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ZOOM SUR...Conférence annuelle de la Transition Energétique

GRIMALDI FORUM MONACOBilan de la politique ACT GREENEVER Monaco 2019

EN BREF...

MONACO• Alternatives aux Pailles Plastiques

• Festival des Jardins• Les Engagements

du Fairmont• Green Is The

New Glam• Sepc a Monaco

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La conférence annuelle de la transition énergétique, intitulée « Transition Energétique, à moi de jouer », s’est tenue au Yacht Club, le vendredi 29 mars dernier.

A NOUS DE JOUER !

La soirée, qui s’est déroulée en présence de S.A.S. le Prince Souverain, S.E. M. le Ministre d’Etat et Marie-Pierre Gramaglia, Conseiller de Gouvernement - Ministre de l’Equipement, de l’Environnement et de l’Urbanisme, s’estarticulée en plusieurs temps forts.

Présentation de la démarche « éco-citoyenne »de Julien VidalJulien Vidal était l’invité d’honneur de la soirée.Créateur de l’initiative « Ça commence par moi », il a testé et adopté plus de 365 actions éco-citoyennes concrètes pour agir dans son quotidien (www.cacommenceparmoi.org). Auteur de « Ça commence par moi, soyons le changement que nous voulons voir dans le monde », Julien Vidal s’est attaché à démontrer qu’il existe des solutions accessibles, concrètes et vertueuses, pour participer à la construction d’un monde meilleur : alimentation responsable, zéro déchet, mobilité douce, tourisme durable, low-tech…

Pacte National : perspectives de développementde la démarcheEn début d’année, un tout premier bilan du Pacte a été réalisé, sous la forme d’un sondage auprès des signataires et dont les principaux résultats ont été présentés au cours de la soirée. Les perspectives 2019 ont également été évoquées, notamment :* Le Pacte, Niveau 2 ! Un Pacte d’un niveau d’ambition plus élevé va prochainement être élaboré. L’actuel Pacte continuera évidement d’être proposé, pour un public plus « débutant » ;* Le Comité Stratégique du Pacte : la MTE va mettre en place un Comité Stratégique du Pacte, lequel réunira régulièrement, dans l’esprit du Livre Blanc, des signataires du Pacte, représentatifs des forces vives de Monaco. Il aura pour rôle d’accompagner et de relayer la MTE dans son rôle de mobilisation de toutes les composantes de la communauté monégasque ;* Des événements de quartier seront mis en place dès le mois de mai, pour mieux informer le grand public sur la transition énergétique ;* Un partenariat MTE / Radio Ethic : la chronique « La Transition Energétique, à moi de jouer », permet de découvrir les bonnes pratiques écologiques mises en place par les adhérents au Pacte (www.radioethic.com)

http://transition-energetique.gouv.mc M. transition-energetique@gouv.mc

T. 00377 98 98 47 59

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PLUSIEURS ENJEUX AUTOURD’UNE SEULE MISSION

Lancée sous l’impulsion de S.A.S. le Prince Souverain, la transition énergétique de Monaco a pour tâche de permettre au pays de respecter ses engagements internationaux en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES) : -50 % d’ici 2030, par rapport à 1990, et neutralité carbone à l’horizon 2050. La Mission pour la Transition Énergétique du Gouvernement Princier (MTE) mène ce projet ambitieux avec ténacité. Elle est notamment chargée de mobiliser les acteurs monégasques autour de la transition énergétique du pays, soutenir les projets de réduction des émissions de GES et de production locale d’énergie renouvelable et décarboner l’énergie importée.Dès sa création en 2016, l’entité a entrepris la transition énergétique de Monaco à un rythme soutenu, au travers de nombreuses actions : élaboration du Livre Blanc, lancement du cadastre solaire, participation à la création de la société mixte Gouvernement/SMEG M.E.R, incitation à l’installation de panneaux photovoltaïques sur de nombreux immeubles…

Remise des « Trophées de la Transition Energétique »Trois Lauréats ont été récompensés pour leurs bonnes pratiques environnementales et/ou énergétiques :

* La SBM Offshore a reçu le Prix de l’acteur le plus réducteur de GES, pour sa démarche de télétravail. (Prix remis à son Directeur, Didier Beynet). L’entreprise détient en effet le « record » du plus grand nombre d’employés télétravaillant en Principauté. Une démarche qui lui permet de réduire drastiquement le nombre d’émissions de GES et de polluants liés aux déplacements des salariés.

* La Maison Lino a reçu le Prix de l’acteur le plus exemplaire dans sa gestion des déchets.(Prix remis à Michelle Pugliese). Petite boucherie de la Condamine, la Maison Lino a investi dans l’aménagement d’un local poubelle, lequel leur permet de trier et recycler leurs déchets et facilite, par ailleurs, le ramassage des bacs de déchets par la SMA. L’entreprise a également d’autres initiatives environnementales : approvisionnement local de leurs produits, réduction des emballages, etc.

* Quentin Demé a reçu le Prix de l’acteur le plus innovant. Jeune fonctionnaire, Quentin Demé vient tous les jours travailler en Principauté depuis Roquebrune-Cap-Martin, en vélo électrique qu’il a conçu lui-même. Son vélo a récemment passé les 30000 kilomètres; depuis qu’il l’utilise, Quentin a donc évité plus de 4.3 tonnes d’émissions de CO2 dans l’air.

Les Trophées qui leur ont été remis(des oliviers en métal de récupération) ont été réalisés par

l’artiste Joël Rebière : « L’Olivier Forgé »

L’annonce forte de Décathlon Monaco…L’enseigne de sport abandonne la commercialisation des bouteilles d’eau en plastique à usage unique. Plus de 6000 bouteilles sont ainsi retirées de la vente. En lieu et place, Décathlon Monaco propose désormais une bouteille eco-concue et réutilisable, ainsi qu’une fontaine à eau purifiée et filtrée, gratuite et accessible à tous.

Il s’agit d’une première étape : le magasin continue de rechercher des matériaux plus durables pour ses bouteilles réutilisables et espère,

d’autre part, trouver de nouveaux process plus écologiques pour remplacer, bientôt,

d’autres produits mis à la vente…

Sébastien Uscher, jeune cadre à l’initiative de la démarche, a remis les 4 premières bouteilles éco conçues éditées au Prince Souverain, pour Sa Famille, et s’est dit « heureux et honoré

de lancer le mouvement ici, à Monaco ».

Avec la création duPacte National, la transition énergétique s’accélère

Suite logique à la signature de l’Accord de Paris et à la parution du Livre Blanc, le Pacte National pour la transition énergétique est lancé en janvier 2018 pour mobiliser la communauté monégasque. Les signataires sont à ce jour plus de 700. Plus concrètement, le Pacte National permet à ses adhérents (particuliers, entreprises, institutions, associations, …) d’agir à leur niveau sur les 3 principales sources de GES : mobilité, déchets et énergie. Il est constitué d’une Charte d’engagement et de plans d’actions sectoriels et propose par ailleurs une calculette carbone et des dispositifs d’accompagnement adaptés. Outre S.A.S. le Prince Souverain et les membres du Gouvernement, les adhérents notables au Pacte National sont le Conseil National, la Mairie, le CHPG, le Conseil Économique et Social, la SBM, les Hôtels de la Principauté, le Théâtre Princesse Grace, La Poste Monaco, le Groupe TMC…Par ailleurs, 16 événements et opérations de mobilisation et/ou sensibilisation ont eu lieu en 2018 et plusieurs dizaines d’évènements sont déjà prévus pour 2019.

