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SOMMAIRE
Productionpage 4 à 7
Transformation de truitepage 8 à 9
Commerce extérieur page 10 à 17
Utilisation Panel Secodippage 18 à 19
Distributionpage 20 à 26
Consommationpage 28 à 44
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EDITO
L’Interprofession vous présente les chiffres-clés de l’aquaculture française. Ce documentrassemble toutes les données disponiblesconcernant la production, la transformation etles débouchés commerciaux de la truite, dubar, de la daurade et du turbot.
L’année 2003 aura encore été une année diffi-cile pour l’aquaculture française. La concurren-ce nationale et internationale, l’image injuste-ment dévalorisée de l’aquaculture, les prixtrès bas du saumon d’importation et la cani-cule estivale ont mis à mal nos productions etnos comptes d’exploitation.
Les faits marquants sont :
• la baisse de production de la truite enFrance de l’ordre de 10 % (13% de baissede la consommation d’aliment),
• le fait que cette baisse ne provoque aucunement une augmentation des prix,
• une baisse de la consommation des poissons entiers,
• un certain dynamisme de la truite fuméeet du préemballé dans ce contexte morose,
• une certaine stabilisation de la productionde bars, daurades et turbots.
Le problème de la truite reste très préoccu-pant et il est important dans ce contexte decrise de savoir trouver des solutions qui peu-vent s’orienter autour de quatre thèmes :
- être de plus en plus solidaires au niveau desmetteurs en marché,- réinventer la truite avec de nouvelles pré-sentations, de nouveaux labels ou de nou-veaux marchés,- être intransigeant sur la qualité et le goût denos produits,- améliorer son image. En plus de nos actionscollectives, nous devons tous être des vec-teurs de communication de la truite et de l’a-quaculture en général et non pas seulementde nos propres produits.
Les éleveurs doivent retrouver leur fierté pourrelever les challenges de demain.
Arnault CHAPERON
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PRODUCTION
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PRODUCTION
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CONSOMMATION REGIONALE D’ALIMENT «TRUITE» en tonnes
RÉGION 1999 2000 2001 2002 2003AQUITAINE 15 192 13 884 13 875 14 268 12 935
BRETAGNE 9 886 9 881 10 263 9 137 5 950
PICARDIE 2 630 3 161 3 130 3 433 3 481
RHÔNE-ALPES 3 383 3 597 2 795 3 208 3 134
HAUTE-NORMANDIE 3 802 2 487 3 283 3 488 2 899
NORD-PAS-DE-CALAIS 2 058 1 204 1 661 2 212 2 269
LORRAINE 1 369 1 792 1 762 1 713 1 354
MIDI-PYRÉNÉES 959 744 834 829
POITOU-CHARENTE 890 826 693 623 802
CHAMPAGNE-ARDENNE 671 727 404 533 611
FRANCHE-COMTÉ 543 493 1 442 340 484
AUVERGNE 156 221 225 132 293
ALSACE 289 206 260 298 264
BASSE-NORMANDIE 641 527 402 267 217
ILE-DE-FRANCE 180 406 425 403 216
LANGUEDOC-ROUSSILLON 110 272 296 229 203
BOURGOGNE 171 234 282 245 189
LIMOUSIN 127 142 92 73 86
CENTRE 60 259 45 55 54
PACA 216 263 114 61 40
PAYS DE LA LOIRE 17 14 18 15 15
TOTAL 43 139 41 555 42 211 41 567 36 325source : CVE (Cotisation Volontaire Etentue)
PRODUCTION FRANÇAISE DE TRUITEAvertissement : la production de truite en France n’estestimée de façon la plus exhaustive possible qu’à traversla consommation d’aliment «truite» par les pisciculteurs.
Ces chiffres sont connus dans le cadre de la déclarationpour la Cotisation Volontaire Etendue (CVE) et recoupésavec ceux fournis par les fabricants d’aliments au CIPA.
Pour estimer la production totale, il serait nécessaire d’ap-pliquer à la consommation d’aliment un indice de consom-mation global. La donnée nationale la plus récente est cellede l’enquête SCEES de 1997 qui donne une valeur de 1,2à cet indice. Les progrès ayant continué à être réalisésdans l’aliment «poissons», sa valeur a dû encore se rap-procher de 1. L’estimation est donc intéressante en évolu-tion mais pas en valeur absolue.
Attention : certaines piscicultures déclarent leur consom-mation d’aliments au siège social de leur entreprise qui estsusceptible d’être localisé dans une autre région adminis-trative que le site.
La tendance est à la baisse de la production avec unechute de près de 13% entre 2002 et 2003, en partie liéeà la sécheresse et à la canicule de l’été 2003.
16 000
14 000
12 000
10 000
8 000
6 000
4 000
2 000
0 Aquitaine Bretagne Picardie Rhône Haute Nord-Pas Lorraine Autres Alpes Normandie de-Calais régions
Consommation régionale d'aliment "truite" (source : CVE)
1999 2000 2001 2002 2003
tonnes
12 935
5 950
3 481 3 134 2 8992 269 1 354
4 303
1 200
1 000
8 00
600
400
200
0 Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre
966
733
2002
2003
9081 020
804
678730 759
596
865711
675
708
439
598
420
199
512558
749818
800
631
783
Gains de biomasse en Bretagne en 2002 et 2003 (source : SPPA)tonnes
La catégorie « Autre régions » regroupe toutes les régionsdont la consommation d’aliment «truite» est inférieure à 1 000 tonnes.
Les régions les plus productrices restent l’Aquitaine et laBretagne. Toutefois on constate entre 2002 et 2003 unebaisse très importante, de l’ordre de 35%, en Bretagne,liée en partie à la canicule et à la sécheresse, comme lemontre le focus sur les gains de biomasse dans cetterégion avec le décrochage net au mois d’août.
Le calcul des gains de biomasse est fait à partir des ton-nes d’aliments commercialisés par chaque fabricant,chaque fabricant appliquant ensuite un coefficient deconversion identique par catégorie de granulés.
Ces données de gains de biomasse sont cumulées defaçon anonyme par le SPPA (Syndicat français des fabri-cants d’aliments pour poissons) afin d’estimer la produc-tion résultante.
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PRODUCTION
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PRODUCTION
6
350
300
250
200
150
100
50
2002
2003
Gains de biomasse en Alsace-Lorraine en 2002 et 2003 (source : SPPA)
Janvier Février Mars Avril Mai Juin Juillet Août Septembre Octobre Novembre Décembre
268
207
241 227
278 277
242 253
305
218
301
241244215
263290
263
198
253
128
176
234
158
92
tonnes
100%
90%
80%
70%
60%
50%
40%
30%
20%
10%
0%
Débouchés des producteurs par région en 2003 en volume (source : CVE)
Aquitaine Haute Nord-Pas Lorraine Picardie Normandie de-Calais
Pêche loisir
Repeuplement
Consommation
100%
90%
80%
70%
60%
50%
40%
30%
20%
10%
0%
Débouchés des producteurs par région en 2002 en volume (source : CVE)
Pêche loisir
Repeuplement
Consommation
Aquitaine Haute Nord-Pas Lorraine Normandie de-Calais
Les régions distinguées par le SPPA correspondent à desregroupments de réions administratives.
La production de la région Alsace étant de l’ordre de 200-300 tonnes, les données d’Alsace-Lorraine seront doncutilisées pour étudier l’évolution des gains de biomasseen Lorraine.
La région Lorraine a aussi connu une baisse importantede la consommation d’aliment «truite», de l’ordre de 21%.
La chute des gains de biomasse au mois d’août laissepenser que la baisse de la production est liée à la séche-resse et à la canicule ; cette sécheresse a probablementeu pour conséquence un grossissement moindre et unemortalité sur les alevins à la période estivale ce qui expli-querait le décrochage de la courbe 2003 en fin d’année.
Les débouchés pour la Bretagne en 2002 et 2003 ainsique pour la Picardie en 2002 ne sont pas présentés,faute de données.
C’est la raison pour laquelle la ventilation nationale desdébouchés n’est pas disponible.
Entre 2002 et 2003, une entreprise lorraine aux tonna-ges conséquents a arrêté la transformation et s’est orien-tée vers le marché du vivant ce qui explique la variationimportante des débouchés de la région Lorraine.
Les données 2003 concernant les productions desalmonidés, de bar, de dorade et de turbot, despays étrangers ne sont pas disponibles dans lesbases de données utilisées. Les dernières don-nées disponibles sont celles de 2002, il estnécessaire de se reporter à la brochure des chiff-res-clés 2002.
