Chantage d'Une Jeune Salope

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1 Une Petite Salope de Douze Ans J’ai douze ans et j’habite à l’ouest de Paris, dans ce qu’on appelle les beaux quartiers. J’ai toujours entendu tout le monde dire que j’étais mignonne. Ils ont raison, je suis très jolie ; je me regarde souvent dans le miroir de ma chambre et je suis contente de ce que je vois : mes cheveux blonds mettent mon visage en valeur, j’ai un petit nez et des taches de rousseur, des oreilles qui ressemblent à de petits coquillages. Mais c’est quand je me mets nue que je m’aime le plus : mes seins ne sont encore que de petits renflements mais le bout en est tout dur, mon ventre est légèrement bombé ; mais ce sont mes fesses qui attirent le plus mon regard : elles sont fermes et hautes, avec une fossette juste au-dessus de la fente ; quand je tourne la tête vers l’arrière pour les voir dans le miroir, je me mets sur la pointe des pieds et cela me fait cambrer le bas du dos ; mes fesses sont alors comme une offrande et je ne peux m’empêcher de les caresser et d’introduire un doigt dans mon vagin étroit, et parfois dans mon petit trou. Souvent, je me colle contre le miroir et j’embrasse mon reflet ; la fraîcheur du miroir excite mes tétons qui durcissent encore plus et je gémis inconsciemment en aimant la fille que j’embrasse ainsi... Il y a quelques mois, j’ai feuilleté un magazine de mode ; j’ai vu plein de publicités pour des sous- vêtements de grandes personnes. Je me suis attardée sur les photos montrant des hommes en slip ; ils avaient toujours des pectoraux musclés mais surtout des slips gonflés, pleins de sexes que je ne pouvais qu’imaginer... Je n’ai pas de frère et Papa est un homme pudique. J’imaginais qu’il était sans doute comme ces hommes des photos. J’ai été voir dans le dictionnaire à quoi ressemblait ce que cachaient ces slips, et c’est depuis lors que j’ai commencé toutes les nuits à rêver. Chaque fois que je voyais un homme, je ne pouvais pas m’empêcher d’imaginer ce qu’il avait dans son pantalon. De plus, les photos du magazine montraient aussi des hommes et des femmes enlacés, dans des poses qui enflammaient mon imagination. Finalement, je me suis décidée à aller voir sur Internet et il ne m’a pas fallu plus d’une semaine pour apprendre tout ce que je voulais savoir, et bien plus... Toutes les nuits, vraiment toutes les nuits, je ne m’endormais qu’après avoir imaginé de grosses mains qui se promenaient sur toutes les parties de mon corps, et mes mains qui s’emparaient d’un gros sexe, plus gros que ce que m’avait montré le dictionnaire. Je ne rêvais pas de garçons, je rêvais d’hommes comme ceux du magazine. Un matin, Papa était dans la salle de bains en train de se raser. J’ai enlevé ma chemise de nuit et j’ai enfilé ma culotte en satin crème ; j’ai coincé un côté de ma culotte dans la fente de mes fesses et j’ai frappé à la porte de la salle de bains. – Papa, je dois me laver les cheveux ! Maintenant ! – Tu peux entrer, fifille ! Il était devant la glace du lavabo, une serviette nouée autour des reins. Je me suis précipitée vers la baignoire et j’ai fait couler l’eau chaude en prenant le shampooing ; je me suis baissée au-dessus de la baignoire et j’ai commencé à me laver les cheveux. Dans cette position, je savais qu’il me voyait derrière lui dans le miroir ; je sentais son regard fixé sur mes reins et mes fesses cambrées, particulièrement sur ma fesse dénudée, ce qui était le but recherché. Après deux minutes, alors que je me tortillais en me lavant soigneusement les cheveux, je lui ai dit : – Oh, Papa, ma culotte s’est coincée entre mes fesses, tu ne veux pas la remettre en place, c’est embêtant et j’ai les mains pleines de shampooing... Il n’a rien dit mais il a déposé son rasoir et s’est tourné vers moi ; il a glissé une main sous ma culotte et j’ai senti le bout de ses doigts effleurer ma petite motte pendant qu’il remettait le tissu en place, puis il a donné une toute petite claque amicale sur ma fesse en disant : – Voilà, ma chérie, c’est fait, mais ça va encore t’arriver avec une culotte si fine, tu sais... – J’aime bien cette culotte, d’ailleurs c’est un slip et c’est plus agréable que les culottes en coton. J’avais terminé mon dernier rinçage et j’ai commencé à me sécher les cheveux ; je sentais encore son regard fixé sur mon dos et mes reins plus que sur ses joues qu’il continuait à raser machinalement.

