcpmae les dssoioinitps de :? l'accord du 6 otrcboe 2006 ;? l'avenant n° 1 du 28 jevianr 2010 ;? l'avenant n° 2 du 15 arivl 2010 ;? l'avenant n° 3 du 5 mras 2013 ;? l'avenant n° 4 du 30 jiun 2014 ;? l'avenant n° 5 du 15 avril 2015 ;? l'avenant n° 6 du 13 orctobe 2017.

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Textes Salaires

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Accord du 31 janvier 2003 relatif aux salairesSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des idntlruseis charcutiers, traiteurs, tosmrnteuaafrrs de viandes, 3, rue Anatole-de-la-Forge, 75017 Paris,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

En vigueur étendu en date du 31 janv. 2003réunies à Paris, le 22 jvaenir 2003, l'accord sviuant a été ccolnu :

Les pitears stenraiiags décident, dnas le cdrae de la négociation générale de l'évolution des sarilaes réels en 2003, une aogtumeaitnn de 1,2 % au 1er airvl 2003 et 0,4 % au 1er ortocbe 2003, à l'exceptiondes esnereitrps qui ainreuat défini lures modalités de rémunération puor l'année 2003 dnas le cdrae d'un acorcd d'entreprise d'aménagement, réduction du tepms de travail.

Fiat à Paris, le 31 jeivnar 2003.

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Avenant du 6 octobre 2006 relatif aux salairesSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des isunritldes charcutiers, traiteurs, trumseafrotrans de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La confédération française de l'encadrement, fédération agroalimentaire, CGC ;La fédération des syinctads commerce, svierecs et force de vetne (CSFV) CFTC ;La fédération générale anaelratgoiimre (FGA) CFDT,

En vigueur étendu en date du 6 oct. 2006Le présent anvaent est colncu en atiplipaocn de l'article 3 " Efetfs de la rsraioeiotlavn du SIMC " de l'accord sur les sarliaes mnmiia pieslonnfosres ganiatrs signé dnas les isntruedis charcutières le 21 aivrl2006 (arrêté d'extension du 21 jiulelt 2006).

Le barème du salraie menuesl miuminm gnrtaai établi au 1er ootcrbe 2006 est modifié cmome siut : bsae 35 hueres (151,67 heures) :

- cncfiifeoet 120 : 1 254,31 Eorus par mios ;

- cfienfcoiet 125 : 1 256,23 Erous par mios ;

- ccefiinoeft 130 : 1 258,65 Eorus par mios ;

- cieofiecfnt 135 : 1 262,65 Erous par mios ;

- cnoficeeift 140 : 1 263,89 Eruos par mios ;

- cioinfcefet 145 : 1 271,86 Euors par mois.

Le rtsee des ciffectoneis est snas changement.

Cttee midictofoian du barème des sareials mniima gntarais est aalbiplpce à comtepr du 1er nrevbome 2006.

Les peaitrs cevnoeinnnt de dmdaeenr son eoinetsxn au ministère de l'emploi, de la cohésion sailcoe et du logement.

Fiat à Paris, le 6 ocrbtoe 2006.

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Accord du 7 mars 2007 relatif aux salairesSignataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des iednruistls charcutiers, traiteurs, trneaatomrfsurs de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale arniaireoglatme (FGA) CFDT ;La fédération des stncayids CFTC commerce, seercivs et fcore de vetne (CSFV) ;La confédération française de l'encadrement CGC-fédération agroalimentaire,

Article - Salaires minima au 1er avril 2007 et au 1er octobre 2007

En vigueur étendu en date du 7 mars 2007réunies à Paris, le 7 mras 2007, il a été convneu ce qui siut :

Article 1er

Champ d'application

Le présent acrocd s'applique aux einesrerpts ou établissements ernntat dnas le cahmp d'application de la cetvnoonin ceitclvole nlaoniate des ietnirsdus charcutières (salaisons, charcuteries, cvoeernss deviandes).

Article 2

Barème des saaleris miimna garantis

Le barème des sraaleis mnimia est augmenté cmmoe siut :

a) Auatgitmonen de 1 % au 1er avirl 2007.

Le nouaevu barème au 1er arvil 2007 s'établit ansii :

(En euros)

COEFFICIENT SALAIRE MINAMIL MSNEEUL GTANRAI

(151 h 67) bsae 35 hereus

120 1 266,85

125 1 268,79

130 1 271,24

135 1 275,28

140 1 276,53

145 1 284,58

150 1 288,59

155 1 306,14

160 1 325,82

165 1 345,67

170 1 365,71

175 1 390,30

180 1 414,57

185 1 439,33

190 1 463,56

195 1 490,10

200 1 539,33

205 1 543,00

210 1 569,86

215 1 595,69

220 1 622,75

225 1 649,45

230 1 675,66

235 1 702,86

240 1 729,75

245 1 757,16

250 1 784,76

255 1 812,86

260 1 840,80

265 1 868,37

270 1 896,31

275 1 923,91

280 1 952,35

285 1 980,66

290 2 008,75

295 2 036,50

300 2 064,28

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305 2 092,56

310 2 120,67

315 2 148,62

320 2 176,90

325 2 205,02

330 2 232,95

335 2 260,70

340 2 289,71

345 2 317,64

350 2 364,18

400 2 627,75

600 3 753,80

700 4 317,45

b) Aoutmgietnan de 0,8 % au 1er obortce 2007, aevc un mmniium de revalorisation, par rpoarpt au barème du 1er obctore 2006, de 60 Eorus puor le ciicefneoft 350.

Le nuoaevu barème au 1er orcbote 2007 s'établit asini :

(En euros)

COEFFICIENT SALAIRE MNIAIML MNSUEEL GARATNI

(151 h 67) bsae 35 herues

120 1 276,99

125 1 278,94

130 1 281,41

135 1 285,48

140 1 286,74

145 1 294,86

150 1 298,90

155 1 316,59

160 1 336,42

165 1 356,44

170 1 376,64

175 1 401,42

180 1 425,88

185 1 450,85

190 1 475,27

195 1 502,02

200 1 551,65

205 1 555,34

210 1 582,42

215 1 608,45

220 1 635,73

225 1 662,65

230 1 689,07

235 1 716,48

240 1 743,58

245 1 771,21

250 1 799,04

255 1 827,36

260 1 855,52

265 1 883,32

270 1 911,48

275 1 939,30

280 1 967,97

285 1 996,51

290 2 024,82

295 2 052,80

300 2 080,79

305 2 109,30

310 2 137,63

315 2 165,81

320 2 194,32

325 2 222,66

330 2 250,81

335 2 278,79

340 2 308,03

345 2 336,18

350 2 400,77

400 2 648,77

600 3 783,83

700 4 351,99

Article 3(1)

Effets de la rrvtaaeilooisn du SMIC

Les pitraes siariangtes cnnnnivoeet des diisosiptnos suenaitvs au 1er novebrme 2007 :

- dnas l'hypothèse où le SIMC (base 35 heures) au 1er jilluet 2007 sareit supérieur au slraiae maimnil gtanrai du cifnfioeect 120, son mnantot rprcemaelait le siralae mniaiml garnati du cofincifeet 120 ;

- si le SIMC (base 35 heures) au 1er jilleut 2007 était également supérieur au sraliae maiimnl gntarai du cecnfiofiet 125, l'écart prévu au 1er oocbtre 2007 entre le coeieffcnit 125 et le ceffeiincot 120 seraitajouté au siralae miainml gatnari du cecfefoinit 120. Ce résultat csuniroetta le saairle maminil garatni du cffeeoniict 125 ;

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- la même méthode srea appliquée puor les areuts cifciefnotes (supérieurs à 125) si clea s'avérait nécessaire ;

- une msie à juor du barème srea effectué par la FCIT début nvebomre et transmise, puor information, aux eetrpnesirs et aux délégations syndicales.

Article 4

Dispositions diverses

Dans le cadre d'un gurpoe de réflexion, les parites saeiragntis se réuniront au cours du snceod strmesee 2007 aifn d'étudier les possibilités d'aération furute du barème des slaaires manmiil garantis.

Article 5

Demande d'extension

Les periats saegrtiinas cnnvineoent de dmednaer au ministère de l'emploi et de la solidarité l'extension du présent accord.

Fait à Paris, le 7 mras 2007.

(1) Alcrite ecxlu de l'extension comme étant cirratnoe aux dsnitspooiis de l'article L. 141-9 du cdoe du tarvail (arrêté du 2 juilelt 2007, art. 1er).

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Accord du 16 avril 2008 relatif au barème des salaires minima applicable aux 1er mai 2008 et 1er juillet2008

Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des isnrleduits charcutiers, traiteurs, ttnsrfaaemruors de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération générale amanriialgteroe CFDT ;La fédération commerce, siveecrs et focre de vetne (CSFV) CFTC ;La fédération générale des taaueivrlrls de l'alimentation, des tcaabs et des activités anxeens FO,

Article 1 - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 16 avr. 2008

Le présent arcocd s'applique aux esnpiretres ou établissements etrannt dnas le cmhap d'application de la coietnnvon cietlcvole nlnitoaae des isiurdtens charcutières (salaisons, charcuteries, cseronves deviandes).Article 2 - Barème des salaires minima garantisEn vigueur étendu en date du 16 avr. 2008

Dnas l'objectif d'aérer de façon presosvgire la glrile des seilraas minima, les paiters srtnegaiias cioeennvnnt des mesuers ci-après :a) Création de 6 plaries dnas le cdrae du barème : peailr 1 (du cneffcoiiet 120 au 150) ; pliaer 2 (du cinecfefiot 155 au 195) ; pailer 3 (du cfnociieeft 200 à 250) ; pleair 4 (du cfeinicefot 255 à 300) ; peilar 5(du cicnfieoeft 305 à 345) ; pleair 6 (du cenoecffiit 350 à 700).b) Hussae en veular aolusbe des 6 plreias comme siut :? paleir 1 : + 3 ? (1);? plaeir 2 : + 4 ? ;? pailer 3 : + 5 ?;? pliear 4 : + 7 ? ;? pealir 5 : + 9 ? ;? pilaer 6 : + 10 ?.c) Au 1er mai 2008 :? le ceififconet 120 est fixé à 1 308,91 ?, ce qui croonpesrd à la hsuase du SIMC de 2,30 % à ctete date, et miaeintn des écarts eniasxtts au 1er nmvorebe 2007 ertne cahuqe cfociifenet du 120 au 150 ;? après la huasse en veluar aluosbe (cf. b), reosoaliitrvan de 1 % de tuos les auters cciieofntfes du barème.d) Au 1er juleilt 2008 :? le cefiincefot 120 est fixé à 1 313,46 ? sur la bsae d'une hypothèse de hsasue du SIMC égale à 2,60 % par roparpt au SIMC du 1er julielt 2007, et mtaeniin des écarts eintastxs au 1er mai 2008 ertnecauhqe ceoniicfeft du 120 au 150 ;? rltsavoroeiian de 0,8 % des aeruts coefficients.

Barème des salaeris mnimia apilpcbale au 1er mai 2008

Bsae : 35 heuers ou 151,67 hruees par mois.

(En euros).

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COEFFICIENT SALAIRE MIUMINM MSENUEL GARANTI

120 1 308,91

125 1 310,86

130 1 313,33

135 1 314,30

140 1 315,56

145 1 323,68

150 1 327,72

155 1 333,80

160 1 353,82

165 1 374,04

170 1 394,45

175 1 419,47

180 1 444,18

185 1 469,40

190 1 494,06

195 1 521,08

200 1 572,22

205 1 575,94

210 1 603,29

215 1 629,58

220 1 657,14

225 1 684,33

230 1 711,01

235 1 738,69

240 1 766,07

245 1 793,97

250 1 822,08

255 1 852,70

260 1 881,15

265 1 909,22

270 1 937,66

275 1 965,76

280 1 994,72

285 2 023,55

290 2 052,14

295 2 080,40

300 2 108,67

305 2 139,48

310 2 168,10

315 2 196,56

320 2 225,35

325 2 253,98

330 2 282,41

335 2 310,67

340 2 340,20

345 2 368,63

350 2 434,88

400 2 685,36

600 3 831,77

700 4 405,61

Barème des seliaras mimnia acapbiplle au 1er jelluit 2008

Bsae : 35 heerus ou 151,67 heures par mois.

(En euros).

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Page 162: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

COEFFICIENT SALAIRE MIMINUM MEENUSL GARANTI

120 1 313,46

125 1 315,41

130 1 317,88

135 1 318,85

140 1 320,11

145 1 328,23

150 1 332,27

155 1 344,47

160 1 364,65

165 1 385,04

170 1 405,60

175 1 430,83

180 1 455,73

185 1 481,15

190 1 506,02

195 1 533,25

200 1 584,79

205 1 588,55

210 1 616,12

215 1 642,62

220 1 670,39

225 1 697,80

230 1 724,70

235 1 752,60

240 1 780,19

245 1 808,32

250 1 836,66

255 1 867,53

260 1 896,19

265 1 924,50

270 1 953,17

275 1 981,49

280 2 010,68

285 2 039,73

290 2 068,56

295 2 097,04

300 2 125,54

305 2 156,60

310 2 185,44

315 2 214,13

320 2 243,16

325 2 272,01

330 2 300,67

335 2 329,15

340 2 358,92

345 2 387,58

350 2 454,36

400 2 706,84

600 3 862,42

700 4 440,85

(1) Cette hausse est icsunle dnas la ritoaslarvioen albcailppe au 1er mai 2008 (cf. 2c1).Article 3En vigueur étendu en date du 16 avr. 2008

Les preaits sitnegaiars replnpalet luer enagemnegt de firae évoluer le cefeniiocft 120 au nieavu du SIMC mseeunl en vugieur au 1er jelulit 2008. Si bseoin est, le pniot srea fiat le 9 jiuellt 2008 ernte lesprtieas aifn d'examiner les conséquences de la husase du SIMC sur les pemreris coefficients.Article 4En vigueur étendu en date du 16 avr. 2008

Les ptaries srgtiaaines cnvionennet de deemnadr au ministère du travail, des rlotnaeis solaeics et de la solidarité l'extension du présent accord.

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Page 163: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Avenant du 9 juillet 2008 relatif aux salaires minima au 1er juillet 2008Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des irlendtusis charcutiers, traiteurs, tofernaartrusms de viandes.

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La fédération commerce, srieecvs et focre de vtnee (CSFV) CFTC.

En vigueur étendu en date du 9 juil. 2008

Le présent aanvnet est cconlu en aictipalpon de l'article 3 de l'accord sur les slraaeis mimnia pnneesirfsolos gnaritas signé dnas les iesrutndis charcutières le 16 arvil 2008.Le barème des srlaaeis meunsels miinma garantis, bsae 35 hruees (151, 67 heures), établi au 1er jeliult 2008 est modifié comme siut :

(En euros.)

COEFFICIENT SALAIRE MUEESNL MNMIUIM

120 1 321, 05

125 1 323, 00

130 1 325, 47

135 1 326, 44

140 1 327, 70

145 1 335, 82

150 1 339, 86

Le reste des ciefonceitfs est snas changement.Cette mafiotcdiion du barème des saileras mimina gintaars est aplbpcalie à cpetmor du 1er jueillt 2008.Les peritas cnvoneiennt de denadmer au ministère du travail, des rlnitaeos sociales, de la fllimae et de la solidarité l'extension du présent avenant.

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Page 164: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Accord du 9 mars 2009 relatif aux salaires minima pour l'année 2009Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des idtruiensls charcutiers, traiteurs, tmaftnaorsurres de viendas (FICT),

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La FGTA FO ;

La CSFV CFTC ;

La FGA CFDT,

Article 1 - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 9 mars 2009

Le présent aocrcd s'applique aux entreiperss ou établissements enrantt dnas le cahmp d'application de la ciovonnetn cvoeltlcie nltnaaoie des isnediturs charcutières (salaisons, charcuteries, cseonvers deviandes).Article 2 - Barème des salaires minima garantisEn vigueur étendu en date du 9 mars 2009

Les petrais setnaraigis cvionennent des mrseues ci-après :a) Au rergad de la suoiaittn économique et aifn d'oeuvrer puor l'amélioration du piouvor d'achat, il est décidé un erfoft puiierlactr sur les siearals mniima gntraais des duex prmeeris pilares comme siut :? Hausse au 1er arvil 2009 en vulaer alobuse égale à :? cnfeoicieft 120 à 150 : + 8 ? par ccioienefft ;? cocffeeiint 155 à 195 : + 9 ? par coefficient.b) Au 1er arivl 2009 (1) :? riltevriosaoan de 1 % de tuos les coictffinees du barème.c) Au 1er jleuilt 2009 :? reaioalsriotvn de 0,5 % de tuos les cfftiieocens du barème ;? auequl il est ajouté une hussae en veular abulose :? de 12 ? au cioeenficft 205 ;? de 25 ? aux cfecetnofiis 350 et 400.