PRODUCTION FRANÇAISE ISSUE DE LA PISCICULTURE MARINE OU NOUVELLE
Production française de poissons marins (tonnages nets)
2002 2003Bar 3 700 3 500Dorade 1 100 1 300Turbot 700 750Saumon 358 400Esturgeon 115 112Caviar 6,1 6
Source : SFAM
Débouchés de la production par région
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TRANSFORMATION DE TRUITE
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TRANSFORMATION DE TRUITE
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Répartition régionale du chiffre d’affaires des ateliers de transformation en 2003
Chiffre Répartition Truite entière Filet Truite Caviar autresd'affaires(€) régionale ou éviscérée fumée de truite
Aquitaine 46 444 222 62% 24,7% 17,1% 48,5% 2,4% 7,3%
Bretagne 23 021 487 21% 33,0% 33,2% 32% 0,5% 1,3%
Haute-Normandie
3 895 807 5% 11,8% 24,2% 21,2% 0% 42,8%
Rhône-Alpes
3 525 415 5% 62,3% 32,9% 4,0% 0% 0,8%
Nord Pas de Calais
1 894 323 3% 67,3% 29,1% 0,1% 0% 3,5%
Alsace 1 410 344 2% 1,3% 2,1% 95,8% 0% 0,7%
Midi-Pyrénées
636 000 1% 55,3% 37,3% 0% 0% 7,4%
Autres 1 526 244 2% 42,4% 20,6% 21,8% 3,6% 11,7%
Total France 82 353 842 28,8% 21,8% 40,3% 1,7% 7,5%
85 000
80 000
75 000
70 000
65 000
Chiffre d'affaires des ateliers de transformation de truite (source : CVE)K€
1999 2000 2001 2002 2003
71 510
76 647
79 359
82 793 82 354
données provisoires
Chiffre d'affaires des transformateurs par produit en 2003
(source : CVE)
Truite fumée
Autres
Filet
Caviar de truite
Truite entière-éviscérée
Chiffre d'affaires des transformateurs par région en 2003 (source : CVE)
Aquitaine
Haute-Normandie
Rhône-Alpes
Bretagne
Nord-Pas-de-Calais
Midi-Pyrénées
Autres
Alsace
40%28% 56%
5%4%
2% 1%
22%
29%
7% 2%
100%
80%
60%
40%
20%
0%
Chiffre d'affaires des ateliers de transformation des principales régions productrices (source : CVE)
Aquitaine Bretagne Rhône-Alpes Haute-Normandie Nord-Pas-De-Calais Alsace Midi-Pyrénées
Truite entière Filet
Truite Caviar Autreséviscérée fumée de truite
L’activité de transformation concerne les truites à destination de la consommation soit 80% des volumes produits enFrance. Elle est assurée par une cinquantaine d’ateliers.
La répartition du chiffre d’affaires des transformateursselon les différents débouchés reste stable entre 2002et 2003, avec néanmoins une poursuite de l’érosion dudébouché entier-éviscéré au profit de la fumaison.
Les deux régions les plus importantes restent l’Aquitaine(et son importante activité de fumaison) et la Bretagnedepuis 2001.
Dans la région Haute-Normandie, la partie « autres », qui constitue un débouché important,est essentiellement composée de truite surgelée.
Avertissement : la ventilation du chiffre d’affaires est cal-culée sur des données partielles.
La production de caviar a chuté de façon importante enBretagne (de l’ordre de -80%), car la priorité a été donnéeà la reproduction en raison de la surmortalité estivale.
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COMMERCE EXTERIEUR
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COMMERCE EXTERIEUR
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COMMERCE EXTERIEUR FRANCAIS DE LA TRUITE
ORIGINE 2003 2002 2001 2000Espagne 915 405 1 096 818Danemark 270 107 25Pays-Bas 5 21 78Norvège 1Grèce 1Royaume-Uni 1Italie 921Belgique 58Irlande
Total 1 192 550 2 097 902
Norvège 994 517 197 55Irlande 340 362 365 326Danemark 176 179 308 220Espagne 68 86 107 177Belgique 32 90Pays-Bas 29 25 36Suède 19Royaume-Uni 10Italie 85Sénégal 51Iles FeroeTotal 1 668 1 202 1 123 1 115
Norvège 538 739 308 166Royaume-Uni 45 27Chili 39 17 67Espagne 17 33Danemark 13 22 37Irlande 13Allemagne 6Pays-Bas 60Taïwan 41Belgique
Total 671 957 395 295
Espagne 34 59 135 81Pays-Bas 23 67 31 14Allemagne 3Danemark 3Italie1 17 8NorvègeSuèdeFinlande
Total 63 146 180 98
Islande 131Iles Feroe 91Belgique 19 5Danemark 9Espagne 6 6Allemagne 5 2 3Pays-Bas 4 9 5Chili 89 82Royaume-Uni 11ItalieNorvègeChineTotal 265 25 102 100
Pays-Bas 13 20 34 13Belgique 9 12 19Royaume-Uni 4 10 11Irlande 10 5Allemagne 4 6Danemark 4 7 9 25Grèce 10
Total 44 59 76 76
TOTAL 3 903 2 939 3 973 2 586
DESTINATION 2003 2002 2001 2000Allemagne 1 760 1 134 932 1 406Belgique 1 355 1 600 1 957 2 278Suisse 179 282 305 197Espagne 157 189 283 126Danemark 51 133 361 115Italie 47Pays-Bas 43 53 139Luxembourg 19Andorre 7Pologne 3Royaume-Uni 81Total 3 620 3 482 3 923 4 320
Allemagne 217 380 518 678Danemark 117 100 197Belgique 75 82 93 99Royaume-Uni 60 122 251 112Suisse 53 37Luxembourg 35 67 77Bulgarie 35Pays-Bas 13 71 72 148Autriche 4Andorre 2Espagne 42Total 610 798 1 186 1 425
Danemark 35 103 85 109Rép. Tchèque 32 44 58 148Allemagne 31 22 57 19Bulgarie 19Estonie 7 28Espagne 4Suisse 4Belgique 2 52Luxembourg 1Japon 17Autriche 17JaponSingapourTotal 133 225 270 327
Belgique 119 180 50Suisse 70 73 71 61Allemagne 69 146 186 229Autriche 23 26 29 20Espagne 18Royaume-Uni 12 69 78 78Pays-Bas 5 27 27Luxembourg 5ItaliePortugalTotal 319 531 486 462
Suisse 18 27 16 15Estonie 15Russie 14 6Royaume-Uni 4 51 15Allemagne 2 6 13Belgique 1Maroc 37 30LibanRép.TchèquePays-Bas
Total 53 93 75 68
Belgique 23 27 6 40Espagne 14 24 26Allemagne 14 11 4Danemark 13 28Suisse 4Luxembourg 2 2 3 2Portugal 1Italie 3Total 72 68 35 78
TOTAL 4 807 5 197 5 975 6 680
BALANCE 904 2 258 2 002 4 094
TRUITEVIVANTE
TRUITEFRAÎCHE
OURÉFRIGÉRÉE
TRUITECONGELÉE
FILETDE TRUITE
FRAISOU
RÉFRIGÉRÉ
FILETDE TRUITECONGELÉ
TRUITEFUMÉE
IMPORTATIONS (tonnages nets) EXPORTATIONS (tonnages nets)
source : douanes françaises
Les facteurs principaux de la dégradation de labalance commerciale sont :• une augmentation des importations de truitevivante d’Espagne et du Danemark• une augmentation des importations de truite fraî-che ou réfrigérée de NorvègeOn constate en 2003 un développement soudaindes importations de filets de truite congelés depuisl’Islande et les Iles Féroé. Ceci pourrait être lié à lataxation anti-dumping appliquée aux importationsen provenance de la Norvège et des Iles Féroé parl’Union Européenne, à partir du 19 septembre2003. Les importations depuis les Iles Féroé cons-tatées sont en effet tout juste antérieures à la miseen place des taxations ; la Norvège et les Iles Féroésont susceptibles de faire transiter leur produit parl’Islande afin de contourner la taxe ce qui explique-rait l’augmentation des imports en provenanced’Islande .La dégradation de la balance commerciale se pour-suit. Toutefois, les produits échangés ne sont pasexactement comparables. En effet, la productionfrançaise de truite est pratiquement exclusivementcontinentale alors que l’Irlande, la Norvège, les IlesFéroé, le Royaume-Uni et le Chili sont des pays
2003 Importations Exportations SoldeTruite vivante 1 190 3 620 2 429Truite fraîcheou réfrigérée 664 610 -54Truitecongelée 49 100 51Filet de truite frais ou réfrigéré 63 319 257Filet de truitecongelé 174 53 -120Truitefumée 40 72 31Total 2 180 4 774 2 594
Rendement de transformation (%)Truite vivante 100Truite fraîche ou réfrigérée 83Truite congelée 83Filet frais ou réfrigéré 51Filet congelé 51Truite fumée 45
producteurs de grande truite de mer. Bien que l’on ne puisse pasécarter la possibilité d’une concurrence entre ces produits et latruite d’eau douce produite en France, ils ne se situent pas sur lesmêmes marchés. En ne prenant pas en compte les volumesimportés depuis ces pays, on peut recalculer la balance commer-ciale 2003. Sont indiqués ici les poids nets en tonnes :
Estimation import/export 2000-2003 en poids équivalent entier (P.E.E.)
