Automne - Hiver 25 novembre 2009...

25 novembre 2009 Automne - Hiver

L’ACTIF

Dans ce numéro :

J’avance sur le pont de ma vie

7

La gestion du temps 12

Alimentation santé pour l’hiver

13

MMMMÉDAILLEÉDAILLEÉDAILLEÉDAILLE DDDD’’’’OROROROR POURPOURPOURPOUR L’ACTE L’ACTE L’ACTE L’ACTE

Agora sur l’aphasie, une première au Québec très réussie. page 9

Journal de l’ACTE Association des Accidentés Cérébro-vasculaires

et Traumatisés crâniens de l’Estrie L’Asso

LES RÉFLEXIONS DE Maya et Balzac

page 7page 7page 7page 7

Savoureuse… À déguster ! Des barres relaxantes. La vie à travers les films.

FENÊTRES SUR L’ACTE

L’ACTE - Qui sommes-nous ?

NNNNOTREOTREOTREOTRE LOGOLOGOLOGOLOGO

L ors du 20e anniversaire de l’ACTE,

notre organisation décide de revoir

son image. On demande donc la collaboration de pro-

fessionnels, soit la firme Tatou Communication. Après

un travail de recherche et d’approfondissement, on

nous propose 4 ou 5 logos. Le conseil d’administration

accepte celui que vous connaissez depuis près de

5 ans.

L’audace de ce logo réside dans la représentation

68, boul. Jacques-Cartier Nord Sherbrooke (Québec) J1J 2Z8 Tél.: 819-821-2799 Télec.: 819-821-4599 [email protected] www.acteestrie.com

Dépôt légal : Bibliothèque Nationale du Québec et du Canada. ISSN 1488-4453

Sommaire :

Éditorial :Éditorial :Éditorial :Éditorial :

Les propos du président Les propos du président Les propos du président Les propos du président 3 3 3 3

Les propos de la directrice générale 4 Les propos de la directrice générale 4 Les propos de la directrice générale 4 Les propos de la directrice générale 4

Regard sur l’ACTE :Regard sur l’ACTE :Regard sur l’ACTE :Regard sur l’ACTE :

Actualités Actualités Actualités Actualités 5 5 5 5

Ateliers Ateliers Ateliers Ateliers 6 6 6 6

Biographie Biographie Biographie Biographie 8 8 8 8

Intervention Intervention Intervention Intervention 9 9 9 9

Réseau communautaireRéseau communautaireRéseau communautaireRéseau communautaire 10 10 10 10

SantéSantéSantéSanté 11 11 11 11

SpiritualitéSpiritualitéSpiritualitéSpiritualité 14 14 14 14

OpinionsOpinionsOpinionsOpinions 16 16 16 16

Sports et loisirsSports et loisirsSports et loisirsSports et loisirs 17 17 17 17

Arts et spectaclesArts et spectaclesArts et spectaclesArts et spectacles 18 18 18 18

Pause détentePause détentePause détentePause détente 19 19 19 19

Société de l’assurance

automobile du Québec

(SAAQ).

La reconnaissance régio-

nale implique que l’ACTE

couvre l’ensemble du

territoire de l’Estrie. Par

exemple, les intervenan-

tes peuvent se déplacer

à domicile afin de ren-

contrer les personnes

AVC et TCC intéressées

par nos services.

NNNNOSOSOSOS OBJECTIFSOBJECTIFSOBJECTIFSOBJECTIFS

Regrouper et soutenir les

personnes AVC, TCC et

leurs proches, leur offrir

un service d’écoute et de

soutien; par le biais de

différentes activités, fa-

voriser la participation

sociale de la personne

AVC/TCC, offrir un milieu

de vie dynamique qui

permet d’échanger et de

s’entraider, maintenir les

acquis de réadaptation

et actualiser le potentiel

de la personne et ses

intérêts, et finalement,

promouvoir et défendre

leurs intérêts et leurs

droits.

L’Association des acci-

d e n t é s c é r é b r o -

vasculaires et traumati-

sés crâniens de l’Estrie

est un organisme com-

munautaire, créé en

1984, qui regroupe des

personnes accidentées

vasculaires cérébrales

(AVC), des personnes

traumatisées cranio-

cérébrales (TCC) et leurs

proches. L’ACTE possède

une vocation régionale

reconnue par l’Agence de

santé et de services so-

ciaux de l’Estrie et de la

d’une tortue composée d’une mosaïque de petits

fragments. La tortue est un reptile qui a une espé-

rance de vie hors du commun. Depuis plus de 200

millions d’années, la tortue s’est adaptée à la vie

dans les océans, les cours d’eau, les lacs, les tourbiè-

res, etc. La tortue est de réputation lente, presqu’éter-

nelle et possède une grande capacité d’adaptation.

« Lentement, mais sûrement ».

Quant à la mosaïque, elle évoque le fait que, regrou-

pés, nous sommes capables de grandes choses !

L’ACTIF en couleurs sur www.acteestrie.comL’ACTIF en couleurs sur www.acteestrie.comL’ACTIF en couleurs sur www.acteestrie.comL’ACTIF en couleurs sur www.acteestrie.com

Les propos du président

EDITORIAL

cateur physique. De leurs propos, je retiens surtout l’importance de la diversité des apprentissages lors de la pratique de différents sports. Je tiens à remercier madame Hélène Lamoureux, directrice générale du RAPAQ, ainsi que mes collègues du comité organisa-teur. Au printemps dernier, lors du Défi Sportif pour person-nes handicapées, l’équipe de hockey cosom de l’ACTE est revenue, pour la 2e fois en quatre ans, avec les grands honneurs (médaille d’ormédaille d’ormédaille d’ormédaille d’or). Depuis cette compé-tition, notre victoire n’a pu encore être publicisée dans notre journal. Je profite donc de cette occasion pour rappeler la générosité de nos donateurs, car c’est grâce à leur soutien financier que nous avons la possi-bilité de participer à cet événement si important pour nous. De plus, je voudrais féliciter mes partenaires de jeu pour l’effort qu’ils ont fourni et l’esprit d’équipe positif qui s’en dégage. Merci beaucoup. Jacques Pomerleau

À l’automne, un nouveau petit comité Journal s’est formé pour transformer L’ACTIF que nous connais-sons en un journal plus à la mode. Avec de nouvelles rubriques et une nouvelle mise en page, notre journal devrait changer d'allure, mais c’est un fait que cette transformation se fera graduellement. Ce comité Journal qui a accepté ce nouveau défi est composé de membres de l’ACTE : M. Roger Cadieux, Mme Lina Jetté, M. Jean-Michel Valiquette, et moi-même. Si no-tre nouveau journal vous attire et que vous êtes inté-ressés à venir nous offrir vos idées et votre collabora-tion, peut-être que notre petit comité deviendra un grand comité! L’invitation est lancée! Durant le mois d’octobre dernier, dans le cadre du 10e anniversaire de la fondation du RAPAQ (regroupement des associations de personnes apha-siques du Québec), j’ai eu la chance de participer à l’Agora de l’aphasie, à Montréal. J’étais à ce colloque en tant que membre du conseil d’administration du RAPAQ. Sur deux jours, j’ai pu écouter une vingtaine de conférenciers tous aussi intéressants les uns que les autres. J’ai apprécié tout particulièrement une présentation portant le titre : L’activité physique comme outil de communication donnée par Mme Lucie Duchaine, kinésiologue et M. Pierre Crête, édu-

UNE AUTRE RÉUSSITE !UNE AUTRE RÉUSSITE !UNE AUTRE RÉUSSITE !UNE AUTRE RÉUSSITE !

Tel que mentionné, pour une 4e année consécutive, l’équipe de hockey cosom s’est démarquée lors du Défi Sportif qui a eu lieu en avril dernier. Ils se sont mérités la médaille d’ormédaille d’ormédaille d’ormédaille d’or, après avoir remporté l’or en 2006, le bronze en 2007 et l’argent en 2008.

Toutes nos félicitations!

Nous voulons également remercier nos précieux comman-ditaires qui, grâce à leur soutien financier, ont largement

contribué au succès de ce tournoi. Nous vous les présentons et vous pourrez les identifier pendant la lecture de ce numéro à l’aide de ce logo.

CCCCOMMANDITAIREOMMANDITAIREOMMANDITAIREOMMANDITAIRE


Les propos de la directrice générale

EDITORIAL

vue les rôles et responsabilités de chacun. Deux journées très «ressourçantes» aux dires de tous. Nous serons en mesure de faire connaître le fruit de ce travail aux membres et aux partenaires d’ici la fin de l’année.

Parlant de partenaires, nous poursui-vons notre travail de rayonnement. Nous avons rencontré toutes les équi-pes des programmes du Centre de réadaptation Estrie avec lesquelles nous collaborons. Nous préparerons d’ici la fin de l’année une visite inter-organisations entre le CHUS, le CRE et l’ACTE pour les nouveaux membres du personnel. De plus, nous traite-rons, avec ces partenaires, des méca-nismes de références pour les person-nes TCC modérées.

Concernant l’incontournable question du financement, l’ACTE s’implique au sein d’un comité sur le travail des

organismes communautaires ayant une vocation régionale, et le finance-ment provenant de l’Agence.

Côté activités, la session va bon train. Les taux de participation sont élo-quents. Notre capacité d’accueil dans ces groupes est atteinte à environ 90 %, et ce, malgré les changements d’horaire de l’automne. On a égale-ment cherché à relancer ce précieux outil d’implication, de visibilité et de sensibilisation qu’est l’ACTIF. Un comi-té formé de membres de l’ACTE a tra-vaillé activement, sans jeu de mots, à revamper ce journal que vous avez entre les mains.

Bref, à l’aube de nos 25 ans, l’ACTE démontre une bonne santé. Nous ac-cueillons jour après jour des membres et des usagers qui sont heureux de se retrouver et de participer, soutenus par une équipe de travailleuses et de travailleurs engagés et, sans l’ombre d’un doute, tout aussi heureux de ren-trer au boulot! Bon automne [email protected]

La réorganisation des services clini-ques de l’ACTE va bon train. Dans la dernière année, nous avons revu les processus d’intégration, de suivi et de relance. Nous travaillons maintenant à l’implantation de ces nouveaux pro-cessus.

