2. Nassim Haramein : conférence du 2 novembre 2013 et Paris le...

1. Nassim Haramein : conférence du 2 novembre 2013 et Paris le 23 avril 2016

Nassim Haramein (Ci-après NH) : La théorie de l'unification (2 novembre 2013)1

NH va travailler avec la physicienne Elisabeth Rauscher. Pour eux, la seule chose qui existe, c'est le point dans lequel il y a une quantité infinie d'informations. Mais si les divisions sont infinies, comment peut-il y avoir une structure finie ? Les deux sont en fait complémentaires. Il existe cent mille milliards de cellules chacune composée de plusieurs milliards d'atomes, le tout

peut encore être divisé jusqu'à l'infini, ce qui veut dire que notre corps physique contient l'infini. Il n'y a pas besoin d'un concept qui contienne cette infinité. Nous avons observé toujours plus loin dans l'infiniment petit et décrété que l'univers s'était arrêté avec la particule de Dieu comme s'il ne ferait rien de plus petit ! Au lieu de chercher cela, il vaudrait mieux chercher un modèle fondamental de division de l'univers.

La seule chose qui se trouve partout, c'est l'espace. Il représente99,99999% de tout. C'est lui qui définit les objets. Il est la source et ne peut pas être vide. Il est infiniment plein, très dense, mais cette densité a été

renormalisée pour les équations car c'est la plus petite longueur d'onde. Les physiciens ont décidé que dans un cm3 , il y avait : 1093. C'est énorme : en compactant toutes les galaxies nous aurions seulement 1055 g. C'est encore 39 fois moins que la densité de l'univers !

La loi de puissance donne d'un côté la densité et de l'autre le rayon de l'espace. Notre univers obéit à la condition d'un trou noir : il est trop dense pour que la lumière s'en échappe. Mais en alignant toutes les données sur un graphique, de l'univers jusqu'à l'atome, puis à la distance de Planck, il s'est dégagé une constante proche du ratio de PHI : 1,618. Avec les suites de Fibonacci, ces ratios sont partout dans la nature, notre corps, les atomes ou les notes musicales. Les microtubules au niveau biologique se situent au milieu du graphique. Comme si notre structure était la condition limite entre l'infiniment grand etl'infiniment petit. Nous sommes en quelque sorte l'horizon du trou noir. L'atome lui aussi se trouve entre la taille de l'univers et la longueur dePlanck. Cela veut dire que l'atome se comporte luiaussi comme un trou noir. Mais pour que cela soit, ildoit exister une masse infinie à l'intérieur d'unatome. NH postule l'existence de trous noirs danstoutes les galaxies, et sa prédiction se révélera exacte.Décrire l'atome comme un mini trou noir nécessitaitun changement conceptuel, notamment de prendreen compte la réalité du vide attestée par l'effetCasimir. NH calcule alors le volume d'un proton et levide qu'il peut contenir.C'est donc le même chiffre que la masse de l'univers. Le vide est bien ce qui relie toute chose et qui permet de dire tout est Un ! NH calcule qu'il faut 10-39% d'énergie convertie enmasse pour faire d'un proton un mini trou noir. Mais le proton classique était plus lourd

1. https://cedglobalchange.wordpress.com/2013/11/02/nassim-haramein-et-la-theorie-de-lunification-notre-realite-exposee/

https://cedglobalchange.wordpress.com/2013/11/02/nassim-haramein-et-la-theorie-de-lunification-notre-realite-exposee/



que celui définit par les calculs (1024 au lieu de 1014). La question était de savoir ce qui pouvait répondre à la force de Coulomb :

Mais quelle était la source de cette force présumée ? Sans elle, cela ne tenait pas. Si la gravité était égale à 1 il fallait une force de 1038-1039. C'est l'énergie de confinement nécessaire pour garantir la cohésion de l'atome et des particules subatomiques. Et cette énergie, c'est en fait la gravité qui tourne entre deux protons trous noirs à la vitesse de la lumière ou proche d'elle. Les anciennes sources ne nous disaient-elles pas que nous sommes lumière ? Ces résultats permettaient de rejoindre les équations d'Einstein et de postuler un échange constant avec le vide, à la vitesse de la lumière. Les informations s'échangent à tous les niveaux depuis l'univers à la longueur de Planck. Et cet échange d'informations est le principe organisateur de tout. La conscience en est un élément qui fonctionne par rétroaction. L'unification de la physique conduit aussi à l'unification de la vie et de la conscience.

NH va dérouler son modèle à travers une représentation géométriques des 64 tétraèdres dans une sphère avec au centre le vecteur d'équilibre : le cuboctahedron. Les polarités sont rassemblées pour produire la singularité, le parfait équilibre en son centre. C'est la géométrie parfaite du vide. Cette structure peut grandir de l'infiniment petit à l'infiniment grand. C'est une structure fractale infinie.

Elle peut se construire également avec les 8 tétraèdres étoilés. Une fois rassemblés, ils pointent l'équilibre vers le centre. Cela donne les 2 côtés du trou noir (vers l'extérieur et vers l'intérieur).L'espace-temps a une rotation en tourbillon et cela produit le double spin. Le trou noir mais il n'est pas lisse et sphérique. Sous l'effet coriolis, c'est un tore, comme un beignet avec un trou en son centre. Mais il en fallait 2, chacun allant dans un sens. Comme la météo sur notre planète ; on obtient une structure en rotation à tous les niveaux qui se rejoint en son centre et repart ; au centre, on trouve le vide qui relie tout de manière infiniment dense. Cela explique comment les champs magnétiques sont produits et la courbure de l’espace-temps. L'électron et le positron s'échangent dans le double tore. Le vide produit par exemple un électron qui ensuite disparaît et informe le vide qui informe à son tour le monde matériel en retour lorsque l'électron repart. Ainsi, nous apparaissons et nous disparaissons sans arrêt à un rythme très rapide et à la vitesse de la lumière. La moitié du temps, nous sommes issus du vide...et l'autre, nous informons le vide. C'est aussi le mouvement de la conscience qui nous informe par rétroaction que nous existons. C'est la structure du double tore qui le permet. C'est un échange permanent d'informations qui nous affecte, du dedans vers l’extérieur et de


l’extérieur vers le dedans: nous co-créons en permanence laréalité. La création est continue à tous les niveaux de lasingularité ; quand la double tore et l'effet Coriolis s'équilibrentvers la singularité, alors le trou noir produit de la matière, lesgalaxies, et cela tout le temps. Le trou noir devrait s'écrire TOUTparce qu'il est la structure fondamentale du vide. Il n'absorbe passeulement, il diffuse aussi de l'information, ce sont des trousnoirs/blancs comme le ying et le yang. Les structures du vide etles fluctuations qui s'y déroulent sont à l'origine de tout et noussommes en constantes relations.

Le temps est venu de nous ouvrir à de nouveaux horizons : c'est notre tout d'évoluer...

Nassim évoque aussi les traces du passé bien résumées sur ce site2 :

La fractale infinie dans un espace fini :

Les anciennes civilisations, gardiennes de la connaissance

Le tore, la fleur de vie ont été encodés par différentes cultures depuis des millénaires. Les cultures ancestrales ont ancré ce code dans les formes les plus durables dont elles disposaient : dans les histoires, les icônes, les alphabets et les constructions.

Le temple d’Osiris à Abydos (Egypte)Il existe une information importante dans ce temple sous la forme d’un dessin, à peine visible, mais clair et précis. Il n’est pas gravé dans la roche, ni sculpté, mais brûlé dans la structure atomique de la roche.Ce symbole a été décodé par Nassim Haramein en trois dimensions. Étant donné que notremonde n’est pas en deux dimensions, les codes donnant des informations à son sujet ne sont pas limitées à des représentations plates.Sa version tridimensionnelle du symbole d’Osiris commence par le vector equilibrium, un champ de force parfaitement équilibré, avec 12 lignes d’énergies égales qui rayonnent. Elles stabilisent son centre comme les 12 rayons d’une roue.

Le modèle primaire du flux d’énergie équilibré autour de cette structure est le tore.

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Le niveau suivant est un modèle plus vasteavec 64 tétraèdres.

Si nous plaçons des sphères dans lareprésentation du flux d’énergie toroïdaleentourant chacune des pyramides, et que nousécartons ces dernières, nous obtenons unematrice qui se superpose avec l’icône d’Osiris,un modèle en 3 dimensions identique à ce luibrûlé dans le mur du temple égyptien, il y a desmilliers d’années.

L’arbre de vie cabalistique et hébreu crééégalement une structure identique ; le vectorequilibrium y est intégré à chaque niveau.Il s'intègre aux 64 tétraèdres :À noter aussi letétragramme YAHVE, dont le mot grec gramatonpeut signifier gramme ou gravité...

La Cité Interdite à Beijing (Chine). La même structure apparaît dans ce site sacré,construit en 1420. A l’entrée, se trouvent leschiens fous, gardiens de la connaissance. Ils gardent la connaissance sous leurs pattes. Est-ce une simple coïncidence que cette même géométrie apparaisse en deux endroits sacrés et éloignés ? Cette géométrie a été encodée partout dans le Monde, dans différentes cultures au cours des siècles.

Le I ChingL’antique sagesse chinoise, intitulée I Ching, est basée sur 64 hexagrammes, symboles composés d’une série de six lignes, certainescontinues, d’autres cassées.Ceux-ci, une fois assemblés comme les six bordsd’un tétraèdre, forment le cristal à 64 tétraèdres.

Le Ying et le Yang renferment la dualité de toutce qui existe, l'harmonie et l'équilibre au sein del'univers. Les formes en noir et blanc dans lecercle représentent l'interaction de deuxénergies opposées, appelées « Yin » (noir) et «Yang » (blanc). Combinées, ces forces sont àl'origine de tout ce qui se produit dans notre monde. L’harmonie du monde, pour les chinois, est maintenue grâce au Yin et au Yang, ces deux forces complémentaires en éternelchangement.

Il est à noter que ce symbole signifie que le Yin et le Yang sont deux parties d’un seul tout. Chacune de ses parties renferme les qualités de la partie complémentaire. Il est donc important de ne pas séparer, ni « dualiser » chacune des parties pour en faire une entité individuelle.


Étymologiquement, le caractère du Yin signifie « Ombre ». Mais il peut représenter l’intériorité, la gentillesse, la négativité, la nuit, la lune, la féminité, la passivité, les ténèbres, etc. Étymologiquement, le caractère du Yang veut dire « Lumière ». Mais il peut être associé à l’extériorité, la fermeté, la positivité, la masculinité, le soleil, le jour, la lumière, etc.Les deux dimensions sont donc complémentaires et symétriques.

Enfin, il est clair que notre univers pourrait avoir été créé par un autre trou noir, par une « graine » venue d'ailleurs

Source : https://www.youtube.com/watch?v=6k7vZ6lMgwY

Cette vidéo est à voir in extenso même si elle dure 3 heures...Pour les personnes pressées, en voici un résumé des principales affirmations.

L'enjeu de notre époque est de passer de la rareté à l'abondance ; la rareté est la découverte de l'abondance ; nous ne sommes pas perdus dans l'univers sans un lien pour nous connecter à l'univers, car dans chaque atome, comme dans chaque trou noir, il y a presque une onde infinie d’énergie. Ce point de singularité est la connexion en l’infiniment grand et petit. Il équivaut à l'unitéde Planck (10-33 cm), un très petit point avec une énergie infinie ; il est ce qui nous connecte avec le tout. C'est l'espace qui est partout et qui relie tout à 99,99% avec des champs électromagnétiques partout qui interagissent : c'est ce qui nous donne l'illusion de la matière, de la densité des choses. L'espace n'est pas vide, il est la partie qui crée la matière. Il est plein d'informations et nous relie. Les objets sont une extension de l'espace. Tous les points de l'espace oscillent et ces fluctuations sont infinies. Elles sont renormalisées avec la longueur de Planck qui est la variable d'ajustement, des quanta d'énergie ou photons. Il y a en chaque point une quantité infinie d'énergie. Les physiciens ont renormalisé cet infini en l'arrêtant à la distance de Planck. Les champs d'énergie créent des trous de vers qui connectent l'énergie partout (Wheeler).

L'intrication de particules est due à des trous de vers qui connectent les particules au niveau quantique . La conscience est en interaction avec notre corps ; elle n'est pas créé par lui ; c'est l'information présente qui nous permet d'être en relation. Elle interagit avec les neurones comme une antenne, un émetteur récepteur ; l'effet de résonance capte l'information comme une radio. C'estl'état émotionnel qui met en état de résonance. L'espace-temps est donc connecté avec ces trous de vers : on est ainsi en communication avec le tout de l'univers. Pourquoi ne les sent-on pas ? Simplement parce qu'ils existent au niveau de Planck. Nous sommes faits de 100 mille milliards de cellules, nous sommes des miracles sur pieds.