Importations 2000 2001 2002 2003Truite vivante 902 2 097 550 1 192Truite fraîche ou réfrigérée 1 338 1 348 1 442 2 002Truite congelée 354 474 1 148 751Filet frais ou réfrigéré 191 351 285 123Filet congelé 195 199 49 517Truite fumée 169 169 131 98Total 3 149 4 637 3 605 4 682
Exportations 2000 2001 2002 2003Truite vivante 4 320 3 923 3 482 3 620Truite fraîche ou réfrigérée 1 710 1 423 958 732Truite congelée 392 324 270 120Filet frais ou réfrigéré 901 948 1 035 622Filet congelé 133 146 181 103Truite fumée 173 78 151 160Total 7 629 6 842 6 077 5 357
Le P.E.E. est calculé à partir du poids net et des rendements suivants :
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COMMERCE EXTERIEUR
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COMMERCE EXTERIEUR
13
700
600
500
400
300
200
100
0
-100 2000 2001 2002 2003
IMPORTATIONS EXPORTATIONS SOLDE
Balance commerciale des filets de truite frais ou réfrigérés (source : douanes françaises)
364306
385
256
Tonnagenet
150
100
50
0
-50
-100
-150 2000 2001 2002 2003
IMPORTATIONS EXPORTATIONS SOLDE
Balance commerciale de la truite fumée (source : douanes françaises)
228
-41
9
Tonnagenet
Importations (volume) de truite en 2003Source : douanes françaises
1%2%
truitecongeléefilet frais
ou réfrigéré
filet congelé
truite fumée
truitevivante
truite fraîcheou réfrigéree
31%
42%17%
7%
Importations (volume) de truite en 2002Source : douanes françaises
truitecongeléefilet frais
ou réfrigéré
filet congelé
truite fumée
truitevivante
truite fraîcheou réfrigéree
1%
33%
19%
2%
40%
5%
Diminution importante de la part de la truite congelée enparticulier en provenance de la Norvège (-200 tonnes soit-27% en volume) en faveur du vivant de provenance espa-gnole (+510 tonnes soit +126% en volume).
Exportations (volume) de truite en 2003Source : douanes françaises
75%
13%
7%3%
1% 1%
truitecongeléefilet frais
ou réfrigéré
filet congelé
truite fumée
truitevivante
truite fraîcheou réfrigéree
Exportations (volume) de truite en 2002Source : douanes françaises
68%
10%4%
2%1%
15%
truitecongeléefilet frais
ou réfrigéré
filet congelé
truite fumée
truitevivante
truite fraîcheou réfrigéree
Part des différents pays dans les exportationsfrançaises de truite vivante
en 2003Allemagne
Danemark
Suisse
Espagne
Belgique
Italie
Pays-Bas
Luxembourg
Source : douanes françaises
Part des différents pays dans les exportationsfrançaises de truite vivante
en 2002
Allemagne
Danemark
Suisse
Espagne
Belgique
Pays-Bas
Source : douanes françaises
50%
37%5%4%
1%33%
47%8%
6%4%
2%
Part des différents pays dans les importationsfrançaises de truite fraîche ou réfrigérée
en 2002
Norvège
Irlande
Danemark
Espagne
Pays-Bas
Source : douanes françaises
45%
31%
15%7% 2%
Part des différents pays dans les importationsfrançaises de truite fraîche ou réfrigérée
en 2003
Norvège
Irlande
Danemark
Espagne
Belgique
Pays-Bas
Suède
Royaume-UniSource : douanes françaises
59%20%
11%
4%
2% 1%
Augmentation de la part et des tonnages exportés de trui-te vivante, en particulier vers l’Allemagne.
Fermeture du marché belge mais développement du marché allemand.
Reprise des importations en provenance de l’Espagne,après une baisse en 2001
Développement des importations norvégiennes
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COMMERCE EXTERIEUR
14
ORIGINE 2003 2002 2001 2000Grèce 1 754 2 069 1 663 1 010Turquie 232 4 9Pays Bas 172 90 31 86Espagne 93 111 48 47Danemark 39 18 55 130Belgique 35 29 9 7Tunisie 21 54Suède 16 0Royaume-Uni 3 190 109 48Norvège 2 19 10 4Allemagne 1 9 0Chypre 4Croatie 19FinlandeIslande 15Israël 1 3Italie 9 6 19Luxembourg 0 0Maroc 1 16 1Portugal 1 4Sierra Leone 7 4 1
Total 2 373 2617 1 978 1 394
Espagne 13 17 7 4Pays-Bas 6 10 6 6Belgique 5 5 4 1Mauritanie 2 2 39Grèce 1 2 9 19Italie 1 1Royaume-Uni 8 3Russie 8Turquie 17Venezuela 5Norvège 12Total 28 57 72 56
TOTAL 2 400 2 674 2 049 1 450
DESTINATION 2003 2002 2001 2000Italie 734 522 487 590Royaume-Uni 665 853 652 778Espagne 491 435 432 565Russie 275 365Allemagne 226 242 225 198Belgique 186 147 111Suisse 97 116 33 3PaysBas 65 46 51 56Irlande 50 18 11 4Luxembourg 46 31 23 18Autriche 26 27 15 5Danemark 6 9 2 1Portugal 5 4 4 4Grèce 4 11 5 2Etats-Unis 3 2 1 13Qatar 2Mali 1Hong-Kong 1 1 1Guinée équatoriale 0Antilles néerl. 3 0Arabie saoudite 1Bahreïn 6 7 99Brunei 1Emirats-arabes-unis 1Israël 7Koweït 1 0 1Tunisie 2Total 2 289 2 841 2 067 2 340
Italie 207 188 213 185Allemagne 9 1 3 11Belgique 5 7 3 3Espagne 5 3 3 15Royaume Uni 1 21 11Luxembourg 1Pays-Bas 2 2
Total 226 201 246 226
TOTAL 3 109 3 042 2 314 2 565
BALANCE 709 368 264 1 156
BAR FRAIS
OURÉFRIGÉRÉ
BARCONGELÉ
IMPORTATIONS (tonnages nets) EXPORTATIONS (tonnages nets)
COMMERCE EXTÉRIEUR FRANCAIS DU BAR ET DE LA DORADE
3 500
3 000
2 500
2 000
1 500
1 000
500
0Import2000
Export2000
Balance2000
Import2001
Export2001
Balance2001
Import2002
Export2002
Balance2002
Import2003
Export2003
Balance2003
Bar frais ou réfrigéré Bar congelé
Balance commerciale du bar (Source: douanes françaises)Tonnagenet
1 395
2340
946
1978 2067
89 224
2841
261756
226
170
72246
174
57
2373
28
201
2289
226
144
-84
198
Avertissement : dans la base de données des douanes françaises, les origines « élevage » et « sauvage » ne sont pas distinguées.
ORIGINE 2003 2002 2001 2000Grèce 2 936 3 273 2 155 1 107Espagne 816 527 619 648Royaume-Uni 313 273 227 160Mauritanie 68 287 351 325Pays-Bas 38 37 29 157Belgique 26 75 1 6Norvège 19 1 2Sénégal 16 60 39 35Danemark 14 9 3 9Oman 13 22 1Sierra Leone 13 15 7Brésil 11 5 2Italie 10 9 4 25Guinée 9 68 80 140Emirats Arabes Unis 8 8Tunisie 7 19Turquie 2 3Irlande 1 5 2 1Chypre 1 3Cuba 1 1Portugal 1 1 2 26Afrique du sud 1 1 4Allemagne 1Argentine 5Bahreïn 1Chili 2Colombie 2Costa-Rica 1Côte-d'Ivoire 1 4Etats-Unis 15Géorgie 1Israël 21 49Madagascar 5Maroc 14 3Panama 1Suède 1 5Venezuela 3 51 15Total 4 327 4 714 3 537 2 669Pérou 40 34 21Madagascar 34 2Seychelles 18 1Portugal 16 0Nouvelle Zélande 14Espagne 13 33 8 19Mauritanie 10 16 59 30Costa Rica 10 18 29 95Sénégal 8 8 7 37Maroc 4 17 11 6Oman 2 4 2Pays Bas 1 0 2 1Inde 1Viet-nam 1 2Brésil 1Belgique 1 5 1Belize 15 98 35Corée du sud 3 12Equateur 4 30France 2Grèce 1Indonésie 10Islande 9 11Italie 3 25Mayotte 7Panama 30Pérou 92Royaume-Uni 7 2 1Surinam 4Total 172 164 256 445TOTAL 4 499 4 878 3 793 3 114
DESTINATION 2003 2002 2001 2000Italie 363 299 294 260Belgique 308 266 361 290Allemagne 296 287 281 223Royaume-Uni 192 266 347 220Espagne 88 88 138 104Luxembourg 74 79 50 33Pays-Bas 57 61 118 112Etats-Unis 21 19 15 1Autriche 21 22 13 3Danemark 11 11 3 2Suisse 9 10 4 3Irlande 8 4 2 1Grèce 6 22 8 5Portugal 2 9 7 15Israël 3
Total 1 456 1 442 1 642 1 271Allemagne 3 1 7 4Pays-Bas 3 1 6 3Italie 2 5 33 7Belgique 2 3 10 1Maroc 9Congo 6Espagne 4Grèce 2
Total 9 18 65 17
TOTAL 1 465 1 460 1 707 1 288
BALANCE - 3 034 - 3 418 -2 086 - 1 826
DORADEFRAÎCHE
OU RÉFRIGÉ-
RÉE
DORADECONGELÉE
IMPORTATIONS (tonnages nets) EXPORTATIONS (tonnages nets)
Source : douanes françaises
Source : douanes françaises
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17
COMMERCE EXTERIEUR
16
6 000
5 000
4 000
3 000
2 000
1 000
0
-1 000
-2 000
-3 000
-4 000Import2000
Export2000
Balance2000
Import2001
Export2001
Balance2001
Import2002
Export2002
Balance2002
Import2003
Export2003
Balance2003
Dorades fraiîches ou réfrigérées Dorades congelées
Balance commerciale de la dorade (Source: douanes françaises)Tonnagenet
1817
-1398
2669
4327
1456
-2871-3272
1442
4714
-1895
1642
3537
1271
-427 -191
-146-163
9
172164
65
256
445
A partir de 2000, on constate une dégradation de labalance commerciale du bar et de la dorade. Ceci est prin-cipalement dû à une augmentation des importations, enparticulier en provenance de la Grèce, qui reste le princi-pal exportateur vers la France. En provenance de ce pays,les tonnages importés ont doublé entre 2000 et 2002 :cette situation est à relier avec une forte augmentation dela production grecque qui a provoqué une chute des prix.Cette crise a débouché sur une importante restructurationdu secteur aquacole grec, ayant pour conséquence unediminution de la production se répercutant sur les volu-mes importés en France en 2003.