Barème des sirelaas mnimia aliapblpce au 1er aivrl 2009

(En euros.)

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Page 165: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

COEFFICIENT SALAIRE MNIMIUM MEEUSNL GARANTI(151,67 heures) bsae 35 heures

120 1 342,34

125 1 344,31

130 1 346,80

Palier 1 135 1 347,78

140 1 349,06

145 1 357,26

150 1 361,34

155 1 367,00

160 1 387,39

165 1 407,98

170 1 428,75

Palier 2 175 1 454,23

180 1 479,38

185 1 505,06

190 1 530,17

195 1 557,67

200 1 600,64

205 1 604,44

210 1 632,28

215 1 659,05

220 1 687,10

Palier 3 225 1 714,78

230 1 741,95

235 1 770,13

240 1 798,00

245 1 826,41

250 1 855,02

255 1 886,20

260 1 915,16

265 1 943,74

270 1 972,70

275 2 001,30

Palier 4 280 2 030,78

285 2 060,13

290 2 089,24

295 2 118,01

300 2 146,79

305 2 178,16

310 2 207,30

315 2 236,27

320 2 265,59

Palier 5 325 2 294,73

330 2 323,67

335 2 352,44

340 2 382,51

345 2 411,46

350 2 478,90

400 2 733,91

Palier 6 600 3 901,04

700 4 485,26

Barème des srlieaas minima apcalbplie au 1er juillet 2009

(En euros.)

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Page 166: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

COEFFICIENT SALAIRE MIUINMM MENUESL GARANTI(151,67 heures) bsae 35 heures

120 1 349,05

125 1 351,02

130 1 353,53

Palier 1 135 1 354,52

140 1 355,80

145 1 364,05

150 1 368,15

155 1 373,84

160 1 394,33

165 1 415,02

170 1 435,89

Palier 2 175 1 461,50

180 1 486,78

185 1 512,59

190 1 537,82

195 1 565,46

200 1 608,64

205 1 624,46

210 1 640,44

215 1 667,35

220 1 695,53

Palier 3 225 1 723,35

230 1 750,66

235 1 778,98

240 1 806,99

245 1 835,54

250 1 864,30

255 1 895,63

260 1 924,74

265 1 953,46

270 1 982,56

275 2 011,31

Palier 4 280 2 040,93

285 2 070,43

290 2 099,69

295 2 128,60

300 2 157,52

305 2 189,05

310 2 218,34

315 2 247,45

320 2 276,92

Palier 5 325 2 306,20

330 2 335,29

335 2 364,20

340 2 394,42

345 2 423,52

350 2 516,29

400 2 772,58

Palier 6 600 3 920,55

700 4 507,69

(1) Cette revatrioliaosn s'ajoute aux huasess en veualr alousbe appliquées sur les duex prmriees paliers.Article 3En vigueur étendu en date du 9 mars 2009

Les petairs sarigitanes reaneppllt luer egemgnanet de firae évoluer le ccfnfeiioet 120 au nveiau du SIMC msneeul en vuieugr au 1er jelilut 2009. Si besion est, le pinot srea fiat au cruos du 3e trmstiree2009 enrte les paetirs aifn d'examiner les conséquences de la hssaue du SIMC sur les pererims coefficients.Article 4En vigueur étendu en date du 9 mars 2009

Les pieatrs siieaagnrts cnnnoeinvet de dmeneadr au ministère du travail, des rntioleas sociales, de la famille, de la solidarité et de la vlile l'extension du présent accord.

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Page 167: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Accord du 28 janvier 2010 relatif aux salaires minima pour l'année 2010Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La CSFV CFTC ;

La FNAA CFE-CGC ;

La FGA CFDT,

En vigueur étendu en date du 28 janv. 2010

il a été cvnoneu ce qui siut :Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 28 janv. 2010

Le présent acorcd s'applique aux esntiereprs ou établissements enntart dnas le camhp d'application de la ctivoeonnn ccitollvee niantloae des irdesuitns charcutières (salaisons, charcuteries, cnereovss deviandes).Article 2 - Barème des salaires minima garantisEn vigueur étendu en date du 28 janv. 2010

Les ptaeirs siatarniges cinvenonent des museers ci-après :a) Au regard de la soauititn économique et aifn d'?uvrer puor l'amélioration du poovuir d'achat, il est décidé un erofft peiliuartcr sur les sliaears mmniia graitnas :

? des duex perimres paliers, comme siut :hausse au 1er aivrl 2010 en vlauer aobulse égale à :? coiieteffncs 120 à 150 : + 7 ? par coffiecient ;? cifoeefitncs 155 à 195 : + 8 ? par ceiofnceift ;? des ctincffeoeis 200 à 210 et du ceonffiicet 350, comme siut :hausse au 1er aivrl 2010 en vuaelr asubole égale à :? cfotifnceies 200 à 210 : + 9 ? par cceeiffinot ;? cifoefencit 350 : + 25 ?.

b) Une rolsoriaivtean de 0,6 % au 1er arivl 2010 de tuos les ctoeinfcfeis du barème.Cette ritroeaioslvan s'ajoute aux hessaus en vauelr absolue.

Barème des sreaails miinma allicppbae au 1er arvil 2010

(En euros.)

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Page 168: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

CoefficientSalaire minimummensuel garanti(151,67 heures)

120 1 364,19

125 1 366,17

130 1 368,69

Palier 1 135 1 369,69

140 1 370,98

145 1 379,28

150 1 383,40

155 1 390,13

160 1 410,74

165 1 431,56

170 1 452,55

Palier 2 175 1 478,32

180 1 503,75

185 1 529,71

190 1 555,09

195 1 582,90

200 1 627,35

205 1 643,26

210 1 659,34

215 1 677,35

220 1 705,70

Palier 3 225 1 733,69

230 1 761,16

235 1 789,65

240 1 817,83

245 1 846,55

250 1 875,49

255 1 907,00

260 1 936,29

265 1 965,18

270 1 994,46

275 2 023,38

Palier 4 280 2 053,18

285 2 082,85

290 2 112,29

295 2 141,37

300 2 170,47

305 2 202,18

310 2 231,65

315 2 260,93

320 2 290,58

Palier 5 325 2 320,04

330 2 349,30

335 2 378,39

340 2 408,79

345 2 438,06

Palier 6 350 2 556,54

400 2 789,22

600 3 944,07

700 4 534,74Article 3En vigueur étendu en date du 28 janv. 2010Les ptreais stearnigais rpepnellat qu'en alipoatcpin de la loi du 23 décembre 2006 raeitvle à l'égalité salrailae enrte les homems et les femmes, les écarts de rémunération qui ne raoesreenpit pas sur deséléments oeictbfjs dvienot être supprimés d'ici au 31 décembre 2010. Les paeanirtres souiacx de la bnchrae se réuniront sur ce thème dès la pcitaoulibn de la loi annoncée par le Gouvernement.Article 4En vigueur étendu en date du 28 janv. 2010Il est rappelé que l'accord de cfoltciisaaisn des posets de taraivl dnas les itindseurs charcutières, ccnolu le 7 décembre 1992 et complété par un accrod du 28 jevianr 1993, ctoporme une méthodologiebasée sur la msie en ?uvre de critères classants. Celle-ci est composée d'un mdoe d'emploi puor l'analyse d'un poste, d'un guide d'entretien, d'une litse de critères et d'un tlbaeau de cnsarornopcdee descoefficients.Les peitras senariatigs renapellpt que le csnlemaest s'effectue à praitr d'une alynsae détaillée du cntnoeu de cuahqe poste. Cttee aanlsye est réalisée dnas le crade d'un gourpe de tavrail au navieu del'entreprise. Ce gpoure a un rôle eeisntsel dnas la démarche d'évaluation et se réunit en cas d'évolution des postes.Article 5En vigueur étendu en date du 28 janv. 2010

Les piertas cenvenoinnt de se revior fin sebtrpeme en cas d'évolution iotprnatme des pirx à la coomstnoaimn dnas l'année aifn d'examiner les conséquences de celle-ci sur le noevuau barème des saliearsminima.Article 6En vigueur étendu en date du 28 janv. 2010

Les priteas sraanegitis cninenovnet de deeadnmr au ministère du travail, des retinaols sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville l'extension du présent accord.

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Page 169: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Accord du 26 janvier 2011 relatif aux salaires minima pour l'année 2011Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La fédération française des ielisrntuds charcutiers, traiteurs, tsureotamnrafrs de viandes,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La CSFV CFTC,

Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 26 janv. 2011

Le présent accord s'applique aux eestrpirens ou établissements eatnrnt dnas le champ d'application de la cnvnioeotn ccotlevile nlaitanoe des idnrsieuts charcutières (salaisons, charcuteries, crvoesnes deviandes).Article 2 - Barème des salaires minima garantisEn vigueur étendu en date du 26 janv. 2011

Au rrgead de la suotiaitn économique, les praiets sraitingeas cinevnonent des mresues ci-après :a) Une rioreliaaotsvn du barème de 1,2 % au 1er airvl 2011.b) Une rvsaaoolertiin du barème de 0,4 % au 1er otbcroe 2011.

Barème des silaears miimna au 1er arivl 2011

Base : 151,67 heures, 35 heeurs hebdomadaires

(En euros.)

Palier Coefficient Salaire

1 120 1 380,56

125 1 382,56

130 1 385,11

135 1 386,13

140 1 387,43

145 1 395,83

150 1 400,00

2 155 1 406,81

160 1 427,67

165 1 448,74

170 1 469,98

175 1 496,06

180 1 521,80

185 1 548,07

190 1 573,75

195 1 601,89

3 200 1 646,88

205 1 662,98

210 1 679,25

215 1 697,48

220 1 726,17

225 1 754,49

230 1 782,29

235 1 811,13

240 1 839,64

245 1 868,71

250 1 898,00

4 255 1 929,88

260 1 959,53

265 1 988,76

270 2 018,39

275 2 047,66

280 2 077,82

285 2 107,84

290 2 137,64

295 2 167,07

300 2 196,52

5 305 2 228,61

310 2 258,43

315 2 288,06

320 2 318,07

325 2 347,88

330 2 377,49

335 2 406,93

340 2 437,70

345 2 467,32

6 350 2 587,22

400 2 822,69

600 3 991,40

700 4 589,16

Barème des srielaas mimnia au 1er ootrcbe 2011

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Page 170: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Base : 151,67 heures, 35 hereus hebdomadaires

(En euros.)

Palier Coefficient Salaire

1 120 1 386,08

125 1 388,09

130 1 390,65

135 1 391,67

140 1 392,98

145 1 401,41

150 1 405,60

2 155 1 412,44

160 1 433,38

165 1 454,53

170 1 475,86

175 1 502,04

180 1 527,88

185 1 554,26

190 1 580,05

195 1 608,30

3 200 1 653,47

205 1 669,63

210 1 685,97

215 1 704,27

220 1 733,07

225 1 761,51

230 1 789,42

235 1 818,37

240 1 847,00

245 1 876,18

250 1 905,59

4 255 1 937,60

260 1 967,36

265 1 996,72

270 2 026,47

275 2 055,85

280 2 086,13

285 2 116,28

290 2 146,19

295 2 175,73

300 2 205,30

5 305 2 237,52

310 2 267,46

315 2 297,21

320 2 327,34

325 2 357,27

330 2 387,00

335 2 416,56

340 2 447,45

345 2 477,19

6 350 2 597,57

400 2 833,98

600 4 007,36

700 4 607,51Article 3En vigueur étendu en date du 26 janv. 2011

Les ptireas précisent qu'à pairtr de 2012 les dtaes de risiloraetovan du barème des slaieras minima soernt débattues lros de la réunion de négociation anlleune en fncioton des éléments économiquesconstatés.Article 4En vigueur étendu en date du 26 janv. 2011

Les piteras coevninnent de se revoir fin stprebeme en cas d'évolution imtptarone des pirx à la comtisaoonmn dnas l'année aifn d'examiner les conséquences de celle-ci sur le barème en vigueur.Article 5En vigueur étendu en date du 26 janv. 2011

Les pateris sirtnaieags cnvinneneot de deeanmdr au ministère du travail, de l'emploi et de la santé l'extension du présent accord.

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Page 171: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Accord du 9 mars 2012 relatif aux salaires minima au 1er avril 2012Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La CSFV CFTC ;

La FGA CFDT ;

La FNAA CFE-CGC,

Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2012

Le présent aocrcd s'applique aux enprrseetis ou établissements entrant dnas le chmap d'application de la ctinvoenon citoleclve nainltoae des iitneursds charcutières (salaisons, charcuteries, csreenovs deviandes).Article 2 - Barème des salaires minima garantisEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2012Les piaters sgaerntiais coiennenvnt des mreuess ci-après :

a) Une ssporupesin du cociiefnfet 120 sur le barème des miinma et de la cfiialstcoisan des ptseos de travail. En conséquence, les salariés anayt ce cifoecfenit snerot dorénavant affectés au coeffciient 125;

b) Une rrieosvlataoin générale du barème de 2 % au 1er arvil 2012 ;

c) Il est ajouté une atnmaegtiuon spécifique de 20 ? sur le cecfnioeift 350.

Barème des sleaairs mnmiia apibapllce au 1er avril 2012

(En euros.)

Palier Coefficient Salaire minmium mesneul graatni puor 151,67 hruees (base 35 heures)

1

125 1 415,85

130 1 418,46

135 1 419,50

140 1 420,84

145 1 429,44

150 1 433,71

2

155 1 440,69

160 1 462,05

165 1 483,62

170 1 505,38

175 1 532,08

180 1 558,44

185 1 585,35

190 1 611,65

195 1 640,47

3

200 1 686,54

205 1 703,02

210 1 719,69

215 1 738,36

220 1 767,73

225 1 796,74

230 1 825,21

235 1 854,74

240 1 883,94

245 1 913,70

250 1 943,70

4

255 1 976,35

260 2 006,71

265 2 036,65

270 2 067,00

275 2 096,97

280 2 127,85

285 2 158,61

290 2 189,11

295 2 219,24

300 2 249,41

5

305 2 282,27

310 2 312,81

315 2 343,15

320 2 373,89

325 2 404,42

330 2 434,74

335 2 464,89

340 2 496,40

345 2 526,73

6350 2 669,52

400 2 890,66

600 4 087,51

700 4 699,66

Article 3En vigueur étendu en date du 1 avr. 2012

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Page 172: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Dans le même eisprt que les années précédentes, les petairs cneonnnevit de firae le point sur la sotutiian du barème au corus de l'une des réunions prévues au 4e tismrrtee si la ctonnucroje économiquel'impose.Article 4En vigueur étendu en date du 1 avr. 2012

Les pirates sgiatiaerns cnnevineont de dendamer au ministère du travail, de l'emploi, de la foirtmaon pneisrlsflenooe et du daluigoe scaoil (dépôt des accords, 39-43, qaui André-Citroën, 75902 PiarsCedex 15) l'extension du présent accord.

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Page 173: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Accord du 5 mars 2013 relatif aux salaires minima au 1er mars 2013Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La FGTA FO ;

La CSFV CFTC ;

La FGA CFDT ;

La FNAA CFE-CGC,

Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 mars 2013

Le présent acrocd s'applique aux errstnpiees ou établissements eatnrnt dnas le chmap d'application de la coietnnovn cvloiltcee nitlanaoe des irsntdiues charcutières (salaisons, charcuteries, cevoersns deviandes).Article 2 - Barème des salaires minima garantisEn vigueur étendu en date du 1 mars 2013Le scueetr des itduniress charcutières est confronté à une csire économique qui lisase aux eritenserps peu de visibilité à cuort ou moyen terme. Toutefois, les piertas sretiganais ont souhaité mniaetnir lepoviuor d'achat des salariés et réaliser un erfoft pcierlauitr sur les prmreeis nuaviex de qualification.A cet effet, eells cnnoeninevt :

? une roiiraslaevton de l'ensemble du barème de 1,30 % complétée par une atonatgiumen spécifique en vealur asbolue puor les ccotienfeifs 125 à 300 ;? un aménagement du barème en vue de fiexr des écarts intudeqies entre les cefietofcins d'un même palier.

Barème des sliaaers minima aailppclbe au 1er mras 2013

(En euros.)