En juin dernier, l’équipe clinique s’est rassemblée pendant deux jours pour une discussion de fond sur les valeurs

qui guident notre travail et nos inter-ventions, et nous avons passé en re-

CommanditaireCommanditaireCommanditaireCommanditaire


Un homme Un homme Un homme Un homme

n’est jamais aussi grandn’est jamais aussi grandn’est jamais aussi grandn’est jamais aussi grand

que lorsqu’il est à genoux que lorsqu’il est à genoux que lorsqu’il est à genoux que lorsqu’il est à genoux

pour aider un enfant.pour aider un enfant.pour aider un enfant.pour aider un enfant.


D ans le cadre de son 25e anni-versaire, l’A.C.T.E. est fière

de mettre en valeur une création collective exceptionnelle. Les murs extérieurs de l’ACTE sont d’autant plus « habités » depuis l’inaugura-tion d’une superbe murale hyper-réaliste de plus de 200 pieds carrés. Sous le thème «««« Fenêtres Fenêtres Fenêtres Fenêtres sur l’ACTEsur l’ACTEsur l’ACTEsur l’ACTE », », », », vous pourrez découvrir le dynamisme des activités se dé-roulant au 68 Jacques-Cartier. De

magnifiques fenêtres ouvertes sur la réalité de personnes qui se sont réinventées une vie après un acci-dent vasculaire cérébral ou un traumatisme craniocérébral.

Cette œuvre est d’autant plus éton-nante qu’elle a été réalisée par un

groupe d’artistes membres de l’ACTE, sous la supervision d’Annie Bilodeau (muraliste d’expérience). Ils ont travaillé tout l’été, en passant de la scénarisation à la prise de photos, à l’infographie, au traçage des personnages et des ombrages et, bien sûr, à la pein-ture, la peinture et encore la peinture!!!

Un engagement communautaire impressionnant! Félicitations à tous les participants, tout particulière-ment à Martine l’Espérance qui a passé une bonne partie de son été avec un pinceau à la main!

L’inauguration a eu lieu en deux temps, mercredi 21 octobre 2009 et jeudi 22 octobre, et a attiré l’at-tention médiatique de façon impor-tante (presse écrite et télévisée). La murale continue à faire parler d’elle… Remarquez les passants qui s’arrêtent tout naturellement pour admirer l’œuvre. Voici un évé-nement qui prouve que les grandes réalisations sont possibles, même après avoir été victime d’un AVC ou d’un traumatisme craniocérébral.

Fenêtres sur l’ACTE par Isabelle Duquette

REGARD SUR L’ACTE

ACTUALITÉS

FENÊTRES OUVERTES SUR L’ACTION...FENÊTRES OUVERTES SUR L’ACTION...FENÊTRES OUVERTES SUR L’ACTION...FENÊTRES OUVERTES SUR L’ACTION...

… d’une intervenante offrant du soutien à une membre

et un groupe de hockeyeurs heureux de festoyer ensemble

...d’artistes à l’œuvre qui partagent une même passion

et qui découvrent des talents insoupçonnés

...des activités de travail adaptées aux capacités des usagers,

soutenus et valorisés par l’intervenante travail


Saviez-vous que c’est seule-ment depuis 2 ans que l’ate-lier de travail appartient à l’ACTE? Auparavant, c’était l’atelier Jacques-Cartier du Centre de Réadaptation Es-trie (CRE). Au départ, pour certains, ce changement était inquiétant. Par contre, grâce au professionnalisme et à la collaboration de cha-cun, la transition s’est faite tout en douceur. Les usagers, avec l’aide du personnel, ont fait preuve

d’une belle capacité d’adap-tation face à ces change-ments. Nous avons conservé la presque totalité de nos travailleurs et nous sommes fiers que l’atelier ait retrouvé sa fonction première c’est-à-dire : activité centrée sur le travail. Nous pouvons même constater une amélioration de la production, car celle-ci est en hausse. Un projet pilote pour intégrer une nouvelle tâche de travail est en train de se mettre en

branle. On vous en reparle dans le prochain numéro.

Quoi de neuf aux activités de travail ?

REGARD SUR L’ACTE

ATELIERS Question de vo

us creuser les

méninges :

Qu’est-ce qui

est au milieu du

matin et à la fin

de la nuit ?

Voir réponse

à la page 20

lire quatre des poèmes sé-lectionnés parmi tous ceux qu’il a écrits avant son AVC. Certains de ces poèmes sont visionnaires, un autre rend hommage à son pro-pre père.

Un pur plaisir à lire!

Mercredi le 7 octobre der-nier, les participants et les participantes du groupe Je trouve mes mots (groupe de personnes aphasiques) sont partis, en voiture et en Van, visiter un ancien mem-bre du groupe. François Thibeault et sa femme Louise ont accueilli le groupe à leur domicile de Standstead.

Pour honorer M. Thibeault, ses enfants ont préparé sur son terrain un sentier du poète. Les visiteurs ont pu

Tout au long du sentier, les visiteurs s’entraidaient pour pousser un fauteuil ou pour soutenir une démarche mal équilibrée. La joyeuse bande s’est retrouvée à l’intérieur où des beignes maison et du café frais les attendaient. Pour souligner l’anniversaire de l’un d’en-tre nous, nous avons eu la joie d’entendre la voix de ténor de François, lui chan-ter des vœux en notre nom à tous.

Chacune des personnes

Visite chez un poète… par Jean-Sylvain Pineault et Danielle Maynard, intervenante

En terminant, nous tenons à souligner la participation aux ateliers de travail de Michel Godbout et Laurent Croteau. Voilà plus de 35 ans35 ans35 ans35 ans que Mi-chel et Laurent viennent don-ner de leur temps en faisant de l’excellent travail. BRAVO BRAVO BRAVO BRAVO À VOUS DEUX !À VOUS DEUX !À VOUS DEUX !À VOUS DEUX !

Bonne journée !Bonne journée !Bonne journée !Bonne journée ! Marie-France Lord, Georges Beaudry

présentes a apprécié gran-dement cette sortie peu banale : elles étaient contentes de pouvoir com-muniquer d’une autre fa-çon. Il faudra se reprendre!

Merci à François et Louise.

sommes allés au parc Blanchard, participer à la marche des couleurs. Nous étions une vingtaine de personnes à profiter du soleil et de l’aménagement du parc. La piste cyclable, entourée d’arbres abritant une variété d’oiseaux,

Le 25 septembre, dans le cadre des activités du ven-dredi après-midi, nous

permet que les personnes en fauteuil roulant ou utilisant des cannes ou des marchettes aient du plaisir à se promener sans diffi-culté. Les gens ont apprécié cette sortie : c’était une véritable explosion de couleurs et la température

Explosion multicolore à Sherbrooke Par Roger Cadieux

était idéale pour une belle randonnée en groupe. Nous sommes fiers d’avoir un espace si près de chez nous, et profiter de la nature en plein cœur de ville. C’est donc une activité à refaire, qui pourrait être adaptée selon les saisons.

Georges Beaudry, instructeur, Michel Godbout, François Joly et Marie-France Lord, intervenante


Bonjour à tous !

J’ai le goût de partager ce que

mes rencontres à l’ACTE avec le

groupe des proches m’apportent

comme aidante-naturelle. Je

vais à l’ACTE depuis 2005 et je

dois dire qu’au début, j’étais très

en colère contre la vie et mon

verre d’eau était très plein !

Toutes ces rencontres, animées

par Danielle Maynard, m’ont

permises:

◊ D’avoir la chance d’être écou-

tée par des pairs; ◊ D’être comprise dans ma

réalité et de partager le désar-roi qui parfois m’habite;

◊ De partager l’incompréhen-sion des gens de mon entourage;

◊ De trouver un sens à ma vie; ◊ De me donner le droit d’avoir

une convention collective; ◊ D’assister à plusieurs confé-

rences.

Mon verre d’eau s’est peu à peu

vidé et a laissé la place à des

paroles encourageantes et des

conseils enrichissants. J’ai pris

conscience que la personne

atteinte d’AVC et TCC n’avait

plus, elle aussi, la même vie et

cela, on a tendance à l’oublier.

La vie peut basculer à tout mo-

ment. Pourquoi ne pas en profi-

ter à chaque instant ? Parfois,

juste écouter ce qu’une autre

personne vit nous fait du bien.

CROYEZ-MOI, IL Y A TOUT À GAGNER À

VENIR À L’ACTE.

Monique Forget Pour le Groupe des proches

J’avance sur le pont de ma vie

REGARD SUR L’ACTE

SAVEZ-VOUS QUE…

Vos intervenantes sont

disponibles tout au long de

l’année pour répondre à vos

interrogations, vous offrir du

soutien ponctuel, vous recevoir

en rencontre individuelle au

besoin et ceci, tout au long de

l’année.

N’hésitez pas à communiquer

avec la vôtre. Celle-ci se fera

un plaisir de prendre rendez-

vous avec vous pour fixer des

objectifs réalistes à travailler.

Vos intervenantes

Danielle Maynard, poste 222

Chantal Ross, poste 224

MAYA et BALZAC

Aphasie, vous dites ? Selon la brochure éditée par le MSSS du Québec, Vous connaissez une personne aphasi-

que? (2007), l’aphasie est la perte totale ou partielle de la capacité à communiquer. Plu-

sieurs formes du langage peuvent être touchées : la conversation, la lecture, l’écriture, la

compréhension, etc. Ce dommage résulte le plus souvent d’un accident vasculaire céré-

bral (AVC), d’une tumeur cérébrale, d’un traumatisme cranio-cérébral (TCC) ou même

d’une infection au niveau du cerveau.


Découvrons Martine L’Espérance par Lina Jetté ans, c’est un endroit pour les person-nes âgées. Ayant peu d’expérience de travail et sans revenu, elle doit deman-der l’aide sociale. C’est une réalité pénible à accepter. Que de bouleverse-ments en si peu de temps : l’AVC, quit-ter ses études, la perte de ses amis, une grosse peine d’amour, l’aide so-ciale. Ces lourds changements la font sombrer dans une dépression. Elle se questionne sur sa nouvelle vie : « Qui suis-je? Que fais-je? » Elle met 5 ans à s’en remettre.