Cette analyse est valable aussi bien pour le bar que pourla dorade. Toutefois, la différence majeure réside dans lefait que la balance commerciale de la dorade est toujoursrestée négative depuis 2000, alors que celle du bar estpositive. Ceci peut s’expliquer par le fait qu’en France, ence qui concerne les poissons d’élevage, les volumes de
dorade produits sont plus faibles que ceux de bar (en2002, environ 3500 tonnes de bar soit 70% de la pro-duction française et 1 500 tonnes de dorade soit 30%).En ce qui concerne l’origine pêche, les débarquementsde dorade sont environ huit fois plus faibles que ceux debar : en 2003, 527 tonnes de dorade ont été venduessous criée en France (383 tonnes en 2002, soit +38%)contre 4 386 tonnes de bar (3 520 tonnes en 2002, soit+25%).
De plus, la consommation de dorade a augmenté plus for-tement (sur la période 1998-2002 volumes consommés: +51% pour le bar, +219% pour la dorade soit en moyen-ne annuelle +11% pour le bar et +20,5% pour la dorade)d’où une balance très négative.
En observant les balances commerciales on peut remar-quer la très faible quantité de poisson congelé importé.Ceci traduit la très nette préférence du marché françaispour les produits frais.
COMMERCE EXTERIEUR
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UTILISATION du panel SECODIP ConsoScan
19
UTILISATION du panel SECODIP ConsoScan
18
INTRODUCTION AU PANEL CONSOMMATEURS CONSOSCAN SECODIPUn panel est un échantillon permanent et représentatif d’une population étudiée qui sert à observer et àmesurer de manière régulière ou continue des comportements.Le panel consommateurs ConsoScan SECODIP mesure les achats des ménages ordinaires (24 900 000en 2003) en France pour leur consommation familiale au domicile.En 2003, l’échantillon est composé de 8 000 ménages ordinaires dont 5 000 déclarant leur consom-mation de produits frais, dont les produits aquatiques. Les données sont collectées à domicile, en utili-sant des terminaux lisant les codes barres ou un code-book pour les produits sans code-barres.Un ménage ordinaire est un ensemble de personnes qui partage une même résidence, quels que soientles liens qui les unissent (INSEE). Cette définition ne couvre pas :•les collectivités (foyers de travailleurs, foyers d’étudiants, maisons de retraite et hospices, communau-tés religieuses, centres d’hébergement ou d’accueil, hospitalisations longue durée),• les habitations mobiles.
CentreOuest
Sud-Ouest Sud-Est
CentreEst
Est
Ouest
Nord
île deFrance
01 - AIN
73 - SAVOIE
74 - HAUTE-SAVOIE
38 - ISÈRE
07 - ARDÈCHE
26 - DRÔME
42 - LOIRE
69 - RHÔNE
05 - HAUTES-ALPES
04 - ALPES-DE-HAUTE-PROVENCE 06 - ALPES-MARITIMES
83 - VAR13 - BOUCHES-DU-RHÔNE
84 - VAULUSE
48 - LOZÈRE
30 - GARD
34 - HÉRAULT
11 - AUDE
66 - PYRÉNÉES-ORIENTALES
46 - LOT
12 - AVEYRON
81 - TARN
82 - TARN-ET-GARONNE
31 - HAUTE-GARONNE
32 - GERS
09 - ARIÈGE
65 - HAUTES-PYRÉNÉES
64 - PYRÉNÉES-ATLANTIQUES
40 - LANDES
47 - LOT-ET-GARONNE
24 - DORDOGNE
33 - GIRONDE
19 - CORRÈZE
87 - HAUTE-VIENNE
23 - CREUSE
03 - ALLIER
63 - PUY-DE-DÔME
21 - CÔTE-D'OR
15 - CANTAL 43 - HAUTE-LOIRE
79 - DEUX-SÈVRES
86 - VIENNE
16 - CHARENTE
17 - CHARENTE-MARITIME
89 - YONNE
71 - SAÔNE-ET-LOIRE
58 - NIÈVRE
28 - EURE-ET-LOIR
45 - LOIRET
18 - CHER
36 - INDRE
37 - INDRE-ET-LOIRE
41 - LOIR-ET-CHER
08 - ARDENNES
51 - MARNE
10 - AUBE
52 - HAUTE-MARNE
54 - MOSELLE
57 - MEURTHE-ET-MOSELLE
88 - VOSGES
55 - MEUSE
77 - SEINE-ET-MARNE
91 - ESSONNE
78 - YVELINES
95 - VAL-D'OISE
50 - MANCHE
14 - CALVADOS
61 - ORNE
29 - FINISTÈRE
22 - CÔTES-D'ARMOR
56 - MORBIHAN
35 - ILLE-ET-VILAINE
76 - SEINE-MARITIME
27 - EURE67 - BAS-RHIN
68 - HAUT-RHIN
60 - OISE
02 - AISNE
80 - SOMME
62 - PAS-DE-CALAIS
59 - NORD
49 - MAINE-ET-LOIRE
85 - VENDÉE
44 - LOIRE-ATLANTIQUE
53 - MAYENNE
72 - SARTHE
25 - DOUBS
90 - TERRITOIRE-DE-BELFORT
70 - HAUTE-SAÔNE
39 - JURA
CES MÉNAGES SONT RÉPARTIS DANS DIFFÉRENTES RÉGIONS.
DANS LE PANEL CONSOSCAN SECODIP CONCERNANT LES POISSONS,LA SEGMENTATION DES PRODUITS EST LA SUIVANTE :
Total France 24 900 000 100Nord 2 328 168 9,4Est 2 265 905 9,1Parisienne 4 830 533 19,4Ouest 4 556 743 18,3Centre Ouest 1 904 847 7,6Centre Est 3 461 109 13,9Sud Ouest 2 489 995 10Sud Est 3 062 699 12,3
Nombre deménagesen 2003
Répartition des ménages
(%)
Répartition régionale de la populationen 2003
1. POISSON FRAIS
2. POISSON SURGELÉ
1.1 POISSON FRAIS ENTIER
3. POISSON FUMÉ
POISSON FRAIS PRÉEMBALLÉ
1.2 POISSON FRAIS DÉCOUPÉ
DONT POISSON FRAIS ENTIER PRÉEMBALLÉ
DONT POISSON FRAIS DÉCOUPÉ PRÉEMBALLÉ
Les tonnages équivalents entiers sont calculés à partir desrendements moyens de transformation suivants :
Quantités achetéespar les ménagesordinaires pour
leur consommation à domicile
poissons découpés 50%poissons frais préemballés 50%poissons surgelés 40%poissons fumés 33%poissons séchés et salés 33%
Tonnagesnets2002
Tonnagesnets2003
Évolution2003/2002
Tonnages2003
équivalententier
Parts demarché
2003 surtonnages
nets
Parts demarché
2003 surtonnageséquivalent
entier
Panorama général de la consommation des produits aquatiques frais en 2003
Rendementsde
transformationretenus
Ensemble poissons frais, fumé, séché et surgelé 251 956 250 184 0% 522 917 100% 100%Poisson frais 132 689 130 450 -2% 210 628 52% 40%Poisson frais entier 50 976 47 485 -7% 47 485 19% 9%Poisson frais découpé 80 343 81 571 +2% 163 143 33% 31%Poisson frais préemballé 15 246 17 045 +12% 34 089 7% 7%Poisson fumé 19 845 20 644 +4% 62 558 8% 12%Poisson séché et salé 3 750 3 784 +1% 11 4657 2% 2%Poisson surgelé 95 312 95 306 0% 238 265 38% 46%Truite fraîche 7 586 6 859 -10% 9 242 3% 2%Truite fraîche entière 4 266 4 134 -3% 4 134 2% 1%Truite fraîche découpée 3 170 2 554 -19% 5 108 1% 1%Truite fraîche préemballée 1 077 1 185 +10% 2 370Truite fumée 1 380 1 459 +6% 4 421 1% 1%Bar frais 3 329 2 708 -19% 19% 1%Dorade fraîche 3 347 2 681 -20% 20% 1%Saumon frais 22 271 22 538 +1% 1% 9%Saumon frais préemballé 3 571 4 311 +15% 15% 2%Saumon frais entier 5 460 4 950 -9% 9% 2%Saumon frais découpé 16 553 17 226 +4% 4% 7%Saumon fumé 12 242 13 140 +7% 7% 5%Turbot frais 519 355 -32%
correction CIPA 26/8/2004 13/10/2004 11:21 Page 18
DISTRIBUTION
21
DISTRIBUTION
20
TYPE DEDISTRIBUTEUR
HYPERMARCHÉ
SUPERMARCHÉ
SUPERETTE
SURFACE
supérieur ou égale à 2 500 M2
entre 400 et 2 500 M2
entre 120 et 400 M2
NOMBREEN 2003
1291
8594
Part de marchédes ventes de
produits alimentaires
34,4%
30,7%
Les circuits de distribution
Marchés Poissonniers
Ventes directe Autres
Hypermarchés Supermarchés
Part des différents circuits dans la distribution de poisson frais en 2003Source : panel ConsoScan SECODIP
46%
1%2%
27%13%
11%
Ventilation par circuit de distributiondes quantités de truite achetées par les ménages français en 2003
Truite fraîcheTonnages achetés
1 365
5 492
307
2 245
54
1 130
1 004
3 131
HypermarchésSupermarchésSuperettePoissonniersMarchésVente directeAutres
Truite fraîche préemballéeTonnages achetés
Truite fraîche entièreTonnages achetés
2 140966
25527370
997
3 6491811
31681539
38107
HypermarchésSupermarchésSuperettePoissonniersMarchésVente directeAutres
Truite fraîche découpéeTonnages achetés
Truite fuméeTonnages achetés
9
1 351HypermarchésSupermarchésSuperettePoissonniersMarchésVente directeAutres
820524
70207
1 014106
1005
2029
1 438802
4134147
179
Source : panel ConsoScan SECODIP
La part des différents circuits dans la distribution du pois-son frais est stable depuis 1997. Le circuit des hyper-marchés reste dominant avec 58 127 tonnes en 2003,
suivi de celui des supermarchés, avec 35 074 tonnes(consommation française : 130 457 tonnes).