La Fondation Prince Albert II de Monaco soutient des projets concrets dans les domaines du changement climatique, de la biodiversité et de l’accès à l’eau.

En aidant la Fondation, vous vous engagez à nos côtés en faveur de l’environnement et du développement durable.

The Prince Albert II of Monaco Foundation finances tangible projects within the fields of climate change, biodiversity and access to water.

By supporting the Foundation, you are making a commitment along with us in favour of the environment and sustainable development.

MONACO

PARIS

LONDON

GENEVA

NEW YORK

MONTREAL

DÜSSELDORF

MILANO

SINGAPORE

MADRID

www.fpa2.org

Fondation Prince Albert II de MonacoPrince Albert II of Monaco Foundation

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Bilan de la politique ACT GREEN du Grimaldi Forumau regard de sa certification ISO 14001

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à un niveau historiqueDes voyants verts

Tous ces voyants au vert confirment en tous cas un objectif fondamental qui demeure inchangé : réduire l’impact de la maintenance générale du bâtiment et de l’activité événementielle qui s’y déroule sur l’environnement, en concentrant principalement les efforts sur une gestion optimisée et durable de l’eau, une maîtrise énergétique, le tri et recyclage de nos déchets, une politique d’achats écoresponsables, une bonne gestion des risques

ainsi qu’une communication active et événementielle à l’image de la rencontre organisée autour du Chef Papou Mundiya Kepanga.

Avec une fréquentation générale du bâtiment qui frise les 250 000 visiteurs sur l’année, le ratio entre la consommation annuelle en eau, stable au demeurant aux alentours des 7 800 m3, et justement l’affluence enregistrée à la hausse n’a jamais été aussi bas depuis que cet indicateur existe.

En matière d’efficacité énergétique,la baisse de la consommation électrique annuelle est également plus que remarquable : pour la première fois elle passe sous la barre des 8 millions de kWh (7.69) ! Là encore, le ratio calculé suivant le taux d’occupation de nos espaces n’a jamais atteint un seuil aussi bas. Après la mise en service d’un groupe à vis, un tout nouvel équipement des plus performants en 2017, un effort

particulier a été porté sur le système de climatisation. De nouvelles vannes de régulation de l’échange eau de mer sur la production thermo-frigorifique propre au Grimaldi Forum et un changement de l’automate de régulation de cette production ont permis une économie supplémentaire de 5,4 % sur notre consommation électrique en 2018, en attendant cette année le remplacement d’une pompe à chaleur.

Si la consommation de papier s’est avérée stable, c’est du côté du taux de tri qu’arrive la dernière bonne nouvelle. L’objectif de 50 % de déchets triés et revalorisés en 2018 a été atteint et même dépassé ! Il était de 44,5 % en 2016, de 48,5 % en 2017, il s’établit à 52,9 % en 2018.

Parce qu’il reste le domaine prioritaire de la certification ISO 14001 du Grimaldi Forum, le tri est au centre de nombreuses nouvelles initiatives visant notamment à réduire l’utilisation du plastique en général. Mais, pour rappel, cette politique active de tri a été instaurée progressivement dans de nombreuses filières qui produisent des résultats significatifs : 150 tonnes de bois, 21 tonnes de cartons bruns, 28 tonnes de verre, 24 tonnes de papier, etc.

L’année 2018 présente donc des résultats environnementaux concrets et dépassant parfois certaines prévisions. Les efforts doivent cependant être constants et s’inscrire dans la durée, afin de persister dans la voie de l’amélioration continue. 2019 s’annonce enthousiasmante, avec de nombreux projets à l’étude et actions en cours de mise en œuvre !

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EVER Monaco souligne depuis plus de dix ans cet engagement en réunissant les différents acteurs pour plusieurs jours de débats, d’expositions et d’échanges autour de deux thématiques clés :

* Le développement de la mobilité électrique des deux roues, de la voiture individuelle, des bus et de l’ensemble des véhicules industriels

* Le développement des énergies renouvelables.

Après deux éditions organisées sous la grande verrière du Grimaldi Forum, l’édition 2019 d’EVER Monaco change de dimension pour rejoindre un espace encore plus grand « le Diaghilev » afin de répondre à une demande toujours plus forte. L’espace Ride and Drive, point de départ des essais

dans les rues de la Principauté, est reconduit, alors qu’un espace intérieur dédié aux tests de petits véhicules sera proposé. Cette année des essais de bateaux électriques seront également possibles grâce à un partenariat avec le Yacht-Club de Monaco.

Pour l’édition 2019, EVER Monaco s’associe avec la startup monégasque Lanéva afin de traiter d’un nouveau sujet : le nautisme responsable, sous la forme de deux tables rondes composées de professionnels et d’innovateurs.

Le parvis du Grimaldi Forum sera lui aussi utilisé pour les différentes manifestations qui ponctueront cette édition à nouveau riche en événements.Avec le soutien du Gouvernement Princier, EVER Monaco 2019 sera riche en temps forts.

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Territoires pionniersde l’électro-mobilité

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RivieraElectric ChallengeLa 5ème édition du Riviera Electric Challenge est, cette année encore, internationale, s’appuyant sur trois pays (La France, Monaco, et l’Italie), qui ont en commun une histoire et des liens d’amitié très forts.

LE Riviera Electric Challenge 2019 s’inscrit dans la lignée du succès des éditions précédentes. Il a pour objectif de fédérer les entreprises et les collectivités exemplaires dans l’intégration de véhicules électriques au sein de leurs flottes.

Le parcours s’étend sur un circuit de près de 145 kilomètres. Il permettra aux participants de collecter des informations mentionnées dans leur carnet de bord, sur différents points relais mis en place tout au long du parcours et de réaliser une épreuve de régularité. Pour la 2ème fois, une soirée étape sera organisée sur le territoire de Dolceacqua commune de la Province d’Imperia en présence du Maire et de personnalités italiennes et françaises.

Collectivités, entreprises, et associations qui vont participer, échanger leurs expériences, se retrouveront tous à l’arrivée à EVER Monaco au Grimaldi Forum le 9 avril 2019 pour visiter l’exposition et participer à la remise des trophées clôturant leurs périples.

• Présence de plusieurs pilotes de Formula E pour des séances de questions/réponse et autographes

• L’exposition avec des stands dédiés aux énergies renouvelables et à la mobilité propre

• Le Ride & Drive pour présenter et essayer les derniers produits de l’industrie automobile en matière de véhicules à énergie alternative

• Des tables rondes réunissant des personnalités du monde du développement durable et des Véhicules Ecologiques

• Des conférences scientifiques de haut niveau

• Le Riviera Electric Challenge, un rallye de régularité réservé aux véhicules électriques entre Cagnes-sur-Mer et Monaco en passant par l’Italie

• La finale du concours Metha Europe 2019 organisée par les Ecoles de l’Institut Mines Télécom

• La conférence Smart Cities organisée en partenariat avec la Fédération Internationale de l’automobile, en présence de son Président, M. Jean Todt.

Les Temps FortsDu 8 au 10 Mai 20193 jours d’Exposition et deConférences Internationalessur les Energies Renouvelables& les Véhicules Ecologiques.

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Depuis 2018, le Tourisme

Responsable est l’un des axes majeurs de la

communication de la Direction du Tourisme et des

Congrès.

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‘‘Green is theNew Glam’’ ACTE II

La stratégie sur trois ans véhiculée depuis 2018 par le slogan « Green is the new Glam » et les clips vidéos ont permis de positionner Monaco en tant que Destination de Tourisme de Luxe Responsable et c’est donc en toute logique, que cette stratégie se poursuit en 2019.Si la campagne vidéo 2018 se voulait poétique et montrait la Destination et les actions responsables de la Principauté au travers des yeux d’une famille, la nouvelle campagne vidéo réalisée par Franck Florino et produite par Monaco Broadcast pour la saison 2019 se veut originale et décalée.