Pour décrire une nouvelle physique, il faut démontrer que le champs de Planck est à l'originede la matière comme de la conscience qui en émerge. Mais cela veut dire aussi que toute la matière a la conscience ! Chaque point de la matière devient un bite d'information. C'est quoi alors la densité ? Combien d'informations ou d'énergies sont présentes dans un cm3 ?En général, on ne parle pas de cette énergie dans l'espace...Mais, ce concept a été démontré en laboratoire, notamment par l'effet Casimir qui montre que les photons sortent du vide.

https://www.youtube.com/watch?v=6k7vZ6lMgwY




De même, c'est l'énergie du vide (énergie noire etmatière noire qui font 96% de la masse de l'univers)qui pousse notre univers, et qui est responsable del'expansion. Plus il reçoit de l'information plus ilprovoque l’expansion. Nous vivons dans un trou noiroù tout est aligné dans une échelle qui montre quel'atome est aussi un trou noir.

La masse de l'univers est présente en tantqu'information du vide dans la masse d'un proton.Toutes les informations des protons de l'univers sontintriqués avec un proton ; cela se fait avec les trous devers. La gravité est alors la force forte entre 2 protons.

Mais il fallait encore expliquer la différence de mesure en laboratoire. NH va développer les équations suivantes :

Ce qui donnait la masse du proton enadéquation avec les théories d'Einstein. Unesolution géométrique qui définit l'espace-temps comme étant granuleux. Tous les pointsde Planck sont des oscillationsélectromagnétiques en rotation, et non lasurface des molécules. Ils ne peuvent pas êtreadjacents mais ils sont reliés par l figuregéométrique de la fleur de vie.

Le calcul de la masse du proton s'est révéléétonnamment exact :

La danse électromagnétique des unités de Planck crée les géométrie sacrées. Les informations s'échangent vers l'intérieur et vers l'extérieur, un peu comme un cœur qui bat. Et c'est à travers tous les protons que nous sommes connectés.

Information complémentaire (de Resonance Project): à l'intérieur du volume d'un unique proton dans le noyau d'un atome il y a 10 à la puissance 60 sphères ayant un diamètre égal à la longueur de Planck, aussi appelées Unités Sphériques de Plancks

(PSUs), qui oscillent dans la structure du vide.Le modèle de l’univers holofractographique deNassim Haramein révise le modèle des trous noirs


en modifiant la Topologie de la dynamique et de la structure de l’Espace-temps.

Plutôt qu’un trou noir décrit comme un entonnoir se courbant vers une singularité, un point, Nassim décrit un trou noir comme ayant la forme et la dynamique d’un tore, qui permet à l’information à la fois d’imploser et d’être en expansion depuis la singularité centrale.

Au lieu d’une information qui serait aspirée et disparaîtrait pour toujours pour on ne sait où, les trous noirs sont décrits à la fois comme des objets rayonnant et des « trous » qui implosent.Ce changement fut réalisé par Nassim en ajoutant la dynamique du spin (moment de torsion et forces de Coriolis) dans les équations relativistes d’ Albert Einstein.

Dans ce modèle, la topologie universelle de l’espace-temps (des trous noirs à toutes les échelles) est décrite comme un double tore en rotation qui passe continuellement par une phase d’expansion puis par une phase de contraction sur lui-même.

Tandis que l’espace-temps se courbe vers la singularité au centre, il décrit également une boucle, comme l’eau passant dans un siphon. Plutôt que de décrire la gravité en utilisant l’analogie de la balle sur un trampoline (surface plate), le nouveau modèle de Nassim décrit la gravité pour ce qu’elle est vraiment, une dynamique en boucle qui se produit dans un espace-temps en « 3D », et non sur une surface « plate ».

Cette courbure de l’espace-temps à toutes les échelles est la source mécanique du spin à toutes les échelles des atomes aux planètes, des étoiles aux galaxies, etc… La matière est en rotation à toutes les échelles car l’espace qui définit cette matière est lui-même en rotation.

Tandis que l’espace-temps se courbe vers une singularité, il approche la vitesse de la lumière, générant d’énormes forces centrifuges, qui à leur tour,causent une expansion.Cette expansion de l’espace-temps est finalement rattrapéepar la courbure de l’espace et se contracte à nouveau vers lasingularité, maintenant le système en mouvement perpétuel.

C’est ce processus continu de contraction et d’expansion quiproduit les forces de gravitationnelles et électromagnétiques.Le champ gravitationnel est généré alors que l’espace-tempsse courbe vers la singularité au centre du système et lespectre électromagnétique est produit quand les forcescentrifuges du spin à l’horizon des événements (qui sontproches de la vitesse de la lumière près de la singularité)provoquent son expansion et son rayonnement.

La spiritualité est dans la matière ; quand nous méditons, nous allons à l'intérieur ; ce qui fonde la vision à distance, la télépathie, etc. Nous sommes tousconnectés à la même énergie qui est accessible à toutmoment ; au niveau de Planck , un mouvement linéaire dubras n'existe pas : la main est recrée à chaque point car sinonil faudrait ajouter tous les mouvements de la terre, du soleil,etc.La prédiction de NH a été confirmée :le résultat est à l'intérieur de la marge d'erreur admissible, làoù le modèle standard avait une marge d'erreur de 4% !


NH a continué ses travaux pour expliquer l'électron. Cela permettrait de comprendre d'où vient l'électricité et d'où vient la charge.Avec son équipe, il a trouvé la solution : Il faut trouver le rayon de l'atome pour arriver à une prédiction valable de la masse de l'électron. Enfin, la solution prédit que le champs de Planck se divise à la grosseur d'un atome ; on prédit dès lors que l'atome sort de la structure de l'espace-temps au niveau de Planck et donc que la matière en émerge..

(alpha est la constante de la structure fine (1/137)

L’horizon du proton tourne à la vitesse de la lumière. Quand le rayon devient plus grand, la vitesse diminue et c'est ce qui donne l'atome. Plus elle diminue plus nous avons le tableau des éléments.Tout en découle ; nous sommes une organisation de cet ensemble, un vortex spécifique. Nous en sommes issus y compris au niveau électrique et magnétique. Notre conscience est un champ de résonance lui aussi spécifique ; chaque point est le centre de l'univers mais nous le sommes tous. L'information est donc en constante relation ; cela nous amène à des technologies nouvelles qui utilisent l'énergie du vide ; 1 seul cm3 donnerait suffisamment d'énergie pour toute la planète durantde nombreuses années ! On peut même faire de la matière à partir de l'énergie du vide. Ou créer des courbures de l'espace-temps ; créer un rayon gravitationnel ; les atomes pourraient bouger à 64 fois la vitesse de la lumière. Le prochain pas de l'humanité sera de comprendre la gravité et de l'utiliser. Beaucoup d'expériences sont menées dans des laboratoires ou des garages. Quelque chose de fantastique arrive qui va nous amener vers la certitude que l'univers est abondant, vers la compréhension que chacun est un apport critique à l'univers. Cela nous amène à une autre civilisation en construction permanente. Nous ferons une ascension globale physique et spirituelle. Nous devrons vivre ailleurs tout en laissant notre planète redevenir un jardin.

Informations données suite aux questions :

- NH travaille à créer des champs gravitationnels qui ont aussi un effet sur la biologie environnante qui favorise la croissance des plantes qui poussent 100 fois plus vite. Il utilise un cristal qui harmonise la structure de Planck de manière constante. On pourrait avec le même procédé rééquilibrer les radiations nucléaires.- La vitesse de la lumière est constante seulement dans notre univers. Le pixel de Planck est en rotation jusqu'au proton, à l'électron ; mais si nous étions dans un autre univers, cela pourrait changer.- NH à travers The Resonance Project forme des personnes dans 64 pays via un cours en anglais et un dialogue mensuel en proposant un module de formation. NH a déposé un brevet qui sera au


niveau public tout en vérifiant qu'il ne soit pas accaparé par des entreprises.- Le big bang est de tous les instants : l'univers est un proton sorti d'un autre univers ; c'est comme des graines qui sortent d'une fleur. Dans un document retrouvé en 2012, Einstein décrivait un univers créé à partir du vide. Il n'y a jamais un d'abord ; il y a toujours une continuation. Planck est une frontière ; il peut y en avoir des plus grandes ou des plus petites dans des multivers.- La conscience est de soi dans une relation de feedbacks (intérieur/extérieur) : l'information est transférée via le champs de Planck ; on peut mesurer la conscience globale qui a une influence sur les ordinateurs aléatoires ; les changements émotionnels montrent les changements d'organisation.- Les ondes scalaires sont celles qui font les orbites comme la vibration de Planck.

Il y a eu, avant 15'00ans, le déluge, de nombreuses technologies qui ont été perdues,dont celle de l'arche de l'alliance.

Réflexions en prolongement

La nouveauté radicale de NH nous enseigne que tout est issu du vide, de cette matrice divine ; que nous en sommes issus comme toute la matière, et que nous y retournons en permanence pour informer le vide, informations qui seront stockées dans l'espace-temps.

Ainsi, nous apparaissons et nous disparaissons sans arrêt à un rythme très rapide et à la vitesse de la lumière. La moitié du temps, nous sommes issus du vide...et l'autre, nous informons le vide. C'est aussi le mouvement de la conscience qui nous informe par rétroaction que nous existons. C'est la structure du double tore qui le permet. C'est un échange permanent d'informations qui nous affecte, du dedans vers l’extérieur et de l’extérieur vers le dedans: nous co-créons en permanence la réalité.

La méditation prend alors une autre tournure : Fermez les yeux et prenez conscience que l’espace dont vous êtes fait et qui vous entoure vibre comme un cristal.

Puis imaginez que le taux de vibration de votre structure biocristalline dans la structure du vide est équivalent aux informations qui se diffusent en vous et hors de vous – de la même manière qu’un récepteur à cristal accordé sur une certaine fréquence vous permet d’entendre une station radio spécifique.

Si le corps est l’antenne de la radio, le bouton de syntonisation est le cœur qui définit les fréquences d’informations reçues grâce au rythme de la dynamique des fluides de votre corps, celles-ci pouvant être modifiées par votre état émotionnel. Notre centre se situe au niveau du chakra du cœur car les battements du cœur produisent un champ 5000 fois plus fort que celui du cerveau. Ce centre neuro-cardio-vasculaire communique avec notre corps par les ondes gamma et par le liquide céphalo-rachidien.

Apparaître hors du vide et disparaître en lui est comme une respiration : cela se fait même si nous n'en avons pas conscience. Cela se fait indépendamment de nos croyances et convictions intimes : nous sommes tous en lien avec le vide, la Source, Dieu, que nous soyons athées, agnostiques ou croyants. Ce positionnement estdevenu caduc ! Nous ne pouvons pas éviter d'apparaître ou de disparaître hors du vide. Pas plus que nous ne pouvons ne pas donner ou recevoir d'informations. Avec la physique unifiée de NH, les lignes de définition de la spiritualité bougent considérablement. Peut-être alors serait-il bon d’agir dans le sens de la dynamique fondamentale de l’Univers à toutes les échelles en créant, dans notre propre champ énergétique, une structure toroïdale se courbant vers l’immobilité, vers la singularité du cœur, un peu comme dans l’œil d’un cyclone.


Peut-être pouvons-nous même intégrer l’Univers dans cette technique, en le visualisant quise compacte suivant un mouvement spiralé vers l’immobilité, la sérénité, le calme dans le cœur (expire), et qui entre en expansion à nouveau (inspire) vers la confiance/conscience dans le libre arbitre, et puis en répétant ce cycle encore et encore (= pranayama, technique de respiration).Vouloir éviter l'échange d'informations avec le vide matriciel est du plus haut comique puisqu'il a lieu de toute façon ; le nier est du plus haut tragique car nous nous privons d’une aide divine précieuse, d'un allier de choix.