Marchés
Poissonniers
Vente directe
Autres
Hypermarchés
Supermarchés
Part des différents circuits dans la distribution de truite fraîche en 2003Source : panel ConsoScan SECODIP
26%
53%
10%
8%
1%
2%
100%
80%
60%
40%
20%
0%1998 1999 2000 2001 2002 2003
HYPERMARCHÉ
SUPERMARCHÉ
HARD-DISCOUNT
AUTRES
Les différents circuits de distribution de truite fumée (source : panel consoscan SECODIP)
100%
80%
60%
40%
20%
0%1998 1999 2000 2001 2002 2003
HYPERMARCHÉ
SUPERMARCHÉ
HARD-DISCOUNT
AUTRES
Les différents circuits de distribution de saumon fumé (source : panel consoscan SECODIP)
La part des différents circuits dans la distribution de truite fraîche reste stable.
Le principal circuit de distribution de la truitefraîche est la GMS, avec 3 649 tonnes pas-sant par les hypermarchés et 1 811 tonnespassant par les supermarchés, la consom-mation française étant de 6 859 tonnes àdomicile.
On remarque la progression de la part des hypermarchésau détriment des supermarchés depuis 2000 dans la dis-
tribution de truite fumée ainsi que la part croissante duhard-discount.
Les circuits de distribution de la truite et du saumon fuméssont les mêmes, les part relatives de chaque circuit diffé-rant entre les deux produits. En effet le principal circuit dedistribution est la GMS qui représente environ 95% desvolumes commercialisés pour la truite fumée et 80% pourle saumon fumé. Le hard-discount suit la GMS, mais sa
part est deux fois plus importante pour le saumon fuméque pour la truite (20% contre 10%).Les produits fumés sont les seuls produits du secteur despoissons pour lesquels la part du hard-discount dépasseles quelques pourcent.
LA TRUITE DANS LES CIRCUITS DE DISTRIBUTION
Source : www.fcd.ard.fr
correction CIPA 26/8/2004 13/10/2004 11:21 Page 20
DISTRIBUTION
23
DISTRIBUTION
22
%
18
16
14
12
10
8
6
4
2
0
Carrefour Auchan Cora Leclerc Intermarché Atac Système U Géant Champion
Part de marché en truite fraîche (volume) en 2002 et 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
15,4
13,213,9
11,0
2,5
5,0 4,5
6,5
3,3
20022003
%
18
16
14
12
10
8
6
4
2
0
Carrefour Auchan Leclerc Intermarché Géant Champion
Part de marché en truite fraîche entière (volume) en 2002 et 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
16,6
13,3 12,3
8,8
3,2
6,0
20022003
%
20
18
16
14
12
10
8
6
4
2
0
Carrefour Auchan Leclerc Intermarché Champion
Part de marché en truite fraîche découpée (volume) en 2002 et 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
13,6 13,8
17,1
14,4
7,6
20022003
En ce qui concerne les volumes vendus de truite fraîche, les trois principalesenseignes sont, dans l’ordre décroissant : Carrefour, Leclerc et Auchan.
1,6
1,4
1,2
1,0
0,8
0,6
0,4
0,2
0 Total Carrefour Auchan Cora Leclerc Intermarché Atac Système U Géant Champion France
Niveau moyen d'achat de truite fraîche (source : panel consoscan SECODIP)
20022003
Poids netkg
1,39 1,351,36 1,20
1,091,20
0,88
1,221,06 1,08 1,12
0,900,80 0,74
0,92 0,93 0,91 0,88 0,82 0,85
HYPERMARCHÉS
ENSEIGNES NOMBRE SURFACE DE MOYENNE
MAGASINS (M2)
Leclerc 410 4520
Carrefour 216 8560
Auchan 121 9150
Géant 117 6780
Cora 58 8830
Hyper U 41 3790
Rond Point 6 7530
PETITS SUPERMARCHÉS
ENSEIGNES NOMBRE SURFACE DE MOYENNE
MAGASINS (M2)
Shopi 575 500
Franprix 556 490
Ecomarché 328 600
Marché U 176 705
SUPERMARCHÉS
ENSEIGNES NOMBRE SURFACE DE MOYENNE
MAGASINS (M2)Intermarché 1573 1630Champion 984 1470Super U 625 1640Casino 402 1170Atac 376 1380Monoprix 252 1770Match 169 1420Leclerc 92 1750Maxicoop 37 1270
source : Le Distribook édition 2003
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DISTRIBUTION
25
DISTRIBUTION
24
100%
80%
60%
40%
20%
0%1998 1999 2000 2001 2002 2003
HYPERMARCHÉ
SUPERMARCHÉ
POISSONNIER
MARCHÉ
AUTRES
Les différents circuits de distribution du bar frais (source : panel consoscan SECODIP)
LE BAR, LA DORADE ET LE TURBOTDANS LES CIRCUITS DE DISTRIBUTION
8
7
6
5
4
3
2
1
0 TOTAL FRANCE Carrefour Auchan Leclerc Intermarché Géant Champion
Prix moyen de la truite entière selon les enseignes en 2002 et 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
6,48 6,41
5,47 5,69
6,36 6,58 6,51
20022003
€/kg
12
10
8
6
4
2
0 TOTAL FRANCE Carrefour Auchan Leclerc Intermarché Champion
Prix moyen de la truite découpée selon les enseignes en 2002 et 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
8,869,05
7,017,76
8,609,80
20022003
€/kg
Les prix moyens les plus bas sont appliqués par Auchan,aussi bien en truite découpée qu’en truite entière.
Champion n’est pas une enseigne d’hypermarchés maisde supermarchés, ce qui explique les prix plus élevés.
4,5
4
3,5
3
2,5
2
1,5
1
0,5
0 Carrefour Auchan Cora Leclerc Intermarché Atac Système U Géant Champion
Taille de la clientèle achetant de la truite fraîche en 2002 et 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
3,51
3,04
3,543,34
0,95
1,47 1,40
2,12
0,75
20022003
%acheteurs
Total France 2002 : 22,2 acheteurs pour 100 ménagesTotal France 2003 : 20,3 acheteurs pour 100 ménages
On constate une baisse de la part de marchéd’Intermarché en ce qui concerne la truite, aussi bienentière que découpée.
1,6
1,4
1,2
1,0
0,8
0,6
0,4
0,2
0Total France Carrefour Auchan Leclerc Intermarché Géant Champion
Niveau moyen d'achat de truite fraîche entière (source : panel consoscan SECODIP)
20022003
Poids netkg
1,251,34 1,34
1,161,07
1,21
0,870,96
0,79
1,011,16
0,92
0,80 0,85
1,2
1,0
0,8
0,6
0,4
0,2
0Total France Carrefour Auchan Leclerc Intermarché Champion
Niveau moyen d'achat de truite découpée (source : panel consoscan SECODIP)
20022003
Poids netkg
0,910,97
0,870,76 0,90 0,80
0,710,68
0,90 0,73
0,98
0,63
correction CIPA 26/8/2004 13/10/2004 11:21 Page 24
DISTRIBUTION
27
DISTRIBUTION
26
On remarque la préférence des seniors pour les com-merces traditionnels et pour les petites surfaces.