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Une jeune fille fait chanter son père pour qu'il abuse d'elle.

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Une Petite Salope de Douze Ans

J’ai douze ans et j’habite à l’ouest de Paris, dans ce qu’on appelle les beaux quartiers. J’ai toujours entendu tout le monde dire que j’étais mignonne. Ils ont raison, je suis très jolie ; je me regarde souvent dans le miroir de ma chambre et je suis contente de ce que je vois : mes cheveux blonds mettent mon visage en valeur, j’ai un petit nez et des taches de rousseur, des oreilles qui ressemblent à de petits coquillages. Mais c’est quand je me mets nue que je m’aime le plus : mes seins ne sont encore que de petits renflements mais le bout en est tout dur, mon ventre est légèrement bombé ; mais ce sont mes fesses qui attirent le plus mon regard : elles sont fermes et hautes, avec une fossette juste au-dessus de la fente ; quand je tourne la tête vers l’arrière pour les voir dans le miroir, je me mets sur la pointe des pieds et cela me fait cambrer le bas du dos ; mes fesses sont alors comme une offrande et je ne peux m’empêcher de les caresser et d’introduire un doigt dans mon vagin étroit, et parfois dans mon petit trou. Souvent, je me colle contre le miroir et j’embrasse mon reflet ; la fraîcheur du miroir excite mes tétons qui durcissent encore plus et je gémis inconsciemment en aimant la fille que j’embrasse ainsi...

Il y a quelques mois, j’ai feuilleté un magazine de mode ; j’ai vu plein de publicités pour des sous-vêtements de grandes personnes. Je me suis attardée sur les photos montrant des hommes en slip ; ils avaient toujours des pectoraux musclés mais surtout des slips gonflés, pleins de sexes que je ne pouvais qu’imaginer...

Je n’ai pas de frère et Papa est un homme pudique. J’imaginais qu’il était sans doute comme ces hommes des photos. J’ai été voir dans le dictionnaire à quoi ressemblait ce que cachaient ces slips, et c’est depuis lors que j’ai commencé toutes les nuits à rêver. Chaque fois que je voyais un homme, je ne pouvais pas m’empêcher d’imaginer ce qu’il avait dans son pantalon. De plus, les photos du magazine montraient aussi des hommes et des femmes enlacés, dans des poses qui enflammaient mon imagination. Finalement, je me suis décidée à aller voir sur Internet et il ne m’a pas fallu plus d’une semaine pour apprendre tout ce que je voulais savoir, et bien plus... Toutes les nuits, vraiment toutes les nuits, je ne m’endormais qu’après avoir imaginé de grosses mains qui se promenaient sur toutes les parties de mon corps, et mes mains qui s’emparaient d’un gros sexe, plus gros que ce que m’avait montré le dictionnaire. Je ne rêvais pas de garçons, je rêvais d’hommes comme ceux du magazine.

Un matin, Papa était dans la salle de bains en train de se raser. J’ai enlevé ma chemise de nuit et j’ai enfilé ma culotte en satin crème ; j’ai coincé un côté de ma culotte dans la fente de mes fesses et j’ai frappé à la porte de la salle de bains.

– Papa, je dois me laver les cheveux ! Maintenant ! – Tu peux entrer, fifille ! Il était devant la glace du lavabo, une serviette nouée autour des reins. Je me suis précipitée vers

la baignoire et j’ai fait couler l’eau chaude en prenant le shampooing ; je me suis baissée au-dessus de la baignoire et j’ai commencé à me laver les cheveux. Dans cette position, je savais qu’il me voyait derrière lui dans le miroir ; je sentais son regard fixé sur mes reins et mes fesses cambrées, particulièrement sur ma fesse dénudée, ce qui était le but recherché. Après deux minutes, alors que je me tortillais en me lavant soigneusement les cheveux, je lui ai dit :

– Oh, Papa, ma culotte s’est coincée entre mes fesses, tu ne veux pas la remettre en place, c’est embêtant et j’ai les mains pleines de shampooing...