Remarques personnelles :

NH est porteur d'une belle espérance en de nouveaux moyens technologiques : L'Univers ales moyens de nous faire évoluer vers des solutions qu se révéleront bonnes pour tous. J'apprécie énormément cette conviction fondamentale et j'espère en voir les débuts prometteurs.Dans son modèle, l'Univers n'a ni commencement ni fin ; notre univers est né du vide quantique ; tout en sort et tout y revient. La création est infinie. Et nous sommes l'Univers qui fait l'expérience en quelque sorte de lui-même. Je ne suis pas sûr d'aimer vraiment cette idée même si elle implique, comme le dit NH, que la dynamique profonde de l'Univers n'est pas la lutte mais la collaboration. Il y a quand même en ce bas monde – ou dans une vie - beaucoup de souffrances pour moins de bonheurs ! L'équilibre est difficile à atteindre, il ne l'a pas été à travers les siècles ; nous arrivons depuis peu à limiter les catastrophes naturelles ou les maladies par exemple. Quant à la violence humaine, elle demeure endémique. Cela fait-il partie de l'expérience ? N'est-ce pas une manière détournée d'en revenir à la vision déterministe qui définit l'univers comme une gigantesque machineà combiner les possibles, bons ou mauvais ? Ou encore une invitation à rejoindre la visions d'Einstein disant : « Je crois au Dieu de Spinoza qui se révèle lui-même dans l'ordre harmonieux de ce qui existe, et non en un Dieu qui se soucie du destin et des actions des êtres humains. » Mais comment savoir si ce qui existe est harmonieux ? Et si rien ne nous vient en aide, alors l'univers serait sans but ni intention ! Il faudrait n'en rien attendre et au contraire tout lui arracher...à l'inverse, s'il en émane une volonté et un but, quels sont-ils ? Le sujet est complexe. En observant l'évolution, je dirais que nous pouvons mettre en évidence une avancée significative vers une conscience, une liberté


et une intelligence accrues, vers une libération de la dominance de l'instinct, le tout s'exprimant dans des formes allant du plus simple au plus complexe. La Vie cherche son chemin et cela prend du temps.Le Vivant nous invite à l'équilibration des contraires, à nous situer entre l'équilibre absolu et son contraire le chaos absolu ; à vivre en dehors de la pétrification comme de la dissolution ; de l'absolu et du relatif ; si l'Univers se déclinait dans un parfait équilibre, - ou dans un chaos total - plus rien d'autre ne pourrait être ! La Vie se déroule donc entre les extrêmes. Et par conséquent entre l'obsession de soi, la réduction au Seul et l'oubli de soi. Entre la bonté naïve et la violence exacerbée. L'équilibration est le but et l'intention par laquelle nous sommes UN. Cela pourtant ne nous protège en rien contre le malheur ni contre la souffrance. Mais cela nous dit néanmoins comment nous en écarter...ou chercher. L'avenir se dessine sur plan physique et spirituel avec de nouveaux moyens technologiques. NH utilise son cristal comme moyen d'équilibrer le champ des unités de Planck. Il en surgira sans doute de nouveaux moyens d'évoluer vers un monde meilleur. En attendant, il serait grand temps de quitter le Grand Tout et le Grand Rien de la jouissance à tout va et du n'importe quoi infantile. Grand temps de reconnaître, selon la formule de l'apôtre Paul, que si tout est possible, tout ne convient pas, tout ne permet pas une équilibration digne de ce nom. Grand temps enfin de se démarquer de la construction contemporaine qui veut déconstruire le sacré en le remplaçant par du profane bien relatif. Le non-amour, le non-respect, la violence, la cruauté, l'exploitation de l'homme par l'homme par exemple ne sauraient être relativisés, affaire de perspectives et d'époque !NH fait le pari courageux d'une avancée significative par les découvertes scientifiques et ses avancées technologiques ; nous pourrons vivre enfin dans un monde où l'énergie sera gratuite, non polluante, disponible et bienfaisante. La violence devrait reculer nettement, le monde se pacifier. Pour le reste, il suffira d'expliquer aux gens qu'ils sont, chacun à sa manière, l'Univers qui fait l'expérience de lui-même.C'est une description un peu caricaturale mais le risque d'angélisme me semble ici bien présent ; l'humain n'est pas seulement dans sa lutte pour survivre : il l'est aussi dans la convoitise et la lutte pour avoir une vie plus belle et plus plus exaltante. Le désir mimétique qui nous taraude ne va pas disparaître magiquement : il faudra bien le décourager, apprendre à le contrôler par l'instruction et très certainement aussi par la méditation.

Peut-on aller plus loin ?

Si toute l'information se trouve bien au centre du vide, de la singularité, alors elle représente tous les possibles des possibles non encore matérialisés et elle est aussi l'information apportée par toute la création, nous y compris. À ce niveau, évidemment, le temps est empilé : le passé-présent-futur cohabitent. Les fils de notre vie y sont multiples. Et la matérialisation s'y fera par réduction d'état ; ce qui advient dans notre réalité vient ensomme du futur, comme passé-présent réactualisé, ou comme nouveauté. Certaines chosessont quasi immuables (un cailloux), d'autres seront très fugaces ou d'une très courte durée de vie ; mais nous contenons l'information de qui nous sommes, ceci en permanence. Plus nous sommes dans la maîtrise, plus cette information est massive, et le changement n'est alors guère possible ; c'est le poids du mental et celui de l'anima définis par Philippe Guillemant. Le vide matriciel en tient compte. Nous retrouvons ici la loi de Prigogine : plusune structure est stable moins elle peut évoluer ; plus elle est instable, plus elle peut se modifier.

Nous informons le vide matriciel de notre état global comme de nos désirs-besoins-souhaits-attentes ; c'est d'autant plus fort via l'émotion ; mais nous ne le faisons pas consciemment, pas réellement, donc de manière très fugace , car nous doutons qu'il y ait une présence réelle, une Puissance supérieure avec laquelle nous pourrions communiquer. Avec les travaux de NH, les choses changent ; il y a une toute puissance dans le vide matriciel : tout en vient et tout y retourne. Nous co-créons avec

elle notre réalité – et sans doute l'univers entier!-, sans elle nous ne le pourrions pas ! Cela fait bien de nous des observateurs-capteurs-acteurs du divin comme Philippe Guillemant l'avait pressenti. Nous recevons de l'information du vide – et cela peut se faire à tout


moment – sous forme d'intuition, d'inspiration, de prémonition, de heureux hasards et de synchronicités entre autres choses. Dans le vide matriciel, toute l'information est disponible, c'est là que se font les voyages hors de son corps, les expériences de mort imminente, ou les visions des devins... Ce sont des informations reçues en retour du vide matriciel, des feed-back accessibles à la conscience dans certaines conditions ou circonstances.

Y a-t-il une volonté et un but hors de la sphère humaine ?

Pour Einstein, l’esprit scientifique, puissamment armé en sa méthode, n’existe pas sans la religiosité cosmique. Elle se distingue de la croyance des foules naïves qui envisagent Dieu comme un être dont on espère la mansuétude et dont on redoute la punition – une espèce de sentiment exalté de même nature que les liens du fils avec le père– comme un être aussi avec qui on établit des rapports personnels, si respectueux soient-ils.

Mais le savant, lui, convaincu que la loi de causalité régit tout événement, envisage l’avenir et le passé comme soumis aux mêmes règles de nécessité et de déterminisme. La morale nelui pose pas un problème avec les dieux, mais avec les hommes. La religiosité d'Einstein consiste à s’étonner, à s’extasier devant l’harmonie des lois de la nature dévoilant une intelligence si supérieure que toutes les pensées humaines et toute leur ingéniosité ne peuvent révéler, face à elle, que leur néant dérisoire. Ce sentiment développe la règle dominante de la vie individuelle, de son courage, dans la mesure où l'humain surmonte la servitude de ses désirs égoïstes. Indubitablement, ce sentiment se compare à celui qui anima les esprits créateurs et religieux de tous les temps3 ." Mais il n’a rien à voir avec les religions classiques. La vérité religieuse ne représente rien pour Einstein, seule compte les vérités scientifiques ; « Le Dieu Juif [..] est la tentation de fonder la morale sur la crainte, une attitude déplorable et dérisoire » « Je crois au Dieu de Spinoza qui se révèle lui-même dans l'ordre harmonieux de ce qui existe, et non en un Dieu qui se soucie du destin et des actions des êtres humains. » « Il me semble que l’idée d’un Dieu à forme humaine est un concept que je ne peux prendre sérieusement. Je ne me sens pas non plus capable d’imaginer une volonté ou un but hors de la sphère humaine. » Dans une lettre adressée auphilosophe Eric Gutkind, Einstein écrit : « Le mot Dieu n’est pour moi rien de plus que l’expression et le produit des faiblesses humaines, la Bible un recueil de légendes, certes honorables mais primitives qui sont néanmoins assez puériles. Aucune interprétation, aussi subtile soit-elle peut selon moi changer cela. » Einstein répondra d’ailleurs à un journaliste lui demandant s’il croit en Dieu : « Définissez-moi d’abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j’y crois. »

NH, tout en réalisant le rêve de son maître en formulant une théorie de l'unification, va lui donner tort : il y a bien une volonté et un but hors de la sphère humaine ; avec NH nous pouvons l'imaginer sans tomber dans le puérile. Nous recevons de l'information et nous en donnons au vide matriciel ; il y a un intérêt et un gain à s'y ouvrir, mais nous n'y sommes pas contraints, ce qui valide le libre arbitre comme respect fondamental de la liberté humaine avec ses aspects essentiels : la non ingérence et la non imposition ; de surcroît, la théorie de l'unification va permettre un changement radical de nos habitudes etmodes de faire : tout ne sera plus construit sur la rareté mais bien au contraire sur l'abondance ; tout ne se vivra plus dans la nausée, le sentiment des humains d'être jeté dans un univers froid, cruel et hostile ! Nous vivons au contraire dans un partenariat de tous les instants dont il serait bon d'apprendre le potentiel.

3. http://philosophia.over-blog.com


Vers une réciprocité de tous les instants

Selon Einstein, tout est énergie. Nous sommes énergie, tous les règnes du vivant le sont ainsi que la matière en apparence inanimée. C’est le taux vibratoire qui fait la différence. La matière est une densification de l’énergie et l’énergie est de la matière fine. Pour le Pr Marc Henry, le champ porte l'information et l'énergie ; si c'est collectif, c'est uneonde ; sur son point zéro, c'est de l'information ; sur le point maximum de la propagation de l'onde, c'est de l'énergie. L'énergie et l'information sont portées par le même objet, l'onde, mais pas au même endroit. Mais avec une information, on ne peut pas changer la structure matérielle : là, c'est le rôle de l'énergie. Mais quand on a une information, on peutchanger la matière par l'énergie. Tout est là ! L'information est donc le point zéro de l'onde.Ce à partir de quoi il peut y avoir de l'énergie. Le point Source / Origine en quelque sorte.

Max Planck y fit allusion en 1944, au cours d'une conférence qu'il prononça à Florence, en Italie. Il osa alors une affirmation qui ne fut sans doute pas très bien comprise par les scientifiques de l'époque. Ces paroles prophétiques sont aussi innovatrices en ce XXIe siècle qu'elles l'étaient quand il les prononça ces mots :

"Ayant consacré toute ma vie à la science la plus rationnelle qui soit, l'étude de la matière, je peux vous dire au moins ceci à la suite de mes recherches sur l’atome : la matière comme telle n'existe pas ! Toute matière n'existe qu'en vertu d'une force qui fait vibrer les particules et maintient ce minuscule système solaire qu'est l'atome. Nous pouvons supposer sous cette force l'existence d'un Esprit intelligent et conscient. Cet Esprit est la matrice de toute matière."Le champ qui interconnecte tout l’univers est bien réel, quel que soit le nom que nous lui donnons et quelles que soient les lois de la physique auxquelles il se conforme ou non. Il est ici en cet instant même ; il existe sous la forme de vous et de moi. Il est aussi notre univers intérieur et extérieur, le pont quantique entre tout ce qui est possible dans notre esprit et ce qui devient réel dans le monde.L'énergie du point zéro est celle présente dans l'espace le plus vide au niveau d'énergie le plus bas, dont on ne peut soutirer aucune autre énergie (la matière subatomique dont le mouvement se rapproche le plus de zéro). Cependant, à cause du principe d'incertitude, il restera toujours un certain mouvement résiduel dû à l'échange de particules virtuelles. On a toujours écarté cette notion parce qu'elle est omniprésente. En effet, la majorité des physiciens soustraient la gênante énergie du point zéro de leurs équations, opération que l'on nomme «renormalisation». Selon cette théorie, parce que l'énergie du point zéro est omniprésente, elle ne constitue pas un facteur de changement. Et parce qu'elle n'est pas unfacteur de changement, elle ne compte pas.