En 1997, elle retourne suivre une ré-éducation au CRE où on lui conseille fortement d’aller à l’ACTE. Là, ils lui font comprendre qu’elle seule peut s’en sortir, eux ne font que la guider. À l’ACTE, elle rencontre « des gens vrais, pas de cachettes » et elle n’a pas peur d’eux. C’est quand même difficile de se retrouver en face de gens qui ont un vécu similaire au sien. Ayant gagné un peu de confiance, elle s’établit en ap-partement.

En mars 1998, la rencontre d’Érik Car-dinal lors d’une sortie avec un groupe de l’ACTE, change encore une fois sa vie. C’est le coup de foudre, un « flash » d’à peine 2 secondes durant lesquelles elle voit se dérouler toute leur vie en-semble. Deux mois passés à s’appri-voiser, elle l’invite chez elle prendre un café : ce 5 mai reste une date mémo-rable, car leur histoire d’amour devient officielle. Ils acceptent réciproquement leurs difficultés et leurs limites.

Une plus grande stabilité de leur rela-tion les amène à prendre un tournant majeur, et en juin 2002, ils se marient et font un voyage à Québec. « Ça vaut la peine de travailler fort et d’avoir souffert, car maintenant nous appré-cions notre vie un peu plus chaque jour », dit Martine avec un sourire. Mais face à leur rêve de former une famille, ils ont de grandes décisions à prendre, compte tenu de leurs limitations physi-ques et de leur fatigabilité. Le 8 juillet 2004, leur rêve se réalise : Samuel, un

beau bébé, vient se joindre à la fa-mille. Ils font construire leur maison et y déménagent en 2005.

En 2008, elle suit un cours de service à la clientèle : c’est la première fois qu’elle termine une formation depuis son AVC. Elle respecte ses limites : étant donné que les emplois offerts dans ce domaine sont souvent à temps plein, elle prend la décision de s’occuper d’elle, de sa famille et de s’impliquer auprès de la fondation de l’école de Samuel. Cependant, elle ne ferme pas la porte à un emploi, mal-gré les contraintes qui correspondent peu à sa philosophie familiale ac-tuelle.

Cet automne, elle participe à l’atelier Je m’implique, donné à l’ACTE. Elle trouve gratifiante cette activité, car cela lui permet de passer par-dessus l’isolement, d’affronter le stress, d’ê-tre en action, et de connaître les éta-pes menant à la réalisation d’un pro-jet de vie à travers le bénévolat. Elle participe aussi à l’atelier d’art, une passion de son enfance, et rencontre ainsi des gens ayant les mêmes aspi-rations et limites que les siennes. Au-jourd’hui, elle accepte de participer à de grands projets comme la murale de l’ACTE et s’implique aussi en colla-borant dans le journal de l’organisme. Elle apprécie les intervenantes qui lui offrent d’autres moyens pour lâcher prise, vivre le moment présent, abat-tre les cloisons et apprécier ce que la vie lui donne. Elle vit en accord avec l’idée que les pensées positives favori-sent le mieux-être.

U ne troisième fille de la famille L’Es-pérance naît à Montréal le 21 octo-

bre 1972, Martine. Plusieurs déménage-ments vont jalonner son enfance : son père, gérant de magasin, est transféré souvent. Elle vit à Québec de l’âge de 3 à 5 ans. Prochaines étapes : Sorel, Sept-Îles et encore une fois Sorel où elle ter-mine ses études de niveau secondaire et collégial. Le déménagement à Sher-brooke est difficile à vivre pour une ado-lescente timide et réservée.

Martine avoue être sage, ta-quine à ses heu-res avec les gens qu’elle connaît bien. Même pe-tite, elle était grande, donc pas besoin de s’imposer. Elle

aurait pourtant aimé mesurer 4 pieds et 2 pouces afin de passer inaperçue. Ain-si, on voit que souvent, les grandes vou-draient être petites et les petites au-raient voulu être grandes.

Elle s’inscrit à l’université de Sherbrooke en information et orientation profession-nelle. Le 9 octobre 1992, son réveil s’ac-compagne d’un mal de tête. Au centre de conditionnement physique de l’uni-versité, elle commence à sentir une pression dans la nuque comme si une balle de tennis essayait de passer dans une paille. N’allant vraiment pas bien, elle s’étend sur le banc du vestiaire et l’on appelle l’ambulance. À l’hôpital, on diagnostique un accident vasculaire cérébral (AVC), un caillot au cerveau qui se dissout fort heureusement. Les mé-decins ont dit que probablement une grande nervosité a pu allumer la mèche et fait basculer sa vie. À un moment donné, elle sent un poids sur l’abdomen et s’aperçoit que sa main gauche est inerte et lourde; elle se met à pleurer.

Elle fait un peu de réadaptation au CHUS puis va à d’Youville en rééduca-tion. Pour Martine, ayant à peine 20

REGARD SUR L’ACTE

BIOGRAPHIE


À Montréal, le mois dernier, a eu lieu le premier agora sur l’aphasie dans le cadre du 10e anniversaire du RAPAQ (Regroupement des associations des personnes aphasiques du Québec). Presque toutes les régions du Québec y étaient représentées et la France y avait également une délégation. Je vous présente un résumé de la confé-rence de la Dre Bernadette Ska, pro-fesseure titulaire à l’École d’orthopho-nie et d’audiologie de l’Université de Montréal et chercheuse au Centre de recherche de l’Institut universitaire de gériatrie de Montréal.

Comment le cerveau de l’aphasique Comment le cerveau de l’aphasique Comment le cerveau de l’aphasique Comment le cerveau de l’aphasique récupère après un AVCrécupère après un AVCrécupère après un AVCrécupère après un AVC

Un accident vasculaire cérébral (AVC) se présente sous deux formes diffé-rentes : ischémieschémieschémieschémie ou blocage d’un vaisseau sanguin qui empêche une partie du cerveau de recevoir l’apport en oxygène dont il a besoin (80 % des AVC sont ischémiques), et la rupture rupture rupture rupture d’un vaisseau sanguind’un vaisseau sanguind’un vaisseau sanguind’un vaisseau sanguin qui provoque une hémorragie dans le cerveau. Dans les deux cas, des cellules sont détruites. 20 % des AVC sont hémor-ragiques. Dans le cas des personnes aphasiques, l’impact se sera produit au lobe frontal ou temporal et affec-tera la parole.

À la suite d’un AVC, il y a récupération du cerveau. Cette capacité de récupé-rer s’appelle la plasticité du cerveauplasticité du cerveauplasticité du cerveauplasticité du cerveau : c’est la réorganisation de connexions nouvelles ou anciennes. La récupéra-tion du cerveau se fait en 3 phases :

la phase aiguë la phase aiguë la phase aiguë la phase aiguë (1 à 4 sem.) Il y a diminution de l’œdème (enflure). La circulation autour de la lésion va reprendre plus ou moins rapidement.

la phase subaiguë la phase subaiguë la phase subaiguë la phase subaiguë (6 à 12 mois). Il y a réactivation des connexions les plus éloignées de la lésion. Une partie de la récupération se fait de façon spon-tanée et une autre partie se fait par apprentissage en cours de réadapta-tion.

la phase chronique (à long terme) la phase chronique (à long terme) la phase chronique (à long terme) la phase chronique (à long terme) La réorganisation est plus lente et se fait avec de l’aide. Même après plu-sieurs années, on pourra toujours voir des améliorations.

La récupération est influencée par des facteurs neurobiologiques, individuels et psychosociaux.

I. FI. FI. FI. FACTEURSACTEURSACTEURSACTEURS NEUROBIOLOGIQUESNEUROBIOLOGIQUESNEUROBIOLOGIQUESNEUROBIOLOGIQUES : : : : La récupération sera meilleure si l’hémorragie est rapidement stop-pée et s’il s’agit d’une ischémie plutôt que d’une hémorragie, tout cela dé-pendamment du nombre de sites tou-chés dans le cerveau et de l’étendue des dommages.

II. FII. FII. FII. FACTEURSACTEURSACTEURSACTEURS INDIVIDUELSINDIVIDUELSINDIVIDUELSINDIVIDUELS : L’âge et le sexeL’âge et le sexeL’âge et le sexeL’âge et le sexe n’ont pas d’influence sauf chez des personnes âgées ayant d’autres problèmes de santé, des ma-ladies dites associées telles de la haute pression, du diabète, ou autres.

La scolaritéLa scolaritéLa scolaritéLa scolarité ne fait pas de différence pour la récupération, mais une per-sonne scolarisée a plus de chances d’avoir développé davantage de connexions dans son cerveau.

La latéralitéLa latéralitéLa latéralitéLa latéralité n’aura pas d’influence sur la récupération, mais le fait d’être de vrais droitiers ou de vrais gauchers aura une incidence sur la possibilité d’être aphasique ou non.

DépressionDépressionDépressionDépression : une attitude dépressive peut être une conséquence de la lésion et influencer négativement la récupération; elle peut être une réac-tion à l’AVC et, dans ce cas, un traite-ment médical et une psychothérapie peuvent aider favorablement.

III. FIII. FIII. FIII. FACTEURSACTEURSACTEURSACTEURS PSYCHOSOCIAUXPSYCHOSOCIAUXPSYCHOSOCIAUXPSYCHOSOCIAUX : : : : IndividuIndividuIndividuIndividu et entourageet entourageet entourageet entourage :::: C’est important que la personne ait un entourage social stable et supportant, ainsi que la famille et les proches.

La rééducationrééducationrééducationrééducation offre trois possibilités : la réactivation, la réorganisation et les moyens compensatoires.

Plasticité du cerveauPlasticité du cerveauPlasticité du cerveauPlasticité du cerveau : : : : D’autres connexions, ailleurs dans le cerveau, prennent le relais des zones endommagées. Par exemple, si la lésion est dans l’hémisphère droit du cerveau, l’hémisphère gauche va pren-dre la relève le temps de la récupéra-tion, le temps que les connexions se rétablissent, pour ensuite revenir à l’hémisphère droit. Dépendamment de la sévérité de l’AVC, la récupération pourra être totale, mais le plus sou-vent sera partielle. Le cerveau va tou-jours faire en sorte de récupérer au mieux. Il faut garder espoir.