Les jeunes sont présents dans le hard-discount.
100%
90%
80%
70%
60%
50%
40%
30%
20%
10%
0Hypermarché Supermarché Superette Hard-discount Poissonnier Marché Vente directe Autre
MOINS DE 35 ANS DE 35 A 49 ANS DE 50 A 64 ANS DE 50 A 64 ANS65 ANS ET PLUS
Composition de la clientèle achetant du poisson frais en fonction de la classe d'age en 2003 (source : panel consoscan SECODIP)
Il existe une grande variation sur les donnéesrelatives à la distribution du turbot frais d’uneannée sur l’autre. Ceci est dû aux faibles quan-tités concernées, ce qui rend les chiffres parfoisnon significatifs et les évolutions difficilementinterprétables.
Marchés
Poissonniers
Vente directe
Autres
Hypermarchés
Supermarchés
Part des différents circuits dans la distribution de turbot frais en 2003Source : panel ConsoScan SECODIP
34%
28%
4% 3%10%
21%
40% de la distribution de bar et de dorade se fait encore en réseaux de distribution traditionnels.
100%
80%
60%
40%
20%
0%1998 1999 2000 2001 2002 2003
HYPERMARCHÉ
SUPERMARCHÉ
POISSONNIER
MARCHÉ
AUTRES
Les différents circuits de distribution de la dorade fraîche (source : panel consoscan SECODIP)
correction CIPA 26/8/2004 13/10/2004 11:21 Page 26
CONSOMMATION
29
CONSOMMATION
28
350
330
310
290
270
250
230
210
190
170
150 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Volume de poisson frais consommé pour 100 ménages(source : panel ConsoScan SECODIP)
332
264 259
244233
207191
324 321336 326 328
Poids net(kg)
poisson frais entier
poisson frais découpé
80
70
60
50
40
30
20
10
0 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Volume de truite et de saumon consommé pour 100 ménages(source : panel ConsoScan SECODIP)
5863
57
6567 69
17 17 17 1513 10
29 2824
20 17 17
20222626
3735
Poids net(kg)
Saumon frais découpé Saumon frais entier
Truite fraiche entièreTruite fraiche découpée
16
14
12
10
8
6
4
2
0 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Volume consommé de dorade, bar et turbot frais pour 100 ménages(source : panel ConsoScan SECODIP)
11,4
7,28,5
1,41,5 1,7
1,42,1
1,4
11,712,6
13,6
10,8
12,3
11,712,1
13,6
10,8
Poids net(kg)
Turbot frais
Dorade fraiche
Bar frais
La consommation de poisson frais découpé reste stable,alors que la baisse des volumes consommés de poissonfrais entier commencée en 1998 se poursuit (-8% en
volume entre 2002 et 2003 et -28% depuis 1998)
On constate une baisse très nette des volumes consom-més de ces poissons frais, en particulier le bar et la dora-de. Le facteur limitant a très probablement été l’approvi-sionnement du marché avec une baisse importante desimportations depuis la Grèce.
Toutefois, le marché du bar et de la dorade est très rému-nérateur depuis le début de l’année 2004. La fermeté dela demande, associée à une réduction de l’offre, a tiré lesprix vers le haut.
Les volumes consommés de truite fraîche découpéeainsi que de saumon frais entier continuent à baisser(entre 2002 et 2003 : -20% truite fraîche découpée ; -10% saumon frais entier) alors que la consommation detruite fraîche entière se stabilise sur la valeur de 2002,soit 17 kg consommés pour 100 ménages.
Dans ce contexte difficile, la consommation de saumonfrais découpé continue à progresser (+3% entre 2002 et2003 ; +19% depuis 1998). La truite contrairement ausaumon, ne suit pas la tendance observée pour le pois-son frais avec la diminution de la consommation de pois-son entier/augmentation de la consommation de poissondécoupé.
16
15
14
13
12
11
10
9
8
7
6 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Prix moyen d'achat des poissons frais (source : panel ConsoScan SECODIP)
14,4 14,3 14,5
12,612,0 11,6 12,1
12,712,6
9,3
8,76,7 6,6
7,1 7,4 7,5 7,48,8
9,6 9,5 9,6 9,5
10,0 9,910,5 10,7
11,2
12,5
14,2
15,5
€/kg
8,7 8,89,3 9,6
10,2 10,3
Turbot frais
Barfrais
Doradefraîche
Saumonfrais
Truitefraîche
Poissonfrais
moyenne
• Turbot : +9% par rapport à 2002, +24% depuis 2001
• Poisson frais : +1% en 2003 par rapport à 2002
• Tous les prix moyens augmentent depuis 2001, saufceux du saumon et de la truite, qui se stabilisent voirebaissent légèrement entre 2002 et 2003
Saumon TruiteENTIER DÉCOUPÉ ENTIÈRE DÉCOUPÉE
Prix moyen 2003 (€/kg) 4,81 10,83 6,46 8,87
Evolution du prixmoyen par rapport -3,3% -2,3% -3,5% +3%à 2002
correction CIPA 26/8/2004 13/10/2004 11:21 Page 28
CONSOMMATION
31
CONSOMMATION
30
4000
3500
3000
2500
2000
1500
1000
500
0 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Somme dépensée en poisson frais pour 100 ménages(source : panel ConsoScan SECODIP)
3270
18761902 1850 1820
1747 1706
32483406
3671 3683 3741Poisson frais découpé
Poisson frais entier
€
1000
900
800
700
600
500
400
300
200
100
0 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Somme dépensée en poisson frais pour 100 ménages (source: panel ConsoScan SECODIP)
€
20 22 25 17 30 2290 101
136170
139122105112 132 146 120
800
870
799
856 855 845
310297 290
255 227 198146
Saumonfrais
Truitefraîche
Barfrais
Doradefraîche
Turbot frais
Le prix moyen d’achat du poisson frais, qu’il soit entier oubien découpé, reste stable depuis 2002 (8,4 €/kg pourle poisson entier et 11,4€/kg pour le poisson découpé).L’évolution de la somme dépensée reflète donc l’évolu-
tion des volumes consommés. On retrouve en effet unebaisse de la somme dépensée en poisson frais entier etune stabilisation de la somme dépensée en poisson fraisdécoupé.
Les sommes dépensées en poisson découpé sont beau-coup plus importantes pour le saumon (ce qui est dû à ladifférence des volumes consommés et à la grosse diffé-rence de prix entre entier et découpé).
En ce qui concerne la truite, la différence n’est pas trèsimportante bien que les volumes consommés de truitefraîche entière soient plus importants ; en effet, le prix dela truite entière est en moyenne de 2,40 /kg inférieur àcelui de la truite découpée.
La baisse de la somme dépensée en bar, dorade et tur-bot est moins importante que celle des volumes
consommés grâce à une hausse des prix moyens d’achatrespectifs, notamment celui du turbot.
800
700
600
500
400
300
200
100
0
250
200
150
100
50
0 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Somme dépensée en saumon et en truite pour 100 ménages (source : panel ConsoScan SECODIP)
Poisson découpé(€)
Poisson entier(€)
750745714
652608
197218
153
142
11096
107116119
137152164
646
146 145 153 136111 91
Truite fraiche découpée Saumon frais découpé Truite fraiche entière Saumon frais entier
45
40
35
30
25
20
15
10
5
0 Turbot Loup Bar Dorade Merlu/ Maquereau Thon Sole Sardine Truite Lieu Merlan Cabillaud Saumon frais frais frais fraîche Colin frais frais frais fraîche fraîche fraîche frais frais frais frais
Pourcentage des ménages ayant acheté au moins une fois du poisson frais en 2003(source : panel ConsoScan SECODIP)
2002
2003
1,14,5
7,0 7,7 8,5 9,211,0
13,7 14,3
20,323,4
28,3
40,9
25000
20000
15000
10000
5000
0 Turbot Loup Bar Dorade Merlu/ Maquereau Thon Sole Sardine Truite Lieu Merlan Cabillaud Saumon frais frais frais fraîche Colin frais frais frais fraîche fraîche fraîche frais frais frais frais
Volumes de poisson frais achetés par les ménages en 2003(source : panel ConsoScan SECODIP)
2002
2003
Dans le classement des poissons les plus consommés,la truite conserve sa cinquième place, que le critère pris
en considération soit le nombre de ménages acheteursou bien les volumes achetés.
