DIMANCHE 06

* 32e DIMANCHE DU

Jésus nous apprend à lire

Novembre

Jésus nous apprend à lire les Écritures et à les interpréter. C’est bien en nous mettant à l’école de Jésus, en

Le

Temps

Ordinaire

2016

ENSEMBLE PAROISSIAL - CROIX-DAURADE et SAINT ANDRE

Il nous donne le sens des Écritures. Il nous apprend à les lire. C’est bien en nous mettant à l’école de Jésus, en L’écoutant et en Le contemplant, que nous comprenons le sens des Écritures qui précédé. Ainsi, dimanche après dimanche, nous entendons tirée de l’Ancien Testament. Et aujourd’hui, Jésus apprend aux sadducéens à lire les Écritures et à les interpréter : « Quant à dire que les morts doivent ressusciter, Moïse luiapporte les explications dont nous avons besoin, il est la clé des Écritures. Il nous en révèle le sens mais il est surtout celui que les Écritures révèlent. Comment ne pas entendre résonner ce qu’écrivait Hugues de Saint-Victor : « Toute la divine Écriture est un seul livre et ce livre unique, c’est le Christ parce que toute Écriture divine parle du Christ et s’accomplit dans le Christ. » Qu’il est bon d’apprendre avec Lui à lire les Écritures !

« Non pas le Dieu des morts mais des vivants » ! Non pas un tyran mais un Dieu qui libère pour que l’on marche vers Lui « sans aucune entrave ». Le courage des martyrs d’Israël témoigne de la force de Dieu déployée dans la faiblesse et de leur foi en la résuvisage. » Tel est bien le secret de « la joyeuse espérance » dont Paul témoignera auprès des Thessaloniciens. Et nous verrons Jésus ne pas se dérober à ceux qui pensées et leurs cœurs jusqu’au Dieu des vivants, jusqu’à son mystère...résurrection, il la proclame, il nous appelle à la célébrer et chaque assemblée est une assemblée de futurs ressuscités. Comprendre le « commentd’aller ensemble de l’avant.

DIMANCHE 06 NOVEMBRE 2

DIMANCHE DU TEMPS ORDINAIRE

Jésus nous apprend à lire la Parole de Dieu.

Novembre – mois de prière

pour nos défunts

Jésus nous apprend à lire les Écritures et à les interpréter. C’est bien en nous mettant à l’école de Jésus, en L’écoutant et en Le contemplant, que nous comprenons

le sens des Écritures qui L

ENSEMBLE PAROISSIALDAURADE et SAINT ANDRE

Il nous donne le sens des Écritures. Il nous apprend à les lire. C’est bien en nous mettant à l’école de e contemplant, que nous comprenons le sens des Écritures qui

précédé. Ainsi, dimanche après dimanche, nous entendons l’E vangile répondre à la première lecture

Et aujourd’hui, Jésus apprend aux sadducéens à lire les Écritures et à les interpréter : « Quant à dire que les morts doivent ressusciter, Moïse lui-même le fait comprendre... » Plus quapporte les explications dont nous avons besoin, il est la clé des Écritures. Il nous en révèle le sens mais il est surtout celui que les Écritures révèlent. Comment ne pas entendre résonner ce qu’écrivait Hugues

ute la divine Écriture est un seul livre et ce livre unique, c’est le Christ parce que toute Écriture divine parle du Christ et s’accomplit dans le Christ. » Qu’il est bon d’apprendre avec

Non pas le Dieu des morts mais des vivants » ! Non pas un tyran mais un Dieu qui libère pour que ui « sans aucune entrave ». Le courage des martyrs d’Israël témoigne de la force de

Dieu déployée dans la faiblesse et de leur foi en la résurrection. « Au réveil, je me rassasierai de ton visage. » Tel est bien le secret de « la joyeuse espérance » dont Paul témoignera auprès des

Et nous verrons Jésus ne pas se dérober à ceux qui L ’interrogent. Il élève leurs cœurs jusqu’au Dieu des vivants, jusqu’à son mystère...

résurrection, il la proclame, il nous appelle à la célébrer et chaque assemblée est une assemblée de futurs ressuscités. Comprendre le « comment ? » est totalement impossible

2016

Jésus nous apprend à lire les Écritures et à les interpréter. C’est bien en nous e contemplant, que nous comprenons

L’ont précédé.