En terminant son exposé, Dre Berna-dette Ska dit des proches aidants :

« Le proche devrait toujours faire partie du processus et avoir du soutien pour améliorer la qualité de vie de tous. »

En conclusion, disons que plus l’AVC En conclusion, disons que plus l’AVC En conclusion, disons que plus l’AVC En conclusion, disons que plus l’AVC sera traité rapidement et plus la per-sera traité rapidement et plus la per-sera traité rapidement et plus la per-sera traité rapidement et plus la per-sonne s’investit avec sérieux dans sa sonne s’investit avec sérieux dans sa sonne s’investit avec sérieux dans sa sonne s’investit avec sérieux dans sa réadaptation, meilleures sont les réadaptation, meilleures sont les réadaptation, meilleures sont les réadaptation, meilleures sont les chances de récupération. L’accepta-chances de récupération. L’accepta-chances de récupération. L’accepta-chances de récupération. L’accepta-tion de son état est un facteur impor-tion de son état est un facteur impor-tion de son état est un facteur impor-tion de son état est un facteur impor-tant, car il permettra à la personne tant, car il permettra à la personne tant, car il permettra à la personne tant, car il permettra à la personne d’être réaliste et d’apprécier les d’être réaliste et d’apprécier les d’être réaliste et d’apprécier les d’être réaliste et d’apprécier les moyens compensatoires qui lui seront moyens compensatoires qui lui seront moyens compensatoires qui lui seront moyens compensatoires qui lui seront offerts. Malgré le plateau de récupéra-offerts. Malgré le plateau de récupéra-offerts. Malgré le plateau de récupéra-offerts. Malgré le plateau de récupéra-tion, il peut y avoir des améliorations tion, il peut y avoir des améliorations tion, il peut y avoir des améliorations tion, il peut y avoir des améliorations plusieurs années après. plusieurs années après. plusieurs années après. plusieurs années après.

Les associations comme la nôtre vous Les associations comme la nôtre vous Les associations comme la nôtre vous Les associations comme la nôtre vous offrent des possibilités de maintenir offrent des possibilités de maintenir offrent des possibilités de maintenir offrent des possibilités de maintenir vos acquis et de continuer à vous vos acquis et de continuer à vous vos acquis et de continuer à vous vos acquis et de continuer à vous améliorer. améliorer. améliorer. améliorer.

Agora sur l’Aphasie Une première au Québec très réussie par Danielle Maynard

REGARD SUR L’ACTE

Commanditaire

Commanditaire

Commanditaire

Commanditaire

INTERVENTION


L ’AQTC Montréal-Laval est l’association qui,

comme son nom l’indique, regroupe les personnes traumatisées craniocéré-brales des régions de Mon-tréal et de Laval. Cet orga-nisme communautaire a vu le jour en 1989.

Cette organisation a deux points de services, couvrant ainsi les deux grandes ré-gions. Deux équipes d’inter-venants desservent les membres. De plus, plu-sieurs activités tendent à regrouper les membres des

deux régions. Régions den-sément peuplées, l’AQTC regroupe plus de 500 mem-bres.

L’offre de services est com-parable à celle que l’on retrouve à l’ACTE (activités de loisirs, activités sporti-ves, groupe de soutien, sou-tien individuel).

Il y a deux ans, l’AQTC a produit une pièce de théâ-tre. Nous avons eu la chance d’assister à cette production au Vieux-Clocher de Sherbrooke. Plus récem-ment, la troupe Tam-

Tamaction de l’AQTC a ré-alisé un CD. De plus, à cha-que année, l’association convie la population à un salon des métiers d’art, permettant ainsi de faire découvrir les talents de leurs membres.

Comme vous le constatez, voilà une association en bonne santé. Depuis près de dix ans, l’ACTE et l’AQTC Montréal-Laval favorisent les échanges entre mem-bres et professionnels des deux organisations.

Tout le monde en ressort gagnant !

par Chantal Charest

RÉSEAU COMMUNAUTAIRE

AQTC Montréal 911, rue Jean-Talon Est,

bureau 106 Montréal (Québec) H2R 1V5 Téléphone: 514-274-7447 Télécopieur: 514-274-1717

AQTC Laval

220, avenue du Parc Laval (Québec) H7N 3X4 Téléphone: 450-629-9911 Télécopieur: 450-629-8807

Vous pouvez consulter

leur site au www.aqtc.ca

Le brocoli: un allié pour notre santé! Le brocoli est un légume que l’on déguste aussi bien cuit qu’en crudité; on le trouve facilement pendant toute l’année, il se conserve assez bien et il met de la couleur dans l’assiette. Il mérite sa place au menu puisque, grâce à sa valeur nutritive, à poids égal, il contient deux fois plus de vitamine C que l’orange. Et il regorge de propriétés « anti-cancer »!

SOUPE SOUPE SOUPE SOUPE AUAUAUAU BROCOLIBROCOLIBROCOLIBROCOLI CRÉMEUSECRÉMEUSECRÉMEUSECRÉMEUSE, , , , SANSSANSSANSSANS CRÈMECRÈMECRÈMECRÈME 8 portions Préparation : 10-15 minutes Prêt en 30 minutes INGRÉDIENTS INGRÉDIENTS INGRÉDIENTS INGRÉDIENTS 1 ¼ tasse de carottes hachées (env. 2 moyennes) ¾ tasse d’oignons hachés (env. 2 moyens) ½ tasse de céleri haché (env. 2 branches moyennes) 3 c. à soupe d’huile 2 tasses de bouillon de poulet 2 tasses d'eau 4 ½ tasses de bouquets de brocoli (env. 2 petites bottes) ½ tasse de riz blanc instantané, non cuit 2 tasses de lait ¼ tasse de fromage râpé 100 % Parmesan

Faire cuire, en remuant, les carottes, les oignons et le céleri dans l'huile chaude dans une grande casserole pendant 3 minutes, à feu mi-vif. Ajouter le bouillon de poulet et l'eau; remuer. Amener à ébullition. Incorporer le brocoli et le riz. Réduire la température à feu mi-doux. Laisser mijoter de 10 à 15 min ou jusqu'à ce que les légumes soient tendres, en remuant fréquemment. Verser progressivement la soupe dans un mélangeur ou un robot culinaire; couvrir. Réduire en purée. Reverser la soupe en purée dans la casserole et ajouter le lait et le fromage. Cuire jusqu'à ce que le tout soit bien chaud, en remuant de temps en temps. Vous pouvez remplacer le brocoli par 4½ tasses d'asperges ou de poireaux, hachés. Source : http://www.recettesante.net

Ceux qui courent trop vite après le bonheur le dépassent souvent sans l’apercevoir.

C. D’Ollone


Voici quelques saines habitudes qui nous aident à nous protéger des infections de maladies comme l’influenza :

◊ Conseils généraux d’hygiène; ◊ L’hygiène respiratoire; ◊ L’hygiène des mains. QQQQUELQUESUELQUESUELQUESUELQUES CONSEILSCONSEILSCONSEILSCONSEILS GÉNÉRAUXGÉNÉRAUXGÉNÉRAUXGÉNÉRAUX :::: ∗ Se LAVER LES MAINS le plus souvent possible,le plus souvent possible,le plus souvent possible,le plus souvent possible, avec

du savon et de l’eau; Exemple :

- quand elles sont visiblement sales; - après avoir éternué ou toussé; - après vous être mouché; - après être allé aux toilettes; - après avoir changé la couche d’un enfant; - avant de préparer, de manipuler ou de

servir des aliments; - avant de manger; - avant de mettre ou d’enlever vos verres de

contact; - après avoir manipulé les ordures.

∗ En tout temps, garder les mains à l’écart des yeux, du nez et de la bouche;

∗ Éviter de partager des objets qu’on porte à la bou-che (pailles, verres, etc.);

∗ Porter un masque dans un milieu de soins tel que l’urgence ou la salle d’attente d’une clinique médi-cale. Et laver les mains après avoir enlevé le mas-que;

∗ Nettoyer avec un désinfectant les endroits les plus utilisés par un proche malade, car le virus peut vivre jusqu’à deux jours sur les surfaces dures;

∗ Lors de la présentation de symptômes, éviter d’être en contact avec des personnes vulnérables et réduire le plus possible le contact avec des proches.

HHHHYGIÈNEYGIÈNEYGIÈNEYGIÈNE RESPIRATOIRERESPIRATOIRERESPIRATOIRERESPIRATOIRE :::: Lorsque vous devez tousser ou éternuer : ∗ Couvrir votre bouche avec un mouchoir de papier,

le jeter à la poubelle et laver bien les mains; ∗ Au besoin, couvrir votre bouche ou votre nez avec

le pli de votre coude ou le haut de votre bras.

HHHHYGIÈNEYGIÈNEYGIÈNEYGIÈNE DESDESDESDES MAINSMAINSMAINSMAINS :::: L'hygiène des mains est un impor-

tant élément de l'hygiène de la vie quotidienne, car les mains partici-pent à véhiculer des bactéries ou des virus. Le lavage fréquent des mains aide à réduire ou à limiter le risque de transmission de maladies, tel que l’influenza.

LLLLAAAA BONNEBONNEBONNEBONNE TECHNIQUETECHNIQUETECHNIQUETECHNIQUE POURPOURPOURPOUR LAVERLAVERLAVERLAVER SESSESSESSES MAINSMAINSMAINSMAINS

1. Bien mouiller les mains; 2. Appliquer du savon; 3. Frotter pendant 15 à 20 secondes en ayant soin de

laver toutes les surfaces de la main, y incluses ongles et région entre les doigts;

4. Bien rincer; 5. Sécher avec une serviette propre ou du papier essuie-

tout.

C’est important de fermer le robinet AVEC C’est important de fermer le robinet AVEC C’est important de fermer le robinet AVEC C’est important de fermer le robinet AVEC un papier essuieun papier essuieun papier essuieun papier essuie----tout ou une serviette.tout ou une serviette.tout ou une serviette.tout ou une serviette.

Si vous n’avez pas d’eau courante ou de savon à portée de la main, vous pouvez utiliser un produit désinfectant à base d’alcool. Dans ce cas-là, frottez toutes les régions des mains avec un peu de désinfectant jusqu’à ce que vos mains soient sèches. N’utilisez pas de papier essuie-mains ni de serviette. Mise en garde :Mise en garde :Mise en garde :Mise en garde : Les produits antiseptiques doivent être gardés hors de la portée des jeunes enfants. Ils doivent être utilisés à l’occa-sion seulement et sous supervision.