En effet, cette année, la Direction du Tourisme et des Congrès a souhaité mettre l’accent sur le glamour en utilisant les codes couleurs de la mode pour traiter, toujours avec sérieux, les thèmes « piliers » du développement durable à savoir la mobilité, le tri et la gestion des déchets, la gastronomie et l’hôtellerie ainsi que la biodiversité.

Destinés à être diffusés à l’international, les quatre clips qui s’intitulent « Savourer », « Respect », « Move » et « Feel it »seront diffusés tout au long de l’année via les réseaux sociaux (Facebook, Instagram…) ainsi que sur le site internet www.mcgreenglam.com, spécialement conçu pour la campagne.

Le hashtag #mcgreenglam permet de regrouper toutes les informations relatives aux actions de Tourisme Responsable et regrouper ainsi toute la communauté « Green is the new Glam ».

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Une soiree de lancement tout enGreen et en GlamLa Direction du Tourisme et des Congrès a lancé la version 2019 de sa campagne digitale « Green is the new Glam » lors d’une soirée « digitale » en présence du Comité Régional du Tourisme Côte d’Azur et de nombreux partenaires et influenceurs de la région.

Cette soirée « digital afterwork » a permis plus de 1 000 partages de #mcgreenglam en seulement quelques heures vers une audience ciblée de 3.29 millions de personnes à l’international.

Montrer que le développement durable est glamour via les réseaux sociaux est une stratégie désormais incontournable lorsque l’on sait qu’aujourd’hui l’ « instragrammabilité » de la destination est le critère de choix n°1 pour 40% des Millenials.

Un site internet dedié à la campagneParce que l’objectif de Green is the New Glam est bel et bien de promouvoir les actions du Tourisme Responsable en Principauté, un nouveau site spécialement dédié à la campagne a été lancé en janvier 2019. On y retrouve les clips de la campagne actuelle ainsi que ceux des années précédentes mais également les détails des actions mises en place et l’actualité du Tourisme Responsable à Monaco.

www.mcgreenglam.com

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Véritable prouesse architecturale, le Fairmont Monte-Carlo est construit en 1975 à la demande du Prince Rainier III qui cherchait à développer

l’offre hôtelière et le tourisme d’affaires en Principauté.

Il s’agit du plus gros porteur de la Destination (602 chambres) et l’un des plus gros hôtels d’Europe avec une superficie de plus 60 000 mètres carrés. Bien que conçu à une époque où les préoccupations étaient différentes, la construction a pris en compte l’aspect environnemental en imaginant des solutions alternatives, notamment au niveau des consommations énergétiques.

En effet, l’hôtel est entièrement chauffé et climatisé par un système très sophistiqué de pompes à chaleur permettant de chauffer et climatiser l’hôtel entièrement en puisant l’eau de la Méditerranée dont la température oscille toute l’année entre 12 et 20°, à 40 m de profondeur.

Le Fairmont Monte-Carlo propose la formule « Eco-meeting » à ceux qui souhaitent séjourner à Monaco de façon « responsable ». Dès leur arrivée, les clients sont sensibilisés à l’éco-hébergement au travers d’informations donnant des pistes pour réduire l’impact écologique en termes de consommation des ressources et de gestion des déchets.

Dans le cadre des groupes et de l’organisation de Congrès, le Fairmont Monte-Carlo propose les options « Eco-Service » en privilégiant les articles réutilisables plutôt que jetables, encourage l’organisation d’évènement « 0 carbone » et propose des éco-activités « hors hôtels » sur demande. En termes de restauration, le Fairmont Monte-Carlo est le premier établissement de Monaco à avoir adopté en 2013, le programme « Mister Goodfish », s’engageant ainsi aux côtés de la Fondation Prince Albert II dans la promotion

de la consommation responsable de produits de la mer en adaptant ses achats et en mettant en avant son engagement dans ses menus.

Au-delà du programme Mister Goodfish, l’établissement offre aux organisateurs des solutions afin de réduire l’impact de leur évènement au niveau du menu et des services offerts, en privilégiant des recette

locales à base de produits régionaux, biologiques ou issus de cultures raisonnées, ou alors des menus comprenant des choix végétariens ou réduits en protéines animales ainsi que des menus préparés avec des produits de la mer respectueux des milieux sauvages et des espèces menacées. Le Fairmont Monte-Carlo accueillera du 28 au 30 mars prochain, le ‘‘Sustainable Event Professional Certificate’’, une formation dédiée aux professionnels pour l’organisation d’évènements responsables.

Focus sur lesEngagements du Fairmont Monte-Carlo

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www.fairmont.fr/monte-carlo

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Planet 21 : les Engagementsdu Niveau Bronze Aujourd’hui, l’établissement est certifié Planet 21 et a acquis le niveau bronze en 2018. Le programme Planet 21 du groupe Accor s’articule autour de quatre champs d’action visant les collaborateurs, clients, partenaires et communautés locales complétés par deux domaines prioritaires autour de l’alimentation et des bâtiments.

COLLABORATEURS1. Désigner un responsable Planet 21.2. Sensibiliser les collaborateurs au respect des valeurs et règles éthiques du Groupe.3. Sensibiliser les collaborateurs aux éco-gestes dans leurs métiers.

CLIENTS4. Réutiliser par défaut les draps pour les séjours supérieurs à une nuit.5. Proposer des produits d’accueil écoresponsables (gels douche, savons, shampooings).6. Afficher les marqueurs de communication clés sur Planet 217. Utiliser des produits de nettoyage éco labellisés

COMMUNAUTÉ8. Participer au programme Plant for the Planet.9. Déployer le programme WATCH sur la protection de l’enfance.

ALIMENTATION10. Bannir les espèces de poissons menacées.

BÂTIMENT11. Mesurer et analyser les consommations d’eau et d’énergie mensuellement. Agir en cas de dérive.12. Respecter le standard de débit d’eau pour toutes les douches, robinets et toilettes.13. S’assurer que toutes les eaux usées sont traitées.14. Utiliser des lampes à basse consommation.15. Trier et faire traiter vos déchets dangereux dans les filières adaptées.16. Recycler au moins deux types de déchets : papier, verre, carton ou plastique.

Cette énergie renouvelable provenant de la mer a un fort potentiel et est déjà bien exploitée à Monaco. Tandis que la température de l’air varie beaucoup selon les saisons, la mer bénéficie de températures relativement stables en profondeur tout au long de l’année.

Par la technologie des pompes à chaleur, il est possible de puiser la chaleur ou le froid dans l’eau de mer pour chauffer ou refroidir des bâtiments ou chauffer des piscines.

Les bâtiments bénéficiant de cette énergie ont besoin de consommer de l’électricité pour faire fonctionner les pompes à chaleur qui restituent 3 à 4 fois plus d’énergie qu’elles n’en consomment. Le projet Optima-PAC terminé à Monaco en 2015 a permis de vérifier que la technologie des pompes à chaleur n’avait pas d’effet nocif sur le milieu marin et que ses performances pouvaient être encore optimisées à l’avenir. Monaco a été l’un des premiers pays à développer ce type d’énergie sur son littoral. La Principauté a installé sa première pompe à chaleur sur eau de mer en 1963 au Stade nautique Rainier III pour chauffer l’eau de la piscine, et en compte aujourd’hui plus de 80.

transition-energetique.gouv.mc/Les-energies-renouvelables-a-Monaco

L'énergieThalassothermique(des pompes à chaleur sur eau de mer)

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C’est officiel ! Depuis le 1er janvier 2019, les pailles et mélangeurs (touillettes) en plastique, sont interdits à Monaco.