ENSEMBLE PAROISSIAL DAURADE et SAINT ANDRE -

Il nous donne le sens des Écritures. Il nous apprend à les lire. C’est bien en nous mettant à l’école de e contemplant, que nous comprenons le sens des Écritures qui L’ont

vangile répondre à la première lecture

Et aujourd’hui, Jésus apprend aux sadducéens à lire les Écritures et à les interpréter : « Quant à dire même le fait comprendre... » Plus que le maître qui nous

apporte les explications dont nous avons besoin, il est la clé des Écritures. Il nous en révèle le sens mais il est surtout celui que les Écritures révèlent. Comment ne pas entendre résonner ce qu’écrivait Hugues

ute la divine Écriture est un seul livre et ce livre unique, c’est le Christ parce que toute Écriture divine parle du Christ et s’accomplit dans le Christ. » Qu’il est bon d’apprendre avec

Non pas le Dieu des morts mais des vivants » ! Non pas un tyran mais un Dieu qui libère pour que ui « sans aucune entrave ». Le courage des martyrs d’Israël témoigne de la force de

rrection. « Au réveil, je me rassasierai de ton visage. » Tel est bien le secret de « la joyeuse espérance » dont Paul témoignera auprès des

’interrogent. Il élève leurs Il « n’explique pas » la

résurrection, il la proclame, il nous appelle à la célébrer et chaque assemblée est une assemblée de ? » est totalement impossible... Ce qui importe, c’est

PAROISSES : CROIX-DAURADE SAINT ANDRE SAMEDI

De la férie (05 novembre 2016)

- 11h00 – 2 baptêmes : familles Malet et De Barros Ferreira - 18h00 – Messe dominicale

32e DIMANCHE ORDINAIRE

(06 novembre 2016)

- 11h00 –MESSE DOMINICALE - 12h00 – 3 baptêmes – familles Mayron, Morales Cossio et Injerona

- 9h30 – Messe dominicale (en polonais)

LUNDI De la férie

(07 novembre 2016)

MARDI De la férie

(08 novembre 2016)

- 8h40 – Rosaire pour les défunts indiqués sur nos feuilles - 9h15 – MESSE

MERCREDI Dédicace de la Basilique

du Latran (09 novembre 2016)

- 17h30 – Rosaire pour les défunts indiqués sur nos feuilles - 18h00 – MESSE

- 8h40 – Rosaire pour les défunts indiqués sur nos feuilles - 9h15 – MESSE

JEUDI St Léon le Grand

(10 novembre 2016)

- 8h40 – Rosaire pour les défunts indiqués sur nos feuilles - 9h15 – MESSE

VENDREDI St Martin de Tours (11 novembre 2016)

- 17h40 – Neuvaine à la Miséricorde Divine pour les défunts indiqués sur nos feuilles - 18h15 – MESSE

- 8h40 – Neuvaine à la Miséricorde Divine pour les défunts indiqués sur nos feuilles - 9h15 – PAS DE MESSE

SAMEDI St Josaphat

(12 novembre 2016)

- 10h00 – Messe des défunts pour la famille GOMEZ

- 18h00 – Messe dominicale

33e DIMANCHE ORDINAIRE

(13 novembre 2016)

- 11h00 –MESSE DOMINICALE - pour ++ des familles: GALY et RYSSINI

MESSE DES FAMILLES

- 9h30 – Messe dominicale (en polonais)

� HORAIRES DES CELEBRATIONS LITURGIQUES

EVENEMENTS PASTORAUX

• Mercredi 09.11. – Messe à la maison de retraite de Borderouge à 15h30

• Mercredi 09.11. à 18h30 à St André – réunion des équipes liturgiques

• Jeudi 10.11. à 10h30 – réunion des prêtres du Doyenné au presbytère de Croix-Daurade

• Jeudi 10.11. à 20h00 – réunion des catéchistes au presbytère de Croix-Daurade

ATTENTION ! la prière pour nos défunts ! Le mois de novembre est tout spécialement consacré à la prière pour nos défunts. Cette année, dans notre paroisse, nous aurons tous les jours durant le mois de novembre le chapelet à la Sainte Vierge consacré à cette prière avec les noms et prénoms de nos défunts annoncés avant chaque dizaine du chapelet. Pour cette raison, on demande à nos paroissiens de remplir la feuille préparée à cette occasion et de la déposer à la sacristie après les messes. Les feuilles pour les défunts sont à votre disposition à l’entrée de nos deux églises.