correction CIPA 26/8/2004 13/10/2004 11:21 Page 30
CONSOMMATION
33
CONSOMMATION
32
80
7045
40
35
30
25
20
15
10
5
0 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Pourcentage des ménages ayant acheté au moins une fois du poisson frais (source : panel ConsoScan SECODIP)
75,5
40,5
28,4
8,2
1,1
4,6 8,2 8,7 7,4 7,0
1,11,5 1,3 1,2 1,4
9,2 8,6 8,6 8,4 7,7
29,126,6
24,022,2 20,3
41,3 40,5 40,5 40,5 40,5
73,4 72,8 72,5 71,1 70,2
6,1
Poissonfrais
Saumonfrais
Truitefraîche
Doradefraîche
Barfrais
Turbotfrais
%
8
73
2,5
2
1,5
1
0,5
0
1998 1999 2000 2001 2002 2003
Volume de poisson frais consommé par ménage acheteur (source : panel ConsoScan SECODIP)
2,3 2,4
2,11,7
1,31,4 1,3
1,4
1,4
1,2 1,01,3
1,11,5
1,3
1,6
1,5 1,4 1,41,4
1,8
1,61,51,6
1,4
2,2 2,2
Poids net (kg)
8,0 8,1 7,8 7,9 7,6 7,5
1,6
1,4
Poissonfrais
Saumonfrais
Barfrais
Truitefraîche
Doradefraîche
Turbotfrais
• Le pourcentage des ménages ayant acheté au moinsune fois des poissons marins frais reste faible mais sta-ble. En ce qui concerne la saisonnalité de la demande enFrance, la consommation de dorade est constante toutau long de l’année, alors que les ventes de bar sont beau-coup plus importantes en fin d’année par rapport aux aut-res mois. Ceci laisse penser que le bar reste réservé auxoccasions festives.
• Le pourcentage concernant le saumon reste stable à40,5%
• Le pourcentage des ménages achetant de la truite necesse de diminuer depuis 1999 (-22 points entre 2002et 2003 ; -3,7 points depuis 1999), alors que la baissedu secteur poisson frais est moins marquée (-0,9 pointentre 2002 et 2003 ; -3,1 points depuis 1999)
Avertissement : les données présentées ci-dessous sereportent au nombre de ménages acheteurs, c’est-à-direaux ménages ayant effectivement acheté du poisson.Pour ramener ces données aux quantités pour 100 ména-ges, il faut les pondérer par le nombre de ménages ayantacheté au moins une fois du poisson présenté ci-dessus.
Le poisson le plus consommé par les ménages qui effec-tivement achètent du poisson reste le saumon suivi deprès par le bar qui depuis deux ans a dépassé la truite,qui se maintient depuis 2002.
C’est un produit acheté rarement mais en quantitéimportante.
Les volumes de poissons marins restent importants(sauf le bar dont le volume augmente toutefois). Le sau-mon se maintient à son niveau de 2000, alors que le
volume moyen de truite est plus bas que la moyennedes poissons frais.
Evolution du volume de poissons frais consommé par ménage acheteur de 1998 à 2003 Evolution du volume de poissons frais par acte d’achat de 1998 à 2003
Poisson frais +0,9%
Truite fraîche -6,3%
Bar frais -1%
Dorade fraîche +0,6%
Saumon frais -5,3%
Turbot frais -1,5%
Poisson frais -7%
Truite fraîche - 18,7%
Bar frais +6,6%
Dorade fraîche -1,9%
Saumon frais -5%
Turbot frais +10,3%
12
11,5
113,5
3
2,5
2
1,5
1
0,5
0 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Nombre moyen d'actes d'achat de poisson frais par ménage acheteur (source : panel ConsoScan SECODIP)
Nombred'achats
11,8
3,43,1
2,72,1
2,0
1,31,31,5 1,5 1,4 1,4
2,0 1,9 1,9
2,5
2,11,9 1,9 2,2 2,2 2,1
2,7 2,72,4 2,5 2,4
3,4 3,4 3,4 3,4
11,8 11,8 11,8 11,310,9
Poissonfrais
Saumonfrais
Truitefraîche
Barfrais
Doradefraîche
Turbotfrais
1,2
1,1
1
0,9
0,8
0,7
0,6
0,5
0,4 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Volume moyen de poisson frais par acte d'achat (source : panel ConsoScan SECODIP)
kg
TurbotfraisBarfrais
Poissonfrais
DoradefraîcheSaumon
fraisTruitefraîche
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CONSOMMATION
35
CONSOMMATION
34
35
30
25
20
15
10
5
0 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Pourcentage de ménages acheteurs (source : panel ConsoScan SECODIP)
Truitefraîche
Truitefraîcheentière
Truitefraîche
découpée
Truitefraîche
préemballée
2729
24 2220
28
19
1417
1312
1213
151616
6 6 6 65 5
19
14
%
12
11
10
9
8
7
6
5 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Somme dépensée par ménage acheteur en truite fraîche (source : panel ConsoScan SECODIP)
Truitefraîche
Truitefraîcheentière
Truitefraîche
découpée
Truitefraîche
préemballée
11,05
10,4410,82
10,4110,02
11,22
9,12 9,28
10,019,58
7,708,34
7,06
6,03 6,14 6,036,88 6,94
8,837,97
8,20 8,77
9,03
8,77
€
1,9
1,7
1,5
1,3
1,1
0,9
0,7
0,5 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Volume acheté par ménage acheteur (source : panel ConsoScan SECODIP)
Truitefraîche
Truitefraîcheentière
Truitefraîche
découpée
Truitefraîche
préemballée
1,71,6 1,6
1,51,4 1,4
1,01,1 1,1
1,0 1,00,9
0,90,8 0,8 0,8
0,9 0,9
1,61,6
1,4 1,5
1,3 1,3
kg
7
6
5
4
3
2
1
0 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Quantités achetées pour 100 ménages (source : panel ConsoScan SECODIP)
kg
5,85,3 5,1
4,4 4,44,8
7
6
5
4
3
2
1
0 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Nombre d'acheteurs pour 100 ménages (source : panel ConsoScan SECODIP)
6,1 6,5 6,1
5,64,9 5,1
1,00
0,95
0,90
0,85
0,80
0,75
0,70
1998 1999 2000 2001 2002 2003
Volume acheté par ménage acheteur (source : panel ConsoScan SECODIP)
kg
0,94
0,820,84
0,79
0,89
0,94
FOCUS SUR LA TRUITE FRAICHE FOCUS SUR LA TRUITE FRAICHE PREEMBALLEE
Baisse générale du pourcentage de ménages acheteurs,sauf pour la truite fraîche préemballée. L’essor du pré-
emballé concorde avec la tendance générale des pro-duits de la mer.
Les sommes dépensées diminuent, hormis pour la truitefraîche préemballée pour laquelle elles se stabilisent,
alors que son prix moyen diminue.
La truite préemballée semble être le seul produit dyna-mique. Les volumes de truite découpée baissent alorsque ceux de truite entière se stabilisent. Ce qui aboutit àun volume acheté par ménage acheteur qui reste stable.
Le marché de la truite fraîche préemballée montrant dessignes intéressants, développés ci-après.
correction CIPA 26/8/2004 13/10/2004 11:21 Page 34
CONSOMMATION
37
CONSOMMATION
36
7,8
7,7
7,6
7,5
7,4
7,3
7,2
7,1
7,0
1998 1999 2000 2001 2002 2003
Prix moyen (source : panel ConsoScan SECODIP)
€/kg
7,50 7,367,31
7,64
7,75
7,41
• reprise des ventes entre 2002 et 2003
• hausse depuis 2001 des quantités achetées par ména-ge acheteur (+12,6% entre 2001 et 2002 ; +5,6% entre2002 et 2003)
• augmentation du nombre de ménages concernés parl’achat de truite fraîche préemballée : nombre d’ache-teurs pour 100 ménages, +4,1%
• baisse de 4% du prix moyen entre 2002 et 2003
FOCUS SUR LE POISSON FRAIS PREEMBALLE
75
70
65
60
55
50
45
40 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Quantité achetée de poisson préemballé pour 100 ménages (source : panel ConsoScan SECODIP)
52,5
57,861,5
64,861,8
68,2
kg
32
31
30
29
28
27
26
25 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Nombre d'acheteurs de poisson préemballé pour 100 ménages (source : panel ConsoScan SECODIP)
28,427,8
29,429,7
30,2
31,2
10,4
10,2
10,0
9,8
9,6
9,4
9,2
9 1998 1999 2000 2001 2002 2003
Prix moyen du poisson préemballé (source : panel ConsoScan SECODIP)
9,4
9,6 9,6
10
10,3 10,2
€/kg
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CONSOMMATION
39
CONSOMMATION
38
TENDANCES RÉGIONALES
40 000
35 000
30 000
25 000
20 000
15 000
10 000
5 000
0 Nord Est Parisienne Ouest Centre-Ouest Centre-Est Sud-Ouest Sud-Est
Répartition régionale des volumes de poisson frais achetés (source : panel ConsoScan SECODIP)
Tonnagenet
2000 2001 2002 2003
33 354
9 722
14 484 15 35115 726
10 314 9 170
24 150
1 400
1 200
1 000
800
600
400
200
0 Nord Est Parisienne Ouest Centre-Ouest Centre-Est Sud-Ouest Sud-Est
Consommation régionale de truite fraîche en 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
Tonnagenet
TRUITE FRAICHE ENTIERE TRUITE FRAICHE DECOUPEE
566336
827
431 349559 550 518
138
211
436
449396
376 340209
Répartition régionale de la consommationde truite fraîche entière en 2003
(source : panel ConsoScan SECODIP)
Répartition régionale de la consommationde truite fraîche découpée en 2003
(source : panel ConsoScan SECODIP)
Nord EstParisienneOuest
Centre-OuestCentre-EstSud-OuestSud-Est
Nord EstParisienneOuest
Centre-OuestCentre-EstSud-OuestSud-Est
8%
20%10%8%
13%
14%
13% 14% 8%
17%
19%15%
13%8%
15%
5%
200
180
160
140
120
100
80
60
40 Total Nord Est Parisienne Ouest Centre Centre Sud Sud France Ouest Est Ouest Est
Indice 2003 des quantités achetées de truite fraîche(source : panel ConsoScan SECODIP)
Truite fraîche Truite fraîche entière Truite fraîche découpée Truite fraîche préemballée
180
160
140
120
100
80
60
40
20
0
Truite fraîche Cabillaud frais Lieu frais Merlan frais Saumon frais Poissons frais
Indice de consommation de la région Ouest (source : panel ConsoScan SECODIP)
2000 2001 2002 2003
5 000
4 000
3 000
2 000
1 000
10
Nord Est Parisienne Ouest Centre-Ouest Centre-Est Sud-Ouest Sud-Est
Achats de truite, saumon, bar dorade et turbotpar les ménages français en 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
Tonnagenet
Truite fraîche Bar frais Dorade fraîche Saumon frais Turbot frais
La consommation nationale de poisson frais par lesménages à domicile a plutôt tendance à diminuer(-2 239 tonnes, soit -1,7%, entre 2002 et 2003).