Il n’a rien dit mais il a déposé son rasoir et s’est tourné vers moi ; il a glissé une main sous ma culotte et j’ai senti le bout de ses doigts effleurer ma petite motte pendant qu’il remettait le tissu en place, puis il a donné une toute petite claque amicale sur ma fesse en disant :

– Voilà, ma chérie, c’est fait, mais ça va encore t’arriver avec une culotte si fine, tu sais... – J’aime bien cette culotte, d’ailleurs c’est un slip et c’est plus agréable que les culottes en coton. J’avais terminé mon dernier rinçage et j’ai commencé à me sécher les cheveux ; je sentais encore

son regard fixé sur mon dos et mes reins plus que sur ses joues qu’il continuait à raser machinalement.

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Je me suis tournée vers lui et je me suis collée contre ses jambes ; j’ai donné des bisous sur son dos en plaçant mes mains sur son ventre.

– Tu es le plus gentil Papa du monde... Comme par accident, mes mains sont descendues jusque sur son bas-ventre et j’ai senti son sexe

à moitié érigé ; j’ai fait comme si je ne m’étais rendue compte de rien tandis qu’il se tendait sans bouger.

– J’aime tellement mon gentil Papa... Il sentait sûrement mes tétons durcis contre son dos ; mes mains appuyaient sur son sexe, comme

pour le maintenir vers le bas alors que je le sentais durcir et se redresser au contact de mes paumes. Le tout n’avait duré que trente secondes et j’ai estimé que c’était suffisant pour une première fois. J’ai quitté la salle de bains sans avoir voulu voir son visage...

– Je file, je suis presque en retard pour l’école... Ce soir-là, c’est de lui que j’ai rêvé, de son sexe que j’imaginais sous la serviette, même s’il n’avait

pas les pectoraux des hommes du magazine. Papa était dans les affaires et Maman travaillait pour une grosse boîte. Tous deux partaient

souvent en voyage d’affaires, une fois l’un, une fois l’autre, et parfois tous les deux ; une baby-sitter était alors engagée pour s’occuper de moi.

J’ai décidé que, lorsque Maman serait en voyage, je m’occuperais sérieusement de mon Papa. Un papa qui bande à la simple vue d’une fesse de sa petite fille de douze ans méritait amplement un traitement adéquat, et c’est moi qui allais le lui administrer.

Une dizaine de jours plus tard, Maman a dû partir en voyage pendant cinq jours. Pendant que nous mangions le repas du soir, Papa m’a demandé si je voulais regarder la télévision ou jouer à un jeu de société.

– La télé ? Non merci, mais j’aimerais bien qu’on joue ensemble, c’est vrai... – Tu as une préférence ? – J’ai une petite idée mais je ne sais pas si tu seras d’accord... – Je serai d’accord avec tout ce que tu veux ! – On verra bien... Tu sais, l’autre jour quand je me suis lavé les cheveux pendant que tu te rasais,

je me suis rendu compte que tu bandais après avoir remis mon slip en place. Est-ce que c’est normal qu’un père bande en regardant ou en touchant sa petite fille ?

– Mais, ma puce... – À cause de toi, depuis lors je rêve toutes les nuits en pensant à ton gros sexe que j’ai effleuré

par-dessus ta serviette. – Mais enfin... – Je rêve en pensant à tes yeux et à tes mains qui jouent sur mon corps, et en pensant au moment

où moi aussi je te toucherai partout... – Tu es folle ! – Écoute et laisse-moi terminer ! Si tu n’es pas d’accord, je dirai à Maman et à tout le monde que

tu as profité de son absence pour abuser de mon innocence, mais si tu es d’accord je ne dirai rien à personne, jamais ! C’est amusant, non ? Je crois qu’on appelle ça un paradoxe, hein !