Un champ est une matrice ou un médium qui relie deux points ou plus dans l'espace, habituellement par le biais d'une certaine force, comme la gravité ou l'électromagnétisme. Cette force est d'ordinaire représentée par des ondulations (ou ondes) dans le champ. À titre d'exemple, un champ électromagnétique n'est qu'un champ électrique qui coupe un champ magnétique, produisant ainsi des vagues d'énergie à la vitesse de la lumière. Des champs électriques et magnétiques se forment autour de toute charge électrique; il s'agit simplement d'un surplus ou d'un déficit d'électrons. Les champs électrique et magnétique, tous deux dotés de deux polarités (négative et positive), feront en sorte que tout autre objetchargé soit attiré ou repoussé, suivant que leurs charges sont opposées (une positive et l'autre négative) ou identiques (les deux sont positives ou négatives). Le champ est la zone dans l'espace où cette charge et ses effets peuvent être détectés.La notion de champ électromagnétique est une abstraction pratique inventée par les scientifiques (et représentée par des lignes de «force» inscrites en direction et en forme) pour essayer de donner un sens aux «prouesses» apparemment remarquables de l'électricité et du


magnétisme, en particulier dans leur capacité à influer sur les objets à distance (techniquement à l'infini) sans substance ni matière décelables entre eux. En somme, un champ est une zone d'influence.

Qu’est-ce que la lumière, l’énergie divine ?

La lumière est un photon ; la lumière divine ou énergie divine est d’une nature

différente car elle est véhiculée par la conscience globale, cosmique, qui fait l'interface entre la matière et l'information. C'est elle qui de son point zéro, donc de l'information, permet à l'énergie d'émerger. Elle est en tout et partout, toujours accessible surtout.

Quand l’énergie vient-elle ?

Elle survient dans notre vie parfois par accident mais plus souvent le jour où la conscience de l’individu est pleinement ouverte à ce qui vient du vide matriciel : alors l'échange d'information devient plus performant, nous recevons du vide des réponses adaptées à qui nous sommes, à nos attentes et demandes désintéressées, si l'environnement le permet.

C’est pour cela que Jésus avait tous les pouvoirs, parce qu’il avait atteint un plan de conscience où l'information était disponible offrant les énergies nécessaires pour manifester tout ce dont il avait besoin.

L’évolution se passe donc toujours à l’intérieur de nous-même. L’énergie vient lorsque la conscience est élevée au niveau où l’information peut « descendre », venir en fait littéralement du Futur. Inutile d’envoyer l’énergie avant, elle ne serait pas ressentie sur un plan de conscience adapté. Par contre, cela pourrait être ressenti, mais de manière désastreuse, parce que, plutôt que d’être béni, l’individu pourrait être tué. Regardez dans labible à propos de ceux qui ont touché l’Arche et qui n’étaient pas prêts, ils sont morts électrocutés.Les énergies sont quelque chose de fantastique mais elles sont extrêmement dangereuses, parce que les énergies ne sont pas simplement les bontés divines. Les énergies sont des fréquences. Vous connaissez ce qu’il vous en coûte lorsque vous mettez les doigts dans un interrupteur. C’est ce qui se passerait si un Maître, par pitié pour vous, venait vous initier, parce qu’il n’y a pas de différence entre la nature et les effets de l’électricité et la nature et les effets des énergies cosmiques.

L'existence du champ a été confirmée par une étude de l'armée américaine et publiée en août 1986 dans la revue Nature (vol.322, p.590).


Il est appelé hologramme quantique, le champ, la divine matrice, qui apparaît comme des filaments.

L'espace est plein d'une essence vivante avec laquelle nous sommes connectés. Tous les jours nous faisons des expériences qui affectent notre monde et notre corps. A travers le sentiment cohérent du coeur, nous affectons les atomes, car le champ électrique et magnétique de notre coeur est puissant. Mais pour ce faire, il convient de nourrir d'imaginer une nouvelle réalité dans la compassion, sans jugement, avec un mantra qui identifie par l'esprit ce que nous voulons voir advenir à travers le langage du coeur par le sentiment parfait. Il s'agit de faire comme si la réalité nouvelle était déjà là, déjà réalisée. La clarté et la spécificité du désir personnel est importante surtout s'il est généreux et désintéressé : le champ y est sensible.

Et si nous apprenions à ne choisir que ce qui nous serait important? La pensée, le sentiment et l'émotion:la pensée nous permet d'imaginer mais il lui faut l'émotion dont l'union va produire le sentiment. Nous ne pouvons que nous situer dans l'amour ou la peur. La compassion est ce qui maintient le tout, la substance de tout.

Pour Nassim Haramein, la dynamique de la structuration de l'espace est une géométrie en rotations de figures. L'échange d'information se fait en permanence vers l'intérieur et vers l'extérieur à la vitesse de la lumière. Ce champ magnétique définit aussi le fonctionnement de la conscience qui n'est évidemment pas localisée dans le cerveau; c'est une antenne en connexion avec un champ, et cela se fait via le liquide céphalo-rachidien qui oscille à certaines fréquences. "Le liquide céphalo-rachidien est un liquide produit dans des cavités du cerveau appelées ventricules et coule autour du cerveau et de la moelle épinière. » Le champ énergétique de la conscience oscille et capte des informations différentes d'une personne à l'autre: l'antenne peut capter beaucoup d'informations ou, au contraire, beaucoup de bruit. L'ajustement, le rythme, va dépendre de notre état émotionnel qui a un effet sur la cohérence neuro-cardio-vasculaire; notre captation sera aussi affectée par notre mode de vie ou par notre environnement. Là aussi, l'échange d'information se fait


en permanence. C'est une nécessité car nous sommes faits de quelque 100'000 milliards de cellules. Toute l'information est holographique; elle passe par les molécules d'eau qui structure ensuite l'ADN, et non l'inverse; si l'on retire les 10 couches d'eau présentent dans la structure de l'ADN, plus rien ne se passe! C'est aussi le cas pour la conscience ou le corps: les cellules s'organisent de façon très complexe à travers le champ d'informations par des feed-back avec l'eau. La même chose se produit avec le spin, le vortex: le tourbillonnement est là où se trouve notre singularité; au centre se trouve la quiétude et plus on l'atteint plus la dynamique tourbillonnaire du spin augmente autour de nous et avec elle l'inspiration ou l'influence autour de nous. Tout cela même à la conscience que nous sommes UN; c'est la plus haute connaissance, celle qui va nécessité de chacun-e des choix qui vont avoir un impact sur le champ morpho-génique; cela se fera par feedback successifs: nous donnons au champ de nouvelles informations dont il va tenir compte et nous donnant de nouvelles informations, etc.

Les ondes cérébralesDans les différentes zones du cerveau, l'influx nerveux fonctionne en relative

cohérence et de façon rythmique : les neurones s'activent ensemble (plus ou moins), comme une pulsation, puis se calment, puis s'activent de nouveau. Grâce à de petites électrodes placées sur le cuir chevelu et reliées à un appareil appelé électroencéphalographe (EEG, inventé en 1929), le rythme de ces pulsations peut se traduire en forme d’ondes.L'intensité de l'activité cérébrale se manifeste par la fréquence de ces ondes. On les calcule en hertz (Hz) - un hertz égalant une ondulation par seconde. Si le graphique enregistré par l'EEG est plat, c'est qu'il n'y a pas d'activité cérébrale. Quant aux ondes générées par un cerveau actif, on les divise en 4 ou 5 fourchettes, dont les appellations viennent du grec ancien :

Ondes delta : de 0,5 à 4 Hz, celles du sommeil profond, sans rêves. Ondes thêta : de 4 à 7 Hz, celles de la relaxation profonde, en plein éveil, atteinte

notamment par les méditants expérimentés. Ondes alpha : de 8 à 13 Hz, celles de la relaxation légère et de l'éveil calme. Ondes bêta : 14 Hz et plus, celles des activités courantes. Étrangement, les ondes

cérébrales passent au bêta pendant les courtes périodes de sommeil avec rêve (durant le sommeil paradoxal), comme si les activités du rêve étaient en fait des activités « courantes ».Il arrive aussi qu'on parle d'ondes gamma qui se situeraient au-dessus de 30 ou 35 Hz et qui témoigneraient d'une grande activité cérébrale, comme pendant les processus créatifs ou de résolutions de problèmes. (Ne pas confondre avec les rayons gamma, émis par le noyau des atomes.)Elle se fait aussi via les ondes gamma. En comparaison :

La fréquence approximative du taux respiratoire au repos d'un adulte est de 0,25 Hz

Un tempo de 60 battements par minute correspond à une fréquence de 1 Hz. Un pendule de 25 centimètres oscille à 1 Hz. Un sprinter fait osciller ses jambes à un rythme d'environ 4 Hz. La rotation d'un moteur automobile au ralenti est de 10 Hz (600 tr/min).


À propos des ondes gamma

D'autres chercheurs ont étudié les ondes cérébrales sur des rats, en s'intéressant plus spécialement à trois zones distinctes de l'hippocampe, la partie du cerveau principalement responsable de la mémoire à long terme et du repérage dans l'espace. «Nous avons découvert l'existence d'ondes gamma rapides et lentes, venant de différentes zones du cerveau, exactement comme des stations de radio émettant sur des fréquences distinctes», explique Laura Colgin, auteur principal de l'étude et réalisant un post-doctorat au Kavli Institute for Systems Neuroscience and Centre for the Biology of Memory en Norvège. «Lorsque les cellules nerveuses veulent se connecter, elles synchronisent leur activité», poursuit Mlle Colgin. «Littéralement, elles accordent leur longueur d'onde. Nous avons notamment étudié le rôle des ondes gamma dans la communication entre des groupes de cellules dans l'hippocampe, et avons découvert ce qui peut être décrit comme un système de radios dans le cerveau. Les basses fréquences transportent la mémoire des expériences passées, les plus hautes véhiculent ce qui se passe sur le moment.» Une expérience étonnante menée sur des rats par l’équipe de Jimo Borjigin [Source PNAS, vo.110 no 35, juillet 2013] de l’université du Michigan a ainsi montré une forte augmentation durant trente secondes des oscillations gamma même après l’arrêt du cœur desanimaux. Quelque chose excite des millions de neurones simultanément dans de nombreuses zones différentes du cerveau même après la mort cérébrale! L’activité n’est pas chaotique et ily a bien une connectivité non imputable aux seuls neurones. Si cela prouve que les rats ont une conscience, comment ne pas y voir aussi l’existence d’une conscience non-localisée dont nous parlent celles et ceux qui ont vécu une EMI ou des états de conscience modifiée? À travers les ondes gamma, il y a bien un au-delà à l’immanence, à la simple conscience ancrée dans notre corps.

Les chercheurs supposaient jusqu'ici que le traitement de l'information par le cerveau suivait des voies fixes. Cette nouvelle étude suggère que le cerveau est en fait bien plus souple. «Une cellule donnée dans le cerveau reçoit des milliers d'entrées, mais elle peut choisir de n'en écouter qu'une et d'ignorer le reste. En outre, ce choix peut changer à tout moment», résume le Dr Edvard Moser, directeur du Kavli Institute for Systems Neuroscience, qui affirme aussi : «Nous pensons que la commutation gamma est un principe général dans le cerveau, qui sert à renforcer les communications entre les régions cérébrales ( Source : Revue Nature, 19 novembre 2009, vol. 462) .» Il y a donc bien une intentionnalité de la conscience non réductible à de simples états du fonctionnement inconscient du cerveau. L’idée fait en tous les cas son chemin. Une décentration / dérivation vers le réseau neuronal du cœur est donc indispensable. Sans elle, pas de vie spirituelle ! Nous vivons sous l'influence chimique de notre cerveau. Seul l'éveil de notre réseau neuronal du cœur, dont les ondes électromagnétiques sont 100 fois plus fortes que celles du cerveau, peut changer la donne et nous remettre en phase avec la Réalité Ultime. C'est la synchronisation entre la Conscience cosmique et la Dimension Source (le vide) qui permet ensuite derecevoir en retour des informations, les inspirations, intuitions, prémonitions, coïncidences et les matérialisations venues du Futur.


Siège des émotions

Les émotions se produisent dans les chakras inférieurs (Amour/Peur): notre centre créatif. Lorsque nous entretenons une pensée dans notre esprit, nous alimentons cette pensée, nous lui donnons vie et elle devient un sentiment inspiré soit par des émotions négatives soit par des émotions positives.

Le sentiment que nous ressentons est un langage, un pouvoir qui vit à l’intérieur de notre corps.