Mettre en pratique ces conseils est notre apport à la pro-Mettre en pratique ces conseils est notre apport à la pro-Mettre en pratique ces conseils est notre apport à la pro-Mettre en pratique ces conseils est notre apport à la pro-tection individuelle et collective contre l’influenza et une tection individuelle et collective contre l’influenza et une tection individuelle et collective contre l’influenza et une tection individuelle et collective contre l’influenza et une responsabilité qui nous concerne tous et toutes.responsabilité qui nous concerne tous et toutes.responsabilité qui nous concerne tous et toutes.responsabilité qui nous concerne tous et toutes.

Source de l’informationSource de l’informationSource de l’informationSource de l’information :::: � http://www.msss.gouv.qc.ca/sujets/prob_sante/

influenza/index.php?aid=4 � Guide autosoins de La Direction des communications

du ministère de la Santé et des Services sociaux. Gou-vernement du Québec 2009

DE SAINES HABITUDES DE VIE Par Evelyn Torres, infirmière OIIQ

SANTÉ

TOUTTOUTTOUTTOUT LELELELE MONDEMONDEMONDEMONDE DOITDOITDOITDOIT SESESESE LAVERLAVERLAVERLAVER LESLESLESLES MAINSMAINSMAINSMAINS, , , , QUELQUEQUELQUEQUELQUEQUELQUE SOITSOITSOITSOIT SONSONSONSON OCCUPATIONOCCUPATIONOCCUPATIONOCCUPATION OUOUOUOU SONSONSONSON ÂGEÂGEÂGEÂGE!!!!


Il a suffi de mentionner que je recevais une formation sur la gestion du temps pour que d’emblée, on me demande de faire un écrit là-dessus. Je ne suis pas encore passé maître dans la gestion du temps : j’ai peut-être une chance de m’améliorer avant 2050! Aussi me contenterai-je de vous donner quelques indi-cations générales. «Chaque matin, nous sommes riches de 1440 minutes. Toute partie que vous n’aurez pas investie sera perdue à ja-mais. Impossible d’accumu-ler ces minutes et de les reporter au lendemain. Il n’y a pas de lendemain au calendrier de Dieu». Skip Ross La maîtrise du temps com-porte deux objectifs indisso-ciables.

1111----Mieux utiliser son temps.Mieux utiliser son temps.Mieux utiliser son temps.Mieux utiliser son temps. Cela évite que l’on ait l’im-pression que les échéances se resserrent telle une corde avec un nœud cou-lant autour de notre cou. 2222---- Réapprendre à profiter Réapprendre à profiter Réapprendre à profiter Réapprendre à profiter du moment présent. du moment présent. du moment présent. du moment présent. Notre mode de vie occidental nous amène à oublier l’exis-tence du moment présent. «Le sens même de la maî-trise du temps, c’est d’en optimiser la qualité et seu-lement par voie de consé-quence la quantité et l’effi-cacité. On ne saurait se borner à faire plus dans le même temps ou autant en moins de temps» Jean-Louis Servan Schreiber Il convient d’apprendre à mieux se connaître. Cet apprentissage nous permet de mieux cerner nos mau-vaises habitudes : procrasti-

nation, flânage, rêverie, etc., en explorant notre pas-sé. Il convient également de déterminer à quoi on veut utiliser son temps. Au départ, il faut identifier ses priorités personnelles et répondre aux questions suivantes : Cela me con-cerne-t-il? S’agit-il d’une de-mande ou d’une contrainte de mon entourage? Ou d’envies personnelles qui expriment mon indépen-dance et ma liberté? Où en suis-je aujourd’hui? Se si-tuer. De là, où aimerais-je aller? Dans quels délais? La prochaine étape con-siste à se déterminer des objectifs à court et moyen termes. Ceci va permettre des actions quasi immédia-tes, avec des résultats me-surables ou datés. Ces ac-tions seront concrètes, pré-

La gestion du temps par Jean Michel Valiquette

SANTÉ

cises, réalistes, satisfaisan-tes. Finalement, on se déter-minera des objectifs de vie qui donneront plus de signifi-cation à nos journées, nos mois. Ils nous permettront de nous dépasser et de faire face aux difficultés de l’existence. Ils ne sont pas coulés dans le ciment et nous pouvons les reformuler à tout moment. C’est bien beau tout cela, mais il y a lieu de façon prati-co-pratique de ramasser tout ça en des exercices qui aug-mentent la qualité de notre perception du temps qui passe. Quand j’aurai compris comment, je vous en ferai un exposé !

QUI FAIT QUOI ET QUAND?

Le kinésiologue par Lina Jetté et débutent par une évalua-tion de la condition physi-que, de la capacité cardio-vasculaire, de la composi-tion corporelle, de la force des bras et des jambes, et ce, toujours selon les buts fixés par le client. Le kiné-siologue peut aussi se spé-cialiser au niveau des pro-blèmes musculo-squeletti-ques en offrant des pro-grammes particuliers ou de groupe tel qu’aquaforme, aérobie, step, marche. Cette remise en forme vise à améliorer la condition de vie de ses patients. Après un accident, une interven-

Le kinésiologue est un spé-cialiste de la santé qui uti-lise le mouvement (l’acti-vité physique) afin d’attein-dre différents buts. Ceux-ci peuvent être différents d’une personne à l’autre. Les kinésiologues ont une formation universitaire (baccalauréat) et peuvent travailler dans différents milieux tels un centre de conditionnement physique (gym), une entreprise, un centre de réadaptation (CRE) et même en bureau privé. Ses interventions variées proposent certains change-ments aux habitudes de vie

tion chirurgicale, un AVC ou un TCC, le patient ayant tendance à devenir moins mobile et à prendre du poids, le kinésiologue peut lui offrir un soutien et éta-blir un programme d’exerci-ces adapté à sa condition qui lui permettra au mini-mum de maintenir les ac-quis de sa rééducation posttrauma. Il peut aussi intervenir au niveau de la réadaptation fonctionnelle, des gestes de la vie quoti-dienne comme se lever du lit, du sol ou encore ramas-ser des objets sans perdre l’équilibre. Là encore, les

moyens envisagés sont nom-breux, que ce soit au niveau des habitudes de vie, de la gestion du stress et de la mo-dification de comportements. Bref, le kinésiologue inter-vient à plusieurs niveaux, même celui tout simplement d’avoir le plaisir de bouger! N’hésitez pas à le consulter afin de savoir comment il peut vous aider!

Source : Karine Lalande, kinésiologue Centre de Réadaptation Estrie


L’hiver rime souvent avec rhumes, grippes et fatigue qui nous cloisonnent à la maison dans un état léthargi-que. En augmentant la capacité de défense de votre système immunitaire, vous livrez une chaude guerre aux bactéries et aux virus, question de profiter de cette saison comme jamais!

Des aliments-vedette à mettre au menu :

LLLLESESESES PROBIOTIQUESPROBIOTIQUESPROBIOTIQUESPROBIOTIQUES :::: Ce sont des bactéries ou levures qui, ajoutées comme compléments à certains produits alimentaires, aident à la digestion des fibres et stimulent le système immuni-taire, en empêchant la croissance des bactéries indési-rables. Les laits fermentés, (de type Bio-K+ ou DanAc-tive) offrent une petite cure immunité. À prendre au quotidien!

LLLLAAAA VITAMINEVITAMINEVITAMINEVITAMINE C C C C : Les capsules de vitamine C aident à réduire légère-ment les symptômes de la grippe mais les aliments riches en vitamine C, eux, stimulent le système immu-nitaire. Très conseillé au menu : agrumes, poivrons, agrumes, poivrons, agrumes, poivrons, agrumes, poivrons, tomates, chou et brocolitomates, chou et brocolitomates, chou et brocolitomates, chou et brocoli !

LLLLAAAA VITAMINEVITAMINEVITAMINEVITAMINE E E E E : : : : Elle augmente la résistance aux infections et agit en synergie avec la vitamine C. Ses meilleures sources : huile de soyahuile de soyahuile de soyahuile de soya, de carthame carthame carthame carthame et de tournesol, germe de tournesol, germe de tournesol, germe de tournesol, germe de blé et noix.blé et noix.blé et noix.blé et noix.

LLLLAAAA VITAMINEVITAMINEVITAMINEVITAMINE A A A A : : : : Une déficience en vitamine A augmente la susceptibili-té aux infections bactériennes et virales. Assurez-vous de manger quotidiennement des fruits et légumes fruits et légumes fruits et légumes fruits et légumes orangés et vert foncéorangés et vert foncéorangés et vert foncéorangés et vert foncé (sources de pro-vitamine A) ainsi que régulièrement du foiefoiefoiefoie, des produits laitiersproduits laitiersproduits laitiersproduits laitiers et des œufs œufs œufs œufs (sources de vitamine A).

LLLLAAAA VITAMINEVITAMINEVITAMINEVITAMINE B6 B6 B6 B6 : Si vous ne consommez pas suffisamment de vitamine B6, vous affaiblirez votre système immunitaire en plus de vous exposer à l’anémie. Viande, volaille, poisson, Viande, volaille, poisson, Viande, volaille, poisson, Viande, volaille, poisson, produits céréaliers à grains entiers et noixproduits céréaliers à grains entiers et noixproduits céréaliers à grains entiers et noixproduits céréaliers à grains entiers et noix sauront combler vos besoins en vitamine B6.

LLLLESESESES ANTIOXYDANTSANTIOXYDANTSANTIOXYDANTSANTIOXYDANTS :::: Les radicaux libres ne font qu’affai-blir l’organisme et sa résistance à la maladie. Pour les contrer, il faut des antioxydants ! Pour ce faire, on doit garnir notre assiette de fruits fruits fruits fruits et de légumes,légumes,légumes,légumes, hiver comme été!