Il est resté figé, sans pouvoir dire un mot pendant une bonne minute, puis il a essayé de me trouver des excuses.

– Je me demande où tu as été pêcher des idées pareilles ! Tu... tu as déjà été avec un garçon ? – Non, Papa, jamais ! Mais tout le monde a toujours dit que j’étais mignonne comme un cœur,

alors j’ai regardé mon corps et je me suis trouvée attirante ; je me caresse souvent, tu sais, en imaginant que c’est quelqu’un d’autre qui me touche, et je veux que ce soit toi qui me caresses maintenant, car tu es presque aussi séduisant que les hommes que je vois dans les publicités des magazines... D’ailleurs, je suis sûre que tu es en train de bander depuis que je t’ai dit mes intentions...

Comme j’avais prémédité cette petite scène, j’avais enfilé une petite robe en coton, toute simple, sous laquelle je portais uniquement mon fameux slip crème, mon slip fétiche... Je me suis levée et me suis assise sur les genoux de mon Papa, face à lui ; j’ai de suite senti son sexe gonflé dans son pantalon de toile.

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– Tu vois, j’avais raison, tu bandes rien qu’en pensant à ce que tu vas être obligé de faire à ta petite fille.

J’ai mis les bras autour de son cou et me suis laissée aller contre son torse. Il n’a pu faire autrement que de mettre les mains sous mes fesses pour éviter que je ne glisse de ses jambes.

– J’aime quand tu me tiens comme ça, Papounet, comme quand j’étais petite et que je sautais dans tes bras. Tu vois, ça n’est pas si difficile que ça de me toucher... Tu veux bien me porter jusque dans la chambre ?

Il était vaincu. Il s’est levé et c’est ainsi que nous sommes allés ensemble jusqu’à la chambre où lui et Maman m’avaient conçue douze ans auparavant. Il m’a déposée sur le lit et m’a regardée longuement.

– Tu es une vraie petite salope, ma chérie, et je vais te donner ce que tu demandes, et même plus, tu verras...

Il avait dit ces mots sur un ton gentil, mais je me demandais si je n’avais pas réveillé le cochon qui, dit-on, sommeille en tout homme...

– Enlève ta robe, il ne faut pas risquer de l’abîmer. Il s’est déshabillé, ne gardant que son boxer noir qui ne me permettait pas de bien distinguer la

forme de son sexe. J’ai ôté ma robe et l’ai jetée sur le sol puis je me suis à nouveau couchée sur le dos ; je sentais mon minou s’humidifier et j’ai pris entre les doigts mes tétons durcis pour les caresser avec vigueur.

– Couche-toi sur le ventre, ma puce... – Mais, Papa... – Fais comme je te dis, ma chérie, je sais mieux que toi ce qu’il te faut maintenant. Les choses ne se passaient pas comme je l’avais imaginé. Je pensais qu’il allait se coucher contre

moi et m’embrasser, comme dans les films, en me caressant les seins et le ventre, puis en me touchant le minou et tout ça... Je me suis mise sur le ventre sans savoir ce qui allait se passer. J’ai senti qu’il se mettait à genoux à côté de moi, et il m’a aussitôt donné une fessée dont la vigueur m’a surprise. J’ai sursauté et je lui ai crié d’arrêter.

– Mais enfin, Papa, qu’est-ce qui te prend ? – C’est pour te détendre, pupuce, tu es un peu crispée et il n’y a pas de meilleur moyen pour que

tes fesses se décrispent naturellement, tu verras... En attendant, ça me faisait mal, mais j’ai fini par apprécier le fait de me sentir à sa merci, comme

une esclave qui doit être punie. Je sanglotais, bizarrement partagée entre douleur et plaisir. Après une vingtaine de frappes, il s’est arrêté.

– Voilà, tu as pu ainsi penser à autre chose qu’à ce qui te chatouille entre les jambes ou à ce qui se balance entre les miennes. Tourne-toi.