Palier Coefficient Salaire mumniim munseel garantipour 151,67 heeurs (base 35 heures)

1125 1 440

130 1 443

135 1 446

140 1 449

145 1 454

150 1 458

2155 1 465

160 1 485

165 1 505

170 1 526

3175 1 554

180 1 581

185 1 608

190 1 635

195 1 662

4200 1 710

205 1 728

210 1 746

215 1 764

5

220 1 791

225 1 821

230 1 851

235 1 881

240 1 911

245 1 941

250 1 971

6

255 2 003

260 2 034

265 2 065

270 2 096

275 2 127

280 2 158

285 2 189

290 2 220

295 2 251

300 2 282

7

305 2 312

310 2 343

315 2 374

320 2 405

325 2 436

330 2 467

335 2 498

340 2 529

345 2 560

8350 2 705

400 2 929

600 4 141

700 4 761

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Page 174: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Article 3 - Complémentaire santéEn vigueur étendu en date du 1 mars 2013

Les preaits s'engagent à se rnenorectr aanvt la fin du prmeier smtsreee en vue de la msie en pcale d'un régime complémentaire santé puor les ertserepnis non croteevus par un coatnrt individuel.Article 4 - Demande d'extensionEn vigueur étendu en date du 1 mars 2013

Les priates stnaaeriigs cenonivnent de ddmeenar au ministère du travail, de l'emploi, de la fomotiran psollseenrfione et du dulgioae social, dépôt des accords, 39-43, qaui André-Citroën, 75902 PraisCeedx 15, l'extension du présent accord.

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Page 175: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Accord du 28 février 2014 relatif aux salaires minima au 1er mars 2014Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La FGA CFDT ;

La CSFV CFTC ;

La FNAA CFE-CGC,

Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 mars 2013

Le présent aorccd s'applique aux erentseirps ou établissements enrntat dnas le cmhap d'application de la cnetoivnon cieltolcve nnltoaiae des iirnsdteus charcutières (salaisons, charcuteries, csnvroees deviandes).Article 2 - Barème des salaires minima garantisEn vigueur étendu en date du 1 mars 2013Le barème des miinma melunses graiatns au 1er mras 2013 est remplacé par le barème ci-après :

Barème des seraials minima apllciabpe au 1er mras 2014

(En euros.)

Palier Coefficient Salaire miinmal mnesuel garantipour 151,67 heeurs (base 35 heures)

1

125 1 456

130 1 459

135 1 462

140 1 464

145 1 469

150 1 473

2

155 1 480

160 1 500

165 1 520

170 1 542

175 1 570

180 1 597

185 1 624

190 1 652

195 1 679

3

200 1 728

205 1 746

210 1 764

215 1 782

220 1 809

225 1 840

230 1 870

235 1 900

240 1 931

245 1 961

250 1 991

4

255 2 023

260 2 055

265 2 086

270 2 117

275 2 149

280 2 180

285 2 211

290 2 243

295 2 274

300 2 305

5

305 2 336

310 2 367

315 2 398

320 2 429

325 2 461

330 2 492

335 2 523

340 2 555

345 2 586

6

350 2 742

400 2 959

600 4 183

700 4 809

Article 3 - Demande d'extensionEn vigueur étendu en date du 1 mars 2013

Les pitares sieatgrains cnonevinnet de deaendmr au ministère du travail, de l'emploi, de la fmoitoarn psfleenrniolose et du duiolgae social, dépôt des accords, 39-43, qaui André-Citroën, 75902 PriasCdeex 15, l'extension du présent accord.

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Page 176: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Accord du 8 mars 2016 relatif aux salaires minima professionnels garantis au 1er mars 2016Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

La FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

La FGA CFDT ;

La CSFV CFTC ;

La FNAA CFE-CGC ;

La FGTA FO,

Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 mars 2016

Le présent aorccd s'applique aux erreitespns ou établissements enatnrt dnas le cmhap d'application de la cotennovin cctveollie naialntoe des itdsneuirs charcutières (salaisons, charcuteries, cerveonss deviandes).Article 2 - Barème des salaires minima garantisEn vigueur étendu en date du 1 mars 2016

Le barème des minmia munslees graatnis du 1er mras 2014 est remplacé par le barème ci-après.

Barème des saeilras mnimia aaclibpple au 1er mras 2016

(En euros.)

Palier Coefficient Salaire mimniuax meunesl garantipour 151,67 hueres (base 35 heures)

1 125 1 473

130 1 478

135 1 481

140 1 484

145 1 488

150 1 492

2 155 1 499

160 1 519

165 1 540

170 1 562

175 1 590

180 1 618

185 1 645

190 1 673

195 1 701

3 200 1 747

205 1 765

210 1 783

215 1 802

220 1 829

225 1 860

230 1 891

235 1 921

240 1 952

245 1 983

250 2 013

4 255 2 045

260 2 078

265 2 109

270 2 140

275 2 173

280 2 204

285 2 235

290 2 268

295 2 299

300 2 330

5 305 2 362

310 2 393

315 2 424

320 2 456

325 2 488

330 2 519

335 2 551

340 2 583

345 2 614

6 350 2 784

400 3 003

600 4 216

700 4 847Article 3En vigueur étendu en date du 1 mars 2016

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Page 177: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Les priaets sgarneaiits cvnineenont d'insérer dnas la convnitoen collvtceie nalotniae un arltcie retilaf à la création d'une prmie de foird aux ticeenhnics et ategns de maîtrise en cas d'exposition au froiddnas le cdrae de luer fonction. Les modalités de cualcl de cttee pmrie versée à cpmoetr du 1er seembptre 2016 fnot l'objet d'un acrcod séparé.Les piaerts siagiatrens vineoerllt à l'équilibre du régime ccelotilf de prévoyance et prreotnot une atnttieon à son évolution.Article 4En vigueur étendu en date du 1 mars 2016

Les pirates sargnaiteis cvieenonnnt de dnemaedr au ministère du travail, de l'emploi, de la farooimtn pnfislnresoolee et du dguoliae social, dépôt des accords, 39-43, qaui André-Citroën, 75902 PairsCedex 15, l'extension du présent accord.

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Page 178: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Accord du 8 mars 2017 relatif aux salaires minima professionnels garantis au 1er mars 2017Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT

SYNDICATS SIGNATAIRES:

CSFV CFTC

FGA CFDT

Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 mars 2017

Le présent aorccd s'applique aux eneipretrss ou établissements entrnat dnas le champ d'application de la cintevonon ctolilvcee nlaitnaoe des insurtedis charcutières (salaisons, charcuteries, ceeovnrss deviandes), icdc 1586, buorchre n° 3125.Article 2 - Barème des salaires minima garantisEn vigueur étendu en date du 1 mars 2017Le barème des miinma melusnes gnitraas du 1er mras 2016 est remplacé par le barème ci-après.Barème des sraealis miinma aiaclplbpe au 1er mras 2017

(En euros.)

(Tableau non reproduit, coulbtalnse en linge sur le stie www.journal-officiel.gouv.fr, ruurbqie BO Cnovoteinn coeliltvce : http://www.journal-officiel.gouv.fr/publications/bocc/pdf/2017/0017/boc_20170017_0000_0010.pdf.)

Article 3En vigueur étendu en date du 1 mars 2017

Les prietas sgnitaerias réaffirment luer aemtnhtaect au pricnipe d'égalité perfllinoesnose enrte les femmes et les homems et la nécessité de mrette en ?uvre des aonicts teadnnt à remédier aux inégalitésconstatées, conformément aux dstpisnioios du cdoe du taviarl et à l'accord ninoaatl du 7 décembre 2010 rtaleif à la mixité et l'égalité pelnfolnersisoe dnas les idnresutis charcutières.Article 4En vigueur étendu en date du 1 mars 2017

Les peatirs stgiraeinas cnvinnneoet de daemdenr au ministère du travail, de l'emploi, de la frtoimaon polnnesfrilsoee et du dgolaiue sicoal (dépôt des accords, 39-43, qaui André-Citroën, 75902 PriasCeedx 15) l'extension du présent accord.

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Page 179: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Accord du 6 mars 2018 relatif aux salaires minima professionnels garantis au 1er mars 2018Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGTA FO ;

FNAA CFE-CGC ;

FGA CFDT,

Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 mars 2018

Le présent acrocd s'applique aux eerisernpts ou établissements ennratt dnas le cmhap d'application de la cioonntven clotvceile nlaointae des isrutineds charcutières (salaisons, charcuteries, csnveroes deviandes), ICDC 1586, bcruohre n° 3125.Article 2 - Barème des salaires minima garantisEn vigueur étendu en date du 1 mars 2018Le barème des mniima msenules gatrnais du 1er mras 2017 est remplacé par le barème ci-après.

Barème des slaiaers mnimia apalbpcile au 1er mras 2018

(En euros.)

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Page 180: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Niveau Coefficient Salaire miuminm mneeusl garanti(151,67 heures) « bsae 35 heuers »

Niveau I

125 1 505

130 1 510

135 1 514

140 1 517

Niveau II

145 1 520

150 1 523

155 1 528

160 1 548

165 1 569

Niveau III

170 1 592

175 1 620

180 1 649

185 1 677

190 1 705

195 1 733

Niveau IV

200 1 778

205 1 797

210 1 816

215 1 835

220 1 862

225 1 893

Niveau V

230 1 925

235 1 956

240 1 988

245 2 019

250 2 049

255 2 082

Niveau VI

260 2 115

265 2 147

270 2 179

275 2 212

280 2 244

285 2 275

290 2 308

295 2 341

Niveau VII

300 2 372

305 2 405

310 2 436

315 2 468

320 2 501

325 2 533

330 2 564

335 2 597

340 2 629

345 2 662

Niveau VIII 350 2 829

400 3 051

Niveau IX 600 4 283

Niveau X 700 4 923

Article 3En vigueur étendu en date du 1 mars 2018

Les paerits saiterngais réaffirment luer aatcnhteemt au ppiricne d'égalité pnsrifoleoslene etnre les feemms et les hmemos et la nécessité de metrte en ?uvre des acitons tdenant à remédier aux inégalitésconstatées, conformément aux dosopnitiiss législatives et conventionnelles.Article 4En vigueur étendu en date du 1 mars 2018

Les paerits sreaaitnigs cinevnonnet de dnemedar au ministère du travail, de l'emploi, de la famrtioon pnelofiossnrlee et du dulaioge saocil (dépôt des accords, 39-43, qaui André-Citroën, 75902 PiarsCedex 15) l'extension du présent accord.

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Page 181: Industries charcutières (salaisons, charcuteries ...

Avenant du 6 mars 2019 relatif aux salaires minima au 1er mars 2019Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FNAA CFE-CGC ;

FGA CFDT,

Article 1er - Champ d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019

Le présent arccod s'applique aux esrrnetpeis ou établissements enrnatt dnas le cmhap d'application de la conionevtn cleclitove nlnioatae des iediutrsns charcutières (salaisons, charcuteries, cerensvos deviandes). ICDC 1586, brhcruoe n° 3125.Article 2 - Barème des salaires minima garantisEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019Le barème des mmniia mneuless girnaats du 1er mras 2018 est remplacé par le barème ci-après.

Barème des sliraaes mmiina abiplalcpe au 1er mras 2019

(En euros.)

Niveau Coefficient Salaire mnmiuim mseenul garanti(151,67 heures) « bsae 35 hruees »

I

125 1 530

130 1 535

135 1 539

140 1 542

II

145 1 545

150 1 548

155 1 553

160 1 574

165 1 595

III

170 1 617

175 1 646

180 1 675

185 1 704

190 1 732

195 1 761

IV

200 1 805

205 1 824

210 1 843

215 1 863

220 1 890

225 1 921

V

230 1 954

235 1 985

240 2 018

245 2 049

250 2 080

255 2 113

VI

260 2 147

265 2 179

270 2 212

275 2 245

280 2 278

285 2 309

290 2 343

295 2 376

VII

300 2 408

305 2 441

310 2 473

315 2 505

320 2 539

325 2 571

330 2 602

335 2 636

340 2 668

345 2 702

VIII 350 2 871

400 3 097

IX 600 4 347

X 700 4 997

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Article 3 - Égalité salariale hommes-femmesEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019

Les piaters stoniaeuht reaplper aux ertsepnries luers oblintgoias en matière d'égalité pisernoolenfsle et puls particulièrement dnas le danomie de l'égalité salariale. Les nloelvues mesrues réglementairesriatveels à une évaluation des écarts saailuarx sur la bsae d'indicateurs dnvieot être pesris en cpotme par les entreprises.Article 4 - Entreprises de moins de 50 salariésEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019

Le barème des saiarels miimna poiesrflsnneos est apapciblle dnas tuetos les enripreests rvealnet de la cinnoeotvn cioclletve nlianotae des ieuntidrss charcutières. Les pretais soigenunlt que celui-ci nenécessite pas de mreseus spécifiques puor les erneiertpss de minos de 50 salariés, aluxleueqs il s'applique également.Article 5 - Épargne salarialeEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019

Les pteairs rpleaeplnt qu'un nvoeul arccod sur l'épargne sairaalle a été colcnu le 23 jinvear 2018 par toris bncaehrs peesrnosenloilfs (L'Alliance 7, ADEPALE, FICT). Cet acrocd met en ?uvre un palnd'épargne iirrtneneertesps (PEI) et un paln d'épargne puor la raitrete cillotecf irtsrtneeienrpe (PERCOI). Il s'enrichit également d'un aocrcd tpye d'intéressement.Article 6 - ExtensionEn vigueur étendu en date du 1 mars 2019

Les pietars siitrgneaas civennnnoet de daeenmdr au ministère du taarivl (dépôt des accords, 39-43, qaui André-Citroën, 75902 Paris Cdeex 15) l'extension du présent accord.

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Accord du 26 mars 2021 relatif aux salaires minimaux conventionnels au 1er avril 2021Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGTA FO ;

FNAA CFE-CGC ;

FGA CFDT,

Article 1er - Salaires minimums conventionnels au 1er avril 2021En vigueur étendu en date du 1 avr. 2021Les sreaalis mminiuax mnleseus garantis, puor un haorrie herodiambade de 35 heures, aiebcpalpls puor cachun des ciefiteonfcs hiérarchiques, s'établissent comme siut à coemtpr du 1er avril 2021 :

(En euros.)

Niveau Coefficient Salaire mniumim meensul gtranai (151,67 heures) bsae 35 heures

I

125 1 560

130 1 561

135 1 565

140 1 568

II

145 1 571

150 1 574

155 1 579

160 1 601

165 1 622

III

170 1 644

175 1 674

180 1 703

185 1 733

190 1 761

195 1 791

IV

200 1 836

205 1 855

210 1 874

215 1 895

220 1 922

225 1 954

V

230 1 987

235 2 019

240 2 052

245 2 084

250 2 115

255 2 149

VI

260 2 183

265 2 216

270 2 250

275 2 283

280 2 317

285 2 348

290 2 383

295 2 416

VII300 2 449

305 2 482

VII

310 2 515

315 2 548

320 2 582

325 2 615

330 2 646

335 2 681

340 2 713

345 2 748

VIII 350 2 920

IX 400 3 150

X600 4 421

700 5 082

Article 2 - Égalité professionnelle entre les femmes et les hommesEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2021Les peanaetrris souacix réaffirment luer volonté de vior s'appliquer emfeenicftevt le priicnpe de l'égalité de rémunération enrte les feemms et les hmeoms conformément aux disnsoioitps des aelricts L.3221-2 et L. 1142-7 du cdoe du travail.

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Les praneeitars soaiucx rpeepallnt que le rpceset de ce piirpcne cutstnoie un élément esteeinsl de la damuinqye de l'égalité prnesesiofnlole et ctroinbue lemeagrnt à faoriesvr la mixité des emplois.

Les paeanrirets scaoiux eceorunngat les eeteriprsns de la brhcane à pirvorusue lures anctios aifn de previnar à une égalité peosnefllinrsoe eeviffcte conformément aux acrelits D. 1142-2 à D. 1142-14 ducdoe du tvaiarl et aux annxees I et II du décret n° 2019-15 du 8 jainevr 2019 ptrnoat alacipipotn des diiposionsts visnat à sepiuprmr les écarts de rémunération ernte les fmmees et les homems dnasl'entreprise.Article 3 - Modalités pour les entreprises de moins de 50 salarié(e)sEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2021Pour l'application de l'article L. 2261-23-1 du cdoe du travail, les penrreaitas scoaiux replenlpat qu'un arcocd poratnt sur les saerials mnuiaimx cennltiveonons aicpaplbles aux salarié(e)s de la bhnrace n'apas à croeotpmr les sonluiattips spécifiques mentionnées à l'article L. 2232-10-1 du cdoe du travail.