LLLLEEEE ZINCZINCZINCZINC : : : : Le zinc est un des minéraux le plus associé à vos dé-fenses naturelles. Très conseillés pour leur teneur très élevée en zinc : les huitres, huitres, huitres, huitres, la viande rougeviande rougeviande rougeviande rouge, les fruits fruits fruits fruits de merde merde merde mer, les graines de citrouille aines de citrouille aines de citrouille aines de citrouille et les noixnoixnoixnoix. Atten-tion avec les pastilles de zinc car une surdose en zinc aurait l’effet inverse : elle supprimerait le système im-munitaire!

LLLLEEEE SÉLÉNIUMSÉLÉNIUMSÉLÉNIUMSÉLÉNIUM : : : : Antioxydant ayant un pouvoir préventif sur le cancer et la capacité d’aider à diminuer le risque d’infections virales. Noix du Brésil, abats, fruits de mer, viande, vo-Noix du Brésil, abats, fruits de mer, viande, vo-Noix du Brésil, abats, fruits de mer, viande, vo-Noix du Brésil, abats, fruits de mer, viande, vo-laillelaillelaillelaille, œufs, produits céréaliers à grains entiersœufs, produits céréaliers à grains entiersœufs, produits céréaliers à grains entiersœufs, produits céréaliers à grains entiers, des légumineuses,légumineuses,légumineuses,légumineuses, des noixnoixnoixnoix et des grainesgrainesgrainesgraines.

L’L’L’L’AILAILAILAIL : Consommé tous les jours, il stimule le système immu-nitaire (Petit conseil : pour éviter l’haleine qu’il engen-dre, mâchez une tige de persil.)

L’L’L’L’ÉCHINACÉEÉCHINACÉEÉCHINACÉEÉCHINACÉE : : : : Elle est reconnue pour rehausser les dé-fenses du système immunitaire, contrer les infections urinaires et respiratoires. Elle peut atténuer la gravité des grippes et des rhumes, surtout chez les personnes au système immunitaire affaibli.

AAAAUTRESUTRESUTRESUTRES PLANTESPLANTESPLANTESPLANTES ETETETET ALIMENTSALIMENTSALIMENTSALIMENTS DIGNESDIGNESDIGNESDIGNES DEDEDEDE MENTIONMENTIONMENTIONMENTION :::: Parmi les autres plantes et aliments dignes de mention : le gin-gin-gin-gin-sengsengsengseng, le ginkgo bilobaginkgo bilobaginkgo bilobaginkgo biloba, la gelée royale,gelée royale,gelée royale,gelée royale, le noninoninoninoni (fruit originaire de Polynésie) et le champignon shitakeechampignon shitakeechampignon shitakeechampignon shitakee.

En terminant, on ne saurait oublier l’influence de l’état émotionnel sur le système immunitaire. Plus notre attitude face à la vie est positive, plus notre système immunitaire est efficace !

Manger sainement et pratiquer une activité physique quotidienne certes, mais faire le tout le sourire dans l’âme, voilà des conditions gagnantes pour passer l’hi-ver avec une santé exemplaire!

Source : http://www.rythmefm.com/art-de-vivre/sante-nutrition/expert-sante/2009-11-05_alimentsCoupDeFouet.php

L’alimentationL’alimentationL’alimentationL’alimentation santésantésantésanté : un élément indispensable pour bien se préparer pour l’hiver!: un élément indispensable pour bien se préparer pour l’hiver!: un élément indispensable pour bien se préparer pour l’hiver!: un élément indispensable pour bien se préparer pour l’hiver! Adaptation du texte d’Isabelle Huot par Noëlline Bolduc

SANTÉ

ART DE VIVRE

Deux anges font la causette : Deux anges font la causette : Deux anges font la causette : Deux anges font la causette : ---- Quel temps fera Quel temps fera Quel temps fera Quel temps fera----tttt----il demain ?il demain ?il demain ?il demain ? ---- Nuageux. Nuageux. Nuageux. Nuageux. ---- Ah tant mieux, on pourra s’asseoir ! Ah tant mieux, on pourra s’asseoir ! Ah tant mieux, on pourra s’asseoir ! Ah tant mieux, on pourra s’asseoir !


O n m’a demandé d’écrire un article sur la spiritualité où je

pourrais démystifier un certain nom-bre de lieux communs qui en met-tent plus d’un mal à l’aise. J’ai tout bonnement répondu que c’est ce que je croyais faire depuis quelques paru-tions de l’ACTIF, que je ne voyais pas comment je pourrais faire les choses différemment. On m’a quand même demandé d’expliquer ma démarche. Je me sens un peu comme ce per-sonnage de Molière, qui était tout surpris d’apprendre que lorsqu’il conversait avec quelqu’un, il faisait de la prose. Donc qu’est-ce qui me différencie des autres êtres humains en affirmant que j’ai une vie spiri-tuelle? En fait, comme la majorité du commun des mortels: strictement rien. Est-ce qu’on mesure la grandeur d’âme d’une personne par son assi-duité à aller à l’église à chaque di-manche? Est-ce qu’on mesure le sens communautaire ou la charité d’une personne à la somme qu’il dépose dans le panier lors de la quête dominicale? Je pense que non. Je côtoie des amis chers qui disent ne pas avoir de vie spirituelle et vou-loir rien savoir d’aller à l’église le dimanche. Cela ne les empêche pas d’être impliqué dans leur commu-

nauté en étant actif dans un Club LIONS de leur ville. Ils prodiguent de l’assis-tance aux personnes qui ont besoin d’aide en leur procurant un fauteuil rou-lant mieux adapté à leurs besoins, ou une canne, par exemple… Ils ont amé-nagé un parc communautaire dans leur municipalité. Ces gens ont pris soin de moi lorsque j’ai eu mon accident de voiture, ont pris soin de ma maison en mon absence, m’ont rendu visite à l’hô-pital, m’ont sorti les fins de semaine, m’ont accompagné dans tout le proces-sus de réinventer ma vie avec le nouvel individu que je suis devenu. Dans mon livre à moi, ces personnes ont une vie spirituelle au moins aussi importante que la mienne, pour ne pas dire plus intense. La seule différence, c’est qu’ils disent ne pas en avoir, comme beau-coup de gens, comme ce personnage de Molière. Je crois que, lorsqu’on s’occupe de quelque chose de plus grand que nous, la paix intérieure, le bonheur, le bien-être des gens qui nous entourent, comme nos enfants, notre conjoint, nos parents, on intègre une dimension spiri-tuelle à sa vie. Rien ne nous empêche d’approfondir cet aspect de notre vie, en prenant du temps de qualité avec ces êtres chers. Ce temps que nous prenons pour eux, ce sont des liens qui sont créés dans l’invisible, mais qui n’en sont

pas moins réels. J’ajouterais même que le temps que l’on prend pour soi contri-bue à créer cette zone de confort, d’har-monie avec soi-même. J’entends de-puis mon plus jeune âge, que si je veux aimer quelqu’un d’autre, je dois com-mencer par moi-même. Cela semble d’une telle évidence mais je vous dirais qu’à la cinquantaine passée, je com-mence à peine à intégrer cette dimen-sion dans ma vie. Je crois sincèrement que si les gens prenaient un peu de temps pour eux, à chaque jour, nous vivrions dans un monde meilleur. Il n’est pas besoin de rituel: on peut s’ac-corder du temps en allant prendre une marche, en ouvrant un bon livre, en faisant de la méditation ou du yoga. Ce sont ces deux dernières activités que je pratique sur une base régulière. Les bienfaits que cela m’apporte dé-passent toute attente. Je suis plus se-rein, mieux dans ma peau, plus patient avec mes enfants. Je suis un fil conduc-teur qui me permet d’être mieux centré dans ma vie de tous les jours. Cela ne m’empêche pas d’aller chanter à l’é-glise à chaque dimanche. Je ne crois pas que tout cela fasse de moi un saint ! Je crois sincèrement que si vous prenez le temps d’y penser, vous trou-verez une foule de choses dans votre vie qui nourrissent votre dimension spi-rituelle.

Spiritualité 101 Par Jean Michel Valiquette

SPIRITUALITÉ À la découverte de soi

C’EST UN CŒUR QUI DIT À UN AUTRE CŒUR :

QUELQU’UN QUI N’A PAS DE CŒUR C’EST UN SANS-CŒUR PIS ÇA M’ÉCOEURE.

L’AUTRE DE LUI RÉPONDRE : C’EST TI PAS ÉCOEURANT !

POÈME par Richard C. CommanditaireCommanditaireCommanditaireCommanditaire


Avis aux lecteurs : Effets immédiats si lus en Conscience!!!! Préparation : Aucune Réalisation : 3 minutes Laisser reposer : minimum 1 minute Portions : se renouvellent constamment

Ingrédients de baseIngrédients de baseIngrédients de baseIngrédients de base :::: Le goût de savourer cette délicieuse barre Le choix de s’arrêter un instant pour la créer

RecetteRecetteRecetteRecette :::: STOPSTOPSTOPSTOP… je m’arrête… je m’observe… je prends conscience de tout mon Être… en action... ici… maintenant. Je respire lentement… profondément. Je m’installe confortablement dans mon ventre. Je laisse tomber mes bras… Je relâche les jambes…, les épaules…, je desserre les mâchoires. Par la plante de mes pieds…, j’inspire généreusement une bonne dose des vibrations nourrissantes de la Terre. J’expire… je lâche prise. Maintenant, je visualise l’air qui pénètre mes narines… remplies d’une Lumière dorée… énergisante… venant du Soleil… des étoiles. La Terre, le Soleil entrent en moi… Grâce à ma respiration consciente... chacune de mes cellules pétillent de Bonheur…

Mon cœur est heureux… heureux de retrouver mon Âme… dans cette abondance d’Amour que j’ai moi-même créé. Alors totalement présent… détendu…, je prends le temps de déguster…, de savourer… cette petite douceur... Douceur que je partage tout naturellement au-tour de moi par le fait même d’être là… en action… avec moi.

Quelques suggestions à ajouter si le contexte est appropriéQuelques suggestions à ajouter si le contexte est appropriéQuelques suggestions à ajouter si le contexte est appropriéQuelques suggestions à ajouter si le contexte est approprié :::: Un espace calme où je ne serai pas dérangé. Deux coussins au besoin, un pour les pieds, un pour le dos. Une musique d’ambiance. Une bougie.