Encore secouée de sanglots, je me suis remise sur le dos. – Tu veux toujours jouer avec moi ? Tu en es sûre, tu n’as pas changé d’avis ? – Je veux toujours, oui, mais je ne pensais pas que... – On va jouer à ma façon, parce que j’ai plus d’expérience que toi et que je sais ce qu’il faut à une

petite fille comme toi. Enlève mon boxer. Je me suis mise à genoux à côté de lui et j’ai baissé son boxer. Sa queue en a jailli comme un

diable d’une boîte, un sexe bien plus gros que je ne l’imaginais. Il m’a aidée à le débarrasser tout à fait de son boxer, puis il s’est couché sur le ventre de tout son long.

– Mets-toi derrière moi, entre mes jambes. Penche-toi en avant et écarte mes fesses de tes deux mains.

J’ai fait ce qu’il m’a demandé, mettant à jour son anus étoilé au centre de poils blonds. – Tu vas lécher et sucer mon anus, comme la bonne petite chienne que tu es en passe de devenir,

puis je m’occuperai de toi avec tout l’amour et la tendresse qu’un bon père doit à sa petite salope de fille.

Ça n’avait pas l’aspect romantique que j’avais voulu donner à notre relation, mais je sentais aux inflexions de sa voix que j’avais intérêt à me plier à sa volonté, pour l’instant du moins. Je me suis penchée vers l’œil brun qui semblait me regarder ; je voyais ainsi son périnée et la base de son

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scrotum plissé, petite bourse de velours qui me donnait envie de la malaxer entre mes doigts. Mais je me suis mise au travail commandé...

En écartant les fesses de Papa, son petit trou a pris la forme d’une boutonnière ; j’ai sorti la langue et l’ai posée sur la petite boursouflure de chair qui a tressailli à mon contact. J’ai tout d’abord léché comme si c’était une sucette, mais Papa a poussé ses fesses vers moi et j’ai compris qu’il voulait que je mette le bout de ma langue à l’intérieur. J’ai fait de ma langue une pointe et je suis parvenue à rentrer dans son tuyau ; ça avait un goût épicé, un mélange salé, poivré et il me semble un petit arrière-goût de curry, mais ce n’était pas mauvais ; je trouvais même amusant le fait que j’étais en train de nettoyer le derrière de mon Papa comme lui l’avait fait lorsque j’étais un bébé !

Je l’ai limé ainsi jusqu’à ce qu’il me dise d’arrêter et qu’il se retourne pour me prendre dans ses bras.

– Merci, ma chérie, tu es très douée pour ce genre de choses. Maintenant, on va jouer à un autre jeu, tout aussi amusant.

Pendant qu’il prononçait ces paroles, il avait glissé la main dans mon slip et l’avait posée sur ma motte en insérant un doigt entre mes petites lèvres.

– Tu es mouillée, mon petit lapin, ça veut dire que tu as bien aimé de me lécher comme je te l’avais demandé. Enlève ta culotte maintenant.

J’ai enlevé mon slip dont le fond collait un peu à ma peau et il m’a de suite prise par les hanches et m’a fait basculer sur lui ; je me suis retrouvée avec les jambes de part et d’autre de sa tête ; il m’a tirée vers le haut et j’ai senti sa bouche se poser sur ma chatte ; aussitôt, sa langue a commencé à me lécher en s’introduisant entre mes petites lèvres ; son nez poussait contre mon petit trou. Quant à moi, je me suis retrouvée nez à nez avec son sexe, et c’est machinalement que j’ai ouvert la bouche pour l’engouffrer entre mes lèvres ; j’ai titillé son gland de la langue et j’ai ainsi découvert le goût épicé du pré-sperme, en même temps que le plaisir de sentir cette colonne de chair durcir contre mon palais. Lui me léchait de plus belle, avec avidité, et sa langue passait sans relâche de ma vulve à mon œillet, me procurant des sensations inconnues.

C’était la première fois que je voyais un sexe d’homme autrement qu’en photo ou dessin, et j’étais agréablement surprise par ce contact doux et dur à la fois, et par la chaleur qui s’en dégageait. Papa avait un gros sexe que j’avais peine à prendre en bouche, mais à lui ma bouche devait procurer les mêmes sensations qu’un sexe de femme, les dents mises à part... Je le pompais avec application et je sentais en même temps sa langue qui me chatouillait la vulve et parfois le petit trou, et j’aimais les sensations que ça me procurait, comme lorsque je le faisais moi-même avec mon doigt.