Cette tendance se retrouve dans toutes les régions, saufla région Ouest où la consommation a augmenté de 6%entre 2002 et 2003, soit 1 838 tonnes.
On constate une diminution des volumes commerciali-sés de truite fraîche : -9,6% entre 2002 et 2003. La bais-se est nettement plus importante pour la truite fraîchedécoupée (-19,4%) que pour la truite fraîche entière (-
3,1%). De plus, les volumes commercialisés de truitefraîche découpée (2 554 tonnes) sont plus faibles queceux de truite fraîche entière (4 134 tonnes).
On remarque l’importance de la part de marché en volume des régions parisienne et Ouest.
• Le Nord reste surconsommateur de truite fraîche entiè-re par rapport à la moyenne nationale. On remarque ledéveloppement important du segment de la truite fraîchepréemballée (IC 2002 : 43.9 ; IC 2003 : 110)
• Dans la région Ouest, la consommation reste faible etcontinue à reculer (truite fraîche, IC 2002 : 81 ; IC 2003 :72) bien qu’il s’agisse d’une région surconsommatrice enpoisson frais.
La région Ouest apparaît comme surconsommatrice depoisson frais : ceci est à relier avec la consommation très
importante (par rapport à la moyenne nationale) de mer-lan, saumon et lieu.
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CONSOMMATION
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CONSOMMATION
40
130
120
110
100
90
80
70
60 Total Nord Est Parisienne Ouest Centre Centre Sud Sud France Ouest Est Ouest Est
Indice 2003 des quantités de truite et saumon fumés achetées(source : panel ConsoScan SECODIP)
Truite fumée Saumon fumé
Les régions Ouest et parisienne restent surconsomma-trices. Par rapport aux données 2002, la région CentreOuest est devenue surconsommatrice de truite fumée.
Dans les régions Nord et Est, un net écart entre l’indiceconcernant le saumon et celui relatif à la truite peut seremarquer. Le marché de la truite fumée reste peut-êtreun marché à développer dans ces régions.
On constate une bonne pénétration de la truite fumée chez les cadres et les professions intellectuelles.
Cette répartition montre le même profil que celle de2002, à savoir une surconsommation :
• par les inactifs et les retraités
• par les ouvriers par rapport aux cadres et aux profes-sons intellectuelles, sauf en ce qui concerne le préem-ballé.
SOCIO-STYLESNote : abréviations utilisées
• CSP : catégorie socioprofessionnelle• CS : classe sociale
60
50
40
30
20
10
0
Répartition des quantités achetées par CSP en 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)%
Agriculteurs Artisans Cadre professions Professions Employés Ouvriers Inactifs commerçants intelectuelles intermédiaires retraités
Truitefraîche
Truite découpée
Truite entière
Truite fraîchepréemballée
45
40
35
30
25
20
15
10
0
Répartition des quantités achetées par CSP en 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)%
Agriculteurs Artisans Cadre professions Professions Employés Ouvriers Inactifs commerçants intelectuelles intermédiaires retraités
Saumonfumé
Truite fumée
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CONSOMMATION
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CONSOMMATION
42
La plus grosse partie des achats (entre 64% et 71%) estfaite par la classe moyenne, quelle que soit la catégoriede truite considérée.
En ce qui concerne la truite fumée, ses achats se répar-tissent essentiellement entre les classes aisée, moyennesupérieure et inférieure, pratiquement à parts égales.
On retrouve en 2003 encore une sous-consommation de tous les types de produits par les moins de 35 ans.
Les couples sont sur-consommateurs de truite, tous types de produit confondus.
45
40
35
30
25
20
15
10
5
0
Répartition des achats par CS en 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
%
Aisée Moyenne supérieure Moyenne inférieure Modeste
Truite fraîche
Poisson frais
Truite fraîchedécoupée
Truite fraîchepréemballée
Truite fraîcheentière
SaumonfuméTruitefumée
40
35
30
25
20
15
10
5
0
Répartition de la consommation par classe d'âge en 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
%
Moins de 35 ans de 35 à 49 ans de 50 à 64 ans 65 ans et plus
Truite fraîche
Poisson frais
Truite fraîchedécoupée
Truite fraîchepréemballée
Truite fraîcheentière
SaumonfuméTruitefumée
50
45
40
35
30
25
20
15
10
5
0
Répartition des quantités achetées par nombre de personnes au foyer en 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
kg
1 personne 2 personnes 3 personnes 4 personnes
Truite fraîche
Poisson frais
Truite fraîchedécoupée
Truite fraîchepréemballée
Truite fraîcheentière
SaumonfuméTruitefumée
Classe Nom du groupe Age EnfantsNombre pers dans foyer
1 Jeunes célibataires 1 personne Moins de 35 ans Sans enfants
2 Célibataires âge moyen 1 personne 35 – 64 ans Sans enfants
3 Vieux célibataires 1 personne 65 ans et plus Sans enfants
4 Jeunes couples 2 personnes et plus Moins de 35 ans Sans enfants
5 Couples âge moyen 2 personnes et plus 35 – 64 ans Sans enfants
6 Vieux couples 2 personnes et plus 65 ans et plus Sans enfants
7 Famille maternelle 2 personnes et plus Le + vieux à de 0 à 5 ans
8 Famille école primaire 2 personnes et plus Le + vieux à de 6 à 11 ans
9 Famille collège et lycée 2 personnes et plus Le + vieux à de 12 à 17 ans
10 Famille enfants majeurs 2 personnes et plus Le + vieux à de 18 à 24 ans
40
35
30
25
20
15
10
5
0
%
Jeunes Célibataires Vieux Jeunes Couples Vieux Familles Familles Familles Familles célibataires ages célibataires couples ages couples enfants enfants enfants enfants moyens moyens maternelles primaires lycées & majeurs collèges
Populationdans le panel
PoissonsfraisTruitefraîcheSaumon
fuméTruitefumée Barfrais
DoradefraîcheTurbotfrais
Poids des groupes dans le panel et part de leur consommationselon les produits en 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
7,2
10,7
13,0
5,6
17,3
11,4
7,3 6,3 8,4
12,8
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CONSOMMATION
44
350
300
250
200
150
100
50
0 TOTAL Jeunes Célibataires Vieux Jeunes Couples Vieux Familles Familles Familles Familles FRANCE célibataires ages célibataires couples ages couples enfants enfants enfants enfants moyens moyens maternelles primaires lycées & majeurs collèges
Indice de consommation en volume en 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
Poissonsfrais
Truitefraîche
Saumonfumé
Truitefumée
Barfrais
Doradefraîche
Turbotfrais
250
200
150
100
50
0 TOTAL Jeunes Célibataires Vieux Jeunes Couples Vieux Familles Familles Familles Familles FRANCE célibataires ages célibataires couples ages couples enfants enfants enfants enfants moyens moyens maternelles primaires lycées & majeurs collèges
Indice de consommation en volume en 2003 (source : panel ConsoScan SECODIP)
Truite fraîche
Truite fraîchedécoupée
Truite fraîchepréemballée
Truite fraîcheentière
Quel que soit le type de poisson, les vieux couples sontsurconsommateurs, ce qui corrobore la consommationdes inactifs - retraités dans les indices de consommationCSP.
Les jeunes en couple ou célibataires, sont nettementsous-consommateurs de poisson. Les produits qui sem-blent se porter le mieux auprès de ces consommateurs
sont les produits fumés, qui sont des produits qui nenécessitent pas de préparation.
On remarque aussi la sous-consommation des famillesayant de jeunes enfants.
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