Effets secondaires souvent observésEffets secondaires souvent observésEffets secondaires souvent observésEffets secondaires souvent observés : Clarté de la pensée, inspiration, alignement, etc… D’ailleurs, certains membres ont peut-être été un peu trop gourmands et ont soudainement laissé jaillir quelques mots de leur bouche…

SPIRITUALITÉ À la découverte de Soi

Les Barres relaxantes et nourrissantes de Véronique Par Véronique Jaccard - Coaching Santé

« Eux autres n’ont rien, ils sont devant tout. Eux autres n’ont rien, ils sont devant tout. Eux autres n’ont rien, ils sont devant tout. Eux autres n’ont rien, ils sont devant tout. Nous, on a tout, on n’est devant rien Nous, on a tout, on n’est devant rien Nous, on a tout, on n’est devant rien Nous, on a tout, on n’est devant rien » Fernand Cabana

« On a le choix de vouloir ou de ne pas vouloir, si on veutOn a le choix de vouloir ou de ne pas vouloir, si on veutOn a le choix de vouloir ou de ne pas vouloir, si on veutOn a le choix de vouloir ou de ne pas vouloir, si on veut » Jacynthe Dubé

« Faut pas savoir pour croire. Faut croire pour savoirFaut pas savoir pour croire. Faut croire pour savoirFaut pas savoir pour croire. Faut croire pour savoirFaut pas savoir pour croire. Faut croire pour savoir » Richard Couture

Commanditaire

Commanditaire

Commanditaire

Commanditaire

Le but de la vie Le but de la vie Le but de la vie Le but de la vie n’est pas de surpasser les autres, n’est pas de surpasser les autres, n’est pas de surpasser les autres, n’est pas de surpasser les autres, mais de se surpasser soimais de se surpasser soimais de se surpasser soimais de se surpasser soi----même.même.même.même.

Thomas Mason **********

Peu importe que l’on vous jette par terre,Peu importe que l’on vous jette par terre,Peu importe que l’on vous jette par terre,Peu importe que l’on vous jette par terre, L’essentiel, c’est de vous relever.L’essentiel, c’est de vous relever.L’essentiel, c’est de vous relever.L’essentiel, c’est de vous relever.

Lombardi **********

Être en paix avec soiÊtre en paix avec soiÊtre en paix avec soiÊtre en paix avec soi----même même même même Est le plus sûr moyen Est le plus sûr moyen Est le plus sûr moyen Est le plus sûr moyen

De commencer à l’être avec les autres.De commencer à l’être avec les autres.De commencer à l’être avec les autres.De commencer à l’être avec les autres. L. de Leon

PPPPENSÉESENSÉESENSÉESENSÉES ÀÀÀÀ RETENIRRETENIRRETENIRRETENIR............


Depuis quelque temps, dans le commerce où je tra-vaille comme caissière, les sacs de plastique sont devenus payants. Dix sous pour un sac de plastique, et les profits sont remis à un organisme à but non lucratif qui met sur pied des projets environnemen-taux. Pour ma part, je trouve qu’il s’agit d’une excel-lente idée. La mise en place de cette mesure a d’ail-leurs suscité de nombreuses réactions positives, mais presqu’autant de négatives chez les clients. Il n’en fallut pas plus pour que la sociologue en moi développe la théorie des sacs de plastique, selon laquelle la société se divise en trois types de person-nalité.

Les enthousiastesLes enthousiastesLes enthousiastesLes enthousiastes Ces gens sont ceux qui n’attendent pas moins que des gestes écologiques, peu importe où ils décident de se manifester. Lorsqu’on leur demande s’ils ont besoin d’un sac, ils sont catégoriques : non! Qu’ils n’achètent qu’un magazine ou une fragile pile d’arti-cles disparates, ils se débrouillent avec leurs bras pour transporter leurs acquisitions.

Que pensent-ils des sacs à usage unique payant? Ils sont évidemment tout à fait d’accord. Les enthou-siastes n’hésitent d’ailleurs pas à saluer cette initia-tive. (…)

Les nonchalantsLes nonchalantsLes nonchalantsLes nonchalants Les nonchalants ne demandent généralement pas de sac quand ils n’ont qu’un ou deux articles, ils ne voient pas l’utilité de gaspiller un sac pour si peu. S’ils ont quelques articles de plus, ils sont alors ten-tés de s’aider d’un sac. Quand on leur apprend qu’ils doivent payer dix sous, deux scénarios sont possi-bles : soit ils paient les dix sous sans se faire prier, soit ils décident que leurs deux bras suffiront. (…)

Les bornésLes bornésLes bornésLes bornés De leur côté, les bornés, comme leur nom l’indique, se bornent à leur petit monde. Dès que l’on bouscule un peu leurs habitudes, même simplement, dans le mode de transport de leurs menus achats, ils passent en mode défensif. Souvent trop bouleversés par la perte de leurs sacs gratuits, ils ne voient aucunement l’intention écologique (bien qu’elle puisse cacher elle-même une intention marketing). Même s’ils ont devant les yeux une affiche mentionnant que tous les profits des sacs seront versés à un organisme environnemental, ou alors ils sont beaucoup plus préoccupés par les dix prochaines minu-tes de leur vie que par l’avenir de la planète…

(Extrait de Le collectif, Vol. XXXII nº 20- 24 août 2009)

Ce que les sacs de plastique révèlent sur vousCe que les sacs de plastique révèlent sur vousCe que les sacs de plastique révèlent sur vousCe que les sacs de plastique révèlent sur vous Par Véronique Tétreault

OPINIONS

ÉCOLOGIE

L L L LESESESES TROISTROISTROISTROIS TYPESTYPESTYPESTYPES DEDEDEDE PERSONNALITÉPERSONNALITÉPERSONNALITÉPERSONNALITÉ SELONSELONSELONSELON M M M MARTINEARTINEARTINEARTINE L’E L’E L’E L’ESPÉRANCESPÉRANCESPÉRANCESPÉRANCE



Ma première chasse après mon AVC Par Julien Duquette

mes pour attirer le chevreuil.

Le lendemain, installés bien

avant l’aube, Sonia et moi

devons garder silence et par-

ler par signes. Vers 16h00, un

buck arrive, attiré par les

pommes. Sonia épaule son

arme et tire; le buck se dé-

place environ 50 pieds. Ma

fille, malgré sa nervosité, tire

un deuxième coup mais il

s’enfuit. Le jour suivant, le

buck revient et se dirige vers

les pommes. En le voyant,

Sonia épaule son arme,

s’ajuste et tire. Le chevreuil

disparaît de notre champ de

vision: il est tombé! Sonia

s’exclame: «Je l’ai eu du pre-

mier coup, papa!» et elle me

saute au cou. Je la serre fort

contre moi. Après, elle va jus-

qu’à sa prise et son mari

l’aide à la sortir du bois.

Je ne pouvais pas chasser

moi-même, mais je suis fier

d’avoir pu transmettre ma

passion à ma fille. Je suis fier

et ému d’avoir été témoin de

son succès !

Je voudrais partager avec vous

une expérience que j’ai vécue

l’année dernière et ceci, pour la

première fois après mon AVC.

Ma fille Sonia est en convales-

cence… Et elle veut chasser

mais elle ne peut pas aller

seule dans le bois. Elle a re-

cours à moi et compte sur

mes 47 ans d’expérience

comme chasseur.

Son mari vient nous installer

car, depuis mon AVC, je ne

peux pas marcher loin dans le

bois. Il met aussi des pom-

SPORTS ET LOISIRS

Il y a plusieurs années déjà,

notre ami André Fréchette

a proposé de regrouper les

amateurs de billard de

l’ACTE. Le jeudi après-midi

est un incontournable pour

ce groupe qui souhaite voir

la liste de ses participants

augmenter.

Depuis peu, ces rencontres

amicales ont recommencé et

nous sommes heureux de

nous revoir pour socialiser à

nouveau sur une base régu-

lière.

Ces rendez-

vous hebdo-

m a d a i r e s

nous permet-

tent d’échan-

ger sur diffé-

rents sujets

d ’ i n t é r ê t

commun, de maintenir un

réseau social constructif et

dynamique. Nous en profi-

tons aussi pour partager

des trucs afin d’améliorer

notre condition physique.

C’est vraiment un plaisir de

nous revoir semaine après

semaine lors de cette occa-

sion teintée d’humour et

d’amitié. Le meilleur joueur

d’une semaine peut être le

pire la semaine suivante,

c’est donc une bonne

raison de ne pas se prendre

au sérieux; on est là par pur

plaisir.

Le billard, une détente! Par Jacques Pomerleau

Sylvain Ruel, Jacques Pomerleau, Maurice Duplessis (proche),

André Houle, Maxime Ruel (proche), Jacques Laferrière et

André Fréchette. Absent de la photo, Jean-Sylvain Pineault.

« Je l’ai eu du premier

coup, papa !»

« Je suis fier et ému

d’avoir été témoin de

son succès !»

CHASSE ET PÊCHE

Je tiens à féliciter André

Fréchette pour cette bonne

idée et à tous les partici-

pants qui sont fidèles à ces

rendez-vous.

À tous les intéressés du bil-

lard, vous êtes les bienvenus

à ces rencontres,

tous les jeudis tous les jeudis tous les jeudis tous les jeudis

de 13h00 à 17h00 de 13h00 à 17h00 de 13h00 à 17h00 de 13h00 à 17h00

au Salon du Billard, au Salon du Billard, au Salon du Billard, au Salon du Billard,

1239 rue Denault, 1239 rue Denault, 1239 rue Denault, 1239 rue Denault,

Sherbrooke Sherbrooke Sherbrooke Sherbrooke

et il n’en coûte que et il n’en coûte que et il n’en coûte que et il n’en coûte que

3$ par participant.3$ par participant.3$ par participant.3$ par participant.


De père en flic

Un cargo pour l’Afrique contre Christophe, un en-fant qui cherche ses pa-rents décédés. C’est une rencontre positive car l’en-fant est une « peste » mais lui montre une vision diffé-rente de la vie. Je vous in-vite à voir ce film canadien car il nous apporte un beau message : même durant un

grand deuil, on a toujours à apprendre quelque chose aux autres.