Subitement, il a arrêté de me lécher et il m’a remise à côté de lui, en me faisant lâcher prise alors que je tenais encore son sexe.

– Arrête un instant, petite garce, sinon je vais éjaculer trop vite avec tes doigts et ta petite langue pointue...

Il ne m’appelait plus sa petite chérie mais sa petite garce, et bizarrement ça me faisait plaisir qu’il m’appelle comme ça, parce que c’est bien ce que j’étais...

– Tu veux avoir du plaisir ? Tu es une chienne en chaleur ? – C’est toi que je veux, Papa, surtout depuis que j’ai vu ta belle queue... – C’est ma queue que tu veux, c’est ça ? – Mon petit Papa, je rêve de ta queue depuis que je l’ai touchée dans la salle de bains, l’autre jour,

quand tu as touché mon minou en remettant ma culotte en place. – Tu es vraiment une petite salope, ma petite chérie... – Ta petite salope à toi, Papounet, rien que pour toi... et je veux sentir ta queue au fond de moi,

maintenant, sinon... – Sinon... – Sinon je dis tout à Maman... – Pas question que je te déflore, ma jolie, pas encore en tout cas... Mais tu auras quand même ma

queue au fond de toi, parce que je vais t’enculer, mon petit poussin... – ...

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Là, j’étais sciée ! Il voulait m’enculer ! J’avais vu ça sur Internet et ça m’avait intriguée, mais je pensais que seules des femmes d’expérience pouvaient se permettre ce genre de pratique.

– Papa, je ne crois pas que ce soit possible ! J’ai vu ta queue et je n’ai qu’un tout petit trou, tu sais ! – Ne t’en fais pas pour ça, je vais faire ce qu’il faut pour que ton si petit trou puisse s’adapter

parfaitement à mon sexe. Viens ici, ma chérie... – Non, tu sais... Il m’a empoignée et mise en travers de son torse. – Écarte les jambes, petite allumeuse... – Non... Il m’a donné une grande claque sur les fesses et m’a écarté les jambes de force ; la claque m’a fait

mal mais elle m’a aussi fait du bien et j’étais maintenant prête à lui obéir. Il a craché entre mes fesses et a mis un doigt dans mon petit trou. Il l’a tourné dans tous les sens puis il l’a retiré et j’ai senti qu’il mettait ses doigts en bouche pour les humidifier ; j’ai compris qu’il allait mettre alors deux doigts ensemble, et c’est ce qu’il a fait ; là, ça m’a fait un peu mal mais c’est passé très vite. Au fond, c’était une sensation agréable de se sentir fouillée ainsi. Je sentais mon anus s’élargir progressivement et je savais que j’allais sans problème pouvoir encaisser trois doigts. J’étais décontractée et ça rendait les choses plus faciles. Je ne savais pas que mon petit trou pouvait s’élargir autant, mais après tout quand on pousse sa crotte c’est aussi ce qui se passe...

Papa est de suite passé à quatre doigts mais il ne les a pas enfoncés bien loin, il les a fait tourner en les enfonçant juste un peu.

– Eh bien, ma chérie, on dirait que tu es vraiment faite pour être une bonne petite enculée ! Tu as une rondelle extrêmement souple et tu vas voir que ma grosse queue va facilement y trouver sa place !

Maintenant, il m’appelait sa « bonne petite enculée », et ça me faisait encore plus d’effet que quand il disait garce ou salope. J’ai cambré les reins pour qu’il sache que j’étais prête à tout ce qu’il pourrait me faire. Mon front était brûlant et mes joues toutes rouges en pensant au tableau qu’il avait sous les yeux, et mon petit trou palpitait dans l’attente de sa grosse queue, mais j’ai voulu encore un peu le taquiner...

– Papa, avant de me trouer la rondelle, est-ce que tu pourrais encore me donner quelques bonnes claques, s’il te plaît ? Parce que j’ai l’impression que le les mérite...