Le sentiment ne prend pas naissance dans notre esprit mais dans notre coeur.

C’est un sentiment pur qui contourne l’esprit, les filtres de la logique, des questions, du conditionnement, des jugements…

Les sentiments créent des ondes électriques et magnétiques dans notre cœur et le sentiment change notre corps et notre monde par le seul fait de l’avoir ressenti.

C’est ce que les anciens avaient compris.

Le champ électrique du cœur est 100 x plus puissant que celui du cerveau.◾

Le champ magnétique du cœur est 5000 x plus puissant que celui du cerveau.◾

Notre cœur produit des champs qui changent notre corps et notre monde.

Les croyances créent des ondes électriques, elles changent les ondes magnétiques,

elles changent notre réalité physique, elles changent la matière.

L'Institut de HeartMath (Mathématique du cœur) l'affirme: autour de chaque cœur humain, il existe un champs d’énergie.

Ce champ d’énergie fait un diamètre de 2 à 3 mètres et peut être mesuré. (mesure limitée ◾par le lieu, ce champ semble faire une vingtaine de km)

2 personnes proches de 2 à 3 m partagent le champ d’énergie mutuelle.◾


A chaque moment de la journée, notre cœur envoie des signaux à notre cerveau pour ◾l’informer du type d’énergie à envoyer à notre corps. Cela se fait notamment à travers les ondes gamma.

A chaque moment de la journée, notre système nerveux connecté au réseau neuronal du ◾cœur utilise le système nerveux sympathique et le système nerveux para-sympathique.

Faire l’expérience du sentiment, c’est ce que les moines ou les nones enseignent dans les monastères :

Le sentiment est une prière. Les sentiments et les croyances sont liées.

Notre coeur crée des ondes électriques et des ondes magnétiques : c’est le langage que le champ (le vide matriciel) reconnaît.

Notre cœur produit l’onde qui met en place les possibilités, ce que vous croyez dans votre cœur: c’est cela qui met en place la possibilité créée par le vide matriciel. La pensée n'est pas créative : il faut la lier à l'émotion, au sentiment, au langage du cœur pourque le vide matriciel, le champ, le divin puisse en tenir compte si l'environnement le permet, si le libre arbitre global est respecté. Le vide nous donnera en réponse ce qui peut être matérialisé ; ce n'est pas nous qui créons ; nous ne faisons que déposer de l'information sous forme de désir, souhait, attente, besoin. La réponse est l'information donnée en retour. Mais évidemment, le divin ne donne pas suite à nos aspirations violentes, destructrices ou chaotiques. Par contre, notre corps biologique y est sensible par le biais des ondes gamma qui véhiculent la double information de notre passé et du moment présent.

Il existe des lieux où une sagesse du coeur a été préservée (Tibet, Égypte, Pérou) mais elle a été perdue dans notre culture.

La fusion de la pensée, de l’émotion, de la sensation ou des sentiments

Lorsque la pensée (tête) et l’émotion (ventre) n’en font plus qu'un dans le cœur (milieu), nous créons un sentiment dans notre corps. Et leur diversité positive ou négative est énorme :Jean-Philippe Faure en a répertorié 879 répartis dans dix catégories : Tranquillité (151), Joie (148), Colère (142), Coupure avec ses émotions (137), Tristesse (117)Surprise (82), Peur (82), Dégoût (9), Terreur (9), Fureur (8).

Six émotions primaires forment le socle de nos réactions à un stimulus extérieur : la colère,le dégoût, la joie, la peur, la surprise et la tristesse.

On a longtemps considéré les émotions comme des phénomènes corporels parasitant, voire asservissant la raison. Depuis le milieu des années 1990 et particulièrement avec les travaux du neurologue Antonio Damasio, la perspective s’est inversée: sans émotion, on déraisonne. Tout se joue dans le cortex préfrontal ventromédian, à la jonction de zones cruciales pour la logique et l’émotion, où, au moment de prendre une décision, aussitôt des«marqueurs somatiques» récapitulent l’expérience acquise dans une situation comparable et nous aiguillent vers un comportement adapté. Une atteinte à cet endroit nous rend incapable de prendre une décision appropriée et altère profondément nos relations sociales4.

Comment utiliser le pouvoir de l’émotion humaine?

Jésus Christ donnait ce conseil avisé :

4. http://www.scienceshumaines.com/amour-peur-joie-haine-culpabilite_fr_21599.html

http://www.scienceshumaines.com/amour-peur-joie-haine-culpabilite_fr_21599.html


‘Si les 2 font la paix entre eux dans cette maison, regardez ce qu’il se passe, elles demandèrent à la montagne de se déplacer et la montagne se déplaça!’

Demander ne se fait pas avec la voix, cela se fait dans un langage compris par le champ d’énergie, il ne comprend pas notre voix mais le pouvoir de notre cœur ; le texte de l'évangile de Jean, en 16,23-24 nous dit en interprétation libre : ‘Demandez sans motif caché et soyez entouré de votre réponse, soyez enveloppé de ce que vous désirez afin que votre joie soit parfaite’.

Voilà le langage que reconnaît le champ : Sans motif caché, sans juger de ce qui est vrai ou faux, bon ou mauvais, sans ego. Être entouré : sentir comme si… Il faut donc apprendre à changer nos gestes, nos comportements, nos pensées ou nos sentiments.

Installer l'amour et l'acceptation au lieu de l'archaïque (peurs, tristesse, colère, haine, honte, jalousie, vengeance, mépris, ressentiment, violence, etc.)

Nous sommes un système de convictions intimes très complexe qui s'est constitué depuis notre plus tendre enfance, en fonction des expériences heureuses et moins gratifiantes que nous avons vécues. Nous en avons tiré un filtre personnel qui encode toute notreréalité : nous voyons le réel à travers ce filtre ; tout est donc subjectif ! Nous vivons dans un monde fictif, imaginaire et construit. Personne ne peut y échapper. En conséquence, il est important de déterrer des croyances aberrantes, de nous mettre plutôt à rechercher ce qui nous semble beau, paisible, harmonieux, bien, bon, doux, juste, utile, nécessaire, agréable, indispensable, etc. Définir le hit parade de ces carrés taxinomiques, de nos valeurs personnelles et collectives, est une tâche incontournable : c'est donné du sens à la vie.

Et fondamentalement, sortir alors du non-amour, deslogiques infernales de l'en-bas. De ces convictionsmalheureuses : « Il aurait mieux valu que je ne sois pasné(e). » C'est sortir aussi du besoin de vomir ou de dévorerles autres. De cette tristesse envahissante. De la haine de soiou des autres. De nos pulsions narcissiques, sadiques oumasochistes relayées en autant d'obsessions ou d'addictionsnéfastes. Aller plutôt ver la Vie suffisamment bonne ; lafraternité et la tendresse partagées.

Vers cet amour, qui transcende les masques et miroirs, les mensonges et les certitudes de ce monde, tout en étant la liberté des enfants de Dieu, conteste fondamentalement la logique du non-amour, cette blessure insidieuse qui nous fait nous méfier de tout et de tous. Nous souhaiterions bien sûr des relations humaines apaisés : être entourés de compassion, de compréhension, d’estime, d’affection, recevoir des encouragements, nous sentir respectés. Et agir de même envers autrui. Mais nous savons qu’en réalité la vie est un affrontement permanent et une lutte pour parvenir à satisfaire nos besoins et nos désirs. Nous avons pris l’habitude non pas de nous aimer mais de nous rudoyer les uns les autres pour parvenir à nos fins. D’obtenir gain de cause par la ruse, la force, la séduction, lechantage, la dette imposée, la mystification, la culpabilisation ou le marchandage notamment. Nous n’y prêtons même plus attention à force d’y être habitué. Pourtant, l’élégance est – et demeurera toujours - du côté du soin librement consenti à nous accorderles uns aux autres sans jugement ni malveillance. Un appel à être en vérité.

Il convient en conséquence de sortir du cadre habituel de nos manières de voir et de penser. Ainsi pour Karl Gustav Jung, si Dieu est bien omnipotent, il n'a aucun moyen de


prendre conscience de quoi que ce soit, ni de lui-même. Car laconscience naît d'une confrontation. En vertu de sa toute-puissance, Dieu ne se heurte nulle part à un obstacleinsurmontable susceptible de l'inciter à hésiter et ainsi àréfléchir sur Lui-même... D’où ce conte étonnant intitulé « Qu'a donc l'homme que Dieu n'a pas? » :

« Un homme se posait de sérieuses questions sur Dieu:«Pourquoi le Tout-puissant avait-il éprouvé le désir, le besoinpeut-être, de créer quelque chose ? Est-il concevable que l’Êtresans limite, tout incluant, omnipotent, omniscient ait unbesoin? S'il avait eu un désir, il faudrait lui supposer unmanque! Et s'il y avait un manque en Dieu, y il ne serait pas tout ce qu'il devait être. En quoi cette création- et l'homme en son sein, peuvent-ils servir Dieu? Quelles fonctions remplissent-ils?» Notre homme réfléchissait ainsi. Ses questions le conduisaient inévitablement à conclure que les conceptions humaines de Dieu étaient soit absurdes, soit enfantines ou naïves. Mais il n'en trouvait pas d'autres.Un jour, reprenant ses réflexions, il inversa le problème «Pour valoriser Dieu l'homme dévalorise l'homme et ne reconnaît pas ses propres qualités. Peut-être l'homme est-il mieux que Dieu! Si l'homme apporte quelque chose à Dieu, ce qu'il représente justifie la création.» Il se posa donc cette nouvelle question: « Qu'a donc l'homme que Dieu n'a pas?»Notre homme médita là-dessus quelque temps.Il songea: «L'homme a un corps. Dieu n'a pas de corps. L'homme est limité, Dieu est infini. Mais son corps, à travers ses qualités, ses fonctions et ses limites, donne à l'homme la capacité de goûter, de sentir, de jouir de la Création. Ayant des relations avec ce qui n'est pas lui, il se confronte à des obstacles qui éveillent en lui une certaine capacité d'autoréflexion. Il trouve des qualités à ses expériences : agréable ou désagréable, bon ou mauvais, doux ou amer, et il développe à l'infini la subtilité de sa subjectivité.Sans corps, le Créateur n'a pas les moyens de connaître la Création. Mais il s'est insufflé en l'homme qui a cinq sens pour sentir, son intelligence pour unir et donner du sens et un «souffle spirituel» pour connaître Dieu. Ainsi, grâce à l'homme, Dieu peut-il connaître sa Création, et se connaître lui-même.A l'image de Dieu, l'homme réfléchit Dieu en le pensant, conclut-il ».Cela nous est dit encore d'une autre manière dans ce récit :

« Lorsque D.ieu, disent nos sages dans le midrach, prit conseil des anges au sujet de la création, les anges de la paix et les anges de la vérité déconseillèrent la création de l’homme, mais l’ange de l’amour se présenta devant le trône du Tout-Puissant et dit : « Crée-le, D.ieu de toute bonté, car il pratiquera la charité sur la terre. » Et D.ieu créa l’homme, afin que par lui soit faite l’oeuvre de charité. » (« Pirké Avot – Maximes de nos pères » )

Peut-être serait-il bon d’agir dans le sens de la dynamique fondamentale de l’Univers à toutes les échelles en créant, dans votre propre champ énergétique, une structure toroïdale se courbant vers l’immobilité, vers la singularité de votre cœur, un peu comme dans l’œil d’un cyclone.

Peut-être pouvez-vous-même intégrer l’Univers dans cette technique, en le visualisant qui se compacte suivant un mouvement spiralé vers l’immobilité dans votre cœur (expire), et qui entre en expansion à nouveau (inspire), et puis en répétant ce cycle encore et encore (= pranayama, technique de respiration).