(Pierre Lebeau)

Un homme, accusé d’un crime qu’il n’a pas commis, passe 20 ans en Afrique comme travailleur humani-taire. Une guerre dans son pays d’accueil l’oblige à retourner au Canada mais sans papiers. Cherchant à retourner en Afrique, il ren-

ARTS ET SPECTACLES

Voir la vie à travers les films...

essayer de libérer un com-pagnon enlevé par les mo-tards, ils doivent tous les deux s’inscrire incognito à une thérapie pour pères et fils ayant des problèmes de communication. Ils côtoient ainsi l’avocat des motards, homme d’approche difficile qui est tanné de prendre la défense de bons à rien. Plusieurs situations de tra-vail en groupe en pleine nature obligent les protago-

nistes à dire à haute voix ce qu’ils n’aiment pas l’un de l’autre et à vider leur cœur. C’est un bon film, très drôle, qui nous fait réfléchir sur l’autorité des parents envers leurs enfants. Cette comédie, que vous pourrez louer dès maintenant dans les clubs vidéo, nous mon-tre que malgré les différen-ces générationnelles, l’a-mour et la compréhension restent toujours possibles.

(Michel Côté, Louis-José Houde)

Cette comédie québécoise nous présente un jeune homme qui travaille comme policier, dans l’om-bre de son père. Pour

REPRÉSENTATION DE LA CHORALE «LES GENS HEUREUX» CENTRE NOTRE-DAME DE L’ENFANT (AUDITORIUM)

1621, RUE PROSPECT, SHERBROOKE

DDDDIMANCHEIMANCHEIMANCHEIMANCHE 6 6 6 6 DÉCEMBREDÉCEMBREDÉCEMBREDÉCEMBRE 2009 2009 2009 2009 DE 14H00 À 16H30

S.V.P. NE PAS SE PRÉSENTER AVANT L’HEURE INDIQUÉE AU COÛT DE 6 $ (6 $ (6 $ (6 $ (DOITDOITDOITDOIT ÊTREÊTREÊTREÊTRE PAYÉPAYÉPAYÉPAYÉ DDDD’’’’AVANCEAVANCEAVANCEAVANCE))))

ACCESSIBLE AUX FAUTEUILS ROULANTS

POUR INSCRIPTIONINSCRIPTIONINSCRIPTIONINSCRIPTION : ASDI 2984, RUE DES CHÊNES, LOCAL 200A, SHERBROOKE

TTTTÉLÉLÉLÉL.: 819.: 819.: 819.: 819----346346346346----2227 2227 2227 2227

CHORALE «LES GENS HEUREUX»

Venez apprécier la représentation par les membres de la chorale dans une atmosphère du temps des fêtes!

DDDDATEATEATEATE LIMITELIMITELIMITELIMITE : : : :

3 3 3 3 DÉCEMBRE

DÉCEMBRE

DÉCEMBRE

DÉCEMBRE


Deux puces sortent duDeux puces sortent duDeux puces sortent duDeux puces sortent du

cinéma, l’une dit à l’autre : cinéma, l’une dit à l’autre : cinéma, l’une dit à l’autre : cinéma, l’une dit à l’autre : - On rentre à pied ou on On rentre à pied ou on On rentre à pied ou on On rentre à pied ou on

prend un chien ?prend un chien ?prend un chien ?prend un chien ? Comment appelleComment appelleComment appelleComment appelle----tttt----on unon unon unon un poux sur un chauve ? poux sur un chauve ? poux sur un chauve ? poux sur un chauve ?

Un sans abri.Un sans abri.Un sans abri.Un sans abri.

Quelle est l’expression Quelle est l’expression Quelle est l’expression Quelle est l’expression préférée d’un vampire ?préférée d’un vampire ?préférée d’un vampire ?préférée d’un vampire ?

Bon sang !!!Bon sang !!!Bon sang !!!Bon sang !!!

Le 2 octobre est née Noa.

Elle enrichit déjà

la vie de maman Zoé

et papa Jonathan

(animateurs à l’ACTE).

Elle remplit leurs jours

de couches et de tendresse,

et bouleverse

leurs nuits.

Mais...

un câlin fait

tout oublier!

BIENVENUE, NOA!BIENVENUE, NOA!BIENVENUE, NOA!BIENVENUE, NOA!

par Joanne Cadorette


PAUSE DÉTENTE

2222 4444 9999 8888 3333 2222 1111 7777 8888 8888 1111 6666

4444 7777 5555

5555 9999 1111 4444

5555 3333 7777 9999 4444 2222 6666 1111

2222 3333 4444

Chaque case doit contenir un chiffre de 1 à 9.

Tous les chiffres de 1 à 9 doivent se retrouver dans chaque colonne, chaque rangée et chaque région de 3 par 3.

Aucun chiffre ne doit se répéter dans une même co-lonne, ligne ou région.

Réponse à la page 20

E N G A G E M E N T

I H N M A A V C C P

U Y G A R T U R R I

A P E I N D R E E N

P E I N T R E S A C

P R E S S E A C T E

H R T I O R P A I A

O E U V R E O C V U

T A N T M A S T I E

O L X R U L S I T C

S I E A R I I V E P

T S I I A S B I O N

N M E T L E L T C C

L E L E E R E E T E

A acte activité art AVC C créativité E engagement été H hyperréalisme M mains murale

O oeuvre P peindre peintres photos pinceau possible presse R réaliser T TCC trait

Réponse à la page 20 Par Virginia Alvarez

SUDOKU

MOTS CACHÉS

La réponse : deux mots de 26 lettresLa réponse : deux mots de 26 lettresLa réponse : deux mots de 26 lettresLa réponse : deux mots de 26 lettres Indice : ÉvénementIndice : ÉvénementIndice : ÉvénementIndice : Événement

Cherchez les mots cachés dans la grille jusqu’à ce que vous les ayez tous trouvés. Les lettres qui restent forment les mots recherchés.


ÉQUIPE DE L’ACTEÉQUIPE DE L’ACTEÉQUIPE DE L’ACTEÉQUIPE DE L’ACTE 819819819819----821821821821----2799279927992799 PostePostePostePoste

Virginia Alvarez Intervenante soutien au groupe 225 Georges Beaudry Instructeur 228 Noëlline Bolduc Adjointe administrative 0 Chantal Charest Directrice générale 223 Isabelle Duquette Coordonnatrice des services 226 Marie-France Lord Intervenante travail 229 Danielle Maynard Intervenante psychosociale 222 Chantal Ross Intervenante psychosociale 224

Réponses aux jeux de la pause détente

Retrouvez-nous sur le web

www.acteestrie.com

CONSEILCONSEILCONSEILCONSEIL D’ADMINISTRATIOND’ADMINISTRATIOND’ADMINISTRATIOND’ADMINISTRATION

Jacques Pomerleau, présidentJacques Pomerleau, présidentJacques Pomerleau, présidentJacques Pomerleau, président

Nathalie Nadeau, viceNathalie Nadeau, viceNathalie Nadeau, viceNathalie Nadeau, vice----présidenteprésidenteprésidenteprésidente

Lina Jetté, secrétaireLina Jetté, secrétaireLina Jetté, secrétaireLina Jetté, secrétaire

Chantal Richer, trésorièreChantal Richer, trésorièreChantal Richer, trésorièreChantal Richer, trésorière

Zita Mueller, administratriceZita Mueller, administratriceZita Mueller, administratriceZita Mueller, administratrice

André Bessette, administrateurAndré Bessette, administrateurAndré Bessette, administrateurAndré Bessette, administrateur

Denis Croteau, administrateurDenis Croteau, administrateurDenis Croteau, administrateurDenis Croteau, administrateur

7 5 2222 8 9 4444 1 6 3

4 9999 8888 3333 6 1 2222 5 7

1111 3 6 5 2 7777 4 8888 9

8888 7 9 1111 4 5 3 2 6666

3 1 4444 6 7777 2 8 9 5555

2 6 5555 9999 3 8 7 1111 4444

6 8 1 4 5555 3333 9 7777 2 9999 4444 7 2222 8 6666 5 3 1111

5 2222 3333 7 1 9 6 4444 8

Réponse : La lettre « T »

COMITÉ JOURNAL L’ACTIFCOMITÉ JOURNAL L’ACTIFCOMITÉ JOURNAL L’ACTIFCOMITÉ JOURNAL L’ACTIF Roger Cadieux

Lina Jetté Jacques Pomerleau

Jean Michel Valiquette

Coordination : Virginia Alvarez

Mise en page et révision : Noëlline Bolduc

COLLABORATEURSCOLLABORATEURSCOLLABORATEURSCOLLABORATEURS

Joanne Cadorette Martine L’Espérance

Julien Duquette Équipe clinique de l’ACTE

REMERCIEMENTSREMERCIEMENTSREMERCIEMENTSREMERCIEMENTS

Nous tenons à remercier toutes les personnes qui ont collaboré à cette première étape de

renouvellement du journal l’ACTIF.

Nos félicitations à Noëlline Bolduc pour son excellent travail de mise en page.

Chapeau, Noëlline! Un merci particulier à M. Michel Daigneault,

rédacteur en chef du Collectif, Madame Evelyn Torres et Madame Karine Lalande.

SUDOKU : MOT CACHÉ :MOT CACHÉ :MOT CACHÉ :MOT CACHÉ : Inauguration exceptionnelle

Eh oui, le temps Eh oui, le temps Eh oui, le temps Eh oui, le temps des fêtes sera des fêtes sera des fêtes sera des fêtes sera

bientôt de retour ! bientôt de retour ! bientôt de retour ! bientôt de retour ! Prendre note que Prendre note que Prendre note que Prendre note que

nos bureaux seront fermés nos bureaux seront fermés nos bureaux seront fermés nos bureaux seront fermés du 21 décembre 09 du 21 décembre 09 du 21 décembre 09 du 21 décembre 09 au 3 janvier 2010 au 3 janvier 2010 au 3 janvier 2010 au 3 janvier 2010 inclusivement.inclusivement.inclusivement.inclusivement.

JOYEUX TEMPS JOYEUX TEMPS JOYEUX TEMPS JOYEUX TEMPS

DES FÊTES !DES FÊTES !DES FÊTES !DES FÊTES !

Automne - Hiver 25 novembre 2009...

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Transcript of Automne - Hiver 25 novembre 2009...