– Oh oui, Ève, avec grand plaisir ! Il a aussitôt retiré ses doigts et m’a asséné une fessée bien plus forte que ce à quoi je m’attendais,

m’amenant des larmes de douleur, jusqu’à ce que je lui demande d’arrêter. – Voilà, sale gamine, avec ces bonnes claques tes fesses sont attendries comme il faut, ce qui

rendra ton enculade encore plus facile et plus agréable à la fois pour toi et pour moi, tu verras ! Maintenant, mets-toi à genoux en écartant les jambes et pose la tête sur le drap ; creuse bien le dos pour que ton cul essaie de regarder le plafond. C’est ça, très bien !

Papa s’est mis debout derrière moi, ses jambes entourant les miennes, il a plié les genoux et j’ai senti le bout de son sexe se poser près de mon petit trou ; il a craché plusieurs fois dans mon anus ouvert, et sur sa queue, sans doute, puis il a placé son gland sur ma rosette et a poussé pour me pénétrer. La peau autour de mon petit trou a voulu me rentrer dedans et ça m’a fait mal au point de me faire crier ; il a encore poussé mais ça ne voulait pas rentrer.

– Attends, fifille, ça fait mal ! – Oui, en effet, ça me fait mal ! – Non, je veux dire que ça me fait mal à moi ! Je vais devoir employer du lubrifiant. Attends ! Il est descendu du lit et a ouvert le tiroir de la table de chevet. Il est revenu de suite et j’ai senti

couler un liquide dans mon petit trou ; d’un doigt, il l’a étendu à l’intérieur de mon anneau. – Voilà, ça ira mieux comme ça... Il a repris sa position, son gland sur ma rosette, puis il a poussé et il s’est enfoncé lentement en

moi. Quelle sensation extraordinaire ! Jamais je n’aurais cru ressentir autant de plaisir à sentir s’enfoncer dans mes entrailles cette barre d’acier, la queue de mon petit Papa chéri ! Il progressait centimètre par centimètre et j’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais ! Je poussais des gémissements

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rauques, continus, à mesure qu’il s’enfonçait en moi. Il est arrivé ainsi sans s’arrêter au maximum de ce qui était possible ; je sentais les poils de son pubis qui me chatouillaient la raie des fesses. Puis il s’est retiré presque tout à fait et s’est réintroduit, et il a commencé de longs et puissants va-et-vient, en accélérant progressivement la cadence.

Je me sentais devenir folle ! J’avais dans les yeux des images de béliers d’acier tentant d’envahir un château-fort... Ses mains s’agrippaient à mes hanches et il me tirait contre lui chaque fois qu’il s’enfonçait, pour que notre accouplement se fasse au plus profond.

Après quelques minutes, il a diminué la cadence jusqu’à l’arrêt complet. Il m’a alors tirée par les épaules jusqu’à ce que mon torse soit presque à la verticale, et dans le même temps il a mis ses mains sous mes cuisses.

– Mets tes mains dans ma nuque, ma chérie. Je ne comprenais pas ce qu’il voulait faire, mais j’ai obéi. Il s’est alors redressé tout à fait, sa

queue toujours dans mon cul, et m’a fait coulisser sur son sexe en position debout. Mon dos frottait contre son torse et mes fesses contre son ventre. J’avais l’impression d’être une poupée entre ses mains, et je ressentais ainsi mieux encore la puissance de son sexe sur lequel je montais et descendais par la seule force de ses bras. Mon cul était en feu, et il me semblait être déchiré en deux par cette douleur bienfaisante. Mon corps tout entier n’était que jouissance : mes tétons me faisaient mal à force d’être durs et je sentais l’odeur de la cyprine dont ma chatte était inondée.

J’ai senti que le sexe qui me perforait gonflait et durcissait encore et j’ai su inconsciemment que le moment approchait où Papa allait décharger en moi. En effet, tout son corps s’est tendu alors qu’il était tout au fond de moi, et des jets de sperme brûlant se sont écoulés dans mes entrailles. Nous étions tous les deux tétanisés, nos muscles tendus comme de la pierre pendant cet écoulement qui semblait ne jamais devoir finir. Enfin, nos corps se sont détendus et il s’est accroupi puis nous a couchés sur le drap, toujours emboîtés l’un dans l’autre.