Le Gouvernement Princier poursuit ainsi le processus entamé en 2016 destiné à réduire l’utilisation du plastique et qui a déjà vu la mise en place de l’interdiction des sacs plastique à usage unique pour l’emballage des marchandises.

Alors, pour continuer à siroter sa boisson à la paille sans polluer, voici quelques alternatives trouvées sur le net et notamment sur le site www.lespailles.com

La paille en papier ou en carton est l’alternative idéale car elle est biodégradable. Elle laisse néanmoins un petit goût de papier dans la bouche si on la laisse trop longtemps dans son verre.

La paille en amidon sont généralement en amidon végétal de maïs, résistent à la chaleur et sont compostables.

La paille en bambou est réutilisable, biodégradable, solide et se nettoie facilement. De plus, elle convient autant aux boissons chaudes qu’aux boissons froides.

La paille en paille ! Elle est biodégradable et fabriquée à partir de tiges de blés naturelles.

La paille réutilisable en acier inoxydable est certainement la plus résistante, elle peut passer au lave- vaisselle. Certaines personnes trouvent qu’elle laisse un petit goût métallique en bouche.

La paille réutilisable en verre passe facilement au lave-vaisselle et se réutilise très bien …. à condition d’en prendre soin car elle est fragile et peut se fissurer.

La paille en plastique réutilisable ou silicone, celle qui devrait convenir le mieux aux enfants ! Elle est à la fois souple et solide, passe très bien en machine et se nettoie très bien manuellement à l’aide d’un goupillon aussi. Elle convient aux boissons froides, gazeuses ou chaudes.

Parmi les plus originales, on peut citer :

La paille comestible en sucre : elle est éphémère certes, mais destinée à être mangée. ! Elle apporte une petite touche sucrée à la boisson…. Il existe également des pailles à base de pomme ou d’avocat.

La paille en pâte : à condition de boire rapidement sa boisson car elle se ramollie au bout de 15 à 20 minutes.

Des alternatives écologiquesaux

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CO Tourisme d’Affaires :

SEPC à MonacoDurant cette formation, les participants, issus de divers secteurs tels que le tourisme d’affaires, l’hôtellerie, les associations et le sport auront la possibilité d’acquérir toutes les connaissances nécessaires pour créer un évènement « responsable ».

Intégrer les principes de durabilité dans la planification stratégique des événements est en effet un choix sensé pour l’entreprise qui se positionne ainsi en tant qu’entreprise responsable. Au-delà de l’aspect éthique et environnemental, l’opportunité commerciale que représente le développement durable est notable.

Les cours - répartis sur deux jours de formation – dispenseront des informations et un apprentissage actif pour permettre aux participants de mettre en œuvre leurs propres événements durables. Les sujets abordés comprendront la compréhension de la valeur commerciale de la durabilité, l’apprentissage des méthodes et techniques de conception durable, ainsi que des normes internationales en matière de durabilité et des méthodes de mesure et de reporting. À la fin des cours, les participants se verront remettre le Certificat Professionnel de l’Evénement Durable (SEPC).

Monaco au 13° Rang du Gds-IndexLe Global Destination Sustainability Index aide les Destinations et les professionnels du Tourisme à s’impliquer dans le développement durable. De plus en plus, les notions de « responsabilité » et de « durabilité » entrent en ligne de compte lors de la prise de décision du client.

L’index GDS est une initiative d’entreprise collaborative créée pour aider les Destinations, les Convention Bureaux et organisateurs d’évènements à favoriser l’adoption, la promotion et la reconnaissance de pratiques responsables dans l’industrie du tourisme d’affaires et des évènements. Pour ce faire, il mesure et compare les stratégies, les politiques et les performances des destinations participantes en matière de durabilité environnementale et sociale et partage les meilleures pratiques du monde entier.

Pour sa première participation, Monaco entre directement à la 13° place sur 47 destinations.

Le Destination étant dans une démarche d’amélioration continue vise un meilleur ranking pour 2019 et travaille en ce sens avec l’aide de GDS Index. www.gds-index.com

Le «Sustainable Event Professional Certificate» organisé pour la première fois en Europe par l’organisme Events Industry Council s’est déroulé au Fairmont Monte-Carlo,du 28 au 30 mars 2019.

en.xing-events.com/SEPC_Europe

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Organisé pour la première fois en 2017, le Festival des Jardins de la Côte d’Azur se déroule cette année du 30 mars au 28 avril.

« Rêves de Méditerranée » est la thématique retenue pour la deuxième édition du Festival des Jardins de la Côte d’Azur. Cette thématique permet d’évoquer les problématiques du climat et de la gestion de l’eau dans le bassin méditerranéen. Tout le mois d’avril, le Festival propose un concours de créations paysagères ouvert aux professionnels, des jardins éphémères hors concours réalisés par différentes communes et des animations sur tout le département.

La Principauté de Monaco participe également à cet évènement dans la section « Hors Concours » et réalise un jardin éphémère sur le thème « Un Balcon sur la Méditerranée » sur les terrasses publiques du Monte-Carlo Star.

Véritable invitation au voyage, le visiteur est accueilli par une porte aux accents arabo-andalou, le plongeant immédiatement dans l’ambiance.

Une première scène traverse la Méditerranée pour retrouver le thème arabo-andaloux avec un jardin essentiellement composé de cactées et graminées, complété par des Bougainvillées pour la touche colorée. La visite se prolonge ensuite vers un jardin dit «toscan», avec son allée bordée de cyprès, buis et autres surprises tel un jardin de sculptures qui se découvre à chaque pas. Au fur et à mesure de la progression, le visiteur découvre des vues vers la mer Méditerranée grâce aux différentes percées et fenêtres à travers le décor qui permettent d’admirer la Principauté autrement.

Le tableau suivant transporte le visiteur dans une ambiance plus surprenante, faisant référence aux botanistes du XIXème siècle qui ont acclimatés les plantes et rapportés ainsi de leurs voyages une multitude de «surprises».

La déambulation se poursuit progressivement vers une ambiance plus «provençale», pour une pause bien méritée à l’ombre des oliviers et agrumes avec une vue imprenable sur la Méditerranée. Des haltes de rêveries sont aménagées tout au long du parcours, permettant ainsi aux visiteurs de profiter des vues sur la Principauté mais aussi de se laisser embarquer dans ce voyage à travers la Méditerranée. Des jeux et animations sont prévus pour que ce jardin éphémère soit un lieu ludique et didactique.

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du Festival des Jardins de la Côte d’Azur

* Un balcon sur la Méditerranée

* Du 30 mars jusqu’à la fin de l’été

* Terrasses publiques du Monte-Carlo Stars

* Accès gratuit

www.visitmonaco.com

DOSSIER

Monaco • Royaume-Uni • France • Suisse • Etats-Unis • Allemagne • Canada • Italie • Singapour • Espagne

Écosystèmes marins parmi les plus menacés, les récifs coralliens sont particulièrement impactés par les effets du changement climatique comme en a témoigné le récent rapport émis par le Groupement Intergouvernemental d’Experts pour le Climat (GIEC) en octobre 2018, annonçant une disparition quasi totale des coraux en 2100 si l’élévation des températures atteignait +2°C. Comment, dès lors assurer une protection efficiente de ces organismes millénaires ?