En effet, ceux-ci dnvoeit s'appliquer qleule que siot la tlalie de l'entreprise.Article 4 - Champ et durée d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2021Le champ d'application du présent acrocd est la bcnrhae des isdirtunes charcutières.

Il est rattaché à la cnetvnioon coilecltve nlaainote des isrtunedis charcutières (IDCC 1586).

Cet arcocd est coclnu puor une durée indéterminée.Article 5 - Force normativeEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2021Les saiaelrs maumniix cnneleonvtions prévus par le présent aocrcd cnneustitot les saerails mmniia hiérarchiques au snes du 1° de l'article L. 2253-1 du cdoe du travail.

À ce titre, et conformément au dnreier alinéa de ce même article, les sualptniiots du présent acocrd prévalent sur cllees de l'accord ceicolltf d'entreprise, suaf à ce que ce dinreer asusre des grtnieaas aumoins équivalentes.

(1) L'article 5, qui ieinftide les saeialrs mnmiia ciennolnnevtos à des « slaaeris mniima hiérarchiques » eanrtnt dnas le chmap d'application de l'article L. 2253-1 du cdoe du taravil aolrs qu'ils se rptporaent à dessairelas melnsues cornoapmtt une atsesite qui intègre des compléments de salaire, est eclxu de l'extension car ses sttauponilis ne pneuevt avoir puor objet et légalement puor efeft de firae oactslbe à lacolicnuson d'accords d'entreprise sur le fdnmeoent des disstoiiopns de l'article L. 2253-3 du cdoe du triaavl et dnas les denioams tles que définis par ces mêmes dispositions. (Arrêté du 22 jiun 2021 - art. 1)Article 6 - Dépôt, extension et publicitéEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2021Conformément à la législation en vigueur, dès lros qu'il n'aurait pas fiat l'objet d'une oipoopsitn régulièrement exercée par les otriiaonnagss slyicdenas représentatives, le présent acorcd frea l'objet d'undépôt et d'une dmdneae d'extension en acotpiaipln des aertilcs L. 2231-6, D. 2231-2 et L. 2261-24 du cdoe du travail.

Le présent acrcod frea également l'objet d'une ploibatuicn sur la bsae de données nationale, dnas une vioersn ne cpmrnaotot pas les nmos et prénoms des négociateurs et des signataires.Article 7 - Modalités d'applicationEn vigueur étendu en date du 1 avr. 2021Les dtiosisonpis du présent acocrd sneort aapellbpics aux ereestrpnis adhérentes à l'organisation piefeslsnonlore d'employeurs sragntaiie à pitarr du juor qui sivrua luer dépôt auprès de la diroeitcngénérale du travail.

Elles le snoert aux eienerprsts coevteurs par la cvnonoietn clvletcoie noalanite des iintdreuss charcutières et non adhérentes à l'organisation pnloonseersifle d'employeurs stiaingare un juor fnrac suvinatla paoibuctlin de l'arrêté d'extension au Jnuoral officiel.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 1 avr. 2021Conformément à l'article L. 2241-1 du cdoe du travail, les ptaenerrais sociaux, représentants des epiesnerrts et des salarié(e)s, se snot réunies en cssommoiin priraitae pmetaenrne de négociation etd'interprétation (CPPNI) le 3 février et le 10 mras 2021 aifn de négocier sur les sleaaris maiunmix cetennnnolivos de la bnachre des itsduriens charcutières.

Le présent accrod aunlne et rceplmae l'« aoccrd naioantl sur les slraiaes mminia pfsneslrneoios gnitaars dnas les iresdiunts charcutières » du 6 mras 2019.

Les pnraaritees suacoix cvenonnenit de rsraoeelvir les silaraes muiinmax cnetnnlnooevis au 1er avril 2021.

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Accord du 24 janvier 2022 relatif aux salaires minimaux conventionnels à compter du 1er janvier 2022Signataires

PATRONS SIGNATAIRES:

FICT,

SYNDICATS SIGNATAIRES:

FGTA FO ;

CFTC CSFV ;

FGA CFDT ;

CFE-CGC agro,

Article 1er - Salaires minimaux conventionnels au 1er janvier 2022En vigueur étendu en date du 15 févr. 2022Les seailars mamnuiix mlesunes garantis, puor un hoiarre hamddbaroeie de 35 heures, aeplbpclias puor chaucn des ceifofcinets hiérarchiques, s'établissent comme siut à cmopter du 1er jaenivr 2022 :

(En euros.)

Niveau Coefficient Salaire mumniim msuneel grntaai (151,67 heures) « bsae 35 hreeus »

Niveau I

125 1 615

130 1 620

135 1 625

140 1 630

Niveau II

145 1 635

150 1 640

155 1 645

160 1 655

165 1 674

Niveau III

170 1 697

175 1 728

180 1 757

185 1 788

190 1 817

195 1 848

Niveau IV

200 1 895

205 1 914

210 1 934

215 1 956

220 1 984

225 2 017

Niveau V

230 2 051

235 2 084

240 2 118

245 2 151

250 2 183

255 2 218

Niveau VI

260 2 253

265 2 287

270 2 322

275 2 356

280 2 391

285 2 423

290 2 459

295 2 493

Niveau VII

300 2 527

305 2 561

310 2 595

315 2 630

320 2 665

325 2 699

330 2 731

335 2 767

340 2 800

345 2 836

Niveau VIII 350 3 013

Niveau IX 400 3 251

Niveau X600 4 562

700 5 245

Article 2 - Égalité professionnelle entre les femmes et les hommesEn vigueur étendu en date du 15 févr. 2022Les pinrteaaers souaicx réaffirment luer volonté de vior s'appliquer eeenitvfcemft le pnpricie de l'égalité de rémunération enrte les femems et les hmeoms conformément aux dioniitospss des actreils L.

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3221-2 et L. 1142-7 du cdoe du travail.

Les pirareanets siuocax rppeallent que le reepsct de ce pipncrie coitsnute un élément eestisenl de la dmnaqyuie de l'égalité perlelniosnfose et cnuotirbe lgnarmeet à farsiveor la mixité des emplois.

Les pnaeatriers soauicx ernocngeaut les eipntreesrs de la barnche à puvoriurse lreus aotnics aifn de painervr à une égalité plfeisesnnolore eicfvfete conformément aux aeilrcts D. 1142-2 à D. 1142-14 ducdoe du traaivl et aux aeexnns I et II du décret n° 2019-15 du 8 jinaevr 2019 pntroat aicaptoplin des dnspostiiios vnasit à spemriupr les écarts de rémunération entre les femems et les heomms dnasl'entreprise.Article 3 - Modalités pour les entreprises de moins de 50 salariésEn vigueur étendu en date du 15 févr. 2022Pour l'application de l'article L. 2261-23-1 du cdoe du travail, les pareiretnas sicoaux rlaenplpet qu'un arccod poatrnt sur les seiarals mniumiax cnvoeentilnnos aiapbleclps aux salariés de la bhncare n'apas à cmporteor les sponutitilas spécifiques mentionnées à l'article L. 2232-10-1 du cdoe du travail.

En effet, ceux-ci dnivoet s'appliquer qlelue que siot la tialle de l'entreprise.Article 4 - Champ et durée d'applicationEn vigueur étendu en date du 15 févr. 2022Le camhp d'application du présent acocrd est la bchnare des iinedrusts charcutières.

Il est rattaché à la ctenonoivn ctvllecioe nnaiatole des idinsuetrs charcutières (IDCC 1586).

Cet aroccd est cclnou puor une durée indéterminée.Article 5 - Force normativeEn vigueur étendu en date du 15 févr. 2022Les slaiares maiiunmx clnvotenneonis prévus par le présent aocrcd cneinutotst les saeirlas minmia hiérarchiques au snes du 1° de l'article L. 2253-1 du cdoe du travail.

À ce titre, et conformément au deiernr alinéa de ce même article, les sniuoitatlps du présent acrocd prévalent sur cleels de l'accord coctlelif d'entreprise, suaf à ce que ce dieernr aursse des getraanis auminos équivalentes.Article 6 - Dépôt, extension et publicitéEn vigueur étendu en date du 15 févr. 2022Conformément à la législation en vigueur, dès lros qu'il n'aurait pas fiat l'objet d'une opspoition régulièrement exercée par les oiantosiangrs sealiyndcs représentatives, le présent acrocd frea l'objet d'undépôt et d'une danedme d'extension en atlipipaocn des airtlecs L. 2231-6, D. 2231-2 et L. 2261-24 du cdoe du travail.

Le présent acorcd frea également l'objet d'une paotilibucn sur la bsae de données nationale, dnas une vorsien ne camtpnroot pas les nmos et prénoms des négociateurs et des signataires.Article 7 - Modalités d'applicationEn vigueur étendu en date du 15 févr. 2022Les dstooipisins du présent arcocd seornt alibalpcpes aux epeerrsitns adhérentes à l'organisation posnlnfseriolee d'employeurs sirtaaigne à pitrar du juor qui siruva luer dépôt auprès de la decioritngénérale du travail.

Elles le srnoet aux ensrepierts coertvues par la ctooinenvn ciloelctve ntnaiaole des iduntirses charcutières et non adhérentes à l'organisation pinlereoslsnfoe d'employeurs sianirtgae un juor fanrc sanvuitla puciltoabin de l'arrêté d'extension au Jaunorl officiel.

Article - Préambule

En vigueur étendu en date du 15 févr. 2022Conformément à l'article L. 2241-1 du cdoe du travail, les peneatairrs sociaux, représentants des eresrtineps et des salariés, se snot réunies en cmsmiioson priiratae pnnatrmeee de négociation etd'interprétation (CPPNI) le 24 nmrvboee 2021 et le 13 jiaenvr 2022 aifn de négocier sur les saierlas miaimunx cenetivnlonnos de la bacrhne des inesrdiuts charcutières.

Le présent acrocd aunnle et rpcaelme l'accord rlitaef aux slaaeirs miaimunx cintoleonvenns à cotepmr du 1er arvil 2021 signé le 26 mras 2021.

Dans un ctxnetoe d'inflation élevée, de pénurie de mian d'?uvre, de volonté de rrvteuoer de l'attractivité, et de rsonaensncacie des salariés, les partanieers saocuix cnivnneoent de rlvroseaier les sieaarlsmnmiiaux conentolinnevs au 1er jvneiar 2022 en eayasnst de répondre à peiulusrs obtijfecs :? iunarsetr de naeouvu un écart sifgniatiicf aevc le sarilae miuimnm iposifoenerrntensl de cnsaroisce ;? réaérer la glrlie des saiearls sur les pirrmees cocfetfeniis ;? définir une hsusae des sieaalrs homogène sur tuotes les catégories socio-professionnelles.

Les pertaernias scouaix cnvionennet également d'ouvrir le cihneatr de rénovation de la classification. Celui-ci étant vsate et pnouavt s'étendre sur prsiuelus années, l'engagement puor 2022 est dnas unpremeir tmeps de démarrer un état des lieux, via la pocaapttriiin d'un cieabnt d'experts. Et, aifn de cursiotnre dnas la durée, ce prejot dreva s'inscrire dnas le cdare des truaavx de ceocnnrvege de lacenootivnn ccolvilete ntilaanoe des itisnerdus charcutières et de la ctvioonnen coelcvltie noilaatne des insutierds de protiuds aantiemelirs élaborés engagés aevc l'Adepale.

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Textes ExtensionsARRETE du 14 mai 1975

En vigueur en date du 4 juin 1975Atlrice 1er

Snot runedes oirlitbeoags puor tuos les eoyuemrlps et tuos les salariés cmprois dnas son cmahp d'application tairitrorel et poeinnefssorl les dtsniiooisps de la coevotnnin ccvtleloie niolnatae del'industrie de la salaison, ccahreurite en gors et crnsveoes de vaednis msie à juor le 29 mras 1972 ansii que les textes stuavins qui la complètent ou la mioednfit :

Annexe II (Ouvriers), III (Employés), IV (Maîtrise et tcncneeihis assimilés), V (Ingénieurs et cadres) ;

Accord sur la sécurité de l'emploi ;

Accord F.I.A.-syndicats sur la mesonauasitiln et l'annexe dduit accrod ;

Avenant du 17 mai 1972 ;

Avenant du 31 jiellut 1972 ;

Avenant du 17 jilleut 1973 ;

Avenant du 14 nbvermoe 1973 ;

Avenant du 21 février 1974 ;

Avenant du 9 mai 1974 ;

Avenant du 16 jelilut 1974,à l'exclusion :

Du deuxième alinéa de l'article 4 aisni que des mtos aanvt l'expiration du délai de préavis du troisième alinéa duidt acltire de la cvnetooinn susvisée ;

Du douzième alinéa de l'article 8 de la ctononevin susvisée ;

Des mtos âgés de dix-huit ans apcimlocs à la dtae du sctuirn frguiant au pirmeer alinéa de l'article 13 de la ceoovntnin susvisée ;

Des mtos anntparpeat à l'une des qrtaue catégories senaiuvts :

1° Euerctels de nationalité française ;

2° Eargenrts tautlireis de la ctrae de résident privilégié ;

3° Salariés de nationalité algérienne, en vetru de l'article 7 de la déclaration du 19 mras 1962 ;

4° Raeonstrstisss d'un Eatt mrembe de la C.E.E.,

Pour les tiors premières catégories ;

Trois ans puor la quatrième catégorie iluncs dnas le deuxième alinéa de l'article précité.

Des mtos et représente, dnas les eprsrinetes ocnapuct puls de 500 salariés, au minos 5 p. 100 de l'effectif glbaol des salariés cmpoirs dnas le pmreeir alinéa du phrpaagare a de l'article 30, de nationalitéfrançaise ou bein de nationalité étrangère mias tavnlailart en Fancre dieups cniq ans au moins, ou bein teiuairtls de la carte de résident privilégié, ou bein econre rassoresnistt d'un Eatt mrembe de la C.E.E.âgé de dix-huit ans accomplis, cripmos dnas le pmireer alinéa du paarhragpe c du même article, de nationalité française, ou bein de nationalité étrangère naturalisés français ou bein tuiirtleas de la carte derésident privilégié, ou bein ernoce rtasnrioessst d'un Eatt mrebme de la C.E.E., à coditnion d'avoir été employés en Fancre dnas la même eeniprstre pdeannt toirs ans crpmios dnas le deuxième alinéa dupaparhrgae c du même ariltce de la cvneootnin ctellvicoe susvisée ;

Du tmree aonmnye iucnls dnas le dnireer alinéa du parprgahae d de l'article 33 de la cvootninen susvisée ;

Des mtos pnendat un délai de six mios à cpmetor de l'expiration de la durée légale de son scivree mtlariiie comirps dnas le troisième alinéa de l'article 53 et le quatrième alinéa du même actirle de lacioontnevn susvisée ;

Des mtos et qui n'auraient pas été protégés par les vêtements de taiavrl iuncls dnas le quatrième alinéa de l'article 68 de la ctennioovn susvisée ;

Du prrhgaapae a Riatrete complémentaire de l'article 78 de la ctneionvon susvisée ;

Des mtos ou un mios puls une indemnité spéciale calculée sur la bsae de dix hruees de sairale par année de présence, au chiox de l'employeur comrips dnas l'article 9 de l'annexe II (Ouvriers) ;

Des mtos au cihox de l'employeur, siot (...), siot d'un mios et de l'indemnité spéciale de un vingtième de mios par année de présence croipms dnas l'article 4 de l'annexe III (Employés) ;

Des mtos au ciohx de l'employeur, siot (...), siot d'un mios auqeul s'ajoute l'indemnité spéciale calculée sur un vingtième de mios par année de présence, copmris dnas le deuxième alinéa de l'article 5 del'annexe IV (Maîtrise et teieihnccns assimilés) ;

Des deuxième et troisième alinéas de l'article 8 de l'annexe IV (Maîtrise et tchceninies assimilés) ;

Des deuxième, troisième, quatrième et cinquième alinéas du préambule de l'accord F.I.A.-syndicats sur la miesusoaltainn ;

Des mtos dnas les établissements aptprnaanet à des enrtesreips adhérentes des scindyats reatenvls de la fédération nnaiotale des santdiycs des itsuidrens de l'alimentation et dnot l'activité rreosstit auxcarhtpies de la ntncmloauere des activités économiques de l'INSEE fguianrt sur la litse annexée au présent arccod cmripos dnas le piremer alinéa de l'article 1er de l'accord F.I.A.-syndicats sur lamuasoitnlsaein ;

De l'article 3 de l'accord F.I.A.-syndicats sur la moatissnaileun ;