Jour de Résurrection. Dans le pro-

longement de la Toussaint, la foi en la

Résurrection éclaire la liturgie de ce jour.

L'acte pénitentiel redit la Miséricorde de

Dieu afin que chacun puisse faire « l’expé-

rience de l’amour de Dieu qui console,

pardonne et donne l'espérance » (Bulle

d'indiction de l’Année sainte).

Joyeuse espérance

L’espérance de nos devanciers nous entraîne, mais aussi,

singulièrement, celle des martyrs, ces témoins de « la grâce qui

coûte » dont parlait au XXe siècle un héros de la foi, Dietrich

Bonhoeffer. Sur les martyrs d’Israël, comme sur Saint Paul,

brille la lumière d’une « joyeuse espérance », celle à laquelle

Jésus appelle et qui est remise de soi aux mains du « Dieu des

vivants ».

A L'ÉCOUTE DES PERES Le Dieu que les prophètes adoraient, le Dieu vivant, c'est Lui le

Dieu des vivants, ainsi que son Verbe, sa Parole, qui a parlé à

Moïse dans le buisson et qui a aussi réfuté les sadducéens et

accordé la Résurrection. C'est Lui qui, à partir de la Loi, a

démontré à ces aveugles ces deux choses : la Résurrection et

le vrai Dieu. S'il n'est pas le Dieu des morts mais des vivants et

s'Il est appelé le Dieu des pères, qui se sont endormis, sans

aucun doute ils sont vivants pour Dieu et ils n'ont pas péri :

« Ils sont enfants de la Résurrection. »

Or la Résurrection, c'est notre

Seigneur en personne,

comme Il le dit lui-même :

« Je suis la Résurrection

et la Vie. »

« Sur le seuil de sa maison, notre Père

t’attend. » (SL 41-1)

Au cœur du chagrin et de l’absence qui

s’impose, les funérailles vont se révéler

un moment important pour ceux qui

restent mais aussi pour l’Église.

Qu’il s’agisse des baptisés d’aujourd’hui

ou de la communion des saints d’hier et

de toujours, la prière de l’Église tout

entière est présente dans ce moment

où, rejoignant les bras du Père, l’être

aimé accomplit son Baptême, devenant

pour tous le signe de la vie en Dieu et de

notre confiance dans les retrouvailles

éternelles. Portées par la prière de tous

et par la foi dans un « allez vers Dieu »,

les funérailles s’ouvrent sur un au-delà

de l’au-revoir : en célébrant la

conviction chrétienne d’une vie plus

forte que la mort, elles témoignent de

notre foi en la parole du Christ : « Dieu

n’est pas le Dieu des morts mais des

vivants car tous sont vivants pour Lui. »

(Lc 20,38)

Patricia Metzger

Autour de la TOUSSAINT …

« Aller vers Dieu. »

Depuis le début de son pontificat, le Pape

François parle volontiers de tendresse.

Nouveau dans le vocabulaire magistériel, le

terme est bibliquement idé : les psaumes et

les prophètes nous font goûter cette infinie

tendresse. « Le Seigneur est tendresse et

pitié, lent à la colère et plein d’amour. » (Ps

144 [145], 8) Tendresse manifestée de

façon privilégiée aux pauvres, aux pécheurs

et aux malheureux : « Tu es notre Dieu car

de Toi seul l’orphelin reçoit de la tendres-

se. » (Os 14,4).

C’est pourquoi, à la suite du Christ, l’Église

doit être miséricordieuse, accueillir et

écouter avec tendresse.

Tel est le « remède beaucoup plus puis-

sant » que nos fautes. « La Miséricorde

divine nous devance. Dieu nous attend ; Il

attend seulement que nous Lui accordions

ce minuscule rai de lumière pour pouvoir

agir en nous, avec Son pardon, avec Sa

grâce. Seul celui qui a été touché, caressé

par la tendresse de la Miséricorde, connaît

vraiment le Seigneur. » (Pape François, Le

nom de Dieu est Miséricorde.)

LA TENDRESSE