Une vraie théorie de grande unification, une théorie du tout, doit faire exactement ce que son nom indique: unifier TOUT. »

Pour Nassim Haramein, la dynamique de la structuration de l'espace est une géométrie en rotations de figures. L'échange d'information se fait en permanence vers l'intérieur et vers l'extérieur à la vitesse de la

lumière. Ce champ magnétique définit aussi le fonctionnement de la conscience qui n'est évidemment pas localisée dans le cerveau; c'est une antenne en connexion avec un champ, et cela se fait via le liquide céphalo-rachidien qui oscille à certaines fréquences. "Le liquide céphalo-rachidien est un liquide produit dans des cavités du cerveau appelées ventricules et coule autour du cerveau et de la moelle épinière. » Le champ énergétique de la conscience oscille et capte des informations différentes d'unepersonne à l'autre: l'antenne peut capter beaucoupd'informations ou, au contraire, beaucoup de bruit.L'ajustement, le rythme, va dépendre de notre étatémotionnel qui a un effet sur la cohérence neuro-cardio-vasculaire; notre captation sera aussi affectée par notre modede vie ou par notre environnement. Là aussi, l'échanged'information se fait en permanence. C'est une nécessité carnous sommes faits de quelque 100'000 milliards de cellules.Toute l'information est holographique; elle passe par lesmolécules d'eau qui structure ensuite l'ADN, et non l'inverse;si l'on retire les 10 couches d'eau présentent dans la structurede l'ADN, plus rien ne se passe! C'est aussi le cas pour la conscience ou le corps: les celluless'organisent de façon très complexe à travers le champ d'informations par des feed-back avec l'eau. La même chose se produit avec le spin, le vortex: le tourbillonnement est là où se trouve notre singularité; au centre se trouve la quiétude et plus on l'atteint plus la dynamique tourbillonnaire du spin augmente autour de nous et avec elle l'inspiration ou l'influence autour de nous. Tout cela même à la conscience que nous sommes UN; c'est la plus haute connaissance, celle qui va nécessiter de chacun-e des choix qui vont avoir un impact sur le champ morphogénique; cela se fera par feed-back successifs: nous donnons au champ de nouvelles informations dont il va tenir compte et nous donnant de nouvelles informations, etc. L'être humain moyen a approximativement 100 trillions de cellules et chacune d'entre elles est constituées d'environ 100 trillions d'atomes, qui furent à l'origine créés au sein d'une étoile. Le modèle de la division cellulaire en biologie correspond à la structure fondamentale du tissu de l'Espace (cosmologie) au sein duquel il se divise. Une chance, sinon nous ne serions probablement pas en mesure de coordonner lesquelque 100-200 TRILLIONS de réactions chimiques qui se produisent chaque SECONDE au niveau cellulaire à l'intérieur du corps humain !

Le réseau neuronal du cœur, par les ondes gamma notamment, est en mesure d'influer sur la chimie de notre cerveau, sur nos hormones transportées par le sang ou la lymphe pour agir sur un tissu, une glande ou un

organe. Les hormones sécrétées par les neurones sont appelées neurohormones, ou neurotransmetteurs.

Voici les 9 produits chimiques les plus importants5 :

1. L'acétylcholine (neurotransmetteur) a une influence sur la mémoire à long terme, la

5. https://neuropedagogie.com/bases-neuropedagogie-neuroeducation/la-chimie-du-cerveau.html


motivation, l'attention ou encore l'agressivité. Libéré en nombre pendant le sommeil, il est donc très impliqué dans l'apprentissage.

2. L' épinephrine (connue sous le nom d'adrénaline) est une hormone, ou un neurotransmetteur, lié au stress, au risque, à l'excitation. Elle permet de fournir au corps suffisamment d'énergie pour affronter une situation vécue comme urgente.

La perte ou la séparation engendrent une augmentation de l'épinéphrine qu'accompagne un décroissement de sérotonine et de certaines dopamines. C'est un facteur majeur de dépression. Le contact physique, comme la main sur l'épaule, permet de rassurer, d'entourer, de faire baisser l'adrénaline, d'augmenter la sérotonine et les dopamines.

3. Le cortisol est une hormone de la famille des glucocorticoïdes, synthétisée à partir du cholestérol, et libérée sous l'effet du stress pour procurer, de l'énergie, comme l'adrénaline.Elle atteint son maximum au petit matin et son minimum dans la nuit et en début d'après-midi, ce qui explique en partie la baisse de performance physique et cognitive que l'on éprouve à ce stade de la journée.

À dose réduite, elle augmente la consolidation de la mémoire et a un effet positif sur la récupération des données conservées par la mémoire émotionnelle.

La solitude augmente considérablement le taux de cortisol.

4. La dopamie est « le neurotransmetteur du bonheur », une neurohormone. Lorsque nous synthétisons d'importantes quantités de dopamine, nous sommes davantage positifs. La dopamine est également impliquée dans le mouvement ; la maladie de Parkinson se caractérise par une déficience de ce neurotransmetteur.

De même, la réflexion et la mémoire de travail (« mémoire à court terme ») se nourrissent de dopamine, synthétisée à partir de protéines.

Selon Frances Leslie, la dopamine est activée par la prise de risque, le sexe et les drogues. Le niveau de dopamine dans le cerveau des adolescents est différent des adultes. Les adolescents sont davantage sensibles aux effets plaisants de l'alcool, de la nicotine et des drogues ; moins sensibles aux effets déplaisants. Le cerveau des adolescents, de 11 à 19 ans,est donc particulièrement exposé aux risques de la dépendance.

La dopamine donne enfin envie de faire et d'expérimenter.

La caféine ou le chocolat sont deux substances légales qui influencent la synthétisation de dopamine. Le sport favorise aussi la fabrication de dopamine.

5. L'endorphine est une opiacée naturelle, produite par la glande pituitaire, qui agit comme un antidouleur. Les sportifs libèrent des endorphines, ce qui leur permet de maintenir des efforts importants. La quantité d'endorphines continue à être très élevée 45 minutes après un effort physique de 30 minutes environ.

Certaines stimulations tactiles de la peau envoient des messages au cerveau qui stimulent la production d'endorphines et d'oxytocine.

6. Le GABA (Acide Gamma-aminobutyric) : est un neurotransmetteur inhibiteur synthétisé à partir du glutamate.

Être capté par la lecture d'un livre au point d'en oublier tout le reste est en partie due à la synthétisation du Gaba.

7. La mélatonine appelée « hormone du sommeil », est liée à l'intensité de la lumière naturelle. Certaines dépressions comme l'apathie et l'humeur seraient associées à la mélatonine. Cela expliquerait les dépressions hivernales chroniques.


Il est conseillé de s'exposer davantage à la lumière naturelle en journée, d'éviter les néons et de diminuer les sources de lumière en soirée pour envoyer au cerveau le signal que la nuit approche.

Une alimentation à base de noix et de noisettes améliorerait la synthétisation de mélatonine.

Les adolescents ont un niveau trop bas de mélatonine. Cela explique qu'ils veuillent veiller et se lever tard. Le rythme scolaire n'est donc pas approprié.

8. L'oxytocine est une hormone (peptide) présente en plus grande quantité chez les femmes que chez les hommes. Sa production est augmentée lors du rapport sexuel, de la grossesse et des relations sociales.

9. La sérotonine est un neurotransmetteur issu du tryptophane (un acide aminé) et un neuromodulateur aux effets multiples. On a constaté qu'il était présent en de faibles quantités chez les délinquants, en forte quantité chez les dirigeants. La colère est en partie liée à un bas niveau de sérotonine.

Les facteurs qui font baisser le niveau de sérotonine : la séparation, la perte, le manque de relations sociales, l'absence de contacts physiques, les pensées négatives.

Les facteurs qui font augmenter le niveau de sérotonine : les relations sociales, les contacts physiques, la passion amoureuse, les pensées positives, le sport, l'alimentation (légumes crus, d'hydrates de carbone, banane, prune, viandes blanches).

Notre conscience cosmique a une influence sur notre métabolisme à travers le centre neuro-cardio-vasculaire notamment. Par nos représentations du Tout ou

encore par nos convictions intimes : plus elles seront pures, intenses, plus elles auront un impact. Nous connaissons ce mécanisme sous le nom de placebo et nocebo.

Il s'agit d'un« Effet psychologique ou psychophysiologique qui peut accompagner l'administration d'une substance factice, mais aussi de tout médicament ou de toute méthode à visée thérapeutique, quelles que soient leurs propriétés pharmacologiques ou leur spécificité.

La "placebo-réaction" peut être favorable : elle est observée en moyenne dans un tiers environ d'une pathologie très diverse, notamment dans la douleur (probablement par la mise en œuvre d'endorphines), chez des personnalités dites placebosensibles, souvent plastiques, suggestibles, passives, dépendantes . Elle peut être nulle : placebo-résistance, ou défavorable : effet nocebo, plus rare.

Dans les essais thérapeutiques, il est d'usage de tester l'efficacité d'une nouvelle molécule par la mise en place, en double aveugle, de deux groupes de malades : l'un recevant cette molécule, l'autre un placebo.

En pratique quotidienne, des comprimés factices sont à utiliser avec beaucoup de réserves du fait de la falsification relationnelle qu'ils introduisent, et qui peut être iatrogène à diverségards. De toute façon, répondre ou résister à une prescription, qui comporte aussi celle duthérapeute (médicament-médecin), doivent être rapprochés de la notion de transfert. »6 Un mécanisme semblable se fait à partir de convictions intimes négatives ou d'une forte peur : c'est l'effet nocebo. À titre d'exemple, les habitants de Hong Kong n’étaient pas au courant de l’existence de l’anorexie en Occident, ce trouble ne se manifestait pas parmi eux, mais une fois que la notion a atteint la presse et la conscience du public dans les années 1990, le phénomène a explosé. Savoir ou ignorer ? Là est la question ! Sous l'effet

6 http://www.psychologies.com/Dico-Psycho/Effet-placebo.


nocebo, on peut même mourir de peur !

Chacun-e devrait connaître le fonctionnement de ses convictions intimes, leurs forces et faiblesses car avec l'approche de la physique de NH, tout va dépendre de notre ajustement à la singularité, de notre captation, des informations données et

reçues qui elles aussi vont dépendre de nos convictions intimes. Nous retrouvons ici aussi la nécessité de quitter le mental ou l’ego défendu notamment par Philippe Guillemant ; de nous ouvrir en somme à la Seconde causalité – dans l'approche de NH ce qui vient du vide matriciel - en quittant le désir de tout maîtriser pour adresser à l'Univers nos demandes désintéressées. Nous recevrons en réponse de l'information, les fameuses intuitions, inspirations, prémonitions, heureux hasards et synchronicités notamment, car « L'Univers est une spirale qui tend vers l'immobilité en son centre (singularité) à toutes les échelles, des galaxies aux ouragans, des fleurs aux atomes, jusqu'à ... nous. »

Cet univers est pour moi, le TOUT et pourtant l'Opposé-Au-Chaos, El Shaddaï dans la tradition juive. Le Garant et le Gardien du libre arbitre à concevoir dans la non-ingérence et la non-imposition. Dans le respect de la liberté, de l'esprit, de la créativité, dans le don ou l'amour fraternel ; le Tout se conçoit comme quête spirituelle, une manière de nous connaître en vérité et d'interagir avec L'Univers qui pourrait même en faire mémoire : « Puisque le temps est la distance dans l'espace, le temps est de la mémoire dans la structure de l'espace. Sans mémoire, il n'y a pas de temps. Sans le temps, il n'y a pas de mémoire. Il en résulte que l'énergie que nous percevons comme le monde matériel doit être de l'information, ou de l'énergie sur la structure de l'espace. » NH.

Pouvons-nous accepter d'être Tout (nos ombres et nos lumières) et pourtant l'Opposé-Au-Chaos ? En communion et en collaboration avec le divin (le vide, la divine matrice, etc.) Acceptons-nous cette mission, ce défi ? C'est le corollaire, à

mon avis incontournable, de la nouvelle physique. Une définition du Chaos s'impose. Je m'appuie pour ma part sur l'archaïque définit par Maurice Bellet, ce désir/besoin/envie narcissique, sadique ou masochiste de vomir ou dévorer l'autre, de l'asservir par toutes sortes de moyens ; la dynamique de l'en-bas contient la dialectique maître-esclave comme celle du désir mimétique de René Girard ; et le mensonge caché de nombreuses malveillances/ maltraitances/ médisances. L'équilibre spirituel sera à l'opposé accueil et soin de l'autre dans le respect de sa liberté. Respect bien sûr aussi de l'environnement et dela démocratie. Sortie du Grand-Tout-et-du-Grand-Rien de la jouissance à tout va ; refus d'être « chosifié », abuseur ou abusé, exploiteur ou exploité ; l'Univers nous invite à une création harmonieuse perpétuelle, en lien avec Lui, en étant des observateurs, acteurs, capteurs sereins et confiants, chacun-e à sa manière, selon ses forces et ses dons, sans avoir à s'obliger à quoi que ce soit ni à s'imposer je ne sais quel sacrifice mortifère ! Nous irons vers la singularité (la contraction) pour trouver le calme et dans l'expansion nous y trouverons la confiance. Ce double mouvement est essentiel. Il se fait l'écho d'une époque bénie dont nous gardons un souvenir plus ou moins conscient : la période de notre vie in utero, quand tout – ou presque – était harmonie. Nous pouvons en retrouver la dynamiqueen laissant l'Univers nous bonifier, nous apaiser ou nous guider. Oser le libre arbitre vécu dans le calme et la confiance. En pleine conscience, en pleine clarté. À l'opposé, le danger guette. Pour J.-M. Delassus, si l’individu perd la référence à son inconscient ontologique, il se trouve dans l’incapacité de vivre le rapport de soi à soi dans une harmonie suffisante ; il est alors impuissant à être son être véritable. Il y a en cette méconnaissance plus qu’un risque assimilé à la banalité de la vie.