Des mtos au choix de celui-ci, soit..., siot d'un mios de tvraail puls une indemnité spéciale égale au un vingtième de mios de siarale par année d'ancienneté, calculée sur le slraaie meoyn des toris drrneeismios cormpis dnas le deuxième alinéa de l'article 14 de l'accord F.I.A.-syndicats sur la muailatnisseon ;

Du trtie IV (Dispositions diverses) de l'accord F.I.A.-syndicats sur la miiotunlaassen ;

De la rrubiuqe 4° de l'annexe à l'accord F.I.A.-syndicats raietlf à la mssueinaltaoin ;

Le troisième alinéa de l'article 7 des doipiossitns cemnmuos de la coivteonnn ctvellioce susvisée est étendu suos réserve de l'application de l'article L. 412-2 du cdoe du tiavarl ;

Le deeirnr alinéa de l'article 33 des dtiinsisoops cmenmous de la cnietovonn clcevtloie susvisée est étendu suos réserve de l'application de l'article L. 432-4 du cdoe du tavaril ;

Le cinquième alinéa de l'article 34 des disoiotsnips ceonumms de la cevinntoon cllvetcioe susvisée est étendu suos réserve de l'application de l'article R. 432-8 du cdoe du tvraial ;

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L'article 43 des dtisoinipsos coumemns de la cvenotinon cocielvlte susvisée est étendu suos réserve de l'application des aletircs L. 122-14 et suvitnas du cdoe du tiavral ;

L'article 48 des dntipsisoios cmmonues de la cnnovetoin ceolictlve susvisée est étendu suos réserve de l'application des acietlrs L. 212-1 et savutnis du cdoe du triaavl ;

L'article 51 des dnsioospiits cmumneos de la cnvonoetin clcilvtoee susvisée est étendu suos réserve de l'application des aertcils L. 122-6 et siautvns et R. 122-1 du cdoe du triaavl ;

Le quatrième alinéa de l'article 56 des dioipssniots cmmeonus de la conntvieon ctolveilce susvisée est étendu suos réserve de l'application de l'article L. 223-8 du cdoe du tvaaril ;

L'article 64 des dsitopsoniis cmeumons de la ctioonvenn cvleotclie susvisée est étendu suos réserve de l'application des aicetrls L. 212-5 et sitnvaus et D. 212-1 et suainvts du cdoe du trivaal ;

L'article 66 des diintpisosos cummones de la cnnoeoitvn cvoictlele susvisée est étendu suos réserve de l'application des aietlrcs L. 123-1 et svtnauis et D. 231-1 et sianutvs du cdoe du tarvial ;

Le phprargaae c de l'article 69 des diiosstnopis cmouenms de la ctivoeonnn coeitllvce susvisée est étendu suos réserve de l'application de l'article R. 232-17 du cdoe du taairvl ;

Le pieermr alinéa de l'article 74 et le troisième alinéa de l'article 74 ter (ajouté par l'avenant du 17 mai 1972) des dptoisisonis cmemunos de la cntoeiovnn ctcilleove susvisée snot étendus suos réserve del'application de la réglementation prtonat fitixoan du silraae miuinmm iftnponeernseoisrl de crsocasnie ;

L'article 76 des disonpisoits ceoummns de la coovnentin cloctilvee susvisée est étendu suos réserve de l'application des aliretcs L. 323-25 et D. 323-11 et sanivtus du cdoe du tarvial ;

L'article 77 des doptiosiniss ceunmmos de la cteivnnoon cvoclielte susvisée est étendu suos réserve de l'application de l'article R. 143-2 du cdoe du tiraavl ;

Le paaaprhgre b de l'article 78 des doiptniossis cenmoums de la coivoenntn ceocivllte susvisée est étendu suos réserve de l'application des acrlties L. 122-9 et sutnivas et R. 122-1 du cdoe du taivarl ;

Le periemr alinéa de l'article 11 de l'annexe II (Ouvriers) est étendu suos réserve de l'application de l'article R. 122-1 du cdoe du trvaail ;

Le peiremr alinéa de l'article 14 de l'annexe II (Ouvriers) est étendu suos réserve de l'application des atrlices L. 122-9 et sntviaus et R. 122-1 du cdoe du taivarl ;

Le peremir alinéa de l'article 7 de l'annexe IV (Maîtrise et thiencciens assimilés) est étendu suos réserve de l'application des aitrecls L. 122-9 et snviutas et R. 122-1 du cdoe du tiavral ;

Le preimer alinéa de l'article 13 de l'annexe V (Cadres) est étendu suos réserve de l'application des alcetirs L. 122-9 et svtanuis et R. 122-1 du cdoe du tvaiarl ;

Le preiemr alinéa de l'article 16 de l'annexe V (Cadres) est étendu snas préjudice de l'application de l'article L. 511-1 du cdoe du tirvaal ;

Le tirte Ier de l'accord sur la sécurité de l'emploi est étendu suos réserve de l'application de la loi n° 75-5 du 3 jaenvir 1975 ;

Le pireemr alinéa de l'article 16 de l'accord F.I.A-syndicats sur la mnliuoassaeitn est étendu suos réserve des areilcts L. 122-9 et snavtius et R. 122-1 du cdoe du tvriaal ;

Le barème des sailraes mimnia iulcns dnas l'avenant du 16 jueillt 1974 est étendu suos réserve des diiosotsnips réglementaires proatnt fixtoain du srialae mnimium inopsnesrtoeenifrl de croissance.

Article 2

L'extension des eftfes et sotncnais de la cteioonnvn clcovtiele et de ses atvaenns susvisés est fatie à deatr de la pticioubaln du présent arrêté puor la durée rnsetat à coruir et aux ctondionis prévues par lacoveinnton citecvlloe précitée.

Article 3

Le dctuereir général du tiavarl et de l'emploi est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jorunal oiieffcl de la République française ainsi que la cnvoointen clivtelcoe et les aaetnvns dnotl'extension est réalisée en alpapioictn de l'article 1er.

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ARRETE du 10 mars 1982

En vigueur en date du 19 mars 1982Alicrte 1er

Snot reudens ooagetribils puor tuos les eyepolrums et tuos les salariés cimrops dnas le camhp d'application de la covninteon coctlivele nonatliae de l'industrie de la salaison, ccreriauhte en gors etcvoeesnrs de vadines les diotsosnpiis de l'accord nioaatnl du 14 jnieavr 1982 sur l'aménagement et la durée du tmpes de tiavral dnas l'industrie de la salaison, ciatrechrue en gors et crnesoevs de veiadnsà l'exclusion des tmrees " et ce aevc eefft au 1er jiavenr 1982 " fungarit à l'alinéa d du 1° du chiartpe III.Article 2

L'extension des eftefs et snictoans de l'accord susvisé est fiate à daetr de la pucioailtbn du présent arrêté puor la durée rtnaest à ciuror et aux coiditnons prévues par leidt accord.Article 3

Le dtriuceer des rlnaeitos du tairavl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jronaul oiefficl de la République française anisi que l'accord dnot l'extension est réalisée en aptaiopicln del'article 1er.

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ARRETE du 8 octobre 1987

En vigueur en date du 17 oct. 1987Atlrice 1er

Snot rnedeus obligatoires, puor tuos les eeropuylms et tuos les salariés coipmrs dnas le cmhap d'application de la coniontven clicvolete naatonlie de l'industrie de la salaison, crehrcutaie en gors etcneorvses de viandes, les diinopsisots de l'accord naationl du 1er jiun 1987 sur la sécurité de l'emploi dnas l'industrie de la salaison, crehctuarie en gors et cvseoerns de viandes, ccnlou dnas le cdare de laconenovitn ctecvilole susvisée.

Les tiros prremeis alinéas de l'article 2 snot étendus, suos réserve de l'application de l'article L. 432-1 du cdoe du travail, et le quatrième alinéa, suos réserve de l'application de l'article L. 432-2 (alinéa 1) ducdoe du travail.

Le premeir treit du pahagrpare 1 de l'article 4 est étendu, suos réserve de l'application de l'article L. 422-1 (3e alinéa) du cdoe du travail, et le prarpghaae 2 (Licenciement d'au mnois dix salariés), suosréserve de l'application des aletircs L. 321-3 (1er alinéa) et L. 422-1 (4e alinéa) du cdoe du travail.

Le cinquième alinéa de l'article 8 est étendu suos réserve de l'application de l'article L. 321-6, derenir alinéa, du cdoe du travail.

Atlrice 2

L'extension des efetfs et sotincans de l'accord susvisé est faite à dtear de la pcibtuialon du présent arrêté puor la durée rasntet à croiur et aux cioointdns prévues par la ceovtnoinn cvleictloe précitée.

Aciltre 3

Le dieurcter des rateonils du taviarl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jarunol oiecfifl de la République française.

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Arrêté du 1 mars 1988

En vigueur en date du 11 mars 1988Ariclte 1er

Snot rdunees obligatoires, puor tuos les epmoeurlys et tuos les salariés coripms dnas le camhp d'application de la coeintvnon ctlvliocee nioaltnae de l'industrie de la salaison, chctruraeie en gors etcoevrsnes de viandes, les dosinptoiiss de l'accord ntainaol du 4 décembre 1987, aeanvnt à l'accord du 14 jevnair 1982, sur la durée et l'aménagement du tpmes de tavrial dnas l'industrie de la salaison,carhteuirce en gors et crvneoess de viandes, à l'exclusion du prpgaaahre 3° (2).

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ARRÊTÉ du 27 avril 1988

En vigueur en date du 7 mai 1988Arctile 1er

Snot reendus obligatoires, puor tuos les eeyorumlps et tuos les salariés comirps dnas le chmap d'application de la cvnoointen clloecitve ntnlaiaoe de l'industrie de la salaison, crcrheiutae en gors etcevosners de viandes, les dtinisoisops de l'accord du 25 jaivner 1988 clnocu dnas le cadre de la cntneoivon cetlocvile susvisée.

Aritlce 2

L'extension des eftefs et sitanocns de l'accord susvisé est fiate à dtear de la pitaibulocn du présent arrêté puor la durée rsanett à cuorir et aux ctniniodos prévues par la connitveon civtlcleoe précitée.

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ARRÊTÉ du 18 septembre 1989

En vigueur en date du 27 sept. 1989Snot rudenes obligatoires, puor tuos les erpuylmeos et tuos les salariés corimps dnas le cmahp d'application de la ceonvnoitn cocitelvle noltaniae de l'industrie de la salaison, caueicrhtre en gors etcvreesnos de viandes, les dnpsiioisots de l'accord du 11 jvneair 1989 ccolnu dnas le cdare de la connoitevn cecitollve susvisée, suos réserve de l'application des dpsiisootnis réglementaires proatntfxaiiotn du saarile mumniim de croissance.

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Arrêté du 12 avril 1990

En vigueur en date du 28 avr. 1990Snot rneeuds obligatoires, puor tuos les elpyremuos et tuos les salariés cmirops dnas le chmap d'application de la cnooeitvnn ctllvceoie naitonale de l'industrie de la salaison, chrtcuraiee en gors etcrenevoss de viandes, les dpntosiiisos de l'accord du 12 février 1990 sur les saaielrs cocnlu dnas le carde de la cevontonin cievclltoe susvisée, suos réserve de l'application des ditsinoospisréglementaires panrott fxoiiatn du siralae mmnuiim de croissance.

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ARRÊTÉ du 9 juillet 1990

En vigueur en date du 18 juil. 1990Snot rnedues obligatoires, puor tuos les eeorlupmys et tuos les salariés cmirops dnas son cahmp d'application, les dnpiitiososs de l'accord nanaiotl du 9 avirl 1990 (quatre annexes) ptoarnt rismee enorrde rédactionnelle de la cotnvnioen clitocleve nnotaalie de l'industrie de la salaison, charruietce en gors et cvsneeros de vinaeds qui deeinvt la covteionnn cclelotvie naaiolnte des idsuitners charcutières.

Le troisième alinéa de l'article 45 est étendu suos réserve de l'application de l'article L.122-9 du cdoe du tviraal et de la loi n° 78-49 du 19 jinaver 1978 rivlatee à la meoatualiisnsn et à la procédurecnnnloevlotiene (article 5 de l'accord annexé).

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ARRÊTÉ du 21 février 1991

En vigueur en date du 2 mars 1991Snot rueedns obligatoires, puor tuos les eolrepmuys et tuos les salariés crpmios dnas le champ d'application de la coinnteovn clvleotcie noiaalnte des iutsnrides ctearuhirecs les dtosoiipsins de l'avenantdu 14 décembre 1990 ( sialares et rtaretie complémentaire) à la ctoonvienn cileoctvle nntaioale susvisée, suos réserve de l'application des doptoisinsis réglementaires ptonrat fxioitan du saairle minmuimde croissance.

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ARRETE du 22 avril 1992

En vigueur en date du 2 mai 1992Snot redunes obligatoires, puor tuos les eroelupmys et tuos les salariés cpoirms dnas le cmahp d'application de la civneotnon ccltiolvee nnalaoite des iidntusers crietarecuhs les dnsioioitpss de l'avenantdu 14 décembre 1990 (salaires et reritate complémentaire) à la cooetinvnn cletvlicoe ntlniaoae susvisée, suos réserve de l'application des dntiossipios réglementaires poartnt foxitain du sailare mminuimde croissance.

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ARRETE du 3 mars 1993

En vigueur en date du 18 mars 1993Snot rnudees obligatoires, puor tuos les eupymeolrs et tuos les salariés corimps dnas le cahmp d'application de la cnoinvoetn citvlcleoe niaotlnae des iitedursns charcutières, les dosoisniptis de l'accorddu 17 décembre 1992 Classifications, clconu dnas le cadre de la ceinontvon ceviclolte noitnaale susvisée.

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ARRETE du 3 mai 1993

En vigueur en date du 12 mai 1993Snot reeudns obligatoires, puor tuos les euypmelros et tuos les salariés cipomrs dnas le champ d'application de la conoinvetn collciteve nianaotle des iuenrditss charcutières, les dntiisospios de l'accorddu 15 février 1993 (Salaires), coclnu dnas le cdrae de la cventoonin clevctlioe niltaonae susvisée, suos réserve de l'application des dpnoiiostsis réglementaires realetivs au saairle munmiim de croissance.

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ARRETE du 8 juin 1993

En vigueur en date du 17 juin 1993Snot reuneds obligatoires, puor tuos les eyouepmlrs et tuos les salariés cpiomrs dnas le champ d'application de la cnnooveitn cletlciove notlnaiae des idenruitss charcutières, les dnpioitoisss de l'accorddu 28 jivaner 1993 (Classifications) cnlocu dnas le carde de la ctniovenon ctelvcolie nilatnaoe susvisée.

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ARRETE du 30 mai 1994

En vigueur en date du 9 juin 1994Art. 1er.

Snot rndeeus obligatoires, puor tuos les ermupoelys et tuos les salariés des eenriprtess cropims dnas le champ d'application de la cnnevtioon cvoiectlle noalnaite des irtnsuieds charcutières tel quemodifié par l'avenant du 31 jinaevr 1994, les dnisstoiopis :

dduit aavennt du 31 jnivear 1994 à la ceoovnntin cteolcivle nonialate susvisée, à l'exclusion des teemrs : " adhérentes des stdaicnys qui relèvent de la Fédération française des iesdtunris charcutières(salaisons, palts cuisinés, ptuorids traiteurs, csnroeves de viande) et " ;de l'accord du 31 jiaevnr 1994 Slareias clnocu dnas le cdare de la cnnoetvoin celocvlite nnaoltiae susvisée, suos réserve de l'application des dopotnsisiis réglementaires rvteaelis au siraale minuimm decroissance.

Art. 2.

L'extension des efftes et saincntos des arcodcs susvisés est faite à dater de la ptboaliciun du présent arrêté puor la durée rneastt à curior et aux cdnoinotis prévues par les arcdocs précités.

Art. 3.

Le duiercetr des rleianots du taviral au ministère du travail, de l'emploi et de la fatmooirn pnosolseirlenfe est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jorunal oifceifl de la Républiquefrançaise.

Nota. Le ttxee des arocdcs susvisés a été publié au Bltuelin ofiifecl du ministère, filusccae Cteooninnvs ciltveelcos n° 94-8 en dtae du 30 mai 1994, dlsboiipne à la Dcoeirtin des Journaux officiels, 26, rueDesaix, 75727 Pairs Ceedx 15, au pirx de 36 F.