RÉCIFS CORALLIENS ET CHANGEMENT CLIMATIQUE : COMMENT FAIRE FACE AUX MENACES ?

Réunis à Monaco début décembre en amont de la première Assemblée Générale de l’Initiative Internationale pour les Récifs Coralliens (ICRI), les plus grands experts internationaux de la conservation des récifs coralliens ont travaillé sur cet enjeu majeur, lors d’un atelier de travail organisé à l’initiative du Centre Scientifique de Monaco et du think tank Ocean Solutions Initiative, afin d’identifier et prioriser les solutions à développer.

Les coraux sont les écosystèmes les plus riches et diversifiés de la planète. Ils abritent le quart des espèces marines connues, et jouent un rôle économique majeur puisque cinq cents millions de personnes en dépendent à travers le monde. Signe manifeste d’un changement profond, les phénomènes de blanchissement en masse sont observés sur la plupart des récifs coralliens, entrainant une perte de leur coloration suite à la disparition des microalgues qui

les recouvrent et les nourrissent. Fragilisés, les récifs souffrent du réchauffement de la température des eaux, de l’acidification des océans, la pollution mais également des activités économiques comme la surpêche ou les aménagements côtiers non respectueux de l’environnement. Face à ce constat alarmant et à l’urgence de la situation, la question de leur pérennité, et celle de leurs écosystèmes associés, devient primordiale, alors même que les engagements pris lors de l’Accord de Paris, dont la mise en œuvre demeure trop lente, ne pourront suffire à les protéger complètement. Mais faut-il parler de disparition ou d’évolution ? Ce qui apparait certain c’est que les récifs coralliens tels que nous les connaissons, avec leur grande diversité, ne seront plus. Certaines espèces ne pourront plus s’y abriter, ni survivre dans des eaux trop chaudes et trop acides, une atteinte supplémentaire à la biodiversité de notre planète.

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AIRES MARINES PROTÉGÉES, PÊCHE DURABLE, GESTION DU RAYONNEMENT SOLAIREAujourd’hui, la question de l’étape d’après se pose très clairement pour les scientifiques et experts internationaux, confrontant les différentes approches envisageables afin de réduire les impacts du changement climatique. Au-delà des mesures d’atténuation doivent se mettre en place des solutions visant à protéger les habitats et écosystèmes à un niveau local afin de réduire considérablement la pression exercée sur les récifs. Le développement des Aires Marines Protégées est sans doute l’un des outils les plus efficaces permettant à la fois de protéger ce patrimoine naturel inestimable tout en garantissant une économie durable avec de nouvelles sources de revenus pour les populations locales. Lutter contre les méthodes destructrices de pêche mais également contre la surexploitation des ressources apparait primordial pour la préservation des récifs, tout comme la lutte contre la pollution asphyxiant les coraux.

Autre solution évoquée, bien que ne remportant pas l’adhésion unanime des chercheurs, est le recours à la géoingéniérie, comme par exemple le développement de souches de coraux résistants aux perturbations écologiques. Autre technique, la gestion des radiations solaires est également avancée. Cette méthode, consisterait à projeter des particules afin d’augmenter la nébulosité et ainsi diminuer les températures, mais là encore cette méthode est très discutée.

Les conclusions des experts, suite à l’atelier qui s’est tenu en Principauté, sont attendues courant 2019 et contribueront au sixième rapport d’évaluation du GIEC, élément important des négociations liées aux changements climatiques menées dans le cadre des Nations Unies.

L’INITIATIVE INTERNATIONALE POUR LES RÉCIFS CORALLIENS (ICRI) ADOPTE SON PLAN D’ACTION 2018 - 2020

En présence du Prince Souverain, de S.E. M Bernard Fautrier, Co-Président, de Mme Susi Pudjiastuti, Ministre des Affaires Maritimes et des Pêches d’Indonésie, l’ICRI a tenu son Assemblée Générale au Yacht Club de Monaco du 5 au 7 décembre 2018, à laquelle participaient également les représentants des pays fondateurs de l’ICRI : les États-Unis, le Japon, le Royaume-Uni, les Philippines et la France.

L’ ICRI est une initiative internationale informelle qui rassemble des gouvernements, des organisations internationales, des entités scientifiques et des organisations non-gouvernementales, ayant pour but d’inverser la tendance à la dégradation des récifs coralliens et écosystèmes associés à travers le monde. Cette initiative est actuellement co-présidée par Monaco, l’Australie et l’Indonésie. Au cours de cette Assemblée Générale, le nouveau secrétariat de l’ICRI a entériné son plan d’action 2018-2020 qui se veut à la fois ambitieux mais aussi pragmatique et réaliste, et vise à adresser les nombreuses pressions anthropiques auxquelles les récifs coralliens font face. Deux comités ad hoc ont été créés, le premier visant à l’élaboration d’une recommandation concernant l’objectif post Aichi 2020 pour les récifs coralliens, le second dédié à la restauration récifale. Enfin quatre nouveaux membres ont été accueillis parmi lesquels la Nouvelle-Calédonie, premier territoire d’outre-mer à rejoindre l’ICRI (www.icriforum.org).

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LES RÉCIFS CORALLIENS

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FINANCE INNOVANTE ET RÉCIFS CORALLIENS

L'un des principaux défis à relever lors de la mise en œuvre d'activités de conservation du corail est son financement. Un atelier d’experts sur la finance innovante, organisé par l’ICRI le 4 décembre, a permis de donner un aperçu des opportunités de financement liées à la conservation marine et plus particulièrement celle des récifs coralliens et écosystèmes connexes. Les fonds actuellement nécessaires pour une conservation efficace et durable dépassent largement les fonds disponibles, générant un déficit de financement important.

La vingtaine d’experts de la finance bleue ont ainsi évoqués les « Blue Bonds » utilisant les marchés financiers pour financer des projets environnementaux liés à l’océan, des paiements pour utilisation des écosystèmes (Payment for Ecosystem Services). Initiative mise en avant le lancement du fonds mondial pour les récifs coralliens portée par la Fondation Prince Albert II de Monaco et le groupe Vulcan, dernièrement annoncé lors de la Conférence Our Ocean à Bali.

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SAVE THE DATE

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La date de la 3ème édition de ce gala d'exception est désormais dévoilée. Jeudi 26 septembre 2019, la Fondation Prince Albert  II de Monaco réunira de nouveau, à ses côtés, de grands noms de la scène internationale pour une prestigieuse soirée de levée de fonds au profi t de ses actions de conservation marine. Célébrités et philanthropes s'étaient fortement mobilisés lors des deux premières éditions, témoignant d'un engagement réel en faveur d'un océan durable. Après avoir plongé ses invités "vingt mille lieues sous les mers" lors de l'édition 2018, le 3ème Monte-Carlo Gala for the Global Ocean créera de nouveau la surprise avec un décor spécialement imaginé pour l'occasion. Performances et vente aux enchères, sous le marteau de Simon de Pury, rythmeront cette grande soirée.