Nous sommes restés ainsi sans bouger pendant plusieurs minutes ; il était lourd mais il faisait attention de ne pas m’écraser sous son poids. Sa queue était toujours fichée en moi et je m’imaginais être un poulet à la broche ! Enfin, il a retiré de mon rectum son sexe encore rigide et il s’est couché sur le dos à côté de moi en soupirant. Je sentais de l’air frais sur mon petit trou qui semblait être resté ouvert. Il m’a prise par les cheveux qui me couvraient la nuque.

– Dernière étape, fifille ! Il va falloir nettoyer tout ça ! Il m’a fait pivoter afin que mon visage se retrouve à hauteur de sa queue gluante de sperme. J’ai

compris de suite ce qu’il voulait. Je me suis penchée vers son sexe dont le bout était tout rouge et couvert de traînées blanches. Ça dégageait une odeur forte qui me faisait penser à du bois pourri, mais j’ai voulu lui prouver que j’étais prête à tout pour assumer mon statut de « petite salope à son papa ». J’ai embouché son gland sans hésiter et l’ai soigneusement léché, puis ma langue a nettoyé consciencieusement toute la hampe toujours dressée. Pendant ce temps, il me fourrageait entre les cuisses, passant de ma motte ruisselante de cyprine à mon anus d’où s’écoulait son sperme.

– C’est bien, mon amour, tu peux arrêter maintenant, viens embrasser ton papounet. Je me suis couchée sur lui et nous avons échangé un baiser passionné en mélangeant nos odeurs.

Il a senti mes tétons durcis sur sa poitrine. – Aïe, ça fait mal, tes tétines toutes dures ! Elles sont toujours comme ça ? – Seulement quand je suis excitée... – Tu es encore excitée, petite garce ? Attends... Il m’a remise sur le dos à côté de lui et s’est penché sur moi. Il a posé une main sur un de mes

seins et l’autre sur mon minou, puis il a commencé à serrer, d’abord doucement puis de plus en plus fort. J’ai commencé à sangloter. Je me suis arquée en poussant un cri, de jouissance mêlée de douleur. Je me touchais régulièrement, je l’ai dit, mais jamais je ne m’étais pincé les seins aussi fort et jamais je ne m’étais empoigné la motte avec une telle violence. Je ne croyais pas que la douleur puisse faire autant de bien !

Voyant la façon dont je réagissais, il a serré encore un peu plus fort, puis il a relâché sa pression. Il a pris un de mes tétons en bouche et l’a mordillé du bout des dents, tandis que la main qui me serrait la motte a saisi mon clitoris et l’a fait rouler entre deux doigts. Une onde de chaleur m’a parcourue

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de haut en bas, mon dos s’est arqué et j’ai poussé un cri rauque annonciateur de mon orgasme imminent. Il a de nouveau serré et mordu plus fort et je me suis aussitôt tendue à l’extrême, arcboutée sur la nuque et les talons, les yeux emplis de larmes de douleur, submergée par un orgasme comme je n’en avais jamais eu, une longue et profonde jouissance après laquelle je suis retombée sur le lit, épuisée et à la limite de l’inconscience.

Papa est resté à côté de moi, il m’avait lâchée, seule une de ses mains restait posée sur mon ventre, près de mon nombril. Il sentait ainsi les palpitations de mon corps meurtri...

J’étais enfin apaisée. Papa m’a pris dans ses bras, avec une tendresse qu’il n’avait plus montrée depuis que nous nous trouvions sur ce lit. Il m’a embrassée gentiment.

– Alors, ma puce, j’espère que j’ai bien rempli mon contrat et que tu ne te croiras pas obligée de dire à maman et au monde entier que j’ai abusé de toi ?

– Dire à Maman... ? Oh, je crois bien que j’ai menti sur ce coup-là... Je savais bien que tu allais accepter de t’occuper de moi pendant que Maman était en voyage. D’ailleurs, je crois qu’elle ne rentre que dans quatre jours, non ? Il y a sûrement encore des tas de choses que tu peux m’apprendre...

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