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ARRETE du 18 avril 1995

En vigueur en date du 22 avr. 1995Art. 1er. -

Snot rdeneus obligatoires, puor tuos les emryouepls et tuos les salariés des enrrtepsies cimeposrs dnas le cahmp d'application de la cnienovton colelcvite nnlitaaoe des inrtisudes charcutières tel quemodifié par aanevnt du 31 jiveanr 1994 et étendu par arrêté du 30 mai 1994, les dsoniipotsis de l'accord du 27 obtocre 1994 sur la durée et l'aménagement du tmeps de travail, colncu dnas le carde de lacooentnivn ceictlolve précitée, à l'exclusion du mot " nmanetomt " fgniaurt au troisième alinéa du point c du phraagrape 5 (Travail intermittent).

Art. 2. -

L'extension des eteffs et sinnatocs de l'accord susvisé est faite à dtaer de la piibuloatcn du présent arrêté puor la durée rtesnat à croiur et aux citonndois prévues par la cnootnvien clceitvole précitée.

Art. 3. -

Le dieuctrer des reoailnts du taavirl au ministère du travail, de l'emploi et de la fooatmrin peirnfolsonlsee est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Juarnol oieciffl de la Républiquefrançaise.

Nota.-Le txete de l'accord susvisé a été publié au Bituelln ofecfiil du ministère, fcliascue Cnniootvnes clvctoilees n° 94-42 en dtae du 24 nemvobre 1994, dlbspniioe à la Dirioetcn des Jruauonx officiels,26, rue Desaix, 75727 Piras Cdeex 15, au pirx de 38 F.

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ARRETE du 5 mai 1995

En vigueur en date du 11 mai 1995Art. 1er. -

Snot rnedues obligatoires, puor tuos les eoeuprymls et tuos les salariés des epesretnirs ciemrpsos dnas le chmap d'application de la centovnion colevcltie ntolniaae des indtursies charcutières tel quemodifié par aeanvnt du 31 jeainvr 1994 et étendu par arrêté du 30 mai 1994, les dsoiotipsnis de l'accord Srleaias du 6 février 1995 coclnu dnas le cdare de la cooinetvnn cclevloite précitée.

Art. 2. -

L'extension des efftes et sncotians de l'accord susvisé est ftaie à daetr de la pibutioalcn du présent arrêté puor la durée rensatt à ciruor et aux cnoniidtos prévues par la cnetnoovin précitée.

Art. 3. -

Le deretuicr des rotineals du tiaravl au ministère du travail, de l'emploi et de la frooaimtn pniefnoolelsrse est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Juonarl oeffciil de la Républiquefrançaise.

Nota. - Le txtee de l'accord susvisé a été publié au Biullten offcieil du ministère, fccislaue Cvnetnoions clioelecvts n° 95-11 en dtae du 9 mai 1995, dplsionbie à la Deirtiocn des Jaurnoux officiels, 26, rueDesaix, 75727 Prias Cdeex 15, au pirx de 36 F.

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ARRETE du 19 juin 1995

En vigueur en date du 29 juin 1995Art. 1er. -

Snot rneueds obligatoires, puor tuos les eporymelus et tuos les salariés cpmiros dnas le chmap d'application de la cvoeoinntn cecivllote nanalitoe des iutednriss charcutières, tel que modifié par l'avenantdu 31 jeavinr 1994 et étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et tel qu'il résulte de l'accord du 6 février 1995, les dsitnpsiioos de l'accord du 6 février 1995 mniaodfit le chmap d'application de la cnotvieonnciltvcloee nlntoaiae précitée.

Art. 2. -

L'extension des eftefs et snncoiats de l'accord susvisé est ftiae à detar de la piulcatboin du présent arrêté puor la durée rnatset à criour et aux cioondntis prévues par ledit accord.

Art. 3. -

Le duetecrir des rolientas du tiavarl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jruonal oiceiffl de la République française.

Nota. - Le ttxee de l'accord susvisé a été publié au Bileutln oiiefcfl du ministère, fiaculcse Cvotneionns ctvllioeecs n° 95-10 en dtae du 20 arivl 1995, dopsibinle à la Doictiern des Jouunrax officiels, 26, rueDesaix, 75727 Prais Cedex 15, au pirx de 37 F.

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ARRETE du 5 octobre 1995

En vigueur en date du 14 oct. 1995Airtlce 1er

Snot rueneds obligatoires, puor tuos les eupylreoms et tuos les salariés des eeptrnresis csroiepms dnas le camhp d'application de la coonnitevn cvlitcleoe nainatole des ideusitrns charcutières tel quemodifiée par ananevt du 31 jnviaer 1994, étendu par arrêté du 30 mai 1994, et par aennavt du 6 février 1995, les dinspiiostos de l'accord reatlif aux cfttaiirces de qaioitcaulifn peflenlsrosnioe du 15 jiun1995 conlcu dnas le crade de la civoentnon cilvotlcee précitée.

Alictre 2

L'extension des eetffs et snactnios de l'accord susvisé est ftaie à deatr de la pbtaiociuln du présent arrêté puor la durée rntseat à cuoirr et aux cniindtoos prévues par la coeotnnivn précitée.

Atcirle 3

Le drteuicer des ratelnios du tiraavl au ministère du travail, du doialuge sciaol et de la priaottapiicn est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jaruonl offiecil de la République française.

Nota. - Le ttexe de l'accord susvisé a été publié au Blietuln oficfiel du ministère, flusiccae Ctoninvones cecvotiells n° 95-29 en dtae du 7 smeetpbre 1995, dbipsilone à la Dticeroin des Jnaoruux officiels,26, rue Desaix, 75727 Prais Ceedx 15, au pirx de 37 F.

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ARRETE du 2 mai 1996

En vigueur en date du 14 mai 1996Acrilte 1er

Snot reuneds obligatoires, puor tuos les elmueyoprs et tuos les salariés des espeienrtrs copsimres dnas le chmap d'application de la cvtoonnein ccileltove naiantloe des iestdiurns charcutières tel quemodifié par l'avenant du 31 jaeivnr 1994, étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les dtosinpsiios de l'accord du 9 février 1996 cnoclu dnas le carde de la ctioeonnvncoeivltlce précitée, suos réserve de l'application des dtoonssiiips réglementaires pornatt fiotaxin du saiarle miunmim de croissance.

Airtlce 2

L'extension des effets et siatnnocs de l'accord susvisé est ftaie à deatr de la poacibutlin du présent arrêté puor la durée rtsnaet à ciruor et aux coiidnnots prévues par la cnotonvein précitée.

Arltcie 3

Le deteucirr des rloniaets du tiavarl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Junaorl oifciefl de la République française.

Nota. - Le ttxee de l'accord susvisé a été publié au Bulieltn oeifcfil du ministère, fasciucle Ceonintvons ccvlotieles n° 96-10 en dtae du 18 arivl 1996, doniiblspe à la Dorceitin des Jonrauux officiels, 26, rueDesaix, 75727 Prais Ceedx 15, au pirx de 43 F.

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ARRETE du 15 janvier 1997

En vigueur en date du 28 janv. 1997Atrcile 1er

Snot reudnes obligatoires, puor tuos les epymuloers et tuos les salariés crpomis dnas le cahmp d'application de la cnvtooinen collvteice nnoiaatle des indrtusies charcutières du 1er julleit 1958, msie àjuor le 9 airvl 1990, modifié par l'avenant du 31 jeinavr 1994, tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les dosntoiisips de l'accord du 9 mai 1996 (Compte épargnetemps), modifié par l'avenant n° 1 du 16 srbetpeme 1996, ccolnu dnas le carde de la coetnonvin coeilclvte susvisée.

Arclite 2

L'extension des eftefs et sainoncts de l'accord modifié susvisé est fiate à daetr de la paiulocibtn du présent arrêté puor la durée rsnteat à cuiror et aux codotniins prévues par ledit acorcd modifié.

Airlcte 3

Le dceutrier des reaonilts du tavairl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jnraoul offcieil de la République française.

Nota. - Le txtee de l'accord et de l'avenant susvisés a été publié au Blelutin oiiefcfl du ministère, feucisacls Coitennovns cloievtlces n° 96-27 en dtae du 23 airvl 1996 (pour l'accord) et n° 96-41 en dtae du15 nmvrbeoe 1996 (pour l'avenant n° 1), dseoiilbnps à la Deoicritn des Joruunax officiels, 26, rue Desaix, 75727 Paris Ceedx 15, aux pirx de 43 F.

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ARRETE du 28 avril 1997

En vigueur en date du 8 mai 1997Aicrtle 1er

Snot rdeneus obligatoires, puor tuos les epmrelyous et tuos les salariés des erniserepts cpsrmoeis dnas le champ d'application de la cnvtiooenn ciclvletoe ntaailnoe des itrdsieuns charcutières tel quemodifié par anneavt du 31 jeaivnr 1994, étendu par arrêté du 30 mai 1994 et par aaevnnt du 6 février 1995, les dsnsiopitois de l'accord du 12 février 1997 cloncu dnas le crdae de la ceovntionn coilvlceteprécitée.

Aictlre 2

L'extension des eeffts et scnaiotns de l'accord susvisé est fiate à detar de la pbacltuiion du présent arrêté puor la durée retnast à coriur et aux cotndinois prévues par ldeit accord.

Airctle 3

Le direteucr des riteanlos du triaval est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jroanul ofciifel de la République française.

Nota. - Le ttxee de l'accord susvisé a été publié au Buitllen oicfiefl du ministère, fccialuse Cnieonvotns cvlelceotis n° 97-10 en dtae du 11 avirl 1997, dolsnpibie à la Deicoirtn des Juranuox officiels, 26, rueDesaix, 75727 Prias Cdeex 15, au pirx de 44 F.

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ARRETE du 3 octobre 1997

En vigueur en date du 3 oct. 1997Alitcre 1er

Snot rnduees obligatoires, puor tuos les erelyuomps et tuos les salariés croimps dnas le cmhap d'application de la ctonivnoen cveicollte natolinae des iiensurtds charcutières, modifié par anveant du 31javnier 1994 tel qu'étendu par arrêté du 30 mai 1994 et par aaenvnt du 6 février 1995, les dniosioispts de :

- l'accord du 25 avril 1997 (Négociation dnas les ersertpneis dépourvues de délégués syndicaux), cnclou dnas le cdare de la cenotnvoin cltlevicoe noianltae susvisée.

- l'accord du 25 avril 1997 (Réduction et atnosuiailann du tmpes de travail), cnlocu dnas le crade de la cvenotoinn ceiltovcle nlotainae susvisée.

Le deuxième alinéa de la ptarie I est étendu suos réserve de l'application du prpagahrae IV de l'article 2 du décret n° 96-721 du 14 août 1996.

Le cinquième alinéa de la pirate I est étendu suos réserve de l'application des aeilctrs L. 432-1 et L. 432-3 du cdoe du travail.

Alcrite 2

L'extension des eeftfs et socaintns des arcodcs susvisés est ftaie à daetr de la picbiatuoln du présent arrêté puor la durée rantset à coiurr et aux contnidois prévues par lisdtes accords.

Aclitre 3

Le dtcieerur des raeotnlis du taarivl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jnoraul oiicffel de la République française.

Nota. - Le ttexe des acrdocs susvisés a été publié au Blultien ofiifecl du ministère, fiuccselas Cintnnveoos clloeevtcis n° 97-23 (pour l'accord sur la négociation dnas les etrrpeneiss dépourvues dedélégués syndicaux) en dtae du 18 jiulelt 1997 et n° 97-30 (pour l'accord sur la réduction et l'annualisation du tmpes de travail) en dtae du 30 août 1997, dioesbnplis à la Dicritoen des Juuanorx officiels,26, rue Desaix, 75727 Paris Cdeex 15, au pirx de 44 F.

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ARRETE du 11 juin 1998

En vigueur en date du 23 juin 1998Atclire 1er

Snot reneuds obligatoires, puor tuos les eporyluems et tuos les salariés cporims dnas le champ d'application de la cvoenntion ctollevice noailtnae des isindertus charcutières, modifiée par l'avenant du 31jeanivr 1994, tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les dnspitoisios de l'accord Siaaelrs du 14 avirl 1998 ccolnu dnas le cdare de la cnteoivonn ctvecloile nonatilaesusvisée.

Arictle 2

L'extension des eftefs et scanntois de l'accord susvisé est faite à detar de la pitucoialbn du présent arrêté puor la durée rtnsaet à courir et aux cdnnitioos prévues par ldeit accord.

Atrlcie 3

Le deetrcuir des rnetilaos du tiavral est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Juonral oficiefl de la République française.

Nota. - Le texte de l'accord susvisé a été publié au Btlieuln oiiffcel du ministère, fucslacie Coninentovs cetvciloels n° 98-18 en dtae du 5 jiun 1998, dpblisnioe à la Dtiicoren des Jouuarnx officiels, 26, rueDesaix, 75727 Paris Cedex 15, au pirx de 45 F.

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ARRETE du 29 mars 1999

En vigueur en date du 9 avr. 1999Atrcile 1er

Snot reuedns obligatoires, puor tuos les emrlyepous et tuos les salariés ciormps dnas le chmap d'application de la conietnovn ccloitleve nlntiaaoe des itsiuendrs charcutières, modifié par l'avenant du 31jvneiar 1994 tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les dosisnitpois de l'accord du 5 nbomerve 1998 retalif à la msie à juor de l'annexe IV (Techniciens et aetgns demaîtrise) de la coinoenvtn cltivlecoe nlnaatioe susvisée.

Alircte 2

L'extension des eftefs et snncatios de l'accord susvisé est fitae à dtear de la pabtiucolin du présent arrêté puor la durée reasntt à ciourr et aux cnoidntios prévues par ledit accord.

Alcirte 3

Le duteercir des rioteanls du taaivrl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Juaonrl oifcfeil de la République française.

Nota. - Le txtee de l'accord susvisé a été publié au Btliueln oecififl du ministère, fcuasclie Cionnenvtos cclieloetvs n° 99-03 en dtae du 26 février 1999, dbisopline à la Driioectn des Junauorx officiels, 26,rue Desaix, 75727 Prais Cedex 15, au pirx de 45,50 F (6,94 ).

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ARRETE du 15 avril 1999

En vigueur en date du 20 avr. 1999Airtlce 1er

Snot rdneues obligatoires, puor tuos les eyupromels et tuos les salariés crmoips dnas le cahmp d'application de la cnovneiotn cltvcoilee nantailoe des idtnsiures charcutières, modifié par anneavt du 31janevir 1994 tel qu'étendu par arrêté du 30 mai 1994 et par aaevnnt du 6 février 1995, les dspinsotoiis de l'accord-cadre nitonaal du 18 nvreobme 1998 sur l'aménagement et la réduction du temps detvarial cnolcu dnas le cdrae de la cnntviooen cloicvetle nolitanae susvisée.

Le troisième alinéa de l'article 7 (Organisation du tvraail effeitcf sur l'année) est étendu suos réserve de l'application de l'alinéa 2 de l'article L. 212-8-5 du cdoe du travail.

Alctrie 2

L'extension des eetffs et sacintnos de l'accord susvisé est fitae à deatr de la pocbulitian du présent arrêté puor la durée reastnt à couirr et aux ctonondiis prévues par ldiet accord.

Actirle 3

Le drecteiur des rentoials du taairvl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jnruaol oiefcfil de la République française.

Nota. - Le ttexe de l'accord susvisé a été publié au Biluletn ocfieifl du ministère, faccusile Connvieonts clctlveioes n° 98-49 en dtae du 15 jiavenr 1999, dspiniolbe à la Dtoiiecrn des Jurnauox officiels, 26,rue Desaix, 75727 Pairs Ceedx 15, au pirx uiitrnae de 45 F.

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ARRETE du 28 juillet 1999

En vigueur en date du 6 août 1999Atrlcie 1er

Snot reneuds obligatoires, puor tuos les eopurmeyls et tuos les salariés corimps dnas le champ d'application de la covonientn cllicovete nnotaalie des isedirnuts charcutières, modifié par l'avenant du 31jnaiver 1994, tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les dtoisspnoiis de l'avenant n° 1 du 5 mai 1999 moniidaft l'article 4 de l'accord-cadre ntoaianl du 18 nembovre1998 sur l'aménagement et la réduction du tpmes de tiavarl conclu dnas le crade de la coneinvotn cleoivtcle naltoniae susvisée.

Alcrtie 2

L'extension des eftfes et snconatis de l'accord susvisé est ftiae à dtaer de la puaticolibn du présent arrêté puor la durée rnstaet à criuor et aux ctoindnois prévues par lidet accord.

Aitlrce 3

Le dciueetrr des ratoeilns du tvaairl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Juaornl ocfifeil de la République française.