« Car l’homme qui ignore le sens de son être ne pourra que ressentir une insatisfaction profonde qui le ronge. Sauf à se soumettre pour n’être qu’un automate intégré aux institutions régnantes, il la combat par l’avidité du pouvoir et la volonté de détruire ; il s’attache aux choses sans doute, mais surtout à autrui où il projette ses déceptions et ses rancœurs. L’être humain est alors l’être qui massacre. Il dépouille, il tue à défaut d’être parce qu’il y trouve la justification de son moi dans l’appropriation, l’exploitation ou l’abolition de ce qui s’y oppose. »

Comment trouver sa place dans cet Univers ?

À la suite de Kant la philosophie a expulsé tout ce qui pourrait irriter la raison. L'ordre, dans lequel la science et la technique nous confinent, ne constitue pas le tout de la réalité! La voie royale n'est pas celle qui consiste à se limiter à l'observable, au mesurable età l'efficace. À hauteur d'homme, sans recours possible à la transcendance, la fermeture est totale. Plus de décentration possible, plus de méta-position envisageable, donc plus de supra conscience non plus: on reste collé aux dimensions de l'expérience du visible, des faits et des lois qui gouvernent cet espace-là, dans l'incapacité de se référer à un ailleurs ou un autrement possible. L'illusion est aujourd'hui prés présente : Pour Frédéric Lenoir, la quête d'une spiritualité laïque s'est amorcée dans les années 50/60 ; elle tend à l'accomplissement de soi, à la recherche du sens de la vie, d'une sagesse sans absolu; c'est un travail sur soi pour être mieux ou bien, pour aller vers ce qui est juste, plus vrai, pour grandir et s'appuyant sur les qualités de l'être humain. La recherche personnelle s'appuie sur les éléments pratiques de la spiritualité sans les éléments théologiques; c'est une quête au plus profond de soi; elle est donc fluctuante, tantôt mystique mais volontiers apophantique car on a beaucoup trop parlé de Dieu au lieu d'en faire l'expérience…

Il est à noter aussi l'hypocrisie de la raison qui fait abstraction de notre dimension affective, de notre ressenti des choses, dont nous ne pouvons nous séparer que de manière artificielle. La vie se connaît dans le fait de s'éprouver soi-même, dans

l'auto-affection et l'auto-donation; elle s'auto-révèle dans le cru de ce qui se montre, la vérité visible de cet en-dehors qu'est le monde. Dans la vérité christique, la révélation est ce qui est révélé, de sorte que pour le philosophe Michel Henry Dieu est Vie, il est l'essence de la Vie, ou, si l'on préfère, l'essence de la Vie est Dieu. Dieu est en lui-même révélation, il est la Révélation primordiale qui arrache toute chose au néant, une révélation qui est l'auto-révélation pathétique, c'est-à-dire la souffrance et l'auto-jouissance absolue de la Vie. Comme dit Jean, « Dieu est amour », parce que la Vie s'aime elle-même d'un amour infini et éternel. Nous l'adorons en esprit et en vérité mais comme le disait Pascal c'est le cœur qui sent Dieu et non la raison. Voilà ce qu'est la foi: Dieu est sensible au cœur, non à la raison car c’est un sentiment pur que le vide comprend : lui seul contourne l’esprit, les filtres de la logique, des questions, du conditionnement, des jugements…


Cette dimension fait alors que la Vie a une double dimension, profane et sainte, que nous vivons en notre être au monde et dans la Vie de Dieu. Le Christ en est le révélateur et l'interprète. L'Arke, celui qui illustre, incarne la Tendresse du Père, sa Bonté fondamentale.Mais il en est aussi le dénonciateur du mal. Aujourd'hui, l'homme, devenu automate, se réduit à son apparition dans la vérité du monde. Il erre dans une pseudo-vie où les hommes sont humiliés, abaissés, méprisés et se méprisent eux-mêmes; ils se tiennent pourrien, admirent ce qui est moindre, détestent ce qui est plus qu'eux. Les robots, les automates, les abstractions les détournent de la Vie; par nos faux savoirs, nous nous détournons de notre dignité et de notre responsabilité en fuyant la Vie. En la niant, nous nions Dieu. Du moins la dynamique transcendante qui est au cœur de l'Univers à travers la Double Causalité. Quelque chose nous vient du futur indéterminé. Quelque chose dépasse nos stricts définissions matérialistes du réel. Le Tout-et-l'Opposé-Au-Chaos nous convie à sa fête. Ici, il ne s'agit pas pour les croyants – ou les nouveaux adeptes de l'universconnecté - de passer en clandestinité, en résistance violente, de s'accommoder de tout en espérant tirer mieux son épingle du jeu de la Vie ; il est plutôt l'heure de se désintoxiquer de l'esprit du monde en devenant des adeptes du Christ, Lui qui osait dire Mon Père et moi nous sommes UN. Lui qui pensait, annonçait et vivait de cette conviction fondamentale : seul l'amour fraternel, la Bonté, peut tout guérir, tout changer, tout améliorer, tout transformer. Si la référence au Christ dérange, on peut aussi se dire adepte du libre arbitre qui nous convie lui aussi à une fraternité non-violente.

Il faudra pourtant aussi se désintoxiquer de l'archaïque. À l'opposé de la fraternité, le Chaos c'est la justification de nos pulsions reptiliennes (l'homme est un loup pour l'homme), de la sélection naturelle (le droit des plus forts et des plus

adaptés) ou encore de notre égoïsme fondamental. C'est la pulsion de l'archaïque, l'absencede calme et de confiance, le masque douloureux de la colère, de la tristesse, de la haine, de la honte, de la peine, de la gêne, le tout conjugué en boucles de rétroactions négatives. C'estle mortifère, là où il n'est pas bon d'être né, là où la vie n'est pas suffisamment bonne, gangrenée par la méfiance et la défiance,la malveillance ou la malfaisance. En réalité, comme dans les stades du deuil, il s'agit de quitter le déni, la colère, le marchandage, la dépression, 4 affects qui nous font croire que nous sommes livrés au monde sans aide divine dans un univers hostile ; en avançant d'un cran, en faisant nôtre la physique de l'univers connecté, nous atteindrons peut-être les rivages de l'acceptation. Nous pourrons alors réaliser qu'à chaque instant, je suis qui je deviens, l'univers qui fait l'expérience de lui-même, à travers ce à quoi je donne de l'importance : ce qui est utile, agréable, nécessaire, vital, délicieux, etc. Nous dieusons entre le tout est bien, le tout est accompli et le rien ne peut advenir ou le tout est vain. Dans un espace fraternel qui refuse le « Y a qu'à » ou les « à quoi bon ? »

C'est possible en utilisant nos aptitudes naturelles .

Car si l'humain est capable de peurs, de colères, de tristesses, de haines, de jalousies, de


rages, de cruautés, de hontes d'une violence inouïe, il est aussi en possession d'un cerveau moral clairement identifié par la neuroscience (Source : Science&Vie):

Nous avons un sens acquis/inné de la justice, nous répugnons à souffrir et à faire souffrir, nous avons le sens de l’empathie, de la collaboration, de l’altruisme notammentDe surcroît,

les études de Mme Tali Sharot, professeur en neurosciences et en psychologie à l’UniversityCollegede Londres, montrent que l’optimisme est une caractéristique commune à 80 % de la population humaine.

Les travaux réalisés par l’équipe du Pr Sharot en IRM fonctionnelle (technique d’imagerie du cerveau en action) montrent que plus une personne est optimiste et plus deux régions cérébrales particulières, impliquées dans les émotions (l’amygdale) et la motivation (le cortex cingulaire antérieur rostral), vont s’activer exagérément. Comme si les bénéfices attendus étaient surestimés. En cas de mauvaises nouvelles ou de pronostic défavorable, le gyrus frontal inférieur gauche répond intensément alors que le gyrus frontal inférieur droit, normalement responsable du traitement des menaces, demeure moins actif et plus paresseux. La Pr Sharot pouvait ainsi affirmer «Nous avons découvert que le biais d’optimisme se maintient quoi qu’il arrive, car les gens corrigent plus sensiblement leurs prédictions en réponse à des informations positives concernant le futur qu’en réponses auxinformations négatives. » Notre cerveau est donc programmé pour nous aider à voir la vie en rose. Ce biais d’optimisme se répercute aussi sur la santé et le bien-être : l’espoir permetl’apaisement de l’esprit, la diminution du stress et l’amélioration de la santé physique ; il augmente même tout simplement nos chances de survie. La Seconde Causalité trouve ici – de manière inattendue - sa raison d’être comme son ancrage biologique. De quoi nous encourager à oser l’ouverture au Futur dans le respect du libre arbitre.

Une intégration réussie

Ce qui nous distingue fondamentalement du règne végétal ou animal, c’est que nous pouvons agir sur notre environnement et sur ce qui nous menace. Pour cela, il a fallu que l’Évolution fasse sauter de manière très importante le verrou de l’instinct. Qu’elle intègre pour cela au cerveau reptilien, celui des mammifères en y ajoutant le néocortex grâce auquel nous pouvons être des humains doués de raison et d'émotions notamment. Mais au quotidien, nous fonctionnons obligatoirement à trois cerveaux. Il se pourrait aussi,selon les études récentes menées notamment par Michel Gershon, que nous ayons un quatrième cerveau dans notre ventre, doté de 200 millions de neurones, qui


communiquerait avec notre cerveau principal par des échanges d’informations via le nerf vague et par la production de neurotransmetteurs – et forcément aussi de toxines – parmi lesquels figure en bonne posture la sérotonine produite à 95% dans notre intestin…

La solution choisie par l’Évolution est une intégration réussie et une pure merveille de complexité. Nous pouvons y ajouter la recherche de l'équilibre, notamment un rapport harmonieux de soi à soi et avec l'environnement. La physique unifiée De NH devrait nous apporter un saut qualitatif technologique. Elle pourrait aussi permettre une réconciliation entre la science et la spiritualité ; cela nous permettrait en tous les cas de quitter le front pur et dur du déterminisme défendu encore par quelques dinosaures. Et sur un plan psychologique et philosophique, l'approche de NH permet de concilier raison et émotion, le rationnel et la subjectivité sans devoir choisir son camp ; notre quête humaine de puissance et de sécurité n'a plus à se faire contre un univers hostile et indifférent ; nous pouvons nous en remettre au vide matriciel, apprendre à l'utiliser à bon escient, nous en faire un allié sans passer pour un fou. Vient le temps de l'abondance et la possibilité d'une mutualité bénéfique. Il n'y a plus ni maître ni esclave, ni juste ni mécréant ; l'urgence est d'apprendre la dynamique du vide en s'offrant le plaisir de l'exercer chacun-e ses forces, ses talents ou ses disponibilités.

Cette évolution devra-t-elle advenir dans une violence adaptative ? Cela dépend en partie de notre refus qu'il en soit ainsi...

C'est notre tout de faire un grand pas pour l'humanité...

Soudainement, nous ne sommes plus de petits êtres humains isolés, séparés et impuissants, mais des êtres ayant une dimension infinie accessible à l'intérieur d'eux- mêmes et surtout des êtres qui sont tous connectés à un niveau très profond.

Nous sommes tous UN, frères et sœurs humains.Différentes séquences de phi.

Le nombre d’or estdésigné par la lettrephi en grec. Il est avecles 64 tétraèdres lesystème de récurrenceentre les systèmesparallèles etdistribués qui

s'interconnectent, systèmes qui tendent vers la beauté et lacomplétude et qui affectent toutes les structures formes etproportions qu'elles soient cosmiques ou individuelles, organiques ou non-organiques, acoustiques ou optiques.

On la retrouve dans la forme des pétales, l’agencement des feuilles, dans l’allongement de la spirale d’ADN, dans les cristaux des flocons de neige, dans la forme des coquillages et


dans la structure en spirale des galaxies.