ARTISTES ET PHILANTHROPES S'ENGAGENT POUR LE FUTUR DE L’HUMANITÉ

De gauche à droite entourant Leurs Altesses Sérénissimes le Prince Albert II de Monaco et la Princesse Charlène de Monaco  : Gloria Gaynor, Robert Davi, Orlando Bloom, Katy Perry, Lior Suchard, Chris Tucker, Robin Thicke et Elew

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« Prendre soin de la planète est extrêmement important pour moi, je suis donc ravie de pouvoir soutenir SAS le Prince Albert de Monaco et sa fondation. La sérénité et la vie des océans sont menacées -

nous pouvons faire avancer les choses et devrions tout faire pour les préserver. Le Monte-Carlo Gala est des plus nécessaires afi n de réunir les fonds

permettant la sauvegarde de nos océans. »

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MONTE-CARLO GALA FOR THE GLOBAL OCEAN 2019

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S.A.S. le Prince Albert II de Monaco, accompagné. de S.A.S. la Princesse Charlène de Monaco, a présidé le deuxième Monte-Carlo Gala for the Global Ocean en septembre dernier. Lors de son allocution, S.A.S. le Prince Souverain a rappelé les menaces pesant sur l’environnement marin « Aujourd’hui, les océans, ces masses d’eau, qui représentent plus d'un milliard de kilomètres cubes, sont fragilisés. Aujourd'hui, ces étendues qui couvrent plus des deux-tiers de la Planète sont menacées comme jamais elles ne l’ont été dans l'histoire. Aujourd'hui, les océans ont besoin de nous (…) Ils ont besoin que nous les protégions. Ils ont besoin que nous inventions un nouveau rapport avec eux : plus attentif, plus responsable, plus durable. C’est ce que Ma Fondation s’attache à faire, depuis douze ans maintenant. »

Orlando Bloom honoré du « Prix spécial de la Fondation Prince Albert  II de Monaco » en reconnaissance de ses actions de sensibilisation du grand public quant aux enjeux liés à la protection de l’environnement.

Acceptant le prix des mains du Souverain, l’acteur a souligné : « L'urgence du changement climatique n'a jamais été aussi forte qu'aujourd'hui. La science est claire. Que diront-ils de nous dans cent ans ? Que nous savions et sommes restés sans rien faire ? Le monde change et avec lui nous devons changer nos habitudes. Donc, je vous mets au défi de penser à l’impact que vous avez, ainsi qu’à l'héritage que vous laisserez à vos enfants et petits-enfants, car je pense sincèrement que chaque individu est capable de créer un changement réel et majeur. »

« Nous avons tous la responsabilité de préserver la beauté et la vie de notre planète.

Les océans représentent 70% de la surface de la planète, il est donc essentiel de faire

tout ce qui est en notre pouvoir pour les préserver.»

Toni Garrn

S.A.S. le Prince Albert II de Monaco et l’acteur Orlando Bloom

Le Monte-Carlo Gala for the Global Ocean est organisé par la Fondation Prince Albert II de Monaco et Milutin Gatsby, Global Fundraising Chairman, avec le soutien du Monaco Yacht Show, de l’Institut océanographique - Fondation Prince Albert Ier, du Yacht Club de Monaco, de la Société des Bains de Mer et du Monaco Private Label.

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CAP SUR LA HAUTE MER

Au-delà des juridictions nationales, à 200 miles nautiques des côtes, débute la haute mer couvrant près de la moitié de la Planète. Cet espace océanique à la biodiversité exceptionnelle est à la croisée d’enjeux économiques, politiques mais surtout environnementaux. Convoitée, victime d’un trafic maritime intense des plus polluants, menacée par la surexploitation de ses ressources, la haute mer a plus que jamais besoin d’une règlementation internationale pour limiter l’impact négatif de nos activités. Dans cet objectif de conservation et d’utilisation durable de la biodiversité marine au-delà des juridictions nationales, les Aires Marines Protégées sont des outils de gestion efficients, aux bénéfices écologiques reconnus.

Dans un message adressé à l’occasion de la conférence « la Haute Mer, quels enjeux ? » organisée en juin 2018 à la Maison des Océans à Paris, S.A.S. le Prince Souverain rappelait l’importance d’œuvrer ensemble afin de résoudre les problèmes liés à la préservation de la haute mer, les équilibres à respecter ainsi que les besoins à satisfaire en matière de gestion. L’amélioration de leur gestion et de leur coordination à un niveau international permettrait en effet de combler une lacune dans la gouvernance des océans tout en renforçant la durabilité des ressources marines. Identifier, définir et créer un réseau de zones protégées qui soient écologiquement représentatives et bien connectées sont des étapes essentielles de la protection des océans. Rappelons que les 49 sites marins,

actuellement inscrits au Patrimoine Mondial de l’UNESCO sont sous contrôle de juridictions nationales. Il est ainsi crucial à présent de protéger le patrimoine unique dont regorge la haute mer.

UNESCO, VERS UN PATRIMOINE MONDIAL DE LA HAUTE MER

Les 11 et 12 décembre derniers, l’UNESCO s’est attaché à répondre à cet enjeu lors d’un atelier de travail dédié aux modalités pratiques liées à la protection - par le biais de la Convention du patrimoine mondial de 1972 - des aires marines reconnues uniques à l’échelle mondiale et situées au-delà des limites nationales de juridiction.

Faisant suite au rapport « le patrimoine mondial en haute mer : une idée qui fait son chemin », publié en 2016 conjointement par le Centre du Patrimoine mondial de l’UNESCO et l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), cinq sites ont été identifiés comme pouvant potentiellement avoir une Valeur Universelle Exceptionnelle.

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FOCUS

PRÉSERVER LA BIODIVERSITÉ MARINE AU-DELÀ DES JURIDICTIONS NATIONALES

« Protéger la haute mer des convoitises est un enjeu crucial

pour les prochaines années »

SE. M. Bernard Fautrier Vice-Président de la Fondation Prince Albert II de Monaco

L’atelier, auquel participait S.E. M. Bernard Fautrier, était organisé avec le soutien de la Fondation Prince Albert II de Monaco, qui œuvre depuis plusieurs années à la mise en place d’un réseau d’AMP en haute mer qui soit reconnu au Patrimoine mondial de l’Unesco. La Fondation a notamment œuvré en Arctique afi n d’y limiter l’ouverture de nouvelles routes maritimes et l’exploitation des ressources minières ou encore en Antarctique avec la sanctuarisation de la Mer de Ross, devenant l’un des plus grands sanctuaires marins au monde avec 1,12 millions km2. Les efforts doivent être poursuivis afi n de protéger d’autres zones de l’Antarctique et plus particulièrement sur la façade orientale.

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Dans l’océan Pacifi que tout d’abord avec le Dôme thermal du Costa Rica et le Café des requins blancs, puis dans l’océan Atlantique avec la mer des Sargasses et le Champ hydrothermal de la Cité perdue et, enfi n, dans l’océan Indien l’Atlantis Bank.

Alors même que la Convention du patrimoine mondial est considérée applicable à la haute mer, sa mise en pratique s’avère plus complexe dans les faits. Les experts juridiques, réunis à Monaco lors de l’atelier, ce sont attelés à défi nir un cadre de mise en œuvre de cette convention, actuellement non adaptée à la nomination,

la protection, et l’évaluation de ces zones marines, en dehors des juridictions nationales. La réunion a permis d’étudier simultanément les synergies et les possibilités de collaboration créées dans le cadre des négociations en cours de la Conférence intergouvernementale (CIG) sur un instrument international juridiquement contraignant se rapportant à la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM) et portant sur la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine dans les zones ne relevant pas de juridictions nationales.

NATIONS-UNIES, LA CONFÉRENCE INTERGOUVERNEMENTALE TIENDRA SA DEUXIÈME SESSION AU PRINTEMPS À NEW-YORK

Mise en place fi n 2017 par l’Assemblée Générale des Nations Unies, la conférence intergouvernementale a pour mission d’examiner les recommandations du Comité préparatoire en vue d’établir un instrument international juridiquement contraignant relevant de la Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM) quant à l’utilisation, la conservation et l’utilisation durable de la biodiversité marine des zones ne relevant pas de la juridiction nationale. Quatre sessions ont été planifi ées, la première ayant eu lieu au siège de l’ONU en septembre 2018.