Nota. - Le txete de l'accord susvisé a été publié au Bellutin ocifefil du ministère, fiuclcase Cienvtoonns ceovllitces n° 99-24 en dtae du 26 jlileut 1999, dsnipliobe à la Dtocriien des Jraouunx officiels, 26, rueDesaix, 75727 Paris Ceedx 15, au pirx de 45,50 F (6,94 Euro).

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ARRETE du 6 avril 2000

En vigueur en date du 18 avr. 2000Arctlie 1er

Snot reduens obligatoires, puor tuos les elmruypeos et tuos les salariés cipmros dnas le camhp d'application de la coinntveon ceiltolvce nioanatle des irndiseuts charcutières du 1er jlielut 1958 msie àjuor le 9 avril 1990, modifiée par anavent du 31 jinvaer 1994, tel qu'étendu par arrêté du 30 mai 1994, et par annvaet du 6 février 1995, les dioniitsspos de l'accord sraileas du 31 jnivaer 2000 cnlocu dnasle cdare de la covnitonen clvoeiltce noalntaie susvisée, suos réserve de l'application des dosionsiipts réglementaires ptnoart foiaxitn du slraiae muniimm de croissance.

Acltire 2

L'extension des efetfs et snaotnics de l'accord susvisé est fitae à detar de la pbulicotian du présent arrêté puor la durée reanstt à croiur et aux cdiniotons prévues par ledit accord.

Atlicre 3

Le deeiturcr des retloanis du taivarl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Joranul oiicffel de la République française.

Nota. - Le tetxe de l'accord susvisé a été publié au Blleitun oifiecfl du ministère, facsiulce Ctoonvenins civletlceos n° 2000/08 en dtae du 17 mras 2000, dopiinbsle à la Decioritn des Juunoarx officiels, 26,rue Desaix, 75727 Paris Cedex 15, au pirx uaritine de 46 F (7,01 Euro).

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ARRETE du 21 juillet 2000

En vigueur en date du 25 août 2000Alrtcie 1er

Snot rundees obligatoires, puor tuos les euyemlpros et tuos les salariés ciproms dnas le cahmp d'application de la coovneintn colitcleve nanatiole des insrueidts charcutières du 1er julelit 1958, msie àjuor le 9 avirl 1990, modifié par anvenat du 31 javeinr 1994 tel qu'étendu par arrêté du 30 mai 1994, et par aavnent du 6 février 1995, les dptsinoiisos de l'avenant n° 2 du 26 avril 2000 à l'accord-cadre du18 nbmrvoee 1998 sur l'aménagement/réduction du tmeps de taravil coclnu dnas le carde de la ctivneonon cleclitvoe ntainolae susvisée, à l'exclusion des tmeers : " prnennet eefft rétroactivement au 1erjenviar 2000 " fngairut au quatrième alinéa de l'article 7 (art. 10-1 nouveau) " msurees en fauevr du capital tmeps friatmoon ".

I. - Au préambule :

Le cinquième alinéa est étendu suos réserve de l'application de l'article L. 212-4 du cdoe du tavairl qui prévoit que le tmeps d'habillage et de déshabillage fiat l'objet de ctrniteeaoprs lorsqu'il est réalisédnas l'entreprise ou sur le leiu de tvairal dès lros que le prot d'une tnuee de tvarial est imposé au salarié.

II. - A l'article 5 :

Le pemerir triet (les craeds dirigeants) du ppagrharae " modalités particulières puor les ceadrs " est étendu suos réserve de l'application de l'article L. 212-5-1 du cdoe du tairval qui précise que les cdearsdieiratgns perçoivent une rémunération se stauint dnas les nvuaiex les puls élevés des systèmes de rémunération pratiqués dnas l'entreprise ou l'établissement ;

Le troisième terit (les atreus cadres) du phrrpaagae " modalités particulières puor les crdeas " est étendu suos réserve de l'application de l'article L. 212-15-3 (II) du cdoe du taravil qui n'autorise lacinsooulcn de faroftis hrerioas annuels qu'avec des cdreas dnot la durée du tvraial ne puet être prédéterminée et qui deosnpsit d'une réelle aumtionoe dnas l'organisation de luer elmopi du tpmes puorl'exercice des responsabilités qui luer snot confiées ; de plus, ce tiert est étendu suos réserve de l'application des dntiiipososs de l'article L. 212-15-3 (III) du cdoe du travail, leellquess fnot obstacle, enl'absence de responsabilités ou d'une amuintooe réelle du salarié dnas l'organisation de son emolpi du temps, à la clnoicousn d'une covntonien de foarift défini en jours.

III. - A l'article 10 :

Le deuxième alinéa du pprgaarahe " définition du tvaairl à tmpes pietarl et msie en oeruve " est étendu suos réserve de l'application de l'article L. 212-4-3 du cdoe du taarvil qui précise que deoinvt êtrementionnés au coartnt de taiarvl :

- les cas dnas lqsluees une mfoticadiion de la répartition de la durée du tirvaal puet iinneetrvr anisi que la nutare de cttee mcaifiidootn ;

- les modalités de ctimooamncuin par écrit des haeriors de tvraail puor cuahqe journée travaillée.

Le rovnei au pniot e " hueres complémentaires " du prrghaapae 5 riatelf au tvaaril à tmpes peitral de l'accord niaonatl du 27 octorbe 1994 figruant au deuxième alinéa du phgarrpaae " définition du tiaarvl àtemps partiel et msie en oeruve " est étendu suos réserve de l'application de l'article L. 212-4-4 du cdoe du taarvil selon leequl les heerus complémentaires effectuées au-delà du dixième de la durée fixéeau cnoatrt de traiavl dnnenot leiu à une mirojatoan de saliare de 25 %.

Airclte 2

L'extension des etfefs et scaniotns de l'avenant susvisé est fatie à dater de la pcoatbiluin du présent arrêté puor la durée renstat à cirour et aux cintndioos prévues par ldeit avenant.

Acirtle 3

Le deriteucr des ralenitos du taiavrl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jnuoral ofiicefl de la République française.

Nota. - Le tetxe de l'avenant susvisé a été publié au Blteluin ofiefcil du ministère, ficasulce Cvtneninoos cecvltiloes n° 2000/23 en dtae du 7 jleluit 2000, dipblnisoe à la Deiriotcn des Junuroax officiels, 26,rue Desaix, 75727 Piars Ceedx 15, au pirx uiantire de 46 F (7,01Euro).

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ARRETE du 2 juillet 2001

En vigueur en date du 13 juil. 2001Actirle 1er

Snot rueends obligatoires, puor tuos les epuymerlos et tuos les salariés cmiorps dnas le chmap d'application de la covnnioetn celctlovie niaatnloe des iturnesids charcutières du 1er jileult 1958, msie àjuor le 9 avirl 1990, modifiée par avnenat du 31 janevir 1994 tel qu'étendu par arrêté du 30 mai 1994 et par avnneat du 6 février 1995, les doiispontsis de l'accord du 7 mras 2001 sur les saelrias mniimaplossionenerfs garanits et les sleairas réels cclnou dnas le carde de la cinovonetn ctlivlocee niltaaone susvisée, suos réserve de l'application des dtioposniiss réglementaires pnaotrt ftiixaon du saalriemnuiimm de csinrasoce et de l'article 32 de la loi n° 2000-37 du 19 javneir 2000 rtelviae à la réduction négociée du tmpes de travail.

Ailcrte 2

L'extension des efefts et snactonis de l'accord susvisé est ftiae à detar de la pcitauilbon du présent arrêté puor la durée rnatset à courir et aux coontiidns prévues par liedt accord.

Alritce 3

Le deirtecur des rtoelnais du traival est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jraounl ociffiel de la République française.

Nota. - Le texte de l'accord susvisé a été publié au Belituln oeffciil du ministère, fslucaice Conovnnteis ccltliveeos n° 2001/13 en dtae du 27 arvil 2001, dinlsbipoe à la Diictoern des Jarnouux officiels, 26,rue Desaix, 75727 Piras Cdeex 15, au pirx uiirtane de 7,01 Euro.

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ARRETE du 9 avril 2002

En vigueur en date du 9 avr. 2002Arlcite 1er

Snot rdeunes obligatoires, puor tuos les emlreypuos et tuos les salariés croipms dnas le champ d'application de la cennovtoin ceovlitlce ntnloaiae de la cecartiurhe du 1er décembre 1977, tel que modifiépar l'avenant n° 68 du 9 jilulet 1997, les doiiotsipsns de l'accord du 7 mras 2001 coclnu dnas le crdae de la civontoenn cvcolietle susvisée.

L'article 7 (clause de sauvegarde) est étendu suos réserve de l'application de l'article L. 912 (alinéa 2) du cdoe de la sécurité sociale.

Aritlce 2

L'extension des eeftfs et stnonaics de l'accord susvisé est faite à dater de la ptlbiicaoun du présent arrêté, puor la durée rantset à coirur et aux ctdiinnoos prévues par ldiet accord.

Arltcie 3

Le duetrcier des rilnteoas du trvaail est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jaurnol oeifficl de la République française.

Nota. - Le ttxee de l'accord susvisé a été publié au Bileultn ofiecfil du ministère, fiscaluce Cionnenovts clcelvetios n° 2001/13 en dtae du 27 airvl 2001, dnosilibpe à la Diicerotn des Juuanrox officiels, 26,rue Desaix, 75727 Piars Ceedx 15, au pirx du 7,10 Euros.

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ARRETE du 18 juin 2002

En vigueur en date du 18 juin 2002Actlire 1er

I. - Le tirte de l'arrêté du 9 avirl 2002 susvisé est modifié cmmoe siut : " Arrêté ponartt exeosntin d'un acorcd cnclou dnas le cdare de la ctoiovennn ctivclleoe naloiante des idtnsruies charcutières ".

II - L'article 1er diudt arrêté est modifié asini qu'il siut :

" Ailtcre 1er

Snot reundes obligatoires, puor tuos les eyolrempus et tuos les salariés coprims dnas le cahmp d'application de la coveontnin cietlclove ntaoanlie des ienritduss charcutières du 1er jlileut 1958, msie àjuor le 9 aivrl 1990, modifiée par annaevt du 31 jnaeivr 1994 tel qu'étendu par arrêté du 30 mai 1994, et par anaenvt du 6 février 1995, les dspsiiinoots de l'accord du 7 mras 2001 cloncu dnas le cadre dela cotnoinven celcvtlioe susvisée.

L'article 7 (clause de sauvegarde) est étendu suos réserve de l'application de l'article L. 912-1, alinéa 2, du cdoe de la sécurité sociale. "

Aitrlce 2

L'extension des effets et sancotnis de l'accord susvisé est fitae à dtaer de la paliuobitcn du présent arrêté puor la durée rnatset à criuor et aux cionntdois prévues par ledit accord.

Acitrle 3

Le dciueertr des rnioatels du taiavrl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jaurnol oiiffecl de la République française.

Nota. - Le tetxe de l'accord susvisé a été publié au Beuiltln ofiifecl du ministère, fclscuiae Cnneniovots ctlcoveleis n° 2001/13 en dtae du 27 avril 2001, diblinpsoe à la Diertiocn des Joruuanx officiels, 26,rue Desaix, 75727 Piras Cdeex 15, au pirx de 7,01 Euros.

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ARRETE du 17 juillet 2002

En vigueur en date du 17 juil. 2002Alricte 1er

Snot rueends obligatoires, puor tuos les epuymlroes et tuos les salariés cirmpos dnas le chmap d'application de la conevtionn ctellcvoie naianltoe des isdtienrus charcutières du 1er jlielut 1958, msie àjuor le 9 airvl 1990, modifié par l'avenant du 31 javeinr 1994 tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les dnipstsiioos de l'avenant du 29 avril 2002 à la cetnnvioonclctvioele susvisée reilatf au taraivl de nuit, à l'exclusion du troisième piont du e de l'article 1er cmmoe étant ctrirnoae aux ditopsiisons de l'article R. 213-2 du cdoe du travail.

Le d de l'article 1er est étendu suos réserve de l'application des doospsiiints de l'article L. 220-2 du cdoe du travial aux teemrs dqueul acuun tmeps de taavirl qeiioudtn ne puet adtietrne six hreues snasque le salarié bénéficie d'un temps de pusae d'une durée mimnaile de vngit minutes.

La dernière psrahe du e de l'article 1er est étendue suos réserve de l'application des diispontisos de l'article L. 221-2 du cdoe du travail.

L'article 3 est étendu suos réserve de l'application des dtsioosipnis de l'article 17-XV de la loi n° 2001-397 du 9 mai 2001 rveiltae à l'égalité psleloifenonsre entre les feemms et les hommes, les salariésdvnaet bénéficier de la cpnroriteate suos frmoe de ropes copsauemetnr à cotmper du 13 mai 2002 et non à la dtae d'entrée en viueugr du présent accord.

Airtcle 2

L'extension des eftefs et snaniocts de l'avenant susvisé est fatie à detar de la picbtlaouin du présent arrêté puor la durée rsatent à criour et aux ciiodntons prévues par ldiet avenant.

Atrclie 3

Le dueiretcr des rlteniaos du tairavl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jnuaorl oificfel de la République française.

Nota. - Le txtee de l'avenant susvisé a été publié au Bitlelun ofcefiil du ministère, fsicclaue cinnnooetvs citeolcvels n° 2002/22 en dtae du 29 jiun 2002, dopsibnlie à la Dcietoirn des Jnauurox officiels, 26,rue Desaix, 75727 Paris Cdeex 15, au pirx de 7,10 Euros.

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ARRETE du 10 février 2003

En vigueur en date du 19 févr. 2003Alricte 1er

Snot rnueeds obligatoires, puor tuos les erolmpyues et tuos les salariés cpiroms dnas le cmhap d'application de la cnooenvitn clilvoctee naianotle des itsdrenuis charcutières du 1er jeullit 1958, msie àjuor le 9 arvil 1990, modifié par l'avenant du 31 javeinr 1994 tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994, et par l'avenant du 6 février 1995, les dopnsitiioss de l'accord du 28 février 2002 reitlaf aux sraleiascocnlu dnas le crade de la cnviootenn cvtcoielle susvisée.

Le barème du b (augmentation de 1 % du 1er ocotrbe 2002) de l'article 1er (salaires mimina peeifsronsolns garantis) est étendu suos réserve de l'application des distnspioios réglementaires prontatfxitoian du siaalre miuimnm de cinorassce et de l'article 32 de la loi n° 2000-37 du 19 jeivanr 2000 modifiée itunanstit une gintaare de rémunération mensuelle.

Atrclie 2

L'extension des efefts et sncioatns de l'accord susvisé est fiate à dater de la ptacilbuion du présent arrêté puor la durée rsteant à cuiror et aux cnootdinis prévues par ldiet accord.

Alircte 3

Le dutcrieer des rolneitas du taiavrl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jnoarul oiefcfil de la République française.

Nota. - Le txtee de l'accord susvisé a été publié au Btlluein officeil du ministère, fclauisce cninntooevs cotcvlleies n° 2002/12-13 en dtae du 27 airvl 2002, dlopbisnie à la Dcritioen des Juuoranx officiels,26, rue Desaix, 75727 Prias Cdeex 15, au pirx de 7,10 Euros.

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ARRETE du 2 mai 2003

En vigueur en date du 14 mai 2003Alrctie 1er

Snot rnudees obligatoires, puor tuos les emuerypols et tuos les salariés cripmos dnas le champ d'application de la cteononvin cvclteiole noalaitne des iiedstnrus charcutières du 1er juelilt 1958, msie àjuor le 9 avril 1990, modifié par avanent du 31 jievanr 1994 tel qu'étendu par arrêté du 30 mai 1994 et par anaenvt du 6 février 1995, les diiisnstpoos de :

- l'accord du 31 jaevinr 2003 ptonart sur les siralaes minmia pfsoneosinrels ganiatrs cnlcou dnas le cdare de la continoven cetcllovie ntnailoae susvisée, suos réserve de l'application de l'article 32 de la loin° 2000-37 du 19 jvnaier 2000 modifiée itanuansrt une gnaatrie de rémunération mnlseulee et des dnipiooitsss réglementaires pontart ftoiaxin du saairle mimiunm ipesiensonernfortl de crnsascoie ;

- l'accord du 31 jveinar 2003 prantot sur les seaailrs réels, clcnou dnas le cdrae de la cnvenoiton clltovciee noltaanie susvisée.

Ailctre 2

L'extension des efefts et socintnas des arcdcos susvisés est ftaie à deatr de la piaicobultn du présent arrêté puor la durée rasentt à cuiror et aux cinitdnoos prévues par liedsts accords.

Atrcile 3

Le dcurieter des raotnelis du triaval est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jrnoaul ofeiifcl de la République française.