La théorie de l’Univers Connecté parle en réalité de collaboration entre les différentes échelles de l’Univers, et non de lutte, ce qui change totalement le paradigme de base et permet l’apparition de systèmes non-pyramidaux basés sur l’entraide pour arriver à un but commun, par opposition à des systèmes où nous voyons une destruction des ressources naturelles et de notre société.

Il était temps de le réaliser ! Même s'il faudra sans doute encore des années pour consolider cette révolution conceptuelle.

La Fleur de Vie (Flower of Life), une grille de 64Tétraèdres etun Cuboctaèdre (en vert) qui se chevauchent tous.

La Fleur de Vie, un ancien symbole en 2D, représente ce quiest en fait la structure 3D du réseau géométrique du vide del'espace-temps, formant des octaves scalaires parfaites de ceque Buckminster Fuller appelait le "vecteur à l'équilibre" ou"équilibre vectoriel" (vector equilibrium).

La Fleur de Vie contient les modèles de la création tels qu’ilsémergèrent du « Grand Vide ». Tout est créé à partir de là parle Créateur. Cette structure forme la base de la musique, alorsque les distances entre sphères sont identiques aux distancesentre tons et les demi tons en musique. Elle est aussi identique à la structure cellulaire de la troisième division embryonnaire. Ainsi la même structure, alors qu’elle se développe un peu plus, crée le corps humain et tous les systèmes d’énergie :éther, plénum, vide, mousse quantique, champ de point zéro, champ source, Dieu, ou peu importe comment vous désirez le nommer...

Tout est géométrie. Tout est connecté. Et tout est vecteur d'équilibre : nous l'appelons Dieu , l'Amour, la Lumière, l'harmonie, l'énergie divine, l'équilibre absolu, l'information source, etc. Les scientifiques répondent toujours qu'on ne ressent pas cette énergie infinie dans le vide. Et c'est normal, car toutes les forces sont en équilibres, grâce à la géométrie en parfait équilibre vectoriel du cuboctaèdre qui représente la base de la croissance harmonique du réseau de 64 tétraèdres.

Un poisson ne se rend pas compte qu'il 'flotte' dans l'océan et n'aura conscience de l'eau que s'il peut observer son monde de l'extérieur.

Vu que nous vivons DANS un trou noir, cela ne nous est possible qu'en regardant à l’intérieur de nous-mêmes, par la méditation orientée vers une certitude : nous apparaissons et nous disparaissons sans arrêt à un rythme très rapide et à la vitesse de la lumière. La moitié du temps, nous sommes issus du vide...et l'autre, nous informons le vide. C'est ainsi que l'Esprit intelligent et conscient nous accueille en permanence, nous « aime », nous soutient si nous le demandons sans motif caché, en nous enveloppant de ce que nous désirons dans une joie simple et une reconnaissance admirative. Notre conscience cosmique nous informe par rétroaction que nous existons. Elle répond à nos demandes désintéressées si l'environnement le permet, donc s'il n' y pas imposition. C'est la structure du double tore qui le permet. L' échange permanent d'informations nous affecte, du dedans vers l’extérieur et de l’extérieur vers le dedans: nous co-créons en permanence la réalité à l'image et à la ressemblance de l'Esprit qui nous offre son soutien et sa présence.

Nous habitons avec Lui dans des demeures célestes : dans la mémoire de l'espace-temps. Nous la rejoindrons à la mort de notre corps.


Avec le philosophe Michel Henry, redisons l'essentiel : Dieu est Vie, il est l'essence de la Vie, ou, si l'on préfère, l'essence de la Vie est Dieu. Dieu est en lui-même révélation, il est la Révélation primordiale qui arrache toute chose au néant, unerévélation qui est l'auto-révélation pathétique, c'est-à-dire la souffrance et l'auto-jouissance absolue de la Vie. « Dieu est amour », parce que la Vie s'aime elle-même d'un amour infini et éternel. Nous l'adorons en esprit et en vérité . Et si tel est le cas, nous avonsnous aussi à tendre vers la beauté, la bonté, la complétude, à nous arracher au néant de l'archaïque et du mortifère en privilégiant l'Esprit, la liberté, la créativité, l'humour, l'amour fraternel notamment.

Nous serons ainsi des vecteurs d'équilibre en phase et en harmonie avec la Vie et l'Esprit qui en est à l'origine... Encore faudra-t-il que nous acceptions d'être des vecteurs, des porteurs de Vie, chacun-e selon ses dons et ses forces du moment. Ici, pas d'obligations, aucune contrainte ou devoir fût-il moral ; pas d'obéissance au sens religieux ; aucune radicalisation. Aucune allégeance à l'archaïque : nous avons faim et soif d'équilibre. Nous sommes et serons opposés-au-chaos, à tous ces délires-besoins de puissance, de richesse, de jouissances et de gloire. Des saints ou des moines ? Non, mais des pacifistes enclins à penser que la Bonté n'est pas un signe de faiblesse mais un vecteur d'équilibre bien plus profond que le mal le plus profond. Nous ferons de ce va et vient avec le vide une occasion de se ressourcer, de nous situer non plus en fonction du passé-présent mais au contraire à partir du Futur que la Source va matérialiser, sans pour autant choisir de vivre en attentistes. Gandhi le dit de fort belle manière :

Notre quête sera celle de la beauté et de la complétude...

vécue en interactions dans la simplicité et la fraternité,

dans cette Tendresse fondamentale venue du fond de l'espace

grâce à laquelle nous ressentons profondément, intensément

combien il est bon d'être né et combien

la Vie peut être suffisamment bonne.

Quel est notre centre de gravité (notre singularité) ? Nous sommes UN, unis, en liens, apaisés ! Dans la sainte union, la sainte alliance... en la visualisant qui se compacte suivant un mouvement spiralé vers l’immobilité, la sérénité, le calme dans le cœur (expire), et qui entre en expansion à nouveau (inspire) vers la confiance/conscience dans le libre arbitre.

Et notre centre polémique ? Le Logos est venu dans le monde mais les humains n'en ont pas voulu ! Ils sont dans la Ténèbre de l'en-bas, dans l'archaïque et ses pulsions destructrices...


Notre assurance ? L'échange permanent d'informations avec le vide matriciel. Nous avons tout à y gagner car le suivi est de tous les instants ! Le savoir change la donne. En vérité, nous sommes conviés à une fête permanente, à un partenariat prometteur qui nécessite, évidemment, tout un apprentissage à commencer par un dégagement de tous nos attachements excessifs – à notre petite personne, à la matérialité ou encore au paraître – par lesquels forcément nous souffrons ; nos fascinations, nos addictions et nos obsessions ne font-elles pas la grande partie de nos souffrances comme de nos malheurs humains? S'en dégager est une nécessité, un travail indispensable sur soi-même ! Alors seulement, nous aurons une meilleure chance de vivre l'inespéré : l'interaction avec le Tout.

Nous réaliserons toujours un peu mieux que nous sommes l'Univers qui fait l'expérience delui-même : des observateurs-capteurs-acteurs en pleine complicité avec la Source qui matérialise des opportunités si l'environnement le permet ; Jésus disait : votre Père sait ce dont vous avez besoin avant même que vous l'ayez demandé...Si nos attentes, nos besoins ou nos souhaits ne sont pas violents, s'ils ne portent pas atteintes à la liberté d'autrui – ou à la nôtre évidemment ! -, s'ils ne sont pas une ingérence déguisée dans leur vie, alors le divin nous donne son appui : ce sont les fameuses intuitions, inspirations, prémonitions, heureux hasards, synchronicités, etc. Des cadeaux surgis du futur. Il nous faut donc apprendre à ne pas vouloir tout maîtriser, tout diriger, tout contrôler dans notre vie ; apprendre à rejoindre la singularité, ce point source entre le créé et l'incréé où tout est possible, d'où tout peut advenir et se modifier. Dans cet espace singulier, le temps n'existe pas : passé , présent et futur sont comme empilés ; là se joue notre à-venir, dans l'Inconditionné. Nous devrions apprendre à visualiser cette dimension cachée, oser imaginer d'autres futurs, d'autres issues ou d'autres avenir en les bénissant, en les formulant avec des pensées, des sentiments et des émotions nobles et généreux. Jésus savait le faire avec maestria. Il a balisé pour nous un chemin nouveau au Père, rendu lisibleune mutualité qui n'a rien à voir avec l'obligation, l'obéissance, la pureté ou l'expiation de nos fautes et ratés communément appelés le péché! Nous sommes les enfants d'un royaume éternel caché dans le vide matriciel; rien ne peut offenser Dieu ! Soyons sérieux ! Rien ne peut empêcher, en toute logique, la perfection de le rester, ni l'absolu de l'être absolument. Les humains ont projeté au ciel un dieu à leur image : colérique, tyrannique, narcissique, sadique et même masochiste quand nous le faisons endosser le pardon des péchés par la mort de son fils. Il est urgent de sortir de ces représentations douteuses. D'une divinité qui veut régner sur notre cœur et notre vie, punit ou récompense si nous lui obéissons, intervient seulement si nous la supplions, ou pire, uniquement si nous lui demandons de le faire ! La Source n'a rien à voir avec ce dieu pervers qui nous brime, nous donne la sexualité tout en interdisant le plaisir, qui menace de ses foudres toute prise de liberté ; un dieu incapable de contenir son rival Satan qu'il laisse torturer ses enfants !

Franchement, il est temps de se désencombrer de ces représentations périmées ; nous sommes d'abord des entités biochimiques très sophistiquées, des être uniques qui expérimentent la Vie par leur merveilleux véhicule à la fois puissant et vulnérable : notre corps soutenu par le mental et par la conscience cosmique.

Nous sommes à la fois puissants et vulnérables. Mais nous pouvons compter dans notre voyage avec l'aide de la Source à laquelle nous revenons consciemment ou non. Nous échangeons en permanence avec Elle des informations ; nous en recevons, Elle nous en donne en fonction de nos convictions intimes : si nous l'ignorons, Elle nous respecte ; si nous lui demandons de violer le respect du libre arbitre, Elle ne le fera pas ; si nous demandons évasivement ou de manière inconstante, Elle ne peut rien pour nous. Tout va dépendre de nos représentations et de nos exercices de dégagement. N'oublions pas que nous informons la Source de qui nous sommes en temps réel et en permanence. Nous sommes – et nous maintenons!- qui nous sommes ici et maintenant, donc aussi notre


passé, nos maladies comme nos rêves. Cela se fait rappelons-le par les ondes gamma : Les basses fréquences transportent la mémoire des expériences passées, les plus hautes véhiculent ce qui se passe sur le moment. En conséquence, notre présent est en grande partie colonisé, déterminé par notre passé et par les prédictions que nous faisons face à ce qui se présente dans le présent. Le mécanisme des prédictions est à la fois précieux parce qu'il nous permet, en mode de reconnaissance automatique, d'agir sans trop réfléchir, doncde manière instinctive, mais il est pernicieux aussi car il peut, suite à un choc traumatique par exemple, fonctionner en mode d'hypervigilence : là, tout est lu en fonction d'un danger potentiel à éviter. Dans la vie de tous les jours, nos prédictions sont uniques et variées ; ce sont des convictions intimes glanées tout au long de notre vie fonctionnant comme des filtres. Nous agissons en fonctions d'elles, sans grande souplesse. Bien souvent, il n'y a peu de place en vérité pour de la nouveauté ou pour des changements réels. Pour un temps neuf qui ne soit pas simple habitude ; alors bien sûr notre à-venir est sur des rails, la projection maintenue du passé, faute de croire à d’autres possibles. Il est encodé par les ondes gamma : nous informons en temps réel notre corps entier et l'Univers. Et tout est interprété par nos cellules et par notre cerveau avec la réponse la mieux adaptée ; tout est lu par la Source, reçu sans aucune punition ; seule la Source, dans sa Perfection, peut en vérité s'ouvrir à nous de manière absolue, inconditionnelle, sans partage ni dégoût. Pourquoi ? Parce qu'Elle connaît la Vérité de tout. Ah ! Si nous savions, ne serions-nous pas différents ? N'agirions-nous pas autrement ? La Source le sait et quand viendra l'heure de la mort, Elle nous accueillera dans la mémoire de son espace-temps.

Ces approches novatrices soulignent la nécessité d'une approche spirituelle revisitée, et parconséquent celle d'un travail sur soi-même . Le schéma de Philippe Guillemant peut nous y

aider :

À nous d'oser l’Éveil du libre arbitre.

Philippe Nussbaum, septembre/ octobre 2016

2. Nassim Haramein : conférence du 2 novembre 2013 et Paris le...

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