Les 2ème et 3ème sessions se tiendront respectivement du 25 mars au 5 avril 2019 et du 19 au 30 août 2019. La quatrième session quant à elle se déroulera au premier semestre de 2020.

Les experts juridiques de l’UNESCO réunis à Monaco aux côtés de S .E. M Bernard Fautrier, Vice-Président de la Fondation Prince Albert II de Monaco et de Mme Mechtild Rössler, Directrice du Centre du patrimoine mondial de l’UNESCO lors de l’atelier « Protéger les sites de Valeur Universelle Exceptionnelle potentielle en haute mer : modalités pratiques »

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Test de dépollution dans le parking du Centre Commercial ‘Carrefour’Dans le cadre de ses projets Innovation et Qualité de vie, le Département de l’Equipement, de l’Environnement et de l’Urbanisme conduit un test de dépollution de l’air dans le parking du Centre Commercial Carrefour. Des appareils de mesure de la qualité de l’air ont été installés par la société spécialisée Kali’air à la sortie des véhicules et au milieu du parking au niveau -1.Ces appareils permettent d’évaluer la qualité de l’air en des points stratégiques du parking. Des panneaux, mis au point par la société italienne Anemotech et dont le revêtement innovant dénommé « theBreath » est dépolluant, ont été installés à proximité des appareils de mesure. L’objectif du test est d’évaluer la qualité de l’air avant la pose des panneaux dépolluants et quelques jours après. Les écarts relevés entre les deux périodes seront analysés ainsi que le tissu des panneaux après utilisation pour évaluer la pollution capturée. Le résultat escompté est une qualité de l’air améliorée grâce à la mise en place de ces panneaux dépolluants.

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La Direction des Affaires Culturelles doublement certifiée Patrice Cellario, Conseiller de Gouvernement – Ministre de l’Intérieur et Jean-Charles Curau, Directeur des Affaires Culturelles, viennent d’annoncer, en présence de Stéphane Periphanos, consultant pour le Bureau Veritas, organisme certificateur, que la Direction des Affaires Culturelles est, depuis le 15 janvier 2019, certifiée aux normes ISO 9001 et 14001.Lancée en 2017, cette démarche s’inscrit dans le cadre des actions menées par S.A.S. le Prince Souverain en faveur de la protection de l’environnement et du développement durable, en cohérence avec la politique générale du Gouvernement Princier en matière de modernisation de l’Administration. Par cette certification, la Direction des Affaires Culturelles souhaite affirmer sa volonté d’amélioration continue de la qualité des services rendus aux usagers et aux administrés et contribuer à la réduction de l’impact environnemental. Les certifications concernent le siège de la Direction des Affaires Culturelles, l’Auditorium Rainier III et le Théâtre des Variétés.

2Les vélos àassistance électrique intègrent le dispositif d’aide à l’achat des véhicules écologiquesDans le cadre des actions liées à la mobilité, le Gouvernement mène une politique engagée en faveur des véhicules propres ou peu polluants. Depuis 1994, année de leur création, le barème des subventions a évolué afin de le recentrer sur les véhicules les plus vertueux et de prendre en compte les évolutions de la technologie.

C’est dans cet objectif que le Gouvernement a souhaité faire évoluer le dispositif avec la mise en place d’une subvention concernant les vélos à assistance électrique d’une puissance inférieure ou égale à 250 W, non immatriculés, et dont les propriétaires résident en Principauté. Ils pourront, dès lors, bénéficier d’une aide à l’achat de 30 % du prix du véhicule T.T.C., plafonnée à 400 euros.

Par ailleurs, afin d’encourager l’achat de véhicules écologiques, le plafond de l’aide à l’achat passe de 9.000 à 10.000 euros pour les quatre roues électriques et de 8.000 à 10.000 euros pour les véhicules hybrides rechargeables émettant moins de 21 g/km de CO2.

De plus, afin d’inciter les chauffeurs de taxis et les sociétés de grande remise à se doter, dans le cadre de leur activité, de véhicules plus vertueux, ces derniers pourront bénéficier d’une aide forfaitaire complémentaire de 3.000 euros, qui vient s’ajouter à l’aide octroyée dans le cadre du dispositif.

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Les nouvelles propulsions du Yachting dévoilées et testées à MonacoA l’issue de la Monaco Ocean Week, en faveur de la préservation des océans, le Yacht Club de Monaco a dévoilé les grandes lignes de la 6e édition du Monaco Solar & Energy Boat Challenge. Organisé du 2 au 6 juillet 2019, en collaboration avec la Fondation Prince Albert II de Monaco et l’Union Internationale Motonautique, ce rendez-vous de nouvelles technologies et de partage, renoue avec la tradition d’innovation de Monaco en matière de motorisation, lorsque la Principauté organisait ses premiers meetings de canots automobiles dès 1904.

Lancé en 2014, cet évènement motonautique unique au monde, ouvert au public, qui bénéficie du soutien de Credit Suisse et de SBM Offshore, réunit 3 catégories de bateaux : Solar, Offshore et Energy Class. Son objectif est de laisser le champ libre à la créativité des jeunes ingénieurs associés à l’expérience d’industriels, afin d’imaginer et d’optimiser les différents modes de propulsion du Yachting de demain, avec exclusivement des sources d’énergie propre. En marge des épreuves nautiques et des exhibitions, la quarantaine d’équipes internationales, composées d’étudiants et de professionnels viendra présenter leurs avancées technologiques liées aux énergies propres, dans le secteur de l’ingénierie navale, sous forme de Tech Talks journaliers en Open Source. Un véritable défi technologique afin de répondre aux enjeux énergétiques et environnementaux des industries nautiques et maritimes.

Monaco lance un appel à propositions pour le futur centre de traitementdes déchetsMarie-Pierre Gramaglia, Conseiller de Gouvernement-Ministre de l’Équipement, de l’Environnement et de l’Urbanisme, a annoncé le lancement de l’appel à propositions pour la création d’un centre de traitement et de valorisation des déchets non recyclables. « L’objectif est de se doter, dès 2026, d’un équipement exemplaire en termes d’impact environnemental, vitrine de solutions technologiques innovantes, tout en étant adapté à certaines contraintes (site, milieu urbain, etc.) » a souligné Marie-Pierre Gramaglia.

À cette fin, un appel à propositions technologiques sera publié au niveau international, et devra faire émerger les meilleures technologies disponibles, ou à l’état d’innovations, permettant de traiter les déchets de la Principauté. À l’issue de cette première phase, qui se terminera en juillet, 3 à 5 constructeurs de technologies devraient être retenus.

Ils devront répondre aux critères suivants :* Minimiser les impacts environnementaux du Projet (niveau et nature des rejets niveau des nuisances olfactives et sonores, niveau des impacts sur les riverains…) ;* Maîtriser totalement les risques industriels et optimiser la sécurité des installations, pour le personnel, les visiteurs et pour les riverains ;* Donner priorité à une baisse des émissions directes des gaz à effet de serre de l’unité de traitement dans les objectifs du protocole de Kyoto.

La phase 2, qui concerne la mise en concurrence des candidats à la Concession, durera environ 1 an. Cette étape imposera aux constructeurs des technologies retenues, la création d’une équipe complète comprenant un exploitant, des entreprises de travaux ainsi que des partenaires financiers. À l’issue des négociations avec l’État monégasque, le choix du titulaire sera annoncé (au plus tard à la fin du premier semestre 2020).