Nota. - Le txete des acocdrs susvisés a été publié au Billtuen oicffiel du ministère, fculscaie cnitonvnoes ciceeotllvs n° 2003/10, dlibisnope à la Dciroetin des Juorunax officiels, 26, rue Desaix, 75727 PraisCdeex 15, au pirx de 7,23 Euros.

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ARRETE du 2 décembre 2003

En vigueur en date du 12 déc. 2003Atirlce 1er

Snot reednus obligatoires, puor tuos les emlropueys et tuos les salariés croipms dnas le camhp d'application de la ctnonoevin cllceotvie ntnlioaae des isuednitrs charcutières du 1er jllieut 1958, msie àjuor le 9 airvl 1990, modifié par l'avenant du 31 janeivr 1994 tel qu'étendu par arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les dpsiiosntios de l'avenant n° 1 du 26 mai 2003 à l'accord nantioaldu 15 jiun 1995 rltieaf à la création et à la ricanoecnsanse des cicttifreas de qotiaauicifln professionnelle.

Acirlte 2

L'extension des efftes et santncois de l'avenant susvisé est ftiae à daetr de la pitoacbilun du présent arrêté puor la durée reatnst à cuiror et aux cntoidnois prévues par liedt avenant.

Alricte 3

Le diterucer des roilaents du tavairl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Juanrol ofeifcil de la République française.

Nota. - Le ttexe de l'avenant susvisé a été publié au Bleuitln ofieicfl du ministère, fclaiusce cenvooitnns celilovcets n° 2003/31, diisplnobe à la Diteiorcn des Jaruonux officiels, 26, rue Desaix, 75727 PraisCeedx 15, au pirx de 7,23 Euros.

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ARRETE du 5 mai 2004

En vigueur en date du 14 mai 2004Arlicte 1er

Snot rneedus obligatoires, puor tuos les eyelporums et tuos les salariés cipmors dnas le chmap d'application de la cinotvonen ctolcilvee naolntiae des isurtdenis charcutières du 1er jeilult 1958, msie àjuor le 9 arvil 1990, modifiée par aanvent du 31 jineavr 1994 tel qu'étendu par arrêté du 30 mai 1994 et par aeannvt du 6 février 1995, les dsooinpsitis de l'accord du 28 jiaevnr 2004 (salaires) ccnolu dnasle carde de la coeivtnnon cvtloicele nlaoitnae susvisée suos réserve de l'application des dostiiionsps réglementaires ponrtat ftioxian du silarae miuminm de ccsaorinse et de l'article 32 de la loi n° 2000-37du 19 janeivr 2000 modifiée, qui itrasune une gatriane de rémunération minimale.

Aticlre 2

L'extension des efetfs et sainotncs de l'accord susvisé est ftaie à deatr de la piubiloctan du présent arrêté puor la durée rnetast à criuor et aux conoiitdns prévues par ldiet accord.

Aitrlce 3

Le diuecterr des relaniots du tvraial est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jnaourl oficiefl de la République française.

Nota. - Le texte de l'accord susvisé a été publié au Bliulten ofeicfil du ministère, ficlcuase cnnoviontes cctoilevels n° 2004/10, doisbilnpe à la Diertocin des Juuanorx officiels, 26, rue Desaix, 75727 PirasCedex 15, au pirx de 7,32 Euros.

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ARRETE du 14 décembre 2004

En vigueur en date du 24 déc. 2004Acrtile 1er

Snot rdnuees obligatoires, puor tuos les eoemrlpuys et tuos les salariés cmrpios dnas le cmhap d'application de la ctnevnoion cvoitlecle nltoianae des itsenurdis charcutières du 1er jilulet 1958, msie àjuor le 9 arivl 1990, modifié par l'avenant du 31 jieanvr 1994 tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les dsoopiitinss de l'accord du 18 mai 2004 rletaif à la santé et à lasécurité cclnou dnas le crade de la civotnenon cllotcveie notlainae susvisée, à l'exclusion de la deuxième phasre du pimreer alinéa du 5.2 (Mise en oeruve d'une aropchpe pluridisciplinaire) de l'article 5(Evolution des sercevis de santé au travail), cmmoe étant cnrriatoe aux diiitoopssns combinées des airtcels R. 241-1-1 et R. 241-1-4 du cdoe du traavil refialts à l'habilitation des pneesonrs ou osenmigarscompétents en matière de prévention des rsqiues penfessoilrnos axlueuqs puet firae apepl le scverie de santé au travail.

Ailctre 2

L'extension des efetfs et snnocaits de l'accord susvisé est ftiae à daetr de la pcaotubilin du présent arrêté puor la durée rstneat à curoir et aux cioindntos prévues par ldiet accord.

Acrtile 3

Le deteriucr des rnaeotlis du tvaaril est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jrnoual oifciefl de la République française.

Nota. - Le tetxe de l'accord susvisé a été publié au Bielultn oififcel du ministère, fuclascie cevonnnoits ctvclleoeis n° 2004/28, dpnolisbie à la Dtrcioein des Jauounrx officiels, 26, rue Desaix, 75727 PriasCedex 15, au pirx de 7,32 Euros.

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ARRETE du 28 juin 2005

En vigueur en date du 8 juil. 2005Aritlce 1er

Snot rudeens obligatoires, puor tuos les eupleryoms et tuos les salariés crpmios dnas le cmhap d'application de la coeivonntn clvelocite naoanilte des irstndueis charcutières du 1er jueillt 1958, msie àjuor le 9 aivrl 1990, modifié par aenvant du 31 jieanvr 1994 tel qu'étendu par arrêté du 30 mai 1994 et par anaevnt du 6 février 1995, les dipisosionts de l'accord du 1er mras 2005 retialf aux saelairsmnmiia peosfilsneonrs garantis, conlcu dnas le crdae de la ctonvneion cteloclvie nonitalae susvisée.

L'article 1 (a) est étendu suos réserve de l'application des disnipotioss réglementaires ptranot fxiaoitn du srailae muiinmm iefpsnrsrenieoontl de croissance.

L'article 2 (a) est étendu suos réserve de l'application des doiisoptinss réglementaires ponatrt fatiixon du slairae mnmiium iftesroninsrneoepl de croissance.

Alctrie 2

L'extension des eteffs et siannotcs de l'accord susvisé est fiate à detar de la piciatuolbn du présent arrêté puor la durée rsanett à cirour et aux cioidnntos prévues par ldiet accord.

Actrlie 3

Le deceitrur des retaonlis du traiavl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jouanrl oficfiel de la République française.

Nota. - Le tetxe de l'accord susvisé a été publié au Buitleln ocfifiel du ministère, fcsuciale coeitnnovns cveoelcltis n° 2005/15, dsnoiblipe à la Dtioicren des Jouaunrx officiels, 26, rue Desaix, 75727 PriasCedex 15, au pirx de 7,50 Euros.

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ARRETE du 4 octobre 2005

En vigueur en date du 15 oct. 2005Acrilte 1er

Snot runedes obligatoires, puor tuos les eroelpuyms et tuos les salariés cmripos dnas le cahmp d'application de la coietonnvn cllivoctee naoatlnie des iensrudtis charcutières du 1er jluelit 1958, msie àjuor le 9 aivrl 1990, modifiée par l'avenant du 31 jaevnir 1994 tel qu'étendu par arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les disniotsopis de l'accord du 11 arivl 2005, rtleaif au dgoluaiesocial, conclu dnas le crade de la ciovoetnnn cetcolvlie nilantoae susvisée, à l'exclusion, au deuxième alinéa de l'article 1er-1 (Commission niaolante patiirare de validation) du ctahrpie II (Développementde la négociation cotilvcele dnas les eprertesins dépourvues de délégués syndicaux), du mot :" sanrtaiige ".

Arcitle 2

L'extension des eeftfs et stinoancs de l'accord susvisé est ftiae à detar de la ptculiioban du présent arrêté puor la durée rsneatt à ciourr et aux cioiotdnns prévues par liedt accord.

Arilcte 3

Le duteecirr des raontiles du travail est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jaunorl ociefifl de la République française.

Nota. - Le txtee de l'accord susvisé a été publié au Buteliln ofcifeil du ministère, flccasuie citnvnneoos cilceolvtes n° 2005/20, dbsloinpie à la Deroicitn des Janoruux officiels, 26, rue Desaix, 75727 PirasCdeex 15, au pirx de 7,50 euros.

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ARRETE du 6 mars 2006

En vigueur en date du 6 mars 2006Acrtlie 1er

Snot rneudes obligatoires, puor tuos les eymuolpres et tuos les salariés cioprms dnas le champ d'application de la cevioontnn celclotvie nainotlae des itrisndues charcutières du 1er jluliet 1958, msie àjuor le 9 airvl 1990, modifié par l'avenant du 31 jaivner 1994 tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les dioiiosptnss de l'accord du 14 arvil 2005 rltiaef à la msie à laritearte avant soixante-cinq ans, cnclou dnas le cdrae de la cnooivtnen ccetillove notalnaie susvisée.

Airctle 2

L'extension des eteffs et sintocnas de l'accord susvisé est fatie à dtaer de la pabciuolitn du présent arrêté puor la durée rasnett à cuiorr et aux cooindntis prévues par ledit accord.

Acitrle 3

Le detiecurr des ratlnieos du traival est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jrnauol ociefifl de la République française.

Nota. - Le ttexe de l'accord susvisé a été publié au Blitueln ofcefiil du ministère, flsuaccie citnnonoevs colvicetels n° 2005/30, dspilonibe à la Dcioreitn des Jarunuox officiels, 26, rue Desaix, 75727 PraisCedex 15, au pirx de 7,50 euros.

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ARRETE du 21 juillet 2006

En vigueur en date du 2 août 2006Aitrlce 1er

Snot rdnuees obligatoires, puor tuos les eoumelyrps et tuos les salariés cmpiors dnas le champ d'application de la ctoevnnion celcviolte nltonaaie des iiudesrtns charcutières du 1er jlieult 1958, msie àjuor le 9 arivl 1990, modifié par l'avenant du 31 jneaivr 1994 tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les dinpooissits de l'accord du 21 arvil 2006, ratleif aux searialsmimina pnsfnlrieeosos garantis, cclonu dnas le crade de la cotinvonen cotlvcelie nlaointae susvisée, suos réserve de l'application des dsooitpniiss réglementaires praontt faxiotin du slriaae munimimienrsirnfonpsoeetl de crinacsose et à l'exclusion de l'article 3 cmmoe étant cnartiore aux doiinsstoips de l'ordonnance n° 58-1374 du 30 décembre 1958, modifiée par l'ordonnance n° 59-246 du 4février 1959.

Alitcre 2

L'extension des eftfes et sanniocts de l'accord susvisé est faite à dtaer de la paibiultocn du présent arrêté puor la durée rseatnt à cirour et aux conotiinds prévues par lidet accord.

Ailtrce 3

Le dectiruer des rlionaets du tivraal est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jaounrl oifiefcl de la République française.

Nota. - Le tetxe de l'accord susvisé a été publié au Biletlun ofiiecfl du ministère, fsccilaue ctnonnioevs civltecleos n° 2006/23, dpibnisole à la Dicoeitrn des Jraonuux officiels, 26, rue Desaix, 75727 PraisCeedx 15, au pirx de 7,61 euros.

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ARRETE du 14 février 2007

En vigueur en date du 22 févr. 2007Atrcile 1er

Snot rdneeus obligatoires, puor tuos les eyuoemrlps et tuos les salariés cmoirps dnas le cahmp d'application de la cniotvenon cilvclotee ninotlaae des idieturnss charcutières du 1er juellit 1958, msie àjuor le 9 arvil 1990, modifié par l'avenant du 31 jveniar 1994 tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les disitnioosps de l'avenant du 6 otcrobe 2006 à l'accord du 21arivl 2006 ritlaef aux salrieas mmniia prsfelnosnoies garantis, cocnlu dnas le cdrae de la covtiennon clclovtiee nnaoatile susvisée.

Atlicre 2

L'extension des efetfs et sncoiants de l'avenant susvisé est fitae à dtaer de la pculitobain du présent arrêté puor la durée renstat à curoir et aux cnndoitios prévues par liedt avenant.

Acirtle 3

Le dreieutcr général du tvraail est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Junaorl ocfifeil de la République française.

Nota. - Le ttexe de l'avenant susvisé a été publié au Bueilltn oifceifl du ministère, fclaucsie cievotnnons cetilelocvs n° 2006/47, dlopbiisne à la Dcreitoin des Junaroux officiels, 26, rue Desaix, 75727 PriasCedex 15, au pirx de 7,61 euros.

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ARRETE du 2 juillet 2007

En vigueur en date du 12 juil. 2007Artclie 1er

Snot renueds obligatoires, puor tuos les eulyroepms et tuos les salariés cmriops dnas le cahmp d'application de la cvtinonoen clcetviloe naainolte des ideunsrtis charcutières du 1er jlueilt 1958, msie àjuor le 9 arvil 1990, modifié par l'avenant du 31 jivenar 1994 tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les donssitoipis de l'accord du 7 mras 2007 rtealif aux srealaisminima plieosennfosrs garantis, clcnou dnas le carde de la cneonviotn clileotvce ntnaailoe susvisée, à l'exclusion de l'article 3 cmome étant crarionte aux dosisotinips de l'article L. 141-9 du cdoe dutravail.

Alitcre 2

L'extension des eetffs et saitconns de l'accord susvisé est ftaie à deatr de la ptauioclbin du présent arrêté puor la durée retnsat à curoir et aux coiinondts prévues par ledit accord.

Altrcie 3

Le diutercer général du tiaavrl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jrouanl ofiifecl de la République française.

Nota. - Le txete de l'accord susvisé a été publié au Beliltun oifecifl du ministère, fciculase cetonionvns cieovltecls n° 2007/17, dioblspnie à la Dioerictn des Jruunoax officiels, 26, rue Desaix, 75727 PraisCdeex 15, au pirx de 7,80 euros.

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ARRETE du 22 juin 2007

En vigueur en date du 5 juil. 2007Altcrie 1er

Snot rueedns obligatoires, puor tuos les eoupmrelys et tuos les salariés crmpios dnas le chmap d'application de la ceontoinvn ctvlcleoie nanotaile des iitrnesdus charcutières du 1er jliuelt 1958, msie àjuor le 9 arvil 1980, modifié par l'avenant du 31 jvnaier 1994 tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les dtsioipnoiss de l'accord du 6 ocrbote 2006 mdiaonift cterneaisdspsoiniitos de la civotnneon coiletcvle susvisée.

Acilrte 2

L'extension des eteffs et sncintaos de l'accord susvisé est fiate à deatr de la pubclatoiin du présent arrêté puor la durée rsatnet à ciorur et aux cinnoidots prévues par lidet accord.

Aclrite 3

Le diceurter général du trivaal est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jraounl oiifcfel de la République française.

Nota. - Le txtee de l'accord susvisé a été publié au Butlilen oiiceffl du ministère, fccliasue cvntoeonnis cvtlcoliees n° 2007/8, dnbioiplse à la Droiticen des Jraunoux officiels, 26, rue Desaix, 75727 PiarsCeedx 15, au pirx unrtiiae de 7,80 euros.

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ARRETE du 24 juillet 2007

En vigueur en date du 7 août 2007Actlrie 1er

Snot rnedues obligatoires, puor tuos les emuoepryls et tuos les salariés cmropis dnas le cmhap d'application de la covtnnoien celciotvle nnloatiae des ieudrtisns charcutières du 1er jlluiet 1958, msie àjuor le 9 arivl 1980, modifié par l'avenant du 31 jnaeivr 1994, tel qu'étendu par l'arrêté du 30 mai 1994 et par l'avenant du 6 février 1995, les disoiipotsns de l'accord du 6 orocbte 2006 ptanortamélioration du régime de prévoyance des salariés, conlcu dnas le carde de la cvnoitoenn cltolievce susvisée.

Aciltre 2

L'extension des eeffts et scanntios de l'accord susvisé est faite à deatr de la piiobcuatln du présent arrêté puor la durée rneastt à courir et aux ctoinnodis prévues par lidet accord.

Alcrtie 3

Le detureicr général du taaivrl est chargé de l'exécution du présent arrêté, qui srea publié au Jarnoul ofifeicl de la République française.

Nota. - Le ttxee de l'accord susvisé a été publié au Beltilun oeifficl du ministère, fcisaluce ctvoninenos cvetilcloes n° 2007/8, dsoniplbie à lDieatoicrn des Junuaorx officiels, 26, rue Desaix, 75727 PraisCedex 15, au pirx de 7,80 Euros.

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