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Édité par la Direction de la Communicationdu Grimaldi Forum10 av. Princesse Grace, 98000 MONACOTél 00377 9999 2500Avec le précieux concours de la Fondation Prince Albert II de Monaco et de la Direction du Tourismeet des Congrès de MonacoRédaction : Hervé Zorgniotti(hzorgniotti@grimaldiforum.com)Nadège Massé (nmasse@fpa2.org)Estelle Antognelli (eantognelli@gouv.mc)Arielle Barrabino (abarrabino@gouv.mc)Conception graphique : Aurély AntzembergerCrédits photos : Fondation Prince Albert II de Monaco, Direction du Tourisme et des Congrès, Direction de la Communication Monaco, Grimaldi Forum, JC Vinaj, Getty Images

Distribution et diffusion uniquement par voie électroniqueet en téléchargement sur www.grimaldiforum.com

Abonnement gratuitsur demande àlemag@grimaldiforum.mc

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LE GRIMALDI FORUM MONACOET LA DIRECTION DU TOURISMEDE LA PRINCIPAUTÉ, SE MOBILISENTAUX CÔTÉS DE LA FONDATIONPRINCE ALBERT II DE MONACO, DANS LE CADRE DE L’INITIATIVE «MONACO, S’ENGAGE CONTRE LA DÉFORESTATION»

SOUTENEZ VOUS AUSSILA LUTTE CONTRE LA DÉFORESTATIONMENÉE PAR LA FONDATIONPRINCE ALBERT II DE MONACO

La Fondation Prince Albert II de Monaco soutient de nombreux projets de lutte contre la déforestation ou d’aide à leur éco-certification dans divers pays abritant les plus grandes forêts humides de notre planète. Avec l’association monégasque MC2D, elle souhaite développer l’utilisation de bois certifiés sur le territoire et rendre la Principauté exemplaire dans ce domaine. L’objectif est de sensibiliser tous les utilisateurs du bois ou des produits dérivés à cet enjeu en les encourageant à s’engager vers la certification ou l’achat de bois certifié. Ainsi la Fondation agit aussi bien à la source en soutenant, sur le terrain, la gestion raisonnée des forêts, qu’au final en informant le consommateur.

A la Fondation PrinceAlbert II de Monaco :www.fpa2.com

Pour en savoir plus :www.tft-forests.org/cse.php

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TMC s’engage pour la transition énergétique de MonacoCéline Nallet, Directrice Générale des chaînes de la TNT du groupe TF1 (TMC, NT1 et HD1), signait ce jeudi 21 mars, au nom de Télé Monte-Carlo - TMC, la Charte d’engagement du Pacte National pour la Transition Energétique.La cérémonie s’est déroulée en présence de S.E. M. le Ministre d’Etat, Marie-Pierre Gramaglia, Conseiller de Gouvernement - Ministre de l’Équipement, de l’Environnement et de l’Urbanisme, Catherine Puiseux, Directrice RSE pour le Groupe TF1, Etienne Franzi, Vice-Président de TMC, Olivier Mercier, Directeur de site et de la diffusion de TMC et Annabelle Jaeger-Seydoux, Directeur de la Mission pour la Transition Energétique.

Le Ministre d’Etat a rappelé que « le Prince Souverain avait la volonté que la Principauté s’engage à atteindre l’objectif carbone en 2050. Avec l’adhésion au Pacte National pour la Transition Energétique, chacun agit individuellement et collectivement pour aller en ce sens ». Il s’est réjoui de la signature de ce Pacte par TMC, « une signature particulièrement symbolique et importante dans le cas de cette chaîne emblématique pour nous, par son histoire, son rayonnement et son dynamisme ».

En diminuant le nombre de déplacements professionnels, via l’utilisation de la visioconférence entre les équipes de Paris et Monaco, en développant le télétravail - axe prioritaire de la politique du Gouvernement - et en proposant des équipements à meilleure efficacité énergétique, TMC apporte également sa contribution au mouvement, lequel rassemble déjà plus de 700 signataires en Principauté.

Création d’une aire marine éducativeà MonacoLa Principauté de Monaco s’est engagée dans la création d’une aire marine éducative. Ce projet, proposé par l’Association Monégasque pour la Protection de la Nature (AMPN), est mené dans le cadre d’un partenariat avec le Gouvernement Princier et avec le soutien de la Fondation Prince Albert II de Monaco.Le concept d’aire marine éducative est né en 2012 en Polynésie, aux Iles Marquises, de l’imagination des enfants de l’école de Vaitahu. Il s’agit d’une zone maritime littorale de petite taille, gérée de manière participative par les enfants d’une école primaire, favorisant ainsi la connaissance et la protection du milieu marin par des jeunes publics. Chaque année scolaire, les élèves d’une classe de 7ème aidés de leur enseignant et accompagnés par un référent scientifique définissent des objectifs de gestion et mettent en place des « actions pour la mer ».

En Principauté, la classe de 7ème C de l’Ecole des Révoires a été retenue par la Direction de l’Education Nationale, de la Jeunesse et des Sports pour initier l’aire marine éducative. Une fois le projet présenté aux enfants par l’équipe de l’AMPN, ceux-ci ont constitué au sein de leur classe un « conseil des enfants pour la mer » afin de réfléchir sur le choix du site le plus adapté. L’étude du littoral monégasque les a conduits à privilégier la zone située entre la digue flottante du Port Hercule et le Musée océanographique, celle-ci présentant une diversité d’habitats, naturels ou artificiels, mais aussi une grande richesse en termes de biodiversité marine et terrestre. Une visite approfondie du site leur a permis d’en appréhender toutes les particularités et de dresser un premier état des lieux, étape nécessaire à l’identification des prochaines « actions pour la mer ».Outre sa valeur inestimable pour sensibiliser les enfants à la protection de l’environnement, le concept d’aire marine éducative s’insère aisément dans les programmes officiels d’enseignement en valorisant les activités transversales. A terme, les élèves tisseront également un réseau relationnel avec de nombreuses entités de la Principauté qui, par leur engagement, leurs domaines de compétences ou leur savoir-faire, les accompagneront pour mener à bien leurs objectifs.

Inauguration du parc de panneaux solairesdu Monte-Carlo BayMarie-Pierre Gramaglia, Conseiller de Gouvernement-Ministre de l’Equipement, de l’Environnement et de l’Urbanisme, a inauguré mardi 9 avril, le parc de panneaux solaires du Monte-Carlo Bay. Cette inauguration s’est déroulée en présence de Frédéric Darnet, Directeur de l’hôtel et de Thomas Battaglione, Administrateur Directeur Général de la SMEG.Après avoir félicité la Société des Bains de Mer, le Monte-Carlo Bay et la SMEG pour ce fructueux partenariat qui a permis l’établissement de ce parc, le Conseiller de Gouvernement a souligné : « J’encourage vivement les propriétaires privés à suivre l’initiative de la SBM, et à participer à leur tour, au développement du solaire dans notre pays ».

Ce parc photovoltaïque de 1 000 m2 est aujourd’hui le plus important en Principauté. Cette opération permettra de produire localement l’équivalent de la consommation annuelle d’une trentaine de logements, soit environ 160 MWh pour une puissance de 154 kWc. Lauréat des Trophées e+ « énergie positive » de 2017, le Mc Bay affirme ainsi une nouvelle fois son ambition environnementale, au travers de cette réalisation commune avec la SMEG.

La centrale solaire du Monte-Carlo Bay, financée, exploitée et réalisée par la SMEG bénéficie de la subvention du Gouvernement allouée pour l’installation de panneaux photovoltaïques.

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